* Pour ceux qui doutent encore de l'existence des chemtrails comme technologie militaire de géo-ingénierie, écoutez cet excellent reportage et vous serez convaincus!
En septembre 2014, Jacques Daidié est parti à la rencontre, en Italie de Rosario Marciano, militant connu contre la géo-ingénierie, créateur du site www.tankerenemy.com, et de sa famille. Le présent travail est né de cette rencontre. L'association Ciel voilé remercie Rosario Marciano pour son autorisation de sous-titrage du documentaire italien dont il est le producteur :"Chemtrails : la guerre secrète". Nous remercions aussi chaleureusement tous ceux qui ont contribué à la traduction : Jacques, Dominique d'Avignon, Marie de Monteux, Sébastien de St Firmin en Valgaudemard et Danielle de Gap.
Documentaire de www.tankerenemy.com Sous-titré en français par l'association : www.cielvoile.fr.
Pour connaître la vérité, il est bon de prendre connaissance des deux facettes d'un sujet. Voici donc une réponse à ce documentaire italien où on voit que celui-ci est largement mensonger et manipulateur : http://stopchemtrails.unblog.fr/2014/11/17/chemtrails-la-guerre-secrete-ou-comment-manipuler-ses-spectateurs/
Pour ce qui est des 'chemtrails' (traits chimique), ils existent, mais de là à dire que c'est 'pour le bien de l'humanité', mon oeil ! Ils feraient des annonces de passages, des journalistes et des particuliers pourraient vérifier tous les jours les substances mises dans les réservoirs. Mais de celà, pas question ! Cà alors ! Cacheraient-ils quelque chose ?
Par contre, en ce qui concerne la maîtrise de la météo pour 2025 par les USA, cela ne concerne nullement les aéroplanes (qui expliqueraient encore une fois à quoi ils servent), mais la technologie scalaire.
Par contre, si vous demandez à quoi servent ces traits mortels, la ministre vous dira: "Joker !".
« Après Halloween, nous allons devoir nous farcir le pathétique Black Friday… »
Mes chères contrariennes, mes chers contrariens !
Je l’ai déjà exprimé à plusieurs reprises dans ces colonnes. Je pense que nous devons lutter contre la réduction de l’homme à la simple et à l’unique consommation. Les raisons sont multiples. D’abord, l’être humain dispose d’une dimension spirituelle fondamentale. Il cherche du sens et la consommation de biens matériels n’a, en soi, aucun sens, de même que leur accumulation. Au-delà, réduire l’homme à son rôle unique de consommateur c’est nier sa dimension politique. C’est donc par extension la négation de la démocratie et de la liberté.
Après des années, en réalité des décennies de lavage de cerveau, d’organisation de l’inculture des masses, de bourrage de crâne publicitaire et marketing, l’homo-sapiens est devenu non pas « l’homo-economicus », titre d’un ouvrage, mais plus simplement, ce qui qui est d’ailleurs encore plus effrayant, « l’homo-consomicus ». Plus nous consommons, plus nous croulons sous les biens matériels, plus – et toutes les courbes ou statistiques le montrent sans ambiguïté – les suicides, la violence, la dépression augmentent significativement. Personne n’a cherché de lien entre les deux, sauf peut-être le psychiatre de Sainte-Anne, Christophe André, dont je vous propose de visionner la vidéo ci-dessous.
Si je vous parle de ce sujet, c’est évidemment parce que les grandes multinationales ont décidé – je ne sais pas pourquoi cette année, elles ont dû toutes y penser en même temps sans évidemment se concerter – de nous lancer un nouveau machin du nom de Black Friday, le jour où les Américains qui sont déjà de bons consommateurs lobotomisés consomment encore plus. Alors imaginez un peu si le monde entier consommait comme ces « zAméricains » ? Imaginez un peu les profits si l’ensemble des masses crétinisées et biberonnées depuis leur plus jeune âge au rabâchage publicitaire pouvait se ruer dans les magasins en même temps à travers la planète, les profits seraient colossaux, énormes, phénoménaux… Et c’est désormais la seule chose qui compte. Tout est étalonné à l’aune du profit et de l’argent.
On encense la diversité, et pourtant plus on encense la diversité, plus les faits montrent qu’en réalité on cherche à créer partout l’unicité.
États-Unis : les soldes du « Black Friday » battent leur plein
C’est une dépêche AFP du jour qui nous en apprend long, très long sur la réalité de ce que notre pauvre monde est devenu. Peut-on encore parler de « civilisation » lorsque l’on voit les comportements de masse dans ces temples de la consommation ? Peut-on parler encore de « civilisation » lorsque vous visionnerez cette autre vidéo courte d’ailleurs qui compare les images entre le « Black Friday » de 1983 et celui de 2014 ? Image d’une réalité cruelle. Autoportrait saisissant de nos propres sociétés. Mais avant de voir ces images, revenons à notre dépêche AFP.
« Le « Black Friday » qui voit les consommateurs américains se précipiter sur les magasins offrant des soldes monstres après la fête de Thanksgiving, n’a plus de vendredi que le nom puisqu’il commence désormais dès les jours précédents. » « La tradition de ce « vendredi noir » veut que les Américains profitent du pont de la Thanksgiving, qui tombe le dernier jeudi de novembre, pour se livrer à une orgie d’achats dans les magasins qui cassent les prix pour l’occasion. Au premier rang des marchandises convoitées figurent l’électronique et l’habillement. »
La tradition de l’orgie d’achats… Voilà une bien belle définition de la réalité de ce phénomène face auquel même le journaliste de l’AFP laisse poindre une certaine forme d’écœurement.
« Alors que l’économie américaine se porte plutôt bien, surtout comparée à ses concurrentes européenne et japonaise, la baisse des prix du pétrole est un nouveau facteur qui laisse espérer de bonnes ventes s’étendant du « Black Friday » aux Fêtes de fin d’année. »
Nous apprenons au détour de cette phrase, et dans un élan de sincérité rare, qu’effectivement aux USA, l’économie se porte mieux, mieux que là où elle va très mal, comme en Europe ou au Japon. Au royaume des aveugles, les borgnes sont rois…
Enfin, toujours à propos de la forte reprise américaine, si 47 % de la population américaine va participer à cette grand-messe répugnante d’avilissement de l’homme et de ce qui fait notre humanité, tout de même 53 % n’ont pas « d’intentions d’achats »… Terminologie pudique et de novlangue signifiant plus simplement que 53 % des Américains n’ont pas un rond pour verser leur obole aux dieux des centres commerciaux. Triste revers de la fausse croissance US qui transparaît ici par inadvertance.
« Selon un sondage de Consumer Reports, 53 % des personnes interrogées n’ont pas d’intentions d’achats sur la période de cinq jours couvrant « Black Friday » et « Cyber Monday ». Et sur les 47 % qui ont l’intention de le faire, 38 % disent qu’ils le feront exclusivement en ligne et 30 % exclusivement dans des magasins en dur. »
Je vous laisse donc en image, sur cette vidéo montage que l’un de nos camarades contrariens m’a fait suivre ce week-end. Merci à lui.
Il est déjà trop tard, préparez-vous. À demain… si vous le voulez bien !! Charles SANNAT
Les Suisses votent contre le rapatriement de leurs réserves d'or et la fin du régime de taxation avantageux des riches étrangers
par Audrey Duperron 01 déc. 2014
Finalement, les Suisses ont majoritairement voté « non » contre les propositions de limiter l’immigration, l’abandon des forfaits fiscaux dont bénéficient les riches étrangers résidents dans leur pays, mais aussi à l’augmentation des réserves d’or détenues par la Banque Nationale Suisse, qui faisaient l’objet de 3 référendums distincts ce weekend. La chaîne de télévision suisse SRF a publié les résultats de ces consultations, qui s’établissent à respectivement 74%, 60% et 78% de voix contre.
L’initiative sur l’immigration émanait d’Ecopop, un groupe environnemental qui souhaitait limiter les quotas d’immigration annuels à 0,2% pour ne pas alourdir l’impact de la population sur la nature. Sa proposition correspondait à une réduction de près de 75% des quotas actuels, qui aurait fait passer le nombre d’immigrants annuel en Suisse de 80 000 à 17 000.
En février, une courte majorité de Suisses (50,3%) s’étaient déjà prononcés en faveur de la mise en place de quotas d'immigration pour les résidents de l'UE.
Le référendum sur l'or visait à obliger la Banque centrale suisse à conserver au moins 60% de la valeur de ses avoirs en or dans ses propres coffres, comparativement à 7,5% aujourd'hui. En cas de victoire du « oui », la Banque Nationale Suisse (BNS) aurait eu à organiser le rapatriement de l’or qu’elle détient au Canada et en Grande-Bretagne, qui représente 30% de ses actifs, et acquérir sur le marché l’or nécessaire qui lui manque pour porter ses réserves à 60% de ses actifs, soit 22,5% de ses actifs. Elle aurait disposé de 5 ans pour acheter les 1700 tonnes d'or supplémentaires nécessaires pour compléter ses réserves, ce qui représente environ 70% de la production annuelle mondiale du métal précieux.
Le dernier référendum devait trancher sur la levée d'une mesure fiscale appelée « forfait fiscal » qui permet aux millionnaires étrangers résidant dans certains cantons du pays d’être imposés à l’impôt sur le revenu sur la base de leurs dépenses, plutôt que sur les revenus de leur capital. Si le « oui » l’avait emporté, beaucoup auraient perdu un avantage fiscal considérable, puisqu’ils ne payent que des montants d’impôts très modiques au regard de ce qu’ils devraient normalement payer. En 2012, 5634 personnes domiciliées dans 6 cantons, bénéficiaient de ce régime fiscal.
En novembre 2013, une votation avait été organisée à l’instigation des Jeunes Socialistes suisses qui avaient proposé de limiter les salaires des cadres seniors à 12 fois le montant de la rémunération des salariés les moins payés de l’entreprise (initiative "1:12"). Mais près des deux tiers des votants (65%) s'étaient opposés à cette mesure.
Guess What arrivé la dernière fois le prix du pétrole Crashed Like This ? ...
Par Michael Snyder, le 30 Novembre 2014
Il a eu qu'un seul autre moment de l'histoire où le prix du pétrole se est écrasé par plus de 40 dollars en moins de 6 mois. La dernière fois que cela se est passé était au cours de la seconde moitié de 2008, et le début de cet accident du prix du pétrole a précédé le grand effondrement financier qui se est passé plus tard cette année par plusieurs mois. Eh bien, maintenant il se passe encore, mais cette fois les enjeux sont encore plus élevés. Lorsque le prix du pétrole chute de façon spectaculaire, ce est un signe que l'activité économique se ralentit. Il peut aussi avoir un effet déstabilisateur énormément sur les marchés financiers. Comme vous pourrez le lire sur ci-dessous, les sociétés d'énergie représentent désormais environ 20 % du marché des obligations de pacotille. Et une implosion des obligations de pacotille est habituellement un signal qu'une grande Krach est sur le chemin. Donc, si vous cherchez un «canari dans la mine de charbon», garder un oeil sur le rendement des obligations de pacotille d'énergie. S'ils commencent à s'effondrer, c'est un signe que l'enfer est sur le point de se détacher à Wall Street.
Il serait difficile d'exagérer l'importance de l'essor de l'huile de schiste à l'économie américaine. Merci à ce boom, les États-Unis sont devenus le plus grand producteur de pétrole sur l'ensemble de la planète.
Oui, les États-Unis maintenant produit réellement plus de pétrole que l'Arabie saoudite soit ou la Russie. Cette «révolution» a abouti à la création de millions d'emplois depuis la dernière récession, et il a été l'un des facteurs clés qui a gardé le pourcentage d'Américains qui sont employés relativement stable.
Malheureusement, le boom de l'huile de schiste est à venir à une fin abrupte. Comme un récent article Vox discuté , l'OPEP a essentiellement déclaré une guerre des prix sur les producteurs américains de pétrole de schiste ...
Pour toutes fins utiles, l'OPEP est maintenant engagé dans une «guerre des prix» avec les États-Unis. Ce que cela signifie, ce est qu'il ne est pas cher pour pomper l'huile d'endroits comme l'Arabie saoudite et le Koweït. Mais ce est plus cher à extraire le pétrole des formations de schiste dans des endroits comme le Texas et le Dakota du Nord. Alors que le prix du pétrole ne cesse de tomber, certains producteurs américains peuvent devenir rentables et se retirer des affaires. Le résultat ? Les prix du pétrole vont se stabiliser et l'OPEP maintient sa part de marché.
Si le prix du pétrole reste à ce niveau ou continue de tomber, nous allons voir un nombre important de compagnies pétrolières américaines de schiste qui sortent de l'entreprise et un grand nombre d'emplois seront perdus. Les Saoudiens savent comment jouer dur, et ils sont absolument impitoyable. En fait, nous avons vu ce genre de scénario se produire avant ...
Robert McNally, un conseiller de la Maison Blanche à l'ancien président George W. Bush et le président du conseil en énergie Rapidan Groupe, a déclaré à Reuters que l'Arabie saoudite "acceptera une baisse nécessaire de la sueur des prix quelle que soit les coupures d'approvisionnement qui sont nécessaires pour équilibrer le marché hors des États-Unis secteur de l'huile de schiste. "Même le légendaire homme d'huile T. Boone Pickens croit que l'Arabie Saoudite est dans un stand-off avec US foreurs et frackers" à voir comment les garçons de schiste vont résister à un prix moins cher. "C'est arrivé une fois avant. Vers le milieu des années 1980, que la production de pétrole à partir du versant nord de l'Alaska et de la mer du Nord est venu sur la ligne (de production combinée d'environ 5-6 millions de barils par jour), l'OPEP a déclenché une guerre des prix de conquérir des parts de marché. En conséquence, le prix du pétrole a coulé d'environ 40 $ à un peu moins de 10 $ le baril en 1986.
Mais le secteur de l'énergie a été l'un des seuls points positifs de l'économie américaine au cours des dernières années. Si ce secteur commence à se effondrer, il va avoir un impact négatif considérable sur nos perspectives économiques. Par exemple, il suffit de considérer les numéros suivants d'un récent article de Business Insider ...
Plus précisément, si les prix deviennent trop faible, les sociétés d'énergie ne seront pas en mesure de couvrir le coût de production aux États-Unis. Ces dépenses par les sociétés d'énergie, aussi connu comme les dépenses en immobilisations, est responsable d'un grand nombre d'emplois.
"Le secteur de l'énergie pour environ un tiers du S & P 500 capex et près de 25% des dépenses d'investissement combinée et dépenses de R & D", écrit Goldman Sachs Amanda Sneider. Encore plus troublant, ce est ce que cela pourrait signifier pour les marchés financiers.
Comme je l'ai mentionné ci-dessus, les sociétés d'énergie représentent désormais près de 20 pour cent du marché des obligations de pacotille entier. Comme ces entreprises commencent à échouer et ces obligations commencent à aller mal, ça va frapper nos grandes banques vraiment dur ...
Tout le monde pourrait souffrir si l'effondrement déclenche une vague de défauts sur le marché de la dette à haut rendement, et à son tour, frappe les stocks. Le premier à tomber: les banques qui ont été mis à toucher de la crise du logement.
Pourquoi est-ce possible ?
Eh bien, les compagnies énergétiques font n'importe où de 15 à 20 pour cent de toutes les dettes de la malbouffe US, selon diverses sources. Il serait difficile d'exagérer la gravité de ce que les marchés pourraient être confrontés.
" Ce est la seule chose que je ai vu maintes et maintes fois », a déclaré Larry McDonald, responsable de la stratégie des États-Unis au groupe de macros de Newedge USA. " Lorsque haut rendement sous-performe l'équité, un événement de crédit majeur se produit. Ce est le canari dans la mine de charbon. " La dernière fois que les obligations de pacotille sont effondrés, un grand Krach suivie assez rapidement.
Et ceux qui ont été les plus touchées sont les grandes banques de Wall Street ...
Lors de la dernière chute à haut rendement, qui articule autour de la dette liée au secteur du logement, Citigroup a perdu 63 % de sa valeur dans les 60 jours suivants, Kensho montre. Bank of America a été réduit de moitié . Je comprends que certaines de ces informations est trop technique pour un grand nombre de personnes, mais la ligne de fond est-ce ...
Regardez les obligations de pacotille. Quand ils commencent à s'écraser c'est un signe qu'un grand effondrement du marché boursier est à la porte .
À ce stade, même les médias traditionnels sont en garde à ce sujet. Il suffit de considérer l'extrait suivant d'un récent article de CNN ...
Ce swing loin de junk bonds arrive souvent peu de temps avant les baisses du marché boursier .
"À haut rendement fournit des signaux de vente utiles aux investisseurs en actions," les analystes de Barclays ont conclu dans un rapport récent.
Barclays passé au peigne fin les douze dernières années de données. Le signal d'avertissement qu'ils ont trouvé est une augmentation de 30% ou plus de l'écart entre les bons du Trésor et les obligations de pacotille avant de vous baigner. Si vous avez été en attente pour la prochaine effondrement financier majeur, ce que vous venez de lire dans cet article indique qu'il est maintenant plus proche qu'elle ne l'a jamais été.
Au cours des prochaines semaines, gardez un oeil sur le prix du pétrole, garder un oeil sur le marché des obligations de pacotille et de garder un oeil sur les grandes banques.
Problème, ce est le brassage, et personne ne sait vraiment exactement ce qui vient après.
Référendum or Suisse échoue : 78 % des voix contre « Protéger la richesse du pays »
Soumis par Tyler Durden le 30/11/2014 19:10-0500
À la suite d'une sans précédent campagne effrayer par la Banque nationale suisse (plus récemment renforcée par Citigroup), ou en raison de la confiance que l'or Suisse est aussi sûr à l'étranger car il est à la maison, ou tout simplement en raison du bon vieux "pendaison chads", événement le plus attendu d'aujourd'hui est venu et reparti et le résultat - selon les projections au début de la télévision suisse SRF - est que la population suisse a massivement rejeté un référendum pour forcer la Banque nationale suisse de contenir certaines 20 % de ses réserves en or lors d'un vote de glissement de terrain, avec environ 78 % votant contre quel AP poliment appelé "protéger la richesse du pays en investissant dans l'or."
Comme les rapports de Bloomberg, la proposition prévoyant la Banque nationale suisse de détenir au moins 20 pour cent de son bilan ($ 540 milliards) de 520-milliards-franc en or a été rejeté par 78 à 22 %, selon les projections de la télévision suisse SRF à partir de l'heure locale 13:00. L'initiative « Save Our Swiss Gold » également la BNS aurait interdit de jamais vendre un de ses lingots et requis les 30 pour cent actuellement stockés au Canada et au Royaume-Uni d'être rapatriés.
Cela dit, la décision sera likley pas arrivé comme une surprise, parce que tandis que les premiers sondages donnait le camp du Oui un surprenant, par la suite du scrutin ont montré un changement marqué dans l'opinion publique et prévision de rejet de l'initiative.
Le grand gagnant, bien sûr, est la Banque nationale suisse : les décideurs BNS a averti à plusieurs reprises que la mesure, il aurait été plus difficile de maintenir des prix stables et protéger le cap de la Banque centrale sur le franc de 1,20 euro. Ce taux de change minimum a été mis il y a trois ans avec la Banque nationale s'engageant à acheter des devises étrangères en quantité illimitée pour le défendre.
« La BNS peut se sentir confirmée dans sa politique, » a déclaré Martin Gueth, économiste chez LBBW à Stuttgart. "En rejetant la mesure d'or, les électeurs sont sortis en faveur de son attitude actuelle."
Référendums sont un élément clé du système suisse de démocratie directe et ont lieu au niveau national et au niveau municipal, plusieurs fois par an. L'initiative de l'or a été lancé par une poignée de membres du parti du peuple suisse de l'Union européenne-sceptique. Mal à l'aise sur plus que 100 milliards d'euros la BNS détient, ils soutiennent leur initiative renforcera--pas affaiblir--crédibilité de la Banque centrale.
Cependant, Président de la BNS Jordan étiqueté l'initiative « dangereux » et son collègue de Conseil Fritz Zurbruegg a déclaré accepter que la mesure signifiait que la marge de manœuvre « sur la monnaie réserves serait considérablement restreintes, avec des conséquences négatives pour l'économie suisse ».
La Banque centrale, basées à Berne et Zurich, ont été confrontés à un délai de trois ans pour rapatrier ses lingots de l'étranger et cinq à atteindre le seuil de 20 pour cent fixé. Avec la Banque centrale européenne s'apprête à adopter une stimulation plus de poussée de l'inflation et croissance faible, les économistes interrogés par Bloomberg News, un sondage publié le 19 novembre s'attendait à la BNS de maintenir son plafond sur le franc en 2017.
Il s'agit maintenant de savoir ce qui se passera avec les suisses de France, qui est récemment passé à un maximum de 26 mois face à l'euro. Pour beaucoup la crainte qu'un référendum or a servi de catalyseur pour éviter d'aller tous dans la CHF, comme des achats or aurait affaibli la monnaie. "Si la crise de l'euro ne s'aggrave, alors le taux de change minimum sera défendable, a déclaré David Marmet, économiste chez Zuercher Kantonalbank. A l'initiative été accepté, '' instruments tels que des taux négatifs qui n'élargissent le bilan"auraient été une option, a-t-il dit.
Avec le référendum de la route, le CHF peut se trouver paradoxalement à une situation dans laquelle les entrées d'IED dans la CHF forcez-la à double vers le bas sur la défense de la PAC : les économistes se sont demandés si la BNS va maintenant trouver lui-même devoir renforcer son plafond avec un taux d'intérêt négatif sur les dépôts en espèces-comme suivre le banques commerciales de la Banque centrale, mettant sa menace de prendre d'autres mesures « immédiatement » si nécessaire.
Et puis, il y a la question de ce qui se passe à la tension dans le marché des swaps or : comme la semaine dernière a noté, le taux de mois GOFO 1 avait dégringolé à la plus négative dans plus d'une décennie. Il n'était pas clair si cette squeeze or collatéraux était le résultat du porte-à-faux du référendum suisse ou pour d'autres raisons. La réaction du marché lundi devrait répondre à ces questions.
Une crise monétaire international majeur se profile: la suppression de l'or et de l'argent ? Est COMEX étant Cornered ?
Par le projet de loi Holter et Miles Franklin Global Research, le 25 Novembre, 2014
Ce est avec un profond sentiment de gratitude que je ai eu à vous tous comme des amis et associés lors de ce qui a été une longue guerre, pas une bonne guerre, mais une très longue «guerre financière». Comme vous le savez à partir de ces écrits; cela a été une guerre menée par la Réserve fédérale contre le monde entier, aidé et encouragé par les grandes banques internationales via la manipulation de plus tous les marchés de la planète. L'éthique et la morale de notre pays a été construit sur ... damnés!
Les événements mentionnés dans ce document par rapport à la suppression de l'or et de l'argent en utilisant l'hégémonie du dollar comme l'outil indiquent une importante crise monétaire internationale est mort avant, ce est évident. Pouvoir dans les mains de quelques-uns ont fait des progrès énormes pour ceux qui sont au sommet de l'échelle économique, tout en l'homme moyen est devenu un esclave de la dette à quelques-uns. Il ya bien sûr les lois de Mère Nature et «conséquences involontaires». Ceux au sommet qui ont l'intention de «gouverner le monde" sont remises en question de l'Est dans ce que je crois être presque un vainqueur prend tout "guerre". Il ne avait pas à être de cette façon, mais «l'Occident» a forcé cette.
Je ne ai jamais écrit "ce est mon écriture la plus importante jamais!" Mais ce jour est venu. Donc, de nombreux événements ont tous aligné à la fois à quel point quelque chose de très mauvais arrive, très bientôt. En fait, "très bientôt" pourrait être dès le lundi suivant l'Action de grâces. Nous avons vu de nombreux événements se déroulent au cours de cette dernière semaine que je crois sont tous reliés d'une manière ou d'une autre, je vais essayer de les connecter pour vous. Cela dit, se il vous plaît comprendre que nous sommes et avons été dans une guerre financière depuis de nombreuses années. Cette «guerre» est l'un entre l'Est et l'Ouest, où le système financier de papier de l'Ouest qui a été en contrôle pendant tant d'années voit son déclin de puissance. Ce est ce «déclin» de l'Occident contre la montée de l'Est que je crois est maintenant, enfin, arrive à la tête.
Si vous vous souvenez, nous avions deux vendredis en ligne, où l'or et prix de l'argent ont été brisées tôt dans les heures de nuit et dans la matinée, seulement pour redresser violemment et fermer très fortement pour la journée et la semaine. Cette action est appelée une «journée d'inversion extérieur» qui, au fil des années a été un événement extrêmement rare dans les métaux précieux. Il a été rare dans les métaux précieux, car il ne était pas «autorisé». Quand je dis «autorisé», se il vous plaît ne oubliez pas que COMEX est un échange de papier où possédant métal ne est pas nécessaire de vendre de l'or ou de l'argent. Tout ce que vous devez avoir est "l'argent" pour poster titre de marge et vous êtes autorisé à vendre autant de contrats que vous avez marge pour. Il ya des "limites" à combien de contrats, on peut acheter ou à détenir, ces limites ne semblent pas avoir été forcée sur le côté de vente ... bref position de JP Morgan en argent à titre d'exemple.
Donc, nous avons eu deux vendredis de retournement à l'extérieur dans une rangée, cela a été suivi par l'action mercredi dernier. 80 tonnes d'or ont été vendues sur un laps de temps de 15 minutes qui a frappé l'or baisse de 20 dollars en un clin d'œil. Se il vous plaît voir le tableau ci-dessous gracieuseté de Dave Kranzler de l'IRD.
80 tonnes! Permettez-moi de mettre cela en perspective. 80 tonnes est égale à deux semaines de la production mondiale d'or ... vendus en seulement 15 minutes! Ce est près de 2,8 millions d'onces. La chose intéressante est, COMEX ne prétend avoir 865000 onces d'or disponible pour la livraison de façon plus de trois fois la quantité d'onces ont été vendues en 15 minutes que prétend même comme disponibles à la livraison! Ce qui a suivi a toutefois été le véritable assommoir, très peu de temps après l'or creusé dans ses talons et a commencé à récupérer ... à récupérer inchangée dans le prix! Voyez-vous l'importance ici? Bien que ce ne était pas un autre jour d'inversion extérieur, il a peut-être été encore plus important. Le marché «papier» absorbé deux semaines la valeur de la production en seulement 15 minutes sans casser! Je vais revenir à ce sujet sous peu et l'attacher pour le reste.
Si vous vous souvenez, je ai écrit un morceau de retour en Août intitulé "Kill Switch" http://silverseek.com/ article / kill-switch-13503 où je ai présenté une hypothèse que l'intérêt ouvert élevé et croissant en argent était en fait les Chinois par procurations virage du marché de l'argent. Le grand intérêt ouverte dans le contrat à proximité déployé au contrat Décembre. À ce moment, l'intérêt ouvert en or était au plus bas pluriannuels comme on pouvait s'y attendre avec des prix bas. Cela a changé, un peu plus les 4-6 dernières semaines, l'intérêt ouvert a cessé de construire en or ... tandis que la pression continue toujours sur le prix. Avant d'aller plus loin, je ne ai jamais vu l'intérêt hausse ouverte à des sommets pluriannuels alors que le prix a été poussé à bas pluriannuels dans ne importe quelle marchandise. Ce est vraiment une anomalie et une qui ressemble à cela pourrait être résolu très prochainement. Ce vendredi est l'avis le 1er jour pour les deux contrats d'or et d'argent du COMEX décembre. COMEX à mon avis, a un problème potentiellement énorme où un défaut dans les deux contrats est une possibilité distincte! Comme de vendredi dernier, 61 763 contrats encore ouverts, ce qui représente 308.000.000 onces d'argent. Le COMEX revendique un (livrable) inventaire enregistré de seulement moins de 65 millions d'onces. Avec plus que quatre jours il ya environ cinq onces d'argent pour chaque contrat un once disponible!
La situation en or est discrètement devenue bien pire que l'argent, il y avait 162 509 contrats sur l'or décembre ouverts qui représentent plus de 16 millions d'onces d'or. Le (livrable) catégorie «enregistré» à l'inventaire COMEX montre que 868 910 disponibles pour offrir ! Voyez-vous le problème ici ? Il y a seulement 4 jours avant ce contrat va dans le processus de livraison, mais il y a 20 onces contractés pour chaque once disponible ! Je ai une autre pensée amusante pour vous, ne oubliez pas les 80 tonnes vendues en 15 minutes mercredi dernier ? Ce était près de 2,8 millions onces par rapport à un inventaire livrable de seulement 869000 onces, à mon avis, «frauduleux» en lettres majuscules !
Oui, je comprends, il y a encore quatre jours de gauche pour l'intérêt ouvert à saigner bas et rouler vers le mois de contrat, mais nous nous tenons désormais en territoire totalement inconnu. Jamais dans le passé a cet intérêt beaucoup plus ouverte été encore en suspens à l'inventaire livrable aussi bas qu'il est. Il est également étonnant que l'intérêt ouverte totale aurait atteint ces niveaux alors que le prix a chuté. La position ouverte pour augmenter et le prix à baisser, l '"ouverture" à l'ouverture des marchés a évidemment été fait par les vendeurs. Ce est exactement ce que je ai dit tout au long, le prix de la chute a été dictée par des ventes de papier de contrats COMEX ... mais maintenant il ya un problème. Tant de papier a été vendu à dicter le prix que les contrats en cours éclipsent simplement le métal disponible pour offrir. Autrement dit, le COMEX or et d'argent regard comme ils ont été acculé! Permettez-moi de reformuler cela, COMEX or et l'argent sont maintenant «très cornerable". Nous saurons bientôt si ce est vrai et "qui" a fait le virage. Je soupçonne que nous allons découvrir que cela a été un consortium de maintien de la main chinoise / russe et celui qui a été soigneusement planifié et effectué dans les limites légales. Je pense que nous allons découvrir qu'ils ont joué, en fait, par les règles de l'Occident et ce était les «vendeurs» de métal inexistante qui sont tombés dans leur propre piège de la fixation des prix. Il a été une guerre financière, celui qui a été déclaré par l'Occident et semble avoir été éventuellement gagné par l'Est.
Un autre grand événement la semaine dernière était l'annonce surprise par la Hollande de leur rapatriement de 122,5 tonnes d'or de la FRBNY .
Je ai beaucoup de questions au sujet de cette transaction et très peu de réponses. Nous pouvons ou ne pouvons pas toujours obtenir quelques réponses, mais voici ce que je aimerais savoir. Était l'or qui a été livré l'or "original" qui a été déposé? Même numéros de série et caractéristiques? Si non, où est-il venu, qui raffinage et le traitement il? Et quand? Il faut aussi se demander pourquoi les Allemands ne ont pas obtenu leur or promise ? Avez-Hollande travailler à un accord avant la demande de l'Allemagne ? Ou est-ce un cas de la «fumée sentant" néerlandais et quitter tranquillement le théâtre avant tout le monde ? D'autres questions pourraient inclure ou pas de cet or était d'origine ukrainienne et maintenant ce qui pourrait arriver dans les marchés des produits dérivés ? Rappelez-vous, l'encours des dérivés sont probablement dans la gamme de 100 à 1 contre le métal réel, en prenant 122 tonnes de "garantie" loin pourrait affecter 12200 "tonnes" de dérivés de papier. Avec l'effet de levier, ce est égal à mieux que quatre années d'une valeur de la production mondiale et pourrait affecter près de 1/2 $ billions de contrats de papier ! Alors que sur ce sujet, avant les nouvelles néerlandais, Gofo taux ont atteint des niveaux presque records en arrière. Cela se est-car 122 tonnes de "garantie" a été retiré de la piscine ? Il suffit de penser à haute voix ici ...
Autres faits marquants de la semaine dernière étaient nombreux. Premièrement, le Congrès ont commencé à interroger les banques sur "la manipulation des marchés des matières premières, "et la Réserve fédérale des fuites des informations privilégiées à Goldman Sachs, est le moment de ce une coïncidence ? En outre, le président Obama a maintenant jeté unilatéralement nos frontières ouvertes, est-il possible que la longue parlé de «Amero» est vraiment dans les œuvres ? Une nécessité d'une unité monétaire nord-américaine serait l'ouverture des frontières à droite? Encore une fois, que penser tout haut. Nous avons également entendu la Russie annoncent une baisse d'importer des produits alimentaires OGM de l'Ouest pendant au moins 10 ans. Ils ont également annoncé l'importation de 55 autres tonnes d'or pour le trimestre pour faire bonne mesure tout ISIS annoncé leur intention d'utiliser l'or et l'argent comme monnaie.
Pour lier tout cela en place, permettez-moi de dire que je crois que le «coin de marché« très longtemps attendu des métaux précieux peut éventuellement et enfin à portée de main. Contrairement à ce qui est arrivé de retour dans la fin des années 1970 avec les frères Hunt en argent, le «coin» actuel a été effectivement facilitée par les vendeurs. Dans le fait de la chasse ne figure au coin d'argent, je ne crois pas que le / Russie alliance chinoise / indienne établies initialement pour ce faire ... ils ont été "contraint."
Vous voyez, nous avons été dans une «guerre financière» pendant des années, les États-Unis a foulé fortement sur le reste du monde financier. Nous nous sommes installés nos déficits commerciaux annuels grotesques en envoyant dollars librement créés comme moyen de paiement. Afin de soutenir le dollar et maintenir les taux d'intérêt bas, nous avons supprimé les prix de l'or et de l'argent. Sans les prix des métaux bas, aucun des autres marchés pourrait jamais aucun sens. Ratios PE ne pourrait jamais être aux niveaux actuels sans faibles taux d'intérêt, les taux d'intérêt ne pourraient jamais être à ces niveaux faibles si l'or et l'argent ont tiré vers le haut ... de sorte que le reste du monde a joué la seule carte qu'ils pouvaient pour empêcher une guerre mondiale, une carte bancaire.
Ils "réalisées" nous et laisser le jeu continuer encore et encore car ils accumulent des piles plus en plus grandes d'or. Une grande partie de cet or "était une fois" l'or de l'Ouest. Ils ont acheté légalement et dans de nombreux cas envoyé nos propres dollars de nouveau à nous comme paiement. Maintenant, nous allons asseoir avec beaucoup, beaucoup de dollars alors qu'ils ont beaucoup, beaucoup d'or. Je crois qu'ils ont acculé à la fois COMEX or et d'argent si elles choisissent de rester pour la livraison. Ils vont dire: «hé, nous ne avons pas les règles, vous avez fait. Vous nous a vendu des contrats, nous avons acheté et payé pour eux. Maintenant, nous aimerions que le contrat conclu, se il vous plaît envoyez-nous notre métallique ". Ce était tout juridique et ils ne ont pas intensifier avec l'intention de sauter le marché, ils ont simplement "acheté ce que nous vendions". Se ils ne se tiennent pour la livraison, peuvent-ils être blâmés se ils demandent le contrat qu'ils ont payé pour effectuer ?
Permettez-moi de conclure en disant cela, nous pouvons très bien se réveiller après Thanksgiving "gros et heureux" seulement pour découvrir l'ensemble du système financier était une fraude. L'Orient, en demandant pour la livraison peut d'une manière «poli» d'exposer l'ensemble du jeu. Ce serait faire beaucoup, d'abord et surtout, cela ira presque tout le chemin pour mettre fin au dollar comme monnaie de réserve du monde. Les États-Unis ne serons plus en mesure de négocier "quelque chose pour rien". Il sera aussi entraver notre capacité à mettre financièrement et militairement notre pouce sur le reste du monde. Si nous sommes devenus gênés financièrement, ce serait également opération militaire beaucoup plus difficile de financer ou de payer pour. En substance, si je suis correct et nous ne voyons défaut de livraison et un défaut COMEX ... le monde peut être un endroit plus sûr! La semaine dernière, par exemple, le président Obama secrètement prolongé notre séjour en Afghanistan, comment cette opération sera financée par un Trésor en faillite et une banque centrale qui émet la monnaie indésirables? Les Chinois / Russes à mon avis peut être sur le point de gagner une guerre sans jamais tirer un coup de feu et jouer le jeu par nos propres règles! Nous avons clairement été les agresseurs dans la Syrie et au financement d'un coup d'Etat en Ukraine. Pourrait se écraser nos marchés financiers soient un moyen de nous mettre en laisse financière et de réduire ainsi nos capacités à l'agression? Je suis sûr que ce processus de pensée a déjà été discuté.
Se il vous plaît ne pas appeler ou me écrire lundi matin et dire «voir, rien ne est arrivé ... à nouveau." Tout ce que je dis ici, ce que le COMEX est maintenant "cornerable" et dans une position très vulnérable. Peut-être que ce ne sera pas maintenant, peut-être il le fera? Tout ce que je peux dire, ce est l'histoire est remplie de «panique bancaire», tôt ou tard, les longs se tiendront pour la livraison d'un inventaire trop petit pour les satisfaire, ce ne sera rien de différent d'un bank run quand il arrive.
Quand on pense qu'en 2013, la FED de NY avait dit qu'il fallait 7 ans pour remonter l'or des teutons !... Fallait vraiment qu'ils l'aient enterré profond !! Hahahaha !
10 signes que les communistes s'infiltrent dans les manifestations de Ferguson
Par Michael Snyder, le 30 Novembre 2014
L'extrême gauche est en hausse en Amérique, et les communistes radicaux sont en cours d'élaboration à Ferguson qui proteste partout dans la nation comme des papillons à une flamme. Ainsi pourrait Ferguson être l'étincelle qui déclenche un mouvement communiste significatif en Amérique ? Certes, je ne dis pas que toutes les personnes impliquées dans les manifestations de Ferguson soit des communistes. Ce n'est pas vrai du tout. En fait, les communistes et d'autres groupes d'extrême-gauche ne représentent qu'une minorité de manifestants. Mais ils ont à maintes reprises été à la pointe de la violence, et ils sont en profitant de la colère et la frustration causée par la mort de Michael Brown pour promouvoir leurs idéologies radicales d'extrême gauche. Malheureusement, ils trouvent un public réceptif - surtout parmi les jeunes dans nos communautés pauvres et défavorisées. Même si les républicains ont très bien à la dernière élection, sondage après sondage a montré que nos jeunes adultes continuent de se déplacer vers la gauche. Par exemple, une enquête réalisée il y a quelques années trouvé que 49 % de tous les Américains dans le 18-29 ans d'âge ont une réaction positive au mot «socialisme». Les mêmes forces qui ont alimenté Occupy Wall Street sont maintenant trouver un terrain fertile dans ces nouvelles manifestations. Alors qu'est-ce que tout cela signifie pour l'avenir de notre nation ? Voici 10 signes que les communistes sont infiltrent les manifestations Ferguson ...
# 1 communistes bannières de protestation ont été bien en évidence lors des manifestations à Ferguson , à New York et ailleurs dans le pays.
# 2 Flyers déclarant que Darren Wilson est voulu " pour assassiner racistes "sont distribués par des groupes communistes à Ferguson. En fait, l'adresse d'un site Web pour le " communiste révolutionnaire progressiste du Parti travailliste "est situé sur les flyers.
# 3 Il a été rapporté que les militants communistes violents de Chicago ont été introduits dans Ferguson en bus Août dernier avec l'intention de remuer autant de mal que possible ...
Voici le scoop sur les dernières violences à Saint-Louis. Il ya beaucoup de buzz sur le terrain d'un groupe communiste qui a été transportés par autobus dans Ferguson de Chicago. Ils ont provoqué la police avec des cocktails Molotov la nuit du 13 Août tandis que les manifestants locaux ont manifesté pacifiquement. Ce est alors que la police a répondu avec des gaz flash et grenades. Leur objectif déclaré est de faire les protestations vont super-violente, répartis dans toute la région, et de déclencher une révolution. On dit de se tenir visiblement en dehors des manifestants locaux dans la façon dont ils réagissent à la police et à intimider les journalistes lorsque les photos et les vidéos sont prises d'entre eux. Attendez-vous à entendre plus à ce sujet dans les prochains jours.
# 4 La semaine dernière, les communistes de Chicago ont de nouveau descendu sur Ferguson en grand nombre. Dans la vidéo postée ci-dessous, les communistes de Chicago affichent fièrement une bannière qu'ils provoquent verbalement la police à Ferguson ..
# 5 Après Thanksgiving, les communistes ont été repérés protester en face d'un magasin Wal-Mart à Ferguson ...
Le vendredi, le magasin Wal-Mart a ouvert comme prévu à 8 heures, mais il y avait relativement peu de clients. Comme ils sont entrés, ils ont dit qu'il n'y avait "aucun élément de vente," et beaucoup puis refoulés. Un directeur adjoint a déclaré que depuis la boutique ne était pas ouvert jeudi, le personnel ne pouvait pas mettre en place des articles de vente, de sorte que les ventes ont été redéployés à d'autres magasins. La Police a patrouillé le parking et gardes de sécurité privés ont été affichés à l'intérieur du magasin. Une poignée de manifestants, dont des membres du Parti communiste révolutionnaire, a dit de quitter le parking. Ils se tenaient à l'entrée du parking avec des signes qui disaient «Non achats en vies noires Matter vendredi."
