Les contribuables britanniques ont financé 14 milliards de £ en Irlande du renflouement
Les contribuables britanniques ont fourni l'Irlande avec une porte dérobée renflouement de plus de £ 14 milliards par la Banque Royale of Scotland et Lloyds Banking Group.
Par Philip Aldrick , économie éditeur 20:30 GMT le 19 janvier 2013
Près d'une livre sur quatre injectée dans les deux banques soutenues par l'Etat par le gouvernement est allé directement dans l'économie irlandaise, comptes des filiales des deux prêteurs ont montré.
Entre 2009 et 2011, RBS a fait "apports" un montant total de € 9.13bn (£ 7,6 milliards) à sa filiale dont le siège est à Dublin, Irlande Ulster Bank. Au cours de la même période, Lloyds a transféré £ 6.41bn à son fonctionnement irlandais, Bank of Scotland (Irlande), avant de dissoudre l'entreprise.
Le total - 14 milliards de £ - s'élève à plus d'un cinquième des contribuables britanniques £ 65 milliards injectés dans RBS et Lloyds en 2008 et 2009, et devrait encore augmenter. Les analystes estiment que RBS a transféré d'un autre 2 milliards de £ l'an dernier.
RBS et Lloyds ont utilisé les fonds pour amortir des milliards de livres de dette irlandaise prêtés à des promoteurs immobiliers commerciaux et les ménages au cours des années "Tigre celtique" boom.
Après l'éclatement de la bulle, les banques irlandaises ont conduit le pays à genoux et ont forcé le gouvernement dans un 67.5bn € (£ 56.5bn) de sauvetage international, y compris les 7 milliards de livres du gouvernement britannique. Depuis la crise financière, Dublin a injecté 80 milliards € dans ses banques nationalisées et six ou partie nationalisée d'entre elles.
Ensemble, avec les plans de sauvetage des banques, le contribuable britannique a calé l'économie irlandaise avec au moins £ 20 milliards, ce qui permettra de renouveler des questions sur la façon dont le gouvernement travailliste a traité les sauvetages en 2008-09.
La semaine dernière, Grant Shapps, le président du Parti conservateur, a dit du travail "massivement surpayé", tandis que la Banque d'Angleterre les responsables ont revendiqué le Royaume-Uni ne correspondent jamais au profit de 10 milliards de £ made in USA.
Sir Mervyn King, gouverneur de la Banque d'Angleterre, a également déclaré la semaine dernière: «La triste vérité est, en 2008, l'idée de concentrer les efforts sur la recapitalisation du système bancaire était une idée du Royaume-Uni. Nous sommes arrivés au début, mais, comme les idées de nombreux britanniques, les Américains ont développé plus vite et mieux." Les États-Unis ont forcé toutes les grandes banques de prendre de l'argent public, l'achat des participations à environ la moitié de leur valeur comptable. Le Royaume-Uni a payé environ deux fois le taux américain, prenant des positions dans les trois banques les plus touchées - RBS, Lloyds et HBOS.
Une source du Trésor a déclaré: «Le gouvernement a estimé que sans une injection contribuable les banques se seraient effondrées, avec des conséquences pour la stabilité financière et l'argent du peuple, et il a jugé que c'était un risque inacceptable de prendre le gouvernement a renflouer les banques au Royaume-Uni avec des opérations globales. L'Irlande est une entreprise internationale, mais pas la seule."
Lloyds a également transféré environ 856m £ à sa filiale australienne et RBS a labouré des milliards dans ses diverses opérations mondiales.
Hilarant: tête explose à la CNBC - Pourquoi l'Allemagne n'a pas confiance dans les Etats-Unis pour stocker ses or ?
Posté le 18 Janvier, 2013 par maxkeiser
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Nous allons parler de notre mystère marché, parce que c'est une question qui a été affligent nos traders toute la journée ici. Examiner cette question. La banque allemande est de ramener chez elle son or, en disant, je cite, en 2020, la banque a l'intention de conserver la moitié des réserves d'or de l'Allemagne dans ses propres caves en allemagne. la question est, pourquoi l'Allemagne se déplaçant sur l'or des États-Unis ? Grande question. Pourquoi ne pas nous faire confiance plus ? type ? Ainsi, Lower Manhattan, en fait, deux ou trois choses, c'était hier et je n'étais pas là hier donc je veux - vous avez pensé à ce sujet, quand il est sorti et les théoriciens de la conspiration, je reçois tout cela. il s'agit d'une histoire énorme, à mon avis, ce n'est pas une histoire énorme maintenant, mais sera une histoire énorme. Pourquoi est-ce ? Parce que vous devez vous demander, pourquoi l'Allemagne décident de faire cela ? Que voient-ils que le reste d'entre nous ne voyons pas qui les oblige à se déplacer physiquement cet or hors du Lower Manhattan et bien sûr à Paris, ainsi, à leurs frontières ? et je pense que c'est vraiment la question que vous devez poser la question. Et la réponse est, il ne peut pas être quelque chose de bon, et si vous pensez que c'est la première fois, ce n'est pas. Parce que le taré dans venezuela a fait un il y a quelques années parce que les gens qu'il a rejeté - parce qu'il est un barjo de droite. Si l'Allemagne va être le dernier, ils ne sont pas. Les gens vont s'aligner et faire cela. Vous parlez de courses sur les banques ? Cela pourrait être exactement cela. Si tout le monde veut leur dos en métal à la fois, il vaut mieux l'espère, un, qu'il est là et b, nous sommes en mesure de le faire. et je vous le dis, l'acte lui-même n'est pas nécessairement haussier or - attendez une minute.
J'ai une question. Question. Aller de l'avant. L'allemagne possède cet or physique, alors pourquoi y a t-il un risque que tout le monde est de tirer leur or que ce ne sera pas là. donner la réponse exacte. Lorsque j'ai travaillé à drexel berner en 1990, et vous allez dire, vous êtes un vrai boulot - j'allais dire, vous êtes vieux. Nous n'avons pas le temps a conduit l'or des banques centrales. C'était leur or, mais nous l'avons eu. Lorsque la faillite a frappé, tout était gelé. S'il s'agissait de leur or, ils n'avaient pas l'accès. Beeks peut en parler ainsi. Oui, c'est beaucoup mieux de l'avoir en votre possession que de l'avoir en votre possession de quelqu'un d'autre voûtes. Le marché de l'or est un peu bizarre.
Si vous achetez une part du stock, c'est le vôtre, c'est dans votre compte. Ce n'est pas la façon dont elle est d'or. Il ne s'agit pas nécessairement d'un numéro de série sur chaque lingot d'or qui dit que votre nom. Y at-il peut-être pas assez d'or à la banque ? Oui, peut-être. Tu parles comme un théoricien de la conspiration réelle. Ainsi, l'or est prêté à chaque jour à travers le London Bullion Market. Il est prêté partout. Donc, si vous avez tout le monde essaie de venir au-devant après, il suffit de regarder ce qui s'est passé chez MF Global. Un grand nombre de personnes impliquées par le fait que les récépissés d'entrepôt, fallu du temps pour obtenir ce retour, oui, vous avez besoin de vous inquiéter. Je pense que le tableau d'ensemble est, pourquoi est l'Allemagne de le faire maintenant. Exactement. Ils l'ont eu ici depuis 40 et quelques années impaires. pourquoi aujourd'hui ? peut-être qu'ils ont leur propre Vault. L'Allemagne a obtenu 10% des réserves mondiales d'or et aux hommes, je ne pense pas que cela va être un catalyseur pour d'autres personnes. Je ne pense certainement pas pourquoi il est si gros d'un accord pour donner à l'Allemagne leur or quand il n'est pas appuyé contre quelque chose. Oui, c'est la raison pour laquelle les gens. c'est pourquoi l'or est la chose que les gens veulent tenir y a de l'or appui rien. Il y a hypothèques. Ils n'ont pas à se soucier des soviets, ce qui explique pourquoi ils l'ont déplacé ici en premier lieu. Nous allons réfléchir au pourquoi ils l'ont déménagé ici en premier lieu. Vous ne pensez pas que c'est un gros problème et que vous faites - les Pays-Bas, en fait, ont dit qu'ils voulaient leur or, aussi. Mystère. Pour l'instant, il restera un mystère marché. Nous devons arriver à plus.
59.780: c'est le nombre d'entreprises qui ont déposé le bilan en 2012
Fabien Piliu | 17/01/2013, 11:27 -
La société Altares a recensé 59.780 défaillances l'année dernière. Le record de 2009 n'a pas été battu. Cette année-là, 62.300 entreprises avaient dû se résigner à déposer le bilan. L'industrie a bien résisté, le nombre de défaillances ayant même reculé de 1% par rapport à 2011.
Le record de défaillances n'a pas été battu en 2012. Selon la société Altares, 59.780 défaillances ont été observées l'année dernière, concernant au total 245.300 emplois. Un nombre qui a crû de 2,7% en un an, mais qui est surtout à comparer aux 62.300 défaillances déplorées en 2009, année au cours de laquelle la France a connu la récession la plus importante de son histoire depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Cette année-là, le PIB avait reculé de 2,6%.
Mais dans le détail, les entreprises de 1 à 5 salariés ont connu une année 2012 «compliquée», avec 26.500 procédures collectives, soit 10% de plus qu'en 2011. «Le dernier trimestre est plus sévère encore avec une augmentation de 17%», observe Altares. Les PME de plus de 50 salariés affichent, à l'inverse, une «vulnérabilité essentiellement concentrée sur le premier semestre». Au total, 482 d'entre elles ont connu un redressement ou une liquidation judiciaire en 2012, soit 18% de plus qu'en 2011, et 80 contre 98 ont bénéficié d'une sauvegarde soit 18% de moins qu'en 2011.
Des difficultés anciennes
Le nombre de redressements judiciaires ou de liquidations judiciaires prononcés sur des sociétés de plus de 15 millions d'euros de chiffre d'affaires recule de près de 9% en 2012 avec 145 ouvertures de procédures. Les deux tiers de ces grosses défaillances concernent essentiellement des manufacturiers et des grossistes. «Nombre d'entre eux présentaient des difficultés déjà anciennes; 20% n'avaient d'ailleurs pas publié de bilan depuis au moins 2009, signal généralement d'une volonté de masquer une situation délicate. 60% de ces grosses défaillances ne parvenaient pas à dégager une rentabilité sur leur coeur de métier. Le quart d'entre elles présentaient des fonds propres négatifs et près de la moitié une trésorerie négative», constate Altares.
Heureuse surprise, l'industrie a offert davantage de résistance que les autres secteurs. Les défaillances d'industriels reculent de 1% en 2012 après une baisse en 2011 et en 2010. En revanche, la plupart des autres secteurs ont souffert. C'est notamment le cas dans les services aux entreprises (+2,4%), le transport et la logistique (+11%), les métiers de l'information et de la communication (+15%), l'action sociale et santé humaine (+10%).
Fortes disparités géographiques
Si 2009 est le marqueur fort de l'épisode douloureux de la crise, toutes les régions avaient, depuis, entamé une diminution du nombre des défaillances sans pourtant retrouver les niveaux de 2007. Un constat qui exclut la Picardie. Cette région n'a cessé d'enregistrer chaque année une dégradation. En 2012, le nombre de défaillances a encore bondi de 12% pour atteindre un nouveau record de sinistres avec plus de 1.700 dépôts de bilan.
Sept autres régions ont enregistré des records de défaillances. Il s'agit de la Basse-Normandie (1.191 cas), la Haute-Normandie (1.367), le Centre (2.194), Midi-Pyrénées (2.571) et Languedoc-Roussillon (3.340). «Dans ces régions, le nombre de dépôts de bilan évolue peu depuis 2009 mais la hausse constatée en 2012, quoique contenue entre 2% et 5%, conduit à établir de nouveaux records de sinistralité», précise Altares qui note aussi la mauvaise orientation de Bourgogne (+12% à 1.416) et Champagne (+19% à 1.061).
À l'inverse, l'Alsace et la Bretagne font preuve d'une bonne résistance avec une baisse du nombre de dépôts de bilan respectivement de 1% et 2%.
Et si la Chine venait vraiment à bouder la dette américaine ?
La Chine a toutes les cartes en main pour mettre fin au règne du dollar – une hypothèse qui n'est pas aussi farfelue qu'elle le paraît... Les dessous de l'économie Publié le 17 janvier 2013
Que fait la Chine de sa montagne de réserves de change ? Elle investit au travers du fonds d’investissement souverain chinois – ou CIC comme China Investment Corporation, en bon anglo-mandarin – qui gère 480 milliards de dollars. Il y a aussi les réserves de change détenues par la Banque centrale du peuple, l’équivalent de plus de 3 200 milliards de dollars dont 1 160 milliards sont en bons du Trésor américain qui ne rapportent rien.
Avec les Etats-Unis, la Chine connaît les mêmes affres qu’une entreprise dont le gros client s’enfonce dans l’insolvabilité. Toujours ce fichu dilemme : lui prêter toujours plus en espérant qu’il va se refaire une peau... ou bien tirer un trait, prendre sa perte et passer à autre chose ? Comme si cela ne suffisait pas, il y a un autre problème : le client paye avec du papier qu’il imprime à volonté pour faire croire qu’il a de l’argent.
Si la Chine s’affranchit brutalement du dollar, le monde prend peur et c’est l’effondrement du billet vert. Si elle le garde, c’est l’effritement de ses réserves de change. Sa tactique, c’est donc de s’en débarrasser en douce.
Progressivement depuis 2008, la Chine : Fait des réserves de matières premières (métaux de base, pétrole, céréales). Réduit sa position en bons du Trésor, une centaine de milliards de dollars en moins en 2012 (ce que vous pouvez surveiller ici, positions au 17 décembre 2012). Echange des bons du Trésor à long terme contre des bons du Trésor à court terme pour ne pas se retrouver dépendante du sort du dollar à long terme. C’est son Twist à elle, le miroir du Twist de la Fed qui consiste à racheter les obligations de long terme et émettre du court terme. Investit en actions. Diversifie ses réserves de change. Achète discrètement de l’or (ndlr : Pour en savoir plus à ce sujet, cliquez ici: http://publications-agora.fr/pack/lim/index.php?code=PLIMP101
Pour le moment tout se passe bien et personne ne s’affole. La transition en douceur est un succès. Le Japon, qui est le deuxième détenteur mondial d’obligations souveraines américaines, ne flanche pas. Comme vous pouvez le constater, il en a pris pour 130 milliards de dollars de plus en 2012, ce qui compense le désengagement chinois. Tout baigne dans l’huile de soja…
"En ligne avec la future reprise de l’économie américaine, l’attrait de la dette américaine s’affaiblit (…) A long terme, ce n’est plus un bon investissement", a déclaré à l’Agence France Presse de Shanghai le président du CIC.
Subtil et magistral ! Puisque reprise américaine il y aurait, c’est normal de moins acheter de bons du Trésor. Une simple gestion de bon père de famille. Le monde rassuré ne sera donc pas surpris que la Chine accélère le mouvement.
La reprise américaine sera en 2013 une croissance de l’ordre de 2,5% du PIB achetée avec un déficit de 8% du PIB. Cherchez l’erreur… "Beaucoup de prévisionnistes s’attendent à 3% à la fin de l’année. Je serai heureusement surpris si c’était le cas. Cela ne résorbera pas notre chômage avant longtemps. Nous avons vraiment besoin de 4%, 5% de croissance pendant une longue période pour nous en sortir", indiquait Kenneth Rogoff à Bloomberg (Charlie Rose talks to Kenneth Rogoff, Bloomberg Business Week, 20 décembre 2012).
Personne ne semble s’inquiéter que le plus gros acheteur de bons du Trésor soit devenu la Fed avec 40 Milliards de dollars par mois (opération QE3 - Quantitative easing).
Les promesses d’arrêter le QE3 ne sont que du vent. Bientôt, il faudra passer à la vitesse supérieure : les dollars imprimés ne serviront plus à financer les rachats d’obligations sans souscripteur, ils serviront à financer directement le déficit.
Le dollar est bien en route pour l’hyperinflation, probablement pour 2014 selon John Williams de Shadowstats. La Chine sera prête, car elle a son plan anti-dollar, sa parade pour ne pas sombrer avec le dollar. Et vous, vous avez un plan pour cette ultime phase de la crise ?
Opinion: Pourquoi Hollande doit faire preuve de leadership clair Par John Gaffney , spéciale à CNN
Note du rédacteur: John Gaffney est professeur de science politique et co-directeur du Centre Aston pour l'Europe, au Royaume-Uni, Aston University.
(CNN) - La France est le pays le plus riche au cinquième rang mondial. Elle est le sixième exportateur mondial. Elle a le deuxième plus grand réseau diplomatique dans le monde, après les Etats-Unis. Elle est membre du Conseil de sécurité de l'ONU. C'est le pays le plus visité au monde, accueillant 82 millions de visiteurs l'an dernier. Il s'agit d'une grande puissance nucléaire. Il est le véritable fondateur de l'Union européenne. Et c'est dans un terrible gâchis.
Le socialiste François Hollande a été élu président y a presque un an, évinçant le très impopulaire "Mr Bling", le président Nicolas Sarkozy.
La gauche socialiste de la France n'a jamais été aussi forte politiquement: Elle contrôle la présidence, le gouvernement, les deux chambres du parlement, les régions et toutes les grandes villes et les villes. Et dans ses huit premiers mois au pouvoir, Hollande n'a pratiquement rien fait. Il est comme un lapin dans les phares assommé d'un véhicule venant en sens inverse appelé «dure réalité économique."
Hollande a trois problèmes fondamentaux. La première est qu'il n'a pas de plan. Des dizaines de milliers de personnes perdent leur emploi chaque semaine, et cela va de pire en pire.
France est confrontée à une crise d'énormes dépenses publiques - en matière de santé, les retraites, et maintenant le bien-être, et une dette publique de 90% du PIB. Pas une seule mesure adéquate n'a été mis en avant, ni même proposé dans ses huit mois au pouvoir.
Le deuxième problème est qu'il n'a pas la volonté politique de briser les log-confitures dans la société française: Rendre l'industrie plus compétitive, la réduction des dépenses du gouvernement. Il ne peut pas faire ces choses parce que l'une des circonscriptions dont il a besoin pour assumer - le secteur public énorme - est composée de personnes qui ont voté pour lui au pouvoir.
Il pourrait prendre sur les bords aussi irresponsables - ils n'ont pas voté pour lui - mais il risque d'envoyer de l'économie en chute libre s'il le fait.
Et non seulement a t-il besoin pour résoudre les problèmes structurels de l'économie de la France et de la société, mais il a fait l'erreur de dire à tous ceux qu'il pouvait résoudre les problèmes du pays sans douleur, ou par l'imposition des super-riches, et il ne parvient pas à le faire non plus, alors il est tout simplement de taxer tout le monde.
Maintenant, il fait face à la pire situation possible parce que personne ne croit un mot de ce qu'il dit. Il a livré un message de Nouvel An robuste semaine dernière, regardé par des millions, et pourtant 75% ne croient pas qu'il puisse tenir sa promesse.
In fact, the New Year's Eve wishes everyone in France did believe were the Churchillian tones of German Chancellor Angela Merkel. Son message était essentiellement à l'opposé de Hollande optimisme de l'étrange, qui semble impliquer un peu plus de la suite de la "Keep Calm and Carry On" mantra. Mais l'attente de la reprise trouve la France au dépourvu et dans une situation plus difficile que l'Espagne ou l'Italie, qui sont maintenant occupés à restructurer leurs économies.
Le troisième problème fondamental et Hollande a, c'est qu'il ne comprend pas la nature de la fonction qu'il occupe, la présidence française de la République. S'il le faisait, il pourrait trouver un moyen d'avancer. Dans son message du Nouvel An, il s'est comparé à un capitaine de navire. Mais il doit être un, pas seulement dire qu'il en est un. Le bureau du président français est un mélange très complexe de la politique et du symbolique. Mais il est fondamentalement une question de leadership, qui est en tête ne suit pas, et en prenant le français avec lui.
Hollande a besoin d'urgence pour rétablir sa présidence - et il y a quelques règles claires pour le faire:
Il a besoin de prendre sur les banques si nécessaire, prendre le système de prestations sociales, les obstacles à l'innovation et à la création d'entreprises nouvelles, prendre sur la situation déplorable de la France la misère ville oubliée intérieure, son besoin de ne pas être un programme intransigeant libérale.
Aucun gouvernement dans l'histoire française est dans une meilleure position pour faire de la France une société plus égalitaire tout en rendant son économie et plus efficace. Il devrait se concentrer sur les jeunes qui essaient de créer leur propre entreprise. Mettre l'accent sur les petites entreprises en général. Faites glisser la France en dehors de son disque à plus de tout réglementer et d'innovation d'accélérateur. l'impôt sur les super-riches, si nécessaire, pour autant qu'elle contribue à la solution globale qu'il vise.
Il a aussi besoin d'obtenir en phase avec Merkel et le plomb en Europe avec l'Allemagne, prétend pas qu'il est le porte-parole des dépensiers irresponsables.
Mais par-dessus tout, il faut utiliser la présidence d'une manière plus imaginative: Commencer une conversation en cours et passionnant avec les Français. Aucune autre fonction dans le monde, pas même la présidence des États-Unis, offre une telle ampleur d'une intimité entre le leader et la population.
Il faut hardiment utiliser le référendum pour mettre en place et diriger la conversation vers le changement et l'innovation. Si les intérêts ne bouge pas, amener le peuple. Utilisez le référendum comme de Gaulle l'a fait entre 1958 et 1962, comme une arme politique majeur pour briser les impasses dans la société politique française.
En Europe et dans le reste du monde qu'il a à faire de la France admire encore, comme par le passé. Intérieur de la France, il doit oublier pas déranger personne. En fait, il devrait avoir un plan qui bouleverse presque tout le monde. Les Français l'aiment pour cela.
Jusqu'à présent, il reste à voir quel impact son premier défi majeur de la politique étrangère - au Mali - aura. Comme les forces françaises, avec le soutien de la communauté internationale, aller dans le pays ouest-africain à prendre contre les rebelles islamistes , les prochaines semaines nous diront si le destin lui a donné juste la meilleure opportunité ou le pire de montrer aux Français, et le reste du monde, ce qu'il fait.
Les algorithmes sont-ils les véritables maîtres du monde ?
Que ce soit dans la finance ou encore dans l’ingénierie, de plus en plus de processus de décision sont gérés par des algorithmes, plus aucun secteur n'y échappe totalement.
Publié le 20 janvier 2013
Atlantico : Machines de flash-tradings, système binaires, les automatismes semblent avoir pris un rôle croissant dans les processus de décision quotidiens, que ce soit dans la finance ou l’ingénierie. Peut-on dire malgré tout que les algorithmes sont en train de faire main basse sur tous nos processus de décisions ? Y-a-t-il une "sur-rationalisation" de nos sociétés ?
Jean-Yves Trépos : Il me semble important de ne pas inverser les causalités en la matière : c’est la rationalisation des sociétés qui mobilise l’algorithmique et non la multiplication des algorithmes qui entraînerait une accélération de la rationalisation. Au sens strict, le développement même des sociétés, depuis l’Antiquité (pas seulement occidentale) repose sur l’utilisation d’algorithmes : la seule variation tient à leur inégale inscription dans des techniques (Pierre-Maxime Schuhl dans Machinisme et philosophie, en 1938, voyait là l’une des explications du blocage de la science grecque : elle n’avait pas besoin de concrétiser ses algorithmes). Pour s’en tenir aux sociétés que l’on peut appeler "modernes" (en gros les sociétés industrielles jusqu’à la fin du 20ème siècle) : le mouvement de rationalisation de la vie y est fort, peut-être est-ce même l’un des marqueurs de la modernité, si l’on en croit Weber ou Parsons.
Ce mouvement appelle des procédures de décision pariant sur l’absence d’ambiguïté, réitérables de manière rapide (voire presque instantanées comme dans le flash-trading) et sur des univers stables. L’informatique (qui n’est qu’un gigantesque algorithme) a fourni les outils de ce processus.
