10/08/2014
Par Lord Howard Hurts
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Louis Farrakhan, le leader de la nation si l'Islam a écrit il ya quelques jours, "Une autre méthode est l'infection de la maladie par des armes biologiques comme le virus Ebola et le sida, qui sont la race ciblant les armes. Il est une arme qui peut être mis dans une chambre où il y a des gens noirs et blancs, et il va tuer seulement le noir et épargner le blanc, parce que c'est une arme de génotype qui est conçu pour vos gènes, de votre race, de votre aimable ". En substance M. Farrakhan a dit que le gouvernement fédéral américain est derrière l'épidémie du virus Ebola. M. Farrakhan est incorrect, comme son habitude, à bien des égards traitant de la question du virus Ebola, mais il a raison sur le virus Ebola est une maladie «fabriqué» par le gouvernement fédéral américain. Voici l'histoire vraie sur le virus Ebola.
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Il existe trois types de virus de la hémorragies internes dans le monde d'aujourd'hui. La principale, et son impact sur plus de 500 000 africains est dans Central et Afrique sub-saharienne, est le virus fièvre de Lassa. Ce virus est responsable de la mort dans environ 20% de ceux qui sont infectés, et il a été «découvert en 1969 quand deux infirmières missionnaires sont morts de cette maladie. Cette maladie a été autour depuis de nombreuses années, mais il n'a pas été défini comme un type particulier de virus que le monde ne se soucie pas de «décès de fièvre» dans la population africaine. Ce virus, Lassa, est transmis par l'intermédiaire de l'urine de rat ou de matières fécales, et une fois dans le corps humain, on peut en outre être transmise par les fluides corporels qui complique également la situation car alors il peut devenir une maladie de l'air né (jusqu'à présent, il semble que il ne peut pas être transmise par les piqûres d'insectes, mais ce n'est pas confirmé).
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Le second virus de l'hémorragie interne est appelé le virus de Marburg. Il a d'abord été reconnu en 1967, quand curieusement il y avait en même temps éclosions dans des laboratoires de recherche à Marburg et Francfort, en Allemagne. Ce virus a été pensé pour être porté à ces laboratoires par des singes de l'Ouganda. Cette épidémie du virus a été contenue et pas entendu parler de nouveau jusqu'à ce que le courant de 1974.
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Curieusement, c'est si vous croyez que le monde est plat, en 1976, et après l'Institut de l'armée américaine de recherche médicale des maladies infectieuses (USAMRIID) construire un laboratoire bio d'armes à Kenema, en Sierra Leone, en Afrique, le virus Ebola est venu tout à coup dans étant. Ce virus nouvellement découvert »interne de l'hémorragie était la« bombe ». Il a été développé avec l'aide secrète de l'Université de Tulane, Nouvelle-Orléans, en Louisiane. Le USAMRIID est toujours à la recherche d'un certain type d'armes avec lesquelles infliger la mort et la destruction sur un ennemi, et ce nouveau virus Ebola semble l'arme parfaite de la guerre. Ensuite, comme cela arrive souvent avec ce type de recherche et le développement, le virus s'est échappé »et était tout à coup une menace pour la population africaine sans méfiance, et, finalement, les populations du monde.
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Le monde est maintenant dit que ce virus Ebola est une «mutation naturelle, alors qu'en fait il s'agit d'une mutation complète de fabrication du virus fièvre de Lassa. Le monde a également dit qu'il n'y a pas de remède pour ce virus, alors qu'en fait il s'agit d'un traitement très bon marché disponible, mais ce n'est pas un médicament breveté appartenant à un grand groupe pharmaceutique. Et parce que ce traitement n'est pas quelque chose que d'une grande entreprise pharmaceutique peut utiliser pour «râteau dans« profits excessifs, ce remède est relégué aux «pages dos» de l'Internet. Alors permettez-moi de vous donner l'information que vous pourriez avoir besoin si cette épidémie de virus Ebola pas être contrôlé et vous devenez infecté.
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La vitamine C est un tueur éprouvée de tous les virus connus. La vitamine C est pas cher et fait peu d'argent pour les grandes entreprises pharmaceutiques. Ainsi, ces entreprises font pas de recherche sur cette vitamine humble. Maintenant, s'il vous plaît ne vous méprenez pas. Si l'on est infligé par le virus Ebola en prenant quelques comprimés de vitamine C à la maison ne va pas aider. Il faut des doses massives de cette vitamine, et il doit être administré et surveillé par les prestataires de soins professionnels. La dose doit être assez grande pour être à la pointe de donner la diarrhée du patient .... une condition qui rendrait le patient pire. La quantité de vitamine C doit être étroitement réglementé et cela prend fournisseurs professionnels de la santé responsables. Tous les virus de hémorragie interne, la fièvre de Lassa, Marburg, Ebola et sont des mutations de la maladie commune appelée scorbut.
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Le scorbut est quelque chose qui a sévi marins dans le passé comme ils ont voyagé sur de longs voyages sans aliments qui fournissent le corps avec 'œuvres' vitamine C Scorbut en dévorant le corps de la vitamine C offre, et de la vitamine C est nécessaire pour la coagulation du sang. Le scorbut et ces maladies hémorragiques sont des tueurs efficaces parce que la vitamine C est soluble dans l'eau et doit être remplacé dans le corps humain chaque jour. Et c'est la raison pour Scorbut et ces virus hémorragies internes besoin de grandes quantités de vitamine C pour le patient de faire une reprise. Il faut aussi noter que seuls les humains et les primates non humains ont besoin d'un apport quotidien de vitamine C, car presque tous les autres mammifères produisent leur propre approvisionnement de la vitamine C à l'intérieur. Et il était le médecin James Lind qui a découvert la relation entre les agrumes, la vitamine C, et a entraîné la chute de cette maladie des marins commun, scorbut, en 1747 alors qu'un chirurgien à bord d'un navire de la marine britannique (donc la raison pour laquelle, aujourd'hui encore, les marins britanniques sont arbitré comme Limeys).
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La vitamine C a été prouvé pour tuer tous les virus connus de l'homme. Elle le fait en passant par la formation de peroxyde d'hydrogène dans le corps qui arrête les virus, non seulement, mais avec les tue toutes les bactéries présentes dans le sang. Maintenant, cela étant dit, il me semble que une route plus directe pour la récupération d'une maladie de l'hémorragie interne serait injections intraveineuses de qualité alimentaire peroxyde d'hydrogène dans le corps pestiférés. Bien sûr, une telle solution peu coûteuse n'est pas quelque chose que les grandes pharmaceutiques sont intéressés, et notre gouvernement fédéral est corrompue et que cette solution peu coûteuse serait réduire leurs pots de vin et conneries, et réduire leur gagne documents monétaires des grandes entreprises pharmaceutiques pour leur prochaine élection à la fonction publique.
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Alors maintenant, malheureusement, les populations des mondes doivent souffrir d'une maladie qui a été créé pour tuer et rendre malade en temps de guerre par le USAMRIID (Fort Detrick, Maryland), et l'Université de Tulane, Nouvelle-Orléans, Louisiane, où il n'y a pas déclaré la guerre, ou le besoin de cette mort aveugle et la destruction.
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Une nouvelle île découverte dans l'océan Arctique
RépondreSupprimer08 octobre, 2014
Par La Voix de la Russie
Une île nouvelle a été découverte dans l'océan Arctique. De nombreux membres de l'expédition du navire Admiral Vladimirski confirment sa présence dans la mer des Laptev.
Sa superficie est de 500 mètres carrés et son altitude au-dessus de la mer est de 1 m.
L'île a été répérée pour la première fois en 2013 par les pilotes russes de l'hélicoptère Mi-26 qui l'ont baptisée Yaya.
L'île sera bientôt portée sur la carte de l'océan Arctique et fera partie du territoire géographique de la Russie.
http://french.ruvr.ru/news/2014_10_08/Une-nouvelle-ile-decouverte-dans-locean-Arctique-9852/
SupprimerEncore une élévation que le GIEC refusera de prendre en compte lors de l'élévation océanique et qui représente déjà plus de 10 fois plus le volume de toutes les glaces des pôles !
Kurdes et les islamistes: BKA craint encore plus les émeutes en Allemagne
RépondreSupprimerPar Jörg Diehl , Düsseldorf
Si la ville syrienne Kobane automne, l'Allemagne est peut-être avant de violents affrontements entre Kurdes et les islamistes. Pour cette raison, le BKA vient dans une évaluation confidentielle de la situation.
La lutte pour la ville syrienne de la frontière Kobane peut avoir un impact direct sur la situation de sécurité en Allemagne. Comme une évaluation confidentielle de la situation de la pénal fédéral apparente (BKA), les autorités craignent une escalade de la situation tendue entre les Kurdes et les islamistes dans la République fédérale.
Prenant Kobanes "des massacres possibles de la population" set "considéré aux points de menace" pour l'Allemagne le prochain niveau d'escalade. L'est l'estimation de la sécurité BKA-état dans un article de SPIEGEL ONLINE. Images et informations sur les atrocités pourraient déclencher des réactions massives de la scène kurde en Allemagne. Juste être dans les milieux de jeunes partisans du PKK déjà un «attrait émotionnel» pour déterminer qui est susceptible d'avoir une violence de toute façon existant continue à augmenter.
On craint également que les Kurdes pourrait faire un cas pour la Kobanes de leur point de vue trop prudent exploitation gouvernement d'Ankara et la communauté internationale responsable. Les objectifs et les actions militantes donc menacés institutions turques, ainsi que les banques, les compagnies aériennes et les entreprises en Allemagne de l'être. Peut-être également engagée objets américains dans le centre de Kurdes fanatiques, avertit le BKA dans le avec le Bureau fédéral de la protection de la Constitution (BfV) Document coordonné.
En outre, il est à prévoir que de violents affrontements entre Kurdes et salafistes répétées. A Hambourg, il était venu mardi soir à des excès de violence . En outre, en Basse-Saxe Celle a Yézidis et musulmans tchétchènes à l'autre . Au moins 23 personnes ont été blessées, dont certaines grièvement. Ces émeutes ont souligné «l'appel émotionnel» et la «relation tendue» entre les parties, écrit le BKA.
Kurdes contre les salafistes: combat de rue contre la mosquée al-Nour Selon l'analyse des organisations kurdes avaient appelé au cours des derniers jours à travers l'Europe des rallyes. Donc, les militants ont occupé un certain temps que le Parlement à La Haye et Bruxelles ont envahi dans la construction de l'un de Parlement européen. Aussi à Paris, Oslo et Vienne, il est venu à des députés maisons pour protester. En Allemagne, de plus démontré Kurdes "avant et diffuseurs», a déclaré le BKA, comme à Cologne, Düsseldorf, Bonn, Hanovre et Kiel.
Selon certaines sources, des sources de sécurité, les militants kurdes voyagent déjà de l'Allemagne à "Etat islamique" pour lutter contre. Selon SPIEGEL ONLINE informations a publié un kurde Motorcycle Club de Rhénanie du Nord-Westphalie attendant photos et vidéos sur des rockers sont censés voir dans les opérations militaires autour de Kobane. Les hommes portent des robes et des kalachnikovs. Dans Internet affichant leur chef: «Nos gars m'ont dit qu'ils ont été tirés sur vous, rien ne s'est passé, ils sont en bonne santé .."
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/kobane-bka-fuerchtet-krawalle-zwischen-kurden-und-islamisten-a-996121.html
Kurdes contre les salafistes à Hambourg: Les Nuits du Chaos de St. Georg
RépondreSupprimerDe Benjamin Knaack
400 Kurdes se sont affrontés sur 400 salafistes présumés: Le quartier de Hambourg St. Georg a une nuit pénible derrière lui, dans des combats de rue, il y avait de nombreuses victimes. Les musulmans locaux condamnent la violence - il menace déjà nouveau danger.
Hambourg - Un couple de verre de sécurité fissuré, rien ne peut être vu à partir du chaos nocturne au barrage en pierre Hambourg. Les magasins sont ouverts, les gens achètent des collations ou des légumes.
La nuit dernière, il avait toujours l'air tout à fait différent: 400 Kurdes dans le cadre recueillies lors d'une manifestation au centre-ville dans le quartier St. Georg à nouveau autant de présumés salafistes avaient livré selon la police, un combat de rue violent. Couteaux, des machettes, des bois et des barres de fer auraient utilisé. 14 blessés ont été enregistrés, dont quatre grièvement blessé à la police. ( Les questions et réponses wichtisten sur les émeutes peuvent être trouvés ici .)
Les résidents du barrage de pierre sont choqués. "Pour nous, c'est une expérience traumatisante», dit l'un. «Je comprends l'inquiétude des Kurdes en vue de la situation en Syrie , oui, mais ce que nous pouvons à Hambourg pour ce que les fous de la "Etat islamique" font dans d'autres pays? " Daniel Abdin, le président du Conseil des Communautés islamiques à Hambourg, la Choura, dit SPIEGEL ONLINE: "Nous regrettons cet incident extraordinairement Nous nous éloignons et rejeter toute forme de violence de - quel que soit le groupe, nous voulons un Hambourg sûr que pour nous ... Il est incompréhensible que les gens vont ici et transports successifs guerres lointaines à Hambourg ".
Kurdes contre les salafistes: combat de rue contre la mosquée al-Nour Il est encore difficile de savoir qui est responsable de l'escalade. Tout ne peut pas reconstruire. La police parle neutre de «violence entre groupes rivaux." Le groupe salafiste a consisté, selon un des résidents locaux "largement de jeunes qui sont entièrement chargés de l'agression". Shura patron Abdin, également président de la mosquée Nur à Hambourg, avant de taquiner la foule en colère, a déclaré: «Ils étaient inconnus de nous Nous sommes des gens indésirables et ne pas s'impliquer pris dans le feu croisé des deux groupes violents .."
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Beaucoup des salafistes présumés ont fui pendant le combat dans la mosquée ouverte. «C'était une ambiance très irritable., La police a trouvé entre les groupes et ils tenus à l'écart», dit Abdin. Nous nous sommes plaints à la police au sujet de la violation de propriété, mais les forces de sécurité n'avaient pas osé étant donné le potentiel d'escalade, les salafistes présumés à repousser sur la route.
RépondreSupprimerSelon le rapport de police, les violents affrontements entre de petits groupes auraient continué à l'extérieur du barrage de pierre. Plus tard, elle a réussi selon sa propre description, d'exhorter les auteurs de violences dans des directions différentes. «Ici, l'utilisation de canons à eau était également nécessaire." C'est seulement une heure et demie heures du matin, la situation s'était calmée.
"Nous condamnons toute forme de violence"
Cependant, il est aussi critique de l'utilisation des agents: «Pourquoi la police ne sont pas intervenus au début Pourquoi les Kurdes étaient venus ici dans la pierre du barrage La police sait parfaitement qu'il ya des mosquées sont et il peut y avoir des conflits ", dit un résidents.
Toutefois, l'Assemblée le barrage en pierre ne faisait plus partie de la démonstration proposée, avait participé à quelque 500 personnes - et a officiellement pris fin à 17.03 horloge. Après cela, il avait été une autre opération de police à la gare centrale de Hambourg, comme environ 50 manifestants ont bloqué une voie ferrée.
Un résident au barrage de pierre craint maintenant une détérioration des relations entre les Kurdes et les Turcs : «Par ici a effectivement fait dans la coexistence entre les Kurdes et les Turcs dans les 20 dernières années, un grand nombre, il est dommage que le conflit des zones de conflit maintenant déversements vers nous et menace de détruire tout le travail. "
Au cours de la nuit de l'incident une table ronde a été organisée, en présence de représentants de la police, selon Abdin, l'église protestante, la shura, le Centre islamique d'al-Nur, les Kurdes et les parlementaires. Dans l'après-midi il ya un communiqué de presse conjoint. Déjà progresser par la mosquée Conseil de Nur un message à l'Internet: «Nous condamnons toute forme de violence, les relations avec toutes les institutions et les voisins du barrage de pierre et à l'extérieur est toujours pacifique et à l'amiable été Cela devrait le rester ..!"
Pour les quelques jours à venir résidents s'attendent toujours pas de confort - bien au contraire: «C'est encore pire», dit l'un. L'homme espère pour une intervention plus forte par les autorités: "La politique est de veiller à ce que la crise reste dans les zones de crise."
Le mercredi de 17 heures, il y aura une manifestation de Kurdes à Hambourg à nouveau - mais cette fois dans le quartier d'Altona.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/hamburger-steindamm-randale-zwischen-kurden-und-salafisten-a-996055.html
Lutte contre le chômage des jeunes dans l'UE: un ans et demi de discussions, résultat nul
RépondreSupprimerLe chèque Münchhausenplatz
par Hauke Janssen
À partir de 2013, garanti les ministres de l'Emploi de l'UE à tous les jeunes en Europe offert un emploi, une formation, ou au moins un stage. La documentation SPIEGEL rend les faits vérifier: Est-ce que les politiciens ont tenu leur parole ?
Le 8 Octobre, les chefs d'Etat et de gouvernement se réunissent à Milan pour un sommet sur l'emploi. Les critiques habituelles rapport à temps pour mot. Ils préconisent pour s'éloigner de l'austérité rigide et appel à un plan d'investissement européen pour la croissance et l'emploi.
"Le sommet ne doit pas ramener seulement de belles paroles sans résultats concrets», prévient le Secrétaire général de la Confédération européenne des syndicats (CES), Bernadette Ségol .
Avec les «belles paroles», il vise également à adopté il ya un an et demi, la garantie de l'emploi pour les jeunes. Alors, comme maintenant, appartient à l' emploi des jeunes des préoccupations majeures de l'Union européenne.
Environ 5,7 millions de personnes âgées de moins de 25 ans étaient au chômage fin 2012, ce qui correspond, selon les statistiques d'un taux de plus de 23 pour cent. Dans les pays en crise comme la Grèce et l'Espagne, il y avait encore plus de 50 pour cent.
Il devait donc être fait, et la «garantie d'emploi» a été introduit. Ainsi, il n'est pas resté une simple déclaration, l'ancien président de la Commission européenne a appelé José Manuel Barroso, les États membres de la décision le plus rapidement possible à la mise en œuvre et a fait les jeunes de courage: "Avec la garantie aux jeunes une chance réelle pour une meilleure avenir. "
"Un béton et de haute qualité gamme"
L'UE comprend comme elle le dit, "garantie pour la jeunesse", un concept à lutter contre le chômage des jeunes. L'objectif est que tous les jeunes de moins de 25 ans, dans les quatre mois suivant la fin de leurs études ou après avoir perdu leur emploi, une «haute qualité du béton et offrant". Cette offre - idéalement un emploi - doit être adapté à la situation individuelle et les besoins de la personne.
L'UE estime que le coût de mise en place de tels systèmes dans la zone euro à 21 milliards d'euros par an (équivalent à 0,22% du PIB, Source: rapport de l'OIT sur la crise de l'emploi dans la zone euro) .
C'est beaucoup d'argent. Mais ne rien faire, de sorte avertit la Commission, serait le contribuable beaucoup plus cher. La cause des jeunes chômeurs à savoir Selon l'UE estime que les coûts annuels sur 153 milliards d'euros à des allocations de chômage, les gains et les pertes fiscales (Source: Euro rapport Trouvé sur le chômage). Dans la mesure où l'on croit à Bruxelles, paie la chose avec la garantie de l'emploi.
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Ainsi, les pays membres devraient dépenser plus d'argent pour la lutte contre le chômage des jeunes. Mais ce qui est difficile, en particulier les plus touchés par les pays de chômage des jeunes, surtout si elles sont à réaménager leur budget en même temps. Par conséquent, l'UE veut tirer au titre du Fonds social européen et équipé d'€ 6000000000 initiative d'emploi pour les jeunes des moyens pour les budgets des pays de l'UE.
RépondreSupprimerEn fait arriver, c'est pratiquement rien
En ce qui concerne l'idée. Sur la question, mais, ce qui s'est passé aujourd'hui, après un an et demi, la réponse est relativement clair, et bien que clairement négative:
"Les pays de l'UE élaborent des plans d'action nationaux pour mettre en œuvre la garantie pour la jeunesse", il est dit sur ??le site Web de l'UE en . Et: La Commission européenne s'est engagée à œuvrer pour l'application la plus possible de la garantie pour la jeunesse.
Aha. Alors, vraiment passé, c'est pratiquement rien. "Vraiment coulait," un diplomate de l'UE a confirmé que le "Tagesspiegel" , "ne sont que quelques centaines de milliers d'euros».
Comment, alors, ne le développement intermédiaire du marché du travail ?
Considérons d'abord le cours des (données désaisonnalisées) le taux de chômage des jeunes dans l'UE (courbe jaune) et de la zone euro (courbe bleue) depuis Janvier 2000:
- voir graphique sur site -
Eurostat
Les taux de chômage des jeunes dans l'UE et la zone euro
De Août 2013 to Août 2014, le taux a diminué dans l'UE-28 de 23,5 à 21,6 pour cent dans la zone euro de 23,9 à 23,3 pour cent, soit une baisse d'environ 8 et 2,5 pour cent .
Si l'on compare cette évolution avec celle sur le marché du travail de l'UE pour tous les millésimes (courbe jaune) et le marché du travail correspondant de la zone euro (courbe bleue) et à leur tour, avec le chômage aux Etats-Unis (courbe mauve) et le Japon (courbe bleu clair), puis obtenir nous graphique suivant:
- voir graphique sur site -
Eurostat
Chômage total dans l'UE, la zone euro, le Japon et les Etats-Unis
Ici est tombé de Août 2013 to Août 2014, les taux au sein de l'UE de 10,8 à 10,1 pour cent et au sein de la zone euro de 12 à 11,5 pour cent. Cela représente une diminution de 6,5 et 4,2 pour cent.
Ce qui est frappant est double. Tout d'abord, ces derniers temps, le problème du chômage chez les jeunes ainsi que les adultes au sein de la zone euro est d'autant plus urgent que dans les pays de l'UE qui ne sont pas membres de la zone euro, y compris les pactes de stabilité. Deuxièmement, la réduction du chômage des jeunes entre dans la zone euro, en dépit de "garantie pour la jeunesse" a été plus lente que l'ensemble du marché du travail.
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Jetons un coup d'oeil aux Etats-Unis: Il, le taux de chômage est tombé à 5,9 pour cent au dernier et ainsi le niveau le plus bas depuis Juillet 2008 , dont l'UE est toujours une bonne distance.
RépondreSupprimerPour ce faire les Etats-Unis, traditionnellement relativement peu sur les politiques du marché du travail actives de , plus récemment, c'était bruyant "The Economist" environ 0,1 pour cent du produit national brut, donc en termes de pourcentage, environ la moitié de ce que devrait coûter la garantie d'emploi pour les jeunes en Europe.
Conclusion: L'UE n'a pas tenu sa parole. Un effet positif des voix au début de 2013 garantie de l'UE Job, nous ne pouvons pas détecter si loin. Au contraire: Dans la zone euro, le marché du travail des jeunes a depuis relativement moins développée que l'adulte.
http://www.spiegel.de/wirtschaft/soziales/eu-gipfel-politik-versagt-bei-jobgarantie-fuer-jugendliche-a-995978.html
Ancien haut fonctionnaire de l'AIEA: En fait, Fukushima "est une catastrophe pour tous les citoyens du monde ... Le rayonnement ne reconnaît pas les frontières" - Dose de Fukushima les retombées en Europe sont de nombreuses fois plus élevées que la Californie gouv réclamés pour la côte Ouest (VIDEO)
RépondreSupprimerPublié: le 5 Octobre 2014, au 19h42 HE
Par ENENews
Entretien avec Olli Heinonen , ancien AIEA directeur général adjoint, ancien Finlande réacteur de laboratoire officier supérieur et senior fellow à l'Université de Harvard (je souligne) : "[Nous] avons une catastrophe potentielle sur nos mains ... Je pense que lorsque cette chose est sur - ce est certainement une catastrophe nationale pour le Japon - mais en fait ce une catastrophe pour tous les citoyens du monde ... Russes, Américains , ils sont aussi le rayonnement objet. Le rayonnement ne reconnaît pas les frontières ... Il semble être une situation très désastreuse ".
Organisation des Nations Unies (pdf), 2014: les doses estimées de la première année suivant l'[Fukushima] accident
> Italie - exposition externe, inhalation et ingestion de 131I, 134Cs, 137Cs
1 ans: 180 microsieverts / an
Adulte: 35 microsieverts / an
Des hypothèses prudentes ont été appliquées très comme les valeurs de concentration les plus élevées mesurées pour chacun des radionucléides dans l'eau de pluie ont été utilisés pour calculer la dose de l'eau ingérée.
> Serbie - Les doses efficaces à partir des concentrations de 131I dans les aliments, le lait, l'air et l'eau de pluie
Adulte dose efficace estimée: 7,2 microsieverts / mois
[NE COMPREND PAS: inhalation 134Cs / 137Cs; Ingéré 134Cs / 137Cs; Doses externes]
Physique nucléaire atelier (pdf), le 12 avril 2014: Les données examinées dans le présent travail comprend les observations de radionucléides liés à Fukushima ... Italie ... [transportés] en provenance du Japon, dans le Pacifique et en Europe centrale ... doses engagées estimatif pour la population connexes les contributions de Fukushima retombées dues aux différentes voies étaient au moins un ordre de grandeur [soit environ dix fois] moins de la limite de 1 [millisievert par an], même si les calculs sont effectués en utilisant des hypothèses prudentes élevés ... césium et l'iode ont été trouvés dessus de leurs limites de détection dans tous les échantillons de l'environnement , mais bien en dessous des niveaux de préoccupation.