# 6 l'extérieur du tribunal à Ferguson vendredi, une foule de manifestants a été entendu chantant cette phrase encore et encore: " La seule solution est une révolution communiste ".
# 7 Dans cette vidéo suivante , un communiste interrompt une conférence de presse à la télévision nationale à Ferguson ...
# 8 Ce est une chose pour protester contre l'injustice perçue. Ce est autre chose de brûler publiquement le drapeau américain. Ce est quelque chose que les groupes communistes aiment faire, et il est le symbole de la haine profonde pour ce pays.
# 9 Les médias traditionnels ont été effectivement notant l'apparition de groupes communistes à Ferguson proteste partout dans la nation. Par exemple, CBS Seattle a récemment rapporté que des "communistes" et "groupes palestiniens" ont rejoint les protestations à Portland, Oregon.
# 10 WND a documenté qu'un haut Occupy Wall Street organisateur a été la formation manifestants Ferguson comment "simuler chaos» ...
Dans un développement qui peuvent laisser présager des perturbations prolongées, organisateur de la rue vétéran Lisa Fithian, déjà surnommé "Occupy professeur," les manifestants Ferguson récemment formés comment "simuler le chaos."
Fithian est un organisateur légendaire qui a annoncé une fois qu'elle cherche à «créer la crise, parce que la crise est que le bord où le changement est possible." Une fois de plus, il faut noter que je ne dis pas que tous les manifestants Ferguson sont communistes. Seule une minorité d'entre eux le sont. Mais les communistes et d'autres organisations de la gauche radicale puisent dans tous les conflits et la discorde raciales pour promouvoir leurs philosophies radicales.
Et le travail préparatoire a déjà bien été mis à l'avance. électeurs minoritaires ont été extrêmement fidèle aux démocrates depuis des décennies, et à ce point l'ordre du jour du Parti démocrate compare très favorablement aux 10 planches du Manifeste communiste .
Non pas que les républicains sont très différents. En fait, beaucoup de "républicains" sont essentiellement rage socialistes à ce point. Mais ce est un sujet pour un autre article.
L'Amérique a régulièrement progressé vers la gauche et l'extrême gauche a été à la recherche d'une étincelle.
Ferguson a peut-être enfin fourni l'étincelle pour eux, et ce pays pourrait ne pas toujours être le même que le résultat.
Donc regarder attentivement ce qui se passe en ce moment à Ferguson.
Le feu de la révolution est en feu dans les rues de Ferguson aujourd'hui, mais quelques années à partir de maintenant toutes les grandes villes de la nation peut être enflammé.
Quand on fait un 'reportage' sur les manifs on y va et on interroge les contestataires qui ne sont pas avares d'évoquer la raison de leur déplacement. Donc, il peut s'agir de Libertaires comme de faux-drapeaux créés de toutes pièces par qui ont sait.
[Affaire de Margerie] 3ème partie : Un « message » des États-Unis à la France, à la manière du « Parrain »
1 décembre 2014 The French Saker
Dans mes deux articles précédents, « Un accident bizarre qui en rappelle un autre » et « Un embarras Total », j’ai souligné les ressemblances entre les circonstances de la disparition d’Enrico Mattei, le PDG de la pétrolière nationale italienne ENI au début des années 1960, et celle de Christophe de Margerie, le PDG de Total, survenue il y a un peu plus d’un mois à l’aéroport Vnoukovo de Moscou.
J’ai également démontré que les États-Unis étaient à l’origine de la première, et qu’il existait d’excellentes raisons de croire qu’ils étaient aussi à l’origine de la seconde. En effet, autant Mattei que de Margerie constituaient des menaces claires à leurs intérêts pétroliers et financiers, en plus de défier ouvertement leur hégémonie mondiale, et la menace posée par de Margerie était sans doute encore beaucoup plus existentielle que celle qu’avait posée Mattei, comme nous allons le voir un peu plus bas.
Mon intérêt pour cette affaire s’explique à la fois par les connaissances que j’ai acquises au cours de ma carrière au service de deux grandes multinationales du pétrole, Esso (maintenant connue sous le nom d’Exxon Mobil), et Texaco (aujourd’hui intégrée à Chevron), et par celui que j’ai développé pour l’Empire Desmarais, à la tête du grand conglomérat financier canadien Power Corporation, associé au groupe belge Frère, les deux étant d’importants actionnaires de Total par le truchement d’une structure suisse de coparticipation, Pargesa SA, constituée par leurs soins.
Au Québec, comme j’ai eu l’occasion de le démontrer dans deux ouvrages récents, Desmarais : la Dépossession tranquille, et Henri-Paul Rousseau, le siphonneur de la Caisse de dépôt parus respectivement à Montréal aux Éditions Michel Brûlé en 2012 et 2014, les visées de l’Empire Desmarais sur ces principaux leviers de développement que sont Hydro-Québec et la Caisse de dépôt et de placement sont carrément prédatrices et spoliatrices.
L’intérêt soulevé par mon second article (repris sur plus d’une vingtaine de sites dont vous trouverez les liens à la fin de celui-ci), et notamment en Europe, m’a convaincu de pousser plus loin mon enquête, en m’intéressant non pas tant aux circonstances de l’accident/attentat – aucun nouvel élément n’a été rapporté depuis deux ou trois semaines – qu’à la conjoncture géopolitique internationale dans laquelle il est survenu, à la place qu’y occupe le pétrole, au rôle qu’y joue Total, et à celui qu’y jouait son PDG Christophe de Margerie jusqu’à son décès.
La conjoncture géopolitique actuelle est l’une des plus tendues depuis la fin de la guerre froide. Alors que les États-Unis croyaient être parvenus, au tournant des années 1990, avec la chute du mur de Berlin et la dislocation de l’URSS, à asseoir leur domination sur le monde, les voici aux prises avec une concurrence nouvelle animée non plus par la recherche d’une confrontation entre deux idéologies (capitalisme et communisme), mais plutôt par la vision pluripolaire des puissances émergentes (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) réunies dans le BRICS, et opposées à toute forme d’inféodation, politique, économique ou culturelle.
À cette menace politique se rajoute le spectre d’un important déclin économique qui ne ferait qu’amplifier la première. En effet, s’étant rendus compte au début des années 1980 que leur structure de coûts de production était de moins en moins concurrentielle, les États-Unis poursuivent depuis lors une politique de libéralisation systématique des échanges commerciaux internationaux dont les effets les plus pervers ont été la désindustrialisation de leur économie et un appauvrissement collectif qui se manifeste dans la disparition rapide de leur classe moyenne.
Les bénéfices escomptés de la financiarisation de leur économie ne sont pas au rendez-vous. Non seulement alimente-t-elle une multiplication de bulles spéculatives qui finissent toutes par éclater éventuellement, mais il n’existe aucun mécanisme de redistribution de la maigre richesse qu’elle crée, et le fossé des inégalités sociales en train de se creuser constitue une menace sérieuse à leur stabilité politique à moyen et long terme.
L’absence de croissance économique réelle se reflète dans leur degré d’endettement qui se situe désormais parmi les pires du monde développé, et ils sont de plus en plus tentés par des aventures militaires hasardeuses dont ils pensent qu’ils pourraient sortir à la fois vainqueurs sur le plan politique, et renforcés sur le plan économique. Leur situation se complique dès qu’on y introduit la donnée pétrole dont ils ont longtemps contrôlé le marché.
Au début des années 1970, contraints par l’essoufflement budgétaire causé par leur engagement au Vietnam de renoncer à l’obligation qu’ils avaient acceptée, à la fin de la Deuxième Guerre mondiale, de garantir la convertibilité de leur dollar en or au taux fixe de 35 $ l’once dans le but de relancer l’économie internationale qu’ils étaient bien placés pour dominer, et désireux d’asseoir leur hégémonie économique sur des bases encore plus solides, ils concluent une entente avec la monarchie régnante en Arabie Saoudite en vertu de laquelle celle-ci, devenue le plus important producteur de pétrole, s’engagera à exiger le paiement de toutes ses livraisons en dollars US, en contrepartie d’une garantie par les États-Unis de la défendre contre toute agression militaire.
C’est le début du règne du pétrodollar. L’or noir se substitue très rapidement à l’or métal comme référence dans toutes les transactions internationales, et les deux parties à cette entente vont en profiter immensément pendant une quarantaine d’années.
Au cours de la dernière année, certains événements sont survenus, certains connus, d’autres non, qui ont amené l’Arabie Saoudite à remettre en question son soutien jusque là indéfectible aux États-Unis et au dollar US. Le résultat se reflète ces jours-ci dans la baisse du cours du pétrole. Au moment d’écrire ces lignes, il a perdu près de 40 % de sa valeur depuis juin dernier. Vendredi, et, aujourd’hui le cours du WTI est passé sous la barre des 65 $ $ US alors que le Brent se situe légèrement au-dessus de 70 $.
Un analyste américain allait même jusqu’à prédire ces jours derniers qu’il pourrait même descendre jusqu’à 35 $ l’an prochain si les pays membres de l’OPEP ne parvenaient pas à s’entendre sur une réduction de leurs quotas de production.
Combinés à la remise en question du statut du dollar comme monnaie de réserve mondiale depuis quelques années et aux gestes concrets posés en ce sens par la Russie, la Chine, l’Iran, et quelques autres depuis un an, il est clair que ces événements marquent pour les États-Unis le commencement de la fin de leur hégémonie mondiale. Ils ont toutefois tellement à y perdre qu’ils vont tenter par tous les moyens de maintenir leur emprise, et l’Affaire de Margerie constitue une bonne indication des moyens qu’ils sont prêts à prendre pour éviter le sort qui les attend.
En effet, de Margerie était le PDG de Total, seule entreprise non américaine avec BP à figurer au nombre des « majors » de l’industrie. BP est une entreprise britannique qui a perdu le peu d’indépendance qui lui restait dans la foulée de l’explosion survenue à l’été 2010 sur la plate-forme Deep Horizon dans le Golfe du Mexique, et de la catastrophe environnementale qui s’est ensuivie. Sous haute surveillance des autorités américaines en raison de l’importance des dommages encore non liquidés, l’entreprise est désormais dirigée par un Américain.
En raison de son histoire très complexe et des fusions dont elle est issue, Total fait bande à part. Très tôt, elle a été présente au Moyen-Orient, notamment en Irak, en Afrique du Nord, et en Afrique Équatoriale. Très tôt, l’intérêt stratégique qu’elle revêt pour la France l’a amené à développer un réseau parallèle de renseignement qui a très bien servi les intérêts de la France, ce qui l’a mise à l’abri des remontrances de l’État lorsqu’elle s’engageait dans des coups fourrés, comme ce fut le cas en Iran, en Irak et en Libye au cours des dernières années.
Ainsi, on apprenait encore ces derniers jours que Total avait accepté de verser 400 millions $ US en guise de pénalité pour avoir enfreint l’embargo des États-Unis contre l’Iran au début des années 2000, au détriment de l’américaine Conoco. Voici comment Libération présentait les faits dans son édition du 26 novembre :
Total sera jugé pour « corruption » en marge de contrats en Iran
Le groupe français Total sera jugé en correctionnelle pour « corruption d’agents publics étrangers » en marge de contrats pétroliers et gaziers conclus en Iran dans les années 1990.
Son ancien PDG, Christophe de Margerie, avait également été renvoyé pour ce même chef le 15 octobre, a indiqué mardi à l’AFP une source judiciaire, confirmant une information de Charlie Hebdo. Mais les poursuites le concernant se sont terminées avec son décès quelques jours plus tard à Moscou.
Cette enquête ancienne porte sur un peu plus de 30 millions de dollars qui auraient été versés à partir d’octobre 2000 en marge de deux contrats du géant français en lien avec l’Iran dans les années 1990, sur fond d’embargo américain.
Le principal contrat, d’une valeur de 2 milliards de dollars, avait été conclu le 28 septembre 1997 avec la société pétrolière nationale iranienne NIOC et concernait l’exploitation – par une coentreprise réunissant Total, le russe Gazprom et le malaisien Petronas – d’une partie du champ gazier de South Pars au large de l’Iran, dans le Golfe. Washington avait menacé les pétroliers de sanctions pour ces investissements.
Le second contrat visé par l’enquête avait été conclu le 14 juillet 1997 entre Total et la société Baston Limited. Il était lié à un important accord conclu deux ans plus tôt, le 13 juillet 1995, pour l’exploitation des champs pétroliers iraniens de Sirri A et E, également dans le Golfe.
Total avait alors bénéficié du retrait de l’Américain Conoco, contraint de céder la place après que l’administration Clinton eut décrété un embargo total sur l’Iran.
Dans l’enquête ouverte en France fin 2006, Christophe de Margerie avait été mis en examen en 2007 par l’ancien juge d’instruction Philippe Courroye pour « corruption d’agents publics étrangers » et « abus de biens sociaux ». M. de Margerie était à l’époque des faits directeur pour le Moyen-Orient du géant français.
« Réels problèmes juridiques »
Les juges d’instruction ont finalement ordonné en octobre le renvoi en correctionnelle de Total et de Christophe de Margerie pour les faits de « corruption d’agents publics étrangers », selon la source. Ils n’ont pas retenu l’abus de biens sociaux contre le patron du groupe.
Christophe de Margerie a péri dans la nuit du 20 au 21 octobre quand son Falcon a percuté un chasse-neige au décollage à l’aéroport Vnoukovo de Moscou.
Deux intermédiaires iraniens sont également renvoyés pour complicité : l’homme d’affaires et lobbyiste Bijan Dadfar, qui travaillait pour Baston Limited, et Abbas Yazdi, un consultant pétrolier.
Interrogé sur cette affaire en juin 2013, alors que le parquet de Paris venait de requérir son renvoi et celui de Total, Christophe de Margerie avait réfuté les accusations de versement « de pots-de-vin » ou de « rétrocommissions » : « ce que nous avons fait dans les années 90 était effectivement conforme à la loi », avait-il déclaré au Grand Jury RTL/Le Figaro/LCI.
Sollicité par l’AFP, l’avocat de Total, Me Daniel Soulez-Larivière, a estimé mardi que ce dossier posait « de réels problèmes juridiques ».
D’une part parce que les contrats sont antérieurs à l’entrée en vigueur en France en 2000 de la convention de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) prohibant la corruption d’agents publics étrangers.
D’autre part parce que, visé par des poursuites aux Etats-Unis pour ces contrats, Total a accepté en 2013 de transiger pour clore la procédure, moyennant le versement de près de 400 millions de dollars. Or, selon la règle dite du « non bis in idem », nul ne peut être poursuivi ou puni plusieurs fois pour les mêmes faits, relève l’avocat.
Première entreprise de l’Hexagone par les bénéfices et deuxième par la capitalisation boursière, Total avait bénéficié en juillet 2013 d’une relaxe dans le procès « pétrole contre nourriture ». Mais le parquet a fait appel de cette décision. L’invocation de la règle « non bis idem idem » paraît un argument bien faiblard à l’avocat québécois que je suis dans la mesure où les faits reprochés à Total tombent sous le coup des lois de deux pays différents, qu’ils ne sont pas de même nature dans les deux pays, et qu’aux États-Unis, un règlement négocié est intervenu sans qu’un jugement de culpabilité n’ait été prononcé. Mais bon, je ne prétends pas connaître le droit français.
En ce qui concerne les faits survenus en Irak, il s’agit de malversations survenues entre 1996 et 2002 dans le cadre du programme humanitaire Pétrole contre nourriture mis sur pied par l’ONU dans la foulée de l’embargo du Conseil de sécurité contre l’Irak . Voici comment Le Figaro rapportait les faits le 2 août 2011 :
« Pétrole contre nourriture » : Pasqua et Total seront jugés
En dépit du non-lieu requis par le parquet de Paris, le juge d’instruction a décidé de renvoyer devant le tribunal correctionnel le groupe pétrolier et 19 personnes, dont son PDG Christophe de Margerie et l’ancien ministre de l’Intérieur.
L’affaire « pétrole contre nourriture », dans laquelle sont impliquées plusieurs personnalités françaises, vient de connaître un rebondissement spectaculaire. Alors que le parquet de Paris avait requis par deux fois, en 2009 puis en 2010, un non-lieu, le juge Serge Tournaire a pris la décision de renvoyer devant le tribunal correctionnel 19 personnes, dont l’ancien ministre Charles Pasqua et l’actuel PDG de Total Christophe de Margerie. La société Total sera également jugée en tant que personne morale.
Cette décision de justice, prise le 28 juillet, a été révélée par Charlie Hebdo avant d’être confirmée mardi par une source judiciaire. Le parquet n’ayant pas fait appel de la décision dans les cinq jours qui ont suivi l’ordonnance du juge, le procès est inévitable. Il ne devrait toutefois pas se tenir avant 2012.
Les accusés sont soupçonnés de malversations dans le cadre du programme « Pétrole contre nourriture ». Ce dispositif, mis en place par l’ONU entre 1996 et 2002 a permis au régime de Saddam Hussein, alors soumis à un embargo du Conseil de sécurité, de vendre son or noir en échange de denrées alimentaires et de médicaments.
Pasqua accusé de corruption et de trafic d’influence
La justice soupçonne les dirigeants de Total d’avoir mis en place un système de commissions occultes afin de bénéficier de marchés pétroliers et d’avoir contourné l’embargo en achetant des barils de pétrole irakien via des sociétés écrans. La société est ainsi poursuivie pour corruption d’agents publics étrangers, recel de trafic d’influence et complicité de trafic d’influence. Son PDG actuel, Christophe de Margerie, est renvoyé pour complicité d’abus de biens sociaux. « Nous sommes confiants dans l’issue du procès et sur le fait qu’il sera établi que Total ne peut se voir reprocher les faits cités », a réagi le groupe pétrolier.
Les autres personnalités françaises impliquées auraient touché leurs commissions sous forme d’allocations de barils de pétrole. Deux anciens diplomates de haut-rang seront ainsi traduits pour corruption : Jean-Bernard Mérimée, ambassadeur de France à l’ONU de 1991 à 1995, et Serge Boidevaix, ancien secrétaire général du Quai d’Orsay. Charles Pasqua devra lui se défendre des accusations de corruption et de trafic d’influence pour des faits commis entre 1996 et 2002.
« C’est tout à fait une surprise, et une mauvaise surprise » a immédiatement commenté sur France Info son avocat, Me Léon-Lef Forster. Ce dernier s’est étonné que le juge, qui a repris en 2010 une enquête ouverte en 2002, ait pris sa décision sans même avoir « pris la peine d’interroger (son) client ». Il dit toutefois n’avoir « aucune inquiétude » quant à l’issue du procès.
Dans le volet français de l’affaire, aucune mention du fait que le programme « Pétrole contre nourriture » des Nations Unies était administré par un canadien du nom de Maurice Strong qui se trouve à être un ancien PDG de Power Corporation, l’entreprise de l’Empire Desmarais associé au belge Albert Frère dans la structure de droit suisse qui détient leurs actions dans Total, et dont je parle abondamment dans mon article précédent, Un embarras Total.
Maurice Strong est aussi un ancien PDG de Petro Canada, de la Corporation de développement des Investissements du Canada et d’Hydro-Ontario. En 2005, alors qu’il occupe la fonction de secrétaire général associé des Nations Unies, il est accusé d’avoir reçu d’un dirigeant irakien un paiement de 1 million de dollars puisé à même le fonds pétrole contre nourriture. Il s’enfuit en Chine, à Pékin, où il dispose de solides appuis politiques. Il n’en est jamais revenu pour faire face aux accusations portées contre lui.
Au Canada, le scandale est vite étouffé vu les liens étroits de Strong avec l’ancien ministre des Finances et premier ministre Paul Martin, lui-même impliqué dans les affaires de Strong et repreneur d’une entreprise que lui a cédée Paul Desmarais. Ceux d’entre vous qui s’imaginent avoir tout vu en matière d’affaires politiques sordides sont invités à prendre connaissance des trois liens suivants : At the United Nations, the Curious Career of Maurice Strong Maurice Strong, et Abel Danger Brief Summary of the Last Six Years : Connecting the Power. Canada’s Power Corporation and Maurice Strong. Ils constateront que le Canada est loin d’être le paradis bénin qu’ils imaginent.
Ils constateront aussi que les affaires de Total et de Strong sont liées, et que le lien entre les deux est l’actionnaire principal de Total, le tandem Desmarais/Frère. Évidemment, lorsqu’on ajoute à ces deux affaires celle de la Libye que j’ai racontée dans mon article précédent, on comprend que les États-Unis aient pu commencer à s’inquiéter de ce qu’ils percevaient de plus en plus comme une agression contre leurs intérêts par un acteur majeur de l’industrie pétrolière mondiale qu’ils avaient jusque-là eu la naïveté de prendre pour un allié.
En effet, non seulement Total est-elle une entreprise française, donc en principe amie, mais en plus, son conseil d’administration compte des personnes très proches des plus hautes sphères du monde des affaires et de la politique aux États-Unis.
À ce stade-ci, il est important de préciser que le degré de contrôle du tandem Desmarais/Frère sur Total est beaucoup plus important que ne le suggère leur 3,2 % des actions de l’entreprise. Pour établir le degré de leur emprise, il faut examiner les affaires de la Power Corporation de l’Empire Desmarais et du Groupe Bruxelles-Lambert du belge Albert Frère.
Pour ne s’en tenir qu’à celles de Power Corporation, on constate que celle-ci a près de 500 milliards $ US d’actifs sous gestion par l’entremise surtout de sa filiale, la Financière Power, dans laquelle on retrouve des compagnies d’assurance et des fonds de placement au Canada, aux États-Unis, en Europe et en Extrême-Orient. Il est dans la nature des activités de ces entreprises de se constituer d’importants portefeuilles de titres, et il va de soi que chacune d’entre elle détient un important paquet d’actions de Total.
On voit donc que l’influence du tandem Desmarais/Frère dans Total se trouve démultipliée par la quantité d’actions détenue dans celle-ci par les filiales de la Financière Power et le Groupe Bruxelles-Lambert. Et il faut ajouter à cela l’influence qu’ils peuvent détenir en vertu de conventions expresses ou tacites avec d’autres actionnaires ou regroupement d’actionnaires de Total, du genre échange de bons procédés.
Dans ce contexte, c’est avec la plus grande surprise que l’on découvre aujourd’hui sur le site francophone de l’agence de presse russe RIA-Novosti les deux articles suivants :
Total, partenaire prioritaire de la Russie (Poutine)
Le groupe français Total est un partenaire prioritaire de la Russie, et le décès de son PDG Christophe de Margerie est une perte importante pour le pays, a déclaré vendredi le président russe Vladimir Poutine. « Total est notre partenaire prioritaire depuis de nombreuses années. Nous pleurons avec vous le décès de notre ami, M. de Margerie. Il s’agit d’une lourde perte », a indiqué M. Poutine lors d’une rencontre avec les responsables du groupe français. Christophe de Margerie est mort dans la nuit du 21 octobre à Moscou dans un accident d’avion à l’aéroport de Vnoukovo.
Deux choses à noter. Premièrement, l’essentiel du message se trouve dans la photo. Et deuxièmement, la rencontre a eu lieu à Sotchi, ville des derniers jeux olympiques. La sécurité de l’aéroport est à toute épreuve… On ne fera pas exprès pour répéter une deuxième fois la même erreur…
Le second article est encore plus surprenant, lorsqu’on connaît les liens de Nicolas Sarkozy avec les pouvoirs américains :
Sarkozy : vouloir la confrontation entre l’Europe et la Russie est une folie
Vouloir la confrontation entre l’Europe et la Russie est une folie, a déclaré jeudi l’ex-président français Nicolas Sarkozy lors de son dernier meeting de campagne pour le premier tour de l’élection à la tête de l’UMP à Nîmes, lit-on vendredi sur son site.
« Nous avons voulu l’Europe pour qu’elle soit, dans le monde, un facteur de paix. Nous n’avons pas voulu l’Europe pour qu’elle ressuscite la guerre froide. Vouloir la confrontation entre l’Europe et la Russie est une folie (…). Comment a-t-on pu espérer résoudre la crise ukrainienne sans discuter avec la Russie ? », a demandé M.Sarkozy dans son discours.
Par ailleurs, l’ancien chef de l’État français s’est violemment indigné à propos du non-respect du contrat de la France envers la Russie, estimant que Paris devait « honorer sa parole » et livrer les deux navires Mistral à Moscou.
Bien sûr, Sarkozy ne parle plus au nom de la France, et ses paroles n’ont pas l’autorité de celle d’un chef d’État. Mais il se trouve quand même à répéter ce que disaient récemment Henry Kissinger, le très prestigieux ancien chef de la diplomatie des États Unis, et Mikhaïl Gorbatchev, le dernier président de l’URSS. Et est-ce un hasard si Nicolas Sarkozy est aussi très proche des Desmarais et d’Albert Frère ? Quand le hasard fait trop bien les choses, c’est qu’il n’y a pas de hasard, mais bien plutôt une opération planifiée en bonne et due forme.
Nous sommes donc bel et bien en face d’un défi lancé par Total et ses actionnaires à la position des États-Unis. La question qui se pose est de savoir quelle est la position de l’État français dans cette affaire, et elle se pose d’autant plus que Total, sans être une société d’État est une des plus grandes entreprises et que l’État se trouve assurément dans son capital, soit directement, soit par l’entremise d’une institution comme la Caisse des dépôts et consignations (CDC).
Pour comprendre la continuité dans l’action de Total, il est essentiel de connaître le réseau d’influence que de Margerie était parvenu à se tisser au fil de sa carrière. Voici un article paru en 2007dans une publication économique française, L’Expansion, qui jette en outre un éclairage extraordinaire sur la crise actuelle et le rôle qu’y joue le pétrole :
Les réseaux de Christophe de Margerie
Atypique, le nouveau patron de Total l’est jusque dans ses relations, où le » terrain » compte plus que l’establishment.
Ballet de voitures officielles au Quai d’Orsay, le 8 mars. Ce matin-là, les ambassadeurs étrangers sont venus écouter un orateur inhabituel, Christophe de Margerie. Loin des flashs, le nouveau patron de Total, intronisé le 13 février, parle pétrole à ses Excellences. Et renforce ses liens avec la communauté diplomatique.
Si l’actionnaire belge de Total aime le naturel de Christophe de Margerie, le PDG de Suez apprécie surtout son anticonformisme. Les liens du patron de Total avec la dirigeante d’Areva sont aussi de bon augure, alors que le pétrolier n’a jamais caché son intérêt pour la filière nucléaire.
Voilà le style Margerie : des réseaux informels tissés au fil des années, bien loin du très sélect Club des cent et autres Siècle, qu’il fréquente peu. » Il n’est pas un adepte des grands dîners parisiens, déclare Jean-Pierre Jouyet, cousin par alliance et chef du service de l’Inspection des finances. Son point fort, c’est le terrain. » Normal, c’est là que » Big Moustache « , comme on le surnomme dans le Groupe Total, a bâti sa carrière. Notamment au Moyen-Orient, qu’il a parcouru pendant des années, prenant même en 1995 la responsabilité de cette zone. » Du Koweït à Dubaï, il connaît tout le monde, témoigne son amie Randa Takieddine, journaliste au quotidien saoudien Al-Hayat. Les Arabes aiment son sens de l’humour, il a su gagner leur confiance. «
SES CONSEILLERS
Jean Veil Jean-Marc Forneri Hubert Védrine
L’avocat de Christophe de Margerie n’est pas un intime, mais il dîne régulièrement chez lui, dans son appartement parisien, tout comme Jean-Marc Forneri, banquier d’affaires et ami. Les rapports sont plus professionnels avec l’ancien chef de la diplomatie française, dont le patron de Total apprécie beaucoup les conseils géopolitiques.
Et nouer de vraies amitiés. Comme celle qui le lie à Abdallah ben Hamad al-Attiyah, ministre de l’Energie du Qatar. Quant à Abdallah Jumaa, président de la société d’Etat saoudienne Aramco, il ne passe jamais par Paris sans saluer » l’Oriental « . En Arabie saoudite, Margerie fréquente le prince Saoud al-Fayçal, le ministre des Affaires étrangères, et Ali al-Naimi, le ministre du Pétrole. » Lorsqu’il se rend dans les Emirats et au Koweït, Christophe de Margerie est reçu dans les majlis, les audiences privées accordées par les princes arabes « , commente son ami Jean-Marc Forneri, banquier d’affaires. Les deux hommes se sont connus en 1999. Christophe de Margerie venait d’être nommé patron de l’exploration-production de Total, Jean-Marc Forneri conseillait Petrofina – absorbé par Total la même année. » Déjà, à l’époque, il était à part dans l’univers Total, se souvient-il. Christophe n’est pas ingénieur, il est diplômé d’une école de commerce, l’Escp-EAP. Il a de l’humour, ce qui est rare dans ce milieu. » Fin portraitiste, Christophe de Margerie adore croquer ses victimes en quelques traits acérés. Sa parodie du ministre de l’Economie, Thierry Breton, cherchant à se recaser à la direction de Total, est, selon un proche, » savoureuse « .
Abdallah ben Hamad al-Attiyah Saoud al-Fayçal Abdallah Jumaa
Ami avec le ministre de l’Energie du Qatar, le n° 1 de Total estime le ministre des Affaires étrangères saoudien et le président d’Aramco.
Des rapports distants avec le monde politique
Christophe de Margerie est un patron atypique. Pourrait-il en être autrement quand on descend d’une telle lignée ? Le père vient d’une famille d’ambassadeurs, la mère, Colette, est la fille de Pierre Taittinger, fondateur d’un empire qui mêlait hôtels de luxe (Crillon), champagnes (Taittinger) et marques prestigieuses (Baccarat). » Nous avons longtemps espéré que Christophe dirige le groupe, raconte Pierre-Christian Taittinger, son oncle, maire du XVIe arrondissement de Paris. Il était le seul à avoir l’aval de toute la famille. » Mais Christophe préfère l’or noir à l’or fin. Une décision lourde de conséquences. » Son refus a, en partie, entraîné la vente de nos actifs en 2005 « , lâche l’oncle qui garde des liens » privilégiés » avec son neveu. » Je l’aide quand il a besoin d’informations sur un homme politique. » Précieux pour le patron de Total, qui entretient des rapports distants avec l’establishment. » Il ne grenouille pas dans les cercles parisiens, explique sa cousine Brigitte Taittinger, PDG des parfums Annick Goutal. Je n’ai jamais vu un politicien dîner chez lui. » A droite, on le dit en bons termes avec Dominique de Villepin et Jean-Pierre Raffarin, qui, lorsqu’il était Premier ministre, appréciait ses topos sur l’énergie.
SES RELATIONS POLITIQUES
Jean-Pierre Jouyet Jean-Pierre Raffarin Dominique de Villepin
L’ex-directeur du cabinet de Jacques Delors et les deux Premiers ministres de Jacques Chirac font partie de ses rares connexions politiques.
Et lui, qui le conseille ? S’il fallait n’en citer qu’un, ce serait Hubert Védrine, l’ancien chef de la diplomatie sous Jospin reconverti dans le conseil, avec qui Margerie partage une certaine vision de la France, éloignée du déclinisme ambiant. » Il est soucieux de l’intérêt national « , ajoute Védrine. » Je l’ai vu rabrouer un diplomate français qui raillait le gouvernement. Il trouvait inadmissible que l’on dise du mal de son pays devant des étrangers « , se souvient Randa Takieddine. Pour défendre ses intérêts, Christophe de Margerie a choisi Jean Veil, le fils de Simone. » Nos deux mères ont des relations amicales « , souligne l’avocat, dont l’associé Emmanuel Rosenfeld gère les deux récentes mises en examen du dirigeant de Total, soupçonné d’abus de biens sociaux et de corruption d’agents publics étrangers en Irak dans le cadre de l’affaire » Pétrole contre nourriture » et en Iran dans le dossier du gaz offshore.
Brigitte Taittinger Colette de Margerie Pierre-Christian Taittinger
Sacrée, la famille ! Il est très proche de sa cousine et de sa mère, de précieux conseil, tout comme son oncle, maire du xvie arrondissement. Des lézardes supplémentaires dans l’image du Groupe Total, après la catastrophe AZF, l’affaire du travail forcé en Birmanie et le naufrage de l’Erika. » Il va devoir travailler sur la communication du groupe « , insiste un proche. Il pourra demander conseil à Anne Lauvergeon, qui, avec Albert Frère et Gérard Mestrallet, est l’une des personnalités du business que Margerie apprécie le plus. Lorsqu’elle est arrivée à la tête d’Areva, l’ancienne sherpa de Mitterrand a mis à mal la culture du secret qui régnait parmi les » nucléocrates » et fait connaître le monde de l’atome au grand public. Avec un succès qui n’a pas échappé à Big Moustache.
Christophe de Margerie en 5 dates 1974 : entrée dans le Groupe Total, à la direction financière 1995 : prend la tête de Total-Moyen-Orient 1999 : devient patron de la branche exploration-production 2006 : mis en examen dans l’affaire » Pétrole contre nourriture » 2007 : devient directeur général du groupe pétrolier
Vous aurez noté au passage le nom de Gérard Mestrallet, l’actuel PDG du groupe GDF-Suez et de Suez Environnement dans lesquels le tandem Desmarais/Frère détient également des participations. Ce qui est beaucoup moins connu est qu’il siège au conseil d’administration de Pargesa SA (dont il a été question plus haut),comme en fait foi le rapport annuel de cette entreprise pour l’année 2013, et qu’il siège au bureau des gouverneurs du Forum international des Amériquesqu’organise chaque année à Montréal l’Empire Desmarais.
Il s’agit donc bel et bien d’un défi à la position des États-Unis lancée par Total et ses actionnaires, dont le tandem Desmarais/Frère. La question qui se pose est de savoir quelle est la position de l’État français dans cette affaire, et elle se pose d’autant plus que Total, sans être une société d’État est une des plus grandes entreprises françaises et que l’État se trouve dans son capital, soit directement, soit par l’entremise d’une institution comme la Caisse des dépôts et consignations (CDC) ou l’une de ses filiales.
Jean Pierre Jouyet, secrétaire général de l’Élysée
De plus, le secrétaire général actuel de l’Élysée, Jean-Pierre Jouyet qui, s’il est un ami de longue date de François Hollande, était aussi le cousin par alliance de Christophe de Margerie, comme nous l’apprenait Le Figaro dans un article paru dans la foulée de l’accident/attentat de Moscou, dont voici un extrait très éclairant :
Au plus haut niveau de l’État, l’ancien patron du groupe pétrolier était particulièrement proche de François Hollande. Beaucoup plus qu’il ne l’a jamais été de Nicolas Sarkozy. Christophe de Margerie fut notamment le témoin du mariage de sa cousine, Brigitte Taittinger, avec Jean-Pierre Jouyet, l’actuel secrétaire général de l’Élysée, au côté de l’actuel chef de l’État. Une proximité entre les deux hommes confirmée mardi par le ministre des Finances, Michel Sapin, qui a rappelé que François Hollande et lui-même le connaissaient dans leur « vie privée ». Jean-Pierre Jouyet, devenu de fait le cousin par alliance de Christophe de Margerie, a pour sa part qualifié la relation entre le grand patron et François Hollande de « très conviviale et amicale ».
Avant d’occuper ses fonctions actuelles, Jean-Pierre Jouyet a présidé aux destinées de la CDC et de l’Autorité des marchés financiers (AMF). C’est ainsi qu’il a fait connaissance avec le tandem Desmarais/Frère, comme nous le révèlent les dessous des nombreuses actions en justice entreprises en France et en Belgique par l’homme d’affaires français Jean-Marie Kuhn qui invoque des irrégularités dans la vente de la chaîne de restauration rapide Quick par Albert Frère à une filiale de la CDC qui aurait, sur ordre de l’État français, payé Quick largement au-dessus de sa valeur, versant 800 millions d’euros à M. Frère pour une entreprise évaluée en 2004 à quelque 300 millions d’euros.
Dans une requête au Conseil d’État, le plus haut tribunal français, introduite en août 2012 pour obtenir l’annulation de la nomination de Jean-Pierre Jouyet à la tête de la CDC, dont vous trouverez le texte complet sur Vigile, Jean-Marie Kuhn décrit le stratagème et explique les liens entre Jouyet et le tandem Desmarais/Frère avec un luxe de détails peu flatteur pour les intéressés. Le fait que cette requête ait été jugée irrecevable pour des motifs purement techniques n’enlève rien à l’intérêt des faits et à la lumière qu’ils se trouvent à jeter sur les agissements douteux, et c’est bien peu dire, de nos « élites » économiques et politiques, au Québec comme en France.
En faisant les recoupements nécessaires, des observateurs plus familiers que moi avec les arcanes de la politique française parviendraient certainement à établir un lien entre cette affaire et le fameux déjeuner récent entre Jean-Pierre Jouyet, François Fillon et Antoine Gosset-Grainville.
En effet, le parcours du dernier est très instructif. Voici en effet le résumé qu’en fait Wikipédia :
Antoine Gosset-Grainville
En 1993, à sa sortie de l’Ena, Antoine Gosset-Grainville débute sa carrière à l’Inspection générale des Finances, avant de prendre les fonctions de secrétaire général adjoint du Comité monétaire européen en 1997, puis du comité économique et financier de l’Union européenne à Bruxelles. En 1999, il rejoint le cabinet de Pascal Lamy, commissaire européen chargé du commerce, comme conseiller pour les affaires économiques, monétaires et industrielles.
Avocat aux barreaux de Paris et Bruxelles, il devient en 2002 associé au cabinet Gide Loyrette Nouel, dont il dirige le bureau de Bruxelles jusqu’en 2007.
Il est de 1995 à 2007 coordonnateur de la direction d’études de questions européennes à l’IEP de Paris.
Antoine Gosset-Grainville est appelé comme directeur adjoint de cabinet auprès de François Fillon qui est nommé Premier ministre en mai 2007.
Il quitte Matignon en mars 2010 pour la Caisse des dépôts et consignations dont il devient directeur général adjoint, chargé du pilotage des finances, de la stratégie, des participations et de l’international (1er mai 2010).
À la suite de la décision de Nicolas Sarkozy de reporter la nomination du directeur général de la Caisse des dépôts après l’élection présidentielle de 2012, Antoine Gosset-Grainville a assuré la direction générale par intérim de l’institution du 8 mars au 18 juillet 2012, date de la nomination de Jean-Pierre Jouyet comme directeur général. À ce titre, il a assuré la présidence du conseil d’administration du Fonds stratégique d’investissement (FSI).
En mars 2013, il fonde le cabinet BDGS spécialisé dans les opérations transactionnelles M&A avec trois associés : Antoine Bonnasse, Youssef Djehane et Jean-Emmanuel Skovron.
Les trois hommes ont prétendu ne pas avoir parlé de politique lors de ce fameux déjeuner dont les échos sont même parvenus au Québec. On s’est gaussé d’eux. Mais si c’était vrai ? En examinant leur profil, on peut facilement comprendre qu’ils auraient tout aussi bien pu parler de l’évolution de certaines transactions auxquelles ils ont été associés. Et si c’est le cas, pourrait-il s’agir de transactions impliquant le tandem Desmarais/Frère ? Fillon et Gosset-Grainville n’ont-ils pas planché ensemble sur le dossier GDF-Suez en 2007 dans des négociations impliquant Albert Frère et Gérard Mestrallet ?
L’écheveau des intérêts publics et privés
Ce que cet embrouillamini démontre, c’est que l’État français, comme l’État québécois d’ailleurs, sert désormais de paravent commode à d’énormes magouilles concoctées par le tandem Desmarais/Frère, et qu’il n’y a plus moyen de déterminer la frontière entre les intérêts privés et les intérêts d’État. On en a eu un excellent exemple récemment lors de la visite du président Hollande au Canada. Il n’était rien d’autre que le commis-voyageur d’intérêts privés au premier rang desquels figurait très avantageusement ceux du tandem Desmarais-Frère, et c’est d’ailleurs de cette façon qu’il s’est comporté, au plus grand ravissement du gouvernement Harper.
La politique de la France ? Il n’en reste rien, comme le démontre l’incapacité de François Hollande à ordonner la livraison des Mistral à la Russie en exécution du contrat qu’elle a signé avec elle. Il est loin le temps où le Gal de Gaulle déclarait que « La politique de la France ne se décide pas à la corbeille » et retirait la France de l’OTAN.
