Bien sûr qu'il serait tentant en écoutant cela de se précipiter pour acheter de l'or, des bagues, des colliers, bref, du truc qui va monter; et bien NON. Non, il ne va ni monter ni descendre, car, ("pour connaître son ennemi il faut se mettre à sa place"), car il y aura FORCEMENT confiscation ! Confiscation assortie d'une interdiction d'en monnayer le métal !
Bêh oui, si le pays doit admettre que les soutes sont vides (depuis toujours ?! Hahaha !), il répliquera que non et fera la razzia de partout.
Bon, pour oublier cet épisode-à-la-con où il n'est pas préférable non-plus de s'acheter un flingue ou de faire un abri anti-atomique, mais plutôt d'acheter un billet d'avion ou (pour les riches) de vendre maisons, voitures, terrains, etc et d'acheter un catamaran et se barrer de là vite-fait !
Bon, maintenant, passons à d'autres choses sérieuses: Si le grand Manitou extra-lucide que nous venons de voir prédit cela et que çà se passe, que se passera t-il ? Il se passera que si l'or est à 5 ou $ 10.000 /oz, il sera préférable de NE PAS SE PROMENER AVEC DANS LA RUE ! Si vous voyez ce que je veux dire ! Et, de plus, que le risque de cambriolages/agressions violentes peuvent être quotidiens !
« SCOOP : Wall Street et l’attaque finale sur l’euro. Le plan de Noël … »
Mes chères contrariennes, mes chers contrariens !
Avant de vous parler du sujet du jour, je souhaitais y aller de mon petit couplet sur les Restos du Cœur. Je ne ferai la morale à personne mais sachez juste que l’association des Restos du Cœur est l’une des mieux gérées et des plus transparentes (je vérifie leurs comptes chaque année). On peut donc leur donner sans évidemment craindre que nos dons soient mal ou peu utilisés.
Je fais partie de ceux qui ont la chance de pouvoir bien manger et à chaque repas et mon dieu que la vie serait dure le ventre vide. Je pense que notre État est défaillant, et les Restos du Cœur ont été lancés par un gars du peuple qui nous manque sacrément (Coluche évidemment) pour le peuple.
Depuis le début de la crise de 2007, le nombre de repas servis a considérablement augmenté (cela a presque doublé en 7 ans), alors à vous tous, mes camarades contrariens, vous pouvez aider au PEBC (plan épargne boîtes de conserve) de nos concitoyens les plus en difficulté, vous pourrez aussi défiscaliser 75 % du don (vous recevrez un reçu fiscal par mail, en tout cas je vous conseille de le demander par mail car lors de la déclaration d’impôts au moins vous pourrez le retrouver dans votre messagerie !!), ce qui sera autant de moins dans les poches de notre État défaillant et de nos politiciens lamentables même pas capables de faire bouffer leur peuple (regardez le montant des subventions versées par l’État aux Restos du Cœur, c’est juste pitoyable). Enfin, cela vous permettra également de débancariser un petit peu et c’est toujours ça que les banques n’auront pas !!
Wall Street, l’attaque finale sur l’euro : le plan de Noël
Voici ma petite traduction des meilleurs passages de cet article encore une fois en italien. Je suis dans ma période latine que voulez-vous, mais c’est fort instructif et c’est à relier à l’édito que j’avais écris il a quelques jours concernant l’avenir de l’or dans lequel je parlais de l’intervention d’Harvey Organ, grand spécialiste de l’or, et pour qui le gold ira entre 3 000 et 5 000 dollars l’once en décembre 2014 !
Selon lui, la manipulation des cours de l’or et de l’argent prendra fin en décembre 2014, ce qui débouchera sur l’effondrement économique annoncé… Pour ceux qui auraient raté sa vidéo, elle est ci-dessous.
Revenons à nos moutons italiens et traduisons.
« Les tests de résistance sont une vraie merde et ils ont tout faux… c’est en tout cas la confidence de Brunello di Montalcino.
Si vous mettez les mains dans les comptes (ou dans le cambouis), vous savez qui remercier : la finance américaine.
Cependant, il n’est un mystère pour personne que Wall Street craint particulièrement : la naissance d’une véritable union bancaire européenne. S’il y avait une véritable union bancaire, politique et fiscale, la BCE pourrait directement décider de la restructuration d’une banque, elle pourrait briser la relation incestueuse entre les États endettés et le système bancaire, qui est la véritable raison de la stagnation économique continue dans la zone euro, et pourrait enfin faire la chasse aux fonds spéculatifs.
Selon notre interlocuteur, la finance américaine, qui maintient Mario Draghi, en laisse lui a conseillé d’être le meilleur parce qu’elle va lancer une offensive contre l’euro.
Il circulerait en effet dans les hautes sphères de la finance mondiale une étude pas si secrète que cela d’ailleurs sur les problèmes fondamentaux que pose l’euro dans les difficultés du monde et de la croissance mondiale. En clair, pour les financiers américains, l’euro n’est plus une solution (il ne l’a d’ailleurs jamais été ou presque) mais désormais il est, sans hésitation aucune, devenu un problème majeur.
Le rappel des troupes va donc être déclenché et Wall Street se prépare à l’offensive, attendant le bon moment pour passer à l’action. L’Allemagne n’a en réalité aucune confiance en Mario Draghi et restera toujours opposée à la mise en place d’eurobonds (obligations européennes) et généralement à toute idée de mutualisation des dettes.
Le maillon le plus faible est l’Italie. Les entreprises et banques italiennes sont des poissons dans un aquarium et l’argent, la liquidité, est leur eau. Dommage que cet aquarium soit écopé par deux hydrophiles : les autorités fiscales et le système bancaire qui n’ont ainsi de cesse de le vider.
C’est entre Noël et Nouvel An qu’une nouvelle offensive devrait donc être déclenchée contre l’Italie dans le but d’une part de mettre la main sur le stock d’épargne privée des Italiens et d’autre part pour réinitialiser l’euro en le faisant exploser. » L’euro devient un problème pour les Américains et les Américains sont des pragmatiques !
N’oubliez jamais cette donnée de la « psychologie » américaine. Ils sont pragmatiques. Quand un problème se pose, on règle le problème. Peu importe que cela fasse mal, que ce ne soit pas confortable, on règle tout de même le problème et on repart de l’avant. Un Américain sait prendre ses pertes.
Or désormais, l’euro, et en particulier le refus allemand de l’utilisation de la planche à billets, pose un véritable problème économique aux Américains et à la finance anglo-saxonne qui a désespérément besoin de fonds, de beaucoup de fonds pour survivre, et pour être presque viable, l’effort doit être partagé entre toutes les banques centrales. Si le Japon et même la Suisse jouent le jeu de l’impression monétaire à outrance, l’Europe, avec la BCE sous contrôle étroit allemand, joue le service minimum et encore.
La seule solution c’est donc de faire exploser l’euro et d’apporter le petit souffle nécessaire à l’effondrement du château de cartes européen. Autre élément, la vague reprise américaine ne tient que grâce à la fuite en avant aussi bien dans la dette de l’État fédéral américain que dans la création monétaire de la FED. Sans création de monnaie c’est la récession mondiale et la déflation qui prendra le dessus comme c’est le cas aujourd’hui en Europe.
Il y a donc de très fortes chances que la finance anglo-saxonne attaque et massacre et l’euro. En Europe, l’une des semaines de congés les plus prisées est bien évidemment celle entre Noël et le jour de l’an. Beaucoup de patrons comme d’intervenants et d’opérateurs sur les marchés sont tout simplement en train de ripailler en famille ou de skier à la montagne, c’est donc un moment de grande vulnérabilité. Si vous voulez prendre des vacances cette année, n’oubliez pas l’option annulation… cela pourrait servir !
Pour faire vaciller l’euro, une attaque contre l’Italie serait évidemment une bonne solution car elle nécessiterait moins de cash qu’une attaque contre la France qui n’est pas non plus à exclure, loin de là.
Il est déjà trop tard, préparez-vous. À demain… si vous le voulez bien !! Charles SANNAT
Les retraités brésiliens sont-ils en train de mettre leur pays en faillite ?
par Mylène Vandecasteele · 25 nov. 2014
Le Brésil est lui aussi confronté au vieillissement de sa population, et au problème que cela pose en termes de financement des retraites du pays, note Mac Margolis de Bloomberg. En effet, l’âge de prise des pensions dans le pays, combiné à la générosité de certains régimes de retraite, font des pensions une véritable bombe à retardement pour le pays.
« Le problème du Brésil est qu’il devient vieux avant de devenir riche », a synthétisé Marcelo Caetano, un économiste de l’Applied Economic Research Institute, qui a publié une vaste étude sur le système de sécurité sociale du pays. Il a noté que le pays consacrait déjà 12,2% de son PIB aux prestations sociales, et qu’on y comptait un retraité pour 3 travailleurs, un chiffre qui est déjà supérieur à celui des membres du G7, à l’exception de l’Italie.
Il n’existe pas d’âge minimal de la pension dans le secteur privé brésilien, ce qui signifie que les Brésiliens prennent leur retraite bien avant les employés des autres pays du monde : 54 ans pour les hommes en moyenne, et même 52 ans pour les femmes. Et comme dans les autres pays, l’espérance de vie s’allonge, ce qui signifie qu’un Brésilien peut espérer vivre à la retraite pendant 26 ans, et une Brésilienne, 33 ans.
Même si les pensions du pays sont relativement modestes, puisqu’elles sont de 536 euros par mois en moyenne, de telles durées de versement ont un impact énorme, et cette année, le système de sécurité sociale, qui ne paye que les retraites du secteur privé, devrait présenter un déficit de 50 milliards de reais (environ 17 milliards d’euros).
Le système connaît donc déjà de graves difficultés, et si les politiciens n’engagent pas rapidement des réformes, il risque de tomber en faillite ; or, malheureusement, ces réformes semblent très improbables. Sur les 30 dernières années, divers amendements ont été votés, notamment en 1998, en 2003 et en 2012. Chacun a permis de faire des avancées, mais tous ont été remis en cause par des groupes d’intérêt.
L’un des groupes d’intérêt les plus puissants du pays est celui des fonctionnaires, dont l’âge de la pension est de 60 ans pour les hommes, et 55 ans pour les femmes. Ils bénéficient de pensions qui représentent la moyenne des salaires qu’ils ont perçus au cours de leur carrière (un peu moins que ce montants pour les dernières recrues). Pour les militaires, le régime est encore plus favorable, puisqu’ils touchent une pension égale à leur dernier salaire, et que leurs filles bénéficient d'une pension à vie, un vestige qui remonte aux temps où le Brésil était en guerre avec le Paraguay, à la fin des années 1860.
Du coup, le Brésil a dupliqué sur les pensionnés les grandes inégalités de revenus qui ont inspiré à l’économiste Edmar Bacha de surnommer le pays « Belindia », un nom valise qui résulte de la contraction de la Belgique et de l’Inde, pour évoquer l’existence d’une élite de privilégiés (les « Belges » de Belindia), entourés d’une vaste foule de gens très pauvres (les « Indiens » de Belindia). La somme que le Brésil débourse pour payer les retraites d’un million de retraités de la fonction publique est la même que celle qui est consacrée à 27 millions de pensionnés du secteur public.
Le Brésil vieillit, et il doit donc se donner les moyens de générer de la croissance, mais avec un nombre d’actifs en baisse, cela implique d’augmenter la productivité. Mais les dirigeants du pays optent encore pour des politiques de redistribution, espérant ainsi relancer la croissance. Il est encore possible de réformer, mais compte tenu du rythme de vieillissement du pays, il n’y a plus de temps à perdre, conclut Margolis.
Les bienfaits des gaz et pétroles de schiste dans le Dakota du Nord (et ailleurs)
24 novembre 2014 The French Saker Jean-Paul Baquiast
Le New York Times (NYT) n'est pas réputé pour contredire directement les grandes firmes et les groupes d'intérêts qui financent les élections américaines sur le mode de l'open bar [1]... et qui probablement le financent un tant soit peu. Cependant, dans un article du 22 novembre 2014 [2], il dénonce en termes véhéments les dégâts environnementaux, économiques et humains produits par l'exploitation des gaz et pétroles de schistes dans l'État du Dakota du Nord.
Le Dakota du Nord s'étend sur 183 273 km2 , soit un tiers de la France. Il est situé exactement sous la frontière avec le Canada. Il y a quelques années, des gisements de gaz et pétroles y ont été détectés, au nord de l'État. Des industries pétrolières, qualifiées de multimilliardaires par le NYT, ont reçu des autorités de l'État toutes les autorisations nécessaires pour les exploiter.
En contrepartie, ces industries se sont engagées à recenser et à réparer les accidents inévitables provenant des exploitations. Or, plusieurs années après, le nombre et la gravité de ces accidents, dont les fermiers et les habitants peuvent chaque jour constater les conséquences, n'ont cessé de se multiplier. Les compagnies s'étaient engagées à gérer, en commun avec les autorités et les associations environnementalistes, la prévention et la réparation de ces accidents. En fait, cette gestion en commun n'a pas eu lieu. Chaque exploitant a pu imposer de rester le seul responsable de la question, en ce qui le concernait.
Bien évidemment, les associations ont dénoncé ce qui se produisait et ont demandé que les autorités de l'État reprennent en main l'observation et la prévention. En effet, il ne s'agit pas seulement d'éditer des normes, mais de s'assurer qu'elles sont appliquées et qu'au moins les contrevenants prennent les mesures nécessaires pour indemniser les victimes.
Or, comme c'était prévisible, l'État du Dakota du Nord a confirmé sa préférence pour une gestion de la question sous la seule responsabilité des pétroliers. En conséquence de quoi, le boom, pour reprendre le mot du NYT, non pas de l'économie de l'État, mais des accidents, se poursuit et s'accroit.
Il ne s'agit pas d'événements isolés, mais au contraire de phénomènes se multipliant, notamment avec la généralisation de la fracturation hydraulique [3]. Des dizaines de puits explosent dorénavant chaque année, des centaines d'autres provoquent des fuites et des dégazages dans l'environnement. La production de rejets toxiques excède désormais en volume celle de pétrole et gaz. Des régions, dont l'identité s'était jusqu'à ce jour construite sur l'agriculture et l'élevage, deviennent des zones mi-industrielles mi désertiques, dont les précédents habitants ont fui.
Mais les compagnies leur expliquent qu'elles devraient se féliciter de participer désormais à l'autosuffisance américaine en combustible fossiles, autosuffisance dont elles ne voient évidemment pas le moindre retour à leur niveau. Auto-suffisante qui, d'ailleurs, selon les experts, ne durera pas. Les gaz présents dans les couches de schistes ne se renouvellent évidemment pas. Chaque jour, il faut fracturer plus loin et ailleurs. Jusqu'au jour où les ressources s'épuiseront ou bien deviendront inaccessibles, sauf à bouleverser complètement, non pas seulement les campagnes, mais des aires urbaines entières.
Ce moment venu, les compagnies feront appel à la crédulité des épargnants et des petits actionnaires pour engager des forages encore plus périlleux, dans les zones océaniques profondes ou en Arctique.
Mais les habitants du Nord Dakota, et de bien d'autres régions analogues, ne disposeront plus alors que de techniques ancestrales pour lutter contre la salinité et la désertification de terres autrefois prospères. Ne dit-on pas que la pire des malédictions qui puisse frapper une région, une nation, est de découvrir qu'elle recèle des richesses pétrolières.
Notes :
[1] Open bar, bar où l'on sert des boissons à volonté.
[2] The Downside of the Boom, North Dakota took on the oversight of a multibillion-dollar oil industry with a regulatory system built on trust, warnings and second chances, par Deborah Sontag et Robert Gebeloff (nytimes.com, anglais, 22-11-2014)
[3] La « fracturation hydraulique » est la dislocation ciblée de formations géologiques peu perméables1'2 par le moyen de l'injection sous très haute pression d'un fluide destiné à fissurer et micro-fissurer la roche. (Wikipédia, français)
Sans doute dira-t-on que Brisbane est passé par là et que la "guerre" (de communication) ne connaît désormais plus aucune restriction. Ce sont les Russes qui attaquent tous azimuts tandis que le bloc BAO, ayant accompli son bizutage de Brisbane considéré par lui-même comme une grandiose manœuvre stratégique de type napoléonien (mais démocratique, certes), reste plutôt impavide sur le fait en l'absence de toute nouvelle idée brillante du genre, et préférant par ailleurs commettre des actes sidérant d'inconséquence et d'irresponsabilité (voir plus loin, du côté d'un vote à l'ONU). Cette intensification de l'offensive russe et de la "guerre" qui en est le cadre signifierait que MK Bhadrakumar n'avait pas tort (voir le 18 novembre 2014) : "Que va-t-il se passer si la Russie abandonne sa position d'autorestriction et passe d'une non-coopération passive à une opposition active à la politique US ? Jusqu'ici, il n'en a rien été pour diverses raisons. Le G20 de Brisbane est-il ce moment décisif, finalement, pour la direction russe qui se pliait aux exigences de l'Ouest ?"
Nous avons vu, et insisté là-dessus, le fait que Poutine et la direction russe suivent "deux voies" parallèles (voir le 21 novembre 2014), avec "deux politiques de communication", définies également comme celles de la main tendue et celle du poing serré (voir aussi le 21 novembre 2014). On ne parle pas de deux "stratégies" car ces deux politiques de communication n'ont pas d'objectif stratégique fondamental, sinon de contribuer au but politique central, fondamental lui, qui est le plus simple du monde à définir : défendre sans aucune faiblesse les intérêts de la Russie en faisant le maximum pour éviter de compromettre irrémédiablement les relations avec le bloc BAO.
De cet énoncé découlent les deux "politiques de communication", qui seraient en langage guerrier deux "tactiques" plutôt que deux "stratégies", qui se poursuivent parallèlement et représentent un parallélisme schizophrénique dont la responsabilité n'est pas russe, mais due à l'adaptation des Russes à la position du bloc BAO ; c'est-à-dire, adaptation à cette schizophrénie créée par le bloc BAO développant une politique de narrative, sinon de fantasy-narrative, qui ne cesse de se situer, avec un entêtement qui se réfère aux exigences du Système qui les soumet et les tient tous, toujours plus loin de la "vérité de la situation". Ainsi les Russes, tendent-ils d'un côté la main au bloc BAO (surtout aux Européens), et ne cessent-ils d'un autre côté de serrer le poing en dénonçant toujours plus rudement, par divers moyens, la politique catastrophique, à la fois belliciste et provocatrice, du bloc BAO.
