Les salafistes usent «de véritables stratégies locales» pour s'emparer des quartiers sensibles
9 avr. 2017, 12:03
La Direction centrale de la sécurité publique s'alarme dans une note des «véritables méthodes et stratégies locales» utilisées par les salafistes pour répandre leur idéologie. Au-delà des mosquées, ils infiltreraient le tissu économique et social.
Le Figaro rapporte dans son édition du 7 avril une note de la Direction centrale de la sécurité publique (DSCP) qui fait état de «l'emprise religieuse dans les quartiers sensibles» de Paris et de l'Ile-de-France. Elle décrit comment les salafistes s'y seraient infiltrés, usant notamment «de véritables méthodes et stratégies locales».
Véhiculer l'idéologie salafiste ne serait désormais plus seulement l'apanage des mosquées, que les autorités peuvent surveiller plus facilement. Le mouvement se diffuserait en effet à travers le tissu économique et social des quartiers. En dehors de l'Ile-de-France, certaines villes sont confrontées à ce phénomène, comme l'explique Daniel Dugléry, maire Les Républicains (LR) de Montluçon, dans l’Allier.
Lire aussi Le centre de déradicalisation de Pontourny à Beaumont-en-Véron, en Indre-et-Loire Deux sénatrices dénoncent l'échec cuisant de la politique de déradicalisation en France (VIDEO)
Interrogé par le quotidien, il constate que «le communautarisme gagne du terrain en ville». Il explique que les commerces sont rachetés un à un et déplore «l'ambiance délétère qui s'installe», qui pousse les riverains à partir et à céder leurs biens, «rachetés à vil prix». «C'est un vrai système qui s'est mis en place», souligne l'édile.
Un constat partagé par François Pupponi, maire socialiste de Sarcelles, qui évoque des changements «insidieux qui font gagner du terrain au salafisme». «Les policiers sont dépassés, car ils ne vivent plus dans les quartiers et ne savent plus bien ce qui s'y passe», ajoute t-il désabusé.
Le ministère de l'Intérieur tente toutefois de lutter contre l'expansion du salafisme en France. Depuis novembre 2015, 20 lieux de culte musulmans (mosquées et salles de prière), considérés comme «des lieux de référence influants de la mouvance salafiste» ont été fermés, dont 14 au titre de l’état d’urgence.
Lire aussi : Une mosquée prônant une «idéologie radicale» fermée par les autorités à Aix-en-Provence
On ne compte plus aujourd'hui les quartiers ou villes où les français n'osent même plus aller ! Ces 'zones de non-droit' où même les flics ont peur de défendre la France !!
En Grande-Bretagne, pays où a été réalisée l’étude relatée ici, il se vend chaque jour 12 millions de miches de pain. Le pain constitue en effet l’une des bases de la nourriture outre-Manche dès le petit-déjeuner avec oeufs brouillés et bacon puis la marmelade irremplaçable pour le palais d’un Briton. Le Docteur Liam Goucher du Centre Grantham pour le « Futur Renouvelable » de l’Université de Sheffield s’est penché sur l’impact carbone du pain, il fallait y penser ! Et comme de bien entendu cet institut au nom ronflant a accouché d’un pamphlet de couleur verte rappelant celle des champs de blé au début du printemps. Le pain c’est mauvais pour le climat, point barre.
Le seul nitrate d’ammonium épandu dans les champs de blé représente à lui seul 43 % de l’empreinte carbone du pain, le reste ce sont les fours pour la cuisson, le transport, les emballages … et la respiration des consommateurs. Goucher s’étonne que le public ne s’intéresse qu’à sa santé et non au bien-être des animaux dont la viande sert de nourriture quand il s’agit d’alimentation, oubliant totalement le climat. En plus d’être grosse consommatrice d’énergie la production d’engrais azotés pour faire pousser du blé émet également des gaz à effet de serre dans les champs lors de la dégradation de ces derniers. J’avoue que j’ai tenté de comprendre comment le nitrate d’ammonium pouvait émettre des gaz à effet de serre, je n’y suis pas arrivé.
Cet institut de recherche prône un changement total des habitudes de culture afin de réduire drastiquement la production de gaz à effet de serre par l’ « industrie agricole » qui utilise des fertilisants uniquement pour réaliser des profits sans se soucier de l’environnement un seul instant, il parle (cet institut) alors pompeusement d’agriculture raisonnée … C’est quoi au juste ? Lorsque j’étais encore un enfant les paysans des fermes de mon hameau natal épandaient le purin et le fumier dans les champs, c’était moins coûteux que les engrais azotés. Ça sentait mauvais, certes, mais c’était très efficace. Cette pratique ancestrale très commune en polyculture qui, malheureusement, a pratiquement disparu a été interdite par des bureaucrates de la Commission Européenne, qui n’ont jamais touché de la terre à pleine main de leur vie, pour des raisons environnementales et sanitaires. Aujourd’hui les agriculteurs pratiquant la polyculture ou l’élevage entassent le fumier au bout d’un champ mais n’ont plus le droit de l’épandre. Le purin doit être évacué par des entreprises spécialisées pour être traité comme une vulgaire eau d’égout urbain alors qu’il représente une source d’azote unique. Les agriculteurs sont donc obligés en raison de toutes ces régulations stupides d’acheter des engrais azotés de synthèse.
