Boire au moins un soda par jour, surtout light, pourrait multiplier par 3 le risque d'accident vasculaire cérébral et de démence, suggère cette nouvelle étude américaine.
La plupart des sodas contiennent un excès de sucre, et en particulier de fructose. Les Américains en sont friands puisqu'ils ont consommé en 2016, 11 millions de tonnes métriques de sucre, dont une grosse majorité sous forme de boissons, selon le département d'État américain à l'Agriculture.
Une équipe de chercheurs de l'Université de Boston (États-Unis) a établi une corrélation, plus qu'un lien de cause à effet, entre ces boissons sucrées à base d'édulcorants artificiels et les lésions cérébrales qu'elles pouvaient occasionner.
Dans une 1ère étude, publiée le 5 mars 2017 dans la revue Alzheimer & Dementia, ils ont d'abord examiné les données (dont les imageries cérébrales) issues de plus de 4 000 personnes d'une cohorte nationale. Ils se sont tout particulièrement intéressés à celles buvant plus de 2 boissons sucrée par jour (jus de fruit, sodas) et celles qui consommaient plus de 3 sodas par semaine.
Ils ont constaté que ce groupe de "prise élevée de boissons sucrées" présentait de multiples signes d'accélération de vieillissement cérébral, dont un plus petit volume total du cerveau, des épisodes de mémoire moins bonnes, ainsi qu'un hippocampe racorni, soit autant de facteurs de risque de la maladie d'Alzheimer à un stade précoce.
Dans une seconde étude, publiée dans la revue Stroke du 21 avril, l'équipe a utilisé les données de l'ancienne cohorte pour regarder dans le détail si les participants avaient été victimes d'accidents vasculaires cérébraux (AVC), de la maladie d'Alzheimer ou diagnostiqués avec une démence.
Après avoir analysé la prise de boissons sucrées sur plus de 7 ans, ils ont suivi les volontaires pendant 10 ans et cherché des signes de l'une de ces maladies.
Leurs résultats font apparaitre que les participants de la cohorte buvant au moins un soda sans sucre ou light par jour avaient trois fois plus de risque de démence et d'AVC que ceux qui en consommaient moins d'une fois par semaine. De façon plus surprenante, le groupe de ceux qui buvaient des boissons sucrées ne voyait pas son risque majorer.
Si différents facteurs dont l'âge des participants, leurs habitudes alimentaires ou encore le tabagisme ont été pris en compte, les chercheurs disent ne pas avoir pu complètement contrôler les conditions préexistantes d'un diabète, qui a pu émergé chez certains participants durant l'étude et être à l'origine de ces maladies.
Des travaux complémentaires doivent désormais être menés pour comprendre quels types d'édulcorants peuvent être en cause et surtout, par quel mécanisme ils mènent à la démence et à l'AVC.
Commentaire : Si vous lisez les actualités alternatives vous savez depuis longtemps à quoi vous en tenir avec l'aspartame :
- L'aspartame, Faux sucre, vrai scandale
- Aspartame: Dessous fumant d'un poison en vente libre...
- La scandaleuse histoire de la légalisation de l'aspartame
- Selon une étude décisive sur l'Homme, l'aspartame est liée à la leucémie et au lymphome
Et ce n'est qu'une partie des articles accumulés sur le site... faites une recherche.
https://fr.sott.net/article/30480-Les-edulcorants-artificiels-dont-l-aspartame-multiplieraient-par-3-le-risque-de-demence-et-d-AVC
https://fr.sott.net/article/30480-Les-edulcorants-artificiels-dont-l-aspartame-multiplieraient-par-3-le-risque-de-demence-et-d-AVC
WikiLeaks révèle le "Snowden Stopper": l'outil CIA pour suivre les dénonciateurs
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
28 avril 2017 11h16
Comme dernière édition de sa série 'Vault 7', WikiLeaks vient de déposer un manuel d'utilisation décrivant un projet CIA connu sous le nom de 'Scribbles' (aussi appelé "Snowden Stopper"), un logiciel supposé conçu pour permettre l'intégration de 'web Étiquettes de balise dans des documents "susceptibles d'être volés". Les balises de balises Web sont apparemment capables de collecter des informations sur un utilisateur final d'un document et de relayer ces informations sur le créateur de la balise sans être détectées. Le communiqué de presse de WikiLeaks:
Aujourd'hui, le 28 avril 2017, WikiLeaks publie la documentation et le code source du projet "Scribbles" de la CIA, un système de prétraitement documentant le fil à filer pour intégrer les balises "Web beacon" dans des documents susceptibles d'être copiés par des initiés, des dénonciateurs, des journalistes ou autres. La version publiée (v1.0 RC1) date du 1er mars 2016 et classée SECRET // ORCON / NOFORN jusqu'en 2066.
