- ENTREE de SECOURS -



lundi 27 octobre 2014

La face cachée de l’industrie laitière : un coût de 7,1 milliards d’euros pour la société

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33 commentaires:

  1. La face cachée de l’industrie laitière : un coût de 7,1 milliards d’euros pour la société

    par Ivan du Roy, Sophie Chapelle
    16 octobre 2014

    Le lait, c’est le champion des produits agro-alimentaires français. En bouteilles, en crèmes ou en fromages, il auréole les terroirs. En plus il rapporte et s’exporte. En consommer est vivement conseillé en matière de santé. Cette blanche réalité comporte pourtant des coûts cachés, ignorés des marchés, liés à un modèle de plus en plus intensif. Pollutions de l’eau, réchauffement climatique, précarité de l’emploi… L’économie du lait coûte cher à la société et à l’environnement. Une étude inédite tente d’en calculer les impacts et de lancer le débat. Car, en bio ou en AOC, produire du lait bien moins cher est tout à fait possible. Enquête et animation vidéo à l’appui.

    En France, les produits laitiers sont partout. Ils façonnent les territoires, du bocage normand aux alpages de Savoie, en passant par les causses du Massif Central et les estives des Pyrénées. Ils s’imposent dans les rayons des grandes surfaces : lait, yaourts, fromages, crème fraîche s’offrent en grande variété au caddie du consommateur. C’est que les Français en raffolent. Ils sont les champions européens de la consommation de beurre (près de 8 kg par habitant et par an) et les vice-champions de la dégustation de fromages (près de 24 kg/hab/an) ! Et les euros coulent à flot : les produits laitiers ont généré 25,5 milliards d’euros de chiffres d’affaires en 2012. Soit 1 % du PIB français ! En plus, ils s’exportent massivement, presque aussi bien que le vin. 216 000 emplois en dépendent, les trois quarts dans l’élevage et un quart dans les industries de transformation. La France est le 8ème producteur mondial de lait. Cocorico ?

    En plus de la richesse qu’ils créent, les produits laitiers sont parés de toutes les vertus. Leurs bienfaits nutritionnels ne cessent d’être vantés par le marketing... et les politiques publiques. « Pour les enfants, les adolescents et les personnes âgées, c’est quatre produits laitiers qu’il est recommandé de consommer », suggère ainsi la politique nationale en matière de nutrition. Le lait français et ses dérivés fromagers ou crémeux constituent aussi, en compagnie du vin, le fer de lance des appellations d’origine contrôlée (AOC), qui garantissent une production locale et de qualité – 50 AOC laitiers sont reconnues. Nos produits laitiers sont donc auréolés de bien des qualités, qu’il semble difficile de critiquer.
    Un coût ignoré par le monde économique : 7,1 milliards d’euros

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  2. Et pourtant. Si la filière laitière française crée de la valeur, elle comporte aussi des coûts. De l’étable au supermarché, en passant par les entreprises de transformation, les conséquences négatives de l’économie laitière sont estimées à 7,1 milliards d’euros par an. Pour 1 euro de chiffre d’affaires, ce sont donc 28 centimes « d’impact négatif sur la société et l’environnement » qui sont générés. C’est loin d’être négligeable. Ce coût environnemental et social est évalué par un rapport très détaillé et sourcé réalisé par le Bureau d’analyse sociétale pour une information citoyenne (Basic) [1]. Celui-ci « vise à fournir une vision d’ensemble de la filière lait française et un premier ordre de grandeur de l’ampleur de ses impacts sociaux, sanitaires et environnementaux », des éléments « qui sont systématiquement ignorés par le monde économique ». Pollutions de l’air et de l’eau, contribution au changement climatique, précarité de l’emploi, déchets générés... Tout est passé au crible de la calculette, du mode d’alimentation des bovins à l’exportation de lait en poudre en passant par les emballages des produits.

    C’est l’élevage qui génère le plus d’impacts. Logique : la France compte le plus grand nombre de vaches laitières en Europe. Plus de 3,8 millions de vaches laitières, dont près de la moitié broutent en Bretagne, en Pays de Loire et en Normandie, donnent chaque année 24 milliards de litres de lait. Des vaches qui engloutissent du fourrage en étable ou qui paissent librement en prairie émettent du méthane et de l’ammoniac. Le premier pèse fortement sur le climat. Le coût de l’empreinte carbone des vaches laitières est ainsi estimé à plus de 1,1 milliard d’euros. Le second contribue à la pollution de l’air. « Les bronchites chroniques, l’asthme, la fibrose pulmonaire, les affections des voies aériennes supérieures constituent la moitié des maladies respiratoires professionnelles des éleveurs », rappellent les chercheurs du Basic. Ce préjudice sur la santé et l’environnement est lui estimé à 1,4 milliard d’euros.

    3,8 millions de vaches laitières, ça pollue beaucoup !

    3,8 millions de vaches : cela pollue forcément l’eau. Les troupeaux laitiers sont présumés responsables de 10% de la pollution des cours d’eau et des nappes phréatiques. Leur dépollution par des stations d’épuration ou le nettoyage des plages envahies par les algues vertes représentent un surcoût, dont l’élevage laitier doit donc assumer sa part : 922 millions par an selon les calculs du Basic. Le mode d’alimentation de nos bovins joue également un rôle significatif. La part du maïs dans la ration d’une génisse progresse au détriment de l’herbe. Le maïs, c’est gourmand en eau, en engrais chimiques et en pesticides. Les systèmes d’irrigation pour arroser en plein été sont en partie subventionnés par les Agences de l’eau, donc par les habitants reliés au réseau d’eau potable. Encore un surcoût pour le contribuable : plus de 50 millions d’euros. Enfin, l’importation croissante de soja venu du Brésil, une culture qui contribue à la déforestation, alourdit l’addition.

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  3. « Nous ne mettons pas en cause les agriculteurs, souligne Christophe Alliot, co-fondateur du Basic. Mais c’est un indicateur de non soutenabilité du modèle actuel. » Un modèle productiviste qui s’intensifie depuis vingt ans avec la baisse du nombre de fermes et l’augmentation de leurs rendements. Et qui dit intensification de l’élevage et de la production, dit intensification des pollutions. Si les fermes usines du type mille vaches se multiplient, la production de lait risque, au final, de coûter très cher ! Des alternatives existent pourtant. Laisser les vaches paître tranquillement dans une prairie est plus soutenable pour l’environnement, même si cela ne résout pas les émissions de méthane et d’ammoniac, ou la pollution de l’eau du fait des excédents de nitrates.

    Lait bio et fromages AOC : des alternatives bien moins coûteuses

    Deux autres modes de production laitière, l’agriculture biologique et la production labellisée AOC (Appellation d’origine contrôlée), sont comparés au modèle laitier conventionnel. Et la différence est patente ! Les coûts cachés du lait bio descendent à 18 centimes pour 1 euro de chiffre d’affaires, et tombent à 10 centimes pour une fabrication de fromage au lait cru AOC et biologique. Trois fois moins préjudiciables qu’un fromage industriel vendu en grande surface ! « Les élevages laitiers en agriculture biologique sont caractérisés par une moindre intensification, une plus grande autonomie, des niveaux de gaz à effets de serre et d’excédents azotés plus faibles, une meilleure efficacité énergétique, ainsi qu’une meilleure qualité du sol, de l’eau et de la biodiversité », illustre le Basic. Produire de manière plus soutenable est donc possible !

    Tous les coûts cachés ne peuvent être estimés en euros, en particulier la détresse de nombreux éleveurs laitiers. C’est le paradoxe d’une filière qui, économiquement, semble se porter à merveille. La richesse créée est bien mal distribuée. Le fossé entre les revenus des exploitations laitières et céréalières – les seconds servant notamment à nourrir les vaches élevées par les premiers – ne cesse de se creuser. Les revenus des céréaliers sont dix fois plus élevés par heure de travail effectif ! Les grandes entreprises du secteur – Lactalis, Danone, Sodiaal, Bongrain, fromagerie Bel – tirent parfaitement leur épingle du jeu. Et leurs propriétaires également : au palmarès des fortune françaises, la famille Besnier (Lactalis) trône en 11ème position (avec une fortune estimée à 6,5 milliards d’euros), la famille Fiévet (Bel) figure à la 47ème place (1,4 milliard) et la famille Bongrain à la 102ème (640 millions).

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  4. Le lait, une richesse bien mal redistribuée

    A l’autre bout de la chaîne, derrière les visages souriants des éleveurs apposés sur les bouteilles de lait en supermarchés, se dissimulent des rémunérations parmi les plus basses du secteur agricole : 26 000 euros par an avant impôt. Faiblesse des prix du lait sur le marché, endettement des exploitations, coût des intrants.... Selon l’Insee, l’élevage laitier a perdu 350 000 emplois durant la dernière décennie [2] ! La précarité de l’emploi est aussi importante dans les usines qui collectent le lait, l’embouteillent ou le transforment en fromage, beurre ou crème fraîche. 40% des 56 000 salariés qui travaillent pour l’industrie laitière sont sous contrats à durée déterminée. Deux fois plus, en proportion, que dans le reste de l’industrie agro-alimentaire. S’il est difficile de calculer les coûts induits par une grande précarité de l’emploi, le Basic le chiffre au minimum à trois millions d’euros du fait de l’assurance chômage pour ses salariés précaires.

    Pollution de l’eau, gaz à effet de serre, déchets... La transformation du lait en produits pour le consommateur comporte aussi ses effets néfastes. Une usine moderne de transformation du lait rejette de un à cinq litres d’eau… par litre de lait transformé ! Aux coûts de retraitement des eaux usées s’ajoutent les émissions de CO2 générées par le transport routier. Car les produits laitiers rejoignent massivement les grandes surfaces où 98% y sont achetés. La vente directe apparaît bien négligeable. Devenues incontournables, les grandes chaines de supermarchés françaises misent sur la compétition par les prix au détriment des revenus des éleveurs.

