- ENTREE de SECOURS -



lundi 12 janvier 2015

Un rappel des principales opérations sous fausse bannière utilisées dans l'histoire récente

GoldenAwaken
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ven., 18 mai 2012 01:49 CEST
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Le terrorisme a changé de nature depuis que l'on sait que ce sont les gouvernements occidentaux, nos gouvernements !, qui sont derrière les plus gros événements terroristes mondiaux. Un coup pour accuser les communistes, un autre pour accuser les islamistes, le prochain devrait être le mauvais citoyen qui dénonce son gouvernement plutôt que de le soutenir dans son massacre de femmes, d'enfants, de père de famille quelque part sur la planète au nom de l'intérêt supérieur de la patrie en danger.
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Le vrai danger terroriste du monde ce sont nos propres gouvernements et il est bon de le rappeler en remémorant l'histoire de quelques attentats et les conséquences qu'ils ont entrainés par la suite. A qui profitent-ils si ce n'est à nos gouvernements qui accentuent ainsi leur contrôle sur la population, aux marchands d'armes mondiaux qui prospèrent, aux banksters qui financent tout cela ? L'histoire est pleine de ces attentats « false flag » dont le dernier spectaculaire en date fût le 11 septembre. Une opération réussie qui peut donner des idées à des gouvernements ayant du mal à maîtriser sa population et qui souhaitent en prendre le contrôle au travers de lois d'exceptions que seul lui permet un événement spectaculaire. C'est donc bien pourquoi les citoyens qui s'amusent à rappeler ces faits et à dénoncer leurs gouvernements sont des terroristes en puissance pour eux.
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Des terroristes qu'il faudra éradiquer d'une façon ou d'une autre...
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http://fr.sott.net/article/24453-Un-rappel-des-principales-operations-sous-fausse-banniere-utilisees-dans-l-histoire-recente

29 commentaires:

  1. (...) Des tirs entendus de 11h30 à 11h40, puis la police injoignable au téléphone est arrivée entre demi-heure et trois quarts d'heure plus tard ! (...)

    http://fr.sott.net/article/24417-Attentat-contre-Charlie-Hebdo-12-points-etranges


    Article posté dans commentaires huemaurice58 janvier 2015 11:45

    Pour voir les images au ralenti du tir bidon d'un terroriste garanti non-musulman:

    http://www.liveleak.com/view?i=bc6_1420632668

    (repassez-là encore pour vous marrer !)

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  2. Marche pour l'unité : plus de 40 chefs d'État, « dans la limite 3 mn' rallye à Paris contre l'extrémisme


    12 janvier 2015 01:02


    Vers le haut à 3 millions, selon les médias locaux estimations, marchent à travers Paris en solidarité avec les 17 victimes de l'attaque de Charlie Hebdo et la période de trois-journée des attentats terroristes. Plus de 40 chefs d'État rejoint le rallye « appel à la liberté ».

    "Paris est la capitale du monde d'aujourd'hui," le Président Français Francois Hollande dit. "Le pays tout entier se lèvera".

    "France fantastique ! Il pourrait y avoir autant de 1,3 millions à 1,5 millions d'entre nous à Paris, me dit" Francois Lamy, organisateur du rallye parti socialiste tweeté.

    Ministère de l'intérieur de la France appelé le rallye « sans précédent », ajoutant que les chiffres étaient impossibles à compter correctement parce que les gens dévié de la route officiellement déclarée. Cependant, les médias Français estiment le nombre aussi élevé que 3 millions, avec certains suggérant qu'il n'a pas été une marche au même niveau depuis Paris a été libérée des Nazis dans WW2.

    Les leaders mondiaux, parmi lesquels la chancelière allemande Angela Merkel, premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et le ministre des affaires étrangères russe Sergueï Lavrov, passé sous silence par l'une des principales rues de Paris. La marche a débuté à la Place de la Republique et se sont dirigés vers la Place de la Nation, environ trois kilomètres de là.

    Les proches des victimes qui ont été tués dans des attaques dirigées un autre rallye.

    Les mesures de sécurité, à la lumière des événements récents, ont été extrêmement approfondies, avec certains membres du personnel de sécurité 2 200 veille sur l'itinéraire de la marche.

    « S'adressant à certains des centaines de milliers de manifestants qui sont descendus sur la Place de la Nation ici au centre de Paris aujourd'hui, vraiment deux séries presque distinctes de sentiments et messages sont exprimés » Harry Fear de RT dit de Paris.

    (suite en dessous:)

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  3. « D'une part, les gens veulent très positivement affirmer les principes de liberté d'expression et de la devise de la France et free press – une image très positive presque célébration de ces valeurs et ce qui sort aujourd'hui pour cela – et aussi, sur l'autre main, une expression plus sombre de la tragédie de cette semaine et un état d'esprit de commémoration parmi d'autres particulièrement touché par cette semaineévidemment choquant, dévastation "

    En total, dans les différentes marches à travers la France, quelque 3.7million personnes ont envahi les rues dans une mobilisation record, un fonctionnaire à l'AFP. À Bordeaux, elle seule, la région Midi-Pyrénées, quelque 140 000 personnes ont participé à une marche à l'appui de le #JeSuisCharlie

    Les gens aussi descendus dans les rues dans les villes du Nord d'Orléans, Rouen et Lille.

    Toutefois, les protestations à l'appui de #JeSuisCharlie répartis dans le monde entier. Quelque 12 000 se sont ralliés à Vienne à l'appui de la France, et les gens aussi descendus dans les rues de Beyrouth.

    Douze personnes, dont quatre caricaturistes notables, ont été tués dans la première attaque mercredi et sont sont depuis lors pour symboliser une lutte non-violente pour la liberté d'expression partout en France et le monde.

    Le tollé mondial de chagrin et de condamnation suivie trois jours tendus, avec le hashtag Twitter #JeSuisCharlie (« je suis Charlie ») partie de la plus large popularité jamais véçue sur le réseau social, avec plus 5 millions reposts gagne.

    Jeudi, une femme policier a été abattue dans la capitale Français par un terroriste nommé Amedy Coulibaly. L'homme prit plus tard les otages dans un magasin casher à Paris Nord-est, tuant quatre personnes, le 9 janvier.

    Les policiers Français neutralisé les frères k et Coulibaly dans deux opérations distinctes vendredi.

    http://rt.com/news/221587-paris-world-march-leaders/

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    1. Notons que l'en palais de Buckingham s'est faite remplacé dans la rue par son 'Downing Street' dans ce qui pue la mise-en-scène où les exisés défileraient aux côtés des édentés !

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  4. NYPD juge ordonne de communiquer des documents sur les rayons X Vans



    Michael Grabell ProRepublica
    11th Janvier, 2015


    Un juge de l'Etat a ordonné la Ville New York Police Department de communiquer des documents sur un programme secret qui utilise fourgonnettes banalisées équipées de machines à rayons X pour détecter les bombes.

    La décision fait suite à une bataille de près de trois années juridique par ProPublica, qui avait demandé des rapports de police, du matériel de formation, des contrats et des tests de santé et de sécurité sur les camionnettes sous la Liberté d'information sur le droit de l'État.

    ProPublica a déposé la demande dans le cadre de son enquête dans la prolifération de matériel de sécurité, y compris les scanners corporels dans les aéroports, qui exposent les gens à des rayonnements ionisants, qui peut muter l'ADN et augmenter le risque de cancer.

    Richard Daddario, alors sous-commissaire de la police de New York de lutte contre le terrorisme, a déclaré à la cour en 2013 que la libération des documents entraverait la capacité du ministère à mener des opérations et mettre en danger la vie des New-Yorkais.

    Les divulguer, dit-il, serait «permettre à ceux qui cherchent à échapper à la détection de se conformer leur conduite aux temps, aux lieux et méthodes qui évitent les présence NYPD et sont donc plus susceptibles de donner une attaque réussie."

    Mais le juge de la Cour suprême Doris Ling-Cohan a appelé l'argument de la NYPD "pure spéculation» et «manifestement insuffisante» pour l'emporter sur le droit du public de savoir.

    "Bien que cette cour est conscient et sensible aux préoccupations concernant le terrorisme, étant situé à moins d'un mile à partir du site 9/11, et avoir vu de première main les effets de la destruction terroriste, néanmoins, la marque de notre grande nation, ce est que ce est une démocratie , avec un gouvernement transparent, "at-elle écrit dans sa décision le mois dernier.