Scribbles est destiné au prétraitement hors ligne des documents Microsoft Office. Pour des raisons de sécurité opérationnelle, le guide de l'utilisateur exige que "[l] e Scribbles exécutable, les fichiers de paramètres, les reçus et les fichiers journaux ne doivent pas être installés sur une machine cible, ni laissés à un endroit où il pourrait être collecté par un adversaire".
Le Guide de l'utilisateur 'Scribbles' explique comment l'outil génère un filigrane aléatoire pour chaque document, insère ce filigrane dans le document, enregistre tous ces documents traités dans un répertoire de sortie et crée un fichier journal qui identifie les filigranes insérés dans chaque document.
Les griffonnages peuvent filigrane plusieurs documents dans un lot et sont conçus pour filmer plusieurs groupes de documents.
Dr. Martin McHugh, président du programme de technologie de l'information à l'Institut de technologie de Dublin, a donné à la RT plus de détails sur la façon dont l'outil «Scribbles» peut être utilisé pour «mauvais aussi bien que bon».
"Les méthodes de suivi ont été historiquement développées pour notre protection, mais ont évolué pour s'habituer à nous suivre sans notre connaissance".
"Les balises Web passent généralement inaperçues. Un petit fichier est chargé dans le cadre d'une page Web. Une fois que ce fichier est accessible, il enregistre des informations uniques sur vous, telles que votre adresse IP et l'envoie au créateur de la balise. "
RépondreSupprimerMais, les notes du guide utilisateur «Scribbles», il n'y a qu'un petit problème avec le programme ... cela ne fonctionne qu'avec les produits Microsoft Office. Donc, si les utilisateurs finaux utilisent d'autres programmes tels que OpenOffice de LibreOffice, les filigranes de la CIA deviennent visibles pour l'utilisateur final et leur couverture est soufflée.
Selon la documentation, «l'outil de tatouage du document Scribbles a été testé avec succès sur [...] Microsoft Office 2013 (sur Windows 8.1 x64), des documents à partir des versions Office 97-2016 (les documents Office 95 ne fonctionneront pas !) [Et d ] Documents qui ne sont pas verrouillés, cryptés ou protégés par mot de passe ". Mais cette limitation aux documents Microsoft Office semble créer des problèmes: "Si l'utilisateur final ciblé les ouvre dans une autre application, comme OpenOffice ou LibreOffice, les images et les URL des filigrane peuvent être visibles pour l'utilisateur final. Assurez-vous toujours que les noms d'hôte et les composants d'URL sont logiquement compatibles avec le contenu original. Si vous craignez que l'utilisateur final ciblé puisse ouvrir ces documents dans une application non Microsoft Office, prenez des documents de test et évaluez-les dans l'application probable avant de les déployer. "
Donc, si vous prévoyez de voler des documents gouvernementaux à un moment donné dans un avenir proche, vous voudrez peut-être abandonner Microsoft Word.
http://www.zerohedge.com/news/2017-04-28/wikileaks-reveals-snowden-stopper-cia-tool-track-whistleblowers
Deux F-35Les USA auraient un plan de guerre contre la Russie et la Chine
RépondreSupprimerINTERNATIONAL
18:15 28.04.2017
Confronté à des adversaires capables de rivaliser avec le potentiel militaire des USA, le département de la Défense a fourni un effort intensif pour investir dans de nouveaux projets militaires pour rétablir la prédominance des États-Unis.
L'armée américaine s'est déjà dotée d'un plan de lutte contre la Russie et la Chine, estime Daniel Gouré, vice-président du groupe de réflexion américain Lexington Institute, dans un article publié par le magazine The National Interest.
Le nouveau programme d'investissements américain dans la défense est baptisé « Troisième stratégie de compensation (Third offset strategy) » dans la continuité des deux stratégies d'investissements technologiques précédentes appelées à contrer les progrès de l'industrie de défense de l'URSS et de ses alliés.