Maintenant, il faut en venir à ce constat, extrêmement clarifié car les choses vont très vite, que la seconde tactique (le poing serré) est bien plus "audible", c'est-à-dire spectaculaire et tonitruante, que la première (la main tendue) qui ressemble à une sorte de "quête dans le désert" et ne cesse de s'appauvrir en substance. C'est donc de la seconde, de la politique offensive de dénonciation du bloc BAO, que l'on parlera, exclusivement, - notamment parce que plusieurs faits méritent mention selon l'observation de l'avancée de l'offensive, alors qu'on aurait pu attendre une simple répétition des mêmes accusations si la main tendue pouvait espérer en rencontrer une autre.
- Lavrov est bien l'homme devenu diplomate de la "diplomatie ouverte". Mais cette fois, c'est pour énoncer rudement des vérités qui sont des accusations impitoyables lancées contre le bloc BAO, sans la moindre retenue de langage. C'est le cas lorsque Lavrov annonce dans un discours dont il a été fait une large publicité, que le but des sanctions du bloc BAO contre la Russie est tout simplement de faire tomber le gouvernement et le régime en Russie, - "pratiquement personne ne dénie cela" conclut Lavrov pour ajouter à l'accusation un mépris souverain des pratiques de barbare des gens du bloc BAO, à peine différentes des exploits d'ISIS/EI/Daesh... Lesquels "gens du bloc BAO" laissent dire, sans rien répondre, comme des automates qui poursuivent le programme dont ils ont été équipés et rien d'autre. (Quelques extraits sur le discours de Lavrov dans RT, le 22 novembre 2014.)
« Le but ultime des sanctions anti-russes imposées par certains pays occidentaux est de provoquer des manifestations et de renverser le gouvernement », a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov . « Les dirigeants occidentaux ont publiquement déclaré que les sanctions doivent être suffisamment douloureuses pour l'économie [de la Russie] afin d'attiser les contestations sociales. L'Occident ne veut pas changer les politiques de la Russie. Ils veulent un changement de régime. Concrètement personne ne nie ceci », a-t-il déclaré à un Think-tank (groupe de réflexion) en vue à Moscou.
Lavrov a déclaré que les tensions entre la Russie et l'Occident couvaient depuis des années avant la crise ukrainienne, ajoutant que désormais les Européens avaient décidé d'utiliser la politique du tout ou rien, et de jouer à "qui est le plus fort" avec la Russie. « Mais au moins les positions ont été clairement définies », a déclaré M. Lavrov. « Le sujet ukrainien est le moment de vérité pour l'Europe et la Russie », a continué M. Lavrov, en soulignant que « Moscou ne serait pas la seule à rompre les liens avec l'Europe. Cependant, la Russie ne compte pas simplement revenir en arrière, comme avant le début de la crise », a-t-il dit. « L'UE est notre principal partenaire », a déclaré M. Lavrov. « Personne ne veut se tirer une balle dans le pied et rejeter une coopération avec l'Europe, mais tout le monde sait que rien ne sera plus comme avant. »
- Poutine continue lui aussi sa croisade de dénonciation des "révolutions de couleur" sans plus dissimuler une seconde sa certitude que cette formule constitue le but ultime des pays du bloc BAO à l'encontre de la Russie. Mais il se pourrait que l'on passe de la communication à l'action. Les déclarations devant le Conseil Sécurité du gouvernement russe de Poutine contre les "révolutions de couleur", déjà signalé (voir le 21 novembre 2014), sont désormais appréciées par certains comme annonciateur de décisions fondamentales au niveau de la sécurité intérieure, qui pourrait correspondre à une véritable "mobilisation intérieure", avec un large appel à la population russe, contre les "révolutions de couleur" : « Dans le monde moderne, l'extrémisme est utilisé comme un outil géopolitique pour la redistribution des sphères d'intérêt. Nous pouvons voir les conséquences tragiques de la vague de ces révolutions nommées révolutions colorées, du choc subi par les gens dont les pays qui ont supporté ces expériences secrètes irresponsables, ou quelquefois de cette ingérence directe et brutale dans leur vie » , a déclaré Poutine au conseil de sécurité, jeudi. « Ceci est une leçon et un avertissement pour nous », a continué M. Poutine. « Nous ferons tout pour ne jamais laisser ceci se produire en Russie ». (RT, le 20 novembre 2014.)
- ... Mais nous exagérons lorsque nous disons que le bloc BAO ne réagit pas. En fait, il poursuit, par l'un ou l'autre de ses appendices, la route fantasmagorique de sa fantasy-narrative, par exemple lorsque la présidente de Lituanie, pays responsable s'il en est dans la grande famille des organisations transnationales du bloc BAO, va jusqu'à qualifier la Fédération de Russie de "pays terroriste". Cela permet de mesurer la vigueur de l'affrontement de communication en cours, et aussi, dans ce cas, l'exaspération russe affirmée publiquement devant ces attaques, dans le chef d'un député communiste de la Douma qui va jusqu'à suggérer une rupture des relations diplomatiques avec la Russie. (RT, le 21 novembre 2014).
« Je veux charger la commission des relations internationales à la préparation d'une déclaration, et peut-être même d'un ordre, afin qu'elle propose de nouvelles sanctions économiques contre la Lituanie, voire même une motion pour mettre fin aux relations diplomatiques. Il est inacceptable que le président d'une nation soit si grossier et affiche un tel cynisme » a déclaré le chef adjoint de la commission parlementaire du Parti communiste, Nikolay Kolomeytsev, à la session d'état de la Douma, ce vendredi. Après cela, le Président Sergueï Narychkine a demandé aux communistes de soumettre officiellement la motion à la chambre.
L'initiative de Kolomeytsev est intervenue après que la Présidente Dalia Grybauskaite ait déclaré dans une interview, jeudi, à la radio lituanienne LRT, que la Russie menait une agression contre l'Ukraine, en accusant le président russe Vladimir Poutine « d'avoir l'intention d'occuper d'autres régions et de réorganiser radicalement la sécurité internationale dans le monde ». « Nous sommes confrontés à une situation dans laquelle certains de nos voisins deviennent des pays terroristes », a-t-elle dit.
- Mais la nouvelle la plus remarquable est celle du vote à l'ONU concernant une résolution déposée le 4 novembre par la Russie et 29 autres pays (dont le Brésil, l'Inde, le Pakistan, etc., jusqu'à une Corée du Nord qui se paie une vertu à bon compte) condamnant « la glorification du nazisme, du néonazisme et d'autres pratiques qui contribuent à alimenter les formes contemporaines de racisme, de discrimination raciale, de xénophobie et de l'intolérance qui y est associée ». Trois pays ont voté contre, - le Canada, l'Ukraine et les USA ; 55 se sont abstenus, dont tous les pays de l'UE et divers autres, du Japon au Lichtenstein, du Qatar à la Suisse, de l'Australie à Monaco, du Tchad à la Turquie, de la Norvège à San Marin, - bref, que du beau monde. Enfin, 115 pays ont voté pour, dans lesquels on retrouve côte-à-côte, notamment certes, l'Arabie Saoudite, Israël et la Russie... (Les diverses précisions sur ce vote peuvent être consultées notamment sur le site French-Saker, le 23 novembre 2014.) La presse-Système, dite "grande presse", notamment dans des pays tels que la France, le Royaume-Uni, l'Allemagne, les USA, ne semble pas avoir trouvé ses choux gras de cet événement. Il est certain que ce texte a été perçu et jugé par les pays du bloc BAO non sur sa signification propre, mais comme une manœuvre de communication de la Russie pour les obliger à se rapprocher de leur narrative (celle des Russes), et c'est sans aucun doute en partie le cas, - celui d'un acte de "guerre de communication" de la Russie ; il n'empêche qu'un texte à l'ONU est un texte à l'ONU, il a aussi et principalement sa signification propre qui, en plus pour le propos, renvoie à une vérité de situation en Ukraine.. Alors, dans ce dernier cas du point de vue, qui est l'imprescriptibilité du texte, le vote de l'ONU présente des distorsions si extrêmes, des positions si faussaires par rapport aux normes de nombre de pays concernés, par rapport à ce qui est pour eux leur "catéchisme antinazi", qu'on ne peut que renouveler en l'aggravant encore plus l'analyse que nous donnions dans notre texte du 3 octobre 2014 (« L'Ukraine à svastika découverte »)... Ce texte où nous écrivions notamment :
« Il nous paraît évident qu'une telle évolution représente un immense danger pour le bloc BAO, dans ce qui lui tient lieu de forces essentielles : la fabrication des faux-symboles (des symboles-simulacres) pour substantiver, dans le cadre du système de la communication, sa narrative générale, - et, dans ce cas, plus qu'une fantasy-narrative, il s'agit d'une metaphysical-narrative. Le point principal au départ de ce raisonnement est qu'il nous a paru toujours extraordinaire, dans le cadre de la crise ukrainienne et depuis que cette crise est arrivée à maturité, qu'une affirmation de communication aussi visible (insignes, formations, cérémonies, etc.) d'une tendance nazie puisse bénéficier d'un soutien du bloc BAO. Dans le bloc BAO, le fait nazi, avec tous ses symboles et ses images, avec surtout la charge formidable et terrible qui pèse sur lui d'être le concepteur, l'organisateur et l'exécutant de l'Holocauste, constitue un fait de communication, - à la fois politique, culturel, psychologique, etc., - d'une importance absolument considérable... » - D'une certaine façon, oblique mais correspondant bien aux consignes du Système, on comprendrait aussi bien que les USA (ni l'Ukraine, évidemment) n'aient pas voté cette résolution antinazi, lorsqu'on mesure l'importance du rôle tenu par Dimitri Iaroch, chef du groupe Pravy Sektor et de toutes les unités para-militaires qui en sont issues, dans le contrôle et l'évolution de l'Ukraine-Kiev qui sied à ce qui tient lieu de politique US. L'historien US Eric Zuesse fait un portrait saisissant de la situation en Ukraine sous la direction effective de Iaroch, - car, effectivement, c'est bien la thèse qui est présentée. Le portrait dressé dans notre texte du 3 octobre 2014 déjà cité n'a fait que se durcir, démentant complètement les thèses initiales qui faisaient des groupes nazis et ultranationalistes les instruments et autres "idiots utiles" des libéraux globalistes chargés de prendre le pouvoir à Kiev... (Dans Washington's blog, le 20 novembre 2014.)
« Toutefois, Yarosh s'est avéré être le leader actuel de l'Ukraine, bien qu'il ne le soit pas officiellement. [...] Les équipes de Yarosh exécutent les opérations les plus violentes pour le compte de la CIA en Ukraine (y compris le coup d'État). Puisque ces personnes sont réellement spécialisées dans ce genre d'opération politique, Yarosh est de fait aux commandes du pays. L'Ukraine est désormais gérée par la peur, et tout le monde craint Dmitriy Yarosh. Même les autres dirigeants de l'Ukraine le craignent. Il est même parfois choquant de le voir menacer si ouvertement jusqu'au président de la nation. Yarosh est la seule personne qui puisse se le permettre ».
Après cette revue variée qui montre l'extraordinaire désordre de l'indécence de l'aveuglement de ce que nous nommons le bloc BAO (surréalistiquement mis en évidence par l'hyper-désordre et l'indécence internationale du vote onusien), tous les avis, pourvu qu'ils soient crépusculaires, méprisants et sans la moindre nuance nécessaire, ont leur place. Par exemple, pour poursuivre un texte déjà cité à propos du vote effectivement surréaliste et même stratosphérique de l'ONU sur la gloire du nazisme, ce jugement du Saker voyant, ces derniers jours et ces dernières semaines « de plus en plus de signes d'un dégoût profond de la part des Russes à l'endroit de l'Occident. Si, par le passé, les diplomates et politiciens russes essayaient de rester polis, ils ne se gênent plus pour exprimer leur dégoût... », - dégoût, si l'on veut, ou bien exaspération méprisante, ou bien mépris ironique, ainsi de suite ? Les mots nous manquent puisque, effectivement, il s'agit d'une politique robotisée, par définition hors de toute appréciation critique prenant pour référence une "vérité de situation" ; il s'agit de la politique-Système lancée en pleine surpuissance, avec cette surpuissance qui ne permet plus à personne de ceux qui s'y soumettent de consulter ni même de conserver ses références, y compris les références des narrative antifasciste, antinazi, etc. Cela nous conduit à un comble de l'inversion puisque tous les régimes du bloc BAO ont construit leur pseudo-légitimité sur une métaphysique-simulacre adoubant ces diverses valeurs de l'antifascisme, antinazisme, etc. (voir toujours notre texte du 3 octobre 2014, avec notamment le concept de "métaphysique de l'Holocauste").
Il est difficile de donner un avis mesuré sur ces événements divers, - l'indignation ou l'ironie étant certes bienvenues, mais insuffisantes. Il faut donc procéder par perception, fondée autant sur l'expérience que sur les références qui nous restent, à nous. Le désordre devenant hyper-désordre et l'inversion multipliée sont la règle du comportement du bloc BAO, qui ne semble plus apte à comprendre exactement la substance de ce qu'il fait, et notamment incapable d'en comprendre ni les conséquences même à moyen-court terme, ni les significations les plus évidentes. Tout cela se déroule sur un fond de malaise et de mécontentement intérieurs qui ne cessent de grandir, qui se généralisent dans divers pays du bloc, sous des formes différentes, accentuant la contraction de la vision des dirigeants du bloc BAO sur ce qui leur sert de politique. En un sens ce n'est plus "Y a-t-il un pilote dans l'avion ?", mais plutôt "il y a foultitude de pilotes dans l'avion mais l'avion ne répond qu'à un pilote automatique auquel personne ne comprend rien".
Face à cela, les Russes, qui gardent la tête froide, sont à la fois stupéfiés, dégoûtés si l'on veut, mais aussi amenés, nolens volens, à accentuer évidemment la seule "tactique" possible de leur stratégie naturelle, - celle du poing fermé, comme on a vu plus haut. Eux non plus ne choisissent pas, eux aussi sont en quelque sorte prisonniers de la politique-Système qui emporte leurs "partenaires" devenus adversaires absolument incohérents et incompréhensibles selon la rationalité politique. Cette appréciation n'a rien à voir avec un jugement de valeur sur les Russes, et tout à voir de façon très différente avec une mécanique politique où la métahistorique imprime sa marque, qui est le caractère fondamental de la grande scène où se déroule aujourd'hui le théâtre complètement fou et absurde de la politique du monde. Ils (les Russes) sont là pour exacerber la plongée du bloc BAO dans son hyper-désordre psychologique et son incompréhension totale de lui-même, ils sont là pour accélérer l'aggravation de toutes ces conditions d'incontrôlabilité. Ils jouent un rôle historique, voire métahistorique, qu'ils auraient sans doute préféré éviter, qui est celui du fameux chiffon rouge agité devant le taureau furieux, pour que le taureau ne cesse d'être encore et toujours plus furieux, jusqu'à ce qu'il s'encorne lui-même par une manœuvre invertie dont il a lui seul le secret, - passez muscade, de la surpuissance à l'autodestruction... (Que le taureau, cette noble bête, nous pardonne d'abuser de ses caractères pour décrire le comportement du bloc BAO ; le bloc BAO est un taureau absolument furieux mais aussi un taureau absolument stupide, ce qui le différencie décisivement de la noble bête, qui n'est pas si bête que cela...)
La NSA a suivi des appels de 35 dirigeants du monde après US officiels aient remis contacts
• Agence a donné plus de 200 numéros par fonctionnaire du gouvernement • NSA encourage les ministères à partager leur «Rolodexes de • la surveillance produit «peu d'intelligence», reconnaît
James Ball The Guardian ,Vendredi 25 Octobre 2013
L'Agence nationale de sécurité a surveillé les conversations téléphoniques de 35 dirigeants du monde après avoir reçu les numéros par un fonctionnaire dans un autre ministère du gouvernement américain, selon un document classé fourni par le dénonciateur Edward Snowden.
La note confidentielle révèle que la NSA encourage les hauts fonctionnaires de ses services «clients», comme la Maison Blanche, l'Etat et le Pentagone, à partager leurs "Rolodex" si l'agence peut ajouter les numéros de téléphone des dirigeants politiques étrangers à leur surveillance systèmes .
Le document note que l'un officiel américain anonyme a remis plus de 200 numéros, y compris ceux de 35 dirigeants du monde, dont aucun n'est nommé. Ils ont été immédiatement "chargés" pour la surveillance par la NSA .
La révélation est réglé à ajouter à la montée des tensions diplomatiques entre les Etats-Unis et ses alliés, après que la chancelière allemande Angela Merkel mercredi ait accusé les Etats-Unis de puiser son téléphone portable .
Après les allégations de Mme Merkel est devenue publique, la Maison Blanche Jay Carney a publié une déclaration disant que les Etats-Unis "n'a pas suivi et n'a pas contrôlé" les communications de la chancelière allemande. Mais cela n'a pas réussi à apaiser la ligne, en tant que fonctionnaires à Berlin rapidement souligné que les États-Unis ne nient pas suivi le téléphone dans le passé.
En arrivant à Bruxelles pour un sommet de l'UE Merkel a accusé les Etats-Unis d'un abus de confiance. "Nous devons avoir confiance en nos alliés et partenaires, et cela doit maintenant être établie une fois de plus. Je répète que l'espionnage entre amis n'est pas du tout acceptable contre quelqu'un, et cela vaut pour tous les citoyens en Allemagne."
Le NSA mémo obtenu par le Guardian suggère que cette surveillance n'était pas isolé, que l'agence surveille régulièrement les numéros de téléphone des dirigeants de la planète - et demande l'aide d'autres responsables américains à le faire même.
La note de service, datée du Octobre 2006 et qui a été délivré au personnel dans les signaux de l'organisme Direction du renseignement (SID), a été intitulé "les clients peuvent aider SID obtenir des numéros de téléphone ciblables".