Dr Steve Wing, Univ. de Caroline du Nord épidémiologiste : «Ce que nous savons au sujet du rayonnement est tout montant augmente le risque de cancer ... [A Fukushima] il y a un large éventail de types de rayonnements émis ... Les risques pour les populations exposées va se jouer sur le reste de leur vie. Même après que le rayonnement est parti, dommage génétique pourrait conduire à un cancer des années plus tard ".
http://enenews.com/former-iaea-official-actually-fukushima-catastrophe-every-citizen-world-radiation-doesnt-recognize-borders-dose-fukushima-fallout-europe-many-times-higher-california-govt-reported-west-coast-video
CDC suggère « Cercueils hermétiques » pour les victimes du virus Ebola – AKA « Fema cercueils »
RépondreSupprimerBrandon Smith
8 octobre 2014
Marché Alt
Je me souviens d'années en arrière quand j'ai écrit encore pour mon site original, Neithercorp.us, nous sommes tombés sur une époque vidéo peu connue d'étanche à l'air « cercueil liners », des centaines de milliers, empilés dans un champ au milieu de Madison, Georgia, à proximité de la maison de la CDC d'Atlanta et de. Nous avons aidé à briser cette histoire qui immédiatement balayée par le biais de cercles de médias indépendants. Les propriétaires de la propriété louée pour stocker les cercueils en plastique hermétiquement étanchéités a déclaré qu'il s'agissait de la CDC qui avait loué le terrain pour le stockage des cercueils. Confirmation par le CDC n'a pas été à venir.
J'ai gardé mes yeux ouverts pour toute mention de ces sortes de cercueils depuis que histoire a été libéré, sachant qu'un jour, ils seraient tout à coup être vantés par le gouvernement comme s'ils avaient toujours été en usage. Il semble que ce jour-là est à portée de main...
Dans une histoire pour Yahoo News, la CDC dit que dans le cas d'une épidémie d'Ebola dans les Etats-Unis, corps des défunts serait requis pour être enterré au sein de "cercueils hermétiques", auraient de prévenir l'évasion de microbes lors des funérailles. Un administrateur de la Dallas Institut de Service funèbre interviewé dans les États de l'article qu'il n'a jamais rencontré de toute ces cercueils dans son industrie, cercueils intentionnés, hermétiquement fermés ne sont pas courantes dans le moindre pour l'enterrement. Les cercueils de la CDC à Madison, Georgia, cependant, sont conçus pour empêcher la propagation de l'infection. En fait, le brevet de ces cercueils confirme qu'ils sont destinés pour l'inhumation ou la crémation des corps exposés à des maladies infectieuses. Vous pouvez lire le brevet ici :
https://www.Scribd.com/doc/17690179/Multi-Functional-Cremation-Container-for
Cela donne à penser que la CDC a empilé ces cercueils dans des endroits comme le Madison, Georgia spécifiquement en préparation à une épidémie virale. Ce qui signifie, la CDC a été attend la mort de centaines de milliers d'américains en raison de l'infection au moins au cours des six dernières années. C'est une longue période de préparation. Cette préparation nécessite la certitude, pas d'hypothèse, étaient notamment le gouvernement fédéral est impliqué. Notre gouvernement était alors certain d'une catastrophe virale qu'ils ont achetés des champs pleins de cachetage de cercueils pour être prêt pour cela ; ne pas pour l'empêcher, mais d'avoir les moyens de nettoyer après lui. Laissez cette pensée se contenter d'un moment, et puis lire mon dernier article, « An Ebola éclosion serait être avantageuse pour mondialistes », à comprendre l'image plus grande...
- voir clip de millions de cercueils en Georgie sur site -
http://www.shtfplan.com/headline-news/cdc-suggests-hermetically-sealed-caskets-for-ebola-victims-aka-fema-coffins_10082014
Hauteur énorme au Royaume-Uni la maltraitance des enfants par la sorcellerie et «rituels religieux» - la police
RépondreSupprimerOctobre 08, 2014 15:01
La maltraitance des enfants liées à la sorcellerie et autres croyances religieuses a considérablement augmenté au Royaume-Uni, avec la police d'enregistrer un pic important dans les cas de viol, d'agression physique et la négligence des enfants britanniques.
Selon les chiffres publiés par la police mercredi, Scotland Yard a reçu 27 allégations de maltraitance rituel, avec beaucoup plus de cas que l'on croit caché par les familles et les tuteurs.
Les cas signalés à la police métropolitaine inclus les enfants qui ont été débordés autour et «relèveraient afin de "chasser le diable», tandis que d'autres auraient piments premières frottés dans leurs yeux lors des rituels d'exorcisme.
En 2013, 24 cas d'abus religieusement motivés ont été enregistrés, alors que seulement neuf ont été enregistrées en 2011, quelque 149 cas de maltraitance d'enfants par le biais de rituels d'exorcisme ont été signalés à la police depuis 2004.
«La violence liée à la croyance est un crime horrible qui est condamné par les gens de toutes les cultures, les communautés et les religions", a déclaré le surintendant-détective Terry Sharpe, en ajoutant que la maltraitance des enfants rituel était "un crime caché".
«Les familles ou les soignants croient sincèrement que la victime a été entièrement pris en charge par le diable ou un mauvais esprit, qui est souvent pris en charge par une personne qui, au sein de la communauté elle-même a décrit comme une autorité sur la foi et la croyance," at-il ajouté.
Les résultats proviennent en dépit des efforts du gouvernement pour lutter contre la maltraitance des enfants religieusement axée, notamment à travers le «Every Child Matters" initiative lancée en 2003.
La politique est le résultat de l'assassiner de Victoria Climbié, qui a été soumis à des épisodes répétés de violence physique par ses gardiens, y compris d'être brûlé avec des cigarettes et frapper avec des chaînes de vélo lourds.
Selon les rapports de police, Climbié a été accusé d'être une sorcière par l'ex-petit ami de sa tante, Carl Manning.
D'autres abus de grande envergure liés aux rites religieux incluent l'assassiner de Kristy Bamu, qui a été sauvagement battu par le partenaire de sa sœur, Eric Bikubi, en 2010 Bamu, qui avait 15 ans à l'époque, a été accusé par Bikubi d'être possédé par «les mauvais esprits», et ensuite frappés à coups de marteau, des carrelages et des éclats de verre, avant d'être noyé dans une baignoire.
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Il existe peu d'informations sur la prévalence de la violence aux motivations religieuses au Royaume-Uni en raison de la confidentialité accrue de la pratique. Cependant, en 2007, la NSPCC a publié un rapport exhortant le gouvernement à adopter de nouvelles lois pour protéger les enfants vulnérables à de tels abus.
RépondreSupprimer"Bien que le nombre de cas identifiés est faible, le type de violence est particulièrement inquiétant et l'impact sur l'enfant est important et peut avoir de graves conséquences pour eux dans la vie plus tard," dit le rapport.
D'autres groupes de la campagne ont accueilli dernier effort du Met à enrayer le problème, mais avertir que les victimes ont été oubliées en raison de la nature cachée de sacrifice rituel.
"Nous sommes heureux que la police métropolitaine a entrepris un travail extraordinaire dans ce domaine, mais nous sommes convaincus que cette forme de violence est cachée, et que les organismes officiels à travers le Royaume-Uni sont confrontés à des situations similaires», a déclaré Simon Bass, un porte-parole de Service consultatif de protection des enfants des Eglises.
La police enquête actuellement sur une série d'«enfants exorcismes" qui ont eu lieu en dehors d'un centre de loisirs du sud de Londres le mois dernier, dans lequel les adultes auraient été entendu des cris à propos de "libérer l'esprit" dans les rituels qui ont eu lieu dans les premières heures de la matinée. Cependant, aucune allégation de comportement criminel ont été faites à l'heure actuelle.
http://rt.com/uk/194176-uk-witchcraft-ritual-rise/
Posté dashcam vidéo sur Facebook ? En Bavière, vous faites face à € 300,000 amende
RépondreSupprimerOctobre 08, 2014 16:46
Les automobilistes de l'Allemagne Bavière, méfiez-vous ! «Likes» et «actions» pourraient coûter jusqu'à € 300 000 avec la dernière décision, qui amendes personnes pour le téléchargement de vidéos de dashcam sur Internet ou de les transmettre à des tiers.
Une nouvelle règle interdisant la distribution de vidéos de la caméra de bord, car ils pourraient violer la vie privée, a été introduite par l'Office bavarois de contrôle de la protection des données (BayLDA) dans la ville allemande d'Ansbach lundi.
"Dans l'avenir, s'il devient connu que les conducteurs passent des films vidéo, enregistrées avec leurs dashcams, à la police, les compagnies d'assurance ou des organisations similaires ou les publier sur l'internet, la BayLDA vérifiera que l'acte réglementaire est applicable à prononcer une sanction dans chaque cas particulier " , président BayLDA Thomas Kranig a déclaré dans un communiqué de presse .
Il a également nommé la somme des amendes administratives de ces violations - jusqu'à 300.000 euros ($ 379 500).
Dashcams - caméras vidéo installées derrière le pare-brise à l'intérieur d'une voiture - ne sont pas considérées comme légales dans certains pays européens, où les lois de protection des données leur donner un statut incertain.
Voisin allemand, en Autriche, a annoncé une nouvelle opération règle d'interdiction de dashcams dans les voitures particulières en 2012 amendes varient de 10.000 euros ($ 12,600) 25,000 ($ 31,600) euro en cas de violations répétées.
Amendes plus faibles pour l'utilisation de dashcam ont été introduits au Portugal, où ce genre de violation de la confidentialité pourrait coûter aux automobilistes de € 500 (630 $) à 2500 euros ($ 3,160).
La Suisse interdit l'utilisation de dashcams dans les lieux publics en 2013, soulignant qu'ils "ne peuvent pas être justifiées par des raisons de sécurité routière".
Cette Septembre Luxembourg a suivi la tendance d'écarter les vidéos de dashcam plus en plus populaire. Dans le duché, les utilisateurs privés ne sont pas autorisés à utiliser dashcams et pourraient être passibles d'une peine amende ou même la prison. Qui plus est, si elles le jugent dashcam images pour servir de preuve de leur innocence dans un accident de la route, ce genre de preuve serait contesté en raison de son illégalité.
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Les vidéos enregistrées par dashcams ne sont pas considérées comme fournissant suffisamment de motifs dans les enquêtes de police en Suède, en Allemagne et en Belgique.
RépondreSupprimerEn outre, il existe des règles particulières en matière de caméras de bord qui fixent des limites à leur exploitation. En France, les caméras doivent être installées de manière à ce qu'ils ne masquent pas la vue de la route. En Norvège, l'écran de l'appareil ne doit pas distraire le conducteur, car il pourrait être considéré comme un poste de télévision portable - et les images ne peuvent être utilisées à des fins privées, le mettre en ligne est interdit par la loi.
Toutefois, les règles ne sont pas que, partout. Aux Etats-Unis, ainsi que dans le Royaume-Uni et en Australie en voiture caméras sont généralement tout à fait légales. Mais le pays où elles sont très populaires est la Russie, et le film réalisé par les pilotes locaux conserve toute la communauté Internet divertir avec des accidents étranges et les évasions chanceux.
http://rt.com/news/194236-germany-dashcam-video-fine/
De graves difficultés financières est en éruption en Allemagne et au Japon
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 8 Octobre, 2014
Il y a certains qui croient que la prochaine grande crise financière ne commencera pas aux États-Unis. Au lieu de cela, ils sont convaincus que la crise financière qui commence en Europe ou au Japon (ou les deux) finira par se propager à travers le monde et prendre vers le bas aux États-Unis aussi. Le temps nous dira si elles sont finalement correct, mais même aujourd'hui, il ya des signes que des difficultés financières a déjà commencé à éclater en Allemagne et au Japon. Actions allemandes ont diminué de 10 pour cent depuis Juillet, et qui les met sur le territoire "de correction". Au Japon, l'économie est un désordre total à l'heure actuelle. Selon les chiffres qui viennent d'être libérés, le PIB japonais s'est contracté à un taux annualisé de 7,1 pour cent au cours du deuxième trimestre et la consommation privée s'est contracté à un taux annualisé de 19 pour cent. L'effondrement financier de l'un de ces pays pourrait être le catalyseur qui déclenche dominos financiers sur toute la planète ?
Cette semaine, le pire allemand chiffre de la production industrielle depuis 2009 secoué les marchés financiers mondiaux. Allemagne est censé être le «roc» économique de l'Europe, mais à ce point que "rock" commence à montrer des fissures.
Et certes, la guerre civile en Ukraine et la crise de l'Ébola croissante n'aident pas les choses non plus. Les investisseurs allemands sont de plus en plus nerveux, et comme je l'ai mentionné ci-dessus le marché boursier allemand a déjà diminué de 10 pour cent depuis Juillet ...
Actions allemandes, alourdis par les retombées économique engendrée par la crise entre l'Ukraine et la Russie et la faiblesse de l'économie de la eurzone, sont maintenant en baisse de plus de 10% depuis leur sommet Juillet et officiellement sur ??le territoire de correction .
Le DAX, indice de référence des actions de l'Allemagne, a succombé à des points récents de données qui montrent que l'économie allemande a enlisé, blessé en grande partie par les sanctions économiques imposées à son principal partenaire commercial, la Russie, de l'Union américaine et européenne, un façon d'obtenir de Moscou d'écraser des affaires de l'Ukraine. Le ralentissement économique dans le reste de la zone euro de la dette a également entravé nuire à l'économie allemande, considérée comme la locomotive économique de l'Europe.
Dans le commerce aujourd'hui, le DAX a chuté aussi bas que 8960,43, qu'il a mis en baisse de 10,7% de sa fermeture élevé de 10,029.43 Juillet 3 et hors près de 11% de son Juin 20 intraday pic de 10,050.98.
Et quand vous regardez certains des plus grands noms de sociétés en Allemagne, les choses semblent encore plus dramatique.
Il suffit de consulter certains de ces chiffres ...
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Les secteurs les plus touchés ont été les détaillants, les industriels et les stocks de loisirs avec des vêtements de sport Adidas géant bas 37.7 % pour l'année, la compagnie aérienne Lufthansa bas 27 %, le groupe automobile Volkswagen glissement 23.6 % et Deutchse Banque tomber 20.2 % jusqu'à présent cette année.
RépondreSupprimerPendant ce temps, les choses au Japon semblent aller de mal en pis.
Le gouvernement du Japon est plus d'un trillion de yen de la dette, et il a imprimé furieusement l'argent et de rabaisser le yen dans une tentative désespérée d'obtenir l'économie japonaise va à nouveau.
Malheureusement pour eux, il est tout simplement ne fonctionne pas. Les chiffres économiques révisées pour le deuxième trimestre ont été absolument catastrophique. Ce qui suit provient d'une source de nouvelles japonais ...
Sur une base annualisée, la contraction du PIB a été de 7,1 %, contre 6,8 % dans l'estimation préliminaire. C'est pourquoi il est la pire performance depuis le début de 2009, au plus fort de la crise financière mondiale.
Le coup de la première étape de la hausse de la taxe de vente en Avril étendu dans ce trimestre, les ventes au détail et les dépenses des ménages en baisse en Juillet. L'administration a signalé la semaine dernière qu'il était prêt à augmenter relance pour aider météo d'une deuxième étape de la cotisation prévue pour Octobre 2015.
L'investissement en capital des entreprises a fléchi de 5,1 % par rapport au trimestre précédent, soit plus du double de l'estimation initiale de 2,5 %.
La consommation privée a été quant à lui révisé à une baisse de 5,1 % de la valeur initiale de 5 %, ce qui signifie qu'il a coulé de 19 % sur une base annuelle par rapport au trimestre précédent, plutôt que l'estimation initiale de 18,7 pour cent, le rapport a déclaré lundi.
Pour le moment, les choses s'annoncent plutôt bien aux Etats-Unis.
Mais comme je l'ai écrit sur tant de fois, nos marchés financiers sont parfaitement apprêtées pour une chute.
D'autres experts voient les choses de la même façon. Il suffit de considérer ce que John Hussman écrivait récemment ...
Comme je l'ai fait en 2000 et 2007, je me sens obligé de préciser une attente qui ne semble que comme une affirmation bizarre parce que la mémoire financière est tout aussi courte que la compréhension populaire de l'évaluation est superficielle: Je considère le marché boursier le risque de perdre plus de la moitié de sa valeur de son récent sommet de sa faible ultime dans ce cycle de marché.
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À l'heure actuelle, toutefois, les conditions du marché quelques évaluations qui sont plus que des normes pré-bulles doubles (sur les mesures historiquement fiables) avec nette détérioration dans les internes du marché et nos mesures de tendance uniformité. Aucun de ces facteurs fournir un soutien pour le marché ici. À mon avis, les spéculateurs sont en train de danser sans plancher.
RépondreSupprimerEt ce n'est pas seulement les stocks qui pourraient être sur le point d'un déclin massif. Le marché obligataire connaît également une bulle sans précédent en ce moment. Et quand cette bulle éclate, le carnage sera incroyable. Cela est devenu tellement évident que même CNBC en parle ...
Imaginez ceci: Le marché obligataire se effrayé par un coup peur de taux d'intérêt, l'envoi d'une foule d'acheteurs en streaming vers les sorties, seulement pour trouver une pénurie d'acheteurs de l'autre côté.
En conséquence, la liquidité s'évapore, les rendements montent en flèche, et les États-Unis se trouve au beau milieu d'une autre crise de la dette n'a vu venir.
C'est un scénario que TABB Group tête à revenu fixe Anthony J. Perrotta croit n'est pas du tout exagéré, compte tenu du marché a eu ce qui pourrait être considéré comme un avant-goût en mai 2013. C'était la "crise de cône," qui a vu les rendements pic et les stocks vendent après président de la Réserve fédérale alors Ben Bernanke a fait des remarques que le marché interprété comme indiquant une remontée des taux plus tôt que prévu.
Si la force de nos marchés financiers reflète la force globale de l'économie américaine, il ne serait pas presque autant source d'inquiétude.
Mais à ce point nos marchés financiers sont devenus complètement et totalement déconnectée de la réalité économique.
La vérité est que nos fondamentaux économiques continuent à se désintégrer. En fait, le FMI dit que la Chine a maintenant la plus grande économie de la planète sur une base de pouvoir d'achat. L'ère de la domination économique américaine se termine. Il est juste que les marchés financiers n'ont pas encore obtenu la note de service.
J'espère que nous avons encore au moins quelques mois de plus avant les marchés boursiers du monde entier démarrage de s'écraser. Mais rappelez-vous, nous entrons dans la septième année de son cycle de sept ans d'accidents économiques que tant de gens parlent de ces jours. Et nous sommes certainement apprêté pour un effondrement financier mondial.
Malheureusement, la plupart des gens ne voient pas le crash de 2008 à venir, et la plupart des gens ne verront pas le prochain à venir soit.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/financial-trouble-is-already-erupting-in-germany-and-japan
18 Faits qui font réfléchir propos de Le prêt étudiant sans précédent Crise de la dette aux États-Unis
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden sur 08/10/2014 20:22 -0400
Soumis par Michael Snyder de la fin du blog américain de rêve ,
Le prêt bulle de la dette étudiante en Amérique est hors de contrôle, et il est financièrement paralysant toute une génération de jeunes Américains. A ce moment, le total de la dette de prêts aux étudiants aux États-Unis a atteint un échelonnement 1,2 milliards de dollars, et un record absolu élevé 40 millions d'Américains sont actuellement payer les dettes de prêts aux étudiants. Juste au moment où nos jeunes devraient se préparer à l'achat de maisons et de fonder une famille, ils se retrouvent financièrement paralysé par des niveaux d'oppression de la dette. Ce qui rend tout cela encore pire, c'est que seulement quelques-uns de nos diplômés du collégial sont en mesure d'obtenir les «bons emplois» que nous leur avons promis. Ainsi, avec des perspectives d'emploi limitées et les niveaux suffocantes de la dette, cette génération de jeunes Américains de plus en plus remettre à plus tard majeur engagements de la vie tels que l'achat d'une maison et se marier. tant que société, nous avons vraiment besoin de repenser la façon dont nous «éduquer» nos jeunes, parce que ce que nous faisons maintenant ne fonctionne manifestement pas. Le 18 faits qui donnent à réfléchir sur le prêt étudiant sans précédent crise de la dette aux États-Unis sont les suivants ...
# 1 Selon le Wall Street Journal, la classe de 2014 est " la plus endettée jamais "...
Comme les diplômés des collèges dans la classe de l'année 2014 se préparent à passer leurs glands et accepter leurs diplômes, ils quittent l'école avec un décourager distinction: Ils sont la classe la plus endettée jamais.
La classe moyenne de l'année 2014 diplômé d'endettement étudiant doit rembourser quelque 33.000 dollars, selon une analyse des données du gouvernement par Mark Kantrowitz, éditeur à Edvisors, un groupe de sites Web sur la planification et payer pour le collège. Même après ajustement pour l'inflation qui est près du double des emprunteurs montant dû rembourser il ya 20 ans.
# 2 En 1994, moins de la moitié de tous les diplômés d'université ont quitté l'école avec une dette de prêts aux étudiants. Aujourd'hui, il est plus de 70 pour cent .
# 3 Environ 15 pour cent des diplômés et l'école professionnelle des étudiants quittent l'école sans solde de la dette de prêts aux étudiants dans les six chiffres .
# 4 A ce point de dette de prêt, l'étudiant a atteint un total de 1,2 billion de dollars aux États-Unis. Ce nombre a augmenté d'environ 84 pour cent seulement depuis 2008.
# 5 Selon le Pew Research Center , près de quatre sur dix ménages américains qui sont dirigés par une personne âgée de moins de 40 ans paie la dette de prêts aux étudiants en ce moment.
# 6 La valeur nette médiane des jeunes ménages qui ont une dette de prêts aux étudiants est de 20 pour cent de moins que la valeur nette médiane des jeunes ménages qui n'ont pas de dette de prêt étudiant et qui sont dirigés par quelqu'un avec seulement un diplôme d'études secondaires.
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# 7 Parmi études collégiales gens, la valeur nette médiane des jeunes ménages qui n'ont pas la dette de prêts aux étudiants est sept fois plus élevé que la valeur nette médiane des jeunes ménages qui disposent de la dette de prêts aux étudiants.
RépondreSupprimer# 8 En 2008, environ 29 millions d'Américains payaient les dettes de prêts aux étudiants. Aujourd'hui, ce nombre a grimpé à 40 millions de .
# 9 Depuis 2005, le fardeau de la dette de prêts aux étudiants ont absolument explosé alors que les salaires des jeunes diplômés du collégial ont en fait diminué ...
Le développement de problème est que les gains et de la dette ne se déplacent pas dans le même sens. De 2005 à 2012, la dette moyenne des prêts étudiants a bondi de 35%, l'ajustement de l'inflation, alors que le salaire médian a en fait diminué de 2,2%.
# 10 Selon CNN, 260.000 Américains avec un diplôme collégial ou professionnel fait à ou en dessous du salaire minimum fédéral l'an dernier.
# 11 Même en tenant compte de l'inflation, le coût des frais de scolarité ont augmenté de 275 pour cent entre 1970 et 2013.
# 12 la dette pour les étudiants des facultés de droit a augmenté de façon spectaculaire au cours de la dernière décennie ...
JDs certainement ne viennent pas pas cher. C'est presque du jamais vu à l'école de droit sans prendre des prêts importants. De plus, la charge de la dette moyenne est de montage : en 2001-2002, JDs emprunté en moyenne $ 46 500 dans les écoles de droit public et de $ 70 000 dans les écoles de droit privé; d'ici à 2011, ces chiffres ont augmenté à $ 75 700 et $ 125 000, respectivement.
# 13 L'an dernier, on rapportait que 34,9 pour cent de tous les emprunteurs de prêts aux étudiants de moins de 30 ans sont au moins 90 jours en retard sur leurs paiements de prêt étudiant.
# 14 Un sondage a révélé que 27 pour cent de ceux dont la dette de prêts aux étudiants est revenue avec leurs parents après le collège.
# 15 Une autre enquête a révélé que 70 pour cent de tous les diplômés de niveau collégial souhaitent qu'ils avaient passé plus de temps à préparer pour le «monde réel» alors qu'ils étaient encore à l'école.
# 16 la dette de prêt étudiant est à l'origine de nombreux jeunes Américains à tarder à se marier. Ce qui suit provient d'un récent article NBC Nouvelles ...
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Bien qu'il n'y ait pas de données spécifiques sur les retards liés à la dette et les élèves au mariage, une étude récente par le Pew Research Center montre qu'un nombre record d'Américains n'ont jamais été mariées. L'étude a révélé que l'âge médian au premier mariage est maintenant 27 pour les femmes et 29 pour les hommes. En 1960, l'âge médian était de 20 pour les femmes et 23 pour les hommes.
