Europe enlevée, le tribut au Minotaure, le casse-tête de Zeus - Pepe Escobar analyse la crise actuelle qui secoue le vieux continent sous un angle inédit - celui de la mythologie grecque classique.
Europe, dans la mythologie grecque classique, était une belle princesse phénicienne qui a rendu Zeus complétement dingue.
Arnaqueur par excellence, Zeus s'est métamorphosé en taureau blanc, l'a appâtée afin qu'elle monte sur lui, et avant qu'elle ne puisse s'échapper, a plongé dans la mer Égée et l'a amenée en Crète. Le fruit de leur ébats amoureux inévitable était le roi Minos. Donc, gardez à l'esprit qu'Europe est la belle-grand-mère du Minotaure (on parlera de Minotaure dans un instant).
Bien qu'il fût un amant prolifique, Zeus revenait toujours à sa femme Héra. Mais cette fois, pas avant d'avoir offert des présents à Europe. L'un de ces cadeaux fut Laelaps, un chien qui ne laisse jamais échapper sa proie. Puis, un jour, le destin a décidé que Laelaps doit pourchasser le renard de Teumesse qui, selon la conception divine, ne devait jamais être attrapé.
Imaginez la situation délicate de Zeus. Après avoir torturé son cerveau divin, Zeus en est finalement arrivé à une solution facile, il a transformé les deux en pierre et les a lancés dans le ciel.
Il est toujours possible d'utiliser les bacchanales psychédéliques de la mythologie grecque classique pour trouver des illustrations graphiques à la crise de notre temps. Imaginez par exemple, l'élite européenne, Mario Draghi et compagnie, torturant leurs cerveaux dans la situation du style la rencontre de Laelaps et de Teumesse, en essayant de résoudre l'énigme de la zone euro.
Et imaginez aussi un nouveau Minotaure qui dévore des nouveau-nés fils et filles de l'Europe moderne.
A présent, voyons le nouveau conte dans le cœur d'Europe.
Je vous présente DiEM25
Sept mois après avoir démissionné du poste de ministre des Finances de la Grèce, auto-proclamé «marxiste erratique», Yanis Varoufakis refait surface (de la mer Égée ?) de manière fracassante.
Mardi dernier, au théâtre Volksbühne de Berlin, Varoufakis a lancé un nouveau projet : le DiEM25 (le mouvement de démocratie en Europe 2025), dont l'objectif est de transférer un jour le pouvoir de l'élite d'une Europe irresponsable et farouchement autoritaire, et le distribuer équitablement aux citoyens européens.
Un mythe grec ? Pourquoi pas ? Et justement au moment où Europe a tellement besoin d'un nouveau mythe fondateur. Varoufakis parie que le mouvement parviendra finalement à un «consensus de base» sur ce qui doit être fait pour réellement introduire des pratiques démocratiques dans la façon dont le géant européen est géré. Et puis ça se poursuivra jusqu'à la démocratie parlementaire, par l'intermédiaire d'élections.
Le diagnostic de Varoufakis résonnerait chez tous les Européens sains d'esprit. Il comporte les élites européennes irresponsables, la «grande finance» et la «grande industrie» formant le «cartel malsain» qui est le «principal moteur de la politique de l'UE», la banque centrale européenne (BCE) soutenant le «cartel» en imprimant de l'argent comme si demain n'existait pas grâce à l'assouplissement quantitatif, l'Italie comme la nouvelle Grèce, étouffée par ses remboursements de dette, la fausseté de la BCE théoriquement apolitique, qui contrôle les taux d'intérêt dans des pays largement disparates, et l'attitude mafieuse de l'Eurogroupe (composé de 19 ministres des Finances des membres de la zone euro).
Sans surprise, la fausseté de ce «modèle» de gestion de la zone euro a eu comme résultat un chômage dévastateur et a facilité la montée toujours plus vigoureuse de l'extrême droite.
Le concept du DiEM25 est inspiré par ce que les gens à travers l'Europe auraient dû faire dans les années 1930, avant l'ascension du nazisme et du fascisme : un mouvement paneuropéen démocratique et transpolitique. Varoufakis voit toutes les tendances toxiques des années 1930 dans l'épouvantable tourmente qui engloutit Europe.
Il souhaite que le DiEM25 représente plus qu'un «simple groupe de réflexion et ... une communauté en ligne».
En même temps, il voudrait que le mouvement demeure essentiellement sans leader. Et c'est là que ça coince, Europe n'a probablement pas besoin de héros, mais dans l'état actuel des choses, elle a assurément besoin de vrais leaders.
Je vous présente le nouveau Minotaure
Etant donné l'actuel vide intellectuel partout en Europe, Varoufakis fait au moins trembler la torpeur. Tout ce qu'il faut savoir sur les causes profondes de la crise financière mondiale de 2008 a été disséqué dans son livre phare «Le Minotaure planétaire» (édition Zed Books).
La métaphore du Minotaure est indispensable pour comprendre le «modèle» défini comme une «désintégration contrôlée de l'économie mondiale» imposée à la planète entière par l'ex-président de la Fed Paul Volcker. Déclenché dans la prospérité des années 1980, ce «flux chaotique, pourtant étrangement contrôlé» comme le définit Varoufakis, s'est traduit par l'envoi quotidien par des investisseurs étrangers de milliards de dollars américains sur la bourse de Wall Street, finançant ainsi le double déficit des Etats-Unis et en alimentant le Minotaure Mondial.
Donc, nous voilà une fois de plus de retour à la mythologie grecque. Le roi de Crète Minos a demandé à Poséidon un taureau comme signe de l'approbation divine. Il a promis à Poséidon qu'il sacrifiera l'animal en l'honneur du dieu. Mais, il ne l'a pas fait. La punition a été, par conséquent, inévitable.
Parlons de punition créative. Les dieux, en utilisant l'expertise d'Aphrodite, ont fait en sorte que la femme de Minos, la reine Pasiphaé, tombe follement amoureuse d'un taureau. Grâce à la contribution du légendaire ingénieur Dédale, la reine a réussi à en tomber enceinte. Le fruit en a été le Minotaure : moitié être humain, moitié taureau.
Quand le Minotaure est devenu énorme et incontrôlable, Minos a demandé à Dédale de lui construire un labyrinthe. La seule façon d'apaiser le Minotaure était de lui offrir de la chair humaine. Et c'est là qu'on arrive à la vengeance de Minos de Crète sur Athènes : le roi d'Athènes Aegeus a tué le fils de Minos après qu'il a remporté tous les concours des jeux panathéniens. En résultat, après une courte guerre avec Athènes, Aegeus s'est vu obligé d'envoyer chaque année sept jeunes garçons et sept jeunes filles célibataires afin qu'il soient dévorés par le Minotaure.
Dans le mythe, cela se traduit par la mise en place d'un tribut régulier étranger pour que le Minotaure soit bien nourri. De nos jours, ou du moins jusqu'en 2008, c'était la situation de la Pax Americana. Mais, contrairement au mythe, où Thésée, le fils d'Égée, est finalement venu à bout du Minotaure, ce qui a condamné le nouveau monstre a été l'affaire des subprimes et le tsunami des CDO et des CDS (NDLR les produits dérivés des crédits bancaires).
Varoufakis ne peut qu'être passionné par le remix de la métaphore du Minotaure, le tribut périodique unilatéral, en dollars américains, de la planète entière permettant aux «Exceptionnalistes» hégémoniques de projeter leur puissance à travers les mers. Ce Minotaure est en train de mourir à présent, le monde est encore encombré par son corps en décomposition et personne ne sait quelle monstre prendra le relais.
Pour l'instant, il est temps de combattre un autre, un moindre Minotaure ; un monstre dévorant les enfants de sa belle-grand-mère Europe grâce à l'autocratie, à l'austérité, au chômage et à la peur. Et une fois de plus, il en faut un Grec, pas du tout un héros, pour montrer aux Européens le chemin à suivre.
Nina Le Clerre L'Express mar., 16 fév. 2016 05:57 UTC
-- Commentaire : Une information à replacer dans le contexte de la « guerre au cash » que les institutions semblent vouloir mener, dorénavant. On nous ressort les excuses de la délinquance et du terrorisme et l'on commence avec une mesure qui ne suscitera pas trop de contestations : le billet de 500 euros n'est en effet pas d'un usage courant. Viendra ensuite, à n'en pas douter, le tour du billet de 200 euros. Guerre au cash : la Chine compte émettre une monnaie numérique le plus tôt possible Guerre au cash : quand l'Etat profond s'intéresse à notre argent Guerre au cash : la voie vers l'État tutélaire Guerre au cash : la nouvelle prohibition Guerre au cash, billet de 1000€ Guerre au cash : abolir, asservir Guerre au cash : quand l'État se servira dans nos poches, il sera trop tard La guerre au cash est déclarée --
La BCE décidera prochainement du sort du billet de 500 euros. Très peu utilisée par le grand public, mais soupçonnée d'aider les fraudeurs, la coupure de 500 euros pourrait être retirée de la circulation. La Banque centrale européenne se prononcera " prochainement ".
Exit la grosse coupure ! Benoît Coeuré, membre du directoire de la Banque centrale européenne (BCE), a laissé entendre dans un entretien accordé au Parisien, le jeudi 11 février, que le billet de 500 euros était menacé de disparition. "De mon point de vue, les arguments en faveur du maintien du billet de 500 € sont de moins en moins convaincants", a-t-il indiqué. Avant de préciser que l'institution de Francfort devrait trancher "prochainement" sur la question. Et Michel Sapin d'en rajouter, en arrivant ce vendredi à l'Eurogroupe. "Je le dis du point de vue français parce que je le vois en France, le billet de 500 euros est plus utilisé pour dissimuler que pour acheter", a déclaré le ministre des Finances à l'AFP.