L’un des objectifs à long terme de cet institut parasite qui ne vit que de « subventions climatiques » est de créer un blé qui fixerait tout seul l’azote atmosphérique. On en est loin dans la mesure où toute tentative de modification génétique du blé s’est heurtée à un veto instantané des autorités de régulation, elles aussi caviardées par les mouvement écologistes, comme l’est d’ailleurs l’Université de Sheffield, mais aussi des agriculteurs et des consommateurs. Du blé génétiquement modifié, quelle horreur ! Bienvenue dans un monde meilleur sans fertilisants de synthèse avec un pain dix fois plus cher et surtaxé comme toutes les denrées alimentaires rares … La bêtise humaine n’a, de toute évidence, pas de limite connue.
Le fumier des bestiaux (comme le purin pompé dans les fosses septiques) a toujours représenté le seul engrais pour les cultures. Mais, sa particularité (NPK non-déterminé) tient au fait que chaque animal (cheval, bœuf, mouton, poule, lapin, etc) fait un fumier différent qui convient à des plantes: différentes (et non 'pour toutes'). C'est pourquoi l'arrivée des engrais dits 'chimiques' a su répondre à la nourriture spécifique de chaque plante en Azote, Acide phosphorique et Potasse suivant sont pourcentage spécifique (exemple: 4-8-12 = %NPK).
Quant aux idioties des 'gaz a effet de serre' dehors... HAHAHAHA ! autant construire une serre (ou abri contre la pluie, le vent et le froid) en grillages ! HAHAHAHA !
Le message de Maria Zakharova sur l'attaque des USA sur la Syrie
Source sam., 08 avr. 2017 14:52 UTC
Moscou estime que les frappes américaines sur une base en Syrie traduisent la lutte entre des clans et structures militaires, politiques et financiers des États-Unis qui ne parviennent pas à accepter les résultats de la présidentielle, dont les Américains auront honte. « Je dirais que ce que nous voyons aujourd'hui, c'est le jeu de "trônes" américain. C'est une guerre entre les clans politiques et les structures militaro-financières et politico-financières qui refusent d'accepter les résultats de la présidentielle », a signalé Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, vendredi soir, en direct sur la chaîne de télévision NTV.
« Ce que nous avons vu aujourd'hui est vain, inepte et dangereux parce que les objectifs ne sont pas compréhensibles. Les États-Unis sont absolument dépourvus de toute stratégie à l'égard de la Syrie. La frappe est une mesure forcée résultant de cette lutte politique intérieure colossale », a-t-elle noté.
La diplomate a ajouté que « les Américains auront honte » pour la frappe sur la Syrie et que la Russie bâtirait ses relations avec les États-Unis compte tenu du caractère imprévisible de leurs actions. « Compte tenu de l'imprévisibilité absolue des États-Unis comme pays et partenaire. C'est à partir de ces positions que [la Russie] construira ses relations », a conclu Mme Zakharova. Dans la nuit de jeudi à vendredi, les États-Unis ont tiré des missiles de croisière sur une base gouvernementale syrienne. Selon le Pentagone, 59 missiles ont été lancés depuis des navires de la marine américaine, tuant sept personnes, dont deux civils. La frappe a visé l''aérodrome de Shayrat qui serait « directement lié » à l'attaque chimique sur Khan Cheikhoun, selon l''administration américaine.
Commentaire : Lire aussi : Trump a bombardé la Syrie « en raison des problèmes de politique interne » aux Etats-Unis
Actuellement, notre monde vit dans l''Easy Rider de Dennis Hopper' (1969) où, deux jeunes bikers americains parcourent les USA '. Leur reproche est d'avoir les cheveux longs ! Rendez-vous compte ! Un pays où N'EXISTE PAS la démocratie mais qui se dit... d'être libre !!! (libre de l'instaurer ou libre de la combattre ?). Mais d'où viennent-ils/sortent-ils pour ignorer l'application du référendum (unique en Suisse* où il est demandé... l'avis du Peuple !!!) à toutes anti-dictature ?!
Car, les 'élections' ne sont que d'épais rideaux derrière lesquels se cachent les 'hommes de l'ombre' qui dictent au nouveau président la SEULE politique qu'il doit suivre. C'est aussi pourquoi, la 'politique de campagne' (évoquée lors de meetings) ne ressemble en rien à celle appliquée par l'élu.
La nature (les hommes en font partie !) reprendra t-elle ses droits ?