RépondreSupprimer# 17 Beaucoup d'Américains ne sont même pas en utilisant la plupart de leur prêtent de l'argent aux étudiants pour payer pour le collège. Au lieu de cela, beaucoup utilisent une grande partie de cet argent pour payer les factures ou stocker le frigo ...
Prenez Ray Selent, un ancien greffier de détail de 30 ans à Fort Lauderdale, en Floride. Il était sans emploi en 2012 quand il a inscrit comme étudiant à temps partiel au Collège communautaire du comté de Broward. Cela lui a permis d'emprunter des milliers de dollars pour payer le loyer à sa mère, se couvrir la facture de cellulaire et attraper le film occasionnel.
..
Tommie Matherne, un 32-year-old marié et père de cinq à Billings, Mont., A été va à l'école depuis 2010, quand il a réalisé le 10 $ de l'heure, il a été fait comme un garde de sécurité du centre commercial ne couvrait pas les dépenses de sa famille . Il utilise environ 2000 $ en prêts étudiants chaque année pour s'approvisionner son frigo et rattraper son retard sur les factures. Sa femme est une mère au foyer qui reçoit également prêts à prendre des cours en ligne.
" Nous avons pris ce que nous pouvons pour les prêts étudiants chaque année, en prenant tout ce que nous avons laissé sur et l'utiliser pour stocker le congélateur juste si nous avons un couple de mois supplémentaires où nous n'avons pas à vous soucier de la nourriture », explique M. Matherne, qui doit $ 51,600 en prêts fédéraux.
Certains élèves finissent par aller plus profondément dans la dette. Tôt l'an dernier, quand Denna Merritt a perdu ses prestations de chômage de longue durée, le 49-year-old woman Indianapolis inscrit à temps partiel à l'Art Institute de programme en ligne de Pittsburgh, en visant un diplôme en design graphique. Elle sortit $ 15,000 dans fédéral prêts, $ 2,800 de qui sont allés à rattraper son retard sur les factures impayées, y compris les services publics, les primes d'assurance-maladie et le câble.
"De toute évidence, il vaut mieux ne pas l'utiliser de cette façon si vous pouvez l'aider, parce que vous allez juste devoir beaucoup plus tard," dit Mme Merritt, un ancien comptable.
# 18 Seulement 28 pour cent des Américains savent que le gouvernement américain peut saisir les salaires et à retenir les remboursements d'impôt si les dettes de prêts aux étudiants ne sont pas remboursés.
Il ne faut donc pas surprenant que le taux de délinquance sur la dette de prêts aux étudiants dans ce pays est beaucoup plus élevé que le taux de délinquance sur les prêts hypothécaires, les prêts automobiles et de la dette de carte de crédit.
Il s'agit d'une bulle financière qui s'aggrave d'année en année, et si nous continuons sur notre parcours actuel, il va finir très, très mal.
http://www.zerohedge.com/news/2014-10-08/18-sobering-facts-about-unprecedented-student-loan-debt-crisis-us
L'Europe se prépare un hiver glacial
RépondreSupprimerFinnian Cunningham
Strategic Culture
lun., 06 oct. 2014 08:23 CEST
Traduit par Pascale Geniès pour Réseau International
Napoléon en a fait l'expérience en 1812, Hitler en 1941. L'oligarchie de l'Union Européenne apprendra-t-elle la même leçon en 2014 ? Une leçon qui consiste à comprendre que les entreprises belliqueuses envers l'ours russe se paient d'un prix considérable, surtout quand les belligérants agissent avec ce qui ressemble à de l'aveuglement et sans une once de saine réflexion.
La semaine dernière, les leaders européens à Bruxelles ont fait le choix de ne pas lever les sanctions commerciales imposées à la Russie. Ces sanctions avaient été appliquées après que le référendum en Crimée de mars 2014 ait conduit à la réunification de la péninsule méridionale de l'Ukraine avec la Russie.
Comme Washington, Bruxelles a accusé la Russie d'avoir agressé l'Ukraine et annexé la Crimée, ignorant soigneusement le fait que le peuple de ce pays s'était prononcé à une énorme majorité en faveur de l'entrée dans la Fédération russe, et ce en protestation contre le coup d'état illégal qui, avec l'aide de l'Union Européenne et de Washington, avait porté au pouvoir à Kiev, le mois précédent, la junte fasciste.
La semaine dernière, l'élite bureaucratique bruxelloise a justifié sa décision de maintenir les sanctions par le fait que la Russie ne se montrait pas assez diligente dans les négociations pour parvenir à un cessez-le-feu à l'est de l'Ukraine. Un peu plus tôt cette même semaine, la chancelière allemande Angela Merkel avait dit qu'il était « impossible de lever les sanctions » en raison des combats sporadiques continuels entre les forces militaires de Kiev et les milices ethniques russes.
Bruxelles et Washington, ainsi que leur alliance militaire OTAN, accusent la Russie d'intervenir en Ukraine orientale en livrant sous le manteau des armes et des soldats. Le commandement de l'OTAN affirme qu'il détient des preuves irréfutables que des milliers de militaires russes se sont infiltrés en Ukraine et qu'ils aident les rebelles des républiques auto-proclamées de Donetsk et Luhansk dans leur combat contre les forces de Kiev.
Moscou a nié à plusieurs reprises avoir livré des munitions et envoyé des troupes en Ukraine. Malgré les demandes répétées de se voir soumettre les « preuves irréfutables », aucun fait avéré n'a été présenté par l'OTAN.
Une fois encore, c'est sur la base des préjugés les plus minces et les plus négatifs, que l'UE juge que le conflit et le chaos ukrainien sont forcément causés par l'action malfaisante de la Russie. Selon Bruxelles, il ne peut y avoir aucune autre explication. Et donc, comme pour le référendum de Crimée, il n'est pas possible, du point de vue de l'UE, que les habitants de Donetsk et Luhansk aient pu vouloir s'opposer au coup d'état illégal du régime de Kiev. Ils ont forcément été victimes des manipulations machiavéliques de Moscou
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Pourtant, le récent cessez-le-feu à l'est de l'Ukraine est dû en grande partie à l'intervention personnelle de Vladimir Poutine et à sa proposition, le 5 septembre, au Groupe de contact de Minsk, d'un plan de paix en 7 points ; et ceci va à l'encontre de ces conclusions fantaisistes.
RépondreSupprimerDepuis que le régime de Kiev a lancé en avril son « opération anti-terreur » contre la population dissidente de l'est de l'Ukraine, plus de 3.200 personnes ont perdu la vie. Ce coup de force a reçu le soutien tacite de Washington et de Bruxelles.
Si le cessez-le-feu proposé reste fragile, ce n'est pas à cause de l'intervention secrète de la Russie, ni aux violations des milices anti-Kiev de Donetsk ou Luhansk. Le cessez-le-feu est sous la menace d'une offensive militaire toujours à l'œuvre, celle des forces de Kiev et de ses alliés occidentaux.
Depuis le 5 septembre, et malgré l'accord établi le 20 par le Groupe de Minsk stipulant le respect d'une « zone tampon » de 30 km, la ville de Donetsk a été constamment soumise à des tirs d'obus. La zone tampon était destinée à maintenir l'artillerie loin du front. Pourtant, Donetsk a souffert d'innombrables tirs de barrage en provenance des forces de Kiev qui assiègent la ville.
Parmi ces tirs en violation de l'accord, on peut citer les attaques sur une école et un arrêt de bus en centre ville qui ont fait 11 victimes. Lors d'une autre offensive, un employé humanitaire a été tué par un obus tiré sur les bureaux du Comité International de la Croix-Rouge. Le même jour, jeudi dernier, un immeuble a été touché par un tir d'artillerie à l'est de la ville.
Un peu avant, le 28 septembre, c'est le quartier Kuibyshevsky qui a été la cible de tirs. Et le 24 septembre, le bombardement d'un autre immeuble a fait 2 morts. La dépêche de l'Associated Press rapporte avec une certaine ambigüité que l'attaque a été causée par des résidents pris « dans des tirs croisés ».
La vérité brute et incontournable, c'est que le régime de Kiev et ses alliés occidentaux n'ont pas le droit de prendre pour cible des zones civiles, et tout particulièrement pendant un cessez-le-feu qui définit une zone tampon de 30 km. La reconquête de l'aéroport de Donetsk par les milices d'autodéfense le week-end dernier, devrait mettre un terme aux tirs d'obus sur la ville car ils proviennent pour la plupart, depuis le mois dernier, de cet endroit.
Le président du régime de Kiev, Petro Poroshenko a déclaré que les forces qu'il est censé contrôler, respectent le cessez-le-feu, alors que les faits le contredisent. Déclaration faite alors que son premier ministre, Arseniy Yatsenyuk effectuait la revue des nouvelles troupes assignées à l'est de l'Ukraine pour de futures opérations militaires. On rapporte que ces soldats étaient équipés de nouveaux blindés de transport de troupes et de vêtements d'hiver lorsque Yatsenyuk est venu les saluer sur une base de Kiev.
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Et pourtant, malgré ce qui vient d'être énoncé, l'UE pense de manière irrationnelle que la Russie doit être punie pour ses entorses au cessez-le-feu.
RépondreSupprimerVladimir Poutine a déclaré que les sanctions de l'UE étaient "d'une inconscience totale". Devant un parterre d'hommes d'affaires russes à Moscou, Poutine a dit : «
C'est une inconscience totale de la part de ces gouvernements qui handicapent leur secteur économique, l'empêchent de fonctionner, réduisent sa compétitivité et offrent ainsi pour leurs concurrents des niches de développement sur un marché aussi prometteur que le marché russe ».
D'une inconscience totale, à n'en pas douter. Les sanctions européennes ont été contrées par des sanctions russes qui bannissent à leur tour un grand nombre de produits agricoles. Bruxelles doit déjà trouver des centaines de millions de dollars pour compenser les pertes des producteurs de fruits et légumes, de viande et de lait qui ne peuvent plus exporter leurs produits sur le marché russe, marché évalué à presque 16 milliards de dollars en 2013.
Le déficit déjà critique du budget européen va flamber pendant l'hiver alors que les récoltes vont pourrir dans les champs et que 10 millions de producteurs seront laissés pour compte et sans revenu. Les fermiers français ont déjà déchargé dans les rues leurs cargaisons de produits devenus inutiles et mis le feu à un bâtiment administratif en Bretagne pour protester contre des sanctions russes qui menacent leur survie.
Des rapports mentionnent que la Russie cherche à s'approvisionner en denrées agricoles sur les marchés alternatifs de l'Amérique du sud et de l'Asie. Comme Poutine l'a déclaré, c'est la bureaucratie de l'UE qui sera perdante, surtout quand ses fermiers prendront la pleine mesure, au cœur d'un hiver froid, de la stupidité de sa décision.
Et puis il y a le sujet capital de l'approvisionnement en gaz naturel. Le commissaire à l'énergie Guenther Oettinger a déclaré avec une naïveté grossière que la Russie ne devrait pas « politiser l'approvisionnement énergétique ». Alors, soyons clairs, Herr Oettinger : il serait parfaitement acceptable pour l'UE d'asséner à la Russie des sanctions financières et industrielles injustifiées, mais de votre point de vue, inacceptable pour la Russie de couper l'approvisionnement en gaz de l'Europe ?
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Rendons justice aux Russes ; ils n'ont pas utilisé cette menace car des millions de foyers européens ne pourraient plus faire la cuisine ou se chauffer sans le gaz russe.
RépondreSupprimerMais que se passerait-il si on forçait les Russes à prendre une telle mesure ? La semaine dernière, la société à capitaux publics Gazprom a mené une enquête dont la conclusion était que la Pologne, la Slovaquie et la Hongrie, trois pays membres de l'UE, tentaient de manipuler la politique russe pour obtenir un arrêt de la livraison de gaz à l'Ukraine. Moscou avait dû cesser ses livraisons cet été car le régime de Kiev refusait de payer une note de plus de 5,3 milliards de dollars.
Or il se trouve que si des états européens « piratent » le gaz russe en le revendant à l'Ukraine, cela donne tous les droits à la Russie de couper ses exportations de gaz à destination de certains pays de l'Union. Et comme l'Union Européenne dépend à 50% d'elle pour son combustible, cette crise conduira à la colère populaire et à des mouvements sociaux de grande ampleur.
Le pire, c'est que ce conflit, cette souffrance humaine et ce chaos financier pourraient être évités. C'est bien le leadership européen qui a empoisonné en les politisant, les relations avec la Russie, en raison de préjugés idéologiques et de déplorables manœuvres de désinformation.
Washington et sa cohorte d'idéologues fascistes à Kiev peuvent bien se réjouir de la crise qui s'aggrave, mais qu'en est-il des 500 millions des citoyens européens lambda qui souffriront cet hiver des conséquences de décisions stupides.
Les citoyens européens sont déjà profondément désillusionnés envers Bruxelles et une bureaucratie supra-nationale qui échappe à tout contrôle. Les taux de chômage record et les politiques économiques impitoyablement austères qu'ils lui doivent, alors que s'enrichit toujours plus un microcosme d'oligarques de la finance, font les beaux jours des partis politiques anti-européens et séparatistes, à travers tout le continent.
L'échec lamentable des tentatives de l'Union Européenne pour s'opposer à la Russie par le biais de sujets sans rapport avec le contexte général, prépare le terrain à un hiver de mécontentement et de révolte.
A l'image de ces Svengali de l'ancien empire qui se colletaient avec l'ours russe, l'élite de Bruxelles va fatalement se trouver débordée, et forcée à une retraite catastrophique à l'approche de l'hiver.
http://fr.sott.net/article/23433-L-Europe-se-prepare-un-hiver-glacial
La schizophrénie tourmenter Notre Société & Economie
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden sur 08/10/2014 19:16 -0400
Soumis par Charles Hugh Smith via le blog de pointe prospérité ,
Que peuvent faire les programmes de télévision populaires nous parler de l'air du temps (esprit du temps) de notre culture et de l'économie ?
C'est une question intéressante, comme tous les médias de masse à la fois répond et façonne nos interprétations et des explications sur l'évolution des temps. C'est aussi une question importante, que les tendances dans les médias cristallisent et expriment de nouvelles façons de comprendre notre époque.
Ceux qui façonnent notre interprétation des événements façonnent également nos réponses. Cela est bien sûr le but de la propagande: Forme de l'interprétation, et la réponse suit prévisible.
Comme une entreprise de l'entreprise, l'objectif de médias de masse est de faire de l'argent-le plus sera le mieux et qui nécessite de trouver des produits de divertissement qui attirent et se livrent un large public. Les produits qui changent la culture populaire sont généralement assez nouveau pour remplir notre attirance innée pour la nouveauté, mais ce n'est pas suffisant. Le produit doit exprimer une interprétation de notre temps qui était naissante, mais qui n'avait pas encore trouvé son expression.
Nous pouvons comprendre ce processus complexe de la cristallisation et de donner expression à de nouveaux contextes comme l'une des facettes de la politique d'expérience .
The Politics of Experience
Il n'est pas une coïncidence que l'expression politique d'expérience a été inventé par un psychiatre, RD Laing, pour l'expression déballe la façon dont notre interprétation intériorisée de l'expérience peut être façonné pour créer des croyances uniformes au sujet de notre société et de l'économie qui mènent ensuite à des normes de comportement qui soutenir le statu quo économique politique /.
Voici comment Laing a décrit les conséquences sociales dans le chapitre quatre de son livre de 1967, The Politics of Experience :
"Tous ces gens qui cherchent à contrôler le comportement d'un grand nombre d'autres personnes travaillent sur les expériences des autres personnes. Une fois que les gens peuvent être amenés à vivre une situation de la même manière, ils peuvent être tenus de se comporter de la même façon. Inciter les gens à vouloir tout la même chose, haïr les mêmes choses, sentir la même menace, alors que leur comportement est déjà captif - vous avez acquis vos clients ou de votre chair à canon ".
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Pour Laing, la politique d'expérience n'est pas seulement d'influencer le comportement social - il a un individu, conséquence intérieure ainsi:
RépondreSupprimer«Notre comportement est une fonction de notre expérience. Nous agissons en fonction de la façon dont nous voyons les choses. Si notre expérience est détruit, notre comportement sera destructrice. Si notre expérience est détruite, nous avons perdu nous-mêmes. "
Comment les médias façonne notre interprétation affecte non seulement nos croyances et nos réponses, mais nos perceptions de soi et de notre rôle dans la société. Si l'interprétation des médias n'est plus aligné avec notre expérience, le conflit peut générer des comportements auto-destructeurs.
En d'autres termes, les interprétations des médias de masse peuvent créer une schizophrénie sociale qui peut conduire à des attitudes et des comportements auto-destructeurs.
Analyse sociale de la télévision
Par sa nature même comme une expérience de masse partagée, le divertissement populaire est un terrain fertile pour l'analyse sociale.
Voici un exemple courant: qu'est-ce qu'un enfant à apprendre à propos de la résolution des conflits s'il a vu un millier de programmes de télévision dans laquelle le «héros» est contraint de tuer le «méchant» dans une épreuve de force ? Qu'est-ce que ce modèle suggère, non seulement sur la structure du drame, mais sur la société qui crée ce drame?
Divertissement analyser a été populaire en Amérique depuis les années 1950, sinon plus tôt. Le film noir des années 1950, par exemple, a été largement considérée exprimer l'angoisse de la guerre froide. D'autres ont soutenu que la prospérité croissante des années 1950 a permis à la population d'explorer ses démons les plus sombres - quelque chose que les difficultés et les angoisses de la dépression n'ont pas encouragé.
Beaucoup pensent que la crise économique a donné lieu à des comédies loufoques et divertissement léger, avec la désinvolture riche précisément parce que ce sont des antidotes évasion aux réalités de broyage de l'époque.
Même les émissions de télévision qui ont été dénigrés comme superficiels dans leur propre temps (par exemple, Ma sorcière bien aimée dans les années 1960) peuvent être considérés comme des expressions politiquement inertes mais inconsciemment puissants de profonds changements sociaux: la «sorcière» dans Bewitched est un puissant jeune femme qui est constamment imploré par son mari conventionnelle se conformer à toutes les subtilités de fades une femme au foyer de banlieue, mais elle trouve le moyen de se rebeller contre ces restrictions.
Laing a vu le conflit potentiel entre ce que nous vivons et comment on nous dit d'interpréter cette expérience non seulement en termes sociaux mais en termes psychiatriques: ces divisions ouvrent un fossé qui peut conduire à une forme de schizophrénie.
Diagnostic Notre maladie avec TV
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Que pouvons-nous faire de la populaire série télévisée de l'époque actuelle ? Que disent-ils, sous la surface, sur la société américaine ?
RépondreSupprimerJe soutiens que la télévision populaire exprime trois aspects clés de la société et de l'économie des États-Unis qui sont en contradiction avec les valeurs fondamentales défendues idéalisé dans les classes civiques et des médias. Les trois valeurs idéalisées sont:
1. Amérique est une méritocratie-sélections, les admissions, etc, sont fondées sur les mérites des candidats
2. N'importe qui peut aller de l'avant si ils reçoivent une éducation et travailler dur
3. Amérique est la nation la plus riche sur terre en termes de chances, l'équité et le capital
TV exprime trois aspects qui confondent ces valeurs idéalisées:
1 La vie est un jeu dans lequel le gagnant prend tout
2 La possibilité de "prendre de l'avance" par des moyens conventionnels - se éduqués, travailler dur, etc - est une plaisanterie; seuls ceux qui contourner les conventions et le droit de s'enrichir
3 La vie est un parcours d'endurance tortueuse où les responsables exigent le cruel et l'impossible
Winner-Take-All Talent Shows
Commençons par le genre qui a été une force dominante dans la télévision américaine depuis les années 2000: la-take-all gagnant concours de jeunes talents (réalité et jeux télévisés).
La longue durée Survivor série, par exemple, était un winner-take-all concours de la force physique et la ruse politique, tandis que les nombreux programmes des concours de chant / danse mettant en scène ( de American Idol , etc) mis compétences de divertissement à l'épreuve compétitive. Un large éventail d'autres entrées en scène des concours de cuisine, de l'esprit d'entreprise, la perte de poids, la négociation des parcours d'obstacles, et ainsi de suite.
Qu'est-ce que les interprétations de notre expérience ne ces gagnant rafle tous les reality shows très compétitifs promouvoir?
Nous pourrions commencer par le fait que les étoiles (autres que les hôtes / juges) sont apparemment ordinaire "tout homme / femme" Américains, c'est à dire des gens n'est pas sans rappeler nous. En les regardant, il n'est pas trop d'un tronçon de nous imaginer sur scène, dans la cuisine, etc, essayer d'impressionner les juges avec nos talents. Il est facile d'identifier avec les participants.
Ces spectacles nous permettent de vivre par procuration le fantasme que nous aussi, nous pourrions être à la télévision nationale et pourrait gagner les éloges des juges et des fans et le gagnant qui prend tout.
Cette empathie naturelle avec le célèbre temporairement avec qui nous pouvons partager indirectement le frisson de la victoire et l'agonie de la défaite est puisant clairement une volonté culturelle profonde de goûter la célébrité et les récompenses financières implicites de gagner de plus en plus dans un winner-take-all société / économie .
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Pourriez la marginalisation financière / politique du citoyen moyen et le fossé qui se creuse entre le ménage typique et ceux qui sont au sommet de la gloire / pyramide de la richesse ont quelque chose à voir avec cette fascination pour le gagnant emporte tout-concours sur la scène publique ?
RépondreSupprimerDepuis, il ya eu des jeux télévisés à la télévision depuis des décennies, on pourrait faire valoir que cette prolifération de gagnant-prendre-toutes les compétitions ne sont pas nouveaux. Mais ce ne tient pas compte de la différence entre un jeu dans lequel la réponse correcte est un fait et les votes subjectives des juges, des autres joueurs et le public qui comptent dans winner-take-all concours.
Je dirais que cette explosion récente de concours («gladiateur moderne», anyone?) Est une expression des valeurs culturelles profondément ancrées partagées: nous acceptons que notre société est très concurrentiel, et qu'il devient d'autant plus que le haut " gagnants "écrémé la grande majorité des gains (visibilité médiatique, la richesse, adulation, le statut social. etc), laissant quelques morceaux pour le top 5% et que des miettes pour les 95%.
Mais ces programmes de télévision prévoient également le fantasme que notre société lutte-to-the-figurative de mort est encore une méritocratie - le meilleur gars / gal gagne, à en juger par les «experts» (ou des célébrités qui prétendent expertise; l'expertise des juges est structuré pour être inattaquable, comme tous les autres «experts» dans notre société).
Mais si nous ne pouvons pas tout gagner sur le mérite, il est une autre façon de gagner: afficher la ruse politique supérieur ou une plus grande popularité auprès du public. (Fait intéressant, ce qui répond à des publics colisée de l'époque romaine tardive, qui a également eu une certaine influence sur qui vivait à combattre un autre jour sur le champ de bataille chorégraphié ci-dessous.)
Peut-être cela explique notre obsession collective avec la célébrité et les nombreuses mesures de popularité à la disposition de tout le monde maintenant - Instagram, Facebook aime, adeptes de Twitter (en vente dans bon nombre de 10.000), les scores Klout, et ainsi de suite.
En d'autres termes, que le succès dans le monde réel se développe de plus en plus lointain, du fait d'autrui en compétition et "gagner tout" devient très convaincante. Plutôt que de traiter avec les grandes injustices de notre système, nous nous accrochons à la norme idéalisée que les questions de méritocratie, de même que «gagner» dans la vie réelle est de plus en plus un jeu de copinage, la ruse, le système de jeu, de déformer la vérité, etc
Et si nous frisson à ces écrans de jeux d'action de la méritocratie dans l'action, car elle confirme notre système de valeur culturelle que que, malgré les prédations de Wall Street et Washington, le mérite compte encore.
Et quand tout le reste échoue, nous avons une source de repli de l'identité et de «gagner» - notre popularité. Et si nous n'avons pas assez de la nôtre, alors nous pouvons partager par procuration de la popularité de la télévision montrent des gagnants et des célébrités qui ont atteint le sommet.
C'est le message central d'une demi-heure de conversation intéressante et savante sur la célébrité donnée par Jeux de Trônes acteur Jack Gleeson ( via correspondant Yoni F. )
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"Lors d'une visite récente à l'Oxford Union, Gleeson en a profité pour démanteler la« hystérie religieuse »de la célébrité culte avec une diatribe appropriée épique, brisant les catalyseurs économiques, psychologiques, sociologiques et de respect du public de célébrités et de leur impact négatif sur la société dans son ensemble ».
RépondreSupprimerGleeson s'appuie sur un certain nombre de sources intellectuelles (Weber, Baudrillard, et al.) Dans son analyse de la culture contemporaine de la célébrité, et conclut que la célébrité comble le vide laissé lorsque le développement d'un soi authentique est ralentie.
Le parallèle avec "l'auto perdue» Laing est frappante.