Au total, 613 millions d'unités circulent dans le monde, d'après la BCE. Le billet de 500 euros représente 30 % de la valeur totale des billets en euros en circulation (soit 307 milliards d'euros), contre 13,7 % en 2002.
Une quantité suspecte en circulation
Or son usage reste très limité chez le grand public. "A l'origine, celui (le billet ndlr) de 500 euros répondait au souhait de plusieurs pays de la zone euro d'avoir une coupure en euros qui corresponde à leur ancienne plus grande coupure en monnaie nationale", explique Benoît Coeuré. Mais la coupure ne fait pas partie du quotidien des Français et des autres habitants de la zone euro. En France, "aucune banque n'en délivre dans les distributeurs de billets", rappelle Charles Prats, magistrat spécialiste de la lutte contre la fraude fiscale, dans les colonnes du quotidien. Et si les commerçants sont, en théorie, tenus d'accepter les grosses coupures, (tant qu'ils n'ont pas à faire l'appoint dessus), dans les faits, ils refusent très souvent. Sans compter que l'abaissement du plafond de paiements en espèces autorisé, en vigueur depuis septembre 2015, remet un peu plus en cause son utilité.
Il en découle de très lourds soupçons sur le véritable usage de la coupure, dont la valeur élevée offre une grande facilité de stockage pour les gros montants. Selon Charles Prats, qui la qualifie d'"instrument privilégié de la délinquance en col blanc", elle permet de "faciliter l'évasion des capitaux hors des frontières". Tandis que Giovanni Kessler, directeur général de l'Office de la lutte antifraude, interrogé par Le Parisien, considèrent que ces billets "facilitent la vie des escrocs ". D'après le Financial Times du 1er février, la Commission européenne et Europol enquêtent, en particulier, sur un éventuel lien avec le financement du terrorisme.
Alors que les armes et la drogue sont payés en or, l'évènement de la disparition du papier-cul ne changera pas grand chose car: comme nous l'avons TOUS vu: Un homme armé ou un groupuscule peut semer la terreur dans un pays en commettant des attentats et faire appliquer la loi martiale ! Ce n'est donc pas le billets de 500 € ou même celui de 5 € qui y sont pour quelque chose car, si sur une facture est inscrite: 'Vendu bicyclette en très bon état et pneus neufs 50 000 euros" et payé par carte bancaire, personne ne pourra prouvé que la-dite bicyclette a existée surtout si l'acheteur se l'aurait fait voler le jour-même ! Pas de chance, non ? HAHAHAHA !
Les psychopathes en action : ils ont un « plan B » pour détruire encore plus la Syrie et affronter l'ours russe
Bill Van Auken Mondialisation Canada lun., 15 fév. 2016 12:21 UTC
Des négociations sur le conflit armé sanglant de Syrie ont eu lieu jeudi à Munich sur fond d'une offensive gouvernementale syrienne soutenue par des frappes aériennes russes et destinée à briser l'emprise des « rebelles », soutenus par l'Occident, sur la partie orientale largement en ruines d'Alep. Les pourparlers se sont tenus sous les auspices des 17 membres du Groupe international de soutien à la Syrie qui comprend les États-Unis et leurs alliés régionaux - Arabie Saoudite, Turquie et Qatar - dans la guerre de changement de régime en Syrie, la Russie et l'Iran étant alliés au gouvernement du président Bachar al-Assad, qu'ils aident activement.
-- Commentaire : Ils veulent tellement gagner cette guerre quitte à détruire la planète entière. Ainsi fonctionne le cerveau du psychopathe, incapable de se rendre compte des répercussions de ses actes. Dans cette idée de vouloir contrôler la planète entière afin de voler et piller les ressources des pays, les Etats-Unis pensent qu'ils vont être les gagnants. Ils oublient qu'en Libye, quand ils ont massacré tout un pays et assassiné son leader, l'ours russe n'était pas là. Maintenant c'est différent : les Russes sont là. --
Washington a exigé un cessez-le-feu immédiat et un arrêt des frappes aériennes russes en Syrie. Les Etats-Unis, les monarchies réactionnaires arabes et le régime turc craignent que sans arrêt des combats, les milices islamistes qu'ils soutiennent, financent et arment depuis près de cinq ans, ne puissent éviter une défaite irréparable.
La Russie aurait pour sa part proposé un cessez-le-feu qui commencerait le 1er mars, donnant ainsi suffisamment de temps au gouvernement syrien pour rétablir son contrôle sur Alep.
Vendredi dernier, le secrétaire d'Etat américain John Kerry et le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov ont annoncé qu'ils étaient parvenus à une entente de principe pour un cessez-le-feu « dans une semaine » et une accélération de l'aide humanitaire. Kerry a reconnu que même si l'accord faisait bien « sur le papier » il devait encore faire ses preuves. Tous les conflits sous-jacents restent sans solution et les opérations militaires américaines, et russes, vont se poursuivre au nom de la lutte contre l'État islamique (EI).
A la veille des pourparlers de Munich, Kerry a fait, dans une interview avec le chroniqueur du Washington Post David Ignatius, une menace sans équivoque relative à la stratégie de négociation des États-Unis à Munich: « Ce que nous faisons est tester le sérieux [russe et iranien], » a-t-il dit. « Et s'ils ne sont pas sérieux, alors il faudra considérer un plan B ... On ne peut pas en rester là ». Un « Plan B » consisterait en une brusque escalade de l'intervention militaire américaine en Syrie, réalisée sous couvert de lutte contre EI, mais axée sur un renversement du gouvernement Assad. L'Arabie Saoudite et le Qatar auraient également discuté d'un «plan B» ces derniers jours, où ils participeraient à une intervention militaire directe pour sauver les « rebelles » qu'ils soutiennent. L'agence de presse saoudienne Al-Arabiya a cité des responsables de Riyad confirmant la décision de la monarchie des Saoud d'envoyer des troupes en Syrie pour une invasion hostile et provocatrice. Réagissant aux implications sinistres d'une telle escalade, le premier ministre russe Dmitri Medvedev a dit au quotidien allemand Handelsblatt jeudi: «Les Américains et nos partenaires arabes doivent y réfléchir sérieusement - veulent-ils une guerre permanente? Toutes les parties doivent être forcées à la table de négociation au lieu de déclencher une nouvelle guerre mondiale ». Les mots choisis par Medvedev n'étaient pas une simple hyperbole. Une intervention militaire pour sauver les «rebelles», qui revient à une guerre pour sauver la filiale syrienne d'Al-Qaïda, le Front al Nosra, principale force au sol dans la province d'Alep, pourrait rapidement mener les États-Unis et leurs alliés dans des combats avec la Russie, un affrontement armé entre les deux principales puissances nucléaires.
Des responsables américains ont évoqué ces derniers jours la création d'un « corridor humanitaire » à Alep et dans d'autres zones rebelles assiégées par les forces gouvernementales. On peut supposer que ce «corridor» est destiné à remplacer la principale voie d'approvisionnement des «rebelles» depuis la Turquie, coupée par l'offensive du gouvernement. Cela perturbe l'armement des «rebelles» orchestré par la CIA avec les stocks venus de Libye, des royaumes pétroliers du golfe et d'au-delà. Un tel corridor nécessiterait une force militaire de protection et l'application d'une «zone d'exclusion aérienne», ce qui signifie une confrontation non seulement avec les forces du gouvernement syrien, mais avec les avions de combat russes.
La Turquie, alliée de Washington dans l'OTAN, est en train de bloquer ses frontières aux réfugiés syriens pour créer un maximum de crise de façon à poursuivre ses propres objectifs stratégiques: non seulement un changement de régime à Damas mais aussi la répression sanglante de la minorité kurde de part et d'autre de la frontière.
Le gouvernement Obama n'a donné aucun avertissement au peuple américain qu'il se lançait en Syrie dans une politique qui pourrait opposer les Etats-Unis à l'armée russe et potentiellement déclencher une catastrophe mondiale.
Il n'y a pas de soutien populaire significatif pour une intervention militaire américaine en Syrie, promue sous le faux prétexte de « l'humanitarisme » et aidée par toute une coterie d'organisations pseudo de gauche dont la spécialité est de représenter la campagne sectaire sanglante des milices islamistes soutenues par la CIA comme la « révolution syrienne ». L'ampleur de la catastrophe déchaînée en Syrie a été articulée dans une nouvelle étude réalisée par le Centre syrien pour la recherche politique, qui a constaté que 11,5 pour cent de la population syrienne avait été soit tuée soit blessée en raison du conflit. Le bilan des morts de cette guerre, combiné à la destruction systématique de l'infrastructure et du système de santé, et à une baisse spectaculaire du niveau de vie, a fait chuter l'espérance de vie, estimée à 55,4 ans en 2015, alors qu'elle était de 70,5 ans en 2010. L'étude a aussi révélé que le taux de chômage du pays avait grimpé de 14,9 pour cent en 2011 à 52,9 pour cent à la fin de 2015 et que le taux global de pauvreté était estimé à 85,2 pour cent. Bref, le gouvernement Obama a infligé à la Syrie une guerre qui est tout aussi criminelle et meurtrière que la guerre menée par le gouvernement Bush contre l'Irak.
