Le développement des panneaux photovoltaïques est contraire au développement durable. Il hypothèque notre avenir et celui de nos enfants car non seulement il est inutile, mais il est nuisible à la planète.
Par Michel Gay.
Le versement massif de subventions publiques pour la promotion des panneaux photovoltaïques1 en France est une aberration environnementale, économique et sociale qui a pu se développer sur l’ignorance des uns et l’intérêt personnel des autres. Ce scandale éclaboussera tôt ou tard la classe politique quand l’opinion publique s’apercevra enfin du gâchis écologique et de la gabegie des ressources naturelles et financières organisée par des commerciaux et des idéologues jusqu’au sein de l’appareil d’État.
Le développement des panneaux photovoltaïques (PV) est contraire au développement durable. Il hypothèque notre avenir et celui de nos enfants car non seulement il est inutile, mais il est nuisible à la planète.
LES PANNEAUX VOLTAÏQUES SONT ÉCOLOGIQUES
Leur fabrication ne nécessite pas que du silicium (silice et carbone) issu du sable. Elle nécessite aussi du phosphore, du bore, de l’EVA (éthylène-acétate de vinyle) du verre et de l’aluminium. Dans moins de 20 ans, comment recyclera-t-on ces millions de panneaux, d’onduleurs et de batteries associés à leur fonctionnement ? Et qui paiera ?
La quantité de gaz carbonique produite pour la fabrication, le transport, la commercialisation et la pose des panneaux, surtout produits en Chine ou en Allemagne avec de l’électricité issue majoritairement du charbon émettant 900 grammes de gaz carbonique par kWh (g/kWh), ne « rembourse » quasiment jamais le gaz carbonique économisé par sa production d’électricité.
De plus, par ciel clair, la montée en puissance de la production des panneaux est rapide le matin, puis c’est l’inverse le soir, pour aboutir à zéro. Les centrales à combustibles, notamment celles au gaz, interviennent alors pour adapter la production à la demande qui, elle, atteint son maximum vers 19h00.
RÔLE DES CENTRALES À COMBUSTIBLES
Elles sont le complément indispensable à la stabilité du réseau. Et c’est bien le cas en Allemagne ou plus de la moitié de leur production électrique provient toujours du charbon et du gaz pour lisser l’intermittence de la production des énergies renouvelables, et notamment des panneaux voltaïques.
Ces derniers augmentent donc le besoin en combustible fossile pour les pays qui possèdent peu de centrales à gaz ou à charbon. C’est le cas de la France où 90% de la production électrique n’émet pas de gaz à effet de serre, notamment grâce au nucléaire (75%) et aux barrages (12%).
La moyenne d’émission de gaz carbonique en France est une des plus faibles d’Europe (75 g/kWh) grâce au nucléaire (6 g/kWh2) et aux barrages (2 g/kWh).
Certains pourraient imaginer que l’été, période de climatisation en journée, la production des panneaux économise des combustibles fossiles. Hé bien pas du tout ! L’été étant une période de faible consommation d’électricité en France, les centrales nucléaires et les barrages produisent davantage que la consommation française. Le surplus est vendu à nos voisins au prix du marché, à environ 5 centimes par kilowattheure (c€/kWh) alors qu’EDF achète la production des PV de 20 à 60 c€/kWh !
LE SOLEIL EST GRATUIT : FAUX
L’énergie solaire primaire est gratuite tout comme le vent, le gaz, l’uranium ou le pétrole qu’il suffit de ramasser. C’est ensuite que cela se complique car la transformation en électricité coûte cher. Malgré les étapes de transport, de raffinage, de distribution, etc.., l’électricité produite par le gaz, le nucléaire ou le pétrole coûte 4 à 9 c€/kWh, soit environ cinq fois moins que celle issue des panneaux voltaïques. Et les contrats signés jusqu’à aujourd’hui engagent l’État, donc tous les contribuables, et pour 20 ans.
LES PANNEAUX VOLTAÏQUES FOURNISSENT UNE ÉNERGIE LOCALE : FAUX
Leur développement massif nécessite de renforcer les réseaux d’électricité (comme en Allemagne) qui n’ont pas été prévus à l’origine pour recevoir cet afflux ponctuel d’électricité. Des milliards d’euros sont en jeu.
Aujourd’hui, il n’existe quasiment aucun « auto consommateur autonome », ni en Allemagne, ni en France, car le coût est (et restera) trop élevé…
De plus, lisser cette production pour la rendre plus conforme à la demande de puissance nécessite d’énormes et coûteux moyens de stockage polluants dont on ne voit pas le début d’une solution propre et viable (hors les barrages avec aussi leurs inconvénients).
LES PANNEAUX VOLTAÏQUES CONSTITUENT UNE CHANCE POUR LES PAYS PAUVRES : FAUX
Les pays pauvres n’ont pas les moyens de s’offrir l’électricité la plus chère à produire malgré la « gratuité » de la source, ni les coûts du stockage pour la nuit. Généralement, des pays riches (la France par exemple), ou des associations généreuses payent pour eux le matériel et l’installation.
Un groupe électrogène rustique (essence ou diesel) transportable qui fonctionne aussi la nuit et par mauvais temps (nuages) serait beaucoup plus efficace et moins cher.
LES PANNEAUX PHOTOVOLTAÏQUES SONT NUISIBLES
Des gouvernements se sont laissés influencer par des lobbies aux motivations mercantiles, ou idéologiques, pour favoriser le développement de cette filière ruineuse qui mène à une impasse environnementale, technique et financière.
Développer à grande échelle le panneau voltaïque est nuisible à l’humanité. Par kWh d’électricité, leur fabrication fait appel à beaucoup trop de matières premières concentrées en Asie. Les milliards d’euros dilapidés chaque année dans cette production ruineuse seraient certainement plus utiles ailleurs.
Il est grand temps d’arrêter ce gaspillage honteux d’argent public en arrêtant immédiatement le développement des panneaux photovoltaïques contraire au développement durable.
1 - L’électricité produite par les centrales thermiques à concentration solaire (qui est aussi une ruine pour les pays qui la subventionnent) et le solaire thermique individuel (chauffe-eau solaire d’appoint ou non) ne sont pas abordées dans cet article.