En effet, lorsque les possibilités de développement d'un soi authentique ont été réduits à la popularité, la visibilité publique et le statut qui découle de ces formes de reconnaissance, puis le culte de la célébrité et le désir douloureux pour un moment de gloire se substituer rationnelles pour une True Self.
Comme ces éventualités vaporeux ne peuvent jamais former une individualité authentique, même ceux qui ne "gagner" la concurrence pour la célébrité sont finalement insatisfait et désabusé.
Ma conclusion: la popularité de-ramassant tout les programmes de télévision concurrentiels reflète le manque de possibilités pour l'individualité et la substitution de la célébrité culte pour la tâche difficile de se forger une identité indépendante dans une société qui marginalise tous mais les meilleurs joueurs.
Si ce n'est pas une forme de schizophrénie culturelle, alors qu'est-ce que c'est ? L'affirmation selon laquelle c'est tout juste bon amusement propre est absurde, comme l'affirmation selon laquelle il est parfaitement sain à sacrifier son identité dans une compétition pour la reconnaissance que 99,9 % nous sommes sûrs de perdre.
Dans la partie 2: Cherche désespérément substance , nous examinons une réflexion plus sombre de cet élargissement fossé entre une poignée de «gagnants» et tout le monde. La poursuite de la culture moderne de la célébrité, gagnant-prendre-tout excès, et la superficialité entraîne dans une affaire nationale de la dépression sociale. Un bon argument peut être faite que nous devons faire le point sur la justification de nos valeurs actuelles, car ils ne semblent pas être au service de nos intérêts bien.
http://www.zerohedge.com/news/2014-10-08/schizophrenia-tormenting-our-society-economy
Le "Land Of The Free" Classé 36e au monde pour la liberté!
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden sur 08/10/2014 17:13 -0400
Soumis par Simon Black par Sovereign Man blogue ,
En 1863, les États-Unis d'Amérique était au milieu d'une guerre civile dévastatrice.
Des milliers de personnes venaient de perdre leur vie à Gettysburg, et Sherman a été la préparation de son mars à la mer, dévastant Atlanta dans le processus.
New York City a été impliqué dans les émeutes les plus violentes de son histoire.
L'économie sud était en ruine avec les prix des produits alimentaires de base en flèche, et les citoyens de l'Union ont été coincés payer des impôts pour la première fois.
Une grande partie du pays n'avaient pas encore récupéré de la panique de 1857, et juste au moment où il semblait que les choses ne pouvaient pas être plus chaotique, le Président serait assassiné bientôt.
Dans l'ensemble, il semble que le monde entier était en feu. C'était aux Etats-Unis dans les années 1860.
Et avez-vous été né à cette époque au milieu de tant de chaos, la mort, et le pessimisme, la plupart des gens auraient pensé que vos perspectives d'avenir seraient assez faible.
Mais ce n'est pas ce qui s'est passé. Au lieu de cela, cela aurait été un moment incroyable d'être né.
Plutôt que de patauger dans ses décombres, les États-Unis sont devenus le pays le plus riche et le plus puissant dans le monde au cours des cinquante années qui ont suivi.
En effet, la dernière partie du 19ème siècle a été une période extraordinaire d'être en vie.
La liberté économique a abondé dans le États-Unis. Il n'y avait pas la réglementation gouvernementale fou. Aucun impôt sur le revenu. Aucun des agents armés jusqu'aux dents prêt à coup de pied dans la porte, éteignez votre stand de limonade, vous dire ce qu'il faut mettre dans votre corps, ou vous arrêter pour recueillir l'eau de pluie.
La responsabilité personnelle a été évaluée. Tout le monde a accepté qu'il y avait danger dans le monde. Et ce n'est pas au gouvernement de «protéger» les gens de tous jusqu'au dernier d'entre eux.
Pourtant, malgré tant de «danger», ce fut l'une des plus grandes périodes de création de richesse de l'histoire, tout simplement parce que les gens étaient libres de faire bouger les choses.
Les gens étaient libres d'entrer, la concurrence, et de faire des choix sur le marché. Leur liberté et les droits de propriété sont protégés par une règle de droit manifeste.
Toutefois, à 50 ans seulement plus tard, cette trajectoire positive a été écourtée par la création de la Réserve fédérale.
C'était un tour remarquable des événements.
En 1863, la Proclamation d'émancipation a libéré les esclaves. Cinq décennies plus tard, le Federal Reserve Act placé une population entière sous le contrôle d'un cartel bancaire.
Les 100 années qui ont suivi jusqu'à aujourd'hui ont tout simplement été de resserrer les chaînes et conduire le pays sur le chemin de déclin graduel.
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Dans un premier temps, la baisse est subtile. Les États-Unis restés prospère et relativement libre tout au long du XXe siècle.
RépondreSupprimerSelon le plus récent de la liberté économique de Frasier Institut de l'indice mondial (publié hier), les Etats-Unis classés parmi économies les plus libres du monde de 1980 à 2000.
Depuis lors, la baisse a accéléré.
Considérablement aux États-Unis a glissé à 9 en 2005 et son déclin s'est poursuivi depuis, au point où les États-Unis est maintenant évalué économiquement moins libre que la Jordanie.
Ce n'est pas un hasard.
L'expansion champignon nuage de réglementation a étouffé la petite entreprise et de l'innovation.
Encore plus important, les droits de propriété et le respect de la règle de droit qui ont défini une fois que le pays se sont érodées.
D'une augmentation alarmante de la saisie de biens privés de gouvernement sous le couvert de domaine éminent, à un mépris flagrant pour les droits de propriété des détenteurs d'obligations au cours de sauvetages, les États-Unis a plongé à # 36 dans le monde en matière de respect des droits de propriété.
Le déclin de la liberté économique aux États-Unis a détruit les opportunités, la croissance et la création de richesse avec elle.
Est-ce aussi mauvais que l'Argentine, la Guinée équatoriale, ou le Venezuela? N Mais ce n'est pas l'endroit où vous êtes. Il s'agit de l'endroit où vous allez. Et la trajectoire est clairement négative.
* * *
Et puis il ya ce ... (via Rasmussen)
70% s'opposent à la police saisie de biens sans condamnation pénale
Américains croient fermement que quelqu'un a besoin d'être reconnu coupable d'un crime avant leurs biens peuvent être saisis, même si c'est contraire à la loi fédérale actuelle et la pratique de la police.
Ce qui signifie une assez étonnante de 30% des Américains croient qu'il est très bien ... WTF !? (h / tNot_Jim_Cramer)
http://www.zerohedge.com/news/2014-10-08/land-free-ranks-36th-world-respecting-property-rights
Dommages NSA d'espionnage économie américaine, peut finir par «briser l'Internet»
RépondreSupprimerOctobre 09, 2014 01:48
Les géants technologiques prétendent les programmes de surveillance en vrac de l'Agence de sécurité nationale sont en difficulté l'économie américaine, et un sénateur espère utiliser cet avertissement pour pousser la réforme bloqué par le Congrès.
Google, Microsoft et Facebook sont quelques-unes des entreprises représentées lors d'un forum public organisé par le sénateur Ron Wyden (D-Ore.), Le mercredi, et ils ont tous exprimé leur inquiétude quant à la possibilité que (NSA) les pratiques de l'Agence nationale de sécurité sera non seulement nuire à leurs entreprises, mais l'Internet en général.
«Nous allons finir par casser l'Internet», le président de Google, Eric Schmidt, a mis en garde lors du forum, selon l'Associated Press.
Pendant ce temps, l'avocat général de Microsoft, Brad Smith, a déclaré clients européens de la société sont déjà préoccupés de leurs données est plus sensible à l'espionnage par la NSA. Avec certains pays ressassant lois qui garantiraient des données sur leurs citoyens est stocké physiquement à l'intérieur de leurs frontières, les entreprises de haute technologie américaines affirment que la hausse des coûts associés à ce règlement sont essentiellement basées sur la confiance serait un frein à l'économie.
«Les lois que le reste du monde ne respecte pas, à terme, compromettre la capacité fondamentale de nos propres procédures juridiques, les organismes d'application de la loi et même la communauté du renseignement lui-même," a déclaré Smith.
En réponse, Wyden - un défenseur de la réforme de la surveillance tant vanté - a dit qu'il allait utiliser ces avertissements pour obliger le législateur à prendre des mesures.
"Ce que je vais faire, c'est dire qu'il y a un danger clair et présent pour l'économie Internet", a déclaré à l'AP Wyden.
«Lorsque les actions d'un gouvernement étranger menacent emplois rouge-blanc-et-bleu, Washington se lève à bras. Mais, même aujourd'hui, presque personne à Washington parle de la façon trop large surveillance est nuire à l'économie des États-Unis», at-il ajouté dans ses remarques sur le forum.
L'année dernière, un rapport mis en évidence par Bloomberg suggère que la surveillance de la NSA pourrait coûter aux États-Unis à 180 milliards de dollars en ventes de technologie mondiaux en 2016 Un autre desdites sociétés américaines risquerait de $ 35,000,000,000 un an si les clients étrangers décident de chercher ailleurs pour des services similaires.
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«Les clients achètent des produits et services basés sur la réputation d'une entreprise, et la NSA a lui seul terni la réputation de l'ensemble du secteur de la technologie des États-Unis», a déclaré l'analyste Daniel Castro sur le site. «Je soupçonne beaucoup de clients étrangers vont être magasiner ailleurs pour leur matériel et des logiciels ".
RépondreSupprimerPendant ce temps, il n'y a aucune garantie que le plan de Wyden pour pousser le Congrès va travailler - du moins pas cette année. En Septembre, il a été rapporté que le Congrès ne peut pas prendre la loi américaine sur la liberté de la loi de réforme avant les élections de mi-mandat. Même alors, il est possible que l'action sera retardée jusqu'en 2015.
La loi sur la liberté Etats-Unis mettrait enregistrements de métadonnées - des informations telles que le temps d'un appel a été lancé, la durée de l'appel, mais pas le contenu réel de l'appel lui-même - dans la possession des compagnies de téléphone au lieu de la NSA. Si les agences de renseignement voulaient avoir accès aux données, ils devront obtenir l'approbation du Foreign Intelligence Surveillance Court (FISA).
Bien que la Chambre des représentants a adopté le projet initial en mai dernier, le sénateur Patrick Leahy (D-VT). Renforcé le projet de loi à la demande des défenseurs des libertés civiles. Toutefois, les réformateurs clés comme Wyden n'ont pas apporté leur soutien à ce projet de loi, dans l'espoir de prendre des mesures plus sévères contre la "porte dérobée" collection de données des Américains, quelque chose soit fait indirectement lorsque la cible principale est un étranger.
Wyden, avec son collègue le sénateur Mark Udall (D-Colo.), Peut-être même attendre que le Patriot Act est à renouveler en Juin 2015, croyant qu'ils peuvent utiliser son expiration imminente comme un levier pour une réforme plus substantielle.
http://rt.com/usa/194356-nsa-usa-economy-internet/
Qu'est-ce qui pourrait mal tourner ? Le Pentagone se prépare à mettre des documents secrets à haut risque dans le nuage
RépondreSupprimerOctobre 08, 2014 20:15
Le Pentagone se prépare pour la première fois de laisser des documents classés comme «niveau d'impact 6," ou des données de risque sensibles, haute, être stocké sur le nuage numérique à partager dans le monde entier sur le web.
Une demande d'informations publiées [ PDF ] au début du mois par le Information Systems Agency des États-Unis de la Défense révèle que le Pentagone veut sociétés informatiques qui gèrent les services de cloud computing, comme celui géré par Amazon, de fournir au gouvernement des États-Unis avec un plan pour un même système où des informations classifiées peuvent être partagées en toute sécurité.
Une telle infrastructure et les politiques associées existent déjà pour les données considérées comme ayant un niveau de 1 ou 2 impact, mais, selon Business Insider , laissant nouveau plan de l'armée se concrétiser volonté pour la première fois permettre aux données qui " pourrait mettre les gens en grave danger si elle est une fuite "fin légalement sur le nuage.
Jai Vijayan, un écrivain pour Information Week , qui était parmi les premiers à repérer la proposition Département de la Défense, a écrit la semaine dernière que l'intérêt du gouvernement suggère Washington veut " mettre en place un écosystème qui permettra le DoD pour profiter des technologies de cloud computing commercial tout en assurant le niveau de sécurité nécessaire à l'exécution des charges de travail très sensibles ".
" DISA explore plusieurs voies possibles pour intégrer les services de cloud computing commerciales avec les réseaux du DoD, chacune avec sa propre planification, les considérations techniques et contractuelles », le Pentagone a expliqué dans la demande Octobre 1. " Chaque méthode a différents niveaux de gouvernement et la responsabilité du fournisseur, les points d'interface technique et la planification ultérieure du projet, alors que logiquement ils peuvent tous être considérés par la définition NIST comme la mise en œuvre d'un déploiement de cloud "privé", avec le seul locataire étant la communauté DoD et mission partenaires . "
La demande de renseignements présente deux modèles possibles que le Pentagone veut entreprises de cloud computing à considérer lors de la conception d'un système qui pourrait être bien mis en œuvre par le ministère de la Défense.
"Le premier modèle, intitulé Data Center Leasing Modèle (DCLM), permet au vendeur de location d'espace de rack ou de l'espace au sol dans les centres de données du DoD et placent leur logiciel et le matériel sur le principe du DoD," le livre blanc se lit en partie. "Le modèle permet à un certain nombre de fournisseurs cloud écosystèmes leaders du marché à attribuer discrète espace plancher / support à l'intérieur des installations du DoD (par exemple, DoD de base des centres de données (CDC)) Après examen de sécurité suffisante et d'accréditation, les fournisseurs résider à l'intérieur de la CDC et offrent nuage contemporain services écosystémiques à la communauté DoD ".
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" Dans le deuxième modèle, le modèle de conteneurs sur site (OPCM), l'intégration avec le vendeur se produit à une limite de conteneurs maritimes , "la demande continue. " Le récipient est porté à une prémisse DoD, où il réside, dans les protections physiques de l'installation locale. Beaucoup de considérations de ce modèle sont analogues au modèle de centre de données (par exemple, la puissance, le refroidissement), bien que les ressources informatiques conteneurs fournissent une limite physique inhérente et les plus susceptibles de séjourner à proximité du centre de données qu'ils soutiennent, en tirant des services essentiels, tels que la puissance et les connexions réseau redondantes, de ce centre de données ".
RépondreSupprimer" Comme les deux modèles d'intégration soit résident dans, ou à proximité, les centres de données du DoD, les deux modèles sont à l'étude pour le modèle Cloud Security (CSM) niveaux 5 et 6 des données et la charge de travail , "la demande continue. Comme Business Insider a souligné, ce type de classification est réservé pour des informations qui pourraient poser une menace réelle pour la sécurité nationale si une violation devait se produire.
" La majorité des documents divulgués par Edward Snowden étaient niveau 6 , "James Cook a écrit pour la BI. " Pour mettre cela en contexte, plus tôt cette année Amazon a obtenu l'autorisation provisoire pour stocker des données publiques et non classés de niveau 1 et de niveau 2 dans ses serveurs. " Selon une très expurgée rapport du Pentagone sur les dégâts causés par l'ancien entrepreneur de l'intelligence, la divulgation d'une partie des documents de Snowden peut entraîner des "dommages exceptionnellement graves pour la sécurité nationale . "
Plus tôt cette année, en fait, un rapport publié par le site FCW de technologie fédéral a suggéré que la mise infos niveau 6-graduée sur le nuage avait quelque chose qui n'avait pas encore être sérieusement prises en considération par les responsables. Dans un article Janvier 2014 dans lequel le "chemin prudent de DOD pour le nuage» a été considéré, Frank Kokel de FCWs a écrit que « l'impact de niveau 6 est conçue pour les informations classifiées ne peuvent »et que« la valeur de marché des services de cloud computing aux niveaux d'impact 3 -5 est probablement 10 fois plus que celui qui existe aux niveaux 1-2, selon les sources . «À l'époque, il ya seulement dix mois, Kokel écrit que l'obtention de données DOD classés comme des niveaux 3-5 sur le nuage est resté en" état ??de projet . " Moins d'un an plus tard, cependant, le dernier appel de travail suggère l'armée envisage déjà de faire ce mouvement en ce qui concerne les données, même les plus sensibles.
Pour l'instant, le Pentagone n'est pas certain de ce type de système de nuage, le cas échéant, il examinera la mise en œuvre. Fournisseurs potentiels ont jusqu'au début du mois prochain pour soumettre les détails et répondre à des questions, dont certaines spécifiques à la manipulation de niveau 5 et -6 charges de travail.
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Pendant ce temps, le directeur adjoint de la gestion à la Maison-Blanche Bureau de direction a annoncé la semaine dernière que « les menaces de cybersécurité croissance », y compris Heartbleed bug de cette année, a incité le gouvernement à adopter de meilleures tactiques visant à s'assurer que les réseaux informatiques utilisés par les organismes civils y restent sécurisé, notamment un programme dans lequel le ministère de la Sécurité intérieure va maintenant procéder à " des analyses régulières et proactives »des systèmes de l'organisme sans l'autorisation de l'agence avant" pour protéger les informations les plus sensibles de notre pays . "
RépondreSupprimerQuelques jours plus tôt, Rep. Mike Rogers (R-Michigan), le président de la commission du renseignement House, a averti que la majorité des réseaux dans lesquels des données transverses aux États-Unis sont, à la différence des systèmes de gouvernement, tous trop enclins à l'attaque.
" Nous ne sommes pas prêts si le gouvernement fédéral décide qu'ils veulent prendre une action offensive ou de l'action perturbatrice de manière significative, même en réponse », a déclaré Rogers. " Encore une fois ce n'est pas le gouvernement qui nous inquiète: nous pouvons courber l'échine et de mettre les casques. C'est le 85 pour cent. . . et ils ne seront pas prêts pour la suite. Je vous garantis que d'aujourd'hui . "
http://rt.com/usa/194316-pentagon-cloud-high-risk/
Changement historique: le Japon et des États-Unis pacte de défense boeuf jusqu'à contrer la «menace de la Chine»
RépondreSupprimerOctobre 09, 2014 09:45
Le Japon et les Etats-Unis ont convenu de créer un nouveau partenariat de défense pour contrer leur menace perçue de la Chine. Tokyo est devenue plus ferme dans sa politique militaire du Premier ministre Shinzo Abe, mais cela a conduit à des protestations à la maison.
Le nouveau pacte permettra de définir la façon dont le Japon et les États-Unis vont travailler ensemble pendant des degrés divers de la provocation, de temps de paix, au moment où Tokyo peut être sous, ou la mise en oeuvre, une attaque armée.
"Les deux gouvernements prendront des mesures pour prévenir la détérioration de la sécurité du Japon dans toutes les phases, de façon transparente, de temps de paix pour les imprévus», un rapport intérimaire entre les deux pays a déclaré, a rapporté Reuters.
C'est la première fois que les deux pays ont révisé leurs accords bilatéraux de sécurité en 17 ans et il peut être largement considérée comme une réponse à l'augmentation de l'activité militaire chinoise, en particulier dans la mer de Chine orientale.
Tokyo et Pékin ont été impliqués dans un différend au sujet d'un groupe d'îles, qui sont actuellement contrôlée par le Japon dans la mer de Chine orientale. Leur importance des îles Senkaku, comme on les appelle au Japon, a augmenté, avec la conviction qu'il ya des réserves de pétrole sous le fond marin.
À la fin de Septembre, le président chinois Xi Jinping a appelé l'armée de la Chine à moderniser et à améliorer leur état de préparation au combat, afin qu'ils puissent «gagner une guerre régionale."
"Le siège de toutes les forces de l'APL (Armée populaire de libération) devrait améliorer leur aptitude au combat et renforcer leur capacité à gagner une guerre régionale à l'ère de la technologie de l'information," a déclaré Xi lors d'une réunion avec l'élite militaire du pays, l'agence de nouvelles Xinhua officielle de la Chine rapportés.
En Juillet, le Japon a changé une partie de sa constitution à s'éloigner de sa position pacifiste post-Seconde Guerre mondiale et la fin de l'interdiction de son armée opérant à l'étranger. Le renversement de l'article pertinent 9 dans la Constitution signifie maintenant que l'armée japonaise aurait la capacité de défendre l'US ou d'autres alliés, s'ils étaient attaqués. Les nouvelles lignes directrices seront également voir le Japon et les États-Unis coopèrent dans des domaines tels que la paix et la sécurité maritime.
"Ces lignes directrices révisées capturer la plus grande portée de notre coopération de l'alliance, qui reflète sa nature plus globale," un haut responsable du département d'Etat américain a déclaré sous couvert de l'anonymat, a rapporté AP.
Cependant, pas tout le monde était heureux au pays avec la politique étrangère plus affirmée du Japon. Tokyo a été remis un procès qui cherchent à bloquer le mouvement de PM Abe à l'expansion de l'armée et l'annulation des décennies de non-alignement pacifiste.
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"J'espère que d'autres personnes japonais suivront et intenter des actions juridiques à l'échelle nationale,« ancien fonctionnaire Tokinao Chindo déclaré à l'AFP. Il a dit que l'expansion militaire était contraire à la Constitution par la guerre renoncer au Japon.
RépondreSupprimerUn homme était tellement furieux qu'il s'est immolé par le feu en signe de protestation. Le militant a fait un discours dans la capitale Tokyo et après avoir terminé s'adressant à la foule, il se aspergé dans ce qui semblait être de l'essence et s'immole devant des centaines de spectateurs.
En outre, des milliers de manifestants se sont rassemblés devant la résidence du Premier ministre japonais, en scandant: «Ne détruisez pas la Constitution," "Nous nous opposons absolument réinterprétation de la Constitution," et . "Nous n'avons pas besoin du droit de légitime défense collective" critiques dire le changement de la Constitution est un «tournant historique», a déclaré le Japan Times.
En Septembre, les discussions ont eu lieu entre Tokyo et Washington sur la possibilité de fournir aux États-Unis au Japon avec des armes offensives à l'avenir. Depuis son élection sur un programme nationaliste radical en 2012, Abe a inversé la réduction des dépenses militaires et assoupli les restrictions à l'exportation d'armes , avec le budget de la défense du pays atteint des niveaux records.
Sans surprise, le nouveau pacte de défense entre Tokyo et Washington a provoqué des tensions avec Pékin. Avant de la publication du rapport, la Chine a publié une déclaration disant que les nouvelles directives ne devraient pas interférer avec ses intérêts.
"L'alliance nippo-américaine est un arrangement bilatéral mis en place dans des conditions historiques spécifiques. Elle ne doit pas dépasser la portée bilatérale et ne doit pas nuire aux intérêts des tiers, y compris la Chine," porte-parole chinois du ministère des Affaires étrangères Hong Lei a déclaré dans un communiqué.
La Chine a accusé Abe de faire revivre la Seconde Guerre mondiale militarisme, alors qu'il ya un sentiment général de malaise parmi les populations générales des deux pays.
Un sondage effectué en Septembre en Chine et au Japon par Genron NPO, un but non lucratif basée à Tokyo, a montré que 53,4 pour cent des Chinois envisager un futur conflit, avec plus d'un cinquième de ceux qui disent que cela arriverait "dans quelques années", tandis que 29 pour cent des Japonais peut prévoir une confrontation militaire.
L'an dernier, 90 pour cent des répondants japonais ont dit qu'ils avaient une impression négative de la Chine. Cette année, ce pourcentage a augmenté à 93 pour cent.
http://rt.com/news/194424-usa-japan-defense-agreement/
SupprimerCe qui veut dire que dès à présent c'est l'armée américaine qui défendra les îles chinoises de Senkaku pour se les approprier !!
[L’œil itinérant] Alliance Beijing-Moscou-Berlin : la Chine et la Russie peuvent-elle extirper Washington de l’Eurasie ?
RépondreSupprimer9 octobre 2014
Dan Iel
Un spectre hante le « Nouveau siècle américain » déjà sur le déclin : la perspective d’une alliance commerciale stratégique entre Pékin, Moscou et Berlin. Appelons-la l’alliance BMB.
Le président russe Vladimir Poutine rencontre le président chinois Xi Jinping à Shanghaï en mai 2014 dans l’optique de sceller un contrat de plusieurs milliars de dollars en vue de livrer du gaz russe à la Chine. (Photo : US News & World Report)
Cette possibilité est abordée sérieusement au plus haut niveau à Pékin et Moscou, et considérée avec intérêt à Berlin, New Delhi et Téhéran. Inutile toutefois d’en parler dans les officines de Washington ou au quartier général de l’Otan à Bruxelles, où l’on n’en a que pour l’étoile de l’heure et de demain, le nouveau Oussama ben Laden qu’est devenu le calife Ibrahim, alias Abou Bakr al-Baghdadi, l’insaisissable prophète coupeur de têtes d’un nouveau mouvement et mini-État aux acronymes divers (EIIL, EIIS, EI, Isis, Daesh) utilisés par les hystériques de Washington et d’ailleurs.