Le peuple syrien est la victime d'une guerre orchestrée par les Etats-Unis, motivée par la stratégie mondiale de l'impérialisme américain qui est d'inverser son déclin économique par l'emploi ou la menace de la force militaire. Washington a recherché un changement de régime en Syrie comme moyen de réaliser une fin: l'affaiblissement des deux principaux alliés de Damas, la Russie et l'Iran, et la réaffirmation de la mainmise occidentale sur les vastes ressources énergétiques du Moyen-Orient.
La menace d'une guerre mondiale vient non seulement de la perspective que des avions de combat américains et russes s'affrontent dans le ciel syrien, mais de toute la logique de la guerre de changement de régime et des objectifs stratégiques plus larges qu'elle remplit. Celle-ci se traduit aussi par l'intensification de l'encerclement militaire de la Russie par l'OTAN et par la politique anti-chinoise de plus en plus provocatrice du Pentagone en mer de Chine méridionale.
La campagne des Etats-Unis pour l'hégémonie mondiale a été articulée dans la maxime stratégique énoncée par le Pentagone il y a près d'un quart de siècle: Washington doit empêcher l'émergence d'une puissance capable de contester la domination du capitalisme américain à l'échelle mondiale ou même régionale. Cette «grande stratégie» a mené depuis à des guerres américaines d'agression incessantes et pose maintenant la menace réelle d'une troisième guerre mondiale, nucléaire. Contre la stratégie barbare de l'élite dirigeante américaine, les travailleurs américains et internationaux doivent avancer sa propre stratégie indépendante, la lutte pour le retrait des États-Unis et de toutes les forces militaires étrangères de Syrie, d'Irak et du Moyen-Orient, et l'unité de la classe ouvrière à travers toutes les frontières nationales, religieuses et ethniques, dans une lutte commune pour mettre fin au capitalisme, source du militarisme et de la guerre.
Juge Antonin Scalia, trouvé mort "avec l'oreiller au-dessus de sa tête", mais aucune autopsie n'ordonnée
Soumis par Tyler Durden le 15/02/2016 14:15 -0500
La mort de la Justice de Cour suprême Antonin Scalia le samedi matin a pris une tournure pour le théoricien de la conspiration à la suite d'observations de l'homme d'affaires de Houston qui a découvert le corps de la décision du juge. Il s'agit de la nouvelle comme il a été remis dans le public général hier matin :
Un fonctionnaire fédéral qui demande de ne pas être nommé a dit il y a aucune preuve d'acte de jeu déloyal et il est apparu que Scalia est mort de causes naturelles.
Selon CNN, Scalia est décédé dans son sommeil. Un fonctionnaire du gouvernement a informé Scalia s'est couché vendredi soir amis il ne se sentait pas bien. Samedi matin, il n'a pas se lever pour le petit déjeuner. Et il accompagnait le groupe pour un voyage de chasse gauche sans lui.
Quelqu'un au ranch est allé vérifier sur lui et le trouva ne répond pas.
-Une mort triste avec les personnes âgées juge passant tranquillement dans son sommeil - tout à fait raisonnable.
Sauf sous le San Antonio Express - qui a tout d'abord cassé les nouvelles de la mort de Scalia samedi après-midi - rapports, que "quelqu'un" a été John Poindexter, propriétaire du ranch de luxe 30 000 acres qui ont déclaré ce qui suit...
« Nous avons découvert le juge dans son lit, un oreiller sur sa tête. Ses vêtements de lit étaient quasi-absence, » dit Poindexter.
"Il était couché très reposante. Il semblait qu'il n'avait pas tout à fait réveillé d'une sieste,"dit-il. Antonin Scalia, 79, n'a pas eu une impulsion et son corps était froid, et après avoir consulté un médecin dans un hôpital de Alpine, Poindexter a conclu réanimation aurait été inutile, il a alors contacté les autorités fédérales, à la première rencontre une série de services de réponse parce qu'il appelait un week-end.
S'il est bien sûr une chose « naturelle » de mourir si quelqu'un est vous étouffant avec un oreiller, nous pressentons ce n'est pas la norme pour les « causes naturelles ».
Ajoutant à la suite les questions entourant la mort, il n'y aura aucune autopsie pratiquée sur la Justice de Cour suprême Antonin Scalia, une source proche de l'affaire, a confirmé à CNN.
La décision pour aucune autopsie a été faite tant par la famille et le Texas Justice de paix, a dit la source.
Marques de mort de Scalia seulement la deuxième fois en soixante ans, un juge de paix est mort avant de se retirer de la Cour et quitte la Cour répartis en 4-4 assez conservateur et assez libérale, au cours d'une année d'élection présidentielle chauffée.
Démocratie américaine ? - Argent, Super délégués et des Machines de vote piratées
Soumis par Tyler Durden le 15/02/2016 21:55 -0500 Rédigé par Cynthia McKinney, Op-Ed via RT.com,
Jésus a dit un jour à un homme riche que « c'est plus facile pour un chameau de passer par le chas d'une aiguille qu'il est pour un homme riche aller au ciel. » Aujourd'hui, nous pourrions modifier les mots de cette référence biblique avec la course à la présidence américaine en cours :
« Il est plus facile pour un chameau de passer par le chas d'une aiguille que pour un électeur aux États-Unis connaître et comprendre les règles régissant l'administration de toutes les élections, y compris les élections à la présidence des États-Unis. »
Commençons par le phénomène de ce qu'on appelle un « Président de la minorité ». Non, ce n'est pas un président qui s'identifie comme une minorité ethnique ou raciale aux États-Unis. Un président minoritaire est celui qui n'a pas réussi à gagner une pluralité des voix dans la course à la présidence et pourtant, est toujours en mesure de devenir président des États-Unis d'Amérique. Test l'exact opposé de ce qui exigerait une vraie démocratie ; peut-être pas encore une démocratie de pure examinerait cette position comme le « Bureau de la présidence ». Mais c'est une question entièrement différente.
Les États-Unis a eu en réalité plusieurs présidents de la minorité de son histoire, tandis que le XXIe siècle a commencé assez inquiétant avec une autre minorité Président : Bush, le républicain qui n'a pas obtenu le plus de votes exprimés par le peuple [l'élection de 2000, la Cour suprême, par un 5-4, a décidé le vainqueur de la course après avoir déménagé à arrêter le processus de dépouillement dans l'Etat de Floride].
La maison nous et le Sénat américain sont chargés de dépouillement des votes du collège électoral , et il s'agit d'un processus dans lequel j'ai participé. Le processus de Constitution a été contourné par le précédent Bush v. Gore Cour suprême qui a chargé futurs tribunaux de ne pas utiliser la décision comme un précédent !
Comme cette affaire bien prouvé, il n'est pas les gens qui ont le dernier mot dans les élections américaines. Il s'agit d'une construction non démocratiques, appelée le collège électoral qui est le cas, sauf dans les rares cas quand ce n'est pas.
Le collège électoral a été créé par les rédacteurs de la Constitution américaine pour s'assurer que les voix de la plèbe remplacent pas les intérêts de l'aristocratie terrienne. Ce n'est pas juste mon avis. Par exemple, selon FairVote, une organisation avec laquelle j'ai travaillé à l'élection présidentielle de 2000, un énorme 78 pour cent des suffrages exprimés ont été rendus sans importance en raison des règles arcanes du collège électoral. Ils estiment qu'en 2008, le chiffre atteint encore 70 pour cent.
Afin d'être déclaré vainqueur de la présidence, voix du collège électoral 270 est nécessaires. Mais le processus n'est pas ce que l'on pourrait qualifier de transparent. Par exemple, vétéran plaideur Pro Se Qu'asa Gordon a démontré comment le noir voter aux États-Unis est rendue moins pertinente par les règles de répartition arcanes du collège électoral. Et quand le collège électoral est dans l'impasse, qui est déjà arrivé, l'affaire tombe alors à la Chambre des représentants des États-Unis de décider qui pourra servir à la maison blanche.
Hacking Democracy
Ajouter à la débâcle qui précède, le Congrès américain et les autorités électorales dans les 50 États ont autorisé et encouragé l'utilisation de hackable machines de vote électronique utilisées pour la coulée et le vote de comptage. Bev Harris et sa compagnie, Vote de boîte noire, a accumulé des histoires d'horreur qui entourent la non-transparence des élections américaines. J'ai travaillé en étroite collaboration avec Harris parce que le danger de ces machines est évident pour tout le monde sauf les fonctionnaires qui continuent à acheter des millions de dollars, menacer des millions de plus précieux politique des électeurs.
Bernie a battu Hillary de 22 %, mais elle te casse même dans le New Hampshire en raison des superdélégués. Ce n'est pas la démocratie. Le système est calé.
— John Dardenne (@johndardenne) 10 février 2016
Un tel scénario, c'est ce qui a conduit l'ancien président Jimmy Carter pour commenter he « absolument » ne pouvait pas être élu aujourd'hui dans de telles conditions, allant même jusqu'à qualifier les États-Unis comme une oligarchie, pas une démocratie.
"Le piratage la démocratie" est seulement un des nombreux documentaires pour exposer la faillibilité du réel processus électoral aux Etats-Unis. Autres focus documentaires sur argent comment privé a endommagé son processus électoral.
En plus de l'insécurité matérielle, je suis désolé d'écrire que la liste des électeurs est conservée sur un support électronique et si l'électeur ne parvient pas à figurer sur la liste, l'électeur a peu de recours.