Trump envisagerait des sanctions contre la Russie et l'Iran pour leur soutien à la Syrie
9 avr. 2017, 15:38
Alors qu'une crise diplomatique a éclaté après les frappes américaines en Syrie, l'ambassadrice des Etats-Unis à l'ONU a expliqué que Donald Trump étudiait la possibilité d'implémenter de nouvelles sanctions contre la Russie et l'Iran.
Interviewée par CNN, Nikki Haley, l'ambassadrice des Etats-Unis à l'ONU, a déclaré que la question de nouvelles sanctions contre la Russie et l'Iran était étudiée par le président Donald Trump.
«Je pense que ce sont des conversations [à propos des sanctions] qu'il va avoir et a même déjà commencé à avoir», a-t-elle expliqué, avant d'ajouter : «Rien n'est exclu !»
Lire aussi Derrière les frappes américaines en Syrie, les dessous du revirement de Donald Trump
En cause : le soutien renouvelé de Moscou et de Téhéran au gouvernement de Bachar el-Assad après l'attaque chimique présumée dans la province d'Idleb, que Washington attribue – sans preuves – au chef de l'Etat syrien.
«Vous avez vu cette terrible tragédie qui a touché des innocents, beaucoup d'enfants», a poursuivi Nikki Haley, s'interrogeant sur l'attitude de Moscou. «Et la première réaction de la Russie n'a pas été de dire combien c'est horrible ou "comment ont-ils pu faire ça", mais "Assad ne l'a pas fait"», a déploré la diplomate.
De plus, l'ambassadrice des Etats-Unis à l'ONU a même suggéré que la façon dont Moscou avait réagi avait poussé Washington à réclamer l'ouverture d'une enquête sur l'éventuelle complicité de la Russie dans l'attaque chimique présumée de Khan Cheikhoun le 4 avril dernier.
Plus tôt dans la semaine l'agence AP, citant des sources militaires américaines, informait que Washington avait lancé une enquête dont l'objectif est de savoir si la Russie pouvait être liée à l'attaque chimique présumée imputée à Damas par les Etats-Unis.
Très tôt le matin du 7 avril, les Etats-Unis ont lancé 59 missiles Tomahawk sur la base de l’armée syrienne d'Al-Chaayrate, en représailles à l'attaque chimique présumée du 4 avril dans la province d’Idleb, dont Washington tient le gouvernement syrien pour responsable sans fournir de preuves.
La Russie et l'Iran «répondront par la force» si les Etats-Unis attaquent de nouveau la Syrie https://t.co/ErkCjuz3P6pic.twitter.com/dFS6n5Stlw — RT France (@RTenfrancais) 9 avril 2017
Pour justifier son action, le président américain Donald Trump a assuré que la frappe menée par ses forces avait pris pour cible la base d’où l’attaque chimique présumée avait été lancée.
S'agissant de leur position sur la résolution du conflit syrien, les Etats-Unis ont opéré un un virage à 180 degrés. Le 30 mars, Nikki Haley avait déclaré que les Etats-Unis devaient changer leurs priorités et qu'il n'était désormais plus question «de rester assis là, à concentrer nos efforts sur le départ d'Assad».
Mais aujourd'hui, chasser Bachar el-Assad du pouvoir semble à nouveau être la priorité de Washington.
Lire aussi : Chasser Assad du pouvoir syrien n'est plus «la priorité» de l'administration américaine
Cui bono: qui se cache réellement derrière l’attaque chimique d’Idlib ?
INTERNATIONAL 21:55 09.04.2017
Interrogé par la chaîne Sky News sur les derniers événements en Syrie, l'ex-ambassadeur du Royaume-Uni en Syrie, Peter Ford, a estimé que ni Moscou ni Damas ne pouvaient être derrière l'attaque chimique à Idlib, car ils n'en tirent aucun profit.
Pour déterminer les coupables de l'attaque chimique contre Khan Cheikhoun, Peter Ford, ancien ambassadeur britannique en Syrie, a proposé de se demander à qui cela profitait.
« Clairement, ce n'est pas le régime syrien ou les Russes qui en bénéficient, et je considère comme hautement improbable l'hypothèse qu'ils soient, l'un ou l'autre derrière tout cela », a-t-il expliqué dans un entretien à Sky News.
Attaque chimique d’Idlib: un membre du Congrès US disculpe Assad
Il existe plusieurs possibilités concernant cette affaire. Il pourrait s'agir d'une opération d'intoxication ou de fake news, selon M. Ford. Et, toujours d'après l'ex-ambassadeur, images et vidéos, en somme toute les informations pourraient provenir des sources de l'opposition, et non de journalistes indépendants et crédibles.
De même, les images montrent probablement « un bombardement qui aurait frappé un dépôt djihadiste de munitions chimiques », il est en effet devenu notoire que les djihadistes stockaient des armes chimiques dans des écoles à Alep-Est, armes ensuite aperçues par des journalistes occidentaux.
