- ENTREE de SECOURS -



samedi 12 avril 2014

RT. Le missile TOW donné aux rebelles « syriens » S/T

http://www.youtube.com/watch?v=ZgnZrDkQpjU&list=UU0Bx9l6H4uTV23izwnSTnEA

50 commentaires:

  1. La déchirure Ukrainienne

    Jérôme HENRIQUES
    12 avril 2014

    Initié en novembre 2013, le mouvement de contestation (EuroMaïdan) qui a secoué l'Ukraine a abouti en Février 2014 au renversement de son président, Viktor Ianoukovitch. Préférant se rapprocher de Moscou, c'est son refus de signer l'accord de libre échange avec Bruxelles qui a mis le feu aux poudres …
    L’Ukraine, un pivot géostratégique

    Dans son livre "le grand échiquier", le stratège Etasunien Zbignew Brzezinski écrit en 1997 : "Si Moscou récupère le contrôle de l’Ukraine, avec ses 52 millions d’habitants et ses immenses ressources [énergétiques], la Russie contrôlera à nouveau la Mer noire et ce faisant, retrouvera automatiquement les moyens de redevenir un État impérial [...] Il est impératif qu’aucune puissance Eurasienne concurrente capable de dominer l’Eurasie ne puisse émerger et ainsi contester l’Amérique". Cependant, sans menace directe, les coûts d’un interventionnisme militaire à grande échelle risquent d’être difficilement acceptés par l’opinion publique : "l’abnégation économique (c’est-à-dire les dépenses militaires), et le sacrifice humain (les pertes même parmi les soldats professionnels) qui sont nécessaires à l’effort sont peu agréables pour les instincts démocratiques". Il s’agit donc plutôt d’entretenir la vassalité des pays étrangers ("identifier les Etats géopolitiquement dynamiques qui ont le potentiel de créer un basculement important en terme de distribution internationale du pouvoir [...] mettre en oeuvre des politiques US pour les compenser, coopter, et/ou contrôler") et d’user de propagande en cas de conflit ("cet exercice requiert un haut degré de motivation doctrinale, d’engagement intellectuel, et de gratification patriotique.").

    Observons maintenant le déploiement politico-militaire de l’OTAN autours des deux grandes puissances Eurasiatiques que sont la Russie et la Chine : bouclier anti-missile en Europe de l’est, initiative de coopération d’Istambul avec les pays du golfe, partenariats militaires en extrême orient et dans le pacifique ... C’est ce constat d’encerclement qui, depuis quelques années relance l’idée d’une course aux armements aux relents de guerre froide. En 2007, face au projet OTANiesque d’installation de missiles intercepteurs en Pologne et d’un radar ultra-perfectionné en République tchèque, Poutine dénonçait ainsi "l’impérialisme" Etasunien et le risque de "poudrière" en Europe : "Nous voulons rééquilibrer les instruments de défense avec des outils offensifs plus efficaces, mais nous savons que cela risque de relancer une course aux armements, dont nous ne serions cependant pas responsables [...]. Si des composantes stratégiques de l’arsenal américain font leur apparition en Europe près de nos frontières, nous serons obligés de [...] supprimer les menaces potentielles résultant de ce déploiement". Quelques années plus tôt, en Mars 2004, 6 des 7 pays absorbés par l’OTAN étaient d’ancien(ne)s républiques soviétiques ou pays satellites : Estonie, Lettonie, Lituanie, Bulgarie, Roumanie et Slovaquie, seule la Slovénie était issue de la Yougoslavie ("non alignée" pendant la guerre froide) ...

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  2. Après leurs révolutions colorées, il s’en était d’ailleurs fallu de peu pour que l’Ukraine et la Georgie ne fassent de même. Mais avec une opinion publique divisée (seuls 30% des Ukrainiens soutenaient l’adhésion à l’OTAN et 52 % y étaient opposés) et devant la colère de Moscou qui parlait déjà de "crise diplomatique profonde" et de risque de "désintégration de l’Ukraine", l’Europe (fortement dépendante du gaz Russe) avait dû "calmer le jeu" et l’OTAN avait finalement refusé leur adhésion en Avril 2008. Précisons que l’OTAN et l’UE s’étaient rapprochées en 2002 avec la signature du partenariat "Identité européenne de sécurité et de défense" (IESD), les 7 pays précités ayant d’ailleurs adhéré concomitamment aux deux organisations. Economiquement faible, l’Ukraine n’a jamais été (et ne sera pas à court ou moyen terme) considérée par l’UE comme un potentiel pays membre ; mais cela n’a jamais empêché cette dernière de la pousser vers une économie de libre-marché en lui versant des aides substantielles. L’Ukraine a touché plusieurs centaines de millions d’Euros dans le cadre de la politique étrangère et de voisinage (PEV) mise en œuvre en 2004, elle-même prolongée en 2009 par le partenariat oriental. Considérée depuis longtemps comme un partenaire prioritaire, l’Ukraine avait signé dès 1998 avec l’UE un accord de partenariat et de coopération (APC), auquel devait succéder un nouvel accord d’association comprenant un accord de libre-échange approfondi et complet (ALEAC). Préparé depuis 2007, cet accord a finalement été annulé en Novembre dernier par Kiev qui a préféré se rapprocher de Moscou.

    Depuis 2010, la vie politique Ukrainienne était dominé par le pro-Russe parti des régions, portant d’abord Ianoukovitch à la présidence puis remportant les élections législatives de 2012. Dès son arrivée au pouvoir, Ianoukovitch s’était d’ailleurs empressé de prolonger l’accord sur le stationnement de la flotte Russe à Sébastopol de 2017 à 2042 ; outre les millions d’euros de loyer annuel payés à l’Ukraine depuis 1997, la Russie s’engageait alors à réduire de 30% ses factures de gaz. Autre signe fort de rapprochement avec Moscou, la candidature Ukrainienne à l’OTAN avait été levée. Mais voulant contrebalancer l’hégémonie économique Russe, Kiev n’en avait pas pour autant renoncé à négocier l’accord de libre échange avec l’UE. Agacée, la Russie avait alors plusieurs fois usé de mesures coercitives pour ramener l’Ukraine dans son giron : suspension des livraisons de gaz, contournement de l’Ukraine pour l’approvisionnement de l’ouest Européen (la privant ainsi de ses royalties de transit puisque 60% du gaz Russe vers l’Europe transite par l’Ukraine), fermeture de ses frontières aux exportations Ukrainiennes (la Russie en est destinataire du tiers).

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  3. Tiraillée de longue date entre l’Union douanière Russie-Biélorussie-Kazakhstan (elle-même étape de passage vers une plus large union Eurasienne) et le pacte d’association avec l’Union Européenne, l’Ukraine avait finalement décliné la deuxième proposition. Cela avait du coup apaisé la Russie ; dès lors il n’était même plus question d’union douanière lors de l’accord Russo-Ukrainien du 17 décembre, tandis que Moscou s’engageait pour sa part à réduire d’un tiers ses tarifs de gaz et à investir 10,9 milliards d’Euros dans des titres du gouvernement Ukrainien. Il faut dire qu’entre besoins gaziers et dette colossale envers la Russie, l’Ukraine n’avait guère le choix. Non seulement, l’offre Européenne ne rivalisait pas avec les 10,9 milliards Russes, mais en plus, l’Union européenne conditionnait son offre aux "ajustements structurels" du FMI (dévaluation de la devise nationale, gel des salaires etc.) et à une ingérence dans les affaires politiques internes (demande de libération de Ioulia Timochenko, l’ancien premier ministre qui avait signé en 2009 et sans l’avis de son gouvernement des accords gaziers avec la Russie fortement défavorable à son pays). Comme le précisait d’ailleurs Poutine ironiquement, ces 15 milliards ne sont "liés à aucune condition, ni à une hausse, ni à une baisse, ni au gel des avantages sociaux, des retraites, des bourses ou des dépenses".

    Un coup d’état, ça se prépare

    Entre le refus d’association avec l’Union européenne du 21 Novembre et l’accord avec la Russie du 17 Décembre, l’Ukraine a vite commencé à s’embraser. Il n’aura pas fallu attendre longtemps avant que les Etasuniens ne dégainent les lance-flammes. Jay Carney, la porte-parole de la présidence Etasunienne a ainsi déclaré : "Nous exhortons le gouvernement Ukrainien à écouter ses administrés et à trouver le moyen de rétablir un cheminement vers l’avenir Européen pacifique, juste, démocratique et prospère auquel les Ukrainiens aspirent". Quant au sénateur McCain, il n’a pas hésité à descendre dans la rue à 10.000 kilomètres de chez lui : "L’Amérique est avec vous ! " a-t-il lancé sur la place de l’indépendance à Kiev. Plus tôt dans la journée, il avait discuté avec la fille de Ioulia Timochenko des possibilités de sanctions contre le régime en place : "Tu sais petite, on va libérer ta mère et punir le méchant qui contrôle la ville". Après l’acteur Reagan devenu président, voici qu’au "pays ou tout est possible", le Western devient Eastern. Le scénario n’est cependant qu’un remake des années 2000...

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  4. Si les grands médias nous ont présenté les révolutions colorées (Serbie en 2001, Georgie en 2003, Ukraine en 2004, Kirghistan en 2005 ...) comme une aspiration des peuples à plus de démocratie, le documentaire de Manon Loizeau "Comment la CIA prépare les révolutions colorées" révèle l’envers du décor. La séquence qui nous présente Mike Stone, un expatrié Etasunien dans son imprimerie au Kirghiztan est particulièrement intéressante. Sur la machine d’impression, on peut lire le nom du donateur "département d’état Américain chargé de la démocratie du travail et des droits de l’homme" tandis que la couverture en cours de tirage associe l’actuel président Kirghize à une liste de présidents précédemment renversés (photos barrées). Malgré la présence d’un générateur de courant (prêté par l’ambassade US), l’imprimerie subit de nombreuses coupures d’électricité et Mike Stone y voit la malveillance du gouvernement Kirghize. Il décide d’appeler MacCain, qui convoque alors par téléphone le ministre Kirghize Askar Aitmatov, lequel promet en s’excusant que cela ne se produira plus. Une semaine plus tard, le gouvernement Kirghize sera renversé ...

    Alors que McCain dirige l’International Republican Institute (IRI), on apprend que Mike Stone est le représentant local de l’organisation Freedom House et que son imprimerie est spécialisée dans la publication de manuels subversifs. Le "best-seller" du moment, "de la dictature à la démocratie", est un livre écrit par Gene Sharp, fondateur de l’Albert Einstein Institution. Un autre représentant de Freedom House, Adrian Karatnitski, évoque pour sa part la révolution orange : "pour les Ukrainiens, on a donné une petite bourse de 30.000 $ pour qu’ils puissent rassembler des activistes dans le sud de l’Ukraine en Crimée". Tiens, Tiens ... Plus loin, l’ex président Georgien Edouard Chevarnadzé revient sur son renversement par les roses : "les jeunes politiciens qui ont pris le pouvoir ont été pour la plupart financé par George Soros, le célèbre milliardaire Américain (fondateur de l’Open Society Foundations, ndr). Ce n’était pas une révolution, c’était un coup d’état". D’ailleurs, le nouveau président (et ancien d’Harvard) Mikheil Saakachvili, se montre reconnaissant : "on croit dans les mêmes valeurs que les Américains on se souvient de ce que les Américains ont fait pour nous". Quant à son ministre de l’Education Nationale, Aleksander Lomaïa, il n’est autre que l’ancien représentant local de l’Open Society Foundations ...

    International Republican Institute, Freedom House, Open Society Foundations ... It’s just USA for “freedom” and “democracy” and “peace”. Really ? Tell me more ...

    - Basée à Washington, Freedom House est une organisation financée principalement par le gouvernement des Etats-Unis (elle reçoit aussi des dons de l’Union Européenne). Implantée dans plusieurs pays, elle ”aide au développement des libertés dans le monde” et a soutenu les révolutions en Serbie, en Ukraine, et au Kirghiztan. Parmi, les anciens membres de son conseil, on trouve des philanthropes notoires : Zbigniew Brzezinski (le stratège de la domination Etasunienne), Paul Wolfowitz (le grand artisan de la guerre en Irak), Donald Rumsfeld (le Monsieur plus de la torture), etc. Citons aussi James Woolsey, qui fût directeur de la CIA avant de diriger Freedom House.

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  5. - Créé par le milliardaire et démocrate Etasunien George Soros, le groupe Open Society Fondations se veut promoteur de toutes les libertés (celles du marché aussi bien sûr). Il a activement soutenu Otpor (le mouvement Serbe qui a contribué à renverser Milosevic en 2001), Kmara (le mouvement Georgien qui s’est attaqué à Chevarnadzé en 2003) et dépensé plusieurs millions de dollars pour soutenir la révolution orange Ukrainienne en2004.

    - Le National Democratic Institute for International Affairs (NDI) est non seulement lié au parti démocrate, mais aussi à l'"internationale socialiste“. Sa présidente, l’ancienne secrétaire d’état Madeleine Albright, avait déclaré à propos des 500.000 enfants morts durant l’embargo Irakien : “Je pense que c’est un choix très dur, mais le prix — nous pensons que ça vaut le prix." Le but de NDI ? La démocratie dans le monde bien sûr...

    - L’International Republican Institute (de McCain) est quant à lui lié au parti républicain. Son programme ? Démocratie, droits de l’homme, liberté. En Serbie, l’IRI a mandaté un ancien colonel de l’armée, Robert Helvey, pour former des leaders d’Otpor. Notons que le même Helvey collaborait déjà avec l’Albert Einstein Institution, tout comme Peter Ackerman, qui est parti diriger Freedom House. Un tout petit monde.

    - Sachant réunir démocrates et républicains autours des millions de dollars alloués chaque année par le gouvernement US, la National Endowment for Democracy redistribue ensuite l’argent à quelques organismes Etasuniens (NDI, IRI ...) et des centaines d’autres dans le monde (Otpor, etc...). En 1982, l’ancien directeur de la CIA, William Colby, déclarait à propos de la NED : “Il n’est pas nécessaire de faire appel à des méthodes clandestines. Nombre des programmes qui [...] étaient menés en sous main, peuvent désormais l’être au grand jour, et par voie de conséquence, sans controverse“. En 1991, c’est un des fondateurs de la NED, Allen Weinstein qui reprenait les mêmes arguments “bien des choses qu’ils [à la NED] faisaient maintenant étaient faites clandestinement par la CIA 25 ans auparavant“. CQFD.

    En créant, finançant et formant des groupes politico-insurectionnels dans les pays défavorables aux USA, les organisations précitées ont joué un rôle essentiel dans bon nombre de renversement de régimes des années 2000. Si le livre de Gene Sharp “de la dictature à la démocratie“ a servi de base théorique au mouvement Otpor, ce dernier a ensuite inspiré d’autres mouvements, tels que Mjaft en Albanie, Zubr en Biélorussie, Kmara en Georgie, Pora et Znayu en Ukraine ... L’histoire du mouvement Serbe a été racontée dans un film (de production Etasunienne), “Bringing down a dictator“, tandis que ses leaders sont partis former les opposants Georgiens, Ukrainiens, Biélorusses et même Egyptiens ou Vénézuéliens .... Aleksander Maric (du Centre pour l’action non-violente, qui a remplacé Otpor à la chute de Milosevic) évoquait ainsi sa mission Ukrainienne pour Freedom House : "on leur a appris comment créer leur organisation, comment faire de leur mouvement une véritable marque, comment créer des logos, comment faire passer des messages, comment recruter du monde, comment mobiliser les gens autours de leur cause, comment trouver de l’argent".