Selon M. Gouré, les États-Unis ont besoin d'une nouvelle stratégie parce que la Russie et d'autres adversaires potentiels de Washington ont investi beaucoup de fonds et d'efforts dans la création d'instruments, de tactiques, de matériels et de structures destinées à faire face au potentiel militaire et technique des États-Unis et de l'Otan. De plus, ces pays mettent en place leur propre stratégie de guerre offensive rapide et non nucléaire, d'après l'expert.
Washington a commencé la révision de son secteur militaire dès 2014, lançant la Defense Innovation Initiative (DII, Initiative d'innovation de la Défense) visant à développer des éléments qui constitueraient le noyau de la Troisième stratégie de compensation.
Les auteurs de cette initiative ont décidé de tirer parti des avantages des avancées technologiques dans la robotique, les systèmes autonomes, le big data, la furtivité, les techniques de fabrication avancées (comme l'impression 3-D).
D'après l'expert, le Pentagone peut déjà se servir de certains éléments de la Troisième stratégie de compensation dont notamment le chasseur-bombardier furtif F-35 capable, selon lui, de créer « un nouveau type de combat aérien ».
Les États-Unis ont récemment mené des tests, réussis, d'un système de tir polyvalent (Multi-Mission Launcher, MML) doté de dispositifs d'interception de drones, de missiles de croisière, d'obus d'artillerie et de mines, a noté M. Gouré.
Le Pentagone a également testé une arme laser installée sur un véhicule blindé Stryker et capable d'abattre des drones et des projectiles de courte portée.
On peut s'attendre à l'apparition des armes laser pour navires et des armes électromagnétiques sur des navires d'ici dix ans, estime l'expert.
Par ailleurs, la Troisième stratégie de compensation prévoit plusieurs programmes de modernisation des chars, des blindés, des roquettes de longue portée et des armes d'artillerie.
Reste maintenant à savoir si le Pentagone disposera du nombre requis de ces armes et d'un financement suffisant pour réaliser ces projets napoléoniens…
https://fr.sputniknews.com/international/201704281031144531-usa-strategie-guerre-russie-chine/
(...) On peut s'attendre à l'apparition des armes laser pour navires et des armes électromagnétiques sur des navires d'ici dix ans, estime l'expert.(...)
SupprimerMissiles IEM qui seraient tirés depuis l'espace maritime afin de rendre inopérant tout système électrique sur terre dans seulement une ville ou région ou sur mer afin d'en saisir le bâtiment intacte.
La peur de la 'bombe atomique' est entretenue alors que cette ADM est obsolète depuis plus de 40 ans, et ne fait l'éloge d'AUCUNE EXPLICATION de la part des merdias. Çà alors ! Faut dire qu'il existe un véritable lobbying de la part des constructeurs et vendeurs d'abris 'anti-atomique' ! Hahahaha !
SupprimerCar, la défaillance du dernier tir de missile nord-coréen vient uniquement de la technologie scalaire. C'est-à-dire que ces ondes (qui peuvent provoquer des tremblements de terre, des ouragans, des inondations comme des sécheresses où elles veulent), sont capable de stopper TOUT objet en déplacement. Arrêt net ou détournement du contrôle programmé.
Mais, si cette arme révolutionnaire est décrite comme étant la meilleure, il existe un moyen de la stopper net ! C'est l'IEM.
L'Impulsion ElectroMagnétique met un terme définitif à tout matériel utilisant l'électricité. C'est ce qui (les chinois en particulier qui disent de l'avoir) est appelé: la 'bombe propre'. Cette bombe (portée et explosée en altitude) serait capable - de par son onde parcourant la surface de notre planète - de griller toutes les fonctions électriques des satellites, des avions, comme de tous les véhicules terrestres ou maritimes ainsi que toutes les machines et matériels utilisant l'électricité pour fonctionner. Donc là, fini les téléphones, ordinateurs, calculettes à piles, voitures à batteries et centrales électriques (nucléaires ou non) et les missiles téléguidés. C'est retour instantanée (à la paix immédiate !) au 19è siècle où, pour se déplacer, étaient utilisés des chevaux avec charrettes, vélos ou simplement... la marche à pieds !