Aujourd’hui, sous les pressions des États-Unis et avec la complicité complaisante de Nicolas Sarkozy et de ses élites, la France a réintégré l’OTAN et en est réduite à jouer les valets de service. Il ne lui reste plus la moindre marge de manoeuvre, et elle est en train de perdre à une vitesse ahurissante toutes les caractéristiques qui l’ont différenciée dans l’histoire, comme je m’en rends compte à chaque fois que j’ai l’occasion de m’y rendre. Tant il est vrai, comme le disait encore de Gaulle, que « La France ne peut être la France sans la grandeur. »
Dans cette affaire, les États-Unis ont envoyé à la France un message à la manière du « Parrain », et la France n’est même plus en mesure de les dénoncer ou de leur retourner un message de son cru. Pire, le message en fera certainement réfléchir plus d’un, et François Hollande est peut-être même du nombre.
Pour parvenir à leurs fins, les États-Unis doivent absolument se débarrasser non pas de la Russie dont ils convoitent les richesses naturelles, notamment le pétrole et le gaz, mais de Poutine qu’ils voient comme le principal obstacle à leur dessin. L’opération ukrainienne devait avoir cet effet, mais rien ne fonctionne pas comme prévu. Poutine, s’il en a profité pour récupérer la Crimée au passage pour des raisons autant historiques que stratégiques, évite soigneusement de s’engager plus loin, et laisse les ukrainiens de l’ouest et de l’est se déchirer entre eux. Quant aux sanctions commerciales, elles se sont retournées contre les pays européens,
Et à ce dernier égard, la situation va même empirer. Il faut comprendre que la baisse du rouble occasionnée par les sanctions actuelles et la baisse du cours du pétrole ne nuit pas à la Russie, bien au contraire. Elle la force tout d’abord à produire davantage chez elle pour éviter d’être trop pénalisée par ses importations, et elle la rend beaucoup plus concurrentielle à l’exportation. C’est le principe des dévaluations compétitives qui ont tant profité au développement de certaines économies européennes, et dont elles sont désormais privées par l’existence de l’euro.
Pour ajouter aux difficultés des États-Unis, l’Union Européenne, qu’ils espéraient modeler à leur image, fait eau de toutes parts et menace d’échapper à leur contrôle. L’opération ukrainienne visait donc également ressouder son unité devant la menace d’un ennemi commun, et elle aurait pu facilement réussir dans le contexte d’une économie florissante.
Mais dans un contexte de crise économique, chacun est tenté de tirer dans le sens de ses intérêts, comme le cas des bâtiments porte-hélicoptères Mistral commandés à la France par la Russie le démontre éloquemment. C’est pourquoi les États-Unis devaient frapper fort, sachant trop bien qu’ il est d’autant plus tentant de demeurer sourd à l’appel de l’unité qu’on risque de perdre beaucoup à y répondre.
Quant à Christophe de Margerie, il est mort d’avoir vécu dangereusement, comme Enrico Mattei. Mais si l’on sait que Mattei n’a jamais eu d’autre souci que de bien servir les intérêts de l’Italie, on est beaucoup moins certain que de Margerie ait été au seul service des intérêts de la France. On a même d’abondantes preuves du contraire. L’homme, ou l’époque ?
Patrons révoltants: 10000 employeurs français prennent les rues pour protester contre les conditions de travail, les impôts
01 Décembre, 2014 15:40
Les travailleurs, les enseignants et les médecins ne sont pas les seuls qui protestaient en France. Maintenant les patrons ont inondé les rues, ralliant contre les réglementations étouffantes des employés et l'augmentation des taxes sur l'emploi.
Les manifestations, organisées à Paris, Toulouse et Marseille, se sont réunis au moins 10 000 propriétaires d'entreprises petites et moyennes, les organisateurs ont dit les médias français. Police de Paris a minimisé les manifestations, cependant, affirmant qu'il n'y avait que 2 200 personnes défilent dans les rues de la capitale française.
Les patrons disent qu'ils protestent gouvernement "des politiques qui ont étranglé des entreprises pour les 30 dernières années."
Ils se battent sur toute une gamme de questions, y compris état de marche sévère, la semaine de travail à temps partiel de 24 heures minimum et de lourds impôts dont ils disent conduisent leurs entreprises dans le sol.
"Taxes, prélèvements, redevances:! Ça suffit" dit l'une des bannières portées par les manifestants.
"Chers ministres:! Travailler 70 heures par semaine pour les arachides - je peux fournir une formation pour que« lire un autre.
La foule scandait à Paris, «Nous sommes l'économie, nous sommes travail !" à l'extérieur du ministère des Finances.
A Toulouse, les manifestants tenaient des banderoles on pouvait lire: «Les impôts, prélèvements, taxes:! Assez c'est assez" et "! Six entreprises locales meurent chaque heure"
«Cette année, 70 000 entreprises ont fait faillite. Ce est 110 000 emplois passés," a déclaré Gérard Ramond, chef de la branche régionale de la CGPME, qui représente les patrons des petites et moyennes entreprises, a rapporté l'AFP.
Les patrons ont frappé les rues de France pour la première fois depuis 2000, lorsque la semaine de 35 heures a été introduite.
Trois groupes d'employeurs sont impliqués dans les manifestations qui devraient se poursuivre pendant toute la semaine sous la #liberonslentreprise hashtag ( libérer les entreprises ).
"Les chefs d'entreprise sont exaspérés tandis que leurs entreprises souffrent dans une situation économique très difficile," Jean-Eudes du Mesnil du Buisson, responsable de l'association CGPME des petites et moyennes entreprises, a dit la télévision France 24.
Le Mouvement des entreprises de France (Medef), le plus grand groupe des employeurs de la France, prend également en charge la démonstration.
"Cette protestation doit souligner la gravité de la situation," a déclaré le Medef dans un communiqué. "Nous devons agir et convaincre les gens qu'il existe des solutions à stimuler la croissance et l'emploi."
Le troisième groupe impliqué dans le rallye est le syndicat des artisans de l'UPA, qui envisage de publier une lettre ouverte au président français François Hollande dans environ 60 journaux.
Le taux de chômage de la France a récemment atteint 5,5 pour cent. Hollande a promis de réduire les impôts sur les salaires si les entreprises prennent de nouveaux travailleurs. Cependant, aucun progrès n'a été fait jusqu'à présent.
Les notes de Hollande est tombé à un plus bas record en Septembre, avec seulement 13 pour cent des Français se déclarant satisfait de sa performance en tant que président et 86 pour cent indiquant qu'ils ne sont plus pris en charge Hollande, selon un sondage réalisé par l'Institut français d'opinion publique.
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA) interdit de demander conseil à des scientifiques indépendants
Par Stephen Luntz Global Research, Novembre 24, 2014
Un projet de loi adopté par la Chambre des représentants américaine est conçu pour empêcher des scientifiques indépendants, qualifiés de conseiller l'Environmental Protection Agency (EPA). Ils seront remplacés par des choix de l'industrie affiliés, qui peuvent ou peuvent ne pas avoir l'expertise scientifique pertinente, mais dont les chèques de paie bénéficient de raconter à l'EPA ce que leurs employeurs veulent entendre.
L'EPA de Conseil consultatif scientifique (SAB) a été créé en 1978 pour assurer l'EPA utilise le plus à jour et la recherche scientifique pertinente pour sa prise de décision et que les programmes de l'EPA reflètent ce conseil. Il a servi dans ce rôle, le plus souvent sans controverse, par le biais de 36 ans et six présidents. Si le nouveau projet de loi passe l'approbation présidentielle Sénat et victoires, cependant, ce est sur le point de changer.
Il est difficile d'être contre "l'équilibre", ce qui a sans doute contribué Rep Chris Stewart (R-Utah) recueillir 229-191 soutien à son projet de loi HR 1422 de réformer la façon dont les nominations à la SAB sont faites. Sur les 51 membres du CCS, trois proviennent des industries de l'EPA est la régulation. Stewart veut plus, en disant: "Tout ce que nous demandons, ce est qu'il y ait un certain équilibre à ces experts ... Nous perdons expérience et des conseils précieux, car nous ne les incluons pas dans le processus."
Cependant, une enquête plus approfondie suggère l'ordre du jour implique plus que d'obtenir la contribution d'un large éventail de milieux. Pour une chose, le vote était en grande partie sur les lignes de parti avec quatre démocrates soutien et une courageuse opposition républicaine . En outre, Stewart n'a pas beaucoup d'un record pour l'écoute à une véritable expertise scientifique, compte tenu de 98% des évaluations pertinentes des scientifiques qualifiés .
En outre, Stewart a clairement fait savoir qu'il ne croit pas l'APE devrait exister, appelant à sa mise au rebut parce qu'il "contrarie le développement de l'énergie". Obtenue à la hache corps qui assure l'eau est potable et de l'air ne est pas vous tuer est politiquement difficile, mais nobbling est plus facile.
La législation a été à l'étude depuis 2013. Lors d'une audience au début du projet de loi Dr Francesca Grifo, précédemment directeur du Centre pour la biodiversité et la conservation du Musée américain d'histoire naturelle a témoigné , «Conflits d'intérêts menacent l'intégrité de la science. Plus précisément, l'objectivité des membres d'un comité consultatif et la confiance du public dans l'avis rendu par ce comité sont endommagés quand un membre d'un comité consultatif a un intérêt secondaire qui crée un risque d'influence indue sur les décisions ou mesures touchant les questions en devant le comité ".
Le projet de loi empêcherait les scientifiques de voter sur la dissémination dans l'environnement d'un produit chimique par leurs employeurs. Néanmoins, ils seraient autorisés à voter pour libérer un produit chimique presque identique, notes Grifo, y compris certains qui créerait un précédent qui serait très utile à la société dans les décisions futures.
Plus insidieusement, les chercheurs sont interdits en vertu de l'acte de conseiller sur tout sujet qui pourrait "impliquer directement ou indirectement examen et l'évaluation de leur propre travail". En d'autres termes, les seules personnes interdites de conseiller l'EPA sur un produit chimique particulier, sont ceux qui ont effectivement étudié sa toxicité ou l'effet sur l'environnement.
L'Inde met fin aux restrictions sur les importations d'or
1 Décembre 2014 Par AWP
L'Inde a décidé de mettre fin aux restrictions sur l'importation d'or mises en place l'année dernière, a indiqué samedi la banque centrale indienne. Reuters L'Inde, deuxième acheteur mondial d'or après la Chine, avait imposé des restrictions sur l'importation du métal précieux l'année dernière afin de restreindre son déficit commercial.
Reuters L'Inde, deuxième acheteur mondial d'or après la Chine, avait imposé des restrictions sur l'importation du métal précieux l'année dernière afin de restreindre son déficit commercial.
L'Inde a décidé de mettre fin aux restrictions sur l'importation d'or mises en place l'année dernière, a indiqué samedi la banque centrale indienne. L'Inde, deuxième acheteur mondial d'or après la Chine, avait imposé des restrictions sur l'importation du métal précieux l'année dernière afin de restreindre son déficit commercial. "Les restrictions sur l'importation d'or sont levées avec effet immédiat", a indiqué la banque centrale indienne dans un communiqué publié samedi sur son site internet. La règle sur les restrictions de l'importation d'or, appelée 80/20 stipulait que 20% du métal précieux importé devait être réexporté avant toute nouvelle importation. Les bijoutiers indiens utilisent une partie de l'or importé dans le pays pour fabriquer des bijoux destinés à l'exportation. Le métal précieux est taxé à 10% à l'importation dans le pays qui importe environ 90 de ses besoins en métal précieux. Les 1,2 milliard d'habitants de l'Inde utilisent l'or comme épargne. Selon le Conseil mondial de l'or, la demande indienne de métal précieux s'est accrue de près de 60% pour atteindre 182,9 tonnes au troisième trimestre. La demande d'or connait traditionnellement un pic dans le pays d'août à novembre, pendant la saison des mariages et le festival hindou de Dhanteras, considérés comme des périodes auspicieuses pour acheter le métal précieux ou l'offrir en cadeau.
Le cours de l'or chute après la votation de dimanche
1 Décembre 2014 Par AWP
Le cours de l'or a chuté de plus de 2% lundi, au lendemain du rejet massif par le peuple helvétique de l'initiative sur l'or de la Banque nationale (BNS). Il n'avait pas été aussi bas depuis trois semaines. Keystone L'initiative sur l'or voulait laisser à la BNS un délai de cinq ans pour augmenter sa part d'or de 7,5 à 20% et rapatrier les 30% de son stock actuel entreposés dans les banques centrales anglaise et canadienne.
Keystone L'initiative sur l'or voulait laisser à la BNS un délai de cinq ans pour augmenter sa part d'or de 7,5 à 20% et rapatrier les 30% de son stock actuel entreposés dans les banques centrales anglaise et canadienne.
Votation Le cours de l'or a chuté de plus de 2% lundi, au lendemain du rejet massif par le peuple helvétique de l'initiative sur l'or de la Banque nationale (BNS). Il n'avait pas été aussi bas depuis trois semaines. Par ailleurs, le franc suisse a lâché du lest par rapport à l'euro. Une once d'or valait encore lundi matin 1142,90 dollars sur les marchés asiatiques, selon Reuters. Il s'agit de la valeur la plus basse enregistrée en plus de trois semaines. Le franc s'est pour sa part à nouveau éloigné de son taux plancher de 1,20 franc pour un euro, que protège coûte que coûte la BNS. Tôt lundi matin, le cours atteignait 1,2042, alors qu'à la fin de la semaine passée, il était de 1,2018 franc. L'initiative sur l'or voulait laisser à la BNS un délai de cinq ans pour augmenter sa part d'or de 7,5 à 20% et rapatrier les 30% de son stock actuel entreposés dans les banques centrales anglaise et canadienne. La BNS dispose à ce jour de 1040 tonnes d'or. Les initiants estimaient que ces mesures étaient indispensables pour garantir la stabilité du franc suisse.
Saoudiens courent le risque de jouer avec le feu dans le schiste prix épreuve de force que les écrasements brut
Un profond marasme des prix pourrait accroître la tourmente géostratégique au Moyen-Orient
Par Ambrose Evans-Pritchard 16h49 GMT le 30 novembre 2014
L'Arabie saoudite et les principaux États de l'OPEP prennent un immense pari politique en laissant les prix du pétrole brut chute à 66 dollars le baril, si leur but est de secouer les plus faibles producteurs de schiste aux États-Unis. Un profond marasme des prix pourrait aussi accroître la tourmente géostratégique à travers le Moyen-Orient élargi et de boomerang contre les pétro-émirats du Golfe avant qu'il inflige un coup de knock-out sur les rivaux américains.
Chef califat d'Abu Bakr al-Baghdadi a déjà ouvert un «second front» en Afrique du Nord, visant l'Algérie et la Libye - deux Etats qui vivent de l'exportation d'énergie - ainsi que l'Egypte et le Sahel autant que le nord du Nigeria. "La résilience de schiste américain peut s'avérer supérieure à la résilience de l'Opep", a déclaré Alistair Newton, chef de risque politique chez Nomura.
Chris Skrebowski, ancien rédacteur en chef de la Petroleum Review, a déclaré que les Saoudiens veulent réduire le taux de croissance annuel de la production de schiste américain de 1m de barils par jour (bpj) à 500 000 bpj pour amener le marché proche de l'équilibre. "Ils veulent énerver le modèle de l'huile de schiste et minent la confiance financière, mais ils ne seront pas arrêter la croissance tout à fait," a t-il dit.
Il ne est pas question que les USA ont complètement changé le paysage mondial de l'énergie et pose une menace existentielle pour l'OPEP. Amérique a réduit ses importations de pétrole net de 8,7 millions de barils par jour depuis 2006, égal aux exportations de pétrole combinés de l'Arabie saoudite et le Nigeria.
Le pays a enregistré un déficit commercial de $ 354bn dans de l'huile et du gaz aussi récemment qu'en 2011. Citigroup a dit que ce sera de retour à l'équilibre d'ici 2018, l'un des revirements les plus extraordinaires de l'histoire économique moderne.
«Quand il se agit de brut et d'autres hydrocarbures, aux États-Unis est pleine à craquer", a déclaré Edward Morse, chef produits de Citigroup. "Cette situation est peu probable de se arrêter, même si les prix pratiqués pour l'automne de l'huile de manière significative. Les États-Unis devrait devenir un exportateur net de produits pétroliers et de pétrole brut combinés d'ici 2019, si ce n'est 2018. "
Opep a mal jugé la menace. Pas plus tard que l'année dernière, il rejetait US schiste comme un feu de paille. Abdalla El-Badri, secrétaire général du groupe, insiste encore que la moitié de toute la production de schiste américain est vulnérable ci-dessous $ 85.
C'est la bravade. Les producteurs américains ont enfermé dans des prix plus élevés à travers des contrats de produits dérivés. Noble Energy et Devon Energy ont tous deux couvert plus des trois quarts de leur production pour 2015.
Pioneer Ressources naturelles a dit qu'il a des options par le biais de 2016 couvrant les deux tiers de sa production probable. "Nous pouvons produire jusqu'à 50 dollars le baril", a déclaré Harold Hamm, de Ressources Continental. L'Agence internationale de l'énergie dit que la plupart de vaste champ Bakken du Dakota du Nord "reste rentable égal ou inférieur à $ 42 le baril. Le prix d'équilibre dans le comté de McKenzie, le comté le plus productif dans l'état, est de seulement 28 $ le baril. "
Efficacité se améliore et foreurs se tournent vers des taches à moindre coût, en affrontant l'OPEP avec une cible mouvante. "Le (prix) plancher est en baisse et ne peut pas être presque aussi ferme que la vue Arabie suppose," dit Citigroup.
M. Morse affirme que le coût "du cycle complet" pour la production de schiste est de 70 $ à 80 $, mais cela inclut les accaparements de terres d'origine et de l'infrastructure. "Le capex reste nécessaire pour porter sur un puits supplémentaire est beaucoup plus faible, et pourrait être aussi faible que la haute gamme 30s $," a t-il dit.
Les critiques de schiste américain pourraient avoir mal compris son économie. Il y a un déclin rapide de la production de nouveaux puits, mais cela est compensé par une «phase de long-queue" pour un nombre croissant de puits existants. Le champ Bakken a déjà atteint 1,1 million de barils par jour, et cela devrait encore doubler au cours des cinq prochaines années.
Autres projets pétroliers du monde entier peuvent être plus vulnérables à un resserrement des prix, y compris la mer du Nord, les entreprises en eaux très profondes dans l'Atlantique au large du Brésil et de l'Angola, les sables bitumineux canadiens, ou les plans controversés de la Russie pour l'Arctique dans le «Grand Nord». Mais le mal sera progressif.
Dans l'intervalle, l'huile ci-dessous $ 70 joue déjà des ravages avec des budgets à travers le pétro-nexus mondial. Le coût budgétaire de rentabilité est de 161 $ pour le Venezuela, $ 160 pour le Yémen, $ 132 pour l'Algérie, $ 131 pour l'Iran, $ 126 pour le Nigeria, et 125 $ pour Bahreïn, $ 111 pour l'Irak, et 105 $ pour la Russie, et même 98 $ pour l'Arabie saoudite elle-même, selon Citigroup.
Opep peut ne pas être inquiet au sujet des pays tels que le Nigeria, mais même là, une crise économique et politique à part entière pourrait tourner le nord dans un bastion jihadiste sous Boko Haram.
Les mouvements djihadistes croissance dans le Maghreb - combinant avec les événements en Syrie et en Irak - posent clairement une menace de sécurité de premier ordre pour le régime saoudien lui-même.
La ville libyenne de Derna est déjà dans les mains du groupe salafiste Ansar al-charia et a fait allégeance à l'Etat islamique. Mouvements terroristes dans le Sinaï égyptien ont également rallié le drapeau noir et blanc de l'IS, ce qui incite le chef de file de l'Egypte Abdel al-Sisi appeler la semaine dernière pour une "mobilisation générale" de tous les grandes puissances arabes et occidentaux pour vaincre le mouvement d'écartement.
La nouvelle inquiétude est l'Algérie que le régime Bouteflika va dans ses angoisses finales. "Ils ont un problème de terrorisme enraciné que nous avons vu dans la saisie de la raffinerie de gaz Amenas de l'année dernière. Ces personnes se alignent avec l'État islamique dans le cadre de la franchise ", a déclaré M. Newton.
L'Algérie exporte 1,5 million de barils par jour de produits pétroliers. Ses exportations de gaz sont plus importants, mais le prix du gaz naturel liquéfié livré à l'Europe est indirectement lié à l'huile au fil du temps.
C'est une question ouverte ce qui se passera à l'Algérie, l'Irak et la Libye, si les prix du pétrole planent à la moitié des coûts budgétaires de rentabilité pour un an ou deux, étant donné l'extrême fragilité de la région et le risque politique de réduction des subventions.
La tornade sunnite salafiste qui balaie le Moyen-Orient - si étrangement comme l'expansion fulgurante de l'Islam au milieu du 7ème siècle - se déplace à ses propres rythmes intérieurs. Ce ne est pas une simple fonction de bien-être économique, laissez prix du pétrole seul.
Pourtant, au pouvoir de la dynastie des tests le sort de l'Arabie saoudite se il fait le pari que l'ordre politique l'effilochage du Moyen-Orient peut résister à un choc économique régionale pour deux autres années.
Cette guerre du pétrole, opposant pays producteurs entre eux, et plus largement pays producteurs et pays consommateurs, a toujours existé. Les producteurs se battent pour vendre le plus cher possible ou plus exactement pour faire les plus grands profits possibles, en adaptant les quantités produites à la demande. Les pays consommateurs s’efforcent de dépenser le moins possible, là encore en adaptant les quantités achetées à l’offre.
- voir graphique sur site -
Le marché est de type libéral-oligopolistique. Ça veut dire que nulle autorité mondiale ne fixe les cours, mais que les décisions de grands groupes de producteurs, organisés pour mettre en œuvre une politique commune au sein du groupe, peuvent influencer les cours à la hausse ou à la baisse.
Aujourd’hui, l’OPEP (Organisation des pays producteurs de pétrole) est le plus organisé de ces oligopoles. L’OPEP regroupe un grand nombre de producteurs [1], mais en fait seuls les plus importants jouent un rôle dans ses décisions, sous l’autorité de fait de l’Arabie saoudite. L’OPEP ne représente au demeurant qu’un tiers de la production mondiale. Deux autres grands producteurs de pétrole (pétrole et gaz) sont apparus depuis quelques années sur le marché : la Russie pour environ 15 % et les États-Unis pour 12 %, avec les gaz et pétroles de schistes (chiffres approximatifs). Ils prennent librement leurs décisions, en principe sans s’accorder avec l’OPEP. Tous les autres producteurs, trop petits pour influencer sensiblement le marché, ne font que s’adapter.
Le cours du pétrole s’effrondre…
Depuis quelques mois, le cours du pétrole n’a cessé de baisser, comme le montre le graphique ci-dessus. On attribue généralement cette baisse au ralentissement de l’économie mondiale, y compris chez les pays gros consommateurs comme la Chine. Elle est considérée aussi comme résultant de l’apparition des États-Unis sur le marché, devenus auto-suffisants et marginalement exportateurs, grâce aux gaz et pétroles de schistes. Par ailleurs, les spéculateurs doivent admettre que l’offre potentielle sera de plus en plus importante dans les prochaines années, compte-tenu de la découverte de réserves exploitables dans de nombreux pays non encore exportateurs.
Logiquement, les producteurs devraient s’entendre, comme ils le faisaient jusqu’alors, pour diminuer la production et faire remonter les cours. Mais diminuer la production, dans un premier temps, diminue les revenus des producteurs. Ils devraient donc s’entendre à eux-tous pour se répartir les pertes. Une telle entente, qui est en soi très difficile, est aujourd’hui rendue impossible par les désaccords politiques entre pays producteurs. Disons en simplifiant que les pays de l’OPEP chercheraient apparemment à mettre en difficulté les producteurs concurrents d’Amérique du Nord, dont les coûts de production sont difficilement compressibles. La baisse des cours les pénalise aussi, mais ils disposent de réserves de change en quantité suffisamment importante pour pouvoir supporter quelque temps le manque à gagner.
A l’opposé, la Russie, rejointe par le Venezuela, voudrait provoquer une réduction de la production suffisamment rapide et importante, pour faire remonter les cours. Une telle hausse est indispensable à leur équilibre économique.
Les États-Unis, qui pourraient peser sur l’orientation du marché, ne le font pas pour le moment. Certes, la baisse des cours pénalise leurs producteurs, mais elle a pour eux le grand avantage de pénaliser encore davantage la Russie, contre laquelle ils ont engagé depuis quelques mois ce que l’on nomme une deuxième Guerre froide. Ils n’envisagent donc pas de rejoindre une coalition de pays cherchant à réduire la production globale afin d’améliorer à terme les revenus des pays exportateurs.
… et réjouit les pays consommateurs…
Du côté des pays consommateurs, la baisse des cours est généralement bien accueillie. Elle diminue le coût des carburants fossiles. Elle permet ainsi de relancer, ne fut-ce que marginalement, la production, et donc ce que l’on nomme la croissance. Certaines industries, comme l’automobile, en profiteront nécessairement. Les consommateurs individuels de pétrole et de gaz s’en réjouissent également. Mais les économistes et les climatologues, qui cherchent à voir un peu plus loin que les aléas de la conjoncture économique, considèrent cette baisse comme une véritable catastrophe, d’autant plus catastrophique si elle se prolongeait sur plusieurs années.
… mais plombe l’industrie des énergies de substitution
Il est évident que les efforts tentés, non sans difficultés et obstacles, pour réduire les consommations d’énergie et mettre en place des sources de substitution dite vertes (incluant le nucléaire), se trouvent découragés, sinon rendus impossibles. Le bilan industriel sera donc lourd. En économie libérale de marché, des pans entiers d’industries émergentes seront mis en difficulté, voire conduits à disparaître. Les États, dépourvus dorénavant de moyens d’intervention, ne pourront pas protéger les secteurs et activités d’avenir destinés à diminuer leur dépendance au pétrole.
Inutile d’ajouter que les politiques visant à diminuer la production des gaz à effets de serre seront compromises, sinon découragées. Or, en ce domaine, comme l’ont montré les climatologues, tout retard pris ne se rattrape pas. Ce serait dès maintenant, et non dans l’attente d’une hypothétique remontée des prix du pétrole, qu’il faudrait agir. L’humanité se rapproche de plus en plus du point de non-retour (tipping point), au-delà duquel des dégâts sur l’environnement comme sur les espèces vivantes se développeront sur un mode exponentiel.
Les pays européens non producteurs d’énergie en souffriront nécessairement bien plus que les pays producteurs de pétrole. Dans la compétition mondiale, ces derniers n’y verront que des avantages à court terme. Avec ses ambitions de réduire la consommation d’énergie, l’Europe représente pour eux une ennemie à abattre. Quant aux pays sous-développés, leur sort, dans cette guerre du pétrole, n’intéressera personne…
Un consensus s’avère hors de portée
Peut-on espérer que, face à l’imminence du danger environnemental, producteurs et consommateurs de pétrole s’entendront pour diminuer progressivement la production d’énergies fossiles et reconvertir leurs ressources de trésorerie dans de nouveaux investissements favorables aux économies d’énergie et aux énergies de remplacement. Ce serait évidemment l’idéal, mais une telle entente ne pourrait provenir que d’un consensus mondial, par exemple dans le cadre de l’ONU, pour adopter en commun de telles politiques.
Or de récentes études tendent à montrer que, même face à un péril imminent, des pays et intérêts en compétition refuseront de s’entendre. Chacun exploitera jusqu’au bout le créneau dont il profite, préférant affronter le désastre final, autrement dit un suicide collectif, plutôt que négocier avec des concurrents-adversaires des accords permettant d’atteindre le salut commun.
Si l’anthropologie confirmait ces hypothèses, ainsi pourrait s’expliquer un paradoxe depuis longtemps constaté et regretté :
Pourquoi les humains, si performants dans la gestion du court terme, sont-ils incapables de se projeter dans le long terme, afin d’anticiper les risques et prendre immédiatement des mesures préventives ?
On attribue généralement ce trait à l’incapacité du cerveau humain de se représenter suffisamment clairement des hypothèses concernant l’avenir.
Mais, pour le chercheur Pedro Sekeris, la réponse est beaucoup plus inquiétante. Elle tient au fait que le mécanisme génétique et culturel de la compétition darwinienne, ayant permis l’apparition des sociétés modernes, ne pourra être débranché que par… la catastrophe finale. Le dernier des survivants, avant de disparaître lui-même, se glorifiera d’avoir éliminé tous ses rivaux [2].
Jean-Paul Baquiast
Notes [1] Pays membres de l’OPEP : l’Arabie saoudite, l’Iran, l’Irak, le Koweït le Venezuela, le Qatar, les Emirats Arabes Unis, l’Algérie, le Nigeria, l’Equateur, l’Angola. Son siège est à Vienne. Les transactions se font en dollar, et dépendent donc en partie de son cours. Si dans le cadre du BRICS, ces transactions s’accomplissaient dans une autre monnaie choisie d’un commun accord, le marché mondial du pétrole pourrait se trouver modifié, mais d’une façon marginale. [2] The tragedy of the commons in a violent world, Pedro Sekeris, The Rand Journal of Economics (onlinelibrary.wiley.com, anglais, 25-07-2014)
Quand un pays a du pétrole à fleur de sable et sachant que cet or noir est abiotique, ce n'est pas 'à court terme' qu'il faut regarder les chose mais beaucoup plus loin. Pensez-vous au pétrole à 50$ dans 6 mois ? dans 1 an ? dans 2 ans ? 'Les autres', ils vont tenir combien de temps ?
Les tensions entre les Etats-Unis et la Russie sont pires que vous réalisez – ministre des affaires étrangères Sergueï Lavrov
Soumis par Tyler Durden le 01/12/2014 22:30-0500
Soumis par Mike Krieger via blog Liberty Blitzkrieg,
"Je suis jeune, j'ai vingt ans ; pourtant je ne sais rien de la vie, mais le désespoir, la mort, peur et superficialité niaise, jeté sur un abîme de tristesse. Je vois comment les peuples sont mis contre l'autre et en silence, sans le savoir, bêtement, docilement, innocemment tuer un l'autre. »
-Erich Maria Remarque, tous les Quiet on the Western Front
Malgré un intérêt géopolitique, je n'ai vraiment rien écrit sur la concernant et aggravation de la tension entre le gouvernement des États-Unis d'Amérique et le gouvernement de la Russie. J'ai écrit intentionnellement le gouvernement deux fois afin de mettre l'accent sur le fait que 99,9 % des américains n'ont pas de griefs réels avec des personnes réelles russes et vice versa. Il s'agit d'un conflit de haut niveau entre puissants « dirigeants » un jeu de risque avec le citoyen moyen comme des pions. C'est comment il a toujours été. Comme des êtres humains, nous ne perdions jamais vue de cette sorte les erreurs que nous faisons à l'avenir ne sont pas presque aussi tragiques que celles faites par nos ancêtres.
Une chose déconcertante, que j'ai remarqué parmi certaines personnes « liberté d'esprit » je suivre, est une tendance instinctive à choisir un côté dans cette affaire. Quand il s'agit de puissants hommes exécutant des États-nations centralisés dotés d'armes nucléaires, il n'y a aucune églises garçons impliqués. J'ai remarqué une volonté de défendre la Russie à chaque étape de la voie dans ce qui semble être un réflexe émotionnel naïf naisse justifiable dégoûté par ce qu'ils voient qui se passe dans leurs pays d'accueil (les États-Unis et le Royaume-Uni en particulier).
Ce comportement m'a toujours fait mal à l'aise et me rappelle beaucoup de comment les gens se fâcher avec un seul parti politique faux et puis votent pour l'autre gars tout simplement parce qu'ils ne sont pas un démocrate ou un républicain. Le meilleur choix est d'accepter qu'ils sont à la fois inutile et pas vigoureusement défendent l'autre partie. Je prends le même tact quand il s'agit de batailles entre États-nations. Je suis dégoûté et horrifié de ce qui se passe dans ces États-Unis, ne veut pas dire que je dois servilement défendre la Russie, Vladimir Putin ou choisir des côtés dans un conflit dans lequel les principaux perdants seront toujours civils impuissants.
Je n'ai jamais été en Russie, donc mon avis du pays est essentiellement sans valeur. Néanmoins, d'après ce que j'ai lu et observé, j'ai eu encore beaucoup préfère vivre aux Etats-Unis que la Russie malgré tout de défaillances et de décomposition de notre société au cours des dernières décennies. Bien que ce point de vue pourrait certainement changer dans le temps et les événements se déroulent, qu'est ce que je ressens fortement en ce moment. Poutine est de toute évidence un dirigeant autoritaire de culte qui veut interdire le Bitcoin, journalisme peut être une affaire meurtrièreet oligarques continuent de courir librement (tant que vous êtes amis avec Poutine). Rappeler mon récent billet : American part de richesse de la classe moyenne supérieure est pire que chaque pays en outre la Russie et l'Indonésie. Oui, "outre la Russie et l'Indonésie." La Russie n'est pas utopie économique.
Néanmoins, cette pièce n'est pas censée être un débat stérile sur lequel trop centralisé, archaïque et corrompu Etat-nation est meilleur que l'autre. Ni lieu a une structure politique ou économique qui vient même près de fournir un environnement fertile dans lequel l'existence humaine peut atteindre son plein potentiel. Au contraire, les deux États-nations sont contrôlés par un petit groupe d'ambitieux, autoritaire et, lorsque nécessaire, impitoyables et violents les hommes et les femmes. Cela dit, il y a deux raisons je pense que les remarques suivantes par le ministre des affaires étrangères russe Sergueï Lavrov sont si importants.
Tout d'abord, comme quelqu'un qui passe une grande partie de son temps à analyser et à critiquer les décisions de politique destructrice nombreuses faites par l'Amérique « dirigeants, » j'ai été choqué de constater le degré de précision de sa description de l'état d'esprit de la structure de la puissance américaine semble être. Il l'obtient, et il est plus ou moins essayant d'avertir le monde que les dirigeants de l'Amérique sont fondamentalement pouvoir ivre enfants. Je suis d'accord.
Deuxièmement, Lavrov décrit également l'impact négatif que ce comportement a eu sur la psyché russe en général. Il exprime la consternation que le statu quo d'US voit dans le monde unipolaire, et tente de s'attaquer à tous les problèmes du point de vue que la puissance est bonne. Sans ambages, Lavrov, il est clair que la Russie ne pourra pas se présenter pour cela. Je ne pense pas que les russes sont bluffant, donc c'est une situation très dangereuse.
S'il y avait effectivement une personne dans le département d'Etat américain capable de cette réflexion introspective et claire, nous pourrions effectivement diffuser cette situation. Ne retenez pas votre souffle.
Voici quelques extraits de l'allocution de M. Lavrov à l'Assemblée de XXII du Conseil sur les affaires étrangères et la politique de défense à Moscou le 22 novembre 2014. Vous trouverez tout cela ici, que je suggère fortement la lecture dans son intégralité.
Je suis heureux d'être à cette Assemblée annuelle du Conseil sur les affaires étrangères et la politique de défense (acronyme russe SVOP). C'est toujours un grand plaisir pour moi de rencontrer des gens et de sentir le potentiel intellectuel, ce qui permet au Conseil, ses dirigeants et ses représentants pour répondre aux événements mondiaux et de les analyser. Leur analyse est toujours libre de toute hystérie et ses membres offrent bien mise à la terre et des arguments solides, un pas en arrière, car ceux qui sont pris au milieu d'événements peuvent difficilement adopter un point de vue impartial. Nous sommes inévitablement influencés par l'évolution de la situation, qui rend vos observations, les analyse, les discours et les suggestions encore plus précieux pour nous.
Naturellement, je vais commencer avec l'Ukraine. Bien avant que le pays était plongé dans la crise, il y avait un sentiment dans l'air que les relations de la Russie avec l'UE et avec l'Occident sont apprêtaient à rejoindre leur moment de vérité. Il était clair que nous ne puissions n'est plus continuer à mettre des questions dans nos relations en veilleuse et qu'un choix doit être fait entre un véritable partenariat, ou, comme dit le proverbe va, « breaking pots. » Il va sans dire que la Russie opté pour l'alternative de l'ancien, alors que malheureusement nos partenaires occidentaux s'installent pour ces derniers, consciemment ou non. En fait, ils sont allés tous dehors en Ukraine et soutenu les extrémistes, donnant ainsi leurs propres principes de changement de régime démocratique. Ce qui est sorti il tentait de jouer le poulet avec la Russie, pour voir qui clignote tout d'abord. Comme tyrans disent, ils voulaient la Russie à « poulet » (je ne trouve pas un meilleur mot pour elle), de nous forcer à avaler l'humiliation des russes et des locuteurs natifs de russe en Ukraine.
Honorable Leslie Gelb, que vous connaissez tous trop bien, a écrit qu'accord de l'Ukraine d'Association avec l'UE n'avait rien à voir avec l'inviter l'Ukraine à rejoindre l'UE et avait pour but à court terme empêche de se joindre à l'Union douanière. C'est ce que dit une personne impartiale et objective. Lorsqu'ils ont délibérément décidé de s'engager dans la voie d'escalade en Ukraine, ils oublié beaucoup de choses et avaient une compréhension claire de comment se déplace irait en Russie. Ils ont oublié les conseils de, dire, Otto von Bismarck, qui avait dit que dénigrer le peuple russe des millions de personnes serait la plus grosse erreur politique.
Le Président Vladimir Poutine a dit l'autre jour que personne dans l'histoire n'a encore réussi à subjuguer la Russie à son influence. Ce n'est pas une évaluation, mais une constatation de fait. Encore pareille tentative a été faite pour étancher la soif d'expansion de l'espace géopolitique sous contrôle occidental, par peur de perdre le butin de ce qu'ils outre-Atlantique se persuade mercantile fut la victoire dans la guerre froide.
Le plus de la situation actuelle est que tout a cliqué en place et le calcul derrière les actions de l'Occident s'est révélé malgré profès prêt à construire une communauté de sécurité, un européen commun d'accueil. Pour citer (chanteur/compositeur de chansons) Bulat Okudzhava, « le passé devient plus clair et plus claire. " La clarté devient plus tangible. Aujourd'hui notre tâche n'est pas seulement à démêler le passé (même si cela doit être fait), mais surtout, de réfléchir à l'avenir.
Parle d'isolement de la Russie ne mérite pas de discussion sérieuse. J'ai besoin peine insister sur ce devant cet auditoire. Bien sûr, on peut endommager notre économie et dommage est fait, mais seulement de faire mal à ceux qui prennent des mesures correspondantes et, tout aussi important, détruire le système des relations économiques internationales, les principes sur lesquels elle repose. Autrefois, quand les sanctions ont été appliquées (j'ai travaillé à la mission russe auprès des Nations Unies à l'époque) nos partenaires occidentaux, lorsqu'il est question de la Corée du Nord, l'Iran ou autres Etats, a déclaré qu'il était nécessaire de formuler les restrictions de manière à maintenir dans les limites humanitaires et ne pas de causer un dommage à la sphère sociale et l'économie et pour sélectivement cibler uniquement l'élite. Aujourd'hui tout est l'inverse : les dirigeants occidentaux sont déclarant publiquement que les sanctions doivent détruire l'économie et la détente des protestations populaires. Ainsi, en ce qui concerne l'approche conceptuelle à l'usage des mesures coercitives l'Ouest démontre sans équivoque qu'il ne cherche pas simplement à changer la politique russe (qui en soi est illusoire), mais il cherche à changer le régime — et pratiquement personne ne nie cela.
, Nous entendons le mantra répété tous les jours que Washington est conscient de son exclusivité et son devoir de porter ce fardeau, pour convaincre le reste du monde. Rudyard Kipling a parlé de « le blanc fardeau de l'homme. » J'espère que ce n'est pas ce qui pousse les américains. Le monde aujourd'hui n'est pas blanc ou noir, mais multicolores et hétérogènes. Leadership dans ce monde peut être assurée non par convaincre soi-même d'un ' l'exclusivisme et Dieu-donné le devoir d'être responsable de tout le monde, mais seulement par la capacité et de l'artisanat dans la formation d'un consensus. Si les partenaires américains commis leur pouvoir atteindre cet objectif, ce serait inestimable, et la Russie devrait être activement pour les aider.
Cependant, jusqu'ici, les ressources administratives US fonctionnent toujours que dans le cadre de l'OTAN, puis avec des réserves substantielles, et son bref n'atteint pas au-delà de l'Alliance Atlantique. Une preuve en est les résultats nous tente d'établir la communauté mondiale à suivre sa ligne dans le cadre des sanctions contre la Russie et des principes. J'ai parlé à ce sujet plus d'une fois et nous avons de nombreuses preuves du fait qu'ambassadeurs américains et envoyés à travers le monde cherchent des réunions au plus haut niveau pour faire valoir que les pays correspondants sont obligés de punir la Russie avec eux ou bien de faire face aux conséquences. Ceci est fait en ce qui concerne tous les pays, y compris nos plus proches alliés (cela en dit long sur le genre d'analystes qu'a Washington).Une écrasante majorité des États avec lesquels nous avons un dialogue continu sans aucune restriction et l'isolement, comme vous le voyez, le rôle indépendant de la Russie de valeur sur la scène internationale. Non pas parce qu'ils l'aiment quand quelqu'un défie les américains, mais parce qu'ils se rendent compte que l'ordre mondial ne sera pas stable si personne n'est autorisé à exprimer son opinion (bien que privé, l'écrasante majorité expriment leur opinion, mais ils ne veulent pas faire publiquement par crainte de représailles de Washington).