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  6. Récurrent, le scénario semble étroitement inspiré des cours de Marketing et de communication : logos stylisés (poing fermé pour Otpor puis Kmara, main ouverte pour Mjaft), phrases chocs ("Résistance“, "Il est fini", "C’est l’heure", "Je sais", "Assez"), produits et couleurs de rassemblement (drapeaux, tentes et écharpes entièrement orange en Ukraine), concerts de Rocks, stages étudiants, etc. Les opposants sont poussés à l’activisme. Il s’agit d’occuper l’espace public, de fraterniser avec la police (envoi de colis, distribution de fleurs, messages d’affection) ou pour les plus expérimentés de faire pression sur l’appareil d’état. Avec plusieurs dizaines de millions de dollars dépensés à chaque fois, les Etats-Unis ne sont pas là pour s’amuser. Pour Robert Helvey "Un mouvement non-violent n’est pas un mouvement pacifique. C’est un mouvement qui s’inspire des techniques du combat militaire avec des moyens d’action civique". Il n’y va d’ailleurs pas par quatre chemins : "il faut s’attaquer aux piliers du pouvoir, l’armée, l’administration". Il s’agira aussi de recycler le savoir faire, une fois la révolution terminée. Leader de la révolution orange, Vladislav Kaskiv imagine ainsi poursuivre son travail de démocratiseur. "On m’a demandé ce qu’on pouvait faire à Cuba", dit-il. Je parie qu’il ne parlait pas de Guantanamo ...

    Ukraine, révolution 2.0

    Si le pro-occidental Loutchenko avait dû laisser sa place au pro-russe Ianoukovitch lors des élections présidentielles de 2010, ce dernier a longtemps su ménager la chèvre et le chou entre Moscou et Bruxelles (poursuite des négociations avec l’UE tout en refusant d’entrer dans l’OTAN etc.). Mais en déclinant l’offre de l’UE en Novembre dernier, Ianoukovitch a définitivement basculé dans le camp du mal. Les (pro-) occidentaux n’ont alors pas eu d’autres choix que de dégainer leurs armes de démocratie massive. Les premières manifestations de la place de l’indépendance (appelée "Maïdan") deviennent rapidement des campements (tentes, barricades), les administrations sont bloquées voire prises d’assaut (mairie de Kiev), le président est intimidé personnellement (manifestations devant sa résidence de campagne). Et si la rapidité des évènements n’a pas permis la préparation d’ "agents orange" comme en 2004, on n’en n’oublie pas pour autant la recette marketing. Sur le "Maïdan", des concerts aux paroles de comptines pour enfants sont ainsi promis à occuper la une des mass-médias occidentaux : "C’est Ruslana qui vous parle. Je répète : Ruslana. Nous sommes Ukrainiens comme vous. Nous sommes des gens simples et nous menons une manifestation pacifique. Ne nous attaquez pas".

    Essayant de transposer la contestation sur le terrain institutionnel, l’opposition soumet début décembre au parlement une motion de défiance, mais le gouvernement y échappe (de nombreux députés du parti des régions n’ayant pas pris part au vote). Après la Lybie et la Syrie, on assiste une nouvelle fois à des retournements de veste spectaculaires. Championne du moment, la député du parti des régions (celui de Ianoukovitch) Inna Boslovska déclare : "Parce que les vieilles divisions sont finies. Levez-vous, de Donetsk à Lviv !". De leur côté, les diplomates occidentaux adoptent des postures de représentants syndicaux. Le secrétaire d’état John Kerry exprime son "dégoût", tandis que de hauts représentants Etasuniens et Européens descendent sur "le Maïden". Quatre jours après le ministre Allemand des affaires étrangères Frank-Walter Steinmeier, c’est au tour de la chef de la diplomatie Européenne Catherine Ashton de prendre son bain de foule. Peu après, le sénateur républicain McCain et son homologue démocrate Murphy, côte à côte, assurent la foule Kievenne du soutien des USA. Ashton et McCain ne manquent pas de rencontrer aussi les principaux leaders d’opposition, Arséni Iatseniouk, Vitali Klitschko et Oleg Tyagnibok.

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  7. Dès le mois de décembre, de vives tensions sont apparues entre manifestants et policiers. Violences policières ? Certainement. Violence des manifestants ? Certainement aussi. Objectivité des dirigeants et des médias occidentaux ? Certainement pas. Comment le gouvernement Français réagirait-il si des manifestants occupaient des bâtiments institutionnels en France. Par le dialogue ? Et si Poutine se joignait aux émeutes de banlieues la prochaine fois ? Avec des milliers de manifestants soutenus par l’occident et la présence de groupes ultranationalistes para-militaires dont les membres sont munis de casques et de bâtons (Praviy Sektor, Spilna Sprava ...), le rapport de force semble désormais incertain. Donnant l’assaut sur la place de l’indépendance le 10 décembre, la police n’arrive d’ailleurs pas à déloger la foule de "Maïdan", et se retire finalement le lendemain. Le 16 Janvier, le parlement (démocratiquement élu, il faut le rappeler) vote alors une série de mesures encadrant la liberté de manifester (peines de prison allant de 15 jours pour l’installation non-autorisée de tentes ou d’estrades dans des endroits publics et jusqu’à cinq ans pour le blocage des bâtiments officiels) et imposant aux ONG financées par l’occident à le déclarer. Transparency International parle alors de "dictature", de lois qui "empêcheront toute manifestation de désobéissance civile" (sic), Human Rights Watch accuse l’Ukraine de faire pire que la Russie et Freedom House (vous vous souvenez ?) "condamne fermement" ces textes. On ne peut plus renverser un gouvernement tranquillement ...

    Alors que les affrontements commencent à faire des morts, Ianoukovitch lâche du lest. Le 25 janvier, il propose le poste de premier ministre à Iatseniouk et celui de "vice-premier ministre chargé des affaires humanitaires" (sic) à Klitschko. Iatseniouk se dit d’abord "prêt à prendre ses responsabilités" puis les deux hommes déclinent finalement l’offre. Le premier ministre en poste, Mykola Azarov, est quand même poussé à la démission le 29 Janvier. Le même jour, le parlement abroge les lois encadrant la liberté de manifester et adopte une amnistie pour les manifestants arrêtés. L’opposition la rejette, refusant la condition préalable de libération des bâtiments publics (notamment la mairie de Kiev) et l’application de l’amnistie aux forces du régime. Le 14 Février, les 234 manifestants arrêtés entre le 26 décembre et le 2 février sont tout de même libérés. Malgré cela, la violence s’accroît. Le 18 février, une trentaine de personnes sont tuées (dont une dizaine de policiers). Deux jours plus tard, ce sont plus de 75 personnes qui meurent, et principalement par balles. Grâce à la désormais célèbre conversation téléphonique piratée, on sait que le ministre Estonien des affaires Urmas Paet a dit à Catherine Ashton : "c’était les mêmes snipers tuant ces personnes des deux côtés [...] derrière ces snipers il n’y avait pas Ianoukovitch mais quelqu’un de la nouvelle coalition". Cela n’est pas sans rappeler l’attentat du 5 février 1994 au marché central de Sarajevo. Quoi qu’il en soit, les signes d’apaisement du régime semblent concorder avec une forte poussée de violence.

    Sous l’égide de la diplomatie Franco-Germano-Polonaise, un accord est finalement trouvé le 21 février 2014 entre Ianoukovitch et l’opposition. Il prévoit :

    - un gouvernement d’unité nationale
    - la tenue d’élections présidentielles anticipées
    - un retour à la constitution de 2004 (qui réduit notamment les pouvoirs du président au profit du parlement)
    - une enquête sur les récents actes de violence, sous la surveillance conjointe des autorités, de l’opposition et du Conseil de l’Europe

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  8. Le même jour, Ianoukovitch s’enfuit de Kiev en hélicoptère. Dès le lendemain, le parlement le destitue, élit l’ancien patron des services secrets Tourtchinov et décide la libération de Timochenko (qui outre se réclusion pour abus de pouvoir, est aussi impliquée dans l’affaire de meurtre d’un député). Un scénario à la "Lucky Luke" ... Alors que Iatseniouk devient premier ministre, il est intéressant de se remémorer les désidératas de Washington transmis par la secrétaire d’état adjointe Victoria Nuland à son ambassadeur Ukrainien un mois plus tôt (juste après la proposition de Ianoukovitch à l’opposition) : "Je pense Yats (Iatseniouk, ndr), c’est le gars. Il a de l’expérience économique et de l’expérience de gouverner. C’est le gars. Vous savez, ce qu’il a besoin, c’est que Klitsch et Tyahnybok restent à l’extérieur [...] on emmerde l’UE". De la démocratie made in USA ...

    Chose que Ianoukovitch n’envisageait pas dans sa proposition du 25 Janvier, le nouveau gouvernement compte plusieurs membres du parti Svoboda : Oleksandr Sych (vice-premier ministre), Ihor Tenyukh (ministère de la défense), Andriy Mokhnyk (ministère de l’écologie), Ihor Shvaika (ministère de l’agriculture). Le parti Svoboda ("Liberté") fût fondé en 1991 sous le nom de "Parti national socialiste" (nom conservé jusqu’en 2004) avec un logo qui rappelait étrangement celui du parti nazi. Les références idéologiques ne manquent pas : commémoration en 2013 du 70ème anniversaire de la création de la division SS Halychyna, qui a combattu dans les rangs Allemands en 1944, marche le 1er Janvier 2014 pour célébrer le 105ème anniversaire de la naissance de Stepan Bandera, qui participa à l’organisation de deux bataillons Ukrainiens au sein de l’armée nazie. Oleg Tyagnibok, son fondateur et actuel dirigeant, est l’auteur de "c’est une mafia juive moscovite qui dirige le pays", et Andriy Parubiy (l’autre fondateur, nommé "secrétaire du Conseil de la sécurité nationale et de la défense" du nouveau gouvernement) était récemment appelé "le commandant" pour sa coordination sur le terrain des groupes néofascistes tels que Praviy Sektor et Spilna Sprava. Leader de Pravy Sektor, Dmytro Yarosh déclarait au Time avoir un arsenal d’armes à sa disposition ; l’un de ses principaux coordinateurs lors des récents évènements, Aleksandr Muzychko déclarait "Je combattrai les communistes, les Juifs et les Russes jusqu’à la mort !" (on a pu le voir, récemment débouler armes à la mains dans les mairies, tribunaux). Enfin, signalons que les autres membres du gouvernement (Arsen Avakov à l’intérieur, Pavlo Chemeta à l’économie, Oleksandr Shlapak aux finances), sont libéraux et pro-Européens, comme les proches Iatseniouk (Front pour le changement) et Timochenko (BiouT).

    Démocratie : one way

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  9. Il est incroyable de constater ce qu’un gouvernement non élu peut prendre comme décisions "démocratiques". Alors que le parlement avait associé la destitution de Ianoukovitch à la tenue d’élections anticipées le 25 Mai, le président du conseil Européen Van Rompuy déclare dès le 6 Mars : "Nous signerons les volets politiques de l’accord (entre l’Ukraine et l’UE, ndr) très bientôt, avant les élections". Il faut dire que la veille, le président de la commission Européenne Barroso avait annoncé, en échange, un plan d’aide à Kiev de 11 milliards d’Euros (1,6 milliard de prêts dans le cadre de l’assistance macro-économique, 1,4 milliard de dons, 3 milliards provenant de la Banque d’investissement européenne, 5 milliards de la BERD). Quant au FMI, sollicité dès le 26 février, il se déclare prêt le 28 mars à débloquer entre 14 et 18 milliards de dollars sur deux ans ; une offre bien évidemment conditionnée aux fameux "ajustements structurels" de l’institution (privatisations, gels des salaires, coupe dans les budgets sociaux ...). Ajoutons à tout ça le prêt d’un milliard de dollars consenti par le gouvernement Etasunien et les 3 milliards de la banque mondiale. Tout est dit ? Presque. "J’ai invité le Conseil de l’Atlantique Nord à visiter Kiev et y tenir une réunion [...] Nous pensons que cela renforcera notre coopération.", déclare Iatseniouk. La boucle est bouclée. Il sera probablement le candidat idéal de l’occident lors des élections de mai, élections auxquelles devrait aussi participer Timochenko ... Et Ianoukovitch ? L’Ukraine a lancé contre lui un "mandat d’arrêt international" pour "meurtres de masse", explique Oleg Makhnitski, le nouveau procureur général par intérim ... du parti Svoboda. Par ici la démocratie messieurs-dames ... Non, par ici ... Ici on vous dit !

    Lorsqu’on regarde la carte des votes au second tour des dernières élections présidentielles, on constate que l’Ukraine est idéologiquement coupée en deux. Les régions est et sud ont placé Ianoukovitch en tête, tandis que l’ouest et le nord ont principalement voté pour Timochenko (on retrouve à peu près la même ligne de démarcation que pour les élections de 2004 qui avaient opposé au second tour Ianoukovitch à Loutchenko). Au clivage politique, s’ajoute dans le pays une fracture religieuse entre chrétiens catholiques et orthodoxes : l’église Grecque-catholique (environ 5 millions de fidèles) est unie à Rome tandis que la branche principale de l’église orthodoxe est canoniquement rattachée au patriarcat de Moscou (20 millions de fidèles approximativement). Politiquement et religieusement, le pays est donc tiraillé entre une aspiration pro-Européenne d’un côté et pro-Russe de l’autre. En 2012, le projet de loi élargissant les droits d’utilisation de la langue Russe avait d’ailleurs déclenché une bagarre générale au parlement (cette loi reconnaissait statut de langue régionale dans les régions où les russophones représentent plus de 10% de la population, soit dans 13 sur 27 régions, dont Kiev). Le 23 Février, en plein renversement de régime, c’est l’annulation de cette loi par le parlement Ukrainien qui met le feu aux poudres.

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  10. Principalement russophiles et russophones, les régions de l’est et du sud sont depuis le 23 février le théâtre d’importantes manifestations pro-Russes. Plusieurs dizaines de milliers de personnes défilent ainsi à Kharkiv, Donetsk, Lougansk, Odessa, Sébastopol ..., réussissant dans certains cas à occuper le siège de l’administration régionale et même à en renverser provisoirement le gouverneur. En Crimée (région donnée à l’Ukraine par Kroutchev du temps de l’URSS et disposant depuis 1991 d’une relative autonomie), le premier ministre Sergueï Axionov demande le 1er mars à la Russie de restaurer "la paix et le calme". Son parlement annonce le 6 mars la tenue d’un référendum le 16 mars portant sur le rattachement de la péninsule à la Russie, et proclame entre-temps (le 11 Mars) son indépendance. Mais à Kiev, le nouveau pouvoir "démocratique" ne l’entend pas de cette oreille. Le 5 mars, une enquête est ouverte à l’encontre des dirigeants Criméens pour "crime contre l’État portant atteinte à l’intégrité territoriale". Le 6 mars, à Donetsk, la police déloge les manifestants de l’administration régionale, procède à 75 interpellations et arrête le leader Pavel Goubarev pour "atteinte à l’intégrité nationale". Le 17 mars, c’est un leader d’Odessa, Anton Davidchenko, qui est arrêté pour "séparatisme" et "atteinte à l’intégrité territoriale et à l’inviolabilité de l’Ukraine" ...