    Nick Paolucci, un porte-parole du département de droit de la ville, a déclaré jeudi que le NYPD ferait appel "parce que la divulgation de ces informations sensibles pourrait compromettre la sécurité publique."

    Les fourgonnettes X-ray en cause sont essentiellement une version de plus âgés scanners corporels dans les aéroports montés sur un camion.

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  5. Il y a trois ans, les passagers aériens sont allés régulièrement à travers des machines à rayons X dits «rétrodiffusant" dans les aéroports majeurs, tels que Los Angeles International, John F. Kennedy de New York et Chicago O'Hare. Mais citant des problèmes de confidentialité, la TSA retiré scanners corporels qui émettent des rayons X et les remplacer par des machines qui utilisent la technologie qui est considéré comme moins invasive et plus sécuritaire.

    Mais fourgonnettes X-ray continuent d'être utilisés par les organismes d'application de la loi. Ils ont été élaborés peu après les attaques terroristes de 9/11 par Science & American Engineering Inc. à Billerica, Mass., Et déployées par l'armée américaine en Irak et en Afghanistan pour balayer les zones de bord de la route et de voitures piégées. Parce qu'ils recherchent généralement comme vierges, fourgons blancs, les soldats en Irak surnommé "diables blancs."

    US Customs and Border Protection a récemment commencé à les utiliser aux postes frontaliers, des ports, des postes de contrôle frontaliers de patrouille et des événements spéciaux tels que le Super Bowl.

    Très peu de choses ont déjà été signalés sur l'utilisation de la NYPD de camionnettes X-ray. En fait, jusqu'à ce que le procès de ProPublica, le service de police ne avait jamais rien dit publiquement sur les autres que pour confirmer leur existence.

    La référence la plus vaste pour les camionnettes est venu dans un livre écrit par deux journalistes d'ABC News qui la chronique d'une année à l'intérieur de la bombe l'équipe de l'agence.

    Décrivant la sécurité autour de la convention républicaine 2004 à New York, ils ont écrit que chaque véhicule entrant dans une rue en face de l'hôtel de convention a été ordonné de conduire entre deux camionnettes blanches qui radiographié chaque véhicule d'explosifs.

    Alors que la police de New York a refusé de communiquer des renseignements au sujet de son utilisation de ces véhicules-même combien il a, combien ils coûtent et comment il assure la sécurité des organismes gouvernementaux publics-autre ne ont pas été si secrète.

    Par exemple, les douanes fourni ProPublica avec plus de 150 pages de documents en vertu de la liberté de la loi fédérale de l'information à peine trois mois après qu'un journaliste a déposé une demande identique avec eux en 2012.

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  6. En outre, plusieurs chercheurs ont publié des études révélant des failles de sécurité dans la technologie des rayons X, dans un cas, après l'achat d'une machine de rétrodiffusion sur eBay.

    «Les informations contenues dans les documents demandés de la NYPD permettra au public d'évaluer les potentiels pour la santé, le coût et la vie privée des préoccupations soulevées par l'utilisation de la NYPD de ce véhicule," ProPublica a déclaré au tribunal.

    ProPublica est représenté dans le cas par la liberté des médias et accès à l'information clinique et David Schulz de Levine, Sullivan, Koch & Schulz. De la Yale Law School

    Les documents douaniers et les spécifications techniques sont-ce qui sur le site Web du fabricant -show que la fourgonnette émet moins de 10 microrems de rayonnement par balayage. Ce est environ deux fois plus que les anciens scanners corporels d'aéroport. Mais ce est extrêmement faible par rapport aux rayons X médicaux et bien dans les normes de l'industrie pour l'exposition acceptable.

    L'Académie nationale des sciences devrait publier un rapport ce mois-ci sur l'exposition aux rayonnements de vieux scanners de la TSA. Bien que ces machines ont également rencontré les normes de l'industrie, un certain nombre d'éminents scientifiques ladite TSA avait pas réussi à suivre le principe de la santé et de la sécurité pour maintenir les doses de rayonnement "aussi bas que raisonnablement possible." La TSA a eu la possibilité d'utiliser un autre scanner qui pourraient également trouver explosifs et des armes en plastique, mais ne ont pas utilisé les rayons X.

    "Ce ne est pas que le rayonnement de ces machines est très élevé," Peter Rez, un physicien de l'Université Arizona State, dit ProPublica en 2012. «Ce est 'Est-ce que le bénéfice l'emportent sur les risques ? "

    Les risques pour la santé à long terme de faibles niveaux de rayonnement sont inconnus. Mais l'Académie nationale a pris la position que le danger vient de l'exposition cumulative et que même des quantités insignifiantes augmenter le risque de cancer.

    Les fourgonnettes laquelle X-ray aurait coûtent entre $ 729,000 et $ 825,000 chacun-sont conçus de trouver des matériaux organiques tels que les drogues et d'explosifs. Les rayons pénètrent le métal dans une voiture ou dans un bâtiment de béton et de rétrodiffusion à un détecteur, produisant une image de de ce qui est à l'intérieur. La fourgonnette peut numériser tout en conduisant le long d'une rangée de conteneurs d'expédition ou du stationnement que les voitures passent. Les services des douanes à travers le monde les ont utilisés pour lutter contre la drogue et la contrebande humaine.

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  7. Mais la plupart des règlements Federal Drug Administration pour rayons X médicaux ne se appliquent pas à l'équipement de sécurité, laissant la décision de quand et comment utiliser les scanners jusqu'à organismes d'application de la loi comme la NYPD.

    Les politiques de la NYPD sont d'un intérêt particulier parce que de nombreux organismes ont adopté des politiques strictes pour répondre méfaits potentiels de rétrodiffusion scans X-ray. Lorsque des douanes a commencé à utiliser les fourgonnettes largement en 2010, l'agence interdit leur utilisation sur des véhicules occupés et nécessaire que les gens sortent des véhicules avant qu'ils ont été radiographiés.

    Mais parce que le NYPD a refusé de libérer les politiques et procédures du ministère, on ne sait pas combien les camionnettes sont utilisées, si du tout, si ils sont utilisés pour numériser les gens ou même si la police sont les déployer pour les patrouilles de routine sur la ville occupée rues.

    Par exemple, le NYPD a affirmé dans les dossiers du tribunal qu'il ne avait pas tous les dossiers détaillant ses politiques pour les protections de la vie privée, combien de temps les images des fourgonnettes X-ray pourraient être conservés ou qui, dans le NYPD pourrait voir les images.

    Ce conflit avec une déclaration de la cour de Daddario, le chef de la lutte contre le terrorisme, qui a discuté de ces documents et pourquoi ils ne devraient pas être divulgués.

    Juge Ling-Cohan a ordonné la NYPD à payer les frais d'avocat de ProPublica et expliquer par écrit ce qu'ils ont fait des efforts pour rechercher des documents pertinents pour la demande.

    Président Richard Tofel de ProPublica a dit qu'il était «heureux de constater que la Cour suprême de l'État a clairement rejeté les efforts déployés par le Département de Police de Stonewall cette demande importante pour des informations qui pourraient affecter la santé publique et qui a certainement coûté aux contribuables beaucoup d'argent."

    "Comme le tribunal rend allusions claires, vagues et péremptoires entièrement à d'éventuelles menaces terroristes et ne devraient pas créer pas d'exceptions à nos lois sur la transparence du gouvernement," at-il dit. "Nous sommes désolés d'apprendre la NYPD avait décidé de perdre plus de temps des citoyens et l'argent des contribuables en faisant appel de cette décision."

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  8. Ce travail est autorisé sous licence Creative Commons Paternité-Pas d'Utilisation Commerciale-Pas de Modification 3.0.
    Ressources:
    Le plan du Prepper: Le Guide pas-à-pas pour vous aider dans toute catastrophe

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    http://www.thedailysheeple.com/judge-orders-nypd-to-release-records-on-x-ray-vans_012015

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    1. L'attentat au quotidien

      Rendez-vous compte qu'il y a aujourd'hui aux Etats-Unis des camionnettes (banalisées ou pas) qui scannent tous les véhicules qu'elles dépassent ! C'est-à-dire que les rayons doivent être extrèmement violents pour traverser la tôle de la fourgonnette et celle du véhicule scanné ! donc... les passagers (de tous âges) reçoivent une dose quasi-mortelle !

