Aujourd'hui, les milieux hospitaliers français font peur ! Peur depuis qu'est passée cette 'loi contre le refus des dons d'organes' !! Ce n'est donc plus à vous à faire les démarches pour dire que vous accepteriez peut-être de vous séparer un peu de vous-mêmes (suivant combien il sont prêt à raquer) mais à vous de remplir 50 tonnes de paperasse pour vous opposer à 'donner votre corps à la science' pour sauver le fils de Babouin 1er !
Donc, vous n'êtes plus dans 'Le choix de Gracie' ou 'Trop jeune pour mourir' mais carrément sur 'Le boulevard de la mort' de Tarantino !! D'où le conseil préventif pour vous en tirer vivant lors d'un accident de la route ou victime d'un attentat auquel cas vous seriez transporté(e) vers la table d'opération de la boucherie la plus proche (inclure les rages de dent et les corps au pied), de bien vouloir vous raconter au plus vite au médecin de service lors de votre prochaine visite médicale annuelle.
- "Oui docteur excusez-moi je suis encore en manque ! Il y a 15 ans, j'avais débuté avec des pétards puis très vite suis tombé accro toxico-hard-trop-furax à l'héroïne où j'ai dû en tuer quelques-uns pour m'en procurer. L'excuse était aussi que je buvais trop, mais passons ! Donc, comme je me suis fait refaire le portrait et changer de papiers d'identité je... 'Comment c'est avec les femmes ?' Heu, j'connais pas suis pédé !"
(Mais là, éviter quand même d'en trop rajouter avec des 'j'ai eu le sida, la peste et le choléra' parce que suivant sur qui vous tombez le 'médecin en chef' serait capable de vous demander s'il peut vous enculer à sec contre la photocopieuse' !!).
Car, si vous vous déclarez en bonne santé, le jour où vous rentrez à l'hôpital: vous ressortez les pieds devant !
Car, si vous vous déclarez en bonne santé, le jour où vous rentrez à l'hôpital: vous ressortez les pieds devant !
L’automatisation n’a mené à la disparition que d’une seule profession en 60 ans
RépondreSupprimerAudrey Duperron
16 mars 2017
Certes, les robots se substituent massivement aux êtres humains pour effectuer certaines tâches, mais ce n’est que très exceptionnellement que l’automatisation aboutit à la disparition d’une profession. Telle est la conclusion d’une étude menée par James Bessen, professeur d’économie à l’Université de Harvard aux États-Unis.
Elle révèle que sur les 270 professions détaillées que l’on pouvait trouver dans le recensement américain de l’année 1950, une seule a disparu en raison de l’automatisation : celle de garçon d’ascenseur.
D’autres professions ne figurent plus sur les recensements modernes, mais leur disparition s’explique par d’autres raisons, telles que la suppression de la demande (gérant de pension de famille), ou l’obsolescence technologique (opérateur de télégraphe).
Et il probable que l’avenir sera modelé sur cette tendance, affirme James Bessen. Car même si la plupart des professions comportent des aspects qui peuvent être automatisés, très peu de professions sont entièrement automatisables, montre une étude récente de McKinsey.
Or, cette distinction est cruciale, parce qu’elle induit des conséquences radicalement différentes sur le plan économique. En effet, lorsque l’on peut substituer entièrement des robots ou des algorithmes à l’homme à un poste de travail, l’automatisation a systématiquement pour effet de détruire des emplois. Mais lorsque cette substitution n’est que partielle, l’automatisation pourrait avoir pour effet de créer des emplois.
La révolution industrielle
C’est ce phénomène que l’on a observé au cours de la révolution industrielle, rappelle Bessen. L’introduction des métiers à tisser automatiques a permis de baisser le coût de fabrication des vêtements, ce qui a conduit à baisser les prix de vente de ces vêtements, et d’augmenter la demande en conséquence. Les manufactures ont donc été contraintes de recruter davantage de personnes pour satisfaire cette demande, alors que grâce à l’emploi des machines, chaque ouvrier était bien plus productif.
Las… ce scénario de rêve ne s’appliquera pas systématiquement. La demande pour certains produits ou services n’augmente pas lorsque l’on baisse leur prix de vente. Et de nos jours, le rythme du progrès technologique est si rapide, qu’il n’est plus possible de comparer la manière dont l’économie s’est adaptée par le passé à ce que nous vivons aujourd’hui.
https://fr.express.live/2017/03/16/automatisation-disparition-profession-emploi/
Comme le rappelle Bessen, "L’introduction des métiers à tisser automatiques a permis de baisser le coût de fabrication des vêtements, ce qui a conduit à baisser les prix de vente de ces vêtements, et d’augmenter la demande en conséquence."