In the US, voix et vote tabulation processus sont effectués sans aucune procédure de sauvegarde traçable. En d'autres termes, il n'y a aucune trace écrite - aucun reçu d'un vote, comme il l'ont été - que ce soit. Dans l'un des mes élections au Congrès où les machines de vote électronique « a échoué, » était non seulement j'ai pas pu obtenir les données de l'élection malgré une plainte ayant été déposée, témoin expert pour l'état de Géorgie a témoigné que les votants aient à simplement la "confiance" que le gagnant annoncé est le véritable vainqueur. Pendant ce temps, les candidats n'ont pas accès aux données brutes élection parce que cette information est « possédé » par Diebold — l'entreprise qui produit les machines de vote électronique et le logiciel utilisé par eux (le documentaire "American Blackout" raconte ma propre histoire personnelle avec les élections américaines). Il est difficile de faire confiance dans le système électoral américain lorsque nous renseigner sur le nombre de votes qui vont non comptabilisées. À l'élection présidentielle de 2000 entre Bush et Gore, entre 2,000005 millions millions américains sont allés aux urnes et ont voté, mais leurs voix ont été jetés, disqualifié pour toutes sortes de raisons. La moitié de ces voix innombrables furent fondues par les noirs américains.
Ajouter à ces procédures, caprices, l'influence de l'argent privé dans les élections américaines et même le prétexte d'exploitation transparent, libres, et des élections équitables est se trouvait complètement sur sa tête. Comme je l'écrivais dans un précédent post, les règles ont donné naissance à des individus super-riche qui se cachent dans l'ombre tout en devenant l'énergie qui anime le visage public des candidats : Marco Rubio a Norman Braman comme sa plus proche et le plus important bailleur de fonds. Hillary Clinton a Haim Saban comme l'un de ses principaux donateurs ; Sheldon Adelson est un "joueur" au niveau présidentiel dans la politique américaine. Milliardaire Donald Trump se finance sa candidature présidentielle et ancien maire de New York Michael Bloomberg est répandu pour être prêt à dépenser 1 milliard de dollars dans son indépendant encore-à-être-annonce présidentielle exécuter.
La situation est tellement grave qu'une personne riche pourrait financer légalement un ensemble de la campagne du Congrès et une table ronde d'eux pourrait faire la même chose avec la présidence nous. Réforme de finances de campagne dite a soufflé les lacunes existantes grande ouverte au lieu de les fermer. La décision des citoyens Unis la Cour suprême tenait le vénéré la liberté de discours premier amendement de la Constitution américaine sur sa tête en permettant quelques riches donateurs pour avoir plus que 300 millions d'autres américains "free speech".
La triste vérité est qu'une grande partie de ce qui se passe ressemble à une course de chevaux, ou une sorte de théâtre politique conçu spécifiquement pour la consommation publique. Chaque étape du processus, que ce soit la chasse aux délégués dans le parti politique principal ou la chasse aux collège électoral votes après que les nominations ont eu lieu, l'action réelle a lieu dans les recoins les plus sombres du système, hors de vue. On pourrait aller jusqu'à dire que l'action réelle des États-Unis "démocratie" se déroule dans l'ombre.
Donc, nous assistons à la consommation publique est la chasse aux délégués parmi les prétendants présidentielles du parti républicain et entre Hillary Clinton et Bernie Sanders dans le parti démocrate. Jusqu'au 1 février, tout était essentiellement du théâtre kabuki, publicité afin d'attirer un vaste public pour accroître les bénéfices de la télévision, les radiodiffuseurs et les éditeurs de journaux. Donald Trump a fait la remarque à plusieurs reprises juste avant il a décidé de ne pas participer plus longtemps dans les débats primaires du parti républicain pre-février. Il a contesté CNN pour donner une partie de ses profits de la vente de publicité des débats aux organismes de bienfaisance des anciens combattants — qui, bien sûr, CNN a refusé de faire.
Le 1er février, le premier vote populaire a effectivement eu lieu. Les caucus de l'Iowa a débuté la chasse de délégué. Les candidats démocrates tentent de recueillir 2 382 délégués pour remporter l'investiture ; Candidats républicains ont besoin de 1 144. Dans l'ensemble de l'état de l'Iowa, les électeurs inscrits se sont réunis pour voter pour leur candidat préféré primaire. Encore les règles pour les caucus sont loin d'être simple, comme sont les règles de comptage des votes et attribution des délégués.
Ainsi, plusieurs résultats dans les caucus de l'Iowa démocratique ont été effectivement décidé par un tirage au sort ; un Clinton capitaine cité n'a pas même vivre dans la cité dont caucus, il avait été affecté à gérer. En conséquence de l'énorme confusion sur qui a réellement gagné les caucus de l'Iowa, la campagne de Sanders a lancé une quête pour obtenir les totaux de voix brutes — encore indisponibles à partir de l'Iowa ou le parti national-démocrate qui a déclaré Clinton vainqueur.
Le prochain vote a eu lieu dans le New Hampshire primaire, qui est différente de celle d'un caucus. Et là, aussi, les règles changent par l'État pour lesquelles les électeurs primaires sont habilités à voter.
Le prochain tour de scrutin aura lieu sur ce qui est appelé « Super Tuesday » quand un certain nombre d'États permettre à leurs électeurs d'exprimer leurs préférences présidentielles primaires. Mais, c'est seulement si votre candidat préféré à la présidence a été en mesure de sécuriser l'accès au scrutin. Pas tous les candidats sont capables de fonctionner dans tous les États, car chaque État a ses propres exigences pour l'accès au scrutin. Ce n'est pas un problème pour les parties soit démocratiques ou républicains, mais est un énorme problème pour les autres parties. Par conséquent, les électeurs américains plus n'ont même pas de voir l'ensemble des candidats et partis politiques sur leur bulletin de vote!
Tous ce vote populaire consiste à affecter des délégués pour chaque candidat. Ces délégués représenteront leur candidat à la convention de mise en candidature du parti politique. Ou du moins c'est la façon dont il est censé pour travailler. Et donc, le candidat ayant le plus de délégués va gagner l'investiture du parti, à droite ? Eh bien, pas nécessairement, en raison de quelque chose appelé "super délégués" qui ne sont pas liés par le vote populaire. Donc, théoriquement, à moins que Bernie Sanders remporte le vote populaire par une imposante marge dans les primaires du parti démocrate, Hillary Clinton pourrait réellement repartir avec l'investiture du parti, en raison de la puissance des superdélégués dont le rôle est similaire à celui du collège électoral — pour s'assurer que la plèbe ne pense jamais vraiment ils sont en contrôle. Toutefois, si quelque chose comme ça se produisait, la crédibilité du parti peut prendre une raclée.
Donc, là vous l'avez. Lorsqu'il n'y a pas de défi pour les joueurs de l'ombre, tout roule très bien et les failles dans le système ne sont pas évidentes. Mais, pour les candidats qui n'ont pas la bénédiction de l'ombre, le processus électoral peut devenir un cauchemar. Imaginez alors, de l'Amérique plus en plus aliénée électeurs essayant de surmonter tous les obstacles de l'information et des processus.
Et, par ailleurs, tous les citoyens adultes aux États-Unis sont habilités à voter. Dans certains États, personnes dans le système de justice pénale avec les crimes peuvent renoncer à leur droit de vote au total. Dans le même temps, certains États exigent des État-émission de cartes d'identité pour pouvoir voter. Même des machines de vote sont placés par l'histoire de la cité, non par nécessité. Ainsi, noirs de vote dans l'Ohio et d'autres endroits à travers le pays attendaient pendant des heures voter alors que la majorité blanche enceinte n'avait aucune attente à tous de voter.
C'est pas étonnant, donc, que si peu de citoyens âge de voter en fait de participer au processus. Selon une étude, seulement environ 55 pour cent de la population en âge de vote a effectivement voté en 2012. Pour les citoyens attachant pour démêler tous les règles et les règlements, comment un candidat se déplace à travers le processus pour devenir un candidat et puis titulaire est « un rébus enveloppé de mystère au sein d'une énigme. »
Donc la prochaine fois que le vainqueur de la présidentielle américaine système de race dit qu'il va déstabiliser un gouvernement étranger ou mener une guerre contre un pays étranger afin de "lutter pour la démocratie", le monde entier, mené surtout par les électeurs aux Etats-Unis, devrait accueillir la nouvelle avec un rire.
Yanis Varoufakis contre le Minotaure planétaire
RépondreSupprimerPepe Escobar
RT
dim., 14 fév. 2016 19:33 UTC
Europe enlevée, le tribut au Minotaure, le casse-tête de Zeus - Pepe Escobar analyse la crise actuelle qui secoue le vieux continent sous un angle inédit - celui de la mythologie grecque classique.
Europe, dans la mythologie grecque classique, était une belle princesse phénicienne qui a rendu Zeus complétement dingue.
Arnaqueur par excellence, Zeus s'est métamorphosé en taureau blanc, l'a appâtée afin qu'elle monte sur lui, et avant qu'elle ne puisse s'échapper, a plongé dans la mer Égée et l'a amenée en Crète. Le fruit de leur ébats amoureux inévitable était le roi Minos. Donc, gardez à l'esprit qu'Europe est la belle-grand-mère du Minotaure (on parlera de Minotaure dans un instant).
Bien qu'il fût un amant prolifique, Zeus revenait toujours à sa femme Héra. Mais cette fois, pas avant d'avoir offert des présents à Europe. L'un de ces cadeaux fut Laelaps, un chien qui ne laisse jamais échapper sa proie. Puis, un jour, le destin a décidé que Laelaps doit pourchasser le renard de Teumesse qui, selon la conception divine, ne devait jamais être attrapé.