Beaucoup d'analystes raisonnable comprend qu'il y a un fossé entre les ambitions mondiales de l'Administration américaine et du réel potentiel du pays. Le monde change et, comme c'est toujours arrivé dans l'histoire, à un certain moment influence et le pouvoir de quelqu'un atteignent leur crête et puis quelqu'un commence à se développer encore plus rapidement et plus efficacement. On devrait étudier l'histoire et aller de l'avant des réalités. Les sept économies en développement dirigés par les BRICS déjà ont un PIB plus important que le G7 occidentale. On devrait procéder de la vie et non un sens mal compris de sa propre grandeur.
En cherchant à établir leur prééminence à une époque où émergent des nouveaux centres de pouvoir économique, financier et politique, les américains provoquent la neutralisation en accord avec la troisième loi de Newton et contribuent à l'émergence de structures, mécanismes et mouvements qui cherchent des alternatives pour les recettes américaines pour résoudre les problèmes pressants. je ne parle pas d'anti-américanisme, encore moins de former des coalitions dirigées contre les Etats-Unis, mais seulement le désir naturel d'un nombre croissant de pays de garantir leurs intérêts vitaux et faites-le leur façon de penser juste, et pas ce qu'on leur dit "d'outre-Atlantique. » Personne ne va jouer anti-américain jeux juste pour contrarier les États-Unis. Nous sommes confrontés tentatives et faits d'utilisation extraterritoriale de la législation américaine, l'enlèvement de nos citoyens en dépit des traités existants avec Washington dans lesquels ces questions devront être résolues grâce à l'application de la Loi et les organes judiciaires.
Selon sa doctrine de sécurité nationale, les États-Unis ont le droit de recourir à la force n'importe où, n'importe quand sans nécessairement demander le Conseil de sécurité de l'ONU pour approbation. Une coalition contre l'Etat islamique a été formée à l'insu, au Conseil de sécurité. J'ai demandé le Secrétaire d'État John Kerry pourquoi sont ils toujours au Conseil de sécurité de l'ONU pour cela.
Francis Fukuyama a récemment écrit le livre, d'ordre politique et décomposition politique, dans lequel il soutient que l'efficacité de l'administration publique aux Etats-Unis est en déclin et les traditions de la gouvernance démocratique sont progressivement remplacées par des méthodes de décision fief féodal. Cela fait partie de la discussion à propos de quelqu'un qui vit dans une maison de verre et jette des pierres.
En effet, décrire, se lamentant et suggérant des remèdes pour ce qui précède sont fondamentalement ce que Liberty Blitzkrieg est tout au sujet. N'oubliez pas, une étude universitaire de Princeton et Northwestern déjà prouvé aux Etats-Unis n'est rien de plus qu'une oligarchie. Voir : nouveau rapport de Princeton et prouve le nord-ouest il : The US est une oligarchie .
Jusqu'ici, ceux qui ne sont pas guidés par des problèmes réels, mais plutôt par le désir de saisir rapidement les choses de fraîchement arrivé au sol. C'est déplorable. Exportation des révolutions, qu'ils démocratique, communiste ou autres, apporte jamais rien de bon.
Je ne manquerai pas de mentionner le partenariat global de la Russie avec la Chine. Décisions bilatérales importantes ont été prises, ouvrant la voie à une alliance énergétique entre la Russie et la Chine. Mais il n'y a plus que cela. Nous pouvons maintenant le même, parler de la nouvelle alliance de technologie entre les deux pays. Tandem de la Russie avec Pékin est un facteur crucial pour assurer la stabilité internationale et au moins un certain équilibre dans les affaires internationales, comme assurer la primauté du droit international. Nous allons faire pleinement usage de nos relations avec l'Inde et le Vietnam, les partenaires stratégiques de la Russie, ainsi que les pays de l'ASEAN. Nous sommes également ouverts à l'élargissement de la coopération avec le Japon, si nos voisins japonais peuvent regarder leurs intérêts nationaux et arrêter de regarder en arrière à certaines puissances d'outre-mer.
Il ne fait aucun doute que l'Union européenne est notre plus important partenaire collective. Personne n'a l'intention de « se tirer dans le pied » de renoncer de coopération avec l'Europe, bien qu'il est maintenant clair qu'affaires comme d'habitude n'est plus une option. C'est ce que nous disent nos partenaires européens, mais ni ce que nous voulons exploiter l'ancienne façon. Ils croyaient que la Russie avait à leur égard quelque chose, alors que nous voulons être sur un pied d'égalité. Pour cette raison, choses seront jamais plus la même. Cela dit, je suis confiant que nous serons en mesure de surmonter cette période, va tirer les leçons et de nouvelles bases pour nos relations vont émerger.
Les similitudes avec la période juste avant WWI sont en effet frappant, comme Niall Ferguson a noté dans un Excellent éditorial au mois d'août. J'espère que nous pouvons être plus intelligents cela aller.
Et le plus grand gagnant de la guerre des prix OPEP est...
Soumis par Tyler Durden le 01/12/2014 22:00-0500
"C'est une fenêtre de temps or d'acquérir plus de pétrole stratégiques à moindre coût," note un Hong Kong fondé analyste, comme Bloomberg confirme ce que nous avons noté ici et ici, la Chine s'impose comme le vainqueur de la bataille de l'OPEP avec les producteurs de pétrole rivales comme plus grand énergie consommation stocks du monde bruts. 84 pétroliers sont en route vers des destinations ports chinois... Comme les rapports de Bloomberg, Le nombre de diminution des investisseurs toujours parier sur un rebond des prix peut au moins compter sur la demande chinoise. L'OPEP a décidé de maintenir les objectifs de production comme un boom de schiste stimule la production américaine au plus haut en plus de trois décennies et provoque une surabondance de l'offre mondiale. Comme brutes s'étend son affaissement au niveau plus bas en plus de quatre ans, la Chine cherche à construire une réserve stratégique de pétrole. « C'est une fenêtre de temps or pour acquérir les stocks stratégiques de pétrole plus à moindre coût » Gordon Kwan, chef de pétrolière régionale et de la recherche de gaz chez Nomura Holdings Inc., basée à Hong Kong a écrit dans un courriel le 28 nov. La Chine sera « un grand bénéficiaire » de la décision de l'OPEP, dit-il. ... Les efforts de la nation à la poussée des réserves peuvent augmenter ses importations de plus de 700 000 barils par jour en 2015, selon londonienne des Aspects Energy Ltd. C'est plus de la moitié la surabondance mondiale Prévision par Citigroup Inc., après que l'Organisation des pays exportateurs de pétrole s'est abstenu de sortie de coupe lors de sa réunion la semaine dernière. ... Les importations de Chine a stimulé de 8,3 p. 100, ou 460 000 barils par jour, dans les neuf premiers mois de cette année, le rythme le plus rapide depuis 2010, les données des douanes montrent. Le pays dépassera les Etats-Unis comme le plus grand consommateur de pétrole du monde dans vingt ans, selon l'Agence internationale de l'énergie à Paris. ... Alors que la Chine actuellement détient des réserves équivalentes à environ 30 jours d'importations, le gouvernement cherche afin de renforcer ce niveau à 100 jours d'ici à 2020, selon China Petrochemical Corp., les plus grand raffineur d'Asie. Ce serait l'équivalent d'environ 570 millions de barils, basé sur les plus récentes importations mensuelles.
« Nous savons que la Chine a déjà pris avantage de prix plus bas pour remplir la SPR »Simon Powell, le chef de la recherche pétrolière et gazière asiatique à l'ÉLCV Ltd. à Hong Kong, a écrit dans un courriel le 28 nov."Ils ont encore un long chemin à parcourir". La deuxième plus grande économie mondiale consommée le plus grand volume d'huile sur l'enregistrement en octobre, selon les données compilées par Bloomberg. * * * Comme nous avons conclu précédemment, tout comme les importations chinoises or augmentent lorsque le prix de l'or baisse ; alors que la Chine fait la chose logique avec les autres produits de base, (c'est-à-dire le pétrole) lorsque la dégringolade des prix et au lieu de vendre dans la déroute de papier, il achète tous les physiques, il peut mettre la main sur.
La Chine se renforce. La Chine s'enrichit. Le confort gagne de plus en plus de foyer, qui achètent du gaz russe et toutes les choses que la Chine n'a pas.
Poutine tue « South Stream » Pipeline, La Russie construira le nouveau pipeline massive vers la Turquie plutôt
Soumis par Tyler Durden le 01/12/2014 20:31-0500
Rétrospectivement, il aurait dû être évident au mois d'août.
À l'époque, nous avons écrit que les plus pauvres pays membre de l'Union européenne, Bulgarie, avait été un partisan enthousiaste du projet de gazoduc russe-soutenu South Stream, dont la construction a attisé les tensions entre l'Occident et Moscou, car il permettait d'alimentation en gaz de contourner troublé Ukraine (donc en serrant l'économie désespérée dans les mains de la Russie). Début juin, premier ministre de Plamen Oresharski Bulgarie a ordonné un arrêt initial (après que Europe ait offert de la nation s'effondrer soudainement une bouée de sauvetage de système bancaire). Par la suite, que ministre de l'énergie Vasil Shtonov a ordonné Energy Holding pour stopper toute action à l'égard du projet, car elle ne répond pas aux exigences de la Commission européenne de la Bulgarie.
Et puis, juste pour envoyer à Poutine un message très clair où se situent les allégeances de cette nation de l'ancien satellite soviétique, que l'OTAN a déployé 12 F-15 et 180 militaires à la Base aérienne de Bulgarie Graf Ignatievo.
Une douzaine de F-15 et environ 180 membres du personnel de la 493e, basé à RAF Lakenheath en Angleterre, ont été déployés à la Base aérienne Graf Ignatievo à participer à un exercice bilatéral de deux semaines avec la force aérienne bulgare, porte-parole de Pentagone le colonel Steve Warren a déclaré aux journalistes lundi.
L'exercice a commencé lundi et se poursuivra jusqu'en septembre 1.
L'objectif du déploiement est de "formation de conduite et de se concentrer sur maintiennent joint readiness tout en construisant l'interopérabilité", a déclaré Warren.
Le déménagement arrive à un moment où les partenaires européens orientaux et les alliés de l'Amérique sont inquiètent de l'intervention militaire russe en Ukraine. On craint que Moscou pourrait tenter de déstabiliser d'autres pays de la région.
« C'est le reflet de notre ferme engagement à renforcer la sécurité régionale », a déclaré Warren sur l'exercice.
Nous avons conclu en ces termes: «Comment Poutine va réagir on peut se demander ?"
Nous avons maintenant la réponse : plus tôt aujourd'hui, dans une annonce étonnante, Poutine a révélé que le projet South Stream est maintenant terminé. Comme les rapports du Wall Street Journal, "Poutine dit que Moscou cessera de poursuivre le projet de gazoduc South Stream de Gazprom qui pourrait fournir du gaz naturel vers l'Europe avec une liaison sous-marine en Bulgarie, accusant l'Union européenne pour le projet de sabordage."
"Nous ne pouvions pas obtenir les autorisations nécessaires de la Bulgarie, donc nous ne pouvons pas continuer avec le projet. Nous ne pouvons pas faire tout l'investissement vient d'être arrêté à la frontière bulgare", a déclaré M. Putin. « Bien sûr, c'est le choix de nos amis en Europe. »
« Nous pensons que la position de la Commission européenne n'était pas constructive », a déclaré M. Poutine. « Si l'Europe ne veut pas mettre en œuvre, il ne sera pas implémentée. »
Poutine a raison : Europe - Autriche exclus - avait vu augmentation résistance au flux du Sud ces derniers mois que la crise en Ukraine s'est intensifiée. L'UE craint que le projet va marquer à jamais la position de la Russie comme fournisseur dominant de l'Europe du gaz naturel. La Russie répond déjà à environ 30 % des besoins annuels de l'Europe.
Alors que fait Poutine ? Il signe une alliance stratégique avec la Turquie membre de l'OTAN, le seul pays en Europe qui est tout sauf européen (sur le veto sans fin d'Allemagne empêchant son entrée dans l'Union européenne sur les craintes de la main de œuvre bon marché, migrant) et qui dernièrement a été de plus en plus anti-occidentale, à construire un nouveau méga-gazoduc vers la Turquie à la place. Rapports de RT, PDG de Gazprom Aleksey Miller dit que le géant de l'énergie va construire un gazoduc massive qui se rendra en provenance de Russie, transitent par la Turquie et arrêter à la frontière grecque – donnant accès de la Russie pour le sud du marché européen. En effet, la Russie auront toujours accès à l'endmarkets de flux sud
Le pipeline aura une capacité annuelle de 63 milliards de mètres cubes. Un total de 14 milliards de m3 est livré à la Turquie, qui est le client deuxième plus grand de Gazprom dans la région après l'Allemagne.
Aleksandr Novak, ministre de l'énergie de la Russie, a déclaré que le nouveau projet comprendra un centre spécialement construit à la frontière turco-grecquye pour les clients en Europe du Sud.
Dans une conférence de presse conjointe entre le dirigeant Poutine et turc Erdogan, la Russie a déclaré que la fourniture de gaz russe à la Turquie passera de 3 milliards de mètres cubes par l'intermédiaire de gazoduc Blue Stream déjà opérationnel, l'an dernier, 13,7 milliards de m3 de gaz a été fourni à Turkeyvia Blue Stream, selon Reuters.
Et un autre avantage de devenir un allié russe préféré : Moscou réduira le prix du gaz pour les clients turcs de 6 % depuis le 1er janvier 2015, Poutine a dit. Novak dira plus tard, que la réduction pourrait atteindre 15 %, sous réserve de négociations. Ukraine Désolé.
Et désolée Bulgarie, qui, bien qu'il soit entièrement tributaire de gaz russe pour ses commerciaux, industriels et résidentiels, a besoin, a décidé de se ranger du côté de l'Union européenne naufrage, ce qui en fait simplement la dernière insolvable vassale de la perdition de la zone euro, quelque chose Poutine fait ressortir très clairement au cours de la Conférence d'aujourd'hui :
• POUTINE : BULGARIE INCAPABLE D'AGIR EN SOUVERAIN ÉTAT VIA LE LIEN DE GAZ
• POUTINE : LA RUSSIE AUX RESSOURCES ÉNERGÉTIQUES RÉORIENTER D'AUTRES MKTS : IFX La Bulgarie devrait maintenant que ses coûts de l'essence à aller où les prix de l'énergie ukrainien ont si courageusement allé avant.
En ce qui concerne la Turquie, pays qui comble l'Europe avec l'Asie est simplement la dernière extension de l'alliance anti-dollar de Poutine :
• LA TURQUIE, LA RUSSIE CONVIENNENT D'UTILISER DES MONNAIES LOCALES DANS LE COMMERCE : TRT Ou, comme Obama diraient, Russie juste obtenu encore plus « isolée ».
Les plus grand cauchemar de la Fed : les consommateurs sont de « Perdre la foi » ne sera pas de continuer à augmenter leur coût de la vie
Soumis par Tyler Durden le 01/12/2014 18:30-0500
Classé sous « paragraphe fou de l'année, » stylos de Reuters une des phrases plus d'histoires de l'année/décennie/siècle, suggérant - selon la menace existentielle à meme de la Fed - que les consommateurs sont inquiets que leur coût de la vie ne va plus ? via Reuters S'il vous plaît ne perdez pas la foi que votre coût de la vie s'arrête en plein essor : existence même de la Fed en dépend.
L’un de mes amis, qui se reconnaîtra, m’avait plus que vivement conseillé de lire le livre La Grève d’Ayn Rand. C’est un très vieux bouquin américain, le deuxième le plus lu après la Bible, ce qui n’est pas rien. Il a été traduit très récemment en français et il est disponible auprès de la maison d’édition Les belles lettres. Cet ouvrage est très puissant et devrait être lu par le plus grand nombre.
« D’après l’auteur elle-même, Atlas Shrugged a pour thème « le rôle de l’esprit humain dans la société ». Il décrit ce qui se passe lorsque la violence de l’État empêche l’esprit de fonctionner, soit directement, soit en poussant les « hommes d’esprit », les créateurs de richesse, à refuser de servir une société qui trouve normal de les traiter comme des esclaves. L’intrigue met donc en scène des « hommes d’esprit » (scientifiques indépendants, entrepreneurs honnêtes, artistes individualistes, travailleurs consciencieux) dont la disparition mystérieuse provoque crises et catastrophes. Celui qui les entraîne dans cette « grève », dans ce retrait, est John Galt, héros randien type, à la fois entrepreneur, philosophe et grand savant inventeur. »
Pour celles et ceux qui ne l’auraient pas compris, c’est exactement ce qu’il s’est passé dans l’ex-URSS, devenue tellement étouffante qu’évidemment tous les hommes d’esprit ont jeté l’éponge. Il faut noter qu’un créateur de « richesses » ce n’est pas forcément un patron… loin de là ! D’ailleurs dans cet ouvrage, il y a des patrons créateurs de richesses mais également tout plein de patrons imbéciles ; cela montre la finesse de la connaissance de l’humain de l’auteur et surtout l’intemporalité de son livre publié en… 1957.
Pourquoi vous parler de ce livre aujourd’hui ? Tout simplement parce que, fait très rare, les patrons sont dans la rue et manifestent leur mécontentement.
Ils ont raison et voyons pourquoi.
Fronde des patrons : 10 000 manifestants selon la CGPME
Voici ce qu’en raconte Le Parisien : « Peu habitués à battre le pavé avec des pancartes, plusieurs milliers de patrons sont descendus dans la rue lundi matin à Paris et Toulouse, en ouverture d’une semaine de mobilisation des chefs d’entreprise contre 30 années d’une politique qui a, selon eux, « bridé » l’économie. »
Encore plus symptomatique… « Grogne des patrons : 59 % des Français comprennent le mouvement… » Pourquoi les patrons ont raison et pourquoi les gens soutiennent les patrons ?
Tout d’abord, il faut différencier deux types d’entreprise. Le grand groupe coté en bourse c’est une chose, la PME ou la TPE du coin c’en est une autre : la seconde est infiniment plus fragile que la première et participe beaucoup plus aux créations d’emplois d’ailleurs puisque 80% de l’emploi est dans les TPE.
C’est la grève générale et le soutien du peuple à ses patrons c’est la fin de la lutte des classes au profit de l’unification. Les intérêts de tous désormais convergent. Il faut pour tous moins d’État. Non pas plus d’État du tout. Mais moins d’État oppressant.
Les patrons ont raison car cet État, notre État est devenu obèse et étouffant. Les citoyens, qu’ils soient patrons ou simples citoyens, étouffent tout simplement. Il y a le poids des charges et des impôts mais pas uniquement. Il y a des règles infinies, des alinéas, des paragraphes, des tonnes de normes et de règlements. Mais pas uniquement.
Il y a une stérilisation de la pensée, une interdiction d’aborder certains dogmes, une confiscation du débat démocratique, une stérilisation du langage. Le politiquement correct est étouffant.
En réalité, notre système devient tout simplement une immense entreprise de stérilisation. On n’a plus envie de créer, on n’a plus envie d’avancer, on n’a plus envie de réfléchir, on n’a plus envie, on n’a plus envie parce que tout est devenu épuisant. Faire quelque chose est risqué économiquement, socialement, politiquement.
On ne peut plus rien dire, on ne peut plus rire, on ne peut plus manger, on ne peut plus fumer, très prochainement on ne pourra plus vapoter, on ne peut plus picoler, on ne peut plus rien faire et dès le 1er janvier, les feux de cheminée avec ou sans foyer ouvert seront purement et simplement interdits dans Paris. Dans l’Île-de-France, ce sont les cheminées qui seront interdites… Pensez donc ! Votre santé c’est sacré. Les feux de cheminée vous tuent à petit feu… Pas les gaz d’échappement du diesel…
Lorsque le peuple étouffe, la révolution est proche
C’est immanquablement ce qui se passera dans notre pays. À force de nous emmerder, à force d’emmerder tout le monde, eh bien dans une première étape on constate une diminution drastique de la création de richesses. Nous y sommes. Entre les Français qui partent se faire tondre ailleurs et ceux qui ne font plus d’efforts ici, ce n’est qu’une question de temps pour que l’État-providence français ne s’effondre sous son propre poids faute de joueurs. La grève mes amis… la véritable grève, celle capable de tout renverser pacifiquement ce n’est pas la révolution par les armes ou par la violence. Non, c’est la grève qui consiste à se mettre en retrait du système. N’achetez plus rien. Ne consommez plus. Uniquement l’essentiel et l’indispensable. C’est légal après tout. On paye ses factures, on paye ses impôts, mais on ne change plus sa voiture, on part en vacances chez des amis. Plus de séjours organisés, plus de soldes, plus d’achat en promotion. Rien. Ne changez pas votre téléphone ni votre tablette et encore moins votre écran tout plat. Épargnez comme vous ne l’avez jamais fait. Voilà une grève fantastique car l’État obèse a besoin de joueurs, de consommateurs pour collecter sa TVA, ses taxes sur l’essence, etc.
Si demain tous les Français faisaient la grève de la consommation, si demain tous les patrons faisaient la grève des embauches, si demain nous refusions tous pacifiquement de jouer le jeu du système, alors en quelques semaines, le système s’effondrerait…
Utopique ? Évidemment que non. C’est ce qui va se passer par la force des choses. Entre ceux qui ne peuvent plus consommer et ceux qui auront peur de ne plus pouvoir consommer, entre les patrons qui ne veulent plus embaucher parce qu’ils ne veulent plus en prendre le risque et ceux contraints de licencier, le chômage va encore augmenter plus vite et la consommation chuter plus rapidement… Les recettes de l’État ne seront pas au rendez-vous. L’État, dans sa logique mortifère, ira jusqu’au bout de son propre fonctionnement et taxera encore plus, décourageant encore plus. Au bout du compte, avec ou sans mot d’ordre, avec ou sans grève, le résultat sera le même. Comme dans l’ex-URSS. L’État français s’effondrera, comme l’éducation nationale est en train de s’effondrer sous son propre poids et sa propre idéologie, toutes les classes moyennes la fuyant au profit des établissements privés.
Pourtant, la grève a déjà commencé, et pour la première fois de ma vie, moi aussi, j’ai envie de faire grève. Je me demande qui est John Galt. Il est déjà trop tard, préparez-vous. À demain… si vous le voulez bien !!
Les détail apocalypse s'accélère: les vacances s'effondrent les ventes sont un signal que la récession Is Coming
Par Michael Snyder, le 1er Décembre 2014
Les ventes au détail pendant le week-end de Thanksgiving de quatre jours ont diminué un énorme 11 % de l'année dernière. Ce est un moment «faire ou défaire» de l'année pour de nombreux détaillants, et si les choses ne tournent pas autour pendant les prochaines semaines nous avons pu voir un tsunami de fermetures de magasins en Janvier et Février. Comme vous lisez cet article, il y a déjà plus d'un milliard de pieds carrés d'espace de vente au détail assis vide aux États-Unis. Beaucoup ont décrit l'effondrement en cours de l'industrie de vente au détail comme une «apocalypse», et cette apocalypse semble se accélérer. Oui, le passage à des détaillants en ligne est un facteur important, mais comme vous le verrez ci-dessous, même les détaillants en ligne a lutté sur le week-end de vacances. La triste vérité est que les consommateurs américains sont tapa et croulent sous les dettes à ce point, de sorte qu'ils n'ont tout simplement plus d'argent à dépenser comme ils le faisaient auparavant.
Selon la National Retail Federation, 5,2 % de moins d'Américains magasiné en ligne ou dans les magasins de détail au cours de la fin de semaine dernière. Ceux qui fait boutique dépensé une moyenne de 6,4 % moins d'argent que les consommateurs ont fait l'année dernière.
Donc, si moins de personnes ont magasiné, et elles ont dépensé moins d'argent en moyenne, ce qui signifie que le total des ventes au détail ont dû chemin vers le bas.
Et en effet ils étaient. Comme le New York Times a rapporté, le total des ventes au détail ont diminué de 11 % une étonnante ...
Les ventes, à la fois dans les magasins et en ligne, à partir de Thanksgiving à travers le week-end ont été estimées avoir chuté de 11 %, à 50,9 milliards de dollars, de 57,4 milliards l'an dernier, selon les résultats de l'enquête préliminaires publiés dimanche par la National Retail Federation. Les ventes ont diminué malgré l'ouverture plus tôt que jamais de nombreux magasins le jour de Thanksgiving.
Et bien que de nombreux détaillants ont offert les mêmes réductions agressives en ligne comme ils le faisaient dans leurs magasins, le Web n'a pas réussi à attirer plus de clients ou les dépenses plus le week-end de vacances de quatre jours que l'année dernière, a indiqué le groupe. La personne moyenne qui ont magasiné sur le week-end passé $ 159,55 chez les détaillants en ligne, en baisse de 10,2 % l'an dernier. Pas étonnant qu'il y avait moins de violence sur le Black Friday cette année.
Trafic chez les détaillants était en bas.
Bien sûr, certains analystes tentent de mettre un spin positif sur tout cela. Par exemple, le PDG de la National Retail Federation dit que cela pourrait effectivement être un signe que l'économie se améliore ...
Comme le rapporte WSJ , PDG Matt Shay NRF attribué la chute à une combinaison de facteurs, y compris le fait que les détaillants déplacés promotions plus tôt cette année pour tenter de sortir les gens plus tôt et d'éviter ce qui est arrivé l'année dernière quand les gens ne ont pas terminé leurs achats parce de mauvais temps.
Aussi avons-nous mentionné la NRF est perpétuellement joyeux et toujours désespérée de mettre une tonne de rouge à lèvres sur un cochon ? Eh bien, tenez-vous à vos chapeaux des gens:
Il a également attribué le déclin à de meilleures offres en ligne et une amélioration de l'économie où "les gens ne se sentent pas le même besoin psychologique de se précipiter et obtenir le beaucoup ce week-end, en particulier si elles devraient être plus d'offres," a t-il dit.
Et bien sûr, le sprint vs comparaisons de marathon, comme celui-ci: " La saison des vacances et le week-end sont un marathon pas un sprint », a déclaré le chef de la direction de la NRF Matthew Shay sur une conférence téléphonique. Odd comment cette métaphore ne est jamais utilisé lorsque le (données désaisonnalisées) sprint bat les marathoniens.
Donc là vous l'avez: un effondrement de 11% des dépenses de consommation vient d'être filé en tant que super haussier pour l'économie américaine, où les consommateurs américains ne dépensent pas parce que l'économie est tout simplement trop forte, et la seule raison qu'ils ne passent pas, ce est parce qu'ils vont dépenser beaucoup plus tard. Ou quelque chose. Le commerce de détail est absolument brutale à ce point. Il est inondé de très grands concurrents qui sont à la poursuite de moins en moins dollars jetables.
Pour prospérer, les détaillants ont besoin les consommateurs en bonne santé financière. Mais au fil du temps, les consommateurs américains sont devenus de plus en plus profondément dans la dette. Le tableau ci-dessous montre que posté crédit à la consommation aux États-Unis a doublé depuis l'année 2000 ...
- voir graphique sur site - Pendant ce temps, la tendance à long terme pour le revenu réel médian des ménages depuis l'année 2000 a été en panne ...
- voir graphique sur site -
Pour les Américains à dépenser de l'argent, ils doivent faire de l'argent en premier.
Malheureusement, la qualité de nos emplois continue de chuter.
Comme je l'ai écrit auparavant, 50 % de tous les travailleurs américains actuellement gagnent moins de $ 28,031 par an à leurs emplois. Et voici quelques chiffres d'un rapport que la Social Security Administration a récemment publié ...
-39 % des travailleurs américains a fait moins de $ 20 000 l'an dernier
-52 % des travailleurs américains a fait moins de $ 30 000 l'an dernier
-63 % des travailleurs américains a fait moins de $ 40 000 l'an dernier
-72 % des travailleurs américains a fait moins de $ 50 000 l'an dernier
Donc, pour une famille américaine typique d'apporter $ 50 000 un an ou plus les deux parents doivent généralement travailler.
Parfois, ils ont tous les deux de travailler plus d'un emploi.
Et avec le coût de la vie en constante augmentation, les budgets familiaux sont serrés plus que jamais. C'est pourquoi les familles ont moins d'argent à dépenser dans les magasins de vente au détail de ces jours. Pour encore plus sur la situation financière actuelle des familles américaines, s'il vous plaît voir mon article précédent intitulé “Are You Better Off This Thanksgiving Than You Were Last Thanksgiving?”
Il est temps pour les détaillants en Amérique du faire face au fait que les conditions économiques ont fondamentalement changé. Les consommateurs américains sont tout simplement pas en aussi bonne forme que ceux utilisés pour être.
En outre, les détaillants en ligne vont continuer à voler des ventes à partir d'emplacements de détail traditionnels. Cela signifie que plus de magasins vont fermer et plus d'espace de vente au détail vont être abandonnés.
Comme je l'ai mentionné ci-dessus, plus d'un milliard de pieds carrés d'espace commercial est aleady assis vacants aux États-Unis. Et consultant de détail Howard Davidowitz projette que jusqu'à la moitié de tous les centres commerciaux aux États-Unis peuvent fermer dans les deux prochaines décennies ...
Dans 15 à 20 ans, consultant en détail Howard Davidowitz attend près de la moitié des centres commerciaux de l'Amérique à coup sûr. Il prédit que les centres commerciaux haut de gamme avec seulement ancres comme Saks Fifth Avenue et Neiman Marcus vont survivre. Dans les années à venir, il va devenir normal de voir barricadé centres commerciaux et des centres commerciaux abandonnés dans tout le pays.
L'âge d'or du commerce de détail est terminée, et maintenant la plupart des détaillants devra travailler très dur pour survivre à l'apocalypse qui se déroule sous nos yeux.
La Russie a livré plus de 10 000 tonnes d'aide dans l'est de l'Ukraine
Par La Voix de la Russie
Entre août et novembre des convois humanitaires du ministère des Situations d'urgence de Russie ont livré plus de 10 700 tonnes d'aide aux habitants des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk dans l'est de l'Ukraine. Dimanche des camions ont acheminé à Donetsk et à Lougansk 1 200 tonnes de denrées, de matériaux de construction et d'autres produits nécessaires. Le ministère des Situations d'urgence a souligné que l'aide humanitaire serait poursuivie « autant qu'il le faudrait ». Pendant chaque livraison d'aide humanitaire dans l'est de l'Ukraine les autorités ukrainiennes déclarent que l'arrivée des convois n'a pas été concertée et qu'elles ne savaient pas quel fret était transporté. D'après leurs affirmations, les camions auraient pu être chargés d'aide militaire pour les miliciens. Moscou a rejeté ces accusations.
2,3 milliards de livres sterling pour défenses contre les inondations dans les engagements de dépenses pré-électorales
Ed Davey, secrétaire à l'énergie, prévoit d'entamer des pourparlers le mois prochain pour discuter du potentiel du projet d'alimentation en premier lagon du Royaume-Uni
Patrick Wintour , rédacteur politique The Guardian ,Mardi 2 Décembre 2014
Préélectorale dépenses d'infrastructure Bonanza Le gouvernement de coalition se poursuivra mardi avec des annonces sur l'augmentation des dépenses sur le logement social, protection contre les inondations et des discussions exploratoires pour le premier projet d'énergie lagon avec potentiel de fournir 8% de l'énergie du Royaume-Uni.
Les plans, y compris un système innovant permettant au gouvernement d'agir comme commissaire direct de logements, sont dues à être annoncé dans le plan national d'infrastructure 2014 préparé par Danny Alexander, le secrétaire en chef au Trésor.
Il s'ensuit des annonces sur lundi sur la façon dont le gouvernement garantirait 15 milliards de livres sterling de dépenses sur un programme de routes. Alexander annoncera les détails d'un programme de défense contre les inondations de six ans, y compris 1 400 projets pour une meilleure protection pour les 300 000 foyers. Le Trésor a déclaré que le 2,3 milliards £ d'investissement en capital aideraient à prévenir plus de 30 milliards de £ dommages économiques.
Travail dit que l'argent était une allocation de fonds déjà annoncés, ajoutant que "l'ensemble des relents d'exercice de la politique de porc baril dans lequel le Trésor promettent de jeter de l'argent dans les sièges marginaux clés".
Les projets qui bénéficieront comprennent 80 millions de livres pour l'estuaire de la Humber, plus de £ 17m pour Tonbridge, Yalding et les communautés environnantes, £ 196m pour le programme de l'estuaire de la Tamise, £ 73m pour la barrière Boston, £ 42m pour le transport ouest d'Oxford, et £ 47m pour Rossall défense côtière.
En outre, le gouvernement s'engage à dépenser 15,5 M € en Somerset on défenses contre les inondations au cours des six prochaines années profitant 7000 propriétés, y compris £ 4.2m sur les Somerset Levels and Moors, l'épicentre des inondations de l'année dernière.'
Dans potentiellement l'annonce la plus importante, Ed Davey, le secrétaire à l'énergie, a dit s'attendre à entamer des pourparlers le mois prochain avec Tidal Lagoon Power, la compagnie qui vise à construire la première centrale électrique de la lagune de marée du monde dans la baie de Swansea, pour voir le projet est abordable et rapport qualité-prix pour les consommateurs.
«La technologie de Lagoon a le potentiel pour fournir de l'énergie verte à long terme prévisible avec un investissement durable plus d'un siècle. Nous croyons que des lagunes à marée présente un potentiel très important dans le Royaume-Uni, et nous pourrions commencer à contribuer aux besoins en énergie du Royaume-Uni dès la fin de la décennie. Plus le nombre de sources d'énergie au Royaume-Uni, le mieux pour les consommateurs car elle faire baisser les prix s'il y a concurrence. Le Royaume-Uni a une grande ressource marémotrice indigène, le deuxième plus grand dans le monde, et nous avons le potentiel de devenir des leaders mondiaux ", a t-il dit.
Les discussions se concentreront sur les coûts de pouvoirs de la lagune de marée et le niveau de subvention qui serait initialement requis ainsi que les problèmes d'autorisation de planification. Le projet, à la différence du barrage Severn, a fort soutien local y compris des Amis de la Terre et la Société royale pour la protection des oiseaux.
Le régime impliquerait un six-mile (9,5 km) mur autour de la baie de Swansea, la création d'un lagon dans le canal de Bristol avec des turbines à exploiter les marées entrants et sortants et produire de l'électricité 14 heures par jour.
Il serait fournir de l'électricité renouvelable pour 120 000 maisons pour 120 années, économisant 236 000 tonnes de carbone par an, avec 1 850 emplois dans la construction et 150 emplois à long terme dans l'exploitation et de loisirs sur le lagoon.Overall le plan d'infrastructure nationale énonce £ 460 000 000 000 la peine de l'investissement public et privé à la fin de la décennie et au-delà est prévue dans tous les secteurs clés de l'infrastructure. Investissement annuel moyen est fixé à 15% plus élevé dans ce Parlement que ce était dans la législature précédente, passant de 41 milliards EUR entre 2005 et 2010 à 47 milliards de livres entre 2011 et 2014.
Alexander est également prévu de fournir 100 millions de livres pour les programmes de logements prêts à démarrer, et également exposé sa pensée sur la façon dont le gouvernement pourrait à long terme devenir un commissaire pour le logement, une idée qu'il flottait à la conférence libéral-démocrate à l'automne. Alexander avait précédemment déclaré que le pays doit être la construction d'autant que 250 000 logements par an pour satisfaire la demande refoulée.
Il a dit à la frange du logement lors de la conférence de son parti: «Si nous voulons nous attaquer à la fois la nature cyclique du marché et de la structure sous-offre de logements, alors je pense que nous devons aussi examiner si le gouvernement devrait fonctionner comme un commissaire de logements . Une approche véritablement radicale serait pour le gouvernement d'avoir aussi un rôle direct dans la construction de la maison - la construction de logements abordables, mais pas seulement sur le marché privé également ".
En vertu du régime d'Alexandre, le gouvernement suggère combien de maisons devrait être construit dans une période donnée. Si le nombre de maisons ont été construites par le secteur privé, les associations de logement et les autorités locales combinées, le gouvernement interviendrait.
Alexander a déclaré: "Vous auriez une capacité pour le gouvernement d'intervenir, de passer des commandes, à payer les entrepreneurs, construire des maisons, et de travailler, une fois qu'ils sont construits, comment et quand ils doivent être vendus."
Après les unièmes inondations cause à l'envasement des cours d'eau, la solution apportée est de... construire un mur le long du fleuve, et rivières ! Hahahaha !
Déjà que les maisons inondées régulièrement ne valaient plus grand chose... maintenant: elles ne vaudront plus rien ! "Vue sur fleuve/Vue sur mur" ! (...) construire la première centrale électrique de la lagune de marée du monde (...) (...) les marées entrants et sortants et produire de l'électricité 14 heures par jour. (...)
Investissement dans une merde ! Ce complexe électrique sur la plage (!) ne travaillera que 14 h par jour. C'est-à-dire qu'il devra y avoir du stockage et, que le stockage en batteries (mortes en 3 ans) coûtent cher alors que l'énergie fluviale est continue (mais, par le fait que l'eau du fleuve monterait il faudrait ... draguer !).
Anglaises, anglais, les pouvoirs publics vous prennent pour des cons !
Chemtrails : la guerre secrète
RépondreSupprimervendredi 28 novembre 2014
* Pour ceux qui doutent encore de l'existence des chemtrails comme technologie militaire de géo-ingénierie, écoutez cet excellent reportage et vous serez convaincus!
En septembre 2014, Jacques Daidié est parti à la rencontre, en Italie de Rosario Marciano, militant connu contre la géo-ingénierie, créateur du site www.tankerenemy.com, et de sa famille. Le présent travail est né de cette rencontre. L'association Ciel voilé remercie Rosario Marciano pour son autorisation de sous-titrage du documentaire italien dont il est le producteur :"Chemtrails : la guerre secrète". Nous remercions aussi chaleureusement tous ceux qui ont contribué à la traduction : Jacques, Dominique d'Avignon, Marie de Monteux, Sébastien de St Firmin en Valgaudemard et Danielle de Gap.
Documentaire de www.tankerenemy.com
Sous-titré en français par l'association : www.cielvoile.fr.
http://conscience-du-peuple.blogspot.fr/2014/11/chemtrails-la-guerre-secrete.html
Pour connaître la vérité, il est bon de prendre connaissance des deux facettes d'un sujet.
RépondreSupprimerVoici donc une réponse à ce documentaire italien où on voit que celui-ci est largement mensonger et manipulateur :
http://stopchemtrails.unblog.fr/2014/11/17/chemtrails-la-guerre-secrete-ou-comment-manipuler-ses-spectateurs/
Pour ce qui est des 'chemtrails' (traits chimique), ils existent, mais de là à dire que c'est 'pour le bien de l'humanité', mon oeil ! Ils feraient des annonces de passages, des journalistes et des particuliers pourraient vérifier tous les jours les substances mises dans les réservoirs. Mais de celà, pas question ! Cà alors ! Cacheraient-ils quelque chose ?
SupprimerPar contre, en ce qui concerne la maîtrise de la météo pour 2025 par les USA, cela ne concerne nullement les aéroplanes (qui expliqueraient encore une fois à quoi ils servent), mais la technologie scalaire.
Par contre, si vous demandez à quoi servent ces traits mortels, la ministre vous dira: "Joker !".
« Après Halloween, nous allons devoir nous farcir le pathétique Black Friday… »
RépondreSupprimerMes chères contrariennes, mes chers contrariens !
Je l’ai déjà exprimé à plusieurs reprises dans ces colonnes. Je pense que nous devons lutter contre la réduction de l’homme à la simple et à l’unique consommation. Les raisons sont multiples. D’abord, l’être humain dispose d’une dimension spirituelle fondamentale. Il cherche du sens et la consommation de biens matériels n’a, en soi, aucun sens, de même que leur accumulation. Au-delà, réduire l’homme à son rôle unique de consommateur c’est nier sa dimension politique. C’est donc par extension la négation de la démocratie et de la liberté.