Il commence par énoncer un exemple de la façon dont les responsables américains qui mélangés avec les dirigeants du monde et les politiciens pourraient aider à la surveillance de l'agence.
"Dans une affaire récente," les notes mémo, "un responsable américain à condition NSA avec 200 numéros de téléphone à 35 dirigeants du monde ... Malgré le fait que la majorité est probablement disponible via l'open source, les PC [centres de production du renseignement] ont noté 43 numéros de téléphone inconnus auparavant. Ces chiffres ainsi que plusieurs autres ont été chargés. "
Le document poursuit en disant que les nouveaux numéros de téléphone avaient aidé l'agence découvrir encore plus de nouveaux détails de contact à ajouter à leur suivi: «Ces chiffres ont fourni des informations à d'autres numéros de plomb qui ont par la suite été chargés."
Mais la note reconnaît que l'écoute sur le nombre avait produit "peu d'intelligence à déclarer». Dans le sillage de la ligne Merkel, les Etats-Unis face à la critique internationale croissante que tout avantage de l'intelligence de l'espionnage sur les gouvernements amis est largement compensé par les dommages diplomatique potentiel.
La note demande alors analystes à penser à tous les clients qu'ils desservent actuellement qui pourraient même être heureux de tourner sur des détails de leurs contacts.
«Ce succès mène S2 [le renseignement] à se demander s'il y a des NSA liaisons dont les clients pris en charge peuvent être disposés à partager leurs «Rolodex» ou listes téléphoniques avec la NSA comme des sources potentielles de l'intelligence », il déclare." S2 accueille cette information! "
Le document suggèrent que, parfois, ces offres sont non sollicités, avec US "clients" offrant spontanément l'accès agences à leurs réseaux à l'étranger.
"De temps en temps, SID est offert l'accès aux bases de données personnelles de responsables américains," il déclare. »Ces« Rolodex »peuvent contenir des informations de contact pour les dirigeants politiques ou militaires étrangers, d'inclure ligne directe, fax, résidence et numéros de cellulaire."
The Guardian a approché le gouvernement Obama pour commentaire sur le dernier document. Les fonctionnaires ont refusé de répondre directement au nouveau matériel, la place se référant aux commentaires fournis par Carney au briefing quotidien de jeudi.
Carney a déclaré aux journalistes: "Le [NSA ] révélations ont clairement provoqué des tensions dans nos relations avec certains pays, et nous avons affaire à ce que par la voie diplomatique.
«Ce sont des relations très importantes à la fois économiquement et pour notre sécurité, et nous travaillerons à maintenir les liens les plus étroits possibles."
L'accusation publique d'espionnage sur Merkel ajoute à la montée des tensions politiques en Europe à propos de la portée de la surveillance des États-Unis sur les gouvernements de ses alliés, après une cascade de jeux et appels téléphoniques avec les dirigeants apologétiques sur le continent au cours de la semaine.
Interrogé mercredi soir si le NSA avait dans le passé suivi les communications de la chancelière allemande, Caitlin Hayden, porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, a déclaré: "Les Etats-Unis ne surveille pas et ne sera pas de surveiller les communications de la chancelière Merkel Au-delà de cela, je ne suis pas dans une mesure de commenter publiquement sur chaque activité spécifique de l'intelligence présumée. "
Au briefing quotidien jeudi, Carney a de nouveau refusé de répondre aux questions répétées quant à savoir si les États-Unis avait espionné sur les appels de Mme Merkel dans le passé.
Le NSA mémo vu par le Guardian a été écrit à mi-parcours du second mandat de George W. Bush, Condoleezza Rice, lors était secrétaire d'État et Donald Rumsfeld était dans ses derniers mois en tant que secrétaire de la défense.
Merkel, qui, selon Reuters, soupçonné de la surveillance après avoir trouvé son numéro de téléphone mobile écrit sur un document des États-Unis, aurait appelé pour la surveillance des États-Unis à être placé sur une nouvelle base juridique au cours d'un appel téléphonique au président Obama.
"Le [allemand] gouvernement fédéral, comme un proche allié et un partenaire des États-Unis, s'attend à l'avenir une base contractuelle claire pour l'activité des services et de leur coopération", a t-elle dit au président.
Le chef du Parti vert de l'Allemagne, Katrin Goring-Eckhart, appelé le prétendu espionnage une «violation sans précédent de la confiance" entre les deux pays.
Plus tôt dans la semaine, Obama a appelé le président français François Hollande en réponse aux rapports dans Le Monde que la NSA accessible plus de 70 millions d'enregistrements téléphoniques de citoyens français en une seule période de 30 jours, tandis que les rapports précédents dans Der Spiegel ont découvert l'activité NSA contre les bureaux et les communications de hauts fonctionnaires de l'Union européenne .
La Commission européenne, l'organe exécutif de l'UE, cette semaine a soutenu les propositions qui pourraient obliger les entreprises de technologie de demander la permission avant de remettre les données de citoyens de l'UE aux agences de renseignement américaines, tandis que le Parlement européen a voté en faveur de la suspension d'un partage de données de la banque transatlantique accord après Der Spiegel a révélé l'agence surveillait la Swift de système de virement bancaire international.
Le montant du butin s'élèverait à 126 000 €. Pas un coup de feu n'a été tiré. Normal. Le braqueur c'est l'État. L'arme du crime, la taxe foncière.
Le Progrès du 22 novembre 2014 nous apprend que le fisc a commis une erreur dans l'avis d'imposition concernant la taxe foncière qui a été envoyé à 21 000 contribuables. Plusieurs personnes, s'apercevant de l'erreur, ont naturellement pris contact avec les services fiscaux pour se faire rembourser. Que croyez-vous qu'il arriva ? Rien. Ou plutôt si. Dégage. Non mais, vous vous prenez pour qui ? Vous croyez que l'État va se rabaisser à rembourser des sommes indûment encaissées ? Vous rêvez ?
Comment est-ce possible ?
Heureux hasard pour les services fiscaux, « l'erreur » d'imposition est de quelques euros par contribuable et inférieure à 8 €. Pourquoi 8 € ? Tout simplement parce que le Code Général des Impôts, dans son article 1965 L, prévoit que: « Les dégrèvements ou restitutions de toutes impositions ou créances fiscales d'un montant inférieur à 8 € ne sont pas effectués. »
Et hop, le tour est joué. Voici comment prendre de l'argent de la poche de 21 000 personnes en toute impunité. « L'erreur » moyenne serait d'environ 6 €. Le fisc empocherait ainsi 126 000 €. Sans tirer un coup de feu. Magnifique, non ? Cette histoire à dormir debout se passe dans l'Ain. Dans combien d'autres départements les services fiscaux ont-ils ainsi commis une « erreur » inférieure à 8 € ?
Cahuzac, ancien ministre socialiste du budget chargé de la lutte contre la fraude fiscale qui possédait des comptes en Suisse se marre. Thévenoud, ancien ministre socialiste qui souffrait de « phobie administrative » est plié de rire. Le Guen, secrétaire d'État aux relations avec le parlement qui avait minoré sa déclaration de patrimoine s'en tape sur le ventre. Hollande qui avait annoncé qu'il n'y aurait plus d'impôt supplémentaire sur qui que ce soit a des crampes d'estomac tellement il se marre.
Il paraît que le Ministère des Finances, lui, trop content d'avoir trouvé un nouveau filon, envisage de diffuser une note à tous les services fiscaux pour majorer de 7.99 € tous les avis d'imposition envoyés aux Français pour les 3 années à venir. Non, je plaisante. Quoi que...
0,004% de la population s'accaparent 13% de la richesse du monde
par Audrey Duperron 25 nov. 2014
13% de la richesse du monde sont concentrés entre les mains de 0,004% de la population du monde, indique un nouveau rapport, publié par la banque suisse UBS et le cabinet de consultance Wealth-X, et intitulé « The World Ultra Wealth Report 2014 ».
Il précise que dans le monde, on a recensé cette année 211 275 individus ultra-riches (« Ultra-high net worth », ou UHNW), c’est-à-dire, qui disposent d’une fortune d'au moins 30 millions de dollars, ce qui implique une augmentation de 6% par rapport à l'année dernière, et établit un nouveau record. D'ici 5 ans, leur nombre sera porté à 250 000.
Parmi ces personnes, on dénombre 2325 milliardaires, soit une hausse de 7,1% par rapport à 2013. Et ce n’est pas fini, puisque selon le rapport, leur nombre pourrait grimper à 4 000 d'ici la fin de cette décennie.
L'étude montre que la fortune moyenne des ultra-riches a augmenté de 77% depuis l’année dernière, et qu’elle atteint désormais 112 millions d'euros. On compte 1 « UHNW » pour 35 000 personnes dans le monde, ce qui correspond à une concentration de 0,004% de la population.
« En dépit des conflits géopolitiques, des conflits socio-économiques et de la volatilité des marchés financiers, les marchés boursiers ont affiché de fortes performances, permettant de ce fait au fortunes des individus ultra-riches de croître et d’étendre leur influence sur les secteurs et les industries, que ce soit au travers de leur importance pour la gestion de fortune, ou de leur consommation de produits de luxe », ont écrit les chercheurs. « Une telle concentration de richesse dans les mains de quelques individus signifie qu’ils ont tendance à avoir une large influence, que ce soit sur les marchés boursiers internationaux ou dans des industries spécifiques », ajoutent-ils.
Le rapport montre que 30% des ultra-riches résident en Amérique du Nord, 25% d’entre eux en Europe, et 23% en Asie. Actuellement, on compte 44 505 ultra-riches en Asie, et ils possèdent une fortune cumulée de 6.600 milliards de dollars, contre 58 065 d'ultra-riches en Europe avec un patrimoine combiné de 7 700 milliards de dollars. Cependant, dans ce domaine, l’Asie devrait rattraper l’Europe en 2017, selon le rapport.
Il observe également que les hommes représentent 87% de la population totale des ultra-riches, et que plus de 64% sont des self-made men, c’est à qui se sont enrichis seuls, tandis que 13% ont hérité de leur fortune. En revanche, pour les femmes, l’héritage est le principal moyen d’accès à la richesse, et seulement 33% d’entre elles sont des « self-made women », contre 50% qui avaient hérité de leur fortune.
Les chercheurs ont également noté que les ultra-riches dépensaient en moyenne individuellement 800 000 euros par an en produits et services de luxe.
Attention, il y a fortune et 'fortune' ! Au-delà d'une 'certaine somme', les riches ne regardent plus, donc, ils sont près à acheter du Picasso pour des millions alors qu'un enfant de 4 ans peut en faire autant pour gratis, bref, donc, à dire qu'une voiture coûte la somme astronomique de... est se foutre de la gueule du monde tant la marge peut être importante ! Donc, de dire que quelqu'un est miliardaire... "Tu l'as acheté combien cette merde ?.... Whooôôaââh ! eh bêh, ils ne se sont pas foutu de ta gueule ! Hahahaha !"
Pas encore dans le monde entier: les internautes 3 milliards, mais la population mondiale moitié encore hors ligne
25 Novembre, 2014 14:16
Les comptes mondiaux de la population en ligne maintenant est de plus de 3 milliards de personnes, rapporte une agence de l'ONU. Comme l'accès à l'infrastructure informatique s'améliore, des milliards de personnes - 90 % d'entre eux dans les pays en développement - restent hors ligne.
l'utilisation d'Internet se développe à un taux de 6,6 % en 2014, des chercheurs de l'Union internationale des télécommunications (UIT) ont signalé.
UIT, l'agence des Nations Unies responsable de l'élaboration de l'information et de la technologie de communication, a publié un rapport annuel «Mesurer la société de l'information" rapport lundi.
Selon des données récentes, l'utilisation d'Internet a vu 8,7 % "dynamique" la croissance dans les pays développés et la croissance de 3,3 % en pays en développement. Cependant, les derniers pays abritent les deux tiers des utilisateurs d'Internet, avec leur nombre doubler dans les cinq années 2009-2014.
Pourtant, plus de 4,3 milliard de personnes ne sont pas en ligne.
- voir clip sur site -
L'organisation a déclaré que 2,5 milliard de personnes vivent dans 42 pays les moins connectés du monde, en particulier dans leurs grandes zones rurales, sont largement hors de la portée de la technologie et de l'infrastructure.
Dans le cadre du plan de l'UIT »Connect 2020 Agenda pour mondial de télécommunications / TIC développement», l'UIT a exprimé une idée pour aider à apporter encore 1,5 milliards de personnes en ligne en 2020.
«Les TIC ont le potentiel de faire du monde un endroit beaucoup mieux - en particulier pour ceux qui sont les plus pauvres et les plus privés de leurs droits, y compris les femmes, les jeunes et les personnes handicapées», a déclaré le secrétaire général de l'UIT Hamadoun I. Touré dans le déclaration .
«Ce rapport important, ce est une partie essentielle du processus global de développement des TIC. Sans mesure nous ne pouvons pas suivre les progrès, ce est pourquoi l'UIT rassemble statistiques sur les TIC pour 200 économies à travers plus de 100 indicateurs ", a t-il ajouté.
Qui plus est, le rapport, comme d'habitude, fait une liste de 166 pays, en fonction de leur indice de développement des TIC. Il mesure leur niveau de IT accès, l'utilisation et les compétences. Le Danemark en tête de liste, suivie par la Corée du Sud, le chef de file de l'année précédente.
La domination européenne a été soutenue par la troisième place de la Suède, suivie par l'Islande et la Grande-Bretagne. Les États-Unis est venu 14e, tandis que la Fédération de Russie se trouve à la 42e. Les taux les plus élevés d'amélioration régionales de l'année écoulée ont été présentés par l'union des anciennes républiques soviétiques (la Communauté des Etats indépendants) et les Etats arabes.
La croissance soutenue des utilisateurs d'Internet »a été traduit par une forte augmentation du volume de contenu en ligne," selon le rapport. Il soutient cette idée avec les chiffres suivants: plus de 100 heures de contenu vidéo sont téléchargés chaque minute sur YouTube, qui est maintenant le plus grand service de partage de vidéos au monde.
Remarquablement, il y aura 7 milliards d'abonnements mobiles d'ici la fin de 2014, selon les estimations. Bien que ce nombre correspond à peu près à la population mondiale totale, il ne signifie pas que - enfin - tout le monde est connecté, que de nombreux utilisateurs ont plusieurs abonnements.
Selon les estimations de l'UIT, 450 millions de personnes sont hors de portée du service cellulaire mobile. Mais l'organisation estime que la part du total mondial de la bande passante internationale pays en développement a augmenté de seulement 9 % en 2004 à plus de 30 % en 2014.
La France paiera à la Russie une compensation pour les Mistral (Tchijov)
Par La Voix de la Russie
La Russie n’a pas l’intention de supplier Paris de lui fournir les porte-hélicoptères de catégorie Mistral et met en garde la France du fait que ce contrat, s’il n’est pas réalisé, risque de coûter cher à la France. C’est ce qu’a déclaré le représentant permanent de la Russie auprès de l’UE Vladimir Tchijov en commentant la déclaration de l’Elysée concernant la suspension du processus de transfert à la Russie du porte-hélicoptères.
« Si cette décision est définitive, cela risque de coûter plus cher à la France que le prix des deux porte-hélicoptères, et même plus cher que le montant des compensations que la Russie touchera pour la non-réalisation du contrat. C’est la réputation de la France et son prestige en tant que partenaire commercial en matière de l’armement, qui sont en jeu », a déclaré Tchijov. Ce mardi le président français François Hollande a déclaré que le transfert du premier porte-hélicoptères à la Russie est suspendu à cause de la situation en Ukraine.
Russie loi les modifications pour permettre au canon pour l'autodéfense ?
Par Dean Weingarten AmmoLan 25 novembre 2014
Arizona - ( Ammoland.com ) - Lien vers la vidéo de Maria Butina à la réunion Texas NRA.
En 2010 , il a été signalé que le Parlement russe envisageait desserrant la loi russe sur la légitime défense, pour permettre Russes qui propres armes à feu légalement pour leur exécution aux fins de légitime défense. Le ministre de la Justice de Russie, Alexander Konovalov était fermement contre la possibilité.
En 2013, il a été rapporté que l'organisation russe, le droit de porter des armes, n'avait que 1 000 membres. Elle a été fondée par Maria Butina, la vieille rousse de 24 ans sur la photo dans la vidéo et au-dessus.
- voir clip sur site - Nous apprenons maintenant que la loi russe a été modifiée pour permettre à la population civile pour porter d'armes létales pour l'autodéfense. De sputnicknews.com, le 18 Novembre 2014:
MOSCOU, le 18 Novembre (Spoutnik) - La Russie a mis à jour sa législation pour permettre aux civils de porter des armes à feu pour se défendre, selon un décret modifié sur les armes létales qui sont apparus mardi sur la base de données officielle de lois russes et des documents juridiques.
Il ne est pas clair exactement qui sera en mesure de se qualifier pour posséder des pistolets, par exemple. Il ne est pas impossible d'obtenir un permis de possession un fusil de chasse en Russie, mais une personne doit être un propriétaire de fusil de chasse pendant plusieurs années avant de pouvoir acheter un fusil.
La modification de la loi est probablement liée à une pétition présentée par plus de 100 000 Russes pour permettre armes à feu doit être utilisé pour défendre leurs résidences. La pétition a été présentée en Février 2014, pour la troisième fois. Il y a, dit-on de cinq millions d'armes à feu légales propriétaires en Russie, mais il ya beaucoup plus que les propres armes à feu sans sanction légale.
Le mouvement pour créer un droit de porter les armes est assez jeune en Russie, mais il a remporté une victoire importante. Il a été rapporté que la nouvelle loi ne se applique qu'aux armes d'épaule extérieur de la maison, dans des circonstances particulières. Un correspondant russe écrit que la loi ne autorise pas la propriété des armes de poing, et que les changements sont les bienvenus, mais mineur.
Documents américains piratés censés révéler l'étendue de la non-« Lethal Aid » pour l'armée d'Ukraine
Soumis par Tyler Durden le 25/11/2014 14:46-0500
Il a été une demi-année, puisqu'elle a été révélée que les États-Unis a été à l'envoi d'aide non létales pour l'Ukraine : Rappelons que c'est en Début juin quand Obama a annoncé qu'il avait approuvé $ 5 millions dans les gilets pare-balles, de lunettes de vision nocturne et de matériel de communication supplémentaires pour l'armée ukrainienne.