    En Crimée, 60% des habitants sont ethniquement Russes et 98 % sont Russophones. Alors que les régions industrielles de l’Est sont économiquement liées à la Russie, l’enjeu dans la péninsule est plus stratégique. La ville de Sébastopol (qui dispose elle-même en Crimée d’un statut particulier) abrite la flotte Russe, lui donnant ainsi un précieux accès aux eaux chaudes de la mer noire. Il était donc prévisible que la Crimée demande son rattachement à la Russie, comme il était prévisible que cette dernière intervienne rapidement face au grondement cumulé de Kiev, Washington et Bruxelles (signalons que Poutine a quand même attendu le feu vert du parlement). Mais pendant que l’Ukraine bascule à l’ouest grâce à un gouvernement non élu, les dirigeants occidentaux jalousent le lot de consolation Russe. Obama : "Le monde est uni pour dire que la Russie a violé le droit international". Hollande : "des événements d’une gravité exceptionnelle qui rappellent un temps que l’on croyait révolu, celui des ingérences, des interventions et des démonstrations militaires". Le moment semble donc venu de s’en remettre à la neutralité des organisations internationales. Sollicitée par Kiev et considérant le référendum en Crimée "illégal", l’OSCE est malheureusement refoulée de Crimée le 6 mars. Quant à l’émissaire ONUsien et (ancien de l’OTAN) Robert Serry, c’est peut être Victoria Nuland qui en parle le mieux : "Ce type de l’ONU, Robert Serry, ce serait super pour aider à coller les choses". Il est lui aussi éconduit hors de Crimée ... où 96,5 % des habitants valident finalement le référendum.

    (suite en dessous:)

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  11. Alors que les Etasuniens soumettent le 15 mars à l’ONU une résolution déclarant ce référendum "sans aucune validité" (à laquelle la Russie opposera évidemment son véto) et que l’Assemblée générale de l’ONU considère toujours le 28 mars la Crimée comme Ukrainienne, Poutine a beau jeu de souligner le "précédent" du Kosovo. Le 17 février 2008, ce territoire Serbe à majorité Albanaise avait proclamé son indépendance, laquelle avait été reconnue dans les jours suivants par les Etats-Unis, la France, l’Angleterre... Saisie par la Serbie, la cour internationale de justice (organe de l’ONU) avait alors statué le 22 juillet 2010 : "l’adoption de la déclaration d’indépendance du 17 février 2008 n’a violé ni le droit international général, ni la résolution 1244 (1999) du Conseil de sécurité, ni le cadre constitutionnel". Rappelons que les " pays du bien" (USA, France, Angleterre ...) avaient à l’époque soutenu l’UCK (organisation militaro-mafieuse connue pour ses camps de la mort, ses trafics d’organes et ses trafics de drogues), et que 5.000 soldats de l’OTAN stationnent encore aujourd’hui au Kosovo. Gageons que les tatares de Crimée ne subiront pas les mêmes persécutions que la minorité Serbe du Kosovo (meurtres, prélèvements d’organes, incendies de maisons).

    L’épisode Criméen du mois de mars aura en tout cas amené les occidentaux à vouloir "punir" les (pro-) Russes : suspension du G8, annulation du sommet UE/Russie, privation de visas de personnalités Russes et Ukrainiennes, gels de leurs avoirs .... En choisissant de s’attaquer directement au Kremlin (personnalités proches de Poutine, banque Rossiya), les Etasuniens sont notamment plus offensifs que les Européens. Il faut dire que ces derniers ont aujourd’hui avec les Russes des intérêts croisés : investissements de compagnies pétrolières telles que Total (Français) ou BP (Anglais) en Russie, capitaux Russes placés dans les banques Londoniennes, vente de bateaux militaires Français "mistrals" à la Russie, consommation de gaz Russe en Europe (essentiellement en Allemagne). De leur côté, les USA pourraient réussir un double coup économique et géopolitique si leur gaz de Schiste venait à se substituer au gaz Russe dans l’approvisionnement de l’Europe. Mais la Russie n’entend pas se laisser donner la fessée. Nullement impressionnée par les sanctions occidentales, elle envisage de remettre en question les inspections étrangères de son arsenal d’armes stratégiques (traité START) puis établit ses propres sanctions contre des responsables Etasuniens (tout en ratifiant le traité de rattachement de la Crimée). Enfin, elle poste ses troupes le long de la frontière Ukrainienne. Ne pourrait-elle pas elle aussi, souffler sur les braises dans l’est Ukrainien ? Et en Transnistrie ou en Gagaouzie, territoires pro-Russe au sein de la Moldavie qui vient juste de signer le pacte d’association avec l’Union Européenne ? Avec un possible effet domino. C’est peut être cette capacité de nuisance réciproque qui laisse entrevoir une sortie de crise ...

    http://www.legrandsoir.info/la-dechirure-ukrainienne.html

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  12. Enquête Ohio relie les tremblements de terre à la fracturation

    Avril 12, 2014 04:36

    Les géologues d'Ohio ont lié les tremblements de terre mineurs dans une formation rocheuse sous les Appalaches à la fracturation hydraulique, une première dans l'état. Le constat a poussé l'État à offrir de nouvelles règles d'autorisation pour certaines zones ciblées pour le développement du pétrole et du gaz.

    L'état d'une enquête de cinq petits tremblements de terre qui ont eu lieu le mois dernier près de Youngstown, trouvent la fracturation hydraulique, ou fracking, processus d'injection d'eau et de sable dans le Shale d'Utica mettre la pression sur une petite ligne de faille, État Oil & Gas chef Rick Simmers dit. Il a ajouté que le lien était «probable», selon AP .

    Mijote dit que ce sont les premières secousses de temps dans cette partie de la région des Appalaches ont été directement associés à la fracturation. Bien qu'il a déclaré que certains tremblements de terre dans la région avaient été liés à des puits profond d'injection qui sont utilisés pour disposer de la quantité massive d'eaux usées toxiques les exigences des processus de fracturation.
    Pour libérer le gaz naturel souterrain profond, la fracturation nécessite de grandes quantités d'eau, de sable et de produits chimiques à pomper souterrain. Ce processus a été liée à la contamination des eaux souterraines, l'activité sismique, et d'autres problèmes de santé pour les humains et l'environnement local.

    Ohio a déclaré la compagnie responsable de la mise hors les tremblements - qui ne sont pas facilement remarqué par les résidents de la région - semble avoir suivi les règles de l'Etat pour la fracturation.

    La région des Appalaches - avec son riche en gaz de schiste de Marcellus, qui se trouve au-dessus du Shale d'Utica - a été un foyer particulier pour les activités de fracturation. Les compagnies d'énergie ont foré des milliers de "puits de gaz non conventionnels au cours des dernières années», selon AP.

    En réponse aux conclusions du tremblement de terre, Ohio émis de nouvelles licences pour les sites de forage dans les trois miles "d'une faille connue ou activité sismique de magnitude 2,0 ou plus." Ces sites seront nécessaires pour disposer d'un équipement sismique de surveillance high-tech. Les régulateurs auront un accès direct à tous les résultats des instruments, Simmers dit.
    Si un tremblement de terre de magnitude 1,0 ou plus est détectée, le forage sur le site sera suspendu jusqu'à nouvel évaluation. Si un lien entre l'activité de la fracturation hydraulique et les tremblements se trouve, le forage sera mis en attente.

    (suite en dessous:)

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  13. Ohio a mis en place un moratoire de forage indéterminée sur le site des tremblements de mars, alors que l'extraction de pétrole et de gaz a été autorisé à continuer à cinq puits existants sur le site.

    «Bien que nous ne pouvons jamais être à 100 pour cent sûr que les activités de forage sont reliés à un événement sismique, la prudence veut que nous prenons ces nouvelles mesures pour protéger la santé humaine, la sécurité et l'environnement», a déclaré James Zehringer, directeur du département des ressources naturelles de l'Ohio.

    La réglementation de l'État partout dans les États-Unis vont probablement étudier les actions de l'Ohio pour les implications pour l'industrie en général, a déclaré Gerry Baker, directeur adjoint de la direction de la Oil and Gas Commission de l'Interstate. Le forage de pétrole et de gaz a explosé à travers les États-Unis dans des endroits avec différentes formations rocheuses. Ainsi, les conclusions de l'Ohio peuvent pas traduire facilement à d'autres régions où la fracturation est répandue.

    Pendant ce temps, les géologues ont lié une vague sans précédent de l'activité sismique dans l'Oklahoma à la fracturation hydraulique dans l'état.

    En Mars, il a été signalé que les régulateurs dans l'Oklahoma, l'Ohio, le Kansas, le Texas et discuté des moyens de renforcer mutuellement les normes de fracturation. Selon Bloomberg Nouvelles, ils travaillent aussi à établir des procédures de contrôle similaires à travers les Etats qui pourraient empêcher les tremblements de terre se produisent à l'avenir.

    http://rt.com/usa/ohio-earthquake-fracking-appalachians-052/

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    1. Le plus grave dans toutes ces constatations que peuvent faire les particuliers est que - comme pour les inondations (qui font ou vont faire des milliers de morts) - ce sont encore les 'pouvoirs publics' qui sont en cause dans cette hégémonie volontaire ! Et que, malgré que ces faits soient actualisés de partout dans le monde (comme pour les fausses vaccinations qui n'ont pour but que de tuer la population ou de la réduire) les guerres continuent d'être et c'est le peuple qui est continuellement pris pour cible ! (et jamais les intermédiaires qui prônent la réduction de la population).

      Ainsi, malgré qu'il soit encore difficle pour les gens de parler d'une seule voix faute de représentants officiels élus par référendums avec dépouillements papiers faits sur place, l'avancée grâce à l'Internet est immense !

      Oui, ils l'avouent et le prouvent que le non-dragage des fleuves & rivières n'a pour but que de tuer les gens ! Oui, chacun peut voir près de chez soi des amas de terres et graviers dans le lit des courants d'eau (où poussent même des arbres !!) afin que lors des crues dues simplement à quelques averses naturelles comme il y a toujours eues, il y est des ensevelissements de champs et de maisons provoquant la noyade programmée de partout dans le monde !!

      Oui, ils le savent que d'injecter des produits toxiques et explosifs dans les nappes phréatique ne peut qu'en provoquer la pollution irréversible et de faire sauter n'importe quel logis où ses habitants ont osé ouvrir les robinets d'eau à côté d'une flamme !

      Tout est fait pour tuer le peuple et d'en réduire ses habitants ! Tout est fait pour le ruiner sous diverses fausses justifications d'augmenter le prix du pétrole (qui coûtent moins cher que l'eau en pays producteurs !!)

      http://en.wikipedia.org/wiki/Gasoline_and_diesel_usage_and_pricing

      http://france-inflation.com/graph_carburants.php

      comme il en est bientôt pour les prix entendus du gaz où seules les barbouzes de Kiev sont reconnues comme officielles !!! respectées et validées par l'ONU et par d'autres de même valeur !!!

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    2. Fracturation hydraulique et seisme : lien établi

      Ledevoir
      sam., 12 avr. 2014 08:16 CDT

      Colombus - Des géologues de l'État de l'Ohio ont établi pour la première fois un lien entre l'activité sismique dans l'est de l'État et la fracturation hydraulique, confirmant les soupçons de militants dont les appels à une restriction de forage avaient été vains.

      Le responsable de la division pétrolière et gazière du département des Ressources naturelles de l'Ohio, Rick Simmers, a affirmé vendredi à l'Associated Press que l'État avait suspendu le forage pour une période indéterminée au site près de Youngstown. Cinq faibles secousses avaient été enregistrées à cet endroit en mars, et une enquête a conclu à un lien probable avec la fracturation hydraulique utilisée pour extraire le gaz de schiste.

      Un puits d'injection profond pour les eaux usées de la fracturation avait été lié à des séismes dans la région en 2012.

      Interruption forcée en cas de séisme

      M. Simmers a indiqué que l'Ohio exigera une surveillance de l'activité sismique comme condition à la délivrance de tout nouveau permis de forage dans un périmètre d'environ 4,8 kilomètres d'une faille connue ou d'une activité sismique existante de 2,0 ou plus. Le forage sera interrompu à des fins d'évaluation à la suite de toute secousse d'une magnitude de 1,0 ou plus, et sera suspendu si un lien de cause à effet est trouvé.

      Un sismologue du département de l'Intérieur a indiqué qu'il s'agissait d'un premier lien établi entre l'exploration dans la formation de schiste de Marcellus et l'activité sismique dans le nord-est des États-Unis au cours des dernières années.

      http://fr.sott.net/article/20520-Fracturation-hydraulique-et-seisme-lien-etabli

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  14. La sécurité sociale, cible du Trésor américains pour les anciennes dettes de leurs parents



    Avril 11, 2014 16:52


    Beaucoup d'Américains s'attendent à voir leur remboursement d'impôt dans leurs comptes bancaires bientôt se réveiller à un scénario très différent: le gouvernement est d'intercepter activement leurs contrôles afin de rembourser les dettes dont ils ne sont pas responsables.

    Selon un nouveau rapport dans le Washington Post, le gouvernement fédéral saisit près de 2 milliards de dollars de centaines de milliers de contribuables cette année afin de régler les dettes, certains engagés par leurs parents, dont certains remontent à plus d'une décennie.

    Ce processus est en cours depuis 2011, quand une révision de la loi d'orientation agricole adoptée par le Congrès a supprimé la loi 10-déchirure de limitations sur les dettes dues aux États-Unis. Depuis que le projet de loi a été adopté, le gouvernement a collecté $ 424 000 000 sur les dettes de plus de dix ans. Cette année, cependant, a vu la Social Security Administration (SSA) de revendication seul que 400.000 Américains doivent un total de 714 millions $ dans les dettes de plus de 10 ans.

    De nombreuses agences du gouvernement a déclaré au Post qu'ils n'étaient pas responsables de la poussée pour le changement, avec la porte-parole de la sécurité sociale Dorothy Clark en disant: «Nous avons l'obligation de bénéficiaires actuels et futurs de la sécurité sociale pour tenter de récupérer l'argent que les gens ont reçu quand il n'était pas due. "

    Dans un cas documenté par le journal, 58 ans Marie Grice du Maryland a découvert son remboursement d'impôt avait été saisi par le gouvernement pour payer une dette qu'elle ne savait même pas d'exister, et avait été engagée en vertu de la sécurité sociale le numéro de son père. Son père est mort en 1960, mais sa mère - également décédée maintenant - a reçu des prestations de survivant, et la SSA prétend surpayés quelqu'un en 1977 mais il n'est pas sûr de qui.

    En conséquence, l'agence a ciblé le frère plus vieux - Marie - de payer le 37-year-old dette. Si elle était incapable de payer en entier, il se serait déplacé vers le frère suivant.

    "Ce fut un choc», dit Grice la Poste. "Ce qui me encens est la façon dont ils sont allés à ce sujet. Ils m'ont donné aucun avis, ils ne peuvent pas prouver que j'ai reçu un paiement en trop, et ils utilisent des tactiques d'intimidation, menace de le signaler au bureau de crédit. "

    Bien que le site Web de la Federal Trade Commission déclare que les citoyens "ne sont généralement pas tenus de payer les dettes d'un parent décédé de leurs propres actifs," l'Afrique subsaharienne a dit que si un membre reçoit indirectement l'aide de prestations de sécurité sociale, leur argent peut être confisqué à rembourser dettes indépendamment de la façon dont il est vieux.

    "Alors que nous sommes responsables de la collecte de dettes en souffrance envers les contribuables, nous comprenons l'importance de veiller à ce que les débiteurs soient traités équitablement», a déclaré Jeffrey Schramek du Département du Trésor à la Poste.