Imaginez la situation délicate de Zeus. Après avoir torturé son cerveau divin, Zeus en est finalement arrivé à une solution facile, il a transformé les deux en pierre et les a lancés dans le ciel.
Il est toujours possible d'utiliser les bacchanales psychédéliques de la mythologie grecque classique pour trouver des illustrations graphiques à la crise de notre temps. Imaginez par exemple, l'élite européenne, Mario Draghi et compagnie, torturant leurs cerveaux dans la situation du style la rencontre de Laelaps et de Teumesse, en essayant de résoudre l'énigme de la zone euro.
Et imaginez aussi un nouveau Minotaure qui dévore des nouveau-nés fils et filles de l'Europe moderne.
A présent, voyons le nouveau conte dans le cœur d'Europe.
Je vous présente DiEM25
Sept mois après avoir démissionné du poste de ministre des Finances de la Grèce, auto-proclamé «marxiste erratique», Yanis Varoufakis refait surface (de la mer Égée ?) de manière fracassante.
Mardi dernier, au théâtre Volksbühne de Berlin, Varoufakis a lancé un nouveau projet : le DiEM25 (le mouvement de démocratie en Europe 2025), dont l'objectif est de transférer un jour le pouvoir de l'élite d'une Europe irresponsable et farouchement autoritaire, et le distribuer équitablement aux citoyens européens.
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Un mythe grec ? Pourquoi pas ? Et justement au moment où Europe a tellement besoin d'un nouveau mythe fondateur. Varoufakis parie que le mouvement parviendra finalement à un «consensus de base» sur ce qui doit être fait pour réellement introduire des pratiques démocratiques dans la façon dont le géant européen est géré. Et puis ça se poursuivra jusqu'à la démocratie parlementaire, par l'intermédiaire d'élections.
RépondreSupprimerLe diagnostic de Varoufakis résonnerait chez tous les Européens sains d'esprit. Il comporte les élites européennes irresponsables, la «grande finance» et la «grande industrie» formant le «cartel malsain» qui est le «principal moteur de la politique de l'UE», la banque centrale européenne (BCE) soutenant le «cartel» en imprimant de l'argent comme si demain n'existait pas grâce à l'assouplissement quantitatif, l'Italie comme la nouvelle Grèce, étouffée par ses remboursements de dette, la fausseté de la BCE théoriquement apolitique, qui contrôle les taux d'intérêt dans des pays largement disparates, et l'attitude mafieuse de l'Eurogroupe (composé de 19 ministres des Finances des membres de la zone euro).
Sans surprise, la fausseté de ce «modèle» de gestion de la zone euro a eu comme résultat un chômage dévastateur et a facilité la montée toujours plus vigoureuse de l'extrême droite.
Le concept du DiEM25 est inspiré par ce que les gens à travers l'Europe auraient dû faire dans les années 1930, avant l'ascension du nazisme et du fascisme : un mouvement paneuropéen démocratique et transpolitique. Varoufakis voit toutes les tendances toxiques des années 1930 dans l'épouvantable tourmente qui engloutit Europe.
Il souhaite que le DiEM25 représente plus qu'un «simple groupe de réflexion et ... une communauté en ligne».
En même temps, il voudrait que le mouvement demeure essentiellement sans leader. Et c'est là que ça coince, Europe n'a probablement pas besoin de héros, mais dans l'état actuel des choses, elle a assurément besoin de vrais leaders.
Je vous présente le nouveau Minotaure
Etant donné l'actuel vide intellectuel partout en Europe, Varoufakis fait au moins trembler la torpeur. Tout ce qu'il faut savoir sur les causes profondes de la crise financière mondiale de 2008 a été disséqué dans son livre phare «Le Minotaure planétaire» (édition Zed Books).
La métaphore du Minotaure est indispensable pour comprendre le «modèle» défini comme une «désintégration contrôlée de l'économie mondiale» imposée à la planète entière par l'ex-président de la Fed Paul Volcker. Déclenché dans la prospérité des années 1980, ce «flux chaotique, pourtant étrangement contrôlé» comme le définit Varoufakis, s'est traduit par l'envoi quotidien par des investisseurs étrangers de milliards de dollars américains sur la bourse de Wall Street, finançant ainsi le double déficit des Etats-Unis et en alimentant le Minotaure Mondial.
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Donc, nous voilà une fois de plus de retour à la mythologie grecque. Le roi de Crète Minos a demandé à Poséidon un taureau comme signe de l'approbation divine. Il a promis à Poséidon qu'il sacrifiera l'animal en l'honneur du dieu. Mais, il ne l'a pas fait. La punition a été, par conséquent, inévitable.
RépondreSupprimerParlons de punition créative. Les dieux, en utilisant l'expertise d'Aphrodite, ont fait en sorte que la femme de Minos, la reine Pasiphaé, tombe follement amoureuse d'un taureau. Grâce à la contribution du légendaire ingénieur Dédale, la reine a réussi à en tomber enceinte. Le fruit en a été le Minotaure : moitié être humain, moitié taureau.
Quand le Minotaure est devenu énorme et incontrôlable, Minos a demandé à Dédale de lui construire un labyrinthe. La seule façon d'apaiser le Minotaure était de lui offrir de la chair humaine. Et c'est là qu'on arrive à la vengeance de Minos de Crète sur Athènes : le roi d'Athènes Aegeus a tué le fils de Minos après qu'il a remporté tous les concours des jeux panathéniens. En résultat, après une courte guerre avec Athènes, Aegeus s'est vu obligé d'envoyer chaque année sept jeunes garçons et sept jeunes filles célibataires afin qu'il soient dévorés par le Minotaure.
Dans le mythe, cela se traduit par la mise en place d'un tribut régulier étranger pour que le Minotaure soit bien nourri. De nos jours, ou du moins jusqu'en 2008, c'était la situation de la Pax Americana. Mais, contrairement au mythe, où Thésée, le fils d'Égée, est finalement venu à bout du Minotaure, ce qui a condamné le nouveau monstre a été l'affaire des subprimes et le tsunami des CDO et des CDS (NDLR les produits dérivés des crédits bancaires).
Varoufakis ne peut qu'être passionné par le remix de la métaphore du Minotaure, le tribut périodique unilatéral, en dollars américains, de la planète entière permettant aux «Exceptionnalistes» hégémoniques de projeter leur puissance à travers les mers. Ce Minotaure est en train de mourir à présent, le monde est encore encombré par son corps en décomposition et personne ne sait quelle monstre prendra le relais.
Pour l'instant, il est temps de combattre un autre, un moindre Minotaure ; un monstre dévorant les enfants de sa belle-grand-mère Europe grâce à l'autocratie, à l'austérité, au chômage et à la peur. Et une fois de plus, il en faut un Grec, pas du tout un héros, pour montrer aux Européens le chemin à suivre.
http://fr.sott.net/article/27672-Yanis-Varoufakis-contre-le-Minotaure-planetaire
Disparition prochaine du billet de 500 euros
RépondreSupprimerNina Le Clerre
L'Express
mar., 16 fév. 2016 05:57 UTC
-- Commentaire : Une information à replacer dans le contexte de la « guerre au cash » que les institutions semblent vouloir mener, dorénavant. On nous ressort les excuses de la délinquance et du terrorisme et l'on commence avec une mesure qui ne suscitera pas trop de contestations : le billet de 500 euros n'est en effet pas d'un usage courant. Viendra ensuite, à n'en pas douter, le tour du billet de 200 euros.
Guerre au cash : la Chine compte émettre une monnaie numérique le plus tôt possible
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Guerre au cash : la nouvelle prohibition
Guerre au cash, billet de 1000€
Guerre au cash : abolir, asservir
Guerre au cash : quand l'État se servira dans nos poches, il sera trop tard
La guerre au cash est déclarée --
La BCE décidera prochainement du sort du billet de 500 euros.
Très peu utilisée par le grand public, mais soupçonnée d'aider les fraudeurs, la coupure de 500 euros pourrait être retirée de la circulation. La Banque centrale européenne se prononcera " prochainement ".
Exit la grosse coupure ! Benoît Coeuré, membre du directoire de la Banque centrale européenne (BCE), a laissé entendre dans un entretien accordé au Parisien, le jeudi 11 février, que le billet de 500 euros était menacé de disparition. "De mon point de vue, les arguments en faveur du maintien du billet de 500 € sont de moins en moins convaincants", a-t-il indiqué. Avant de préciser que l'institution de Francfort devrait trancher "prochainement" sur la question. Et Michel Sapin d'en rajouter, en arrivant ce vendredi à l'Eurogroupe. "Je le dis du point de vue français parce que je le vois en France, le billet de 500 euros est plus utilisé pour dissimuler que pour acheter", a déclaré le ministre des Finances à l'AFP.
Au total, 613 millions d'unités circulent dans le monde, d'après la BCE. Le billet de 500 euros représente 30 % de la valeur totale des billets en euros en circulation (soit 307 milliards d'euros), contre 13,7 % en 2002.