Depuis lors, le sujet d'armer l'armée de l'Ukraine dans sa guerre civile contre la région séparatiste de l'est ou non a été un sujet d'actualité dès aujourd'hui, lorsque VOA a signalé que "vice-président américain Joe Biden a condamné ce qu'il appelle"L'agression de la Russie"en Ukraine, mais s'arrêta de dire Qu'aux États-Unis fournira l'Ukraine avec lethal aid...le candidat de la maison blanche pour combler le poste numéro deux au département d'Etat a dit que les États-Unis devrait envisager de matériel militaire meurtrier en Ukraine".
Toutefois, comme ces derniers temps a été un thème récurrent, l'administration Obama peut-être pas exactement honnête avec le public ou les faits. Du moins, c'est la conclusion basée sur piraté documents publié plus tôt aujourd'hui par le groupe de hackers ukrainiens CyberBerkut, qui révèlent que malgré les assurances du contraire, aux États-Unis en effet offre une aide substantielle létale aux forces armées de l'Ukraine.
Sous forme de rapports Sputniknews, « selon les pirates, les renseignements ont été obtenus au cours de la visite des États-Unis vice-président Joe Biden en Ukraine la semaine dernière, quand ils étaient en mesure d'accéder à des documents confidentiels de département d'état via un appareil mobile d'un membre de la délégation américaine. »
"Après examen de juste un plusieurs fichiers il y a l'impression que l'armée ukrainienne est la branche des Forces armées des américaines. Le volume de l'aide financière américaine frappe par son ampleur. Ils montrent également le plus haut niveau de dégradation des Forces armées ukrainiennes. En outre, des milliers de dollars allument sur les comptes personnels des militaires et utilisent par certains officiers en besoins personnels. Ce que les contribuables américains dira ?" indique le communiqué publié sur l'officiel page web CyberBerkut .
Désolé, mais les contribuables américains sont trop occupés à d'autres plus pressantes, que la police comment leur gouvernement dépense leur argent. D'autres documents publiés par les pirates informatiques indiquent que Washington est prêt à fournir à l'Ukraine "des fusils de 400 unités de tireur d'élite, les 2 000 unités de fusils d'assaut, lance-grenades de 720 main, près de 200 mortiers et plus de 70 000 obus pour eux, 150 stingers et 420 missiles antichar."
La divulgation de documents présentés ci-dessous n'ont pas été vérifiées afin de prendre avec un grain de sel, même s'il est utile de rappeler que c'était une fuite piratée de conversation de Victoria Nulan en février 2014 qui a révélé cette mesure des coulisses de l'ingérence étrangère par le département d'état des nous dans les affaires intérieures de l'Ukraine juste avant le coup d'État présidentiel.
- voir fac-similé sur site -
Le commandement de la marine nous demande de parrainer des officiers ukrainiens pendant des exercices militaires dirigés par le Pentagone sur le territoire de l'Ukraine
- voir fac-similé sur site -
Document montrant prétendument une ordonnance qui a l'US Dept of Defense « don » des dizaines de millions pour l'Ukraine les achats d'équipement défensif américain.
- voir fac-similé sur site -
L'armée Académie nommée après Hetman Petro Sagaydachnyi demande pour couvrir les dépenses de l'exercice pour les repas et faux frais d'onze officiers et un civil
- voir fac-similé sur site -
Ces documents ci-dessous montrent les signatures de Barak Obama et de John Kerry. Les États-Unis fournira des Forces armées ukrainiennes avec radars de mortier
- voir fac-similé sur site -
400-fusils de sniper, 2 000-fusils d'assaut, 720 lance-grenades portatifs 200 mortiers avec plus de 70 000 mines, 150 stingers, 420 missiles antichars et ainsi de suite
- voir fac-similé sur site -
Les Forces navales de l'Ukraine recevoir l'équipement pour 150 plongeurs de combat
* * * Le pdf suivant est censée contenir la liste la plus complète de l'aide militaire américaine à l'Ukraine (lien)
La Russie, l'Arabie Saoudite, le Mexique, le Venezuela décident de ne pas couper la production de pétrole
26 Novembre 2014 00:22
Des délégations de Russie, l'Arabie Saoudite, le Mexique et le Venezuela se sont réunis pour la première fois dans un tel format pour des entretiens à Vienne pour discuter rapidement la baisse des prix du pétrole. Le groupe a convenu de surveiller les prix pour une année
Les ministres de l'énergie n'ont pas convenu de réduction de la production de pétrole, que ces accords ne peuvent être atteints au cours des réunions de l'OPEP, le ministre vénézuélien des Affaires étrangères, Rafael Ramirez, a déclaré à la suite des discussions tenues au Park Hyatt à Vienne le mardi. Il a ajouté que le groupe estime également que les prix actuels du pétrole sont trop faibles, et nommé un juste prix à 100 $ le baril. Le ministre de l'Énergie de la Russie Aleksandr Novak et Igor Sechin, la tête de la compagnie pétrolière d'Etat Rosneft, a assisté à la réunion. Sechin a déclaré que le groupe a convenu de surveiller les prix pendant l'année et éventuellement rencontrer dans le même format chaque trimestre. Bien que le prix du pétrole a chuté à près de 40 $ le baril au cours des cinq derniers mois, ce est " pas critique "la tête Rosneft a dit aux journalistes. "Nous pouvons déplacer la période de certain capital-intensive mise en œuvre projets. Mais bien sûr, il aura une incidence sur le niveau global de l'approvisionnement en pétrole ", a t-il ajouté. Il a dit que Rosneft a déjà réduit sa production de 25 000 barils par jour. Cependant, cela a été fait en raison d'une augmentation de l'efficacité de la production et l'efficacité de la les actionnaires de la société, ainsi que les modalités de distribution du marché, Sechin dit. Les discussions inattendues viennent au milieu d'une baisse d'environ 30 pour cent des prix du pétrole depuis Juin. Pendant ce temps, les ministres des pays membres de l'OPEP, qui ne incluent pas la Russie et le Mexique, sont prévues pour réunir jeudi à Vienne.
L'expert en pétrole et de gaz au cabinet international de conseil en management AT Kearney, Joerg Doerler, dit RT que parmi les facteurs qui influent sur le marché mondial du pétrole est la production de réserves de schiste aux États-Unis.
"Un autre facteur très important influençant la dynamique dans le marché mondial du pétrole est le côté de la demande, où le développement économique est très faible en Europe et en Chine. Donc, tant que cela n'a pas été résolus, je pense que les prix du pétrole restent au niveau où ils sont ", a t-il dit.
La Maison Blanche restreint la liberté de la presse aux Etats-Unis (rapport)
Par La Voix de la Russie
Les journalistes qui travaillent avec les autorités des Etats-Unis, parlent des difficultés d’accès aux informations des structures gouvernementales et évoquent des restrictions concernant la liberté d'expression. C’est ce qui a été indiqué dans le rapport sur les droits de l’Homme 2014, publié par l’Institut de la démocratie et de la coopération. Les auteurs du rapport soulignent que la réalité des choses aux Etats-Unis ne donne aucune raison d’affirmer que les obstacles qui se créent dans le travail des journalistes, font partie de la politique délibérée de l'exécutif américain . Selon eux, les forces politiques, qui pourraient se battre de manière efficace pour l’amélioration de la situation, ne sont pas suffisamment nombreuses, mentionne le document.
L'Europe développe un système dénonciation anonyme
24.11.2014 | Source: Pravda.Ru
Les autorités municipales de la capitale danoise ont introduit le système de dénonciation anonyme. Les fonctionnaires de la municipalité de Copenhague disent que l'initiative a reçu une réponse positive de la population de la capitale danoise, y compris 81 pour cent des syndicats. En outre, le système a déjà démontré son efficacité, rapporte RT.
Un représentant de la municipalité de Copenhague a déclaré que l'introduction du système a été considérée comme une réussite, car il a fourni un canal d'information pour les autorités, mais dont ils seront en mesure d'obtenir les informations qu'ils ne pouvaient pas recevoir d'esprit utilisation d'autres méthodes avant, pour régler des problèmes existants.
Au cours des deux dernières années, les citoyens locaux ont été encouragés à signaler toute activité suspecte au bureau du maire de la ville. Pendant ce temps, les autorités ont reçu 84 messages. Deux tiers d'entre eux étaient liés à des activités illégales ou de graves violations de la loi, rapporte TASS.
Les Etats-Unis fait à ce que la France ressemble à un lèche-bottes de Washington
25.11.2014
La France a reporté encore une fois la livraison de la première Mistral porteuse type d'hélicoptère en Russie. Le président français François Hollande a décidé de suspendre le transfert du navire en raison de la situation en Ukraine, rapporte RIA Novosti en référence à l'Elysée.
"Le Président de la République estime que la situation actuelle dans l'est de l'Ukraine ne autorise toujours pas la livraison de la première Mistral à la Russie. À cet égard, il a jugé nécessaire de reporter la question sur l'autorisation de remettre le premier Mistral à la Russie, "un message de service du président français de presse dit.
Le premier navire d'assaut amphibie Mistral, "Vladivostok", devait être remis à la marine russe sur Novembre 14. Les Etats-Unis se oppose avec véhémence à la livraison du navire à la Russie. Paris, à son tour, a déclaré à plusieurs reprises que la France est obligée d'exécuter le contrat avec la Russie.
Vadim Gorshenin, le Président du Conseil d'administration Pravda.Ru, a écrit sur sa page Facebook le 20 Novembre que la France préfère rompre le contrat, plutôt que de décevoir son partenaire américain:
"La France a pris une décision très audacieuse sur le Mistral, étant donné l'impact de cette décision sur l'économie et d'autres aspects. Si je comprends bien, les États a finalement gagné le combat à convaincre les Français de ne pas livrer Mistral à la Russie. Tout semblait être bien, que la Russie recevrait son argent, plus les pénalités de France. Cependant, Kerry voulait plus. Il voulait régler le français jusqu'à les faire ressembler à des partenaires malhonnêtes et publiquement soulignent le fait qu'ils sont les lèche-bottes de Washington. De Gaulle doit se retourner dans sa tombe cause de l'humiliation du pays qu'il a utilisé pour mener ... "
La Russie agira strictement selon le contrat dans le contexte de la situation actuelle. La Russie va poursuivre la France, si ce dernier ne parvient pas à exécuter les obligations contractuelles, sous-ministre de la Défense de la Russie Yuri Borisov dit, rapporte TASS. Le fonctionnaire a également déclaré que Moscou demander des sanctions du côté français.
Le chef de la commission des affaires de la CEI de la Douma, Leonid Slutsky, a déclaré que si la Russie a déposé une plainte contre la France devant la Cour d'arbitrage de Stockholm dans le cadre de la décision sur les navires Mistral, la Russie allait gagner l'action immédiatement, RIA Novosti rapports.
Dans la matinée du 24 Novembre, le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius a déclaré que "les conditions pour la livraison ne ont pas été respectées pour des raisons évidentes." Selon lui, "il suffit de regarder ce qui se passe aujourd'hui en Ukraine."
Plus tard, sur le site de l'Elysée, un communiqué de l'Administration présidentielle de la France a été publié. Dans la déclaration, il a été dit que la tête de la République française a décidé de suspendre la livraison du navire, jusqu'à nouvel ordre, dans le cadre de la situation en Ukraine.
Le président français François Hollande, qui a décidé de reporter la livraison de Mistral à la Russie, se efforce de trouver un équilibre entre les obligations à la Russie, partenaires de l'UE et de l'OTAN. Si seulement ce était à lui de prendre la décision, le navire serait remis à la Russie il ya longtemps, le président du Comité international de la Douma d'Etat Alexey Pushkov croit.
"La France essaie de trouver un équilibre entre ses obligations envers la Russie, l'UE et l'OTAN. La France devrait décider de ne pas livrer les navires à la Russie, elle démontrera sa position dépendante. Naturellement, il va causer beaucoup de dommages à la française sur le bras de monde market..In mon avis, si la décision dépendait de Hollande, Mistral seraient livrés ", a déclaré aux journalistes Pushkov.
Le député a dit que le président de la France reste dans le système de coordonnées de l'Union européenne, et il doit faire preuve de solidarité. La pression des Etats-Unis joue aussi son rôle.
"Il a pris la décision de Salomon: quand il n'y a pas de solution, il faut reporter", a déclaré Pushkov.
Selon le député, la France ne est pas disposé à se complètement intégrée dans la ligne anti-russe. Dans le même temps, le pays ne veut pas se brouiller avec ses alliés soit.
"Je ne pense pas que nous sommes intéressés à aggraver les relations avec le gouvernement français. Ils ne nient pas, mais retarder la livraison. Je crois que nous sommes prêts à attendre un certain temps aussi," dit-il.
Pendant ce temps, membre du Comité de Défense de la Douma, Vladimir Bessonov, a déclaré que la Russie devrait interdire les importations de vin français à la Russie en réponse à la décision de la France de suspendre l'exécution du contrat Mistral. "Interdisons les ventes de vins français en Russie. Même une discussion de ce peut conduire à des résultats souhaités", a déclaré le Service Nouvelles russe.
Le député a dit que ce était la faute de la Russie pour acheter les navires d'un membre de l'OTAN. "On ne peut pas acheter des produits alimentaires, laisser les bras seuls, de pays de l'OTAN. Ce est la plus grande folie, sinon saboter. Pour couronner le tout, les hélicoptères russes ne seront pas en mesure d'atterrir sur ces navires," a t-il dit.
Les États-Unis de faire pression sur la Malaisie pour faire taire les raisons de l'accident Boeing
La Malaisie a déclaré qu'il sera obligé d'envoyer à plusieurs reprises ses experts pour le site du crash du Boeing Malaysia Airlines en Ukraine. Pour le dire en un mot, la Malaisie est très mécontente avec le cours de l'enquête et est forcé de mener sa propre enquête, dans une tentative pour restaurer l'image de ce qui est arrivé à son avion dans le ciel au-dessus de l'Ukraine. Très probablement, l'histoire de l'avion abattu sera caché avec soin.
Pour ceux, qui, plus ou moins comprendre la situation, il est clair que ni la milice ni la Russie ne ont été impliqués dans la terrible catastrophe. La seule question est de savoir si l'Ukraine ailleurs abattu le Boeing ou ce était un soigneusement planifié, mais un acte maladroitement exécuté de provocation. Étant donné que, selon les informations disponibles, l'avion était au premier coup en l'air, puis fini avec un missile, parfois est pratiquement exclu. Photos de systèmes de missiles Buk, prétendument dus par les milices, sont apparus instantanément.
Un provocateur parasite à Donetsk, quelques jours avant la catastrophe, a laissé entendre que la milice possédait complexes Buk. Le sort de Boeing avait été décidé à l'avance. Malaisie, qui a été donné le rôle d'un outsider, ne sont pas d'accord avec un tel état de choses. Deux catastrophes étranges, où les Malaisiens ont été utilisées à certaines fins obscures, poussent le pays vers une action distincte et indépendante. Il est difficile de prévoir, quel genre de résultats les Malaisiens obtenir. Très probablement, il n'y aura pas trouvé des preuves indéniables.
L'Occident n'a pas besoin d'une enquête qualitative dans les circonstances actuelles. Il ya une petite chance et une possibilité que les Hollandais ont trouvé éléments destructeurs dans les corps des passagers. Si oui, leur indifférence à la tragédie devient compréhensible. Cependant, ce est un événement sans précédent. Localiser et collecter les débris ne est pas une possibilité que l'on obtient souvent en pareil cas. Très probablement, lors retarder la publication des résultats de l'enquête ne est pas plus une option, ils annoncera les résultats d'une manière non-public et essayer de résoudre la question avec la Malaisie en privé.
Plus que probablement, l'Ukraine va promettre de payer quelque chose; il ne sera pas plaider coupable à la tragédie, et les États-Unis de faire pression sur la Malaisie, de sorte que le pays met en place avec le crash du Boeing. Il ne faut pas oublier un autre joueur qui travaille très étroitement avec la Malaisie - la Chine. Si la situation avec le crash de Boeing peut faire ressortir quelque chose qui va tacher la fois le protégé des Etats-Unis et de la réputation des États-Unis comme une conséquence, la Chine va faire, étant donné que la Chine a un autre allié dans cette - Russie. Paradoxalement, la bataille pour l'Asie du Sud-Est a commencé à se déployer sur les champs de l'Ukraine.
Bien sûr qu'il serait tentant en écoutant cela de se précipiter pour acheter de l'or, des bagues, des colliers, bref, du truc qui va monter; et bien NON. Non, il ne va ni monter ni descendre, car, ("pour connaître son ennemi il faut se mettre à sa place"), car il y aura FORCEMENT confiscation ! Confiscation assortie d'une interdiction d'en monnayer le métal !
RépondreSupprimerBêh oui, si le pays doit admettre que les soutes sont vides (depuis toujours ?! Hahaha !), il répliquera que non et fera la razzia de partout.
Bon, pour oublier cet épisode-à-la-con où il n'est pas préférable non-plus de s'acheter un flingue ou de faire un abri anti-atomique, mais plutôt d'acheter un billet d'avion ou (pour les riches) de vendre maisons, voitures, terrains, etc et d'acheter un catamaran et se barrer de là vite-fait !
Bon, maintenant, passons à d'autres choses sérieuses: Si le grand Manitou extra-lucide que nous venons de voir prédit cela et que çà se passe, que se passera t-il ? Il se passera que si l'or est à 5 ou $ 10.000 /oz, il sera préférable de NE PAS SE PROMENER AVEC DANS LA RUE ! Si vous voyez ce que je veux dire ! Et, de plus, que le risque de cambriolages/agressions violentes peuvent être quotidiens !
« SCOOP : Wall Street et l’attaque finale sur l’euro. Le plan de Noël … »
RépondreSupprimerMes chères contrariennes, mes chers contrariens !