Moscou explique à qui profite la tragédie d'Idlib
Afin d'appuyer ses dires, l'ex-ambassadeur a rappelé les informations circulant à l'époque dans les médias et portant sur un « holocauste » et des « massacres » en train de se produire à Alep. Or, les journalistes indépendants n'y en ont pas trouvé de preuve de massacre. Plusieurs photos prises prétendument sur les lieux de carnages se sont révélées être fausses.
Et tout de même les interventionnistes, ayant déjà commis des erreurs en Irak et en Libye, semblent souhaiter reproduire le même scénario en Syrie, a fait remarquer M. Ford, les qualifiant résolument « des chiens qui reviennent à leur propre vomi ».
Pourtant, l'administration Trump a finalement évolué pour désavouer la politique d'Obama dont l'idée maîtresse était de renverser le gouvernement de Bachar el-Assad et l'entourage de Trump a annoncé que sa priorité consistait désormais en l'éradication de Daech. En cela, le fait que la tragédie d'Idlib, un « nid de vipères des djihadistes les plus extrémistes », a eu lieu quelques jours après cette volte-face est significatif.
« Si les djihadistes voulaient compliquer la tâche de Trump visant à rationaliser la politique américaine, ils auraient justement, sans aucun doute, essayé de monter de fausses informations comme cela », a résumé M. Ford.
Idlib: les informations sur l’attaque chimique sont arrivées bien avant la frappe
Suite à l'attaque chimique de mardi à Khan Cheikhoun, attribuée par les pays occidentaux aux forces armées syriennes, le Président américain Donald Trump a ordonné une frappe ciblée contre la base aérienne syrienne de Shayrat. Vendredi matin, 59 missiles de croisière Tomahawk ont été tirés par les navires américains USS Porter et USS Ross, qui croisent en Méditerranée, faisant selon la partie syrienne dix victimes parmi les militaires et neuf morts parmi les civils, dont quatre enfants, et causant d'importantes destructions.
Le Président Vladimir Poutine a qualifié l'attaque américaine d'agression contre un État souverain en violation du droit international et menée sous un faux prétexte.
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Attaque chimique: si Washington possède des «preuves sécrètes», qu'il les dévoile
INTERNATIONAL 00:49 10.04.2017
Le sénateur russe Konstantin Kossatchev a réagi à la déclaration de l'ambassadrice des États-Unis à l'Onu, Nikki Haley, sur l'existence de preuves de l'implication des autorités syriennes dans l'attaque chimique du 4 avril dans la province d'Idlib, exigeant que ces données soient dévoilées au monde.
Si les États-Unis possèdent des preuves attestant l'implication du Président Bachar el-Assad dans l'attaque chimique, qu'ils les présentent à la Russie et au Conseil de sécurité de l'Onu, a déclaré le président de la commission des affaires étrangères du Conseil de la Fédération (chambre haute du parlement russe) Konstantin Kossatchev.
« L'ambassadrice des États-Unis à l'Onu, Nikki Haley, a déclaré dans une interview à CNN ce qui suit: 1 — nous avons des preuves irréfutables, mais sécrètes de l'implication de Bachar el-Assad dans l'attaque chimique. 2 — Notre Président les a vues et le directeur de la CIA les a montrées aux partenaires. On ne les montrera pas aux autres. 3 — Pour ces raisons les Russes doivent renoncer à leur soutien à Assad », a-t-il écrit sur sa page Facebook.
« Et si on présentait ces "preuves" aux Russes? Au Conseil de sécurité de l'Onu? En fin, au monde entier », a pointé le sénateur.
Selon lui, cela atteste de « l'absence absolue des liens de causalité à l'américaine, ou du cynisme américain basé sur des escroqueries et des mensonges ».
« Ou alors les preuves sont absolument irréfutables et c'est pourquoi elles sont classifiées? Et on nous propose de nouveau, dans la plus pure tradition soviétique, de condamner Pasternak (Boris Pasternak, poète et romancier russe, persécuté pour son roman Le Docteur Jivago, ndlr), sans l'avoir lu? », a-t-il fait remarquer.
Soutien à la Syrie: Trump examine le durcissement des sanctions contre Moscou et Téhéran
Ce dimanche, Nikki Haley avait déclaré que les États-Unis possédaient des preuves de l'implication de l'aviation syrienne dans l'utilisation des armes chimiques et que le Président en avait pris connaissance. Cependant, selon la diplomate, ces preuves sont basées sur des matériaux secrets et ne peuventpas être révélées pour l'instant.
Les salafistes usent «de véritables stratégies locales» pour s'emparer des quartiers sensibles
RépondreSupprimer9 avr. 2017, 12:03
La Direction centrale de la sécurité publique s'alarme dans une note des «véritables méthodes et stratégies locales» utilisées par les salafistes pour répandre leur idéologie. Au-delà des mosquées, ils infiltreraient le tissu économique et social.