Mais la machine aurait-elle échappé à son concepteur ? Une telle vision est naïve ou pour le dire mieux : romantique (pré-moderne). D’abord parce que l’algorithme s’adapte mal à l’instabilité : il nécessite des corrections incessantes qui, elles, ne proviennent pas d’algorithmes (c’est ce que j’avais proposé d’appeler "le pifomètre systématique", qu’on pourrait rendre en anglais par le mot-valise « guesstimation »). Ensuite parce qu’il ne faut pas oublier toutes les transactions homme-machine qui sont nécessaires pour que l’opération (par exemple dans un hedge fund) fonctionne. Enfin, parce que l’idée même de modernité vacille, non sous le coup d’une "sur-rationalisation", mais sous les coups de boutoir de la réflexivité des usagers, qui conduisent à mettre en balance le rationnel et le raisonnable. A tout le moins, nous serions dans ce que Giddens appelle "la modernité réflexive", avec des algorithmes ouverts, mais nous pourrions tout aussi bien être dans cette post-modernité qui fait surgir face aux algorithmes en panne, des heuristiques (discipline qui se propose de dégager les règles de la recherche scientifique, ndlr) capables d’éviter la paralysie de l’action en définissant d’autres priorités. Là est en définitive la réponse à toute question en matière de décision : quelles sont nos priorités ? Les discussions autour des conditions de séparation des activités à risques et des activités classiques dans les banques en sont l’une des illustrations.
Quels sont aujourd'hui les secteurs où les algorithmes sont les plus représentés ?
On pense souvent à la finance, mais il faut noter que plus aucun secteur ne peut aujourd’hui se passer de ces outils. Très globalement, ils sont dans les équipements du management des activités humaines et, par conséquent, les secteurs de l’aide à domicile et de la dépendance les voient progressivement s’installer, comme ce fut le cas pour les hôpitaux avec le PMSI dans les années 1980.
L’émergence de ces outils de contrôle automatisés prouve-t-elle que l’organisation du monde dépasse aujourd’hui la compréhension humaine ? Peut-on parler d’une évolution de notre rapport au savoir ?
C’est sans doute difficile à admettre, mais il n’y a pas un monde qu’on comprendrait mieux ou moins bien : nos activités construisent elles-mêmes les limites de notre univers et nous ne lui posons que les questions pour lesquelles nous avons des réponses ! Si notre rapport au savoir est en crise – ce dont je ne suis pas sûr – ce n’est pas parce que nous démissionnons, mais que nous faisons évoluer (très lentement) la dimension de porteur isolé du savoir vers une conception plus collaborative de type wiki.
A terme un rééquilibrage entre contrôle humain et contrôle informatisé est-il souhaitable ?
Contrairement aux articles qu’on lit parfois, je ne vois pas pourquoi nous devrions avoir peur des algorithmes, y compris ceux des traders. Dès lors qu’on reconnaît qu’il n’y a pas d’un côté les hommes et, de l’autre, les machines (et/ou les animaux), mais un collectif socio-technique qui évolue et se modifie, parfois de manière algorithmique, parfois de manière événementielle. Le problème n'est pas de rétablir un contrôle humain : il est simplement d’expliciter les conditions d’exercice des programmes d’action.
Voyez même en management le développement des "architectures peer to peer", qui permettent de construire de manière décentralisée et fiable des bases de connaissances. Dans ces architectures, chaque pair (centre de recherches, entreprise...) partage la base de connaissance avec les autres pairs. Il peut modifier cette base. Les modifications sont alors propagées sur le réseau et sont intégrées pour chacun des pairs par l’utilisation d’algorithmes de synchronisation adaptés.
Quelques histoires ont le pouvoir de nous captivent plus que ceux qui restent en suspens. Codes, des puzzles et énigmatique de l'art public nous taquiner avec leur intrigue: Pourquoi leur message codé ? Que de grands secrets peuvent-ils se cacher ? Malgré les efforts de nos historiens les plus savants, habiles cryptographes et chasseurs de trésors les plus déterminés, l'histoire regorge d'énigmes qui continuent de nous confondre aujourd'hui. Contes fictifs comme ceux qui figurent dans "The Da Vinci Code" et le film "National Treasure" n'ont rien à ces énigmes de la vie réelle. Voici notre liste de 10 des plus énigmatiques du monde mystères non résolus et des codes. (Texte: Bryan Nelson)
Tout ce que les banques ont encore sous le capot pour nous faire resombrer dans la crise de l’euro...
En décembre 2011, et en février 2012, la BCE a très massivement aidé le secteur bancaire de la zone euro via des crédits bon marché à trois ans. Ces prêts peuvent être remboursés par anticipation au bout d'un an, ou à partir du 30 janvier de cette année. Bilan. Publié le 20 janvier 2013
La Banque centrale européenne (BCE) est intervenue il y a maintenant un an pour sauver les banques de la zone euro. Quel bilan pouvons-nous établir ? Quels risques latents peut-on identifier ? Quelles sont les solutions ? Bilan En décembre 2011, et en février 2012, la BCE a très massivement aidé le secteur bancaire de la zone euro : plus de 1 trillion d’euros. Il s’agissait de crédits bon marché à trois ans pour encourager les banques à financer l’économie. On parle aussi de LTRO ou Long Term Refinancing Operations. Aussi, ces prêts peuvent être remboursés par anticipation en quelque sorte, avant l’échéance de trois ans. Ceci peut à priori paraître rassurant et renforcer l’euro. D’après Hans Redeker de Morgan Stanley’s Global Head of FX Strategy, 200 milliards d’euros vont être remboursés par les banques européennes très bientôt, un an après le sauvetage à 3 ans ! 80 milliards viendraient des banques françaises : une bonne nouvelle pour nos banques. 30-40 billions pour les banques espagnoles et italiennes réunies. Ajouté à la récente tranche d’aide du Mécanisme Européen de la Stabilité en faveur des banques espagnoles, 100 milliards d’euros pour de la recapitalisation, on peut presque dire que le secteur bancaire espagnol est sauvé même si cette aide n’est pas perçue immédiatement. Risques latents Du coup une idée simple apparaît : certaines banques, celles qui peuvent rembourser au bout d’un an, seraient en meilleure santé par rapport aux autres. Et cela comporte aussi un risque car l’activité bancaire est très fondée sur la réputation et la confiance. Certaines banques vont apparaître davantage dépendantes d’un sauvetage et donc de la BCE notamment celles qui ne remboursent pas au bout d’un an. Les banques précoces, elles, seront prioritaires dans le refinancement par les marchés ou par l’interbancaire. Voilà une nouvelle source de divergence structurelle négative, puisque sans grand étonnement ce sont plutôt les banques des pays sans croissance qui vont en pâtir. Quand on sait que le financement de l’économie est essentiel à la reprise de la croissance…
Ceci n’est pas forcément une bonne nouvelle non plus pour la BCE puisque cette dernière pourrait être amenée à aider les banques qui n’arrivent pas à rembourser assez vite. Du coup, pour les banques les plus fragiles, cela pourrait conduire à une course à la cession d’actifs et à la réduction des bilans afin de compenser ce qu’elles n’ont pas en termes de capacité de remboursement.
Les banques comme Banco Santander ont vendu des entités en Amérique latine pour obtenir du cash rapidement. Ceci prouve une chose. Pour les banques incapables de rembourser les LTRO à 3 ans au bout de un an, la réduction des actifs et donc le mouvement de cessions montre un risque de credit-crunch. Solutions
Si les marchés pour l’instant apparaissent calmes, le levier maintenant à la reprise du secteur bancaire est la croissance économique. A ce titre, il n’est pas possible d’avoir des banques fortes avec des pays fragiles. Enfin, le sujet phare, la croissance économique, résume finalement tout. Ceci est vrai pour le secteur bancaire comme pour le reste. Une autre solution à ce défaut structurel de cessions d’actifs et de réduction de la taille des bilans pour les banques les plus fragiles ne parvenant pas à rembourser les LTRO plus vite que les autres, est peut-être d’envisager une baisse des taux d’intérêt de la BCE. Cela pourra-t-il être favorable à une baisse des tensions sur la liquidité des banques les plus fragiles ? Le problème est que les manipulations des taux directeurs de la BCE n’éliminent en rien les divergences structurelles de la zone euro et c’est bien là le problème.
La faillite des États-Unis Publié le: Janvier 20th, 2013
États-Unis Congressional Record, Mars 17, 1993 Vol. 33, page H-1303 Président-Rep. James Traficant, Jr. (Ohio) s'adressant à la Chambre:
"Monsieur le Président, nous sommes ici dans le chapitre 11 .. Les membres du Congrès sont les dépositaires officiels qui président à la plus grande réorganisation d'une entité en faillite dans l'histoire du monde, le gouvernement américain. Nous sommes énonçant espérons-le, un modèle pour notre avenir. Il y en a qui disent que c'est un rapport du coroner qui mènera à notre perte.
C'est un fait établi que les États-Unis Gouvernement fédéral a été dissous par la loi sur les banques d'urgence, Mars 9, 1933, 48 Stat. 1 de la loi publique 89-719, a déclaré le président Roosevelt, qui est en faillite et d'insolvabilité. HJR 192, 73 ème Congrès de la session Juin 5 m, 1933 - Résolution conjointe de suspendre l'étalon-or et abroger la clause or dissous l'autorité souveraine des Etats-Unis et les capacités officielles de tous les bureaux gouvernementaux des États-Unis, les dirigeants, et les départements et une preuve supplémentaire que les États-Unis Gouvernement fédéral existe aujourd'hui de nom seulement.
Les récepteurs de la faillite des États-Unis sont les banquiers internationaux, par l'intermédiaire de l'Organisation des Nations Unies, la Banque mondiale et le Fonds monétaire international. Tous les bureaux des États-Unis, les officiels et les départements fonctionnent maintenant dans un état de fait que de nom en vertu des pouvoirs de guerre d'urgence. Avec la forme républicaine de gouvernement constitutionnel, aujourd'hui dissoute, les récepteurs de la faillite ont adopté une nouvelle forme de gouvernement aux États-Unis. Cette nouvelle forme de gouvernement que l'on appelle une démocratie, qui est un ordre établi socialiste / communiste sous un nouveau gouverneur pour l'Amérique. Cette loi a été institué et établi par le transfert et / ou de placer le Bureau du secrétaire du Trésor à celle du gouverneur du Fonds monétaire international. Public Law 94-564, page 8, Section des ressources humaines 13955 se lit en partie: «Le Secrétaire du Trésor américain ne reçoit aucune rémunération pour représenter les États-Unis ?
L'or et l'argent étaient un tel argent puissant lors de la fondation des États-Unis d'Amérique, que les pères fondateurs ont déclaré que seules des pièces d'or ou d'argent peut être «argent» en Amérique. Depuis la monnaie d'or et d'argent était lourde et peu pratique pour un grand nombre de transactions, elles ont été stockées dans des banques et un chèque avait été déposée en tant que substitut de l'argent. Les gens ont échangé leurs coupons d'argent, ou la «monnaie». La monnaie n'est pas l'argent, mais un substitut de l'argent. Monnaie rachetables doivent s'engager à payer un équivalent en dollars dans la monnaie d'or ou d'argent. Federal Reserve Notes (FRN) ne font aucune de telles promesses, et ne sont pas «l'argent». Une note Réserve fédérale est un titre de créance du gouvernement fédéral des États-Unis, et non pas "l'argent ? Le gouvernement fédéral des États-Unis le gouvernement et le Congrès américain ne sont pas et n'ont jamais été autorisés par la Constitution des États-Unis d'Amérique à émettre la monnaie d'aucune sorte, mais seulement l'argent licite, d'or et d'argent pièce de monnaie.
Il est essentiel que nous comprenions la distinction entre l'argent réel et le remplacer par du papier-monnaie. On ne peut pas devenir riche en accumulant des substituts de monnaie, on ne peut obtenir plus profondément dans la dette. Nous, les gens n'ont plus de «l'argent». La plupart des Américains n'ont pas été payés tout «argent» pour un temps très long, peut-être pas dans leur vie entière. Maintenant, comprenez-vous pourquoi vous vous sentez brisé ? Maintenant, vous comprenez pourquoi vous êtes «en faillite», ainsi que le reste du pays ?
Federal Reserve Notes (FRN) sont des chèques non signés écrits sur un compte fermé. FRN sont un système papier gonflable conçu pour créer de la dette par l'inflation (dévaluation de la monnaie). Si jamais il y a une augmentation de la fourniture d'un substitut de l'argent dans l'économie sans une augmentation correspondante de la garantie en or et en argent, l'inflation se produit.
L'inflation est une forme invisible de la fiscalité que les gouvernements irresponsables infligent à leurs citoyens. La Banque de la Réserve fédérale, qui commande l'alimentation et le mouvement des FRN a tout le monde dupe. Ils ont accès à une quantité illimitée de FRN, en ne payant que pour les frais d'impression de ce dont ils ont besoin. FRN sont rien de plus que des billets à ordre pour les titres du Trésor américain (T-Bills) - une promesse de payer la dette à la Banque de la Réserve fédérale.
Il y a une différence fondamentale entre «payer» et «décharge» d'une dette. Pour payer une dette, vous devez payer la valeur ou de la substance (c.-or, l'argent, le troc ou une marchandise). Avec FRN, vous ne pouvez acquitter une dette. Vous ne pouvez pas payer une dette avec un système de monnaie de la créance. Vous ne pouvez pas réparer une dette avec une monnaie qui n'a pas de dossier de la valeur ou de la substance. Aucun contrat de droit commun n'est valable que si elle implique un échange de «contrepartie valable et précieuse." Dette impayable transfère la puissance et le contrôle de la structure du pouvoir souverain qui n'a aucun intérêt dans l'argent, le droit, l'équité ou de la justice, car ils ont déjà tant de richesses.
Leur désir est de pouvoir et de contrôle. Depuis la création de la banque centrale, ils ont contrôlé les destinées des nations.
Le Federal Reserve System est basé sur le droit canonique et les principes de la souveraineté protégés par la Constitution et le Bill of Rights. En fait, les banquiers internationaux ont utilisé un "droit canonique Trust» comme leur modèle, ajouter du bouillon et de nommer un «Trust anonyme." Le Congrès américain a adopté une loi rendant illégal pour tout engagement juridique «personne» pour dupliquer une «fiducie anonyme" en 1873. Le Federal Reserve Act a été votée a posteriori (à 1870), bien que post-rétroactivité des lois sont strictement interdits par la Constitution. [01:09:03]
Le Federal Reserve System est une structure du pouvoir souverain séparé et distinct du gouvernement fédéral des États-Unis. La Réserve fédérale est un prêteur maritime, et / ou de preneur ferme assurance maritime vers les États-Unis fédérale opérant exclusivement sous l'Amirauté / Droit maritime. Le prêteur ou de preneur ferme qui supporte les risques, et la loi maritime convaincante performance spécifique dans le paiement de l'intérêt ou des primes sont les mêmes.
Biens du débiteur peuvent également être hypothéqué (à quelque chose en gage à titre de garantie sans prendre possession de celui-ci.) En garantie par le prêteur ou de preneur ferme. Le Federal Reserve Act stipule que l'intérêt sur la dette devait être payée en or. Il n'y avait aucune stipulation dans le Federal Reserve Act jamais payer pour le principe.
Avant 1913, la plupart des Américains appartenant titre clair et allodiale à la propriété, libre et quitte de tout privilège ou hypothèque jusqu'à ce que le Federal Reserve Act (1913)
«Hypothéqué» tous les biens aux États-Unis fédéral au Conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale, dans laquelle l'administration (actionnaires) détenait le titre juridique. Le citoyen américain (locataire, le franchisé) a été enregistrée en tant que «bénéficiaire» de la fiducie par l'intermédiaire de sa / son certificat de naissance. En 1933, les États-Unis fédéral ont hypothéqué toutes les propriétés actuelles et futures, des actifs et du travail de leurs «sujets», le 14 ème amendement citoyen américain, le Federal Reserve System.
En retour, la Réserve fédérale a décidé de prolonger le gouvernement fédéral des États-Unis société dont tout le «substitut de l'argent« crédit dont elle avait besoin. Comme tout autre débiteur, le gouvernement fédéral des États-Unis le gouvernement a dû céder garantie et la sécurité de leurs créanciers comme condition du prêt. Puisque les États-Unis n'ont fédéral détient pas d'actifs, ils ont attribué la propriété privée de leurs «esclaves économiques», les citoyens des États-Unis à titre de garantie contre la dette impayable fédéral. Ils ont également promis des territoires non constitués en municipalités fédérales, nationales forêts des parcs, des certificats de naissance et les organisations à but non lucratif, à titre de garantie contre la dette fédérale. Tout a déjà été transféré à titre de paiement pour les banquiers internationaux.
Sans le savoir, l'Amérique est revenue à son niveau d'avant-Révolution américaine, les racines féodales où toutes les terres sont détenues par un souverain et le peuple n'avait aucun droit de détenir un titre de propriété allodiale. Encore une fois, nous les gens sont les fermiers et les métayers location de notre propriété d'un souverain sous les traits de la Federal Reserve Bank. Nous, les gens ont échangé un maître à un autre.
Ce qui s'est passé pendant plus de 80 années sans la «connaissance éclairée» du peuple américain, sans voix protester assez fort. Maintenant, il est facile de comprendre pourquoi l'Amérique est fondamentalement en faillite.
Pourquoi ne pas davantage de personnes propriétaires de leurs biens pure et simple ?
Pourquoi sont 90% des Américains hypothéqués à la poignée et possèdent des actifs peu ou pas d'après toutes les dettes ont été payées ? Pourquoi faut-il se sentir comme vous travaillez plus en plus difficile et de moins en moins ?
Nous récoltons ce qui a été semé, et les résultats de notre récolte est une faillite douloureuse, et une forclusion sur l'immobilier américain, les libertés précieuses, et un mode de vie. Peu de nos représentants élus à Washington, DC ont osé dire la vérité. Les Etats-Unis fédéral est en faillite. Nos enfants hériteront de cette dette impayable, et la tyrannie de faire respecter la payer.
L'Amérique est devenue tout à fait faillite en position de leader mondial, le crédit financier et sa réputation de courage, la vision et les droits de l'homme. Il s'agit d'une guerre non déclarée économique, la faillite et l'esclavage économique de l'ordre le plus corrompu ! Réveillez l'Amérique ! Reprenez votre pays. "
Quand l’Etat nous fait payer pour 5 milliards d’expérimentations douteuses d’EDF sur les énergies renouvelables
D'ici 2018, l'Etat (donc le contribuable) reversera la coquette somme de 5 milliards d'euros à EDF pour lui rembourser les sommes engouffrées dans les énergies "renouvelables", c’est-à-dire l’éolien et le photovoltaïque.
L'État n’a plus d’argent ? C’est la crise ? Ne vous inquiétez pas: chaque poste de dépense sera ausculté et le budget sera calculé au million d’euros près. Toutes les économies possibles seront faites, si, si, vous allez voir. Et à part ça, le contribuable va filer quasiment 5 milliards d’euros à EDF pour contrecarrer le réchauffement climatique qui n’en finit pas de ne pas venir. Oui. Vous avez bien lu : d’ici 2018, l’État va, ou plutôt vous allez donner 5 milliards d’euros, en plus de ce que vous payez déjà pour votre facture énergétique, en plus des subventions normales qui sont déjà déversées à l’opérateur historique. Et cette jolie somme à dix chiffres sera payée à EDF pour lui rembourser les sommes engouffrées dans les énergies "renouvelables", c’est-à-dire l’éolien et le photovoltaïque qu’EDF s’est engagé à acheter aux prix fort.
Eh oui ! Rappelez-vous : en l’échange d’une garantie de cours de rachat du kWh, l’État a favorisé le photovoltaïque et l’éolien et permis à plein de gogos contribuables ou d’entrepreneurs malins de réduire leur facture énergétique, voire de palper de juteuses rentrées. Là où ça devient comique, c’est qu’ensuite, EDF est allé pleurnicher à l’Etat parce que bon, racheter de l’éolien à un prix artificiellement élevé, cela fait tout de même pas mal de manque à gagner, d’autant que ce n’est pas exactement une électricité facile à fourguer par les temps qui courent. La mécanique financière à l’œuvre peut être résumée avec ce joli petit graphique rigolo:
- voir graphique sur site -
On comprendra que bien évidemment, les sommes ne se compensent en rien. Et, magie de l’intervention étatique, personne n’y trouvera son compte au final. Mathématiquement, comme il faut que tous ces montants voyagent, ce sont bien les intermédiaires (financiers notamment) qui, eux, vont récupérer les miettes et faire du bénéfice sur les opérations. L’Etat perd de l’argent, EDF perd de l’argent, et le contribuable, pris dans son ensemble, perd de l’argent. C’est tellement vrai que sinon, EDF ne serait pas en déficit, et l’Etat n’accumulerait pas de la dette comme un gros pachyderme des ecchymoses après une séquence de rock endiablé. Et de façon toujours évidente, si l’écrasante majorité des contribuables se fait flouer, il faut bien comprendre que quelques uns, qui ont compris de quel côté du bâton il faut se trouver, s’en sortent plus qu’honorablement. En substance, toute l’opération "Vendons du panneau photovoltaïque à Mamie Germaine", pour quelques politiciens lourdement impliqués dans les entreprises de panneaux solaires, et toute l’opération "Un Joli Moulin à Vent dans le jardin de Tonton René", pour quelques lobbyistes bien implantés dans l’éolien écofestif, sont largement bénéficiaires.
C’en est presque grotesque tellement c’est évident, mais l’opération visant à favoriser les énergies "écologiques" mise en place en France (et dans pas mal d’autres pays) est une vaste escroquerie fumistoïde dont le but aura été d’utiliser le levier étatique pour ponctionner un maximum de contribuables, d’une façon ou d’une autre, afin d’en enrichir quelques uns, très peu nombreux, politiquement sélectionnés. Et, cerise sur le gâteau, tout ceci est planqué sous l’argument maintes fois entendu de "la filière renouvelable, réservoir d’emplois d’avenir" alors que le calcul ne laisse aucun doute : à ces 4.9 milliards d’euros nécessaires au remboursement des frais engendrés par les renouvelables sur 6 ans (soit 816 millions à l’année), il faut ajouter le coût de la taxe CSPE (8% de la facture, en France). Le Chiffre d’Affaire d’EDF en France se monte à 36.6 milliards d’euros en 2011, ce qui établit le coût total des renouvelables à 3.7 milliards d’euros à l’année. Sur les cinq dernières années, il est raisonnable de penser que le coût total des expériences ludiques dans le renouvelable se monte donc à plus de 18.7 milliards d’euros. En face, différents documents permettent d’établir le nombre d’emplois créés péniblement à 59.000 en 2012 (et alors même qu’on enregistre une baisse). Ceci nous fait donc un coût de 316.000 euros par emploi créé pour la collectivité, et donc le contribuable. Une paille.
Et la situation va empirer. En effet, on apprend dans la foulée que non seulement, le contribuable va devoir rembourser, par le truchement de l’État (qui va se servir au passage, hein), les sommes qu’il a touchées pour mettre des bidulotrons dans son jardin et sur son toit, mais en plus, l’ensemble de l’opération est purement ponctuelle et n’assure en rien que le financement de ces usines à non-gaz tienne la route dans le futur. Et comme on le sait, le gouvernement va bientôt lancer — parce qu’il n’a rien d’autre sur le feu — un grand Débat National sur la transition énergétique qui devrait déboucher, aux forceps et dans la plus parfaite opacité qu’on peut déjà imaginer, sur une "réforme" des énergies renouvelables, avec en prime la fermeture de centrales nucléaires.
Pour rappel, l’Allemagne a choisi ce petit chemin qui sent la noisette, y a trottiné et a fait exploser ses factures énergétiques, tout en multipliant la production de centrales thermiques conventionnelles, ce qui est un magnifique double-fail caractéristique de ces politiques démagogiques débiles basées sur du vent écologique boboïde : une production qui pollue, un carburant (le charbon) qui provoque plus de morts en 1 an (directs et indirects) que le nucléaire n’en a provoqué en 50 ans d’exploitations, des factures qui chatouillent l’absurde, voilà une magnifique combinaison d’échecs cuisants.
En France, pour le moment, on n’a pas encore fermé Fessenheim, mais on comprend bien l’intérêt de déjà mobiliser la fine fleur de l’écologie de combat pour museler les quelques réalistes qui, calculs faits, voient bien que le gaz de schiste pourrait par exemple nous éviter de continuer à subventionner bruyamment les dictatures du Golfe ou les régimes douteux du Maghreb. Il est en effet impératif de faire taire ceux qui voient bien que l’écologie mal comprise et mal appliquée est en train de coûter bien plus que quelques euros supplémentaires tous les mois sur la facture EDF. Si l’on factorise les règlements idiots voire criminels qui sanctionnent ceux qui ont l’indécence de se débrouiller hors de sentiers battus, on obtient une image fidèle d’un pays qui va, chaque hiver, bien comprendre ce que "se peler les miches grave" veut dire.