Washington a beau remixer sa Guerre mondiale contre le terrorisme tant qu’il lui plaira, il n’en demeure pas moins que les plaques tectoniques eurasiatiques continuent de bouger et que ce mouvement ne s’arrêtera pas juste parce que les élites américaines refusent d’accepter [1] que leur petit moment unipolaire dans l’histoire du monde s’achève. Pour eux, la fin de l’ère de la domination tous azimuts, comme le Pentagone se plaît à l’appeler, est tout simplement inconcevable. Il faut dire que cette volonté du pays indispensable à vouloir contrôler tout l’espace (militaire, économique, culturel, virtuel et intersidéral) se rapproche sérieusement de la doctrine religieuse. Les missionnaires de l’exceptionnalisme n’acceptent pas l’égalité. Au mieux, ils forment des « coalitions de volontaires » pour lutter contre l’EIIL/EIIS/EI/… regroupant plus de 40 pays [2], qui applaudissent (et conspirent) en coulisse, ou qui envoient un avion ou deux en Irak ou en Syrie.
L’Otan, qui, contrairement à certains de ses membres, n’est pas officiellement en guerre contre le Djihadistan [3], demeure une structure pyramidale dominée par Washington. Elle ne s’est jamais souciée d’inclure l’Union européenne (UE) ou d’amener la Russie à se sentir européenne. Quant au calife, ce n’est qu’une diversion mineure. Un cynique postmoderne pourrait même prétendre qu’il s’agit d’un émissaire que la Chine et la Russie ont envoyé sur la scène mondiale pour faire sauter les yeux de l’hyperpuissance de la planète hors de leurs orbites.
Diviser et isoler
Comment alors la domination tous azimuts s’applique-t-elle lorsque les deux autres puissances concurrentes de l’heure, la Russie et la Chine, commencent à faire sentir leur présence ? L’approche préconisée par Washington dans chaque cas, en Ukraine et dans les eaux asiatiques, semble être de diviser et d’isoler.
Depuis déjà plusieurs années, afin que l’océan Pacifique reste un lac américain classique, l’administration Obama a réorienté son pivot vers l’Asie. Les manœuvres militaires qui en découlent sont modestes, mais la tentative d’opposer le nationalisme chinois au nationalisme japonais, tout en consolidant les alliances et les relations dans toute l’Asie du Sud-Est, en mettant l’accent sur les conflits énergétiques dans la mer de Chine méridionale, l’est beaucoup moins. Washington cherche en même temps à mettre en place un éventuel accord commercial, le Partenariat transpacifique (PTP).
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Dans les zones frontalières occidentales de la Russie, l’administration Obama alimente les braises du changement de régime à Kiev (qu’attisent les meneurs de claque locaux que sont la Pologne [4] et les pays Baltes [5]), afin qu’elles prennent feu et deviennent clairement une menace existentielle pour la Russie, aux yeux de Vladimir Poutine et des dirigeants russes. Contrairement aux USA, dont la sphère d’influence (et les bases militaires) s’étend partout dans le monde, il était impensable que la Russie conserve toute influence significative auprès de ses proches voisins (sachant que Kiev n’est même pas considéré comme un voisin par la plupart des Russes).
RépondreSupprimerPour Moscou, c’était comme si Washington et ses alliés de l’Otan cherchaient de plus en plus à imposer un nouveau rideau de fer sur leur pays, de la Baltique à la mer Noire, avec l’Ukraine comme fer de lance. L’alliance BMB pourrait y voir une tentative d’isoler la Russie et d’imposer un nouvel obstacle à ses relations avec l’Allemagne. L’objectif ultime serait de diviser l’Eurasie, afin d’empêcher d’éventuels progrès vers une intégration commerciale dans le cadre d’un processus n’étant pas sous l’égide de Washington.
Du point de vue de Pékin, la crise ukrainienne a démontré que Washington était prêt à dépasser toutes les lignes rouges inimaginables dans ;e but de harceler et d’isoler la Russie. Les dirigeants chinois y voient une tentative concertée de déstabiliser la région, de manière à favoriser les intérêts américains, avec l’appui de tout le spectre de l’élite à Washington, des néoconservateurs et des chantres libéraux de la Guerre froide aux interventionnistes humanitaires à la Susan Rice et Samantha Power. Il va de soi que si vous avez suivi la crise ukrainienne de Washington, pareilles perspectives paraissent aussi étranges que celle de n’importe quel Martien. Sauf que la perception du monde vue du cœur de l’Eurasie diffère de celle de Washington, en particulier le Rêve chinois (Zhongguo meng) [6] préconisé par une Chine en plein essor.
Tel qu’établi par le président Xi Jinping, ce rêve comprendrait un réseau de nouvelles routes de la soie, tissées par la Chine, qui deviendrait l’équivalent du Trans-Asia Express pour le commerce eurasiatique. Ce qui veut dire que si Pékin sent la pression de Washington et de Tokyo monter sur le front maritime, il s’emploiera notamment à privilégier le commerce sur le territoire eurasiatique, d’une part via la Sibérie, d’autre part avec les pays de l’Asie centrale.
En ce sens, on pourrait dire que nous sommes au seuil d’un monde nouveau, chose qu’ignore toutefois quiconque ne se contente que de suivre les médias américains ou les débats à Washington. Il n’y a pas si longtemps, les dirigeants à Pékin caressaient l’idée de revisiter le jeu géopolitique et économique aux côtés des USA, tandis que dans la Moscou de Poutine, on évoquait la possibilité de joindre un jour l’Otan. Plus maintenant. Aujourd’hui, la partie de l’Occident qui intéresse le plus les deux pays est une éventuelle Allemagne, qui ne serait plus dominée par la puissance américaine et par les volontés de Washington.
Moscou poursuit en fait un dialogue stratégique avec Berlin depuis rien de moins qu’un demi-siècle, qui va de pair avec une coopération industrielle et une interdépendance énergétique à la hausse. Ce qui n’est pas passé inaperçu dans le Grand Sud, où l’Allemagne commence à être perçue comme le sixième pays du BRICS (après le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud).
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Au milieu de toutes ces crises mondiales, en Syrie et en Ukraine notamment, les intérêts géostratégiques de Berlin semblent s’éloigner lentement de ceux de Washington. Les industriels allemands, en particulier, semblent désirer vivement conclure des transactions commerciales illimitées avec la Russie et la Chine. C’est qu’elles pourraient ouvrir à leur pays la voie vers un pouvoir mondial dépassant les frontières de l’UE et, à long terme, mettre un terme à l’époque où l’Allemagne, malgré toute la courtoisie dont elle était capable, demeurait essentiellement un satellite américain.
RépondreSupprimerLa route sera longue et sinueuse. Le Bundestag, le parlement allemand, préconise encore un programme atlantiste fort et obéit aveuglément à Washington. Il y a encore des dizaines de milliers de soldats américains sur le sol allemand. Mais, pour la première fois, la chancelière allemande Angela Merkel s’est montrée hésitante à l’égard de l’imposition de sanctions plus sévères contre la Russie par rapport à la situation en Ukraine, parce que pas moins de 300 000 emplois allemands dépendent des relations avec la Russie. Les chefs d’entreprise et l’establishment financier ont déjà sonné l’alarme [7], parce qu’ils craignent que ces sanctions ne soient totalement contre-productives.
Banquet chinois de la Route de la soie
Le nouveau jeu de puissance géopolitique de la Chine en Eurasie a peu d’équivalents dans l’histoire moderne. L’époque est bien révolue, où le petit timonier Deng Xiaoping insistait pour que la Chine garde un profil bas sur la scène internationale. Il y a bien sûr des désaccords et des stratégies divergentes concernant la gestion des points chauds du pays, que sont Taiwan, Hong Kong, le Tibet et le Xinjiang [8], la mer de Chine méridionale, la concurrence indienne et japonaise, ainsi que les alliés problématiques, tels la Corée du Nord et le Pakistan. Il faut dire aussi que le soulèvement populaire dans certaines périphéries sous domination de Pékin atteint des niveaux incendiaires.
La priorité numéro un du pays demeure nationale : elle est axée sur la réalisation des réformes économiques du président Xi, tout en augmentant la transparence et en luttant contre la corruption à l’intérieur du Parti communiste au pouvoir. Loin derrière, vient la question sur la manière de contrer progressivement les plans du pivot du Pentagone dans la région, par la constitution d’une marine hauturière, d’une flotte de sous-marins nucléaires et d’une armée de l’air technologiquement avancée, sans être péremptoire au point de faire paniquer l’establishment de Washington dans sa crainte de la menace chinoise.
En attendant, comme les voies maritimes internationales resteront sous le contrôle de la U.S. Navy dans un avenir prévisible, la planification va bon train en vue de créer de nouvelles routes de la soie en Eurasie. Le résultat final devrait s’avérer [9] un triomphe d’infrastructure intégrée (routes, trains à grande vitesse, gazoducs, ports), qui reliera la Chine à l’Europe occidentale et à la mer Méditerranée, l’ancienne Mare Nostrum de la Rome impériale, de toutes les manières imaginables.
Tel un périple à la Marco Polo à l’envers, remixé au goût de la planète Google, une des principales routes de la soie partira de l’ancienne cité impériale de Xi’an jusqu’à Urumqi, dans la province du Xinjiang, pour ensuite traverser l’Asie centrale, l’Iran, l’Irak et l’Anatolie turque, jusqu’à sa destination finale à Venise. Une autre route de la soie, maritime celle-là, partira de la province du Fujian et passera par le détroit de Malacca, l’océan Indien et Nairobi, au Kenya, pour atteindre ensuite la Méditerranée via le canal de Suez. Pékin a désigné l’ensemble de ces routes comme la ceinture économique de la route de la soie.
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La stratégie de la Chine est de créer un réseau d’interconnexions, avec rien de moins que cinq régions clés : la Russie (le pont essentiel entre l’Asie et l’Europe), les pays de l’Asie centrale, l’Asie du Sud-Ouest (avec des rôles majeurs attribués à l’Iran, l’Irak, la Syrie, l’Arabie saoudite et la Turquie), le Caucase et l’est de l’Europe (y compris la Biélorussie, la Moldavie et, tout dépendant de sa stabilité, l’Ukraine). Sans oublier l’Afghanistan, le Pakistan et l’Inde, qui pourraient faire partie d’une route de la soie à valeur ajoutée.
RépondreSupprimerLa route de la soie à valeur ajoutée relierait le couloir économique Bangladesh-Chine-Inde-Myanmar au couloir Chine-Pakistan, ce qui donnerait à Pékin un accès privilégié à l’océan Indien. Là encore, on mettrait tout le paquet (routes, trains à grande vitesse, gazoducs et réseaux de fibres optiques) pour relier la région à la Chine.
Xi en personne a donné une belle description imagée des relations Inde-Chine dans une tribune libre publiée dans The Hindu [10] avant sa visite récente à New Delhi. « La symbiose de « l’usine du monde » et du « bureau du monde », écrivait-il, va donner la base de production la plus concurrentielle et le marché de consommation le plus attrayant qui soient ».
La plaque tournante de la planification élaborée de la Chine concernant l’avenir de l’Eurasie est Urumqi, capitale de la province du Xinjiang, où se tient la plus grande foire commerciale de l’Asie centrale, l’Exposition Chine-Eurasie. Depuis 2000, l’une des grandes priorités de Pékin est d’urbaniser cette province en grande partie désertique, mais riche en pétrole, et de l’industrialiser coûte que coûte. Ce prix à payer, aux yeux de Pékin, c’est la sinisation pure et dure de la région et son corollaire, la répression de toute possibilité de contestation de la part des Ouïgours. Le général de l’Armée de libération du peuple Liu Yazhou a décrit l’Asie centrale en ces termes : « la part de gâteau la plus subtile envoyée du ciel à la Chine moderne ».
L’essentiel de la vision de la Chine à l’égard d’une nouvelle Eurasie rattachée à Pékin, par tous les moyens de transport et de communication imaginables, est énoncée de manière saisissante dans En marchant vers l’ouest : Le rééquilibrage de la géostratégie chinoise (Marching Westwards: The Rebalancing of China’s Geostrategy), un essai éloquent publié en 2012 par Wang Jisi, du Centre des études internationales et stratégiques de l’Université de Pékin. Tout ce que l’administration Obama a trouvé de mieux pour répondre à cette série de connexions eurasiatiques à venir, c’est une sorte de confinement maritime s’étendant de l’océan Indien à la mer de Chine méridionale, tout en envenimant les conflits avec la Chine et en créant des alliances stratégiques autour de la Chine avec des pays comme le Japon et l’Inde (l’Otan s’est vu évidemment confier la tâche de contenir la Russie dans l’est de l’Europe).
Rideau de fer contre routes de la soie
Le contrat gazier du siècle [11] s’élevant à 400 milliards de dollars, que Poutine et le président chinois ont signé en mai dernier [2014], a donné le coup d’envoi à la construction du gazoduc Force de la Sibérie, qui a déjà commencé à Iakoutsk. Ce gazoduc inondera le marché chinois de gaz naturel russe. Ce n’est évidemment que le début d’une alliance stratégique turbopropulsée entre les deux pays [12] dans le domaine de l’énergie. Pendant ce temps, les hommes d’affaires et les industriels allemands prennent conscience d’une autre nouvelle réalité, à savoir que la destination finale des produits fabriqués en Chine, qui transiteront par les nouvelles routes de la soie, sera l’Europe, et que ces routes vont dans les deux sens. Selon un possible scénario commercial, la Chine pourrait devenir le principal partenaire commercial [13] de l’Allemagne d’ici 2018, dépassant à la fois les USA et la France.
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Un obstacle potentiel à pareilles réalisations, que l’on préconise à Washington, est la Guerre froide 2.0, qui déchire déjà non seulement l’Otan, mais également l’Union européenne. À l’heure actuelle, au sein de l’Union européenne, le camp antirusse regroupe la Grande-Bretagne, la Suède, la Pologne, la Roumanie et les pays baltes. Pour leur part, l’Italie et la Hongrie peuvent être considérées comme faisant partie du camp prorusse. Toujours imprévisible, l’Allemagne tient la clé de ce qui deviendra, soit un nouveau rideau de fer, soit un virage vers l’est. Tout dépend de l’Ukraine. Si sa finlandisation fonctionne, en laissant une autonomie substantielle aux régions, comme Moscou le propose (un anathème aux yeux de Washington), un virage vers l’est sera encore possible. Sinon, l’avenir de l’alliance BMB sera loin d’être assuré.
RépondreSupprimerMais une autre vision de l’avenir économique de l’Eurasie pointe à l’horizon : Washington cherche à imposer un Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (TTIP) en Europe et un Partenariat transpacifique (PTP) similaire en Asie. Les deux partenariats favorisent la mondialisation des sociétés américaines, et leur but est visiblement d’empêcher la montée des économies des pays du BRICS et des autres marchés émergents, tout en consolidant l’hégémonie économique mondiale des USA.
Moscou, Pékin et Berlin ont pris bonne note de deux constats qui se dégagent de la volonté géopolitique pure et dure qu’expriment ces deux pactes commerciaux, à savoir que le PTP exclut la Chine et que le TTIP exclut la Russie. Ces pactes représentent, de façon à peine voilée, le nerf de la guerre commerciale et monétaire qui se profile. Lors de mes récents voyages, des producteurs agricoles espagnols, italiens et français de produits de qualité m’ont répété que le TTIP n’est rien d’autre qu’une version économique de l’Otan, cette alliance militaire que Xi Jinping de la Chine qualifie, en prenant peut-être un peu ses désirs pour des réalités, de structure obsolète.
Le TTIP est confronté à beaucoup de résistance dans bien des pays de l’Union européenne (en particulier dans les pays du Club Med, au sud de l’Europe), tout comme le PTP parmi les pays asiatiques (notamment le Japon et la Malaisie). Cela donne de l’espoir aux Chinois et aux Russes pour leurs nouvelles routes de la soie et leur nouveau style de commerce proposé au cœur de l’Eurasie, avec le soutien de l’Union eurasiatique que prône la Russie [14]. Les personnes qui comptent dans les milieux financiers et industriels allemands, pour qui les relations avec la Russie [15] demeurent vitales, suivent tout cela avec beaucoup d’intérêt.
Il faut dire que Berlin ne s’est pas préoccupé outre mesure du reste de l’Union européenne, plongé dans la crise (trois récessions en cinq ans). Par le truchement d’une troïka très méprisée (la Banque centrale européenne, le Fonds monétaire international et la Commission européenne), Berlin est déjà, à toutes fins pratiques, à la barre de l’Europe, prospère et tourné vers l’Est, pour en obtenir encore plus.
Il y a trois mois, la chancelière allemande Angela Merkel s’est rendue à Pékin [16]. Ce qui est pratiquement passé sous silence dans les médias est l’accélération, sur le plan politique, d’un projet potentiellement révolutionnaire : une connexion par train à grande vitesse reliant Pékin et Berlin. Une fois réalisée, elle constituera un pôle d’attraction en matière de transport et de commerce pour des dizaines de pays, le long de son parcours de l’Asie à l’Europe. Passant par Moscou, elle pourrait devenir l’élément intégrateur de la route de la soie en Europe, peut-être aussi le cauchemar ultime de Washington.
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La perte de la Russie
RépondreSupprimerSous les feux de la rampe médiatique, le dernier sommet de l’Otan au pays de Galles n’a accouché que d’une force de réaction rapide pouvant être déployée dans de futures situations, similaires à ce qui se passe en Ukraine. Au même moment, les membres de l’Organisation de coopération de Shanghai, l’éventuelle contrepartie asiatique à l’Otan, qui est en pleine expansion, se sont réunis à Douchanbé, au Tadjikistan. À Washington et en Europe de l’Ouest, pratiquement personne ne l’a remarqué. Ils auraient dû. À cette occasion, la Chine, la Russie et quatre pays de l’Asie centrale ont convenu [17] d’accueillir des nouveaux membres, et non les moindres : l’Inde, le Pakistan et l’Iran. Les conséquences pourraient être d’une portée considérable. Après tout, l’Inde du Premier ministre Narendra Modi est sur le point de présenter sa propre version de la route de la soie [18]. Derrière cela, on voit poindre la possibilité d’un rapprochement économique [19] Chine-Inde, qui pourrait changer la carte géopolitique de l’Eurasie. L’Iran aussi est en passe de glisser sous le giron Chine-Inde.
Lentement mais sûrement, l’Organisation de coopération de Shanghai est en train de devenir la principale organisation internationale en Asie. Il en ressort déjà que l’un de ses principaux objectifs à long terme est de cesser de transiger en dollars US, tout en préconisant l’utilisation du pétroyuan et du pétrorouble [20] dans le commerce de l’énergie. Les USA ne seront évidemment pas invités à se joindre à l’Organisation.
C’est ce que l’avenir nous réserve. Pour le moment, le Kremlin continue de montrer qu’il est encore prêt à reprendre le dialogue avec Washington, ce que Pékin n’a jamais voulu cesser de faire. Pourtant, l’administration Obama continue de s’ancrer dans sa version à courte vue d’un jeu à somme nulle, en se fiant à sa puissance technologique et militaire pour maintenir une position avantageuse en Eurasie. Sauf que Pékin a accès aux marchés et dispose de plein d’argent, tandis que Moscou regorge d’énergie. Washington, Pékin et Moscou sortiraient sans aucun doute tous gagnants s’ils coopéraient, comme le voient les Chinois, mais il ne faut pas y compter.
Il faut plutôt s’attendre à ce que la Chine et la Russie consolident leur partenariat stratégique, tout en attirant d’autres puissances régionales eurasiatiques. Pékin a fait le pari que la confrontation USA/Otan contre la Russie, par rapport à l’Ukraine, amènerait Vladimir Poutine à se tourner vers l’est. De son côté, Moscou prend le temps d’évaluer soigneusement ce qui ressortira de sa réorientation en cours aux côtés d’une telle puissance économique. Un jour, peut-être, la voix de la raison à Washington se demandera haut et fort comment les USA ont pu perdre la Russie et la laisser passer aux mains de la Chine.
Pour le moment, il faut voir la Chine comme le pôle d’attraction du nouvel ordre mondial d’un futur siècle eurasiatique. Le même processus d’intégration que connaît la Russie, par exemple, semble de plus en plus s’appliquer [21] à l’Inde et à d’autres pays eurasiatiques, et finira tôt ou tard par s’appliquer aussi à une Allemagne neutre. En fin de partie de ce processus, les USA pourraient bien être progressivement extirpés de l’Eurasie, dont les règles seront changées par l’alliance BMB. Faites vos paris bientôt, car ils seront clos d’ici 2025.
Pepe Escobar
Traduit par Daniel pour vineyardsaker.fr
http://www.vineyardsaker.fr/2014/10/09/loeil-itinerant-alliance-beijing-moscou-berlin-chine-russie-peuvent-extirper-washington-leurasie/
La réponse russe à une double déclaration de guerre
RépondreSupprimer9 octobre 2014
The French Saker
Le contexte : une double déclaration de guerre
En écoutant d’abord Porochenko, il y a quelques jours, puis Obama à l’Assemblée générale des Nations Unies, impossible d’avoir encore le moindre doute sur le fait que l’Empire anglo-sioniste est en guerre avec la Russie. Pourtant, beaucoup de gens croient que la réponse russe à cette réalité est insuffisante. De même, on constate qu’un flux constant d’accusations sont portées contre Poutine au sujet de la politique de la Russie face à la crise en Ukraine. Ce que je me propose de faire ici, c’est d’offrir quelques rappels de base sur Poutine, sur ses obligations et sur les options qui s’offrent à lui.
Entre l’OTAN et l’Ukraine
Tout d’abord, Poutine n’a jamais été élu pour être le gendarme ou le sauveur du monde ; il n’a été élu que pour être président de la Russie. Cela semble évident, et pourtant il est encore bien des gens pour penser que Poutine serait en quelque sorte moralement obligé de faire quelque chose afin de protéger la Syrie, la Novorussie ou toute autre partie de notre monde harcelé. Ce n’est pas le cas. Oui, la Russie est le leader de facto des BRICS et des pays de l’OCS, et la Russie accepte ce fait, mais c’est de ses propres compatriotes que Poutine a l’obligation morale et légale de prendre soin en premier lieu.
Deuxièmement, la Russie est maintenant officiellement dans le collimateur de l’Empire anglo-sioniste, lequel comprend non seulement 3 puissances nucléaires (Etats-Unis, Royaume-Uni et France), mais aussi la plus puissante force militaire (USA + OTAN) et les plus importantes économies du monde (Etats-Unis + Union Européenne). Je pense que nous pouvons tous convenir sans peine que la menace posée par un tel empire n’est pas négligeable, et que la Russie a dès lors tout à fait raison d’user des plus grandes précautions pour traiter la question.
Casser du sucre sur le dos de Poutine, mais manquer la cible
Maintenant, étonnamment, beaucoup de ceux qui accusent Poutine d’être une mauviette, un vendu ou une Pollyanna [1] naïve, affirment également que l’Occident est en train de préparer une guerre nucléaire contre la Russie. Si tel est vraiment le cas, s’il y a bien un risque réel de guerre, que celle-ci soit nucléaire ou non, cela pose la question de savoir si Poutine ne fait pas dans ce cas précisément ce qui convient en s’abstenant d’agir avec rudesse et de se montrer menaçant. Certains diront que l’Occident veut absolument une guerre, peu importe ce que Poutine peut faire. Bon, très bien, mais dans ce cas, gagner autant de temps qu’il est possible avant l’inévitable, n’est-ce pas justement la bonne chose à faire ?!
Troisièmement, sur la question de l’action des Etats-Unis contre l’EIIL, plusieurs commentaires sur ce blog ont accusé Poutine de poignarder Assad dans le dos parce que la Russie a soutenu la résolution des États-Unis au Conseil de sécurité.
Et qu’est-ce que Poutine était censé faire ?! Faire voler la force aérienne russe jusqu’en Syrie pour protéger la frontière syrienne ? Qu’en est-il d’Assad ? A-t-il envoyé sa propre armée de l’air se ruer pour essayer d’arrêter les États-Unis ou a-t-il tranquillement fait une offre : bombardez-les, « eux», pas nous, et je protesterai mais ne ferai rien à ce sujet ? De toute évidence, c’est cette dernière option qu’il a choisie.
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En fait, Poutine et Assad ont exactement la même position : protester contre le caractère unilatéral des frappes, exiger une résolution de l’ONU tout en regardant tranquillement comment l’Oncle Sam se retourne contre sa propre progéniture et tente maintenant de la détruire.
RépondreSupprimerJe voudrais ajouter que Lavrov, assez logiquement, a déclaré qu’il n’y a pas de « bons terroristes ». Il sait que l’EIIL n’est rien d’autre que la continuation de l’insurrection syrienne créée de toutes pièces par les États-Unis, elle-même une continuation de la création étatsunienne qu’était al-Qaïda. D’un point de vue russe, le choix est simple : qu’est-ce qui est le mieux, que les États-Unis utilisent leurs forces et leurs hommes pour tuer les wahhabites fous ou qu’ils laissent Assad le faire ? Et si l’EIIL est victorieux en Irak, combien de temps avant qu’il ne revienne s’en prendre à la Tchétchénie? Ou à la Crimée ? Ou au Tatarstan ? Pourquoi risquer la mort d’un seul soldat russe ou syrien alors que l’US Air Force est prête à faire les choses à leur place ?