Avant de vous parler du sujet du jour, je souhaitais y aller de mon petit couplet sur les Restos du Cœur. Je ne ferai la morale à personne mais sachez juste que l’association des Restos du Cœur est l’une des mieux gérées et des plus transparentes (je vérifie leurs comptes chaque année). On peut donc leur donner sans évidemment craindre que nos dons soient mal ou peu utilisés.
Je fais partie de ceux qui ont la chance de pouvoir bien manger et à chaque repas et mon dieu que la vie serait dure le ventre vide. Je pense que notre État est défaillant, et les Restos du Cœur ont été lancés par un gars du peuple qui nous manque sacrément (Coluche évidemment) pour le peuple.
Depuis le début de la crise de 2007, le nombre de repas servis a considérablement augmenté (cela a presque doublé en 7 ans), alors à vous tous, mes camarades contrariens, vous pouvez aider au PEBC (plan épargne boîtes de conserve) de nos concitoyens les plus en difficulté, vous pourrez aussi défiscaliser 75 % du don (vous recevrez un reçu fiscal par mail, en tout cas je vous conseille de le demander par mail car lors de la déclaration d’impôts au moins vous pourrez le retrouver dans votre messagerie !!), ce qui sera autant de moins dans les poches de notre État défaillant et de nos politiciens lamentables même pas capables de faire bouffer leur peuple (regardez le montant des subventions versées par l’État aux Restos du Cœur, c’est juste pitoyable). Enfin, cela vous permettra également de débancariser un petit peu et c’est toujours ça que les banques n’auront pas !!
Wall Street, l’attaque finale sur l’euro : le plan de Noël
Voici ma petite traduction des meilleurs passages de cet article encore une fois en italien. Je suis dans ma période latine que voulez-vous, mais c’est fort instructif et c’est à relier à l’édito que j’avais écris il a quelques jours concernant l’avenir de l’or dans lequel je parlais de l’intervention d’Harvey Organ, grand spécialiste de l’or, et pour qui le gold ira entre 3 000 et 5 000 dollars l’once en décembre 2014 !
Selon lui, la manipulation des cours de l’or et de l’argent prendra fin en décembre 2014, ce qui débouchera sur l’effondrement économique annoncé… Pour ceux qui auraient raté sa vidéo, elle est ci-dessous.
Revenons à nos moutons italiens et traduisons.
« Les tests de résistance sont une vraie merde et ils ont tout faux… c’est en tout cas la confidence de Brunello di Montalcino.
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Si vous mettez les mains dans les comptes (ou dans le cambouis), vous savez qui remercier : la finance américaine.
RépondreSupprimerCependant, il n’est un mystère pour personne que Wall Street craint particulièrement : la naissance d’une véritable union bancaire européenne. S’il y avait une véritable union bancaire, politique et fiscale, la BCE pourrait directement décider de la restructuration d’une banque, elle pourrait briser la relation incestueuse entre les États endettés et le système bancaire, qui est la véritable raison de la stagnation économique continue dans la zone euro, et pourrait enfin faire la chasse aux fonds spéculatifs.
Selon notre interlocuteur, la finance américaine, qui maintient Mario Draghi, en laisse lui a conseillé d’être le meilleur parce qu’elle va lancer une offensive contre l’euro.
Il circulerait en effet dans les hautes sphères de la finance mondiale une étude pas si secrète que cela d’ailleurs sur les problèmes fondamentaux que pose l’euro dans les difficultés du monde et de la croissance mondiale. En clair, pour les financiers américains, l’euro n’est plus une solution (il ne l’a d’ailleurs jamais été ou presque) mais désormais il est, sans hésitation aucune, devenu un problème majeur.
Le rappel des troupes va donc être déclenché et Wall Street se prépare à l’offensive, attendant le bon moment pour passer à l’action. L’Allemagne n’a en réalité aucune confiance en Mario Draghi et restera toujours opposée à la mise en place d’eurobonds (obligations européennes) et généralement à toute idée de mutualisation des dettes.
Le maillon le plus faible est l’Italie. Les entreprises et banques italiennes sont des poissons dans un aquarium et l’argent, la liquidité, est leur eau. Dommage que cet aquarium soit écopé par deux hydrophiles : les autorités fiscales et le système bancaire qui n’ont ainsi de cesse de le vider.
C’est entre Noël et Nouvel An qu’une nouvelle offensive devrait donc être déclenchée contre l’Italie dans le but d’une part de mettre la main sur le stock d’épargne privée des Italiens et d’autre part pour réinitialiser l’euro en le faisant exploser. »
L’euro devient un problème pour les Américains et les Américains sont des pragmatiques !
N’oubliez jamais cette donnée de la « psychologie » américaine. Ils sont pragmatiques. Quand un problème se pose, on règle le problème. Peu importe que cela fasse mal, que ce ne soit pas confortable, on règle tout de même le problème et on repart de l’avant. Un Américain sait prendre ses pertes.
Or désormais, l’euro, et en particulier le refus allemand de l’utilisation de la planche à billets, pose un véritable problème économique aux Américains et à la finance anglo-saxonne qui a désespérément besoin de fonds, de beaucoup de fonds pour survivre, et pour être presque viable, l’effort doit être partagé entre toutes les banques centrales. Si le Japon et même la Suisse jouent le jeu de l’impression monétaire à outrance, l’Europe, avec la BCE sous contrôle étroit allemand, joue le service minimum et encore.
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La seule solution c’est donc de faire exploser l’euro et d’apporter le petit souffle nécessaire à l’effondrement du château de cartes européen. Autre élément, la vague reprise américaine ne tient que grâce à la fuite en avant aussi bien dans la dette de l’État fédéral américain que dans la création monétaire de la FED. Sans création de monnaie c’est la récession mondiale et la déflation qui prendra le dessus comme c’est le cas aujourd’hui en Europe.
RépondreSupprimerIl y a donc de très fortes chances que la finance anglo-saxonne attaque et massacre et l’euro. En Europe, l’une des semaines de congés les plus prisées est bien évidemment celle entre Noël et le jour de l’an. Beaucoup de patrons comme d’intervenants et d’opérateurs sur les marchés sont tout simplement en train de ripailler en famille ou de skier à la montagne, c’est donc un moment de grande vulnérabilité. Si vous voulez prendre des vacances cette année, n’oubliez pas l’option annulation… cela pourrait servir !
Pour faire vaciller l’euro, une attaque contre l’Italie serait évidemment une bonne solution car elle nécessiterait moins de cash qu’une attaque contre la France qui n’est pas non plus à exclure, loin de là.
Il est déjà trop tard, préparez-vous.
À demain… si vous le voulez bien !!
Charles SANNAT
http://www.lecontrarien.com/scoop-wall-street-et-lattaque-finale-sur-leuro-le-plan-de-noel-25-11-2014-edito?utm_source=Le+Contrarien+Matin&utm_campaign=d130f2854d-daily_newsletter_2014_11_25&utm_medium=email&utm_term=0_b6dd3f3e5f-d130f2854d-45320805
SupprimerClip ci-dessus extrait du site de Charles Sannat
Les retraités brésiliens sont-ils en train de mettre leur pays en faillite ?
RépondreSupprimerpar Mylène Vandecasteele · 25 nov. 2014
Le Brésil est lui aussi confronté au vieillissement de sa population, et au problème que cela pose en termes de financement des retraites du pays, note Mac Margolis de Bloomberg. En effet, l’âge de prise des pensions dans le pays, combiné à la générosité de certains régimes de retraite, font des pensions une véritable bombe à retardement pour le pays.
« Le problème du Brésil est qu’il devient vieux avant de devenir riche », a synthétisé Marcelo Caetano, un économiste de l’Applied Economic Research Institute, qui a publié une vaste étude sur le système de sécurité sociale du pays.
Il a noté que le pays consacrait déjà 12,2% de son PIB aux prestations sociales, et qu’on y comptait un retraité pour 3 travailleurs, un chiffre qui est déjà supérieur à celui des membres du G7, à l’exception de l’Italie.
Il n’existe pas d’âge minimal de la pension dans le secteur privé brésilien, ce qui signifie que les Brésiliens prennent leur retraite bien avant les employés des autres pays du monde : 54 ans pour les hommes en moyenne, et même 52 ans pour les femmes. Et comme dans les autres pays, l’espérance de vie s’allonge, ce qui signifie qu’un Brésilien peut espérer vivre à la retraite pendant 26 ans, et une Brésilienne, 33 ans.
Même si les pensions du pays sont relativement modestes, puisqu’elles sont de 536 euros par mois en moyenne, de telles durées de versement ont un impact énorme, et cette année, le système de sécurité sociale, qui ne paye que les retraites du secteur privé, devrait présenter un déficit de 50 milliards de reais (environ 17 milliards d’euros).
Le système connaît donc déjà de graves difficultés, et si les politiciens n’engagent pas rapidement des réformes, il risque de tomber en faillite ; or, malheureusement, ces réformes semblent très improbables. Sur les 30 dernières années, divers amendements ont été votés, notamment en 1998, en 2003 et en 2012. Chacun a permis de faire des avancées, mais tous ont été remis en cause par des groupes d’intérêt.
L’un des groupes d’intérêt les plus puissants du pays est celui des fonctionnaires, dont l’âge de la pension est de 60 ans pour les hommes, et 55 ans pour les femmes. Ils bénéficient de pensions qui représentent la moyenne des salaires qu’ils ont perçus au cours de leur carrière (un peu moins que ce montants pour les dernières recrues). Pour les militaires, le régime est encore plus favorable, puisqu’ils touchent une pension égale à leur dernier salaire, et que leurs filles bénéficient d'une pension à vie, un vestige qui remonte aux temps où le Brésil était en guerre avec le Paraguay, à la fin des années 1860.
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Du coup, le Brésil a dupliqué sur les pensionnés les grandes inégalités de revenus qui ont inspiré à l’économiste Edmar Bacha de surnommer le pays « Belindia », un nom valise qui résulte de la contraction de la Belgique et de l’Inde, pour évoquer l’existence d’une élite de privilégiés (les « Belges » de Belindia), entourés d’une vaste foule de gens très pauvres (les « Indiens » de Belindia). La somme que le Brésil débourse pour payer les retraites d’un million de retraités de la fonction publique est la même que celle qui est consacrée à 27 millions de pensionnés du secteur public.
RépondreSupprimerLe Brésil vieillit, et il doit donc se donner les moyens de générer de la croissance, mais avec un nombre d’actifs en baisse, cela implique d’augmenter la productivité. Mais les dirigeants du pays optent encore pour des politiques de redistribution, espérant ainsi relancer la croissance. Il est encore possible de réformer, mais compte tenu du rythme de vieillissement du pays, il n’y a plus de temps à perdre, conclut Margolis.
http://www.express.be/business/fr/economy/les-retraites-bresiliens-sont-ils-en-train-de-mettre-leur-pays-en-faillite/209465.htm
Les bienfaits des gaz et pétroles de schiste dans le Dakota du Nord (et ailleurs)
RépondreSupprimer24 novembre 2014
The French Saker
Jean-Paul Baquiast
Le New York Times (NYT) n'est pas réputé pour contredire directement les grandes firmes et les groupes d'intérêts qui financent les élections américaines sur le mode de l'open bar [1]... et qui probablement le financent un tant soit peu. Cependant, dans un article du 22 novembre 2014 [2], il dénonce en termes véhéments les dégâts environnementaux, économiques et humains produits par l'exploitation des gaz et pétroles de schistes dans l'État du Dakota du Nord.
Le Dakota du Nord s'étend sur 183 273 km2 , soit un tiers de la France. Il est situé exactement sous la frontière avec le Canada. Il y a quelques années, des gisements de gaz et pétroles y ont été détectés, au nord de l'État. Des industries pétrolières, qualifiées de multimilliardaires par le NYT, ont reçu des autorités de l'État toutes les autorisations nécessaires pour les exploiter.
En contrepartie, ces industries se sont engagées à recenser et à réparer les accidents inévitables provenant des exploitations. Or, plusieurs années après, le nombre et la gravité de ces accidents, dont les fermiers et les habitants peuvent chaque jour constater les conséquences, n'ont cessé de se multiplier. Les compagnies s'étaient engagées à gérer, en commun avec les autorités et les associations environnementalistes, la prévention et la réparation de ces accidents. En fait, cette gestion en commun n'a pas eu lieu. Chaque exploitant a pu imposer de rester le seul responsable de la question, en ce qui le concernait.
Bien évidemment, les associations ont dénoncé ce qui se produisait et ont demandé que les autorités de l'État reprennent en main l'observation et la prévention. En effet, il ne s'agit pas seulement d'éditer des normes, mais de s'assurer qu'elles sont appliquées et qu'au moins les contrevenants prennent les mesures nécessaires pour indemniser les victimes.
Or, comme c'était prévisible, l'État du Dakota du Nord a confirmé sa préférence pour une gestion de la question sous la seule responsabilité des pétroliers. En conséquence de quoi, le boom, pour reprendre le mot du NYT, non pas de l'économie de l'État, mais des accidents, se poursuit et s'accroit.
Il ne s'agit pas d'événements isolés, mais au contraire de phénomènes se multipliant, notamment avec la généralisation de la fracturation hydraulique [3]. Des dizaines de puits explosent dorénavant chaque année, des centaines d'autres provoquent des fuites et des dégazages dans l'environnement. La production de rejets toxiques excède désormais en volume celle de pétrole et gaz. Des régions, dont l'identité s'était jusqu'à ce jour construite sur l'agriculture et l'élevage, deviennent des zones mi-industrielles mi désertiques, dont les précédents habitants ont fui.
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Mais les compagnies leur expliquent qu'elles devraient se féliciter de participer désormais à l'autosuffisance américaine en combustible fossiles, autosuffisance dont elles ne voient évidemment pas le moindre retour à leur niveau. Auto-suffisante qui, d'ailleurs, selon les experts, ne durera pas. Les gaz présents dans les couches de schistes ne se renouvellent évidemment pas. Chaque jour, il faut fracturer plus loin et ailleurs. Jusqu'au jour où les ressources s'épuiseront ou bien deviendront inaccessibles, sauf à bouleverser complètement, non pas seulement les campagnes, mais des aires urbaines entières.
RépondreSupprimerCe moment venu, les compagnies feront appel à la crédulité des épargnants et des petits actionnaires pour engager des forages encore plus périlleux, dans les zones océaniques profondes ou en Arctique.
Mais les habitants du Nord Dakota, et de bien d'autres régions analogues, ne disposeront plus alors que de techniques ancestrales pour lutter contre la salinité et la désertification de terres autrefois prospères. Ne dit-on pas que la pire des malédictions qui puisse frapper une région, une nation, est de découvrir qu'elle recèle des richesses pétrolières.
Notes :
[1] Open bar, bar où l'on sert des boissons à volonté.
[2] The Downside of the Boom, North Dakota took on the oversight of a multibillion-dollar oil industry with a regulatory system built on trust, warnings and second chances, par Deborah Sontag et Robert Gebeloff (nytimes.com, anglais, 22-11-2014)
[3] La « fracturation hydraulique » est la dislocation ciblée de formations géologiques peu perméables1'2 par le moyen de l'injection sous très haute pression d'un fluide destiné à fissurer et micro-fissurer la roche. (Wikipédia, français)
http://www.vineyardsaker.fr/2014/11/24/les-bienfaits-des-gaz-et-petroles-de-schiste-dans-le-dakota-du-nord-et-ailleurs/
Russie : la tactique du poing fermé
RépondreSupprimerDe Defensa
lun., 24 nov. 2014 09:44 CET
Sans doute dira-t-on que Brisbane est passé par là et que la "guerre" (de communication) ne connaît désormais plus aucune restriction. Ce sont les Russes qui attaquent tous azimuts tandis que le bloc BAO, ayant accompli son bizutage de Brisbane considéré par lui-même comme une grandiose manœuvre stratégique de type napoléonien (mais démocratique, certes), reste plutôt impavide sur le fait en l'absence de toute nouvelle idée brillante du genre, et préférant par ailleurs commettre des actes sidérant d'inconséquence et d'irresponsabilité (voir plus loin, du côté d'un vote à l'ONU). Cette intensification de l'offensive russe et de la "guerre" qui en est le cadre signifierait que MK Bhadrakumar n'avait pas tort (voir le 18 novembre 2014) : "Que va-t-il se passer si la Russie abandonne sa position d'autorestriction et passe d'une non-coopération passive à une opposition active à la politique US ? Jusqu'ici, il n'en a rien été pour diverses raisons. Le G20 de Brisbane est-il ce moment décisif, finalement, pour la direction russe qui se pliait aux exigences de l'Ouest ?"
Nous avons vu, et insisté là-dessus, le fait que Poutine et la direction russe suivent "deux voies" parallèles (voir le 21 novembre 2014), avec "deux politiques de communication", définies également comme celles de la main tendue et celle du poing serré (voir aussi le 21 novembre 2014). On ne parle pas de deux "stratégies" car ces deux politiques de communication n'ont pas d'objectif stratégique fondamental, sinon de contribuer au but politique central, fondamental lui, qui est le plus simple du monde à définir : défendre sans aucune faiblesse les intérêts de la Russie en faisant le maximum pour éviter de compromettre irrémédiablement les relations avec le bloc BAO.
De cet énoncé découlent les deux "politiques de communication", qui seraient en langage guerrier deux "tactiques" plutôt que deux "stratégies", qui se poursuivent parallèlement et représentent un parallélisme schizophrénique dont la responsabilité n'est pas russe, mais due à l'adaptation des Russes à la position du bloc BAO ; c'est-à-dire, adaptation à cette schizophrénie créée par le bloc BAO développant une politique de narrative, sinon de fantasy-narrative, qui ne cesse de se situer, avec un entêtement qui se réfère aux exigences du Système qui les soumet et les tient tous, toujours plus loin de la "vérité de la situation". Ainsi les Russes, tendent-ils d'un côté la main au bloc BAO (surtout aux Européens), et ne cessent-ils d'un autre côté de serrer le poing en dénonçant toujours plus rudement, par divers moyens, la politique catastrophique, à la fois belliciste et provocatrice, du bloc BAO.