2 - Note RTE / ADEME du 08/10/2007
Votre facture EDF : une feuille d’impôt de plus
RépondreSupprimerInsidieusement, votre facture d’électricité (dont les prix sont réglementés) se transforme en feuille d’impôt.
Par Simone Wapler.
Dans les prochains jours, certains abonnés au « tarif bleu » d’EDF vont recevoir une facture rétroactive. Ce fournisseur d’électricité rajuste ses tarifs sur l’électricité déjà consommée entre août 2014 et juillet 2015. Insidieusement, votre facture d’électricité (dont les prix sont réglementés) se transforme en feuille d’impôt.
Le jeu démocratique voudrait que les impôts soient débattus puis votés en assemblée mais de plus en plus de mécanismes de transfert automatique se mettent en place.
LA BAISSE DES TAUX, IMPÔT DÉGUISÉ
Par exemple, la baisse des taux orchestrée par les banques centrales est un impôt déguisé sur ceux qui épargnent dans des produits dits à taux fixe.
Les déficits et la dette qui en résulte sont en réalité de l’impôt qui n’a été ni débattu, ni voté. Pour faire face à ses dépenses, le gouvernement emprunte et les impôts du moment ne couvrent que les intérêts de l’emprunt mais pas la dépense elle-même.
L’inflation est également un impôt, une taxe à la fois sur la consommation (vous payez plus cher ce que vous achetez) et sur l’épargne (vos liquidités perdent de leur pouvoir d’achat).
Récemment, la vague verte et écologique a permis de développer de gigantesques transferts d’argent au titre de la « transition énergétique ».
FINANCER LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE
Voici la définition donnée par novethic (qui se dit le média expert de l’économie responsable) de ce concept :
« La transition énergétique (ou transition écologique) désigne le passage d’un système énergétique qui repose essentiellement sur l’utilisation des énergies fossiles, épuisables et émettrices de gaz à effet de serre (que sont le pétrole, le charbon et le gaz), vers un bouquet énergétique donnant la part belle aux énergies renouvelables et à l’efficacité énergétique. Parmi les principales EnR, on trouve : l’énergie solaire, l’énergie éolienne, l’énergie géothermique, l’énergie hydraulique… »
Selon ce principe, tout vaut mieux que du pétrole ou du charbon. La loi sur la transition énergétique a été adoptée en France en août 2015 pour assurer en matière d’énergie, la maîtrise des coûts, la sécurité d’approvisionnement et la réduction des émissions de gaz carbonique.
OUTIL DE POLITIQUE ÉNERGÉTIQUE
RépondreSupprimerAvec son cocktail habituel de subventions, incitations, taxations…
Les Échos :
« Au fil des années, la facture d’électricité est ainsi devenue un outil de politique énergétique, voire de politique économique (…) À fin 2016, les taxes représentaient 35% de la facture d’électricité ».
Qui paye les 1 300 € de subvention pour les particuliers qui convertissent leur vieille chaudière pour une chaudière bois ? L’ensemble des abonnés à l’EDF. Qui paye les exonérations des industries fortement consommatrices d’électricité ? L’ensemble des abonnés EDF.
À cela s’ajoute le renchérissement de l’électricité au fur et à mesure que les moyens de production « verts » se multiplient.
PLUS C’EST VERT, PLUS C’EST CHER !
Mais tout cela est pour une bonne cause, pensez-vous certainement. Nos enfants et nos petits-enfants respireront un bon air pur. En êtes-vous si sûr ?
Pionnière dans la « transition énergétique » dès 2009, l’Allemagne se trouve confrontée à des villes polluées : Stuttgart, Munich, Dusseldorf…
Des tarifs d’électricité les plus chers d’Europe et des villes polluées : on ne peut pas dire que la transition soit un succès.
En revanche, de nombreuses entreprises du secteur éolien et photovoltaïque ont réussi à se créer une rente en obtenant des subventions publiques garanties dans la durée et viennent nourrir le lobby de la transition énergétique. Les plus grands acteurs de l’énergie sont devenus de vaillants défenseurs de cette politique.
Désormais, la machine ronronne toute seule en s’appuyant sur des monceaux de normes, réglementations, subventions et taxes. Les éoliennes qui fournissent moins de 4% de l’électricité – difficilement consommable car trop intermittente – fleurissent dans nos campagnes et 5 Mds€ de subventions partent en fumée tous les ans. Mais rassurez-vous, cet argent n’est pas perdu pour tout le monde…
Pour plus d’informations et de conseils de ce genre, c’est ici et c’est gratuit:
http://la-chronique-agora.com/nos-newsletters/?utm_source=X990R829&utm_mediu
https://www.contrepoints.org/2017/03/30/285583-facture-edf-feuille-dimpot-de-plus
L'article 50 a été écrit par peur qu'une dictature n'arrive au pouvoir dans l'UE
RépondreSupprimer29 mars 2017, 20:57
Selon son propre rédacteur, qui déplore que le Royaume-Uni en fasse usage, la disposition permettant aux Etats membres de quitter l'UE avait été introduite dans le but de palier un «chaos juridique» si une dictature venait à arriver au pouvoir.
La genèse de l'article 50 du traité sur l'Union européenne aurait-elle été marquée par la crainte de l'établissement d'une dictature ? C'est ce qu'affirme son rédacteur, John Kerr, ancien secrétaire général de la Convention européenne au début des années 2000.
«Je n'aurais jamais pensé que le Royaume-Uni l'utiliserait», explique le diplomate britannique cité par The Independent, à l'origine de l'introduction de cette disposition permettant aux Etats membres de quitter l'UE. Pour quelles raisons alors avait-il jugé utile de prévoir une telle possibilité ? «Il me paraissait hautement probable qu'une dictature accède au pouvoir et veuille quitter l'UE», raconte-t-il. Une mesure permettant d'organiser une telle éventualité lui avait donc paru «plus souhaitable que le chaos légal».