Bien qu’il y ait une douce ironie dans le fait que les États-Unis ont maintenant à bombarder leur propre création, laissons-les faire ça. Même Assad a été clairement prévenu, et il en est évidemment très heureux.
En fin de compte, ONU ou pas ONU, les Etats-Unis avaient déjà pris la décision de bombarder l’EIIL. Alors, quel intérêt y aurait-il à bloquer une résolution de l’ONU qui n’a rien que de positif ? Ce serait, pour la Russie, agir à l’encontre de ses propres intérêts. En fait, cette résolution peut même être utilisée par la Russie afin d’empêcher les États-Unis et le Royaume-Uni de servir de base arrière aux extrémistes wahhabites (cette résolution l’interdit, et nous parlons ici d’une résolution obligatoire du Conseil de sécurité des Nations Unies, puisque prise dans le cadre des dispositions du Chapitre VII).
Et pourtant, certains continuent à dire que Poutine a poussé Assad sous l’autobus. A quel point de folie et de stupidité faut-il en arriver pour avoir ce genre de notion de la guerre ou de la politique ? Si Poutine voulait jeter Assad sous le bus, pourquoi ne l’a-t-il pas fait l’année dernière ?
Frustration sincère ou malhonnêteté intellectuelle ?
Il reste que cette sorte de non-sens à propos de la Syrie est complètement éclipsée par le genre de truc vraiment dingue que certaines personnes publient sur la Novorussie. Voici mes préférés. L’auteur commence par me citer:
« Cette guerre n’a jamais été à propos de la Novorussie ou à propos de l’Ukraine. »
Puis il poursuit :
« Cette déclaration est trop vide et trop facile, comme une dérobade. Voulez-vous vraiment dire que les milliers de personnes tuées par les bombardements, les milliers de jeunes conscrits ukrainiens jetés dans un hachoir à viande, les milliers de maisons détruites, plus d’1 million de personnes transformées en réfugiés… que RIEN de tout cela n’a rien à voir avec la Novorussie et l’Ukraine ? Qu’il ne s’agit que de la Russie ? Vraiment, on aimerait que vous vous absteniez de faire des déclarations stupides comme celle-là. »
Le seul problème étant, bien sûr, que je n’ai jamais fait la déclaration en question.
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Bien entendu, il est assez évident que je voulais dire que POUR L’EMPIRE ANGLO-SIONISTE, l’objectif n’a jamais été ni l’Ukraine ni la Novorussie, mais de mener une guerre à la Russie. Tout ce que la Russie a fait, ce fut de reconnaître cette réalité. Encore une fois, les mots « voulez-vous vraiment dire que » montrent clairement que l’auteur s’apprête à tordre ce que j’ai dit, à fabriquer encore un autre homme de paille, puis à me dénoncer avec indignation comme étant un monstre qui ne se soucie pas de l’Ukraine ou de la Novorussie (le reste du commentaire était dans la même veine : dénonciations indignées de déclarations que je n’ai jamais faites et de conclusions auxquelles je ne suis jamais parvenu).
RépondreSupprimerJ’ai déjà pris l’habitude de ce niveau tout à fait remarquable de malhonnêteté de la part de la foule de ceux qui dénigrent Poutine et, à ce stade, je considère que ce n’est là rien de plus qu’un comportement assez typique. Mais je voulais illustrer la chose une fois encore pour montrer que, au moins dans certains cas, le but n’est pas du tout d’avoir une discussion honnête. Mon intention, toutefois, n’est pas de ramener le tout à quelques individus malhonnêtes et exaltés. Il y a aussi beaucoup de gens qui sont sincèrement déconcertés, frustrés et même déçus par l’apparente passivité de la Russie. Voici un extrait d’un courriel que j’ai reçu ce matin :
« Je suppose que j’espérais vraiment que peut-être la Russie, la Chine, les BRICS, pourraient constituer une contre-force. Ce que je n’arrive pas à comprendre, c’est pourquoi, après toute la diabolisation mise en œuvre par les Etats-Unis et l’Europe, la Russie ne riposte pas. Les sanctions imposées par l’Occident font du mal à la Russie et pourtant les Russes font toujours le commerce du pétrole en euros ou en dollars, et ils se plient en quatre pour s’adapter à Europe. Je ne comprends pas pourquoi ils ne disent pas tout net : vous levez toutes les sanctions, ou bien plus de gaz. La Chine également ne s’exprime que très peu contre les États-Unis, alors que les Chinois comprennent bien que si la Russie est affaiblie, ils seront les prochains sur la liste. C’est comme pour tous les discours à propos de la levée des sanctions contre l’Iran, qui sont grotesques parce que nous savons tous qu’Israël ne permettra jamais qu’elles soient levées. Alors, pourquoi la Chine et la Russie continuent-elles à jouer le jeu de cette vaste mascarade ? Parfois je me demande si nous ne sommes pas tous comme des personnages dont les rôles seraient déjà écrits, et si tout cela n’est pas une simple scène de théâtre, où rien n’a aucune chance de jamais vraiment changer. »
Dans ce cas, l’auteur de ces lignes voit à juste titre que la Russie et la Chine suivent une politique très similaire qui, à n’en pas douter, ressemble à une tentative d’apaiser les États-Unis. Contrairement à la remarque précédente, ici l’auteur est à la fois sincère et vraiment affligé.
En fait, je crois que ce que j’observe, ce sont trois phénomènes très différents qui se manifestent tous en même temps :
1) une campagne organisée de dénigrement anti-Poutine lancée par les services des gouvernements des Etats-Unis et du Royaume-Uni chargés de manipuler les médias sociaux ;
2) une campagne spontanée de dénigrement anti-Poutine conduite par certains cercles nationaux-bolchéviques russes (Limonov, Douguine et compagnie) ;
3) l’expression d’une perplexité sincère, d’une anxiété et d’une frustration de la part de personnes honnêtes et bien intentionnés, pour qui la position russe actuelle n’a vraiment aucun sens du tout.
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Le reste de cet article sera entièrement consacré à essayer d’expliquer la position russe à ceux qui appartiennent à ce troisième groupe (tout dialogue avec les gens des deux premiers groupes n’aurait simplement aucun sens).
RépondreSupprimerEssayer de donner un sens à une politique apparemment illogique
Dans mon introduction ci-dessus, j’ai affirmé que ce qui se passe est une guerre contre la Russie, pas (pas encore ?) une guerre chaude, et plus tout à fait non plus une guerre froide à l’ancienne. En substance, ce que les Anglo-Sionistes sont en train de faire est assez clair, et beaucoup de commentateurs russes sont déjà arrivés à cette conclusion : les Etats-Unis sont engagés dans une guerre contre la Russie pour laquelle ils sont prêts à se battre jusqu’au dernier Ukrainien. De sorte que pour l’Empire, le « succès » de cette guerre ne saurait être défini comme un résultat qui pourrait être obtenu en Ukraine, parce que, comme je l’ai dit précédemment, l’Ukraine n’est pas l’objectif de cette guerre. Pour l’Empire, le « succès » sera un résultat spécifique obtenu en Russie : à savoir un changement de régime en Russie. Examinons la façon dont l’Empire prévoit d’atteindre ce résultat.
Le plan originel était simpliste, à la façon typique des néoconservateurs US : renverser Ianoukovitch, faire entrer l’Ukraine dans l’UE et dans l’OTAN, amener l’OTAN à la frontière russe sur le plan politique et la déplacer militairement en Crimée. Ce plan a échoué. La Russie a accepté la Crimée en son sein, et l’Ukraine s’est effondrée dans une guerre civile brutale associée à une crise économique fatale. Alors les néoconservateurs américains se sont rabattus sur le plan B.
Le plan B aussi était simple : amener la Russie à intervenir militairement dans le Donbass, et utiliser cela comme un prétexte pour une guerre froide « version 2 » à grande échelle, qui créerait des tensions du style de celles des années 1950 entre l’Est et l’Ouest, justifierait en Occident des politiques inspirées par la peur, et romprait complètement les liens économiques entre la Russie et l’UE. Sauf que ce plan aussi a échoué : la Russie n’a pas mordu à l’hameçon et au lieu d’intervenir directement dans le Donbass, elle a commencé une opération secrète massive destinée à soutenir les forces antinazies en Novorussie. Le plan russe a marché, et les forces de répression de la junte (FRJ) ont été sévèrement battues par les forces armées novorusses (FAN), alors que celles-ci souffraient pourtant d’un énorme déficit de puissance de feu, de blindés, de spécialistes et d’hommes (progressivement, l’aide secrète russe a renversé la situation).
A ce moment-là, la ploutocratie anglo-sioniste a vraiment flippé en réalisant tout à la fois que son plan était en train de s’effondrer et qu’il n’y avait rien qu’elle pût vraiment faire pour le sauver (une option militaire étant totalement impossible, comme je l’ai déjà expliqué dans le passé). Ils ont essayé les sanctions économiques, mais cela n’a fait qu’aider Poutine à s’engager dans des réformes qui n’étaient depuis longtemps que trop nécessaires. Mais le pire de tout cela, c’est qu’à chaque fois que l’Occident s’est attendu à ce que Poutine fasse une certaine chose, il a fait exactement le contraire :
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• personne ne s’attendait à voir Poutine utiliser la force militaire en Crimée pour une prise de contrôle aussi rapide que l’éclair, et qui restera dans l’histoire comme quelque chose d’au moins aussi incroyable que le fut l’opération Storm-333.
RépondreSupprimer• tout le monde (moi y compris) s’attendait à voir Poutine envoyer des forces en Novorussie. Il ne l’a pas fait.
• personne ne s’attendait à des contre-sanctions russes venant frapper le secteur agricole de l’UE.
• tout le monde s’attendait à des représailles de Poutine après la dernière série de sanctions. Il ne l’a pas fait.
Il y a comme un modèle derrière ceci, et c’est une base dans tous les arts martiaux : d’abord, ne jamais signaler vos intentions ; deuxièmement, user de feintes ; et troisièmement, frapper où et quand votre adversaire ne s’y attend pas.
A l’inverse, il y a deux choses qui sont profondément enracinées dans la mentalité politique occidentale et que Poutine ne fait jamais : il ne menace jamais et il ne prend jamais de posture. Par exemple, alors que les États-Unis sont pour l’essentiel en guerre avec la Russie, la Russie se fera un plaisir de soutenir une résolution américaine sur l’EIIL si elle est à son avantage. Et les diplomates russes parleront de « nos partenaires américains » ou de « nos amis américains », tandis que, dans le même temps, ils font davantage à eux seuls que le reste de la planète ensemble pour faire tomber l’Empire anglo-sioniste.
Un rapide regard sur le bilan de Poutine
Comme je l’ai écrit dans le passé, contrairement à d’autres blogueurs et commentateurs, je ne suis ni voyant ni prophète, et je ne peux pas vous dire ce que Poutine pense ou ce qu’il fera demain. Mais ce que je peux vous dire, c’est ce que Poutine a déjà fait dans le passé. Il a (sans ordre particulier) :
• brisé le dos de l’oligarchie soutenue par les anglo-sionistes en Russie ;
• obtenu un succès vraiment miraculeux en Tchétchénie (un succès que personne, prophètes compris, n’avait prévu) ;
• littéralement ressuscité l’économie russe ;
• reconstruit les forces armées, les forces de sécurité et les forces de renseignement russes ;
• gravement perturbé les capacités de subversion des ONG étrangères en Russie ;
• fait plus pour la dé-dollarisation de la planète que quiconque avant lui ;
• fait de la Russie le leader incontesté à la fois des BRICS et de l’OCS ;
• ouvertement contesté le monopole de l’information de la machine de propagande occidentale (avec des projets comme Russia Today) ;
• arrêté une frappe US/OTAN imminente sur la Syrie par l’envoi d’un corps expéditionnaire de la Marine russe (qui a procuré à la Syrie une couverture radar complète de l’ensemble de la région) ;
• permis à Assad de l’emporter dans la guerre civile syrienne ;
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• rejeté ouvertement le « modèle de civilisation universelle » de l’Occident et déclaré son soutien à un autre modèle, fondé sur une religion et des traditions ;
RépondreSupprimer• ouvertement rejeté un « nouvel ordre mondial » unipolaire sous la conduite des Anglo-Sionistes, et déclaré son soutien à un ordre mondial multipolaire ;
• soutenu Assange (à travers Russia Today) et protégé Snowden ;
• créé et promu un nouveau modèle d’alliance entre le christianisme et l’islam, sapant ainsi le paradigme du « choc des civilisations » ;
• viré les Anglo-Sionistes de certains endroits clés dans le Caucase (Tchétchénie, Ossétie) ;
• viré les Anglo-Sionistes de certains endroits clés en Asie centrale (base de Manas au Kirghizstan) ;
• donné à la Russie les moyens de défendre ses intérêts dans la région de l’Arctique, y compris les moyens militaires ;
• établi une alliance stratégique à spectre complet avec la Chine, alliance qui est au cœur à la fois de l’OCS et des BRICS ;
• Il est actuellement en train de faire adopter des lois empêchant des intérêts étrangers de contrôler les médias russes ;
• Il a donné l’Iran les moyens de développer un programme nucléaire civil dont ce pays a grand besoin ;
• Il travaille avec la Chine à la création d’un système financier sous forme entièrement séparée de l’actuel système contrôlé par les Anglo-Sionistes (comprenant notamment un commerce en roubles ou en renminbi) ;
• Il a ré-établi un soutien politique et économique de la Russie à Cuba, au Venezuela, à la Bolivie, à l’Équateur, au Brésil, au Nicaragua et à l’Argentine ;
• dégonflé de manière très efficace la révolution colorée pro-américaine en Russie ;
• organisé le « Voentorg » [4] qui a armé les FAN ;
• donné refuge à des centaines de milliers de réfugiés ukrainiens ;
• envoyé une aide humanitaire vitale dont la Novorussie avait absolument besoin ;
• fourni aux FAN un soutien russe direct en matière de puissance de feu et peut-être même une couverture aérienne dans des endroits clés (le « chaudron sud », par exemple).
• enfin, et ce n’est pas là la moindre de ses actions, il a parlé ouvertement de la nécessité pour la Russie de rétablir elle-même sa propre « souveraineté » en l’emportant sur la 5ème colonne pro-américaine.
Et la liste s’allonge encore et encore. Ce que j’illustre ici, c’est qu’il y a une très bonne raison à la haine que les Anglo-Sionistes vouent à Poutine : la longue histoire du combat efficace qu’il mène contre eux. Donc, à moins de supposer que Poutine ait soudainement changé d’idée et d’intention, ou qu’il soit tout simplement venu à manquer d’énergie ou de courage, je soutiens que la notion d’un brusque virage à 180 degrés de sa part n’a pas de sens. Et d’ailleurs, les politiques qu’il mène actuellement sont parfaitement cohérentes, comme je vais maintenant essayer de l’expliquer.
Si vous êtes du genre à penser que « Poutine a trahi la Novorussie », s’il vous plaît mettez cette hypothèse de côté pour un moment, juste pour la commodité du raisonnement, et supposons ensemble que Poutine soit à la fois quelqu’un de raisonné et de logique. Que pouvait-il faire en Ukraine ? Pouvons-nous donner un sens à ce que nous observons ?
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Des impératifs que la Russie ne peut ignorer
RépondreSupprimerTout d’abord, je considère que la séquence suivante n’est pas contestable :
Premièrement, la Russie doit l’emporter dans la guerre que les Anglo-Sionistes mènent actuellement contre elle. Ce que l’Empire veut en Russie, c’est un changement de régime, suivi par une absorption complète du pays dans la sphère d’influence occidentale, avec aussi une dislocation probable de l’intégrité de la Russie. Ce qui est menacé, c’est donc l’existence même de la civilisation russe.
Deuxièmement, la Russie ne sera jamais en sécurité avec un régime russophobe néo-nazi au pouvoir à Kiev. Les monstres nationalistes ukies ont prouvé qu’il est impossible de négocier avec eux (à ce jour, ils ont rompu absolument chacun des accords qu’ils ont signés), que leur haine pour la Russie est totale (comme le montrent leurs constantes références à l’utilisation d’hypothétiques armes nucléaires contre la Russie). Par conséquent,
Troisièmement, un changement de régime à Kiev suivi d’une dénazification complète est la seule voie possible qui permette à la Russie d’atteindre ses objectifs essentiels.
Encore une fois, et au risque que certains viennent à tordre et déformer mes mots, je dois répéter ici que la Novorussie n’est pas ce qui est en jeu ici. Ce n’est même pas l’avenir de l’Ukraine qui est en jeu. Ce qui est en jeu ici, c’est une confrontation planétaire (c’est bien la seule des thèses de Douguine avec laquelle je sois entièrement d’accord). L’avenir de la planète dépend de la capacité des pays des BRICS et de l’OCS à remplacer l’Empire anglo-sioniste par un ordre international multi-polaire qui serait véritablement très différent. La Russie est un élément crucial et indispensable dans cet effort (entrepris sans la Russie, un semblable effort serait voué à l’échec), et ce qu’elle fera en Ukraine décidera de son avenir. Quant à l’avenir de l’Ukraine, il dépend en grande partie de ce qui va arriver en Novorussie, mais pas exclusivement. D’une manière paradoxale, la Novorussie est plus importante pour la Russie qu’elle ne l’est pour l’Ukraine. Voici pourquoi :
Pour le reste de l’Ukraine, la Novorussie est perdue. POUR TOUJOURS. Même un effort conjoint Poutine-Obama ne pourrait empêcher cela. En fait, les Ukies le savent, et c’est pourquoi ils ne font aucun effort pour gagner les cœurs et les esprits de la population locale. Au point que, j’en suis convaincu, la prétendue destruction « aléatoire » et « délibérée » des infrastructures industrielle, économique, scientifique et culturelle de la Novorussie a été un acte intentionnel de vengeance haineuse, similaire à la façon dont les Anglo-Sionistes en viennent à chaque fois à tuer des civils lorsqu’ils ne parviennent pas à vaincre les forces militaires (les exemples de la Yougoslavie et du Liban viennent à l’esprit). Bien sûr, Moscou peut probablement forcer les dirigeants politiques novorusses sur place à signer une sorte de document d’acceptation de la souveraineté de Kiev, mais ce sera une fiction ; il est bien trop tard pour cela. Si ce n’est pas de jure [2], alors en tout cas de facto [3] la Novorussie n’acceptera jamais d’en revenir à la primauté et au gouvernement de Kiev, et tout le monde le sait, à Kiev, en Novorussie et en Russie.
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A quoi pourrait ressembler une indépendance de facto mais non de jure ?
RépondreSupprimerPas de militaires ukrainiens, pas de garde nationale, pas de bataillons des oligarques ou de SBU, une complète indépendance économique, culturelle, religieuse, linguistique et éducative, des dirigeants élus localement et des médias locaux, mais tout cela avec des drapeaux ukies, pas de statut d’indépendance officielle, pas de forces armées novorusses (elles seront dénommées « forces de sécurité régionale » ou quelque chose d’approchant, voire même « forces de police ») et pas de monnaie novorusse (même si le rouble – avec le dollar et l’euro – sera utilisé quotidiennement dans la région). Les hauts fonctionnaires devront être officiellement approuvés par Kiev (ce que Kiev fera, bien entendu, de peur que son impuissance ne devienne visible). Ce sera un arrangement temporaire, transitoire et instable, mais il devrait suffire pour fournir à Kiev un moyen de sauver la face.
Cela posé, je dirais que Kiev et Moscou ont toutes deux intérêt à maintenir la fiction d’une Ukraine unitaire. Pour Kiev, c’est une façon de ne pas apparaître comme complètement vaincue par les maudits Moskals. Qu’en est-il de la Russie ?
Que feriez-vous si vous étiez à la place de Poutine ?
Posez-vous la question suivante : si vous étiez Poutine et que votre objectif était un changement de régime à Kiev, préféreriez-vous que la Novorussie fasse partie de l’Ukraine ou non ? Je dirais qu’avoir une Novorussie intégrée à l’Ukraine est de beaucoup le mieux, pour les raisons suivantes :
1. cela fait d’elle une partie prenante, ne serait-ce qu’à un niveau macro-économique, des processus ukrainiens, tels que les élections nationales ou les médias nationaux ;
2. cela permet de comparer sa situation avec celle du reste de l’Ukraine ;
3. cela rend beaucoup plus facile de peser sur le commerce, les affaires, les transports, etc ;
4. cela crée un centre politique alternatif (exempt de Nazis) à Kiev ;
5. cela facilite la pénétration des intérêts russes (de toutes sortes) en Ukraine ;
6. cela supprime la possibilité de mettre en place un « mur » ou une barrière façon guerre froide le long d’un marqueur géographique précis ;
7. cela fait taire l’accusation selon laquelle la Russie veut la partition de l’Ukraine.
En d’autres termes, maintenir la Novorussie de jure, c’est-à-dire théoriquement, en tant que partie de l’Ukraine est la meilleure façon de se présenter comme se conformant aux exigences anglo-sionistes, tout en fragilisant la junte nazie au pouvoir. Dans un article récent, j’ai décrit ce qu’il me semblait loisible à la Russie de faire sans encourir de conséquences majeures :
1. s’opposer politiquement au régime partout : à l’ONU, dans les médias, vis-à-vis de l’opinion publique, etc ;
2. exprimer son soutient politique à la Novorussie ainsi qu’à toute forme d’opposition ukrainienne ;
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3. poursuivre la guerre de l’information (les médias russes font un excellent travail) ;
RépondreSupprimer4. empêcher la Novorussie de tomber (aide militaire secrète) ;
5. maintenir impitoyablement la pression économique sur l’Ukraine ;
6. perturber autant qu’il est possible l’« axe de la bienveillance » des États-Unis et de l’UE ;
7. aider la Crimée et la Novorussie à devenir économiquement et financièrement prospères ;
En d’autres termes : donner l’apparence de rester en dehors tout en profitant de chaque occasion d’intervenir.
Quelle est de toute façon l’alternative ?
J’entends déjà le chœur des « patriotes du hourra » indignés (c’est ainsi qu’on les appelle en Russie) m’accusant de ne voir la Novorussie que comme un outil au service des fins politiques russes et d’ignorer la mort et la souffrance endurées par le peuple de Novorussie. A cela, je vais simplement répondre ce qui suit :
Quelqu’un croit-il sérieusement qu’une Novorussie indépendante puisse vivre en paix et en sécurité, si peu que ce soit, sans un changement de régime à Kiev ? Si la Russie ne peut pas se permettre une junte nazie au pouvoir à Kiev, la Novorussie le peut-elle ?!
En général, les « patriotes du hourra » s’étendent longuement sur ce qu’il faudrait faire aujourd’hui mais restent des plus brefs s’agissant d’une quelconque perspective à moyen ou long terme. Tout comme ceux qui croient que la Syrie peut être sauvée par le simple envoi de la force aérienne russe, les « patriotes du hourra » croient que la crise en Ukraine peut être résolue en y envoyant des tanks. Ils sont un parfait exemple de la mentalité à laquelle H.L. Mencken faisait allusion quand il a écrit : « Pour chaque problème complexe, il existe une réponse claire, simple et erronée ».
La triste réalité, c’est que la mentalité qui s’exprime derrière ces solutions « simples » est toujours la même : ne jamais négocier, jamais de compromis, ne jamais regarder à long terme, mais seulement à l’avenir immédiat, et utiliser la force dans tous les cas.
Mais ici, les faits sont : le bloc US/OTAN est puissant, militairement, économiquement et politiquement, et il a la capacité de faire mal à la Russie, en particulier avec le temps. En outre, si cette dernière est en mesure de vaincre facilement l’armée ukrainienne, ce ne serait pas là une « victoire » très significative. Extérieurement, une telle victoire ne manquerait pas de déclencher une détérioration massive du climat politique international, tandis qu’à l’intérieur, les Russes auraient à éliminer les nationalistes ukrainiens (lesquels ne sont pas tous nazis) par la force. La Russie pourrait-elle faire cela ? Encore une fois, la réponse est oui, mais à quel prix ?
Un de mes bons amis était colonel dans l’unité des forces spéciales du KGB appelé « Kaskad » (qui plus tard fut rebaptisée « Vympel »). Un jour, il m’a raconté comment son père, lui-même opérateur spécial pour le GRU, s’est battu contre les insurgés ukrainiens de la fin de la seconde guerre mondiale, de 1945 jusqu’en 1958 : ce qui fait treize années ! Il a fallu à Staline et à Khrouchtchev 13 ans pour parvenir à écraser les insurgés nationalistes ukrainiens. Est-ce que quelqu’un, s’il a toute sa raison, croit sincèrement que la Russie moderne devrait répéter ce genre de politique et passer à nouveau des années à traquer les insurgés ukrainiens ?
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A ce sujet, d’ailleurs, si les nationalistes ukrainiens ont pu combattre le régime soviétique sous Staline et Khrouchtchev pendant pas moins de 13 années après la fin de la guerre, comment se fait-il qu’il n’y ait pas de résistance anti-nazie visible dans les provinces de Zaporijia, Dnepropetrovsk ou Kharkov ? Oui, Lugansk et Donetsk se sont soulevées et ont pris les armes, avec beaucoup de succès ; mais le reste de l’Ukraine ? Si vous étiez Poutine, auriez-vous cette confiance qu’en libérant les villes en question, les forces russes y recevraient le même accueil qu’elles ont connu en Crimée ?