    Une bouteille de lait sur deux non recyclée

    Les habitudes de consommation laissent aussi derrière elles une lourde empreinte. La moitié des emballages de lait et de yaourts produits chaque année, soit 97 000 tonnes, ne sont pas recyclés. Acheminés en déchetterie ou brûlés dans les incinérateurs, ces emballages coûtent à l’environnement 77,2 millions d’euros. « Au final, si les impacts estimés sont majoritairement générés par l’amont agricole, ce sont tout autant les habitudes de consommation qui sont à la source des impacts sur l’ensemble de la filière, analyse le rapport du Basic. Les agriculteurs sont les premiers à en subir les conséquences en termes de précarité, d’endettement, d’impact sanitaire. »

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  5. « Ces données montrent un besoin de se réapproprier les biens de consommation courants et la possibilité de peser dans une filière économique en tant que consom’acteur », commente Tanguy Martin de l’association Ingénieurs sans frontières. Car la filière laitière est à la croisée des chemins. La fin des quotas laitiers au 1er avril 2015 est redoutée par bon nombre d’éleveurs. La dérégulation du prix du lait pourrait encore favoriser les logiques productivistes, avec des élevages encore plus concentrés. « La répartition de la production sur le territoire est indispensable, tout comme les freins à l’agrandissement à outrance. Sans cela, nous ne verrons plus que quelques fermes-usines réparties sur un morceau de territoire », alerte la Confédération paysanne ; à l’exemple du « projet des 1000 vaches » en Picardie. Une méga ferme controversée qui « ne correspond pas au modèle d’exploitation promu par le ministre dans la loi d’avenir pour l’agriculture », souligne le cabinet de Stéphane Le Foll. Qu’en sera-t-il demain alors que la Chine s’intéresse aussi au lait français ?

    Intégrer les coûts sociétaux dans le prix du lait ?

    L’entreprise chinoise Synutra, deuxième groupe dans le secteur de la nutrition infantile du pays, a posé début janvier la première pierre de sa future usine de fabrication de poudre de lait à Carhaix (Finistère). Une nouvelle qui réjouit les 700 éleveurs bretons adhérents de la coopérative Sodiaal qui devront fournir 280 millions de litres de lait par an, destinés au marché chinois. Mais seront-ils prêts à en payer les coûts cachés ?

    7,1 milliards, telle est donc l’addition globale de la filière laitière si l’on prend en compte les impacts sociaux, sanitaires et environnementaux. Comment valoriser les modes de production les moins polluants ? Surtout, faut-il envisager d’intégrer ces coûts dans le prix du lait ? « Une piste à creuser serait peut-être une TVA différente en fonction des impacts, souligne Sylvain Ly du Basic. La TVA serait minorée si les impacts sont faibles et un système de malus serait appliqué aux produits les plus polluants ». Le système aurait le mérite de rendre la raison à la filière : le lait bio couterait moins cher qu’un lait « intensif ». Interrogé sur ce sujet, le ministère de l’Agriculture n’a pas donné suite.

    Les collecteurs laitiers annoncent d’ores et déjà des baisses du prix du lait de plusieurs dizaines d’euros d’ici janvier 2015. Ce qui pourrait conduire à terme à la disparition des exploitations laitières de taille moyenne. Le choix politique de soutenir ou non des modes de production plus soutenables ne se posera alors plus. Sur le terrain, des organisations de la société civile ont décidé de provoquer le débat. Des ateliers d’éducation au développement sont proposés par Ingénieurs sans frontières pour s’approprier les données du rapport et s’interroger sur la souveraineté alimentaire au Nord. Des paysans d’Afrique de l’Ouest, touchés par les exportations de poudre de lait en provenance d’Europe du Nord [3], travaillent également à la reconquête de leurs marchés et d’un revenu digne. Espérons qu’en France le débat s’ouvrira.

    Sophie Chapelle et Ivan du Roy

    http://www.bastamag.net/Des-prairies-au-caddie-le-prix

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  6. Norvège : Les robots tueurs suscitent l'inquiétude

    Courrier international
    lun., 27 oct. 2014 19:31 CET

    Le gouvernement norvégien finance le développement de robots qui pourront, sans intervention humaine, prendre la décision de tirer sur leur cible. La Ligue pour la paix estime que ce projet viole le droit international.

    « Robots tueurs » pour les uns, « munitions partiellement autonomes » pour les autres : depuis plusieurs mois, le gouvernement norvégien finance le développement de nouveaux missiles pour équiper ses avions de combat. Leur particularité : « ils auront la capacité d'identifier une cible et de prendre la décision de tuer - ou non - sans intervention humaine », rapporte la version norvégienne du site d'actualité The Local.

    « Cette technologie soulève plusieurs questions morales, notamment sur ce qui se passe si l'humain disparaît totalement du champ de bataille au profit des machines, ou encore sur qui sera tenu responsable en cas d'erreur ou d'attaque violant le droit international », pointe The Local.

    « L'arme devient le combattant »

    Alexander Harang, de la Ligue norvégienne pour la paix, réclame un débat au sein du Parlement norvégien. « Au printemps dernier, après que le gouvernement a décidé d'allouer un budget de 2,2 milliards de couronnes norvégiennes [260 millions d'euros] au groupe Kongsberg [qui développe le robot], Alexander Harang a contacté tous les partis du pays pour réclamer un débat sur les conséquences potentielles de cette technologie autonome en regard du droit international. Le débat n'a jamais eu lieu. »

    Le rapporteur de l'ONU Christof Heyns s'inquiète également des implications d'une telle technologie. « Ces dix dernières années, on a vu s'accroître la distance entre le soldat et sa cible. Mais ce qui se passe là, c'est que l'arme devient le combattant. La Norvège est un gros exportateur d'armes. Nous devons donc être particulièrement attentifs aux questions éthiques que soulève ce projet », précise-t-il.

    La ministre norvégienne de la Défense, Ine Eriksen Søreide, confirme que la question est complexe. mais elle refuse que le projet soit mis en suspens en attendant qu'un débat ait lieu.

    http://fr.sott.net/article/23664-Norvege-Les-robots-tueurs-suscitent-l-inquietude

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    1. Encore une fois se pose le sérieux dilemme du fallait-il laisser le Métier de Jacquard se développer ? ou, que serions-nous aujourd'hui sans centrale nucléaire alors que les autres en ont ?

      Effectivement, si d'autres préfèrent ne pas s'emmerder à sélectionner/former des soldats qui seront troublés psychologiquement pour le restant de leur vie, blessés ou morts en les remplaçant très avantageusement par des clones de robots ultra-performants, la question est: où peut s'arrêter une guerre sans fin ?

      Donc là, revient sur le devant de la scène la 'solution' du quand utiliser l'IEM ?! (en sachant que son action serait d'arrêter toutes les centrales électrique du monde et leur conséquence d'être transformés en xx Fukushima !)

      C'est cette ligne rouge très bien décrite par le président Poutine dans l'option nucléaire contre les trous de cul qui veulent faire de l'Ukraine ce qu'ils ont fait en Irak ou en Libye.

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  7. 7 choses que le Moyen-Class de ne plus pouvoir



    Soumis par Tyler Durden sur 27/10/2014 16:45 -0400

    Rédigé par Erika Rawes, Le Cheat Sheet; posté au départ sur USA Today,


    Bien qu'il y ait un débat sur le revenu exact qu'a un ménage de classe moyenne, nous avons une idée de la classe moyenne qui sont - la plupart des personnes de la classe ouvrière. La bourgeoisie d'aujourd'hui est composée d'ouvriers et de travailleurs qualifiés, les cols blancs et les cols bleus, dont beaucoup font face à des difficultés financières. Bill Maher nous quelques mois rappelé arrière qu'il y a 50 ans, le plus grand employeur était General Motors, où les travailleurs ont gagné l'équivalent de 50 $ par heure (en dollars d'aujourd'hui). Aujourd'hui, le plus grand employeur - Wal-Mart - paie environ 8 $ (6,29 €) l'heure.

    La classe moyenne a certainement changé. Nous avons classé une liste de choses à la classe moyenne ne peut plus vraiment se permettre. Nous ne parlons pas de luxe somptueux, comme des jets privés et yachts. Les éléments de cette liste sont un peu plus de base, et certains d'entre eux sont des nécessités même. Le classement de cette liste est basée sur l'abordabilité et la nécessité. Par conséquent, les éléments qui sont nécessité un rang plus élevé, de même que les éléments qu'un pourcentage plus élevé de personnes ont mal à payer.

    Vacances

    Un séjour est une dépense supplémentaire que de nombreux soutiens intermédiaires ne peuvent se permettre sans sacrifier quelque chose d'autre. Une enquête Statista a constaté que cette année 54% de la population a renoncé à l'achat d'articles coûteux comme les téléviseurs ou électronique afin qu'ils puissent aller en vacances. D'autres ont fait des sacrifices comme la réduction ou l'élimination de leurs voyages au cinéma (47%), la réduction ou l'élimination des excursions vers les restaurants (43%), ou en évitant l'achat de petits articles coûteux, comme de nouveaux vêtements (43%).

    Les véhicules neufs

    Très peu de gens qui gagnent le revenu médian peuvent se permettre d'acheter une nouvelle voiture ou un camion. Interest.com récemment analysé les prix des voitures neuves et de camions, ainsi que les revenus médians dans plus de deux douzaines de grandes villes, et a constaté que les nouvelles voitures et les camions étaient tout simplement pas abordable pour la plupart des intermédiaires salariés.