Que faut-il faire en cas de ? Lorsque toutes les voitures s'arrêtent, que toutes les lampes s'éteignent et les téléphones affichent un écran noir, il est conseillé de se mettre à l'abri (sous un pont, dans une maison ou mieux dans une cave pendant 10 minutes, car, c'est le temps approximatif que vont mettre tous les avions à s'écraser quelque part. Après ?... Heu, là, c'est... chacun pour soi ! Disons qu'il est super conseillé d'avoir un vélo sous la main et de fuir au plus vite la proximité de centrales nucléaires configurées pour être des 'nouveaux Fukushima' ! Donc, arrivé au bord de l'eau, d'une rivière, d'un fleuve ou de l'océan, saisir le premier bateau (à rames ou à voiles) et: larguer vite les amarres ! Ainsi, pourrez vous échapper à la radioactivité émise suite à l'explosion des centrales nucléaire privées d'eau pompée vers leurs réacteurs et voguer vers les courants marins ou alizés qui vous emporteront vers le large.
Un missile tiré par la Corée du Nord explose après le décollage
RépondreSupprimer23:19 28.04.2017
La Corée du Nord a mené samedi vers 05h30 heure locale (la veille, 22h30 heure de Paris) un nouvel essai d'un missile balistique dans la zone de Bukchang, au nord-est de Pyongyang, a annoncé l'agence de presse Yonhap, qui cite des sources militaires.
Selon l'armée sud-coréenne, le missile a explosé quelques secondes après le tir.
Les militaires américains ont confirmé l'information sur le tir d'essai, d'après la chaîne de télévision CNN qui se réfère au Pentagone.
Selon la télévision, le missile KN-17 a parcouru plusieurs centaines de milles avant de tomber près des côtes japonaises. Toutefois le commandement américain pour la région du Pacifique estime que le missile n'a pas quitté le territoire nord-coréen.
Il s'agit du huitième lancement d'essai de missile nord-coréen depuis l'arrivée au pouvoir du Président américain Donald Trump.
La tension est montée d'un cran autour de la péninsule de Corée ces dernières semaines suite aux nouveaux tirs d'essai de missiles nord-coréens et aux rumeurs sur un test nucléaire imminent en Corée du Nord. Les États-Unis ont récemment envoyé un groupe naval conduit par le porte-avions USS Carl Vinson dans l'ouest du Pacifique, au large de la péninsule de Corée. Pyongyang l'a qualifié d'acte d'agression et a menacé de porter une frappe nucléaire.
https://fr.sputniknews.com/international/201704281031150506-coree-nord-missile-test/
Trump appelle la "Corée du Nord irrespectueux" après un test de missile infructueux, avertit que la situation est "mauvaise"
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
28 avril 2017 17h13
Mise à jour: le président Trump a été informé. Le secrétaire japonais au Cabinet, Yoshida Suga, note qu'un missile a été testé et vu tomber dans le territoire coréen - proteste fortement contre l'action. Le Commandement du Pacifique américain confirme que le missile n'a pas quitté le territoire nord-coréen, ne constitue pas une menace pour l'Amérique du Nord. En outre, comme l'ajoute AP, le missile lancé était probablement un missile balistique KN-17 à moyenne portée.
* * *
Comme nous l'avons précisé plus tôt, Yonhap News de la Corée du Sud a rapporté que la Corée du Nord a provoqué Trump avec un autre lancer de test de missiles balistiques, juste quelques heures après que les États-Unis ont poussé pour plus de pression contre le régime de Kim Jong-Un.
Cependant, il n'a pas volé loin: le missile, tiré d'une zone juste au nord de Pyongyang vers la mer du Japon, a volé plusieurs minutes avant de se séparer. AP rapporte qu'un responsable américain affirme que le test nord-coréen était probablement un missile balistique à moyen terme; Il a rompu quelques minutes après le lancement.
Le commandement du Pacifique des États-Unis a confirmé qu'un lancement a eu lieu à 10 h 30, heure de Hawaii, près de l'aérodrome de Pukchang, mais le missile n'est pas arrivé à la mer du Japon et n'a jamais quitté le territoire nord-coréen, suggérant qu'il a échoué peu de temps après le lancement ...