RépondreSupprimerEt pourtant, les « patriotes du hourra » continuent à pousser pour davantage d’intervention de la Russie et en faveur d’une avancée des opérations militaires novorusses contre les forces ukies. N’est-il pas temps pour nous de commencer à nous demander qui seraient les bénéficiaires de telles politiques ?
C’est un vieux truc de la CIA américaine que de se servir des médias sociaux et de la blogosphère pour pousser à l’extrémisme nationaliste en Russie. Un patriote et journaliste russe bien connu et respecté, Maksim Shevchenko, avait un petit groupe de personnes organisées pour traquer les adresses IP de certains des contributeurs nationalistes radicaux les plus influents l’internet russe, qu’ils s’agisse d’organisations, de sites Web, de blogs ou même de pages personnelles. Il s’avère que la plupart étaient basés aux États-Unis, au Canada et en Israël. Surprise, surprise. Ou peut-être pas de surprise du tout ?
Pour les Anglo-Sionistes, soutenir les extrémistes et nationalistes enragés en Russie paraît parfaitement sensé. Soit qu’ils parviennent à influencer l’opinion publique, soit à tout le moins qu’on puisse se servir d’eux pour dénigrer le régime au pouvoir. Personnellement, je ne vois pas de différence entre un Oudaltsov ou un Navalnyi d’un côté, et un Limonov ou un Douguine de l’autre. Ils ont pour seul effet les uns comme les autres de rendre les gens furieux contre le Kremlin. Quel que soit le prétexte utilisé pour cela, cela n’a guère d’importance : pour Navalnyi, ce sont des « élections volées » ; pour Douguine, la « Novorussie poignardée dans le dos ». Et cela n’a pas non plus d’importance de savoir lesquels d’entre eux sont des agents effectivement payés par l’Occident et lesquels ne sont que des « idiots utiles ». Dieu soit leur juge. Mais ce qui importe, c’est que les solutions qu’ils préconisent ne sont pas des solutions du tout, seulement de purs prétextes pour dénigrer le régime au pouvoir.
Dans l’intervalle, non seulement Poutine n’a en rien vendu, poignardé, troqué ou autrement abandonné la Novorussie, mais on voit au contraire que Porochenko parvient à peine à se maintenir au pouvoir et que le Banderastan est en train de disparaître. Il y a aussi, heureusement, beaucoup de gens qui voient clair à travers ce galimatias pessimiste et dépourvu de sens, que ce soit en Russie (Yuri Baranchik) et à l’étranger (M.K. Bhadrakumar).
Mais quid des oligarques ?
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J’ai déjà abordé cette question dans un article récent, mais je pense qu’il est important ici de revenir sur ce sujet ; et la première chose qu’il me semble crucial de comprendre dans le contexte russe comme dans le contexte ukrainien, c’est que les oligarques sont une réalité de la vie. Cela ne veut pas dire que leur présence soit une bonne chose, seulement que Poutine et Porochenko, ainsi d’ailleurs que n’importe qui, bref : que quiconque essaierait de faire ou d’obtenir quoi que ce soit là-bas doit tenir compte des oligarques. La grande différence, c’est que, alors qu’à Kiev un régime contrôlé par les oligarques a été remplacé par un régime d’oligarques, en Russie l’oligarchie n’est capable que d’influencer le Kremlin, pas de le contrôler. Les exemples de Khodorkovski ou Evtushenkov montrent que le Kremlin peut encore mettre à bas un oligarque en cas de besoin, et le fait parfois.
RépondreSupprimerIl reste que c’est une chose de s’en prendre à un ou deux oligarques, et que c’en est une autre de les retirer de l’équation ukrainienne : cette dernière éventualité ne se concrétisera tout simplement pas. Dès lors, pour Poutine, toute stratégie ukrainienne doit tenir compte de la présence et, pour parler franchement, du pouvoir des oligarques ukrainiens et de leurs homologues russes.
Poutine sait que les oligarques n’ont de vraie loyauté qu’à l’égard d’eux-mêmes, et que leur seul « pays » est le lieu où se trouvent leurs actifs. Poutine étant un ancien officier du renseignement étranger du KGB, c’est pour lui un atout évident, parce que cet état d’esprit lui offre la possibilité de les manipuler. Tout agent de renseignement sait que les gens peuvent être manipulés par un nombre seulement limité d’approches : l’idéologie, l’ego, le ressentiment, le sexe, un squelette dans le placard et, bien sûr, l’argent. Du point de vue de Poutine, Rinat Akhmetov, par exemple, est un gars qui avait l’habitude d’employer quelque chose comme 200.000 personnes au Donbass, quelqu’un qui peut évidemment faire avancer les choses, et dont la loyauté officielle envers Kiev et l’Ukraine n’est qu’un camouflage : sa réelle fidélité va à son argent. Ainsi, Poutine n’a nul besoin d’aimer ou de respecter Akhmetov – et de fait la plupart des officiers de renseignement n’ont qu’un mépris souverain pour ce genre de personne – mais cela signifie aussi que pour Poutine, Akhmetov est une personne à qui il est absolument crucial de parler, avec qui il faut explorer les options, et une personne qu’éventuellement on utilisera pour atteindre un objectif stratégique national russe dans le Donbass.
Je l’ai déjà écrit à de nombreuses reprises sur ce site : les Russes parlent à leurs ennemis. Avec un sourire amical. Cela est encore plus vrai pour un ancien officier de renseignement, formé à toujours communiquer, à sourire, à se montrer engageant et compréhensif. Pour Poutine, Akhmetov n’est pas un ami ni un allié, mais il est un personnage puissant qui peut être manipulé à l’avantage de la Russie. Ce que j’essaie d’expliquer ici, c’est ceci :
Il circule de nombreuses rumeurs au sujet de négociations secrètes entre Rinat Akhmetov et divers responsables russes. Certains disent que Khodakovski est impliqué. D’autres mentionnent Sourkov. Il ne fait aucun doute dans mon esprit que de telles négociations secrètes sont en cours. En fait, je suis sûr que chacune des parties concernées parle à chacune des autres parties concernées. Même avec une créature répugnante, malfaisante et vile comme Kolomoiski. En fait, le signal le plus sûr de ce que quelqu’un aurait finalement décidé de le sortir du jeu serait que personne ne parlât plus avec lui. Cela arrivera probablement, avec le temps, mais certainement pas avant que la base de son pouvoir ait été suffisamment érodée.
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Je connais un blogueur russe qui estime qu’Akhmetov a déjà été « convaincu » (lire : acheté) par Poutine et qu’il est prêt à jouer selon les nouvelles règles, celles qui prévoient désormais que « Poutine est le patron ». Peut-être. Peut-être que pas encore, mais bientôt. Peut-être que jamais. Tout ce que je dis, c’est que des négociations entre le Kremlin et les oligarques locaux ukies sont aussi logiques et inévitables que le furent les contacts des américains avec la mafia italienne avant que les forces armées des États-Unis ne viennent à entrer en Italie.
RépondreSupprimerMais y a-t-il une 5ème colonne en Russie ?
Oui, absolument. Tout d’abord, et c’est le plus important, on la trouve à l’intérieur du gouvernement Medvedev lui-même et à l’intérieur même de l’administration présidentielle. Rappelez-vous toujours que Poutine a été amené au pouvoir par deux forces opposées : les services secrets et le grand capital. Et oui, même s’il est vrai que Poutine a considérablement affaibli la composante « grand capital » (ce que j’appelle les « intégrationnistes atlantistes »), ils sont toujours là et bien là, mais ils se montrent plus modérés, plus prudents et moins arrogants que durant le temps où Medvedev était officiellement en fonction. Le grand changement intervenu au cours de ces dernières années, c’est que la lutte entre les patriotes (les « souverainistes » eurasiens) et la 5ème colonne se fait maintenant à l’air libre ; pour autant, elle est loin d’être terminée. Et nous ne devons jamais sous-estimer ces gens : ils ont beaucoup de pouvoir, beaucoup d’argent, et une capacité fantastique à corrompre, à menacer, à discréditer, à saboter, à camoufler, à diffamer, etc. Ils sont aussi très intelligents, ils peuvent engager les meilleurs professionnels dans n’importe quel domaine, et ils sont très, très bons pour monter d’affreuses campagnes politiques. Ainsi par exemple, ceux de la 5e colonne s’efforcent de donner une voix à l’opposition nationale-bolchevique (aussi bien Limonov que Douguine obtiennent régulièrement du temps d’antenne à la télévision russe) et la rumeur veut qu’ils financent une grande partie des médias nationaux-bolcheviques (tout comme les frères Koch ont payé pour le Tea Party aux Etats-Unis).
Un autre problème est que, bien que ces gars-là accomplissent objectivement les besognes de la CIA américaine, il n’existe aucune preuve de cela. Comme me l’a dit à plusieurs reprises un ami avisé : la plupart des conspirations sont en fait des collusions, et ces dernières sont très difficiles à prouver. Pour autant, la communauté d’intérêts entre la CIA des Etats-Unis et les oligarchies russe et ukrainienne est tellement évidente qu’elle en est indéniable.
Le vrai danger pour la Russie
Nous avons donc maintenant une image complète. Encore une fois, Poutine doit faire face simultanément à
1) une campagne de manipulation psychologique (ce qu’on appelle une campagne PsyOp) stratégique dirigée par les États-Unis, le Royaume-Uni et autres, combinant diabolisation de Poutine par les grandes entreprises de médias et campagne dans les médias sociaux tendant à le discréditer pour sa passivité et son manque de réponse appropriée face à l’Occident ;
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2) un groupe, petit mais qui donne fort de la voix, de (pour l’essentiel) nationaux-bolchéviques (Limonov, Douguine et compagnie) qui ont trouvé dans la cause novorusse une occasion parfaite pour dénigrer Poutine en lui reprochant de ne pas partager leur idéologie et leurs « solutions » à la fois « claires, simples et erronées » ;
RépondreSupprimer3) un réseau de puissants oligarques qui entendent profiter de l’occasion offerte par les actions des deux premiers groupes pour promouvoir leurs propres intérêts ;
4) une 5ème colonne pour laquelle tout ce qui précède constitue une opportunité fantastique d’affaiblir les souverainistes eurasiens ;
5) un sentiment de déception chez beaucoup de gens sincères, qui estiment que la Russie se comporte comme un punching-ball purement passif ;
6) une majorité écrasante de personnes en Novorussie qui veulent une complète indépendance (de facto et de jure) vis-à-vis de Kiev et sont sincèrement convaincues que des négociations avec Kiev sont en fait un prélude à une trahison des intérêts novorusses par la Russie ;
7) la réalité objective qu’intérêts russes et novorusses ne sont pas identiques ;
8) la réalité objective que l’Empire anglo-sioniste est encore très puissant et même potentiellement dangereux.
Il est très, très difficile pour Poutine d’essayer d’équilibrer ces forces de telle manière que le vecteur résultant soit en coïncidence avec l’intérêt stratégique de la Russie. Je dirais qu’il n’y a tout simplement pas d’autre solution à cette énigme que de séparer la politique officielle (le déclaratif) de la Russie et ses véritables actions. L’aide secrète à la Novorussie – le Voentorg – en est un exemple, mais seulement un exemple limité parce que ce la Russie doit faire à présent va au-delà des seules actions secrètes : elle doit apparaître comme faisant une chose tout en faisant exactement le contraire. Il est dans l’intérêt stratégique de la Russie, à ce stade, de paraître :
1) soutenir une solution négociée en vue de ce qui ressemblerait à une Ukraine unitaire non-alignée, avec des droits régionaux étendus reconnus à toutes les régions, mais, dans le même temps, de s’opposer politiquement au régime partout où il est possible : à l’ONU, dans les médias, devant l’opinion publique, etc., cela en soutenant à la fois la Novorussie et toute forme d’opposition ukrainienne ;
2) donner aux oligarques russes et ukrainiens une raison pour, sinon soutenir, du moins ne pas s’opposer à une telle solution (par exemple : en ne nationalisant pas les actifs d’Akhmetov dans le Donbass), mais, dans le même temps, de faire en sorte de continuer à disposer de suffisamment de « puissance de feu » (littéralement) pour garder l’oligarque en question sous contrôle ;
3) négocier avec l’UE sur la mise en œuvre effective de l’accord d’association de l’Ukraine avec l’UE, mais, dans le même temps, d’aider l’Ukraine à commettre un suicide économique en s’assurant qu’elle subisse exactement ce qu’il faut d’étranglement économique pour empêcher le régime de rebondir ;
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4) négocier avec l’UE et la junte de Kiev sur la livraison de gaz, mais, dans le même temps, de faire en sorte que le régime paie suffisamment pour s’en retrouvé « cassé » ;
RépondreSupprimer5) se montrer, de façon générale, non conflictuelle et non belliqueuse à l’endroit des Etats-Unis, mais, dans le même temps, de faire tout son possible pour créer des tensions entre les Etats-Unis et l’Union européenne ;
6) paraître généralement disponible et disposée à faire des affaires avec l’Empire anglo-sioniste, mais, dans le même temps, d’édifier un système international qui ne soit centré ni sur les Etats-Unis ni sur le dollar.
Comme vous le voyez, cela va bien au-delà d’un programme d’action secrète régulière. Ce à quoi nous avons affaire, c’est à un programme très complexe, multi-couches, en vue d’atteindre en Ukraine l’objectif le plus important de la Russie (un changement de régime et une dénazification) tout en inhibant autant que possible les tentatives anglo-sionistes de recréer une crise Est-Ouest grave et durable dans laquelle, pour l’essentiel, l’UE fusionnerait avec les USA.
Conclusion : une clé de la politique russe ?
La plupart d’entre nous sont habitués à penser en termes de catégories de super puissance. Après tout, les présidents américains, de Reagan à Obama, nous ont tous servi un régime de grandes déclarations, des opérations militaires presque constantes suivies de séances d’information du Pentagone, des menaces, des sanctions, des boycotts, etc. Je dirais que cela a toujours été la marque de fabrique de la « diplomatie » occidentale, depuis les croisades jusqu’à la dernière campagne de bombardement contre l’EIIL. La Russie et la Chine ont une tradition diamétralement opposée. Par exemple, en termes de méthodologie, Lavrov répète toujours le même principe : « nous voulons faire de nos ennemis des neutres, nous voulons changer les neutres en partenaires, et nous voulons faire en sorte que nos partenaires deviennent des amis ». Le rôle des diplomates russes n’est pas de préparer à la guerre, mais de l’éviter. Oui, la Russie se battra, mais seulement lorsque la diplomatie aura échoué. Si, pour les Etats-Unis, la diplomatie est uniquement un moyen de formuler des menaces, pour la Russie, elle est un outil principalement destiné à les désamorcer. Il n’est donc pas étonnant du tout que la diplomatie américaine soit primitive au point de confiner au comique. Après tout, est-il besoin de beaucoup de sophistication pour dire « conformez-vous à nos exigences, ou alors… ». N’importe quel petit voyou des rues sait faire cela. Les diplomates russes sont bien davantage semblables à des spécialistes de l’élimination des explosifs ou à des officiers du déminage : ils doivent se montrer extrêmement patients, très attentifs et pleinement concentrés. Mais, et c’est le plus important, ils ne peuvent pas permettre à quiconque de les contraindre à se précipiter, de peur que tout n’explose.
La Russie est pleinement consciente de ce que l’Empire anglo-sioniste est en guerre avec elle et de ce que la reddition n’est tout simplement plus une option envisageable pour elle (en supposant qu’elle l’ait jamais été). La Russie comprend aussi qu’elle n’est pas une véritable super puissance ou, encore moins, un empire. La Russie est seulement un pays très puissant qui cherche à priver l’Empire de ses crocs sans pour autant déclencher une confrontation frontale avec lui. En Ukraine, la Russie ne voit pas d’autre solution qu’un changement de régime à Kiev. Pour atteindre cet objectif, la Russie préférera toujours une solution négociée à une solution obtenue par la force ; cependant, si aucun autre choix ne lui est laissé, elle recourra à la force. En d’autres termes :
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L’objectif final à long terme de la Russie est de faire tomber l’Empire anglo-sioniste. Son objectif à moyen terme est de créer les conditions pour un changement de régime à Kiev. Son objectif à court terme est d’empêcher la junte d’envahir la Novorussie. La méthode préférée de la Russie pour atteindre ces objectifs est la négociation avec toutes les parties concernées. Et une condition sine qua non pour atteindre ces objectifs par des négociations est d’empêcher l’Empire de réussir à créer une crise continentale aiguë (à l’inverse, « l’état profond » impérial comprend parfaitement tout cela, d’où la double déclaration de guerre d’Obama et de Porochenko).
RépondreSupprimerTant que vous garderez ces principes de base à l’esprit, les apparents zigzags, les contradictions et la passivité des politiques russes vous demeureront compréhensibles.
La question reste ouverte de savoir si la Russie réussira à atteindre ses objectifs. En théorie, une attaque réussie de la junte contre la Novorussie pourrait forcer la Russie à intervenir. De même, il y a toujours la possibilité d’une autre opération « sous faux drapeau », peut-être quelque chose de nucléaire. Je pense que la politique russe est saine et, vu l’ensemble des circonstances actuelles, que c’est la meilleure parmi celles que l’on peut, en étant réaliste, considérer comme réalisables. Pour le reste, seul le temps nous le dira.
Je suis désolé qu’il m’ait fallu plus de 6.400 mots pour expliquer tout cela, mais dans une société où la plupart des « pensées » sont exprimées sous forme de « tweets » et la plupart des analyses par des messages sur Facebook, c’était une tâche ardue que de tenter de faire la lumière sur ce qui est en train de devenir un déluge de malentendus et d’idées fausses, tous aggravés par la manipulation des médias sociaux. Je pense que 60.000 mots seraient davantage appropriés à cette tâche, car il est beaucoup plus facile de simplement lancer un slogan court et simple que de réfuter ensuite les hypothèses et les implications dudit slogan.
J’ai l’espoir qu’au moins ceux d’entre vous qui ont été sincèrement troublés par la position apparemment illogique de la Russie puissent à présent relier les points entre eux et mieux dégager le sens de tout cela.
Cordialement à tous,
Le Saker
Source : http://vineyardsaker.blogspot.fr/2014/09/the-russian-response-to-double.html
Traduit par Goklayeh pour vineyardsaker.fr
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Ndt :
RépondreSupprimer[1] : Pollyanna est l’héroïne d’un célèbre roman pour la jeunesse d’Eleanor H. Porter, publié en 1913 aux États-Unis et devenu un classique de la littérature enfantine ; jeune orpheline recueillie par sa tante, Pollyanna Whittier se montre résolument optimiste face aux vicissitudes de la vie, s’efforçant de toujours voir le bon côté des choses au travers d’un jeu inventé par son père à cette intention, le « jeu du contentement », consistant à trouver toujours, quelle que soit la situation, une occasion de se réjouir ou un sujet de voir les choses de façon positive, ce quand bien même une telle attitude optimiste serait illogique ou absurde ; poussé à l’excès, le jeu engendre une naïveté excessive qui revient parfois à refuser d’accepter les faits d’une situation défavorable.
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[2] : en droit.
[3] : en fait.
[4] : le commerce militaire, qui se réfère ici à l’aide clandestine russe, notamment, mais pas uniquement, par la fourniture d’équipements militaires.
http://www.vineyardsaker.fr/2014/10/09/reponse-russe-double-declaration-guerre/
60 personnes enfermées en bâtiment Après 4 cas suspects d'Ebola près de Paris
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden sur 09/10/2014 13:22 -0400
Suite des nouvelles de la mort d'un homme britannique en Macédoine contre Ebola, RTL rapporte que 60 personnes sont enfermés à l'intérieur d'un département de médecine et de la coordination sociale (DASS) bâtiment à Cergy-Pontoise (sur le bord nord-est de Paris) à la suite des symptômes d'Ebola-like dans 4 personnes .
Comme le rapporte RTL,
Les locaux de la DASS de Cergy-Pontoise (Val-d'Oise) est actuellement bouclé. autorités soupçonnent un cas d'Ebola et verrouillées soixantaine de personnes.
Un médecin traitant sur les lieux a mis en garde notant symptômes troublants dans quatre personnes qui revenaient de Guinée.
Première aide spécifique est arrivé sur la scène là pendant plus d'une heure, un périmètre a été mis en place et une crise préfecture activé.
La main-d'œuvre de SAMU équipés en conséquence on s'attend sur le site de la notification d'un moment.
http://www.zerohedge.com/news/2014-10-09/60-people-locked-building-after-4-suspected-ebola-cases-near-paris
Ebola pandémie Coups en Allemagne, Turquie, et en Australie infecté infirmière espagnole Went Un-en quarantaine pendant une semaine
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden sur 09/10/2014 09:12 -0400
Malgré les exclamations toujours confiants de fonctionnaires que la pandémie à virus Ebola est "contenue", de plus en plus de pays admettent les cas d'Ebola-symptomatiques ou apporter des patients infectés par retour d'Afrique pour le traitement. Australie a son premier cas potentiel de la maladie mortelle , comme Bloomberg rapporte une infirmière qui revenait de bénévolat en Afrique a développé des symptômes d'Ebola-like. En dépit des affirmations que l'épidémie du Nigeria est terminée, un travailleur turc, il a été hospitalisé à Istanbul après des signes de forte fièvre et de la diarrhée. responsables de la santé de l'Allemagne confirment un patient 3ème Ebola est arrivé dans le pays - ayant contracté la maladie au Libéria. Et enfin, comme dans la triste affaire Thomas Duncan à Dallas, The Guardian rapporte infectées infirmière espagnole a non traitée et unquarantined pendant une semaine malgré signalé des symptômes au moins trois fois à des responsables hospitaliers. Il semble que le monde est mal préparé pour cette ...
Bloomberg rapporte, une infirmière qui a soigné des patients Ebola avec la Croix-Rouge en Sierra Leone a été hospitalisé en Australie après avoir développé une fièvre peu élevée, les autorités sanitaires. Elle est actuellement testé pour le virus mortel.
Le 57-year-old bénévole est récemment revenu à Cairns, dans l'état nord-est du Queensland, où elle a été s'isoler et de vérifier sa température deux fois par jour, Jeannette Young, chef de la santé de l'Etat, a déclaré dans un communiqué envoyé par courriel. Aujourd'hui, elle a signalé une température de 37,6 degrés Celsius (99,7 degrés Fahrenheit). Les résultats des tests pour le virus Ebola et d'autres infections possibles sont attendus tôt demain.
L'infirmière hospitalisé à Cairns a été identifié comme Sue-Ellen Kovack par le journal australien. Kovack retourné à la maison il ya deux jours, a rapporté le journal.
Un travailleur turc employé au Nigeria a été transporté à un hôpital d'Istanbul le 8 octobre sur la suspicion d'Ebola , selon Hurriyet Daily, après avoir montré des signes d'une forte fièvre et de la diarrhée.
Le 46-year-old man, dont l'identité n'a pas été révélée, est retournée en Turquie il ya 10 jours à partir de l'Afrique pour voir sa famille dans la province occidentale de Sakarya pendant la Fête de la fête du sacrifice.
L'incident est le deuxième cas d'un patient suspecté d'Ebola en Turquie, après une femme nigériane qui a transité par l'aéroport Atatürk d'Istanbul lors d'un voyage de Lagos à Barcelone a été transporté à l'hôpital à la mi-Août.
responsables de la santé de l'Etat de Saxe a confirmé jeudi qu'un malade d'Ebola était arrivé dans le pays , selon DW,
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L'homme, qui est originaire du Soudan, a contracté le virus au Libéria , ils ont dit, ajoutant qu'il avait été transporté de l'aéroport à la clinique St. Georg dans la ville de Leipzig, qui est situé à environ 200 kilomètres (125 miles) au sud-est de Berlin.
RépondreSupprimerLa Clinique St. Georg est l'un des sept établissements de santé en Allemagne, avec la capacité de traitement des patients hautement infectieux dans l'isolement.
Deux autres patients Ebola ont également été volé dans le pays d'Europe centrale au cours des dernières semaines. Une Organisation mondiale de la Santé (OMS) employé était tombé malade avec la fièvre hémorragique à Sierre Leone a été porté à Hambourg, où les médecins ont réussi à le stabiliser et finalement libérer lui la semaine dernière.
Et enfin, en ce qui concerne l'infirmière infectée espagnol à Madrid (comme The Guardian explique) , avait dit aux autorités de la santé au moins trois fois qu'elle avait de la fièvre avant elle a été placée en quarantaine.
Son premier contact avec les autorités de santé était le 30 Septembre, quand elle se plaint d'une légère fièvre et de la fatigue. Romero Ramos a un service spécialisé dédié à risques professionnels à l'hôpital Carlos III où elle travaillait et avait traité un patient atteint d'Ebola, a déclaré Antonio Alemany du gouvernement régional de Madrid. Mais comme la fièvre de l'infirmière n'avait pas atteint 38.6C, elle a été conseillé de rendre visite à sa clinique locale où elle aurait été prescrit du paracétamol.