    (suite en dessous:)

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  15. Fonctionnaires du Trésor ont également déclaré que, avant le remboursement de quelqu'un peut être saisi, la preuve de la dette doit exister. Dans le cas de Grice, toutefois, les fonctionnaires d'Afrique subsaharienne ont dit à la femme que les documents n'existaient pas certifier la validité de la dette.

    «La partie la plus folle de tout cela est la façon dont le gouvernement s'empare de l'argent d'un enfant à rembourser une dette que l'enfant n'a même jamais entendu parler», l'avocat de Grice, Robert Vogel, a déclaré. "Ils vont dire que quelqu'un a été payé pour le bénéfice de l'enfant, mais l'enfant n'avait aucun contrôle sur l'argent et il n'y a aucun moyen de savoir si le parent jamais utilisé l'argent pour le bénéfice de cet enfant ".

    Grice n'est pas la seule personne ce qui se passe, bien sûr, mais elle a de la chance en ce que Vogel a décidé de prendre sur son cas gratuitement. D'autres qui ont vu leurs remboursements prises - allant de quelques centaines de dollars à plus de deux mille - ne peuvent pas se permettre de monter un défi juridique et donc ne font pas. Vogel a déclaré au Post qu'il est très préoccupé par la loi levé par le Congrès.

    "Le gouvernement peut vraiment ramener à la vie une affaire qui était mort depuis longtemps ?" il a demandé. "Peut-on vraiment le droit de saisir l'argent d'un enfant pour satisfaire la dette d'un parent ?"

    http://rt.com/usa/social-security-treasury-target-americans-968/

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    1. LA CONFISCATION A COMMENCE !! Oui, là comme ailleurs les biens de tous sont en danger. Il y en va de la reconnaissance/validation qui fera jurispudence et confirmera que telle ou telle dette faite par Jules César ou Cléopatre est justifiée/reconnue comme telle et au devoir d'être payée par les descendants !!! (+ intérêts et 'frais de calcul' !).

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  16. L’argent n’est qu’une reconnaissance de dette...

    La vérité éclate : un accès de franchise de la Banque d’Angleterre démolit les bases théoriques de l’austérité. (The Guardian)

    11 Avril 2014
    David Graeber

    On dit que dans les années 1930, Henry Ford aurait fait remarquer que c’était une bonne chose que la plupart des Américains ne savent pas comment fonctionne réellement le système bancaire, parce que s’ils le savaient, « il y aurait une révolution avant demain matin ».
    La semaine dernière, il s’est passé quelque chose de remarquable. La Banque d’Angleterre a vendu la mèche. Dans un document intitulé « La création de l’argent dans l’économie moderne », co-écrit par trois économistes de la Direction de l’Analyse Monétaire de la banque, ces derniers ont déclaré catégoriquement que les hypothèses les plus courantes sur le fonctionnement du système bancaire sont tout simplement fausses, et que les positions plus populistes, plus hétérodoxes qui sont généralement associées à des groupes comme Occupy Wall Street, sont correctes. Ce faisant, ils ont jeté aux orties les bases théoriques de l’austérité.
    Pour avoir une idée de la radicalité de cette nouvelle position de la Banque, il faut repartir du point de vue conventionnel, qui continue d’être la base de tout débat respectable sur la politique économique. Les gens placent leur argent dans des banques. Les banques prêtent ensuite cet argent avec un intérêt - soit aux consommateurs, soit aux entrepreneurs désireux d’investir dans une entreprise rentable. Certes, le système de réserve fractionnaire ne permet pas aux banques de prêter beaucoup plus que ce qu’elles détiennent en réserve, et il est vrai aussi que si les placements ne suffisent pas, les banques privées peuvent emprunter plus auprès de la banque centrale.
    La banque centrale peut imprimer autant d’argent qu’elle le souhaite. Mais elle prend aussi garde à ne pas en imprimer trop. En fait, on nous dit souvent que c’est même la raison d’être des banques centrales indépendantes. Si les gouvernements pouvaient imprimer l’argent eux-mêmes, ils en imprimeraient sûrement beaucoup trop et l’inflation qui en résulterait sèmerait le chaos. Des institutions telles que la Banque d’Angleterre ou la Réserve Fédérale des États-Unis ont été créées pour réguler soigneusement la masse monétaire pour éviter l’inflation. C’est pourquoi il leur est interdit de financer directement un gouvernement, par exemple, en achetant des bons du Trésor, mais au lieu financent l’activité économique privée que le gouvernement se contente de taxer.
    C’est cette vision qui nous fait parler de l’argent comme s’il s’agissait d’une ressource limitée comme la bauxite ou le pétrole, et de dire des choses comme « il n’y a tout simplement pas assez d’argent » pour financer des programmes sociaux, et de parler de l’immoralité de la dette publique ou des dépenses publiques « au détriment » du secteur privé. Ce que la Banque d’Angleterre a admis cette semaine est que rien de tout ça n’est vrai. Pour citer son propre rapport : « Plutôt que de recevoir des dépôts lorsque les ménages épargnent pour ensuite prêter, le crédit bancaire crée des dépôts » ... « En temps normal, la banque centrale ne fixe pas la quantité d’argent en circulation, pas plus que l’argent de la baque centrale n’est « démultiplié » sous forme de prêts et dépôts. »

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  17. En d’autres termes, tout ce que nous croyions savoir est non seulement faux – mais c’est exactement le contraire.

    Lorsque les banques font des prêts, elles créent de l’argent. C’est parce que l’argent n’est qu’une simple reconnaissance de dette. Le rôle de la banque centrale est de superviser une décision juridique qui accorde aux banques le droit exclusif de créer des reconnaissances de dette d’un certain genre, celles que le gouvernement reconnaît comme monnaie légale en les acceptant en paiement des impôts. Il n’y a vraiment pas de limite à la quantité que les banques pourraient créer, à condition de trouver quelqu’un disposé à emprunter. Elles ne seront jamais prises de court pour la simple raison que les emprunteurs, en général, ne prennent pas l’argent pour le cacher sous leur matelas ; en fin de compte, tout argent prêté par une banque finira par retourner vers une banque. Donc, pour le système bancaire dans son ensemble, tout prêt devient simplement un autre dépôt. De plus, lorsque les banques ont besoin d’acquérir des fonds auprès de la banque centrale, elles peuvent emprunter autant qu’elles le souhaitent ; la seule chose que fait la banque centrale est de fixer le taux d’intérêt, c’est-à-dire le coût de l’argent, pas la quantité en circulation. Depuis le début de la récession, les banques centrales américaines et britanniques ont réduit ce coût à presque rien. En fait, avec « l’assouplissement quantitatif » [« quantitative easing » ou planche à billets - NdT] elles ont injecté autant d’argent que possible dans les banques, sans produire d’effets inflationnistes.

    Ce qui signifie que la limite réelle de la quantité d’argent en circulation n’est pas combien la banque centrale est disposée à prêter, mais combien le gouvernement, les entreprises et les citoyens ordinaires sont prêts à emprunter. Les dépenses du gouvernement constituent le principal moteur à l’ensemble (et le document admet, si vous le lisez attentivement, que la banque centrale finance bien le gouvernement, au final). Il n’est donc pas question de dépenses publiques « au détriment » d’investissements privés. C’est exactement le contraire.

    Pourquoi la Banque d’Angleterre a-t-elle soudainement admis cela ? Eh bien, une des raisons, c’est parce que c’est évidemment vrai. Le travail de la Banque est en fait de faire fonctionner le système, et ces derniers temps le système n’a pas très bien fonctionné. Il est possible qu’elle a décidé que maintenir la version conte-de-fées de l’économie, un version qui s’est avérée très pratique pour les riches, est tout simplement devenu un luxe qu’elle ne peut plus se permettre.
    Mais politiquement, elle prend un risque énorme. Il suffit de considérer ce qui pourrait arriver si les détenteurs d’hypothèques réalisaient que l’argent que la banque leur a prêté ne vient pas en réalité des économies de toute une vie de quelques retraités économes, mais que c’est quelque chose que la banque a tout simplement créée avec une baguette magique que nous, le public, lui avons donnée.

    Historiquement, la Banque d’Angleterre a eu tendance à jouer un rôle de précurseur, en présentant une position apparemment radicale qui finissait par devenir la nouvelle orthodoxie. Si tel est le cas ici, nous pourrions peut-être bientôt savoir si Henry Ford avait raison.

    http://www.legrandsoir.info/la-verite-eclate-un-acces-de-franchise-de-la-banque-d-angleterre-demolit-les-bases-theoriques-de-l-austerite-the-guardian.html

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  18. Malouines de l'OTAN "claque Argentine comme au Royaume-Uni se prépare pour les jeux de guerre


    Avril 12, 2014 12:28



    Rodomontades sur les îles Falkland, la scène d'un conflit sanglant entre l'Argentine et la Grande-Bretagne en 1982, est à la hausse comme le Royaume-Uni se prépare à des exercices militaires au large de la côte de la nation sud-américaine.

    Rapports que le Royaume-Uni mene des exercices militaires sur les îles Falkland, connues sous le nom de Las Malvinas en Argentine, a provoqué une vive réaction du gouvernement de la présidente Cristina Fernandez de Kirchner, qui a appelé les îles "base militaire de l'OTAN" dans la région. Eduardo Zuain, vice-ministre des Affaires étrangères de l'Argentine, a convoqué l'ambassadeur britannique à Buenos Aires pour protester contre la "nouvelle démonstration de force militaire" sur ce Buenos Aires considère comme «territoire occupé». Un porte-parole de l'Ambassade d'Argentine à Londres a déclaré: «Le Gouvernement du Royaume-Uni va mener des exercices militaires sur le territoire argentin occupé ... y compris les lancements de missiles en provenance des îles Malvinas. "

    Le porte-parole a appelé les prochains exercices Colombie "provocations et actes hostiles" au nom d'une "puissance nucléaire extra-continental." "Cette action est un nouvel exemple du mépris du Royaume-Uni pour les résolutions des Nations Unies, qui appellent les deux parties à reprendre les négociations sur la souveraineté et s'abstenir d'introduire des modifications unilatérales de la situation tant que le différend persiste. "

    Les résidents des îles Falkland faiblement peuplées voté par 1513 à trois en faveur du maintien sous contrôle britannique lors d'un référendum l'année dernière. Le Premier ministre britannique David Cameron a déclaré que les résultats du vote "ne pouvaient pas ont envoyé un message clair." Les jeux de guerre sont prévues pour avoir lieu Avril 14-27.

    Les tensions sur les îles Malouines, un archipel situé dans l'océan Atlantique Sud composé de l'Est Falkland, West Falkland et 776 petites îles, ont mis à rude épreuve sur les relations entre Buenos Aires et Londres depuis l'époque du colonialisme. Le 2 Avril 1982, les tensions séculaires ont éclaté lorsque la junte militaire de l'Argentine a envahi les îles à une audacieuse effort pour établir un contrôle sur l'archipel, avec une superficie de 4700 miles carrés (12.200 kilomètres carrés). Le gouvernement britannique a répondu par l'envoi d'une importante force navale et de faire un assaut amphibie sur les îles.

    La rencontre a duré 74 jours et s'est terminée avec la remise Argentine le 14 Juin 1982. La guerre a entraîné la mort de 649 militaires argentins, 255 britanniques militaires et 3 Falkland Islanders.

    http://rt.com/news/argentina-uk-drills-nato-136/

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    1. Comme déclarer une guerre pas finie ??!!

      La dictature de la monarchie-dans-son-froque relance la mort vers des îles qui ne lui appartiennent pas afin de remettre en cause le nombre d'habitants qui peuple l'Amérique du Sud !

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  19. Lettre de Vladimir Poutine aux dirigeants européens sur le règlement de la dette gazière de l'Ukraine

    legrandsoir.info
    sam., 12 avr. 2014 06:40 CDT

    Voici notre version française de la lettre adressée par le président russe à 18 dirigeants européens, dans et hors de l'UE, telle qu'elle a été publiée en russe et en anglais par l'agence ITAR- TASS le 10 avril 2014. - Tlaxcala

    L'économie de l'Ukraine dans ces derniers mois a été en chute libre. Ses secteurs industriels et de la construction ont également été en fort déclin. Son déficit budgétaire monte. L'état de son système monétaire est de plus en plus déplorable. La balance commerciale négative s'accompagne d'une fuite de capitaux hors du pays. L'économie de l'Ukraine se dirige résolument dirige vers un défaut de paiement, un arrêt de la production et une montée en flèche du chômage.

    La Russie et les États membres de l'UE sont les principaux partenaires commerciaux de l'Ukraine. Partant de cela, lors du sommet Russie-UE fin janvier, nous sommes parvenus à un accord avec nos partenaires européens de tenir des consultations au sujet du développement de l'économie de l'Ukraine, en tenant compte des intérêts de l'Ukraine et de nos pays tout en formant des alliances d'intégration avec la participation de l'Ukraine. Cependant, toutes les tentatives de la part de la Russie de commencer de véritables consultations n'ont abouti à aucun résultat.

    Au lieu de consultation, nous entendons des appels à la baisse des prix contractuels du gaz naturel russe - prix censés être de nature "politique". On a l'impression que les partenaires européens veulent faire porter unilatéralement la responsabilité sur Russie pour les conséquences de la crise économique de l'Ukraine.

    Dès le premier jour de l'existence de l'Ukraine comme État indépendant, la Russie a soutenu la stabilité de l'économie ukrainienne en lui fournissant du gaz naturel à des prix réduits. En janvier 2009, avec la participation de Ioulia Timochenko alors Premier ministre, un contrat d'achat-vente sur la fourniture de gaz naturel pour la période de 2009 - 2019 a été signé. Le contrat réglementait les questions relatives à la livraison et au paiement pour le produit, et il fournissait également des garanties pour son transit ininterrompu à travers le territoire de l'Ukraine. Qui plus est, la Russie a rempli le contrat selon la lettre et l'esprit du document. Par ailleurs, le ministre ukrainien des Combustibles et de l'énergie à cette époque était Yuriy Prodan, qui détient aujourd'hui un poste similaire dans le gouvernement de Kiev.

    Le volume total de gaz naturel livré à l'Ukraine, comme stipulé dans le contrat pendant la période 2009-2014 (premier trimestre ), s'élève à 147,2 milliards de mètres cubes. Ici, je tiens à souligner que la formule de prix qui avait été fixée dans le contrat n'a pas été modifié depuis ce moment. Et l'Ukraine, jusqu'en août 2013, a effectué des paiements réguliers pour le gaz naturel conformément à cette formule.

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  20. Cependant, le fait que, après la signature de ce contrat, la Russie ait accordé à l'Ukraine toute une série de privilèges sans précédent et des réductions sur le prix du gaz naturel, est une tout autre affaire. Cela s'applique à la remise découlant de l'accord de Kharkov de 2010, qui a été fournie à titre d'acompte sur les futurs paiements de location pour la présence de la Flotte (russe) de la mer Noire après 2017. Cela se réfère également à des réductions sur les prix du gaz naturel acheté par les entreprises chimiques de l'Ukraine. Cela concerne également les remises accordées en décembre 2013 pour une durée de trois mois en raison de l'état critique de l'économie de l'Ukraine. À partir de 2009, la somme totale de ces réductions s'élève à 17 milliards de dollars. À cela, il faut 18,4 milliards de dollars engagés par la partie ukrainienne comme amende minimale pour non-exécution de l'accord d'enlèvement ferme.