Une quantité suspecte en circulation
Or son usage reste très limité chez le grand public. "A l'origine, celui (le billet ndlr) de 500 euros répondait au souhait de plusieurs pays de la zone euro d'avoir une coupure en euros qui corresponde à leur ancienne plus grande coupure en monnaie nationale", explique Benoît Coeuré. Mais la coupure ne fait pas partie du quotidien des Français et des autres habitants de la zone euro. En France, "aucune banque n'en délivre dans les distributeurs de billets", rappelle Charles Prats, magistrat spécialiste de la lutte contre la fraude fiscale, dans les colonnes du quotidien. Et si les commerçants sont, en théorie, tenus d'accepter les grosses coupures, (tant qu'ils n'ont pas à faire l'appoint dessus), dans les faits, ils refusent très souvent. Sans compter que l'abaissement du plafond de paiements en espèces autorisé, en vigueur depuis septembre 2015, remet un peu plus en cause son utilité.
(suite en dessous:
Un usage frauduleux
RépondreSupprimerIl en découle de très lourds soupçons sur le véritable usage de la coupure, dont la valeur élevée offre une grande facilité de stockage pour les gros montants. Selon Charles Prats, qui la qualifie d'"instrument privilégié de la délinquance en col blanc", elle permet de "faciliter l'évasion des capitaux hors des frontières". Tandis que Giovanni Kessler, directeur général de l'Office de la lutte antifraude, interrogé par Le Parisien, considèrent que ces billets "facilitent la vie des escrocs ". D'après le Financial Times du 1er février, la Commission européenne et Europol enquêtent, en particulier, sur un éventuel lien avec le financement du terrorisme.
http://fr.sott.net/article/27677-Disparition-prochaine-du-billet-de-500-euros
Alors que les armes et la drogue sont payés en or, l'évènement de la disparition du papier-cul ne changera pas grand chose car: comme nous l'avons TOUS vu: Un homme armé ou un groupuscule peut semer la terreur dans un pays en commettant des attentats et faire appliquer la loi martiale !
SupprimerCe n'est donc pas le billets de 500 € ou même celui de 5 € qui y sont pour quelque chose car, si sur une facture est inscrite: 'Vendu bicyclette en très bon état et pneus neufs 50 000 euros" et payé par carte bancaire, personne ne pourra prouvé que la-dite bicyclette a existée surtout si l'acheteur se l'aurait fait voler le jour-même ! Pas de chance, non ? HAHAHAHA !
- SALAIRES MENSUELS BRUT 2013 -
SupprimerPdt de la République: 14 910 €
Pr Ministre: 14 910 €
Ministre: 9 940 €
Secrét. d'Etat: 9 443 €
Maire de Paris: 8 684 €
Député(e): 12 870 €
Sénat. : 11 416 €
Pdt Commission européenne: 34 806 €
Pdt Conseil européen: 30 806 €
Commissaire européen(ne): 24 565 €
Député(e) européen(ne): 12 341 €
Maire (de 100 000 hab. à 200 000 hab.): 5 512,13 €
Maire (de 50 000 à 99 999 hab.): 4 181,62 €
Maire (de 20 000 à 49 999 hab.): 3 421,32 €
Maire (10 000 à 19 999 hab.): 2 470,95 €
Maire (de 3500 à 9999 hab.) 2 090,81 €
Maire (1 000 à 3 499 hab.): 1 634,63 €
Maire (de 500 à 999 hab.): 1 178,46 €
Maire (de - de 500 hab.): 646,25 € (Réfugié = 670 €)
Les psychopathes en action : ils ont un « plan B » pour détruire encore plus la Syrie et affronter l'ours russe
RépondreSupprimerBill Van Auken
Mondialisation Canada
lun., 15 fév. 2016 12:21 UTC
Des négociations sur le conflit armé sanglant de Syrie ont eu lieu jeudi à Munich sur fond d'une offensive gouvernementale syrienne soutenue par des frappes aériennes russes et destinée à briser l'emprise des « rebelles », soutenus par l'Occident, sur la partie orientale largement en ruines d'Alep.
Les pourparlers se sont tenus sous les auspices des 17 membres du Groupe international de soutien à la Syrie qui comprend les États-Unis et leurs alliés régionaux - Arabie Saoudite, Turquie et Qatar - dans la guerre de changement de régime en Syrie, la Russie et l'Iran étant alliés au gouvernement du président Bachar al-Assad, qu'ils aident activement.
-- Commentaire : Ils veulent tellement gagner cette guerre quitte à détruire la planète entière. Ainsi fonctionne le cerveau du psychopathe, incapable de se rendre compte des répercussions de ses actes. Dans cette idée de vouloir contrôler la planète entière afin de voler et piller les ressources des pays, les Etats-Unis pensent qu'ils vont être les gagnants. Ils oublient qu'en Libye, quand ils ont massacré tout un pays et assassiné son leader, l'ours russe n'était pas là. Maintenant c'est différent : les Russes sont là. --
Washington a exigé un cessez-le-feu immédiat et un arrêt des frappes aériennes russes en Syrie. Les Etats-Unis, les monarchies réactionnaires arabes et le régime turc craignent que sans arrêt des combats, les milices islamistes qu'ils soutiennent, financent et arment depuis près de cinq ans, ne puissent éviter une défaite irréparable.
La Russie aurait pour sa part proposé un cessez-le-feu qui commencerait le 1er mars, donnant ainsi suffisamment de temps au gouvernement syrien pour rétablir son contrôle sur Alep.
Vendredi dernier, le secrétaire d'Etat américain John Kerry et le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov ont annoncé qu'ils étaient parvenus à une entente de principe pour un cessez-le-feu « dans une semaine » et une accélération de l'aide humanitaire. Kerry a reconnu que même si l'accord faisait bien « sur le papier » il devait encore faire ses preuves. Tous les conflits sous-jacents restent sans solution et les opérations militaires américaines, et russes, vont se poursuivre au nom de la lutte contre l'État islamique (EI).
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A la veille des pourparlers de Munich, Kerry a fait, dans une interview avec le chroniqueur du Washington Post David Ignatius, une menace sans équivoque relative à la stratégie de négociation des États-Unis à Munich:
RépondreSupprimer« Ce que nous faisons est tester le sérieux [russe et iranien], » a-t-il dit. « Et s'ils ne sont pas sérieux, alors il faudra considérer un plan B ... On ne peut pas en rester là ».
Un « Plan B » consisterait en une brusque escalade de l'intervention militaire américaine en Syrie, réalisée sous couvert de lutte contre EI, mais axée sur un renversement du gouvernement Assad.
L'Arabie Saoudite et le Qatar auraient également discuté d'un «plan B» ces derniers jours, où ils participeraient à une intervention militaire directe pour sauver les « rebelles » qu'ils soutiennent. L'agence de presse saoudienne Al-Arabiya a cité des responsables de Riyad confirmant la décision de la monarchie des Saoud d'envoyer des troupes en Syrie pour une invasion hostile et provocatrice.
Réagissant aux implications sinistres d'une telle escalade, le premier ministre russe Dmitri Medvedev a dit au quotidien allemand Handelsblatt jeudi:
«Les Américains et nos partenaires arabes doivent y réfléchir sérieusement - veulent-ils une guerre permanente? Toutes les parties doivent être forcées à la table de négociation au lieu de déclencher une nouvelle guerre mondiale ».
Les mots choisis par Medvedev n'étaient pas une simple hyperbole. Une intervention militaire pour sauver les «rebelles», qui revient à une guerre pour sauver la filiale syrienne d'Al-Qaïda, le Front al Nosra, principale force au sol dans la province d'Alep, pourrait rapidement mener les États-Unis et leurs alliés dans des combats avec la Russie, un affrontement armé entre les deux principales puissances nucléaires.
Des responsables américains ont évoqué ces derniers jours la création d'un « corridor humanitaire » à Alep et dans d'autres zones rebelles assiégées par les forces gouvernementales. On peut supposer que ce «corridor» est destiné à remplacer la principale voie d'approvisionnement des «rebelles» depuis la Turquie, coupée par l'offensive du gouvernement. Cela perturbe l'armement des «rebelles» orchestré par la CIA avec les stocks venus de Libye, des royaumes pétroliers du golfe et d'au-delà. Un tel corridor nécessiterait une force militaire de protection et l'application d'une «zone d'exclusion aérienne», ce qui signifie une confrontation non seulement avec les forces du gouvernement syrien, mais avec les avions de combat russes.
La Turquie, alliée de Washington dans l'OTAN, est en train de bloquer ses frontières aux réfugiés syriens pour créer un maximum de crise de façon à poursuivre ses propres objectifs stratégiques: non seulement un changement de régime à Damas mais aussi la répression sanglante de la minorité kurde de part et d'autre de la frontière.
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Le gouvernement Obama n'a donné aucun avertissement au peuple américain qu'il se lançait en Syrie dans une politique qui pourrait opposer les Etats-Unis à l'armée russe et potentiellement déclencher une catastrophe mondiale.
RépondreSupprimerIl n'y a pas de soutien populaire significatif pour une intervention militaire américaine en Syrie, promue sous le faux prétexte de « l'humanitarisme » et aidée par toute une coterie d'organisations pseudo de gauche dont la spécialité est de représenter la campagne sectaire sanglante des milices islamistes soutenues par la CIA comme la « révolution syrienne ».
L'ampleur de la catastrophe déchaînée en Syrie a été articulée dans une nouvelle étude réalisée par le Centre syrien pour la recherche politique, qui a constaté que 11,5 pour cent de la population syrienne avait été soit tuée soit blessée en raison du conflit. Le bilan des morts de cette guerre, combiné à la destruction systématique de l'infrastructure et du système de santé, et à une baisse spectaculaire du niveau de vie, a fait chuter l'espérance de vie, estimée à 55,4 ans en 2015, alors qu'elle était de 70,5 ans en 2010.
