- ENTREE de SECOURS -



samedi 13 février 2016

L'usure de l'équipement : Comment sortir de la société jetable

Horand Knaup et Stefan Schultz
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Construire des produits d'entreprise, qui, selon le plan, sont d'être rompu ? Des chercheurs allemands ont systématiquement d'abord enquêté sur ce soupçon. Voici leurs résultats.
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Les machines à laver, les téléphones mobiles et autres appareils électriques sont souvent dits qu'ils sont rapidement de faire faillite - préférence peu après la période de garantie.
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Le spécialiste de l'environnement Siddharth Prakash 37 ans, connaît de nombreux exemples pour cela. « Dans mon cercle d'amis tous accusent », dit-il. Deux ans et demi, les chercheurs de l'Institut Freiburger d'eco ont commencé à aller les puzzles vers le bas.
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Avec ses collègues de l'Université de Bonn, il se rendit avec les aspirateurs et les téléviseurs, les ordinateurs portables et les chauffe-eau, au total, ils ont étudié les types plus d'une douzaine d'appareils. Elle a toujours eu une accusation laide à l'esprit : fabricants œuvrent consciemment et délibérément sur une fin prématurée de la vie de leurs produits ?
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Il est à peine spéculations sur ces "obsolescence programmée" pendant une longue période, des preuves empiriques. Dire juste : aussi Prakash et ses camarades a trouvé aucun. Pour cela, ils pénétrèrent profondément dans la psyché des consommateurs et dans les processus de travail par les producteurs. Sort, c'est une étude 308-seitige, qui montre comment agrandir la durée de vie des produits et changer que la mentalité de jeter des consommateurs pourrait.
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Autorité environnementale centrale le Federal Environment Agency, de l'Allemagne et le maître d'ouvrage par Prakash et ses collègues, publiera les résultats lundi. MIROIR en ligne l'étude complète existe déjà.
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Les chercheurs ont remporté deux idées centrales. Tout d'abord, aux consommateurs des produits réellement échanges pendant moins longtemps. La durée de vie de gros appareils ménagers tels que machines à laver, séchoirs et réfrigérateurs a été ramenée entre 2004 et 2012, une moyenne de 14,1 à 13 ans. Avec les ordinateurs portables, il coula entre 2005 et 2012 de 6 à 5,1 ans. L'Agence fédérale de l'environnement avait déjà annoncé en mars ces chiffres.
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Maintenant, les chercheurs rendre publique la deuxième partie de l'étude : les sociétés plan selon ce fait la vie de leurs produits. Bien qu'il n'y a aucune preuve qu'ils intègrent intentionnellement des vulnérabilités dans les dispositifs. Mais les sociétés analysent les préférences changeantes des consommateurs et des progrès technologiques. Sur la base de ces données, ils calculent combien de temps un dispositif sera probablement en cours d'utilisation.
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S'applique à la production : les appareils doivent garder aussi longtemps que nécessaire - pas aussi longtemps que possible. Enfin, il n'y a aucune génération un Smartphone, ce qui est de 100 ans, quand la plupart des consommateurs achètent un nouveau après cinq ans, parce qu'ils veulent un meilleur appareil photo ou plus d'espace disque.
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Du point de vue des entreprises, cette stratégie de production est compréhensible ; du point de vue du client, il est problématique. Le consommateur ne sait pas combien de temps pour garder un produit, peut se référer au moment de l'achat donc pas. Maria Krautzberger, le chef de l'Agence fédérale de l'environnement, réclame plus de transparence. "Entreprises, préciser autant que possible, la durée de vie estimative d'un dispositif", dit-elle. « Et de préférence en heures, pas années. »
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Le chef de l'autorité est plus important que les incitations sont créées d'utiliser des produits plus longtemps. En raison de l'échange toujours plus rapide des appareils électrodomestiques a des conséquences désastreuses pour l'environnement. Selon l'Institut d'eco, plus de 24 millions de téléphones intelligents, tablettes 7 millions et 8 millions de téléviseurs ont été vendus 2014 seulement en Allemagne. Quantité d'énergie est nécessaire pour la fabrication, distribution, utilisation et élimination de ces équipements, les émissions de gazcarbonique sont proportionnellement élevées.
Prakash et ses collègues ont mis au point des premières stratégies pour prolonger la vie des équipements électriques :
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- Tout d'abord, ils recommandent de définir des exigences minimales, qui vous pouvez de mesurer qualité et durée de vie des composants et pièces critiques.
- Également, le développement doit être commandé par étalons de mesure et des normes pour les équipements et composants.
- Le fabricant doit s'assurer une réparabilité. Pour un libre accès aux pièces de rechange et une information transparente pour fabricant indépendant et réparateurs indépendants seraient nécessaire.
- Batteries des smartphones ou portables devraient être facilement remplacée par l'utilisateur eux-mêmes ou coût d'un spécialiste ou réparés. « Rien ne parle de fixes batteries installées, » dit Prakash.
- Pourrait également, au travers de politiques telles que la directive éco-conception de l'UE d'établir combien de temps les produits doivent fonctionner au moins correctement.
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Le 2014 a adopté le règlement sous vide , qui a été mis en place : de septembre prochain, moteurs d'aspirateur doivent garder au moins 500 heures, le tuyau doit survivre au moins 40 000 roues sous charge. Déjà 2013 la Commission européenne forcé les fabricants d'ordinateurs portables pour des informations plus précises sur le nombre de cycles de charge possible de la batterie.
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Pour arrêter la folie du jetable, ne pas seulement les politiciens devront repenser, mais aussi les producteurs et les consommateurs. Il faudrait des lois courageuses que rendre plus attractif l'achat de produits durables ; Sociétés, qui donnent une partie de leurs bénéfices et de construire des dispositifs de longue durée ; et les consommateurs qui chassent chaque nouvelle tendance de la technologie.
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Si c'est vraiment réaliste ? Prakash expert environnementaux est sceptique. Il a récemment terminé une assurance complémentaire pour son nouvel ordinateur portable. Si la batterie doit donner l'âme encore tout trop tôt.
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48 commentaires:

  1. TOUTES ces merdes dont ils n'osent citer la provenance sont commandées/exigées PAR les centrales d'achats. C'est pour cela que la Chine met un frein à cette demande éfreinée de produits jetables, volontairement cassables qui augmentera au facteur 50 le tas d'ordures devant la maison ! Et c'est aussi pourquoi la Chine ne veut aujourd'hui que fabriquer du bon, du dur, du beau, du solide, de l'acier chinois qui va remplacer le disparu 'acier suédois' des fonderies européennes !

    C'est pourquoi l'Allemagne (entr'autres) tremble aujourd'hui, chie dans son froque et monte de faux filtres à air en série sur ses poubelles à roulettes ! (car, compte tenu de l'augmentation des constructions de centrales électrique à charbon bien noir qui tue, ils révéleraient aussi la vérité sur les millions de morts dus au diesel !)

    Créées PAR la 'société de consommation' dans les années 60, ces modes ont fait que les produits devaient être pas cher pour être renouvelés et donc, comme le pas cher ne pouvait venir que de l'étranger: c'est l'étranger qui s'est enrichi et non les con-sommateurs.

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  2. L'OTAN envahit la Libye pour y « combattre les terroristes » de sa propre création

    Tony Cartalucci
    New Eastern Outlook
    mer., 27 jan. 2016 18:46 UTC
    Traduit par Mondialisation.ca, 11 février 2016

    Une force d'occupation de près de 6000 hommes est d'ores et déjà en route pour envahir la Libye et s'y emparer de champs pétroliers prétendument menacés par des terroristes que l'OTAN a armés et mis au pouvoir en 2011. Un récent article du London Telegraph évoque, presque en appel de note, l'envoi sur le terrain d'une force occidentale considérable pour occuper militairement la Libye dans le cadre d'une opération qui, selon le journal, aurait pour mission de combattre le soi-disant Etat Islamique (Daesh). Selon cet article (Islamic State battles to seize control of key Libyan oil depot), l'opération prévoit qu'un millier de soldats britanniques formeront avec l'Italie - ancienne puissance coloniale en Libye - un corps expéditionnaire de 6 000 hommes sensés entraîner et conseiller les forces libyennes. Mais les Forces Spéciales britanniques pourraient aussi être amenées à y prendre physiquement part aux combats.

    En principe, l'envoi d'un corps expéditionnaire occidental de 6 000 hommes en Libye aurait dû faire la Une des journaux, avec des polémiques enragées, avant même que l'opération soit avalisée. En réalité, de toute évidence, sans aucun débat, sans l'aval du public et sans la moindre vaguelette médiatique, les Etats-Majors US et européens - notamment les anciennes puissances coloniales : l'Italie et l'Angleterre - ont décidé, une fois de plus, de lancer une intervention militaire directe en Libye.

    Dans un article du Mirror (SAS spearhead coalition offensive to halt Islamic State oil snatches in Libya), on apprend que les 6 000 militaires occidentaux en question devront tenir tête à quelque 5 000 terroristes de Daesh - ce qui laisse franchement sceptique sur la véracité des intentions justifiant l'intervention militaire et sur la nature de l'ennemi qu'elle est supposée combattre. En général, la doctrine militaire prescrit plutôt pour les forces d'invasion une supériorité numérique massive sur celles de leurs adversaires. En 2004, par exemple, pour la prise de Fallujah en Irak, les USA avaient déployé plus de 10 000 hommes sur le terrain pour à peine 3 ou 4 000 défenseurs. Ce qui signifie qu'il n'y a, en réalité, aucune intention réelle de mener de vastes opérations pour s'en prendre frontalement à Daesh et le détruire. A l'instar des autres interventions occidentales menées ailleurs, cette opération a au contraire été planifiée pour pérenniser la menace de Daesh et, de facto, pérenniser l'alibi d'une intervention militaire extraterritoriale permanente en Libye et bien au-delà. Délibérément installée à demeure en Libye, cette force occidentale sera inévitablement renforcée pour prendre part aux opérations de l'US AFRICOM à travers toute l'Afrique du Nord.

    (suite en dessous:)

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  3. Les forces de l'OTAN sont « confrontées » aux terroristes qu'elles mettent au pouvoir

    Ce que démontrent les spécialistes de la géopolitique depuis 2011, c'est que les organisations telles qu'Al-Qaïda et ses divers avatars sont loin d'être d'authentiques adversaires des Occidentaux. Outre qu'elles sont financées, armées et soutenues par les plus proches et les plus anciens alliés des Occidentaux au Moyen Orient - en particulier les Saoudiens et les Qataris - ces organisations ont une fonction duplice. D'une part, elles sont autant d'armées mercenaires au moyen desquelles les puissances occidentales déstabilisent leurs pays cibles (« proxy wars »). D'autre-part, elles leur servent de prétexte pour lancer des interventions militaires directes lorsque la déstabilisation échoue ou n'est pas une option.

    On en a vu une première illustration dans les années 1980, lors de la création même d'Al-Qaïda, utilisée comme force mercenaire par les USA et les Saoudiens pour combattre les soviétiques en Afghanistan. En 2001, la présence d'Al-Qaïda en Afghanistan allait néanmoins servir de prétexte au déclenchement d'une invasion US, dont les forces d'occupation n'ont toujours pas quitté le pays.

    En 2011, ce sont littéralement ces mêmes terroristes qui ont été organisés, armés, financés et dotés de l'appui aérien de l'OTAN pour renverser le gouvernement libyen. Ils furent ensuite réarmés et embarqués vers la Turquie, membre de l'OTAN, d'où ils allaient envahir le nord de la Syrie, et plus spécifiquement la région d'Idlib et la cruciale cité d'Alep.

    Dans son article « REPORT: The US Is Openly Sending Heavy Weapons From Libya To Syrian Rebels », le Business Insider rapporte que
    « selon les déclarations de l'administration, la précédente opération secrète de la CIA à Benghazi visait notamment la saisie, la recherche et la destruction de l'armement lourd pillé dans les arsenaux du gouvernement libyen. Mais en octobre dernier, nous rapportions la preuve que des agents US - en particulier l'ambassadeur Chris Stevens, assassiné le 11/09/2012 à Benghazi) - étaient incontestablement au courant du transfert de l'armement lourd libyen vers les djihadistes syriens.

    Dès le début de l'été 2012, on avait déjà constaté en Syrie la présence de probables SA-7 (missiles sol-air à guidage infra-rouge), et divers éléments indiquent qu'une partie au moins des 20 000 missiles portables à guidage infra-rouge de Kadhafi y ont été expédiés de longue date.

    Le 6 septembre [2012], un cargo libyen transportant 400 tonnes d'armement à destination de la rébellion syrienne accostait au sud de la Turquie. Le capitaine du navire était « un Libyen de Benghazi » travaillant pour le nouveau gouvernement de libyen. L'affréteur de cette cargaison, Abdelhakim Belhaj, à la tête du Conseil militaire de Tripoli, travaillait directement avec Stevens pendant la révolution libyenne.

    (suite en dessous:)

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  4. L'insistance du Business Insider sur le fait qu'Abdelhakim Belhaj travaillait directement avec Stevens, n'est pas sans importance. Belhaj était purement et simplement le leader du LIFG (Libyan Islamic Fighting Groupe : Groupe islamique de combat libyen), organisation terroriste répertoriée par le Département d'Etat comme Al-Qaeda in Libya. Bien que clairement lié à Al-Qaïda, il était ouvertement soutenu par les USA pendant la campagne libyenne de 2011, et on le retrouvait plus tard sur des photos, posant avec des sénateurs US (y compris John McCain) au lendemain du renversement de Kadhafi par l'OTAN. Ex-leader du LIFG, Abdelhakim Belhaj, serait notamment devenu aujourd'hui l'un des dirigeants de Daesh en Libye.