    De cette manière, au cours des quatre dernières années, la Russie a subventionné l'économie de l'Ukraine en offrant du gaz naturel à des prix cassés pour un montant de 35,4 milliards de dollars. En outre, en décembre 2013, la Russie a accordé à l'Ukraine un prêt de 3 milliards de dollars. Ces sommes très importantes visaient au maintien de la stabilité et de la crédibilité de l'économie ukrainienne et à la préservation des emplois. Aucun autre pays n'a fourni un tel soutien, sauf la Russie.

    Qu'en est-il des partenaires européens ? Au lieu d'offrir un soutien réel à l'Ukraine, il est question de déclaration d'intention. Il n'y a que des promesses qui ne sont pas appuyées par des actions concrètes. L'Union européenne utilise l'économie de l'Ukraine en tant que source de matières premières alimentaires, de ressources métalliques et minérales et en même temps, comme un marché pour la vente de ses produits manufacturés hautement élaborés (machines-outils et produits chimiques ), créant ainsi un déficit dans la balance commerciale de l'Ukraine de plus de 10 milliards de dollars. Cela correspond à près des deux tiers du déficit global de l'Ukraine pour 2013.

    Dans une large mesure, la crise de l'économie de l'Ukraine a été précipitée par le déséquilibre des échanges commerciaux avec les États membres de l'UE, et cela, à son tour, a eu un impact fortement négatif sur le respect par l'Ukraine de ses obligations contractuelles à payer pour les livraisons de gaz naturel fourni par Russie. Gazprom n'a aucune autre intention que celles stipulées dans le contrat de 2009, ni ne prévoit de créer des conditions supplémentaires. Cela concerne également le prix contractuel du gaz naturel, qui est calculé en stricte conformité avec la formule convenue. Cependant, la Russie ne peut pas et ne doit pas porter unilatéralement le fardeau du soutien à l'économie de l'Ukraine par le biais de l'offre de réductions et de la remise des dettes, ce qui de fait reviendrait à utiliser ces subventions pour couvrir le déficit de l'Ukraine dans ses échanges avec les États membres de l'UE.

    La dette de NAK Naftogaz Ukraine pour le gaz livré a augmenté chaque mois cette année. En novembre-décembre 2013, cette dette s'élevait à 1 451 500 000 milliard de dollars ; en février 2014 , elle a encore augmenté de 260,3 millions et en mars de 526, 1 millions [soit un total de 2,237 milliards de dollars, NdT]. Ici, je voudrais attirer votre attention sur le fait que, en mars, un prix réduit était encore en vigueur, à savoir 268,5 $ pour 1 000 mètres cubes de gaz. Et même à ce prix, l'Ukraine n'a pas payé un seul dollar.

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  21. Dans ces conditions, conformément aux articles 5.15, 5.8 et 5.3 du contrat, Gazprom est contrainte de passer à un paiement anticipé pour la livraison de gaz, et en cas de nouvelle violation des conditions de paiement, cessera complètement ou partiellement les livraisons de gaz. En d'autres termes, seul sera livré à l'Ukraine le volume de gaz naturel payé un mois à l'avance.

    Il s'agit là sans aucun doute d'une mesure extrême. Nous sommes pleinement conscients que cela augmente le risque de voir siphonner le gaz naturel passant à travers le territoire de l'Ukraine et destiné aux consommateurs européens. Nous sommes également conscients que cela peut rendre difficile pour l'Ukraine d'accumuler des réserves de gaz suffisantes pour une utilisation dans la période d'automne et d'hiver. Afin de garantir un transit ininterrompu, il sera nécessaire, dans un proche avenir, de fournir 11,5 milliards de mètres cubes de gaz qui seront injectés dans des installations souterraines de stockage de l'Ukraine, ce qui exigera un paiement d'environ 5 milliards de dollars.

    Mais le fait que nos partenaires européens se soient unilatéralement retirés des efforts concertés pour résoudre la crise ukrainienne et même de la tenue de consultations avec la partie russe, ne laisse à la Russie aucune alternative.

    Il ne peut y avoir qu'un seul moyen de sortir de la situation qui s'est développée. Nous croyons qu'il est essentiel de tenir, sans délai, des consultations au niveau des ministres de l'économie, des finances et de l'énergie afin de travailler sur des actions concertées visant à stabiliser l'économie de l'Ukraine et à assurer la livraison et le transit de gaz naturel russe en conformité avec les termes et conditions fixées dans le contrat. Nous ne devons pas perdre de temps et commencer à coordonner des mesures concrètes. C'est à cette fin que nous lançons un appel à nos partenaires européens.

    Il va sans dire que la Russie est prête à participer à l'effort de stabilisation et de restauration de l'économie de l'Ukraine. Cependant, non d'une manière unilatérale, mais à égalité de conditions avec nos partenaires européens. Il est également essentiel de prendre en compte les investissements réels, les contributions et les dépenses que la Russie a assumées à elle seule pendant une si longue période pour soutenir l'Ukraine. Comme nous le voyons, seule une telle approche serait juste et équilibrée, et seule une telle approche peut conduire à la réussite.

    Vladimir Poutine
    Président de la Russie

    http://fr.sott.net/article/20511-Lettre-de-Vladimir-Poutine-aux-dirigeants-europeens-sur-le-reglement-de-la-dette-gaziere-de-l-Ukraine

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    1. Là, les 'meneurs de jeu' (CEE/mercenaires), commencent à ressentir le poids de la merde qu'ils ont fait et qu'ils sont prêt à avaler la bouche ouverte ! L'inquiétude vient des barbouzes au pouvoir en Ukraine qui veulent et se croient vivre comme des pachas qui vont jusqu'à emmerder ceux qui les ont empalés sur le tuyau ! Hahaha !

      Je pense même qu'ils ne sont pas prêt de quitter Kiev tant ils viennent d'en percevoir leur position monnayable !!

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  22. L'Ukraine envoie des forces spéciales pour "traiter" avec les séparatistes; Donetsk chef de la police démissionne

    Soumis par Tyler Durden sur 12/04/2014 09:40 -0400

    Mettre à jour : Le chef de la police régionale de la ville ukrainienne de Donetsk est déclaré samedi qu'il quittait son poste, en s'inclinant aux demandes des manifestants pro-russes. Au-dessus du siège de la police, le drapeau ukrainien n'était plus voler, et a été remplacé par un drapeau séparatiste, selon un témoin à Reuters. " Conformément à vos demandes je quitte ", a déclaré chef de la police Kostyantyn Pozhydayev manifestants.

    Ainsi, un vers le bas ?

    ***

    Bien que l'histoire principale concernant l'Ukraine reste de la béquille entre Kiev et le Kremlin sur nat livraisons de gaz de Gazprom et Kiev de retard, et à partir d'aujourd'hui - paiements officiellement stoppé - pas un week-end passe sans qu'une ville dans l'est de l'Ukraine tomber à ce qu'on appelle maintenant " séparatistes pro-russes »et ce samedi n'est pas différent. Alors que la semaine dernière, ce sont les villes de l'Est de Luhansk, Donestk et Kharkiv qui ont vu leur bâtiment du gouvernement pris en charge et occupée par les «séparatistes», aujourd'hui c'est au tour de Slaviansk, où des hommes masqués armés de pistolets et de fusils ont monté la garde près de la police la station que des centaines d'habitants réunis autour, des barricades de construction avec des pneus de voiture.

    Selon Reuters, les hommes masqués portaient des rubans orange et noir, un symbole de la victoire soviétique dans la Seconde Guerre mondiale qui a été adoptée par les séparatistes pro-russes en Ukraine.

    Slaviansk est dans la région de Donetsk à environ 150 km (90 miles) de la frontière russo-ukrainienne. Les groupes pro-russes ont également occupé des bâtiments publics dans les villes de Donetsk et Luhansk, et exigent l'autonomie de Kiev.

    Comme on le sait maintenant, les responsables de pro-occidental gouvernement intérimaire de Kiev disent les forces russes peuvent être préparent à traverser la frontière en Ukraine sous le prétexte de protéger les activistes pro-russes de la persécution, mais Moscou nie. Et puisque le récit est très clair, et depuis Kiev s'est fait le plus désespéré d'intensifier le conflit avec la Russie dans une guerre ouverte dans l'espoir d'obtenir le soutien de l'OTAN, il n'est jamais tout à fait clair juste qui est derrière toute provocation.

    Et comme pour accélérer formellement les retombées ministre de l'Intérieur ukrainien Arsen Avakov dit que la police traiterait très fermement avec le groupe dans Slaviansk. "Il ya une différence entre les manifestants et les terroristes", il a écrit sur sa page Facebook.

    Bloomberg a ajouté que l'Ukraine a envoyé des forces spéciales pour faire face à des hommes armés camouflés occupant poste de police dans Slovyansk région de Donetsk est de l'Ukraine, citant également le compte Facebook de Avakov . Il a ajouté que la réponse du ministère "sera très difficile" avec "tolérance zéro pour les terroristes armés."

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  23. Ministre ukrainien des Affaires étrangères Andrii Deshchytsia dit Kiev était prêt à écouter les revendications des manifestants dans l'est de l'Ukraine, mais si les négociations échouent, la police était prête à agir. "Nous considérons que ces actions sont inspirées et préparées en Russie et encouragés par certains des agents russes en Ukraine," il dit à la radio BBC.

    Plus :

    Au moins 20 militants armés portant des tenues de camouflage ont dépareillés sur le siège des services de police et de sécurité dans la ville orientale de Slaviansk, à environ 150 km (90 miles) de la frontière avec la Russie, la saisie des centaines d'armes de poing.

    La police a déclaré plus tard des hommes armés ont pris le siège local du service de sécurité de l'Ukraine SBU.

    Agissant ministre des Affaires étrangères de l'Ukraine, Andriy Deshchytsia, a exhorté la Russie à mettre fin à ce qu'il appelle «actes de provocation» par ses agents dans un appel téléphonique avec le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

    Les bâtiments du gouvernement dans deux autres villes russophones, Donetsk et Luhansk, ont été occupés par des séparatistes depuis le dernier week-end, dans ce que la nouvelle direction pro-Europe à Kiev dit fait partie d'un plan élaboré par le Kremlin pour démembrer l'Ukraine.

    Bien sûr, il est vrai que la Russie attend simplement la possibilité de répondre aux "forces spéciales" représailles et escalade à la Crimée pour protéger les Russes ethniques qui y vivent. La seule question est de savoir si Kiev répondra cette fois, ou de plier complètement comme il l'a fait quand la Russie a annexé la Crimée après ses «alliés» occidentaux n'ont absolument rien fait pour aider le nouveau gouvernement.

    Voici la prise de RT sur les événements :

    Manifestants anti-Kiev ont pris le contrôle de bureau de police de la ville de Slavyansk, est de l'Ukraine. Le maire de la ville, cependant, croit la police ont pris le parti des manifestants, et vont soutenir leurs appels à un référendum sur la sécession. Kiev a promis une réponse musclée et envoyé des forces spéciales là-bas, mais ils sont bloqués par les manifestants dans le centre régional, Donetsk.

    Clips de la scène:( voir sur site)

    Slaviansk n'est pas la seule ville où les séparatistes se révoltent contre le régime Kiev aujourd'hui: Donetsk est une fois de plus à l'honneur.

    Et dans d'autres nouvelles, l'Ukraine a officiellement annoncé qu'il suspendait les paiements à la Russie pour les livraisons de gaz. Comme cela a été largement rapporté ici, une grande partie du gaz naturel qui Etats de l'UE achètent de la Russie est pompé via le territoire ukrainien, si la Russie fait bien sur une menace de couper l'Ukraine pour non-paiement de ses factures, les clients plus à l'ouest sera ont perturbé l'approvisionnement.

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  24. Andriy Kobolev, chef de la direction de la société d'énergie d'Etat de l'Ukraine Naftogaz, a déclaré l'augmentation du prix Russie exigeait pour son gaz était injustifiée et inacceptable.

    "En conséquence, nous avons suspendu les paiements pour la période de négociations sur les prix," Kobolev a été cité comme disant dans une interview avec le journal Zerkalo Nedely de l'Ukraine.

    Alors félicitations Amérique et en Europe: vous êtes maintenant officiellement sur ??le crochet pour payer les factures de Gazprom. Et dire que tout a commencé comme une noble mission de «préserver la démocratie» dans un pays qui a envoyé son président en exil par un violent occidentale orchestrée coup.

    http://www.zerohedge.com/news/2014-04-12/ukraine-sends-special-forces-deal-separatists-who-take-over-another-east-ukraine-cit

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  25. Ce n’est pas parce que le communisme a échoué que le capitalisme est en train de réussir

    Vous êtes Vladimir Poutine
    Norman Spinrad
    11 avril 2014

    Vous êtes Vladimir Poutine, et vous ne comprenez pas pourquoi le soi-disant « Ouest » vous trouve si difficile à comprendre. Peut-être parce que les États-Unis et l’Union européenne sont tellement aveuglés par leur propre idéologie qu’ils ne peuvent véritablement même pas voir qu’ils en ont une ?

    Mais vu du Kremlin, cela saute au yeux. Leurs dirigeants et leur presse proclament que leur économie de marché dominée par un système bancaire transnational globalisé n’est pas une idéologie, mais la triomphante « fin de l’histoire », selon la formule grandiose de Fukuyama, avant la « Grande Récession » et leur soi-disant « Retour au normal » actuel, avec son endettement massif, son chômage massif, la pression sur les salaires et les niveaux d’inégalités grotesques de revenus et de richesse, rend toute cette auto-congratulation idéologique pathétiquement ridicule.

    Vous êtes Vladimir Poutine, et puisque vous êtes un produit de l’idéologie communiste de l’Union soviétique, vous pouvez certainement reconnaître une idéologie qui a échoué lorsque vous en voyez une ! Mais ce n’est pas parce que le communisme a échoué que le capitalisme transnational globalisé prédateur est en train de réussir. En Grèce, par prendre un exemple terrible, en Espagne, en Irlande, en fait dans toute l’Union européenne et même dans le saint des saints, les Etats-Unis.

    Vous êtes Vladimir Poutine, un ancien professionnel du KGB, et donc un réaliste pragmatique qui ne prend pas du tout ses décisions sur la base d’une idéologie. Vous êtes le président trois fois élu de la Fédération de Russie, et votre travail est de défendre, de protéger et d’améliorer l’intérêt national de l’Etat russe et du peuple russe, point.

    Et le peuple russe a été trahi, vomi dessus depuis l’effondrement de l’Union soviétique, ce qui explique pourquoi vous avez déclaré que l’effondrement était la plus grande catastrophe du 20e siècle. Car l’Union soviétique était un état transnational avec des niveaux complexes d’autonomie interne, une véritable fédération unie par des liens d’intérêts économiques mutuels, et non par un chauvinisme tribal étroit.

    Quand Gorbatchev a annoncé qu’il allait « priver l’occident d’un ennemi » et a accepté la réunification de l’Allemagne au sein de l’OTAN, l’accord était que l’OTAN et l’Union européenne ne s’approcheraient pas des frontières de la Russie. Mais c’est exactement ce qu’ils ont fait, dans les Etats baltes, en Pologne, dans les Balkans slaves, et maintenant ils veulent engloutir l’Ukraine.
    Vous êtes Vladimir Poutine, vous avez récupéré la Crimée pratiquement sans coup férir, et vous avez massé des troupes près des frontières orientales de l’Ukraine. Mais vous n’avez pas l’intention d’envahir. La dernière chose que vous voulez est d’annexer l’Ukraine ou sa partie orientale dans la Fédération de Russie, par la force militaire ou par tout autre moyen.