Ce lancement survient quelques heures seulement après que le secrétaire d'État américain Rex Tillerson a averti vendredi que le fait de ne pas freiner le développement de la Corée du Nord en matière de nucléaire et de missiles pourrait entraîner des «conséquences catastrophiques», tandis que la Chine et la Russie ont mis en garde Washington contre la menace de la force militaire.
Comme le rapporte Reuters, Washington a récemment prodigué des éloges à Pékin pour ses efforts pour freiner son allié à Pyongyang, mais le ministre chinois des Affaires étrangères, Wang Yi, a clairement indiqué le Conseil de sécurité de l'U.N. Il ne s'agissait pas seulement de la Chine de résoudre le problème nord-coréen.
"La clé de la résolution du problème nucléaire dans la péninsule ne dépend pas du côté chinois", a déclaré Wang au conseil des 15 membres en contradiction avec la croyance de la Maison Blanche selon laquelle elle exerce une influence significative.
La réunion ministérielle du conseil, présidée par Tillerson, a exposé les anciennes divisions entre les États-Unis et la Chine sur la façon de traiter avec la Corée du Nord. La Chine veut des discussions d'abord et une action plus tard, tandis que les États-Unis veulent que la Corée du Nord réduise son programme nucléaire avant que ces pourparlers commencent.
"Il faut mettre de côté le débat sur qui devrait faire le premier pas et arrêter de discuter de qui a raison et qui a tort", a déclaré Wang au conseil. "Il est maintenant temps d'envisager sérieusement de reprendre les pourparlers".
Tillerson a répondu: "Nous ne négocierons pas notre retour à la table de négociation avec la Corée du Nord, nous ne récompenserons pas leurs violations des résolutions passées, nous ne récompenserons pas leur mauvaise conduite avec des pourparlers".
RépondreSupprimerLa Corée du Nord n'a pas participé à la réunion.
Il semble que nous nous sommes rapprochés d'un «conflit majeur et majeur».
http://www.zerohedge.com/news/2017-04-28/north-korea-test-fires-another-ballistic-missile
SupprimerS'agissait-il d'un missile 'IEM' contre la présence americaine dans le Pacifique ?
Voici ce que l'OTAN combattra probablement s'il y a une guerre mondiale III
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
28 avril 2017 22h15
Auteur de Darius Shahtahmasebi via TheAntiMedia.org,
La Russie a récemment déclaré qu'elle appuierait l'offre de l'Iran de rejoindre l'Organisation de coopération de Shanghai, une alliance économique et politique émergente dirigée par la Chine. Ce bloc de Shanghai a été formé à l'origine en 1996 avant d'être diffusé en 2001. Ses membres comprennent le Kazakhstan, le Kirghizistan, la Russie, le Tadjikistan et l'Ouzbékistan. L'année dernière, l'Inde et le Pakistan ont également signé le mémorandum des obligations et devraient devenir membres à part entière quelque part cette année. Le bloc s'est étendu à une organisation militaire au cours des dernières années et a exercé des exercices militaires conjoints dans le passé.
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a déclaré que l'Iran correspond maintenant pleinement aux critères d'adhésion et que les discussions sur son offre d'adhésion auront lieu cet été.
"Suivant en ligne [pour l'adhésion] ... l'Iran, qui a résolu les problèmes liés aux sanctions du Conseil de sécurité de l'U.N.", a déclaré Lavrov à l'agence de presse nationale russe Itar-Tass, rapportée par Newsweek.
Le pays «répond pleinement aux critères d'adhésion», a déclaré Lavrov aux journalistes à la fin d'une réunion des ministres des Affaires étrangères du groupe.
L'Iran a actuellement le statut d'observateur dans l'organisation, ce qui signifie qu'il peut assister à des sommets. Comme il est assez clair, l'Iran et la Russie coopèrent déjà à la fois sur le plan économique et militaire, notamment en ce qui concerne le conflit syrien. Ce qui est particulièrement remarquable à propos de cette alliance, c'est le fait que les États-Unis ont été rejetés en obtenant le statut d'observateur en 2004, ce qui, comme le rapporte Newsweek, renforce "l'impression que son but est d'exister en opposition aux alliances politiques et militaires occidentales. "
En compliquant encore cette question, le membre de l'OTAN Turquie a exprimé le désir de rejoindre cette organisation à la fin de l'année dernière. Alors que la Turquie passe d'une soi-disant démocratie à une dictature presque absolue, le président turc Tayyip Erdogan pourrait trouver qu'il a plus en commun avec ses homologues de l'Est que les occidentaux.