Maintenant, il faut en venir à ce constat, extrêmement clarifié car les choses vont très vite, que la seconde tactique (le poing serré) est bien plus "audible", c'est-à-dire spectaculaire et tonitruante, que la première (la main tendue) qui ressemble à une sorte de "quête dans le désert" et ne cesse de s'appauvrir en substance. C'est donc de la seconde, de la politique offensive de dénonciation du bloc BAO, que l'on parlera, exclusivement, - notamment parce que plusieurs faits méritent mention selon l'observation de l'avancée de l'offensive, alors qu'on aurait pu attendre une simple répétition des mêmes accusations si la main tendue pouvait espérer en rencontrer une autre.
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- Lavrov est bien l'homme devenu diplomate de la "diplomatie ouverte". Mais cette fois, c'est pour énoncer rudement des vérités qui sont des accusations impitoyables lancées contre le bloc BAO, sans la moindre retenue de langage. C'est le cas lorsque Lavrov annonce dans un discours dont il a été fait une large publicité, que le but des sanctions du bloc BAO contre la Russie est tout simplement de faire tomber le gouvernement et le régime en Russie, - "pratiquement personne ne dénie cela" conclut Lavrov pour ajouter à l'accusation un mépris souverain des pratiques de barbare des gens du bloc BAO, à peine différentes des exploits d'ISIS/EI/Daesh... Lesquels "gens du bloc BAO" laissent dire, sans rien répondre, comme des automates qui poursuivent le programme dont ils ont été équipés et rien d'autre. (Quelques extraits sur le discours de Lavrov dans RT, le 22 novembre 2014.)
RépondreSupprimer« Le but ultime des sanctions anti-russes imposées par certains pays occidentaux est de provoquer des manifestations et de renverser le gouvernement », a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov . « Les dirigeants occidentaux ont publiquement déclaré que les sanctions doivent être suffisamment douloureuses pour l'économie [de la Russie] afin d'attiser les contestations sociales. L'Occident ne veut pas changer les politiques de la Russie. Ils veulent un changement de régime. Concrètement personne ne nie ceci », a-t-il déclaré à un Think-tank (groupe de réflexion) en vue à Moscou.
Lavrov a déclaré que les tensions entre la Russie et l'Occident couvaient depuis des années avant la crise ukrainienne, ajoutant que désormais les Européens avaient décidé d'utiliser la politique du tout ou rien, et de jouer à "qui est le plus fort" avec la Russie. « Mais au moins les positions ont été clairement définies », a déclaré M. Lavrov. « Le sujet ukrainien est le moment de vérité pour l'Europe et la Russie », a continué M. Lavrov, en soulignant que « Moscou ne serait pas la seule à rompre les liens avec l'Europe. Cependant, la Russie ne compte pas simplement revenir en arrière, comme avant le début de la crise », a-t-il dit. « L'UE est notre principal partenaire », a déclaré M. Lavrov. « Personne ne veut se tirer une balle dans le pied et rejeter une coopération avec l'Europe, mais tout le monde sait que rien ne sera plus comme avant. »
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- Poutine continue lui aussi sa croisade de dénonciation des "révolutions de couleur" sans plus dissimuler une seconde sa certitude que cette formule constitue le but ultime des pays du bloc BAO à l'encontre de la Russie. Mais il se pourrait que l'on passe de la communication à l'action. Les déclarations devant le Conseil Sécurité du gouvernement russe de Poutine contre les "révolutions de couleur", déjà signalé (voir le 21 novembre 2014), sont désormais appréciées par certains comme annonciateur de décisions fondamentales au niveau de la sécurité intérieure, qui pourrait correspondre à une véritable "mobilisation intérieure", avec un large appel à la population russe, contre les "révolutions de couleur" : « Dans le monde moderne, l'extrémisme est utilisé comme un outil géopolitique pour la redistribution des sphères d'intérêt. Nous pouvons voir les conséquences tragiques de la vague de ces révolutions nommées révolutions colorées, du choc subi par les gens dont les pays qui ont supporté ces expériences secrètes irresponsables, ou quelquefois de cette ingérence directe et brutale dans leur vie » , a déclaré Poutine au conseil de sécurité, jeudi. « Ceci est une leçon et un avertissement pour nous », a continué M. Poutine. « Nous ferons tout pour ne jamais laisser ceci se produire en Russie ». (RT, le 20 novembre 2014.)
RépondreSupprimer- ... Mais nous exagérons lorsque nous disons que le bloc BAO ne réagit pas. En fait, il poursuit, par l'un ou l'autre de ses appendices, la route fantasmagorique de sa fantasy-narrative, par exemple lorsque la présidente de Lituanie, pays responsable s'il en est dans la grande famille des organisations transnationales du bloc BAO, va jusqu'à qualifier la Fédération de Russie de "pays terroriste". Cela permet de mesurer la vigueur de l'affrontement de communication en cours, et aussi, dans ce cas, l'exaspération russe affirmée publiquement devant ces attaques, dans le chef d'un député communiste de la Douma qui va jusqu'à suggérer une rupture des relations diplomatiques avec la Russie. (RT, le 21 novembre 2014).
« Je veux charger la commission des relations internationales à la préparation d'une déclaration, et peut-être même d'un ordre, afin qu'elle propose de nouvelles sanctions économiques contre la Lituanie, voire même une motion pour mettre fin aux relations diplomatiques. Il est inacceptable que le président d'une nation soit si grossier et affiche un tel cynisme » a déclaré le chef adjoint de la commission parlementaire du Parti communiste, Nikolay Kolomeytsev, à la session d'état de la Douma, ce vendredi. Après cela, le Président Sergueï Narychkine a demandé aux communistes de soumettre officiellement la motion à la chambre.
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L'initiative de Kolomeytsev est intervenue après que la Présidente Dalia Grybauskaite ait déclaré dans une interview, jeudi, à la radio lituanienne LRT, que la Russie menait une agression contre l'Ukraine, en accusant le président russe Vladimir Poutine « d'avoir l'intention d'occuper d'autres régions et de réorganiser radicalement la sécurité internationale dans le monde ». « Nous sommes confrontés à une situation dans laquelle certains de nos voisins deviennent des pays terroristes », a-t-elle dit.
RépondreSupprimer- Mais la nouvelle la plus remarquable est celle du vote à l'ONU concernant une résolution déposée le 4 novembre par la Russie et 29 autres pays (dont le Brésil, l'Inde, le Pakistan, etc., jusqu'à une Corée du Nord qui se paie une vertu à bon compte) condamnant « la glorification du nazisme, du néonazisme et d'autres pratiques qui contribuent à alimenter les formes contemporaines de racisme, de discrimination raciale, de xénophobie et de l'intolérance qui y est associée ». Trois pays ont voté contre, - le Canada, l'Ukraine et les USA ; 55 se sont abstenus, dont tous les pays de l'UE et divers autres, du Japon au Lichtenstein, du Qatar à la Suisse, de l'Australie à Monaco, du Tchad à la Turquie, de la Norvège à San Marin, - bref, que du beau monde. Enfin, 115 pays ont voté pour, dans lesquels on retrouve côte-à-côte, notamment certes, l'Arabie Saoudite, Israël et la Russie... (Les diverses précisions sur ce vote peuvent être consultées notamment sur le site French-Saker, le 23 novembre 2014.) La presse-Système, dite "grande presse", notamment dans des pays tels que la France, le Royaume-Uni, l'Allemagne, les USA, ne semble pas avoir trouvé ses choux gras de cet événement. Il est certain que ce texte a été perçu et jugé par les pays du bloc BAO non sur sa signification propre, mais comme une manœuvre de communication de la Russie pour les obliger à se rapprocher de leur narrative (celle des Russes), et c'est sans aucun doute en partie le cas, - celui d'un acte de "guerre de communication" de la Russie ; il n'empêche qu'un texte à l'ONU est un texte à l'ONU, il a aussi et principalement sa signification propre qui, en plus pour le propos, renvoie à une vérité de situation en Ukraine.. Alors, dans ce dernier cas du point de vue, qui est l'imprescriptibilité du texte, le vote de l'ONU présente des distorsions si extrêmes, des positions si faussaires par rapport aux normes de nombre de pays concernés, par rapport à ce qui est pour eux leur "catéchisme antinazi", qu'on ne peut que renouveler en l'aggravant encore plus l'analyse que nous donnions dans notre texte du 3 octobre 2014 (« L'Ukraine à svastika découverte »)... Ce texte où nous écrivions notamment :
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« Il nous paraît évident qu'une telle évolution représente un immense danger pour le bloc BAO, dans ce qui lui tient lieu de forces essentielles : la fabrication des faux-symboles (des symboles-simulacres) pour substantiver, dans le cadre du système de la communication, sa narrative générale, - et, dans ce cas, plus qu'une fantasy-narrative, il s'agit d'une metaphysical-narrative. Le point principal au départ de ce raisonnement est qu'il nous a paru toujours extraordinaire, dans le cadre de la crise ukrainienne et depuis que cette crise est arrivée à maturité, qu'une affirmation de communication aussi visible (insignes, formations, cérémonies, etc.) d'une tendance nazie puisse bénéficier d'un soutien du bloc BAO. Dans le bloc BAO, le fait nazi, avec tous ses symboles et ses images, avec surtout la charge formidable et terrible qui pèse sur lui d'être le concepteur, l'organisateur et l'exécutant de l'Holocauste, constitue un fait de communication, - à la fois politique, culturel, psychologique, etc., - d'une importance absolument considérable... »
RépondreSupprimer- D'une certaine façon, oblique mais correspondant bien aux consignes du Système, on comprendrait aussi bien que les USA (ni l'Ukraine, évidemment) n'aient pas voté cette résolution antinazi, lorsqu'on mesure l'importance du rôle tenu par Dimitri Iaroch, chef du groupe Pravy Sektor et de toutes les unités para-militaires qui en sont issues, dans le contrôle et l'évolution de l'Ukraine-Kiev qui sied à ce qui tient lieu de politique US. L'historien US Eric Zuesse fait un portrait saisissant de la situation en Ukraine sous la direction effective de Iaroch, - car, effectivement, c'est bien la thèse qui est présentée. Le portrait dressé dans notre texte du 3 octobre 2014 déjà cité n'a fait que se durcir, démentant complètement les thèses initiales qui faisaient des groupes nazis et ultranationalistes les instruments et autres "idiots utiles" des libéraux globalistes chargés de prendre le pouvoir à Kiev... (Dans Washington's blog, le 20 novembre 2014.)
« Toutefois, Yarosh s'est avéré être le leader actuel de l'Ukraine, bien qu'il ne le soit pas officiellement. [...] Les équipes de Yarosh exécutent les opérations les plus violentes pour le compte de la CIA en Ukraine (y compris le coup d'État). Puisque ces personnes sont réellement spécialisées dans ce genre d'opération politique, Yarosh est de fait aux commandes du pays. L'Ukraine est désormais gérée par la peur, et tout le monde craint Dmitriy Yarosh. Même les autres dirigeants de l'Ukraine le craignent. Il est même parfois choquant de le voir menacer si ouvertement jusqu'au président de la nation. Yarosh est la seule personne qui puisse se le permettre ».
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Après cette revue variée qui montre l'extraordinaire désordre de l'indécence de l'aveuglement de ce que nous nommons le bloc BAO (surréalistiquement mis en évidence par l'hyper-désordre et l'indécence internationale du vote onusien), tous les avis, pourvu qu'ils soient crépusculaires, méprisants et sans la moindre nuance nécessaire, ont leur place. Par exemple, pour poursuivre un texte déjà cité à propos du vote effectivement surréaliste et même stratosphérique de l'ONU sur la gloire du nazisme, ce jugement du Saker voyant, ces derniers jours et ces dernières semaines « de plus en plus de signes d'un dégoût profond de la part des Russes à l'endroit de l'Occident. Si, par le passé, les diplomates et politiciens russes essayaient de rester polis, ils ne se gênent plus pour exprimer leur dégoût... », - dégoût, si l'on veut, ou bien exaspération méprisante, ou bien mépris ironique, ainsi de suite ? Les mots nous manquent puisque, effectivement, il s'agit d'une politique robotisée, par définition hors de toute appréciation critique prenant pour référence une "vérité de situation" ; il s'agit de la politique-Système lancée en pleine surpuissance, avec cette surpuissance qui ne permet plus à personne de ceux qui s'y soumettent de consulter ni même de conserver ses références, y compris les références des narrative antifasciste, antinazi, etc. Cela nous conduit à un comble de l'inversion puisque tous les régimes du bloc BAO ont construit leur pseudo-légitimité sur une métaphysique-simulacre adoubant ces diverses valeurs de l'antifascisme, antinazisme, etc. (voir toujours notre texte du 3 octobre 2014, avec notamment le concept de "métaphysique de l'Holocauste").
RépondreSupprimerIl est difficile de donner un avis mesuré sur ces événements divers, - l'indignation ou l'ironie étant certes bienvenues, mais insuffisantes. Il faut donc procéder par perception, fondée autant sur l'expérience que sur les références qui nous restent, à nous. Le désordre devenant hyper-désordre et l'inversion multipliée sont la règle du comportement du bloc BAO, qui ne semble plus apte à comprendre exactement la substance de ce qu'il fait, et notamment incapable d'en comprendre ni les conséquences même à moyen-court terme, ni les significations les plus évidentes. Tout cela se déroule sur un fond de malaise et de mécontentement intérieurs qui ne cessent de grandir, qui se généralisent dans divers pays du bloc, sous des formes différentes, accentuant la contraction de la vision des dirigeants du bloc BAO sur ce qui leur sert de politique. En un sens ce n'est plus "Y a-t-il un pilote dans l'avion ?", mais plutôt "il y a foultitude de pilotes dans l'avion mais l'avion ne répond qu'à un pilote automatique auquel personne ne comprend rien".
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Face à cela, les Russes, qui gardent la tête froide, sont à la fois stupéfiés, dégoûtés si l'on veut, mais aussi amenés, nolens volens, à accentuer évidemment la seule "tactique" possible de leur stratégie naturelle, - celle du poing fermé, comme on a vu plus haut. Eux non plus ne choisissent pas, eux aussi sont en quelque sorte prisonniers de la politique-Système qui emporte leurs "partenaires" devenus adversaires absolument incohérents et incompréhensibles selon la rationalité politique. Cette appréciation n'a rien à voir avec un jugement de valeur sur les Russes, et tout à voir de façon très différente avec une mécanique politique où la métahistorique imprime sa marque, qui est le caractère fondamental de la grande scène où se déroule aujourd'hui le théâtre complètement fou et absurde de la politique du monde. Ils (les Russes) sont là pour exacerber la plongée du bloc BAO dans son hyper-désordre psychologique et son incompréhension totale de lui-même, ils sont là pour accélérer l'aggravation de toutes ces conditions d'incontrôlabilité. Ils jouent un rôle historique, voire métahistorique, qu'ils auraient sans doute préféré éviter, qui est celui du fameux chiffon rouge agité devant le taureau furieux, pour que le taureau ne cesse d'être encore et toujours plus furieux, jusqu'à ce qu'il s'encorne lui-même par une manœuvre invertie dont il a lui seul le secret, - passez muscade, de la surpuissance à l'autodestruction... (Que le taureau, cette noble bête, nous pardonne d'abuser de ses caractères pour décrire le comportement du bloc BAO ; le bloc BAO est un taureau absolument furieux mais aussi un taureau absolument stupide, ce qui le différencie décisivement de la noble bête, qui n'est pas si bête que cela...)
RépondreSupprimerhttp://fr.sott.net/article/23973-Russie-la-tactique-du-poing-ferme
La NSA a suivi des appels de 35 dirigeants du monde après US officiels aient remis contacts
RépondreSupprimer• Agence a donné plus de 200 numéros par fonctionnaire du gouvernement
• NSA encourage les ministères à partager leur «Rolodexes de
• la surveillance produit «peu d'intelligence», reconnaît
James Ball
The Guardian ,Vendredi 25 Octobre 2013
L'Agence nationale de sécurité a surveillé les conversations téléphoniques de 35 dirigeants du monde après avoir reçu les numéros par un fonctionnaire dans un autre ministère du gouvernement américain, selon un document classé fourni par le dénonciateur Edward Snowden.
La note confidentielle révèle que la NSA encourage les hauts fonctionnaires de ses services «clients», comme la Maison Blanche, l'Etat et le Pentagone, à partager leurs "Rolodex" si l'agence peut ajouter les numéros de téléphone des dirigeants politiques étrangers à leur surveillance systèmes .
Le document note que l'un officiel américain anonyme a remis plus de 200 numéros, y compris ceux de 35 dirigeants du monde, dont aucun n'est nommé. Ils ont été immédiatement "chargés" pour la surveillance par la NSA .
La révélation est réglé à ajouter à la montée des tensions diplomatiques entre les Etats-Unis et ses alliés, après que la chancelière allemande Angela Merkel mercredi ait accusé les Etats-Unis de puiser son téléphone portable .
Après les allégations de Mme Merkel est devenue publique, la Maison Blanche Jay Carney a publié une déclaration disant que les Etats-Unis "n'a pas suivi et n'a pas contrôlé" les communications de la chancelière allemande. Mais cela n'a pas réussi à apaiser la ligne, en tant que fonctionnaires à Berlin rapidement souligné que les États-Unis ne nient pas suivi le téléphone dans le passé.
En arrivant à Bruxelles pour un sommet de l'UE Merkel a accusé les Etats-Unis d'un abus de confiance. "Nous devons avoir confiance en nos alliés et partenaires, et cela doit maintenant être établie une fois de plus. Je répète que l'espionnage entre amis n'est pas du tout acceptable contre quelqu'un, et cela vaut pour tous les citoyens en Allemagne."
Le NSA mémo obtenu par le Guardian suggère que cette surveillance n'était pas isolé, que l'agence surveille régulièrement les numéros de téléphone des dirigeants de la planète - et demande l'aide d'autres responsables américains à le faire même.
La note de service, datée du Octobre 2006 et qui a été délivré au personnel dans les signaux de l'organisme Direction du renseignement (SID), a été intitulé "les clients peuvent aider SID obtenir des numéros de téléphone ciblables".
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Il commence par énoncer un exemple de la façon dont les responsables américains qui mélangés avec les dirigeants du monde et les politiciens pourraient aider à la surveillance de l'agence.