Alors que les Allemands ont déjà pris conscience de l’énorme bêtise qui aura présidé à l’arrêt des centrales nucléaires, il est grand temps que les Français se réveillent de leur léthargie alter-comprenante, entretenue par un calcul purement politicien bien pratique pour certains tartuffes. Cette manipulation est d’ailleurs habilement basée sur l’esprit du moment, mélange subtil entre le babacool / new age utopique d’un monde meilleur où le dépouillement, pardon, la décroissance est à la fois fun, désirable et inévitable, et cette étrange certitude judéo-chrétienne que disposer ainsi de facilités de vie en fournissant toujours moins d’efforts est un péché capital, une insulte à la Nature ou à la nécessaire âpreté de la vie, qui se fait obligatoirement au détriment de quelqu’un ou de quelque chose, même si les faits objectifs prouvent le contraire. Le rationnel n’a plus cours : il faudra décroître, il faudra de lourdes factures qui seront utilisées comme autant de cilices pour expier la faute de vivre dans l’opulence. Le gaz de schistes sera combattu non pour ses éventuelles pollutions (qui sont, à ce jour, toujours à prouver), mais précisément parce qu’il apporterait l’indépendance énergétique de la France, de l’énergie à bon marché et que c’est intrinsèquement mal puisqu’agréable.
EDF obtiendra donc ses remboursements. Fessenheim sera fermé. Le nucléaire français périclitera doucement. Le gaz de schiste ne sera pas exploité. Les gens auront froid en hiver, trop chaud en été, et paieront une fortune pour rouler en voiture. Les factures grimperont au plafond. Ce pays est foutu.
Vaste escroquerie mise en place par Al Gore avec son faux 'Global Warming'. Alors qu'en réalité notre planète se trouve en zone trentenaire de refroidissement ! (2005/2035).
Ils ont demandé (avec grosse campagne de pub financée par le contribuable) au contribuables de mettre de coûteux panneaux photovoltaïques sur leurs toits: résultat des courses: amortissable en 1500 ans. Durée de vie: 10/15 ans !! Hahaha ! Si l'EdF était sûre que çà marche, ils auraient déjà acheté xxx milliers d'hectares pour y mettre leur exemple inouï ! Mais, pas cons, ils ont demandé aux autres !!!
Ainsi, aujourd'hui, le contribuable paie 2 fois la facture ! 1 nucléaire et 1 solaire/éolien ! (éoliennes à 1 milliard/pièce !!)
Mercredi dernier, la Bundesbank a publié une déclaration à l'effet que 300 tonnes d'or de l'Allemagne seront déplacées de New York et de 374 tonnes de Paris. Cela devrait être une opération simple: chemin de fer ou les camions de Paris, et un peu de cargaisons militaires (ou bateaux) de l'Amérique - dès qu'ils ont un endroit pour le stocker.
Au lieu de cela ils envisagent de le faire au cours des sept prochaines années, ce qui est un report. Cela tend à confirmer les soupçons que l'or n'est pas réellement d'exister. Comme une question secondaire, ainsi que la déclaration Bundesbank est un téléchargement PDF avec 14 numéro de la diapositive intitulée «Stockage à la Federal Reserve Bank de New York". Il ressemble à un photomontage plutôt que de l'or véritable, et le come-on, c'est de croire que c'est la Bundesbank a. Cela donne le match à l'extérieur: l'exercice est un coup de relations publiques.
Pourquoi tenir de l'or à New York de nos jours ? Les Soviétiques ne sont plus menaçant la passe de Fulda. Oui, New York est évidemment toujours un lieu de négociation critique, mais pas pour l'or physique - la Bundesbank a apparemment retiré 940 tonnes de la Banque d'Angleterre en 2000, où le marché physique est en fait situé.
La raison pour laquelle ce qui importe est que l'analyse déductive indépendante a conclu que les banques centrales ont été d'approvisionner le marché avec des lingots physiques afin de supprimer le prix, tout ce qui est soit officiellement nié ou reste sans réponse. L'origine de la compression des prix fait remonter aux années 1990, et a été exposé par Frank Veneroso dans un article publié en 1998, confirmé par un travail de détective à partir de notre propre Turk James, et triplement confirmée par les réponses évasives sur cette question donnée par les banques centrales et le FMI à la Gold Anti-Trust Action Committee (GATA). Le public n'est pas conscient de ce problème parce que les médias grand public, avec l'exception occasionnelle, refusent d'enquêter sur le sujet.
Mais voici quelque chose qui rejoint quelques points de plus. Nous savons que Gordon Brown a vendu la moitié de l'or de Grande-Bretagne à la base du marché de 1999 à 2002. Nous supposons que souvent il était juste incompétent. Ce qui n'est pas souvent apprécié, c'est qu'il a appris son économie de Ed Balls, le Chancelier de l'ombre en cours. Comme son conseiller économique, Balls a été le marionnettiste et la marionnette chancelier Brown. Ed Balls a aussi été un ami proche de Larry Summers, qui était secrétaire adjoint américain au Trésor à partir de 1995, puis Secrétaire au Trésor de 1999 à 2001 - le temps des ventes d'or de Grande-Bretagne. Comme le secrétaire au Trésor Summers était à la tête du Fonds de stabilisation des changes, le mécanisme du gouvernement américain pour fournir des lingots sur les marchés. A la lumière de ces relations très keynésienne de milieu des années 1990, il est peu probable que M. Brown a agi de manière isolée. Plus que probablement, Washington a également approvisionné le marché grâce à des swaps et des contrats de location qui n'ont jamais été enregistrés comme des changements de propriété.
Le résultat net est qu'il n'y a pas assez d'or physique laissé dans le coffre pour livrer à l'Allemagne, ce qui explique pourquoi ils sont à gagner du temps. Ce qui nous a été présenté mercredi dernier était juste une tentative désespérée d'arrêter toute la question de plus en plus publique.
Le grand aveuglement : pourquoi ne voyons-nous pas que le Mali n'est qu'un épisode d'une Guerre mondiale déclenchée il y a 30 ans ?
La guerre djihadiste internationale est déclarée depuis 1979, date de l'invasion soviétique de l'Afghanistan.
Au-delà de ce qui se passe encore sur le site d’In Amenas, au-delà de l’avancée des troupes françaises - qui ne sont plus seules, contrairement à ce que prédisaient certaines Cassandres - au Mali, apparaît dans toute sa clarté un fait que la conjonction des aveuglements, des renoncements et des alibis avait caché depuis au moins trente ans, à savoir qu’il s’agit d’une guerre djihadiste internationale déclarée par les djihadistes eux-mêmes et cela depuis 1979, année charnière. Cette année-là, en effet, verra l’invasion soviétique de l’Afghanistan et sa conséquence majeure : la formation des brigades internationales de l’islamisme, avec notamment, dans ses rangs, un certain Oussama Ben Laden et, de l’extérieur, l’aide des Etats-Unis focalisés alors sur la lutte contre Moscou, considérée encore comme l’ennemi principal. Dans le même temps, l'ayatollah Khomeini, logé, nourri et blanchi par Giscard, va créer la première république islamique des temps modernes. Enfin, action beaucoup moins remarquée mais encore plus significative : la prise de la grande mosquée de la Mecque - lieu sacré de l’Islam - par des salafistes radicaux qui accusent le régime saoudien de trahir Allah. Il faudra l’intervention du GIGN français pour mettre fin - dans le sang - à cette agression. Depuis, à Londres comme à Madrid, au Kenya comme à Bali, à Marrakech comme à Toulouse, précédée et couronnée évidemment par le 11 septembre 2001 à New York, la guerre des intégristes contre les infidèles se poursuit sur tous les fronts, ne faisant aucune différence entre Arabes et Européens, Russes et Américains, Chinois et Indiens, civils et militaires, adultes et enfants. Les buts sont avoués, cohérents et explicites : restaurer le Califat aboli en 1924 par ce traître d’Ataturk, après la chute de l’empire ottoman, reconstruire la nation islamique avec l’application totale de la charia, reconquérir les terres européennes abandonnées aux mécréants à la fin du XVème siècle. Aux autruches qui ne voulaient rien voir ni rien entendre, il suffisait depuis longtemps d’écouter un certain nombre de télévisions satellitaires du Moyen-Orient, pour connaître quotidiennement l’énoncé du programme.
Peu importe dès lors les oiseuses discussions sur l’identité de l’état-major : Al-Qaïda n’est qu’une des expressions de cette idéologie totalitaire, et a depuis longtemps franchisé la marque en des myriades de labels qui œuvrent ici ou là, en Europe comme au Sahel, au service du même objectif. Que nous le voulions ou non, cette guerre mondiale bat son plein et ne s’arrêtera pas de si tôt, parce qu’elle n’a rien à voir avec les précédents conflits internationaux. Certains raisonnent encore avec les lunettes de 40-45 ou de la Guerre froide. N’en déplaise aux nostalgiques de l’anti-colonialisme d’il y a un demi siècle, cette guerre asymétrique oppose, bien au-delà des dictatures corrompues et des régressions organisées, tous ceux - musulmans, chrétiens, juifs, athées ou agnostiques - qui mettent la liberté et les droits humains au-dessus de tout, et ceux qui veulent instaurer le nouvel ordre totalitaire. C’est pourquoi le Mali et In Amenas ne sont que les épisodes d’un feuilleton dont on est loin de connaître la fin.
Sunday, Janvier 20, 2013 Andy Hoffman sur l'or, l'argent, la monnaie fiduciaire et la fin de la Réserve Dollar Avec Anthony Wile1
The Bell quotidien est heureux de vous présenter cette interview exclusive avec Andy Hoffman.
Introduction: Andrew ("Andy") Hoffman, CFA s'est joint à Miles Franklin en tant que directeur du marketing en Octobre 2011. Pendant une décennie, il a été aux États-Unis buy-side et sell-side analyste, notamment en tant qu'analyste II-classé huile de service chez Salomon Smith Barney, de 1999 à 2005. Depuis 2002, son accent a été mis entièrement sur ??les métaux précieux , et depuis 2006, a écrit missives libres en ce qui concerne l'or, de l'argent et de la macroéconomie sous le nom de "Ranting Andy." Avant de rejoindre la société, il a travaillé cinq ans en tant que relations avec les investisseurs un dirigeant ou consultant pour de nombreuses sociétés minières. Une archive de "Andy" SUBVENTIONS peuvent être trouvées sur le Blog Miles Franklin.
Daily Bell: S'il vous plaît vous présenter à nouveau. Dites à nos lecteurs comment vous avez atterri à Miles Franklin et ce que vous faites pour eux.
Andy Hoffman: Tout en travaillant à Wall Street, j'ai appris des métaux précieux en 2002. Je suis ensuite allé "all in" pour le secteur, et avec diligence moi-même appris à ce sujet dans la préparation de «changer de carrière" à partir de l'énergie pour les métaux précieux. J'ai commencé à travailler cinq ans comme agent de relations avec les investisseurs et consultant pour des dizaines de petites sociétés minières, mais dans les missives gratuit que j'ai publié, je suis devenu de moins en moins séduits par «Placements PM PAPIER" comme les actions minières, et plus encore dans la vraie chose. Ainsi, lorsque j'ai eu l'opportunité de rejoindre Miles Franklin - l'un des plus importants du pays, courtiers en lingots les plus respectés - en tant que Directeur Marketing, j'ai fait le bond.
Daily Bell: Nous allons revenir sur une partie du terrain avant de se pencher en avant. La dernière fois, vous nous avez dit que les banquiers ont utilisé leur «effet de levier» dans l'économie depuis des milliers d'années, la négociation des positions de pouvoir au sein du gouvernement que nous avons aujourd'hui. Est cette tendance s'aggrave ou mieux ?
Andy Hoffman: Malheureusement, il est aussi mauvaise qu'elle l'a jamais été. Non pas tant à cause de l'influence des banquiers avoir, mais parce qu'ils ont créé le gargantuesque "Too Big To Fail" structure bancaire qui est presque impossible à briser. En fait, les banksters fait une grande erreur de jugement en tirant leurs fonds de lobbying Obama cette fois-ci, et donnant essentiellement tout cela à Romney. Obama n'est certainement pas heureux à ce sujet, mais comme je l'ai dit, s'il tente de poursuivre ou de blesser ces zombies insolvables, l'économie s'effondrera immédiatement.
Daily Bell: Rappelez-nous ce qu'est un taux d'intérêt négatif et où nous les voyons.
Andy Hoffman: C'est juste que ça en al'air. Les gens ont été tellement peur de perdre de l'argent, ils ont été en train de payer soi-disant «conservateurs» des gouvernements comme la Suisse et l'Allemagne pour stocker des fonds, peut-être dans la "stratégie d'investissement" plus stupide qu'on puisse imaginer. Heck, anti-or propagandistes nous ont dit pendant des années que l'or n'est pas un bon investissement car il ne paie aucun intérêt, et pourtant, dans ce cas, il paie plus d'intérêts que certains liens !
Daily Bell: Pensez-vous toujours que le monde sera à court d'or ?
Andy Hoffman: Tout comme " pic pétrolier "et d'autres" de pointe "analyses des matières premières," l'or pic "théorie est probablement fausse. Cela dit, comme dans l'huile, "pic or pas cher" a clairement été adoptée. Grandes découvertes sont inexistantes, et la teneur du minerai en moyenne plongeant. Sans oublier, pour trouver des gisements considérables, les mineurs sont à explorer plus profondément, et plus dangereux (logistiquement et politiquement) les juridictions. Les coûts d'exploration, développement et production explosent littéralement, et ainsi, seulement à des prix beaucoup plus élevé est-il une chance d'augmentation de la production de matériaux. Rappelez-vous, la production de l'industrie a atteint un sommet de près de dix ans, lorsque les prix d'or étaient un tiers du niveau actuel.
Daily Bell: Mise à jour sur la timeline d'un accident global, s'il vous plaît ...
Andy Hoffman: Je n'ai pas de calendrier précis autre que de constater que les tendances qui ont été mis en place depuis le «pic ère fiat» au tournant du siècle ont empiré d'année en année. Le tout se résume à la confiance que le dollar vaut rien, euros, yens et vont maintenir leur pouvoir d'achat au coeur d'un environnement d'accélérer la faiblesse économique, l'accumulation de la dette, l'inflation et la croissance. Il pourrait très bien être en 2013 - ou TPTB pourrait en quelque sorte «kick les peut« encore quelques années. Mais même s'ils le font, dit TOUS les problèmes continueront de s'aggraver de façon spectaculaire.
Daily Bell: Vous nous avez dit que les banques et les obligations souveraines s'effondrent et toutes les économies mondiales sont en récession. Nous mettre à jour, s'il vous plaît. Faut-il inclure la Chine et de l'Asie ?
Andy Hoffman: Les banques sont encore ZOMBIES, en ce qu'elles sont insolvables mais fortement soutenu par illimitées "QE" injections (comme la Fed politique de l'actuelle "ZIRP" au moins jusqu'à la fin de 2015) et de la comptabilité frauduleuse, comme les modifications des règles du FASB en 2009 qui leur permettent de valoriser leur prêt hypothécaire en train de mourir et les actifs dérivés à quoi les valeurs qu'ils aimeraient. Comme pour les souverains, leurs obligations ont rebondi de soins de régimes draconiens imprimer de l'argent comme la BCE d '«OMT» - Vainqueur de transaction monétaire - plan, annoncé cet été, d'acheter des quantités illimitées d'obligations souveraines européennes avec de l'argent imprimé. Cela a permis de stabiliser les marchés pendant un certain temps, mais toutes les économies du monde sont en forme de façon spectaculaire pire qu'il y a un an. Ainsi, à un moment donné, quelque chose a à donner. En ce qui concerne la Chine, il est presque impossible de mesurer leur économie «force», que les chiffres publiés par le gouvernement rende des Etats-Unis a trafiqué les données économiques regarder crédible.
Daily Bell: La Fed a imprimé des milliards, et nous avons demandé ça avant: Pourquoi ne l'ont pas des banques américaines a publié l'argent qui a été imprimé pour eux par la Fed ? Ont-ils peur de prêter ?
Andy Hoffman: OUI, ils ont peur de prêter, car ils sont insolvables. C'est pourquoi ils prennent la liberté "ZIRP" de l'argent et d'investir dans des bons du Trésor pour profits sans risques à la place. En outre, le consommateur moyen et entreprise se porte si mal, ils ne veulent pas emprunter. Et rappelez-vous, seules les banques obtenir les taux d'intérêt zéro. Pour tous les autres, l'usure est la norme.
Daily Bell: Quels sont les détails de «vérités» économiques non publiés aux Etats-Unis "Ministère de la Vérité" manuels scolaires ?
Andy Hoffman: TOUT. Ils veulent vous faire croire «keynésianisme» est le moyen de prospérer, c'est à dire, le gouvernement devrait contrôler la politique monétaire et budgétaire. L'histoire nous montre gouvernements TOUJOURS vis à la fois les secteurs public et privé lorsqu'il est administré trop de contrôle. Cependant, comme ils écrivent les manuels scolaires, ils vont continuer à nous dire le contraire.
Daily Bell: Vous nous avez dit de «juste attendre jusqu'à ce que la révolution se produit en Arabie" si vous voulez vraiment voir la guerre et l'inflation. Mettez à jour ?
Andy Hoffman: Je n'ai pas vu des mesures particulières en Arabie Saoudite depuis l'été dernier, mais certainement voisin la Syrie pourrait être un important point d'accès 2013. Et n'oubliez pas de Netanyahu d'Israël est en place pour une réélection cette année - avec une plate-forme principale de «faire quelque chose à propos de l'Iran." Une grande partie du Moyen-Orient hait l'Amérique et la pétro-dollar, et ce n'est qu'une question de temps avant que la Maison des Saoud est renversé. Soit dit en passant, je crois que le roi Abdallah est très vieux et malade alors qui sait comment volatile la succession prochaine ?
Daily Bell: Votre principale zone de mise au point est de répandre la parole de la suppression de mesures de prévention via PAPIER nus court-circuit par le gouvernement et ses banques homme de main, comme Goldman Sachs et JP Morgan. Pouvez-vous nous mettre à jour ?
Andy Hoffman: Pire que jamais, et je dis bien le pire que j'ai jamais vu. Apparemment, chaque seconde de la journée de 24 heures commerce mondial propose la suppression PM PAPIER, que j'ai document dans mon blog chaque jour. Que l'urgence de tous les maux du monde - et la banque centrale d'impression d'argent - a augmenté, ils ont dû travailler plus agressive pour maintenir des prix bas. Cela a notamment été le cas depuis dollars à prix d'or a atteint un sommet de tous les temps en Septembre 2011, mais encore, les deux métaux ne cessent d'augmenter, et dans certaines monnaies (comme le yen), l'or est à son plus-haut que nous parlons. Bien sûr, le problème avec la suppression PAPIER, c'est que cela ne s'arrête pas la demande physique - et, en fait, augmente, il en raison de la baisse des prix. En fait, pas plus tard qu'hier [Janvier 17, 2013] l'US Mint a suspendu les ventes de pièces de monnaie aigle d'argent parce qu'il a manqué d'ARGENT.
Daily Bell: Êtes-vous plus ou moins encouragés en ce qui concerne les euros ?
Andy Hoffman: L'euro est aussi défaillant que le dollar à l'heure actuelle, les deux sont de monter et descendre les uns contre les autres, absurdement. En fait, après avoir récente de l'euro déplacement infinitésimal en place, le président de l'Eurogroupe a déjà dit qu'il est inquiet ! En fin de compte, je pense que l'euro doit être dissous, ou au moins reconfiguré sans liens faibles comme les PIIGS.
Daily Bell: Est-ce que l'UE reste dirigée par rupture ?
Andy Hoffman: Par-dessus, absolument. C'est seulement une question de quand le fameux «confiance» dans sa cohésion meurt. En dehors de l'OMT, rien n'a été fait pour corriger l'Europe, qui continue à monter plus profondément dans la récession. Et pas seulement les PIIGS, mais l'Angleterre, la France et l'Allemagne.
Daily Bell: la Russie ?
Andy Hoffman: Je n'ai pas une bonne lecture sur la Russie, mais, étant donné son énorme dépendance sur les exportations de pétrole, je suppose qu'il fait mieux que la plupart. Au moins, le gouvernement, mais je parie que les citoyens opprimés dirais le contraire. Plus important encore, son gouvernement ouest-haine est une alliance avec ses voisins d'Asie et d'acheter d'énormes quantités d'or, de sorte qu'il peut être une grande puissance une fois que le régime actuel fiat meurt.
Daily Bell: Les BRIC économies ? N'est-ce pas l'inflation des ravages en Inde et au Brésil ?
Andy Hoffman: inflation de l'Inde a été si mauvaise que la roupie a plongé à tous les temps-bas ces derniers mois. L'idiot, le gouvernement désespéré tente en fait de décourager l'Inde or épris de la population de posséder de l'or - qui, non seulement ils pensent, mais je sais est la seule monnaie fiable. Leurs efforts vont échouer, car la population ne permettra pas à leurs économies pour être détruites par l'inflation. Quant au Brésil, comme tout le monde, leur «miracle marché émergent» a eu une partie de la brillance pris son envol, ce qui explique pourquoi leur banque centrale vient d'abaisser les taux d'intérêt.
Daily Bell: La Chine est dirigée par un atterrissage brutal ?
Andy Hoffman: Comme je l'ai déjà dit, il est impossible de le dire. En outre, ils ont littéralement des billions de réserves en devises à partir de deux décennies d'énormes excédents commerciaux. Ils mettent ce capital pour travailler dans des projets d'infrastructure qui ne sont pas nécessairement faire des profits, mais certainement garder les gens occupés et permettre à la nation de déclarer "une forte croissance du PIB."
Andy Hoffman: Je n'ai pas de bonne intel sur ces domaines, mais je doute qu'ils font nettement mieux que le reste du monde. En fait, l'Argentine a eu des problèmes majeurs avec contrôle des changes de l'année écoulée, qui sont généralement associés à une activité économique très faible.
Daily Bell: Quelques questions qui se sont produits depuis la dernière fois nous avons parlé ... A évité aux États-Unis sa falaise fiscale ?
Andy Hoffman: Ha ha ha. C'est une bonne chose. Le "deal falaise fiscal» tout simplement augmenté les taxes sur la masse salariale tout, et remettre les dépenses mortelle "séquestrer" de deux mois. Les horreurs exactement la même va se jouer en Février, mais cette fois ils DOIVENT être résolu, ou un certain nombre de choses terribles se jouera - comme dégradations de notation de crédit des États-Unis, les augmentations de taux d'intérêt, les prix de l'or explosent et la confiance réduite du dollar. Et oh, oui, nous avons déjà franchi le plafond de la dette - qui doit être soulevé de peur que l'américain par défaut.
Daily Bell: Est-ce juste une crise made-up et pourquoi ?
Andy Hoffman: Pas du tout. Il ne pouvait pas être plus vrai. C'est maintenant au point parce que le Congrès délibérément "coup de pied la boîte" au-delà des élections de 2012, mais il fut un temps long à venir - 42 ans, pour être exact. En 1971, la nation avait une dette essentiellement ZERO mais quand nous avons abandonné l'étalon-or, il nous a permis de "recharger notre carte de crédit" depuis quatre décennies. Maintenant, il est complet et donc, doit être réglé maintenant.
Daily Bell: Qu'est-ce qui se passe avec le plafond de la dette ? Comment peut-il se fonder pour mettre de côté une fois pour toutes ?
Andy Hoffman: Il ne peut pas. La monnaie fiduciaire est une chaîne de Ponzi, par définition, donc, la dette doit croître de façon exponentielle pour la faire fonctionner. Les États-Unis DOIT relever le plafond de la dette à l'infini (qui finira par céder à l'effondrement de la confiance des ci-dessus). «Taxe triche Timmy" Geithner nous a conseillé de se débarrasser du plafond de la dette complètement, ce qui, si annoncé, pourrait commencer le processus d'hyperinflation immédiatement. Ce serait une des décisions les plus suicidaires politiques de l'histoire américaine.
Daily Bell: La Bundesbank est impliqué dans une opération de rapatriement de l'or. N'ont-ils pas confiance aux Etats-Unis ?
Andy Hoffman: C'est un autre bon. Ils - et la douzaine d'autres pays ainsi dans le processus de rapatriement de l'or à partir des centres CRIME financiers de New York et de Londres - sont terrifiés que lorsque leur pays sans valeur va finalement s'effondrer, ils n'auront pas de l'argent réel à se replier sur. NO ONE confie la Fed, et franchement, je doute que l'or allemand est toujours là, ce qui est probablement pourquoi ils ont promis d'envoyer la Bundesbank un maigre 300 tonnes sur une période de - Wait For It - sept ans.
Daily Bell: La US Mint est à court d'argent, que nous entendons. Est-ce vrai ? Que va faire pour que le prix de l'argent ?