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  9. « Oui, c’est compliqué !! »

    Mes chères contrariennes, mes chers contrariens !

    Voici le mail reçu dimanche à quelques heures de la grande marche de la part de l’un de nos camarades lecteurs.

    « Est-il courant pour des employés d’agences de presse à Paris d’avoir sous la main des gilets pare-balles.
    Deux en ont sur ces images de France 24.
    Il serait donc instructif de leur demander où et quand ils se les sont procurés, leur facture et la trace de leur paiement, ou le récépissé daté d’une autorité… »

    Et voici ma réponse. Oui, c’est très courant… L’agence de Presse « Premières lignes », comme son nom l’indique, envoie des reporters sur les fronts chauds de la planète. Ils ont donc un paquetage avec casque et gilet de protection. Cela fait partie de la dotation standard. Ces équipements sont au bureau et les journalistes ne les ont pas chez eux. Résultat, quand vous êtes au bureau, que vous entendez tirer, vous ouvrez l’armoire et vous enfilez votre gilet. C’est assez simple en fait. C’est presque un réflexe et évidemment du bon sens.

    Oui, c’est compliqué !

    Encore une fois, en disant ne voyons pas des complots partout, je ne dis pas qu’il n’y a pas de complot du tout. Je dis simplement que, pour le moment, il n’y a pas plus d’élément permettant d’affirmer qu’il y en aurait un que de penser qu’il n’y en a pas car tout ce qu’il se passe est très compliqué.

    Oui, c’est compliqué de mener une réflexion véritablement indépendante parce que ce que l’on appelle les « biais de raisonnement » représentent un écueil majeur. Un biais de raisonnement consiste inconsciemment, en essayant de prouver quelque chose, à ne retenir que les éléments favorables à vos postulats de départ. En clair, pour en revenir à cette histoire, en mêlant quelques montages vidéo, quelques photos, je peux vous monter une réalité toute autre. Il ne faut pas plus tomber dans le piège de ces biais de raisonnement que refuser la complexité bien réelle des relations internationales.

    Oui, c’est compliqué. Compliqué parce que nous avons des liens avec certains pays et des liens proches qui, eux-mêmes, ont des liens avec les terroristes.

    Oui, c’est compliqué parce qu’en soutenant les rebelles syriens contre le président Al-Assad, nous avons en réalité soutenu les terroristes, financé les terroristes, armé les terroristes et entraîné les terroristes qui aujourd’hui veulent semer la terreur en France.

    Oui, c’est compliqué parce que l’émotion est forte et que quand l’émotion est forte, la raison vacille.

    Oui, c’est compliqué parce que les fractures béantes et dramatiques de la société françaises apparaissent au grand jour alors que jusqu’à ces tueries, toute la bien-pensance a tout fait par les masques et jeté un voile pudique sur tous nos maux.

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  10. Oui, c’est compliqué parce que nos profs, même « gochos-bobo-cucul-gnangnan » découvrent horrifiés que leurs élèves soutiennent parfois de façon assez massive les actions de barbarie commises ou, a minima, les « comprennent » et refusent catégoriquement de les condamner.

    Oui, c’est compliqué d’aller marcher « unis » alors que l’ensemble des chefs d’États de la planète ou presque seront là dans une forme de récupération du drame alors que beaucoup parmi les citoyens, et j’en fais partie, sont en désaccord profond avec les actions politiques menées par ces dirigeants qui depuis des années sèment les graines de la discorde et que les peuples récoltent les violences.

    Oui, tout cela est très compliqué, encore plus compliqué lorsque le président ukrainien vient défiler à Paris alors qu’en Ukraine, les morts se comptent par milliers.

    Oui, c’est compliqué l’unité alors que tous nos politiciens tentent de se positionner pour « plus tard », pour bientôt alors que les corps de nos morts sont encore tièdes.

    Oui, c’est compliqué, compliqué de parler de l’islam, des musulmans de France sans être un « facho » ou un « raciste » ou un « islamophobe » et pourtant bien des choses doivent être dites sans justement tomber dans la haine.

    Oui, c’est compliqué la « liberté d’expression », ses limites, ou encore sa géométrie variable et beaucoup parmi vous ont en tête l’affaire Dieudonné ou encore certaines actions des Femen dans les églises, et l’agacement chez certains est très profond, sans parler des rétorsions réelles, nombreuses et répétées, face aux manifestants pacifiques de la Manif pour tous. Pourtant, ce n’est pas parce que certains considèrent que parfois leur liberté à eux n’a pas été respectée qu’ils ne doivent pas défendre la liberté des autres. Je défends la Liberté avec un grand L, dans toutes ses formes, mêmes celles qui me choquent, me gênent ou parfois même me répugnent.

    Oui, c’est compliqué lorsque je lis le dernier « tweet » de Valérie Pécresse expliquant doctement qu’un « patriot act » à la française est indispensable, ce qui revient à dire que finalement le danger évident auquel nous sommes aussi confrontés c’est la réduction de nos libertés par nos politiciens ou par les terroristes… Funeste choix n’est-ce pas ?

    Oui, c’est compliqué d’aller marcher si c’est pour cautionner des lois liberticides qui n’empêcheront JAMAIS un terroriste de frapper où bon lui semble mais qui viendront éroder les droits fondamentaux des citoyens à penser.

    Oui, mes chers amis, tout cela est très compliqué. Marcher contre le terrorisme c’est compliqué aussi. Comment penser une seule seconde que marcher permet de lutter contre le terrorisme ? On fait la guerre au terrorisme et à nos ennemis tueurs de notre peuple. On ne marche pas contre eux… Ou alors les armes à la main… Et pourtant, marcher signifie affirmer notre détermination collective à les combattre et c’est cela que disent ces millions de Français dans nos rues. Nous vous combattrons.

    Oui, c’est compliqué et nous pouvons tous trouver ou adhérer à une ou plusieurs bonnes raisons pour ne pas marcher, pour ne pas se récupérer, pour ne pas s’associer aux drames qui ont frappé notre pays. Pourtant, pourtant, quoi que vous pensiez, quoi que vous croyiez, ce qui s’est passé cette semaine va façonner notre pays dans les prochaines semaines et les prochains mois. C’est une césure historique, un point de rupture.

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  11. Pourtant, j’irai marcher sans hésitation

    L’histoire nous enseigne que ce sont les minorités qui écrivent l’histoire. À chaque fois. La majorité silencieuse est avant tout silencieuse, laissant le libre champ aux minorités agissantes. C’est donc un avenir bien sombre qui nous attend collectivement.

    Pourtant, je pense qu’il faut aller marcher et j’irai avec ma femme et mes enfants marcher. Marcher pour dire que je n’ai pas peur, marcher en pensant aux 17 personnes qui ne peuvent plus marcher.

    Marcher parce que la Liberté vaut bien une marche même si les dessins de Charlie Hebdo m’ont agacé, ils ne m’ont jamais blessé, ils m’ont encore moins tué. Mon « Dieu » par son infinie sagesse et son amour est bien évidemment au-delà de cet humour temporel de simples mortels, fussent-ils des mécréants.

    Marcher parce que l’on voit bien les tentations obscurantistes d’une partie pas si minoritaire que cela d’une frange de notre population.

    Marcher parce que nos aînés nous ont légué en héritage une idée de la France ainsi que de la Liberté, et que beaucoup n’ont pas hésité à sacrifier leur vie pour permettre à leurs enfants de vivre dans un pays libre.

    Marcher parce que l’on ne peut pas tuer nos concitoyens policiers en les abattant comme des chiens et ils n’étaient pas Charlie Hebdo.

    Marcher parce que l’on ne peut pas abattre d’une rafale dans le dos une « fliquette » municipale qui n’était pas Charlie Hebdo.

    Marcher parce que l’on ne peut pas tuer du juif (français) uniquement parce qu’il est juif, sinon cela reviendrait à dire que l’on peut tuer du chrétien parce que chrétien ou du musulman parce que musulman.

    Marcher en homme et en femme libres, libres de penser ce que nous voulons, libres d’être Charlie ou Amhed,

    Marcher parce que, pour le moment, nous ne pouvons faire que cela.

    Marcher parce que dans notre hymne national, nous marchons, marchons pour notre Liberté.