L'étude a aussi révélé que le taux de chômage du pays avait grimpé de 14,9 pour cent en 2011 à 52,9 pour cent à la fin de 2015 et que le taux global de pauvreté était estimé à 85,2 pour cent.
Bref, le gouvernement Obama a infligé à la Syrie une guerre qui est tout aussi criminelle et meurtrière que la guerre menée par le gouvernement Bush contre l'Irak.
Le peuple syrien est la victime d'une guerre orchestrée par les Etats-Unis, motivée par la stratégie mondiale de l'impérialisme américain qui est d'inverser son déclin économique par l'emploi ou la menace de la force militaire. Washington a recherché un changement de régime en Syrie comme moyen de réaliser une fin: l'affaiblissement des deux principaux alliés de Damas, la Russie et l'Iran, et la réaffirmation de la mainmise occidentale sur les vastes ressources énergétiques du Moyen-Orient.
La menace d'une guerre mondiale vient non seulement de la perspective que des avions de combat américains et russes s'affrontent dans le ciel syrien, mais de toute la logique de la guerre de changement de régime et des objectifs stratégiques plus larges qu'elle remplit. Celle-ci se traduit aussi par l'intensification de l'encerclement militaire de la Russie par l'OTAN et par la politique anti-chinoise de plus en plus provocatrice du Pentagone en mer de Chine méridionale.
(suite en dessous:)
La campagne des Etats-Unis pour l'hégémonie mondiale a été articulée dans la maxime stratégique énoncée par le Pentagone il y a près d'un quart de siècle: Washington doit empêcher l'émergence d'une puissance capable de contester la domination du capitalisme américain à l'échelle mondiale ou même régionale.
RépondreSupprimerCette «grande stratégie» a mené depuis à des guerres américaines d'agression incessantes et pose maintenant la menace réelle d'une troisième guerre mondiale, nucléaire.
Contre la stratégie barbare de l'élite dirigeante américaine, les travailleurs américains et internationaux doivent avancer sa propre stratégie indépendante, la lutte pour le retrait des États-Unis et de toutes les forces militaires étrangères de Syrie, d'Irak et du Moyen-Orient, et l'unité de la classe ouvrière à travers toutes les frontières nationales, religieuses et ethniques, dans une lutte commune pour mettre fin au capitalisme, source du militarisme et de la guerre.
http://fr.sott.net/article/27676-Les-psychopathes-en-action-ils-ont-un-plan-B-pour-detruire-encore-plus-la-Syrie-et-affronter-l-ours-russe
Juge Antonin Scalia, trouvé mort "avec l'oreiller au-dessus de sa tête", mais aucune autopsie n'ordonnée
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 15/02/2016 14:15 -0500
La mort de la Justice de Cour suprême Antonin Scalia le samedi matin a pris une tournure pour le théoricien de la conspiration à la suite d'observations de l'homme d'affaires de Houston qui a découvert le corps de la décision du juge.
Il s'agit de la nouvelle comme il a été remis dans le public général hier matin :
Un fonctionnaire fédéral qui demande de ne pas être nommé a dit il y a aucune preuve d'acte de jeu déloyal et il est apparu que Scalia est mort de causes naturelles.
Selon CNN, Scalia est décédé dans son sommeil. Un fonctionnaire du gouvernement a informé Scalia s'est couché vendredi soir amis il ne se sentait pas bien. Samedi matin, il n'a pas se lever pour le petit déjeuner. Et il accompagnait le groupe pour un voyage de chasse gauche sans lui.
Quelqu'un au ranch est allé vérifier sur lui et le trouva ne répond pas.
-Une mort triste avec les personnes âgées juge passant tranquillement dans son sommeil - tout à fait raisonnable.
Sauf sous le San Antonio Express - qui a tout d'abord cassé les nouvelles de la mort de Scalia samedi après-midi - rapports, que "quelqu'un" a été John Poindexter, propriétaire du ranch de luxe 30 000 acres qui ont déclaré ce qui suit...
« Nous avons découvert le juge dans son lit, un oreiller sur sa tête. Ses vêtements de lit étaient quasi-absence, » dit Poindexter.
"Il était couché très reposante. Il semblait qu'il n'avait pas tout à fait réveillé d'une sieste,"dit-il.
Antonin Scalia, 79, n'a pas eu une impulsion et son corps était froid, et après avoir consulté un médecin dans un hôpital de Alpine, Poindexter a conclu réanimation aurait été inutile, il a alors contacté les autorités fédérales, à la première rencontre une série de services de réponse parce qu'il appelait un week-end.
S'il est bien sûr une chose « naturelle » de mourir si quelqu'un est vous étouffant avec un oreiller, nous pressentons ce n'est pas la norme pour les « causes naturelles ».
Ajoutant à la suite les questions entourant la mort, il n'y aura aucune autopsie pratiquée sur la Justice de Cour suprême Antonin Scalia, une source proche de l'affaire, a confirmé à CNN.
(suite en dessous:)
La décision pour aucune autopsie a été faite tant par la famille et le Texas Justice de paix, a dit la source.
RépondreSupprimerMarques de mort de Scalia seulement la deuxième fois en soixante ans, un juge de paix est mort avant de se retirer de la Cour et quitte la Cour répartis en 4-4 assez conservateur et assez libérale, au cours d'une année d'élection présidentielle chauffée.
http://www.zerohedge.com/news/2016-02-15/justice-scalia-found-dead-pillow-over-his-head-no-autopsy-ordered
IL VOULAIT APPLIQUER LA CONSTITUTION !
SupprimerSi la justice était libre dans un pays il n'y aurait plus de dictateur au pouvoir
Démocratie américaine ? - Argent, Super délégués et des Machines de vote piratées
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 15/02/2016 21:55 -0500
Rédigé par Cynthia McKinney, Op-Ed via RT.com,
Jésus a dit un jour à un homme riche que « c'est plus facile pour un chameau de passer par le chas d'une aiguille qu'il est pour un homme riche aller au ciel. »
Aujourd'hui, nous pourrions modifier les mots de cette référence biblique avec la course à la présidence américaine en cours :
« Il est plus facile pour un chameau de passer par le chas d'une aiguille que pour un électeur aux États-Unis connaître et comprendre les règles régissant l'administration de toutes les élections, y compris les élections à la présidence des États-Unis. »
Commençons par le phénomène de ce qu'on appelle un « Président de la minorité ». Non, ce n'est pas un président qui s'identifie comme une minorité ethnique ou raciale aux États-Unis. Un président minoritaire est celui qui n'a pas réussi à gagner une pluralité des voix dans la course à la présidence et pourtant, est toujours en mesure de devenir président des États-Unis d'Amérique. Test l'exact opposé de ce qui exigerait une vraie démocratie ; peut-être pas encore une démocratie de pure examinerait cette position comme le « Bureau de la présidence ». Mais c'est une question entièrement différente.
Les États-Unis a eu en réalité plusieurs présidents de la minorité de son histoire, tandis que le XXIe siècle a commencé assez inquiétant avec une autre minorité Président : Bush, le républicain qui n'a pas obtenu le plus de votes exprimés par le peuple [l'élection de 2000, la Cour suprême, par un 5-4, a décidé le vainqueur de la course après avoir déménagé à arrêter le processus de dépouillement dans l'Etat de Floride].
La maison nous et le Sénat américain sont chargés de dépouillement des votes du collège électoral , et il s'agit d'un processus dans lequel j'ai participé. Le processus de Constitution a été contourné par le précédent Bush v. Gore Cour suprême qui a chargé futurs tribunaux de ne pas utiliser la décision comme un précédent !
Comme cette affaire bien prouvé, il n'est pas les gens qui ont le dernier mot dans les élections américaines. Il s'agit d'une construction non démocratiques, appelée le collège électoral qui est le cas, sauf dans les rares cas quand ce n'est pas.
Le collège électoral a été créé par les rédacteurs de la Constitution américaine pour s'assurer que les voix de la plèbe remplacent pas les intérêts de l'aristocratie terrienne. Ce n'est pas juste mon avis. Par exemple, selon FairVote, une organisation avec laquelle j'ai travaillé à l'élection présidentielle de 2000, un énorme 78 pour cent des suffrages exprimés ont été rendus sans importance en raison des règles arcanes du collège électoral. Ils estiment qu'en 2008, le chiffre atteint encore 70 pour cent.
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Afin d'être déclaré vainqueur de la présidence, voix du collège électoral 270 est nécessaires. Mais le processus n'est pas ce que l'on pourrait qualifier de transparent. Par exemple, vétéran plaideur Pro Se Qu'asa Gordon a démontré comment le noir voter aux États-Unis est rendue moins pertinente par les règles de répartition arcanes du collège électoral. Et quand le collège électoral est dans l'impasse, qui est déjà arrivé, l'affaire tombe alors à la Chambre des représentants des États-Unis de décider qui pourra servir à la maison blanche.
RépondreSupprimerHacking Democracy
Ajouter à la débâcle qui précède, le Congrès américain et les autorités électorales dans les 50 États ont autorisé et encouragé l'utilisation de hackable machines de vote électronique utilisées pour la coulée et le vote de comptage. Bev Harris et sa compagnie, Vote de boîte noire, a accumulé des histoires d'horreur qui entourent la non-transparence des élections américaines. J'ai travaillé en étroite collaboration avec Harris parce que le danger de ces machines est évident pour tout le monde sauf les fonctionnaires qui continuent à acheter des millions de dollars, menacer des millions de plus précieux politique des électeurs.