    «Les familles à revenu médian dans une seule grande ville [Washington DC] peuvent se permettre le prix moyen Américains paient pour les nouvelles voitures et les camions de nos jours." A partir de 2013, les nouvelles voitures sont au prix de $ 32 086 (25.257,98 €), selon l'étude. Mike Sante, directeur de la rédaction de Interest.com nous rappelle, "juste parce que vous pouvez gérer le paiement mensuel ne signifie pas que vous devez laisser une balade $ 30,000 ou $ 40,000 engloutir tout comme une énorme part de votre salaire."

    Pour rembourser la dette

    Ces statistiques de la dette proviennent de Debt.org: «Plus de 160 millions d'Américains ont des cartes de crédit." «Le titulaire moyenne de carte de crédit a au moins trois cartes." «En moyenne, chaque ménage avec une carte de crédit a plus de 15.000 dollars (11.806 €) de la dette de carte de crédit."

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  8. Non seulement nous avons de grandes quantités de dette de carte de crédit, nous avons aussi les prêts étudiants, les prêts hypothécaires, les voitures, et les dettes médicales. Notre dette augmente plus vite que nos revenus, et de nombreux travailleurs de la classe moyenne ont du mal à rester à flot. Argent-Zine a évalué la croissance de la dette et la croissance des revenus au cours des dernières décennies et a conclu que «en 1980, le crédit à la consommation par personne était $ 1540, qui était de 7,3% du revenu moyen des ménages de $ 21,100. En 2013, la dette des consommateurs a $ 9800 par personne, qui était de 13,4% du revenu moyen des ménages de $ 72,600. Cela signifie la dette a augmenté de 70% plus rapide que le revenu de 1980 à 2013. "

    Les économies d'urgence

    Pour se donner une certaine sécurité financière, nous sommes censés avoir une épargne de précaution pour se protéger en cas de perte d'emploi, maladie, ou une autre catastrophe. La plupart des membres de la classe moyenne ne pas avoir au moins six mois d'économies d'urgence, cependant, et certaines personnes travaillant pas avoir de telles économies.

    Une enquête Bankrate a trouvé que les ménages seulement environ un sur quatre a six mois de fonds d'urgence enregistrés, et nombre d'entre eux sont dans les groupes à revenu élevé. Un autre quart n'a pas d'économies d'urgence à tous, et la famille reste une petite à modérée montant de l'épargne, mais pas assez pour couvrir les six mois de dépenses.

    L'épargne-retraite

    Si vous atteignez l'âge de la retraite avec peu ou pas d'argent économisé, la sécurité sociale ne va probablement pas être suffisant pour couvrir vos besoins de base. Même si vous voulez travailler pour toute votre vie, vous avez aucun moyen de savoir si oui ou non vous serez physiquement capable de le faire.

    Bien qu'ayant un manque de d'épargne-retraite est un geste risqué, tant de gens parient sur double zéro, tout en espérant que les choses vont travailler en leur faveur. Alors que certains membres de la négligence de la classe moyenne de cet aspect de la planification financière, car ils tergiversent, il y a aussi des travailleurs qui ne peuvent pas se permettre de cet argent de côté. Près de la moitié de ceux qui ne disent épargner pour la retraite, il est parce qu'ils ne disposent tout simplement pas l'argent.

    À la fin, environ 20% des personnes près de 65 ont pas sauvé quelque chose à la retraite à tous, et la majorité des gens - 59% - craignent de ne pas avoir assez d'argent épargné pour la retraite, selon un sondage Gallup.

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  9. Les soins médicaux

    Les soins médicaux est une nécessité de base et quelque chose que nous penserions serait abordable pour une personne gagnant un revenu moyen. Un article de Forbes a publié des données indiquant que les travailleurs des grandes entreprises - dont beaucoup sont des membres de la classe moyenne - "Font face à près de 5000 $ en primes, co-paiements, les franchises et les autres formes de co-assurance".

    Au cours des dernières années, ces coûts ont eu un grand impact sur les Américains de travail. Un rapport de Feeding America a constaté qu'un choquant 66% des ménages disent qu'ils ont eu à choisir entre payer pour la nourriture et payer pour des soins médicaux - 31% disent qu'ils ont de faire ce choix chaque mois.

    Les soins dentaires

    Selon le Département américain de la Santé et des Services, "les Etats-Unis dépensent environ 64 milliards de dollars par année en soins de santé bucco-dentaire - seulement 4% est payé par les programmes gouvernementaux." Environ 108 millions de personnes aux États-Unis aura pas d'assurance dentaire et même ceux qui sont couverts peuvent avoir des difficultés à obtenir les soins dont ils ont besoin, le département rapports.

    Souvent, les gens vont acheter une couverture médicale et dentaire renoncer parce qu'il est si cher. De plus, l'assurance dentaire ne peut couvrir que 50% des procédures plus coûteuses, comme des couronnes et des ponts. Cela laisse ceux qui ont une assurance avec de grandes co-paiements.

    Dans de nombreux cas, les intermédiaires salariés seront retarder ou même renoncer à certaines de ces procédures dans les efforts pour réduire les coûts. Selon le CDC, près d'un adulte sur quatre âgés de 20 et 64 ans ont des caries dentaires non traitées (comme des cavités ou des infections).

    * * *

    Si seulement ils avaient écouté Janet Yellen et trouvé des parents riches ou les entreprises achetées ....!

    Mais ils sont distraits ...

    http://www.zerohedge.com/news/2014-10-27/7-things-middle-class-cant-afford-anymor

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  10. NASA: Revisiter notre vulnérabiité pour les éruptions solaires

    Soumis par Tyler Durden sur 27/10/2014 20:02 -0400


    Elliott Capital Paul Singer a déjà soulevé ses préoccupations que " il ya un risque que représente façon au-dessus du reste en termes de l'étendue des dommages potentiels ajusté de la probabilité d'occurrence " -. une impulsion électromagnétique (EMP) Différents initiateurs du PEM ont différentes impulsions et des effets différents. Mais la ligne de fond est que les frites EMP appareils électroniques, y compris les parties de réseaux électriques. En 1859, une perturbation solaire particulièrement forte (la "Carrington événement») a entraîné des perturbations sur le réseau télégraphique naissante. Il est arrivé à nouveau à des perturbations similaires en 1921. Maintenant, comme le Dr Lika Guhathakurta discute, « d'apporter notre société moderne à l'arrêt, je ne pense pas que nous avons besoin d'un événement qui est grand comme un événement Carrington. Il pourrait être beaucoup plus petite, simplement en raison de la connexité de notre réseau électrique et aussi l'ensemble du système technologique. "

    Le plus grand de taches solaires sur le visage du soleil en plus de deux décennies a déclenché une poussée importante le vendredi (24 octobre), la quatrième tempête solaire intense de l'étoile actif en moins d'une semaine.

    Soumis par Adam Taggart via pic de prospérité ,

    L'année dernière, nous avons enregistré une interview passionnante avec le Dr Lika Guhathakurta, la NASA astrophysicien et héliophysique expert, à comprendre la science derrière les éjections de masse coronale (CME - communément appelés «les éruptions solaires) et les ravages d'un grand potentiel pouvait causer sur notre société dépendant de la technologie. Le CME grand enregistrée dans l'histoire moderne, le Carrington événement, survenu en 1859 et il est accusé vague de particules ramené alors nouveau système télégraphique à travers les États-Unis.

    Dr Guhathakurta retourne le podcast de cette semaine pour discuter d'un CME à grande échelle que près de frapper la Terre en Juillet 2012 (un coup direct nous manquera environ 1 semaine), ainsi que pour discuter les forces et les faiblesses du système d'alerte nous mettre en place pour nous alerter sur les dangers et la vulnérabilité continue de notre système ont à un tel événement:

    Pour apporter notre société moderne à l'arrêt, je ne pense pas que nous avons besoin d'un événement qui est grand comme un événement Carrington. Il pourrait être beaucoup plus petit, simplement en raison de la connexité de notre réseau électrique et aussi l'ensemble du système technologique. Nous ne savons pas comment faire fonctionner sans notre système de GPS.

    Ce qui est intéressant est que nous avons utilisé à penser que ce genre de faible probabilité, événement à fort impact se produit tous les 100 ans ou plus. Certains chercheurs font des calculs qui suggèrent que la probabilité pourrait être beaucoup plus élevé: 10-12%. Maintenant, que la probabilité qu'ils se réfèrent à dire que une tempête solaire qui sera sévère. Mais comme à son impact - nous en savons encore très peu à ce sujet.

    Pour écouter l'interview de Chris avec Lika Guhathakurta (35m 02s:):

    http://www.zerohedge.com/news/2014-10-27/nasa-revisiting-our-vulnerabiity-solar-flares

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    1. Comme je l'ai longuement/précédemment préconisé pour se protéger des IEM sur les centrales électrique nucléaire dans le monde il est important que chacune d'entr'elles prennent conscience que cela n'est pas une probabilité mais une certitude et que cela arrivera un jour. Donc, il est important qu'il y ait des bassins à niveau à côté de chaque réacteur nucléaire de façon à ce que l'approvisionnement en eau soit le plus court possible et le plus direct et qu'il se fasse en équilibre avec la source d'eau elle-même (mer ou fleuve), notamment aussi contre les tremblements de terre et, qu'il y ait des pompes à moteur (démarrant à la manivelle) non-pourvues d'électronique.

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  11. Le mythe de la presse libre


    Soumis par Tyler Durden sur 27/10/2014 21:13 -0400

    Rédigé par Chris Hedges, posté au départ Truthdig le blog ,



    Il y a plus de vérité sur le journalisme américain dans le film "Kill the Messenger", qui raconte le discrédit des médias grand public du travail de la journaliste d'investigation Gary Webb , qu'il n'y en a dans le film "Les Hommes du président", qui célèbre les exploits de les journalistes qui ont découvert le scandale du Watergate .