    Charles SANNAT

    http://www.lecontrarien.com/oui-cest-complique-12-01-2015-edito?utm_source=Le+Contrarien+Matin&utm_campaign=1eb2ff476f-daily_newsletter_2015_01_12&utm_medium=email&utm_term=0_b6dd3f3e5f-1eb2ff476f-45320805

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    1. (...) En clair, pour en revenir à cette histoire, en mêlant quelques montages vidéo, quelques photos, je peux vous monter une réalité toute autre. (...) ??! On l'attend !

      Marcher dans la merde çà porte bonheur ! Et depuis quand un terroriste qui serait pro-tireur chevronné manque t-il son coup à 30 cm ? HAHAHAHA ! Z'avez vu la décharge de la Kalach à côté de la tête du type qui fait le mort au sol ? De la poussière de ciment du trottoir qui s'envole et non de la cervelle et du sang ! Cà alors ! Et le mec qui a râté son coup... ne revient pas en arrière ! Non, il s'en va. Images finales devant la caméra.

      Comme je l'ai dit l'autre jour, s'il avait crié "Vive Mao Tsé Toung !", les journalistes auraient dit qu'ils étaient des terroristes chinois ! Hahaha ! Parce que, les premiers coups de feu sont entendus à 11h30 précises et durent 10 minutes, et, c'est qu'une demi-heure après ou 45 mn que les secours arrivent !!! Donc, les terroristes avaient tout leur temps. Même qu'ils avaient laissé leur bagnole (volée) garée en plein milieu de la rue sans craindre le passage de la fourrière ou d'une contractuelle ! Hahaha ! Puis, pour faire encore plus vrai (comme pour le passeport de Mohamed Atta retrouvé intact dans les cendres du WTC et un réacteur de Boeing retrouvé 10 ans après planqué/coincé entre deux immeubles !!), l'un cri "Allah Akbar !" puis il y a un attentat dans... une épicerie casher ! Hahahaha ! Là, me diriez-vous, cela ne peut pas être des juifs qui ont fait le coup ! Hahahaha !

      Puis, le fait que 'personne'(?) n'ait pu téléphoner d'un filiaire ou portable pour appeler les flics, çà, çà m'étonne. Le terroriste s'en va à pied puis grimpe dans la voiture sans un regard vers les fenêtres où... il devrait tout de même y avoir du monde derrière les rideaux ! Même pas un petit merci au caméraman ! Tss ! Y a des fois que...

      On se serait cru à Sandy Hook avec les faux élèves morts et les faux parents qui pleurent (en se retenant de rigoler devant les caméras !) devant l'école ouverte pour le spectacle et démolie sitôt après ! Manquait peut-être l'unijambiste de Boston qui sur les brancards se retient de rigoler !

      PS: Imaginez que les papiers retrouvés dans la voiture montre une carte d'identité d'adolf hitler, les journalistes auraient-ils dit que les auteurs sont juifs ?

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  12. Charlie Hebdo : false flag, onde choc, aveuglement

    Silvia Cattori
    Arrêt sur Info
    lun., 12 jan. 2015 10:55 CET

    Le carnage qui a frappé Charlie Hebdo et l'onde de choc et l'émotion qu'il a soulevés ne doivent pas nous rendre aveugles. Il convient de se garder de toute instrumentalisation. Avec la participation de nombreux chefs d'État, la protestation contre cet attentat est en train de se transformer en un sommet de guerre contre un terrorisme que la politique de ces mêmes État n'a fait qu'alimenter. Des État qui, comme Israël, sont en guerre permanente contre le peuple palestinien sous occupation et contre les pays musulmans qui lui résistent ; ou qui, comme la Turquie, les États-Unis et la France, arment les groupes de terroristes « modérés » qui, depuis 2011, décapitent les syriens fidèles au gouvernement Assad. Dans son livre « Les Armées secrètes de l'OTAN », l'historien suisse Daniele Ganser a démontré que des attentats, comme les guerres « contre le terrorisme », peuvent être manipulés. Qu'il ne faut pas céder aux instrumentalisations visant à susciter la peur et à faire croire que les « terroristes » sont toujours les musulmans. Que la stratégie de la tension est une réalité. Pour preuve, durant 50 ans, dans le cadre de leur guerre contre le communisme, les États-Unis se sont appuyés sur l'OTAN pour organiser en Europe des attentats meurtriers qu'ils ont faussement attribués à la gauche. Cette stratégie visant à susciter la peur de l'islam et à justifier de nouvelles guerres n'est-elle pas en train de se remettre en place ? Nous reproduisons ici quelques extraits des propos, tenus par le Dr. Ganser en décembre 2006, recueillis par la journaliste suisse Silvia Cattori.

    Le terrorisme non revendiqué de l'OTAN

    Silvia Cattori : Votre ouvrage consacré aux armées secrètes de l'Otan [1], s'attache à expliquer ce que la « stratégie de la tension » [2] et les « False flags » [3] comportent de grands dangers. Il nous enseigne comment l'Otan, durant la Guerre froide - en coordination avec les services de renseignement des pays ouest-européens et le Pentagone - s'est servi d'armées secrètes, a recruté des espions dans les milieux d'extrême droite, et a organisé des actes terroristes que l'on attribuait à l'extrême gauche. En apprenant cela, on peut s'interroger sur ce qui peut se passer aujourd'hui à notre insu.

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  13. Daniele Ganser : C'est très important de comprendre ce que la stratégie de la tension représente réellement et comment elle a fonctionné durant cette période. Cela peut nous aider à éclairer le présent et à mieux voir dans quelle mesure elle est toujours en action. Peu de gens savent ce que cette expression « stratégie de la tension » veut dire. C'est très important d'en parler, de l'expliquer. C'est une tactique qui consiste à commettre soi-même des attentats criminels et à les attribuer à quelqu'un d'autre. Par le terme « tension » on se réfère à la tension émotionnelle, à ce qui crée un sentiment de peur. Par le terme « stratégie », on se réfère à ce qui alimente la peur des gens vis-à-vis d'un groupe déterminé. Ces structures secrètes de l'Otan avaient été équipées, financées et entraînées par la CIA, en coordination avec le MI6 (les services secrets britanniques), pour combattre les forces armées de l'Union Soviétique en cas de guerre, mais aussi, selon les informations dont nous disposons aujourd'hui, pour commettre des attentats terroristes dans divers pays. C'est ainsi que, dès les années 70, les services secrets italiens ont utilisé ces armées secrètes pour fomenter des attentats terroristes dans le but de provoquer la peur au sein de la population et, ensuite, d'accuser les communistes d'en être les auteurs. C'était la période où le Parti communiste avait un pouvoir législatif important au Parlement. La » stratégie de la tension » devait servir à le discréditer, l'affaiblir, pour l'empêcher d'accéder à l'exécutif.

    Silvia Cattori : Apprendre ce que cela veut dire est une chose. Mais il reste difficile de croire que nos gouvernements aient pu ainsi laisser l'Otan, les services de renseignement ouest-européens et la CIA agir de façon à menacer la sécurité de leurs propres citoyens !

    Daniele Ganser : L'Otan était au cœur de ce réseau clandestin lié à la terreur ; le Clandestine Planning Committee (CPC) et l'Allied Clandestine Committee (ACC) étaient des substructures clandestines de l'Alliance atlantique, qui sont clairement identifiées aujourd'hui. Mais, maintenant que cela est établi, il est toujours difficile de savoir qui faisait quoi. Il n'y a pas de documents pour prouver qui commandait, qui organisait la « stratégie de la tension », comment l'Otan, les services de renseignement ouest-européens, la CIA, le MI6, et les terroristes recrutés dans les milieux d'extrême droite, se distribuaient les rôles. La seule certitude que nous avons est qu'il y avait, à l'intérieur de ces structures clandestines, des éléments qui ont utilisé la « stratégie de la tension ». Les terroristes d'extrême droite ont expliqué dans leurs dépositions que c'était les services secrets et l'Otan qui les avaient soutenus dans cette guerre clandestine. Mais quand on demande des explications à des membres de la CIA ou de l'Otan - ce que j'ai fait pendant plusieurs années - ils se limitent à dire qu'il a peut-être pu y avoir quelques éléments criminels qui ont échappé à leur contrôle.

    Silvia Cattori : Ces armées secrètes étaient-elles actives dans tous les pays ouest-européens ?