Après des années, en réalité des décennies de lavage de cerveau, d’organisation de l’inculture des masses, de bourrage de crâne publicitaire et marketing, l’homo-sapiens est devenu non pas « l’homo-economicus », titre d’un ouvrage, mais plus simplement, ce qui qui est d’ailleurs encore plus effrayant, « l’homo-consomicus ». Plus nous consommons, plus nous croulons sous les biens matériels, plus – et toutes les courbes ou statistiques le montrent sans ambiguïté – les suicides, la violence, la dépression augmentent significativement. Personne n’a cherché de lien entre les deux, sauf peut-être le psychiatre de Sainte-Anne, Christophe André, dont je vous propose de visionner la vidéo ci-dessous.
Si je vous parle de ce sujet, c’est évidemment parce que les grandes multinationales ont décidé – je ne sais pas pourquoi cette année, elles ont dû toutes y penser en même temps sans évidemment se concerter – de nous lancer un nouveau machin du nom de Black Friday, le jour où les Américains qui sont déjà de bons consommateurs lobotomisés consomment encore plus. Alors imaginez un peu si le monde entier consommait comme ces « zAméricains » ? Imaginez un peu les profits si l’ensemble des masses crétinisées et biberonnées depuis leur plus jeune âge au rabâchage publicitaire pouvait se ruer dans les magasins en même temps à travers la planète, les profits seraient colossaux, énormes, phénoménaux… Et c’est désormais la seule chose qui compte. Tout est étalonné à l’aune du profit et de l’argent.
On encense la diversité, et pourtant plus on encense la diversité, plus les faits montrent qu’en réalité on cherche à créer partout l’unicité.
États-Unis : les soldes du « Black Friday » battent leur plein
C’est une dépêche AFP du jour qui nous en apprend long, très long sur la réalité de ce que notre pauvre monde est devenu. Peut-on encore parler de « civilisation » lorsque l’on voit les comportements de masse dans ces temples de la consommation ? Peut-on parler encore de « civilisation » lorsque vous visionnerez cette autre vidéo courte d’ailleurs qui compare les images entre le « Black Friday » de 1983 et celui de 2014 ? Image d’une réalité cruelle. Autoportrait saisissant de nos propres sociétés.
Mais avant de voir ces images, revenons à notre dépêche AFP.
(suite en dessous:)
« Le « Black Friday » qui voit les consommateurs américains se précipiter sur les magasins offrant des soldes monstres après la fête de Thanksgiving, n’a plus de vendredi que le nom puisqu’il commence désormais dès les jours précédents. »
RépondreSupprimer« La tradition de ce « vendredi noir » veut que les Américains profitent du pont de la Thanksgiving, qui tombe le dernier jeudi de novembre, pour se livrer à une orgie d’achats dans les magasins qui cassent les prix pour l’occasion. Au premier rang des marchandises convoitées figurent l’électronique et l’habillement. »
La tradition de l’orgie d’achats… Voilà une bien belle définition de la réalité de ce phénomène face auquel même le journaliste de l’AFP laisse poindre une certaine forme d’écœurement.
« Alors que l’économie américaine se porte plutôt bien, surtout comparée à ses concurrentes européenne et japonaise, la baisse des prix du pétrole est un nouveau facteur qui laisse espérer de bonnes ventes s’étendant du « Black Friday » aux Fêtes de fin d’année. »
Nous apprenons au détour de cette phrase, et dans un élan de sincérité rare, qu’effectivement aux USA, l’économie se porte mieux, mieux que là où elle va très mal, comme en Europe ou au Japon. Au royaume des aveugles, les borgnes sont rois…
Enfin, toujours à propos de la forte reprise américaine, si 47 % de la population américaine va participer à cette grand-messe répugnante d’avilissement de l’homme et de ce qui fait notre humanité, tout de même 53 % n’ont pas « d’intentions d’achats »… Terminologie pudique et de novlangue signifiant plus simplement que 53 % des Américains n’ont pas un rond pour verser leur obole aux dieux des centres commerciaux. Triste revers de la fausse croissance US qui transparaît ici par inadvertance.
« Selon un sondage de Consumer Reports, 53 % des personnes interrogées n’ont pas d’intentions d’achats sur la période de cinq jours couvrant « Black Friday » et « Cyber Monday ». Et sur les 47 % qui ont l’intention de le faire, 38 % disent qu’ils le feront exclusivement en ligne et 30 % exclusivement dans des magasins en dur. »
Je vous laisse donc en image, sur cette vidéo montage que l’un de nos camarades contrariens m’a fait suivre ce week-end. Merci à lui.
Il est déjà trop tard, préparez-vous.
À demain… si vous le voulez bien !!
Charles SANNAT
http://www.lecontrarien.com/apres-halloween-nous-allons-devoir-nous-farcir-le-pathetique-black-friday-01-12-2014-edito?utm_source=Le+Contrarien+Matin&utm_campaign=9f2e4805ba-daily_newsletter_2014_12_01&utm_medium=email&utm_term=0_b6dd3f3e5f-9f2e4805ba-45320805
Les Suisses votent contre le rapatriement de leurs réserves d'or et la fin du régime de taxation avantageux des riches étrangers
RépondreSupprimerpar Audrey Duperron
01 déc. 2014
Finalement, les Suisses ont majoritairement voté « non » contre les propositions de limiter l’immigration, l’abandon des forfaits fiscaux dont bénéficient les riches étrangers résidents dans leur pays, mais aussi à l’augmentation des réserves d’or détenues par la Banque Nationale Suisse, qui faisaient l’objet de 3 référendums distincts ce weekend.
La chaîne de télévision suisse SRF a publié les résultats de ces consultations, qui s’établissent à respectivement 74%, 60% et 78% de voix contre.
L’initiative sur l’immigration émanait d’Ecopop, un groupe environnemental qui souhaitait limiter les quotas d’immigration annuels à 0,2% pour ne pas alourdir l’impact de la population sur la nature. Sa proposition correspondait à une réduction de près de 75% des quotas actuels, qui aurait fait passer le nombre d’immigrants annuel en Suisse de 80 000 à 17 000.
En février, une courte majorité de Suisses (50,3%) s’étaient déjà prononcés en faveur de la mise en place de quotas d'immigration pour les résidents de l'UE.
Le référendum sur l'or visait à obliger la Banque centrale suisse à conserver au moins 60% de la valeur de ses avoirs en or dans ses propres coffres, comparativement à 7,5% aujourd'hui. En cas de victoire du « oui », la Banque Nationale Suisse (BNS) aurait eu à organiser le rapatriement de l’or qu’elle détient au Canada et en Grande-Bretagne, qui représente 30% de ses actifs, et acquérir sur le marché l’or nécessaire qui lui manque pour porter ses réserves à 60% de ses actifs, soit 22,5% de ses actifs. Elle aurait disposé de 5 ans pour acheter les 1700 tonnes d'or supplémentaires nécessaires pour compléter ses réserves, ce qui représente environ 70% de la production annuelle mondiale du métal précieux.
Le dernier référendum devait trancher sur la levée d'une mesure fiscale appelée « forfait fiscal » qui permet aux millionnaires étrangers résidant dans certains cantons du pays d’être imposés à l’impôt sur le revenu sur la base de leurs dépenses, plutôt que sur les revenus de leur capital. Si le « oui » l’avait emporté, beaucoup auraient perdu un avantage fiscal considérable, puisqu’ils ne payent que des montants d’impôts très modiques au regard de ce qu’ils devraient normalement payer. En 2012, 5634 personnes domiciliées dans 6 cantons, bénéficiaient de ce régime fiscal.
En novembre 2013, une votation avait été organisée à l’instigation des Jeunes Socialistes suisses qui avaient proposé de limiter les salaires des cadres seniors à 12 fois le montant de la rémunération des salariés les moins payés de l’entreprise (initiative "1:12"). Mais près des deux tiers des votants (65%) s'étaient opposés à cette mesure.
http://www.express.be/business/fr/economy/les-suisses-votent-contre-le-rapatriement-de-leurs-reserves-dor-et-la-fin-du-regime-de-taxation-avantageux-des-riches-trangers/209593.htm
Guess What arrivé la dernière fois le prix du pétrole Crashed Like This ? ...
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 30 Novembre 2014
Il a eu qu'un seul autre moment de l'histoire où le prix du pétrole se est écrasé par plus de 40 dollars en moins de 6 mois. La dernière fois que cela se est passé était au cours de la seconde moitié de 2008, et le début de cet accident du prix du pétrole a précédé le grand effondrement financier qui se est passé plus tard cette année par plusieurs mois. Eh bien, maintenant il se passe encore, mais cette fois les enjeux sont encore plus élevés. Lorsque le prix du pétrole chute de façon spectaculaire, ce est un signe que l'activité économique se ralentit. Il peut aussi avoir un effet déstabilisateur énormément sur les marchés financiers. Comme vous pourrez le lire sur ci-dessous, les sociétés d'énergie représentent désormais environ 20 % du marché des obligations de pacotille. Et une implosion des obligations de pacotille est habituellement un signal qu'une grande Krach est sur le chemin. Donc, si vous cherchez un «canari dans la mine de charbon», garder un oeil sur le rendement des obligations de pacotille d'énergie. S'ils commencent à s'effondrer, c'est un signe que l'enfer est sur le point de se détacher à Wall Street.
Il serait difficile d'exagérer l'importance de l'essor de l'huile de schiste à l'économie américaine. Merci à ce boom, les États-Unis sont devenus le plus grand producteur de pétrole sur l'ensemble de la planète.
Oui, les États-Unis maintenant produit réellement plus de pétrole que l'Arabie saoudite soit ou la Russie. Cette «révolution» a abouti à la création de millions d'emplois depuis la dernière récession, et il a été l'un des facteurs clés qui a gardé le pourcentage d'Américains qui sont employés relativement stable.
Malheureusement, le boom de l'huile de schiste est à venir à une fin abrupte. Comme un récent article Vox discuté , l'OPEP a essentiellement déclaré une guerre des prix sur les producteurs américains de pétrole de schiste ...
Pour toutes fins utiles, l'OPEP est maintenant engagé dans une «guerre des prix» avec les États-Unis. Ce que cela signifie, ce est qu'il ne est pas cher pour pomper l'huile d'endroits comme l'Arabie saoudite et le Koweït. Mais ce est plus cher à extraire le pétrole des formations de schiste dans des endroits comme le Texas et le Dakota du Nord. Alors que le prix du pétrole ne cesse de tomber, certains producteurs américains peuvent devenir rentables et se retirer des affaires. Le résultat ? Les prix du pétrole vont se stabiliser et l'OPEP maintient sa part de marché.
Si le prix du pétrole reste à ce niveau ou continue de tomber, nous allons voir un nombre important de compagnies pétrolières américaines de schiste qui sortent de l'entreprise et un grand nombre d'emplois seront perdus. Les Saoudiens savent comment jouer dur, et ils sont absolument impitoyable. En fait, nous avons vu ce genre de scénario se produire avant ...
(suite en dessous:)
Robert McNally, un conseiller de la Maison Blanche à l'ancien président George W. Bush et le président du conseil en énergie Rapidan Groupe, a déclaré à Reuters que l'Arabie saoudite "acceptera une baisse nécessaire de la sueur des prix quelle que soit les coupures d'approvisionnement qui sont nécessaires pour équilibrer le marché hors des États-Unis secteur de l'huile de schiste. "Même le légendaire homme d'huile T. Boone Pickens croit que l'Arabie Saoudite est dans un stand-off avec US foreurs et frackers" à voir comment les garçons de schiste vont résister à un prix moins cher. "C'est arrivé une fois avant. Vers le milieu des années 1980, que la production de pétrole à partir du versant nord de l'Alaska et de la mer du Nord est venu sur la ligne (de production combinée d'environ 5-6 millions de barils par jour), l'OPEP a déclenché une guerre des prix de conquérir des parts de marché. En conséquence, le prix du pétrole a coulé d'environ 40 $ à un peu moins de 10 $ le baril en 1986.
RépondreSupprimerMais le secteur de l'énergie a été l'un des seuls points positifs de l'économie américaine au cours des dernières années. Si ce secteur commence à se effondrer, il va avoir un impact négatif considérable sur nos perspectives économiques. Par exemple, il suffit de considérer les numéros suivants d'un récent article de Business Insider ...
Plus précisément, si les prix deviennent trop faible, les sociétés d'énergie ne seront pas en mesure de couvrir le coût de production aux États-Unis. Ces dépenses par les sociétés d'énergie, aussi connu comme les dépenses en immobilisations, est responsable d'un grand nombre d'emplois.
"Le secteur de l'énergie pour environ un tiers du S & P 500 capex et près de 25% des dépenses d'investissement combinée et dépenses de R & D", écrit Goldman Sachs Amanda Sneider.
Encore plus troublant, ce est ce que cela pourrait signifier pour les marchés financiers.
Comme je l'ai mentionné ci-dessus, les sociétés d'énergie représentent désormais près de 20 pour cent du marché des obligations de pacotille entier. Comme ces entreprises commencent à échouer et ces obligations commencent à aller mal, ça va frapper nos grandes banques vraiment dur ...
Tout le monde pourrait souffrir si l'effondrement déclenche une vague de défauts sur le marché de la dette à haut rendement, et à son tour, frappe les stocks. Le premier à tomber: les banques qui ont été mis à toucher de la crise du logement.
Pourquoi est-ce possible ?
Eh bien, les compagnies énergétiques font n'importe où de 15 à 20 pour cent de toutes les dettes de la malbouffe US, selon diverses sources.
Il serait difficile d'exagérer la gravité de ce que les marchés pourraient être confrontés.
Un analyste résume à CNBC cette façon ...
(suite en dessous:)
" Ce est la seule chose que je ai vu maintes et maintes fois », a déclaré Larry McDonald, responsable de la stratégie des États-Unis au groupe de macros de Newedge USA. " Lorsque haut rendement sous-performe l'équité, un événement de crédit majeur se produit. Ce est le canari dans la mine de charbon. "
RépondreSupprimerLa dernière fois que les obligations de pacotille sont effondrés, un grand Krach suivie assez rapidement.
Et ceux qui ont été les plus touchées sont les grandes banques de Wall Street ...
Lors de la dernière chute à haut rendement, qui articule autour de la dette liée au secteur du logement, Citigroup a perdu 63 % de sa valeur dans les 60 jours suivants, Kensho montre. Bank of America a été réduit de moitié .
Je comprends que certaines de ces informations est trop technique pour un grand nombre de personnes, mais la ligne de fond est-ce ...
Regardez les obligations de pacotille. Quand ils commencent à s'écraser c'est un signe qu'un grand effondrement du marché boursier est à la porte .
À ce stade, même les médias traditionnels sont en garde à ce sujet. Il suffit de considérer l'extrait suivant d'un récent article de CNN ...
Ce swing loin de junk bonds arrive souvent peu de temps avant les baisses du marché boursier .
"À haut rendement fournit des signaux de vente utiles aux investisseurs en actions," les analystes de Barclays ont conclu dans un rapport récent.
Barclays passé au peigne fin les douze dernières années de données. Le signal d'avertissement qu'ils ont trouvé est une augmentation de 30% ou plus de l'écart entre les bons du Trésor et les obligations de pacotille avant de vous baigner.
Si vous avez été en attente pour la prochaine effondrement financier majeur, ce que vous venez de lire dans cet article indique qu'il est maintenant plus proche qu'elle ne l'a jamais été.
Au cours des prochaines semaines, gardez un oeil sur le prix du pétrole, garder un oeil sur le marché des obligations de pacotille et de garder un oeil sur les grandes banques.
Problème, ce est le brassage, et personne ne sait vraiment exactement ce qui vient après.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/guess-happened-last-time-price-oil-crashed-like
Référendum or Suisse échoue : 78 % des voix contre « Protéger la richesse du pays »
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden
le 30/11/2014 19:10-0500
À la suite d'une sans précédent campagne effrayer par la Banque nationale suisse (plus récemment renforcée par Citigroup), ou en raison de la confiance que l'or Suisse est aussi sûr à l'étranger car il est à la maison, ou tout simplement en raison du bon vieux "pendaison chads", événement le plus attendu d'aujourd'hui est venu et reparti et le résultat - selon les projections au début de la télévision suisse SRF - est que la population suisse a massivement rejeté un référendum pour forcer la Banque nationale suisse de contenir certaines 20 % de ses réserves en or lors d'un vote de glissement de terrain, avec environ 78 % votant contre quel AP poliment appelé "protéger la richesse du pays en investissant dans l'or."
Comme les rapports de Bloomberg, la proposition prévoyant la Banque nationale suisse de détenir au moins 20 pour cent de son bilan ($ 540 milliards) de 520-milliards-franc en or a été rejeté par 78 à 22 %, selon les projections de la télévision suisse SRF à partir de l'heure locale 13:00. L'initiative « Save Our Swiss Gold » également la BNS aurait interdit de jamais vendre un de ses lingots et requis les 30 pour cent actuellement stockés au Canada et au Royaume-Uni d'être rapatriés.
Cela dit, la décision sera likley pas arrivé comme une surprise, parce que tandis que les premiers sondages donnait le camp du Oui un surprenant, par la suite du scrutin ont montré un changement marqué dans l'opinion publique et prévision de rejet de l'initiative.
Le grand gagnant, bien sûr, est la Banque nationale suisse : les décideurs BNS a averti à plusieurs reprises que la mesure, il aurait été plus difficile de maintenir des prix stables et protéger le cap de la Banque centrale sur le franc de 1,20 euro. Ce taux de change minimum a été mis il y a trois ans avec la Banque nationale s'engageant à acheter des devises étrangères en quantité illimitée pour le défendre.
« La BNS peut se sentir confirmée dans sa politique, » a déclaré Martin Gueth, économiste chez LBBW à Stuttgart. "En rejetant la mesure d'or, les électeurs sont sortis en faveur de son attitude actuelle."
Référendums sont un élément clé du système suisse de démocratie directe et ont lieu au niveau national et au niveau municipal, plusieurs fois par an. L'initiative de l'or a été lancé par une poignée de membres du parti du peuple suisse de l'Union européenne-sceptique. Mal à l'aise sur plus que 100 milliards d'euros la BNS détient, ils soutiennent leur initiative renforcera--pas affaiblir--crédibilité de la Banque centrale.
Cependant, Président de la BNS Jordan étiqueté l'initiative « dangereux » et son collègue de Conseil Fritz Zurbruegg a déclaré accepter que la mesure signifiait que la marge de manœuvre « sur la monnaie réserves serait considérablement restreintes, avec des conséquences négatives pour l'économie suisse ».
(suite en dessous:)
La Banque centrale, basées à Berne et Zurich, ont été confrontés à un délai de trois ans pour rapatrier ses lingots de l'étranger et cinq à atteindre le seuil de 20 pour cent fixé. Avec la Banque centrale européenne s'apprête à adopter une stimulation plus de poussée de l'inflation et croissance faible, les économistes interrogés par Bloomberg News, un sondage publié le 19 novembre s'attendait à la BNS de maintenir son plafond sur le franc en 2017.
RépondreSupprimerIl s'agit maintenant de savoir ce qui se passera avec les suisses de France, qui est récemment passé à un maximum de 26 mois face à l'euro. Pour beaucoup la crainte qu'un référendum or a servi de catalyseur pour éviter d'aller tous dans la CHF, comme des achats or aurait affaibli la monnaie. "Si la crise de l'euro ne s'aggrave, alors le taux de change minimum sera défendable, a déclaré David Marmet, économiste chez Zuercher Kantonalbank. A l'initiative été accepté, '' instruments tels que des taux négatifs qui n'élargissent le bilan"auraient été une option, a-t-il dit.
Avec le référendum de la route, le CHF peut se trouver paradoxalement à une situation dans laquelle les entrées d'IED dans la CHF forcez-la à double vers le bas sur la défense de la PAC : les économistes se sont demandés si la BNS va maintenant trouver lui-même devoir renforcer son plafond avec un taux d'intérêt négatif sur les dépôts en espèces-comme suivre le banques commerciales de la Banque centrale, mettant sa menace de prendre d'autres mesures « immédiatement » si nécessaire.
Et puis, il y a la question de ce qui se passe à la tension dans le marché des swaps or : comme la semaine dernière a noté, le taux de mois GOFO 1 avait dégringolé à la plus négative dans plus d'une décennie. Il n'était pas clair si cette squeeze or collatéraux était le résultat du porte-à-faux du référendum suisse ou pour d'autres raisons. La réaction du marché lundi devrait répondre à ces questions.
http://www.zerohedge.com/news/2014-11-30/swiss-gold-referendum-fails-78-vote-against-protecting-countrys-wealth
Une crise monétaire international majeur se profile: la suppression de l'or et de l'argent ? Est COMEX étant Cornered ?
RépondreSupprimerPar le projet de loi Holter et Miles Franklin
Global Research, le 25 Novembre, 2014
Ce est avec un profond sentiment de gratitude que je ai eu à vous tous comme des amis et associés lors de ce qui a été une longue guerre, pas une bonne guerre, mais une très longue «guerre financière». Comme vous le savez à partir de ces écrits; cela a été une guerre menée par la Réserve fédérale contre le monde entier, aidé et encouragé par les grandes banques internationales via la manipulation de plus tous les marchés de la planète. L'éthique et la morale de notre pays a été construit sur ... damnés!
Les événements mentionnés dans ce document par rapport à la suppression de l'or et de l'argent en utilisant l'hégémonie du dollar comme l'outil indiquent une importante crise monétaire internationale est mort avant, ce est évident. Pouvoir dans les mains de quelques-uns ont fait des progrès énormes pour ceux qui sont au sommet de l'échelle économique, tout en l'homme moyen est devenu un esclave de la dette à quelques-uns. Il ya bien sûr les lois de Mère Nature et «conséquences involontaires». Ceux au sommet qui ont l'intention de «gouverner le monde" sont remises en question de l'Est dans ce que je crois être presque un vainqueur prend tout "guerre". Il ne avait pas à être de cette façon, mais «l'Occident» a forcé cette.
Je ne ai jamais écrit "ce est mon écriture la plus importante jamais!" Mais ce jour est venu. Donc, de nombreux événements ont tous aligné à la fois à quel point quelque chose de très mauvais arrive, très bientôt. En fait, "très bientôt" pourrait être dès le lundi suivant l'Action de grâces. Nous avons vu de nombreux événements se déroulent au cours de cette dernière semaine que je crois sont tous reliés d'une manière ou d'une autre, je vais essayer de les connecter pour vous. Cela dit, se il vous plaît comprendre que nous sommes et avons été dans une guerre financière depuis de nombreuses années. Cette «guerre» est l'un entre l'Est et l'Ouest, où le système financier de papier de l'Ouest qui a été en contrôle pendant tant d'années voit son déclin de puissance. Ce est ce «déclin» de l'Occident contre la montée de l'Est que je crois est maintenant, enfin, arrive à la tête.
Si vous vous souvenez, nous avions deux vendredis en ligne, où l'or et prix de l'argent ont été brisées tôt dans les heures de nuit et dans la matinée, seulement pour redresser violemment et fermer très fortement pour la journée et la semaine. Cette action est appelée une «journée d'inversion extérieur» qui, au fil des années a été un événement extrêmement rare dans les métaux précieux. Il a été rare dans les métaux précieux, car il ne était pas «autorisé». Quand je dis «autorisé», se il vous plaît ne oubliez pas que COMEX est un échange de papier où possédant métal ne est pas nécessaire de vendre de l'or ou de l'argent. Tout ce que vous devez avoir est "l'argent" pour poster titre de marge et vous êtes autorisé à vendre autant de contrats que vous avez marge pour. Il ya des "limites" à combien de contrats, on peut acheter ou à détenir, ces limites ne semblent pas avoir été forcée sur le côté de vente ... bref position de JP Morgan en argent à titre d'exemple.
(suite en dessous:)
Donc, nous avons eu deux vendredis de retournement à l'extérieur dans une rangée, cela a été suivi par l'action mercredi dernier. 80 tonnes d'or ont été vendues sur un laps de temps de 15 minutes qui a frappé l'or baisse de 20 dollars en un clin d'œil. Se il vous plaît voir le tableau ci-dessous gracieuseté de Dave Kranzler de l'IRD.
RépondreSupprimer80 tonnes! Permettez-moi de mettre cela en perspective. 80 tonnes est égale à deux semaines de la production mondiale d'or ... vendus en seulement 15 minutes! Ce est près de 2,8 millions d'onces. La chose intéressante est, COMEX ne prétend avoir 865000 onces d'or disponible pour la livraison de façon plus de trois fois la quantité d'onces ont été vendues en 15 minutes que prétend même comme disponibles à la livraison! Ce qui a suivi a toutefois été le véritable assommoir, très peu de temps après l'or creusé dans ses talons et a commencé à récupérer ... à récupérer inchangée dans le prix! Voyez-vous l'importance ici? Bien que ce ne était pas un autre jour d'inversion extérieur, il a peut-être été encore plus important. Le marché «papier» absorbé deux semaines la valeur de la production en seulement 15 minutes sans casser! Je vais revenir à ce sujet sous peu et l'attacher pour le reste.
Si vous vous souvenez, je ai écrit un morceau de retour en Août intitulé "Kill Switch" http://silverseek.com/ article / kill-switch-13503 où je ai présenté une hypothèse que l'intérêt ouvert élevé et croissant en argent était en fait les Chinois par procurations virage du marché de l'argent. Le grand intérêt ouverte dans le contrat à proximité déployé au contrat Décembre. À ce moment, l'intérêt ouvert en or était au plus bas pluriannuels comme on pouvait s'y attendre avec des prix bas. Cela a changé, un peu plus les 4-6 dernières semaines, l'intérêt ouvert a cessé de construire en or ... tandis que la pression continue toujours sur le prix. Avant d'aller plus loin, je ne ai jamais vu l'intérêt hausse ouverte à des sommets pluriannuels alors que le prix a été poussé à bas pluriannuels dans ne importe quelle marchandise. Ce est vraiment une anomalie et une qui ressemble à cela pourrait être résolu très prochainement.
Ce vendredi est l'avis le 1er jour pour les deux contrats d'or et d'argent du COMEX décembre. COMEX à mon avis, a un problème potentiellement énorme où un défaut dans les deux contrats est une possibilité distincte! Comme de vendredi dernier, 61 763 contrats encore ouverts, ce qui représente 308.000.000 onces d'argent. Le COMEX revendique un (livrable) inventaire enregistré de seulement moins de 65 millions d'onces. Avec plus que quatre jours il ya environ cinq onces d'argent pour chaque contrat un once disponible!
La situation en or est discrètement devenue bien pire que l'argent, il y avait 162 509 contrats sur l'or décembre ouverts qui représentent plus de 16 millions d'onces d'or. Le (livrable) catégorie «enregistré» à l'inventaire COMEX montre que 868 910 disponibles pour offrir ! Voyez-vous le problème ici ? Il y a seulement 4 jours avant ce contrat va dans le processus de livraison, mais il y a 20 onces contractés pour chaque once disponible ! Je ai une autre pensée amusante pour vous, ne oubliez pas les 80 tonnes vendues en 15 minutes mercredi dernier ? Ce était près de 2,8 millions onces par rapport à un inventaire livrable de seulement 869000 onces, à mon avis, «frauduleux» en lettres majuscules !
(suite en dessous:)
Oui, je comprends, il y a encore quatre jours de gauche pour l'intérêt ouvert à saigner bas et rouler vers le mois de contrat, mais nous nous tenons désormais en territoire totalement inconnu. Jamais dans le passé a cet intérêt beaucoup plus ouverte été encore en suspens à l'inventaire livrable aussi bas qu'il est. Il est également étonnant que l'intérêt ouverte totale aurait atteint ces niveaux alors que le prix a chuté. La position ouverte pour augmenter et le prix à baisser, l '"ouverture" à l'ouverture des marchés a évidemment été fait par les vendeurs. Ce est exactement ce que je ai dit tout au long, le prix de la chute a été dictée par des ventes de papier de contrats COMEX ... mais maintenant il ya un problème. Tant de papier a été vendu à dicter le prix que les contrats en cours éclipsent simplement le métal disponible pour offrir. Autrement dit, le COMEX or et d'argent regard comme ils ont été acculé! Permettez-moi de reformuler cela, COMEX or et l'argent sont maintenant «très cornerable". Nous saurons bientôt si ce est vrai et "qui" a fait le virage. Je soupçonne que nous allons découvrir que cela a été un consortium de maintien de la main chinoise / russe et celui qui a été soigneusement planifié et effectué dans les limites légales. Je pense que nous allons découvrir qu'ils ont joué, en fait, par les règles de l'Occident et ce était les «vendeurs» de métal inexistante qui sont tombés dans leur propre piège de la fixation des prix. Il a été une guerre financière, celui qui a été déclaré par l'Occident et semble avoir été éventuellement gagné par l'Est.
RépondreSupprimerUn autre grand événement la semaine dernière était l'annonce surprise par la Hollande de leur rapatriement de 122,5 tonnes d'or de la FRBNY .
Je ai beaucoup de questions au sujet de cette transaction et très peu de réponses. Nous pouvons ou ne pouvons pas toujours obtenir quelques réponses, mais voici ce que je aimerais savoir. Était l'or qui a été livré l'or "original" qui a été déposé? Même numéros de série et caractéristiques? Si non, où est-il venu, qui raffinage et le traitement il? Et quand? Il faut aussi se demander pourquoi les Allemands ne ont pas obtenu leur or promise ? Avez-Hollande travailler à un accord avant la demande de l'Allemagne ? Ou est-ce un cas de la «fumée sentant" néerlandais et quitter tranquillement le théâtre avant tout le monde ? D'autres questions pourraient inclure ou pas de cet or était d'origine ukrainienne et maintenant ce qui pourrait arriver dans les marchés des produits dérivés ? Rappelez-vous, l'encours des dérivés sont probablement dans la gamme de 100 à 1 contre le métal réel, en prenant 122 tonnes de "garantie" loin pourrait affecter 12200 "tonnes" de dérivés de papier. Avec l'effet de levier, ce est égal à mieux que quatre années d'une valeur de la production mondiale et pourrait affecter près de 1/2 $ billions de contrats de papier ! Alors que sur ce sujet, avant les nouvelles néerlandais, Gofo taux ont atteint des niveaux presque records en arrière. Cela se est-car 122 tonnes de "garantie" a été retiré de la piscine ? Il suffit de penser à haute voix ici ...
(suite en dessous:)
Autres faits marquants de la semaine dernière étaient nombreux. Premièrement, le Congrès ont commencé à interroger les banques sur "la manipulation des marchés des matières premières, "et la Réserve fédérale des fuites des informations privilégiées à Goldman Sachs, est le moment de ce une coïncidence ? En outre, le président Obama a maintenant jeté unilatéralement nos frontières ouvertes, est-il possible que la longue parlé de «Amero» est vraiment dans les œuvres ? Une nécessité d'une unité monétaire nord-américaine serait l'ouverture des frontières à droite? Encore une fois, que penser tout haut. Nous avons également entendu la Russie annoncent une baisse d'importer des produits alimentaires OGM de l'Ouest pendant au moins 10 ans. Ils ont également annoncé l'importation de 55 autres tonnes d'or pour le trimestre pour faire bonne mesure tout ISIS annoncé leur intention d'utiliser l'or et l'argent comme monnaie.
RépondreSupprimerPour lier tout cela en place, permettez-moi de dire que je crois que le «coin de marché« très longtemps attendu des métaux précieux peut éventuellement et enfin à portée de main. Contrairement à ce qui est arrivé de retour dans la fin des années 1970 avec les frères Hunt en argent, le «coin» actuel a été effectivement facilitée par les vendeurs. Dans le fait de la chasse ne figure au coin d'argent, je ne crois pas que le / Russie alliance chinoise / indienne établies initialement pour ce faire ... ils ont été "contraint."
Vous voyez, nous avons été dans une «guerre financière» pendant des années, les États-Unis a foulé fortement sur le reste du monde financier. Nous nous sommes installés nos déficits commerciaux annuels grotesques en envoyant dollars librement créés comme moyen de paiement. Afin de soutenir le dollar et maintenir les taux d'intérêt bas, nous avons supprimé les prix de l'or et de l'argent. Sans les prix des métaux bas, aucun des autres marchés pourrait jamais aucun sens. Ratios PE ne pourrait jamais être aux niveaux actuels sans faibles taux d'intérêt, les taux d'intérêt ne pourraient jamais être à ces niveaux faibles si l'or et l'argent ont tiré vers le haut ... de sorte que le reste du monde a joué la seule carte qu'ils pouvaient pour empêcher une guerre mondiale, une carte bancaire.
Ils "réalisées" nous et laisser le jeu continuer encore et encore car ils accumulent des piles plus en plus grandes d'or. Une grande partie de cet or "était une fois" l'or de l'Ouest. Ils ont acheté légalement et dans de nombreux cas envoyé nos propres dollars de nouveau à nous comme paiement. Maintenant, nous allons asseoir avec beaucoup, beaucoup de dollars alors qu'ils ont beaucoup, beaucoup d'or. Je crois qu'ils ont acculé à la fois COMEX or et d'argent si elles choisissent de rester pour la livraison. Ils vont dire: «hé, nous ne avons pas les règles, vous avez fait. Vous nous a vendu des contrats, nous avons acheté et payé pour eux. Maintenant, nous aimerions que le contrat conclu, se il vous plaît envoyez-nous notre métallique ". Ce était tout juridique et ils ne ont pas intensifier avec l'intention de sauter le marché, ils ont simplement "acheté ce que nous vendions". Se ils ne se tiennent pour la livraison, peuvent-ils être blâmés se ils demandent le contrat qu'ils ont payé pour effectuer ?
(suite en dessous:)
Permettez-moi de conclure en disant cela, nous pouvons très bien se réveiller après Thanksgiving "gros et heureux" seulement pour découvrir l'ensemble du système financier était une fraude. L'Orient, en demandant pour la livraison peut d'une manière «poli» d'exposer l'ensemble du jeu. Ce serait faire beaucoup, d'abord et surtout, cela ira presque tout le chemin pour mettre fin au dollar comme monnaie de réserve du monde. Les États-Unis ne serons plus en mesure de négocier "quelque chose pour rien". Il sera aussi entraver notre capacité à mettre financièrement et militairement notre pouce sur le reste du monde. Si nous sommes devenus gênés financièrement, ce serait également opération militaire beaucoup plus difficile de financer ou de payer pour. En substance, si je suis correct et nous ne voyons défaut de livraison et un défaut COMEX ... le monde peut être un endroit plus sûr! La semaine dernière, par exemple, le président Obama secrètement prolongé notre séjour en Afghanistan, comment cette opération sera financée par un Trésor en faillite et une banque centrale qui émet la monnaie indésirables? Les Chinois / Russes à mon avis peut être sur le point de gagner une guerre sans jamais tirer un coup de feu et jouer le jeu par nos propres règles! Nous avons clairement été les agresseurs dans la Syrie et au financement d'un coup d'Etat en Ukraine. Pourrait se écraser nos marchés financiers soient un moyen de nous mettre en laisse financière et de réduire ainsi nos capacités à l'agression? Je suis sûr que ce processus de pensée a déjà été discuté.
RépondreSupprimerSe il vous plaît ne pas appeler ou me écrire lundi matin et dire «voir, rien ne est arrivé ... à nouveau." Tout ce que je dis ici, ce que le COMEX est maintenant "cornerable" et dans une position très vulnérable. Peut-être que ce ne sera pas maintenant, peut-être il le fera? Tout ce que je peux dire, ce est l'histoire est remplie de «panique bancaire», tôt ou tard, les longs se tiendront pour la livraison d'un inventaire trop petit pour les satisfaire, ce ne sera rien de différent d'un bank run quand il arrive.
Bill Holter , Miles Franklin associé écrivain
http://www.globalresearch.ca/a-major-international-monetary-crisis-is-looming-the-suppression-of-gold-and-silver-is-comex-being-cornered/5416111
Quand on pense qu'en 2013, la FED de NY avait dit qu'il fallait 7 ans pour remonter l'or des teutons !... Fallait vraiment qu'ils l'aient enterré profond !! Hahahaha !
Supprimer10 signes que les communistes s'infiltrent dans les manifestations de Ferguson
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 30 Novembre 2014
L'extrême gauche est en hausse en Amérique, et les communistes radicaux sont en cours d'élaboration à Ferguson qui proteste partout dans la nation comme des papillons à une flamme. Ainsi pourrait Ferguson être l'étincelle qui déclenche un mouvement communiste significatif en Amérique ? Certes, je ne dis pas que toutes les personnes impliquées dans les manifestations de Ferguson soit des communistes. Ce n'est pas vrai du tout. En fait, les communistes et d'autres groupes d'extrême-gauche ne représentent qu'une minorité de manifestants. Mais ils ont à maintes reprises été à la pointe de la violence, et ils sont en profitant de la colère et la frustration causée par la mort de Michael Brown pour promouvoir leurs idéologies radicales d'extrême gauche. Malheureusement, ils trouvent un public réceptif - surtout parmi les jeunes dans nos communautés pauvres et défavorisées. Même si les républicains ont très bien à la dernière élection, sondage après sondage a montré que nos jeunes adultes continuent de se déplacer vers la gauche. Par exemple, une enquête réalisée il y a quelques années trouvé que 49 % de tous les Américains dans le 18-29 ans d'âge ont une réaction positive au mot «socialisme». Les mêmes forces qui ont alimenté Occupy Wall Street sont maintenant trouver un terrain fertile dans ces nouvelles manifestations. Alors qu'est-ce que tout cela signifie pour l'avenir de notre nation ? Voici 10 signes que les communistes sont infiltrent les manifestations Ferguson ...
# 1 communistes bannières de protestation ont été bien en évidence lors des manifestations à Ferguson , à New York et ailleurs dans le pays.
# 2 Flyers déclarant que Darren Wilson est voulu " pour assassiner racistes "sont distribués par des groupes communistes à Ferguson. En fait, l'adresse d'un site Web pour le " communiste révolutionnaire progressiste du Parti travailliste "est situé sur les flyers.
# 3 Il a été rapporté que les militants communistes violents de Chicago ont été introduits dans Ferguson en bus Août dernier avec l'intention de remuer autant de mal que possible ...
Voici le scoop sur les dernières violences à Saint-Louis. Il ya beaucoup de buzz sur le terrain d'un groupe communiste qui a été transportés par autobus dans Ferguson de Chicago. Ils ont provoqué la police avec des cocktails Molotov la nuit du 13 Août tandis que les manifestants locaux ont manifesté pacifiquement. Ce est alors que la police a répondu avec des gaz flash et grenades. Leur objectif déclaré est de faire les protestations vont super-violente, répartis dans toute la région, et de déclencher une révolution. On dit de se tenir visiblement en dehors des manifestants locaux dans la façon dont ils réagissent à la police et à intimider les journalistes lorsque les photos et les vidéos sont prises d'entre eux. Attendez-vous à entendre plus à ce sujet dans les prochains jours.
# 4 La semaine dernière, les communistes de Chicago ont de nouveau descendu sur Ferguson en grand nombre. Dans la vidéo postée ci-dessous, les communistes de Chicago affichent fièrement une bannière qu'ils provoquent verbalement la police à Ferguson ..
# 5 Après Thanksgiving, les communistes ont été repérés protester en face d'un magasin Wal-Mart à Ferguson ...
(suite en dessous:)
Le vendredi, le magasin Wal-Mart a ouvert comme prévu à 8 heures, mais il y avait relativement peu de clients. Comme ils sont entrés, ils ont dit qu'il n'y avait "aucun élément de vente," et beaucoup puis refoulés. Un directeur adjoint a déclaré que depuis la boutique ne était pas ouvert jeudi, le personnel ne pouvait pas mettre en place des articles de vente, de sorte que les ventes ont été redéployés à d'autres magasins. La Police a patrouillé le parking et gardes de sécurité privés ont été affichés à l'intérieur du magasin. Une poignée de manifestants, dont des membres du Parti communiste révolutionnaire, a dit de quitter le parking. Ils se tenaient à l'entrée du parking avec des signes qui disaient «Non achats en vies noires Matter vendredi."
RépondreSupprimer# 6 l'extérieur du tribunal à Ferguson vendredi, une foule de manifestants a été entendu chantant cette phrase encore et encore: " La seule solution est une révolution communiste ".
# 7 Dans cette vidéo suivante , un communiste interrompt une conférence de presse à la télévision nationale à Ferguson ...
# 8 Ce est une chose pour protester contre l'injustice perçue. Ce est autre chose de brûler publiquement le drapeau américain. Ce est quelque chose que les groupes communistes aiment faire, et il est le symbole de la haine profonde pour ce pays.
# 9 Les médias traditionnels ont été effectivement notant l'apparition de groupes communistes à Ferguson proteste partout dans la nation. Par exemple, CBS Seattle a récemment rapporté que des "communistes" et "groupes palestiniens" ont rejoint les protestations à Portland, Oregon.
# 10 WND a documenté qu'un haut Occupy Wall Street organisateur a été la formation manifestants Ferguson comment "simuler chaos» ...
Dans un développement qui peuvent laisser présager des perturbations prolongées, organisateur de la rue vétéran Lisa Fithian, déjà surnommé "Occupy professeur," les manifestants Ferguson récemment formés comment "simuler le chaos."