    Les médias soutiennent aveuglément l'idéologie du capitalisme d'entreprise. Ils louent et promouvoir le mythe de la démocratie américaine - alors même que nous sommes dépouillés de libertés civiles et de l'argent remplace le vote. Ils paient respect pour les dirigeants de Wall Street et à Washington, peu importe la façon dont leurs crimes perfide. Ils vénèrent servilement l'application de la loi militaire et au nom du patriotisme. Ils choisissent les spécialistes et experts, presque toujours issus des centres de pouvoir, à interpréter la réalité et expliquer la politique. Ils comptent habituellement sur les communiqués de presse, écrits par des sociétés, pour leur nouvelles. Et ils remplissent la plupart de leurs trous de presse avec potins, des histoires de vie, les sports et les faits divers. Le rôle des médias est de divertir ou de perroquet la propagande officielle pour les masses. Les sociétés, qui possèdent la presse, location de journalistes prêts à être courtisans aux élites, et ils les promouvoir que des célébrités. Ces courtisans journalistiques, qui peuvent gagner des millions de dollars, sont invités dans les cercles du pouvoir. Ils sont, comme John Ralston Saul écrit, hédonistes de puissance.

    Quand Webb, l'écriture d'une série 1996 dans le San Jose Mercury Nouvelles, exposé la complicité de la CIA dans le trafic de tonnes de cocaïne à vendre aux États-Unis pour financer les rebelles Contra soutenus par la CIA au Nicaragua, la presse a fait de lui un journaliste lépreux. Et au fil des générations, il y a une longue liste de lépreux journalistiques, de Ida B. Wells à IF Stone pour Julian Assange.

    Les attaques contre les Webb ont été renouvelés dans des publications telles que The Washington Post depuis la sortie du film plus tôt ce mois-ci. Ces attaques sont un acte d'auto-justification. Ils sont une tentative par les médias pour masquer la collaboration entre eux et l'élite au pouvoir. Les médias, comme le reste de l'establishment libéral, cherchent à se draper dans le placage morale de la poursuite intrépide de la vérité et de la justice. Mais pour maintenir ce mythe qu'ils ont à détruire la crédibilité des journalistes tels que Webb et Assange qui brillent d'une lumière sur les rouages sinistres et meurtrières de l'empire, qui se soucient plus de la vérité que les nouvelles.

    Principaux points de vente, y compris de nouvelles du pays de mon ancien employeur le New York Times, qui a écrit qu'il y avait "une preuve peu" de Webb de contention fonctionné comme chiens de garde pour la CIA. Peu de temps après l'exposé 1996 est apparu, le Washington Post près de deux pleines pages consacré à attaquer les affirmations de Webb. Le Los Angeles Times a publié trois articles distincts qui a frappé Webb et son histoire. Il était un chapitre minable, dégoûtant et honteux dans le journalisme américain. Mais il était loin d'être unique. Alexander Cockburn et Jeffrey St. Clair, dans l'article 2004 «Comment la presse et de la CIA tués carrière de Gary Webb," détail la dynamique de la campagne de dénigrement à l'échelle nationale.

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  12. Le journal de Webb, après l'impression d'un mea culpa sur la série, lui jeté dehors. Il était incapable de travailler de nouveau comme un journaliste d'investigation et, craignant de perdre sa maison, il se suicida en 2004. Nous savons, en partie à cause d'une enquête du Sénat dirigé par l'ex-Sen. John Kerry, qui Webb avait raison. Mais la vérité n'a jamais été question pour ceux qui se sont opposés à la journaliste. Webb a exposé la CIA comme une bande de voyous trafic d'armes, le trafic de drogue. Il a exposé les médias, qui dépendent de sources officielles pour la plupart de leurs nouvelles et sont donc l'otage de ces sources, comme servantes Craven du pouvoir. Il avait franchi la ligne. Et il a payé pour cela.

    Si la CIA a été canalise des centaines de millions de dollars en médicaments dans les quartiers du centre-ville pour financer une guerre illégale au Nicaragua, qu'est-ce que dire sur la légitimité de la vaste organisation clandestine ? Qu'est-ce que cela nous apprend sur la soi-disant guerre sur médicaments ? Qu'est-ce que cela nous apprend sur l'insensibilité et l'indifférence du gouvernement aux populations pauvres, en particulier pauvres de couleur à la hauteur de l'épidémie de crack ? Qu'est-ce qu'il dit au sujet des opérations militaires menées au-delà de voyous public ?

    Ce sont les questions les élites des électriques, et leurs courtisans dans la presse, ont été déterminées au silence.

    Les médias sont en proie à la même médiocrité, le corporatisme et le carriérisme comme l'académie, les syndicats, les arts, le Parti démocratique et les institutions religieuses. Ils accrochent à la mantra égoïste de l'impartialité et de l'objectivité pour justifier leur soumission au pouvoir. La presse parle et écrit, à la différence des universitaires que bavardage entre eux dans le jargon ésotérique comme médiévales théologiens à être entendu et compris par le public. Et pour cette raison, la presse est plus puissant et plus étroitement contrôlé par l'Etat. Il joue un rôle essentiel dans la diffusion de la propagande officielle. Mais pour diffuser efficacement la propagande de l'Etat à la presse doit maintenir la fiction de l'indépendance et de l'intégrité. Il doit cacher ses véritables intentions.

    Les médias, comme C. Wright Mills a fait remarquer, sont des outils essentiels pour la conformité. Ils donnent aux lecteurs et aux téléspectateurs leur sens d'eux-mêmes. Ils leur disent qui ils sont. Ils leur disent que leurs aspirations devraient être. Ils promettent de les aider à atteindre ces aspirations. Ils offrent une variété de techniques, des conseils et des stratagèmes qui promettent la réussite personnelle et professionnelle. Les médias, comme Wright a écrit, existent principalement pour aider les citoyens sentent qu'ils ont du succès et qu'ils ont répondu à leurs aspirations, même si elles ne l'ont pas. Ils utilisent un langage et des images à manipuler et se forger une opinion, de ne pas favoriser un véritable débat démocratique et de la conversation ou d'ouvrir l'espace public à l'action politique libre et la délibération publique. Nous sommes transformés en spectateurs passifs de pouvoir par les médias de masse, qui décident pour nous ce qui est vrai et ce qui est faux, ce qui est légitime et ce qui l'est pas. La vérité est quelque chose que nous découvrons. Il est décrété par les organes de communication de masse.

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  13. "Le divorce de la vérité du discours et l'action à l'instrumentalisation de communication n'a pas seulement accru l'incidence de la propagande; il a perturbé la notion même de vérité, et donc le sens par lequel nous prenons nos repères dans le monde est détruit », a écrit James W. Carey dans" Communication comme culture ".

    Combler le fossé énorme entre les identités idéalisées-ones que dans une culture des produits de base tournent autour de l'acquisition du statut, de l'argent, la gloire et la puissance, ou au moins l'illusion de ce et identités réelles est la fonction première des médias de masse. Et la restauration de ces identités idéalisées, largement implantés par les annonceurs et la culture d'entreprise, peut être très rentable. On nous donne pas ce que nous devons, mais ce que nous voulons. Les médias nous permettent d'échapper au monde séduisant du divertissement et du spectacle. Nouvelles est filtré dans le mélange, mais il est pas la principale préoccupation des médias de masse. Pas plus de 15 % de l'espace dans un journal est consacrée aux nouvelles; le reste est consacré à une quête futile de se réaliser. Le rapport est encore plus déséquilibré sur les ondes.

    "Ceci," Mills a écrit, "est probablement la formule psychologique de base d'aujourd'hui Les médias de masse. Mais, comme une formule, il est en phase avec le développement de l'être humain. Il est une formule d'un pseudo-monde que les médias inventent et soutiennent ".

    Au cœur de cette pseudo-monde est le mythe que nos institutions nationales, y compris ceux du gouvernement, de l'armée et de la finance, sont efficaces et vertueux, que nous pouvons leur faire confiance et que leurs intentions sont bonnes. Ces institutions peuvent être critiqués pour excès et les abus, mais ils ne peuvent pas être assaillis comme étant hostile à la démocratie et le bien commun. Ils ne peuvent pas être exposés comme des entreprises criminelles, au moins si l'on espère conserver une voix dans les médias.

    Ceux qui travaillent dans les médias, comme je l'ai fait pendant deux décennies, sont parfaitement conscients de la collaboration avec le pouvoir et la manipulation cynique du public par les élites au pouvoir. Cela ne signifie pas qu'il n'y a jamais un journalisme de qualité et que la soumission à l'entreprise pouvoir au sein de l'académie exclut toujours une bonne bourse, mais les pressions internes, cachés de la vue du public, faire du grand journalisme et grande érudition très, très difficile. Un tel travail, surtout si elle est soutenue, est généralement un tueur de carrière. Des chercheurs tels que Norman Finkelstein et des journalistes comme Webb et Assange qui marchent en dehors des paramètres acceptables de débat et remettent en question le récit mythique de puissance, qui remettent en question les motifs et les vertus des institutions établies et qui nomment les crimes de l'empire sont toujours chassés.

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  14. La presse va attaquer groupes au sein de l'élite au pouvoir que lorsque une faction au sein du cercle du pouvoir va à la guerre avec un autre. Lorsque Richard Nixon, qui avait utilisé des méthodes illégales et clandestines de harceler et d'arrêter la presse clandestine ainsi que persécuter anti-guerre des militants et des dissidents radicaux noirs, sont allés après le Parti démocratique, il est devenu un jeu équitable pour la presse. Son péché était pas l'abus de pouvoir. Il avait abusé de puissance pendant une longue période contre les personnes et les groupes qui ne comptent pas dans les yeux de l'establishment. Le péché de Nixon était d'abus de pouvoir contre une faction au sein de l'élite du pouvoir lui-même.