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  14. Daniel Ganser : Par mes recherches, j'ai apporté la preuve que ces armées secrètes existaient, non seulement en Italie, mais dans toute l'Europe de l'Ouest : en France, en Belgique, en Hollande, en Norvège, au Danemark, en Suède, en Finlande, en Turquie, en Espagne, au Portugal, en Autriche, en Suisse, en Grèce, au Luxembourg, en Allemagne. On avait d'abord pensé qu'il y avait une structure de guérilla unique et que, par conséquent, ces armées secrètes avaient toutes participé à la « stratégie de la tension », donc à des attentats terroristes. Or, il est important de savoir que ces armées secrètes n'ont pas toutes participé à des attentats. Et de comprendre ce qui les différenciait car elles avaient deux activités distinctes. Ce qui apparaît clairement aujourd'hui est que ces structures clandestines de l'Otan, communément appelées « Stay behind » [4], étaient conçues, au départ, pour agir comme une guérilla en cas d'occupation de l'Europe de l'Ouest par l'Union soviétique. Les États-Unis disaient que ces réseaux de guérilla étaient nécessaires pour surmonter l'impréparation dans laquelle les pays envahis par l'Allemagne s'étaient alors trouvés.

    Silvia Cattori : Si je comprends bien, ces « Stay behind » dont l'objectif était de se préparer pour le cas d'une invasion soviétique, ont été détournées du but initial pour combattre la gauche. Dès lors, on peine à comprendre pourquoi les partis de gauche n'ont pas enquêté, dénoncé ces dérives plus tôt ?

    Daniele Ganser : Si on prend le cas de l'Italie, il apparaît que, chaque fois que le Parti communiste a interpellé le gouvernement pour obtenir des explications sur l'armée secrète qui opérait dans ce pays sous le nom de code Gladio [5], il n'y a jamais eu de réponse sous prétexte de secret d'État. Ce n'est qu'en 1990 que Giulio Andreotti [6] a reconnu l'existence de Gladio et ses liens directs avec l'Otan, la CIA et le MI6.

    [...]

    Silvia Cattori : Peut-on penser que, après l'effondrement de l'URSS, les États-Unis et l'Otan ont continué de développer la « stratégie de la tension » et les « False flags » sur d'autres fronts ?

    Daniele Ganser : Mes recherches se sont concentrées sur la période de la Guerre froide en Europe. Mais l'on sait qu'il y a eu ailleurs des « False flags » où la responsabilité des États a été prouvée. Exemple : les attentats, en 1953, en Iran, d'abord attribués à des communistes iraniens. Or, il s'est avéré que la CIA et le MI6 s'étaient servis d'agents provocateurs pour orchestrer le renversement du gouvernement Mohammed Mossadegh, ceci dans le cadre de la guerre pour le contrôle du pétrole. Autre exemple : les attentats, en 1954, en Égypte, que l'on avait d'abord attribués aux musulmans. Il a été prouvé par la suite que, dans ce que l'on a appelé l'affaire Lavon [7], ce sont les agents du Mossad qui en étaient les auteurs. Ici, il s'agissait pour Israël d'obtenir que les troupes britanniques ne quittent pas l'Égypte mais y demeurent, aussi pour assurer la protection d'Israël. Ainsi, nous avons des exemples historiques montrant que la « stratégie de la tension » et les « false flags » ont été utilisés par les USA, la Grande Bretagne et Israël. Il nous faut encore poursuivre les recherches dans ces domaines, car, dans leur histoire, d'autres pays ont également utilisé la même stratégie.

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  15. Silvia Cattori : Ces structures clandestines de l'Otan, n'ont finalement servi qu'à mener des opérations criminelles contre des citoyens européens ? Tout porte à penser que les États-Unis visaient eux tout autre chose !

    Daniele Ganser : Vous avez raison de soulever cette question. Les États-Unis étaient intéressés par le contrôle politique. Ce contrôle politique est un élément essentiel de la stratégie de Washington et de Londres. Le général Geraldo Serravalle, chef du Gladio, le réseau italien Stay-behind, en donne un exemple dans son livre. Il raconte qu'il a compris que les États-Unis n'étaient pas intéressés par la préparation de cette guérilla en cas d'invasion soviétique, quand il a vu que, ce qui intéressait les agents de la CIA, qui assistaient aux exercices d'entraînement de l'armée secrète qu'il dirigeait, était de s'assurer que cette armée fonctionne de façon à contrôler les actions des militants communistes. Leur crainte était l'arrivée des communistes au pouvoir dans des pays comme la Grèce, l'Italie, la France. C'est donc à cela que devait servir la « stratégie de la tension » : à orienter et à influencer la politique de certains pays de l'Europe de l'Ouest.

    Silvia Cattori : Vous avez parlé de l'élément émotionnel comme facteur important dans la « stratégie de la tension ». Donc, la terreur, dont l'origine reste floue, incertaine, la peur qu'elle provoque, sert à manipuler l'opinion. N'assiste-t-on pas aujourd'hui aux mêmes procédés ? Hier, on attisait la peur du communisme, aujourd'hui n'attise-t-on pas la peur de l'islam ?

    Daniele Ganser : Oui, il y a un parallèle très net. Lors des préparatifs de guerre contre l'Irak, on a dit que Saddam Hussein possédait des armes biologiques, qu'il y avait un lien entre l'Irak et les attentats du 11 septembre, ou qu'il y avait un lien entre l'Irak et les terroristes d'Al Qaida. Mais tout cela n'était pas vrai. Par ces mensonges, on voulait faire croire au monde que les musulmans voulaient répandre le terrorisme partout, que cette guerre était nécessaire pour combattre la terreur.

    Silvia Cattori : En somme, ces structures clandestines ont pu être dissoutes, mais la « stratégie de la tension » a pu continuer ?

    Daniele Ganser : C'est exact. On peut avoir dissout les structures, et en avoir formé de nouvelles. Il est important d'expliquer comment, dans la « stratégie de la tension », la tactique et la manipulation fonctionnent. Tout cela n'est pas légal. Mais, pour les États, c'est plus facile de manipuler des gens que de leur dire que l'on cherche à mettre la main sur le pétrole d'autrui. Toutefois, tous les attentats ne découlent pas de la « stratégie de la tension ». Mais il est difficile de savoir quels sont les attentats manipulés. Même ceux qui savent que nombre d'attentats sont manipulés par des États pour discréditer un ennemi politique, peuvent se heurter à un obstacle psychologique. Après chaque attentat, les gens ont peur, sont confus. Il est très difficile de se faire à l'idée que la « stratégie de la tension », la stratégie du « False flag », est une réalité. Il est plus simple d'accepter la manipulation et de se dire : « Depuis trente ans je me tiens informé et je n'ai jamais entendu parler de ces armées criminelles. Les musulmans nous attaquent, c'est pour cela qu'on les combat ».

    Silvia Cattori : Dès 2001, l'Union européenne a instauré des mesures anti-terroristes. Il est apparu ensuite que ces mesures ont permis à la CIA de kidnapper des gens, de les transporter dans des lieux secrets pour les torturer. Les États européens ne sont-ils pas devenus un peu otages de leur soumission aux États-Unis ?

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  16. Daniele Ganser : Les États européens ont eu une attitude assez faible à l'égard des États-Unis après les attentats du 11 septembre 2001. Après avoir affirmé que les prisons secrètes étaient illégales, ils ont laissé faire. Même chose avec les prisonniers de Guantanamo. Des voix se sont élevées en Europe pour dire : « On ne peut pas priver les prisonniers de la défense d'un avocat ». Quand Madame Angela Merkel a évoqué cette question, les États-Unis ont clairement laissé entendre que l'Allemagne était un peu impliquée en Irak, que ses services secrets avaient contribué à préparer cette guerre, donc qu'ils devaient se taire.

    Silvia Cattori : Dans ce contexte, où il y a encore beaucoup de zones d'ombre, quelle sécurité peut apporter l'Otan aux peuples qu'elle dit protéger si par un autre côté elle permet à des services secrets de les manipuler ?

    Daniele Ganser : En ce qui concerne les attentats terroristes manipulés par les armées secrètes du réseau Gladio durant la Guerre froide, il est important de pouvoir déterminer avec clarté quelle est l'implication réelle de l'Otan là-dedans, de savoir ce qui s'est réellement passé. S'agissait-il d'actes isolés ou d'actes organisés secrètement par l'Otan ? Jusqu'à ce jour, l'Otan a refusé de parler de la « stratégie de la tension » et du terrorisme durant la Guerre froide, l'Otan refuse toute question concernant Gladio.