Andy Hoffman: Il est sûr, c'est pourquoi hier, ils ont suspendu indéfiniment toutes les ventes de Silver Eagles. Prix de l'argent devrait aller beaucoup plus élevé en raison, bien que, comme je l'ai dit, le Cartel se disputeront «bec et ongles» avec PAPIER nu court-circuit. Cela dit, la pénurie matérielle fera frauduleuses telles court-circuit très difficile d'avoir une traction à partir.
Daily Bell: Est-Japon hyperinflation ? Est-ce pour cela qu'ils semblent vouloir aller à la guerre avec la Chine ?
Andy Hoffman: Oui. Qu'est-ce qu'ils font en ce moment en vertu de leur «ancien» et «courant» Premier ministre, Shinzo Abe, est de mettre leurs précédentes 20 ans de l'impression de l'argent à la honte. La monnaie s'est effondrée de 15% au cours des quatre derniers mois, et le yen à prix d'or est en pleine explosion de nouveaux plus hauts historiques chaque jour. Prix de l'essence vient de frapper un sommet en 12 mois et le "Land of the Setting Sun" est en grave danger d'enflammer l'hyperinflation. Quant à leur différend avec la Chine, ils devraient être fou pour commencer une guerre avec son voisin plus grand et plus fort.
Daily Bell: Jetons un coup d'oeil à l'américaine. Toujours dirigé vers le bas ?
Andy Hoffman: Il suffit de regarder le rythme de croissance de la dette américaine - qui est passé de l'arithmétique, de Géométriques, pour parabolique - d'évaluer son état de santé. Planche à billets, une mauvaise politique et la migration des emplois manufacturiers à l'étranger ont ravagé l'Amérique. Sa monnaie est le monde le plus surévalué, comme le sont ses obligations. En raison de (fortement abusé) du dollar "statut de monnaie de réserve», l'américaine est le niveau de vie va tomber plus fort que n'importe quelle autre nation.
Daily Bell: Qu'en est-il du dollar ?
Andy Hoffman: Le dollar est le «stock des Etats-Unis», comme dit Jim Sinclair. Et ça va BAS.
Daily Bell: Quelle sera l'or et l'argent aller ? Et à quand ce marché haussier en fin de matières premières ?
Andy Hoffman: En dollars d'aujourd'hui, l'or devrait augmenter à 15.000 $ - $ 20,000 / oz à équilibrer la quantité de l'argent imprimé avec des réserves américaines d'or les gouvernements. Malheureusement, la masse monétaire TRUE est beaucoup plus élevé que publiée, et les réserves d'or TRUE sont beaucoup plus faibles. Et, bien sûr, l'impression de l'argent est seulement accéléré. Quant à l'argent, ces valeurs en or équivalent à 1000 $ - 4000 $ / oz, en fonction de ce que l'or / argent vous assumez rapport. La «fin» du taureau PM devrait être mieux formulé comme la fin de la monnaie fiduciaire ours, ce qui ne se produira après le dollar et les autres grandes monnaies fiduciaires inévitablement l'effondrement (le + 600 devant tout le monde fait).
Daily Bell: Vous attendez-vous le retour de l'étalon-or ? État mandatée ou run marché ?
Andy Hoffman: La seule façon pour se restaurer est de l'argent réel, comme cela a été la leçon de l'histoire, y compris en Amérique. Les autorités finiront par l'institutionnaliser mais je suppose que son émergence est catalysée par les marchés rejetant fausse monnaie en lieu et place de l'argent réel.
Daily Bell: Que doit-on faire maintenant pour protéger leur patrimoine ?
Andy Hoffman: Acheter de l'or et de l'argent PHYSIQUE. Pas des «placements PM PAPIER" comme les actions minières et les ETF, mais la vraie substance.
Andy Hoffman: C'est drôle, je ne me souviens pas faire une telle prédiction. Cela dit, dans les semaines qui ont précédé l'élection, j'ai été très loquace concernant ma conviction qu'il allait gagner. Mon raisonnement était que «c'est l'économie, idiot» ne signifie plus voter sur les titulaires. Au lieu de cela, dans un pays avec un chômage quasi record, une vision faible et un nombre record de citoyens au chômage, il a été peu de doute que la majorité serait tout simplement voter pour celui qui a promis plus de droits.
Daily Bell: Que pouvons-nous attendre d'un second mandat ?
Andy Hoffman: augmenter le contrôle sur l'ensemble des citoyens par des actions draconiennes. Rappelez-vous son commentaire à Medvedev de la Russie, d'avoir plus de "flexibilité" après les élections ? Eh bien, il l'a eu aujourd'hui, et prévoit de faire de nous dans les États socialistes / fascistes de l'Amérique au moment où il s'en va.
Daily Bell: Êtes-vous à tous les optimistes quant aux perspectives aux États-Unis ? Les gens devraient aller ailleurs ?
Andy Hoffman: Je ne suis pas du tout optimiste quant aux perspectives économiques des Etats-Unis. Je crois que les choses vont devenir bien pire, surtout si des réductions de dépenses fiscales sont promulguées falaise (mais ne soyez pas surpris si elles ne sont pas). Toutefois, le déménagement est une étape importante à prendre - d'autant plus que tant d'autres nations se battent aussi, beaucoup d'entre eux détestent les Américains. Parfois, le «diable vous savez" est mieux que "le diable vous ne savez pas», alors soyez très prudent à propos envisage une telle étape.
Daily Bell: Est-ce que la situation de l'emploi ?
Andy Hoffman: Difficile de voir que cela se produise, étant donné les vents contraires qui font rage de la récession plus forte raison si cette réduction des dépenses fiscales falaises se produire, ce qui permettrait de réduire considérablement l'emploi. Le gouvernement continuera à truquer les chiffres NFP mais ne sera pas en mesure de masquer les tendances sous-jacentes. Plupart des nouveaux emplois sont dans le groupe d'âge + 55, et beaucoup sont soit temporaire ou le salaire minimum. Les emplois manufacturiers ont disparu pour de bon - fin de l'histoire.
Daily Bell: Est des États-Unis devient moins libre en général ?
Andy Hoffman: Plus encore chaque jour. George Bush a rendu des ordonnances exécutives plus que les 15 précédents présidents réunis, et Obama atteint le niveau de Bush en seulement quatre ans, avant que les 23 commandes de contrôle des armes liées à cette semaine. Certains sont extrêmement dangereux, comme la National Defense civile EO Ressources publié en Mars 2012, et je crains que les choses vont devenir bien pire, en parallèle avec l'affaiblissement de l'économie et du dollar.
Daily Bell: Doit-on cesser de s'armer nous-mêmes ?
Andy Hoffman: Absolument pas. Le deuxième amendement a été créé pour protéger les citoyens contre les gouvernements tyranniques, ce qui est exactement ce que nous voyons ici. En outre, comme s'aggravent inflation, le chômage et la pauvreté, vous pouvez compter sur la criminalité accrue ainsi.
Daily Bell: Est-ce que l'Internet continue à progresser ?
Andy Hoffman: L'Internet est la plus grande invention du siècle passé, et dans un monde de plus en plus corrompu représente notre seul moyen de répandre la vérité.
Daily Bell: D'autres commentaires que vous voulez faire ?
Andy Hoffman: seulement pour vous protéger, et le faire maintenant !
De Bell quotidienne: Littérature vous souhaitez recommander ?
Andy Hoffman: Le blog de Miles Franklin, bien sûr. J'écris missives GRATUITEMENT cinq jours par semaine, de même que le fondateur de notre entreprise, David Schectman, et notre écrivain associé, le projet de loi Holter. Il suffit d'aller www.milesfranklin.com où vous pouvez les lire dans notre archive ou entrez votre adresse e-mail pour les envoyer automatiquement.
Sans poser une seule question, The Economist est sûr que l'or ne fait rien
Soumis par cpowell
12:56 p PT Saturday, Janvier 19, 2013
Chers amis du GATA et Or:
Pour l'arrogance journalistique et de la désinformation, il est toujours difficile de faire mieux The Economist, qui ne demande jamais aux questions, mais plutôt présume simplement que, par définition, il le sait.
Ce fut le cas encore une fois cette semaine que MCK du magazine commenté inconsciemment sur la tentative de la Bundesbank de rapatrier un peu de son or voûtée à l'étranger.
Dans un petit essai intitulé «Monetary Economics with a Vengeance" -
- The Economist rappelle le film 1995 "Die Hard with a Vengeance», ce qui implique une tentative pour piller et faire semblant de détruire l'or détenu à la Banque fédérale de réserve de New York.
"Pour comprendre pourquoi la menace de détruire l'or n'avait pas de sens», The Economist écrit: «elle aide à comprendre ce que le métal inerte faisait avant qu'il a été volé (à peu près rien). Déclaration d'hier de la Bundesbank vous dit tout ce que vous devez savoir :
«Avec ce plan, le nouveau stockage, la Bundesbank se concentre sur les deux principales fonctions des réserves d'or: pour construire la confiance et la confiance interne et la possibilité d'échanger l'or pour les monnaies étrangères dans les centres de commerce de l'or à l'étranger dans un court espace de temps. »
"Les réserves d'or sont un moyen relativement facile de maintenir l'accès aux devises étrangères dans un pincement, mais leur valeur est surtout symbolique. Pour le meilleur ou pour le pire, systèmes contemporains de la monnaie fiduciaire ne nécessitent pas de lingots afin de fonctionner. Qu'est-ce qu'ils ont besoin est la foi. «crédit» et «crédible» proviennent de la même racine, après tout. La décision de la Bundesbank indiquent que certains en Allemagne sont préoccupés par la confiance continue du public dans l'euro en tant que monnaie pour la conduite des opérations et des investissements. Ce serait une problème grave, et c'est un euphémisme. Déplacement des centaines de tonnes d'un brillant, résistant à la rouille métallique d'un coffre-fort à Paris pour une voûte à Francfort pourrait être une décision vaut que si elle permet de sécuriser l'acquiescement à la politique monétaire allemande Mario Draghi. "
Oui, juste faire confiance à la Bundesbank pour calmer la grande lavés; rien à voir ici, s'il vous plaît se déplacer le long.
Sauf, bien sûr, occidentales réserves d'or des banques centrales ont pas fait "à peu près rien», et leur valeur est bien plus qu'un "avant tout symbolique." Plutôt valeur de l'or est la valeur de la totalité du capital, du travail, des biens et services dans le monde, parce que l'or détermine ces évaluations.
Même lorsque les réserves d'or des banques centrales ont été apparemment juste assises dans leurs coffres, ils ont longtemps été subrepticement loués, échangés, collaterized, hypothéqués et rehypothecated, et utilisés pour l'intervention secrète dans les marchés des changes, dont le marché de l'or est une grande partie, afin de truquer les marchés à l'appui des devises et des obligations d'État et de supprimer les taux d'intérêt.
Dans ces arrangements réserves d'or des banques centrales ont sans doute été, pour le dire poliment, overpledged car ils ont mené les Western réserves fractionnaires activités bancaires or. Or idéologues tiennent à dire que «les gouvernements ne peuvent pas imprimer de l'or», mais en fait ils ont imprimé probablement des milliers de tonnes de lui et une grande partie du monde a été prêt à accepter les demandes de papier à l'or qui n'existe pas en réalité.
Conversion des revendications papier au métal qui a été overpledged est probable l'histoire derrière la Bundesbank a la pointe des pieds loin de la suppression du régime de prix de l'or.
Mais The Economist ne pas avoir à compter sur GATA compte de ce régime. Le magazine pourrait toujours tenter de journalisme et de faire ses propres enquêtes. Le magazine peut se demander si les banques centrales occidentales pour une comptabilité de leurs swaps d'or et de baux et une inspection de leurs comptes-or de la Banque des règlements internationaux, dont la fonction principale semble être d'intervenir dans le marché de l'or pour le compte de ses membres et qui, même annonce ses services d'intervention d'or du marché:
http://www.gata.org/node/11012
Ou The Economist pourrait interroger les banques centrales occidentales sur la confidentialité 1999 mémorandum préparé par le personnel du Fonds monétaire international rapporte que les banques centrales occidentales s'opposent à la divulgation de leurs swaps d'or et les baux car cela nuirait à leurs interventions sur le marché secret:
Chaque banque centrale peut se demander si cette note s'applique à elle et que ce soit dans l'intérêt de la transparence, il fera tous ses or de documents relatifs à la disposition du public.
Bien sûr, The Economist tentera rien de tout cela. Il sait tout sans avoir à poser des questions. C'est pourquoi il est The Economist.
Développement ou d'exploitation à venir pour l'Afrique
Un extrait de l'hebdomadaire Le prévisionniste International.
19 janvier 2013: Pour dire l'intervention française au Mali est hypocrite est le deuxième plus grand euphémisme du 21ème siècle. La ligne officielle est que la France pleut sainte terreur vers le bas sur le Mali maintenant de fumer sur les extrémistes islamistes qui menacent (selon la française) pour dépassement de l'Afrique ... et peut-être l'Europe ainsi ... dirigeants africains de plus en plus confrontés à un choix difficile : ouvrir les portes pour les entreprises de l'Ouest ou faire face à la diplomatie canon qui a fait des ravages dans les pays non coopératifs tels comme la Libye et le Mali.
Par James Corbett
Comme du temps de presse, la saisie de 40 otages étrangers à un champ de gaz algérien par des terroristes islamistes fait les manchettes internationales. En admettant qu'il peut être «débordement» de l'opération militaire en cours français au Mali, le gouvernement américain confirme l'utilisation de drones de surveillance pour suivre la crise et tout le scénario a soulevé le spectre d'(encore un) excuse pour l'AFRICOM et de l'OTAN pour mettre bottes sur le terrain et des bombes dans l'air en Afrique du Nord. Et si un autre jour se lève dans l'empire du Nouvel Ordre Mondial.
À-dire l'intervention française au Mali est hypocrite est le deuxième plus grand euphémisme de la 21 ème siècle. La ligne officielle est que la France pleut sainte terreur vers le bas sur le Mali maintenant de fumer sur les extrémistes islamistes qui menacent (selon la française) pour dépassement de l'Afrique ... et peut-être l'Europe. Le récit est qu'au moins l'un des trois partenaires de l'alliance islamiste malien-Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI)-a désigné la France comme "une cible de choix pour l'attaque." Comme Pepe Escobar de l'Asia Times souligner, Cependant, c'est le même que AQMI en 2007 a fusionné avec le Groupe islamique combattant libyen (GICL) que la France était le financement, l'équipement, la fourniture, la formation et fournir une couverture aérienne dans l'invasion de 2011 de la Libye.
À-dire la perspective d'une intervention américaine en Algérie pour nettoyer l'islamiste «débordement» du Mali est hypocrite est le plus grand sous-estimation de la 21 ème siècle. Gardez à l'esprit que c'est précisément à cause des bombardements menée par l'OTAN amour libyenne de 2011, qui utilise AQMI au Mali et l'Algérie comme une base d'opérations. Ce n'est pas mon avis, c'était la crainte que l'Algérie a été expressément en garde lors de l'invasion libyenne. Et, comme Tony Cartalucci de notes des terres les rapports Destroyer, c'est précisément ce que la Brookings Institution à travers son porte-parole a noté Bruce Riedel dans The National Interest en Août 2011. Le titre de ce rapport ? "L'Algérie sera le prochain à tomber." Oui, c'est la même chose Bruce Riedel qui a co-écrit le fameux rapport Brookings "Quel est le cheminement vers la Perse ?" Qui préconisait l'appui du Département d'Etat classé organisation terroriste la Moudjahidin-e-Khalq (MEK ) pour terroriser Téhéran.
Oh, et l'autre pièce de ce casse-tête: le LFIG / AQMI que les Français (et maintenant peut-être aux États-Unis) sont la lutte contre le Mali (et l'Algérie) sont le groupe d'auto-même qui est maintenant ouvertement terroriser la Syrie avec l'aide complète, le soutien et la complicité des puissances de l'OTAN.
Vous savez ce sentiment que vous obtenez lorsque vous ne savez pas s'il faut rire de l'absurdité de l'hypocrisie scandaleuse que l'on vous demande d'avaler ou de crier au scandale à elle ? Nous avons besoin d'un mot pour cela. Je propose que nous appelons NATOsis .
Quoiqu'il en soit, rien de tout cela ne surprendra les observateurs de la géopolitique à l'ère de la guerre globale contre la terreur. Pas plus qu'elle ne les surprendre d'apprendre que le Mali est le troisième producteur africain d'or le plus grand, est pensé pour avoir quelques 5000 tonnes de potentiels gisements d'uranium, une mine de ressources minérales, et, bien sûr, de l'huile et de gaz inexploré. Il ne sera pas difficile pour quiconque de deviner pourquoi les otages en Algérie ont été capturés sur un champ de gaz naturel algérien BP. Tout cela est parfaitement prévisible, car il correspond à tous les degrés du mode d'exploitation des ressources néocoloniale en Afrique, un paradigme qui est en pleine activité depuis des décennies et gagne la vapeur comme la lutte pour les ressources africaines se réchauffe.
Comme pour tous les conflits, la guerre des ressources en Afrique a deux côtés. D'un côté, il y a les néocolonialistes de la France, la Grande-Bretagne, l'Amérique et les puissances de l'OTAN, avec leur modèle d'étaiement dictateurs et les pays de bombardement en miettes afin d'assurer leur accès à la richesse de l'Afrique en minerais. De l'autre côté, c'est la Chine, deuxième plus grande économie du monde et un pays de 1,3 milliard de personnes qui est dans le besoin désespéré d'une offre toujours plus large de ressources pour nourrir la gueule béante de sa production industrielle. Par contraste avec les copains de l'OTAN, Pékin espère obtenir l'accès aux ressources à long terme et non par le canon d'un fusil, mais par une autre méthode de temps de test: la poignée de main graissée.
Accroître les investissements chinois en Afrique n'a pas échappé à l'attention des gouvernements occidentaux au cours de la dernière décennie, et il n'a pas passé inaperçu par la presse porte-parole établissement, qui a consciencieusement dépeint l'investissement comme une évolution inquiétante dans la politique internationale. La stratégie chinoise consiste à rechercher la coopération avec les dirigeants africains en échangeant des investissements dans les infrastructures pour l'accès aux ressources. En contraste complet avec le modèle occidental, qui s'appuie sur NATOsis induisant l'hypocrisie à propos de "droits de l'homme», tandis que les actions atroces des alliés occidentaux comme Museveni et Kagame sont tolérés, voire encouragés, les Chinois ne s'intéressent pas à la politique intérieure de ces pays du tout. Quoi qu'on pense de ces stratégies à partir d'un point de vue moral, il est clair que la Chine jouit d'un avantage stratégique considérable dans une telle lutte. Il suffit de demander Kadhafi: il a fait un discours devant l'Union des étudiants d'Oxford en 2009 indiquant que la Chine allait gagner la compétition pour l'accès aux ressources de l'Afrique sur les Etats-Unis, précisément parce qu'ils n'ont pas pris parti dans les luttes politiques internes. Là encore, regardez ce qui s'est passé en Libye.
Il existe de nombreux exemples du modèle chinois au travail: le Beijing 20 milliards de dollars seront prêt pour les gouvernements africains pour le développement d'infrastucture et de l'agriculture au cours des trois prochaines années, la Chine a l'engagement d'envoyer du personnel médical pour l'Afrique, le lancement de programmes de formation pour les travailleurs africains, et en offrant 18.000 bourses aux citoyens africains; les Chinois financé par 200 millions de dollars pour le siège de l'Union africaine à Addis-Abeba. La stratégie est évidente dans une grande partie de l'Afrique, et porte déjà ses fruits: commerce Chine-Afrique a augmenté à 150 milliards de dollars par an et est supervisé par le Forum sur la coopération sino-africaine (FCSA), qui forge des liens plus étroits chaque année.
Un parfait exemple de l'endroit où ces deux stratégies se heurtent est de la République démocratique du Congo, un pays très négligé et déchiré par la guerre dans le centre géographique de l'Afrique qui se passe à des trillions de dollars de la richesse minérale inexploitée, dont 30 pour cent des diamants du monde dans ses réserves et 80 pour cent de coltan mondial. Le coltan est columbo-tantalite minerai, essentielle pour la production de certains composants électriques utilisés dans la fabrication de téléphone portable. Le minerai se trouve dans les régions orientales du pays, ce qui ne devrait surprendre personne à apprendre est l'épicentre de la zone de guerre du Congo.
En tant que journaliste du Nil Bowie souligne dans un article détaillé sur la situation, la Chine avait cessé de gagner accès à la richesse minérale du Congo dans la première décennie du 21 ème siècle. En 2008, un accord avait été trouvé entre un consortium d'entreprises chinoises et le gouvernement de la RDC, offrant des concessions minières au Katanga en contrepartie d'un investissement de 6 milliards de dollars dans les infrastructures du pays. Sans surprise, la bande consensus de Washington a été rien entendre: le FMI a bloqué l'accord en 2009, affirmant qu'il a enfreint les règles pour le soulagement de la dette extérieure que le FMI utilise pour garder ces gouvernements en ligne. Pendant ce temps aux États-Unis a soutenu activement, armer, entraîner et équiper les gouvernements rwandais et ougandais qui ont été si grandement contribué à exacerber le conflit en RDC ces dernières années.
Les dirigeants africains de plus en plus confrontés à un choix difficile: ouvrir les portes pour les entreprises de l'Ouest ou faire face à la diplomatie canon qui a fait des ravages dans les pays non coopératifs tels comme la Libye et le Mali. Il n'est pas étonnant que tant de pays africains sont de plus en plus de se tourner vers le modèle chinois de prêts pour les infrastructures et le développement en échange de l'accès aux marchés, ce qui est précisément pourquoi nous voyons un effort accru ces dernières années pour établir une sorte de permanente présence militaire occidentale sur le continent. Des opérations secrètes de la CIA en Somalie de l'OTAN amour bombardement de la Libye aux manipulations du Printemps de soi-disant arabe en Egypte aux bottes de la France sur le terrain en Algérie et en présence de l'Amérique drone croissante à travers le continent, il semble que 2013 sera de voir l'Afrique de plus en plus les principales victimes des attentions militaires de l'Occident.
L'intimidation est évident, mais il y a des signes que l'Afrique pourrait être fatiguant d'entreprise néo-coloniale, comme d'habitude, et maintenant qu'il y a un nouveau joueur dans la ville, ils sont de plus en plus prêt à tester les eaux avec Pékin. Si sommet de l'an dernier, l'Union africaine et des percées FOCAC sont quelque chose aller près, Chine-Afrique de coopération sera l'une des histoires à surveiller cette année. Dans le même temps, le monde regarde la guerre se déroule au Mali, retient son souffle, et tente de conjurer le NATOsis.
Les contribuables britanniques ont financé 14 milliards de £ en Irlande du renflouement
RépondreSupprimerLes contribuables britanniques ont fourni l'Irlande avec une porte dérobée renflouement de plus de £ 14 milliards par la Banque Royale of Scotland et Lloyds Banking Group.
Par Philip Aldrick , économie éditeur
20:30 GMT le 19 janvier 2013
Près d'une livre sur quatre injectée dans les deux banques soutenues par l'Etat par le gouvernement est allé directement dans l'économie irlandaise, comptes des filiales des deux prêteurs ont montré.
Entre 2009 et 2011, RBS a fait "apports" un montant total de € 9.13bn (£ 7,6 milliards) à sa filiale dont le siège est à Dublin, Irlande Ulster Bank. Au cours de la même période, Lloyds a transféré £ 6.41bn à son fonctionnement irlandais, Bank of Scotland (Irlande), avant de dissoudre l'entreprise.
Le total - 14 milliards de £ - s'élève à plus d'un cinquième des contribuables britanniques £ 65 milliards injectés dans RBS et Lloyds en 2008 et 2009, et devrait encore augmenter. Les analystes estiment que RBS a transféré d'un autre 2 milliards de £ l'an dernier.
RBS et Lloyds ont utilisé les fonds pour amortir des milliards de livres de dette irlandaise prêtés à des promoteurs immobiliers commerciaux et les ménages au cours des années "Tigre celtique" boom.
Après l'éclatement de la bulle, les banques irlandaises ont conduit le pays à genoux et ont forcé le gouvernement dans un 67.5bn € (£ 56.5bn) de sauvetage international, y compris les 7 milliards de livres du gouvernement britannique. Depuis la crise financière, Dublin a injecté 80 milliards € dans ses banques nationalisées et six ou partie nationalisée d'entre elles.
Ensemble, avec les plans de sauvetage des banques, le contribuable britannique a calé l'économie irlandaise avec au moins £ 20 milliards, ce qui permettra de renouveler des questions sur la façon dont le gouvernement travailliste a traité les sauvetages en 2008-09.