RépondreSupprimer"Dans une affaire récente," les notes mémo, "un responsable américain à condition NSA avec 200 numéros de téléphone à 35 dirigeants du monde ... Malgré le fait que la majorité est probablement disponible via l'open source, les PC [centres de production du renseignement] ont noté 43 numéros de téléphone inconnus auparavant. Ces chiffres ainsi que plusieurs autres ont été chargés. "
Le document poursuit en disant que les nouveaux numéros de téléphone avaient aidé l'agence découvrir encore plus de nouveaux détails de contact à ajouter à leur suivi: «Ces chiffres ont fourni des informations à d'autres numéros de plomb qui ont par la suite été chargés."
Mais la note reconnaît que l'écoute sur le nombre avait produit "peu d'intelligence à déclarer». Dans le sillage de la ligne Merkel, les Etats-Unis face à la critique internationale croissante que tout avantage de l'intelligence de l'espionnage sur les gouvernements amis est largement compensé par les dommages diplomatique potentiel.
La note demande alors analystes à penser à tous les clients qu'ils desservent actuellement qui pourraient même être heureux de tourner sur des détails de leurs contacts.
«Ce succès mène S2 [le renseignement] à se demander s'il y a des NSA liaisons dont les clients pris en charge peuvent être disposés à partager leurs «Rolodex» ou listes téléphoniques avec la NSA comme des sources potentielles de l'intelligence », il déclare." S2 accueille cette information! "
Le document suggèrent que, parfois, ces offres sont non sollicités, avec US "clients" offrant spontanément l'accès agences à leurs réseaux à l'étranger.
"De temps en temps, SID est offert l'accès aux bases de données personnelles de responsables américains," il déclare. »Ces« Rolodex »peuvent contenir des informations de contact pour les dirigeants politiques ou militaires étrangers, d'inclure ligne directe, fax, résidence et numéros de cellulaire."
The Guardian a approché le gouvernement Obama pour commentaire sur le dernier document. Les fonctionnaires ont refusé de répondre directement au nouveau matériel, la place se référant aux commentaires fournis par Carney au briefing quotidien de jeudi.
Carney a déclaré aux journalistes: "Le [NSA ] révélations ont clairement provoqué des tensions dans nos relations avec certains pays, et nous avons affaire à ce que par la voie diplomatique.
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«Ce sont des relations très importantes à la fois économiquement et pour notre sécurité, et nous travaillerons à maintenir les liens les plus étroits possibles."
RépondreSupprimerL'accusation publique d'espionnage sur Merkel ajoute à la montée des tensions politiques en Europe à propos de la portée de la surveillance des États-Unis sur les gouvernements de ses alliés, après une cascade de jeux et appels téléphoniques avec les dirigeants apologétiques sur le continent au cours de la semaine.
Interrogé mercredi soir si le NSA avait dans le passé suivi les communications de la chancelière allemande, Caitlin Hayden, porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, a déclaré: "Les Etats-Unis ne surveille pas et ne sera pas de surveiller les communications de la chancelière Merkel Au-delà de cela, je ne suis pas dans une mesure de commenter publiquement sur chaque activité spécifique de l'intelligence présumée. "
Au briefing quotidien jeudi, Carney a de nouveau refusé de répondre aux questions répétées quant à savoir si les États-Unis avait espionné sur les appels de Mme Merkel dans le passé.
Le NSA mémo vu par le Guardian a été écrit à mi-parcours du second mandat de George W. Bush, Condoleezza Rice, lors était secrétaire d'État et Donald Rumsfeld était dans ses derniers mois en tant que secrétaire de la défense.
Merkel, qui, selon Reuters, soupçonné de la surveillance après avoir trouvé son numéro de téléphone mobile écrit sur un document des États-Unis, aurait appelé pour la surveillance des États-Unis à être placé sur une nouvelle base juridique au cours d'un appel téléphonique au président Obama.
"Le [allemand] gouvernement fédéral, comme un proche allié et un partenaire des États-Unis, s'attend à l'avenir une base contractuelle claire pour l'activité des services et de leur coopération", a t-elle dit au président.
Le chef du Parti vert de l'Allemagne, Katrin Goring-Eckhart, appelé le prétendu espionnage une «violation sans précédent de la confiance" entre les deux pays.
Plus tôt dans la semaine, Obama a appelé le président français François Hollande en réponse aux rapports dans Le Monde que la NSA accessible plus de 70 millions d'enregistrements téléphoniques de citoyens français en une seule période de 30 jours, tandis que les rapports précédents dans Der Spiegel ont découvert l'activité NSA contre les bureaux et les communications de hauts fonctionnaires de l'Union européenne .
La Commission européenne, l'organe exécutif de l'UE, cette semaine a soutenu les propositions qui pourraient obliger les entreprises de technologie de demander la permission avant de remettre les données de citoyens de l'UE aux agences de renseignement américaines, tandis que le Parlement européen a voté en faveur de la suspension d'un partage de données de la banque transatlantique accord après Der Spiegel a révélé l'agence surveillait la Swift de système de virement bancaire international.
http://www.theguardian.com/world/2013/oct/24/nsa-surveillance-world-leaders-calls
France : braquage légal de l'État
RépondreSupprimerPhilippe Alain
dim., 23 nov. 2014 08:30 CET
Le montant du butin s'élèverait à 126 000 €. Pas un coup de feu n'a été tiré. Normal. Le braqueur c'est l'État. L'arme du crime, la taxe foncière.
Le Progrès du 22 novembre 2014 nous apprend que le fisc a commis une erreur dans l'avis d'imposition concernant la taxe foncière qui a été envoyé à 21 000 contribuables. Plusieurs personnes, s'apercevant de l'erreur, ont naturellement pris contact avec les services fiscaux pour se faire rembourser. Que croyez-vous qu'il arriva ? Rien. Ou plutôt si. Dégage. Non mais, vous vous prenez pour qui ? Vous croyez que l'État va se rabaisser à rembourser des sommes indûment encaissées ? Vous rêvez ?
Comment est-ce possible ?
Heureux hasard pour les services fiscaux, « l'erreur » d'imposition est de quelques euros par contribuable et inférieure à 8 €. Pourquoi 8 € ? Tout simplement parce que le Code Général des Impôts, dans son article 1965 L, prévoit que: « Les dégrèvements ou restitutions de toutes impositions ou créances fiscales d'un montant inférieur à 8 € ne sont pas effectués. »
Et hop, le tour est joué. Voici comment prendre de l'argent de la poche de 21 000 personnes en toute impunité. « L'erreur » moyenne serait d'environ 6 €. Le fisc empocherait ainsi 126 000 €. Sans tirer un coup de feu. Magnifique, non ? Cette histoire à dormir debout se passe dans l'Ain. Dans combien d'autres départements les services fiscaux ont-ils ainsi commis une « erreur » inférieure à 8 € ?
Cahuzac, ancien ministre socialiste du budget chargé de la lutte contre la fraude fiscale qui possédait des comptes en Suisse se marre. Thévenoud, ancien ministre socialiste qui souffrait de « phobie administrative » est plié de rire. Le Guen, secrétaire d'État aux relations avec le parlement qui avait minoré sa déclaration de patrimoine s'en tape sur le ventre. Hollande qui avait annoncé qu'il n'y aurait plus d'impôt supplémentaire sur qui que ce soit a des crampes d'estomac tellement il se marre.
Il paraît que le Ministère des Finances, lui, trop content d'avoir trouvé un nouveau filon, envisage de diffuser une note à tous les services fiscaux pour majorer de 7.99 € tous les avis d'imposition envoyés aux Français pour les 3 années à venir. Non, je plaisante. Quoi que...
Bienvenue en France socialiste.
http://fr.sott.net/article/23975-France-braquage-legal-de-l-Etat
0,004% de la population s'accaparent 13% de la richesse du monde
RépondreSupprimerpar Audrey Duperron
25 nov. 2014
13% de la richesse du monde sont concentrés entre les mains de 0,004% de la population du monde, indique un nouveau rapport, publié par la banque suisse UBS et le cabinet de consultance Wealth-X, et intitulé « The World Ultra Wealth Report 2014 ».
Il précise que dans le monde, on a recensé cette année 211 275 individus ultra-riches (« Ultra-high net worth », ou UHNW), c’est-à-dire, qui disposent d’une fortune d'au moins 30 millions de dollars, ce qui implique une augmentation de 6% par rapport à l'année dernière, et établit un nouveau record. D'ici 5 ans, leur nombre sera porté à 250 000.
Parmi ces personnes, on dénombre 2325 milliardaires, soit une hausse de 7,1% par rapport à 2013. Et ce n’est pas fini, puisque selon le rapport, leur nombre pourrait grimper à 4 000 d'ici la fin de cette décennie.
L'étude montre que la fortune moyenne des ultra-riches a augmenté de 77% depuis l’année dernière, et qu’elle atteint désormais 112 millions d'euros. On compte 1 « UHNW » pour 35 000 personnes dans le monde, ce qui correspond à une concentration de 0,004% de la population.
« En dépit des conflits géopolitiques, des conflits socio-économiques et de la volatilité des marchés financiers, les marchés boursiers ont affiché de fortes performances, permettant de ce fait au fortunes des individus ultra-riches de croître et d’étendre leur influence sur les secteurs et les industries, que ce soit au travers de leur importance pour la gestion de fortune, ou de leur consommation de produits de luxe », ont écrit les chercheurs. « Une telle concentration de richesse dans les mains de quelques individus signifie qu’ils ont tendance à avoir une large influence, que ce soit sur les marchés boursiers internationaux ou dans des industries spécifiques », ajoutent-ils.
Le rapport montre que 30% des ultra-riches résident en Amérique du Nord, 25% d’entre eux en Europe, et 23% en Asie. Actuellement, on compte 44 505 ultra-riches en Asie, et ils possèdent une fortune cumulée de 6.600 milliards de dollars, contre 58 065 d'ultra-riches en Europe avec un patrimoine combiné de 7 700 milliards de dollars. Cependant, dans ce domaine, l’Asie devrait rattraper l’Europe en 2017, selon le rapport.
Il observe également que les hommes représentent 87% de la population totale des ultra-riches, et que plus de 64% sont des self-made men, c’est à qui se sont enrichis seuls, tandis que 13% ont hérité de leur fortune. En revanche, pour les femmes, l’héritage est le principal moyen d’accès à la richesse, et seulement 33% d’entre elles sont des « self-made women », contre 50% qui avaient hérité de leur fortune.
Les chercheurs ont également noté que les ultra-riches dépensaient en moyenne individuellement 800 000 euros par an en produits et services de luxe.
http://www.express.be/business/fr/economy/0004-de-la-population-saccaparent-13-de-la-richesse-du-monde/209469.htm
SupprimerAttention, il y a fortune et 'fortune' ! Au-delà d'une 'certaine somme', les riches ne regardent plus, donc, ils sont près à acheter du Picasso pour des millions alors qu'un enfant de 4 ans peut en faire autant pour gratis, bref, donc, à dire qu'une voiture coûte la somme astronomique de... est se foutre de la gueule du monde tant la marge peut être importante ! Donc, de dire que quelqu'un est miliardaire... "Tu l'as acheté combien cette merde ?.... Whooôôaââh ! eh bêh, ils ne se sont pas foutu de ta gueule ! Hahahaha !"
Pas encore dans le monde entier: les internautes 3 milliards, mais la population mondiale moitié encore hors ligne
RépondreSupprimer25 Novembre, 2014 14:16
Les comptes mondiaux de la population en ligne maintenant est de plus de 3 milliards de personnes, rapporte une agence de l'ONU. Comme l'accès à l'infrastructure informatique s'améliore, des milliards de personnes - 90 % d'entre eux dans les pays en développement - restent hors ligne.
l'utilisation d'Internet se développe à un taux de 6,6 % en 2014, des chercheurs de l'Union internationale des télécommunications (UIT) ont signalé.
UIT, l'agence des Nations Unies responsable de l'élaboration de l'information et de la technologie de communication, a publié un rapport annuel «Mesurer la société de l'information" rapport lundi.
Selon des données récentes, l'utilisation d'Internet a vu 8,7 % "dynamique" la croissance dans les pays développés et la croissance de 3,3 % en pays en développement. Cependant, les derniers pays abritent les deux tiers des utilisateurs d'Internet, avec leur nombre doubler dans les cinq années 2009-2014.
Pourtant, plus de 4,3 milliard de personnes ne sont pas en ligne.
- voir clip sur site -
L'organisation a déclaré que 2,5 milliard de personnes vivent dans 42 pays les moins connectés du monde, en particulier dans leurs grandes zones rurales, sont largement hors de la portée de la technologie et de l'infrastructure.
Dans le cadre du plan de l'UIT »Connect 2020 Agenda pour mondial de télécommunications / TIC développement», l'UIT a exprimé une idée pour aider à apporter encore 1,5 milliards de personnes en ligne en 2020.
«Les TIC ont le potentiel de faire du monde un endroit beaucoup mieux - en particulier pour ceux qui sont les plus pauvres et les plus privés de leurs droits, y compris les femmes, les jeunes et les personnes handicapées», a déclaré le secrétaire général de l'UIT Hamadoun I. Touré dans le déclaration .
«Ce rapport important, ce est une partie essentielle du processus global de développement des TIC. Sans mesure nous ne pouvons pas suivre les progrès, ce est pourquoi l'UIT rassemble statistiques sur les TIC pour 200 économies à travers plus de 100 indicateurs ", a t-il ajouté.
(suite en dessous:)
- voir graphiques sur site -
RépondreSupprimerQui plus est, le rapport, comme d'habitude, fait une liste de 166 pays, en fonction de leur indice de développement des TIC. Il mesure leur niveau de IT accès, l'utilisation et les compétences. Le Danemark en tête de liste, suivie par la Corée du Sud, le chef de file de l'année précédente.
La domination européenne a été soutenue par la troisième place de la Suède, suivie par l'Islande et la Grande-Bretagne. Les États-Unis est venu 14e, tandis que la Fédération de Russie se trouve à la 42e. Les taux les plus élevés d'amélioration régionales de l'année écoulée ont été présentés par l'union des anciennes républiques soviétiques (la Communauté des Etats indépendants) et les Etats arabes.
La croissance soutenue des utilisateurs d'Internet »a été traduit par une forte augmentation du volume de contenu en ligne," selon le rapport. Il soutient cette idée avec les chiffres suivants: plus de 100 heures de contenu vidéo sont téléchargés chaque minute sur YouTube, qui est maintenant le plus grand service de partage de vidéos au monde.
Remarquablement, il y aura 7 milliards d'abonnements mobiles d'ici la fin de 2014, selon les estimations. Bien que ce nombre correspond à peu près à la population mondiale totale, il ne signifie pas que - enfin - tout le monde est connecté, que de nombreux utilisateurs ont plusieurs abonnements.
Selon les estimations de l'UIT, 450 millions de personnes sont hors de portée du service cellulaire mobile. Mais l'organisation estime que la part du total mondial de la bande passante internationale pays en développement a augmenté de seulement 9 % en 2004 à plus de 30 % en 2014.
http://rt.com/news/208607-global-online-population-report/
La France paiera à la Russie une compensation pour les Mistral (Tchijov)
RépondreSupprimerPar La Voix de la Russie
La Russie n’a pas l’intention de supplier Paris de lui fournir les porte-hélicoptères de catégorie Mistral et met en garde la France du fait que ce contrat, s’il n’est pas réalisé, risque de coûter cher à la France. C’est ce qu’a déclaré le représentant permanent de la Russie auprès de l’UE Vladimir Tchijov en commentant la déclaration de l’Elysée concernant la suspension du processus de transfert à la Russie du porte-hélicoptères.
« Si cette décision est définitive, cela risque de coûter plus cher à la France que le prix des deux porte-hélicoptères, et même plus cher que le montant des compensations que la Russie touchera pour la non-réalisation du contrat. C’est la réputation de la France et son prestige en tant que partenaire commercial en matière de l’armement, qui sont en jeu », a déclaré Tchijov.
Ce mardi le président français François Hollande a déclaré que le transfert du premier porte-hélicoptères à la Russie est suspendu à cause de la situation en Ukraine.
http://french.ruvr.ru/news/2014_11_25/La-France-paiera-a-la-Russie-une-compensation-pour-les-Mistral-Tchijov-4470/
Russie loi les modifications pour permettre au canon pour l'autodéfense ?
RépondreSupprimerPar Dean Weingarten AmmoLan
25 novembre 2014
Arizona - ( Ammoland.com ) - Lien vers la vidéo de Maria Butina à la réunion Texas NRA.
En 2010 , il a été signalé que le Parlement russe envisageait desserrant la loi russe sur la légitime défense, pour permettre Russes qui propres armes à feu légalement pour leur exécution aux fins de légitime défense. Le ministre de la Justice de Russie, Alexander Konovalov était fermement contre la possibilité.
En 2013, il a été rapporté que l'organisation russe, le droit de porter des armes, n'avait que 1 000 membres. Elle a été fondée par Maria Butina, la vieille rousse de 24 ans sur la photo dans la vidéo et au-dessus.
- voir clip sur site -
Nous apprenons maintenant que la loi russe a été modifiée pour permettre à la population civile pour porter d'armes létales pour l'autodéfense. De sputnicknews.com, le 18 Novembre 2014:
MOSCOU, le 18 Novembre (Spoutnik) - La Russie a mis à jour sa législation pour permettre aux civils de porter des armes à feu pour se défendre, selon un décret modifié sur les armes létales qui sont apparus mardi sur la base de données officielle de lois russes et des documents juridiques.
Il ne est pas clair exactement qui sera en mesure de se qualifier pour posséder des pistolets, par exemple. Il ne est pas impossible d'obtenir un permis de possession un fusil de chasse en Russie, mais une personne doit être un propriétaire de fusil de chasse pendant plusieurs années avant de pouvoir acheter un fusil.
La modification de la loi est probablement liée à une pétition présentée par plus de 100 000 Russes pour permettre armes à feu doit être utilisé pour défendre leurs résidences. La pétition a été présentée en Février 2014, pour la troisième fois. Il y a, dit-on de cinq millions d'armes à feu légales propriétaires en Russie, mais il ya beaucoup plus que les propres armes à feu sans sanction légale.