    Aujourd'hui, on se sert de l'Otan comme d'une armée offensive, alors que cette organisation n'a pas été créée pour jouer ce rôle. On l'a activée dans ce sens, le 12 septembre 2001, immédiatement après les attentats de New York. Les dirigeants de l'Otan affirment que la raison de leur participation à la guerre contre les Afghans est de combattre le terrorisme. Or, l'Otan risque de perdre cette guerre. Il y aura, alors, une grande crise, des débats. Ce qui permettra alors de savoir si l'Otan mène, comme elle l'affirme, une guerre contre le terrorisme, ou si on se trouve dans une situation analogue à celle que l'on a connue durant la Guerre froide, avec l'armée secrète Gladio, où il y avait un lien avec la terreur. Les années à venir diront si l'Otan a agi en dehors de la mission pour laquelle elle a été fondée : défendre les pays européens et les États-Unis en cas d'invasion soviétique, évènement qui ne s'est jamais produit. L'Otan n'a pas été fondée pour s'emparer du pétrole ou du gaz des pays musulmans.

    Silvia Cattori : On pourrait encore comprendre qu'Israël, qui a des intérêts à élargir les conflits dans les pays arabes et musulmans, encourage les États-Unis dans ce sens. Mais on ne voit pas quel peut être l'intérêt des États européens à engager des troupes dans des guerres décidées par le Pentagone, comme en Afghanistan ?

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  17. Daniele Ganser : Je pense que l'Europe est confuse. Les États-Unis sont dans une position de force, et les Européens ont tendance à penser que la meilleure chose est de collaborer avec le plus fort. Mais il faudrait réfléchir un peu plus. Les parlementaires européens cèdent facilement à la pression des États-Unis qui réclament toujours davantage de troupes sur tel ou tel front. Plus les pays européens cèdent, plus ils se soumettent, et plus ils vont se trouver confrontés à des problèmes toujours plus grands. En Afghanistan, les Allemands et les Britanniques sont sous le commandement de l'armée américaine. Stratégiquement, ce n'est pas une position intéressante pour ces pays. Maintenant, les États-Unis ont demandé aux Allemands d'engager leurs soldats également au sud de l'Afghanistan, dans les zones où la bataille est la plus rude. Si les Allemands acceptent, ils risquent de se faire massacrer par ces forces afghanes qui refusent la présence de tout occupant. L'Allemagne devrait sérieusement se demander si elle ne devrait pas retirer ses 3000 soldats d'Afghanistan. Mais, pour les Allemands, désobéir aux ordres des États-Unis, dont ils sont un peu les vassaux, c'est un pas difficile à faire.

    Silvia Cattori : Que savent les autorités qui nous gouvernent aujourd'hui de la « stratégie de la tension » ? Peuvent-elles continuer comme cela à laisser des fauteurs de guerres fomenter des coups d'État, kidnapper et torturer des gens sans réagir ? Ont-elles encore les moyens d'empêcher ces activités criminelles ?

    Daniele Ganser : Je ne sais pas. Comme historien, j'observe, je prends note. Comme conseiller politique, je dis toujours qu'il ne faut pas céder aux manipulations qui visent à susciter la peur et à faire croire que les terroristes sont toujours les musulmans...

    [...]

    Le jour où les gens réaliseront que ces guerres contre le terrorisme sont manipulées, et que ces accusations contre les musulmans sont, en partie, de la propagande, ils vont être surpris. Les États européens doivent se réveiller et comprendre enfin comment la « stratégie de la tension » fonctionne. Et ils doivent aussi apprendre à dire non aux États-Unis. En plus, aux États-Unis aussi, il y a beaucoup de gens qui ne veulent pas de cette militarisation des relations internationales.

    [...]
    On est manipulable si on a peur ; peur de perdre son travail, peur de perdre le respect des gens que l'on aime. On ne peut pas sortir de cette spirale de violence et de terreur si on se laisse gagner par la peur. C'est normal d'avoir peur, mais il faut parler ouvertement de cette peur et des manipulations qui la génèrent. Nul ne peut échapper à leurs conséquences. Cela est d'autant plus grave que les responsables politiques agissent souvent sous l'effet de cette peur. Il faut trouver la force de dire : « Oui j'ai peur de savoir que ces mensonges font souffrir des gens ; oui j'ai peur de penser que ce terrorisme dont on parle est la conséquence de manipulations, mais je ne vais pas me laisser intimider ».
    [...]

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  18. Silvia Cattori : Cette manière de penser et de couvrir les mensonges qui découlent de la « stratégie de la tension », ne rend-elle pas tout un chacun complice des crimes qu'elle entraîne ? À commencer par les journalistes et les partis politiques ?

    Daniele Ganser : Je pense, personnellement, que tout le monde - journalistes, universitaires, politiciens - doit réfléchir sur les implications de la « stratégie de la tension » et des « False flags ». Nous sommes là, il est vrai, en présence de phénomènes qui échappent à tout entendement. C'est pourquoi, chaque fois qu'il y a des attentats terroristes, il faut s'interroger et chercher à comprendre ce que cela recouvre. Ce n'est que le jour où l'on admettra officiellement que les « False flags » sont une réalité, que l'on pourra établir une liste des « False flags » qui ont eu lieu dans l'histoire et se mettre d'accord sur ce qu'il faudrait faire.

    La recherche de la paix est le thème qui m'intéresse. Il est important d'ouvrir le débat sur la « stratégie de la tension » et de prendre acte qu'il s'agit d'un phénomène bien réel. Car, aussi longtemps que l'on n'a pas accepté de reconnaître son existence, on ne peut pas agir. C'est pour cela qu'il est important d'expliquer ce que la « stratégie de la tension » signifie réellement. Et, une fois que l'on a compris, de ne pas se laisser gagner par la peur et la haine contre un groupe. Il faut se dire que ce n'est pas uniquement un pays qui est impliqué là-dedans ; que ce ne sont pas seulement les États-Unis, l'Italie, Israël ou les Iraniens, mais que cela se produit partout, même si certains pays y participent de manière plus intense que d'autres. Il faut comprendre, sans accuser tel pays ou telle personne. La peur et la haine n'aident pas à avancer mais paralysent le débat. Je vois beaucoup d'accusations contre les États-Unis, contre Israël, contre la Grande Bretagne, ou alternativement, contre l'Iran, la Syrie. Mais la recherche sur la paix nous enseigne qu'il ne faut pas se livrer à des accusations basées sur le nationalisme, et qu'il ne faut ni haine ni peur ; que le plus important est d'expliquer. Et cette compréhension sera bénéfique pour nous tous.

    http://fr.sott.net/article/24456-Charlie-Hebdo-false-flag-onde-choc-aveuglement

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  19. Obama déclare la guerre à « L'extrémisme » – êtes vous un "extrémiste" selon sa définition ?



    Par Michael Snyder,
    le 11 janvier 2015



    Savez-vous ce qu'est un « extrémiste » ? À la suite des attentats terroristes horribles sur les bureaux de Charlie Hebdo en France, Barack Obama parle très hardiment de la nécessité de gagner la guerre contre les « extrémistes », et il a annoncé son intention d'accueillir un sommet mondial majeur sur « l'extrémisme » le mois prochain. Et sur la surface qui sonne bien. Mais précisément comment sommes-nous censés déterminer si quelqu'un est un « extrémiste » ou pas ? Quels critères faut-il utiliser ? Comme vous le verrez ci-dessous, votre définition d'un « extrémiste » peut être loin, très loin différente de la définition qui est à l'aide de Barack Obama. Lorsque vous effectuez une recherche Google, vous trouverez qu'un « extrémiste » est défini comme « une personne qui détient des extrêmes ou fanatique opinions politiques ou religieuses, en particulier celui qui recourt à ou préconise une action extrême ». Selon Wikipedia, "l'extrémisme" est "une idéologie (en particulier dans la politique ou la religion), considéré comme éloigné les attitudes ordinaires d'une société ou à violer les normes morales communes. L'extrémisme peut prendre de nombreuses formes, y compris politiques, religieuses et économiques. » Veuillez noter qu'aucune de ces définitions utilise la violence de la parole. À cette époque, vous pouvez être considéré comme un « extrémiste » tout simplement basé sur ce que vous croyez, et comme vous le verrez plus loin dans cet article il y a maintenant des dizaines de millions d'américains qui sont considérées comme « extrémistes » et « terroristes potentiels », selon les documents officiels du gouvernement US.