La semaine dernière, Grant Shapps, le président du Parti conservateur, a dit du travail "massivement surpayé", tandis que la Banque d'Angleterre les responsables ont revendiqué le Royaume-Uni ne correspondent jamais au profit de 10 milliards de £ made in USA.
(suite en dessous:)
Sir Mervyn King, gouverneur de la Banque d'Angleterre, a également déclaré la semaine dernière: «La triste vérité est, en 2008, l'idée de concentrer les efforts sur la recapitalisation du système bancaire était une idée du Royaume-Uni. Nous sommes arrivés au début, mais, comme les idées de nombreux britanniques, les Américains ont développé plus vite et mieux." Les États-Unis ont forcé toutes les grandes banques de prendre de l'argent public, l'achat des participations à environ la moitié de leur valeur comptable. Le Royaume-Uni a payé environ deux fois le taux américain, prenant des positions dans les trois banques les plus touchées - RBS, Lloyds et HBOS.
RépondreSupprimerUne source du Trésor a déclaré: «Le gouvernement a estimé que sans une injection contribuable les banques se seraient effondrées, avec des conséquences pour la stabilité financière et l'argent du peuple, et il a jugé que c'était un risque inacceptable de prendre le gouvernement a renflouer les banques au Royaume-Uni avec des opérations globales. L'Irlande est une entreprise internationale, mais pas la seule."
Lloyds a également transféré environ 856m £ à sa filiale australienne et RBS a labouré des milliards dans ses diverses opérations mondiales.
Lloyds et RBS ont refusé de commenter.
http://www.telegraph.co.uk/finance/newsbysector/banksandfinance/9813358/British-taxpayers-funded-Irelands-14bn-bail-out.html
Hilarant: tête explose à la CNBC - Pourquoi l'Allemagne n'a pas confiance dans les Etats-Unis pour stocker ses or ?
RépondreSupprimerPosté le 18 Janvier, 2013
par maxkeiser
- voir video sur site -
Nous allons parler de notre mystère marché, parce que c'est une question qui a été affligent nos traders toute la journée ici. Examiner cette question. La banque allemande est de ramener chez elle son or, en disant, je cite, en 2020, la banque a l'intention de conserver la moitié des réserves d'or de l'Allemagne dans ses propres caves en allemagne. la question est, pourquoi l'Allemagne se déplaçant sur l'or des États-Unis ? Grande question. Pourquoi ne pas nous faire confiance plus ? type ? Ainsi, Lower Manhattan, en fait, deux ou trois choses, c'était hier et je n'étais pas là hier donc je veux - vous avez pensé à ce sujet, quand il est sorti et les théoriciens de la conspiration, je reçois tout cela. il s'agit d'une histoire énorme, à mon avis, ce n'est pas une histoire énorme maintenant, mais sera une histoire énorme. Pourquoi est-ce ? Parce que vous devez vous demander, pourquoi l'Allemagne décident de faire cela ? Que voient-ils que le reste d'entre nous ne voyons pas qui les oblige à se déplacer physiquement cet or hors du Lower Manhattan et bien sûr à Paris, ainsi, à leurs frontières ? et je pense que c'est vraiment la question que vous devez poser la question. Et la réponse est, il ne peut pas être quelque chose de bon, et si vous pensez que c'est la première fois, ce n'est pas. Parce que le taré dans venezuela a fait un il y a quelques années parce que les gens qu'il a rejeté - parce qu'il est un barjo de droite. Si l'Allemagne va être le dernier, ils ne sont pas. Les gens vont s'aligner et faire cela. Vous parlez de courses sur les banques ? Cela pourrait être exactement cela. Si tout le monde veut leur dos en métal à la fois, il vaut mieux l'espère, un, qu'il est là et b, nous sommes en mesure de le faire. et je vous le dis, l'acte lui-même n'est pas nécessairement haussier or - attendez une minute.
J'ai une question. Question. Aller de l'avant. L'allemagne possède cet or physique, alors pourquoi y a t-il un risque que tout le monde est de tirer leur or que ce ne sera pas là. donner la réponse exacte. Lorsque j'ai travaillé à drexel berner en 1990, et vous allez dire, vous êtes un vrai boulot - j'allais dire, vous êtes vieux. Nous n'avons pas le temps a conduit l'or des banques centrales. C'était leur or, mais nous l'avons eu. Lorsque la faillite a frappé, tout était gelé. S'il s'agissait de leur or, ils n'avaient pas l'accès. Beeks peut en parler ainsi. Oui, c'est beaucoup mieux de l'avoir en votre possession que de l'avoir en votre possession de quelqu'un d'autre voûtes. Le marché de l'or est un peu bizarre.
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Si vous achetez une part du stock, c'est le vôtre, c'est dans votre compte. Ce n'est pas la façon dont elle est d'or. Il ne s'agit pas nécessairement d'un numéro de série sur chaque lingot d'or qui dit que votre nom. Y at-il peut-être pas assez d'or à la banque ? Oui, peut-être. Tu parles comme un théoricien de la conspiration réelle. Ainsi, l'or est prêté à chaque jour à travers le London Bullion Market. Il est prêté partout. Donc, si vous avez tout le monde essaie de venir au-devant après, il suffit de regarder ce qui s'est passé chez MF Global. Un grand nombre de personnes impliquées par le fait que les récépissés d'entrepôt, fallu du temps pour obtenir ce retour, oui, vous avez besoin de vous inquiéter. Je pense que le tableau d'ensemble est, pourquoi est l'Allemagne de le faire maintenant. Exactement. Ils l'ont eu ici depuis 40 et quelques années impaires. pourquoi aujourd'hui ? peut-être qu'ils ont leur propre Vault. L'Allemagne a obtenu 10% des réserves mondiales d'or et aux hommes, je ne pense pas que cela va être un catalyseur pour d'autres personnes. Je ne pense certainement pas pourquoi il est si gros d'un accord pour donner à l'Allemagne leur or quand il n'est pas appuyé contre quelque chose. Oui, c'est la raison pour laquelle les gens. c'est pourquoi l'or est la chose que les gens veulent tenir y a de l'or appui rien. Il y a hypothèques. Ils n'ont pas à se soucier des soviets, ce qui explique pourquoi ils l'ont déplacé ici en premier lieu. Nous allons réfléchir au pourquoi ils l'ont déménagé ici en premier lieu. Vous ne pensez pas que c'est un gros problème et que vous faites - les Pays-Bas, en fait, ont dit qu'ils voulaient leur or, aussi. Mystère. Pour l'instant, il restera un mystère marché. Nous devons arriver à plus.
RépondreSupprimerhttp://maxkeiser.com/2013/01/18/hilarious-cnbcs-head-explodes-why-doesnt-germany-trust-the-us-to-store-its-gold/
... Je suis sûr que si les Etats-Unis avait de l'or... ils iraient le mettre en... Allemagne !!! Hahaha !
Supprimer59.780: c'est le nombre d'entreprises qui ont déposé le bilan en 2012
RépondreSupprimerFabien Piliu | 17/01/2013, 11:27 -
La société Altares a recensé 59.780 défaillances l'année dernière. Le record de 2009 n'a pas été battu. Cette année-là, 62.300 entreprises avaient dû se résigner à déposer le bilan. L'industrie a bien résisté, le nombre de défaillances ayant même reculé de 1% par rapport à 2011.
Le record de défaillances n'a pas été battu en 2012. Selon la société Altares, 59.780 défaillances ont été observées l'année dernière, concernant au total 245.300 emplois. Un nombre qui a crû de 2,7% en un an, mais qui est surtout à comparer aux 62.300 défaillances déplorées en 2009, année au cours de laquelle la France a connu la récession la plus importante de son histoire depuis la fin de la seconde guerre mondiale. Cette année-là, le PIB avait reculé de 2,6%.
Mais dans le détail, les entreprises de 1 à 5 salariés ont connu une année 2012 «compliquée», avec 26.500 procédures collectives, soit 10% de plus qu'en 2011. «Le dernier trimestre est plus sévère encore avec une augmentation de 17%», observe Altares. Les PME de plus de 50 salariés affichent, à l'inverse, une «vulnérabilité essentiellement concentrée sur le premier semestre». Au total, 482 d'entre elles ont connu un redressement ou une liquidation judiciaire en 2012, soit 18% de plus qu'en 2011, et 80 contre 98 ont bénéficié d'une sauvegarde soit 18% de moins qu'en 2011.
Des difficultés anciennes
Le nombre de redressements judiciaires ou de liquidations judiciaires prononcés sur des sociétés de plus de 15 millions d'euros de chiffre d'affaires recule de près de 9% en 2012 avec 145 ouvertures de procédures. Les deux tiers de ces grosses défaillances concernent essentiellement des manufacturiers et des grossistes. «Nombre d'entre eux présentaient des difficultés déjà anciennes; 20% n'avaient d'ailleurs pas publié de bilan depuis au moins 2009, signal généralement d'une volonté de masquer une situation délicate. 60% de ces grosses défaillances ne parvenaient pas à dégager une rentabilité sur leur coeur de métier. Le quart d'entre elles présentaient des fonds propres négatifs et près de la moitié une trésorerie négative», constate Altares.
(suite en dessous:)
Heureuse surprise, l'industrie a offert davantage de résistance que les autres secteurs. Les défaillances d'industriels reculent de 1% en 2012 après une baisse en 2011 et en 2010. En revanche, la plupart des autres secteurs ont souffert. C'est notamment le cas dans les services aux entreprises (+2,4%), le transport et la logistique (+11%), les métiers de l'information et de la communication (+15%), l'action sociale et santé humaine (+10%).
RépondreSupprimerFortes disparités géographiques
Si 2009 est le marqueur fort de l'épisode douloureux de la crise, toutes les régions avaient, depuis, entamé une diminution du nombre des défaillances sans pourtant retrouver les niveaux de 2007. Un constat qui exclut la Picardie. Cette région n'a cessé d'enregistrer chaque année une dégradation. En 2012, le nombre de défaillances a encore bondi de 12% pour atteindre un nouveau record de sinistres avec plus de 1.700 dépôts de bilan.
Sept autres régions ont enregistré des records de défaillances. Il s'agit de la Basse-Normandie (1.191 cas), la Haute-Normandie (1.367), le Centre (2.194), Midi-Pyrénées (2.571) et Languedoc-Roussillon (3.340). «Dans ces régions, le nombre de dépôts de bilan évolue peu depuis 2009 mais la hausse constatée en 2012, quoique contenue entre 2% et 5%, conduit à établir de nouveaux records de sinistralité», précise Altares qui note aussi la mauvaise orientation de Bourgogne (+12% à 1.416) et Champagne (+19% à 1.061).
À l'inverse, l'Alsace et la Bretagne font preuve d'une bonne résistance avec une baisse du nombre de dépôts de bilan respectivement de 1% et 2%.
http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20130117trib000743116/59.780-c-est-le-nombre-d-entreprises-qui-ont-depose-le-bilan-en-2012.html
Et si la Chine venait vraiment à bouder la dette américaine ?
RépondreSupprimerLa Chine a toutes les cartes en main pour mettre fin au règne du dollar – une hypothèse qui n'est pas aussi farfelue qu'elle le paraît...
Les dessous de l'économie
Publié le 17 janvier 2013
Que fait la Chine de sa montagne de réserves de change ? Elle investit au travers du fonds d’investissement souverain chinois – ou CIC comme China Investment Corporation, en bon anglo-mandarin – qui gère 480 milliards de dollars. Il y a aussi les réserves de change détenues par la Banque centrale du peuple, l’équivalent de plus de 3 200 milliards de dollars dont 1 160 milliards sont en bons du Trésor américain qui ne rapportent rien.
Avec les Etats-Unis, la Chine connaît les mêmes affres qu’une entreprise dont le gros client s’enfonce dans l’insolvabilité. Toujours ce fichu dilemme : lui prêter toujours plus en espérant qu’il va se refaire une peau... ou bien tirer un trait, prendre sa perte et passer à autre chose ? Comme si cela ne suffisait pas, il y a un autre problème : le client paye avec du papier qu’il imprime à volonté pour faire croire qu’il a de l’argent.
Si la Chine s’affranchit brutalement du dollar, le monde prend peur et c’est l’effondrement du billet vert. Si elle le garde, c’est l’effritement de ses réserves de change. Sa tactique, c’est donc de s’en débarrasser en douce.
Progressivement depuis 2008, la Chine :
Fait des réserves de matières premières (métaux de base, pétrole, céréales).
Réduit sa position en bons du Trésor, une centaine de milliards de dollars en moins en 2012 (ce que vous pouvez surveiller ici, positions au 17 décembre 2012).
Echange des bons du Trésor à long terme contre des bons du Trésor à court terme pour ne pas se retrouver dépendante du sort du dollar à long terme. C’est son Twist à elle, le miroir du Twist de la Fed qui consiste à racheter les obligations de long terme et émettre du court terme.
Investit en actions.
Diversifie ses réserves de change.
Achète discrètement de l’or (ndlr : Pour en savoir plus à ce sujet, cliquez ici: http://publications-agora.fr/pack/lim/index.php?code=PLIMP101
(suite en dessous:)
Pour le moment tout se passe bien et personne ne s’affole. La transition en douceur est un succès. Le Japon, qui est le deuxième détenteur mondial d’obligations souveraines américaines, ne flanche pas. Comme vous pouvez le constater, il en a pris pour 130 milliards de dollars de plus en 2012, ce qui compense le désengagement chinois. Tout baigne dans l’huile de soja…
RépondreSupprimer"En ligne avec la future reprise de l’économie américaine, l’attrait de la dette américaine s’affaiblit (…) A long terme, ce n’est plus un bon investissement", a déclaré à l’Agence France Presse de Shanghai le président du CIC.
Subtil et magistral ! Puisque reprise américaine il y aurait, c’est normal de moins acheter de bons du Trésor. Une simple gestion de bon père de famille. Le monde rassuré ne sera donc pas surpris que la Chine accélère le mouvement.
La reprise américaine sera en 2013 une croissance de l’ordre de 2,5% du PIB achetée avec un déficit de 8% du PIB. Cherchez l’erreur… "Beaucoup de prévisionnistes s’attendent à 3% à la fin de l’année. Je serai heureusement surpris si c’était le cas. Cela ne résorbera pas notre chômage avant longtemps. Nous avons vraiment besoin de 4%, 5% de croissance pendant une longue période pour nous en sortir", indiquait Kenneth Rogoff à Bloomberg (Charlie Rose talks to Kenneth Rogoff, Bloomberg Business Week, 20 décembre 2012).
Personne ne semble s’inquiéter que le plus gros acheteur de bons du Trésor soit devenu la Fed avec 40 Milliards de dollars par mois (opération QE3 - Quantitative easing).
Les promesses d’arrêter le QE3 ne sont que du vent. Bientôt, il faudra passer à la vitesse supérieure : les dollars imprimés ne serviront plus à financer les rachats d’obligations sans souscripteur, ils serviront à financer directement le déficit.
Le dollar est bien en route pour l’hyperinflation, probablement pour 2014 selon John Williams de Shadowstats. La Chine sera prête, car elle a son plan anti-dollar, sa parade pour ne pas sombrer avec le dollar. Et vous, vous avez un plan pour cette ultime phase de la crise ?
http://www.atlantico.fr/decryptage/et-chine-venait-vraiment-bouder-dette-americaine-608799.html#Eyq8DRQlQYhdYihG.99
Opinion: Pourquoi Hollande doit faire preuve de leadership clair
RépondreSupprimerPar John Gaffney , spéciale à CNN
Note du rédacteur: John Gaffney est professeur de science politique et co-directeur du Centre Aston pour l'Europe, au Royaume-Uni, Aston University.
(CNN) - La France est le pays le plus riche au cinquième rang mondial. Elle est le sixième exportateur mondial. Elle a le deuxième plus grand réseau diplomatique dans le monde, après les Etats-Unis. Elle est membre du Conseil de sécurité de l'ONU. C'est le pays le plus visité au monde, accueillant 82 millions de visiteurs l'an dernier. Il s'agit d'une grande puissance nucléaire. Il est le véritable fondateur de l'Union européenne. Et c'est dans un terrible gâchis.
Le socialiste François Hollande a été élu président y a presque un an, évinçant le très impopulaire "Mr Bling", le président Nicolas Sarkozy.
La gauche socialiste de la France n'a jamais été aussi forte politiquement: Elle contrôle la présidence, le gouvernement, les deux chambres du parlement, les régions et toutes les grandes villes et les villes. Et dans ses huit premiers mois au pouvoir, Hollande n'a pratiquement rien fait. Il est comme un lapin dans les phares assommé d'un véhicule venant en sens inverse appelé «dure réalité économique."
Hollande a trois problèmes fondamentaux. La première est qu'il n'a pas de plan. Des dizaines de milliers de personnes perdent leur emploi chaque semaine, et cela va de pire en pire.
France est confrontée à une crise d'énormes dépenses publiques - en matière de santé, les retraites, et maintenant le bien-être, et une dette publique de 90% du PIB. Pas une seule mesure adéquate n'a été mis en avant, ni même proposé dans ses huit mois au pouvoir.
Le deuxième problème est qu'il n'a pas la volonté politique de briser les log-confitures dans la société française: Rendre l'industrie plus compétitive, la réduction des dépenses du gouvernement. Il ne peut pas faire ces choses parce que l'une des circonscriptions dont il a besoin pour assumer - le secteur public énorme - est composée de personnes qui ont voté pour lui au pouvoir.
Il pourrait prendre sur les bords aussi irresponsables - ils n'ont pas voté pour lui - mais il risque d'envoyer de l'économie en chute libre s'il le fait.
(suite en dessous:)
Et non seulement a t-il besoin pour résoudre les problèmes structurels de l'économie de la France et de la société, mais il a fait l'erreur de dire à tous ceux qu'il pouvait résoudre les problèmes du pays sans douleur, ou par l'imposition des super-riches, et il ne parvient pas à le faire non plus, alors il est tout simplement de taxer tout le monde.
RépondreSupprimerMaintenant, il fait face à la pire situation possible parce que personne ne croit un mot de ce qu'il dit. Il a livré un message de Nouvel An robuste semaine dernière, regardé par des millions, et pourtant 75% ne croient pas qu'il puisse tenir sa promesse.
In fact, the New Year's Eve wishes everyone in France did believe were the Churchillian tones of German Chancellor Angela Merkel. Son message était essentiellement à l'opposé de Hollande optimisme de l'étrange, qui semble impliquer un peu plus de la suite de la "Keep Calm and Carry On" mantra. Mais l'attente de la reprise trouve la France au dépourvu et dans une situation plus difficile que l'Espagne ou l'Italie, qui sont maintenant occupés à restructurer leurs économies.
Le troisième problème fondamental et Hollande a, c'est qu'il ne comprend pas la nature de la fonction qu'il occupe, la présidence française de la République. S'il le faisait, il pourrait trouver un moyen d'avancer. Dans son message du Nouvel An, il s'est comparé à un capitaine de navire. Mais il doit être un, pas seulement dire qu'il en est un. Le bureau du président français est un mélange très complexe de la politique et du symbolique. Mais il est fondamentalement une question de leadership, qui est en tête ne suit pas, et en prenant le français avec lui.
Hollande a besoin d'urgence pour rétablir sa présidence - et il y a quelques règles claires pour le faire:
Il a besoin de prendre sur les banques si nécessaire, prendre le système de prestations sociales, les obstacles à l'innovation et à la création d'entreprises nouvelles, prendre sur la situation déplorable de la France la misère ville oubliée intérieure, son besoin de ne pas être un programme intransigeant libérale.
Aucun gouvernement dans l'histoire française est dans une meilleure position pour faire de la France une société plus égalitaire tout en rendant son économie et plus efficace. Il devrait se concentrer sur les jeunes qui essaient de créer leur propre entreprise. Mettre l'accent sur les petites entreprises en général. Faites glisser la France en dehors de son disque à plus de tout réglementer et d'innovation d'accélérateur. l'impôt sur les super-riches, si nécessaire, pour autant qu'elle contribue à la solution globale qu'il vise.
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Il a aussi besoin d'obtenir en phase avec Merkel et le plomb en Europe avec l'Allemagne, prétend pas qu'il est le porte-parole des dépensiers irresponsables.
RépondreSupprimerMais par-dessus tout, il faut utiliser la présidence d'une manière plus imaginative: Commencer une conversation en cours et passionnant avec les Français. Aucune autre fonction dans le monde, pas même la présidence des États-Unis, offre une telle ampleur d'une intimité entre le leader et la population.
Il faut hardiment utiliser le référendum pour mettre en place et diriger la conversation vers le changement et l'innovation. Si les intérêts ne bouge pas, amener le peuple. Utilisez le référendum comme de Gaulle l'a fait entre 1958 et 1962, comme une arme politique majeur pour briser les impasses dans la société politique française.
En Europe et dans le reste du monde qu'il a à faire de la France admire encore, comme par le passé. Intérieur de la France, il doit oublier pas déranger personne. En fait, il devrait avoir un plan qui bouleverse presque tout le monde. Les Français l'aiment pour cela.
Jusqu'à présent, il reste à voir quel impact son premier défi majeur de la politique étrangère - au Mali - aura. Comme les forces françaises, avec le soutien de la communauté internationale, aller dans le pays ouest-africain à prendre contre les rebelles islamistes , les prochaines semaines nous diront si le destin lui a donné juste la meilleure opportunité ou le pire de montrer aux Français, et le reste du monde, ce qu'il fait.
http://edition.cnn.com/2013/01/14/opinion/opinion-gaffney-hollande-leadership/index.html?hpt=hp_c1
Les algorithmes sont-ils les véritables maîtres du monde ?
RépondreSupprimerQue ce soit dans la finance ou encore dans l’ingénierie, de plus en plus de processus de décision sont gérés par des algorithmes, plus aucun secteur n'y échappe totalement.
Publié le 20 janvier 2013
Atlantico : Machines de flash-tradings, système binaires, les automatismes semblent avoir pris un rôle croissant dans les processus de décision quotidiens, que ce soit dans la finance ou l’ingénierie. Peut-on dire malgré tout que les algorithmes sont en train de faire main basse sur tous nos processus de décisions ? Y-a-t-il une "sur-rationalisation" de nos sociétés ?
Jean-Yves Trépos : Il me semble important de ne pas inverser les causalités en la matière : c’est la rationalisation des sociétés qui mobilise l’algorithmique et non la multiplication des algorithmes qui entraînerait une accélération de la rationalisation. Au sens strict, le développement même des sociétés, depuis l’Antiquité (pas seulement occidentale) repose sur l’utilisation d’algorithmes : la seule variation tient à leur inégale inscription dans des techniques (Pierre-Maxime Schuhl dans Machinisme et philosophie, en 1938, voyait là l’une des explications du blocage de la science grecque : elle n’avait pas besoin de concrétiser ses algorithmes). Pour s’en tenir aux sociétés que l’on peut appeler "modernes" (en gros les sociétés industrielles jusqu’à la fin du 20ème siècle) : le mouvement de rationalisation de la vie y est fort, peut-être est-ce même l’un des marqueurs de la modernité, si l’on en croit Weber ou Parsons.
Ce mouvement appelle des procédures de décision pariant sur l’absence d’ambiguïté, réitérables de manière rapide (voire presque instantanées comme dans le flash-trading) et sur des univers stables. L’informatique (qui n’est qu’un gigantesque algorithme) a fourni les outils de ce processus.
Mais la machine aurait-elle échappé à son concepteur ? Une telle vision est naïve ou pour le dire mieux : romantique (pré-moderne). D’abord parce que l’algorithme s’adapte mal à l’instabilité : il nécessite des corrections incessantes qui, elles, ne proviennent pas d’algorithmes (c’est ce que j’avais proposé d’appeler "le pifomètre systématique", qu’on pourrait rendre en anglais par le mot-valise « guesstimation »). Ensuite parce qu’il ne faut pas oublier toutes les transactions homme-machine qui sont nécessaires pour que l’opération (par exemple dans un hedge fund) fonctionne. Enfin, parce que l’idée même de modernité vacille, non sous le coup d’une "sur-rationalisation", mais sous les coups de boutoir de la réflexivité des usagers, qui conduisent à mettre en balance le rationnel et le raisonnable. A tout le moins, nous serions dans ce que Giddens appelle "la modernité réflexive", avec des algorithmes ouverts, mais nous pourrions tout aussi bien être dans cette post-modernité qui fait surgir face aux algorithmes en panne, des heuristiques (discipline qui se propose de dégager les règles de la recherche scientifique, ndlr) capables d’éviter la paralysie de l’action en définissant d’autres priorités. Là est en définitive la réponse à toute question en matière de décision : quelles sont nos priorités ? Les discussions autour des conditions de séparation des activités à risques et des activités classiques dans les banques en sont l’une des illustrations.