    En mars 2015, un reportage de Fox News (Herridge: ISIS Has Turned Libya Into New Support Base, Safe Haven [Daesh a fait de la Libye une nouvelle base arrière sanctuarisée]) expliquait que
    l'un des dirigeants de Daesh en Afrique du Nord serait Abdelhakim Belhaj, considéré par les USA comme collaborateur volontaire dans le renversement du dictateur libyen Mouammar Kadhafi en 2011. « On annonce aujourd'hui qu'il s'est fermement rangé aux côtés de Daesh, dont il finance les camps d'entrainement à l'Est de la Libye » précisait Herridge.
    Il est on ne peut plus évident que les Occidentaux ne combattent absolument pas Daesh mais qu'ils l'ont au contraire délibérément créé et pérennisé, afin de justifier leurs opérations militaires et géopolitiques dans la zone Proche-Orient/Afrique du Nord, et pour imposer leurs objectifs d'hégémonie politique, militaire et économique, tant sur le plan local que mondial.

    Les équipements sont exactement les mêmes : 4×4 équipés de lance-roquettes ou de mitrailleuses lourdes. On a simplement repeint par-dessus les insignes des « rebelles » libyens les marquages noirs de Daesh, comme on ressert à Hollywood les mêmes accessoires et décors d'une série minable à l'autre. Ce que met en évidence l'intervention US-UK-EU au milieu d'une Libye ravagée sous l'emprise de terroristes - une Libye dont l'OTAN nous avait promis que son intervention de 2011 lui apporterait paix, stabilité, « liberté » et « démocratie » - c'est le danger de condamner de même d'autres nations au sort que leur réservent les interventions des pays de l'OTAN.

    http://fr.sott.net/article/27650-L-OTAN-envahit-la-Libye-pour-y-combattre-les-terroristes-de-sa-propre-creation

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    1. Ce qu'il faut savoir c'est que losqu'un pays de 6 millions d'habitants aiment, adorent et soutiennent à 100 % son président Kadhafi, même si aujourd'hui il n'en reste plus qu'un tiers de vivant, ces 2 millions de personnes sont TOUJOURS POUR le colonnel Kadhafi et, il peuvent mettre le gouvernement fantoche qu'ils veulent et même changer de drapeau comme en Europe où les gens se sont réveillés avec tout-à-coup un drapeau où leur propre pays était représenté par... une étoile jaune !! le drapeau de la Libye sera toujours vert et uniquement vert.

      C'est pourquoi, pour finir le travail des nazional socialiste qui l'ont attaqué, ils reviennent !

      http://www.youtube.com/watch?v=NegfPcUFWhQ

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2012/12/la-raison-de-la-guerre-en-libye-le.html

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/02/la-verite-sur-la-lybie-et-mouammar.html

      https://www.youtube.com/watch?v=5naaOhaSbUU#t=57

      Voir aussi la traduction intégrale de la vidéo (censurée) ci-dessus:

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2013/07/jirai-pisser-sur-vos-tombes.html

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  5. La Turquie va ouvrir les portes et laisser les 2,7 millions de réfugiés se ruer sur l’Europe’

    Mylène Vandecasteele
    12 février 2016

    Jeudi, le président turc Recep Tayyip Erdogan a averti l’Union européenne qu’il pourrait ouvrir les portes de son pays et laisser près de 2,7 millions de réfugiés se ruer sur l’Europe, affirme EUObserver.

    “Le mot “idiot” n’est pas écrit sur nos fronts”, a déclaré le président. “Nous serons patients, mais nous ferons ce que nous avons à faire”.

    Cette semaine, le site grec euro2day.gr avait rapporté qu’au cours du sommet du G20 qui se tenait à Antalya, Erdogan avait dit à Jean-Claude Juncker, le président de la Commission européenne : “Nous pouvons ouvrir les portes de la Grèce et de la Bulgarie n’importe quand, et mettre les réfugiés dans des bus”. Il avait ensuite confirmé ses dires : “Je suis fier de ce que j’ai dit. Nous avons défendu les droits de la Turquie et des réfugiés. Et nous leur avons dit [aux Européens, ndlr] +Désolé, nous allons ouvrir les portes et dire au revoir aux migrants+”.

    Aux termes d’un accord conclu avec l’UE en novembre, la Turquie s’était engagée à stopper le flux de migrants à destination des pays membres de l’UE, contre une aide financière de 3 milliards d’euros, entre autres. Mais mercredi, la Commission européenne a publié un rapport reconnaissant que la Turquie avait fait des progrès, mais qu’elle devait en faire plus pour empêcher les migrants de passer dans les pays du bloc.

    Mais l’UE n’était pas la seule à être visée. Le président turc a aussi mis la pression sur l’ONU, qu’il accuse de ne pas en faire assez pour les réfugiés. “Honte à vous, honte à vous”, a-t-il dit, ajoutant que l’Organisation devrait exhorter ses membres de prendre des réfugiés se trouvant en Turquie. Depuis le début de la guerre en Syrie, son pays a consacré plus de 8 milliards d’euros aux réfugiés.

    Erdogan répondait ainsi aux déclarations faites par le Secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, qui avait annoncé plus tôt dans la journée que l’Organisation avait accepté de déployer des navires en Mer Egée. La mission serait dirigée par l’Allemagne, et elle aurait pour but de surveiller les côtes turques. “Ce n’est pas pour stopper les bateaux de réfugiés ou les repousser”, a dit Stoltenberg. Apparemment, la mission aurait plutôt comme objectif de recueillir des informations pour arrêter les trafiquants.

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  6. Coût

    Le ministre grec des migrations Yiannis Mouzalas a indiqué à son parlement jeudi que le coût de la crise des réfugiés dépasserait le milliard d’euros pour son pays cette année, ce qui représente plus de 0,5% du PIB grec. Le ministre allemand de la Construction, Barbara Hendricks, a quant à elle indiqué que son pays devrait engager 1,3 milliard d’euros supplémentaires pour les réfugiés dans son pays, afin de financer des logements sociaux.

    http://fr.express.live/2016/02/12/la-turquie-va-ouvrir-les-portes-et-laisser-les-27-millions-de-refugies-se-ruer-sur-leurope/

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    1. Il s'agit là d'une guerre voulue, programmée et déclarée à l'Europe où il n'y a PERSONNE pour la défendre et, lorsque quelqu'un s'oppose à la nazional socialiste qui la dirige et l'envahit, il est arrêté et emprisonné quand il n'est pas tué !

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  7. Les Américains sont trop insouciants pour survivre ?

    Soumis par Tyler Durden le 12/02/2016 22:05 -0500
    Rédigé par Paul Craig Roberts,


    Lorsqu'on regarde l'état déplorable du monde, on ne peut pas empêcher de s'émerveiller de l'insouciance du peuple américain. Où sont-ils ? Ils n'existent pas ou qu'ils sont un mythe ? Ont ils été mis en sommeil par un démon maléfique ? Ils disparaissent donc dans The Matrix qui ils ne peuvent pas sortir ?

    Depuis que le second mandat de Clinton aux États-Unis ont agi constamment au niveau international et au niveau national comme un criminel, sans tenir compte de ses propres lois, les lois internationales, la souveraineté des autres pays et la Constitution des États-Unis. Un pis gouvernement criminel n'a jamais existé. Pourtant, les américains demeurent serviles pour les criminels qu'ils ont placé au pouvoir sur eux-mêmes.

    Selon les sondages, Hillary Clinton et le sénateur Bernie Sanders fractionnent le vote démocratique 50 / 50 comme candidat présidentiel démocrate préféré. C'est extraordinaire.

    Hillary Clinton représente les intérêts de Wall Street et les méga-banques, le Lobby pro-israélien et l'intérêt du complexe militaro-sécuritaire. Ces intérêts sont totalement opposés aux intérêts du peuple américain.

    Dans son livre, quel est le problème avec le Kansas, Thomas Frank a soulevé la question de pourquoi les américains votent contre leurs propres intérêts ? Pourquoi aller au droit de vote tous les deux et faire eux-mêmes américains ?

    Si vous d'accord avec la réponse de Thomas Frank ou non, américains font, sur une base régulière, se faire du mal en votant pour les personnes qui sont des agents de groupes d'intérêts diamétralement opposées aux intérêts des citoyens américains.

    Comment est-il possible, si les démocrates sont des personnes informées, que la moitié d'entre eux préfèrent Hillary Clinton ? Entre février 2001 et mai 2015 Bill et Hillary ont recueilli $ 153 millions en parlant des frais. Les honoraires en moyenne $ 210 795 par discours.

    Je me souviens quand Bill et Hillary ont été dans la fonction publique lors de leurs interventions étaient libres. Personne ne voulait écouter les discours étaient libres. De toute évidence, Bill est en cours de paiement pour son passé de services pour les groupes d'intérêts puissants qui contrôlent les États-Unis, et Hillary est en cours de paiement pour son futur service aux mêmes groupes.

    Alors, comment est-il possible que la moitié des démocrates préféreraient Hillary ? Est-ce parce qu'elle est une femme et les femmes veulent une femme présidente plus ils veulent leurs libertés civiles, paix et l'emploi pour eux-mêmes, leurs conjoints et leurs enfants ?

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  8. Ou est-ce parce que, étant donné le caractère presstitute des médias américains, les gens n'ont pas la moindre idée ?

    Si vous votez pour Hillary, vous êtes de vote pour quelqu'un qui a été remboursé à hauteur de $ 153 millions de puissants groupes d'intérêts qui n'ont pas le souci que ce soit de vos intérêts. En outre, Hillary a les fonds nécessaires de campagne appartenant aux groupes d'intérêt puissants pour sa campagne à l'investiture présidentielle. Comme si cela n'est pas assez, accablant Hugh Wharton écrit que le Comité National démocratique est de mèche avec Hillary à voler, le cas échéant, la candidature de Sanders et les électeurs.

    En revanche, les groupes d'intérêt qui gouverne l'Amérique ne contribuent pas à Sanders.

    Par conséquent, le choix de Sanders est manifeste, mais 50 % des démocrates sont trop braindead pour le voir.

    Bien que Hillary est une menace importante pour l'Amérique, la menace d'une guerre nucléaire est beaucoup plus grande, et le régime démocratique Obama dans les mains des néoconservateurs a juste grandement amplifié la menace d'une guerre nucléaire.

    Le gouvernement des États-Unis, ou peut-être nous devrions dire les exploiter et séducteur du peuple américain, a annoncé une augmentation triple sa présence militaire sur les frontières de la Russie. L'excuse pour ce coup de fouet dans les profits et le pouvoir du complexe militaro-sécuritaire américaine est « L'agression russe ».

    Mais il n'y a aucun signe de cette agression. Pour Washington et ses presstitutes servile dans les médias occidentaux il composent. Ils proclament un mensonge.
    « La Russie envahit l'Ukraine » proclame la propagande. Aucune mention n'est faite du coup d'état de Washington en Ukraine, qui a renversé un gouvernement démocratiquement élu et a commencé une guerre contre les populations russes d'Ukraine orientale et méridionale, anciennes provinces de Russie a ajouté à la République soviétique d'Ukraine de dirigeants soviétiques. Dans les médias presstitute, aucune mention n'est faite de l'intention de Washington de s'emparer de port seulement l'eau de la Russie en Crimée sur la mer Noire.

    http://www.fort-Russ.com/2016/02/US-control-over-Crimea-AIM-of-coup-in.html

    Après avoir créé une invasion russe non-existante au lieu du coup d'État américain réel en Ukraine dans l'esprit des américains endoctrinés, Washington réclame maintenant que la Russie va envahir les pays baltes et la Pologne. Rien ne pouvait être plus éloigné de la vérité, mais ce mensonge du régime Obama détermine maintenant que la présence militaire américaine sur les frontières de la Russie augmentera du triple.

    L'escalade des Etats-Unis / forces de menace de l'OTAN sur les frontières de la Russie une réponse russe. Considérant que les gouvernements russophobe en Pologne et les pays baltes ont jugement instable, accumulations militaires apportent risques d'erreurs de calcul.

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  9. Il y a une limite au niveau de la menace que peut tolérer le gouvernement russe. L'impuissante Obama est sous l'emprise ferme les néoconservateurs et le complexe militaro-sécuritaire. Les néoconservateurs sont motivées par leur idéologie d'hégémonie mondiale américaine. Le complexe militaro-sécuritaire est motivé par le pouvoir et le profit. Ces motifs apportent aux États-Unis et existence souveraine de ses vassaux en conflit avec la Russie (et de la Chine).

    Au sein des conseils de politique étrangère américaine, il n'y a pas suffisamment de poids pour contrer le lecteur néoconservateur à la guerre avec la Russie et la Chine. Dans une guerre conventionnelle, les États-Unis ne sont pas une correspondance militaire de l'alliance stratégique russo-chinois. Par conséquent, la guerre serait nucléaire. La puissance de la bombe à hydrogène est infiniment plus puissante que l'atomiques bombes qui les États-Unis larguées sur le Japon. Guerre nucléaire signifie la fin de la vie sur terre.

    Les américains peuvent savent que la démocratie n'a pas réussi, parce qu'il n'y a aucun contrôle sur la capacité des néoconservateurs de fomenter la guerre avec la Russie et la Chine.

    Les néocons contrôlent la presse et la presse représente la Russie comme « une menace existentielle pour les Etats-Unis ». Une fois que cette fiction est percée dans le cerveau des américains, c'est un jeu d'enfant pour les propagandistes de créer des peurs sans fin qui appauvrissent les contribuables du revenu afin de créer des bénéfices pour le complexe militaro-sécuritaire en relançant la guerre froide et une course à l'armement.

    C'est ce qui se passe actuellement. L'incapacité des américains à se rendre compte qu'elles sont prises dans un conflit qui bénéficie seulement les profits et la puissance de la sécurité militaire complexes et l'idéologie d'un groupuscule de fous montrent l'impuissance de la démocratie américaine.

    Universités et groupes de réflexion sont remplis avec des gens ambitieux qui, chassant des subventions et influencer, carburant l'hystérie russophobe. Par exemple, le 9 février, le Washington Post a publié un article de Michael Ignatieff, le professeur de Murrow à l'école de Kennedy de l'Université de Harvard et Leon Wieseltier, le Isaiah Berlin Senior Fellow à la Brookings Institution à Washington. L'article est une déformation complète des faits en Syrie et a appelé pour nous des mesures qui donneraient lieu à un conflit militaire avec la Russie. C'était irresponsable pour le Washington Post de publier l'article, mais la décision est compatible avec presstitute nature du poste.