Si ce scénario devait se produire, il mettrait un allié de l'OTAN en alliance directe avec les anciens rivaux de l'OTAN, l'Iran et la Russie.
Alors que le monde se prépare apparemment à une troisième guerre mondiale entre l'OTAN et le bloc de l'Est en croissance, nous assistons au renforcement des alliances et à la transition de certains stratégiques. On peut seulement espérer que, lorsque les alliances changent et se renforcent, l'équilibre des pouvoirs pourrait se passer juste pour éviter que les puissances, c'est-à-dire, ne lancent cette guerre désastreuse en premier lieu.
http://www.zerohedge.com/news/2017-04-28/heres-who-nato-will-probably-be-fighting-if-theres-world-war-iii
L'établissement globaliste a-t-il vaincu la révolte Populiste-Nationaliste ?
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
28 avril 2017 18h05
Auteur de James George Jatras via The Strategic Culture Foundation,
L'année dernière, lorsque le peuple du Royaume-Uni a voté en faveur de la sortie de l'Union européenne, l'Établissement en Europe et aux États-Unis a été étonné. Tous les sondages avaient prédit une victoire pour le camp restant. Tous ceux qui ont compté, y compris Hillary Clinton et Barack Obama, ont clairement indiqué que rester dans l'UE de plus en plus dysfonctionnelle était la seule option acceptable.
Les conseils amicaux des élites mondiales, de toutes les personnes intelligentes, magnifiques et riches des deux côtés de l'étang, ont été rejetés par le peuple britannique, ou par les habitants d'Angleterre et du Pays de Galles, de toute façon. Ce qui était considéré improbable, voire impossible, s'est néanmoins passé. La Grande-Bretagne, semble-t-il, n'était pas encore morte.
Viennent ensuite les États-Unis. Tous les experts ont déclaré que la victoire de Hillary Clinton était une conclusion décriée. Les seules questions sérieuses étaient la taille de sa victoire, que d'autres républicains qui optent pour le Congrès et les bureaux de l'État puissent échapper au vortex de la débâcle de Donald Trump de proportions historiques, à qui choisirait-il pour son Cabinet, et quand commencerait la Seconde Guerre mondiale. (En effet, certains ont sérieusement suggéré que Trump avait fonctionné uniquement pour aider à assurer le chemin de Hillary vers la Maison Blanche, en tant que seul républicain qui pourrait perdre à un porte-drapeau démocrate aussi défectueux.) Mais les électeurs de la classe ouvrière dans la ceinture de rouille de l'Amérique - Pennsylvanie, Ohio, Wisconsin, Michigan - a fait de l'établissement un geste grossier et a élu Trump. L'Amérique, semble-t-il, n'était pas encore morte.
Des deux côtés de l'Atlantique, la révolte avait été déchaînée! Des citoyens ordinaires exigeant de récupérer le pouvoir de la classe de Davos étaient en marche! Ce qui a commencé en 2016 continuerait sûrement en 2017.
Sauf que cela ne l'a pas fait.
En réalité, la contre-attaque de l'établissement a débuté en 2016. En Autriche, Norbert Hofer, du Parti de la liberté de l'Autriche (FPÖ), qui au début de l'année avait initialement crié une victoire étroite, qui a ensuite été renversée par des bulletins d'absents douteux, seulement Puis être annulé par une contestation judiciaire, perdu pour un candidat d'établissement dans une reprise de décembre. La perte est venue après une campagne prévisible de vilipendance du FPÖ et Hofer comme (choisissez votre favori) raciste, antisémite, islamophobie, fasciste, nazi, etc.
Le premier test de ce que certains ont appelé «l'effet Trump» a échoué.
Viennent ensuite les Pays-Bas. Le vote du 15 mars a vu la défaite du Parti pour la Liberté de Geert Wilders, qui a promis de tenir un référendum de style Brexit pour sortir les Pays-Bas de l'UE - «Nexit». Concentré sur l'impact néfaste de l'immigration islamique et des musulmans «Refus d'intégrer dans la société néerlandaise et d'accepter les normes sociales néerlandaises, Wilders a fait une cible encore plus attrayante que Hofer pour ceux dont la notion d'Europe inclut l'abolition de son identité traditionnelle. Même si les sondages ont montré que la plupart des électeurs néerlandais favorisaient un référendum, le résultat était une autre défaite pour «l'extrême droite». (Pourquoi n'y a-t-il jamais de «lointain»?)