Le Figaro rapporte dans son édition du 7 avril une note de la Direction centrale de la sécurité publique (DSCP) qui fait état de «l'emprise religieuse dans les quartiers sensibles» de Paris et de l'Ile-de-France. Elle décrit comment les salafistes s'y seraient infiltrés, usant notamment «de véritables méthodes et stratégies locales».
Véhiculer l'idéologie salafiste ne serait désormais plus seulement l'apanage des mosquées, que les autorités peuvent surveiller plus facilement. Le mouvement se diffuserait en effet à travers le tissu économique et social des quartiers. En dehors de l'Ile-de-France, certaines villes sont confrontées à ce phénomène, comme l'explique Daniel Dugléry, maire Les Républicains (LR) de Montluçon, dans l’Allier.
Lire aussi
Le centre de déradicalisation de Pontourny à Beaumont-en-Véron, en Indre-et-Loire Deux sénatrices dénoncent l'échec cuisant de la politique de déradicalisation en France (VIDEO)
Interrogé par le quotidien, il constate que «le communautarisme gagne du terrain en ville». Il explique que les commerces sont rachetés un à un et déplore «l'ambiance délétère qui s'installe», qui pousse les riverains à partir et à céder leurs biens, «rachetés à vil prix». «C'est un vrai système qui s'est mis en place», souligne l'édile.
Un constat partagé par François Pupponi, maire socialiste de Sarcelles, qui évoque des changements «insidieux qui font gagner du terrain au salafisme». «Les policiers sont dépassés, car ils ne vivent plus dans les quartiers et ne savent plus bien ce qui s'y passe», ajoute t-il désabusé.
Le ministère de l'Intérieur tente toutefois de lutter contre l'expansion du salafisme en France. Depuis novembre 2015, 20 lieux de culte musulmans (mosquées et salles de prière), considérés comme «des lieux de référence influants de la mouvance salafiste» ont été fermés, dont 14 au titre de l’état d’urgence.
Lire aussi : Une mosquée prônant une «idéologie radicale» fermée par les autorités à Aix-en-Provence
https://francais.rt.com/france/36671-montee-salafisme-dans-quartiers-sensibles-inquiete-dscp
On ne compte plus aujourd'hui les quartiers ou villes où les français n'osent même plus aller ! Ces 'zones de non-droit' où même les flics ont peur de défendre la France !!
SupprimerManger du pain : c’est mauvais pour le climat !
RépondreSupprimerle 9 avril 2017
En Grande-Bretagne, pays où a été réalisée l’étude relatée ici, il se vend chaque jour 12 millions de miches de pain. Le pain constitue en effet l’une des bases de la nourriture outre-Manche dès le petit-déjeuner avec oeufs brouillés et bacon puis la marmelade irremplaçable pour le palais d’un Briton. Le Docteur Liam Goucher du Centre Grantham pour le « Futur Renouvelable » de l’Université de Sheffield s’est penché sur l’impact carbone du pain, il fallait y penser ! Et comme de bien entendu cet institut au nom ronflant a accouché d’un pamphlet de couleur verte rappelant celle des champs de blé au début du printemps. Le pain c’est mauvais pour le climat, point barre.
Le seul nitrate d’ammonium épandu dans les champs de blé représente à lui seul 43 % de l’empreinte carbone du pain, le reste ce sont les fours pour la cuisson, le transport, les emballages … et la respiration des consommateurs. Goucher s’étonne que le public ne s’intéresse qu’à sa santé et non au bien-être des animaux dont la viande sert de nourriture quand il s’agit d’alimentation, oubliant totalement le climat. En plus d’être grosse consommatrice d’énergie la production d’engrais azotés pour faire pousser du blé émet également des gaz à effet de serre dans les champs lors de la dégradation de ces derniers. J’avoue que j’ai tenté de comprendre comment le nitrate d’ammonium pouvait émettre des gaz à effet de serre, je n’y suis pas arrivé.
Cet institut de recherche prône un changement total des habitudes de culture afin de réduire drastiquement la production de gaz à effet de serre par l’ « industrie agricole » qui utilise des fertilisants uniquement pour réaliser des profits sans se soucier de l’environnement un seul instant, il parle (cet institut) alors pompeusement d’agriculture raisonnée … C’est quoi au juste ? Lorsque j’étais encore un enfant les paysans des fermes de mon hameau natal épandaient le purin et le fumier dans les champs, c’était moins coûteux que les engrais azotés. Ça sentait mauvais, certes, mais c’était très efficace. Cette pratique ancestrale très commune en polyculture qui, malheureusement, a pratiquement disparu a été interdite par des bureaucrates de la Commission Européenne, qui n’ont jamais touché de la terre à pleine main de leur vie, pour des raisons environnementales et sanitaires. Aujourd’hui les agriculteurs pratiquant la polyculture ou l’élevage entassent le fumier au bout d’un champ mais n’ont plus le droit de l’épandre. Le purin doit être évacué par des entreprises spécialisées pour être traité comme une vulgaire eau d’égout urbain alors qu’il représente une source d’azote unique. Les agriculteurs sont donc obligés en raison de toutes ces régulations stupides d’acheter des engrais azotés de synthèse.