(suite en dessous:)
Quels sont aujourd'hui les secteurs où les algorithmes sont les plus représentés ?
RépondreSupprimerOn pense souvent à la finance, mais il faut noter que plus aucun secteur ne peut aujourd’hui se passer de ces outils. Très globalement, ils sont dans les équipements du management des activités humaines et, par conséquent, les secteurs de l’aide à domicile et de la dépendance les voient progressivement s’installer, comme ce fut le cas pour les hôpitaux avec le PMSI dans les années 1980.
L’émergence de ces outils de contrôle automatisés prouve-t-elle que l’organisation du monde dépasse aujourd’hui la compréhension humaine ? Peut-on parler d’une évolution de notre rapport au savoir ?
C’est sans doute difficile à admettre, mais il n’y a pas un monde qu’on comprendrait mieux ou moins bien : nos activités construisent elles-mêmes les limites de notre univers et nous ne lui posons que les questions pour lesquelles nous avons des réponses ! Si notre rapport au savoir est en crise – ce dont je ne suis pas sûr – ce n’est pas parce que nous démissionnons, mais que nous faisons évoluer (très lentement) la dimension de porteur isolé du savoir vers une conception plus collaborative de type wiki.
A terme un rééquilibrage entre contrôle humain et contrôle informatisé est-il souhaitable ?
Contrairement aux articles qu’on lit parfois, je ne vois pas pourquoi nous devrions avoir peur des algorithmes, y compris ceux des traders. Dès lors qu’on reconnaît qu’il n’y a pas d’un côté les hommes et, de l’autre, les machines (et/ou les animaux), mais un collectif socio-technique qui évolue et se modifie, parfois de manière algorithmique, parfois de manière événementielle. Le problème n'est pas de rétablir un contrôle humain : il est simplement d’expliciter les conditions d’exercice des programmes d’action.
Voyez même en management le développement des "architectures peer to peer", qui permettent de construire de manière décentralisée et fiable des bases de connaissances. Dans ces architectures, chaque pair (centre de recherches, entreprise...) partage la base de connaissance avec les autres pairs. Il peut modifier cette base. Les modifications sont alors propagées sur le réseau et sont intégrées pour chacun des pairs par l’utilisation d’algorithmes de synchronisation adaptés.
Propos recueillis par Théophile Sourdille
http://www.atlantico.fr/decryptage/algorithmes-sont-veritables-maitres-monde-jean-yves-trepos-611270.html
10 de plus grands du monde mystères non résolus
RépondreSupprimerVous ne pouvez pas tromper Mère Nature
Allez comprendre
Quelques histoires ont le pouvoir de nous captivent plus que ceux qui restent en suspens. Codes, des puzzles et énigmatique de l'art public nous taquiner avec leur intrigue: Pourquoi leur message codé ? Que de grands secrets peuvent-ils se cacher ? Malgré les efforts de nos historiens les plus savants, habiles cryptographes et chasseurs de trésors les plus déterminés, l'histoire regorge d'énigmes qui continuent de nous confondre aujourd'hui. Contes fictifs comme ceux qui figurent dans "The Da Vinci Code" et le film "National Treasure" n'ont rien à ces énigmes de la vie réelle. Voici notre liste de 10 des plus énigmatiques du monde mystères non résolus et des codes. (Texte: Bryan Nelson)
http://www.mnn.com/lifestyle/arts-culture/photos/10-of-the-worlds-biggest-unsolved-mysteries/voynich-manuscript
Tout ce que les banques ont encore sous le capot pour nous faire resombrer dans la crise de l’euro...
RépondreSupprimerEn décembre 2011, et en février 2012, la BCE a très massivement aidé le secteur bancaire de la zone euro via des crédits bon marché à trois ans. Ces prêts peuvent être remboursés par anticipation au bout d'un an, ou à partir du 30 janvier de cette année. Bilan.
Publié le 20 janvier 2013
La Banque centrale européenne (BCE) est intervenue il y a maintenant un an pour sauver les banques de la zone euro. Quel bilan pouvons-nous établir ? Quels risques latents peut-on identifier ? Quelles sont les solutions ?
Bilan
En décembre 2011, et en février 2012, la BCE a très massivement aidé le secteur bancaire de la zone euro : plus de 1 trillion d’euros. Il s’agissait de crédits bon marché à trois ans pour encourager les banques à financer l’économie. On parle aussi de LTRO ou Long Term Refinancing Operations. Aussi, ces prêts peuvent être remboursés par anticipation en quelque sorte, avant l’échéance de trois ans. Ceci peut à priori paraître rassurant et renforcer l’euro.
D’après Hans Redeker de Morgan Stanley’s Global Head of FX Strategy, 200 milliards d’euros vont être remboursés par les banques européennes très bientôt, un an après le sauvetage à 3 ans ! 80 milliards viendraient des banques françaises : une bonne nouvelle pour nos banques. 30-40 billions pour les banques espagnoles et italiennes réunies. Ajouté à la récente tranche d’aide du Mécanisme Européen de la Stabilité en faveur des banques espagnoles, 100 milliards d’euros pour de la recapitalisation, on peut presque dire que le secteur bancaire espagnol est sauvé même si cette aide n’est pas perçue immédiatement.
Risques latents
Du coup une idée simple apparaît : certaines banques, celles qui peuvent rembourser au bout d’un an, seraient en meilleure santé par rapport aux autres. Et cela comporte aussi un risque car l’activité bancaire est très fondée sur la réputation et la confiance. Certaines banques vont apparaître davantage dépendantes d’un sauvetage et donc de la BCE notamment celles qui ne remboursent pas au bout d’un an. Les banques précoces, elles, seront prioritaires dans le refinancement par les marchés ou par l’interbancaire. Voilà une nouvelle source de divergence structurelle négative, puisque sans grand étonnement ce sont plutôt les banques des pays sans croissance qui vont en pâtir. Quand on sait que le financement de l’économie est essentiel à la reprise de la croissance…
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Ceci n’est pas forcément une bonne nouvelle non plus pour la BCE puisque cette dernière pourrait être amenée à aider les banques qui n’arrivent pas à rembourser assez vite. Du coup, pour les banques les plus fragiles, cela pourrait conduire à une course à la cession d’actifs et à la réduction des bilans afin de compenser ce qu’elles n’ont pas en termes de capacité de remboursement.
RépondreSupprimerLes banques comme Banco Santander ont vendu des entités en Amérique latine pour obtenir du cash rapidement. Ceci prouve une chose. Pour les banques incapables de rembourser les LTRO à 3 ans au bout de un an, la réduction des actifs et donc le mouvement de cessions montre un risque de credit-crunch.
Solutions
Si les marchés pour l’instant apparaissent calmes, le levier maintenant à la reprise du secteur bancaire est la croissance économique. A ce titre, il n’est pas possible d’avoir des banques fortes avec des pays fragiles. Enfin, le sujet phare, la croissance économique, résume finalement tout. Ceci est vrai pour le secteur bancaire comme pour le reste.
Une autre solution à ce défaut structurel de cessions d’actifs et de réduction de la taille des bilans pour les banques les plus fragiles ne parvenant pas à rembourser les LTRO plus vite que les autres, est peut-être d’envisager une baisse des taux d’intérêt de la BCE. Cela pourra-t-il être favorable à une baisse des tensions sur la liquidité des banques les plus fragiles ? Le problème est que les manipulations des taux directeurs de la BCE n’éliminent en rien les divergences structurelles de la zone euro et c’est bien là le problème.
http://www.atlantico.fr/decryptage/tout-que-banques-ont-encore-capot-pour-faire-resombrer-dans-crise-euro-ltro-pascal-lima-612061.html
La faillite des États-Unis
RépondreSupprimerPublié le: Janvier 20th, 2013
États-Unis Congressional Record, Mars 17, 1993 Vol. 33, page H-1303
Président-Rep. James Traficant, Jr. (Ohio) s'adressant à la Chambre:
"Monsieur le Président, nous sommes ici dans le chapitre 11 .. Les membres du Congrès sont les dépositaires officiels qui président à la plus grande réorganisation d'une entité en faillite dans l'histoire du monde, le gouvernement américain. Nous sommes énonçant espérons-le, un modèle pour notre avenir. Il y en a qui disent que c'est un rapport du coroner qui mènera à notre perte.
C'est un fait établi que les États-Unis Gouvernement fédéral a été dissous par la loi sur les banques d'urgence, Mars 9, 1933, 48 Stat. 1 de la loi publique 89-719, a déclaré le président Roosevelt, qui est en faillite et d'insolvabilité. HJR 192, 73 ème Congrès de la session Juin 5 m, 1933 - Résolution conjointe de suspendre l'étalon-or et abroger la clause or dissous l'autorité souveraine des Etats-Unis et les capacités officielles de tous les bureaux gouvernementaux des États-Unis, les dirigeants, et les départements et une preuve supplémentaire que les États-Unis Gouvernement fédéral existe aujourd'hui de nom seulement.
Les récepteurs de la faillite des États-Unis sont les banquiers internationaux, par l'intermédiaire de l'Organisation des Nations Unies, la Banque mondiale et le Fonds monétaire international. Tous les bureaux des États-Unis, les officiels et les départements fonctionnent maintenant dans un état de fait que de nom en vertu des pouvoirs de guerre d'urgence. Avec la forme républicaine de gouvernement constitutionnel, aujourd'hui dissoute, les récepteurs de la faillite ont adopté une nouvelle forme de gouvernement aux États-Unis. Cette nouvelle forme de gouvernement que l'on appelle une démocratie, qui est un ordre établi socialiste / communiste sous un nouveau gouverneur pour l'Amérique. Cette loi a été institué et établi par le transfert et / ou de placer le Bureau du secrétaire du Trésor à celle du gouverneur du Fonds monétaire international. Public Law 94-564, page 8, Section des ressources humaines 13955 se lit en partie: «Le Secrétaire du Trésor américain ne reçoit aucune rémunération pour représenter les États-Unis ?
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L'or et l'argent étaient un tel argent puissant lors de la fondation des États-Unis d'Amérique, que les pères fondateurs ont déclaré que seules des pièces d'or ou d'argent peut être «argent» en Amérique. Depuis la monnaie d'or et d'argent était lourde et peu pratique pour un grand nombre de transactions, elles ont été stockées dans des banques et un chèque avait été déposée en tant que substitut de l'argent. Les gens ont échangé leurs coupons d'argent, ou la «monnaie». La monnaie n'est pas l'argent, mais un substitut de l'argent. Monnaie rachetables doivent s'engager à payer un équivalent en dollars dans la monnaie d'or ou d'argent. Federal Reserve Notes (FRN) ne font aucune de telles promesses, et ne sont pas «l'argent». Une note Réserve fédérale est un titre de créance du gouvernement fédéral des États-Unis, et non pas "l'argent ? Le gouvernement fédéral des États-Unis le gouvernement et le Congrès américain ne sont pas et n'ont jamais été autorisés par la Constitution des États-Unis d'Amérique à émettre la monnaie d'aucune sorte, mais seulement l'argent licite, d'or et d'argent pièce de monnaie.
RépondreSupprimerIl est essentiel que nous comprenions la distinction entre l'argent réel et le remplacer par du papier-monnaie. On ne peut pas devenir riche en accumulant des substituts de monnaie, on ne peut obtenir plus profondément dans la dette. Nous, les gens n'ont plus de «l'argent». La plupart des Américains n'ont pas été payés tout «argent» pour un temps très long, peut-être pas dans leur vie entière. Maintenant, comprenez-vous pourquoi vous vous sentez brisé ? Maintenant, vous comprenez pourquoi vous êtes «en faillite», ainsi que le reste du pays ?
Federal Reserve Notes (FRN) sont des chèques non signés écrits sur un compte fermé. FRN sont un système papier gonflable conçu pour créer de la dette par l'inflation (dévaluation de la monnaie). Si jamais il y a une augmentation de la fourniture d'un substitut de l'argent dans l'économie sans une augmentation correspondante de la garantie en or et en argent, l'inflation se produit.
L'inflation est une forme invisible de la fiscalité que les gouvernements irresponsables infligent à leurs citoyens. La Banque de la Réserve fédérale, qui commande l'alimentation et le mouvement des FRN a tout le monde dupe. Ils ont accès à une quantité illimitée de FRN, en ne payant que pour les frais d'impression de ce dont ils ont besoin. FRN sont rien de plus que des billets à ordre pour les titres du Trésor américain (T-Bills) - une promesse de payer la dette à la Banque de la Réserve fédérale.
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Il y a une différence fondamentale entre «payer» et «décharge» d'une dette. Pour payer une dette, vous devez payer la valeur ou de la substance (c.-or, l'argent, le troc ou une marchandise). Avec FRN, vous ne pouvez acquitter une dette. Vous ne pouvez pas payer une dette avec un système de monnaie de la créance. Vous ne pouvez pas réparer une dette avec une monnaie qui n'a pas de dossier de la valeur ou de la substance. Aucun contrat de droit commun n'est valable que si elle implique un échange de «contrepartie valable et précieuse." Dette impayable transfère la puissance et le contrôle de la structure du pouvoir souverain qui n'a aucun intérêt dans l'argent, le droit, l'équité ou de la justice, car ils ont déjà tant de richesses.
RépondreSupprimerLeur désir est de pouvoir et de contrôle. Depuis la création de la banque centrale, ils ont contrôlé les destinées des nations.
Le Federal Reserve System est basé sur le droit canonique et les principes de la souveraineté protégés par la Constitution et le Bill of Rights. En fait, les banquiers internationaux ont utilisé un "droit canonique Trust» comme leur modèle, ajouter du bouillon et de nommer un «Trust anonyme." Le Congrès américain a adopté une loi rendant illégal pour tout engagement juridique «personne» pour dupliquer une «fiducie anonyme" en 1873. Le Federal Reserve Act a été votée a posteriori (à 1870), bien que post-rétroactivité des lois sont strictement interdits par la Constitution. [01:09:03]
Le Federal Reserve System est une structure du pouvoir souverain séparé et distinct du gouvernement fédéral des États-Unis. La Réserve fédérale est un prêteur maritime, et / ou de preneur ferme assurance maritime vers les États-Unis fédérale opérant exclusivement sous l'Amirauté / Droit maritime. Le prêteur ou de preneur ferme qui supporte les risques, et la loi maritime convaincante performance spécifique dans le paiement de l'intérêt ou des primes sont les mêmes.
Biens du débiteur peuvent également être hypothéqué (à quelque chose en gage à titre de garantie sans prendre possession de celui-ci.) En garantie par le prêteur ou de preneur ferme. Le Federal Reserve Act stipule que l'intérêt sur la dette devait être payée en or. Il n'y avait aucune stipulation dans le Federal Reserve Act jamais payer pour le principe.
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Avant 1913, la plupart des Américains appartenant titre clair et allodiale à la propriété, libre et quitte de tout privilège ou hypothèque jusqu'à ce que le Federal Reserve Act (1913)
RépondreSupprimer«Hypothéqué» tous les biens aux États-Unis fédéral au Conseil des gouverneurs de la Réserve fédérale, dans laquelle l'administration (actionnaires) détenait le titre juridique. Le citoyen américain (locataire, le franchisé) a été enregistrée en tant que «bénéficiaire» de la fiducie par l'intermédiaire de sa / son certificat de naissance. En 1933, les États-Unis fédéral ont hypothéqué toutes les propriétés actuelles et futures, des actifs et du travail de leurs «sujets», le 14 ème amendement citoyen américain, le Federal Reserve System.
En retour, la Réserve fédérale a décidé de prolonger le gouvernement fédéral des États-Unis société dont tout le «substitut de l'argent« crédit dont elle avait besoin. Comme tout autre débiteur, le gouvernement fédéral des États-Unis le gouvernement a dû céder garantie et la sécurité de leurs créanciers comme condition du prêt. Puisque les États-Unis n'ont fédéral détient pas d'actifs, ils ont attribué la propriété privée de leurs «esclaves économiques», les citoyens des États-Unis à titre de garantie contre la dette impayable fédéral. Ils ont également promis des territoires non constitués en municipalités fédérales, nationales forêts des parcs, des certificats de naissance et les organisations à but non lucratif, à titre de garantie contre la dette fédérale. Tout a déjà été transféré à titre de paiement pour les banquiers internationaux.
Sans le savoir, l'Amérique est revenue à son niveau d'avant-Révolution américaine, les racines féodales où toutes les terres sont détenues par un souverain et le peuple n'avait aucun droit de détenir un titre de propriété allodiale. Encore une fois, nous les gens sont les fermiers et les métayers location de notre propriété d'un souverain sous les traits de la Federal Reserve Bank. Nous, les gens ont échangé un maître à un autre.
Ce qui s'est passé pendant plus de 80 années sans la «connaissance éclairée» du peuple américain, sans voix protester assez fort. Maintenant, il est facile de comprendre pourquoi l'Amérique est fondamentalement en faillite.
Pourquoi ne pas davantage de personnes propriétaires de leurs biens pure et simple ?
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Pourquoi sont 90% des Américains hypothéqués à la poignée et possèdent des actifs peu ou pas d'après toutes les dettes ont été payées ? Pourquoi faut-il se sentir comme vous travaillez plus en plus difficile et de moins en moins ?
RépondreSupprimerNous récoltons ce qui a été semé, et les résultats de notre récolte est une faillite douloureuse, et une forclusion sur l'immobilier américain, les libertés précieuses, et un mode de vie. Peu de nos représentants élus à Washington, DC ont osé dire la vérité. Les Etats-Unis fédéral est en faillite. Nos enfants hériteront de cette dette impayable, et la tyrannie de faire respecter la payer.
L'Amérique est devenue tout à fait faillite en position de leader mondial, le crédit financier et sa réputation de courage, la vision et les droits de l'homme. Il s'agit d'une guerre non déclarée économique, la faillite et l'esclavage économique de l'ordre le plus corrompu ! Réveillez l'Amérique ! Reprenez votre pays. "
http://www.afn.org/~govern/bankruptcy.html
Quand l’Etat nous fait payer pour 5 milliards d’expérimentations douteuses d’EDF sur les énergies renouvelables
RépondreSupprimerD'ici 2018, l'Etat (donc le contribuable) reversera la coquette somme de 5 milliards d'euros à EDF pour lui rembourser les sommes engouffrées dans les énergies "renouvelables", c’est-à-dire l’éolien et le photovoltaïque.
L'État n’a plus d’argent ? C’est la crise ? Ne vous inquiétez pas: chaque poste de dépense sera ausculté et le budget sera calculé au million d’euros près. Toutes les économies possibles seront faites, si, si, vous allez voir. Et à part ça, le contribuable va filer quasiment 5 milliards d’euros à EDF pour contrecarrer le réchauffement climatique qui n’en finit pas de ne pas venir.
Oui. Vous avez bien lu : d’ici 2018, l’État va, ou plutôt vous allez donner 5 milliards d’euros, en plus de ce que vous payez déjà pour votre facture énergétique, en plus des subventions normales qui sont déjà déversées à l’opérateur historique. Et cette jolie somme à dix chiffres sera payée à EDF pour lui rembourser les sommes engouffrées dans les énergies "renouvelables", c’est-à-dire l’éolien et le photovoltaïque qu’EDF s’est engagé à acheter aux prix fort.
Eh oui ! Rappelez-vous : en l’échange d’une garantie de cours de rachat du kWh, l’État a favorisé le photovoltaïque et l’éolien et permis à plein de gogos contribuables ou d’entrepreneurs malins de réduire leur facture énergétique, voire de palper de juteuses rentrées. Là où ça devient comique, c’est qu’ensuite, EDF est allé pleurnicher à l’Etat parce que bon, racheter de l’éolien à un prix artificiellement élevé, cela fait tout de même pas mal de manque à gagner, d’autant que ce n’est pas exactement une électricité facile à fourguer par les temps qui courent. La mécanique financière à l’œuvre peut être résumée avec ce joli petit graphique rigolo:
- voir graphique sur site -
On comprendra que bien évidemment, les sommes ne se compensent en rien. Et, magie de l’intervention étatique, personne n’y trouvera son compte au final. Mathématiquement, comme il faut que tous ces montants voyagent, ce sont bien les intermédiaires (financiers notamment) qui, eux, vont récupérer les miettes et faire du bénéfice sur les opérations. L’Etat perd de l’argent, EDF perd de l’argent, et le contribuable, pris dans son ensemble, perd de l’argent. C’est tellement vrai que sinon, EDF ne serait pas en déficit, et l’Etat n’accumulerait pas de la dette comme un gros pachyderme des ecchymoses après une séquence de rock endiablé.
Et de façon toujours évidente, si l’écrasante majorité des contribuables se fait flouer, il faut bien comprendre que quelques uns, qui ont compris de quel côté du bâton il faut se trouver, s’en sortent plus qu’honorablement. En substance, toute l’opération "Vendons du panneau photovoltaïque à Mamie Germaine", pour quelques politiciens lourdement impliqués dans les entreprises de panneaux solaires, et toute l’opération "Un Joli Moulin à Vent dans le jardin de Tonton René", pour quelques lobbyistes bien implantés dans l’éolien écofestif, sont largement bénéficiaires.
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C’en est presque grotesque tellement c’est évident, mais l’opération visant à favoriser les énergies "écologiques" mise en place en France (et dans pas mal d’autres pays) est une vaste escroquerie fumistoïde dont le but aura été d’utiliser le levier étatique pour ponctionner un maximum de contribuables, d’une façon ou d’une autre, afin d’en enrichir quelques uns, très peu nombreux, politiquement sélectionnés. Et, cerise sur le gâteau, tout ceci est planqué sous l’argument maintes fois entendu de "la filière renouvelable, réservoir d’emplois d’avenir" alors que le calcul ne laisse aucun doute : à ces 4.9 milliards d’euros nécessaires au remboursement des frais engendrés par les renouvelables sur 6 ans (soit 816 millions à l’année), il faut ajouter le coût de la taxe CSPE (8% de la facture, en France). Le Chiffre d’Affaire d’EDF en France se monte à 36.6 milliards d’euros en 2011, ce qui établit le coût total des renouvelables à 3.7 milliards d’euros à l’année. Sur les cinq dernières années, il est raisonnable de penser que le coût total des expériences ludiques dans le renouvelable se monte donc à plus de 18.7 milliards d’euros. En face, différents documents permettent d’établir le nombre d’emplois créés péniblement à 59.000 en 2012 (et alors même qu’on enregistre une baisse). Ceci nous fait donc un coût de 316.000 euros par emploi créé pour la collectivité, et donc le contribuable. Une paille.
RépondreSupprimerEt la situation va empirer. En effet, on apprend dans la foulée que non seulement, le contribuable va devoir rembourser, par le truchement de l’État (qui va se servir au passage, hein), les sommes qu’il a touchées pour mettre des bidulotrons dans son jardin et sur son toit, mais en plus, l’ensemble de l’opération est purement ponctuelle et n’assure en rien que le financement de ces usines à non-gaz tienne la route dans le futur. Et comme on le sait, le gouvernement va bientôt lancer — parce qu’il n’a rien d’autre sur le feu — un grand Débat National sur la transition énergétique qui devrait déboucher, aux forceps et dans la plus parfaite opacité qu’on peut déjà imaginer, sur une "réforme" des énergies renouvelables, avec en prime la fermeture de centrales nucléaires.
Pour rappel, l’Allemagne a choisi ce petit chemin qui sent la noisette, y a trottiné et a fait exploser ses factures énergétiques, tout en multipliant la production de centrales thermiques conventionnelles, ce qui est un magnifique double-fail caractéristique de ces politiques démagogiques débiles basées sur du vent écologique boboïde : une production qui pollue, un carburant (le charbon) qui provoque plus de morts en 1 an (directs et indirects) que le nucléaire n’en a provoqué en 50 ans d’exploitations, des factures qui chatouillent l’absurde, voilà une magnifique combinaison d’échecs cuisants.
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En France, pour le moment, on n’a pas encore fermé Fessenheim, mais on comprend bien l’intérêt de déjà mobiliser la fine fleur de l’écologie de combat pour museler les quelques réalistes qui, calculs faits, voient bien que le gaz de schiste pourrait par exemple nous éviter de continuer à subventionner bruyamment les dictatures du Golfe ou les régimes douteux du Maghreb. Il est en effet impératif de faire taire ceux qui voient bien que l’écologie mal comprise et mal appliquée est en train de coûter bien plus que quelques euros supplémentaires tous les mois sur la facture EDF. Si l’on factorise les règlements idiots voire criminels qui sanctionnent ceux qui ont l’indécence de se débrouiller hors de sentiers battus, on obtient une image fidèle d’un pays qui va, chaque hiver, bien comprendre ce que "se peler les miches grave" veut dire.