Quelques jours plus tard, selon le journal El País, Romero Ramos nouveau appelé l'hôpital pour se plaindre de sa fièvre. Aucune mesure n'a été prise.
Le lundi, elle a appelé l'hôpital Carlos III, cette fois, elle dit se sentait très mal. Plutôt que de la transporter à l'hôpital qui avait traité les deux missionnaires qui ont été rapatriés par le virus Ebola, Romero Ramos a été chargé d'appeler les services d'urgence et de la tête à l'hôpital le plus proche de son domicile. Elle a été transportée à l'hôpital par les ambulanciers paramédicaux Alcorcón qui ne portaient pas de vêtements de protection, El País a rapporté.
À l'arrivée à l'hôpital, Romero Ramos a mis en garde le personnel qu'elle craignait qu'elle avait contracté le virus Ebola. Malgré l'avertissement, elle est restée dans un lit dans la salle d'urgence, alors qu'elle attendait les résultats du test. Elle a été séparée des autres patients que par des rideaux, le personnel de l'hôpital a déclaré mardi.
http://www.zerohedge.com/news/2014-10-09/ebola-pandemic-hits-germany-turkey-and-australia-infected-spanish-nurse-went-un-quar
Pas seulement pour la plus grande économie - Voici 26 Autres façons la Chine a surpassé l'Amérique
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 8 Octobre, 2014
En termes de pouvoir d'achat, la Chine a maintenant la plus grande économie sur l'ensemble de la planète, mais ce n'est pas le seul domaine où la Chine a dépassé les Etats-Unis. La Chine représente également plus de commerce mondial total de l'États-Unis font, la Chine consomme plus d'énergie que les Etats-Unis n'a, et la Chine fabrique maintenant plus de marchandises que les États-Unis n'a. En d'autres termes, l'ère de la domination économique américaine se termine rapidement. Puissance économique mondiale subit un changement dramatique à l'est, et qui va avoir d'énormes implications pour notre avenir. Nous devons déjà les Chinois bien plus d'un billion de dollars, et que notre infrastructure économique s'effrite nous sommes fébrilement empruntons encore plus d'argent dans une tentative désespérée pour soutenir la chute de notre niveau de vie. Nous n'arrivons pas à correspondre à la éthique de travail, l'inventivité et la détermination de la Chine et d'autres pays d'Asie et il est à l'affiche. Si nous continuons dans cette voie, ce que nous réserve l'avenir comme pour les générations futures d'Américains ?
En termes de PIB brut, les Etats-Unis est toujours le numéro un, au moins pour l'instant. Mais selon le FMI , la Chine est maintenant le numéro un économie sur l'ensemble de la planète en termes de pouvoir d'achat ...
La logique est simple: que les prix ne sont pas les mêmes dans chaque pays: Une chemise vous coûtera moins cher à Shanghai qu'à San Francisco, donc il n'est pas tout à fait raisonnable de comparer les pays sans prendre en compte. Même si une personne typique en Chine gagne beaucoup moins que la personne typique aux États-Unis, la simple conversion d'un salaire chinois en dollars sous-estime combien de pouvoir d'achat individuel, et donc ce pays, pourrait avoir. Indice Big Mac de The Economist est un excellent exemple de ces disparités.
Ainsi, les mesures du FMI deux PIB en termes de change du marché, et en termes de pouvoir d'achat. Sur la base de pouvoir d'achat, la Chine est en train de dépasser les Etats-Unis droite environ maintenant et devenir la plus grande économie du monde.
Quand j'ai appris cela, j'étais tout étourdi.
Je savais que l'économie de la Chine avait été rugissante, mais comme la plupart des Américains, je viens de supposer que les Etats-Unis continueront à rester la tête et les épaules au-dessus de tout le monde.
Malheureusement, les choses changent à un rythme qui est beaucoup plus rapide que la plupart des gens jamais cru possible. Ce qui suit sont 26 d'autres moyens que la Chine a dépassé l'Amérique ...
# 1 Lorsque vous additionnez toutes les importations et exportations, la Chine représente désormais plus de commerce mondial total que les États-Unis n'a fait.
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# 2 Il est maintenant la dette des entreprises plus totale en Chine qu'il n'y en a aux États-Unis.
RépondreSupprimer# 3 Au cours de 2013, nous avons vendu environ 121 milliards de dollars de dollars de trucs pour les Chinois, mais ils ont vendu environ 440 milliards de dollars de dollars de trucs à nous. C'était le plus grand déficit commercial qu'une nation a eu avec une autre nation dans l'histoire du monde.
# 4 La Chine est aujourd'hui le premier fabricant de produits dans le monde entier.
# 5 Retour en 1998, les Etats-Unis avaient 25 pour cent du marché de l'exportation de haute technologie du monde et la Chine avait seulement 10 pour cent. Aujourd'hui, les exportations de haute technologie de la Chine sont plus de deux fois la taille de US exportations de haute technologie.
# 6 Les États-Unis avait été le premier pays consommateur d'énergie dans le monde depuis environ 100 ans, mais au cours de l'été 2010, la Chine a repris la place de numéro un .
# 7 La Chine a maintenant le plus grand marché de voitures neuves dans le monde entier.
# 8 La Chine a plus de réserves de devises que quiconque sur la planète.
# 9 La Chine est le premier producteur d'or dans le monde.
# 10 La Chine est également le premier importateur d'or dans le monde.
# 11 il y a 15 ans, la Chine a terminé 14e dans le monde dans les articles de recherche scientifique publiés. Mais maintenant, la Chine devrait passer aux États-Unis et devenir le numéro un très peu de temps.
# 12 La Chine est également appelé à devenir bientôt le leader mondial des dépôts de brevets.
# 13 récompenses Chine degrés plus au doctorat en ingénierie chaque année que les États-Unis ne.
# 14 La Chine a train le plus rapide du monde et le réseau ferroviaire à grande vitesse le plus étendu du monde.
# 15 La Chine utilise plus de ciment que le reste du monde combiné .
# 16 Aujourd'hui, la Chine produit près de deux fois plus de bière que les États-Unis ne.
# 17 85 % de tous les arbres de Noël artificiels sont fabriqués en Chine .
# 18 Il y a plus de porcs en Chine que dans les prochaines 43 nations productrices de porc combinés .
# 19 La Chine est désormais le premier producteur de l'énergie éolienne et solaire sur l'ensemble du globe.
# 20 La Chine produit plus de deux fois plus de coton que les États-Unis ne peut.
# 21 La Chine produit plus de trois fois plus de charbon que les Etats-Unis ne fait.
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# 22 La Chine produit maintenant 11 fois plus d'acier que les Etats-Unis fait.
RépondreSupprimer# 23 La Chine contrôle plus de 90 pour cent de l'offre mondiale totale d'éléments de terres rares.
# 24 Une enquête menée par le Comité du Sénat américain sur les services armés ont trouvé plus d'un million de pièces de contrefaçons chinoises dans la chaîne d'approvisionnement ministère de la Défense.
# 25 Selon l'auteur Clyde Prestowitz, principale exportation de la Chine aux États-Unis est l'équipement informatique . Selon un article paru dans US Nouvelles & World Report, le premier produit d'exportation des États-Unis à la Chine est "la ferraille et les déchets" .
# 26 prix Nobel d'économie Robert W. Fogel de l'Université de Chicago prévoit que l'économie chinoise sera trois fois plus grande que l'économie américaine d'ici l'an 2040 si les tendances actuelles se poursuivent.
Les Chinois utilisent une partie de leur nouvelle richesse pour acheter des terres, les propriétés et les entreprises ici aux États-Unis. En fait, l'autre jour, nous avons appris qu'un groupe de la Chine achète l'hôtel Waldorf Astoria de New York.
Pour beaucoup, beaucoup plus sur cette tendance, s'il vous plaît voir certains de mes articles précédents ...
- " Les Chinois acquièrent de gros morceaux de terres dans les collectivités partout en Amérique "
- " 45 signes que la Chine colonise l'Amérique "
- " Rencontrez votre nouveau patron: Acheter des grands employeurs permettra à la Chine de dominer 1000s des communautés des États-Unis "
Et la plupart des Américains ne réalisent pas cela, mais les voitures fabriquées en Chine sera bientôt vendu aux États-Unis.
Ce qui suit provient d'un récent article de WND ...
Les voitures fabriquées en Chine seront à faire leur chemin à l'année suivante États-Unis, et deviner quelle compagnie va commencer à les exporter vers nos côtes ?
Une société chinoise, bien sûr.
La société mère de Volvo appartenant à des Chinois, Zhejiang Geely Holding Group, va commencer à exporter son S60L de la Chine aux États-Unis dès l'année prochaine, selon un rapport de Reuters qui cite une Volvo dirigeant.
Volvo tente de profiter de deux nouvelles usines chinoises qui constitueront une plate-forme d'exportation pour envoyer des véhicules aux États-Unis et la Russie.
Partout où vous regardez, la Chine domine et l'Amérique est en déclin.
S'il s'agissait d'un événement sportif pour les petits enfants, la «règle de la miséricorde" aurait été invoquée par l'entreprise.
Malheureusement, il n'y a pas de «mercy rule» sur la scène économique mondiale.
Les Etats-Unis vont devoir faire les choses ensemble si on veut avoir une chance de rivaliser avec les Chinois à l'avenir.
Les Chinois sont des coups de pied nos queues et ils le savent.
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Une enquête a montré constaté que 75 % de ceux qui vivent en Chine pensent que leur pays est sur la bonne voie.
RépondreSupprimerD'autre part, les Américains sont loin d'être aussi optimiste.
Selon une moyenne de récents sondages, seulement 28 % des Américains croient que les Etats-Unis sont sur la bonne voie.
Je pense que ces chiffres en disent long. Nous avons été en baisse depuis un certain temps, mais nous ne pouvons pas sembler obtenir le navire redressé.
Espérons que nos dirigeants peuvent commencer à venir avec des solutions rapidement, parce que nous sommes à court de temps.
http://endoftheamericandream.com/archives/not-just-the-largest-economy-here-are-26-other-ways-china-has-surpassed-america
Pourquoi des pays reculent ? Parce qu'ils osent faire payer les ordures ! Oui, exactement ! Les pays qui font payer les ordures sont les pays qui s'appauvrissent en fonction du Q.I. du chef d'Etat.
SupprimerL'extraction de fer des sous-sols coûte cher. Or, il y a sur terre des montagnes de fer ! Des voitures à la casse, des machines-à-laver aux dépôts d'ordures ! alors que tout ce fer GRATUIT peut être fondu pour refabriquer des voitures ou machines-à-laver !
Et faire payer les contribuables est une misérable politique d'handicapé mental, de payer des cons pour enfouir ce que d'autres recherchent est une idée de chef des c.
Assange accuse le gouv australien de «déformer la nature de l'interception"
RépondreSupprimerOctobre 09, 2014 09:30
Le fondateur de WikiLeaks Julian Assange a contesté les assurances données par le gouvernement australien que l'interception de communications dans le pays était une question de «contrôle strict».
Il a rejeté comme " absurdes la position des agences gouvernementales australiennes "sur la collecte massive de métadonnées dans une présentation dans une enquête de surveillance par le Comité des affaires juridiques et constitutionnelles du Sénat australien, l'âge indiqué.
" Il est absurde que les agences de gouvernement australien continuent de déformer la nature de l'interception et leur accès aux données interceptées par Five Eyes accords de partage », Assange a écrit. Le dénonciateur en question, en particulier les assurances données par la surveillance de chien de garde de l'Australie, l'Inspecteur général du renseignement et de sécurité (IGIS), qu'il n'a rien d'illégal à la récolte de données en Australie trouvé. " Je dirais que les données de partage sur les personnes australiennes pour TSA [de Signals Directorate australien - une agence de renseignement] est réglementée étroitement par la Loi sur les services de renseignement et de la vie privée règles établies en vertu de cette loi et que les données sur les personnes australiens est soumis à une surveillance très stricte , "Jake Blight, assistant inspecteur général de l'IGIS, a déclaré auparavant.
Assange a demandé au comité du Sénat à accorder une attention particulière aux documents sur le programme XKeyscore, fuite par l'ancien entrepreneur NSA Edward Snowden. " Ce programme comprend une case à cocher Cinq Yeux défaite qui permet aux analystes de filtrer les données d'un ou plusieurs des Five Eyes pays , "Assange écrit. " Cette case n'a de sens que dans le cadre d'un échange d'informations entre les 5 Yeux de défaut qui contourne inévitablement et nécessairement la TIA [Loi sur les télécommunications (Interception et Access)]. "Assange a critiqué les modifications apportées aux services de renseignement de la législation de l'Australie en 2011, réduisant considérablement" le champ d'application ou le sens de protections pour les Australiens à l'étranger "et qui augmente considérablement" la surveillance de leurs communications autorisées . " Le gouvernement australien a quant à lui mis au point une série d'amendements, qui sont censés mettre à niveau 1979 de renseignement du pays Loi sur le visage de la menace terroriste. Parmi les mesures anti-terroristes sont ceux qui l'accordent autorités un accès plus large aux communications des citoyens.
La répression contre les libertés ? Sénat australien adopte des lois draconiennes anti-terroristes
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La première série de modifications, adoptée la semaine dernière, permet un bon de donner de l'agence d'espionnage de la nation, ASIO, l'accès à un nombre illimité d'ordinateurs sur un réseau informatique lorsque l'on tente de suivre une cible. Les détracteurs de la loi estiment que la formulation vague du document permet à l'ensemble d'Internet à surveiller. Cette législation pourrait voir des journalistes emprisonnés depuis 10 ans des rapports sur les opérations de renseignement spécial, quelque chose qui a été vu par les observateurs des droits humains comme une atteinte à la liberté d'expression. Le deuxième ensemble de modifications actuellement en instance d'approbation permettrait police fédérale de l'Australie à la recherche secrètement la maison d'un suspect de terrorisme sans avoir à en informer les sujets du mandat pour six mois ou plus. ceux qui divulguent des informations sur ces recherches pourrait faire face à deux ans de prison. Une coalition d'entreprises de médias australiens demandé une disposition qui criminalise ces informations pour être retiré de la modification, ou tout au moins pour les journalistes d'être exemptés. Les groupes de médias a déclaré dans une communication publiée mercredi et cité par The Guardian, que la section « verrait journalistes emprisonnés pour entreprendre et s'acquitter de leur rôle légitime dans notre société démocratique moderne - déclaration dans l'intérêt public . "
RépondreSupprimerhttp://rt.com/news/194376-assange-submits-surveillance-inquiry/
Google annonce qu'il peut désormais surveiller vos factures
RépondreSupprimerOctobre 08, 2014 20:48
omprendre comment éclaté vous êtes sur le point de devenir n'a jamais été aussi facile: une nouvelle fonctionnalité en cours de déploiement par Google est de laisser les utilisateurs d'applications mobiles voient quand leurs factures sont dues et combien sont dus à une invite unique.
Le moteur de recherche a annoncé dans un communiqué mardi cette semaine une nouvelle fonctionnalité dans l'application Google disponible pour les appareils iOS et Android--alimentés permettra aux utilisateurs de voir rapidement si elles ont des factures à venir en disant simplement quelques mots dans le téléphone ou le micro de la tablette.
"Lorsque vous ne vous souvenez pas si vous avez payé vos factures - ou vous pouvez simplement ne me souviens pas combien d'argent vous devez payer - vous devez juste demander à Google" a indiqué la compagnie "Appuyez sur le micro sur l'app Google et dire: «Montrez-moi mes factures» ou «Mes factures dues cette semaine." Si vous avez la date d'échéance et le montant dans votre compte Gmail, vous verrez un résumé rapide des factures passées et à venir. Très pratique, hein ? "
Google a déjà pris une énorme quantité de chaleur au cours des dernières années après la mise en œuvre d'un système automatisé qui analyse le contenu des e-mails envoyés à son service Gmail afin de fournir aux clients des services plus personnalisés et des publicités. Bien que les défenseurs de la vie privée sont susceptibles de s'opposer nouvelle fonctionnalité de l'entreprise, le Wall Street Journal n'a pas tardé à signaler que les utilisateurs qui ont téléchargé le éponyme application mobile Google (anciennement connu sous le nom "Recherche Google") doivent s'inscrire au plus tard le service.
"Ces fonctionnalités sont disponibles pour les utilisateurs de la recherche de l'application de Google qui ont tourné sur le Google maintenant en vedette et donné la permission de Google pour accéder aux informations de leurs comptes Gmail," Alistair Barr a rapporté mardi cette semaine pour le papier.
Une fois que l'utilisateur ne choisit dans, Barr ajouté, Google leur permet de connaître sur une base individualise si certains contenus à venir dans leurs comptes en ligne, comme un message Gmail sur un projet de loi qui va bientôt être dû, est alimenté dans l'application mobile.
«Quand le service présente un projet de loi avec le montant dû (ou une réservation de vol ou de tout autre raclée de son propre compte Gmail de l'utilisateur) à la tête d'une liste de résultats de recherche, il dit:« Vous seul pouvez voir ce résultat »pour permettre aux utilisateurs sachez que le reste du monde ne peut pas voir combien ils doivent Comcast ce mois-ci, " a rapporté le journal.
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Et pour ceux qui ne reçoivent pas ces courriels, Venture Battre reconnu, alors nouvelle fonctionnalité de Google peut influencer certains clients pour régler leurs options.
RépondreSupprimer"Au cas où vous ne recevez pas vos factures envoyées à votre boîte de réception, c'est naturellement une incitation à vous inscrire aux notifications par e-mail avec votre compte Gmail, qui est bien sûr exactement ce que Google veut," Emil Protalinski écrit pour le site.
Au milieu de poursuites concernant son balayage automatique des messages Gmail, Google mis à jour ses termes de service plus tôt cette année en Avril pour changer de ce que l'on juge appelé auparavant « vague, au mieux, et trompeuses, au pire "conditions d'utilisation.
http://rt.com/usa/194332-google-app-bill-pay/
Le plastique aux propriétés du blindage créé en Sibérie
RépondreSupprimerRédaction en ligne Elena Kovatchitch
7 octobre, 16:31
Par La Voix de la Russie
Les chercheurs de l'Université polytechnique de Tomsk (Sibérie occidentale) ont créé un plastique dont les propriétés sont comparables à celles du blindage. Il servira de base pour fabriquer des constructions extra-fortes mais légères pour le matériel spatial. Les spécialistes promettent que les premiers échantillons de ces constructions seront fabriqués avant la fin de 2015.
Les chercheurs de Tomsk ont fait leur invention dans le cadre du projet conjoint avec la RKK Energia visant à mettre au point des matériaux pour les conditions extrêmes. Ils ont réussi à créer un plastique, matière avec addition de fibres optiques et de carbone, n'ayant pas d'égal au monde de par sa résistance, a dit à La Voix de la Russie le directeur e l'Institut de physique de haute énergie de l'Université de Tomsk Alekseï Yakovlev :
« Nous sommes parvenus à créer un catalyseur qui permet de résoudre les problèmes techniques relatifs à la fabrication de ces matériaux. Ce sont des plastiques thermoréactifs possédant une résistance mécanique accrue qui peuvent être alliés efficacement avec une base en plastique à renfort fibre de cardone et à renfort de verre ».
Une autre invention qui peut être utilisée dans le domaine spatial est un composite assurant un niveau élevé de protection contre les radiations. De tels matériaux sont irremplaçables dans les vols spatiaux lointains. Le composite développé à Tomsk est une combinaison de matières que personne n'a encore obtenu ce qui le rend en effet unique :
« Nous utilisons des méthodes spéciales de moulage de poudres ultradispersées ou nanopoudres dans une proportion déterminée et suivant nos procédés d'emballage avec l'addition des composantes qui permettent d'augmenter la résistance aux radiations. »
Les premiers essais ont démontré l'efficacité des inventions des chercheurs de Tomsk. Ceux-ci ont besoin d'un an pour atteindre le niveau industriel. D'ici 2015, les spécialistes comptent obtenir les échantillons de leur super-plastique. Alekseï Yakovlev a souligné que les chercheurs pourraient dire définitivement que la tâche de créer des matériaux nouveaux pour les conditions extrêmes de l'espace était accomplie à condition d'avoir des articles concrets : des éléments de constructions des instruments et des fuselages des vaisseaux spatiaux. Selon lui, le plastique nouveau servira à fabriquer des structures portantes, des poutres, sur lesquelles seront montés des appareils scientifiques des vaisseaux spatiaux et leurs divers carénages.
http://french.ruvr.ru/2014_10_07/Le-plastique-aux-proprietes-du-blindage-cree-en-Siberie-2699/
C'est officiel: la Chine est désormais la plus grande puissance mondiale
RépondreSupprimerpar Audrey Duperron
09 oct. 2014
Ça y est, c’est officiel: la Chine vient de dépasser les Etats-Unis pour devenir la plus grande économie du monde, a calculé le Fonds Monétaire International (FMI). Il s’est appuyé sur la comparaison des pouvoirs d’achat des deux pays.
En effet, les structures de prix varient d’un pays à l’autre et les taux de change sont volatiles ; une chemise n’a pas le même prix à Shanghai qu’à San Francisco. Pour contourner ce problème, le FMI calcule le PIB des deux pays en termes d’échanges de marché et en termes de pouvoir d’achat, et c’est sur la base de cette dernière méthode que la Chine vient de devenir la plus grande puissance du monde.
Au printemps de cette année, l’International Comparison Program (ICP), une institution qui dépend de la Banque Mondiale, avait déjà établi que 2014 serait l’année où la Chine deviendrait la puissance N°1 du monde. En 2005, l‘ICP avait calculé que l'économie chinoise ne représentait que 43% de l’économie des États-Unis, soit moins de la moitié. Mais comme l’agence a changé de méthodologie et que l’économie chinoise a crû bien plus rapidement que prévu, en 2011, les recherches ont établi qu’elle représentait 87% de l’économie des Etats-Unis. Le FMI estime que l'économie chinoise va encore croître de 24% entre 2011 et 2014, alors que celle des États-Unis ne se développera que de 7,6% au cours de la même période, donc l’agence de statistiques en avait déduit que la Chine pourrait dépasser les Etats-Unis dès cette année pour devenir la plus grande économie du monde.
Ainsi, à la fin 2014, la Chine représentera 16,48% du PIB du monde ajusté en termes de pouvoir d’achat (ou 17.632 milliards de dollars), contre 16,28% pour les Etats Unis (ou 17.416 milliards de dollars). Et le FMI s’attend à ce qu’elle gagne encore 20% d’ici 2019.
Mais il faudra encore beaucoup de temps avant que la valeur de marché brute de la Chine rattrape celle des Etats Unis. Par cette mesure, les Américains devancent encore les Chinois de 6 500 milliards de dollars.
La contribution que les pays émergents apportent au PIB du monde a dépassé celle des économies avancées en 2007, et désormais, la part des revenus mondiaux qu’ils produisent représente 57%. Entre 2007 et 2014, les pays en développement ont connu une croissance 9 fois supérieure à celle des pays développés. « Assez extraordinaire », commente Chris Giles du Financial Times.
- voir graphiques sur site :
http://www.express.be/business/fr/economy/cest-officiel-la-chine-est-desormais-la-plus-grande-puissance-mondiale/208409.htm
Coûte Renouveable Energy Target mineurs millions, le coût de l'électricité verte à plus de 9-15 % des factures
RépondreSupprimer10 octobre 2014
Qui donc a dit que l'énergie renouvelable fait l'électricité pas chère ?
Le Conseil minéraux additionné les chiffres sur le RET (l'énergie renouvelable cible) et vérifier les factures. Et même si "énergies renouvelables" est fabriqué à partir de la * gratuitement vent et le soleil, en quelque sorte, d'être obligé d'utiliser inefficace, diffus, et de l'électricité fiable coûte mineurs de charbon millions.
Coûts RET qui imposent un lourd fardeau: les mineurs
MINEURS ont déménagé à contrer les arguments de l'industrie de l'énergie renouvelable que le régime cible est la baisse des prix de l'électricité, en libérant des chiffres montrant qu'il coûte des millions de dollars et comprenant jusqu'à 15 pour cent du total des factures d'électricité.
Une séance d'information envoyé aux députés qui s'intéressent au débat cible d'énergie renouvelable, distribué par le Conseil minéraux de l'Australie, montre six mines de charbon dans le Queens-land et NSW payé une somme combinée de 7,7 millions de dollars les coûts de RET de l'an dernier et de 7,3 M $ en 2012.
La proportion que la charge de RET composé de la facture totale variait de 9 pour cent à 12 pour cent l'an dernier, et de 12 pour cent et 15 pour cent en 2012 Ce chiffre est nettement plus élevé que le coût moyen de 4 pour cent pour les ménages tient parce que les grands utilisateurs reçoivent un prix de l'électricité à prix réduit pour l'achat en vrac.
* Gratuit, adj: Non emprisonnés ou réduits en esclavage; . étant en liberté à ne pas confondre avec le Idiome: gratuit .
http://joannenova.com.au/2014/10/renewable-energy-target-costs-miners-millions-green-electricity-cost-9-15-of-bills/