Fithian est un organisateur légendaire qui a annoncé une fois qu'elle cherche à «créer la crise, parce que la crise est que le bord où le changement est possible."
Une fois de plus, il faut noter que je ne dis pas que tous les manifestants Ferguson sont communistes. Seule une minorité d'entre eux le sont. Mais les communistes et d'autres organisations de la gauche radicale puisent dans tous les conflits et la discorde raciales pour promouvoir leurs philosophies radicales.
Et le travail préparatoire a déjà bien été mis à l'avance. électeurs minoritaires ont été extrêmement fidèle aux démocrates depuis des décennies, et à ce point l'ordre du jour du Parti démocrate compare très favorablement aux 10 planches du Manifeste communiste .
Non pas que les républicains sont très différents. En fait, beaucoup de "républicains" sont essentiellement rage socialistes à ce point. Mais ce est un sujet pour un autre article.
(suite en dessous:)
RépondreSupprimerL'Amérique a régulièrement progressé vers la gauche et l'extrême gauche a été à la recherche d'une étincelle.
Ferguson a peut-être enfin fourni l'étincelle pour eux, et ce pays pourrait ne pas toujours être le même que le résultat.
Donc regarder attentivement ce qui se passe en ce moment à Ferguson.
Le feu de la révolution est en feu dans les rues de Ferguson aujourd'hui, mais quelques années à partir de maintenant toutes les grandes villes de la nation peut être enflammé.
http://endoftheamericandream.com/archives/10-signs-that-ferguson-could-be-the-start-of-a-communist-revolution-in-america
Quand on fait un 'reportage' sur les manifs on y va et on interroge les contestataires qui ne sont pas avares d'évoquer la raison de leur déplacement. Donc, il peut s'agir de Libertaires comme de faux-drapeaux créés de toutes pièces par qui ont sait.
Supprimer[Affaire de Margerie] 3ème partie : Un « message » des États-Unis à la France, à la manière du « Parrain »
RépondreSupprimer1 décembre 2014
The French Saker
Dans mes deux articles précédents, « Un accident bizarre qui en rappelle un autre » et « Un embarras Total », j’ai souligné les ressemblances entre les circonstances de la disparition d’Enrico Mattei, le PDG de la pétrolière nationale italienne ENI au début des années 1960, et celle de Christophe de Margerie, le PDG de Total, survenue il y a un peu plus d’un mois à l’aéroport Vnoukovo de Moscou.
J’ai également démontré que les États-Unis étaient à l’origine de la première, et qu’il existait d’excellentes raisons de croire qu’ils étaient aussi à l’origine de la seconde. En effet, autant Mattei que de Margerie constituaient des menaces claires à leurs intérêts pétroliers et financiers, en plus de défier ouvertement leur hégémonie mondiale, et la menace posée par de Margerie était sans doute encore beaucoup plus existentielle que celle qu’avait posée Mattei, comme nous allons le voir un peu plus bas.
Mon intérêt pour cette affaire s’explique à la fois par les connaissances que j’ai acquises au cours de ma carrière au service de deux grandes multinationales du pétrole, Esso (maintenant connue sous le nom d’Exxon Mobil), et Texaco (aujourd’hui intégrée à Chevron), et par celui que j’ai développé pour l’Empire Desmarais, à la tête du grand conglomérat financier canadien Power Corporation, associé au groupe belge Frère, les deux étant d’importants actionnaires de Total par le truchement d’une structure suisse de coparticipation, Pargesa SA, constituée par leurs soins.
Au Québec, comme j’ai eu l’occasion de le démontrer dans deux ouvrages récents, Desmarais : la Dépossession tranquille, et Henri-Paul Rousseau, le siphonneur de la Caisse de dépôt parus respectivement à Montréal aux Éditions Michel Brûlé en 2012 et 2014, les visées de l’Empire Desmarais sur ces principaux leviers de développement que sont Hydro-Québec et la Caisse de dépôt et de placement sont carrément prédatrices et spoliatrices.
L’intérêt soulevé par mon second article (repris sur plus d’une vingtaine de sites dont vous trouverez les liens à la fin de celui-ci), et notamment en Europe, m’a convaincu de pousser plus loin mon enquête, en m’intéressant non pas tant aux circonstances de l’accident/attentat – aucun nouvel élément n’a été rapporté depuis deux ou trois semaines – qu’à la conjoncture géopolitique internationale dans laquelle il est survenu, à la place qu’y occupe le pétrole, au rôle qu’y joue Total, et à celui qu’y jouait son PDG Christophe de Margerie jusqu’à son décès.
La conjoncture géopolitique actuelle est l’une des plus tendues depuis la fin de la guerre froide. Alors que les États-Unis croyaient être parvenus, au tournant des années 1990, avec la chute du mur de Berlin et la dislocation de l’URSS, à asseoir leur domination sur le monde, les voici aux prises avec une concurrence nouvelle animée non plus par la recherche d’une confrontation entre deux idéologies (capitalisme et communisme), mais plutôt par la vision pluripolaire des puissances émergentes (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) réunies dans le BRICS, et opposées à toute forme d’inféodation, politique, économique ou culturelle.
(suite en dessous:)
À cette menace politique se rajoute le spectre d’un important déclin économique qui ne ferait qu’amplifier la première. En effet, s’étant rendus compte au début des années 1980 que leur structure de coûts de production était de moins en moins concurrentielle, les États-Unis poursuivent depuis lors une politique de libéralisation systématique des échanges commerciaux internationaux dont les effets les plus pervers ont été la désindustrialisation de leur économie et un appauvrissement collectif qui se manifeste dans la disparition rapide de leur classe moyenne.
RépondreSupprimerLes bénéfices escomptés de la financiarisation de leur économie ne sont pas au rendez-vous. Non seulement alimente-t-elle une multiplication de bulles spéculatives qui finissent toutes par éclater éventuellement, mais il n’existe aucun mécanisme de redistribution de la maigre richesse qu’elle crée, et le fossé des inégalités sociales en train de se creuser constitue une menace sérieuse à leur stabilité politique à moyen et long terme.
L’absence de croissance économique réelle se reflète dans leur degré d’endettement qui se situe désormais parmi les pires du monde développé, et ils sont de plus en plus tentés par des aventures militaires hasardeuses dont ils pensent qu’ils pourraient sortir à la fois vainqueurs sur le plan politique, et renforcés sur le plan économique. Leur situation se complique dès qu’on y introduit la donnée pétrole dont ils ont longtemps contrôlé le marché.
Au début des années 1970, contraints par l’essoufflement budgétaire causé par leur engagement au Vietnam de renoncer à l’obligation qu’ils avaient acceptée, à la fin de la Deuxième Guerre mondiale, de garantir la convertibilité de leur dollar en or au taux fixe de 35 $ l’once dans le but de relancer l’économie internationale qu’ils étaient bien placés pour dominer, et désireux d’asseoir leur hégémonie économique sur des bases encore plus solides, ils concluent une entente avec la monarchie régnante en Arabie Saoudite en vertu de laquelle celle-ci, devenue le plus important producteur de pétrole, s’engagera à exiger le paiement de toutes ses livraisons en dollars US, en contrepartie d’une garantie par les États-Unis de la défendre contre toute agression militaire.
C’est le début du règne du pétrodollar. L’or noir se substitue très rapidement à l’or métal comme référence dans toutes les transactions internationales, et les deux parties à cette entente vont en profiter immensément pendant une quarantaine d’années.
Au cours de la dernière année, certains événements sont survenus, certains connus, d’autres non, qui ont amené l’Arabie Saoudite à remettre en question son soutien jusque là indéfectible aux États-Unis et au dollar US. Le résultat se reflète ces jours-ci dans la baisse du cours du pétrole. Au moment d’écrire ces lignes, il a perdu près de 40 % de sa valeur depuis juin dernier. Vendredi, et, aujourd’hui le cours du WTI est passé sous la barre des 65 $ $ US alors que le Brent se situe légèrement au-dessus de 70 $.
Un analyste américain allait même jusqu’à prédire ces jours derniers qu’il pourrait même descendre jusqu’à 35 $ l’an prochain si les pays membres de l’OPEP ne parvenaient pas à s’entendre sur une réduction de leurs quotas de production.
(suite en dessous:)
Combinés à la remise en question du statut du dollar comme monnaie de réserve mondiale depuis quelques années et aux gestes concrets posés en ce sens par la Russie, la Chine, l’Iran, et quelques autres depuis un an, il est clair que ces événements marquent pour les États-Unis le commencement de la fin de leur hégémonie mondiale. Ils ont toutefois tellement à y perdre qu’ils vont tenter par tous les moyens de maintenir leur emprise, et l’Affaire de Margerie constitue une bonne indication des moyens qu’ils sont prêts à prendre pour éviter le sort qui les attend.
RépondreSupprimerEn effet, de Margerie était le PDG de Total, seule entreprise non américaine avec BP à figurer au nombre des « majors » de l’industrie. BP est une entreprise britannique qui a perdu le peu d’indépendance qui lui restait dans la foulée de l’explosion survenue à l’été 2010 sur la plate-forme Deep Horizon dans le Golfe du Mexique, et de la catastrophe environnementale qui s’est ensuivie. Sous haute surveillance des autorités américaines en raison de l’importance des dommages encore non liquidés, l’entreprise est désormais dirigée par un Américain.
En raison de son histoire très complexe et des fusions dont elle est issue, Total fait bande à part. Très tôt, elle a été présente au Moyen-Orient, notamment en Irak, en Afrique du Nord, et en Afrique Équatoriale. Très tôt, l’intérêt stratégique qu’elle revêt pour la France l’a amené à développer un réseau parallèle de renseignement qui a très bien servi les intérêts de la France, ce qui l’a mise à l’abri des remontrances de l’État lorsqu’elle s’engageait dans des coups fourrés, comme ce fut le cas en Iran, en Irak et en Libye au cours des dernières années.
Ainsi, on apprenait encore ces derniers jours que Total avait accepté de verser 400 millions $ US en guise de pénalité pour avoir enfreint l’embargo des États-Unis contre l’Iran au début des années 2000, au détriment de l’américaine Conoco. Voici comment Libération présentait les faits dans son édition du 26 novembre :
Total sera jugé pour « corruption » en marge de contrats en Iran
Le groupe français Total sera jugé en correctionnelle pour « corruption d’agents publics étrangers » en marge de contrats pétroliers et gaziers conclus en Iran dans les années 1990.
Son ancien PDG, Christophe de Margerie, avait également été renvoyé pour ce même chef le 15 octobre, a indiqué mardi à l’AFP une source judiciaire, confirmant une information de Charlie Hebdo. Mais les poursuites le concernant se sont terminées avec son décès quelques jours plus tard à Moscou.
Cette enquête ancienne porte sur un peu plus de 30 millions de dollars qui auraient été versés à partir d’octobre 2000 en marge de deux contrats du géant français en lien avec l’Iran dans les années 1990, sur fond d’embargo américain.
(suite en dessous:)
Le principal contrat, d’une valeur de 2 milliards de dollars, avait été conclu le 28 septembre 1997 avec la société pétrolière nationale iranienne NIOC et concernait l’exploitation – par une coentreprise réunissant Total, le russe Gazprom et le malaisien Petronas – d’une partie du champ gazier de South Pars au large de l’Iran, dans le Golfe. Washington avait menacé les pétroliers de sanctions pour ces investissements.
RépondreSupprimerLe second contrat visé par l’enquête avait été conclu le 14 juillet 1997 entre Total et la société Baston Limited. Il était lié à un important accord conclu deux ans plus tôt, le 13 juillet 1995, pour l’exploitation des champs pétroliers iraniens de Sirri A et E, également dans le Golfe.
Total avait alors bénéficié du retrait de l’Américain Conoco, contraint de céder la place après que l’administration Clinton eut décrété un embargo total sur l’Iran.
Dans l’enquête ouverte en France fin 2006, Christophe de Margerie avait été mis en examen en 2007 par l’ancien juge d’instruction Philippe Courroye pour « corruption d’agents publics étrangers » et « abus de biens sociaux ». M. de Margerie était à l’époque des faits directeur pour le Moyen-Orient du géant français.
« Réels problèmes juridiques »
Les juges d’instruction ont finalement ordonné en octobre le renvoi en correctionnelle de Total et de Christophe de Margerie pour les faits de « corruption d’agents publics étrangers », selon la source. Ils n’ont pas retenu l’abus de biens sociaux contre le patron du groupe.
Christophe de Margerie a péri dans la nuit du 20 au 21 octobre quand son Falcon a percuté un chasse-neige au décollage à l’aéroport Vnoukovo de Moscou.
Deux intermédiaires iraniens sont également renvoyés pour complicité : l’homme d’affaires et lobbyiste Bijan Dadfar, qui travaillait pour Baston Limited, et Abbas Yazdi, un consultant pétrolier.
Interrogé sur cette affaire en juin 2013, alors que le parquet de Paris venait de requérir son renvoi et celui de Total, Christophe de Margerie avait réfuté les accusations de versement « de pots-de-vin » ou de « rétrocommissions » : « ce que nous avons fait dans les années 90 était effectivement conforme à la loi », avait-il déclaré au Grand Jury RTL/Le Figaro/LCI.
Sollicité par l’AFP, l’avocat de Total, Me Daniel Soulez-Larivière, a estimé mardi que ce dossier posait « de réels problèmes juridiques ».
D’une part parce que les contrats sont antérieurs à l’entrée en vigueur en France en 2000 de la convention de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) prohibant la corruption d’agents publics étrangers.
(suite en dessous:)
D’autre part parce que, visé par des poursuites aux Etats-Unis pour ces contrats, Total a accepté en 2013 de transiger pour clore la procédure, moyennant le versement de près de 400 millions de dollars. Or, selon la règle dite du « non bis in idem », nul ne peut être poursuivi ou puni plusieurs fois pour les mêmes faits, relève l’avocat.
RépondreSupprimerPremière entreprise de l’Hexagone par les bénéfices et deuxième par la capitalisation boursière, Total avait bénéficié en juillet 2013 d’une relaxe dans le procès « pétrole contre nourriture ». Mais le parquet a fait appel de cette décision.
L’invocation de la règle « non bis idem idem » paraît un argument bien faiblard à l’avocat québécois que je suis dans la mesure où les faits reprochés à Total tombent sous le coup des lois de deux pays différents, qu’ils ne sont pas de même nature dans les deux pays, et qu’aux États-Unis, un règlement négocié est intervenu sans qu’un jugement de culpabilité n’ait été prononcé. Mais bon, je ne prétends pas connaître le droit français.
En ce qui concerne les faits survenus en Irak, il s’agit de malversations survenues entre 1996 et 2002 dans le cadre du programme humanitaire Pétrole contre nourriture mis sur pied par l’ONU dans la foulée de l’embargo du Conseil de sécurité contre l’Irak . Voici comment Le Figaro rapportait les faits le 2 août 2011 :
« Pétrole contre nourriture » : Pasqua et Total seront jugés
En dépit du non-lieu requis par le parquet de Paris, le juge d’instruction a décidé de renvoyer devant le tribunal correctionnel le groupe pétrolier et 19 personnes, dont son PDG Christophe de Margerie et l’ancien ministre de l’Intérieur.
L’affaire « pétrole contre nourriture », dans laquelle sont impliquées plusieurs personnalités françaises, vient de connaître un rebondissement spectaculaire. Alors que le parquet de Paris avait requis par deux fois, en 2009 puis en 2010, un non-lieu, le juge Serge Tournaire a pris la décision de renvoyer devant le tribunal correctionnel 19 personnes, dont l’ancien ministre Charles Pasqua et l’actuel PDG de Total Christophe de Margerie. La société Total sera également jugée en tant que personne morale.
Cette décision de justice, prise le 28 juillet, a été révélée par Charlie Hebdo avant d’être confirmée mardi par une source judiciaire. Le parquet n’ayant pas fait appel de la décision dans les cinq jours qui ont suivi l’ordonnance du juge, le procès est inévitable. Il ne devrait toutefois pas se tenir avant 2012.
Les accusés sont soupçonnés de malversations dans le cadre du programme « Pétrole contre nourriture ». Ce dispositif, mis en place par l’ONU entre 1996 et 2002 a permis au régime de Saddam Hussein, alors soumis à un embargo du Conseil de sécurité, de vendre son or noir en échange de denrées alimentaires et de médicaments.
(suite en dessous:)
Pasqua accusé de corruption et de trafic d’influence
RépondreSupprimerLa justice soupçonne les dirigeants de Total d’avoir mis en place un système de commissions occultes afin de bénéficier de marchés pétroliers et d’avoir contourné l’embargo en achetant des barils de pétrole irakien via des sociétés écrans. La société est ainsi poursuivie pour corruption d’agents publics étrangers, recel de trafic d’influence et complicité de trafic d’influence. Son PDG actuel, Christophe de Margerie, est renvoyé pour complicité d’abus de biens sociaux. « Nous sommes confiants dans l’issue du procès et sur le fait qu’il sera établi que Total ne peut se voir reprocher les faits cités », a réagi le groupe pétrolier.
Les autres personnalités françaises impliquées auraient touché leurs commissions sous forme d’allocations de barils de pétrole. Deux anciens diplomates de haut-rang seront ainsi traduits pour corruption : Jean-Bernard Mérimée, ambassadeur de France à l’ONU de 1991 à 1995, et Serge Boidevaix, ancien secrétaire général du Quai d’Orsay. Charles Pasqua devra lui se défendre des accusations de corruption et de trafic d’influence pour des faits commis entre 1996 et 2002.
« C’est tout à fait une surprise, et une mauvaise surprise » a immédiatement commenté sur France Info son avocat, Me Léon-Lef Forster. Ce dernier s’est étonné que le juge, qui a repris en 2010 une enquête ouverte en 2002, ait pris sa décision sans même avoir « pris la peine d’interroger (son) client ». Il dit toutefois n’avoir « aucune inquiétude » quant à l’issue du procès.
Dans le volet français de l’affaire, aucune mention du fait que le programme « Pétrole contre nourriture » des Nations Unies était administré par un canadien du nom de Maurice Strong qui se trouve à être un ancien PDG de Power Corporation, l’entreprise de l’Empire Desmarais associé au belge Albert Frère dans la structure de droit suisse qui détient leurs actions dans Total, et dont je parle abondamment dans mon article précédent, Un embarras Total.
Maurice Strong est aussi un ancien PDG de Petro Canada, de la Corporation de développement des Investissements du Canada et d’Hydro-Ontario. En 2005, alors qu’il occupe la fonction de secrétaire général associé des Nations Unies, il est accusé d’avoir reçu d’un dirigeant irakien un paiement de 1 million de dollars puisé à même le fonds pétrole contre nourriture. Il s’enfuit en Chine, à Pékin, où il dispose de solides appuis politiques. Il n’en est jamais revenu pour faire face aux accusations portées contre lui.
Au Canada, le scandale est vite étouffé vu les liens étroits de Strong avec l’ancien ministre des Finances et premier ministre Paul Martin, lui-même impliqué dans les affaires de Strong et repreneur d’une entreprise que lui a cédée Paul Desmarais. Ceux d’entre vous qui s’imaginent avoir tout vu en matière d’affaires politiques sordides sont invités à prendre connaissance des trois liens suivants : At the United Nations, the Curious Career of Maurice Strong Maurice Strong, et Abel Danger Brief Summary of the Last Six Years : Connecting the Power. Canada’s Power Corporation and Maurice Strong. Ils constateront que le Canada est loin d’être le paradis bénin qu’ils imaginent.
(suite en dessous:)
Ils constateront aussi que les affaires de Total et de Strong sont liées, et que le lien entre les deux est l’actionnaire principal de Total, le tandem Desmarais/Frère. Évidemment, lorsqu’on ajoute à ces deux affaires celle de la Libye que j’ai racontée dans mon article précédent, on comprend que les États-Unis aient pu commencer à s’inquiéter de ce qu’ils percevaient de plus en plus comme une agression contre leurs intérêts par un acteur majeur de l’industrie pétrolière mondiale qu’ils avaient jusque-là eu la naïveté de prendre pour un allié.
RépondreSupprimerEn effet, non seulement Total est-elle une entreprise française, donc en principe amie, mais en plus, son conseil d’administration compte des personnes très proches des plus hautes sphères du monde des affaires et de la politique aux États-Unis.
À ce stade-ci, il est important de préciser que le degré de contrôle du tandem Desmarais/Frère sur Total est beaucoup plus important que ne le suggère leur 3,2 % des actions de l’entreprise. Pour établir le degré de leur emprise, il faut examiner les affaires de la Power Corporation de l’Empire Desmarais et du Groupe Bruxelles-Lambert du belge Albert Frère.
Pour ne s’en tenir qu’à celles de Power Corporation, on constate que celle-ci a près de 500 milliards $ US d’actifs sous gestion par l’entremise surtout de sa filiale, la Financière Power, dans laquelle on retrouve des compagnies d’assurance et des fonds de placement au Canada, aux États-Unis, en Europe et en Extrême-Orient. Il est dans la nature des activités de ces entreprises de se constituer d’importants portefeuilles de titres, et il va de soi que chacune d’entre elle détient un important paquet d’actions de Total.
On voit donc que l’influence du tandem Desmarais/Frère dans Total se trouve démultipliée par la quantité d’actions détenue dans celle-ci par les filiales de la Financière Power et le Groupe Bruxelles-Lambert. Et il faut ajouter à cela l’influence qu’ils peuvent détenir en vertu de conventions expresses ou tacites avec d’autres actionnaires ou regroupement d’actionnaires de Total, du genre échange de bons procédés.
Dans ce contexte, c’est avec la plus grande surprise que l’on découvre aujourd’hui sur le site francophone de l’agence de presse russe RIA-Novosti les deux articles suivants :
Total, partenaire prioritaire de la Russie (Poutine)
Le groupe français Total est un partenaire prioritaire de la Russie, et le décès de son PDG Christophe de Margerie est une perte importante pour le pays, a déclaré vendredi le président russe Vladimir Poutine. « Total est notre partenaire prioritaire depuis de nombreuses années. Nous pleurons avec vous le décès de notre ami, M. de Margerie. Il s’agit d’une lourde perte », a indiqué M. Poutine lors d’une rencontre avec les responsables du groupe français.
Christophe de Margerie est mort dans la nuit du 21 octobre à Moscou dans un accident d’avion à l’aéroport de Vnoukovo.
Deux choses à noter. Premièrement, l’essentiel du message se trouve dans la photo. Et deuxièmement, la rencontre a eu lieu à Sotchi, ville des derniers jeux olympiques. La sécurité de l’aéroport est à toute épreuve… On ne fera pas exprès pour répéter une deuxième fois la même erreur…
Le second article est encore plus surprenant, lorsqu’on connaît les liens de Nicolas Sarkozy avec les pouvoirs américains :
(suite en dessous:)
Sarkozy : vouloir la confrontation entre l’Europe et la Russie est une folie
RépondreSupprimerVouloir la confrontation entre l’Europe et la Russie est une folie, a déclaré jeudi l’ex-président français Nicolas Sarkozy lors de son dernier meeting de campagne pour le premier tour de l’élection à la tête de l’UMP à Nîmes, lit-on vendredi sur son site.
« Nous avons voulu l’Europe pour qu’elle soit, dans le monde, un facteur de paix. Nous n’avons pas voulu l’Europe pour qu’elle ressuscite la guerre froide. Vouloir la confrontation entre l’Europe et la Russie est une folie (…). Comment a-t-on pu espérer résoudre la crise ukrainienne sans discuter avec la Russie ? », a demandé M.Sarkozy dans son discours.
Par ailleurs, l’ancien chef de l’État français s’est violemment indigné à propos du non-respect du contrat de la France envers la Russie, estimant que Paris devait « honorer sa parole » et livrer les deux navires Mistral à Moscou.
Bien sûr, Sarkozy ne parle plus au nom de la France, et ses paroles n’ont pas l’autorité de celle d’un chef d’État. Mais il se trouve quand même à répéter ce que disaient récemment Henry Kissinger, le très prestigieux ancien chef de la diplomatie des États Unis, et Mikhaïl Gorbatchev, le dernier président de l’URSS. Et est-ce un hasard si Nicolas Sarkozy est aussi très proche des Desmarais et d’Albert Frère ? Quand le hasard fait trop bien les choses, c’est qu’il n’y a pas de hasard, mais bien plutôt une opération planifiée en bonne et due forme.
Nous sommes donc bel et bien en face d’un défi lancé par Total et ses actionnaires à la position des États-Unis. La question qui se pose est de savoir quelle est la position de l’État français dans cette affaire, et elle se pose d’autant plus que Total, sans être une société d’État est une des plus grandes entreprises et que l’État se trouve assurément dans son capital, soit directement, soit par l’entremise d’une institution comme la Caisse des dépôts et consignations (CDC).
Pour comprendre la continuité dans l’action de Total, il est essentiel de connaître le réseau d’influence que de Margerie était parvenu à se tisser au fil de sa carrière. Voici un article paru en 2007dans une publication économique française, L’Expansion, qui jette en outre un éclairage extraordinaire sur la crise actuelle et le rôle qu’y joue le pétrole :
Les réseaux de Christophe de Margerie
Atypique, le nouveau patron de Total l’est jusque dans ses relations, où le » terrain » compte plus que l’establishment.
Ballet de voitures officielles au Quai d’Orsay, le 8 mars. Ce matin-là, les ambassadeurs étrangers sont venus écouter un orateur inhabituel, Christophe de Margerie. Loin des flashs, le nouveau patron de Total, intronisé le 13 février, parle pétrole à ses Excellences. Et renforce ses liens avec la communauté diplomatique.
(suite en dessous:)
SES APPUIS PATRONAUX
RépondreSupprimerAlbert Frère
Gérard Mestrallet
Anne Lauvergeon
Si l’actionnaire belge de Total aime le naturel de Christophe de Margerie, le PDG de Suez apprécie surtout son anticonformisme. Les liens du patron de Total avec la dirigeante d’Areva sont aussi de bon augure, alors que le pétrolier n’a jamais caché son intérêt pour la filière nucléaire.
Voilà le style Margerie : des réseaux informels tissés au fil des années, bien loin du très sélect Club des cent et autres Siècle, qu’il fréquente peu. » Il n’est pas un adepte des grands dîners parisiens, déclare Jean-Pierre Jouyet, cousin par alliance et chef du service de l’Inspection des finances. Son point fort, c’est le terrain. » Normal, c’est là que » Big Moustache « , comme on le surnomme dans le Groupe Total, a bâti sa carrière. Notamment au Moyen-Orient, qu’il a parcouru pendant des années, prenant même en 1995 la responsabilité de cette zone. » Du Koweït à Dubaï, il connaît tout le monde, témoigne son amie Randa Takieddine, journaliste au quotidien saoudien Al-Hayat. Les Arabes aiment son sens de l’humour, il a su gagner leur confiance. «
SES CONSEILLERS
Jean Veil
Jean-Marc Forneri
Hubert Védrine
L’avocat de Christophe de Margerie n’est pas un intime, mais il dîne régulièrement chez lui, dans son appartement parisien, tout comme Jean-Marc Forneri, banquier d’affaires et ami. Les rapports sont plus professionnels avec l’ancien chef de la diplomatie française, dont le patron de Total apprécie beaucoup les conseils géopolitiques.
Et nouer de vraies amitiés. Comme celle qui le lie à Abdallah ben Hamad al-Attiyah, ministre de l’Energie du Qatar. Quant à Abdallah Jumaa, président de la société d’Etat saoudienne Aramco, il ne passe jamais par Paris sans saluer » l’Oriental « . En Arabie saoudite, Margerie fréquente le prince Saoud al-Fayçal, le ministre des Affaires étrangères, et Ali al-Naimi, le ministre du Pétrole. » Lorsqu’il se rend dans les Emirats et au Koweït, Christophe de Margerie est reçu dans les majlis, les audiences privées accordées par les princes arabes « , commente son ami Jean-Marc Forneri, banquier d’affaires. Les deux hommes se sont connus en 1999. Christophe de Margerie venait d’être nommé patron de l’exploration-production de Total, Jean-Marc Forneri conseillait Petrofina – absorbé par Total la même année. » Déjà, à l’époque, il était à part dans l’univers Total, se souvient-il. Christophe n’est pas ingénieur, il est diplômé d’une école de commerce, l’Escp-EAP. Il a de l’humour, ce qui est rare dans ce milieu. » Fin portraitiste, Christophe de Margerie adore croquer ses victimes en quelques traits acérés. Sa parodie du ministre de l’Economie, Thierry Breton, cherchant à se recaser à la direction de Total, est, selon un proche, » savoureuse « .
(suite en dessous:)
SES LIENS MOYEN-ORIENTAUX
RépondreSupprimerAbdallah ben Hamad al-Attiyah
Saoud al-Fayçal
Abdallah Jumaa
Ami avec le ministre de l’Energie du Qatar, le n° 1 de Total estime le ministre des Affaires étrangères saoudien et le président d’Aramco.
Des rapports distants avec le monde politique
Christophe de Margerie est un patron atypique. Pourrait-il en être autrement quand on descend d’une telle lignée ? Le père vient d’une famille d’ambassadeurs, la mère, Colette, est la fille de Pierre Taittinger, fondateur d’un empire qui mêlait hôtels de luxe (Crillon), champagnes (Taittinger) et marques prestigieuses (Baccarat). » Nous avons longtemps espéré que Christophe dirige le groupe, raconte Pierre-Christian Taittinger, son oncle, maire du XVIe arrondissement de Paris. Il était le seul à avoir l’aval de toute la famille. » Mais Christophe préfère l’or noir à l’or fin. Une décision lourde de conséquences. » Son refus a, en partie, entraîné la vente de nos actifs en 2005 « , lâche l’oncle qui garde des liens » privilégiés » avec son neveu. » Je l’aide quand il a besoin d’informations sur un homme politique. » Précieux pour le patron de Total, qui entretient des rapports distants avec l’establishment. » Il ne grenouille pas dans les cercles parisiens, explique sa cousine Brigitte Taittinger, PDG des parfums Annick Goutal. Je n’ai jamais vu un politicien dîner chez lui. » A droite, on le dit en bons termes avec Dominique de Villepin et Jean-Pierre Raffarin, qui, lorsqu’il était Premier ministre, appréciait ses topos sur l’énergie.
SES RELATIONS POLITIQUES
Jean-Pierre Jouyet
Jean-Pierre Raffarin
Dominique de Villepin
L’ex-directeur du cabinet de Jacques Delors et les deux Premiers ministres de Jacques Chirac font partie de ses rares connexions politiques.
Et lui, qui le conseille ? S’il fallait n’en citer qu’un, ce serait Hubert Védrine, l’ancien chef de la diplomatie sous Jospin reconverti dans le conseil, avec qui Margerie partage une certaine vision de la France, éloignée du déclinisme ambiant. » Il est soucieux de l’intérêt national « , ajoute Védrine. » Je l’ai vu rabrouer un diplomate français qui raillait le gouvernement. Il trouvait inadmissible que l’on dise du mal de son pays devant des étrangers « , se souvient Randa Takieddine. Pour défendre ses intérêts, Christophe de Margerie a choisi Jean Veil, le fils de Simone. » Nos deux mères ont des relations amicales « , souligne l’avocat, dont l’associé Emmanuel Rosenfeld gère les deux récentes mises en examen du dirigeant de Total, soupçonné d’abus de biens sociaux et de corruption d’agents publics étrangers en Irak dans le cadre de l’affaire » Pétrole contre nourriture » et en Iran dans le dossier du gaz offshore.
(suite en dessous:)
SON CLAN FAMILIAL
RépondreSupprimerBrigitte Taittinger
Colette de Margerie
Pierre-Christian Taittinger
Sacrée, la famille ! Il est très proche de sa cousine et de sa mère, de précieux conseil, tout comme son oncle, maire du xvie arrondissement.
Des lézardes supplémentaires dans l’image du Groupe Total, après la catastrophe AZF, l’affaire du travail forcé en Birmanie et le naufrage de l’Erika. » Il va devoir travailler sur la communication du groupe « , insiste un proche. Il pourra demander conseil à Anne Lauvergeon, qui, avec Albert Frère et Gérard Mestrallet, est l’une des personnalités du business que Margerie apprécie le plus. Lorsqu’elle est arrivée à la tête d’Areva, l’ancienne sherpa de Mitterrand a mis à mal la culture du secret qui régnait parmi les » nucléocrates » et fait connaître le monde de l’atome au grand public. Avec un succès qui n’a pas échappé à Big Moustache.
Christophe de Margerie en 5 dates
1974 : entrée dans le Groupe Total, à la direction financière
1995 : prend la tête de Total-Moyen-Orient
1999 : devient patron de la branche exploration-production
2006 : mis en examen dans l’affaire » Pétrole contre nourriture »
2007 : devient directeur général du groupe pétrolier
Vous aurez noté au passage le nom de Gérard Mestrallet, l’actuel PDG du groupe GDF-Suez et de Suez Environnement dans lesquels le tandem Desmarais/Frère détient également des participations. Ce qui est beaucoup moins connu est qu’il siège au conseil d’administration de Pargesa SA (dont il a été question plus haut),comme en fait foi le rapport annuel de cette entreprise pour l’année 2013, et qu’il siège au bureau des gouverneurs du Forum international des Amériquesqu’organise chaque année à Montréal l’Empire Desmarais.
Il s’agit donc bel et bien d’un défi à la position des États-Unis lancée par Total et ses actionnaires, dont le tandem Desmarais/Frère. La question qui se pose est de savoir quelle est la position de l’État français dans cette affaire, et elle se pose d’autant plus que Total, sans être une société d’État est une des plus grandes entreprises françaises et que l’État se trouve dans son capital, soit directement, soit par l’entremise d’une institution comme la Caisse des dépôts et consignations (CDC) ou l’une de ses filiales.
Jean Pierre Jouyet, secrétaire général de l’Élysée
De plus, le secrétaire général actuel de l’Élysée, Jean-Pierre Jouyet qui, s’il est un ami de longue date de François Hollande, était aussi le cousin par alliance de Christophe de Margerie, comme nous l’apprenait Le Figaro dans un article paru dans la foulée de l’accident/attentat de Moscou, dont voici un extrait très éclairant :
(suite en dessous:)
La galaxie politique de Christophe de Margerie
RépondreSupprimerAu plus haut niveau de l’État, l’ancien patron du groupe pétrolier était particulièrement proche de François Hollande. Beaucoup plus qu’il ne l’a jamais été de Nicolas Sarkozy. Christophe de Margerie fut notamment le témoin du mariage de sa cousine, Brigitte Taittinger, avec Jean-Pierre Jouyet, l’actuel secrétaire général de l’Élysée, au côté de l’actuel chef de l’État. Une proximité entre les deux hommes confirmée mardi par le ministre des Finances, Michel Sapin, qui a rappelé que François Hollande et lui-même le connaissaient dans leur « vie privée ». Jean-Pierre Jouyet, devenu de fait le cousin par alliance de Christophe de Margerie, a pour sa part qualifié la relation entre le grand patron et François Hollande de « très conviviale et amicale ».
Avant d’occuper ses fonctions actuelles, Jean-Pierre Jouyet a présidé aux destinées de la CDC et de l’Autorité des marchés financiers (AMF). C’est ainsi qu’il a fait connaissance avec le tandem Desmarais/Frère, comme nous le révèlent les dessous des nombreuses actions en justice entreprises en France et en Belgique par l’homme d’affaires français Jean-Marie Kuhn qui invoque des irrégularités dans la vente de la chaîne de restauration rapide Quick par Albert Frère à une filiale de la CDC qui aurait, sur ordre de l’État français, payé Quick largement au-dessus de sa valeur, versant 800 millions d’euros à M. Frère pour une entreprise évaluée en 2004 à quelque 300 millions d’euros.
Dans une requête au Conseil d’État, le plus haut tribunal français, introduite en août 2012 pour obtenir l’annulation de la nomination de Jean-Pierre Jouyet à la tête de la CDC, dont vous trouverez le texte complet sur Vigile, Jean-Marie Kuhn décrit le stratagème et explique les liens entre Jouyet et le tandem Desmarais/Frère avec un luxe de détails peu flatteur pour les intéressés. Le fait que cette requête ait été jugée irrecevable pour des motifs purement techniques n’enlève rien à l’intérêt des faits et à la lumière qu’ils se trouvent à jeter sur les agissements douteux, et c’est bien peu dire, de nos « élites » économiques et politiques, au Québec comme en France.
En faisant les recoupements nécessaires, des observateurs plus familiers que moi avec les arcanes de la politique française parviendraient certainement à établir un lien entre cette affaire et le fameux déjeuner récent entre Jean-Pierre Jouyet, François Fillon et Antoine Gosset-Grainville.
En effet, le parcours du dernier est très instructif. Voici en effet le résumé qu’en fait Wikipédia :
Antoine Gosset-Grainville
En 1993, à sa sortie de l’Ena, Antoine Gosset-Grainville débute sa carrière à l’Inspection générale des Finances, avant de prendre les fonctions de secrétaire général adjoint du Comité monétaire européen en 1997, puis du comité économique et financier de l’Union européenne à Bruxelles. En 1999, il rejoint le cabinet de Pascal Lamy, commissaire européen chargé du commerce, comme conseiller pour les affaires économiques, monétaires et industrielles.
(suite en dessous:)
Avocat aux barreaux de Paris et Bruxelles, il devient en 2002 associé au cabinet Gide Loyrette Nouel, dont il dirige le bureau de Bruxelles jusqu’en 2007.
RépondreSupprimerIl est de 1995 à 2007 coordonnateur de la direction d’études de questions européennes à l’IEP de Paris.
Antoine Gosset-Grainville est appelé comme directeur adjoint de cabinet auprès de François Fillon qui est nommé Premier ministre en mai 2007.
Il quitte Matignon en mars 2010 pour la Caisse des dépôts et consignations dont il devient directeur général adjoint, chargé du pilotage des finances, de la stratégie, des participations et de l’international (1er mai 2010).
À la suite de la décision de Nicolas Sarkozy de reporter la nomination du directeur général de la Caisse des dépôts après l’élection présidentielle de 2012, Antoine Gosset-Grainville a assuré la direction générale par intérim de l’institution du 8 mars au 18 juillet 2012, date de la nomination de Jean-Pierre Jouyet comme directeur général. À ce titre, il a assuré la présidence du conseil d’administration du Fonds stratégique d’investissement (FSI).
En mars 2013, il fonde le cabinet BDGS spécialisé dans les opérations transactionnelles M&A avec trois associés : Antoine Bonnasse, Youssef Djehane et Jean-Emmanuel Skovron.
Les trois hommes ont prétendu ne pas avoir parlé de politique lors de ce fameux déjeuner dont les échos sont même parvenus au Québec. On s’est gaussé d’eux. Mais si c’était vrai ? En examinant leur profil, on peut facilement comprendre qu’ils auraient tout aussi bien pu parler de l’évolution de certaines transactions auxquelles ils ont été associés. Et si c’est le cas, pourrait-il s’agir de transactions impliquant le tandem Desmarais/Frère ? Fillon et Gosset-Grainville n’ont-ils pas planché ensemble sur le dossier GDF-Suez en 2007 dans des négociations impliquant Albert Frère et Gérard Mestrallet ?
L’écheveau des intérêts publics et privés
Ce que cet embrouillamini démontre, c’est que l’État français, comme l’État québécois d’ailleurs, sert désormais de paravent commode à d’énormes magouilles concoctées par le tandem Desmarais/Frère, et qu’il n’y a plus moyen de déterminer la frontière entre les intérêts privés et les intérêts d’État. On en a eu un excellent exemple récemment lors de la visite du président Hollande au Canada. Il n’était rien d’autre que le commis-voyageur d’intérêts privés au premier rang desquels figurait très avantageusement ceux du tandem Desmarais-Frère, et c’est d’ailleurs de cette façon qu’il s’est comporté, au plus grand ravissement du gouvernement Harper.
La politique de la France ? Il n’en reste rien, comme le démontre l’incapacité de François Hollande à ordonner la livraison des Mistral à la Russie en exécution du contrat qu’elle a signé avec elle. Il est loin le temps où le Gal de Gaulle déclarait que « La politique de la France ne se décide pas à la corbeille » et retirait la France de l’OTAN.
(suite en dessous:)
Aujourd’hui, sous les pressions des États-Unis et avec la complicité complaisante de Nicolas Sarkozy et de ses élites, la France a réintégré l’OTAN et en est réduite à jouer les valets de service. Il ne lui reste plus la moindre marge de manoeuvre, et elle est en train de perdre à une vitesse ahurissante toutes les caractéristiques qui l’ont différenciée dans l’histoire, comme je m’en rends compte à chaque fois que j’ai l’occasion de m’y rendre. Tant il est vrai, comme le disait encore de Gaulle, que « La France ne peut être la France sans la grandeur. »
RépondreSupprimerDans cette affaire, les États-Unis ont envoyé à la France un message à la manière du « Parrain », et la France n’est même plus en mesure de les dénoncer ou de leur retourner un message de son cru. Pire, le message en fera certainement réfléchir plus d’un, et François Hollande est peut-être même du nombre.