RépondreSupprimerAlors que les Allemands ont déjà pris conscience de l’énorme bêtise qui aura présidé à l’arrêt des centrales nucléaires, il est grand temps que les Français se réveillent de leur léthargie alter-comprenante, entretenue par un calcul purement politicien bien pratique pour certains tartuffes. Cette manipulation est d’ailleurs habilement basée sur l’esprit du moment, mélange subtil entre le babacool / new age utopique d’un monde meilleur où le dépouillement, pardon, la décroissance est à la fois fun, désirable et inévitable, et cette étrange certitude judéo-chrétienne que disposer ainsi de facilités de vie en fournissant toujours moins d’efforts est un péché capital, une insulte à la Nature ou à la nécessaire âpreté de la vie, qui se fait obligatoirement au détriment de quelqu’un ou de quelque chose, même si les faits objectifs prouvent le contraire. Le rationnel n’a plus cours : il faudra décroître, il faudra de lourdes factures qui seront utilisées comme autant de cilices pour expier la faute de vivre dans l’opulence. Le gaz de schistes sera combattu non pour ses éventuelles pollutions (qui sont, à ce jour, toujours à prouver), mais précisément parce qu’il apporterait l’indépendance énergétique de la France, de l’énergie à bon marché et que c’est intrinsèquement mal puisqu’agréable.
EDF obtiendra donc ses remboursements. Fessenheim sera fermé. Le nucléaire français périclitera doucement. Le gaz de schiste ne sera pas exploité. Les gens auront froid en hiver, trop chaud en été, et paieront une fortune pour rouler en voiture. Les factures grimperont au plafond. Ce pays est foutu.
http://www.atlantico.fr/decryptage/quand-etat-fait-payer-pour-5-milliards-experimentations-douteuses-edf-energies-renouvelables-h16-611944.html
Vaste escroquerie mise en place par Al Gore avec son faux 'Global Warming'. Alors qu'en réalité notre planète se trouve en zone trentenaire de refroidissement ! (2005/2035).
SupprimerIls ont demandé (avec grosse campagne de pub financée par le contribuable) au contribuables de mettre de coûteux panneaux photovoltaïques sur leurs toits: résultat des courses: amortissable en 1500 ans. Durée de vie: 10/15 ans !! Hahaha !
Si l'EdF était sûre que çà marche, ils auraient déjà acheté xxx milliers d'hectares pour y mettre leur exemple inouï ! Mais, pas cons, ils ont demandé aux autres !!!
Ainsi, aujourd'hui, le contribuable paie 2 fois la facture ! 1 nucléaire et 1 solaire/éolien ! (éoliennes à 1 milliard/pièce !!)
Or mystères de réserve
RépondreSupprimer2013-JAN-20
Mercredi dernier, la Bundesbank a publié une déclaration à l'effet que 300 tonnes d'or de l'Allemagne seront déplacées de New York et de 374 tonnes de Paris. Cela devrait être une opération simple: chemin de fer ou les camions de Paris, et un peu de cargaisons militaires (ou bateaux) de l'Amérique - dès qu'ils ont un endroit pour le stocker.
Au lieu de cela ils envisagent de le faire au cours des sept prochaines années, ce qui est un report. Cela tend à confirmer les soupçons que l'or n'est pas réellement d'exister. Comme une question secondaire, ainsi que la déclaration Bundesbank est un téléchargement PDF avec 14 numéro de la diapositive intitulée «Stockage à la Federal Reserve Bank de New York". Il ressemble à un photomontage plutôt que de l'or véritable, et le come-on, c'est de croire que c'est la Bundesbank a. Cela donne le match à l'extérieur: l'exercice est un coup de relations publiques.
Pourquoi tenir de l'or à New York de nos jours ? Les Soviétiques ne sont plus menaçant la passe de Fulda. Oui, New York est évidemment toujours un lieu de négociation critique, mais pas pour l'or physique - la Bundesbank a apparemment retiré 940 tonnes de la Banque d'Angleterre en 2000, où le marché physique est en fait situé.
La raison pour laquelle ce qui importe est que l'analyse déductive indépendante a conclu que les banques centrales ont été d'approvisionner le marché avec des lingots physiques afin de supprimer le prix, tout ce qui est soit officiellement nié ou reste sans réponse. L'origine de la compression des prix fait remonter aux années 1990, et a été exposé par Frank Veneroso dans un article publié en 1998, confirmé par un travail de détective à partir de notre propre Turk James, et triplement confirmée par les réponses évasives sur cette question donnée par les banques centrales et le FMI à la Gold Anti-Trust Action Committee (GATA). Le public n'est pas conscient de ce problème parce que les médias grand public, avec l'exception occasionnelle, refusent d'enquêter sur le sujet.
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Mais voici quelque chose qui rejoint quelques points de plus. Nous savons que Gordon Brown a vendu la moitié de l'or de Grande-Bretagne à la base du marché de 1999 à 2002. Nous supposons que souvent il était juste incompétent. Ce qui n'est pas souvent apprécié, c'est qu'il a appris son économie de Ed Balls, le Chancelier de l'ombre en cours. Comme son conseiller économique, Balls a été le marionnettiste et la marionnette chancelier Brown. Ed Balls a aussi été un ami proche de Larry Summers, qui était secrétaire adjoint américain au Trésor à partir de 1995, puis Secrétaire au Trésor de 1999 à 2001 - le temps des ventes d'or de Grande-Bretagne. Comme le secrétaire au Trésor Summers était à la tête du Fonds de stabilisation des changes, le mécanisme du gouvernement américain pour fournir des lingots sur les marchés. A la lumière de ces relations très keynésienne de milieu des années 1990, il est peu probable que M. Brown a agi de manière isolée. Plus que probablement, Washington a également approvisionné le marché grâce à des swaps et des contrats de location qui n'ont jamais été enregistrés comme des changements de propriété.
RépondreSupprimerLe résultat net est qu'il n'y a pas assez d'or physique laissé dans le coffre pour livrer à l'Allemagne, ce qui explique pourquoi ils sont à gagner du temps. Ce qui nous a été présenté mercredi dernier était juste une tentative désespérée d'arrêter toute la question de plus en plus publique.
http://www.goldmoney.com/gold-research/alasdair-macleod/gold-reserve-mysteries.html
Le grand aveuglement : pourquoi ne voyons-nous pas que le Mali n'est qu'un épisode d'une Guerre mondiale déclenchée il y a 30 ans ?
RépondreSupprimerLa guerre djihadiste internationale est déclarée depuis 1979, date de l'invasion soviétique de l'Afghanistan.
Au-delà de ce qui se passe encore sur le site d’In Amenas, au-delà de l’avancée des troupes françaises - qui ne sont plus seules, contrairement à ce que prédisaient certaines Cassandres - au Mali, apparaît dans toute sa clarté un fait que la conjonction des aveuglements, des renoncements et des alibis avait caché depuis au moins trente ans, à savoir qu’il s’agit d’une guerre djihadiste internationale déclarée par les djihadistes eux-mêmes et cela depuis 1979, année charnière. Cette année-là, en effet, verra l’invasion soviétique de l’Afghanistan et sa conséquence majeure : la formation des brigades internationales de l’islamisme, avec notamment, dans ses rangs, un certain Oussama Ben Laden et, de l’extérieur, l’aide des Etats-Unis focalisés alors sur la lutte contre Moscou, considérée encore comme l’ennemi principal. Dans le même temps, l'ayatollah Khomeini, logé, nourri et blanchi par Giscard, va créer la première république islamique des temps modernes. Enfin, action beaucoup moins remarquée mais encore plus significative : la prise de la grande mosquée de la Mecque - lieu sacré de l’Islam - par des salafistes radicaux qui accusent le régime saoudien de trahir Allah. Il faudra l’intervention du GIGN français pour mettre fin - dans le sang - à cette agression.
Depuis, à Londres comme à Madrid, au Kenya comme à Bali, à Marrakech comme à Toulouse, précédée et couronnée évidemment par le 11 septembre 2001 à New York, la guerre des intégristes contre les infidèles se poursuit sur tous les fronts, ne faisant aucune différence entre Arabes et Européens, Russes et Américains, Chinois et Indiens, civils et militaires, adultes et enfants. Les buts sont avoués, cohérents et explicites : restaurer le Califat aboli en 1924 par ce traître d’Ataturk, après la chute de l’empire ottoman, reconstruire la nation islamique avec l’application totale de la charia, reconquérir les terres européennes abandonnées aux mécréants à la fin du XVème siècle. Aux autruches qui ne voulaient rien voir ni rien entendre, il suffisait depuis longtemps d’écouter un certain nombre de télévisions satellitaires du Moyen-Orient, pour connaître quotidiennement l’énoncé du programme.
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Peu importe dès lors les oiseuses discussions sur l’identité de l’état-major : Al-Qaïda n’est qu’une des expressions de cette idéologie totalitaire, et a depuis longtemps franchisé la marque en des myriades de labels qui œuvrent ici ou là, en Europe comme au Sahel, au service du même objectif. Que nous le voulions ou non, cette guerre mondiale bat son plein et ne s’arrêtera pas de si tôt, parce qu’elle n’a rien à voir avec les précédents conflits internationaux. Certains raisonnent encore avec les lunettes de 40-45 ou de la Guerre froide. N’en déplaise aux nostalgiques de l’anti-colonialisme d’il y a un demi siècle, cette guerre asymétrique oppose, bien au-delà des dictatures corrompues et des régressions organisées, tous ceux - musulmans, chrétiens, juifs, athées ou agnostiques - qui mettent la liberté et les droits humains au-dessus de tout, et ceux qui veulent instaurer le nouvel ordre totalitaire. C’est pourquoi le Mali et In Amenas ne sont que les épisodes d’un feuilleton dont on est loin de connaître la fin.
RépondreSupprimerhttp://www.atlantico.fr/decryptage/grand-aveuglement-pourquoi-ne-voyons-pas-que-mali-est-qu-episode-guerre-mondiale-declenchee-30-ans-andre-bercoff-610782.html
Sunday, Janvier 20, 2013
RépondreSupprimerAndy Hoffman sur l'or, l'argent, la monnaie fiduciaire et la fin de la Réserve Dollar
Avec Anthony Wile1
The Bell quotidien est heureux de vous présenter cette interview exclusive avec Andy Hoffman.
Introduction: Andrew ("Andy") Hoffman, CFA s'est joint à Miles Franklin en tant que directeur du marketing en Octobre 2011. Pendant une décennie, il a été aux États-Unis buy-side et sell-side analyste, notamment en tant qu'analyste II-classé huile de service chez Salomon Smith Barney, de 1999 à 2005. Depuis 2002, son accent a été mis entièrement sur ??les métaux précieux , et depuis 2006, a écrit missives libres en ce qui concerne l'or, de l'argent et de la macroéconomie sous le nom de "Ranting Andy." Avant de rejoindre la société, il a travaillé cinq ans en tant que relations avec les investisseurs un dirigeant ou consultant pour de nombreuses sociétés minières. Une archive de "Andy" SUBVENTIONS peuvent être trouvées sur le Blog Miles Franklin.
Daily Bell: S'il vous plaît vous présenter à nouveau. Dites à nos lecteurs comment vous avez atterri à Miles Franklin et ce que vous faites pour eux.
Andy Hoffman: Tout en travaillant à Wall Street, j'ai appris des métaux précieux en 2002. Je suis ensuite allé "all in" pour le secteur, et avec diligence moi-même appris à ce sujet dans la préparation de «changer de carrière" à partir de l'énergie pour les métaux précieux. J'ai commencé à travailler cinq ans comme agent de relations avec les investisseurs et consultant pour des dizaines de petites sociétés minières, mais dans les missives gratuit que j'ai publié, je suis devenu de moins en moins séduits par «Placements PM PAPIER" comme les actions minières, et plus encore dans la vraie chose. Ainsi, lorsque j'ai eu l'opportunité de rejoindre Miles Franklin - l'un des plus importants du pays, courtiers en lingots les plus respectés - en tant que Directeur Marketing, j'ai fait le bond.
Daily Bell: Nous allons revenir sur une partie du terrain avant de se pencher en avant. La dernière fois, vous nous avez dit que les banquiers ont utilisé leur «effet de levier» dans l'économie depuis des milliers d'années, la négociation des positions de pouvoir au sein du gouvernement que nous avons aujourd'hui. Est cette tendance s'aggrave ou mieux ?
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Andy Hoffman: Malheureusement, il est aussi mauvaise qu'elle l'a jamais été. Non pas tant à cause de l'influence des banquiers avoir, mais parce qu'ils ont créé le gargantuesque "Too Big To Fail" structure bancaire qui est presque impossible à briser. En fait, les banksters fait une grande erreur de jugement en tirant leurs fonds de lobbying Obama cette fois-ci, et donnant essentiellement tout cela à Romney. Obama n'est certainement pas heureux à ce sujet, mais comme je l'ai dit, s'il tente de poursuivre ou de blesser ces zombies insolvables, l'économie s'effondrera immédiatement.
RépondreSupprimerDaily Bell: Rappelez-nous ce qu'est un taux d'intérêt négatif et où nous les voyons.
Andy Hoffman: C'est juste que ça en al'air. Les gens ont été tellement peur de perdre de l'argent, ils ont été en train de payer soi-disant «conservateurs» des gouvernements comme la Suisse et l'Allemagne pour stocker des fonds, peut-être dans la "stratégie d'investissement" plus stupide qu'on puisse imaginer. Heck, anti-or propagandistes nous ont dit pendant des années que l'or n'est pas un bon investissement car il ne paie aucun intérêt, et pourtant, dans ce cas, il paie plus d'intérêts que certains liens !
Daily Bell: Pensez-vous toujours que le monde sera à court d'or ?
Andy Hoffman: Tout comme " pic pétrolier "et d'autres" de pointe "analyses des matières premières," l'or pic "théorie est probablement fausse. Cela dit, comme dans l'huile, "pic or pas cher" a clairement été adoptée. Grandes découvertes sont inexistantes, et la teneur du minerai en moyenne plongeant. Sans oublier, pour trouver des gisements considérables, les mineurs sont à explorer plus profondément, et plus dangereux (logistiquement et politiquement) les juridictions. Les coûts d'exploration, développement et production explosent littéralement, et ainsi, seulement à des prix beaucoup plus élevé est-il une chance d'augmentation de la production de matériaux. Rappelez-vous, la production de l'industrie a atteint un sommet de près de dix ans, lorsque les prix d'or étaient un tiers du niveau actuel.
Daily Bell: Mise à jour sur la timeline d'un accident global, s'il vous plaît ...
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Andy Hoffman: Je n'ai pas de calendrier précis autre que de constater que les tendances qui ont été mis en place depuis le «pic ère fiat» au tournant du siècle ont empiré d'année en année. Le tout se résume à la confiance que le dollar vaut rien, euros, yens et vont maintenir leur pouvoir d'achat au coeur d'un environnement d'accélérer la faiblesse économique, l'accumulation de la dette, l'inflation et la croissance. Il pourrait très bien être en 2013 - ou TPTB pourrait en quelque sorte «kick les peut« encore quelques années. Mais même s'ils le font, dit TOUS les problèmes continueront de s'aggraver de façon spectaculaire.
RépondreSupprimerDaily Bell: Vous nous avez dit que les banques et les obligations souveraines s'effondrent et toutes les économies mondiales sont en récession. Nous mettre à jour, s'il vous plaît. Faut-il inclure la Chine et de l'Asie ?
Andy Hoffman: Les banques sont encore ZOMBIES, en ce qu'elles sont insolvables mais fortement soutenu par illimitées "QE" injections (comme la Fed politique de l'actuelle "ZIRP" au moins jusqu'à la fin de 2015) et de la comptabilité frauduleuse, comme les modifications des règles du FASB en 2009 qui leur permettent de valoriser leur prêt hypothécaire en train de mourir et les actifs dérivés à quoi les valeurs qu'ils aimeraient. Comme pour les souverains, leurs obligations ont rebondi de soins de régimes draconiens imprimer de l'argent comme la BCE d '«OMT» - Vainqueur de transaction monétaire - plan, annoncé cet été, d'acheter des quantités illimitées d'obligations souveraines européennes avec de l'argent imprimé. Cela a permis de stabiliser les marchés pendant un certain temps, mais toutes les économies du monde sont en forme de façon spectaculaire pire qu'il y a un an. Ainsi, à un moment donné, quelque chose a à donner. En ce qui concerne la Chine, il est presque impossible de mesurer leur économie «force», que les chiffres publiés par le gouvernement rende des Etats-Unis a trafiqué les données économiques regarder crédible.
Daily Bell: La Fed a imprimé des milliards, et nous avons demandé ça avant: Pourquoi ne l'ont pas des banques américaines a publié l'argent qui a été imprimé pour eux par la Fed ? Ont-ils peur de prêter ?
Andy Hoffman: OUI, ils ont peur de prêter, car ils sont insolvables. C'est pourquoi ils prennent la liberté "ZIRP" de l'argent et d'investir dans des bons du Trésor pour profits sans risques à la place. En outre, le consommateur moyen et entreprise se porte si mal, ils ne veulent pas emprunter. Et rappelez-vous, seules les banques obtenir les taux d'intérêt zéro. Pour tous les autres, l'usure est la norme.
Daily Bell: Quels sont les détails de «vérités» économiques non publiés aux Etats-Unis "Ministère de la Vérité" manuels scolaires ?
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Andy Hoffman: TOUT. Ils veulent vous faire croire «keynésianisme» est le moyen de prospérer, c'est à dire, le gouvernement devrait contrôler la politique monétaire et budgétaire. L'histoire nous montre gouvernements TOUJOURS vis à la fois les secteurs public et privé lorsqu'il est administré trop de contrôle. Cependant, comme ils écrivent les manuels scolaires, ils vont continuer à nous dire le contraire.
RépondreSupprimerDaily Bell: Vous nous avez dit de «juste attendre jusqu'à ce que la révolution se produit en Arabie" si vous voulez vraiment voir la guerre et l'inflation. Mettez à jour ?
Andy Hoffman: Je n'ai pas vu des mesures particulières en Arabie Saoudite depuis l'été dernier, mais certainement voisin la Syrie pourrait être un important point d'accès 2013. Et n'oubliez pas de Netanyahu d'Israël est en place pour une réélection cette année - avec une plate-forme principale de «faire quelque chose à propos de l'Iran." Une grande partie du Moyen-Orient hait l'Amérique et la pétro-dollar, et ce n'est qu'une question de temps avant que la Maison des Saoud est renversé. Soit dit en passant, je crois que le roi Abdallah est très vieux et malade alors qui sait comment volatile la succession prochaine ?
Daily Bell: Votre principale zone de mise au point est de répandre la parole de la suppression de mesures de prévention via PAPIER nus court-circuit par le gouvernement et ses banques homme de main, comme Goldman Sachs et JP Morgan. Pouvez-vous nous mettre à jour ?
Andy Hoffman: Pire que jamais, et je dis bien le pire que j'ai jamais vu. Apparemment, chaque seconde de la journée de 24 heures commerce mondial propose la suppression PM PAPIER, que j'ai document dans mon blog chaque jour. Que l'urgence de tous les maux du monde - et la banque centrale d'impression d'argent - a augmenté, ils ont dû travailler plus agressive pour maintenir des prix bas. Cela a notamment été le cas depuis dollars à prix d'or a atteint un sommet de tous les temps en Septembre 2011, mais encore, les deux métaux ne cessent d'augmenter, et dans certaines monnaies (comme le yen), l'or est à son plus-haut que nous parlons. Bien sûr, le problème avec la suppression PAPIER, c'est que cela ne s'arrête pas la demande physique - et, en fait, augmente, il en raison de la baisse des prix. En fait, pas plus tard qu'hier [Janvier 17, 2013] l'US Mint a suspendu les ventes de pièces de monnaie aigle d'argent parce qu'il a manqué d'ARGENT.
Daily Bell: Êtes-vous plus ou moins encouragés en ce qui concerne les euros ?
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Andy Hoffman: L'euro est aussi défaillant que le dollar à l'heure actuelle, les deux sont de monter et descendre les uns contre les autres, absurdement. En fait, après avoir récente de l'euro déplacement infinitésimal en place, le président de l'Eurogroupe a déjà dit qu'il est inquiet ! En fin de compte, je pense que l'euro doit être dissous, ou au moins reconfiguré sans liens faibles comme les PIIGS.
RépondreSupprimerDaily Bell: Est-ce que l'UE reste dirigée par rupture ?
Andy Hoffman: Par-dessus, absolument. C'est seulement une question de quand le fameux «confiance» dans sa cohésion meurt. En dehors de l'OMT, rien n'a été fait pour corriger l'Europe, qui continue à monter plus profondément dans la récession. Et pas seulement les PIIGS, mais l'Angleterre, la France et l'Allemagne.
Daily Bell: la Russie ?
Andy Hoffman: Je n'ai pas une bonne lecture sur la Russie, mais, étant donné son énorme dépendance sur les exportations de pétrole, je suppose qu'il fait mieux que la plupart. Au moins, le gouvernement, mais je parie que les citoyens opprimés dirais le contraire. Plus important encore, son gouvernement ouest-haine est une alliance avec ses voisins d'Asie et d'acheter d'énormes quantités d'or, de sorte qu'il peut être une grande puissance une fois que le régime actuel fiat meurt.
Daily Bell: Les BRIC économies ? N'est-ce pas l'inflation des ravages en Inde et au Brésil ?
Andy Hoffman: inflation de l'Inde a été si mauvaise que la roupie a plongé à tous les temps-bas ces derniers mois. L'idiot, le gouvernement désespéré tente en fait de décourager l'Inde or épris de la population de posséder de l'or - qui, non seulement ils pensent, mais je sais est la seule monnaie fiable. Leurs efforts vont échouer, car la population ne permettra pas à leurs économies pour être détruites par l'inflation. Quant au Brésil, comme tout le monde, leur «miracle marché émergent» a eu une partie de la brillance pris son envol, ce qui explique pourquoi leur banque centrale vient d'abaisser les taux d'intérêt.
Daily Bell: La Chine est dirigée par un atterrissage brutal ?
Andy Hoffman: Comme je l'ai déjà dit, il est impossible de le dire. En outre, ils ont littéralement des billions de réserves en devises à partir de deux décennies d'énormes excédents commerciaux. Ils mettent ce capital pour travailler dans des projets d'infrastructure qui ne sont pas nécessairement faire des profits, mais certainement garder les gens occupés et permettre à la nation de déclarer "une forte croissance du PIB."
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Daily Bell: l'Argentine et l'Amérique du Sud ?
RépondreSupprimerAndy Hoffman: Je n'ai pas de bonne intel sur ces domaines, mais je doute qu'ils font nettement mieux que le reste du monde. En fait, l'Argentine a eu des problèmes majeurs avec contrôle des changes de l'année écoulée, qui sont généralement associés à une activité économique très faible.
Daily Bell: Quelques questions qui se sont produits depuis la dernière fois nous avons parlé ... A évité aux États-Unis sa falaise fiscale ?
Andy Hoffman: Ha ha ha. C'est une bonne chose. Le "deal falaise fiscal» tout simplement augmenté les taxes sur la masse salariale tout, et remettre les dépenses mortelle "séquestrer" de deux mois. Les horreurs exactement la même va se jouer en Février, mais cette fois ils DOIVENT être résolu, ou un certain nombre de choses terribles se jouera - comme dégradations de notation de crédit des États-Unis, les augmentations de taux d'intérêt, les prix de l'or explosent et la confiance réduite du dollar. Et oh, oui, nous avons déjà franchi le plafond de la dette - qui doit être soulevé de peur que l'américain par défaut.
Daily Bell: Est-ce juste une crise made-up et pourquoi ?
Andy Hoffman: Pas du tout. Il ne pouvait pas être plus vrai. C'est maintenant au point parce que le Congrès délibérément "coup de pied la boîte" au-delà des élections de 2012, mais il fut un temps long à venir - 42 ans, pour être exact. En 1971, la nation avait une dette essentiellement ZERO mais quand nous avons abandonné l'étalon-or, il nous a permis de "recharger notre carte de crédit" depuis quatre décennies. Maintenant, il est complet et donc, doit être réglé maintenant.
Daily Bell: Qu'est-ce qui se passe avec le plafond de la dette ? Comment peut-il se fonder pour mettre de côté une fois pour toutes ?