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  26. Vous avez un objectif beaucoup plus vaste - une Union eurasienne, qui s’étendra de Kaliningrad et la frontière occidentale de la Russie à l’est à travers la vaste Sibérie jusqu’à Vladivostok et le détroit de Béring, du nord du cercle polaire arctique jusqu’au Caucase et la frontière avec la Chine. Non pas une Fédération de Russie élargie, mais une confédération transnationale un peu comme l’Union européenne, avec la Russie comme membre principal, comme l’Allemagne dans l’UE, mais encore plus.

    Ce rêve a été raillé comme une « Union soviétique édulcorée. » Et en vérité, cela ressemblera à l’Union soviétique mais sans l’idéologie communiste. Cela ne sera pas basé sur l’idéologie du tout, mais une civilisation multiculturelle plus vaste que l’Europe, avec une union douanière, une monnaie commune, une intégration économique, mais pas d’état national.

    Pendant toute son histoire, la Russie a hésité entre l’ouest, vers l’Europe, et l’est, à travers la Sibérie jusqu’au Pacifique. Vous êtes Vladimir Poutine et vous dites qu’elle doit faire les deux à la fois. Vous êtes Vladimir Poutine et vous rêvez de votre place dans l’histoire comme le fondateur de cette Union eurasienne.

    Et la clé est une Ukraine indépendante et souveraine dotée d’un gouvernement avec lequel vous pouvez traiter. Car le noyau autour duquel l’Union eurasienne doit être construite est le même que celui qui a condamné l’Union soviétique à la désintégration - la Russie, la Biélorussie, le Kazakhstan et l’Ukraine. Seuls, ces quatre états formeraient déjà le cœur d’une Union eurasienne. Mais si l’Occident globalisé dominé par les Etats-Unis avale l’Ukraine, c’en est fini.


    Vous êtes Vladimir Poutine et vous ne pouvez permettre à l’Ukraine de rejoindre ni l’OTAN ni l’Union européenne. Et vous ne le permettrez pas. La force militaire que vous avez massée sur ses frontières orientales est le bâton. Mais une fois qu’il y aura un gouvernement ukrainien avec lequel vous pouvez traiter, vous aurez une carotte encore plus puissante à manier.

    Laissez l’Union européenne et ses gros bras bancaires de la troïka poser leurs revendications économiques sur la table afin que tous les Ukrainiens comprennent que « austérité » signifie pauvreté et misère au service de leur « responsabilité fiscale ».

    Ensuite, vous offrirez votre alternative. Si l’Ukraine adhère à l’Union eurasienne, la Russie ne se contentera pas de prêter de l’argent pour aider à payer sa dette contractée en échange d’austérité. Elle effacera toute la dette par l’achat de la Crimée à l’Ukraine. Vous êtes Vladimir Poutine. Lorsque les enjeux sont de cette taille, vous pouvez vous le permettre.

    Vous êtes Vladimir Poutine, ancien du KGB. Vous êtes Vladimir Poutine, et s’il y a une chose que vous avez apprise, c’est de faire une offre qui ne se refuse pas.

    http://www.legrandsoir.info/vous-etes-vladimir-poutine.html

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  27. L'Europe a soumis le peuple grec à une cruelle expérience

    Par Ambrose Evans-Pritchard
    Le 11 Avril, 2014

    Vente triomphante de la Grèce des obligations de cinq ans sur les hedge funds (1/3) et mondiale des investisseurs - la moitié basés à Londres - nous dit beaucoup de choses sur l'état mental et émotionnel des investisseurs.

    Il nous dit très peu de choses sur l'état de l'économie grecque ou de la société grecque. Ce n'est certainement pas une preuve que la Grèce est en toute sécurité hors de la forêt. Il est encore moins une justification des politiques de la troïka UE / FMI, un échec épique qui sera étudiée ans plus tard par les chercheurs.

    Normalement, quand un pays sort du traumatisme d'un régime d'austérité du FMI, il a au moins un niveau tolérable de la dette, et le cas échéant une monnaie dévaluée pour rétablir la compétitivité. Des réformes difficiles appariés par l'allégement méritée. Le pays est sur une trajectoire viable vers la guérison.

    Ce n'est pas arrivé en Grèce. La dette publique est encore 178pc du PIB, malgré une coupe de cheveux des créanciers privés près de 70pc en termes effectifs, et en dépit (ou à cause) de série de dossiers de prêt UE-FMI - les «prêts d'occupation», comme ils sont connus en Grèce. Ce niveau reste insoutenable pour un pays sans banque centrale souverain et monnaie.

    Marchés le savent. Ils s'arrachent les obligations grecques à des rendements de 4.75pc parce que nous sommes revenus à la frénésie pré-Lehman où ils vont acheter presque n'importe quoi, et c'est tout ce qui reste. Ils font le pari que les autorités de l'UEM seront soutenir la Grèce pour les cinq prochaines années en allongeant les échéances et en offrant des tarifs défiant. Ils sont également le pari que la politique grecque ne seront pas sauter.

    - voir graphique sur site -

    Themistoklis Fiotakis de Goldman Sachs a déclaré que les différentes astuces ont permis de réduire les paiements d'intérêts sur la dette grecque à 4pc à 4.5pc du PIB, pas plus qu'avant la crise, de sorte que le niveau de la dette théorique est (pour l'instant) pas pertinent. Plus de 80pc de la dette grecque sera dans les mains de l'UE / BCE et les créanciers officiels en 2016. Le risque de défaut est "faible".

    Tout cela est vrai, mais 10 rendement grecque a bondi de 32 points de base hier, les acheteurs d'hier sont déjà soigne une perte.

    Si les investisseurs ont vraiment une poignée sur la politique grecque - ou même la politique européenne - est une autre affaire. La coalition de Antonis Samaras est tombé à une marge d'un vote au parlement grec. Le mouvement radical Syriza refuse de disparaître. Il a complété le dernier sondage de Pulse. Le néo-fasciste de la Golden Dawn est toujours à deux chiffres.

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  28. Si vous pensez que nous sommes dans les premières étapes d'un cycle de la liquidité mondiale et une nouvelle expansion, la croissance à la hausse peut être suffisant pour soulever la Grèce et le Club Med bloc au large des récifs. Il est une autre question si vous pensez que le resserrement monétaire G2 par la Chine et les États-Unis suggère que nous pourrions être plus près de la fin d'un cycle qui est déjà vieux de cinq ans, ou si vous vous abonnez à la vue Larry Summers de stagnation séculaire - une autre façon de dire que économies mondiales sont trop élevés, et la consommation trop faible, comme les années 1930.

    Le professeur Charles Wyplosz de l'Université de Genève estime que les dirigeants de l'UEM ont simplement balayé la crise de la dette souveraine sous le tapis. Les ratios d'endettement ont augmenté comme une dynamique déflationniste s'installe. Les niveaux d'endettement actuels en Grèce, en Italie, et le Portugal sont un "désastre" quand la prochaine récession frappe, dit-il.

    Les hedge funds détenant la dette grecque croient qu'ils sont assez agile pour voir une telle tempête à venir et seront en mesure de se décharger de leurs nouvelles obligations sur les fonds de pension endormis (mine et exemplaire) dans le temps. Sans doute, ils ont raison.

    L'économie grecque a récupéré une certaine concurrence par les méthodes brutales de "dévaluation interne", qui est de briser la résistance des travailleurs à des réductions de salaire en conduisant le chômage à des niveaux pénales.

    Le FMI a indiqué dans son 4e examen l'année dernière que le déficit du compte courant a été éliminée en grande partie par "compression des importations", et non par la hausse des exportations. Il est encore un «déficit structurel du compte courant à environ 6pc du PIB», impliquant une surévaluation de la monnaie d'environ 10pc.

    En d'autres termes, la Grèce peut être balance commerciale près maintenant (si elle a encore un déficit de CA), mais c'est après six années de dépression. Il faut un taux de chômage de 27.5pc, ou 58.3pc pour les jeunes, pour atteindre cet objectif. L'implication est que le déficit va sauter à nouveau si la Grèce jamais récupère correctement.

    L'économie a touché le fond après une chute de 26pc du PIB. Mais comme vous pouvez le voir sur ce graphique FMI, l'investissement s'est effondré, et ainsi ont les importations de biens d'équipement nécessaires à la reconstruction industrie brisé du pays:

    - voir graphique sur site -

    Comme vous pouvez le voir, la dépression et déflation par la dette ont fait des ravages avec un passif d'endettement des ménages.

    - voir graphique sur site -

    La Grèce a été sacrifié pour la cause de l'euro, comme les 300 Spartiates, Thébains et Thespians coupées en morceaux aux Thermopyles pour sauver l'alliance.

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  29. Ils ont été privés de la restructuration de la dette au début - qui est ce que beaucoup de conseil du FMI voulaient, selon les minutes du FMI fuite - parce que cela aurait violé la sainteté de l'union monétaire.

    Un ensemble de politiques leur a été imposée (avec la complicité de leurs propres dirigeants) qui enfreint propres règles de prêt du FMI et aucun sens économique. Il a été principalement destiné à gagner du temps pour la zone euro pour consolider les défenses ailleurs et éviter la contagion. (Cela aussi a été admis par le FMI). Les cyniques diraient il a également acheté du temps pour les banques du Nord à s'extraire habilement et déversent leur chargement toxique pour les contribuables de l'UEM.

    Toutes les estimations initiales des coûts de l'austérité étaient sauvagement mal. Les autorités de l'UE ont mal évalué le multiplicateur budgétaire par des ordres de grandeur. Ce n'était pas 0,5 comme on le suppose, mais plus proche de 2,0.

    Ils persistante accusé les Grecs pour avoir manqué les objectifs de déficit quand la cause principale de ces infractions était la terre brûlée, pro-cyclique, et auto-destructeur férocité de la compression budgétaire lui-même (réalisée sans anesthésie monétaires), qui a causé des recettes fiscales de l'effondrement.

    Ils ont accusé les autorités grecques de ne pas privatiser assez vite quand il était en réalité impossible de vendre quoi que ce soit sur un marché de biens et les biens s'effondrer, surtout à une époque où les hommes politiques en Hollande, la Finlande, l'Autriche et l'Allemagne ont ouvertement parlé de l'expulsion Grèce à partir de UEM, et donc lancer le risque de change dans le marché aussi bien.

    Je pense que la Grèce aurait récupéré beaucoup plus rapidement avec des dommages économiques beaucoup moins, et sans flétrir une demi-génération, si elle avait quitté immédiatement l'UEM et adopté un ensemble classique FMI. Il est impossible de le prouver. Nous ne le saurons jamais.

    Ce serait un miracle si la saga sordide et cruel n'a pas laissé un goût très amer en Grèce, ou si elle s'est terminée sur les conditions politiques de l'UEM créancier bloc dans cinq ans.

    La Grèce a survécu à son calvaire sans révolution ou une guerre civile. Si c'est une justification de l'UEM stratégie de la dette crise et la plus grande du projet, la barre est placée bas.

    http://blogs.telegraph.co.uk/finance/ambroseevans-pritchard/100027028/europe-has-subjected-the-greek-people-to-a-cruel-experiment/

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  30. Préparez-vous: la guerre d'Obama Le charbon provoqueront le prix de l'électricité en hausse et pannes


    Lizzie Bennett métro Medic
    12th Avril, 2014


    Nouvelles rapports nous disent que celui qui pense qu'il est Dieu, le président Obama, exhorte les Russes à ne pas couper l'alimentation en gaz à l'Ukraine car il pourrait provoquer le début d'une crise humanitaire parce que des millions d'Ukrainiens peuvent ne pas être en mesure de chauffer leurs maisons prochaine hiver.

    Le même homme a déclaré une guerre sur le charbon, et indirectement sur le peuple américain, sur la base de faux «la science du climat» et la nécessité de réduire les émissions de carbone par la fermeture des centrales au charbon tiré. Cela laissera des millions d'Américains qui ne peuvent pas tourner sur la lumières ou chauffer leurs maisons et les entreprises.

    En 2015, tous les producteurs d'électricité aux États-Unis devront se conformer aux nouvelles normes de Mercure et toxiques atmosphériques. Avec peu de choix mais de respecter les producteurs d'électricité ont commencé à se retirer du charbon centrales électriques qui ne sont pas conformes à la nouvelle réglementation. Des dizaines de centrales au charbon centrale sont destinés à fermer, vous pouvez voir la liste complète ici.

    L'hiver dernier a été le plus froid depuis de nombreuses années, avec beaucoup de jeunes Américains de ne jamais avoir le temps expérimenté comme lui. Même si l'hiver dernier a été exceptionnelle aux États-Unis n'est pas étranger à hivers rigoureux avec pieds de neige, ainsi que la pluie verglaçante et les tempêtes.

    Mike Duncan, de la Coalition américaine pour l'énergie propre a dit Fox Nouvelles:

    "Règlement il y a cinq ans ferme environ 20 pour cent des centrales au charbon. Règlement proposé maintenant pourrait fermer 20 pour cent supplémentaires de centrales au charbon. Et qui crée d'énormes contraintes - nous sommes tout simplement pas prêt pour quelque chose comme ça dans ce pays ",

    L'hiver dernier, American Electric Power (AEP) a dû courir près de 90% des plantes destinées à la fermeture à pleine capacité afin de répondre à la demande. Ils sont préoccupés par ce qui se passera lorsque ces plantes sont closes et ne peuvent pas être remis en ligne pour aider à garder nos lumières et nos maisons chaudes.

    Un rapport de puissance de l'Amérique indique également qu'il y a des problèmes à l'avance si l'EPA continuer dans cette voie. Ils prévoient d'énormes hausses de prix dans le coût de l'électricité et de la perte de près de 3 millions d'emplois:

    (suite en dessous:)

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  31. L'analyse NERA a estimé que le plan de NRDC pourrait coûter aux consommateurs 13 milliards de dollars à 17 dollars par an en plus élevés de l'électricité et du gaz naturel. Contribuables dans la plupart des États pourraient faire face à doubles électricité hausses de prix à deux chiffres. L'analyse mise à jour du NRDC prévoit maintenant sans aucun coût. NERA a également constaté que la proposition de NRDC pourrait entraîner des pertes d'emploi total plus élevé que 2,85 millions entre 2018 et 2033. Par comparaison, les projets NRDC que sa proposition d'augmenter les emplois. ( Source )

    Le rapport poursuit en disant qu'il y aura des problèmes de fiabilité avec demande pas été respectées dans les situations météorologiques extrêmes, que ce soit froid de l'hiver ou la chaleur de l'été.

    Le sénateur Lisa Murkowski (Alaska républicain) lors d'une audience du Sénat cette semaine que la grille était à ses limites de fonctionnement.

    «Huit-neuf pour cent de la capacité du charbon de l'électricité qui est due à aller en ligne a été utilisé comme sauvegarde que pour répondre à la demande cet hiver," dit-elle.

    Dans un rare de convention des parties croix Ouest VirginiaSenator Joe Manchin a déclaré à la même réunion:

    "Ajoutez le fait que l'EPA propose une nouvelle norme de rendement de la source, ce que cela va faire sera effectivement interdire la construction de nouvelles centrales au charbon. Comment pouvons-nous garder les lumières allumées si la vie des gens ne seront pas en danger ? "

    Ne vous méprenez pas si cela va de l'avant les gens vont mourir. Les conditions météorologiques extrêmes tuent des gens, il est vraiment aussi simple que cela. Si Obama permet à l'application de ces règlements, il condamne une partie de ses propres citoyens à mort. Les faibles, les malades et les personnes vulnérables ne survivront pas même un hiver sans chauffage régulier.