Pour parvenir à leurs fins, les États-Unis doivent absolument se débarrasser non pas de la Russie dont ils convoitent les richesses naturelles, notamment le pétrole et le gaz, mais de Poutine qu’ils voient comme le principal obstacle à leur dessin. L’opération ukrainienne devait avoir cet effet, mais rien ne fonctionne pas comme prévu. Poutine, s’il en a profité pour récupérer la Crimée au passage pour des raisons autant historiques que stratégiques, évite soigneusement de s’engager plus loin, et laisse les ukrainiens de l’ouest et de l’est se déchirer entre eux. Quant aux sanctions commerciales, elles se sont retournées contre les pays européens,
Et à ce dernier égard, la situation va même empirer. Il faut comprendre que la baisse du rouble occasionnée par les sanctions actuelles et la baisse du cours du pétrole ne nuit pas à la Russie, bien au contraire. Elle la force tout d’abord à produire davantage chez elle pour éviter d’être trop pénalisée par ses importations, et elle la rend beaucoup plus concurrentielle à l’exportation. C’est le principe des dévaluations compétitives qui ont tant profité au développement de certaines économies européennes, et dont elles sont désormais privées par l’existence de l’euro.
Pour ajouter aux difficultés des États-Unis, l’Union Européenne, qu’ils espéraient modeler à leur image, fait eau de toutes parts et menace d’échapper à leur contrôle. L’opération ukrainienne visait donc également ressouder son unité devant la menace d’un ennemi commun, et elle aurait pu facilement réussir dans le contexte d’une économie florissante.
Mais dans un contexte de crise économique, chacun est tenté de tirer dans le sens de ses intérêts, comme le cas des bâtiments porte-hélicoptères Mistral commandés à la France par la Russie le démontre éloquemment. C’est pourquoi les États-Unis devaient frapper fort, sachant trop bien qu’ il est d’autant plus tentant de demeurer sourd à l’appel de l’unité qu’on risque de perdre beaucoup à y répondre.
Quant à Christophe de Margerie, il est mort d’avoir vécu dangereusement, comme Enrico Mattei. Mais si l’on sait que Mattei n’a jamais eu d’autre souci que de bien servir les intérêts de l’Italie, on est beaucoup moins certain que de Margerie ait été au seul service des intérêts de la France. On a même d’abondantes preuves du contraire. L’homme, ou l’époque ?
Richard Le Hir
http://www.vineyardsaker.fr/2014/12/01/affaire-de-margerie-3eme-partie-un-message-des-etats-unis-la-france-la-maniere-du-parrain/
Patrons révoltants: 10000 employeurs français prennent les rues pour protester contre les conditions de travail, les impôts
RépondreSupprimer01 Décembre, 2014 15:40
Les travailleurs, les enseignants et les médecins ne sont pas les seuls qui protestaient en France. Maintenant les patrons ont inondé les rues, ralliant contre les réglementations étouffantes des employés et l'augmentation des taxes sur l'emploi.
Les manifestations, organisées à Paris, Toulouse et Marseille, se sont réunis au moins 10 000 propriétaires d'entreprises petites et moyennes, les organisateurs ont dit les médias français. Police de Paris a minimisé les manifestations, cependant, affirmant qu'il n'y avait que 2 200 personnes défilent dans les rues de la capitale française.
Les patrons disent qu'ils protestent gouvernement "des politiques qui ont étranglé des entreprises pour les 30 dernières années."
Ils se battent sur toute une gamme de questions, y compris état de marche sévère, la semaine de travail à temps partiel de 24 heures minimum et de lourds impôts dont ils disent conduisent leurs entreprises dans le sol.
"Taxes, prélèvements, redevances:! Ça suffit" dit l'une des bannières portées par les manifestants.
"Chers ministres:! Travailler 70 heures par semaine pour les arachides - je peux fournir une formation pour que« lire un autre.
La foule scandait à Paris, «Nous sommes l'économie, nous sommes travail !" à l'extérieur du ministère des Finances.
A Toulouse, les manifestants tenaient des banderoles on pouvait lire: «Les impôts, prélèvements, taxes:! Assez c'est assez" et "! Six entreprises locales meurent chaque heure"
«Cette année, 70 000 entreprises ont fait faillite. Ce est 110 000 emplois passés," a déclaré Gérard Ramond, chef de la branche régionale de la CGPME, qui représente les patrons des petites et moyennes entreprises, a rapporté l'AFP.
Les patrons ont frappé les rues de France pour la première fois depuis 2000, lorsque la semaine de 35 heures a été introduite.
Trois groupes d'employeurs sont impliqués dans les manifestations qui devraient se poursuivre pendant toute la semaine sous la #liberonslentreprise hashtag ( libérer les entreprises ).
"Les chefs d'entreprise sont exaspérés tandis que leurs entreprises souffrent dans une situation économique très difficile," Jean-Eudes du Mesnil du Buisson, responsable de l'association CGPME des petites et moyennes entreprises, a dit la télévision France 24.
(suite en dessous:)
Le Mouvement des entreprises de France (Medef), le plus grand groupe des employeurs de la France, prend également en charge la démonstration.
RépondreSupprimer"Cette protestation doit souligner la gravité de la situation," a déclaré le Medef dans un communiqué. "Nous devons agir et convaincre les gens qu'il existe des solutions à stimuler la croissance et l'emploi."
Le troisième groupe impliqué dans le rallye est le syndicat des artisans de l'UPA, qui envisage de publier une lettre ouverte au président français François Hollande dans environ 60 journaux.
Le taux de chômage de la France a récemment atteint 5,5 pour cent. Hollande a promis de réduire les impôts sur les salaires si les entreprises prennent de nouveaux travailleurs. Cependant, aucun progrès n'a été fait jusqu'à présent.
Les notes de Hollande est tombé à un plus bas record en Septembre, avec seulement 13 pour cent des Français se déclarant satisfait de sa performance en tant que président et 86 pour cent indiquant qu'ils ne sont plus pris en charge Hollande, selon un sondage réalisé par l'Institut français d'opinion publique.
http://rt.com/news/210375-france-bosses-protest-taxes/
Agence américaine de protection de l'environnement (EPA) interdit de demander conseil à des scientifiques indépendants
RépondreSupprimerPar Stephen Luntz
Global Research, Novembre 24, 2014
Un projet de loi adopté par la Chambre des représentants américaine est conçu pour empêcher des scientifiques indépendants, qualifiés de conseiller l'Environmental Protection Agency (EPA). Ils seront remplacés par des choix de l'industrie affiliés, qui peuvent ou peuvent ne pas avoir l'expertise scientifique pertinente, mais dont les chèques de paie bénéficient de raconter à l'EPA ce que leurs employeurs veulent entendre.
L'EPA de Conseil consultatif scientifique (SAB) a été créé en 1978 pour assurer l'EPA utilise le plus à jour et la recherche scientifique pertinente pour sa prise de décision et que les programmes de l'EPA reflètent ce conseil. Il a servi dans ce rôle, le plus souvent sans controverse, par le biais de 36 ans et six présidents. Si le nouveau projet de loi passe l'approbation présidentielle Sénat et victoires, cependant, ce est sur le point de changer.
Il est difficile d'être contre "l'équilibre", ce qui a sans doute contribué Rep Chris Stewart (R-Utah) recueillir 229-191 soutien à son projet de loi HR 1422 de réformer la façon dont les nominations à la SAB sont faites. Sur les 51 membres du CCS, trois proviennent des industries de l'EPA est la régulation. Stewart veut plus, en disant: "Tout ce que nous demandons, ce est qu'il y ait un certain équilibre à ces experts ... Nous perdons expérience et des conseils précieux, car nous ne les incluons pas dans le processus."
Cependant, une enquête plus approfondie suggère l'ordre du jour implique plus que d'obtenir la contribution d'un large éventail de milieux. Pour une chose, le vote était en grande partie sur les lignes de parti avec quatre démocrates soutien et une courageuse opposition républicaine . En outre, Stewart n'a pas beaucoup d'un record pour l'écoute à une véritable expertise scientifique, compte tenu de 98% des évaluations pertinentes des scientifiques qualifiés .
(suite en dessous:)
En outre, Stewart a clairement fait savoir qu'il ne croit pas l'APE devrait exister, appelant à sa mise au rebut parce qu'il "contrarie le développement de l'énergie". Obtenue à la hache corps qui assure l'eau est potable et de l'air ne est pas vous tuer est politiquement difficile, mais nobbling est plus facile.
RépondreSupprimerLa législation a été à l'étude depuis 2013. Lors d'une audience au début du projet de loi Dr Francesca Grifo, précédemment directeur du Centre pour la biodiversité et la conservation du Musée américain d'histoire naturelle a témoigné , «Conflits d'intérêts menacent l'intégrité de la science. Plus précisément, l'objectivité des membres d'un comité consultatif et la confiance du public dans l'avis rendu par ce comité sont endommagés quand un membre d'un comité consultatif a un intérêt secondaire qui crée un risque d'influence indue sur les décisions ou mesures touchant les questions en devant le comité ".
Le projet de loi empêcherait les scientifiques de voter sur la dissémination dans l'environnement d'un produit chimique par leurs employeurs. Néanmoins, ils seraient autorisés à voter pour libérer un produit chimique presque identique, notes Grifo, y compris certains qui créerait un précédent qui serait très utile à la société dans les décisions futures.
Plus insidieusement, les chercheurs sont interdits en vertu de l'acte de conseiller sur tout sujet qui pourrait "impliquer directement ou indirectement examen et l'évaluation de leur propre travail". En d'autres termes, les seules personnes interdites de conseiller l'EPA sur un produit chimique particulier, sont ceux qui ont effectivement étudié sa toxicité ou l'effet sur l'environnement.
http://www.globalresearch.ca/us-environmental-protection-agency-epa-barred-from-getting-advice-from-independent-scientists/5415902
L'Inde met fin aux restrictions sur les importations d'or
RépondreSupprimer1 Décembre 2014
Par AWP
L'Inde a décidé de mettre fin aux restrictions sur l'importation d'or mises en place l'année dernière, a indiqué samedi la banque centrale indienne.
Reuters
L'Inde, deuxième acheteur mondial d'or après la Chine, avait imposé des restrictions sur l'importation du métal précieux l'année dernière afin de restreindre son déficit commercial.
Reuters
L'Inde, deuxième acheteur mondial d'or après la Chine, avait imposé des restrictions sur l'importation du métal précieux l'année dernière afin de restreindre son déficit commercial.
L'Inde a décidé de mettre fin aux restrictions sur l'importation d'or mises en place l'année dernière, a indiqué samedi la banque centrale indienne.
L'Inde, deuxième acheteur mondial d'or après la Chine, avait imposé des restrictions sur l'importation du métal précieux l'année dernière afin de restreindre son déficit commercial.
"Les restrictions sur l'importation d'or sont levées avec effet immédiat", a indiqué la banque centrale indienne dans un communiqué publié samedi sur son site internet.
La règle sur les restrictions de l'importation d'or, appelée 80/20 stipulait que 20% du métal précieux importé devait être réexporté avant toute nouvelle importation.
Les bijoutiers indiens utilisent une partie de l'or importé dans le pays pour fabriquer des bijoux destinés à l'exportation.
Le métal précieux est taxé à 10% à l'importation dans le pays qui importe environ 90 de ses besoins en métal précieux. Les 1,2 milliard d'habitants de l'Inde utilisent l'or comme épargne.
Selon le Conseil mondial de l'or, la demande indienne de métal précieux s'est accrue de près de 60% pour atteindre 182,9 tonnes au troisième trimestre.
La demande d'or connait traditionnellement un pic dans le pays d'août à novembre, pendant la saison des mariages et le festival hindou de Dhanteras, considérés comme des périodes auspicieuses pour acheter le métal précieux ou l'offrir en cadeau.
http://www.bilan.ch/economie/linde-met-fin-aux-restrictions-importations-dor
Le cours de l'or chute après la votation de dimanche
RépondreSupprimer1 Décembre 2014
Par AWP
Le cours de l'or a chuté de plus de 2% lundi, au lendemain du rejet massif par le peuple helvétique de l'initiative sur l'or de la Banque nationale (BNS). Il n'avait pas été aussi bas depuis trois semaines.
Keystone
L'initiative sur l'or voulait laisser à la BNS un délai de cinq ans pour augmenter sa part d'or de 7,5 à 20% et rapatrier les 30% de son stock actuel entreposés dans les banques centrales anglaise et canadienne.
Keystone
L'initiative sur l'or voulait laisser à la BNS un délai de cinq ans pour augmenter sa part d'or de 7,5 à 20% et rapatrier les 30% de son stock actuel entreposés dans les banques centrales anglaise et canadienne.
Votation
Le cours de l'or a chuté de plus de 2% lundi, au lendemain du rejet massif par le peuple helvétique de l'initiative sur l'or de la Banque nationale (BNS). Il n'avait pas été aussi bas depuis trois semaines. Par ailleurs, le franc suisse a lâché du lest par rapport à l'euro.
Une once d'or valait encore lundi matin 1142,90 dollars sur les marchés asiatiques, selon Reuters. Il s'agit de la valeur la plus basse enregistrée en plus de trois semaines.
Le franc s'est pour sa part à nouveau éloigné de son taux plancher de 1,20 franc pour un euro, que protège coûte que coûte la BNS. Tôt lundi matin, le cours atteignait 1,2042, alors qu'à la fin de la semaine passée, il était de 1,2018 franc.
L'initiative sur l'or voulait laisser à la BNS un délai de cinq ans pour augmenter sa part d'or de 7,5 à 20% et rapatrier les 30% de son stock actuel entreposés dans les banques centrales anglaise et canadienne. La BNS dispose à ce jour de 1040 tonnes d'or. Les initiants estimaient que ces mesures étaient indispensables pour garantir la stabilité du franc suisse.
http://www.bilan.ch/economie/cours-de-lor-chute-apres-votation-de-dimanche
Saoudiens courent le risque de jouer avec le feu dans le schiste prix épreuve de force que les écrasements brut
RépondreSupprimerUn profond marasme des prix pourrait accroître la tourmente géostratégique au Moyen-Orient
Par Ambrose Evans-Pritchard
16h49 GMT le 30 novembre 2014
L'Arabie saoudite et les principaux États de l'OPEP prennent un immense pari politique en laissant les prix du pétrole brut chute à 66 dollars le baril, si leur but est de secouer les plus faibles producteurs de schiste aux États-Unis. Un profond marasme des prix pourrait aussi accroître la tourmente géostratégique à travers le Moyen-Orient élargi et de boomerang contre les pétro-émirats du Golfe avant qu'il inflige un coup de knock-out sur les rivaux américains.
Chef califat d'Abu Bakr al-Baghdadi a déjà ouvert un «second front» en Afrique du Nord, visant l'Algérie et la Libye - deux Etats qui vivent de l'exportation d'énergie - ainsi que l'Egypte et le Sahel autant que le nord du Nigeria. "La résilience de schiste américain peut s'avérer supérieure à la résilience de l'Opep", a déclaré Alistair Newton, chef de risque politique chez Nomura.
Chris Skrebowski, ancien rédacteur en chef de la Petroleum Review, a déclaré que les Saoudiens veulent réduire le taux de croissance annuel de la production de schiste américain de 1m de barils par jour (bpj) à 500 000 bpj pour amener le marché proche de l'équilibre. "Ils veulent énerver le modèle de l'huile de schiste et minent la confiance financière, mais ils ne seront pas arrêter la croissance tout à fait," a t-il dit.
Il ne est pas question que les USA ont complètement changé le paysage mondial de l'énergie et pose une menace existentielle pour l'OPEP. Amérique a réduit ses importations de pétrole net de 8,7 millions de barils par jour depuis 2006, égal aux exportations de pétrole combinés de l'Arabie saoudite et le Nigeria.
Le pays a enregistré un déficit commercial de $ 354bn dans de l'huile et du gaz aussi récemment qu'en 2011. Citigroup a dit que ce sera de retour à l'équilibre d'ici 2018, l'un des revirements les plus extraordinaires de l'histoire économique moderne.
«Quand il se agit de brut et d'autres hydrocarbures, aux États-Unis est pleine à craquer", a déclaré Edward Morse, chef produits de Citigroup. "Cette situation est peu probable de se arrêter, même si les prix pratiqués pour l'automne de l'huile de manière significative. Les États-Unis devrait devenir un exportateur net de produits pétroliers et de pétrole brut combinés d'ici 2019, si ce n'est 2018. "
Opep a mal jugé la menace. Pas plus tard que l'année dernière, il rejetait US schiste comme un feu de paille. Abdalla El-Badri, secrétaire général du groupe, insiste encore que la moitié de toute la production de schiste américain est vulnérable ci-dessous $ 85.
(suite en dessous:)
C'est la bravade. Les producteurs américains ont enfermé dans des prix plus élevés à travers des contrats de produits dérivés. Noble Energy et Devon Energy ont tous deux couvert plus des trois quarts de leur production pour 2015.
RépondreSupprimerPioneer Ressources naturelles a dit qu'il a des options par le biais de 2016 couvrant les deux tiers de sa production probable. "Nous pouvons produire jusqu'à 50 dollars le baril", a déclaré Harold Hamm, de Ressources Continental. L'Agence internationale de l'énergie dit que la plupart de vaste champ Bakken du Dakota du Nord "reste rentable égal ou inférieur à $ 42 le baril. Le prix d'équilibre dans le comté de McKenzie, le comté le plus productif dans l'état, est de seulement 28 $ le baril. "
Efficacité se améliore et foreurs se tournent vers des taches à moindre coût, en affrontant l'OPEP avec une cible mouvante. "Le (prix) plancher est en baisse et ne peut pas être presque aussi ferme que la vue Arabie suppose," dit Citigroup.
M. Morse affirme que le coût "du cycle complet" pour la production de schiste est de 70 $ à 80 $, mais cela inclut les accaparements de terres d'origine et de l'infrastructure. "Le capex reste nécessaire pour porter sur un puits supplémentaire est beaucoup plus faible, et pourrait être aussi faible que la haute gamme 30s $," a t-il dit.
Les critiques de schiste américain pourraient avoir mal compris son économie. Il y a un déclin rapide de la production de nouveaux puits, mais cela est compensé par une «phase de long-queue" pour un nombre croissant de puits existants. Le champ Bakken a déjà atteint 1,1 million de barils par jour, et cela devrait encore doubler au cours des cinq prochaines années.
Autres projets pétroliers du monde entier peuvent être plus vulnérables à un resserrement des prix, y compris la mer du Nord, les entreprises en eaux très profondes dans l'Atlantique au large du Brésil et de l'Angola, les sables bitumineux canadiens, ou les plans controversés de la Russie pour l'Arctique dans le «Grand Nord». Mais le mal sera progressif.
Dans l'intervalle, l'huile ci-dessous $ 70 joue déjà des ravages avec des budgets à travers le pétro-nexus mondial. Le coût budgétaire de rentabilité est de 161 $ pour le Venezuela, $ 160 pour le Yémen, $ 132 pour l'Algérie, $ 131 pour l'Iran, $ 126 pour le Nigeria, et 125 $ pour Bahreïn, $ 111 pour l'Irak, et 105 $ pour la Russie, et même 98 $ pour l'Arabie saoudite elle-même, selon Citigroup.
Opep peut ne pas être inquiet au sujet des pays tels que le Nigeria, mais même là, une crise économique et politique à part entière pourrait tourner le nord dans un bastion jihadiste sous Boko Haram.
Les mouvements djihadistes croissance dans le Maghreb - combinant avec les événements en Syrie et en Irak - posent clairement une menace de sécurité de premier ordre pour le régime saoudien lui-même.
(suite en dessous:)
La ville libyenne de Derna est déjà dans les mains du groupe salafiste Ansar al-charia et a fait allégeance à l'Etat islamique. Mouvements terroristes dans le Sinaï égyptien ont également rallié le drapeau noir et blanc de l'IS, ce qui incite le chef de file de l'Egypte Abdel al-Sisi appeler la semaine dernière pour une "mobilisation générale" de tous les grandes puissances arabes et occidentaux pour vaincre le mouvement d'écartement.
RépondreSupprimerLa nouvelle inquiétude est l'Algérie que le régime Bouteflika va dans ses angoisses finales. "Ils ont un problème de terrorisme enraciné que nous avons vu dans la saisie de la raffinerie de gaz Amenas de l'année dernière. Ces personnes se alignent avec l'État islamique dans le cadre de la franchise ", a déclaré M. Newton.
L'Algérie exporte 1,5 million de barils par jour de produits pétroliers. Ses exportations de gaz sont plus importants, mais le prix du gaz naturel liquéfié livré à l'Europe est indirectement lié à l'huile au fil du temps.
C'est une question ouverte ce qui se passera à l'Algérie, l'Irak et la Libye, si les prix du pétrole planent à la moitié des coûts budgétaires de rentabilité pour un an ou deux, étant donné l'extrême fragilité de la région et le risque politique de réduction des subventions.
La tornade sunnite salafiste qui balaie le Moyen-Orient - si étrangement comme l'expansion fulgurante de l'Islam au milieu du 7ème siècle - se déplace à ses propres rythmes intérieurs. Ce ne est pas une simple fonction de bien-être économique, laissez prix du pétrole seul.
Pourtant, au pouvoir de la dynastie des tests le sort de l'Arabie saoudite se il fait le pari que l'ordre politique l'effilochage du Moyen-Orient peut résister à un choc économique régionale pour deux autres années.
http://www.telegraph.co.uk/finance/oilprices/11263851/Saudis-risk-playing-with-fire-in-shale-price-showdown-as-crude-crashes.html
La guerre du pétrole et ses conséquences
RépondreSupprimer1 décembre 2014
The French Saker
Cette guerre du pétrole, opposant pays producteurs entre eux, et plus largement pays producteurs et pays consommateurs, a toujours existé. Les producteurs se battent pour vendre le plus cher possible ou plus exactement pour faire les plus grands profits possibles, en adaptant les quantités produites à la demande. Les pays consommateurs s’efforcent de dépenser le moins possible, là encore en adaptant les quantités achetées à l’offre.
- voir graphique sur site -
Le marché est de type libéral-oligopolistique. Ça veut dire que nulle autorité mondiale ne fixe les cours, mais que les décisions de grands groupes de producteurs, organisés pour mettre en œuvre une politique commune au sein du groupe, peuvent influencer les cours à la hausse ou à la baisse.
Aujourd’hui, l’OPEP (Organisation des pays producteurs de pétrole) est le plus organisé de ces oligopoles. L’OPEP regroupe un grand nombre de producteurs [1], mais en fait seuls les plus importants jouent un rôle dans ses décisions, sous l’autorité de fait de l’Arabie saoudite. L’OPEP ne représente au demeurant qu’un tiers de la production mondiale. Deux autres grands producteurs de pétrole (pétrole et gaz) sont apparus depuis quelques années sur le marché : la Russie pour environ 15 % et les États-Unis pour 12 %, avec les gaz et pétroles de schistes (chiffres approximatifs). Ils prennent librement leurs décisions, en principe sans s’accorder avec l’OPEP. Tous les autres producteurs, trop petits pour influencer sensiblement le marché, ne font que s’adapter.
Le cours du pétrole s’effrondre…
Depuis quelques mois, le cours du pétrole n’a cessé de baisser, comme le montre le graphique ci-dessus. On attribue généralement cette baisse au ralentissement de l’économie mondiale, y compris chez les pays gros consommateurs comme la Chine. Elle est considérée aussi comme résultant de l’apparition des États-Unis sur le marché, devenus auto-suffisants et marginalement exportateurs, grâce aux gaz et pétroles de schistes. Par ailleurs, les spéculateurs doivent admettre que l’offre potentielle sera de plus en plus importante dans les prochaines années, compte-tenu de la découverte de réserves exploitables dans de nombreux pays non encore exportateurs.
(suite en dessous:)
RépondreSupprimer… ce qui, a priori, pénalise les producteurs…
Logiquement, les producteurs devraient s’entendre, comme ils le faisaient jusqu’alors, pour diminuer la production et faire remonter les cours. Mais diminuer la production, dans un premier temps, diminue les revenus des producteurs. Ils devraient donc s’entendre à eux-tous pour se répartir les pertes. Une telle entente, qui est en soi très difficile, est aujourd’hui rendue impossible par les désaccords politiques entre pays producteurs. Disons en simplifiant que les pays de l’OPEP chercheraient apparemment à mettre en difficulté les producteurs concurrents d’Amérique du Nord, dont les coûts de production sont difficilement compressibles. La baisse des cours les pénalise aussi, mais ils disposent de réserves de change en quantité suffisamment importante pour pouvoir supporter quelque temps le manque à gagner.
A l’opposé, la Russie, rejointe par le Venezuela, voudrait provoquer une réduction de la production suffisamment rapide et importante, pour faire remonter les cours. Une telle hausse est indispensable à leur équilibre économique.
Les États-Unis, qui pourraient peser sur l’orientation du marché, ne le font pas pour le moment. Certes, la baisse des cours pénalise leurs producteurs, mais elle a pour eux le grand avantage de pénaliser encore davantage la Russie, contre laquelle ils ont engagé depuis quelques mois ce que l’on nomme une deuxième Guerre froide. Ils n’envisagent donc pas de rejoindre une coalition de pays cherchant à réduire la production globale afin d’améliorer à terme les revenus des pays exportateurs.
… et réjouit les pays consommateurs…
Du côté des pays consommateurs, la baisse des cours est généralement bien accueillie. Elle diminue le coût des carburants fossiles. Elle permet ainsi de relancer, ne fut-ce que marginalement, la production, et donc ce que l’on nomme la croissance. Certaines industries, comme l’automobile, en profiteront nécessairement. Les consommateurs individuels de pétrole et de gaz s’en réjouissent également. Mais les économistes et les climatologues, qui cherchent à voir un peu plus loin que les aléas de la conjoncture économique, considèrent cette baisse comme une véritable catastrophe, d’autant plus catastrophique si elle se prolongeait sur plusieurs années.
… mais plombe l’industrie des énergies de substitution
Il est évident que les efforts tentés, non sans difficultés et obstacles, pour réduire les consommations d’énergie et mettre en place des sources de substitution dite vertes (incluant le nucléaire), se trouvent découragés, sinon rendus impossibles. Le bilan industriel sera donc lourd. En économie libérale de marché, des pans entiers d’industries émergentes seront mis en difficulté, voire conduits à disparaître. Les États, dépourvus dorénavant de moyens d’intervention, ne pourront pas protéger les secteurs et activités d’avenir destinés à diminuer leur dépendance au pétrole.
(suite en dessous:)
Inutile d’ajouter que les politiques visant à diminuer la production des gaz à effets de serre seront compromises, sinon découragées. Or, en ce domaine, comme l’ont montré les climatologues, tout retard pris ne se rattrape pas. Ce serait dès maintenant, et non dans l’attente d’une hypothétique remontée des prix du pétrole, qu’il faudrait agir. L’humanité se rapproche de plus en plus du point de non-retour (tipping point), au-delà duquel des dégâts sur l’environnement comme sur les espèces vivantes se développeront sur un mode exponentiel.
RépondreSupprimerLes pays européens non producteurs d’énergie en souffriront nécessairement bien plus que les pays producteurs de pétrole. Dans la compétition mondiale, ces derniers n’y verront que des avantages à court terme. Avec ses ambitions de réduire la consommation d’énergie, l’Europe représente pour eux une ennemie à abattre. Quant aux pays sous-développés, leur sort, dans cette guerre du pétrole, n’intéressera personne…
Un consensus s’avère hors de portée
Peut-on espérer que, face à l’imminence du danger environnemental, producteurs et consommateurs de pétrole s’entendront pour diminuer progressivement la production d’énergies fossiles et reconvertir leurs ressources de trésorerie dans de nouveaux investissements favorables aux économies d’énergie et aux énergies de remplacement. Ce serait évidemment l’idéal, mais une telle entente ne pourrait provenir que d’un consensus mondial, par exemple dans le cadre de l’ONU, pour adopter en commun de telles politiques.
Or de récentes études tendent à montrer que, même face à un péril imminent, des pays et intérêts en compétition refuseront de s’entendre. Chacun exploitera jusqu’au bout le créneau dont il profite, préférant affronter le désastre final, autrement dit un suicide collectif, plutôt que négocier avec des concurrents-adversaires des accords permettant d’atteindre le salut commun.
Si l’anthropologie confirmait ces hypothèses, ainsi pourrait s’expliquer un paradoxe depuis longtemps constaté et regretté :
Pourquoi les humains, si performants dans la gestion du court terme, sont-ils incapables de se projeter dans le long terme, afin d’anticiper les risques et prendre immédiatement des mesures préventives ?
On attribue généralement ce trait à l’incapacité du cerveau humain de se représenter suffisamment clairement des hypothèses concernant l’avenir.
Mais, pour le chercheur Pedro Sekeris, la réponse est beaucoup plus inquiétante. Elle tient au fait que le mécanisme génétique et culturel de la compétition darwinienne, ayant permis l’apparition des sociétés modernes, ne pourra être débranché que par… la catastrophe finale. Le dernier des survivants, avant de disparaître lui-même, se glorifiera d’avoir éliminé tous ses rivaux [2].
Jean-Paul Baquiast
Notes
[1] Pays membres de l’OPEP : l’Arabie saoudite, l’Iran, l’Irak, le Koweït le Venezuela, le Qatar, les Emirats Arabes Unis, l’Algérie, le Nigeria, l’Equateur, l’Angola. Son siège est à Vienne. Les transactions se font en dollar, et dépendent donc en partie de son cours. Si dans le cadre du BRICS, ces transactions s’accomplissaient dans une autre monnaie choisie d’un commun accord, le marché mondial du pétrole pourrait se trouver modifié, mais d’une façon marginale.
[2] The tragedy of the commons in a violent world, Pedro Sekeris, The Rand Journal of Economics (onlinelibrary.wiley.com, anglais, 25-07-2014)
http://www.vineyardsaker.fr/2014/12/01/la-guerre-du-petrole-et-ses-consequences/
Quand un pays a du pétrole à fleur de sable et sachant que cet or noir est abiotique, ce n'est pas 'à court terme' qu'il faut regarder les chose mais beaucoup plus loin. Pensez-vous au pétrole à 50$ dans 6 mois ? dans 1 an ? dans 2 ans ? 'Les autres', ils vont tenir combien de temps ?
SupprimerLes tensions entre les Etats-Unis et la Russie sont pires que vous réalisez – ministre des affaires étrangères Sergueï Lavrov
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 01/12/2014 22:30-0500
Soumis par Mike Krieger via blog Liberty Blitzkrieg,
"Je suis jeune, j'ai vingt ans ; pourtant je ne sais rien de la vie, mais le désespoir, la mort, peur et superficialité niaise, jeté sur un abîme de tristesse. Je vois comment les peuples sont mis contre l'autre et en silence, sans le savoir, bêtement, docilement, innocemment tuer un l'autre. »
-Erich Maria Remarque, tous les Quiet on the Western Front
Malgré un intérêt géopolitique, je n'ai vraiment rien écrit sur la concernant et aggravation de la tension entre le gouvernement des États-Unis d'Amérique et le gouvernement de la Russie. J'ai écrit intentionnellement le gouvernement deux fois afin de mettre l'accent sur le fait que 99,9 % des américains n'ont pas de griefs réels avec des personnes réelles russes et vice versa. Il s'agit d'un conflit de haut niveau entre puissants « dirigeants » un jeu de risque avec le citoyen moyen comme des pions. C'est comment il a toujours été. Comme des êtres humains, nous ne perdions jamais vue de cette sorte les erreurs que nous faisons à l'avenir ne sont pas presque aussi tragiques que celles faites par nos ancêtres.
Une chose déconcertante, que j'ai remarqué parmi certaines personnes « liberté d'esprit » je suivre, est une tendance instinctive à choisir un côté dans cette affaire. Quand il s'agit de puissants hommes exécutant des États-nations centralisés dotés d'armes nucléaires, il n'y a aucune églises garçons impliqués. J'ai remarqué une volonté de défendre la Russie à chaque étape de la voie dans ce qui semble être un réflexe émotionnel naïf naisse justifiable dégoûté par ce qu'ils voient qui se passe dans leurs pays d'accueil (les États-Unis et le Royaume-Uni en particulier).
Ce comportement m'a toujours fait mal à l'aise et me rappelle beaucoup de comment les gens se fâcher avec un seul parti politique faux et puis votent pour l'autre gars tout simplement parce qu'ils ne sont pas un démocrate ou un républicain. Le meilleur choix est d'accepter qu'ils sont à la fois inutile et pas vigoureusement défendent l'autre partie. Je prends le même tact quand il s'agit de batailles entre États-nations. Je suis dégoûté et horrifié de ce qui se passe dans ces États-Unis, ne veut pas dire que je dois servilement défendre la Russie, Vladimir Putin ou choisir des côtés dans un conflit dans lequel les principaux perdants seront toujours civils impuissants.
Je n'ai jamais été en Russie, donc mon avis du pays est essentiellement sans valeur. Néanmoins, d'après ce que j'ai lu et observé, j'ai eu encore beaucoup préfère vivre aux Etats-Unis que la Russie malgré tout de défaillances et de décomposition de notre société au cours des dernières décennies. Bien que ce point de vue pourrait certainement changer dans le temps et les événements se déroulent, qu'est ce que je ressens fortement en ce moment. Poutine est de toute évidence un dirigeant autoritaire de culte qui veut interdire le Bitcoin, journalisme peut être une affaire meurtrièreet oligarques continuent de courir librement (tant que vous êtes amis avec Poutine). Rappeler mon récent billet : American part de richesse de la classe moyenne supérieure est pire que chaque pays en outre la Russie et l'Indonésie. Oui, "outre la Russie et l'Indonésie." La Russie n'est pas utopie économique.
(suite en dessous:)
Néanmoins, cette pièce n'est pas censée être un débat stérile sur lequel trop centralisé, archaïque et corrompu Etat-nation est meilleur que l'autre. Ni lieu a une structure politique ou économique qui vient même près de fournir un environnement fertile dans lequel l'existence humaine peut atteindre son plein potentiel. Au contraire, les deux États-nations sont contrôlés par un petit groupe d'ambitieux, autoritaire et, lorsque nécessaire, impitoyables et violents les hommes et les femmes. Cela dit, il y a deux raisons je pense que les remarques suivantes par le ministre des affaires étrangères russe Sergueï Lavrov sont si importants.
RépondreSupprimerTout d'abord, comme quelqu'un qui passe une grande partie de son temps à analyser et à critiquer les décisions de politique destructrice nombreuses faites par l'Amérique « dirigeants, » j'ai été choqué de constater le degré de précision de sa description de l'état d'esprit de la structure de la puissance américaine semble être. Il l'obtient, et il est plus ou moins essayant d'avertir le monde que les dirigeants de l'Amérique sont fondamentalement pouvoir ivre enfants. Je suis d'accord.
Deuxièmement, Lavrov décrit également l'impact négatif que ce comportement a eu sur la psyché russe en général. Il exprime la consternation que le statu quo d'US voit dans le monde unipolaire, et tente de s'attaquer à tous les problèmes du point de vue que la puissance est bonne. Sans ambages, Lavrov, il est clair que la Russie ne pourra pas se présenter pour cela. Je ne pense pas que les russes sont bluffant, donc c'est une situation très dangereuse.
S'il y avait effectivement une personne dans le département d'Etat américain capable de cette réflexion introspective et claire, nous pourrions effectivement diffuser cette situation. Ne retenez pas votre souffle.
Voici quelques extraits de l'allocution de M. Lavrov à l'Assemblée de XXII du Conseil sur les affaires étrangères et la politique de défense à Moscou le 22 novembre 2014. Vous trouverez tout cela ici, que je suggère fortement la lecture dans son intégralité.
Je suis heureux d'être à cette Assemblée annuelle du Conseil sur les affaires étrangères et la politique de défense (acronyme russe SVOP). C'est toujours un grand plaisir pour moi de rencontrer des gens et de sentir le potentiel intellectuel, ce qui permet au Conseil, ses dirigeants et ses représentants pour répondre aux événements mondiaux et de les analyser. Leur analyse est toujours libre de toute hystérie et ses membres offrent bien mise à la terre et des arguments solides, un pas en arrière, car ceux qui sont pris au milieu d'événements peuvent difficilement adopter un point de vue impartial. Nous sommes inévitablement influencés par l'évolution de la situation, qui rend vos observations, les analyse, les discours et les suggestions encore plus précieux pour nous.
(suite en dessous:)
Naturellement, je vais commencer avec l'Ukraine. Bien avant que le pays était plongé dans la crise, il y avait un sentiment dans l'air que les relations de la Russie avec l'UE et avec l'Occident sont apprêtaient à rejoindre leur moment de vérité. Il était clair que nous ne puissions n'est plus continuer à mettre des questions dans nos relations en veilleuse et qu'un choix doit être fait entre un véritable partenariat, ou, comme dit le proverbe va, « breaking pots. » Il va sans dire que la Russie opté pour l'alternative de l'ancien, alors que malheureusement nos partenaires occidentaux s'installent pour ces derniers, consciemment ou non. En fait, ils sont allés tous dehors en Ukraine et soutenu les extrémistes, donnant ainsi leurs propres principes de changement de régime démocratique. Ce qui est sorti il tentait de jouer le poulet avec la Russie, pour voir qui clignote tout d'abord. Comme tyrans disent, ils voulaient la Russie à « poulet » (je ne trouve pas un meilleur mot pour elle), de nous forcer à avaler l'humiliation des russes et des locuteurs natifs de russe en Ukraine.
RépondreSupprimerHonorable Leslie Gelb, que vous connaissez tous trop bien, a écrit qu'accord de l'Ukraine d'Association avec l'UE n'avait rien à voir avec l'inviter l'Ukraine à rejoindre l'UE et avait pour but à court terme empêche de se joindre à l'Union douanière. C'est ce que dit une personne impartiale et objective. Lorsqu'ils ont délibérément décidé de s'engager dans la voie d'escalade en Ukraine, ils oublié beaucoup de choses et avaient une compréhension claire de comment se déplace irait en Russie. Ils ont oublié les conseils de, dire, Otto von Bismarck, qui avait dit que dénigrer le peuple russe des millions de personnes serait la plus grosse erreur politique.
Le Président Vladimir Poutine a dit l'autre jour que personne dans l'histoire n'a encore réussi à subjuguer la Russie à son influence. Ce n'est pas une évaluation, mais une constatation de fait. Encore pareille tentative a été faite pour étancher la soif d'expansion de l'espace géopolitique sous contrôle occidental, par peur de perdre le butin de ce qu'ils outre-Atlantique se persuade mercantile fut la victoire dans la guerre froide.
Le plus de la situation actuelle est que tout a cliqué en place et le calcul derrière les actions de l'Occident s'est révélé malgré profès prêt à construire une communauté de sécurité, un européen commun d'accueil. Pour citer (chanteur/compositeur de chansons) Bulat Okudzhava, « le passé devient plus clair et plus claire. " La clarté devient plus tangible. Aujourd'hui notre tâche n'est pas seulement à démêler le passé (même si cela doit être fait), mais surtout, de réfléchir à l'avenir.
(suite en dessous:)
Parle d'isolement de la Russie ne mérite pas de discussion sérieuse. J'ai besoin peine insister sur ce devant cet auditoire. Bien sûr, on peut endommager notre économie et dommage est fait, mais seulement de faire mal à ceux qui prennent des mesures correspondantes et, tout aussi important, détruire le système des relations économiques internationales, les principes sur lesquels elle repose. Autrefois, quand les sanctions ont été appliquées (j'ai travaillé à la mission russe auprès des Nations Unies à l'époque) nos partenaires occidentaux, lorsqu'il est question de la Corée du Nord, l'Iran ou autres Etats, a déclaré qu'il était nécessaire de formuler les restrictions de manière à maintenir dans les limites humanitaires et ne pas de causer un dommage à la sphère sociale et l'économie et pour sélectivement cibler uniquement l'élite. Aujourd'hui tout est l'inverse : les dirigeants occidentaux sont déclarant publiquement que les sanctions doivent détruire l'économie et la détente des protestations populaires. Ainsi, en ce qui concerne l'approche conceptuelle à l'usage des mesures coercitives l'Ouest démontre sans équivoque qu'il ne cherche pas simplement à changer la politique russe (qui en soi est illusoire), mais il cherche à changer le régime — et pratiquement personne ne nie cela.