L'article 50 du traité sur l'Union européenne (TUE) stipule que «tout État membre peut décider, conformément à ses règles constitutionnelles, de se retirer de l’Union». Dans la plupart des pays membres, son activation requiert un référendum ou un vote parlementaire.
A l'époque, nombre de dirigeants européens étaient convaincus que l'Autriche, membre de l'UE depuis 1995 seulement, verrait Jorg Haider, leader du Parti de la liberté, accéder au pouvoir. Eurosceptique convaincu, il aurait alors engagé l'Autriche dans un processus de séparation de l'UE que les diplomates bruxellois voulaient par conséquent anticiper.
John Kerr n'était pourtant pas sourd aux attaques des eurosceptiques de son propre pays. «Il y avait à l'époque une théorie très répandue selon laquelle l'entrée dans l'UE nous avait condamné à une fuite en avant, sans retour possible, vers une intégration sans cesse plus poussée», note-t-il. Jamais, néanmoins, il n'aurait soupçonné que ce mouvement finisse un jour par se retrouver majoritaire parmi la population.
«Je ne me sens pas coupable» d'avoir rédigé l'article 50, tient néanmoins à nuancer John Kerr, «mais je suis très triste que le Royaume-Uni l'utilise», ajoute-t-il.
Depuis plusieurs mois, le fameux article 50 du traité sur le fonctionnement de l'Union européenne est au cœur de l'actualité politique, après le vote du Brexit en juin 2016 par les citoyens du Royaume-Uni. Le 29 mars, Theresa May a officiellement annoncé son activation, ouvrant la voie à des négociations inédites – et que beaucoup redoutent de voir s'éterniser.
Lire aussi : La France, le plus grand perdant du Brexit
https://francais.rt.com/international/35974-article-50-a-ete-ecrit-peur-dictature-pouvoir-ue
Supprimer(...) la disposition permettant aux Etats membres de quitter l'UE avait été introduite dans le but de palier un «chaos juridique» si une dictature venait à arriver au pouvoir (...)
C'est-à-dire exactement: une anti-dictature détrônant LA dictature de Bruxelles venait à arriver au pouvoir !
Car, cracher sur la France en déchirant les résultats du référendum de Maastricht pour le remplacer par celui de Barcelone voté DANS les bureaux de Bruxelles s'appelle la pire des dictature !
30 millions d'Africains pourraient arriver d'ici dix ans selon le président du Parlement européen
RépondreSupprimer29 mars 2017, 19:11 - Avec AFP
Le président du Parlement européen Antonio Tajani a souligné la nécessité d'investir en Afrique pour éviter que des dizaines de millions d'immigrés ne viennent trouver refuge en Europe. La menace terroriste a également été évoquée.
Interrogé par le journal allemand Die Welt sur la crise migratoire et le flux de candidats africains à l'asile qui tentent de rallier l'Europe, Antonio Tajani a appelé l'Union européenne «à investir des milliards [en Afrique] et à développer une stratégie sur le long terme».
«L'Afrique se trouve dans une situation dramatique» et «si nous ne parvenons pas à résoudre les problèmes centraux des pays d'Afrique, 10, 20, voire 30 millions d'immigrés vont arriver en Europe d'ici dix ans», a-t-il alerté.
D'autant que «l'Etat islamique cherche à faire entrer des terroristes avec les réfugiés», a-t-il ajouté. Daesh explique aux djihadistes «qu'il est maintenant facile de mener une attaque dans un Etat européen avec un couteau ou une voiture», a-t-il assuré.
Lire aussi
Image d'illustration - Un centre de transit pour migrants au sud de l'Allemagne L'incitation financière au retour des migrants aurait pour effet de les encourager à venir en Europe
Antonio Tajani s'est dit favorable à l'instauration sur le sol africain «de camps d'accueil sous la protection de l'ONU et de forces armées européennes», sorte de «villes provisoires avec des hôpitaux et des infrastructures pour les enfants où les gens pourront vivre de façon provisoire».
Après la fermeture de la route migratoire des Balkans en mars 2016, les Européens veulent s'atteler au casse-tête de la Méditerranée centrale mais se heurtent aux réticences de leurs partenaires africains et au manque d'interlocuteurs en Libye, d'où embarquent la plupart des migrants, dont beaucoup périssent en mer.
Selon l'ONG espagnole Pro-Activa Open Arms, environ 250 migrants africains seraient ainsi morts dans le naufrage de deux canots gonflables repêchés le 23 mars au large de la Libye.
Lire aussi : Frontex demande aux ONG de cesser de «soutenir l'action des réseaux de passeurs»
https://francais.rt.com/international/35970-30-millions-dimmigres-pourraient-arriver-europe
Les réfugiés candidats au retour cherchent le meilleur “deal” de l’UE
RépondreSupprimerAudrey Duperron
29 mars 2017
Favoriser le retour des réfugiés dans leur pays d’origine et leur donner de l’argent pour ce faire est devenu une part importante de la politique européenne de l’immigration. Mais ces politiques ont un effet pervers : comme le montant que les réfugiés peuvent obtenir varie d’un pays à l’autre, les immigrants sont encouragés à voyager dans l’UE à la recherche de « la meilleure affaire ».
En France, les réfugiés qui rentrent chez eux peuvent obtenir jusqu’à 7 000 euros en argent et avantages, tandis qu’en la République tchèque, ils n’ont rien. L’Autriche vient récemment de doubler la prime pour encourager le rapatriement des migrants, la faisant passer de 500 à 1000 euros. En Belgique le montant de l’indemnité de retour varierait entre 750 et 1500 euros, suivant la situation des bénéficiaires.
La Commission européenne a demandé aux États membres dans le courant de ce mois de revoir les politiques d’incitation au retour pour qu’elles soient plus cohérentes sur l’ensemble de l’UE, mais il semble qu’elle ait été peu entendue.
Le versement de ces primes aux demandeurs d’asile met pourtant de l’eau au moulin des nationalistes dans les différents pays membres, mais rien n’y fait. Selon le président Jean-Claude Juncker, seul un demandeur d’asile débouté dont la demande a été rejetée sur 3 quitte réellement le territoire de l’UE. Cette situation est intenable, estime le Luxembourgeois. L’argent pourrait devenir rapidement un facteur décisif.