    Le gouvernement est de plus en plus flagrant dans le déplacement vers l'avant, c'est un programme Action 21 à l'aide du prétexte de la durabilité et le changement climatique. Quand vous savez que la fermeture des centrales va tuer des gens, mais vous le faites quand même, il ne peut être décrit comme assassiner, et assassiner avec préméditation à cela.

    Prenez soin

    Liz

    http://www.thedailysheeple.com/prepare-yourself-obamas-war-on-coal-will-lead-to-electricity-price-hikes-and-blackouts_042014

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  32. Le gouvernement est l'achat 1,5 millions de cartouches de munitions pour "American Spring» ?


    James Smith Prepper Podcast Radio Network
    12th Avril, 2014


    Un mouvement patriote, appelée American Spring, est prévue pour le mois prochain. Et ce que le gouvernement vient de faire peut-être scellé le sort des participants.

    Hier, Département d'Etat, dont la fonction principale est les relations diplomatiques à l'étranger, a mis dans une demande pour plus de 1,5 millions de cartouches de 4 types de munitions, 9 mm, 5.56x45mm, et 7.62x51mm et 7.62x39mm. Inclus dans la demande était l'arme de nettoyage et de pièces de rechange.

    La demande se décompose de la munition comme suit:

    - 9mm boule de munitions 1000 tours par cas 425 CS;
    - 9mm Simunition - Rouge 1000 tours par cas 100 CS;
    - 5,56 × 45 Boule de munitions de 500 coups par cas 1200 CS;
    - 5,56 × 45 Lié (M249) Ammo 600 coups par caisse. 120 CS;
    - 7,62 × 51 Lié (M240B) Ammo 800 tours par caisse 240 CS;
    - 7.62x51mm boule Ammo 500 rounds par cas 60 CS;
    - 7.62x39mm (AK-47) Ammo 500 rounds par cas 90 CS
    Au cours des cinq dernières années, le Département d'Etat a demandé la munition suivante. Notez la quantité et la fréquence:

    - Décembre 2011 : munitions Simunition, 25000 tours
    - Septembre 2011 : Federal # AE9DP 9MM 115gr FMJ, 60000 rounds, Federal # XM193AF 5,56 55gr MC 90000 rounds
    - Avril 2011 : 9mm munitions Simunition, 40000 tours
    - Janvier 2011 : Les rounds suivants munitions simulées 9mm, Rouge, 100 000 tours
    - Décembre 2010 : 0,22 Caliber munitions, 30 000 tours, 9mm, 115 grains de boule de munitions, 40 000 tours, 5.56mm/.223 Caliber munitions, 55 grains FMJBT, 42000 tours
    - Décembre 2010 : 9mm munitions Simunition, 40000 tours
    - Novembre 2010 : 9mm munitions Simunition, 40000 tours
    - Novembre 2010 : 0,22 munitions de calibre 30 000 tours, 9mm, 115 grains de boule de munitions, 40 000 tours, 5.56mm/.223 munitions de calibre, 55 grains FMJBT, 42000 tours;
    - Novembre 2010 : 9mm, 115 grains, Ball, 50 000 tours, 5.56mm/.223 Caliber, 55 grains FMJBT, 50.000 tours
    - Août 2010 : 9mm, 115 grains Ball, 50000 rounds, 5,56 55 grains FMJBT, 50000 tours, 9MM Simunition rounds, 14.000 tours
    - Août 2010 : 9mm, rouge, Simunition munitions, 25 000 tours
    - Août 2010 : 9mm Luger, 115 grains, 26 000 tours, 5,56, 55 grains, 24 000 tours
    - Août 2010 : 9mm, rouge, Simunition munitions, 25 000 tours
    - Août 2010 : 9mm Luger, 115 grains, 26 000 tours, 5,56, 55 grains, 24 000 tours
    - Août 2010 : Simunition munitions 9mm, 30 000 tours
    - Août 2010 : 9mm boule FMJ 115 grains de munitions, 50 000 tours, 223 CAL/5.56mm 55 grains, FMJ, 50000 rounds, Simunition munitions, 50 000 rounds, 9mm munitions orange Dummy, 250 tours
    - Juin 2010 : 9mm 115 grains de boule de munitions, 50 000 tours, .223/5.56 55 grains FMJBT, 50000 tours, de munitions 9mm factice, 250 tours
    - Septembre 2008 : Federal 5.56mm/223 Cal 55gr FMJBT munitions, 206 000 rounds, Federal # Ae9dp 9mm 115gr FMJ Ammo 206 000 tours
    - Août 2008: 9MM 115 gr FMJ balle munitions 40.000 tours, 9mm munitions fragile 4.000 tours, 5,56 0,223 cal, 55 GR, FMJ BT balle munitions 79500 tours, 0,308 CAL 168 GR BTHP 2500 tours, 223 CAL 556 plomb libre fragile munitions 4000 tours
    - Juin 2008 : 9MM 115 gr FMJ balle munitions 190000 tours, 5.56/.223 cal 55gr FMJBTPN 260 tours, 5.56/.223 cal 55gr plomb libres cassables, 7000 tours, 9 mm plomb cassables 5000 tours
    - Avril 2008 : 9mm 115 gr FMJ balle munitions fédérales 421000 tours, Silver State Armory 5.56 liée munitions M855, 10 000 tours, Silver State Armory 7.62 X 51mm (308 CAL) 175gr BTHP match de qualité 45 000 tours, Silver State Armory 7,62 mm OTAN liés M80 balle 10000 tours, fédérale 7,62 X39mm balle munitions, 50 000 tours

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  33. La sollicitation Avril 2008 a été marquée "*** URGENT ***" , et a été mené à terme trois semaines avant le Département d'Etat a renouvelé du contrat de Blackwater Worldwide, dont les employés tué 17 citoyens irakiens en 2007. Patrick Kennedy, alors secrétaire d'Etat a déclaré , "Nous ne pouvons pas fonctionner sans des entreprises de sécurité privées en Irak."

    La liste montre trois points:

    1. Simunition est le type le plus souvent acheté des munitions par le Département d'Etat, mais ne représente que 6% de la quantité totale dans cette demande;
    2. Les munitions 7.62x39mm n'a jamais été acheté entre Avril 2008 et la sollicitation actuelle;
    3. Même pendant les violents soulèvements au Moyen-Orient, le département d'Etat n'a jamais sollicité pour l'achat de munitions, Simuntion ou autrement.
    4. Même pendant les gros achats de munitions par le Department of Homeland Security , le Département d'Etat a fait des achats minuscules par rapport à cette sollicitation.
    Printemps américain
    En Décembre 2013, l'organisation, "Patriotes pour l'Amérique" posté sur leur page web un mouvement appelé « American Spring ". Voici une vidéo de ce site:

    - voir clip sur site -

    Le mouvement, dirigé par l'ancien colonel américain Harry Riley, est censé être un effort pacifique pour renverser le président Obama de bureau, et demande que tous les participants soient armés et agissent d'une manière civile. Sur le site:

    A: Patriots (noir, blanc, rouge, jaune, brun, mâle, femelle, civiles, militaires, les camionneurs, les cyclistes, les milices, les anciens combattants, vieux, jeunes, chaque Américain qui aime la liberté et de la liberté) Mission: restauration d'un gouvernement constitutionnel, règle de droit, la liberté, la liberté »du peuple, pour le peuple, par le peuple» du leadership fédéral despotique et tyrannique.


    Hypothèses:

    - Des millions d'Américains vont participer.
    - Vétérans et des patriotes américains sont excités à mettre fin à la tyrannie, l'anarchie, et le déchiquetage de la Constitution des États-Unis.
    - Le gouvernement n'est pas la cible, il est bon; direction corrompue et criminelle doit être remplacé.
    - Les gens au pouvoir ne sera pas hésiter à utiliser la force contre désarmés, patriotes pacifiques exerçant leurs droits constitutionnels.
    - Patriots peuvent être tués, blessés, incarcérés.
    - Il n'y a pas d'espoir compte tenu de la technologie d'aujourd'hui de secret pour l'effort et nous ne voulons secret.
    Concept des opérations:

    (suite en dessous:)

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  34. Phase 1 - millions terrain, autant que dix millions de patriotes qui se chargera du montage dans un cadre paisible, non-violent, physiquement non armé (Spirituellement / Constitutionnellement armé), affichage de loyauté indéfectible à la Constitution des États-Unis et contre la direction du gouvernement en place, à Washington , DC, avec la mission de remplacer par des citoyens respectueux des lois leadership. Aller à passage intégral, pas regarder en arrière, inébranlable dans la mission.

    Phase 2 - Un million ou plus de 10 millions assemblé doit être prêt à rester à Washington DC aussi longtemps qu'il faut pour voir Obama, Biden, Reid, McConnell, Boehner, Pelosi et procureur général Holder démis de ses fonctions.
    Conformément aux États-Unis Constitution, le cas échéant, le Congrès des États-Unis prendra les mesures appropriées, exécutez une législation appropriée, face à des postes vacants, ou les États des États-Unis sera nommer des remplaçants pour les postes vacants conforme aux exigences constitutionnelles établies.

    Phase 3 - Ceux avec les principes d'un Ouest, Cruz, le Dr Ben Carson, Lee, DeMint, Paul, gouverneur Walker, Sessions, Gowdy, la Jordanie, devrait comprendre un tribunal et assumer des postes de pouvoir de convoquer des enquêtes, recommander que des accusations appropriées contre les politiciens et les employés du gouvernement à la nouvelle US procureur général nommé par le nouveau président.

    * Toutes les actions de la phase 2 et 3 seront conformes à la Constitution des États-Unis.

    Colonel Riley a considéré à juste titre deux choses: Il peut y avoir un bain de sang, et l'administration fera ce qu'il peut pour étouffer la dissidence.

    Le "American Spring" se tiendra à Washington DC le 16 mai. Ce qui peut arriver, et qui va se passer, peut-être deux événements totalement différents. Mais étant donné les efforts de cette administration pour détruire la Constitution et rester au pouvoir, tout peut arriver.

    http://www.thedailysheeple.com/is-the-government-buying-1-5-million-rounds-of-ammo-for-american-spring_042014

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  35. Les partis eurosceptiques dominent dans les sondages d'opinion de plusieurs pays européens

    par Audrey Duperron ·
    10 avr. 2014

    Après des semaines de débats intenses sur l’octroi des allocations familiales aux ressortissants d'autres pays de l'UE, le parti eurosceptique et anti-immigration danois, Dansk Folkeparti (Parti populaire danois) arrive en tête dans les sondages pour les prochaines élections européennes.

    Le DF recueille 27% des voix, et il a dépassé les sociaux-démocrates du Premier ministre Helle Thorning-Schmidt qui ont obtenu 23% et les libéraux qui atteignent 21%, selon un sondage de A & B Analyse commandé par le site danois Altinget.dk

    Au Royaume-Uni, Nigel Farage du parti eurosceptique UKIP est le favori des enquêtes d’opinion. Un sondage réalisé par YouGov pour le Sunday Times a révélé qu’il obtenait 34% des voix, contre seulement 27% pour le Parti du Labour (socialiste) et 20% pour les Tories (conservateurs), le parti du Premier ministre David Cameron. Un autre sondage, réalisé par ComRes, affirme en revanche que l'UKIP et le Labour sont au coude-à-coude.

    En France, la bataille devrait se jouer principalement entre le FN et l'UMP, qui enregistre actuellement 25% des voix et ne dominerait le FN de Marine Le Pen que de 1%, selon un sondage réalisé par TNS Sofres-Sopra. Le PS du président François Hollande est derrière, avec 19% des voix.

    http://www.express.be/business/fr/economy/les-partis-eurosceptiques-dominent-dans-les-sondages-dopinion-de-plusieurs-pays-europeens/204325.htm

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  36. Les exportations de maïs des États-Unis vers la Chine baisse de 85 pour cent après l'interdiction sur les souches d'OGM - rapport de l'industrie

    Avril 12, 2014 12:11

    Le rejet de la Chine des livraisons de maïs contenant des traces de maïs génétiquement modifié non autorisé aux États-Unis a entraîné une chute importante des exportations. Selon un nouveau rapport, les opérateurs américains ont perdu $ 427 000 000 dans les ventes.

    Globalement, la Chine a interdit près de 1,45 million de tonnes de cargaisons de maïs depuis l'année dernière, le grain national et aliments pour animaux Association (NGFA), une association américaine de l'industrie, a déclaré vendredi.

    Le décompte est basé sur des données provenant des sociétés d'exportation et est significativement plus élevé que les chiffres précédents rapportés par les médias, qui dit à peu près 900 000 tonnes ont été touchés. Les exportations de maïs des États-Unis vers la Chine depuis Janvier sont en baisse de 85 pour cent à la même période de l'année dernière, indique le rapport.

    La Chine a été le blocage des expéditions de maïs américain de son marché depuis Novembre. Ceci a été causé par la présence de la souche de maïs génétiquement modifié MIR162 dans les expéditions. Il a été développé par la société Syngenta et n'a pas été approuvé par le gouvernement chinois depuis une demande a été présentée en Mars 2010.

    La Chine a les importations de maïs fortement augmenté depuis la fin des années 2000, avec des achats de plus en plus de 47 000 tonnes en 2008 à environ 5 millions de tonnes l'année dernière. Il était le troisième plus grand importateur de maïs américain avant que les importations de la souche OGM de Syngenta ont été bloqués.

    Les commerçants américains veulent que les entreprises de semences à assumer une partie des pertes. Ils disent aussi les entreprises de semences ne doivent pas introduire de nouvelles variétés de semences aux agriculteurs jusqu'à ce qu'elles soient approuvées par les principaux marchés, dont la Chine.
    Une partie de la colère est également en baisse sur le gouvernement chinois, qui, disent les commerçants, maintient un processus opaque de l'approbation et le rejet de souches OGM, une accusation que Pékin rejette. La Chine a approuvé jusqu'ici 15 souches de maïs génétiquement modifiés pour l'importation.

    http://rt.com/usa/china-gmo-corn-ban-120/

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  37. Sondage : 82 % des Français mécontents de François Hollande

    13.04.2014 à 04h26

    La cote de popularité de François Hollande chute de cinq points en avril et atteint son plus bas niveau depuis l'arrivée du chef de l'Etat à l'Elysée il y a deux ans, selon un sondage Ifop publié dans le Journal du Dimanche du 13 avril. Seules 18 % des personnes interrogées se disent satisfaites de l'action du chef de l'Etat, contre 23 % au mois de mars. 82 % s'en disent mécontentes. François Hollande, qui était crédité de 61 % de satisfaits juste après son élection en mai 2012, passe pour la première fois sous la barre des 20 %. Manuel Valls, qui a succédé à Jean-Marc Ayrault au poste de premier ministre, recueille 58 % d'opinions favorables. Il s'agit de la plus forte popularité jamais enregistrée pour un deuxième premier ministre de présidence de la Ve République en début de mandat. (Reuters)

    Le sondage a été réalisé du 4 au 12 avril par téléphone auprès d'un échantillon de 1.909 personnes, représentatif de la population âgée de 18 ans et plus, constitué selon la méthode des quotas.

    http://www.lemonde.fr/politique/breve/2014/04/13/sondage-82-des-francais-mecontents-de-francois-hollande_4400396_823448.html

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  38. Comment l'Occident est le génie de sa propre chute

    Pour ceux qui sont encore bloqué dans l'état d'esprit qui se déplace sur l'échiquier géopolitique sont essentiellement aléatoire, avec les pays de diffusion de cette façon et que, comme des boules de billard à la pause, ce pose une question embarrassante: pourquoi les alliés de l'OTAN seraient soutiennent la Russie dans un coin au point qu'il commence s'engager dans ces alliances ?