    La ligne de propagande maintenue par le gouvernement américain, les néoconservateurs, le complexe militaro-sécuritaire, presstitutes et fiction-écrivains tels que Ignatieff et Wieseltier, c'est que la Russie est ne pas bombarder les djihadistes État islamique qui tentent de renverser le gouvernement syrien afin d'établir un État jihadish qui constituerait une menace pour le Moyen-Orient, l'Iran et la Russie elle-même. La ligne officielle est que les Russes bombardent les démocratiques « rebelles » qui cherchent à renverser un prétendue « syrien dictateur brutal. » Le conflit que le gouvernement américain a commencé en envoyant ISIS en Syrie pour renverser le gouvernement syrien est imputé sur les gouvernements russes et syriens.

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  10. Ignatieff et Wieseltier dire que les États-Unis a mis sa « moralité » en péril afin de permettre aux Russes de bombe et affamer les femmes innocentes et des enfants, comme si les USA ont eu toute moralité après avoir détruit sept pays jusqu'au XXIe siècle, produisant des millions de morts et de personnes déplacées, dont beaucoup sont maintenant envahir Europe comme réfugiés des guerres de Washington.

    Le chef récemment retraité de la Defense Intelligence Agency, Michael Flynn, a déclaré que le régime Obama fait une « décision volontaire » pour soutenir ISIS et utilise ISIS contre le gouvernement Assad en Syrie. Que la violence en Syrie est originaire un US / complot ISIS contre la Syrie est ignoré par Ignatieff et Wieseltier. Au lieu de cela, elles accusent la Russie malgré le fait qu'il est un appui aérien de la Russie pour l'armée syrienne qui a roulé en arrière ISIS.

    Où étaient Ignatieff et Wieseltier quand Washington et ses vassaux détruit Libye, Somalie, Afghanistan, Irak, Yémen, une grande partie du Pakistan, a renversé le premier gouvernement démocratiquement élu en Egypte, a renversé le gouvernement en Ukraine et a commencé une guerre contre la population russe et livré Israël avec des armes et d'argent à voler la Palestine aux Palestiniens ? Où étaient-ils quand Clinton a détruit la Yougoslavie et la Serbie ? Où sont-ils quand ISIS assassine syriens et mange le foie de ses victimes exécutées ?

    Il serait intéressant de savoir qui a financé la Chaire nom de Murrow et la bourse au nom de Isiah Berlin et comment ces postes à pourvoir, avec leurs occupants actuels.

    Reagan et Gorbatchev ont mis fin à la guerre froide. L'administration de George H.W. Bush, prise en charge de la fin de la guerre froide et a donné des garanties supplémentaires à la Russie. Mais Clinton ont attaqué la Serbie, un allié russe et a brisé l'accord que l'OTAN ne s'étendrait pas en Europe de l'est à la frontière de la Russie. Lorsque les plans des néoconservateurs d'envahir la Syrie et d'attaquer l'Iran ont été frustrés par la diplomatie russe, les néocons allumé Russie avec fureur.

    En 1961, le Président Eisenhower a mis en garde les américains de la menace posée par le complexe militaro-sécuritaire. C'était il y a 55 ans. Ce complexe est si fort aujourd'hui qu'il est capable de détourner des ressources massives contribuable dans ses coffres tandis que le niveau de vie et les perspectives économiques de la baisse du peuple américain.

    Le complexe militaro-sécuritaire nécessite un ennemi. À la fin de la guerre froide, la « menace musulmane » a été créée. Cette « menace » a maintenant été remplacée par la « menace russe », qui est beaucoup plus utile pour garder l'Europe en ligne et à effrayer les gens avec prospectives invasions et des attaques nucléaires qui sont bien au-delà de la puissance et la portée des djihadistes.

    Amérique de superpuissance requiert un ennemi plus dangereux que quelques djihadistes légèrement armés, donc la « menace russe » a été créée. Pour conduire à la maison la menace, la Russie et son président sont constamment diabolisés. La conclusion est inévitable que le peuple américain insouciant se prépare pour la guerre

    http://www.zerohedge.com/news/2016-02-12/paul-craig-roberts-are-americans-too-insouciant-survive

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  11. Les pays qui ont le plus de difficultés avec les mathématiques

    Pourcentage des 18-29 ans qui ont les plus faibles compétences en calcul dans les pays de l'OCDE

    http://www.zerohedge.com/news/2016-02-12/exceptional-america-number-1-again

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  12. Transparence et tolérance

    samedi, 13 février 2016 16:14


    Ces deux mots sont indissociables.

    La transparence

    Aujourd’hui elle est totale pour chacun de nous, qu’elle soit voulue ou subie. Que ce soit Facebook qui nous expose avec notre consentement ou que ce soit l’Etat qui nous espionne, nous fouille, sans notre consentement, nous n’avons plus une once d’intimité.

    Les commerçants nous fichent, les opérateurs nous listent, les banquiers nous dénoncent, il ne nous reste aucun jardin secret. Nous sommes nus, complètement nus.

    Peut-on vivre dans ces conditions, alors que notre personnalité, sa réalité cognitive et affective, est intégralement visible et observée sous toutes les coutures ?

    La tolérance

    Illimitée, elle devrait permettre d’accepter tout de l’autre et de nous-même, y compris ce qui nous parait le pire. Elle est beaucoup plus facile à exiger des autres qu’à mettre en œuvre pour soi-même.

    Elle pourrait peut-être permettre de vivre en toute transparence.

    Car c’est bien là qu’est le problème

    En imaginant que la transparence soit supportable, elle ne peut se vivre que liée à une tolérance totale, absolue, seule susceptible de permettre d’être transparent sans être dans le même temps jugé et condamné.

    Nous en sommes loin.

    Le paradoxe constant est que ce sont les sociétés les moins tolérantes qui demandent le plus de transparence. Alors qu’au contraire les sociétés tolérantes laissent libre cours à l’intimité, à la vie privée qui est le contraire de la transparence.

    Par exemple,

    Les tribunaux sont très attachés à protéger la vie privée des contrôleurs fiscaux qui eux ont pour mission, perquisitions incluses, de percer la notre à jour dans son intégralité.

    Notre Etat, si secret sur ses comptes et ses actions, exige de nous la plus grande transparence sur nos comptes et nos actions.

    C’est là où le bât blesse.

    La chose pourrait presque être quantifiée, faire l’objet d’un théorème, tant tolérance et transparence sont étroitement et inversement liées.

    Le dosage de la transparence est quantifiable à l’aune du taux de tolérance qui l’induit.

    C’est ainsi que la transparence de Facebook correspond à une crispation sociale globale de la tolérance individuelle, qui trouve à s’exprimer dans des commentaires ou des groupes totalement contraires et intolérants entre eux.

    La tolérance s’accommode du secret des autres, le respecte, pas l’intolérance qui veut connaître, savoir et juger.

    Touts ces secrets personnels disparus, d’alcôve, bancaires, de recettes, de santé, de dons, de culte, de vote, n’étaient pas compatibles avec l’Etat inquisiteur et bureaucratique dans lequel nous vivons, qui veut et doit tout savoir de nous pour prospérer sur notre dos.

    Un Etat tolérant et minimaliste se moque des secrets de ses concitoyens, il les veut libres donc il respecte leurs secrets.

    Une société tolérante ne cherche pas à savoir ce que disent, pensent ou font les membres de cette société.

    (suite en dessous:)

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  13. Et pourtant,

    et c’est l’énigme, ceux qui acceptent de se mettre à nu ont l’impression de disposer d’une grande tolérance pour pouvoir le faire.

    Ils n’ont pas conscience que leur exposition est permise par l’avènement de l’intolérance, quelle en est le marqueur le plus remarquable.

    Vous l’aurez compris, la transparence me terrorise, je suis convaincu qu’aucune société libérale ne peut la souhaiter.

    Il me semble qu’elle pose en préalable la défiance : soyez transparent ou nous n’avons pas confiance en vous me parait la règle du jeu.

    Or, comment vivre ensemble si l’on n’a pas confiance les uns en les autres.

    Alors oui, je suis pour le secret bancaire, le secret médical, le secret fiscal, le secret judiciaire, et même le secret politique, car je ne crois pas que derrière chaque secret il y a un doute, une mauvaise action, un escroc.

    Non, derrière chaque secret il y a simplement un homme, que la tolérance doit nous permettre d’accepter tel qu’il est.

    Je suis effectivement terrorisé par la transparence, y compris celle que je pratique. Elle m’est imposée par un Etat totalitaire que je réfute de toutes mes forces, que je souhaite voir disparaître pour être remplacé par un Etat minimal, libéral, où chacun sera libre d’être lui, dans la plus parfaite discrétion de sa vie privée.

    Ce n’est pas demain la veille.

    C’est plutôt l’intolérance qui s’impose et, ne l’oublions pas, le stade ultime de l’intolérance : c’est la guerre.

    Bien cordialement. H. Dumas

    http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/liberalisme/transparence-et-tolerance.html

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    1. Mais ???... Nous vivons DANS l'intolérance et, ce n'est pas la peur d'avoir peur qui fait peur mais la peur de ne pas avoir peur ! C'est ainsi que l'effrayant ne repousse plus mais attire les gens ! Les gens qui - lors d'un accident de la route - ralentissent pour... voir (au lieu de "Circulez y a rien à voir" !). Ils ont besoin de merdes (ils regardent la télé ! écoutent la radio ! lisent les journaux !) et, plus ils en reçoivent plus ils en redemandent ! Ils ont accrocs à la violence, le sang, l'inculture, l'ignorance, le mensonge et aux 'hommes' politique qui en rajoutent et les ruinent !

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  14. Pavé dans la mare de la psychiatrie: ‘les diagnostics de maladies mentales ne valent rien’

    Audrey Duperron
    12 février 2016

    La principale instance représentant les psychologues de Grande-Bretagne vient de jeter un pavé dans la mare: elle affirme qu’il n’y a pas de preuve scientifique pour affirmer que les diagnostics de maladies psychiatriques telles que la schizophrénie et les troubles bipolaires ont une utilité, ni même un fondement. Elle rencontre déjà l’opposition indignée des psychiatres, rapporte The Guardian.

    Cette instance, la division de psychologie clinique (DCP) de la British Psychological Society, affirme qu’il est temps d’opérer un “changement de paradigme” dans la compréhension des maladies mentales. Elle remet en cause le modèle médical biométrique qui domine cette discipline, selon laquelle la détresse mentale peut être soignée par des médecins au moyen de médicaments.

    Elle aurait décidé de contester ce modèle en raison des “inquiétudes fondamentales concernant le développement, l’impact personnel et les hypothèses au coeur des systèmes de diagnostic” auxquels les psychiatres ont recours. Le Dr Lucy Johnstone, une psychologue clinique consultante qui a participé à cette remise en cause, explique qu’il n’est pas judicieux de considérer que les problèmes mentaux étaient des maladies avec des causes biologiques.

    “Au contraire, il y a des preuves irréfutables que les gens craquent en raison d’un mélange complexe de circonstances sociales et psychologiques – le deuil et la perte, la pauvreté et la discrimination, le traumatisme et les abus”.

    La bible des psychiatres

    La critique de la DCP tombe à point nommé : la 5e édition du guide de référence international des psychiatres, publié par l’Association de la psychiatrie américaine, et appelé “Manuel de Statistique et de diagnostic des maladies mentales”, ou “DSM-5”, doit sortir prochainement. Ce guide est utilisé à des degrés divers par les psychiatres du monde entier.

    Ses détracteurs critiquent ses inclusions de plus en plus nombreuses de difficultés mentales, qui s’y retrouvent abusivement cataloguées comme des troubles mentaux, selon eux. D’autres critiquent au contraire ses exclusions, parfois jugées tout aussi contestables.

    http://fr.express.live/2016/02/12/les-diagnostics-de-maladies-mentales-ne-valent-rien/

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    1. HAHAHAHA ! Le 'pavé dans la mare ! Je me marre ! La bible des psychiatres ! Pas étonnant que des gens normaux la critiquent !

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  15. Antarctique : Iceberg géant menace d'anéantir la colonie de pingouins

    Par Christian StöckerFrauenrechtlerin

    Iceberg B09B a souvent fait les manchettes, maintenant le géant au large de la côte de l'Antarctique est considéré pingouin killer : selon les chercheurs, il est passé une colonie à 170 000 animaux.

    Les pingouins au Cap Denison dans la baie du Commonwealth dans l'Antarctique souffrent non seulement du changement climatique, la fonte des glaces et le rétrécissement des réserves de nourriture. Un énorme iceberg menace aussi de leur habitat.

    Le monstre avec le nom B09B a entre une colonie de reproduction une fois énorme et cette mer a poussé et maintenant mourir de faim ou de fuir les animaux apparemment ont mis en place des dizaines de milliers, comme les chercheurs de l'Université de new South Wales en Australie.

    Dans un article (PDF) dans le magazine "Science Antarctique", Kerry-Jayne Wilson et ses collègues rapport le nombre d'Adélie vivant dans la région d'ont réduit au cours des années "à un ordre de grandeur". En février 2011, les chercheurs ont estimé le nombre de pingouins au Cap Denison et les îles de Mackellar au large de la péninsule, sur la base d'images satellites à plus de 90 000 paires, plus de 180 000 pingouins. Le comptage par Wilson et leurs collègues en décembre 2013, a révélé seulement 5500 paires au Cap Denison et quelques milliers sur les îles de Mackellar.

    « La baisse catastrophique »
    Par conséquent, environ 160 000, soit 170 000 pingouins de la région ont disparu dans les prochaines années. Un « déclin catastrophique », que les chercheurs écrivent.