Bernie a battu Hillary de 22 %, mais elle te casse même dans le New Hampshire en raison des superdélégués. Ce n'est pas la démocratie. Le système est calé.
— John Dardenne (@johndardenne) 10 février 2016
Un tel scénario, c'est ce qui a conduit l'ancien président Jimmy Carter pour commenter he « absolument » ne pouvait pas être élu aujourd'hui dans de telles conditions, allant même jusqu'à qualifier les États-Unis comme une oligarchie, pas une démocratie.
"Le piratage la démocratie" est seulement un des nombreux documentaires pour exposer la faillibilité du réel processus électoral aux Etats-Unis. Autres focus documentaires sur argent comment privé a endommagé son processus électoral.
En plus de l'insécurité matérielle, je suis désolé d'écrire que la liste des électeurs est conservée sur un support électronique et si l'électeur ne parvient pas à figurer sur la liste, l'électeur a peu de recours.
In the US, voix et vote tabulation processus sont effectués sans aucune procédure de sauvegarde traçable. En d'autres termes, il n'y a aucune trace écrite - aucun reçu d'un vote, comme il l'ont été - que ce soit. Dans l'un des mes élections au Congrès où les machines de vote électronique « a échoué, » était non seulement j'ai pas pu obtenir les données de l'élection malgré une plainte ayant été déposée, témoin expert pour l'état de Géorgie a témoigné que les votants aient à simplement la "confiance" que le gagnant annoncé est le véritable vainqueur. Pendant ce temps, les candidats n'ont pas accès aux données brutes élection parce que cette information est « possédé » par Diebold — l'entreprise qui produit les machines de vote électronique et le logiciel utilisé par eux (le documentaire "American Blackout" raconte ma propre histoire personnelle avec les élections américaines). Il est difficile de faire confiance dans le système électoral américain lorsque nous renseigner sur le nombre de votes qui vont non comptabilisées. À l'élection présidentielle de 2000 entre Bush et Gore, entre 2,000005 millions millions américains sont allés aux urnes et ont voté, mais leurs voix ont été jetés, disqualifié pour toutes sortes de raisons. La moitié de ces voix innombrables furent fondues par les noirs américains.
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Argent, argent, argent
RépondreSupprimerAjouter à ces procédures, caprices, l'influence de l'argent privé dans les élections américaines et même le prétexte d'exploitation transparent, libres, et des élections équitables est se trouvait complètement sur sa tête. Comme je l'écrivais dans un précédent post, les règles ont donné naissance à des individus super-riche qui se cachent dans l'ombre tout en devenant l'énergie qui anime le visage public des candidats : Marco Rubio a Norman Braman comme sa plus proche et le plus important bailleur de fonds. Hillary Clinton a Haim Saban comme l'un de ses principaux donateurs ; Sheldon Adelson est un "joueur" au niveau présidentiel dans la politique américaine. Milliardaire Donald Trump se finance sa candidature présidentielle et ancien maire de New York Michael Bloomberg est répandu pour être prêt à dépenser 1 milliard de dollars dans son indépendant encore-à-être-annonce présidentielle exécuter.
La situation est tellement grave qu'une personne riche pourrait financer légalement un ensemble de la campagne du Congrès et une table ronde d'eux pourrait faire la même chose avec la présidence nous. Réforme de finances de campagne dite a soufflé les lacunes existantes grande ouverte au lieu de les fermer. La décision des citoyens Unis la Cour suprême tenait le vénéré la liberté de discours premier amendement de la Constitution américaine sur sa tête en permettant quelques riches donateurs pour avoir plus que 300 millions d'autres américains "free speech".
La triste vérité est qu'une grande partie de ce qui se passe ressemble à une course de chevaux, ou une sorte de théâtre politique conçu spécifiquement pour la consommation publique. Chaque étape du processus, que ce soit la chasse aux délégués dans le parti politique principal ou la chasse aux collège électoral votes après que les nominations ont eu lieu, l'action réelle a lieu dans les recoins les plus sombres du système, hors de vue. On pourrait aller jusqu'à dire que l'action réelle des États-Unis "démocratie" se déroule dans l'ombre.
Donc, nous assistons à la consommation publique est la chasse aux délégués parmi les prétendants présidentielles du parti républicain et entre Hillary Clinton et Bernie Sanders dans le parti démocrate. Jusqu'au 1 février, tout était essentiellement du théâtre kabuki, publicité afin d'attirer un vaste public pour accroître les bénéfices de la télévision, les radiodiffuseurs et les éditeurs de journaux. Donald Trump a fait la remarque à plusieurs reprises juste avant il a décidé de ne pas participer plus longtemps dans les débats primaires du parti républicain pre-février. Il a contesté CNN pour donner une partie de ses profits de la vente de publicité des débats aux organismes de bienfaisance des anciens combattants — qui, bien sûr, CNN a refusé de faire.
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Le 1er février, le premier vote populaire a effectivement eu lieu. Les caucus de l'Iowa a débuté la chasse de délégué. Les candidats démocrates tentent de recueillir 2 382 délégués pour remporter l'investiture ; Candidats républicains ont besoin de 1 144. Dans l'ensemble de l'état de l'Iowa, les électeurs inscrits se sont réunis pour voter pour leur candidat préféré primaire. Encore les règles pour les caucus sont loin d'être simple, comme sont les règles de comptage des votes et attribution des délégués.
RépondreSupprimerAinsi, plusieurs résultats dans les caucus de l'Iowa démocratique ont été effectivement décidé par un tirage au sort ; un Clinton capitaine cité n'a pas même vivre dans la cité dont caucus, il avait été affecté à gérer. En conséquence de l'énorme confusion sur qui a réellement gagné les caucus de l'Iowa, la campagne de Sanders a lancé une quête pour obtenir les totaux de voix brutes — encore indisponibles à partir de l'Iowa ou le parti national-démocrate qui a déclaré Clinton vainqueur.
Le prochain vote a eu lieu dans le New Hampshire primaire, qui est différente de celle d'un caucus. Et là, aussi, les règles changent par l'État pour lesquelles les électeurs primaires sont habilités à voter.
Le prochain tour de scrutin aura lieu sur ce qui est appelé « Super Tuesday » quand un certain nombre d'États permettre à leurs électeurs d'exprimer leurs préférences présidentielles primaires. Mais, c'est seulement si votre candidat préféré à la présidence a été en mesure de sécuriser l'accès au scrutin. Pas tous les candidats sont capables de fonctionner dans tous les États, car chaque État a ses propres exigences pour l'accès au scrutin. Ce n'est pas un problème pour les parties soit démocratiques ou républicains, mais est un énorme problème pour les autres parties. Par conséquent, les électeurs américains plus n'ont même pas de voir l'ensemble des candidats et partis politiques sur leur bulletin de vote!
Tous ce vote populaire consiste à affecter des délégués pour chaque candidat. Ces délégués représenteront leur candidat à la convention de mise en candidature du parti politique. Ou du moins c'est la façon dont il est censé pour travailler. Et donc, le candidat ayant le plus de délégués va gagner l'investiture du parti, à droite ? Eh bien, pas nécessairement, en raison de quelque chose appelé "super délégués" qui ne sont pas liés par le vote populaire. Donc, théoriquement, à moins que Bernie Sanders remporte le vote populaire par une imposante marge dans les primaires du parti démocrate, Hillary Clinton pourrait réellement repartir avec l'investiture du parti, en raison de la puissance des superdélégués dont le rôle est similaire à celui du collège électoral — pour s'assurer que la plèbe ne pense jamais vraiment ils sont en contrôle. Toutefois, si quelque chose comme ça se produisait, la crédibilité du parti peut prendre une raclée.
Donc, là vous l'avez. Lorsqu'il n'y a pas de défi pour les joueurs de l'ombre, tout roule très bien et les failles dans le système ne sont pas évidentes. Mais, pour les candidats qui n'ont pas la bénédiction de l'ombre, le processus électoral peut devenir un cauchemar. Imaginez alors, de l'Amérique plus en plus aliénée électeurs essayant de surmonter tous les obstacles de l'information et des processus.
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Et, par ailleurs, tous les citoyens adultes aux États-Unis sont habilités à voter. Dans certains États, personnes dans le système de justice pénale avec les crimes peuvent renoncer à leur droit de vote au total. Dans le même temps, certains États exigent des État-émission de cartes d'identité pour pouvoir voter. Même des machines de vote sont placés par l'histoire de la cité, non par nécessité. Ainsi, noirs de vote dans l'Ohio et d'autres endroits à travers le pays attendaient pendant des heures voter alors que la majorité blanche enceinte n'avait aucune attente à tous de voter.
RépondreSupprimerC'est pas étonnant, donc, que si peu de citoyens âge de voter en fait de participer au processus. Selon une étude, seulement environ 55 pour cent de la population en âge de vote a effectivement voté en 2012. Pour les citoyens attachant pour démêler tous les règles et les règlements, comment un candidat se déplace à travers le processus pour devenir un candidat et puis titulaire est « un rébus enveloppé de mystère au sein d'une énigme. »
Donc la prochaine fois que le vainqueur de la présidentielle américaine système de race dit qu'il va déstabiliser un gouvernement étranger ou mener une guerre contre un pays étranger afin de "lutter pour la démocratie", le monde entier, mené surtout par les électeurs aux Etats-Unis, devrait accueillir la nouvelle avec un rire.
http://www.zerohedge.com/news/2016-02-15/american-democracy-money-super-delegates-hacked-voting-machines