RépondreSupprimerMaintenant, nous venons en France. Les trois quarts des citoyens français ont voté au premier tour pour les candidats qui, dans une mesure ou une autre, voulaient renégocier ou mettre fin aux relations de la France avec l'UE («Frexit»), et peut-être l'OTAN aussi, et pour restaurer les liens avec la Russie. Le seul concurrent de haut niveau qui n'a pas fait une telle offre, Emmanuel Macron - un candidat à l'établissement frauduleusement qualifié de «outsider» par les médias serviles - est fortement favorisé à gagner (vous l'avez deviné) «raciste» «extrême droite» «fasciste »« Islamophobe »« xénophobe »Marine Le Pen du Front national. Certains médias font déjà préavis en termes sombres sur les intrigues russes pour garantir sa victoire, en la discréditant de manière préventive si elle réussit à gagner, ou du moins à semer «le doute / la discorde / la confusion».
Ce qui nous ramène aux Etats-Unis. Trump a gagné, mais il est loin d'être entièrement maîtrisé par l'appareil du gouvernement américain. Les enquêtes du Congrès sur l'influence de la Russie dans les élections et sur son équipe suggèrent maintenant que le général Michael Flynn, le premier conseiller en sécurité nationale de Trump, pourrait faire face à des accusations criminelles. Les juges fédéraux ignorent sans cesse les lois et la Constitution pour abattre les efforts de Trump pour contrôler les frontières américaines et expulser les étrangers illégaux.
En prenant ce qui lui semble maintenant le chemin de la moindre résistance, Trump et ses personnes nommées ont institué une politique de sécurité nationale qui diffère à peine d'Obama ou que Hillary aurait été si elle avait gagné:
- Vilify Russie, maintenir les sanctions et continuer à élargir l'OTAN (bienvenue au Monténégro!), Ce qui ne signifie pas être «obsolète» après tout;
- Bombé la Syrie et demande un «changement de régime» à Damas;
- Développer les opérations militaires en Afghanistan, y compris laisser tomber la «Mère de toutes les bombes»;
- Menacrer la Corée du Nord et l'Iran avec une action militaire; et
- Appuyez sur la Chine sur la Corée et la mer de Chine méridionale, tout en offrant des concessions sur le commerce - un renversement complet de ce qui aurait dû être l'affaire Trump.
Une partie de cela reflète de mauvaises sélections de personnel. Une partie de cela peut être un calcul né de la nécessité - un pas en avant, deux pas en arrière. (Après tout, Steve Bannon s'est appelé lui-même un léniniste.) La grève d'épingle sur la Syrie indique que cela peut être principalement pour le spectacle.
Mais surtout, nous voyons à quel point la position de Trump est faible, élection ou pas d'élection. L'établissement n'a peut-être pas pu l'arrêter à l'urne, en partie à cause de l'horreur du candidat concurrent et de sa campagne. Mais ils risquent encore d'avoir le dernier rire.
RépondreSupprimerSi, en effet, Le Pen est vaincu, cela peut montrer que les pseudo-élites corrompues, plotocratiques, antichrétistes et anti-nationales ont trouvé la formule pour assurer leur perpétuation au pouvoir, pendant un certain temps. Cela, cependant, ne fera rien pour remédier aux crises politiques, économiques, démographiques et surtout spirituelles qui caractérisent leur misrule. Cela signifie seulement qu'ils ont battu des tentatives ordonnées et pacifiques de citoyens décents pour changer de cap avant qu'il ne soit trop tard. Si cela s'avère être le cas, cela signifie seulement que l'effondrement, quand il s'agira, sera d'autant plus terrible.
http://www.zerohedge.com/news/2017-04-28/has-globalist-establishment-defeated-populist-nationalist-revolt
SupprimerLes marionnettes à la charge des 'hommes de l'ombre' mettent bien en avant et montrent bien que SEUL le peuple (non écouté) a raison !
(+ de 4 % de surdoués dans le monde, càd. + de 280 millions !)
C'est çà qui fait peur à la '5è colonne' qui ne sait plus par quel motif peut-on déclencher une guerre !