Moins de 10 % de retours volontaires
L’année dernière, on a enregistré 81 575 retours volontaires assistés, selon les chiffres de l’Organisation internationale pour les migrations (OIM). Les derniers chiffres d’Eurostat montrent qu’en 2015, plus de 2 millions de migrants séjournaient illégalement dans l’UE.
https://fr.express.live/2017/03/29/refugies-primes-au-retour-etats-membres-ue/
«Qui décide de ce qui est une fausse information et de ce qui ne l'est pas ?»
RépondreSupprimer29 mars 2017
Comment définit-on une fausse information et qu’inclut-on dans ce concept ? Lionel, analyste juridique et médiatique, donne à RT sa vision de ce qu'il considère être une forme de censure en amont.
Le terme «fake news» qui a une fois été utilisé par le président américain Donald Trump est devenu célèbre. Il pourrait même finir par se trouver une place dans le dictionnaire. L'émission de CBS 60 Minutes s'est récemment penchée sur la question.
Lionel (né Michael Lebron) est avocat, lauréat d'un Emmy award, auteur, analyste juridique et essayiste américain.
RT: Que pensez-vous de la manière qu'ont les médias de couvrir les «fake news» ?
Lionel : Tout d'abord, cela n'a rien à voir avec les fausses informations. Il s'agit de censure. C'est une étiquette qui est utilisée, qui cherche à faire taire toute voix – qu'il s'agisse de journalisme alternatif, étranger, ou citoyen – toute voix qu'ils considèrent comme inadéquate. Je suis avocat et j'aime les définitions. Qu'est-ce que veut dire «faux» ? Est-ce «faux» dans le sens d'«incorrect», d'«erroné», d'«exagéré», de «négligent» – je ne sais pas. Ce à quoi vous assistez en ce moment, c'est qu'il va y avoir un mouvement vers des algorithmes de censure, des filtres. Et ce par exemple, quand vous utiliserez ce à quoi vous croyez avoir un accès illimité, internet. La population apprécie Facebook, ils vont donc commencer avec Facebook et Twitter. Ils peuvent opter pour le filtrage par des organisations bien connues comme Snopes ou PolitiFact. Un jour vous aller taper quelque chose, et on dira : «C'est faux.» Qui peut décider ainsi ?
C'est une des choses les plus dangereuses à laquelle nous, en tant que citoyens américains, somme confrontés
Si l'on se demande ce qu'est une fausse information, faut-il considérer ainsi, par exemple, les rapports sur l'existence d'armes de destruction massive [en Irak] ? Ou était-ce là des informations erronées ? Je ne veux pas être trop méticuleux sur les définitions, mais le fait est qu'elles ont beaucoup d'importance. Il faut se souvenir du fait que, quand ce pays a lancé, en 1950, l'operation Mockingbird, il a utilisé la CIA pour travailler main dans la main avec les médias traditionnels en vue de créer, d'élaborer des informations qui n'étaient autre chose que de la propagande. Voyez-vous l'ironie ? Ces mêmes personnes appellent aujourd'hui à une purge des fausses informations ? C'est une des choses les plus dangereuses à laquelle nous, en tant que citoyens américains, somme confrontés. Après avoir regardé les présentateurs de 60 minutes, les gens diront : «Oui, débarrassez-vous des fausses informations.» Mais qui décide?
Lire aussi
Une proposition de loi pour lutter contre les «fake news» en France, pour qui, pourquoi ?
Priver quelqu'un de la possibilité de parler à cause d'une étiquette qui lui est imposée – cela touche à l'essence même de la liberté d'expression
RT: Nous ne parlons pas seulement d'informations qui pourraient être erronées, mais aussi d'informations sont présentées au public comme venant d'une organisation médiatique crédible et dont le vrai but est de tromper le public. Soutenez-vous la liberté de promotion et de diffusion des fausses nouvelles ?
RépondreSupprimerL : Absolument. Le premier amendement de la Constitution assure la liberté, pour vous comme pour moi et pour tout citoyen, de faire part de tout ce qui nous plaît. Si on se penche un peu sur le passé, on voit que, ce que ces personnes considéraient comme des fausses informations, c'était la parodie et la satire ... C'était mal compris. Comment quelqu'un peut-il oser me dire ce qui est véridique et ce qui ne l'est pas. Voici ce que nous faisons : si nous n'aimons pas un site particulier, nous allons ailleurs, nous nous plaignons, nous intentons un procès s'il y a calomnie, diffamation ou toute sorte de déclaration diffamatoire. Mais faire en sorte que quelqu'un passe par une forme initiale de censure, par des limitations préalables, et priver quelqu'un de la possibilité de parler à cause d'une étiquette qui lui est imposée – cela touche à l'essence même de la liberté d'expression. Qui décide de ce qui est faux et de ce qui ne l'est pas ?
Lire aussi : Les médias occidentaux : entre Alep et Mossoul, deux batailles, deux mesures ?
https://francais.rt.com/opinions/35963-qui-decide-fake-news-pas
(...) Qu'est-ce que veut dire «faux» ? Est-ce «faux» dans le sens d'«incorrect», d'«erroné», d'«exagéré», de «négligent» – je ne sais pas. (...)
SupprimerComment défendre une cause dont on en ignore le sens ??!
Quand des gros cons sans savoir parlent de 'monter des océans' et que 'l'avocat' ne sait (ou ne saurait) expliquer que: Depuis des millions d'années, des milliards de km3 d'eaux (de pluies, fleuves & rivières) se sont déversés dans les océans... sans qu'ils ne montent !!! Çà alors ! Comment les gros cons peuvent-ils expliquer cela ? Comment expliquer - sans l'aide d'un scientifique - que lorsque la glace font ELLE PERD du volume et non en gagne ?
C'est LA différence entre les merdias qui soutiennent de fausses informations (venus aussi des politiques) et l'Internet qui ose laisser parler les scientifiques !