    Le coupable de la disparition massive des oiseaux croire avoir fait des chercheurs : un iceberg appelé B09B s'est imposé du Commonwealth Bay sur la côte de. L'objet est formidable, B09B est encore aujourd'hui plus de 50 km de long et de plus de 18 km de large selon les mesures de courant (PDF) . Étant donné que Wilson et ses collègues ont compté les pingouins dans la région en 2013, la montagne qui a diminué beaucoup - en octobre 2015 a brisé un morceau de 22 kilomètres de celui-ci (PDF), qui porte maintenant le nom de B09I.

    http://www.spiegel.de/wissenschaft/natur/antarktis-eisberg-droht-pinguine-auszurotten-a-1077261.html

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    1. Alors que les pôles (Nord & Sud) n'ont jamais eu autant de glace et d'une telle épaisseur, voici que des idiots de journalistes payés pour soutenir les escrocs du climat inventent que des milliers de pingouins seraient d'être très bientôt écrasés par des blocs de glaces qui arriveraient peut-être à 300 km/h tandis qu'ils traversent leurs routes sans regarder à droite et à gauche ! HAHAHAHA ! Plus con que çà: y a pas ! Tout est faux depuis le début mais çà fait rien, ils sont payés pour çà.

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  16. Les Américains n'ont jamais été plus gras : Le taux d'obésité s'élève au plus haut niveau sur l'enregistrement

    Soumis par Tyler Durden le 12/02/2016 18:15 -0500


    Les Américains sont en gras. Et qu'ils obtiennent plus gras tout le temps.

    C'était le mois dernier lorsque nous vous avons montré une série de graphiques qui démontre comment il est arrivé à cela. En bref, moyens calories disponibles aux américains a bondi de 25 pour cent à 2500, entre 1970 et 2010. Et ce n'est pas parce qu'aux États-Unis a ajouté un quatrième repas de la journée.

    C'était toutes les graisses ajoutées et grains (qui comprennent les matières grasses dans les aliments transformés et de la farine), qui représentent 37 % du régime alimentaire de l'Amérique, mais comportent maintenant quelque chose comme 46 %. Le plus gros contributeur à la tendance a été de coût. Les aliments de plus en plus plus caloriques sont devenus progressivement moins cher qui signifie inférieur et de classe moyenne les gens sont plus enclins à les manger, menant directement à une épidémie d'obésité qui s'aggrave.

    - voir liste sur site -

    Comme nous avons noté en octobre, problème de l'obésité de l'Amérique a donné lieu à un chercheurs plutôt choquant à découvert lorsqu'ils ont analysé les données de la National Health and Nutrition Examination Survey: « cette génération d'américains est le premier qui aura une espérance de vie plus courte que la génération précédente, et l'obésité est un des plus grands contributeurs à cette espérance de vie réduite, car il suscite un grand nombre d'affections chroniques. »

    - voir graphique sur site -

    Dans ce contexte plutôt déconcertant nous présentons de nouveaux numéros de Gallup qui montrent taux d'obésité a atteint un niveau record de 28 % en 2015 du que l'Amérique.

    C'est vrai, l'Amérique. Un tiers d'entre vous font de l'embonpoint grossièrement. Il s'avère que, blancs ont vu la plus forte hausse, avec des taux d'obésité escalade de 2,8 % depuis 2008.

    - voir graphique sur site -

    Outre la 28,0 % qui sont obèses, un autre 35,6 % des adultes sont classé comme la surcharge pondérale, avec le poids normal de 34,6 % et 1,8 %, comme l'a signalé en 2015, d'une insuffisance pondérale" Gallup poursuit en rapport, avant de noter que l'incidence du diabète a suivi une tendance vers le haut aussi bien. Voici plusieurs :

    (suite en dessous:)

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  17. Ces résultats sont basés sur plus de 175 000 entrevues menées chaque année entre 2013 et 2015 et plus de 350 000 entrevues menées chaque année entre 2008 et 2012 dans le cadre de l'indice de bien-être Gallup-Healthways. Contrairement à certaines estimations de gouvernement de l'obésité, l'indice de bien-être utilise des intimées autodéclaré taille et poids pour calculer l'indice de masse corporelle (IMC). Elle n'implique pas des mesures cliniques à domicile qui entraînent généralement des estimations plus élevées de l'obésité.

    Dans l'ensemble des groupes raciaux et ethniques, augmente dans l'obésité et les taux de diabète depuis 2008 ont été inégaux. Ces deux taux ont augmenté beaucoup plus chez les blancs que chez les noirs, les asiatiques et les hispaniques. Les noirs ont le plus haut taux d'obésité de loin des grands groupes raciaux et ethniques, suivis par les hispaniques, mais ces deux groupes ont eu des augmentations relativement modestes dans l'obésité depuis 2008 et ont montré peu ou pas de changement dans le diagnostic de diabète au cours de cette période.

    Le taux d'obésité a continué d'augmenter aux États-Unis après tasser de 2011 à 2013 et ce malgré l'inquiétude publique croissante. Des recherches antérieures a démontré que l'obésité et ses conditions chroniques associées, dont le diabète coûtent à l'économie d'US $ 153 milliards par an en absentéisme non planifiée en raison de la mauvaise santé, un chiffre qui a augmenté depuis l'époque de cette étude. Et tandis que les noirs souffrent de manière disproportionnée d'affections chroniques associées à l'obésité, la forte augmentation de l'obésité mesurée chez les blancs depuis 2008 signifie que ce n'est pas un problème isolé à un groupe racial ou ethnique.

    L'obésité affecte tous les éléments du bien-être, wellness pas seulement physique. Il est associé, par exemple, avec le bien-être financier et social inférieur. Alors que l'obésité peut réduire le bien-être général, la relation peut aussi fonctionner en sens inverse ; bien-être élevé peut réduire les chances d'être obèses. Ceux qui ont élevé ou améliorer bien-être à travers les cinq éléments--but, sociale, finance, communauté et physique--sont moins susceptibles d'être obèses ou de devenir obèses à l'avenir que ceux qui ne sont pas.

    http://www.zerohedge.com/news/2016-02-12/americans-have-never-been-fatter-obesity-rate-rises-highest-level-record

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    1. Cela n'est pas que les étatsuniens mangent plus que les autres ! C'est juste de venir de la qualité de la merde qu'ils ont dans l'assiette !

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  18. Épidémie de suicides : Pourquoi le nombre de personnes qui se tue est juste de continuer à monter ?


    Par Michael Snyder,
    le 9 février 2016


    Saviez-vous que plusieurs américains maintenant meurent par suicide que sont tués dans des accidents de voiture chaque année ? Selon les CDC, il y a eu un important pic dans les décès par suicide aux Etats-Unis ces dernières années. Aujourd'hui, environ 9,3 millions d'américains admettent avoir des pensées suicidaires, et environ 2,7 millions d'Américains chaque année en fait faire un plan pour la façon dont ils seraient suiciderait. Nous sommes une nation profondément, profondément malheureuse, mais bien sûr, ce phénomène n'est pas seulement limité à l'Amérique. Selon l'Organisation mondiale de la santé, le suicide est désormais le troisième plus haut cause de décès dans le monde entier. Globalement, les taux de suicide ont grimpé de 60 % au cours des 45 dernières années, et l'OMS est qui projette à l'horizon 2020, que quelqu'un va être se suicider quelque part dans le monde toutes les 20 secondes désormais.

    Il y avait un article dans le Guardian que je suis tombé sur aujourd'hui et qui s'intitulait "Financial le désespoir, la dépendance et la montée du suicide dans l'Amérique blanche". Il a examiné la montée extrêmement alarmante du taux de suicide chez les américains qui approchent l'âge de la retraite. Beaucoup dans ce groupe d'âge se noient dans la dette, traitant de contrôler les factures de soins médicaux, ont enregistré très peu de choses pour la retraite et traitent la douleur physique importante. Un fait que j'ai été étonné d'apprendre, c'est que dans l'état du Montana il y a 82 painkiller ordonnances pour 100 personnes. Dans une tentative désespérée de trouver un moyen de sortir, beaucoup d'américains cet âge est envisager de se suicider. âgé de 56 ans Kevin Lowney est un exemple...

    Kevin Lowney se trouve éveillé certaines nuits je me demandais si il devrait se suicider.

    "je suis dans la douleur comme tous les soirs, le suicide a régulièrement traversé mon esprit tout simplement pour soulager la douleur. Si je n'avais pas de responsabilités, en particulier pour ma plus jeune fille qui a des problèmes,"a-t-il dit.

    Lutte de l'ancien vendeur âgé de 56 ans souffrant de douleur chronique est liée à un tableau d'autres questions – dettes médicales, appauvrissement et la perspective d'une retraite sombre – contribuant à l'augmentation du nombre de suicides aux États-Unis et en aidant en voiture une augmentation importante et inhabituelle dans le taux de mortalité pour les Américains blancs d'âge moyen ces dernières années aux côtés de décès prématurés de l'alcool et de drogues.

    Et ce n'est pas seulement un phénomène américain. Plus au Royaume Uni, une étude découvert que le taux de suicide chez les hommes âgés de 45 et 49 avait augmenté de 40 pour cent sur une période de sept ans...

    Le nombre des hommes d'âge moyen en tenant leur vie a augmenté considérablement au cours de la dernière décennie.

    Nouvelle recherche, publiée aujourd'hui par l'égalité et la Commission des droits de l'homme, révèle qu'au cours des sept dernières années ont vu un 40 pour cent augmentation du taux de suicide des hommes âgés de 45 à 49 ans.
    Les jeunes gens se tuent plus fréquemment aussi bien.

    Selon un reportage de la Fox, le taux de suicide pour les américains age 10 à l'âge 24 a « augmenté chaque année »...

    (suite en dessous:)

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  19. Leur mort, mais aussi les autres récents suicides chez les adolescentes à faire les manchettes nationales — de Westport, au Connecticut, à Omaha, au Nebraska, — font partie d'une augmentation constante auto-infligées décès chez les jeunes, âgés de 10 à 24, depuis 2007, selon les responsables de la santé.

    « Nous constatons une augmentation significative en suicide pour ces âges », Dr. Thomas Simon, les Centers for Disease Control and Prevention expert de suicide, dit FoxNews.com. «Quand vous retournez à 2007, les tarifs dans cette tranche d'âge ont augmenté chaque année.»

    Alors pourquoi est-ce qui se passe ?

    Sans aucun doute, le déclin de notre économie joue un rôle. La bourgeoisie se rétrécit progressivementet plus d'Américains sont tomber de la classe moyenne chaque mois. Beaucoup d'américains qui approche l'âge de la retraite ne vois pas un avenir viable pour eux-mêmes, et beaucoup d'entre eux sont complètement donnant ainsi dépression et le désespoir.

    Mais je ne pense pas que cela explique tout cela. Selon moi, un autre facteur important est le fait que notre société est droguée dans l'oubli. À ce stade, près de 60 % de tous les Américains sont au moins un médicament sur ordonnance, et de nombreux médicaments sont connus pour augmenter sensiblement le risque de suicide.

    Au lieu de traiter ces causes profondes, beaucoup veulent que le gouvernement d'intervenir et comme par magie résoudre ce problème en quelque sorte. En fait, il y a une nouvelle proposition pour le dépistage de la dépression obligatoire que beaucoup mettent en garde pourrait avoir des conséquences très graves. Ce qui suit est un extrait d'un morceau que Ron Paul écrit récemment...

    L'United States Preventive Services Task Force a récemment recommandé dépression obligatoire de dépistage pour tous les américains. La task force veut obliger les compagnies d'assurance santé à payer pour la projection. Économie de base, ainsi que la catastrophe de l'Obamacare, auraient divulgués ce groupe de travail que les mandats d'assurance maladie gouvernementaux mal américains.

    Mandats d'assurance maladie gouvernementaux augmenter le prix de l'assurance maladie. Consommateurs répondra à cette augmentation, soit à ne pas effectuer d'assurance maladie ou en réduisant leur consommation d'autres biens et services. Imposant de nouveaux mandats de l'assurance maladie fera donc aux consommateurs, dont beaucoup souffrent déjà de mandats de coûteuses de l'Obamacare, moins bien lotis en les forçant à s'écarter de leurs habitudes de consommation privilégié.

    (suite en dessous:)

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  20. Dépistage obligatoire de la dépression ne déclenchera pas juste les frais d'assurance. Afin d'assurer que le mandat de présélection est correctement appliquée, le gouvernement devra créer une base de données contenant les résultats des examens préalables. Ces politiciens anti-armes qui veulent interdire que quiconque étiquetés "malades mentaux" de posséder une arme à feu voudront sans doute utiliser cette base de données comme outil de priver les individus de leurs droits de deuxième amendement.

    Dépistage obligatoire ne va pas résoudre ce problème. Qui entraînera juste encore plus de gens étant mis sur les anti-dépresseurs et rendre les compagnies pharmaceutiques encore plus riches.

    En fin de compte, le vrai problème est dans nos coeurs. Nous avons poussé Dieu à la lisière extérieure de la société, et nous avons décidé que nous pouvons mettre en place notre propre version de l'utopie sans lui.

    Eh bien, qui n'est pas exactement fonctionne pas trop bien, est-ce ?

    Si vous connaissez quelqu'un qui est déprimé et peut être envisager de se suicider, ce qui suit est certains des signes que livescience.com dit que vous devriez regarder pour...

    • sentiments d'impuissance ou de désespoir
    • insomnie
    • attaques de panique
    • isolement social
    • irritabilité
    • rage
    • sentiment d'être un fardeau
    Vie n'est plus tant que la quantité de choses que nous possédons ou la somme d'argent dans notre compte bancaire.

    Beaucoup de ces gens qui envisagent le suicide pourraient avoir à terme qui sont plus lumineux au-delà de ce qu'ils pouvaient imaginer, mais ils mettent l'accent sur toutes les mauvaises choses.

    Alors, que pensez-vous provoque la montée étonnante au suicide deux ici aux Etats-Unis et dans le monde entier ?