    Le scandale du Watergate, mythifié comme preuve d'une presse courageuse et indépendante, est une illustration de la façon dont circonscrit les médias est quand il vient à enquêter sur les centres de pouvoir.

    «L'histoire a eu la gentillesse de s'arranger pour nous une« expérience contrôlée »afin de déterminer exactement ce qui est en jeu au cours de la période du Watergate, lorsque la position de confrontation des médias a atteint son apogée. La réponse est claire et précise: groupes puissants sont capables de se défendre, sans surprise; et selon les normes des médias, il est un scandale quand leur situation et les droits sont menacés », a écrit Edward S. Herman et Noam Chomsky dans "Manufacturing Consent : L'économie politique des médias de masse". "En revanche, aussi longtemps que les illégalités et les violations de substance démocratique sont confinés à des groupes marginaux ou dissidents victimes d'une attaque militaire des États-Unis, ou entraîne des coûts diffus imposé à la population générale, l'opposition des médias est coupé et totalement absente. Ceci est la raison pour laquelle Nixon pouvait aller aussi loin, bercer d'un faux sentiment de sécurité, précisément parce que le chien de garde aboya quand il a commencé à menacer les privilégiés ".

    Le tonnerre juste des abolitionnistes et des prédicateurs des droits civils, les journalistes d'investigation qui Furieux Standard Oil et les propriétaires des abattoirs de Chicago, les productions théâtrales radicaux, tels que "The Cradle Will Rock," qui a implosé les mythes colportés par la classe dirigeante et a donné une voix aux gens ordinaires, les syndicats qui ont permis les Afro-Américains, les immigrants et les travailleurs, hommes et femmes à trouver la dignité et de l'espoir, les grandes universités publiques qui ont offert les enfants d'immigrés une chance pour une éducation de première classe, le New Deal démocrates qui ont compris que la démocratie est pas sûr si elle ne donne pas à ses citoyens un niveau de vie acceptable et protéger l'état d'être pris en otage par le pouvoir privé, ne font plus partie du paysage américain. Il est le malheur de Webb à travailler dans une ère lorsque la liberté de la presse était aussi vide un cliché que la démocratie elle-même.

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  15. "The Cradle Will Rock," comme beaucoup de travail populaire qui est sorti du projet fédéral de théâtre, a répondu aux préoccupations de la classe ouvrière plutôt que l'élite au pouvoir. Et il fustigea la folie de la guerre, la cupidité, la corruption et la complicité des institutions libérales, en particulier la presse, à la protection de l'élite au pouvoir et ignorer les abus du capitalisme. Monsieur Monsieur dans le jeu court la ville comme une entreprise privée.

    «Je crois que les journaux sont de grands shapers mentale», dit Monsieur Monsieur. "Mon industrie de l'acier est à leur charge vraiment."

    "Juste vous appelez les Nouvelles," répond l'éditeur Daily. "Et nous imprimons toutes les nouvelles. D'un océan à l'autre, et de frontière à frontière. "

    Editeur quotidien et Mister Monsieur chanter:

    O la presse, la presse, la liberté de la presse.
    Ils ne seront jamais enlever la liberté de la presse.
    Nous devons être libres de dire ce qui est sur notre chest-
    avec un hey-diddle-dee et ho-nounou-pas
    pour quel côté va payer le meilleur.

    «Je voudrais une série sur le jeune Larry Foreman," dit Monsieur Monsieur éditeur Daily. "Qui fait le tour stormin 'et organizin« syndicats ».

    "Oui, nous avons entendu parler de lui», dit l'éditeur Daily Monsieur Monsieur. "En fait, bon mot de lui. Il semble très populaire auprès des ouvriers ".

    "Découvrez qui il boit avec et parle avec et dort avec. Et regarder son passé jusqu'à ce qu'enfin vous avez sur lui ".

    "Mais l'homme est si plein de combat, il est tout simplement dynamite, pourquoi il faudrait une armée pour l'apprivoiser», dit l'éditeur Daily.

    "Ensuite, il ne devrait pas être trop difficile de l'apprivoiser», dit Monsieur Monsieur.

    "O la presse, la presse, la liberté de la presse," les deux chanter. "Vous avez seulement à suggérer tout ce qui est apte à imprimer; si quelque chose ne va pas avec lui, alors pourquoi nous l'imprimerons pour s'adapter. Avec un il-diddly-dee et aho-nonny-pas. Pour quel côté se payer le meilleur. "

    http://www.zerohedge.com/news/2014-10-27/myth-free-press

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    1. Le mythe de la presse libre ! Hahahaha ! L'a t-elle d'ailleurs été un jour ??

      Je pense que les médias sont comme les supermarchés, ils sont critiqués tous les jours pour la merde qu'ils vendent et: le public en redemande !!

      Malgré que cela soit en train de changer dans le bon sens du terme depuis l'arrivée d'Internet, il y en a encore qui ont... la télé chez eux !! Si-si ! J'en ai vu ! Hahaha !

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  16. L'Amérique a secrètement recruté des milliers de nazis comme «actifs» de la guerre froide


    Soumis par Tyler Durden sur 27/10/2014 19:29 -0400


    Winston Churchill a dit que "Vous pouvez toujours compter sur les Américains pour faire la bonne chose - après qu'ils ont essayé tout le reste." Par «tout le reste», apparemment il voulait aussi embaucher des milliers de nazis comme des espions et des informateurs de la guerre froide et, selon le New York Times, "pas plus tard que les années 1990, dissimuler les liens du gouvernement à certains vivent encore en Amérique."

    Parce que rappelez-vous quand simplement associer des criminels de guerre nazis était suffisant pour vous jeter dehors de la bonne société à perpétuité et probablement jeté dans une prison américaine, ou pire ? Eh bien, quand celui qui fait l'association est que créature de la plus grande «fluidité» quand il est question de la moralité, le gouvernement des États-Unis, apparemment prêchait supériorité morale tout envahir et cible d'extermination monde "dictateurs" dont le seul crime est d'être «mal» selon boussole morale immaculée du gouvernement américain, alors tout est pardonné. Mais avant que la vérité est révélée, il y aura des années de nier, de déformer les faits, et carrément menti.

    Donc, ici, selon le New York Times, les faits sur l'emploi de l'Oncle Sam de nazis pendant des décennies. «Au plus fort de la guerre froide dans les années 1950, répressifs et de renseignement des leaders comme J. Edgar Hoover au FBI et Allen Dulles à la CIA agressive recrutés nazis ponctuels de tous grades secrets, anti-soviétiques "actifs", les dossiers déclassifiés montrer ".

    Et tandis que les Allemands justifié leurs actions au cours de la Seconde Guerre mondiale par les commandes suivantes simplement, comment les États-Unis cherche à valider ses actions grotesques ? Voici le NYT avec la phrase gagnante de la journée, sinon année:

    Ils croyaient la valeur de l'intelligence des anciens nazis contre les Russes l'emportent sur ce que l'on appelle officiel «défaillances morales» dans leur service au Troisième Reich.

    Et voilà: défaillances morales . Lorsque les krachs boursiers, et longtemps différée effondrement de l'économie américaine est maintenant un fait, préparez-vous à entendre beaucoup plus sur les manquements soi-disant morales des banquiers, responsables de la Réserve fédérale, et économiste titulaire lors des prochaines tribunaux publics.

    Mais revenons à double standard de l'Amérique dans purshing vs conservant criminels nazis:

    L'agence a embauché un ancien officier SS comme un espion dans les années 1950, par exemple, même après avoir conclu qu'il était probablement coupable de «crimes de guerre mineurs."

    Et en 1994, un avocat de la CIA a fait pression sur les procureurs d'abandonner une enquête sur un ex-espion à l'extérieur de Boston impliqué dans le massacre par les nazis de dizaines de milliers de juifs en Lituanie, selon un fonctionnaire du gouvernement.

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  17. Preuve des liens de gouvernement aux espions nazis a commencé à émerger publiquement dans les années 1970. Mais des milliers de dossiers de fichiers déclassifiés, liberté d'information Loi et d'autres sources, ainsi que des entretiens avec de nombreux représentants du gouvernement, anciens et actuels, montrent que le recrutement de nazis du gouvernement a couru beaucoup plus profonde que précédemment connu et que les autorités ont cherché à dissimuler ces liens pour au moins un demi-siècle après la guerre.

    En 1980, les responsables du FBI ont refusé de dire, même propres chasseurs du ministère de la Justice nazis ce qu'ils savaient sur 16 nazis présumés vivant aux États-Unis.

    Et voici pourquoi les Etats-Unis fait tout en son pouvoir pour maintenir la terrible vérité cachée: " Certains espions pour les États-Unis ont travaillé au plus haut niveau pour les nazis. "

    Un officier SS, Otto von Bolschwing, a été un mentor et proche collaborateur de Adolf Eichmann, l'architecte de la "solution finale", et a rédigé des documents d'orientation sur la façon de terroriser les juifs.

    Pourtant, après la guerre, la CIA non seulement l'a engagé comme espion en Europe, mais lui et sa famille à New York a déménagé en 1954, les dossiers montrent. Le mouvement a été considéré comme un "une récompense pour son service après-guerre et fidèle en vue de l'innocuité de ses [nazi] les activités du parti», a écrit l'agence.

    Toute personne lisant ce avec rien que du dégoût serait ravi de savoir que le propre fils de Bolschwing a été surpris par la nature à double face du gouvernement américain:

    Son fils, Gus von Bolschwing, qui a appris de nombreuses années plus tard, des liens de son père aux nazis, voit la relation entre l'agence d'espionnage et son père comme l'un des convenance mutuelle forgé par la guerre froide.