Idem pour l'escroquerie mondiale du '11 Septembre 2001' où des 'avions' en aluminium auraient pu entrer et traverser des tours aux poutrelles verticales d'acier de 80 cm en les coupant avec ses ailes !!! HAHAHAHA !
TOUS les avionneurs, pilotes et architectes ont dit et prouvé que cela était IMPOSSIBLE. Le '11/9' a été un jour de démonstration d'hologrammes comme il s'en projette maintenant de plus en plus dans les spectacles.
Trump bat un nouveau record d'impopularité
RépondreSupprimerINTERNATIONAL
08:20 30.03.2017
Depuis son investiture, Donald Trump fait face à une opinion publique relativement défavorable : les récents chiffres fournis par Gallup montrent que sa cote de popularité a atteint le niveau le plus bas jamais enregistré parmi un président américain pendant sa première année de mandat.
Selon un sondage de l'institut américain Gallup, Donald Trump affiche une impopularité record: seuls 35 % des personnes interrogées approuvent l'activité du nouveau président contre 59 % opposées à sa politique. Le sondage réalisé par Gallup le 18 mars faisait état de 37 % d'opinions favorables contre 58 % des sondés d'un avis contraire.
« En tant que premier président dans l'histoire des sondages de Gallup qui a commencé son mandat avec une cote de popularité au-dessous du niveau de la majorité, Donald Trump a déjà reçu les taux d'approbation les plus bas jamais parmi tous les présidents lors de sa première année », écrit Gallup sur son site, notant que la période de plus forte popularité pour le président américain avait été la première semaine de son mandat avec une cote de 46 %.
Trump se dit «déçu» et «un peu surpris» de l'échec de sa réforme de la santé
Pour rappel, deux mois après son investiture en 2009, Barack Obama affichait une cote de popularité de plus de 60 %.
Au sujet des mauvais sondages sur sa popularité personnelle, Donald Trump twittait récemment que les gens qui avaient réalisé des sondages erronés pour les élections faisaient maintenant des sondages de popularité.
« Ils sont truqués, comme avant », a souligné le président américain.
Donald Trump avait également une cote de popularité basse pendant sa campagne électorale, ce qui ne l'a pas empêché de remporter l'élection face à Hillary Clinton.
Gallup a interrogé quotidiennement par téléphone environ 1 500 adultes, avec une marge d'erreur de 3 % au final.
Suivez Sputnik sur Telegram pour ne jamais manquer les actualités les plus importantes grâce à nos sélections du matin et du soir. Pour recevoir les actualités de notre chaîne, il suffit de télécharger l'application Telegram sur n'importe quel smartphone, tablette ou ordinateur puis cliquer sur le lien et appuyer sur « Join »
https://fr.sputniknews.com/international/201703301030677479-trump-cote-popularite-record/
(...) « Ils sont truqués, comme avant », a souligné le président américain. (...)
SupprimerAlors que TOUS les americains sont CONTRE l'obamacare ruineux et peu efficace, voila un 'institut de sondage' (Hahaha !) qui invente des volontés ! Sondage fait auprès d'immigrés ?
Les soins de santé sont-ils un droit ou un bien ?
RépondreSupprimerJudge Andrew P. Napolitano
30 mars 2017
Le fiasco politique qui s'est déroulé la semaine dernière alors que le président Donald Trump et la direction de la Chambre républicaine n'ont pas adopté une loi abrogeant la Loi sur les soins abordables, communément appelée Obamacare, est attribuable autant à l'échec de la politique qu'à l'échec des politiciens Constitutionnel du gouvernement fédéral.
Les républicains ne pouvaient pas rassembler une majorité à la Chambre, qu'ils contrôlent, parce qu'un petit groupe déterminé d'entre eux veulent retirer le gouvernement fédéral de la réglementation des soins de santé et croient que le remplacement pour Obamacare que les leaders de Chambre ont offert garderait trop de En place. Le président et ses alliés ont soutenu que leur projet de loi invaliderait assez d'Obamacare pour renvoyer des choix gratuits aux soins de santé et pour remplir leurs promesses de campagne. Aucun côté n'a prévalu.
Voici l'histoire de retour.
Lorsque le Congrès a adopté Obamacare en 2010, il l'a fait sans un seul vote républicain. Le principe sous-jacent à la loi hautement partisane de 2700 pages est que les soins de santé sont un droit qui appartient à tous en Amérique et que le gouvernement fédéral a le devoir constitutionnel de le fournir.
La structure politique d'Obamacare exige que chaque personne en Amérique obtenir une assurance maladie, que chaque employeur de plus de 50 personnes en Amérique paient pour l'assurance maladie de tous les employés qui travaillent plus de 30 heures par semaine, que chaque politique de l'assurance maladie couvrent Grande dimension des besoins médicaux potentiels et que ceux qui gagnent sous un certain niveau de revenu annuel reçoivent des soins de santé aux dépens du reste d'entre nous. Le défaut d'obtenir et de maintenir une assurance maladie déclenche une charge fiscale - équivalente à la prime annuelle sur une police d'assurance maladie - pour chaque année, on passe sans couverture.
La structure économique d'Obamacare exige 100 pour cent de participation de tout le monde en Amérique afin d'assurer un grand bassin de primes d'assurance - payés par les individus, les employeurs ou les contribuables - à partir de laquelle payer les fournisseurs de soins de santé. Pourtant, les primes ne couvrent pas les coûts, c'est pourquoi le président Trump dit Obamacare s'effondre.
La structure de réglementation d'Obamacare ordonne à chaque médecin de soins primaires de conserver tous les dossiers médicaux sur les ordinateurs personnels auxquels le ministère de la Santé et des Services sociaux a accès. Ainsi, la valeur longtemps vénérée et uniquement américaine du privilège patient-médecin - la connaissance certaine que votre médecin ne révélera pas ce que vous lui dites ou lui - a été effacé. La loi a également donné au secrétaire des pouvoirs HHS non vérifiable pour réglementer les subtilités de la prestation des soins de santé en Amérique.