Andy Hoffman: Il ne peut pas. La monnaie fiduciaire est une chaîne de Ponzi, par définition, donc, la dette doit croître de façon exponentielle pour la faire fonctionner. Les États-Unis DOIT relever le plafond de la dette à l'infini (qui finira par céder à l'effondrement de la confiance des ci-dessus). «Taxe triche Timmy" Geithner nous a conseillé de se débarrasser du plafond de la dette complètement, ce qui, si annoncé, pourrait commencer le processus d'hyperinflation immédiatement. Ce serait une des décisions les plus suicidaires politiques de l'histoire américaine.
Daily Bell: La Bundesbank est impliqué dans une opération de rapatriement de l'or. N'ont-ils pas confiance aux Etats-Unis ?
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Andy Hoffman: C'est un autre bon. Ils - et la douzaine d'autres pays ainsi dans le processus de rapatriement de l'or à partir des centres CRIME financiers de New York et de Londres - sont terrifiés que lorsque leur pays sans valeur va finalement s'effondrer, ils n'auront pas de l'argent réel à se replier sur. NO ONE confie la Fed, et franchement, je doute que l'or allemand est toujours là, ce qui est probablement pourquoi ils ont promis d'envoyer la Bundesbank un maigre 300 tonnes sur une période de - Wait For It - sept ans.
RépondreSupprimerDaily Bell: La US Mint est à court d'argent, que nous entendons. Est-ce vrai ? Que va faire pour que le prix de l'argent ?
Andy Hoffman: Il est sûr, c'est pourquoi hier, ils ont suspendu indéfiniment toutes les ventes de Silver Eagles. Prix de l'argent devrait aller beaucoup plus élevé en raison, bien que, comme je l'ai dit, le Cartel se disputeront «bec et ongles» avec PAPIER nu court-circuit. Cela dit, la pénurie matérielle fera frauduleuses telles court-circuit très difficile d'avoir une traction à partir.
Daily Bell: Est-Japon hyperinflation ? Est-ce pour cela qu'ils semblent vouloir aller à la guerre avec la Chine ?
Andy Hoffman: Oui. Qu'est-ce qu'ils font en ce moment en vertu de leur «ancien» et «courant» Premier ministre, Shinzo Abe, est de mettre leurs précédentes 20 ans de l'impression de l'argent à la honte. La monnaie s'est effondrée de 15% au cours des quatre derniers mois, et le yen à prix d'or est en pleine explosion de nouveaux plus hauts historiques chaque jour. Prix de l'essence vient de frapper un sommet en 12 mois et le "Land of the Setting Sun" est en grave danger d'enflammer l'hyperinflation. Quant à leur différend avec la Chine, ils devraient être fou pour commencer une guerre avec son voisin plus grand et plus fort.
Daily Bell: Jetons un coup d'oeil à l'américaine. Toujours dirigé vers le bas ?
Andy Hoffman: Il suffit de regarder le rythme de croissance de la dette américaine - qui est passé de l'arithmétique, de Géométriques, pour parabolique - d'évaluer son état de santé. Planche à billets, une mauvaise politique et la migration des emplois manufacturiers à l'étranger ont ravagé l'Amérique. Sa monnaie est le monde le plus surévalué, comme le sont ses obligations. En raison de (fortement abusé) du dollar "statut de monnaie de réserve», l'américaine est le niveau de vie va tomber plus fort que n'importe quelle autre nation.
Daily Bell: Qu'en est-il du dollar ?
Andy Hoffman: Le dollar est le «stock des Etats-Unis», comme dit Jim Sinclair. Et ça va BAS.
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Daily Bell: Quelle sera l'or et l'argent aller ? Et à quand ce marché haussier en fin de matières premières ?
RépondreSupprimerAndy Hoffman: En dollars d'aujourd'hui, l'or devrait augmenter à 15.000 $ - $ 20,000 / oz à équilibrer la quantité de l'argent imprimé avec des réserves américaines d'or les gouvernements. Malheureusement, la masse monétaire TRUE est beaucoup plus élevé que publiée, et les réserves d'or TRUE sont beaucoup plus faibles. Et, bien sûr, l'impression de l'argent est seulement accéléré. Quant à l'argent, ces valeurs en or équivalent à 1000 $ - 4000 $ / oz, en fonction de ce que l'or / argent vous assumez rapport. La «fin» du taureau PM devrait être mieux formulé comme la fin de la monnaie fiduciaire ours, ce qui ne se produira après le dollar et les autres grandes monnaies fiduciaires inévitablement l'effondrement (le + 600 devant tout le monde fait).
Daily Bell: Vous attendez-vous le retour de l'étalon-or ? État mandatée ou run marché ?
Andy Hoffman: La seule façon pour se restaurer est de l'argent réel, comme cela a été la leçon de l'histoire, y compris en Amérique. Les autorités finiront par l'institutionnaliser mais je suppose que son émergence est catalysée par les marchés rejetant fausse monnaie en lieu et place de l'argent réel.
Daily Bell: Que doit-on faire maintenant pour protéger leur patrimoine ?
Andy Hoffman: Acheter de l'or et de l'argent PHYSIQUE. Pas des «placements PM PAPIER" comme les actions minières et les ETF, mais la vraie substance.
Daily Bell: Vous prédit Obama perdrait. Vous aviez tort. Pourquoi ?
Andy Hoffman: C'est drôle, je ne me souviens pas faire une telle prédiction. Cela dit, dans les semaines qui ont précédé l'élection, j'ai été très loquace concernant ma conviction qu'il allait gagner. Mon raisonnement était que «c'est l'économie, idiot» ne signifie plus voter sur les titulaires. Au lieu de cela, dans un pays avec un chômage quasi record, une vision faible et un nombre record de citoyens au chômage, il a été peu de doute que la majorité serait tout simplement voter pour celui qui a promis plus de droits.
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Daily Bell: Que pouvons-nous attendre d'un second mandat ?
RépondreSupprimerAndy Hoffman: augmenter le contrôle sur l'ensemble des citoyens par des actions draconiennes. Rappelez-vous son commentaire à Medvedev de la Russie, d'avoir plus de "flexibilité" après les élections ? Eh bien, il l'a eu aujourd'hui, et prévoit de faire de nous dans les États socialistes / fascistes de l'Amérique au moment où il s'en va.
Daily Bell: Êtes-vous à tous les optimistes quant aux perspectives aux États-Unis ? Les gens devraient aller ailleurs ?
Andy Hoffman: Je ne suis pas du tout optimiste quant aux perspectives économiques des Etats-Unis. Je crois que les choses vont devenir bien pire, surtout si des réductions de dépenses fiscales sont promulguées falaise (mais ne soyez pas surpris si elles ne sont pas). Toutefois, le déménagement est une étape importante à prendre - d'autant plus que tant d'autres nations se battent aussi, beaucoup d'entre eux détestent les Américains. Parfois, le «diable vous savez" est mieux que "le diable vous ne savez pas», alors soyez très prudent à propos envisage une telle étape.
Daily Bell: Est-ce que la situation de l'emploi ?
Andy Hoffman: Difficile de voir que cela se produise, étant donné les vents contraires qui font rage de la récession plus forte raison si cette réduction des dépenses fiscales falaises se produire, ce qui permettrait de réduire considérablement l'emploi. Le gouvernement continuera à truquer les chiffres NFP mais ne sera pas en mesure de masquer les tendances sous-jacentes. Plupart des nouveaux emplois sont dans le groupe d'âge + 55, et beaucoup sont soit temporaire ou le salaire minimum. Les emplois manufacturiers ont disparu pour de bon - fin de l'histoire.
Daily Bell: Est des États-Unis devient moins libre en général ?
Andy Hoffman: Plus encore chaque jour. George Bush a rendu des ordonnances exécutives plus que les 15 précédents présidents réunis, et Obama atteint le niveau de Bush en seulement quatre ans, avant que les 23 commandes de contrôle des armes liées à cette semaine. Certains sont extrêmement dangereux, comme la National Defense civile EO Ressources publié en Mars 2012, et je crains que les choses vont devenir bien pire, en parallèle avec l'affaiblissement de l'économie et du dollar.
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Daily Bell: Doit-on cesser de s'armer nous-mêmes ?
RépondreSupprimerAndy Hoffman: Absolument pas. Le deuxième amendement a été créé pour protéger les citoyens contre les gouvernements tyranniques, ce qui est exactement ce que nous voyons ici. En outre, comme s'aggravent inflation, le chômage et la pauvreté, vous pouvez compter sur la criminalité accrue ainsi.
Daily Bell: Est-ce que l'Internet continue à progresser ?
Andy Hoffman: L'Internet est la plus grande invention du siècle passé, et dans un monde de plus en plus corrompu représente notre seul moyen de répandre la vérité.
Daily Bell: D'autres commentaires que vous voulez faire ?
Andy Hoffman: seulement pour vous protéger, et le faire maintenant !
De Bell quotidienne: Littérature vous souhaitez recommander ?
Andy Hoffman: Le blog de Miles Franklin, bien sûr. J'écris missives GRATUITEMENT cinq jours par semaine, de même que le fondateur de notre entreprise, David Schectman, et notre écrivain associé, le projet de loi Holter. Il suffit d'aller www.milesfranklin.com où vous pouvez les lire dans notre archive ou entrez votre adresse e-mail pour les envoyer automatiquement.
Daily Bell: Merci encore.
http://thedailybell.com/28594/Anthony-Wile-Andy-Hoffman-on-Gold-Silver-Fiat-Money-and-the-End-of-the-Dollar-Reserve
Sans poser une seule question, The Economist est sûr que l'or ne fait rien
RépondreSupprimerSoumis par cpowell
12:56 p PT Saturday, Janvier 19, 2013
Chers amis du GATA et Or:
Pour l'arrogance journalistique et de la désinformation, il est toujours difficile de faire mieux The Economist, qui ne demande jamais aux questions, mais plutôt présume simplement que, par définition, il le sait.
Ce fut le cas encore une fois cette semaine que MCK du magazine commenté inconsciemment sur la tentative de la Bundesbank de rapatrier un peu de son or voûtée à l'étranger.
Dans un petit essai intitulé «Monetary Economics with a Vengeance" -
http://www.economist.com/blogs/freeexchange/2013/01/central-bank-gold-re ...
- The Economist rappelle le film 1995 "Die Hard with a Vengeance», ce qui implique une tentative pour piller et faire semblant de détruire l'or détenu à la Banque fédérale de réserve de New York.
"Pour comprendre pourquoi la menace de détruire l'or n'avait pas de sens», The Economist écrit: «elle aide à comprendre ce que le métal inerte faisait avant qu'il a été volé (à peu près rien). Déclaration d'hier de la Bundesbank vous dit tout ce que vous devez savoir :
«Avec ce plan, le nouveau stockage, la Bundesbank se concentre sur les deux principales fonctions des réserves d'or: pour construire la confiance et la confiance interne et la possibilité d'échanger l'or pour les monnaies étrangères dans les centres de commerce de l'or à l'étranger dans un court espace de temps. »
"Les réserves d'or sont un moyen relativement facile de maintenir l'accès aux devises étrangères dans un pincement, mais leur valeur est surtout symbolique. Pour le meilleur ou pour le pire, systèmes contemporains de la monnaie fiduciaire ne nécessitent pas de lingots afin de fonctionner. Qu'est-ce qu'ils ont besoin est la foi. «crédit» et «crédible» proviennent de la même racine, après tout. La décision de la Bundesbank indiquent que certains en Allemagne sont préoccupés par la confiance continue du public dans l'euro en tant que monnaie pour la conduite des opérations et des investissements. Ce serait une problème grave, et c'est un euphémisme. Déplacement des centaines de tonnes d'un brillant, résistant à la rouille métallique d'un coffre-fort à Paris pour une voûte à Francfort pourrait être une décision vaut que si elle permet de sécuriser l'acquiescement à la politique monétaire allemande Mario Draghi. "
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Oui, juste faire confiance à la Bundesbank pour calmer la grande lavés; rien à voir ici, s'il vous plaît se déplacer le long.
RépondreSupprimerSauf, bien sûr, occidentales réserves d'or des banques centrales ont pas fait "à peu près rien», et leur valeur est bien plus qu'un "avant tout symbolique." Plutôt valeur de l'or est la valeur de la totalité du capital, du travail, des biens et services dans le monde, parce que l'or détermine ces évaluations.
Même lorsque les réserves d'or des banques centrales ont été apparemment juste assises dans leurs coffres, ils ont longtemps été subrepticement loués, échangés, collaterized, hypothéqués et rehypothecated, et utilisés pour l'intervention secrète dans les marchés des changes, dont le marché de l'or est une grande partie, afin de truquer les marchés à l'appui des devises et des obligations d'État et de supprimer les taux d'intérêt.
Dans ces arrangements réserves d'or des banques centrales ont sans doute été, pour le dire poliment, overpledged car ils ont mené les Western réserves fractionnaires activités bancaires or. Or idéologues tiennent à dire que «les gouvernements ne peuvent pas imprimer de l'or», mais en fait ils ont imprimé probablement des milliers de tonnes de lui et une grande partie du monde a été prêt à accepter les demandes de papier à l'or qui n'existe pas en réalité.
Conversion des revendications papier au métal qui a été overpledged est probable l'histoire derrière la Bundesbank a la pointe des pieds loin de la suppression du régime de prix de l'or.
Mais The Economist ne pas avoir à compter sur GATA compte de ce régime. Le magazine pourrait toujours tenter de journalisme et de faire ses propres enquêtes. Le magazine peut se demander si les banques centrales occidentales pour une comptabilité de leurs swaps d'or et de baux et une inspection de leurs comptes-or de la Banque des règlements internationaux, dont la fonction principale semble être d'intervenir dans le marché de l'or pour le compte de ses membres et qui, même annonce ses services d'intervention d'or du marché:
http://www.gata.org/node/11012
Ou The Economist pourrait interroger les banques centrales occidentales sur la confidentialité 1999 mémorandum préparé par le personnel du Fonds monétaire international rapporte que les banques centrales occidentales s'opposent à la divulgation de leurs swaps d'or et les baux car cela nuirait à leurs interventions sur le marché secret:
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http://www.gata.org/node/12016
RépondreSupprimerChaque banque centrale peut se demander si cette note s'applique à elle et que ce soit dans l'intérêt de la transparence, il fera tous ses or de documents relatifs à la disposition du public.
Bien sûr, The Economist tentera rien de tout cela. Il sait tout sans avoir à poser des questions. C'est pourquoi il est The Economist.
http://gata.org/node/12143
Développement ou d'exploitation à venir pour l'Afrique
RépondreSupprimerUn extrait de l'hebdomadaire Le prévisionniste International.
19 janvier 2013: Pour dire l'intervention française au Mali est hypocrite est le deuxième plus grand euphémisme du 21ème siècle. La ligne officielle est que la France pleut sainte terreur vers le bas sur le Mali maintenant de fumer sur les extrémistes islamistes qui menacent (selon la française) pour dépassement de l'Afrique ... et peut-être l'Europe ainsi ... dirigeants africains de plus en plus confrontés à un choix difficile : ouvrir les portes pour les entreprises de l'Ouest ou faire face à la diplomatie canon qui a fait des ravages dans les pays non coopératifs tels comme la Libye et le Mali.
Par James Corbett
Comme du temps de presse, la saisie de 40 otages étrangers à un champ de gaz algérien par des terroristes islamistes fait les manchettes internationales. En admettant qu'il peut être «débordement» de l'opération militaire en cours français au Mali, le gouvernement américain confirme l'utilisation de drones de surveillance pour suivre la crise et tout le scénario a soulevé le spectre d'(encore un) excuse pour l'AFRICOM et de l'OTAN pour mettre bottes sur le terrain et des bombes dans l'air en Afrique du Nord. Et si un autre jour se lève dans l'empire du Nouvel Ordre Mondial.
À-dire l'intervention française au Mali est hypocrite est le deuxième plus grand euphémisme de la 21 ème siècle. La ligne officielle est que la France pleut sainte terreur vers le bas sur le Mali maintenant de fumer sur les extrémistes islamistes qui menacent (selon la française) pour dépassement de l'Afrique ... et peut-être l'Europe. Le récit est qu'au moins l'un des trois partenaires de l'alliance islamiste malien-Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI)-a désigné la France comme "une cible de choix pour l'attaque." Comme Pepe Escobar de l'Asia Times souligner, Cependant, c'est le même que AQMI en 2007 a fusionné avec le Groupe islamique combattant libyen (GICL) que la France était le financement, l'équipement, la fourniture, la formation et fournir une couverture aérienne dans l'invasion de 2011 de la Libye.
À-dire la perspective d'une intervention américaine en Algérie pour nettoyer l'islamiste «débordement» du Mali est hypocrite est le plus grand sous-estimation de la 21 ème siècle. Gardez à l'esprit que c'est précisément à cause des bombardements menée par l'OTAN amour libyenne de 2011, qui utilise AQMI au Mali et l'Algérie comme une base d'opérations. Ce n'est pas mon avis, c'était la crainte que l'Algérie a été expressément en garde lors de l'invasion libyenne. Et, comme Tony Cartalucci de notes des terres les rapports Destroyer, c'est précisément ce que la Brookings Institution à travers son porte-parole a noté Bruce Riedel dans The National Interest en Août 2011. Le titre de ce rapport ? "L'Algérie sera le prochain à tomber." Oui, c'est la même chose Bruce Riedel qui a co-écrit le fameux rapport Brookings "Quel est le cheminement vers la Perse ?" Qui préconisait l'appui du Département d'Etat classé organisation terroriste la Moudjahidin-e-Khalq (MEK ) pour terroriser Téhéran.
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Oh, et l'autre pièce de ce casse-tête: le LFIG / AQMI que les Français (et maintenant peut-être aux États-Unis) sont la lutte contre le Mali (et l'Algérie) sont le groupe d'auto-même qui est maintenant ouvertement terroriser la Syrie avec l'aide complète, le soutien et la complicité des puissances de l'OTAN.
RépondreSupprimerVous savez ce sentiment que vous obtenez lorsque vous ne savez pas s'il faut rire de l'absurdité de l'hypocrisie scandaleuse que l'on vous demande d'avaler ou de crier au scandale à elle ? Nous avons besoin d'un mot pour cela. Je propose que nous appelons NATOsis .
Quoiqu'il en soit, rien de tout cela ne surprendra les observateurs de la géopolitique à l'ère de la guerre globale contre la terreur. Pas plus qu'elle ne les surprendre d'apprendre que le Mali est le troisième producteur africain d'or le plus grand, est pensé pour avoir quelques 5000 tonnes de potentiels gisements d'uranium, une mine de ressources minérales, et, bien sûr, de l'huile et de gaz inexploré. Il ne sera pas difficile pour quiconque de deviner pourquoi les otages en Algérie ont été capturés sur un champ de gaz naturel algérien BP. Tout cela est parfaitement prévisible, car il correspond à tous les degrés du mode d'exploitation des ressources néocoloniale en Afrique, un paradigme qui est en pleine activité depuis des décennies et gagne la vapeur comme la lutte pour les ressources africaines se réchauffe.
Comme pour tous les conflits, la guerre des ressources en Afrique a deux côtés. D'un côté, il y a les néocolonialistes de la France, la Grande-Bretagne, l'Amérique et les puissances de l'OTAN, avec leur modèle d'étaiement dictateurs et les pays de bombardement en miettes afin d'assurer leur accès à la richesse de l'Afrique en minerais. De l'autre côté, c'est la Chine, deuxième plus grande économie du monde et un pays de 1,3 milliard de personnes qui est dans le besoin désespéré d'une offre toujours plus large de ressources pour nourrir la gueule béante de sa production industrielle. Par contraste avec les copains de l'OTAN, Pékin espère obtenir l'accès aux ressources à long terme et non par le canon d'un fusil, mais par une autre méthode de temps de test: la poignée de main graissée.
Accroître les investissements chinois en Afrique n'a pas échappé à l'attention des gouvernements occidentaux au cours de la dernière décennie, et il n'a pas passé inaperçu par la presse porte-parole établissement, qui a consciencieusement dépeint l'investissement comme une évolution inquiétante dans la politique internationale. La stratégie chinoise consiste à rechercher la coopération avec les dirigeants africains en échangeant des investissements dans les infrastructures pour l'accès aux ressources. En contraste complet avec le modèle occidental, qui s'appuie sur NATOsis induisant l'hypocrisie à propos de "droits de l'homme», tandis que les actions atroces des alliés occidentaux comme Museveni et Kagame sont tolérés, voire encouragés, les Chinois ne s'intéressent pas à la politique intérieure de ces pays du tout. Quoi qu'on pense de ces stratégies à partir d'un point de vue moral, il est clair que la Chine jouit d'un avantage stratégique considérable dans une telle lutte. Il suffit de demander Kadhafi: il a fait un discours devant l'Union des étudiants d'Oxford en 2009 indiquant que la Chine allait gagner la compétition pour l'accès aux ressources de l'Afrique sur les Etats-Unis, précisément parce qu'ils n'ont pas pris parti dans les luttes politiques internes. Là encore, regardez ce qui s'est passé en Libye.
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Il existe de nombreux exemples du modèle chinois au travail: le Beijing 20 milliards de dollars seront prêt pour les gouvernements africains pour le développement d'infrastucture et de l'agriculture au cours des trois prochaines années, la Chine a l'engagement d'envoyer du personnel médical pour l'Afrique, le lancement de programmes de formation pour les travailleurs africains, et en offrant 18.000 bourses aux citoyens africains; les Chinois financé par 200 millions de dollars pour le siège de l'Union africaine à Addis-Abeba. La stratégie est évidente dans une grande partie de l'Afrique, et porte déjà ses fruits: commerce Chine-Afrique a augmenté à 150 milliards de dollars par an et est supervisé par le Forum sur la coopération sino-africaine (FCSA), qui forge des liens plus étroits chaque année.
RépondreSupprimerUn parfait exemple de l'endroit où ces deux stratégies se heurtent est de la République démocratique du Congo, un pays très négligé et déchiré par la guerre dans le centre géographique de l'Afrique qui se passe à des trillions de dollars de la richesse minérale inexploitée, dont 30 pour cent des diamants du monde dans ses réserves et 80 pour cent de coltan mondial. Le coltan est columbo-tantalite minerai, essentielle pour la production de certains composants électriques utilisés dans la fabrication de téléphone portable. Le minerai se trouve dans les régions orientales du pays, ce qui ne devrait surprendre personne à apprendre est l'épicentre de la zone de guerre du Congo.
En tant que journaliste du Nil Bowie souligne dans un article détaillé sur la situation, la Chine avait cessé de gagner accès à la richesse minérale du Congo dans la première décennie du 21 ème siècle. En 2008, un accord avait été trouvé entre un consortium d'entreprises chinoises et le gouvernement de la RDC, offrant des concessions minières au Katanga en contrepartie d'un investissement de 6 milliards de dollars dans les infrastructures du pays. Sans surprise, la bande consensus de Washington a été rien entendre: le FMI a bloqué l'accord en 2009, affirmant qu'il a enfreint les règles pour le soulagement de la dette extérieure que le FMI utilise pour garder ces gouvernements en ligne. Pendant ce temps aux États-Unis a soutenu activement, armer, entraîner et équiper les gouvernements rwandais et ougandais qui ont été si grandement contribué à exacerber le conflit en RDC ces dernières années.
Les dirigeants africains de plus en plus confrontés à un choix difficile: ouvrir les portes pour les entreprises de l'Ouest ou faire face à la diplomatie canon qui a fait des ravages dans les pays non coopératifs tels comme la Libye et le Mali. Il n'est pas étonnant que tant de pays africains sont de plus en plus de se tourner vers le modèle chinois de prêts pour les infrastructures et le développement en échange de l'accès aux marchés, ce qui est précisément pourquoi nous voyons un effort accru ces dernières années pour établir une sorte de permanente présence militaire occidentale sur le continent. Des opérations secrètes de la CIA en Somalie de l'OTAN amour bombardement de la Libye aux manipulations du Printemps de soi-disant arabe en Egypte aux bottes de la France sur le terrain en Algérie et en présence de l'Amérique drone croissante à travers le continent, il semble que 2013 sera de voir l'Afrique de plus en plus les principales victimes des attentions militaires de l'Occident.
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L'intimidation est évident, mais il y a des signes que l'Afrique pourrait être fatiguant d'entreprise néo-coloniale, comme d'habitude, et maintenant qu'il y a un nouveau joueur dans la ville, ils sont de plus en plus prêt à tester les eaux avec Pékin. Si sommet de l'an dernier, l'Union africaine et des percées FOCAC sont quelque chose aller près, Chine-Afrique de coopération sera l'une des histoires à surveiller cette année. Dans le même temps, le monde regarde la guerre se déroule au Mali, retient son souffle, et tente de conjurer le NATOsis.
RépondreSupprimerhttp://www.theinternationalforecaster.com/International_Forecaster_Weekly/Development_or_Exploitation_Ahead_for_Africa