L’un des objectifs à long terme de cet institut parasite qui ne vit que de « subventions climatiques » est de créer un blé qui fixerait tout seul l’azote atmosphérique. On en est loin dans la mesure où toute tentative de modification génétique du blé s’est heurtée à un veto instantané des autorités de régulation, elles aussi caviardées par les mouvement écologistes, comme l’est d’ailleurs l’Université de Sheffield, mais aussi des agriculteurs et des consommateurs. Du blé génétiquement modifié, quelle horreur ! Bienvenue dans un monde meilleur sans fertilisants de synthèse avec un pain dix fois plus cher et surtaxé comme toutes les denrées alimentaires rares … La bêtise humaine n’a, de toute évidence, pas de limite connue.
Source : Université de Sheffield
https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/04/09/manger-du-pain-cest-mauvais-pour-le-climat/
Le fumier des bestiaux (comme le purin pompé dans les fosses septiques) a toujours représenté le seul engrais pour les cultures. Mais, sa particularité (NPK non-déterminé) tient au fait que chaque animal (cheval, bœuf, mouton, poule, lapin, etc) fait un fumier différent qui convient à des plantes: différentes (et non 'pour toutes'). C'est pourquoi l'arrivée des engrais dits 'chimiques' a su répondre à la nourriture spécifique de chaque plante en Azote, Acide phosphorique et Potasse suivant sont pourcentage spécifique (exemple: 4-8-12 = %NPK).
SupprimerQuant aux idioties des 'gaz a effet de serre' dehors... HAHAHAHA ! autant construire une serre (ou abri contre la pluie, le vent et le froid) en grillages ! HAHAHAHA !
Le message de Maria Zakharova sur l'attaque des USA sur la Syrie
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sam., 08 avr. 2017 14:52 UTC
Moscou estime que les frappes américaines sur une base en Syrie traduisent la lutte entre des clans et structures militaires, politiques et financiers des États-Unis qui ne parviennent pas à accepter les résultats de la présidentielle, dont les Américains auront honte.
« Je dirais que ce que nous voyons aujourd'hui, c'est le jeu de "trônes" américain. C'est une guerre entre les clans politiques et les structures militaro-financières et politico-financières qui refusent d'accepter les résultats de la présidentielle », a signalé Maria Zakharova, porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, vendredi soir, en direct sur la chaîne de télévision NTV.
« Ce que nous avons vu aujourd'hui est vain, inepte et dangereux parce que les objectifs ne sont pas compréhensibles. Les États-Unis sont absolument dépourvus de toute stratégie à l'égard de la Syrie. La frappe est une mesure forcée résultant de cette lutte politique intérieure colossale », a-t-elle noté.
La diplomate a ajouté que « les Américains auront honte » pour la frappe sur la Syrie et que la Russie bâtirait ses relations avec les États-Unis compte tenu du caractère imprévisible de leurs actions.
« Compte tenu de l'imprévisibilité absolue des États-Unis comme pays et partenaire. C'est à partir de ces positions que [la Russie] construira ses relations », a conclu Mme Zakharova.
Dans la nuit de jeudi à vendredi, les États-Unis ont tiré des missiles de croisière sur une base gouvernementale syrienne. Selon le Pentagone, 59 missiles ont été lancés depuis des navires de la marine américaine, tuant sept personnes, dont deux civils. La frappe a visé l''aérodrome de Shayrat qui serait « directement lié » à l'attaque chimique sur Khan Cheikhoun, selon l''administration américaine.
Commentaire : Lire aussi :
Trump a bombardé la Syrie « en raison des problèmes de politique interne » aux Etats-Unis
https://fr.sott.net/article/30357-Le-message-de-Maria-Zakharova-sur-l-attaque-des-USA-sur-la-Syrie
Actuellement, notre monde vit dans l''Easy Rider de Dennis Hopper' (1969) où, deux jeunes bikers americains parcourent les USA '. Leur reproche est d'avoir les cheveux longs ! Rendez-vous compte ! Un pays où N'EXISTE PAS la démocratie mais qui se dit... d'être libre !!! (libre de l'instaurer ou libre de la combattre ?). Mais d'où viennent-ils/sortent-ils pour ignorer l'application du référendum (unique en Suisse* où il est demandé... l'avis du Peuple !!!) à toutes anti-dictature ?!
SupprimerCar, les 'élections' ne sont que d'épais rideaux derrière lesquels se cachent les 'hommes de l'ombre' qui dictent au nouveau président la SEULE politique qu'il doit suivre. C'est aussi pourquoi, la 'politique de campagne' (évoquée lors de meetings) ne ressemble en rien à celle appliquée par l'élu.