Avec ce médicament coûteux et amer - qui a causé des centaines de milliers de gens à déclasser au travail à temps partiel, réduit les salaires de millions d'autres et a conduit des milliers de fournisseurs de soins de santé à la retraite ou de nouvelles occupations - Obamacare a également fourni quelques sucre. La loi ordonne aux compagnies d'assurance de couvrir les conditions préexistantes, les enfants sur la politique de leurs parents jusqu'à l'âge de 26 ans et les coûteuses procédures électives, comme les avortements et la réaffectation sexuelle.
RépondreSupprimerAprès que les républicains aient acquis le plein contrôle du congrès en 2015, ils ont livré de nombreuses abrogations d'Obamacare au président Barack Obama, sachant qu'il les opposait au veto, ce qu'il a fait. Il s'agissait d'abrogations complètes - en supprimant essentiellement le gouvernement fédéral de la réglementation de l'assurance-maladie et la prestation des soins de santé.
Maintenant que les républicains contrôlent le Congrès et la Maison Blanche, vous vous attendez à ce qu'ils fassent de même, comme ils l'ont promis. Rien de tel n'est arrivé. La loi que les leaders de la Chambre républicaine a offerte la semaine dernière a maintenu la prémisse de base d'Obamacare - que les soins de santé est un droit et le gouvernement fédéral a le devoir de le fournir - et juste grignoté un peu sur les bords.
En vertu de la proposition de la Chambre, l'obligation d'avoir une assurance-maladie resterait, mais vous ne pouviez pas attendre de votre employeur; Vous pourriez avoir à payer pour vous-même. Et la pénalité pour le défaut d'avoir une couverture ne serait pas une taxe de l'IRS; Ce serait une surtaxe annuelle de 3 000 $ de votre assureur lorsque vous vous inscrivez. Vous pourriez acheter une assurance adaptée à vos besoins, mais presque tous les autres règlements fédéraux resterait en place - y compris un nouveau Orwellien qui permettrait à votre employeur de vous obliger à subir un dépistage génétique.
Cette Obamacare lite a été résisté par environ 30 Républicains House qui rejettent la prémisse que les soins de santé est un droit. Sans leurs votes, il n'aurait pas été adopté la semaine dernière, de sorte que les dirigeants de la Chambre a refusé de tenir un vote.
Les soins de santé sont-ils un droit en Amérique ?
En un mot, non. Les droits sont soit des immunités naturelles - existant dans des domaines de comportement humain qui, en raison de notre nature, doivent être exempts de la réglementation gouvernementale, comme la vie, la liberté et la poursuite du bonheur, ainsi que la parole, la presse, la religion, L'autodéfense et le reste de la vie privée - ou les revendications légales que nous qualifions ou négocier, comme le droit de vote, que la Constitution présume, et le droit d'utiliser votre propriété à l'exclusion de tous les autres et le droit d'acheter Un bien que vous pouvez vous permettre.
Mais le gouvernement fédéral ne peut pas créer un droit que la Constitution n'autorise pas. Il ne peut transférer constitutionnellement la richesse des contribuables ou des employeurs à d'autres et prétendre ensuite que les autres ont le droit de continuer à recevoir les transferts. La Cour suprême a statué que même la sécurité sociale, Medicare et Medicaid sont largesse du gouvernement que le Congrès pourrait mettre fin parce que personne n'a un droit à eux.
RépondreSupprimerBien sûr, le gouvernement fédéral a créé des attentes qu'il appelle des droits pendant des siècles. Pour rester en fonction, les membres du Congrès de soudoyer les riches avec des sauvetages, la classe moyenne avec des réductions d'impôt et les pauvres avec des droits confectionnés à toutes sortes de choses.
Pourtant, en vertu de la Constitution, les soins de santé ne sont pas un droit; C'est une bonne - comme une éducation ou une adhésion au gymnase. Vous travaillez dur, vous décidez quels biens acheter. Si le gouvernement vous donne le bien, cela ne le transforme pas magiquement en droit. Bravo aux courageux républicains de la Chambre qui le reconnaissent.
http://www.judgenap.com/post/is-health-care-a-right-or-a-good
L'Amérique brisée
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 29 mars 2017
Est-ce le début de la fin pour les États-Unis d'Amérique ? Il a été dit qu'une maison divisée contre elle-même tombera sûrement, et aujourd'hui nous vivons dans une union brisée. Dans toutes mes années, je n'ai jamais vu tant de conflits, de discorde, d'amertume et de ressentiment dans ce pays. Tout le monde peut voir ce qui se passe, mais personne ne peut l'arrêter. Politiquement, vous avez des dizaines de millions de personnes essayant de tirer l'Amérique d'une façon, et vous avez des dizaines de millions de personnes essayant de le faire exactement le contraire. Comme je l'ai dit dans un article précédent, le terme «guerre civile» est maintenant jeté autour par certains experts même si personne n'a commencé à tirer encore. Nous sommes une nation profondément divisée et brisée, et si nous ne trouvons pas un moyen de corriger les choses l'Amérique ne survivra pas.
Tous les sondages et les sondages qui ont été faits récemment confirment ce que je dis. Par exemple, une enquête Gallup qui a été menée après l'élection en Novembre a révélé qu'un record record de 77 % de tous les Américains croient que «la nation est divisée sur les valeurs les plus importantes» ...
Soixante-dix-sept pour cent des Américains, un nouveau sommet, croient que la nation est divisée sur les valeurs les plus importantes, tandis que 21 % croient qu'il est uni et d'accord. Au cours des 20 dernières années, le public a tendance à percevoir la nation comme étant plus divisée que unie, à l'exception de deux sondages effectués peu de temps après les attaques terroristes du 11 septembre.
Alors, comment pouvez-vous résoudre ce problème ?
Personne ne peut forcer la moitié de la population à changer brusquement d'avis sur les questions les plus importantes de la journée.
Plus tôt aujourd'hui, j'ai écrit un article sur la façon dont l'Amérique est de devenir un «casse-tête politiquement correct», et il n'y a vraiment aucun compromis avec les forces de la rectitude politique. Ou vous obtenez en ligne ou vous êtes l'ennemi.
Il était une fois que les valeurs inscrites dans la Constitution américaine par nos fondateurs nous unissaient, mais aujourd'hui, environ la moitié du pays a totalement rejeté ces valeurs.