    "Ils l'ont utilisé, et il les utilise," Gus von Bolschwing, maintenant 75, a déclaré dans une interview. "Il ne devrait pas avoir lieu. Il ne devrait jamais avoir été admis aux États-Unis. Il n'a pas été conforme à nos valeurs en tant que pays ".

    Il alla si loin que l'Amérique ferait tout en son pouvoir pour cacher son échec moral pathologique de même son plus proche d'alliés, l'Israélien:

    Fonctionnaires de l'Agence craignaient ainsi que M. von Bolschwing pourrait être nommé d'Eichmann "collaborateur et compagnon de conspirateur et que la publicité qui pourrait se révéler embarrassant pour les Etats-Unis" un fonctionnaire de la CIA a écrit.

    Après deux agents ont rencontré M. von Bolschwing en 1961, l'agence lui a assuré qu'il ne serait pas divulguer ses liens avec Eichmann, les dossiers montrent. Il a vécu librement pour un autre 20 ans avant les procureurs ont découvert son rôle en temps de guerre et lui poursuivis. Il a accepté de renoncer à sa citoyenneté en 1981, mourant mois plus tard.

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  18. La ligne du bas choquant:

    En tout, l'armée américaine, la CIA, le FBI et d'autres agences utilisé au moins 1 000 ex-nazis et des collaborateurs comme des espions et des informateurs après la guerre, selon Richard Breitman, un spécialiste de l'Holocauste à l'Université américaine qui était sur un nommé par le gouvernement équipe qui déclassifié dossiers de crimes de guerre.

    Le décompte complet des nazis-espions tourné est probablement beaucoup plus élevé , a déclaré Norman Goda, un historien de l'Université de la Floride de l'équipe de déclassification, mais de nombreux dossiers restent classés même aujourd'hui, ce qui rend impossible un dénombrement complet.

    On ne peut que spéculer: maintenant la plupart sont soit morts, soit «suicidé», tout comme la Deutsche banquiers: «Aucun des espions sont connus pour être en vie aujourd'hui."

    Et alors que rien de tout cela vient comme une surprise, surtout à la suite des révélations Snowden, on peut se demander si le monde à attendre encore 50 années ou plus avant d'être déclassifié de la CIA qui a été le principal instigateur et de tous les conflits en cours autour de le monde, de la guerre civile en Ukraine à ISIS ?

    http://www.zerohedge.com/news/2014-10-27/america-secretly-recruited-thousands-nazis-cold-war-assets

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    1. Ce ne sont pas des pays que gèrent les hommes de l'ombre mais des régions du monde où les 'chefs d'Etats' ne sont que des Préfets qu'ils surveillent comme tout autre. Il n'y a donc pas de notion de 'patriotisme' mais seulement de marchés.

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  19. Cette fois-ci, c'est différent: finalement, 25 banques ont échoué aux stress-tests de la BCE


    par Audrey Duperron
    27 oct. 2014


    Finalement, 25 banques européennes, dont 9 banques italiennes, 3 banques grecques et 3 banques chypriotes, ont échoué aux stress-tests de la Banque Centrale Européenne, rapporte Bloomberg. Parmi les banques qui ont échoué, on trouve 2 banques belges, AXA Banque Europe, et Dexia NV.

    Au total, la BCE a mis en évidence un manque de 25 milliards d’euros de capitaux bancaires à la fin de l’année 2013 ; entretemps, 12 des institutions déficitaires en capitaux sont parvenues à combler ce manque de 15 milliards d’euros, et 13 d’entre elles sont encore sous-capitalisées de 10 milliards d’euros, conclut le rapport. Au total, il rappelle que le système bancaire de la zone euro totalise 22 000 milliards d’actifs.

    Aucune des plus grandes européennes n’a échoué au test pour manque de capitaux. Les institutions qui ont échoué disposent désormais de 9 mois pour résoudre les problèmes identifiés par la BCE. Deux banques grecques ont été exemptées de cette obligation, parce qu’elles ont déjà engagé des démarches pour corriger leur problème.

    C’est dans la patrie de Mario Draghi, le patron de la BCE, que les banques se sont avérées les plus vulnérables, en raison des défaillances de crédit de leurs emprunteurs, et de la troisième récession à laquelle le pays fait face depuis 2008. La troisième banque du pays, Monte Paschi (BMPS), la Banca Carige SpA (CRG) et deux autres banques coopératives doivent 3,3 milliards d’euros de capitaux entre elles.

    Les stress-tests, soumis à 130 banques aux 18 pays de la zone euro plus la Lituanie par l’Autorité Bancaire Européenne sous la supervision de la BCE, comprenaient un scénario de base établi sur la base des prévisions économiques de la Commission européenne, et un scénario défavorable, avec une hypothèse de récession et d’effondrement du marché des obligations souveraines.

    « Cela aurait été un problème pour la BCE de convaincre le marché de sa crédibilité s’il n’y avait eu qu’un faible nombre d’échecs ou de capitaux à lever », commente Jon Peace, un analyste bancaire à l’agence Nomura Holdings de Londres.

    Lors de la dernière série de tests qui avait été menée en 2011, 8 banques sur 90 avaient échoué, avec un manque global de 2,5 milliards de capitaux. Cependant, ces tests n’avaient pas permis de mettre en évidence les difficultés de certaines des institutions qui les avaient passés avec succès. Quelques mois plus tard, la crise financière avait exposé ces vulnérabilités, et certaines d'entre elles, dont Dexia, avaient dû être renflouées.

    Selon l’économiste allemand Hans-Werner Sinn, qui est aussi président de l’Institut Ifo, cette nouvelle série de tests a été trop clémente, parce que son scénario n’intégrait pas de déflation en Europe du Sud. Il affirme que cette omission a eu pour conséquence une sous-estimation de la sous-capitalisation réelle de beaucoup de banques.

    http://www.express.be/business/fr/economy/cette-fois-ci-cest-different-finalement-25-banques-ont-echou-aux-stress-tests/208793.htm

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  20. Que se passera-t-il en Allemagne si la Russie décide de suspendre totalement les livraisons de gaz vers l'Europe ?

    par Audrey Duperron
    26 oct. 2014

    L’une des pires menaces qui pèsent sur l’Europe serait la suspension totale de la fourniture de gaz de la part de la Russie. On sait qu’une telle décision nuirait à la Russie, mais quelle serait son impact en Europe, et en particulier en Allemagne ? Le site Wolfstreet rapporte que la Commission européenne a publié la semaine dernière un rapport se voulant rassurant sur les effets d’un arrêt des livraisons de gaz en Europe pendant les 6 mois d’hiver, ce que l’on pourrait qualifier de « stress test pour le gaz ».

    Selon Günther Oettinger, Commissaire pour l’Energie, ce ne serait pas si grave. Mais pour Wolf Richter de Wolf Street, ce ton tranquillisant est délibéré, ces stress-tests ayant le même objectif que les stress-tests des banques, c’est-à-dire rassurer les gens en leur suggérant qu’ils n’ont pas à s’inquiéter, que tout est sous contrôle. Le rapport indique que certains pays, notamment la Bulgarie et l’Estonie, connaitraient des difficultés importantes, mais qui pourraient être surmontées par un travail collectif, affirme le commissaire.

    Mais un rapport secret émis par le ministère fédéral allemand de l’Energie, que le Spiegel est parvenu à se procurer, infirme ces paroles rassurantes. Il conclut que pour l’Allemagne, un pays qui est moins dépendant du gaz russe que d’autres tels pays tels que la Finlande, la Pologne, l’Estonie et la Bulgarie, l’arrêt total des livraisons de gaz naturel de la Russie serait une catastrophe.

    Normalement, l’Allemagne consomme 51 milliards de mètres cubes de gaz pendant l'hiver, dont 45% proviennent de la Russie. La nation pourrait compenser une partie du gaz manquant en faisant appel à d'autres sources, mais elles ne pourraient fournir que moins de 6 milliards de mètres cubes de gaz, ce qui signifie qu'il manquerait autour de 17 milliards de mètres cubes.

    Fermetures d'entreprises et licenciements collectifs
    Après une période au cours de laquelle le pays puiserait dans les réserves de gaz, le gouvernement allemand serait contraint de prendre des mesures d'urgence pour rationner la consommation de gaz, c’est-à-dire qu’il devrait décider quels doivent être les bénéficiaires prioritaires du gaz disponible.

    Selon le rapport, cette hiérarchie a déjà été établie, et elle prévoit que les ménages (dont la consommation annuelle atteint 26 milliards de mètres cubes) seraient épargnés autant que possible, tout comme les centrales énergétiques fonctionnant au gaz (qui absorbent 2,4 milliards de mètres cubes par an), qui sont indispensables pour la fourniture d’électricité. L’industrie et les autres usines fonctionnant au gaz seraient donc les perdantes de ce scénario. Les deux premiers groupes cumulant en effet 28,4 milliards de mètres cubes en consommation annuelle de gaz, il ne resterait rien pour les deux derniers.

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  21. Mais sur le plan pratique, ce serait encore plus compliqué. Rien ne permet de discriminer ces différents groupes de consommateurs dans le réseau de distribution du gaz ; il ne serait donc pas possible de les différencier, et il serait possible de suspendre l’alimentation en gaz de certains foyers, tout en la maintenant pour certaines usines dont le fonctionnement n'est pas jugé indispensable.

    En outre, ce scénario serait désastreux pour l'économie allemande. De nombreuses usines devraient fermer leurs portes, faute d’énergie, parce que leur électricité est fournie par des centrales au gaz jugées non essentielles. La production serait réduite au minimum, et il s’ensuivrait des licenciements massifs. Les chanceux qui parviendraient encore à se faire livrer du gaz devraient le payer un prix très élevé.