La nature (les hommes en font partie !) reprendra t-elle ses droits ?
* La honte de notre planète ?
Trump envisagerait des sanctions contre la Russie et l'Iran pour leur soutien à la Syrie
RépondreSupprimer9 avr. 2017, 15:38
Alors qu'une crise diplomatique a éclaté après les frappes américaines en Syrie, l'ambassadrice des Etats-Unis à l'ONU a expliqué que Donald Trump étudiait la possibilité d'implémenter de nouvelles sanctions contre la Russie et l'Iran.
Interviewée par CNN, Nikki Haley, l'ambassadrice des Etats-Unis à l'ONU, a déclaré que la question de nouvelles sanctions contre la Russie et l'Iran était étudiée par le président Donald Trump.
«Je pense que ce sont des conversations [à propos des sanctions] qu'il va avoir et a même déjà commencé à avoir», a-t-elle expliqué, avant d'ajouter : «Rien n'est exclu !»
Lire aussi Derrière les frappes américaines en Syrie, les dessous du revirement de Donald Trump
En cause : le soutien renouvelé de Moscou et de Téhéran au gouvernement de Bachar el-Assad après l'attaque chimique présumée dans la province d'Idleb, que Washington attribue – sans preuves – au chef de l'Etat syrien.
«Vous avez vu cette terrible tragédie qui a touché des innocents, beaucoup d'enfants», a poursuivi Nikki Haley, s'interrogeant sur l'attitude de Moscou. «Et la première réaction de la Russie n'a pas été de dire combien c'est horrible ou "comment ont-ils pu faire ça", mais "Assad ne l'a pas fait"», a déploré la diplomate.
De plus, l'ambassadrice des Etats-Unis à l'ONU a même suggéré que la façon dont Moscou avait réagi avait poussé Washington à réclamer l'ouverture d'une enquête sur l'éventuelle complicité de la Russie dans l'attaque chimique présumée de Khan Cheikhoun le 4 avril dernier.
Plus tôt dans la semaine l'agence AP, citant des sources militaires américaines, informait que Washington avait lancé une enquête dont l'objectif est de savoir si la Russie pouvait être liée à l'attaque chimique présumée imputée à Damas par les Etats-Unis.
Très tôt le matin du 7 avril, les Etats-Unis ont lancé 59 missiles Tomahawk sur la base de l’armée syrienne d'Al-Chaayrate, en représailles à l'attaque chimique présumée du 4 avril dans la province d’Idleb, dont Washington tient le gouvernement syrien pour responsable sans fournir de preuves.
La Russie et l'Iran «répondront par la force» si les Etats-Unis attaquent de nouveau la Syrie
https://t.co/ErkCjuz3P6pic.twitter.com/dFS6n5Stlw
— RT France (@RTenfrancais) 9 avril 2017
Pour justifier son action, le président américain Donald Trump a assuré que la frappe menée par ses forces avait pris pour cible la base d’où l’attaque chimique présumée avait été lancée.
S'agissant de leur position sur la résolution du conflit syrien, les Etats-Unis ont opéré un un virage à 180 degrés. Le 30 mars, Nikki Haley avait déclaré que les Etats-Unis devaient changer leurs priorités et qu'il n'était désormais plus question «de rester assis là, à concentrer nos efforts sur le départ d'Assad».
Mais aujourd'hui, chasser Bachar el-Assad du pouvoir semble à nouveau être la priorité de Washington.
Lire aussi : Chasser Assad du pouvoir syrien n'est plus «la priorité» de l'administration américaine
https://francais.rt.com/international/36675-trump-envisage-sanctions-contre-russie
Cui bono: qui se cache réellement derrière l’attaque chimique d’Idlib ?
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21:55 09.04.2017
Interrogé par la chaîne Sky News sur les derniers événements en Syrie, l'ex-ambassadeur du Royaume-Uni en Syrie, Peter Ford, a estimé que ni Moscou ni Damas ne pouvaient être derrière l'attaque chimique à Idlib, car ils n'en tirent aucun profit.
Pour déterminer les coupables de l'attaque chimique contre Khan Cheikhoun, Peter Ford, ancien ambassadeur britannique en Syrie, a proposé de se demander à qui cela profitait.
« Clairement, ce n'est pas le régime syrien ou les Russes qui en bénéficient, et je considère comme hautement improbable l'hypothèse qu'ils soient, l'un ou l'autre derrière tout cela », a-t-il expliqué dans un entretien à Sky News.
Attaque chimique d’Idlib: un membre du Congrès US disculpe Assad
Il existe plusieurs possibilités concernant cette affaire. Il pourrait s'agir d'une opération d'intoxication ou de fake news, selon M. Ford. Et, toujours d'après l'ex-ambassadeur, images et vidéos, en somme toute les informations pourraient provenir des sources de l'opposition, et non de journalistes indépendants et crédibles.