Ceux qui voudraient rétablir nos valeurs constitutionnelles se trouvent diamétralement opposés à l'ordre du jour que les progressistes essaient de faire tomber, et personnellement je ne vois pas beaucoup de place pour un compromis entre les deux parties.
Compte tenu de suffisamment de temps, un côté serait finalement vaincre de l'autre côté, mais je ne sais pas si l'Amérique a suffisamment de temps pour que cela se produise.
Il y en avait qui avaient espéré que notre nouveau président allait unir le pays, mais vous pouvez jeter cette idée directement par la fenêtre. Selon les chiffres de Public Policy Polling, près de la moitié de la nation veut déjà qu'il soit mis en accusation ...
Lors de notre premier sondage sur sa présidence, les électeurs ont été divisés sur Trump, avec 44% d'approbation de lui et 44% de désapprobation. Maintenant, son taux d'approbation est de 43%, alors que sa désapprobation est allé jusqu'à 53%. Si les électeurs pouvaient choisir, ils préféreraient avoir Barack Obama (52/44) ou Hillary Clinton (49/45) au lieu de Trump.
RépondreSupprimerSeulement trois semaines après son entrée en fonction, les électeurs sont déjà divisés sur la question de l'accusation de Trump avec 46% en faveur et 46% opposés.
Les divisions politiques dans cette nation vont juste de plus en plus pire.
Mais simplement parce que nous sommes en désaccord avec quelqu'un politiquement ne signifie pas que nous devrions haïr cette personne.
Je sais qu'il peut être exaspérant de voir un politicien se lever et commencer à jeter des idées qui seraient extrêmement préjudiciables à ce pays. Mais si nous choisissons de haïr nos «ennemis» politiques, nous faisons partie du problème.
Il est facile d'aimer quelqu'un qui est d'accord avec vous sur la plupart des choses. Le vrai défi est de trouver un moyen d'aimer ceux qui croient des choses que vous pouvez trouver vraiment répugnante.
Cela ne signifie pas que vous devez être d'accord avec ce qu'ils croient. Je ne le dis pas du tout. Vous pouvez être en désaccord très fortement avec quelqu'un et toujours aimer cette personne.
Malheureusement, les cœurs de la plupart des gens ont fait froid en Amérique. Comme la haine, la colère et la frustration continuent de croître, il est seulement une question de temps avant de commencer à voir des explosions de violence. Les émeutes, les pillages et les troubles civils vont devenir monnaie courante dans les communautés partout aux États-Unis, et finalement certaines de nos grandes villes brûleront. Dans mon dernier livre, j'ai prévenu que le «fin vernis de civilisation que nous tenons pour acquis disparaîtra», et des milliers et des milliers d'Américains qui peuvent voir cette venue fuient déjà les grandes villes.
Ce qui me dérange particulièrement, c'est quand je vois des gens qui sont censés être du même côté qui se battent entre eux.
Si vous êtes autour de quelqu'un assez longtemps, finalement, ils vont faire ou dire quelque chose pour vous offenser. Aucun de nous ne sera d'accord à 100 pour cent sur tout, et c'est une horrible honte de permettre à un désaccord de ruiner ce qui devrait être une grande relation.
Si vous n'apprenez pas à pardonner, chaque relation que vous avez jamais dans votre vie échouera finalement, parce que tout le monde va vous laisser tomber à un moment donné.
Et vous pouvez penser que vous faites l'autre payer un prix en refusant de pardonner, mais la vérité est que vous serez celui qui finira par souffrir. Même la science médicale a constaté qu'il ya des avantages pour la santé à pardonner et que l'impunité peut réellement aider à apporter sur les maladies graves. Ce qui suit provient du site officiel de Johns Hopkins Medicine ...
RépondreSupprimerQu'il s'agisse d'une simple bavure avec votre conjoint ou d'un ressentiment de longue date envers un membre de la famille ou un ami, un conflit non résolu peut aller plus loin que vous ne le pensez - cela peut affecter votre santé physique. Les bonnes nouvelles: Des études ont révélé que l'acte de pardon peut récolter des récompenses énormes pour votre santé, réduisant le risque de crise cardiaque; Améliorer le taux de cholestérol et le sommeil; Et réduire la douleur, la pression artérielle et les niveaux d'anxiété, de dépression et de stress. Et la recherche indique une augmentation du pardon-santé à mesure que vous vieillissez.
«Il ya énormément de fardeau physique pour être blessé et déçu», explique Karen Swartz, MD, directrice de la Clinique de consultation pour adultes des troubles de l'humeur à l'hôpital Johns Hopkins. La colère chronique vous met dans un mode de combat ou de vol, ce qui entraîne de nombreux changements dans la fréquence cardiaque, la pression artérielle et la réponse immunitaire. Ces changements, donc, augmentent le risque de dépression, les maladies cardiaques et le diabète, entre autres conditions. Le pardon, cependant, calmer les niveaux de stress, conduisant à une meilleure santé.
Il ya des gens qui lisent cet article qui doivent prendre le téléphone en ce moment et s'excuser auprès de quelqu'un qu'ils ont refusé de pardonner.
Oui, sans aucun doute cela serait difficile. Mais vous pourriez être surpris de voir combien de grâce un peu d'humilité peut déclencher.
Vous mai ne pas être en mesure de réparer notre nation brisée, mais vous pouvez certainement fixer les relations brisées dans votre propre vie.
Et si des millions d'Américains décidèrent de choisir l'amour et le pardon plutôt que la haine, la colère, l'amertume et le ressentiment, cela aurait certainement un effet transformateur sur tout le pays.
Je voudrais terminer avec quelques mots très sages du Dr Martin Luther King Jr: «Les ténèbres ne peuvent pas chasser les ténèbres; Seule la lumière peut le faire. La haine ne peut pas chasser la haine; Seul l'amour peut le faire.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/broken-america
Emmanuel Macron déclare la guerre aux propriétaires
RépondreSupprimerLes récentes propositions fiscales d’Emmanuel Macron sont manifestement empreintes de l’idéologie anti-propriétaire prônée par Thomas Piketty et France Stratégie : les propriétaires devraient commencer à s'inquiéter !