    12 avril 2014,
    par James Corbett


    Rapports sur Moscou indiquent que la Russie est sur le point de signer le «Saint Graal» de transactions de gaz avec la Chine. L'accord entre le russe entreprise de gaz appartenant à l'Etat Gazprom et Pékin verrait autant que 38 milliards de mètres cubes de gaz naturel par an qui coule à travers la première proposition de pipeline Russie-Chine d'ici 2018. L'accord a apparemment été dans les travaux pendant des années, mais les événements récents sur le flanc ouest de Moscou (lire: la situation ukrainienne) a déplacé le calendrier sur le plan de façon spectaculaire, avec le dernier point d'achoppement étant le prix.

    Si l'accord est signé le mois prochain lors de la visite d'Etat de Vladimir Poutine en Chine, comme de nombreux analystes spéculent se produira, ce sera un événement important non seulement économique, mais géopolitiquement.

    - voir clip sur site -

    Compte tenu du fait que la Russie, le plus grand producteur de gaz au monde, et la Chine, le plus grand consommateur de gaz dans le monde, sont voisins, il serait logique de supposer que d'un gazoduc entre les deux pays existe déjà. Mais la logique et la géopolitique rarement mélangent, et les tensions entre les deux pays anciennement communistes (mais on caractérise le système politique et économique actuel de la Chine) sont restés depuis différends frontaliers ont apporté Moscou et Pékin à bord de la guerre dans les années 1960. L'établissement d'un lien de gaz serait donc un signal très puissant de la compréhension croissante entre l'ours russe et le dragon chinois que leur avenir est plus avec l'autre qu'elle ne le fait avec une alliance de l'OTAN à dos qui est de plus en plus encercle et les isoler.

    Parlant de la logique, ce dernier accord, s'il est signé, après tout, ne serait le prolongement logique de tous les mouvements vers la coopération entre la Russie, la Chine et les satellites de l'ex-URSS que nous vous avons vus au cours des dernières années.

    (suite en dessous:)

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  39. Il y a la hausse de l'Organisation de coopération de Shanghai. Le «SCO» englobe la Chine, le Kazakhstan, le Kirghizistan, la Russie, le Tadjikistan et l'Ouzbékistan, l'Afghanistan, l'Inde, l'Iran, la Mongolie et le Pakistan en attente dans les ailes comme pays observateurs, et la Biélorussie, le Sri Lanka et la Turquie comme «partenaires de dialogue». L'origine, le "Shanghai Cinq" de signataires de 1996 traité sur l'approfondissement de la confiance militaire dans les régions frontalières, le groupe a continué à approfondir leur armée, des renseignements et des liens de sécurité, la mise en scène des exercices militaires conjoints depuis 2003 et la Chine et la Russie jeux de guerre depuis 2005. Ils sont également la coordination en matière de sécurité, y compris un accord de 2004 sur une structure antiterroriste régionale et l'accord de coopération avec l'OTSC 2006, le contrepoids de l'OTAN dans la région.

    Il y a la montée des BRICS. D'un concept théorique dans un document économique en 2001 à une association politique très réel avec des sommets annuels et réunions ministérielles aujourd'hui, la montée des BRICS regroupant dans la dernière décennie a été indéniable. Bien que les jours de croissance à deux chiffres et "prennent le monde entier" rapports sont maintenant chose du passé, l'association reste important pour sa capacité à fusionner des économies aussi diverses que celles du Brésil, de la Russie, la Chine, l'Inde et l'Afrique du Sud en développement un contrepoids économique et politique de la soi-disant «consensus de Washington» du régime de la Banque mondiale / FMI. Alors que la Chine est incontestablement dans le siège du conducteur BRICS, l'accès que le regroupement de cinq pays donne de l'autre les pays membres à des parties éloignées du globe, et les moyens que les économies des membres peuvent trouver des notes étonnamment symbiotiques (comme celui de la relation entre le Brésil et la Chine) ont fait en plus que la somme de ses parties, et il est maintenant à la recherche d'étendre son influence régionale avec la création de la banque de développement des BRICS.

    Il y a la montée de l'Union eurasienne. Situé à venir à l'existence sur le Jour de l'An 2015, l'union économique proposé de Biélorussie, le Kazakhstan et la Russie a été calqué sur l'Union européenne, accompagné d'une «Commission économique eurasienne" sur la base de la Commission européenne. La Commission coordonnera l'intégration des questions de douane, de la macroéconomie, de l'énergie et de la politique financière, la migration de travail et d'autres questions clés, dans le but final étant une organisation supranationale de l'Union européenne de style. Arménie, le Kirghizistan et le Tadjikistan sont déjà en attente dans les ailes pour monter à bord avec le syndicat, avec le Kirghizistan arrêter la base aérienne américaine de Manas (prétendument utilisé pour expédier la drogue de l'Afghanistan) et l'élargissement de la base aérienne russe qu'il accueille actuellement une geste de bonne volonté.

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  40. Une fois de plus, l'idée que la Russie chercherait la coopération économique, politique et militaire plus étroite avec ses voisins régionaux est un résultat tout à fait logique et prévisible de la pression qui est construit sur le flanc ouest de la Russie des États-Unis et de l'OTAN; non seulement les récentes sanctions, mais l'année longue accumulation de «défense antimissile balistique" en Europe de l'Est et des progrès constants de l'OTAN en engloutissant les nations d'Europe orientale ont contribué à cette provocation. Pour ceux qui sont encore bloqué dans l'état d'esprit qui se déplace sur l'échiquier géopolitique sont essentiellement aléatoire, avec les pays de diffusion de cette façon et que, comme des boules de billard à la pause, ce pose une question embarrassante: pourquoi les alliés de l'OTAN seraient soutiennent la Russie dans un coin au point qu'il commence s'engager dans ces alliances ? Après tout, plus la Russie se tourne vers ses alliés régionaux plus elle et son économie sèvre hors du système même qui pourrait constituer un levier diplomatique et politique pour l'OTAN d'utiliser en cas de besoin. En d'autres termes, pourquoi l'OTAN contribue à pousser leurs rivaux géopolitiques dans une union plus étroite? Sont-ils essaient de construire leur propre ennemi ?

    Pour ceux qui aiment leurs réponses à l'avant, la réponse est «oui».

    Pour ceux qui ont besoin de voir l'argument avant d'arriver à la conclusion, il n'ya pas de pénurie d'histoires montrant comment la Russie, la Chine et leurs alliés "résistance" du bloc ont été mis en place par l'ouest au cours des dernières années.

    Les sanctions qui ont été imposées contre l'Iran au cours des dernières années ont régulièrement entraîné ce pays dans des accords commerciaux bilatéraux qui non seulement de contourner les sanctions, mais aident à soulager le pays et ses partenaires commerciaux hors de leur dépendance à l'égard du dollar. Il était le swap "gaz-pour-or» entre l'Iran et la Turquie qui longeait les sanctions. Il y avait le commerce "junk-pour-pétrole» entre l'Iran et l'Inde / Chine. Il y avait l'accord bilatéral libellée en roubles signé entre la Russie et l'Iran en 2012. Dans le long terme, l'ouest a réussi à faire des dégâts à l'économie iranienne, mais ils ont également réussi à construire des alliances commerciales qui contournent le dollar (et affaiblir les sanctions futures régimes) au total.

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  41. La menace croissante navale et aérienne de l'armée chinoise a la technologie américaine pour remercier, non seulement par virement militaire directe (comme un dénonciateur Lawrence Livermore National Laboratory a démontré l'administration Clinton a fait dans les années 1990), mais par des transferts indirects (et tout aussi illégales) via Israël . Et le mois dernier, une enquête du Congrès a découvert la preuve que le gouvernement américain avait l'intention de donner à la Russie la technologie militaire de haut niveau pour la formation de leurs troupes dans le cadre du budget de l'exercice 2015, comme ils parlaient des sanctions sévères et des conséquences désastreuses pour l'annexion de la Russie de la Crimée.

    Le mastodonte industriel chinois n'a pas seulement surgir du jour au lendemain; l'infrastructure de merveille économique de la Chine du 21e siècle a été posée dans la dernière décennie du 20e siècle. Dans les sept années 1994-2001 seulement, les investissements directs des entreprises multinationales basées aux États-Unis en Chine quadraupled de 2,6 milliards $ à 10,5 milliards de dollars. Dans la même période, la Chine est passée de la cible 30 plus grand de US investissements en R & D à la 11e sur le dos d'un doublement des filiales américaines dans le pays. La liste des sociétés qui ont commencé les activités ou les grandes installations de R & D en Chine dans les années 1990 se lit comme un bottin mondain de la CFR-nichée Fortune 500 ensemble: DuPont, Ford, General Electric, General Motors, IBM, Intel, Lucent Technologies, Microsoft, Motorola , et Rohm and Haas avaient tous une participation significative en Chine au début du 21e siècle.

    Et l'association BRICS que les économistes ont été tordant les mains sur les années précédentes comme une menace majeure pour le néolibéralisme économique occidentale dirigée par les Américains ? Il a été effectivement créé par Goldman Sachs, une excroissance d'un document de recherche qui a été assez convaincante qu'il a effectivement causé les quatre nations (de l'époque groupement «BRIC») pour lancer un processus politique qui a fait le papier dans la réalité.

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  42. Il semble que nous entrons dans le monde de la «nouvelle guerre froide», il est le soutien occidental derrière tous les aspects de cette nouvelle rivalité. Et bien sûr, la guerre froide 2.0 tant vantée devient une prophétie auto-réalisatrice. La décision de la Chine à s'abstenir lors du vote du Conseil de sécurité des Nations Unies sur l'annexion de la Crimée mois dernier a été un tournant important en soi. Compte tenu de l'inquiétude de la Chine sur ses propres problèmes territoriaux (Tibet, Xinjiang), le fait qu'ils n'ont pas voté pour la résolution condamnant le droit d'un pays de faire sécession unilatéralement en dit long sur l'augmentation de la coopération entre la Chine et la Russie en matière géopolitiques.

    La conclusion inévitable est que les puissances de l'OTAN ont contribué à créer leur propre ennemi. Ils ont contribué à armer et financer cet ennemi, puis poussé et poussé dans les réaction. Nous ferions bien de nous rappeler la véritable genèse de ce conflit, la prochaine fois, on nous dit à propos de la «nouvelle guerre froide».

    http://theinternationalforecaster.com/International_Forecaster_Weekly/How_the_West_is_Engineering_its_Own_Downfall

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  43. La Crimée approuve la nouvelle Constitution


    04/11/2014

    Le Parlement de Crimée a adopté la nouvelle Constitution de la République le vendredi. Tous les 88 députés présents dans la salle ont voté pour la Constitution, Interfax rapporte. Au total, il ya 100 députés au Conseil d'Etat de la Crimée. L'approbation de la Constitution de la Crimée par les autorités centrales russes n'est pas nécessaire. La loi fondamentale de la république entrera en vigueur après qu'il a été publié dans le journal parlementaire "de Crimée Nouvelles."
    Le président du Conseil d'Etat de la Crimée, Vladimir Konstantinov, a déclaré plus tôt que la constitution pourrait être publié et effectué le samedi 12 Avril. Selon la Constitution, la République de Crimée est un Etat de droit et démocratique au sein de la Fédération de Russie. Les relations entre la République de Crimée et la Fédération de Russie sont régies par l'accord. Le territoire de la République de Crimée est une partie inséparable du territoire de la Fédération de Russie. Le plus haut fonctionnaire de la Crimée est la tête de la République, qui est élu par les députés du Conseil d'Etat pour un mandat de cinq ans. Le chef de la république ne doit pas exercer plus de deux mandats consécutifs.
    Le chef de la république doit former le Conseil des ministres et prendre des décisions à propos de la démission du gouvernement. Le chef de la république a également le pouvoir de dissoudre le parlement de la Crimée dans les cas prévus par la loi fédérale et la Constitution de l'entité de la Fédération de Russie. Le chef de la Crimée peut combiner sa position à la position du président du Conseil des ministres. Selon la Constitution, le Conseil d'Etat de la Crimée est en droit de promulguer les lois qui seront en vigueur sur le territoire de la république. Le Conseil d'Etat reçoit également le droit d'initiative législative dans la Douma d'Etat de la Fédération de Russie.
    La Constitution prévoit une réduction du nombre de députés de la république d'un quart -. 100-75 La règle entrera en vigueur seulement après la élections au Conseil d'Etat de la Crimée. Président du Conseil d'Etat de la Crimée, Vladimir Konstantinov, a déclaré plus tôt que les premières élections des députés du Conseil d'Etat peuvent être effectuées en Septembre de cette année. La forme des élections au Parlement - la majorité, système de partie, ou mixtes - n'a pas été spécifié dans la Constitution. Il sera déterminé par la loi de la République de Crimée »sur les élections", que le Conseil d'Etat approuve.

    (suite en dessous:)

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  44. Le Conseil d'Etat Crimée devra prendre environ 300 lois pour rationaliser tous les aspects de la vie de la République après la nouvelle constitution entrée en vigueur. Cela comprend la loi électorale, la loi du Conseil d'Etat de la République de Crimée, la loi sur le statut des députés du Conseil d'Etat, la loi sur le gouvernement de la République de Crimée, etc Aujourd'hui, le 11 Avril, le République de Crimée, ainsi que la ville d'importance fédérale - Sébastopol - ont été inclus sur la liste des sujets de la Fédération de Russie dans la Constitution russe.

    La nouvelle édition du document a été publiée sur le portail web officiel de l'information juridique. Les nouvelles entités ont été inscrits sur la liste de l'article 65 du chapitre III de la Constitution de la Russie - ". Structure fédérale" Les notes indiquent que les noms des nouvelles régions - la République de Crimée et la ville d'importance fédérale, Sébastopol , ont été donné conformément à la loi constitutionnelle fédérale du 21 Mars, 2014 »Lors de l'adoption de la République de Crimée dans la Fédération de Russie et la formation de nouveaux sujets dans la Fédération de Russie - la République de Crimée et la ville de fédéral importance, Sébastopol. " Le 21 Mars, le président russe Vladimir Poutine a signé une loi constitutionnelle fédérale sur la constitution de la Crimée dans la structure de la Fédération de Russie et la formation de deux nouvelles entités du pays.

    La loi énonce clairement les raisons de l'adoption de la Crimée à la Russie. Ce sont les résultats du référendum de Crimée qui s'est tenue le 16 Mars, la Déclaration d'Indépendance de la République autonome de Crimée et la ville de Sébastopol, le traité entre la Russie et la Crimée sur la formation de nouvelles entités et les appels de la Crimée et Sébastopol devenir une partie de la Russie. Le document a été adopté par la Douma d'Etat le 20 Mars et approuvé par le Conseil de la Fédération le lendemain. Avec la loi, Poutine a approuvé la ratification du traité "Sur la constitution de la République de Crimée dans la Fédération de Russie et la formation de nouveaux sujets au sein de la Fédération de Russie."

    http://english.pravda.ru/russia/politics/11-04-2014/127331-crimea_constitution-0/

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