De même, les images montrent probablement « un bombardement qui aurait frappé un dépôt djihadiste de munitions chimiques », il est en effet devenu notoire que les djihadistes stockaient des armes chimiques dans des écoles à Alep-Est, armes ensuite aperçues par des journalistes occidentaux.
Moscou explique à qui profite la tragédie d'Idlib
Afin d'appuyer ses dires, l'ex-ambassadeur a rappelé les informations circulant à l'époque dans les médias et portant sur un « holocauste » et des « massacres » en train de se produire à Alep. Or, les journalistes indépendants n'y en ont pas trouvé de preuve de massacre. Plusieurs photos prises prétendument sur les lieux de carnages se sont révélées être fausses.
Et tout de même les interventionnistes, ayant déjà commis des erreurs en Irak et en Libye, semblent souhaiter reproduire le même scénario en Syrie, a fait remarquer M. Ford, les qualifiant résolument « des chiens qui reviennent à leur propre vomi ».
RépondreSupprimerPourtant, l'administration Trump a finalement évolué pour désavouer la politique d'Obama dont l'idée maîtresse était de renverser le gouvernement de Bachar el-Assad et l'entourage de Trump a annoncé que sa priorité consistait désormais en l'éradication de Daech. En cela, le fait que la tragédie d'Idlib, un « nid de vipères des djihadistes les plus extrémistes », a eu lieu quelques jours après cette volte-face est significatif.
« Si les djihadistes voulaient compliquer la tâche de Trump visant à rationaliser la politique américaine, ils auraient justement, sans aucun doute, essayé de monter de fausses informations comme cela », a résumé M. Ford.
Idlib: les informations sur l’attaque chimique sont arrivées bien avant la frappe
Suite à l'attaque chimique de mardi à Khan Cheikhoun, attribuée par les pays occidentaux aux forces armées syriennes, le Président américain Donald Trump a ordonné une frappe ciblée contre la base aérienne syrienne de Shayrat. Vendredi matin, 59 missiles de croisière Tomahawk ont été tirés par les navires américains USS Porter et USS Ross, qui croisent en Méditerranée, faisant selon la partie syrienne dix victimes parmi les militaires et neuf morts parmi les civils, dont quatre enfants, et causant d'importantes destructions.
Le Président Vladimir Poutine a qualifié l'attaque américaine d'agression contre un État souverain en violation du droit international et menée sous un faux prétexte.
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https://fr.sputniknews.com/international/201704091030820043-idlib-attaque-coupables/
Attaque chimique: si Washington possède des «preuves sécrètes», qu'il les dévoile
RépondreSupprimerINTERNATIONAL
00:49 10.04.2017
Le sénateur russe Konstantin Kossatchev a réagi à la déclaration de l'ambassadrice des États-Unis à l'Onu, Nikki Haley, sur l'existence de preuves de l'implication des autorités syriennes dans l'attaque chimique du 4 avril dans la province d'Idlib, exigeant que ces données soient dévoilées au monde.
Si les États-Unis possèdent des preuves attestant l'implication du Président Bachar el-Assad dans l'attaque chimique, qu'ils les présentent à la Russie et au Conseil de sécurité de l'Onu, a déclaré le président de la commission des affaires étrangères du Conseil de la Fédération (chambre haute du parlement russe) Konstantin Kossatchev.
« L'ambassadrice des États-Unis à l'Onu, Nikki Haley, a déclaré dans une interview à CNN ce qui suit: 1 — nous avons des preuves irréfutables, mais sécrètes de l'implication de Bachar el-Assad dans l'attaque chimique. 2 — Notre Président les a vues et le directeur de la CIA les a montrées aux partenaires. On ne les montrera pas aux autres. 3 — Pour ces raisons les Russes doivent renoncer à leur soutien à Assad », a-t-il écrit sur sa page Facebook.
« Et si on présentait ces "preuves" aux Russes? Au Conseil de sécurité de l'Onu? En fin, au monde entier », a pointé le sénateur.
Selon lui, cela atteste de « l'absence absolue des liens de causalité à l'américaine, ou du cynisme américain basé sur des escroqueries et des mensonges ».
« Ou alors les preuves sont absolument irréfutables et c'est pourquoi elles sont classifiées? Et on nous propose de nouveau, dans la plus pure tradition soviétique, de condamner Pasternak (Boris Pasternak, poète et romancier russe, persécuté pour son roman Le Docteur Jivago, ndlr), sans l'avoir lu? », a-t-il fait remarquer.
Soutien à la Syrie: Trump examine le durcissement des sanctions contre Moscou et Téhéran
Ce dimanche, Nikki Haley avait déclaré que les États-Unis possédaient des preuves de l'implication de l'aviation syrienne dans l'utilisation des armes chimiques et que le Président en avait pris connaissance. Cependant, selon la diplomate, ces preuves sont basées sur des matériaux secrets et ne peuventpas être révélées pour l'instant.
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