    S'il vous plaît n'hésitez pas à partager vos réflexions avec le reste d'entre nous en laissant un commentaire ci-dessous...

    http://endoftheamericandream.com/archives/suicide-epidemic-why-does-the-number-of-people-killing-themselves-just-keep-going-up

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    1. Même si chacun 'aurait' ses propres raisons pour en arriver là, les suicides découlent de choses non-expliquées ci-dessus.

      (...) Selon l'Organisation mondiale de la santé, le suicide est désormais le troisième plus haut cause de décès dans le monde entier (...)

      Or, ces gens, qui ne sont pas tous 'des vieux' sans le sou, ruiné par l'Etat et dont l'avenir n'a rien de bon, mettent fin à leurs jours pour cause de fausses 'dettes' inremboursables crées volontairement par les banquiers (sociétés privées) avec l'Etat (société publique achetée), pour cause d'injustice (95 % des condamnés à mort sont innocents !) et surtout, surtout comptent jusqu'au derniers moments que... l'Etat va les secourir !!!

      Ce sont des gens qui - pour la plupart - regardent la télé, écoutent la radio et lisent les journaux et sont ensevelis sous ces tonnes de désastres et mensonges et menaces de guerres permanentes entretenues par les merdias.

      Pour la plupart, ce sont des pions (ou qui le découvre tardivement) qui travaillent dans des compagnies téléphoniques ou autres pour pousser les clients à s'endetter encore plus en racontant des bobards. Ils sont complices des escrocs et s'en rendent compte mais continuent de tuer des gens par téléphones ou mail de relance pour continuer à être payés ! Le secteur bancaire est bien-sûr lui aussi touché.

      Et puis, et puis il y a ces armes parfaitement inconnues du grand public qui s'appellent 'les ondes'. Ces ondes qui vous pistent dès lors où vous avez le malheur d'acheter une voiture neuve aux 50 gadgets (caméras/micros) inclus aux relais satellites ou un téléphone portable ou ordinateur portable. Ces ondes vous pistent et peuvent (c'est prouvé !) vous commander de vous suicider !

      - voir des sites tels que:

      https://rudy2.wordpress.com/

      http://educate-yourself.org/mc/

      où seules, de nouvelles armes dites 'propres' auront raison. Elles, elles s'appellent 'IEM' pour Impulsion Électromagnétique. Ce sont des bombes plus ou moins grosses qui explosent à certaines altitudes (ou sous forme de missiles) et qui éteignent/coupent définitivement votre accès électrique. Donc: plus de téléphones, ordis, satellites. Et surtout: plus de téléguidage de bombe par satellites ! Tout est 'grillé' sur place. Et donc, du jour au lendemain, vous vous 'retrouvez' au 19è siècle avec pour seuls moyens de locomotion la marche à pied, l'âne et la charrette, la bicyclette où, rarement, certaines vieilles voitures qui démarraient à la manivelle (comme le sont encore aujourd'hui les tondeuses à gazon, tronçonneuses, moto-bineuses, etc).

      Cette arme redoutable et de paix, est aujourd'hui à la portée de presque tous les pays du monde qui peuvent s'en servir sur des rayons d'actions plus ou moins larges. Et sont la SEULE solution de réponse en cas de guerre.

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  21. Les insectes commensaux de l’homme : un vrai roman animalier !

    le 13 février 2016
    par jacqueshenry

    - voir photos sur site -

    L’écosystème des maisons d’habitation était assez mal connu jusqu’à cette étude réalisée à l’Université de Raleigh en Caroline du Nord et concernant la population d’arthropodes commensaux de l’homme dans 50 maisons de la ville de Raleigh et de ses alentours. Et les résultats sont assez surprenants malgré le fait que seules les surfaces visibles et accessibles ont fait l’objet d’investigations minutieuses. Par exemple les tiroirs, les placards et l’intérieur des murs n’ont pas été étudiés alors qu’ils peuvent servir de refuge à ces arthropodes. Les couloirs, salles de séjour, cuisines, salles de bain et chambres à coucher ont été passés au peigne fin par des entomologistes entrainés à l’aide pincettes, de petits aspirateurs spéciaux et de filets spécialement étudiés pour piéger tous les insectes rampants et volants qui peuvent se trouver dans une maison d’habitation.

    Le résultat est pour le moins inattendu : 145 arthropodes différents ont été référencés, depuis des mille-pattes et autres poissons d’argent en passant par les mouches (30 espèces différentes), les acariens, les mites de la laine, les poux, les puces, les cafards, les araignées, les fourmis et autres termites. On vit carrément dans une sorte de zoo sans vraiment s’en rendre compte et ceci malgré tous les efforts que l’on puisse faire pour garder une maison « propre », ce qui n’est qu’une apparence.

    - voir photos sur site -

    L’illustration en trois parties ci-dessus tirée de l’étude publiée dans le journal PeerJ ( DOI : 10.7717/peerj.1582 ) représente les 12 familles d’arthropodes les plus fréquemment retrouvés dans les maisons. Il s’agit par ordre alphabétique et de fréquence des araignées communes tissant une toile parfois invisible, du scarabée des tapis, d’une mouche parasitant les plantes, la cécidomie (C), les fourmis, le poux des livres (Liposcelis) (E) qui ne s’attaque pas seulement au papier mais aussi à la farine, au riz, au pain, aux biscuits et qu’on ne reconnaît que difficilement à l’oeil nu. Viennent ensuite (F) les petites mouches s’attaquant aux plantes d’appartement – ici des maisons – inoffensives mais qu’on peut confondre avec les mouches du vinaigre. Dans 84 % des maisons étudiées des pholcus ont été retrouvés, ces araignées aux longues pattes très communes (G).

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  22. - voir photos sur site -

    L’inévitable charançon de la farine est aussi très commun (H) comme l’est aussi le moustique Aedes albopictus (I) qui peut transmettre le virus Zika, retrouvé avec d’autres moustiques comme le vulgaire culex dans 82 % des maisons. Est-ce la raison pour laquelle le Président Obama a débloqué la coquette somme de 1,8 milliard de dollars pour la prévention du virus Zika ? Vient ensuite, curieusement, une mouche qui parasite d’autre hyménoptères comme les scarabées retrouvée dans beaucoup de maisons (J) et dont il a été fait mention dans ce blog au sujet des abeilles (billet du 6 février 2015), puis dans encore 82 % des maisons la cicadelle commune, un petit insecte suceur de sève qui doit probablement passer au travers des moustiquaires des fenêtres et des portes (K) ou être introduite par des fleurs coupées et enfin les moucherons ressemblant à des moustiques mais qui ne piquent pas (L). Les acariens ont été retrouvés dans plus des trois quarts des maisons et on les a détecté préférentiellement dans les moquettes et les tapis, on pouvait s’y attendre …

    Source et illustrations : PeerJ

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2016/02/13/les-insectes-commensaux-de-lhomme-un-vrai-roman-animalier/

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  23. En France, la nécessité d’une intervention publique massive dans le domaine culturel est un postulat aussi indiscutable que la rotondité de la Terre.

    Par Olivier Babeau
    Un article de Génération libre
    le 13 février 2016 dans Économie générale

    Parler de libéralisme dans le domaine culturel, c’est évoquer le diable devant un tabernacle. Il n’y a pas de secteur où la question de l’intervention publique soit moins débattue ; pas d’activité où parler d’argent et de rentabilité soit plus tabou. Du moins en France.

    Nous savons bien qu’en écrivant ces lignes nous nous aliénons par définition tous ceux qui vivent du système ou y participent indirectement par leur complaisance. Non content de perdre nos (hypothétiques) invitations aux avant-premières, nous nous éloignons sans doute aussi du grade de chevalier dans l’ordre des Arts et Lettres, si d’aventure nous avions pu nous en rapprocher. En multipliant les emplois et les prébendes, l’État entretient des convaincus qui n’auront de cesse de souligner la nécessité d’un système qui les nourrit ; il multiplie des clients, au sens romain du terme, qui sont rétribués à la mesure de leur soumission. En France, la nécessité d’une intervention publique massive dans le domaine culturel est un postulat aussi indiscutable que la rotondité de la Terre. Celui qui remet en cause ou même interroge le système a fatalement contre lui les innombrables zélotes de l’État culturel. S’il conteste l’action culturelle publique, cela ne peut qu’être parce qu’il n’aime pas la culture, du moins la vraie culture; qu’il est au mieux un ignorant, au pire un suppôt de la marchandisation désenchantée du monde. Reductio ad philistinum.

    Comme le souligne Aude de Kerros1, la France est l’un des très rares pays au monde (avec la Corée du nord) à disposer d’un art officiel. La quasi-totalité de l’art en France est, à un degré quelconque, subventionné et (donc) contrôlé. Savons-nous assez qu’il existe chez nous par exemple un corps d’inspecteurs de la création artistique et de l’action culturelle2 ? Au nombre de 200, ils assurent notamment « la coordination, la conception et l’évaluation des politiques de création, d’enseignement artistique et d’action culturelle dans l’ensemble des spécialités » (action culturelle, arts plastiques, cinéma et audiovisuel, danse, livre, musique et théâtre). Heureux Français, qui bénéficient d’un État si bienveillant qu’il est là pour leur dire ce qui peut être qualifié d’art, estampiller l’expression valable, valider la bonne création, pousser sous leurs yeux reconnaissants les choses à voir, éloignant les autres.

    Défendre une approche libérale de la culture dans un texte d’envergure, où les arguments philosophiques et économiques sous-tendant l’intervention publique en matière culturelle seraient examinés en profondeur, serait une tâche aussi intéressante qu’utile, mais dépasserait le cadre plus modeste de cette note. On trouvera d’ailleurs dans un livre tel que L’État culturel de Fumaroli3 une critique percutante du « constructivisme culturel » français.

    Nous nous limiterons ici à commenter le cas particulier de la production cinématographique, emblématique sans doute de cette politique culturelle qui revendique expressément, on le sait, l’exception qu’elle représente de fait dans le monde4 est à prendre au sens d’exemption culturelle. Dans cet esprit, ce terme signifie que l’art et la culture ne peuvent pas être traités dans les négociations marchandes internationales comme le sont les produits manufacturés. C’est-à-dire que le cinéma comme la création audiovisuelle ont une vocation première qui est artistique, et cette dimension est irréductible, elle touche au cœur de l’identité des nations, et au-delà même des enjeux nationaux, l’art touche au sacré. » Éric Garandeau, président du CNC, 2012.].

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  24. Expliquer en détail le fonctionnement fort complexe du système de soutien au cinéma français alourdirait trop le présent texte. Le lecteur qui voudra en découvrir les détails pourra se référer au site du CNC. On ne rappellera pas non plus ici les caractéristiques économiques du cinéma, si représentatives de celles des biens culturels en général qui ont été soulignées depuis longtemps par Baumol et Bowen5 notamment : présence d’externalités, problème d’incitation à produire, absence de gain de productivité, valeur subjective rendant les ventes incertaines, industrie de prototypes, incommensurabilité des produits entre eux, etc.

    Il s’agira plutôt ici de formuler un diagnostic réaliste sur le système actuel de soutien au cinéma français : atteint-il ses objectifs (question de l’efficacité) ? Le fait-il à moindre coût (question de l’efficience) ?

    Cela nécessite bien sûr de commencer par préciser ce que sont les objectifs du soutien au cinéma. Les statuts du Centre national du cinéma et de l’image animée6, créé en 1946, en font l’organisme chargé d’appliquer « la politique de l’État » en la matière. Ses missions sont de « contribuer, dans l’intérêt général, au financement et au développement du cinéma et des autres arts et industries de l’image animée […] et (d’) en faciliter l’adaptation à l’évolution des marchés et des technologies. » À cette fin, il « soutient, notamment par l’attribution d’aides financières », des objectifs variés, parmi lesquels « la diversité des formes d’expression et de diffusion cinématographique […]», et « la promotion et le développement du cinéma […] en France et à l’étranger7. » Ces deux notions, diversité (de l’offre et de la demande) et rayonnement, sont la traduction directe des trois piliers de la politique culturelle française prônés par les ministres de la Ve République8 : « l’indépendance et le prestige de la culture nationale par rapport à l’étranger (enjeu identitaire) ; la diversité de la création (sans soumission aux impératifs du marché et de la rentabilisation à court terme) ; l’élargissement de l’accès à la culture (enjeu de la démocratisation) ».

    La présente note propose (1) d’analyser la réalité de la performance du système de soutien au cinéma français par rapports aux objectifs définis, puis (2) d’identifier ses défauts essentiels avant de conclure par quelques suggestions de solutions.

    1. Les graves faiblesses du système français de soutien au cinéma

    Le système actuel de soutien au cinéma français parvient-il à atteindre ses trois buts : rayonnement extérieur, diversité et ouverture (ce troisième but n’étant rien d’autre que le revers, côté demande, de la diversité côté offre) ? Il y a tout lieu d’en douter.

    Diversité culturelle : de bien faibles résultats pour le cinéma français

    Comme le soulignent Dantec et Lévy9, « la diversité culturelle est dans tous les discours mais elle n’est nulle part mesurée ». La diversité fait d’autant plus volontiers l’objet de vibrantes et répétées déclarations qu’elle ne peut facilement être définie et donc évaluée. Nous allons essayer d’évoquer ici certains indicateurs de cette diversité, sans espérer clore pour autant le débat sur une notion qui reste, comme celle de « rayonnement », fondamentalement subjective. Nombreux sont les commentateurs à souligner, année après année, que le cinéma français se porte bien.

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  25. Côté demande, on ne manquera pas de souligner qu’en 2015, avec 206,6 millions d’entrées, le niveau de fréquentation des salles françaises reste supérieur à celui des dix dernières années et demeure le plus élevé d’Europe10. De plus, les films français gardent une place honorable puisque, le nombre de films français dépassant la barre des 500 000 entrées atteint 36, contre 31 en 2014. L’année 2015 a également été une bonne année du point de vue de l’exportation des films français. Pour la 3ème fois en 4 ans, les films français ont franchi le seuil des 100 millions de spectateurs dans le monde. Avec 42,6 millions, le nombre d’entrées pour les films de langue française augmente de 22% par rapport à 201411.