RépondreSupprimer, Nous entendons le mantra répété tous les jours que Washington est conscient de son exclusivité et son devoir de porter ce fardeau, pour convaincre le reste du monde. Rudyard Kipling a parlé de « le blanc fardeau de l'homme. » J'espère que ce n'est pas ce qui pousse les américains. Le monde aujourd'hui n'est pas blanc ou noir, mais multicolores et hétérogènes. Leadership dans ce monde peut être assurée non par convaincre soi-même d'un ' l'exclusivisme et Dieu-donné le devoir d'être responsable de tout le monde, mais seulement par la capacité et de l'artisanat dans la formation d'un consensus. Si les partenaires américains commis leur pouvoir atteindre cet objectif, ce serait inestimable, et la Russie devrait être activement pour les aider.
Cependant, jusqu'ici, les ressources administratives US fonctionnent toujours que dans le cadre de l'OTAN, puis avec des réserves substantielles, et son bref n'atteint pas au-delà de l'Alliance Atlantique. Une preuve en est les résultats nous tente d'établir la communauté mondiale à suivre sa ligne dans le cadre des sanctions contre la Russie et des principes. J'ai parlé à ce sujet plus d'une fois et nous avons de nombreuses preuves du fait qu'ambassadeurs américains et envoyés à travers le monde cherchent des réunions au plus haut niveau pour faire valoir que les pays correspondants sont obligés de punir la Russie avec eux ou bien de faire face aux conséquences. Ceci est fait en ce qui concerne tous les pays, y compris nos plus proches alliés (cela en dit long sur le genre d'analystes qu'a Washington).Une écrasante majorité des États avec lesquels nous avons un dialogue continu sans aucune restriction et l'isolement, comme vous le voyez, le rôle indépendant de la Russie de valeur sur la scène internationale. Non pas parce qu'ils l'aiment quand quelqu'un défie les américains, mais parce qu'ils se rendent compte que l'ordre mondial ne sera pas stable si personne n'est autorisé à exprimer son opinion (bien que privé, l'écrasante majorité expriment leur opinion, mais ils ne veulent pas faire publiquement par crainte de représailles de Washington).
(suite en dessous:)
Beaucoup d'analystes raisonnable comprend qu'il y a un fossé entre les ambitions mondiales de l'Administration américaine et du réel potentiel du pays. Le monde change et, comme c'est toujours arrivé dans l'histoire, à un certain moment influence et le pouvoir de quelqu'un atteignent leur crête et puis quelqu'un commence à se développer encore plus rapidement et plus efficacement. On devrait étudier l'histoire et aller de l'avant des réalités. Les sept économies en développement dirigés par les BRICS déjà ont un PIB plus important que le G7 occidentale. On devrait procéder de la vie et non un sens mal compris de sa propre grandeur.
RépondreSupprimerEn cherchant à établir leur prééminence à une époque où émergent des nouveaux centres de pouvoir économique, financier et politique, les américains provoquent la neutralisation en accord avec la troisième loi de Newton et contribuent à l'émergence de structures, mécanismes et mouvements qui cherchent des alternatives pour les recettes américaines pour résoudre les problèmes pressants. je ne parle pas d'anti-américanisme, encore moins de former des coalitions dirigées contre les Etats-Unis, mais seulement le désir naturel d'un nombre croissant de pays de garantir leurs intérêts vitaux et faites-le leur façon de penser juste, et pas ce qu'on leur dit "d'outre-Atlantique. » Personne ne va jouer anti-américain jeux juste pour contrarier les États-Unis. Nous sommes confrontés tentatives et faits d'utilisation extraterritoriale de la législation américaine, l'enlèvement de nos citoyens en dépit des traités existants avec Washington dans lesquels ces questions devront être résolues grâce à l'application de la Loi et les organes judiciaires.
Selon sa doctrine de sécurité nationale, les États-Unis ont le droit de recourir à la force n'importe où, n'importe quand sans nécessairement demander le Conseil de sécurité de l'ONU pour approbation. Une coalition contre l'Etat islamique a été formée à l'insu, au Conseil de sécurité. J'ai demandé le Secrétaire d'État John Kerry pourquoi sont ils toujours au Conseil de sécurité de l'ONU pour cela.
Francis Fukuyama a récemment écrit le livre, d'ordre politique et décomposition politique, dans lequel il soutient que l'efficacité de l'administration publique aux Etats-Unis est en déclin et les traditions de la gouvernance démocratique sont progressivement remplacées par des méthodes de décision fief féodal. Cela fait partie de la discussion à propos de quelqu'un qui vit dans une maison de verre et jette des pierres.
En effet, décrire, se lamentant et suggérant des remèdes pour ce qui précède sont fondamentalement ce que Liberty Blitzkrieg est tout au sujet. N'oubliez pas, une étude universitaire de Princeton et Northwestern déjà prouvé aux Etats-Unis n'est rien de plus qu'une oligarchie. Voir : nouveau rapport de Princeton et prouve le nord-ouest il : The US est une oligarchie .
Jusqu'ici, ceux qui ne sont pas guidés par des problèmes réels, mais plutôt par le désir de saisir rapidement les choses de fraîchement arrivé au sol. C'est déplorable. Exportation des révolutions, qu'ils démocratique, communiste ou autres, apporte jamais rien de bon.
(suite en dessous:)
Je ne manquerai pas de mentionner le partenariat global de la Russie avec la Chine. Décisions bilatérales importantes ont été prises, ouvrant la voie à une alliance énergétique entre la Russie et la Chine. Mais il n'y a plus que cela. Nous pouvons maintenant le même, parler de la nouvelle alliance de technologie entre les deux pays. Tandem de la Russie avec Pékin est un facteur crucial pour assurer la stabilité internationale et au moins un certain équilibre dans les affaires internationales, comme assurer la primauté du droit international. Nous allons faire pleinement usage de nos relations avec l'Inde et le Vietnam, les partenaires stratégiques de la Russie, ainsi que les pays de l'ASEAN. Nous sommes également ouverts à l'élargissement de la coopération avec le Japon, si nos voisins japonais peuvent regarder leurs intérêts nationaux et arrêter de regarder en arrière à certaines puissances d'outre-mer.
RépondreSupprimerIl ne fait aucun doute que l'Union européenne est notre plus important partenaire collective. Personne n'a l'intention de « se tirer dans le pied » de renoncer de coopération avec l'Europe, bien qu'il est maintenant clair qu'affaires comme d'habitude n'est plus une option. C'est ce que nous disent nos partenaires européens, mais ni ce que nous voulons exploiter l'ancienne façon. Ils croyaient que la Russie avait à leur égard quelque chose, alors que nous voulons être sur un pied d'égalité. Pour cette raison, choses seront jamais plus la même. Cela dit, je suis confiant que nous serons en mesure de surmonter cette période, va tirer les leçons et de nouvelles bases pour nos relations vont émerger.
Les similitudes avec la période juste avant WWI sont en effet frappant, comme Niall Ferguson a noté dans un Excellent éditorial au mois d'août. J'espère que nous pouvons être plus intelligents cela aller.
http://www.zerohedge.com/news/2014-12-01/tensions-between-us-russia-are-worse-you-realize-%E2%80%93-foreign-minister-sergey-lavrov
Et le plus grand gagnant de la guerre des prix OPEP est...
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 01/12/2014 22:00-0500
"C'est une fenêtre de temps or d'acquérir plus de pétrole stratégiques à moindre coût," note un Hong Kong fondé analyste, comme Bloomberg confirme ce que nous avons noté ici et ici, la Chine s'impose comme le vainqueur de la bataille de l'OPEP avec les producteurs de pétrole rivales comme plus grand énergie consommation stocks du monde bruts.
84 pétroliers sont en route vers des destinations ports chinois...
Comme les rapports de Bloomberg,
Le nombre de diminution des investisseurs toujours parier sur un rebond des prix peut au moins compter sur la demande chinoise. L'OPEP a décidé de maintenir les objectifs de production comme un boom de schiste stimule la production américaine au plus haut en plus de trois décennies et provoque une surabondance de l'offre mondiale. Comme brutes s'étend son affaissement au niveau plus bas en plus de quatre ans, la Chine cherche à construire une réserve stratégique de pétrole.
« C'est une fenêtre de temps or pour acquérir les stocks stratégiques de pétrole plus à moindre coût » Gordon Kwan, chef de pétrolière régionale et de la recherche de gaz chez Nomura Holdings Inc., basée à Hong Kong a écrit dans un courriel le 28 nov. La Chine sera « un grand bénéficiaire » de la décision de l'OPEP, dit-il.
...
Les efforts de la nation à la poussée des réserves peuvent augmenter ses importations de plus de 700 000 barils par jour en 2015, selon londonienne des Aspects Energy Ltd. C'est plus de la moitié la surabondance mondiale Prévision par Citigroup Inc., après que l'Organisation des pays exportateurs de pétrole s'est abstenu de sortie de coupe lors de sa réunion la semaine dernière.
...
Les importations de Chine a stimulé de 8,3 p. 100, ou 460 000 barils par jour, dans les neuf premiers mois de cette année, le rythme le plus rapide depuis 2010, les données des douanes montrent. Le pays dépassera les Etats-Unis comme le plus grand consommateur de pétrole du monde dans vingt ans, selon l'Agence internationale de l'énergie à Paris.
...
Alors que la Chine actuellement détient des réserves équivalentes à environ 30 jours d'importations, le gouvernement cherche afin de renforcer ce niveau à 100 jours d'ici à 2020, selon China Petrochemical Corp., les plus grand raffineur d'Asie. Ce serait l'équivalent d'environ 570 millions de barils, basé sur les plus récentes importations mensuelles.
(suite en dessous:)
« Nous savons que la Chine a déjà pris avantage de prix plus bas pour remplir la SPR »Simon Powell, le chef de la recherche pétrolière et gazière asiatique à l'ÉLCV Ltd. à Hong Kong, a écrit dans un courriel le 28 nov."Ils ont encore un long chemin à parcourir".
RépondreSupprimerLa deuxième plus grande économie mondiale consommée le plus grand volume d'huile sur l'enregistrement en octobre, selon les données compilées par Bloomberg.
* * *
Comme nous avons conclu précédemment, tout comme les importations chinoises or augmentent lorsque le prix de l'or baisse ; alors que la Chine fait la chose logique avec les autres produits de base, (c'est-à-dire le pétrole) lorsque la dégringolade des prix et au lieu de vendre dans la déroute de papier, il achète tous les physiques, il peut mettre la main sur.
http://www.zerohedge.com/news/2014-12-01/and-biggest-winner-opec-price-war
La Chine se renforce. La Chine s'enrichit. Le confort gagne de plus en plus de foyer, qui achètent du gaz russe et toutes les choses que la Chine n'a pas.
SupprimerPoutine tue « South Stream » Pipeline, La Russie construira le nouveau pipeline massive vers la Turquie plutôt
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 01/12/2014 20:31-0500
Rétrospectivement, il aurait dû être évident au mois d'août.
À l'époque, nous avons écrit que les plus pauvres pays membre de l'Union européenne, Bulgarie, avait été un partisan enthousiaste du projet de gazoduc russe-soutenu South Stream, dont la construction a attisé les tensions entre l'Occident et Moscou, car il permettait d'alimentation en gaz de contourner troublé Ukraine (donc en serrant l'économie désespérée dans les mains de la Russie). Début juin, premier ministre de Plamen Oresharski Bulgarie a ordonné un arrêt initial (après que Europe ait offert de la nation s'effondrer soudainement une bouée de sauvetage de système bancaire). Par la suite, que ministre de l'énergie Vasil Shtonov a ordonné Energy Holding pour stopper toute action à l'égard du projet, car elle ne répond pas aux exigences de la Commission européenne de la Bulgarie.
Et puis, juste pour envoyer à Poutine un message très clair où se situent les allégeances de cette nation de l'ancien satellite soviétique, que l'OTAN a déployé 12 F-15 et 180 militaires à la Base aérienne de Bulgarie Graf Ignatievo.
Une douzaine de F-15 et environ 180 membres du personnel de la 493e, basé à RAF Lakenheath en Angleterre, ont été déployés à la Base aérienne Graf Ignatievo à participer à un exercice bilatéral de deux semaines avec la force aérienne bulgare, porte-parole de Pentagone le colonel Steve Warren a déclaré aux journalistes lundi.
L'exercice a commencé lundi et se poursuivra jusqu'en septembre 1.
L'objectif du déploiement est de "formation de conduite et de se concentrer sur maintiennent joint readiness tout en construisant l'interopérabilité", a déclaré Warren.
Le déménagement arrive à un moment où les partenaires européens orientaux et les alliés de l'Amérique sont inquiètent de l'intervention militaire russe en Ukraine. On craint que Moscou pourrait tenter de déstabiliser d'autres pays de la région.
« C'est le reflet de notre ferme engagement à renforcer la sécurité régionale », a déclaré Warren sur l'exercice.
Nous avons conclu en ces termes: «Comment Poutine va réagir on peut se demander ?"
Nous avons maintenant la réponse : plus tôt aujourd'hui, dans une annonce étonnante, Poutine a révélé que le projet South Stream est maintenant terminé. Comme les rapports du Wall Street Journal, "Poutine dit que Moscou cessera de poursuivre le projet de gazoduc South Stream de Gazprom qui pourrait fournir du gaz naturel vers l'Europe avec une liaison sous-marine en Bulgarie, accusant l'Union européenne pour le projet de sabordage."
(suite en dessous:)
"Nous ne pouvions pas obtenir les autorisations nécessaires de la Bulgarie, donc nous ne pouvons pas continuer avec le projet. Nous ne pouvons pas faire tout l'investissement vient d'être arrêté à la frontière bulgare", a déclaré M. Putin. « Bien sûr, c'est le choix de nos amis en Europe. »
RépondreSupprimer« Nous pensons que la position de la Commission européenne n'était pas constructive », a déclaré M. Poutine. « Si l'Europe ne veut pas mettre en œuvre, il ne sera pas implémentée. »
Poutine a raison : Europe - Autriche exclus - avait vu augmentation résistance au flux du Sud ces derniers mois que la crise en Ukraine s'est intensifiée. L'UE craint que le projet va marquer à jamais la position de la Russie comme fournisseur dominant de l'Europe du gaz naturel. La Russie répond déjà à environ 30 % des besoins annuels de l'Europe.
Alors que fait Poutine ? Il signe une alliance stratégique avec la Turquie membre de l'OTAN, le seul pays en Europe qui est tout sauf européen (sur le veto sans fin d'Allemagne empêchant son entrée dans l'Union européenne sur les craintes de la main de œuvre bon marché, migrant) et qui dernièrement a été de plus en plus anti-occidentale, à construire un nouveau méga-gazoduc vers la Turquie à la place. Rapports de RT, PDG de Gazprom Aleksey Miller dit que le géant de l'énergie va construire un gazoduc massive qui se rendra en provenance de Russie, transitent par la Turquie et arrêter à la frontière grecque – donnant accès de la Russie pour le sud du marché européen. En effet, la Russie auront toujours accès à l'endmarkets de flux sud
Le pipeline aura une capacité annuelle de 63 milliards de mètres cubes. Un total de 14 milliards de m3 est livré à la Turquie, qui est le client deuxième plus grand de Gazprom dans la région après l'Allemagne.
Aleksandr Novak, ministre de l'énergie de la Russie, a déclaré que le nouveau projet comprendra un centre spécialement construit à la frontière turco-grecquye pour les clients en Europe du Sud.
Dans une conférence de presse conjointe entre le dirigeant Poutine et turc Erdogan, la Russie a déclaré que la fourniture de gaz russe à la Turquie passera de 3 milliards de mètres cubes par l'intermédiaire de gazoduc Blue Stream déjà opérationnel, l'an dernier, 13,7 milliards de m3 de gaz a été fourni à Turkeyvia Blue Stream, selon Reuters.
Et un autre avantage de devenir un allié russe préféré : Moscou réduira le prix du gaz pour les clients turcs de 6 % depuis le 1er janvier 2015, Poutine a dit. Novak dira plus tard, que la réduction pourrait atteindre 15 %, sous réserve de négociations. Ukraine Désolé.
Et désolée Bulgarie, qui, bien qu'il soit entièrement tributaire de gaz russe pour ses commerciaux, industriels et résidentiels, a besoin, a décidé de se ranger du côté de l'Union européenne naufrage, ce qui en fait simplement la dernière insolvable vassale de la perdition de la zone euro, quelque chose Poutine fait ressortir très clairement au cours de la Conférence d'aujourd'hui :
(suite en dessous:)
• POUTINE : BULGARIE INCAPABLE D'AGIR EN SOUVERAIN ÉTAT VIA LE LIEN DE GAZ
RépondreSupprimer• POUTINE : LA RUSSIE AUX RESSOURCES ÉNERGÉTIQUES RÉORIENTER D'AUTRES MKTS : IFX
La Bulgarie devrait maintenant que ses coûts de l'essence à aller où les prix de l'énergie ukrainien ont si courageusement allé avant.
En ce qui concerne la Turquie, pays qui comble l'Europe avec l'Asie est simplement la dernière extension de l'alliance anti-dollar de Poutine :
• LA TURQUIE, LA RUSSIE CONVIENNENT D'UTILISER DES MONNAIES LOCALES DANS LE COMMERCE : TRT
Ou, comme Obama diraient, Russie juste obtenu encore plus « isolée ».
http://www.zerohedge.com/news/2014-12-01/putin-kills-south-stream-pipeline-will-build-new-massive-pipeline-turkey-instead
Les plus grand cauchemar de la Fed : les consommateurs sont de « Perdre la foi » ne sera pas de continuer à augmenter leur coût de la vie
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 01/12/2014 18:30-0500
Classé sous « paragraphe fou de l'année, » stylos de Reuters une des phrases plus d'histoires de l'année/décennie/siècle, suggérant - selon la menace existentielle à meme de la Fed - que les consommateurs sont inquiets que leur coût de la vie ne va plus ?
via Reuters
S'il vous plaît ne perdez pas la foi que votre coût de la vie s'arrête en plein essor : existence même de la Fed en dépend.
http://www.zerohedge.com/news/2014-12-01/feds-biggest-nightmare-consumers-are-losing-faith-their-cost-living-wont-keep-rising
« La grève générale a commencé… »
RépondreSupprimerMes chères contrariennes, mes chers contrariens !
L’un de mes amis, qui se reconnaîtra, m’avait plus que vivement conseillé de lire le livre La Grève d’Ayn Rand. C’est un très vieux bouquin américain, le deuxième le plus lu après la Bible, ce qui n’est pas rien. Il a été traduit très récemment en français et il est disponible auprès de la maison d’édition Les belles lettres. Cet ouvrage est très puissant et devrait être lu par le plus grand nombre.
« D’après l’auteur elle-même, Atlas Shrugged a pour thème « le rôle de l’esprit humain dans la société ». Il décrit ce qui se passe lorsque la violence de l’État empêche l’esprit de fonctionner, soit directement, soit en poussant les « hommes d’esprit », les créateurs de richesse, à refuser de servir une société qui trouve normal de les traiter comme des esclaves. L’intrigue met donc en scène des « hommes d’esprit » (scientifiques indépendants, entrepreneurs honnêtes, artistes individualistes, travailleurs consciencieux) dont la disparition mystérieuse provoque crises et catastrophes. Celui qui les entraîne dans cette « grève », dans ce retrait, est John Galt, héros randien type, à la fois entrepreneur, philosophe et grand savant inventeur. »
Pour celles et ceux qui ne l’auraient pas compris, c’est exactement ce qu’il s’est passé dans l’ex-URSS, devenue tellement étouffante qu’évidemment tous les hommes d’esprit ont jeté l’éponge. Il faut noter qu’un créateur de « richesses » ce n’est pas forcément un patron… loin de là ! D’ailleurs dans cet ouvrage, il y a des patrons créateurs de richesses mais également tout plein de patrons imbéciles ; cela montre la finesse de la connaissance de l’humain de l’auteur et surtout l’intemporalité de son livre publié en… 1957.
Pourquoi vous parler de ce livre aujourd’hui ? Tout simplement parce que, fait très rare, les patrons sont dans la rue et manifestent leur mécontentement.
Ils ont raison et voyons pourquoi.
Fronde des patrons : 10 000 manifestants selon la CGPME
Voici ce qu’en raconte Le Parisien : « Peu habitués à battre le pavé avec des pancartes, plusieurs milliers de patrons sont descendus dans la rue lundi matin à Paris et Toulouse, en ouverture d’une semaine de mobilisation des chefs d’entreprise contre 30 années d’une politique qui a, selon eux, « bridé » l’économie. »
Encore plus symptomatique… « Grogne des patrons : 59 % des Français comprennent le mouvement… »
Pourquoi les patrons ont raison et pourquoi les gens soutiennent les patrons ?
Tout d’abord, il faut différencier deux types d’entreprise. Le grand groupe coté en bourse c’est une chose, la PME ou la TPE du coin c’en est une autre : la seconde est infiniment plus fragile que la première et participe beaucoup plus aux créations d’emplois d’ailleurs puisque 80% de l’emploi est dans les TPE.
C’est la grève générale et le soutien du peuple à ses patrons c’est la fin de la lutte des classes au profit de l’unification. Les intérêts de tous désormais convergent. Il faut pour tous moins d’État. Non pas plus d’État du tout. Mais moins d’État oppressant.
(suite en dessous:)
Les patrons ont raison car cet État, notre État est devenu obèse et étouffant. Les citoyens, qu’ils soient patrons ou simples citoyens, étouffent tout simplement. Il y a le poids des charges et des impôts mais pas uniquement. Il y a des règles infinies, des alinéas, des paragraphes, des tonnes de normes et de règlements.
RépondreSupprimerMais pas uniquement.
Il y a une stérilisation de la pensée, une interdiction d’aborder certains dogmes, une confiscation du débat démocratique, une stérilisation du langage. Le politiquement correct est étouffant.
En réalité, notre système devient tout simplement une immense entreprise de stérilisation. On n’a plus envie de créer, on n’a plus envie d’avancer, on n’a plus envie de réfléchir, on n’a plus envie, on n’a plus envie parce que tout est devenu épuisant. Faire quelque chose est risqué économiquement, socialement, politiquement.
On ne peut plus rien dire, on ne peut plus rire, on ne peut plus manger, on ne peut plus fumer, très prochainement on ne pourra plus vapoter, on ne peut plus picoler, on ne peut plus rien faire et dès le 1er janvier, les feux de cheminée avec ou sans foyer ouvert seront purement et simplement interdits dans Paris. Dans l’Île-de-France, ce sont les cheminées qui seront interdites… Pensez donc ! Votre santé c’est sacré. Les feux de cheminée vous tuent à petit feu… Pas les gaz d’échappement du diesel…
Lorsque le peuple étouffe, la révolution est proche
C’est immanquablement ce qui se passera dans notre pays. À force de nous emmerder, à force d’emmerder tout le monde, eh bien dans une première étape on constate une diminution drastique de la création de richesses. Nous y sommes. Entre les Français qui partent se faire tondre ailleurs et ceux qui ne font plus d’efforts ici, ce n’est qu’une question de temps pour que l’État-providence français ne s’effondre sous son propre poids faute de joueurs. La grève mes amis… la véritable grève, celle capable de tout renverser pacifiquement ce n’est pas la révolution par les armes ou par la violence. Non, c’est la grève qui consiste à se mettre en retrait du système. N’achetez plus rien. Ne consommez plus. Uniquement l’essentiel et l’indispensable. C’est légal après tout. On paye ses factures, on paye ses impôts, mais on ne change plus sa voiture, on part en vacances chez des amis. Plus de séjours organisés, plus de soldes, plus d’achat en promotion. Rien. Ne changez pas votre téléphone ni votre tablette et encore moins votre écran tout plat. Épargnez comme vous ne l’avez jamais fait. Voilà une grève fantastique car l’État obèse a besoin de joueurs, de consommateurs pour collecter sa TVA, ses taxes sur l’essence, etc.
Si demain tous les Français faisaient la grève de la consommation, si demain tous les patrons faisaient la grève des embauches, si demain nous refusions tous pacifiquement de jouer le jeu du système, alors en quelques semaines, le système s’effondrerait…
(suite en dessous:)
Utopique ? Évidemment que non. C’est ce qui va se passer par la force des choses. Entre ceux qui ne peuvent plus consommer et ceux qui auront peur de ne plus pouvoir consommer, entre les patrons qui ne veulent plus embaucher parce qu’ils ne veulent plus en prendre le risque et ceux contraints de licencier, le chômage va encore augmenter plus vite et la consommation chuter plus rapidement… Les recettes de l’État ne seront pas au rendez-vous. L’État, dans sa logique mortifère, ira jusqu’au bout de son propre fonctionnement et taxera encore plus, décourageant encore plus. Au bout du compte, avec ou sans mot d’ordre, avec ou sans grève, le résultat sera le même. Comme dans l’ex-URSS. L’État français s’effondrera, comme l’éducation nationale est en train de s’effondrer sous son propre poids et sa propre idéologie, toutes les classes moyennes la fuyant au profit des établissements privés.
RépondreSupprimerPourtant, la grève a déjà commencé, et pour la première fois de ma vie, moi aussi, j’ai envie de faire grève. Je me demande qui est John Galt.
Il est déjà trop tard, préparez-vous.
À demain… si vous le voulez bien !!
Charles SANNAT
http://www.lecontrarien.com/la-greve-generale-a-commence-02-12-2014-edito?utm_source=Le+Contrarien+Matin&utm_campaign=008624de1d-daily_newsletter_2014_12_02&utm_medium=email&utm_term=0_b6dd3f3e5f-008624de1d-45320805
Les détail apocalypse s'accélère: les vacances s'effondrent les ventes sont un signal que la récession Is Coming
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 1er Décembre 2014
Les ventes au détail pendant le week-end de Thanksgiving de quatre jours ont diminué un énorme 11 % de l'année dernière. Ce est un moment «faire ou défaire» de l'année pour de nombreux détaillants, et si les choses ne tournent pas autour pendant les prochaines semaines nous avons pu voir un tsunami de fermetures de magasins en Janvier et Février. Comme vous lisez cet article, il y a déjà plus d'un milliard de pieds carrés d'espace de vente au détail assis vide aux États-Unis. Beaucoup ont décrit l'effondrement en cours de l'industrie de vente au détail comme une «apocalypse», et cette apocalypse semble se accélérer. Oui, le passage à des détaillants en ligne est un facteur important, mais comme vous le verrez ci-dessous, même les détaillants en ligne a lutté sur le week-end de vacances. La triste vérité est que les consommateurs américains sont tapa et croulent sous les dettes à ce point, de sorte qu'ils n'ont tout simplement plus d'argent à dépenser comme ils le faisaient auparavant.
Selon la National Retail Federation, 5,2 % de moins d'Américains magasiné en ligne ou dans les magasins de détail au cours de la fin de semaine dernière. Ceux qui fait boutique dépensé une moyenne de 6,4 % moins d'argent que les consommateurs ont fait l'année dernière.
Donc, si moins de personnes ont magasiné, et elles ont dépensé moins d'argent en moyenne, ce qui signifie que le total des ventes au détail ont dû chemin vers le bas.
Et en effet ils étaient. Comme le New York Times a rapporté, le total des ventes au détail ont diminué de 11 % une étonnante ...
Les ventes, à la fois dans les magasins et en ligne, à partir de Thanksgiving à travers le week-end ont été estimées avoir chuté de 11 %, à 50,9 milliards de dollars, de 57,4 milliards l'an dernier, selon les résultats de l'enquête préliminaires publiés dimanche par la National Retail Federation. Les ventes ont diminué malgré l'ouverture plus tôt que jamais de nombreux magasins le jour de Thanksgiving.
Et bien que de nombreux détaillants ont offert les mêmes réductions agressives en ligne comme ils le faisaient dans leurs magasins, le Web n'a pas réussi à attirer plus de clients ou les dépenses plus le week-end de vacances de quatre jours que l'année dernière, a indiqué le groupe. La personne moyenne qui ont magasiné sur le week-end passé $ 159,55 chez les détaillants en ligne, en baisse de 10,2 % l'an dernier.
Pas étonnant qu'il y avait moins de violence sur le Black Friday cette année.
Trafic chez les détaillants était en bas.
Bien sûr, certains analystes tentent de mettre un spin positif sur tout cela. Par exemple, le PDG de la National Retail Federation dit que cela pourrait effectivement être un signe que l'économie se améliore ...
Comme le rapporte WSJ , PDG Matt Shay NRF attribué la chute à une combinaison de facteurs, y compris le fait que les détaillants déplacés promotions plus tôt cette année pour tenter de sortir les gens plus tôt et d'éviter ce qui est arrivé l'année dernière quand les gens ne ont pas terminé leurs achats parce de mauvais temps.
(suite en dessous:)
Aussi avons-nous mentionné la NRF est perpétuellement joyeux et toujours désespérée de mettre une tonne de rouge à lèvres sur un cochon ? Eh bien, tenez-vous à vos chapeaux des gens:
RépondreSupprimerIl a également attribué le déclin à de meilleures offres en ligne et une amélioration de l'économie où "les gens ne se sentent pas le même besoin psychologique de se précipiter et obtenir le beaucoup ce week-end, en particulier si elles devraient être plus d'offres," a t-il dit.
Et bien sûr, le sprint vs comparaisons de marathon, comme celui-ci: " La saison des vacances et le week-end sont un marathon pas un sprint », a déclaré le chef de la direction de la NRF Matthew Shay sur une conférence téléphonique. Odd comment cette métaphore ne est jamais utilisé lorsque le (données désaisonnalisées) sprint bat les marathoniens.
Donc là vous l'avez: un effondrement de 11% des dépenses de consommation vient d'être filé en tant que super haussier pour l'économie américaine, où les consommateurs américains ne dépensent pas parce que l'économie est tout simplement trop forte, et la seule raison qu'ils ne passent pas, ce est parce qu'ils vont dépenser beaucoup plus tard. Ou quelque chose.
Le commerce de détail est absolument brutale à ce point. Il est inondé de très grands concurrents qui sont à la poursuite de moins en moins dollars jetables.
Pour prospérer, les détaillants ont besoin les consommateurs en bonne santé financière. Mais au fil du temps, les consommateurs américains sont devenus de plus en plus profondément dans la dette. Le tableau ci-dessous montre que posté crédit à la consommation aux États-Unis a doublé depuis l'année 2000 ...
- voir graphique sur site -
Pendant ce temps, la tendance à long terme pour le revenu réel médian des ménages depuis l'année 2000 a été en panne ...
- voir graphique sur site -
Pour les Américains à dépenser de l'argent, ils doivent faire de l'argent en premier.
Malheureusement, la qualité de nos emplois continue de chuter.
Comme je l'ai écrit auparavant, 50 % de tous les travailleurs américains actuellement gagnent moins de $ 28,031 par an à leurs emplois. Et voici quelques chiffres d'un rapport que la Social Security Administration a récemment publié ...
-39 % des travailleurs américains a fait moins de $ 20 000 l'an dernier
-52 % des travailleurs américains a fait moins de $ 30 000 l'an dernier
-63 % des travailleurs américains a fait moins de $ 40 000 l'an dernier
-72 % des travailleurs américains a fait moins de $ 50 000 l'an dernier
(suite en dessous:)
Donc, pour une famille américaine typique d'apporter $ 50 000 un an ou plus les deux parents doivent généralement travailler.
RépondreSupprimerParfois, ils ont tous les deux de travailler plus d'un emploi.
Et avec le coût de la vie en constante augmentation, les budgets familiaux sont serrés plus que jamais. C'est pourquoi les familles ont moins d'argent à dépenser dans les magasins de vente au détail de ces jours. Pour encore plus sur la situation financière actuelle des familles américaines, s'il vous plaît voir mon article précédent intitulé “Are You Better Off This Thanksgiving Than You Were Last Thanksgiving?”
Il est temps pour les détaillants en Amérique du faire face au fait que les conditions économiques ont fondamentalement changé. Les consommateurs américains sont tout simplement pas en aussi bonne forme que ceux utilisés pour être.
En outre, les détaillants en ligne vont continuer à voler des ventes à partir d'emplacements de détail traditionnels. Cela signifie que plus de magasins vont fermer et plus d'espace de vente au détail vont être abandonnés.
Comme je l'ai mentionné ci-dessus, plus d'un milliard de pieds carrés d'espace commercial est aleady assis vacants aux États-Unis. Et consultant de détail Howard Davidowitz projette que jusqu'à la moitié de tous les centres commerciaux aux États-Unis peuvent fermer dans les deux prochaines décennies ...
Dans 15 à 20 ans, consultant en détail Howard Davidowitz attend près de la moitié des centres commerciaux de l'Amérique à coup sûr. Il prédit que les centres commerciaux haut de gamme avec seulement ancres comme Saks Fifth Avenue et Neiman Marcus vont survivre.
Dans les années à venir, il va devenir normal de voir barricadé centres commerciaux et des centres commerciaux abandonnés dans tout le pays.
L'âge d'or du commerce de détail est terminée, et maintenant la plupart des détaillants devra travailler très dur pour survivre à l'apocalypse qui se déroule sous nos yeux.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/retail-apocalypse-accelerates-collapsing-holiday-sales-signal-recession-coming
La Russie a livré plus de 10 000 tonnes d'aide dans l'est de l'Ukraine
RépondreSupprimerPar La Voix de la Russie
Entre août et novembre des convois humanitaires du ministère des Situations d'urgence de Russie ont livré plus de 10 700 tonnes d'aide aux habitants des républiques populaires de Donetsk et de Lougansk dans l'est de l'Ukraine.
Dimanche des camions ont acheminé à Donetsk et à Lougansk 1 200 tonnes de denrées, de matériaux de construction et d'autres produits nécessaires.
Le ministère des Situations d'urgence a souligné que l'aide humanitaire serait poursuivie « autant qu'il le faudrait ». Pendant chaque livraison d'aide humanitaire dans l'est de l'Ukraine les autorités ukrainiennes déclarent que l'arrivée des convois n'a pas été concertée et qu'elles ne savaient pas quel fret était transporté. D'après leurs affirmations, les camions auraient pu être chargés d'aide militaire pour les miliciens. Moscou a rejeté ces accusations.
http://french.ruvr.ru/news/2014_12_02/La-Russie-a-livre-plus-de-10-000-tonnes-daide-dans-lest-de-lUkraine-7052/
2,3 milliards de livres sterling pour défenses contre les inondations dans les engagements de dépenses pré-électorales
RépondreSupprimerEd Davey, secrétaire à l'énergie, prévoit d'entamer des pourparlers le mois prochain pour discuter du potentiel du projet d'alimentation en premier lagon du Royaume-Uni
Patrick Wintour , rédacteur politique
The Guardian ,Mardi 2 Décembre 2014
Préélectorale dépenses d'infrastructure Bonanza Le gouvernement de coalition se poursuivra mardi avec des annonces sur l'augmentation des dépenses sur le logement social, protection contre les inondations et des discussions exploratoires pour le premier projet d'énergie lagon avec potentiel de fournir 8% de l'énergie du Royaume-Uni.
Les plans, y compris un système innovant permettant au gouvernement d'agir comme commissaire direct de logements, sont dues à être annoncé dans le plan national d'infrastructure 2014 préparé par Danny Alexander, le secrétaire en chef au Trésor.
Il s'ensuit des annonces sur lundi sur la façon dont le gouvernement garantirait 15 milliards de livres sterling de dépenses sur un programme de routes.
Alexander annoncera les détails d'un programme de défense contre les inondations de six ans, y compris 1 400 projets pour une meilleure protection pour les 300 000 foyers. Le Trésor a déclaré que le 2,3 milliards £ d'investissement en capital aideraient à prévenir plus de 30 milliards de £ dommages économiques.
Travail dit que l'argent était une allocation de fonds déjà annoncés, ajoutant que "l'ensemble des relents d'exercice de la politique de porc baril dans lequel le Trésor promettent de jeter de l'argent dans les sièges marginaux clés".
Les projets qui bénéficieront comprennent 80 millions de livres pour l'estuaire de la Humber, plus de £ 17m pour Tonbridge, Yalding et les communautés environnantes, £ 196m pour le programme de l'estuaire de la Tamise, £ 73m pour la barrière Boston, £ 42m pour le transport ouest d'Oxford, et £ 47m pour Rossall défense côtière.
En outre, le gouvernement s'engage à dépenser 15,5 M € en Somerset on défenses contre les inondations au cours des six prochaines années profitant 7000 propriétés, y compris £ 4.2m sur les Somerset Levels and Moors, l'épicentre des inondations de l'année dernière.'
Dans potentiellement l'annonce la plus importante, Ed Davey, le secrétaire à l'énergie, a dit s'attendre à entamer des pourparlers le mois prochain avec Tidal Lagoon Power, la compagnie qui vise à construire la première centrale électrique de la lagune de marée du monde dans la baie de Swansea, pour voir le projet est abordable et rapport qualité-prix pour les consommateurs.
(suite en dessous:)
«La technologie de Lagoon a le potentiel pour fournir de l'énergie verte à long terme prévisible avec un investissement durable plus d'un siècle. Nous croyons que des lagunes à marée présente un potentiel très important dans le Royaume-Uni, et nous pourrions commencer à contribuer aux besoins en énergie du Royaume-Uni dès la fin de la décennie. Plus le nombre de sources d'énergie au Royaume-Uni, le mieux pour les consommateurs car elle faire baisser les prix s'il y a concurrence. Le Royaume-Uni a une grande ressource marémotrice indigène, le deuxième plus grand dans le monde, et nous avons le potentiel de devenir des leaders mondiaux ", a t-il dit.
RépondreSupprimerLes discussions se concentreront sur les coûts de pouvoirs de la lagune de marée et le niveau de subvention qui serait initialement requis ainsi que les problèmes d'autorisation de planification. Le projet, à la différence du barrage Severn, a fort soutien local y compris des Amis de la Terre et la Société royale pour la protection des oiseaux.
Le régime impliquerait un six-mile (9,5 km) mur autour de la baie de Swansea, la création d'un lagon dans le canal de Bristol avec des turbines à exploiter les marées entrants et sortants et produire de l'électricité 14 heures par jour.
Il serait fournir de l'électricité renouvelable pour 120 000 maisons pour 120 années, économisant 236 000 tonnes de carbone par an, avec 1 850 emplois dans la construction et 150 emplois à long terme dans l'exploitation et de loisirs sur le lagoon.Overall le plan d'infrastructure nationale énonce £ 460 000 000 000 la peine de l'investissement public et privé à la fin de la décennie et au-delà est prévue dans tous les secteurs clés de l'infrastructure. Investissement annuel moyen est fixé à 15% plus élevé dans ce Parlement que ce était dans la législature précédente, passant de 41 milliards EUR entre 2005 et 2010 à 47 milliards de livres entre 2011 et 2014.
Alexander est également prévu de fournir 100 millions de livres pour les programmes de logements prêts à démarrer, et également exposé sa pensée sur la façon dont le gouvernement pourrait à long terme devenir un commissaire pour le logement, une idée qu'il flottait à la conférence libéral-démocrate à l'automne. Alexander avait précédemment déclaré que le pays doit être la construction d'autant que 250 000 logements par an pour satisfaire la demande refoulée.
Il a dit à la frange du logement lors de la conférence de son parti: «Si nous voulons nous attaquer à la fois la nature cyclique du marché et de la structure sous-offre de logements, alors je pense que nous devons aussi examiner si le gouvernement devrait fonctionner comme un commissaire de logements . Une approche véritablement radicale serait pour le gouvernement d'avoir aussi un rôle direct dans la construction de la maison - la construction de logements abordables, mais pas seulement sur le marché privé également ".
(suite en dessous:)
En vertu du régime d'Alexandre, le gouvernement suggère combien de maisons devrait être construit dans une période donnée. Si le nombre de maisons ont été construites par le secteur privé, les associations de logement et les autorités locales combinées, le gouvernement interviendrait.
RépondreSupprimerAlexander a déclaré: "Vous auriez une capacité pour le gouvernement d'intervenir, de passer des commandes, à payer les entrepreneurs, construire des maisons, et de travailler, une fois qu'ils sont construits, comment et quand ils doivent être vendus."
http://www.theguardian.com/politics/2014/dec/02/flood-defences-social-housing-pre-election-spending-commitments-infrastructure-plan
Après les unièmes inondations cause à l'envasement des cours d'eau, la solution apportée est de... construire un mur le long du fleuve, et rivières ! Hahahaha !
SupprimerDéjà que les maisons inondées régulièrement ne valaient plus grand chose... maintenant: elles ne vaudront plus rien ! "Vue sur fleuve/Vue sur mur" !
(...) construire la première centrale électrique de la lagune de marée du monde (...)
(...) les marées entrants et sortants et produire de l'électricité 14 heures par jour. (...)
Investissement dans une merde ! Ce complexe électrique sur la plage (!) ne travaillera que 14 h par jour. C'est-à-dire qu'il devra y avoir du stockage et, que le stockage en batteries (mortes en 3 ans) coûtent cher alors que l'énergie fluviale est continue (mais, par le fait que l'eau du fleuve monterait il faudrait ... draguer !).
Anglaises, anglais, les pouvoirs publics vous prennent pour des cons !