Par Virginie Truyens.
Un article de l’Iref-Europe
France Stratégie (organisme de réflexion directement rattaché à Matignon) a récemment publié un rapport sulfureux intitulé « Quelle fiscalité pour le logement ? ». Ce dernier, loin d’être passé inaperçu, comporte des analyses et des propositions déroutantes qui pourraient vraisemblablement donner des sueurs froides à l’ensemble des propriétaires.
Et pour cause, France Stratégie y affirme que la fiscalité du logement favoriserait indûment le statut de propriétaire (soit 58 % des ménages français), au détriment de celui de locataire (soit 40 % des ménages français) et qu’il conviendrait, en conséquence, de surtaxer les propriétaires afin de rétablir une égalité par la fiscalité entre ces deux statuts.
Pour ce faire, l’organisme avance plusieurs propositions. La première viserait à offrir aux locataires la possibilité de déduire de leur revenu imposable les loyers qu’ils versent, et ce, aux frais des propriétaires qui devraient in fine supporter la hausse corrélative des taux d’imposition. La seconde viserait à directement surtaxer les propriétaires sur la base d’un loyer fictif déterminé à partir des caractéristiques de leur résidence.
L’ANCIEN RESPONSABLE DE FRANCE STRATÉGIE AU SERVICE D’EN MARCHE
Eu égard au caractère inquiétant de ces propositions, d’ailleurs largement critiquées, on aurait pu espérer qu’elles ne trouveraient aucun écho dans la sphère politique. C’était sans compter sur le recrutement de Jean Ferry-Pisani, lequel n’est autre que l’ancien Commissaire général de France Stratégie, au poste de responsable du programme et des idées du nouveau mouvement politique En Marche !
Et celui-ci n’a manifestement pas chômé depuis son arrivée puisque les récentes propositions d’Emmanuel Macron se trouvent déjà largement empreintes de l’idéologie anti-propriétaire délétère de France Stratégie.
TAXATION DE LA « RENTE IMMOBILIÈRE »
Emmanuel Macron a, tout d’abord, annoncé qu’il instaurerait, en place de l’ISF, un impôt sur la « rente immobilière ». Ce faisant, le candidat d’En Marche a clairement identifié ses nouvelles cibles fiscales : les propriétaires et rien que les propriétaires, bien qu’ils soient déjà matraqués de taxes locales (taxe d’habitation et taxe foncière) ! Il faut dire que ces derniers constituent des cibles plus faciles à taxer que les entrepreneurs dès lors qu’ils ne peuvent pas s’expatrier avec leurs actifs immobiliers.
Par ailleurs, on ne manquera pas de préciser que le recours à la terminologie de « rente immobilière », teintée de relents marxistes évidents, s’avère surprenant voire choquant, de la part d’un candidat qui se flatte d’incarner le renouveau et la modernité. Ce choix terminologique douteux révèle, de surcroît, un mépris viscéral à l’égard des propriétaires.
https://www.contrepoints.org/2017/03/30/285579-emmanuel-macron-declare-guerre-aux-proprietaires
LES AUTORITES CHINOISES AJOUTENT DES APPAREILS DE RECONNAISSANCE FACIALE AUX DISPENSATEURS DE PAPIER DE TOILETTE
RépondreSupprimer29 MARS 2017
DANIEL LANG
LE VOILIER QUOTIDIEN
Il est facile de comprendre pourquoi la technologie de reconnaissance faciale est si dangereuse. Tout gouvernement possédant cette technologie pourrait créer une grille de surveillance sans équivalent capable de suivre chaque mouvement de leurs citoyens. Au moins quand il s'agit de la surveillance de nos appareils électroniques, nous pouvons laisser nos téléphones cellulaires à la maison si nous ne voulons pas que le gouvernement sache où nous sommes. Mais s'il y avait des caméras de reconnaissance faciale à chaque coin de rue, il n'y aurait pas d'échappatoire à l'œil toujours vigilant du gouvernement.
Ce que vous pourriez négliger cependant, est comment cette technologie pourrait être utilisée pour réguler chaque minutie de nos vies. Ce n'est pas seulement un outil pour attraper des criminels et rassembler des dissidents. En Chine par exemple, la reconnaissance faciale est utilisée pour réguler les habitudes de salle de bains de leurs citoyens.
Les autorités chinoises ajoutent maintenant des appareils de reconnaissance faciale aux distributeurs de papier toilette dans les toilettes publiques. Mais ils ne le font pas pour surveiller leurs citoyens (à notre connaissance). Au lieu de cela, le gouvernement essaie d'empêcher les gens de voler ou d'utiliser trop de papier toilette.
Quand quelqu'un entre dans la salle de bain, la caméra scrute leur visage. Lorsque leur toilette est terminée, ils se tiennent devant le distributeur pendant trois secondes, et il crache une feuille de papier de deux pieds. Si ce n'est pas assez de papier, alors tout ce qu'ils peuvent faire est d'attendre. Le distributeur ne délivrera plus de papier à la même personne pendant neuf autres minutes. Soit dit en passant, ce distributeur coûte 750 $.
C'est ce qui arrive quand vous ne parvenez pas à maintenir le gouvernement en ligne. Ils ne s'arrêtent pas à rassembler les dissidents et à abolir les libertés. Les autoritaires sont obsédés par l'établissement de l'efficacité maximum sans aucune considération à ce que les gens veulent réellement ou ont besoin, ainsi ils peuvent et ils utiliseront les gadgets coûteux de haute technologie sur quelque chose comme basique et omniprésent comme distributeur de papier toilette.
http://www.thedailysheeple.com/chinese-authorities-are-adding-facial-recognition-cameras-to-toilet-paper-dispensers_032017
Notons qu'il n'y a peut-être QU'UNE SEULE entreprise en Chine qui a fait çà sur... 1 milliard 300 millions d'habitants !
SupprimerMais je doute qu'elle soit applicable dans la mesure où il s'agit rien de moins que de défendre le voyeurisme !