    Côté offre, on se réjouira du grand nombre de films français produits : depuis 2010, il est supérieur à 200. Ce qui, disons-le tout de suite, ne dit en réalité rien de la « bonne santé » du film puisque cette production est précisément subventionnée. Il n’y a rien d’étonnant à ce que ces films existent puisque le système draine plusieurs centaines de millions d’euros dans ce but précis.

    La situation est en réalité moins idyllique. Qu’il s’agisse de l’international ou de la situation française, c’est la diversité, critère central puisqu’il traduit la vitalité de la production et de la consommation culturelles, qui obtient, après analyse, les résultats les plus fragiles.

    Plaçons-nous tout d’abord du côté de l’offre. Bargès12 réalise en 2007 une analyse approfondie d’une dimension importante de cette diversité : le nombre de genres représentés. Sans reproduire le détail de sa démonstration, soulignons juste que, sur les 14 genres répertoriés, près de 80% de la production française est concentrée sur 4 genres : la comédie, la comédie dramatique, le drame et le drame psychologique (on remarquera en plus la proximité d’au moins deux genres parmi ces quatre). Une concentration qui se fait aux dépens d’autres genres tels que le film d’animation ou le documentaire.

    Côté demande, la diversité est encore plus problématique. La part de marché du film français dans les entrées était en 2015 de 35,2%, en net recul par rapport à l’année précédente (certes exceptionnelle) et en retrait par rapport à la moyenne des dix dernières années de 39,3 %. Le reste constituant, pour l’essentiel, la masse honnie des films venus d’outre-Atlantique, celle précisément qu’il s’agit en théorie de contrecarrer. Si les films produits en France foisonnent (plus de 200 par an), seuls une poignée trouvent leur public. Un grand nombre de films restent absolument confidentiels : en 2010 en France, sur 575 films sortis en salles, 55% (317) ont été des échecs commerciaux avec moins de 50 000 entrées. En 2011, 63% des films français (113 sur 178) n’atteignaient pas la barre des 100 000 entrées13.

    Le nombre remarquable d’entrées cache une concentration accentuée sur quelques grands blockbusters. Année après année, c’est l’immense succès populaire d’un ou deux films (par exemple Bienvenus chez les Ch’tis, Intouchables, Qu’est-ce qu’on a fait au bon Dieu ? etc.) qui permet d’atteindre des sommets de fréquentation. Et cette concentration a tendance à s’accentuer. Seuls deux films français ont réalisé en 2015 plus de trois millions d’entrées contre quatre en 2014. Six films français réalisaient plus de deux millions d’entrées en 2013 contre dix en 2014. Cette même année, les dix films français les plus performants généraient 43,9 % des entrées totales des films français de long métrage, contre 30,5 % en 2013.? Sur les 7035 films projetés en France en 2014, les 100 premiers (soit 1,4% du total) réalisent 75% des entrées !

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  26. Cette concentration est aussi en constante accentuation en ce qui concerne la consommation de vidéo à la demande (Vàd). En 2014, le marché du film en paiement à l’acte était plus concentré qu’en 2013 : les 10 premiers films représentaient 15,1 % des ventes en valeur en 2014, contre 10,9 % en 2013.

    Ce problème de la concentration des consommations permet aussi de nuancer les bons chiffres de l’exportation des films français, censés prouver le rayonnement de notre culture dans le monde. Ces chiffres sont surtout tirés, comme dans l’Hexagone, par quelques grands succès populaires. Plus des deux tiers des entrées (69,6 %) des films français à l’étranger restent concentrées, en 2014, sur les 5 premiers titres du classement. De même, le marché de l’exportation reste très concentré, les trois premières sociétés d’exportation concentrant 62,4 % des recettes encaissées pour la vente de films français à l’étranger en 2013 (64,6 % en 2012). Ce phénomène appelle deux commentaires.

    Tout d’abord, la concentration traduit l’échec relatif de l’objectif de démocratisation des consommations (au sens de la diffusion des œuvres les plus diverses auprès d’une partie la plus large possible de la population). La concentration des consommations de cinéma est en effet plus concentrée encore que celle d’un bien culturel tel que le livre (en 2013, 13% des nouveaux livres représentaient 44,3% des ventes de nouveaux livres14).

    D’autre part, le succès populaire de certains grands films sciemment « calibrés » à cet effet pose la question de la nécessité d’un mécanisme de soutien. Ces films populaires n’ont rien à envier, par leur dimension commerciale, aux films américains. Pour quelle raison ne devrait-on pas laisser le producteur, qui ramasse les bénéfices le cas échéant, « prendre son risque » ? On le verra plus loin, le système actuel ôte ce risque tout en laissant les gains en cas de succès. Certains films pourraient ainsi devenir, horresco referens, des produits comme les autres faisant appel à la prise de risque d’investisseurs ! Cela permettrait de concentrer les aides sur des films… culturellement plus exigeants. Les films recommandés arts et essai, justement, voient leur fréquentation reculer presque chaque année. Alors qu’ils représentaient 34,8% des entrées en 2005, ils n’en représentent en 2014 plus que 21,3% (avec 43,83 millions d’entrées). Et encore ce chiffre inclut-il les entrées du Loup de Wall Street, de Martin Scorsese, recommandé « Art et Essai » ! C’était en 2004 aussi le cas du film Shrek… Le statut de film d’art et essai, qui ouvre droit à des aides particulières du CNC, est en réalité très large : 60% des films inédits chaque année en bénéficient en moyenne. Ce qui n’empêche pas la faible fréquentation qu’ils atteignent, comme on vient de le rappeler.

    Autre aspect de la faible diversité du cinéma côté demande : le public des salles de cinéma reste peu représentatif de la population française. La fréquentation des salles varie selon les dimensions sociologiques et économiques des personnes. Les populations de catégories socioprofessionnelles inférieures (CSP-) ont plus de mal à accéder au cinéma. La population? des catégories socioprofessionnelles supérieures (CSP+) demeure la plus largement concernée par le cinéma avec une importante pénétration (76 % d’entre eux vont au moins une fois au cinéma en 2014, contre 74,1 %? en 2013). En revanche, seules 58,5% des CSP- fréquentaient les salles de cinéma en 2014 (57,6% en 2013). Alors que les CSP+ iront en moyenne 6,3 fois au cinéma dans l’année, les CSP- n’iront que 4,4 fois. Logiquement, les CSP+ sont aussi plus nombreux à faire partie du public régulier que les CSP-.

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  27. La fréquentation est beaucoup plus importante dans les grandes villes, tant en termes de taux de pénétration que de nombre moyen d’entrées. Ce phénomène est sans doute accentué par la concentration progressive du parc de salles qui voit les petites exploitations fermées au profit de multiplex, comme nous avions pu le souligner dans une étude rédigée en 201015. Par définition situés dans des zones plus densément peuplées, ces multiplex renforcent l’inégalité d’accès aux salles entre les territoires.

    Les objectifs fondamentaux du dispositif d’aide au cinéma sont donc très loin d’être parfaitement atteints. L’insistance habituelle sur les chiffres rassurants d’une offre foisonnante cache la réalité d’une concentration de la consommation sur les grosses machines populaires et d’une pénétration extrêmement faible d’une part très majoritaire de l’offre culturelle produite de façon volontariste.

    Si naturellement le fait même de permettre à ces nombreuses œuvres « plus exigeantes » d’exister fait partie du projet de soutien culturel, on peut tout de même s’interroger sur la limite à partir de laquelle on sort du soutien légitime pour rentrer dans la surproduction artificielle de biens « culturels » qui ne rencontrent aucune demande. Clamer, comme le font les thuriféraires inconditionnels de la production aidée, qu’en faire le plus possible est le seul horizon valable, c’est ouvrir la porte à une inflation sans limite des dépenses culturelles. Nous y reviendrons.

    Les préoccupantes dérives du système

    Pour achever cette (rapide) analyse de la situation du cinéma français, nous ne pouvons pas manquer de signaler que notre système, aussi régulé qu’il soit, n’échappe pas aux dérives que peuvent connaître les marchés libres du cinéma (et parfois même les accentue !). Ces problèmes ont été notamment dénoncés par le groupe de travail dénommé Club des 1316 : formatage des scénarios et limitation des comédiens à quelques noms connus.

    Comme le note Zajdenweber17, la multiplication des franchises (les James Bond ; La vérité si je mens 1, 2, 3 ; Madagascar 1, 2, 3 ; Spider-Man, etc.) sont une réponse classique au risque des investisseurs raisonnables dans l’industrie du cinéma. Ces derniers souhaitent réduire le risque d’échec et choisissent des films dont le succès initial semble pouvoir rendre moins incertain le succès futur. Le formatage des scénarios, qui provoque une standardisation relative des œuvres, est aussi une réalité du cinéma français. Les chaînes de télévision payantes ou gratuites ayant des obligations de financement de films cherchent à minimiser le risque de pertes en misant avant tout sur des films présentant de meilleures chances de réussir. Ils auront ainsi une valeur publicitaire (dans le cas des chaînes gratuites) et une capacité d’attraction d’abonnés (pour les payantes) plus grandes. C’est pourquoi Canal Plus, par exemple, investit avant tout dans des films coûteux (en 2014, leur devis moyen était de 6,67 millions d’euros), ceux qui généralement sont voués à maximiser la probabilité de succès.

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  28. L’inflation des salaires des acteurs est une autre conséquence de cette logique de minimisation du risque. Elle avait été dénoncée en 2012 par une tribune signée par le producteur Vincent Maraval18 qui avait fait scandale. Ce dernier y stigmatisait les montants exagérés des cachets des acteurs français par rapport à leurs collègues étrangers. Cette inflation est un effet pervers du système de protection du cinéma : l’obligation de financement des chaînes, qui est assimilable à des subventions indirectes (en complément des subventions directes dont bénéficie aussi le cinéma), contraint celles-ci, pour limiter le coût final de cette obligation, à farcir leurs films des acteurs « bankable ». Autrement dit ceux dont la notoriété améliore les chances d’un film d’obtenir de bons résultats. C’est aussi à ce terrible mécanisme enfanté par l’obligation d’investir que l’on doit l’omniprésence d’une poignée d’acteurs français, toujours les mêmes, qui se partagent les rôles films après films, parfois de génération en génération.

    2. Le bannissement du marché : la cause fondamentale de l’erreur française en matière culturelle

    L’inflation des cachets des acteurs, supportée par les spectateurs (via la taxe sur les billets) et les consommateurs (via tous les autres prélèvements associés), n’est qu’un des effets pervers d’un système de soutien au cinéma fondé sur la neutralisation méthodique de presque tous les mécanismes de marché.

    Une rupture trop radicale entre offre et demande

    Au prétexte que la demande ne donne pas toujours les bons signaux à l’offre en matière culturelle, on a décidé qu’en France la demande culturelle ne devait jamais influencer, conditionner ou limiter l’offre. On a systématiquement cassé les liens naturels entre les deux : le prix, la quantité demandée et les coûts de production ont été rendus indépendants.

    Les films français sont aujourd’hui presque tous produits grâce à un préfinancement à 100% des frais. Autrement dit, le producteur ne prend aucun risque lorsqu’il produit un film, mais engrange en revanche les bénéfices en cas de succès. Le système est ainsi profondément déresponsabilisant et pervers puisque les producteurs sont couverts contre le risque d’échec mais bénéficient en revanche des succès. Mutualisation des pertes et privatisation des bénéfices… cela rappelle précisément ce que l’on a beaucoup reproché aux banques au plus fort de la crise financière !

    Une étude19 réalisée en 2005 montrait que, sur les 162 films produits cette année-là, seuls 15 films avaient recouvré leurs dépenses de production et de distribution sur l’ensemble des premières exploitations. Une autre étude réalisée par le CNC en 2013 a montré que sur les 200 films sortis cette année-là, seuls 20 étaient rentables, c’est-à-dire 10%. Aucun film français ayant dépensé un budget de plus de 10 millions d’euros ne rentrait dans ses frais.

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  29. Comment est financé ce déficit ? D’une part, par les acteurs privés (notamment les chaînes de télévision via leurs obligations d’investissement) ; d’autre part, par les contribuables via la redevance, le crédit d’impôt, les aides régionales et les outils de défiscalisation (SOFICA). Comment ne pas penser à la phrase de Bastiat : l’intervention des salaires vient « ébrécher le salaire de l’artisan pour constituer un supplément de profit à l’artiste20 » ?

    Déjà, en 1951, Pierre Cheret dénonçait le comportement des producteurs français qui « n’entreprennent de films nouveaux qu’à condition de trouver une combinaison financière leur permettant d’éviter de prendre personnellement un risque, celui-ci se trouvant reporté sur ceux auxquels il fait appel21 ». Ainsi, le producteur n’a plus à se préoccuper de rentabiliser son film en aval pour amortir les coûts. Cluzel et Cerutti22 condamnent le passage d’une « logique de risque » à une « logique de préfinancement » qui transfère tout risque sur les partenaires, notamment les chaînes de télévision. La place centrale donnée aux préachats de films dans le financement de cette industrie permet ainsi d’omettre complètement le rôle de l’exploitation en salle et de la fréquentation.

    Ce système trouve son expression la plus évidente dans la tendance à l’augmentation des coûts du devis23. Le coût médian d’un film a connu plus d’une décennie d’augmentation à partir de 2002. Le devis médian est ainsi en augmentation quasi constante, atteignant 3,73 millions d’euros en 2011 contre 2,82 millions au début des années 2000. De plus, entre 2002 et 2011, l’investissement dans les films d’initiative française a augmenté de 5,1% par an en moyenne. Les années 2013 et 2014, notons-le malgré tout, ont marqué un certain recul du niveau médian des devis passant sous la barre des 3 millions d’euros.