    Wolf Richter conclut de la façon suivante:

    Avec cette décision, aussi auto-destructrice qu’elle pourrait être, la Russie pourrait anéantir la puissance industrielle de l’Allemagne, au moins pour un moment, et elle pourrait semer un chaos qui pourrait se répercuter dans le monde, parce que les commandes faites aux exportateurs allemands ne pourraient pas être honorées, et que les importations pourraient être suspendues. Les coûts seraient tout simplement bien trop importants pour être envisagés. Et c’est pour cela que le rapport a été tenu secret, et c’est la raison pour laquelle même le Parlement allemand ne l’a pas vu, et pourquoi les Eurocrates sont tous sortis avec leurs mots rassurants pour conforter la population ».

    Espérons donc que la Russie ait autant besoin des roubles provenant des exportations de gaz que l'Europe a besoin de son gaz...

    http://www.express.be/business/fr/economy/que-se-passera-t-il-en-allemagne-si-la-russie-decide-de-suspendre-totalement-les-livraisons-de-gaz-vers-leurope/208792.htm

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    1. C'est vrai que de se foutre de la gueule des gens en les forçant à payer le gaz aux nazis ou de leur livrer des armes (et des mercenaires) pour combattre ceux qui osent être encore contre la renaissance d'adolf hitler à de quoi en inquiéter plus d'un y compris Vladimir Poutine !

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  22. « Tout va bien, les banques sont solides ! Ouf ! Les stress tests ? Résultats brillants… »

    Mes chères contrariennes, mes chers contrariens !


    Comme à chaque fois, il est totalement illusoire de croire qu’un tel examen puisse voir échouer une banque de taille importante pour la simple et bonne raison que le système bancaire est tellement imbriqué qu’un défaut important sur une banque pourrait entraîner… non, entraînerait l’effondrement de toute la planète finance, ne serait-ce que par l’activation des fameux produits dérivés qui se comptent par centaines de milliers de milliards de dollars (oui, je sais, c’est difficilement représentable).

    Donc comme prévu, les banques importantes ont largement réussi leur examen de passage à la BCE. Bon, il y en a bien 25 qui échouent mais de vous à moi, on s’en fiche un peu vu que ce sont des banques qui ne comptent pas et qui sont fondamentalement insignifiantes en termes macro-économiques.

    BCE : 25 banques ont échoué aux tests de résistance européens

    Du coup, les agences de presse vont pouvoir faire des communiqués victorieux et la presse grand public, rassurer le « mougeon » (hybride mouton/pigeon correspondant aux con-tribuables que nous sommes qui, au bout du bout, sera le dindon de la plus grande farce financière de l’histoire mondiale).

    Bref, voici ce que nous raconte l’agence Reuters :

    « La Banque centrale européenne (BCE) a annoncé dimanche que 25 banques de la zone euro sur 130 avaient échoué à l’examen sans précédent du secteur, évaluant leur besoin en capital à quelque 25 milliards d’euros.

    Parmi les banques concernées, l’institution monétaire de Francfort a notamment recensé 9 italiennes, 3 grecques, 3 chypriotes, mais également l’allemande Münchener Hypothekenbank ainsi qu’un petit établissement français, la Caisse de refinancement de l’habitat.

    Cet audit a été mené sur la base du bilan des banques à fin 2013 et douze des 25 banques qui ont échoué ont déjà comblé leurs besoins de capital en levant environ 15 milliards d’euros en 2014, a souligné la BCE. » Blablablablablablablablabla et etc., etc., etc., etc., tout va bien, on va bien, y’a pas de problème.

    Le meilleur dans cette dépêche, c’est ce passage…

    « Cet examen va doper la confiance publique dans le secteur bancaire, s’est félicité Vitor Constancio, vice-président de la BCE, cité dans ce communiqué. » Merci Vitor, je commençais à trouver le temps long avant que ne retentissent les trompettes et les tambours annonciateurs d’une victoire éclatante. Ridicule discours, et encore plus pathétique que de le voir repris immédiatement, sans mise en perspective, sans analyse de fond comme un mantra.

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  23. Autre passage assez rigolo :

    « Menée dans le plus grand secret, cette opération baptisée Comprehensive Assessment, qui a mobilisé 6 000 personnes, visait à connaître aussi précisément que possible la situation financière des banques, avant que la BCE n’endosse le 4 novembre le rôle de superviseur bancaire européen… »

    Alors là, je suis impressionné, mené dans le plus grand secret (le secret fascine toujours les peuples, genre 007 du bilan comptable des banques) et la mobilisation de moyens démentiels du genre 6 000 bonhommes tout de même. Remarquez, en ces temps de chômage de masse, voir du monde occupé même à ne rien foutre ça me va bien, c’est une forme de répartition de richesse. Ben oui, ils s’y sont mis à 6 000 pour réussir à choisir les 25 banques les plus petites et les plus minables d’Europe pour leur filer une mauvaise note et ils ont laissé les cancres du fond de la classe tranquilles vu qu’ils sont un peu trop gros, gras et baraqués…

    J’aurais pu franchement faire ce boulot tout seul et en plus, une semaine aurait été largement suffisante. Je vous montre.

    Les stress tests, comment faire en 5 minutes ?

    Étape 1, choisir la banque par laquelle on va commencer. Tirer à « plouf ». Plouf, plouf, ce sera toi la première… Et hop ! BNP Paribas.

    Étape 2, allumer votre ordi et appeler votre meilleur ami… Google. Taper dans le moteur de recherche « bilan BNP Paribas au 31/12/2013?. Laisser le machin charger les bidules. 20 Mo tout de même alors ça prend du temps. C’est ici :
    http://rapportannuel.bnpparibas.com/2013/ra/Rapport_Annuel_2013_BNPParibas.pdf

    Étape 3, regarder deux choses. 1) Le total des fonds propres. 2) Le total des engagements. 3) Calculer le ratio de problèmes à venir contrariens, le RPAVC. Sachez que je ne peux en aucun cas parler de ratio de solvabilité et dire qu’ils sont totalement crétins et bidons vu leur mode de calcul juste surréaliste (parce que le dernier qui a tenté, le professeur Chevalier, sur son blog s’est retrouvé avec une amende 8 000 euros de l’AMF et comme je n’ai pas 8 000 euros à refiler à l’AMF, il va falloir louvoyer un petit peu, mais vous le savez bien et vous savez lire entre « mes lignes »).

    Donc pour calculer un RPAVC que l’on peut écrire plus justement RPAWC, vu que tout cela est aussi clair que du jus de WC lors d’une épidémie de gastro-entérite, c’est simple.

    Tout d’abord, un petit arrêt page 4 pour contempler les têtes de vainqueurs qui trônent en tête de ce rapport et dont le travail brillant vient de coûter quelques milliards de dollars d’amendes à la banque.

    Ensuite, allez directement à la page 9. Petit tableau récapitulatif.

    Fonds propres 87,571 milliards d’euros et total des engagements, c’est-à-dire de l’actif : 1 800 milliards d’euros et des brouettes. À noter, pour être intellectuellement juste, que la BNP a considérablement réduit la taille de son bilan puisqu’avant la crise ou au tout début, il était de presque de 2 600 milliards d’euros pour des fonds propres me semble-t-il nettement plus faibles. On peut donc effectivement considérer que la situation financière de cette très grande banque française s’améliore.

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  24. Bref, calcul du RPAWC : 1 800 divisé par 87 = 20,68

    Cela veut dire que la banque a engagé presque 21 fois ses fonds propres… Ou encore que si 5 % du bilan de la banque ou de ses actifs foirent et valent 0 – et 5 % quand on est dans une énorme crise ce n’est pas énorme, c’est même optimiste puisque cela veut dire que 95 % du reste tient bon –, eh bien si seulement 5 % foirent, cela mange, bouffe, détruit 100 % des fonds propres de cette banque qui est l’une des plus grandes de notre pays et pas forcément la plus mal gérée d’ailleurs.

    Alors moi ils me racontent ce qu’ils veulent avec leurs stress tests à la mords-moi le nœud, je ne crois que ce que je vois et ce que je vois ce sont des bilans qui ne sont pas rassurants. Navré pour les gentils banquiers de la BNP, mon analyse est tombée sur eux mais ce n’est pas de ma faute, on a juste tiré à la « plouf ». Mais qu’ils se rassurent, les autres banques françaises ne sont pas mieux, voire même pires.

    À savoir pour la BCE et ses savants calculs nécessitant 6 000 pimpins

    Je vais vous expliquer en gros la méthode de calcul. Je précise à l’AMF que j’explique en gros, donc inutile de venir me faire un procès parce que je n’aurais pas été exhaustif, d’abord je veux faire rigoler mes lecteurs et ensuite c’est juste pour leur expliquer une « logique ».

    L’idée c’est que les bilans bancaires c’est super simple dans l’absolu et très compliqué en pratique puisqu’il y a des règles de gestion, des clefs de calcul pour chaque truc et dans chaque machin. Donc on calcule les fonds propres d’une banque par rapport à ses encours évidemment mais en fonction d’une sublime notion appelée « risques pondérés ». Par exemple, tous ceux qui avaient prêté à Lehman Brothers considéraient dans leur calcul de risques pondérés qu’il n’y avait aucun risque à prêter à la Lehman, pensez-donc ma brave dame, une banque de cette taille… Bref, donc du coup, en face d’un risque que l’on calcule comme faible ou inexistant, on ne met pas ou peu de ressources en fonds propres. Plus le crédit est risqué plus ce dernier « mangera » de fonds propres. Alors évidemment, cela laisse place à de l’interprétation et à de savants calculs, d’où le fait qu’ils s’y mettent pendant 6 mois à 6 000 pour y retrouver quelque chose ou faire semblant d’avoir un peu compris.