Le mouvement pour créer un droit de porter les armes est assez jeune en Russie, mais il a remporté une victoire importante. Il a été rapporté que la nouvelle loi ne se applique qu'aux armes d'épaule extérieur de la maison, dans des circonstances particulières. Un correspondant russe écrit que la loi ne autorise pas la propriété des armes de poing, et que les changements sont les bienvenus, mais mineur.
Nous serons regarder pour plus d'informations.
http://www.lewrockwell.com/2014/11/no_author/all-citizens-may-now-carry-firearms-for-self-defense/
Documents américains piratés censés révéler l'étendue de la non-« Lethal Aid » pour l'armée d'Ukraine
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 25/11/2014 14:46-0500
Il a été une demi-année, puisqu'elle a été révélée que les États-Unis a été à l'envoi d'aide non létales pour l'Ukraine : Rappelons que c'est en Début juin quand Obama a annoncé qu'il avait approuvé $ 5 millions dans les gilets pare-balles, de lunettes de vision nocturne et de matériel de communication supplémentaires pour l'armée ukrainienne.
Depuis lors, le sujet d'armer l'armée de l'Ukraine dans sa guerre civile contre la région séparatiste de l'est ou non a été un sujet d'actualité dès aujourd'hui, lorsque VOA a signalé que "vice-président américain Joe Biden a condamné ce qu'il appelle"L'agression de la Russie"en Ukraine, mais s'arrêta de dire Qu'aux États-Unis fournira l'Ukraine avec lethal aid...le candidat de la maison blanche pour combler le poste numéro deux au département d'Etat a dit que les États-Unis devrait envisager de matériel militaire meurtrier en Ukraine".
Toutefois, comme ces derniers temps a été un thème récurrent, l'administration Obama peut-être pas exactement honnête avec le public ou les faits. Du moins, c'est la conclusion basée sur piraté documents publié plus tôt aujourd'hui par le groupe de hackers ukrainiens CyberBerkut, qui révèlent que malgré les assurances du contraire, aux États-Unis en effet offre une aide substantielle létale aux forces armées de l'Ukraine.
Sous forme de rapports Sputniknews, « selon les pirates, les renseignements ont été obtenus au cours de la visite des États-Unis vice-président Joe Biden en Ukraine la semaine dernière, quand ils étaient en mesure d'accéder à des documents confidentiels de département d'état via un appareil mobile d'un membre de la délégation américaine. »
"Après examen de juste un plusieurs fichiers il y a l'impression que l'armée ukrainienne est la branche des Forces armées des américaines. Le volume de l'aide financière américaine frappe par son ampleur. Ils montrent également le plus haut niveau de dégradation des Forces armées ukrainiennes. En outre, des milliers de dollars allument sur les comptes personnels des militaires et utilisent par certains officiers en besoins personnels. Ce que les contribuables américains dira ?" indique le communiqué publié sur l'officiel page web CyberBerkut .
Désolé, mais les contribuables américains sont trop occupés à d'autres plus pressantes, que la police comment leur gouvernement dépense leur argent.
D'autres documents publiés par les pirates informatiques indiquent que Washington est prêt à fournir à l'Ukraine "des fusils de 400 unités de tireur d'élite, les 2 000 unités de fusils d'assaut, lance-grenades de 720 main, près de 200 mortiers et plus de 70 000 obus pour eux, 150 stingers et 420 missiles antichar."
(suite en dessous:)
La divulgation de documents présentés ci-dessous n'ont pas été vérifiées afin de prendre avec un grain de sel, même s'il est utile de rappeler que c'était une fuite piratée de conversation de Victoria Nulan en février 2014 qui a révélé cette mesure des coulisses de l'ingérence étrangère par le département d'état des nous dans les affaires intérieures de l'Ukraine juste avant le coup d'État présidentiel.
RépondreSupprimer- voir fac-similé sur site -
Le commandement de la marine nous demande de parrainer des officiers ukrainiens pendant des exercices militaires dirigés par le Pentagone sur le territoire de l'Ukraine
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Document montrant prétendument une ordonnance qui a l'US Dept of Defense « don » des dizaines de millions pour l'Ukraine les achats d'équipement défensif américain.
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L'armée Académie nommée après Hetman Petro Sagaydachnyi demande pour couvrir les dépenses de l'exercice pour les repas et faux frais d'onze officiers et un civil
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Ces documents ci-dessous montrent les signatures de Barak Obama et de John Kerry. Les États-Unis fournira des Forces armées ukrainiennes avec radars de mortier
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400-fusils de sniper, 2 000-fusils d'assaut, 720 lance-grenades portatifs 200 mortiers avec plus de 70 000 mines, 150 stingers, 420 missiles antichars et ainsi de suite
- voir fac-similé sur site -
Les Forces navales de l'Ukraine recevoir l'équipement pour 150 plongeurs de combat
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Le pdf suivant est censée contenir la liste la plus complète de l'aide militaire américaine à l'Ukraine (lien)
http://www.zerohedge.com/news/2014-11-25/hacked-us-documents-said-reveal-extent-undisclosed-us-lethal-aid-ukraine-army
La Russie, l'Arabie Saoudite, le Mexique, le Venezuela décident de ne pas couper la production de pétrole
RépondreSupprimer26 Novembre 2014 00:22
Des délégations de Russie, l'Arabie Saoudite, le Mexique et le Venezuela se sont réunis pour la première fois dans un tel format pour des entretiens à Vienne pour discuter rapidement la baisse des prix du pétrole. Le groupe a convenu de surveiller les prix pour une année
Les ministres de l'énergie n'ont pas convenu de réduction de la production de pétrole, que ces accords ne peuvent être atteints au cours des réunions de l'OPEP, le ministre vénézuélien des Affaires étrangères, Rafael Ramirez, a déclaré à la suite des discussions tenues au Park Hyatt à Vienne le mardi. Il a ajouté que le groupe estime également que les prix actuels du pétrole sont trop faibles, et nommé un juste prix à 100 $ le baril. Le ministre de l'Énergie de la Russie Aleksandr Novak et Igor Sechin, la tête de la compagnie pétrolière d'Etat Rosneft, a assisté à la réunion. Sechin a déclaré que le groupe a convenu de surveiller les prix pendant l'année et éventuellement rencontrer dans le même format chaque trimestre. Bien que le prix du pétrole a chuté à près de 40 $ le baril au cours des cinq derniers mois, ce est " pas critique "la tête Rosneft a dit aux journalistes. "Nous pouvons déplacer la période de certain capital-intensive mise en œuvre projets. Mais bien sûr, il aura une incidence sur le niveau global de l'approvisionnement en pétrole ", a t-il ajouté. Il a dit que Rosneft a déjà réduit sa production de 25 000 barils par jour. Cependant, cela a été fait en raison d'une augmentation de l'efficacité de la production et l'efficacité de la les actionnaires de la société, ainsi que les modalités de distribution du marché, Sechin dit. Les discussions inattendues viennent au milieu d'une baisse d'environ 30 pour cent des prix du pétrole depuis Juin. Pendant ce temps, les ministres des pays membres de l'OPEP, qui ne incluent pas la Russie et le Mexique, sont prévues pour réunir jeudi à Vienne.
L'expert en pétrole et de gaz au cabinet international de conseil en management AT Kearney, Joerg Doerler, dit RT que parmi les facteurs qui influent sur le marché mondial du pétrole est la production de réserves de schiste aux États-Unis.
"Un autre facteur très important influençant la dynamique dans le marché mondial du pétrole est le côté de la demande, où le développement économique est très faible en Europe et en Chine. Donc, tant que cela n'a pas été résolus, je pense que les prix du pétrole restent au niveau où ils sont ", a t-il dit.
http://rt.com/news/208791-oil-price-talks-vienna/
La Maison Blanche restreint la liberté de la presse aux Etats-Unis (rapport)
RépondreSupprimerPar La Voix de la Russie
Les journalistes qui travaillent avec les autorités des Etats-Unis, parlent des difficultés d’accès aux informations des structures gouvernementales et évoquent des restrictions concernant la liberté d'expression. C’est ce qui a été indiqué dans le rapport sur les droits de l’Homme 2014, publié par l’Institut de la démocratie et de la coopération.
Les auteurs du rapport soulignent que la réalité des choses aux Etats-Unis ne donne aucune raison d’affirmer que les obstacles qui se créent dans le travail des journalistes, font partie de la politique délibérée de l'exécutif américain . Selon eux, les forces politiques, qui pourraient se battre de manière efficace pour l’amélioration de la situation, ne sont pas suffisamment nombreuses, mentionne le document.
http://french.ruvr.ru/news/2014_11_25/La-Maison-Blanche-restreint-la-liberte-de-la-presse-aux-Etats-Unis-rapport-3902/
L'Europe développe un système dénonciation anonyme
RépondreSupprimer24.11.2014 | Source:
Pravda.Ru
Les autorités municipales de la capitale danoise ont introduit le système de dénonciation anonyme. Les fonctionnaires de la municipalité de Copenhague disent que l'initiative a reçu une réponse positive de la population de la capitale danoise, y compris 81 pour cent des syndicats. En outre, le système a déjà démontré son efficacité, rapporte RT.
Un représentant de la municipalité de Copenhague a déclaré que l'introduction du système a été considérée comme une réussite, car il a fourni un canal d'information pour les autorités, mais dont ils seront en mesure d'obtenir les informations qu'ils ne pouvaient pas recevoir d'esprit utilisation d'autres méthodes avant, pour régler des problèmes existants.
Au cours des deux dernières années, les citoyens locaux ont été encouragés à signaler toute activité suspecte au bureau du maire de la ville. Pendant ce temps, les autorités ont reçu 84 messages. Deux tiers d'entre eux étaient liés à des activités illégales ou de graves violations de la loi, rapporte TASS.
http://english.pravda.ru/news/world/24-11-2014/129111-europe_denunciation-0/
Les Etats-Unis fait à ce que la France ressemble à un lèche-bottes de Washington
RépondreSupprimer25.11.2014
La France a reporté encore une fois la livraison de la première Mistral porteuse type d'hélicoptère en Russie. Le président français François Hollande a décidé de suspendre le transfert du navire en raison de la situation en Ukraine, rapporte RIA Novosti en référence à l'Elysée.
"Le Président de la République estime que la situation actuelle dans l'est de l'Ukraine ne autorise toujours pas la livraison de la première Mistral à la Russie. À cet égard, il a jugé nécessaire de reporter la question sur l'autorisation de remettre le premier Mistral à la Russie, "un message de service du président français de presse dit.
Le premier navire d'assaut amphibie Mistral, "Vladivostok", devait être remis à la marine russe sur Novembre 14. Les Etats-Unis se oppose avec véhémence à la livraison du navire à la Russie. Paris, à son tour, a déclaré à plusieurs reprises que la France est obligée d'exécuter le contrat avec la Russie.
Vadim Gorshenin, le Président du Conseil d'administration Pravda.Ru, a écrit sur sa page Facebook le 20 Novembre que la France préfère rompre le contrat, plutôt que de décevoir son partenaire américain:
"La France a pris une décision très audacieuse sur le Mistral, étant donné l'impact de cette décision sur l'économie et d'autres aspects. Si je comprends bien, les États a finalement gagné le combat à convaincre les Français de ne pas livrer Mistral à la Russie. Tout semblait être bien, que la Russie recevrait son argent, plus les pénalités de France. Cependant, Kerry voulait plus. Il voulait régler le français jusqu'à les faire ressembler à des partenaires malhonnêtes et publiquement soulignent le fait qu'ils sont les lèche-bottes de Washington. De Gaulle doit se retourner dans sa tombe cause de l'humiliation du pays qu'il a utilisé pour mener ... "
La Russie agira strictement selon le contrat dans le contexte de la situation actuelle. La Russie va poursuivre la France, si ce dernier ne parvient pas à exécuter les obligations contractuelles, sous-ministre de la Défense de la Russie Yuri Borisov dit, rapporte TASS. Le fonctionnaire a également déclaré que Moscou demander des sanctions du côté français.
Le chef de la commission des affaires de la CEI de la Douma, Leonid Slutsky, a déclaré que si la Russie a déposé une plainte contre la France devant la Cour d'arbitrage de Stockholm dans le cadre de la décision sur les navires Mistral, la Russie allait gagner l'action immédiatement, RIA Novosti rapports.
(suite en dessous:)
Dans la matinée du 24 Novembre, le ministre français des Affaires étrangères Laurent Fabius a déclaré que "les conditions pour la livraison ne ont pas été respectées pour des raisons évidentes." Selon lui, "il suffit de regarder ce qui se passe aujourd'hui en Ukraine."
RépondreSupprimerPlus tard, sur le site de l'Elysée, un communiqué de l'Administration présidentielle de la France a été publié. Dans la déclaration, il a été dit que la tête de la République française a décidé de suspendre la livraison du navire, jusqu'à nouvel ordre, dans le cadre de la situation en Ukraine.
Le président français François Hollande, qui a décidé de reporter la livraison de Mistral à la Russie, se efforce de trouver un équilibre entre les obligations à la Russie, partenaires de l'UE et de l'OTAN. Si seulement ce était à lui de prendre la décision, le navire serait remis à la Russie il ya longtemps, le président du Comité international de la Douma d'Etat Alexey Pushkov croit.
"La France essaie de trouver un équilibre entre ses obligations envers la Russie, l'UE et l'OTAN. La France devrait décider de ne pas livrer les navires à la Russie, elle démontrera sa position dépendante. Naturellement, il va causer beaucoup de dommages à la française sur le bras de monde market..In mon avis, si la décision dépendait de Hollande, Mistral seraient livrés ", a déclaré aux journalistes Pushkov.
Le député a dit que le président de la France reste dans le système de coordonnées de l'Union européenne, et il doit faire preuve de solidarité. La pression des Etats-Unis joue aussi son rôle.
"Il a pris la décision de Salomon: quand il n'y a pas de solution, il faut reporter", a déclaré Pushkov.
Selon le député, la France ne est pas disposé à se complètement intégrée dans la ligne anti-russe. Dans le même temps, le pays ne veut pas se brouiller avec ses alliés soit.
"Je ne pense pas que nous sommes intéressés à aggraver les relations avec le gouvernement français. Ils ne nient pas, mais retarder la livraison. Je crois que nous sommes prêts à attendre un certain temps aussi," dit-il.
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Pendant ce temps, membre du Comité de Défense de la Douma, Vladimir Bessonov, a déclaré que la Russie devrait interdire les importations de vin français à la Russie en réponse à la décision de la France de suspendre l'exécution du contrat Mistral. "Interdisons les ventes de vins français en Russie. Même une discussion de ce peut conduire à des résultats souhaités", a déclaré le Service Nouvelles russe.
RépondreSupprimerLe député a dit que ce était la faute de la Russie pour acheter les navires d'un membre de l'OTAN. "On ne peut pas acheter des produits alimentaires, laisser les bras seuls, de pays de l'OTAN. Ce est la plus grande folie, sinon saboter. Pour couronner le tout, les hélicoptères russes ne seront pas en mesure d'atterrir sur ces navires," a t-il dit.
http://english.pravda.ru/world/europe/25-11-2014/129129-france_mistral_russia-0/
Les États-Unis de faire pression sur la Malaisie pour faire taire les raisons de l'accident Boeing
RépondreSupprimerLa Malaisie a déclaré qu'il sera obligé d'envoyer à plusieurs reprises ses experts pour le site du crash du Boeing Malaysia Airlines en Ukraine. Pour le dire en un mot, la Malaisie est très mécontente avec le cours de l'enquête et est forcé de mener sa propre enquête, dans une tentative pour restaurer l'image de ce qui est arrivé à son avion dans le ciel au-dessus de l'Ukraine. Très probablement, l'histoire de l'avion abattu sera caché avec soin.
Pour ceux, qui, plus ou moins comprendre la situation, il est clair que ni la milice ni la Russie ne ont été impliqués dans la terrible catastrophe. La seule question est de savoir si l'Ukraine ailleurs abattu le Boeing ou ce était un soigneusement planifié, mais un acte maladroitement exécuté de provocation. Étant donné que, selon les informations disponibles, l'avion était au premier coup en l'air, puis fini avec un missile, parfois est pratiquement exclu. Photos de systèmes de missiles Buk, prétendument dus par les milices, sont apparus instantanément.
Un provocateur parasite à Donetsk, quelques jours avant la catastrophe, a laissé entendre que la milice possédait complexes Buk. Le sort de Boeing avait été décidé à l'avance. Malaisie, qui a été donné le rôle d'un outsider, ne sont pas d'accord avec un tel état de choses. Deux catastrophes étranges, où les Malaisiens ont été utilisées à certaines fins obscures, poussent le pays vers une action distincte et indépendante. Il est difficile de prévoir, quel genre de résultats les Malaisiens obtenir. Très probablement, il n'y aura pas trouvé des preuves indéniables.
L'Occident n'a pas besoin d'une enquête qualitative dans les circonstances actuelles. Il ya une petite chance et une possibilité que les Hollandais ont trouvé éléments destructeurs dans les corps des passagers. Si oui, leur indifférence à la tragédie devient compréhensible. Cependant, ce est un événement sans précédent. Localiser et collecter les débris ne est pas une possibilité que l'on obtient souvent en pareil cas. Très probablement, lors retarder la publication des résultats de l'enquête ne est pas plus une option, ils annoncera les résultats d'une manière non-public et essayer de résoudre la question avec la Malaisie en privé.
Plus que probablement, l'Ukraine va promettre de payer quelque chose; il ne sera pas plaider coupable à la tragédie, et les États-Unis de faire pression sur la Malaisie, de sorte que le pays met en place avec le crash du Boeing. Il ne faut pas oublier un autre joueur qui travaille très étroitement avec la Malaisie - la Chine. Si la situation avec le crash de Boeing peut faire ressortir quelque chose qui va tacher la fois le protégé des Etats-Unis et de la réputation des États-Unis comme une conséquence, la Chine va faire, étant donné que la Chine a un autre allié dans cette - Russie. Paradoxalement, la bataille pour l'Asie du Sud-Est a commencé à se déployer sur les champs de l'Ukraine.
http://english.pravda.ru/world/asia/27-08-2014/128386-usa_malaysia_boeing_crash-0/