    L’augmentation du coût des films est clairement liée au système de soutien lui-même. Selon Creton24, cette augmentation est en effet due, en partie, à l’arrivée de Canal Plus à partir de 1984. L’irruption d’un acteur bénéficiant d’un privilège de diffusion en échange d’une participation importante au financement a créé une prospérité favorisant l’augmentation des devis. Autrement dit, l’existence d’un guichet généreux a encouragé au gonflement des dépenses de création.

    De plus, comme le notait Bargès25, les devis semblent gonflés pour de multiples raisons (« faciliter l’obtention des prêts bancaires, des subventions de l’État ou provoquer un effet d’annonce publicitaire, les films à gros budget paraissant plus sérieux vis-à-vis des partenaires ») mais sont aussi la traduction d’une stratégie de la part des producteurs qui ont intérêt à gonfler le budget afin de minimiser leur apport personnel. Forest26 démontre ainsi la présence d’une proportion de films surfinancés, c’est-à-dire dont le taux de couverture est supérieur à 100%. L’intérêt du surfinancement est qu’il est récupéré par les producteurs s’ils ne sont pas dépensés…

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  30. Ce système de soutien a ainsi entraîné une déresponsabilisation complète du producteur qui, alors qu’il devrait favoriser la commercialisation et le succès de son film, ne repose que sur le préfinancement de gros distributeurs. L’incitation à la création laisse place à la rente : là où tous les producteurs du monde cherchent à amortir les coûts d’un film par son exploitation, il s’agit en France de savoir mobiliser les financements ad hoc. L’industrie du cinéma n’apparaît alors plus comme un secteur « aidé » mais, de façon bien plus radicale, comme une filière entièrement subventionnée, en décalage complet par rapport à son marché, privilégiant un petit nombre de professionnels n’ayant plus à se soucier des films qu’ils produisent, car le système permet d’accumuler les échecs en faisant payer les pertes aux partenaires.

    Cette barrière consciemment édifiée entre la réception d’un film par le public et le moment de sa production a, répétons-le, une justification bien connue : les œuvres culturelles ne doivent pas être bridées par de basses questions d’argent (au risque de perdre un chef-d’œuvre). Le problème de la rentabilité ne doit pas se poser. « Ce qui a un prix, écrivait Nietzsche, n’a pas de valeur » ; les bâtisseurs de notre politique culturelle semblent en avoir tiré la conclusion que, parce qu’elle a une valeur immense, la culture ne devait pas avoir de prix du tout !

    Le corollaire de ce rejet du rôle structurant que joue normalement le prix est le mépris envers la demande. L’expression artistique étant supposée être entièrement libre, ou plutôt n’avoir pour seul guide que la voix des Muses, quiconque prétendrait l’influencer commettrait un crime de lèse-culture. Fut-il le public lui-même. Pourtant, si la dépendance exclusive à des goûts et demande du grand public est un frein à la création, on peut réellement se demander si la déconnexion totale (ou presque) entre la réalisation d’une œuvre cinématographique et la nécessité de trouver un public n’est pas également problématique. Elle prend notamment la forme de la logique de l’éléphant blanc bien connue des économistes : un mécanisme pervers où l’absence de frein à la dépense favorise l’inflation des coûts sans rapport avec les besoins et sans efficacité quelconque en retour.

    L’augmentation très importante du budget du CNC, largement provoquée par l’abondement des taxes versées par les fournisseurs d’accès à internet, avait créé la polémique en 2011. Elle a mis en lumière de façon assez crue le caractère avant tout quantitatif, et pourtant limité, des objectifs du CNC. La rationalité implicite de son fonctionnement paraît en effet être d’augmenter autant que possible les moyens consacrés au cinéma, sans égard aux logiques propres des acteurs économiques qui sont mis à contribution pour dégager ce financement, et de maximiser le nombre de films tournés en France, sans égard au public qu’ils rencontrent. La logique paraît inversée par rapport à la rationalité gestionnaire classique : au lieu de fixer des objectifs et de mobiliser les ressources nécessaires pour les atteindre, le CNC agit comme s’il s’agissait de mobiliser un maximum de ressources, et ensuite de se poser la question de la meilleure façon de les dépenser.

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  31. Cette logique nous semble pouvoir être questionnée : les justifications économiques des investissements culturels en termes d’externalités ou les considérations philosophiques concernant le rayonnement culturel doivent-elles justifier une escalade infinie des dépenses ? Une réflexion en termes d’efficacité d’allocation des ressources est-elle forcément nuisible à la politique culturelle ? Ne pourrait-on concevoir que la maximisation des sommes consacrées au cinéma ne soit pas nécessairement le facteur déterminant de l’atteinte des objectifs de la politique culturelle en faveur de ce même cinéma ? Pourquoi serait-il nécessaire de maximiser le nombre de films produits ? Une sélection plus serrée, plus « qualifiée » permettrait de faire des films atteignant non seulement l’objectif de diversité de l’expression mais encore celui d’impact auprès des populations27. Mais cette idée de sélection n’est pas elle-même exempte de faille : elle est à notre sens le second grand problème de notre système d’aide au cinéma.

    En préférant le choix public au marché, on substitue l’arbitraire à la contrainte économique

    Hier comme aujourd’hui, le contrôle de l’expression artistique a surtout été, de la part d’un pouvoir quel qu’il soit, un puissant outil de contrôle idéologique et politique. Outil d’autant plus pernicieux qu’il prétend être neutre. En admettant pourtant que le soutien à la « culture » soit réalisé de bonne foi, sans arrière-pensée contrôlante, il n’échappe pas aux travers habituels des politiques publiques, analysés notamment par l’école du Public Choice : phénomènes de corruption, de clientélisme, d’abus de pouvoir et de détournement des ressources au profit d’intérêts catégoriels28.

    Subventionner une association culturelle, un spectacle, c’est toujours faire un choix. Ce choix n’est jamais neutre : il détermine la forme, les intervenants, les modalités, quand ce n’est pas les thèmes de l’œuvre. Ce moment du choix, même réalisé par des « experts » (désignés tels) est toujours problématique. Cette dimension subjective, voire purement arbitraire, du choix d’un artiste était autrefois assumée. Mécène a choisi de soutenir Horace ou Virgile plutôt que d’autres poètes. Louis XIV a choisi d’octroyer à Lully le monopole de la musique théâtrale en 1672, bridant les capacités d’expression de bataillons d’autres artistes… Les puissants d’hier n’avaient pas d’autre justification à apporter que leur bon vouloir ou leur goût. Nos institutions d’aujourd’hui prétendent choisir pour nous, mais quelles que soient leur bonne volonté, elles apportent juste la subjectivité individuelle de ceux qui sont chargés de choisir.

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  32. En admettant encore (supposition de plus en plus invraisemblable) que ces phénomènes de confiscation de la culture au profit de quelques uns n’aient pas lieu, le système n’en serait pas pour autant vertueux. La création est la victime paradoxale d’un système de soutien tel que celui dont bénéficie le cinéma. Fumaroli remarquait que l’intervention de l’État fait disparaître le goût, l’individualité et le jugement dont dépend la qualité artistique. Elle le remplace soit par un conformisme étouffant, soit par une poursuite du bizarre29. La déconnexion quasi-totale d’avec le marché favorise des formes nombrilistes d’art, un fonctionnement autarcique et auto-référentiel. L’écrivain péruvien Vargas Llosa écrit : « Le despotisme éclairé, la censure, la prohibition, le monopole, les prérogatives de certains bureaucrates, politiciens ou sages, pour décider par eux-mêmes ce que les autres doivent lire, écouter ou voir, ne résout pas le problème [de la non-coïncidence entre valeur commerciale et valeur artistique] ; il l’aggrave plutôt. Car rien ne corrompt et n’affaiblit autant un travail créatif de tout ordre que le parasitisme étatique30 ». Toute institution gèle les formes artistiques, cristallise les expressions, en privilégie certaines aux dépens des formes les plus novatrices. Si la politique culturelle avait existé avant le XXème siècle, peut-être le cinéma ne se serait-il jamais développé : son développement aurait été étouffé au profit des formes artistiques traditionnelles accaparant les financements et les publics (l’opéra, le théâtre…). De la même façon, on pourrait peut-être dire aujourd’hui que la sacralisation du livre freine l’émergence de formes hybrides, que le droit ne sait pas bien appréhender, où l’image (animée ou non), les textes et les auteurs se mêleraient pour bâtir un objet évolutif qui ne rentre dans aucune catégorie dûment répertoriée.

    Conclusion : la nécessité de refonder les sources de financement du cinéma à l’ère numérique

    Le mot « culture », on le sait, a deux sens assez différents. Dans la première acception, il désigne l’ensemble des productions humaines qui témoignent de la façon particulière d’être au monde d’un groupe d’individus ; dans l’autre, il fait référence aux productions les plus remarquables du génie humain, donc à une sous-partie très limitée des productions humaines. En promouvant une confusion entre les deux sens (aucune œuvre ne devant être jugée plus digne qu’une autre), le relativisme culturel a provoqué comme dommage collatéral la possibilité d’extension infinie du domaine de l’action culturelle publique.

    Comme l’art, la culture a subi un double mouvement de confiscation-gazéification : non seulement il appartient à des entités (le plus souvent publiques) de déterminer ce qui est « art » ou « culture », mais encore le champ potentiel des phénomènes ainsi qualifiés n’a virtuellement plus aucune limite. Est désormais « art » ou « culture » ce qu’une institution ou une personne légitimée par le système juge tel. Le pouvoir arbitraire des institutions publiques spécialement créées pour contrôler la culture est ainsi maximal, puisqu’aucune barrière n’est opposée à leur choix d’encourager (de toutes les façons possibles) certaines formes d’expression.

    L’autre grand avantage de cette confusion organisée entre les deux acceptions du mot « culture » (la seconde étant dissoute dans la première), c’est qu’elle permet de cacher l’échec de la transmission des savoirs culturels ayant le plus de valeur grâce au rideau de fumée d’événements médiatiques aussi spectaculaires que superficiels. La fête de la musique, typiquement, tente de faire oublier la faiblesse extrême de l’enseignement musical à l’école.

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  33. Dans le cas précis du cinéma, le choix souverain de la bureaucratie culturelle se traduit aujourd’hui par une crispation sur une forme d’expression (le long-métrage cinématographique) et sur ses formes traditionnelles de diffusion (la salle). Il ne nous appartient pas de juger de la pertinence de ce choix. Soulignons seulement encore une fois que, comme toute protection d’une expression particulière, elle est réalisée aux dépens de l’émergence et du développement de formes alternatives. Imaginons que si l’équivalent du CNC avait existé au XIXème siècle, on continuerait aujourd’hui à produire à marche forcée (et à fonds perdus) des quantités d’opéras et d’opérettes que personne n’irait voir…

    Plus grave encore : cette crispation est aussi, à terme, un choix suicidaire pour le film lui-même. Le système de soutien au cinéma, qui génère tant de confort pour les acteurs (c’est le cas de le dire !) en place, est à l’heure actuelle un frein au développement de nouvelles formes de financement.

    L’industrie du cinéma doit se rendre compte que l’ère numérique dans laquelle nous entrons va totalement bouleverser l’économie de l’exploitation cinématographique. Les comportements de consommation de l’image ne sont déjà plus les mêmes, et une grande partie du modèle actuel ne tient finalement que grâce à la relative inertie des générations les plus âgées. Si l’on projette sur une population entière les habitudes qui sont déjà celles des moins de vingt ans, on comprend que l’équilibre économique du système actuel, déjà fragile, est condamné.

    À terme, la consommation entièrement délinéarisée (à la demande) sera la règle. Elle se fera sur internet, c’est-à-dire sans aucune captivité envers des diffuseurs particuliers (la création de chaînes sur les hébergeurs de contenus tels que YouTube se fait sans barrière comparable à celle du nombre limité de fréquences). Il est probable que la place relative de la salle dans les recettes tende à diminuer au profit des multiples formes de consommation en vidéo à la demande. C’est certes une mauvaise nouvelle pour l’écosystème actuel de l’audiovisuel, mais c’est aussi une formidable opportunité : la fenêtre d’exploitation du film va devenir virtuellement infinie, ouvrant des opportunités de rentabilisation et de diffusion des œuvres beaucoup plus diversifiées et plus longues.

    Mais pour que les films français puissent bénéficier du nouvel ordre numérique et trouver un équilibre plus sain, le système de financement du cinéma doit refaire une place aux questions de rentabilité et au marché.

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  34. L’ensemble du mécanisme de pompage des ressources mises au service du cinéma (qui ne sont que des formes de fiscalité additionnelles) doit être repensé, en libérant en particulier les chaînes de télévision de ces paradoxales obligations de productions qui leur interdisent en même temps de devenir propriétaires de l’œuvre financée. Ce point est essentiel, puisqu’en pratique ce sont ces chaînes, en particulier Canal Plus, qui financent le cinéma français à travers leurs préachats (et en moindre part leur coproduction). Or le film n’a plus pour la télévision la même valeur qu’il y a quarante ans ; ne pas l’accepter, c’est non seulement conserver des obligations obsolètes qui produisent les effets pervers dont nous avons parlé, mais aussi s’interdire de développer pour le film de nouvelles plateformes de financement. Cela ne veut pas dire d’ailleurs que les chaînes de télévision n’auraient pas intérêt à produire des films : elles le feraient d’autant plus volontiers que serait levée l’interdiction fondamentale qui leur est faite d’être aussi productrices et propriétaires des contenus produits. À cette condition ils auront intérêt à troquer une attitude frileuse axée sur le seul marché national, pour une capacité de création et de valorisation de l’œuvre à l’international.

    Les pouvoirs publics, de façon générale, doivent cesser de justifier par « l’exception culturelle » ce qui n’est au fond qu’une abdication face à des lobbies défendant leurs rentes.

    Nos propositions :

    1. Supprimer le système actuel de soutien au cinéma afin de donner sa place au marché et permettre l’émergence d’acteurs privés assumant leurs risques, soucieux d’être en phase avec la demande et capables ainsi de tirer l’industrie française de l’image vers son indispensable modernisation.