    Je ne vous dirai pas non plus que les fonds propres par exemple de la BNP sont pour l’écrasante majorité placés en bonnes obligations d’États au bord de la faillite pour la simple raison qu’une obligation d’un État surendetté comme la France, ça, c’est autorisé pour placer les fonds propres d’une banque…

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  25. Je ne vous dirai pas non plus que les tests de la BCE ne prennent évidemment pas en compte l’hypothèse d’une faillite d’État, vu que de toutes les façons dans un tel cas c’est le système tout entier qui saute.

    On va donc assister dans les prochains jours à de savants « glosages » d’experts tous aussi savants concernant la solidité impressionnante du système bancaire européen et la capacité que les grandes banques européennes ont eu à récupérer de la crise. On dira aux gens dormez tranquilles. Tout va bien brave gens, Ebola et le nuage de Tchernobyl ont été arrêtés au même poste frontière.

    Laissez-les faire surtout. Mais calculez vos RPAWC vous-même si vous ne me croyez pas. Une fois que vous aurez fait quelques divisions (n’hésitez pas à utiliser une calculatrice, ça va plus vite), vous les laisserez braire en groupe et se taper sur le ventre dans leurs libations collectives et victorieuses, et vous en profiterez pour renforcer à bon compte aussi bien votre stock de boîtes de conserve que votre trésor de pirate en pièces d’or et d’argent parce qu’il est inéluctable qu’à un moment ou un autre, les ratios de solvabilité ne vaudront guère plus que mon très sérieux RPAWC…

    Il est déjà trop tard. Préparez-vous et restez à l’écoute.
    À demain… si vous le voulez bien !!
    Charles SANNAT

    http://www.lecontrarien.com/tout-va-bien-les-banques-sont-solides-ouf-les-stress-tests-resultats-brillants-27-10-2014-edito?utm_source=Le+Contrarien+Matin&utm_campaign=8753645c39-daily_newsletter_2014_10_27&utm_medium=email&utm_term=0_b6dd3f3e5f-8753645c39-45320805

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  26. Pourquoi les ménages allemands sont plus fragiles que vous pensez

    Les tests de résistance des ménages européens sur montrent un choc économique sévère nuirait Allemagne plus que la France

    Mehreen Khan
    05h00 GMT le 27 octobre 2014

    Les tests de stress sont à la mode en Europe pour le moment. Le dimanche, l'Union européenne a publié les résultats de sa dernière série de tests sur la santé financière des bailleurs de fonds du continent.

    Pendant ce temps, les mangeurs de chiffres de la Banque centrale européenne ont également été des ménages européens mettent sous le microscope.

    Dans un nouveau document de travail intitulé «fragilité financière des ménages de la zone euro" , la BCE examine comment les différentes parties de l'Europe peuvent réussir si les conditions économiques prennent une tournure pour le pire.

    Plus précisément, les modèles de papier quel impact la hausse du chômage, la baisse des prix de l'immobilier et des taux d'intérêt plus élevés pourraient avoir sur les bilans des ménages, et les conséquences potentielles pour la stabilité financière dans le Continent.

    L'enquête de 51.000 ménages répartis dans 14 pays de la zone euro révèle des résultats surprenants sur lesquels les pays sont plus vulnérables à un choc économique sévère.

    Allemagne: pas si robuste

    L'un des moyens utilisés pour modéliser le risque se penche sur les pertes des banques pourraient encourir devraient tomber emprunteurs en difficulté et par défaut sur leurs prêts.

    La colonne bleu dans le tableau ci-dessous représente l'état actuel des choses pour les prêteurs de défaut des ménages en pourcentage de leur dette globale.

    Selon cette mesure, les pertes allemandes sont élevés que ses neighboours du Nord, la France et la Belgique, et dans une position similaire à celles du Portugal et de l'Espagne.

    Dans des conditions de «stress maximum» - définie comme une augmentation de 3 % des taux d'intérêt, la hausse du chômage et 20 % baisse des prix de l'immobilier - les pertes potentielles des banques de défaut allemands ne sont encore que légèrement inférieurs à ceux du Portugal, et nettement plus que ceux en Slovaquie.

    Les prêteurs exposés aux ménages français d'autre part, verraient pas d'augmentation perceptible dans les pertes éventuelles devraient détérioration de l'économie.

    Selon les termes de l'article: "tandis qu'un pourcentage relativement faible de ménages en Allemagne tombe dans la détresse, ils ont tendance à être plus profond de leurs marges financières négatives."

    Il est un constat qui contredit quelque peu la mythologie de la ménagère souabe économe, souvent évoqué par la chancelière allemande Angela Merkel à la suite de la crise de champion prudence traditionnelle allemande.

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  27. La France arrive en tête

    La recherche de la BCE ne fournit de bonnes nouvelles pour la France cependant. Dans la quasi-totalité de ses hypothétiques scénarios de stress, ce sont les Français qui sortent que les ménages les plus résistants de la zone euro.

    Le tableau ci-dessous montre la proportion de ménages qui sont actuellement considérés comme en «détresse» en tenant compte du revenu après paiement des impôts, le service de la dette, et coût de la vie, et montre solvabilité français à être le meilleur en Europe.

    - voir graphique sur site -

    Et cela est l'effet qu'une hausse du chômage et une hausse des taux d'intérêt de 3 % auraient sur la probabilité de défaut pour ceux qui sont déjà dans la dette:

    - voir graphique sur site -

    Une des principales raisons France apparaît comme raisonnablement affectée est due à la prévalence des prêts hypothécaires à taux fixe dans le pays, de nombreux ménages isolant contre les effets négatifs d'une hausse des taux d'intérêt.

    Le degré élevé d'actifs liquides détenus par les propriétaires français et en moyenne, les ratios inférieurs prêt-à-valeur dans le pays protègent également les Français de tomber dans des problèmes de solvabilité. Il est dans les pays où l'inverse est vrai, que le resserrement des conditions de crédit serait particulièrement dommageable.

    En passant les tests de résistance ?

    Bien que l'impact de la détresse des ménages varie subsantially d'un pays à, ensemble, les résultats suggèrent des ménages du continent sont dans un état sain.

    Dans les mots de l'article: "les risques posés par le secteur des ménages à la stabilité du système financier dans la zone euro sont généralement contenues."

    "Dans le pire des cas d'un taux d'intérêt, de l'emploi et de l'immobilier choc combiné, les pertes potentielles pour le système bancaire ne sont pas plus élevés que 5 % de la dette totale des ménages dans tous les pays de la zone euro."

    Sur la base des résultats, toute menace à la stabilité financière sur le continent est encore plus susceptibles de provenir des prêteurs de l'Europe que ses bulletins de.

    http://www.telegraph.co.uk/finance/economics/11185087/Why-Germanys-households-are-more-fragile-than-you-think.html

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  28. Pourquoi la pension de l'État de la Grande-Bretagne est "l'une des pires en Europe»
    Le tableau qui montre comment l'Etat britannique paiements de retraite se classent en dessous grecs, autrichiens, chypriotes - pensions et dans la plupart des autres nations du continent

    Par Dan Hyde , de la Consommation éditeur
    08h38 GMT le 27 octobre 2014

    Les travailleurs de la Grande-Bretagne face à un choc financier plus important à la retraite que leurs homologues européennes parce que leur pension de l'Etat est "l'un des moins généreux en Europe", une étude a trouvé.
    La pension de l'Etat de £ 113,10 par semaine vaut à peine un tiers du salaire moyen d'une personne dans le travail, l'International Longevity Centre dit.
    La figure de «remplacement» était bien en deçà de la moyenne de pour le reste de l'Europe, où les paiements de retraite de l'État se sont élevées à près de la moitié des gains moyens nationaux.
    Grande-Bretagne classée au 21e rang des 27 pays de la liste, la CIT a trouvé, ce qui lui donne l'un des pensions moins généreuses en Europe.
    En conséquence, les travailleurs qui ont échoué à amasser de l'épargne privée verraient leurs revenus chuter de plus que leurs homologues européens quand ils ont cessé le travail.
    Le choc financier contraste avec la Grèce, où les travailleurs ont reçu près de 100 % du salaire typique de l'état à la retraite.
    La générosité du grec disposition de pension de l'Etat a été reflétée dans d'autres pays où les finances publiques sont sous pression.
    Espagne, Chypre, l'Italie et le Portugal sont apparus dans le top 10 - offrant un aperçu des raisons pour lesquelles certains de leurs gouvernements ont été sur le bord de la faillite.
    Autriche, la Finlande et la Belgique ont également évalué dessus de la moyenne, tout en maintenant une bonne santé des finances publiques.
    Estonie et la Pologne ont offert la moins généreuse pension par rapport au salaire moyen, selon le rapport. En Estonie, les retraités reçoivent généralement juste un quart du revenu qu'ils ont gagné au cours d'une vie de travail.
    Les données ont été basé sur une étude de l'OCDE en 2012 et n'a pas pris en compte les réformes qui ouvriront la pension de l'Etat en Grande-Bretagne à un "forfaitaire" £ 155 par semaine en 2016.
    Helen Creighton, de l'International Longevity Centre, a déclaré: «Le gouvernement aspire au Royaume-Uni pour être le meilleur endroit au monde à vieillir.
    "Alors que le Royaume-Uni est loin d'être le pire endroit en Europe de vieillir, nous avons beaucoup à faire pour couronner la ligue européenne."
    Pensions de l'État comparés: Proportion du salaire moyen "remplacé" par l'Etat à la retraite:

    - voir tableau classement par pays sur site:

    http://www.telegraph.co.uk/finance/personalfinance/pensions/11189414/Why-Britains-state-pension-is-one-of-the-worst-in-Europe.html

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