    Lorsque vous utilisez le mot « extrémiste », vous pouvez avoir dans votre esprit une image de combattants ISIS ou les terroristes depuis le massacre de Charlie Hebdo.

    Mais pour les élitistes comme Barack Obama, le mot « extrémiste » a un sens beaucoup plus large. Ces dernières années, il est devenu un mot de code pour ceux qui n'ont pas une vision « éclairée » du monde. Si votre point de vue sur la politique, de religion ou de questions sociales est extrêmement différente de l'opinion libérale et progressiste de « l'ordinaire » (tel que défini par les grands médias et politiciens « mainstream » comme Barack Obama), puis ils vous considèrent comme un extrémiste.

    Au début de la présidence de Bush, on nous a dit que les terroristes islamistes étaient l'ennemi. Et donc la plupart du pays a obtenu derrière l'idée de la guerre contre le terrorisme. Mais au fil des ans, qui s'est transformé en une guerre contre l'extrémisme. En fait, l'administration Obama a allé jusqu'à supprimer presque toutes les références à l'Islam de supports de formation gouvernement terreur...

    Sous-procureur général américain James Cole a confirmé mercredi que l'administration Obama se replie tous les supports de formation utilisés pour l'application de la Loi et les communautés de sécurité nationale, afin d'éliminer toutes les références à l'Islam que certains groupes musulmans ont réclamés portent atteinte.

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  20. "J'ai récemment réalisé que toutes les composantes du ministère de la Justice à réévaluer leurs efforts de formation dans divers domaines, de la sensibilisation à la sécurité nationale," Cole dit à un groupe d'experts à la George Washington University law school.
    Maintenant, une grande partie de la mise au point dans des supports de formation law enforcement est sur « extrémistes nationaux ». On nous dit que « extrémisme domestique » est tout aussi importante, une menace à notre sécurité nationale que sont les groupes terroristes outre-mer.

    Mais qui sont exactement ces « extrémistes domestiques » ?

    Eh bien, la vérité est que vous peut-être l'un d'entre eux.

    Je veux partager avec vous une liste que j'ai partagé en deux articles précédents. C'est une liste de 72 types des américains qui sont considérées comme « extrémistes » ou « terroristes potentiels » dans les documents officiels de gouvernement aux États-Unis. Cette liste vous donnera vraiment une bonne idée de ce que Barack Obama signifie quand il utilise le mot « extrémiste ». Chacun de ces 72 éléments est lié, donc si vous souhaitez aller voir le document source original pour vous-même, il suffit de cliquer sur le lien. Comme vous pouvez le voir, cette liste inclut potentiellement la majeure partie du pays...

    1. ceux qui parlent de "libertés individuelles"

    2. ceux qui préconisent pour les droits des États

    3. ceux qui veulent "rendre le monde un meilleur endroit"

    4. « Les colons qui cherchait à s'affranchir de la domination britannique »

    5. ceux qui s'intéressent à "vaincre les communistes"

    6. ceux qui croient "que les intérêts de sa propre nation sont distinct de l'intérêt des autres nations ou à l'intérêt commun de toutes les nations »

    7. toute personne qui est titulaire d'une "idéologie politique qui considère que l'état d'être inutile, nuisible,ou indésirables"

    8. n'importe qui qui possède un «l'intolérance envers les autres religions "

    9. ceux qui «prendre des mesures pour lutter contre le exploitation de la environnement et/ou d'animaux "

    10. « Homophobes »

    11. « Anti-immigrés »

    12. "Anti-musulmans"

    13. « Le mouvement patriote »

    14. "Opposition à l'égalité des droits des gays et lesbiennes"

    15. membres du Conseil de recherches familiales

    16. membres de l'Association familiale américaine

    17. ceux qui croient que Mexique, le Canada et les États-Unis "secrètement envisagent de fusionner dans une entité de type Union européenne qui s'appellera"l'Union nord-américaine"

    18. membres de la patrouille de frontière américaine patrouille/American

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  21. 19. membres de la Fédération pour la réforme de l'Immigration américaine

    20. membres de la Coalition de la liberté du Tennessee

    21. membres du réseau d'Action Christian

    22. -ce que quelqu'un qui "s'oppose au nouvel ordre mondial »

    23. -ce que quelqu'un qui est engagé dans la "théories de complot"

    24. -ce que quelqu'un qui s'oppose à l'ordre du jour 21

    25. -ce que quelqu'un qui s'inquiète des camps de la FEMA

    26. quelqu'un qui "craint de contrôle imminent des armes ou confiscations d'armes"

    27. le mouvement de milice

    28. le mouvement citoyen souverain

    29. ceux qui "ne pense pas qu'ils devraient avoir à payer des impôts"

    30. quelqu'un qui "se plaint de partialité"

    31. quelqu'un qui "croit en complots du gouvernement jusqu'au point de paranoïa"

    32. toute personne "qui est frustré par les idéologies"

    33. quelqu'un qui "visites de sites/blogs extrémistes"

    34. quelqu'un qui « établit site Web/blog pour afficher des vues extrémistes"

    35. quelqu'un qui "s'occupe de rallyes pour causes extrémistes"

    36. quelqu'un qu'elle présente"l'intolérance religieuse extrême"

    37. toute personne qui "est personnellement liée à un grief »

    38. quelqu'un qui "acquiert soudain armes"

    39. quelqu'un qui "organise des manifestations inspirées par l'idéologie extrémiste"

    40. "Milice ou milice non organisée"

    41. « Général extrémiste de droite »

    42. citoyens qui ont « autocollants » qui sont patriotiques ou anti-U.N.

    43. ceux qui concernent une "armée de Dieu"

    44. ceux qui sont "farouchement nationaliste (par opposition à universelle et internationale en orientation)"

    45. ceux qui sont "anti-mondialisation"

    46. ceux qui sont "suspects d'autorité fédérale centralisée"

    47. ceux qui sont "respectueux de la liberté individuelle"

    48. ceux qui "croient dans les théories du complot"

    49. ceux qui ont « une croyance que ses personnels et/ou nationale 'mode de vie ' est attaqué »

    50. ceux qui possèdent « une croyance dans la nécessité de se préparer à une attaque, soit en participant à des préparations de paramilitaires et de formation ou de survivalism »

    51. ceux qui "imposerait des principes religieux stricts ou lois sur la société (les fondamentalistes)"

    52. ceux qui seraient "insérer une religion dans la sphère politique"

    53. quelqu'un qui serait "cherchent à politiser la religion"

    54. ceux qui ont "soutenu des mouvements politiques d'autonomie"

    55. -ce que quelqu'un qui est "anti-avortement"

    56. -ce que quelqu'un qui est "anti-catholique"

    57. -ce que quelqu'un qui est "anti-nucléaire"

    58. « Extrémistes de droite »

    59. « Vétérans de scrutin »

    60. ceux préoccupés par le "immigration illégale"

    61. ceux qui "croient dans le droit de porter les armes"

    62. -ce que quelqu'un qui est engagé dans la "Constitution de stocks de munitions"

    63. quelqu'un qu'elle présente "la peur des régimes communistes"

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  22. 64. « Militants anti-avortement »

    65. ceux qui sont contre l'immigration clandestine

    66. ceux qui parlent de "nouvel ordre mondial" d'une manière "dégradante"

    67. ceux qui ont une vision négative de l'ONU

    68. ceux qui sont opposés « à la collecte de l'impôt fédéral sur le »

    69. ceux qui pris en charge les anciens candidats à la présidence Ron Paul, Chuck Baldwin et Bob Barr

    70. ceux qui arborent le drapeau de Gadsden (« ne Tread On Me »)

    71. ceux qui croient dans les prophéties de la "fin des temps"

    72. chrétiens évangéliques

    Vous situez-vous dans aucune de ces catégories ?

    Personnellement, j'ai insérer dans quelques dizaines d'entre eux.

    C'est pourquoi la sonnette d'alarme devrait aller chaque fois que Barack Obama parle de la nécessité de réprimer « l'extrémisme ».