    2. Favoriser la diversification des leviers de monétisation et le rayonnement international des films en levant notamment les barrières réglementaires à l’acquisition de droits complets par les chaînes productrices des œuvres.

    3. Créer un « chèque culture » pour répondre au problème du financement des activités culturelles les moins susceptibles d’atteindre la rentabilité économique par elles-mêmes tout en évitant le problème de la sélection :

    – Chaque Français disposerait d’un crédit (sur une base annuelle ou mensuelle) qu’il utiliserait pour la consommation culturelle de son choix (cinéma, opéra, théâtre, etc.).

    – Les activités culturelles seraient ainsi toujours soutenues par l’État, mais de façon indirecte, leur financement étant dépendant d’une cohérence avec la demande réelle.

    Des mécanismes de compensation de déficits, sur une période limitée, pourraient être prévus pour permettre la montée en puissance de nouvelles propositions culturelles.

    – La consommation culturelle serait facilitée et encouragée, mais sans être déterminée ou contrainte, par ce crédit ouvert à tous. Elle deviendrait aussi pour chacun un geste de soutien manifestant et renforçant l’attachement à une expression culturelle, un lieu, un artiste, sans qu’aucun expert n’ait pu préempter ce choix.

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  35. Références citées

    Babeau, Olivier, Le livre blanc des salles obscures, Fédération nationale des cinémas français, 75 p., 2010.
    Baumol W.J. et Bowen W.G., Performing arts. The economic dilemma, MIT Press, Cambridge (Mass.), 1966.
    Barges, E. Impact de la multiplication des modes de diffusion sur le financement des films français, Thèse de doctorat non publiée, Septembre 2007.
    Bastiat, Frédéric. Ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas. 1869.
    Bomsel, Olivier et Célie Chamaret, « Rentabilité des investissements dans les films français », Note de recherche (Cerna, octobre 2008).
    Cheret P., La crise de surproduction cinématographique française. Ses origines, ses causes, les mesures susceptibles d’y remédier, CNC, 1951.
    Creton L., L’économie du cinéma en 50 fiches, Armand Colin, 2011, p.92.
    De Kerros, Aude. L’art caché : Les dissidents de l’art contemporain-Des révélations inédites sur l’art actuel. Éditions Eyrolles, 2013.
    Farchy, Joëlle, Et pourtant ils tournent… Économie du cinéma à l’ère numérique, Ina éditions, 150 p., 2011.
    Forest C., L’argent du cinéma. Introduction à l’économie du septième art, Éditions Belin, 2002.
    Fumaroli, Marc. L’État culturel : Essai sur une religion moderne. Éditions de Fallois, 1991.
    L’ Annuel du cinéma, 2005.
    Laine, Mathieu, Dictionnaire du Libéralisme, Larousse, 2012.
    Laurent, Alain et Valentin Vincent, Les penseurs libéraux, Les Belles Lettres, 2012.
    Cluzel Jean-Paul et Guillaume Cerutti, Rapport de la mission de réflexion et de propositions sur le cinéma français, ministère de l’Économie et des finances, 1992.
    Vargas Llosa, Mario, « L’exception culturelle ? », in Laurent, Alain et Valentin Vincent, Les penseurs libéraux, Les Belles Lettres, 2012, p.629.
    Zajdenweber, Daniel, « Une approche statistique du risque au cinéma : la répartition du box-office », Revue Risques, n°90, juin 2012.

    Ancien élève de l’ENS Cachan, diplômé de l’ESCP, agrégé d’économie, diplômé de troisième cycle en philosophie et économie, docteur en gestion et agrégé des Universités en sciences de gestion, Olivier Babeau est aujourd’hui professeur de stratégie d’entreprise à l’université de Bordeaux. Il a également enseigné à Sciences Po, l’ENA, l’ESSEC, les universités de Dauphine, Paris II Assas, Paris X Nanterre, Paris VIII Saint-Denis, etc. Il a occupé par le passé des fonctions de conseiller en cabinet ministériel, de consultant en stratégie et s’exprime régulièrement dans les média. Il a publié plusieurs livres dont « Le Management expliqué par l’art » (Ellipses, 2013) et « La Nouvelle Ferme des animaux » (Les Belles Lettres, 2016).

    http://www.contrepoints.org/2016/02/13/238706-soutien-public-au-cinema-francais-lanalyse-interdite

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    1. Dans le 'donneur de leçon' l'Etat s'impose en 'maître' qui dicte ses idées sans jamais avoir fait les moindres études du quoi il parle ! Après les repoussantes provocations et imbécillités du 'COP21' (interdit aux scientifiques à l'intérieur comme à manifester à l'extérieur !!), le voila tourné vers: le cinéma !

      Après les navrantes constatations où 95% des films visionnés imposent la vue d'hommes portant la barbe (même dans les premiers rôles !) alors que dans la rue il y a moins de 1 % des hommes qui sont barbus ! Tel est le reflet de l'Etat sur la société !

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  36. « Autocratie » vs « démocratie »: superbes photos de la plus grande ville de la Syrie avant et après

    Soumis par Tyler Durden le 13/02/2016 19:44 -0500

    Comme nous avons documenté l'automne dernier dans "Syrie Showdown : Russie, Iran Rallye Forces, US réarme rebelles comme « Promis » bataille pour Alep commence, « plus grande ville de la Syrie a été parmi les plus durement touchées des centres urbains du pays au cours des cinq dernières années.

    Newsweek documenté la destruction dans une série d'images austères et profondément indélébiles en 2012, peut-être le plus frappant de qui était le suivant :

    - voir photos sur site -

    Reprenant la ville est essentiel au rétablissement d'emprise du Bachar al-Assad sur le pouvoir.

    Si Alep est libéré, la rébellion sera écrasée tout sauf. Alaouite le gouvernement contrôlerait une fois de plus fédérateur urbain du pays dans l'Ouest et, plus important encore dans une perspective de la situation dans son ensemble, l'Iran aurait marqué une victoire décisive dans les efforts pour préserver le croissant chiite pour ne pas mentionner ses lignes d'approvisionnement du Hezbollah.

    De même, une victoire à Alep invaliderait nous revendications que Vladimir Putin était destiné à obtenir de Moscou dans un « bourbier » en Syrie et que les russes pourraient marquer un grand coup de géopolitique en remplaçant efficacement les USA comme maître de marionnettes de superpuissance du Moyen-Orient.

    En ce qui concerne les monarchies du Golfe, la disparition de l'insurrection sunnite en Syrie serait un coup amer. L'effort pour faire reculer influence iranienne restera pour toujours dans les mémoires comme un échec lamentable et Téhéran marquerai sectaire de se vanter sur Riyad, tout comme la levée des sanctions internationales et les rampes d'Iran jusqu'à la production de brut.

    La bataille pour la ville que Quds commandant Qassem Soleimani lui-même supervisé les étapes initiales de la pousser au nord de Lattaquié avant de disparaître dans les airs en novembre seulement de refaire surface deux jours lors d'un rassemblement célébrant la révolution islamique est tellement importante.

    Maintenant que les yeux du monde sont sur Alep qui pourrait bien entrer dans l'histoire comme le lieu où la troisième guerre mondiale a commencé, nous avons jugé opportun de vous apporter ce qui suit avant et après les images qui illustrent ce que la vie était comme dans la ville sous la "dictature brutale" de Bachar al-Assad, et ce que la vie ressemble maintenant que les États-Unis a exporté la démocratie en Syrie.

    Autocratie :
    - voir photos sur site -
    Démocratie :
    - voir photos sur site -
    Autocratie :
    - voir photos sur site -
    Démocratie :
    - voir photos sur site -
    Autocratie :
    - voir photos sur site -
    Démocratie :
    - voir photos sur site -
    Autocratie :
    - voir photos sur site -
    Démocratie :
    - voir photos sur site -
    Autocratie :
    - voir photos sur site -
    Démocratie :
    - voir photos sur site -
    « Yes we can »... détruire l'ensemble du Moyen-Orient...

    http://www.zerohedge.com/news/2016-02-13/autocracy-vs-democracy-stunning-and-after-pictures-syrias-largest-city

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    1. C'est dans ce qui pourrait s'appeler "L'Europe en 2016" !

      Lors de la dernière guerre en France, elle n'était pas sous "l'occupation" mais seulement envahie de 'réfugiés' !

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  37. Parents maintenant être jetés en prison en Amérique pour Homeschooling leurs enfants


    12 février 2016
    NaturalNews réseau
    par J. D. Heyes


    L'Amérique l'État policier est devenu un labyrinthe de règles, de règlements et de mandats, dont le montant est impossible de savoir, et encore moins de se conformer à. Mais vous savez, ça ol ' excuse « nul n'est censé ignorer la loi » brandi par les victoires de bureaucrates anonymes, non élus à chaque fois contre le citoyen pauvre, impuissant. En fait, certains américains croient cyniquement que les règles sont presque impossibles de se conformer, et qu'ils sont écrits comme ça exprès pour justifier la taille, la portée et la puissance de l'État.

    C'est ce qui semble être le cas dans l'Ohio, dont gouverneur républicain, John Kasich, veut être le prochain président des États-Unis d'Amérique. Département de l'état de l'éducation est si rigoureusement absurde, que faute d'un morceau de papier, elle cherche en prison les parents qui osent enseigner à leurs enfants.

    Tel que rapporté par Off The Grid News, deux foyers distincts que homeschool leurs enfants sont confrontés à des peines d'emprisonnement et des milliers de dollars en amendes et frais, pour à peine manquant état des échéances qui elles savaient rien.

    Les frais sont aussi ridicules que les dépôts – « contribuant à la délinquance d'un mineur, » malgré le fait que les nounous État reconnu les enfants était en effet étant scolarisés à la maison, dans les programmes d'éducation parentale qui fonctionnaires a reconnu plus tard satisfait aux exigences de l'État.

    Le système scolaire de l'État affirme que les parents n'ont donné leur notification appropriée, en temps opportune, que leurs enfants n'assisteraient pas à public school [une exigence selon laquelle seulement un penseur totalitaire pourrait aimer]. Mais en mode méprisante, plutôt que d'aviser les parents de leur dépôt de paperasserie délinquante, responsables de l'éducation laisse des enfants « absences de l'école publique Mont pendant près d'un mois, et qu'ils pourraient faire des accusations criminelles contre eux, selon Peter Kamakawiwoole de l'accueil école Legal Defense Association (HSLDA).

    Coupable de... manque de paperasse

    Justification de l'emploi, vous voyez. Maintenant Regardez-ne soyez pas surpris si la prochaine étape concerne l'état d'intervenir et d'enlever les enfants dans les maisons de ces « criminels ».

    La plupart du temps dans tout le pays, l'avocat a déclaré que, "si la famille résout le problème rapidement, fonctionnaires de l'Etat rarement poursuivent plus loin l'action — comme les poursuites pénales — contre les parents. Sauf si vous arrivez à vivre dans l'Ohio. »

    Kamakawiwoole a ajouté que les deux familles étaient relativement nouveau à homeschooling lois dans l'état de Buckeye.

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  38. « Une famille a déposé un avis d'intention quand ils ont commencé à homeschooling l'an dernier, mais ne savent pas qu'ils devaient déposer un autre avis pour cette année scolaire, » Kamakawiwoole a écrit [et pourquoi pas l'État éducation nounous dites-leur dont ils avaient besoin de déposer de nouveau ?]. « L'autre famille a déposé leur avis annuel d'intention, mais n'a pas soumis à une évaluation de l'éducation avec leur avis parce qu'ils ne le n'avaient pas encore terminé et avaient dit de leur district scolaire qu'il n'y avait aucun date limite pour la soumission de l'évaluation. »

    Donc, ils ont reçu des informations erronées par les responsables de l'école et sont actuellement en cours à souffrir pour elle.

    Kamakawiwoole a maintenu que les responsables de l'éducation d'État qui sont payés par les contribuables de l'État avaient l'obligation de communiquer avec les familles lorsque les absences ont commencé à monter.

    « Disproportionné et draconiennes »

    « Dès que les deux familles s'est rendu compte de leurs erreurs, ils ont pris des mesures pour se conformer aux exigences de leurs districts, » écrit-il. "Après avoir déposé les documents, les deux familles a reçu une lettre de leur surintendant vérifier que leur programme homeschool est en conformité avec la Loi de l'État pour l'année 2015-2016."

    Toutefois, le district scolaire a alors introduit des accusations criminelles – qui doit transporter un maximum de 1 000 $ en amendes, et six mois dans la prison du comté, pour ne pas mentionner ce qui est une sorte de durée effet une telle condamnation pourrait avoir sur les autres droits constitutionnels (comme la possession d'armes).

    Toutefois, « chaque jour qu'un enfant "truant" peut être considéré comme une infraction distincte, » Kamakawiwoole dit que, pour moyens prison temps et amendes pourraient monter rapidement.

    "Il n'y a aucun doute que homeschooling familles doivent répondre à diverses exigences de dépôt dans l'Ohio, et le but premier de cette loi est de traiter avec les parents qui ignorent leurs responsabilités pour diriger l'éducation et l'éducation de leurs enfants", a écrit Kamakawiwoole. "Mais ce n'est pas ce qui se passe ici. Lorsque les écoles utilisent ce statut pour poursuivre les familles pour ce qui équivaut à une simple erreur d'écriture, la réponse est disproportionnée et draconienne. »

    Sources :

    OffTheGridNews.com
    AJT.net
    WND.com

    http://www.thedailysheeple.com/parents-now-being-thrown-in-jail-in-america-for-homeschooling-their-children_022016

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    1. S'appuyant sur la légitimité et la décision sans appel que: dans un putain d'Etat où des gens osent encore (malgré la dictature en place et la privation chaque jour de plus de libertés) avoir des enfants (malgré le peu ou insuffisance de moyens pour les faire vivre convenablement avec belle voiture et grande maison) qui naîtront pour payer la dette et donc être malheureux toute leur vie, il est donc concevable 'qu'au nom de leurs enfants' les parent soient punis ! (et de plus s'ils leur enseignent leur inculture de pauvre !).

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