    Si Barack Obama veut dénoncer la terreur islamique, il doit le faire. Mais à cause de son extrême politiquement correct, il sort de sa manière afin d'éviter toute connexion entre Islam et terreur. Au lieu de cela, il parle de la nécessité de reconnaître le «rôle de l'Islam dans la promotion de la justice, de progrès, de tolérance et de la dignité de tout être humain» et il insiste sur le fait que "que l'avenir ne doit pas appartenir à ceux qui calomnient le prophète de l'Islam."

    Pendant ce temps, nos libertés et nos libertés sont érodent un peu plus chaque jour. Au nom de la lutte contre "le terrorisme" ou "l'extrémisme", notre gouvernement est de construire une grille de contrôle de police d'état de Big Brother tout autour de nous. J'aime la façon que Ron Paul décrit ce qui se passe nous l'autre jour...

    Si les américains étaient honnêtes avec eux-mêmes, ils reconnaîtraient que la République n'est pas plus. Nous vivons maintenant dans un État policier. Si nous ne reconnaissons et résister à cette évolution, la liberté et la prospérité pour tous les américains continueront de se détériorer. Toutes les libertés en Amérique sont aujourd'hui en état de siège.

    Il n'a pas avoir lieu la nuit. Il a fallu de nombreuses années de négligence pour nos libertés à donner loin alors par hasard pour une promesse de sécurité de la classe politique. La partie tragique est que plus de la sécurité a été promis — physique et économique — moins la liberté était protégée.

    Berceau à la tombe bien-être de protéger tous les citoyens de toutes les erreurs et une perpétuelle guerre globale au terrorisme, dont une majorité d'américains étaient convaincus était absolument nécessaire à notre survie, notre sécurité et la prospérité a été sacrifiée.

    Il était tous basé sur le mensonge et l'ignorance. Beaucoup sont venus à croire que leur intérêt ont été servis en abandonnant un peu de liberté en temps d'avoir une vie meilleure.

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  23. Le piège a été fixé. Au début d'un cycle qui sape systématiquement la liberté avec les délires de prospérité facile, le changement peut semblent en fait être bénéfique pour quelques uns. Mais pour moi, c'est comme disculpatoire détournement comme une route à loisir et de la richesse — finit par paiement et la répression toujours arrivent à échéance. On ne peut pas échapper au fait que richesse d'une société ne peut être maintenue ou a augmenté sans travail et l'effort productif. Oui, certains éléments criminels peuvent bénéficier pendant un certain temps, mais la réalité affecte toujours.

    Réalité est maintenant mise pour l'Amérique et d'ailleurs pour la plupart du monde. Le piper obtiendra son dû, même si « les enfants » ont à souffrir. La tromperie du prometteur « succès » a duré pendant un certain temps. Il a été accompli par les taxes de plus en plus, les déficits, emprunts et imprimerie argent. En attendant les pouvoirs de police du gouvernement fédéral ont été systématiquement et considérablement élargies. Personne ne se souciait beaucoup, car il semble être assez « sauce » pour les riches, les pauvres, les politiciens et les bureaucrates.
    Le pays que nos ancêtres fondées est en train de mourir.

    Maintenant, les individus et organisations qui tentent de restaurer les valeurs que nos fondateurs ont cru une fois en si fortement sont considérés comme des « extrémistes » dangereux qui doivent être surveillés attentivement.

    Malheureusement, la plupart des américains ne réalisent même pas ce qui se passe dans cette nation. Tant qu'ils sont nourris constante de mindless entertainment, la plupart des américains sont parfaitement contenus de laisser « les experts » faire leurs pensées pour eux.

    Nous sommes déferlait vers l'oubli, et la plupart du pays est morts endormis.

    Donc y a-t-il un espoir pour nous ? N'hésitez pas à partager ce que vous pensez en postant un commentaire ci-dessous...

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/obama-declares-war-extremism-extremist-according-definition

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    1. Un extrémiste n'est pas (un 'extrait mixte') une personne mitigée/entre-les-deux/de type 'médiateur' mais seulement quelqu'un qui est franchement et totalement pour le bien ou pour le mal.

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  24. La Chine rejette la construction d'un empire en Afrique

    Le Ministre des affaires étrangères Wang Yi a dit que Beijing ne copirait pas « colonialistes occidentaux » au milieu des revendications qu'elle exploite les ressources africaines pour sa propre croissance économique

    Guardian Global development is supported by:
    David Smith, correspondant en Afrique
    Lundi 12 janvier 2015 11.50 EST

    La Chine a nié catégoriquement l'accusation maintes fois répété qu'elle construit un empire en Afrique , tout comme les puissances européennes ont fait la fin du XIXe siècle.

    Pékin est le premier partenaire de commerce de l'Afrique et a fréquemment été accusé d'un point de vue éthique sourds « colonialisme ressource » – extraction des richesses minières du continent à des prix défiant pour propulser sa croissance économique.

    Mais le ministre des affaires étrangères Wang Yi, une tournée de cinq pays d'Afrique, a insisté: sur le plan politique, nous avons toujours parler en faveur des pays africains et maintenir la justice. Sur le plan économique, nous aidons les pays africains de contribuer au développement pour atteindre la prospérité.
    Dans les échanges de la Chine et de la coopération avec l'Afrique, nous voulons voir des avantages mutuels et le gagnant-gagnant résultats. Je tiens à préciser un point, c'est-à-dire la Chine suivra jamais la piste des colons de l'Ouest et toute coopération avec l'Afrique ne viendra jamais au détriment de l'écologie, l'environnement ou l'intérêt à long terme de l'Afrique. »

    Les observations ont été faites à La télévision centrale chinoise, tandis que Wang était au Kenya, où il a rencontré le Président Uhuru Kenyatta samedi. Les entreprises chinoises procèdent à une expansion de 653 millions de dollars (430 millions de livres) de l'aéroport principal de la capitale, Nairobi.
    La rivalité de la Chine avec l'Occident sur la scène africaine a été beaucoup débattue, mais il est rare qu'un côté établir la comparaison publiquement. L'an dernier, au plus grand rassemblement de dirigeants africains jamais organisé à Washington, le Président américain Barack Obama a déclaré ostensiblement, nous don ' t look Afrique simplement pour ses ressources naturelles,"mais a refusé de parler de Chine par son nom.

    Seulement dans un câble diplomatique, publié par WikiLeaks en 2010 et non destinés à la consommation publique, un responsable américain a admis: "la Chine est un concurrent économique très agressif et pernicieux avec pas de morale. La Chine n'est pas en Afrique pour des raisons altruistes. La Chine est en Afrique pour la Chine principalement. »

    (suite en dessous:)

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  25. Beijing a dit précédemment, sa coopération avec les nations africaines plages à travers l'agriculture, la santé et les projets relatifs à l'infrastructure des écoles aux stades. Le siège social de 200 millions de dollars de l'Union africaine à Addis-Abeba a été un cadeau et un « symbole d'approfondissement des relations ».

    La Chine soutient que plus de la moitié son aide étrangère – plus que $14 entre 2010 et 2012 – va vers l'Afrique. Il dit que le support est livré sans aucune condition et qu'il sera jamais interférer dans les affaires intérieures des pays. Mais par défaut, ses détracteurs, cela signifie qu'il efficacement rives vers le haut de la règle de dos de José Eduardo angolais Omar al-Bashir de Santos, soudanais et Robert Mugabe du Zimbabwe, trois des dirigeants autoritaires avec plus de ténacité de l'Afrique.

    Toutefois, le mois dernier, Beijing a annoncé qu'il enverra combattre de 700 soldats pour rejoindre la mission maintien de la paix des Nations Unies au Sud-Soudan, une intervention exceptionnellement robuste de signalisation. S'adressant aux journalistes au Soudan dimanche, Wang a défendu des efforts de médiation de la Chine au Sud-Soudan, rejetant l'allégation selon laquelle il avait agi par intérêt personnel après avoir investi lourdement dans l'huile.

    Médiation de la Chine des problèmes du Sud-Soudan est entièrement la responsabilité et le devoir d'une puissance responsable et non pas à cause des intérêts de la Chine," a déclaré le ministre.

    Itinéraire de Wang s'étend sur Kenya, Cameroun, Guinée équatoriale, Soudan et la République démocratique du Congo.

    http://www.theguardian.com/global-development/2015/jan/12/china-denies-building-empire-africa-colonialism

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