SupprimerEffectivement, le prix de l'heure du robot tire les salaires vers le bas pour... le bien de tous car, plus c'est cher moins il y a de consommateurs qui peuvent ce payer l'article.
La Suède veut instaurer une taxe environnementale sur les billets d’avion
RépondreSupprimerAudrey Duperron
16 mars 2017
Le gouvernement de coalition rouge-vert suédois envisage d’introduire une taxe environnementale controversée sur les billets d’avion. Les billets seraient vendus de 8 à 45 euros plus cher, en fonction de la durée du vol.
Avec cette taxe environnementale, la Suède entend atténuer l’impact de l’aviation sur les émissions de gaz à effet de serre. Le gouvernement espère ainsi que les Suédois choisiront des alternatives respectueuses de l’environnement.
Si elle est approuvée par le Parlement, cette mesure entrerait en vigueur le 1er Janvier 2018.
« C’est un exemple de réforme fiscale verte », a estimé le vice-ministre des Finances, Per Bolund.
L’opposition de centre-droit s’oppose farouchement à cette proposition, dont elle craint qu’elle pourrait inciter les compagnies aériennes à délocaliser leurs opérations et leurs bureaux dans les pays voisins, où aucune taxe de ce genre n’est imposée. On craint aussi pour l’emploi.
Pourtant, il est très probable que cette mesure soit adoptée, juge Bolund. En effet, il pense qu’il est « hautement improbable » que le parti d’opposition de centre-droit soutienne le parti d’extrême droite pour bloquer la proposition de budget pour 2018 dans laquelle cette mesure s’intègre.
https://fr.express.live/2017/03/16/suede-taxe-environnementale-billets-avion-2/
Assistons-nous à l’émergence d’une superpuissance nucléaire européenne ?
RépondreSupprimerAudrey Duperron
16 mars 2017
Au sein de l’Union européenne, l’idée, autrefois impensable, de la nécessité de se doter d’un programme de dissuasion nucléaire fait son chemin, affirme le New York Times.
« Les analystes disent que ce débat, même s’il ne se traduit pas en action, démontre le sentiment croissant en Europe que des mesures drastiques pourraient être nécessaires pour protéger l’ordre d’après-guerre à l’ère de la Trump-présidence, d’une Russie renaissante et d’un possible alignement entre les deux », écrit le journal américain. Assistons-nous à l’émergence d’une superpuissance nucléaire européenne ?
Peu de temps après l’élection de Donald Trump, l’eurodéputé allemand Roderich Kiesewetter a soulevé la question d’une option nucléaire européenne au Bundestag. Jaroslaw Kaczynski, ancien Premier ministre polonais et actuel président du Parti Droit et Justice (PiS) au pouvoir en Pologne, avait évoqué l’idée d’une Union européenne nucléaire dans le Frankfurter Allgemeine en février.
En Allemagne, un pays avec un sentiment anti-nucléaire généralisé, le débat a maintenant atteint le grand public, souvent sous forme controversée.
Le débat se généralise
Selon Jana Puglierin qui dirige le Alfred Oppenheim Center du think tank DGAP ( Deutsche Gesellschaft für Auswärtige Politik), « une poignée de dirigeants européens ont provoqué un débat public, dans les journaux , des interviews à la radio et des documentaires de télévision ». Dans le New York Times, elle manifeste son étonnement : «Je suis vraiment surprise que nous discutions de cela ». Mais selon Puglierin, le public allemand est pour le moment « totalement opposé » à cette idée.
Selon le plan, la France s’engagerait à déployer son arsenal nucléaire pour protéger le reste de l’Europe sous un commandement européen commun. Le plan comprendrait également le déploiement de têtes nucléaires françaises dans les autres pays européen et il serait financé par l’Allemagne.
Un tel programme ne prendrait effet que dans l’hypothèse où le continent ne pourrait plus compter sur la protection américaine. Il ne permettra donc pas l’accès de nouveaux pays au club très sélect des détenteurs de l’arme nucléaire, mais conduirait néanmoins à une escalade sans précédent des capacités militaires de l’Europe et à une rupture radicale avec le leadership américain.
https://fr.express.live/2017/03/16/debat-programme-nucleaire-europeen/
SupprimerFidèle à sa ligne de journal-à-la-con, le New York Times ressort les arcs & les flèches d'antan ! La défense nucléaire est obsolète dans le sens où elle se traduit par l'explosion d'une bombe atomique aux oubliettes depuis 40 ans ! Car, le système de protection a évolué depuis belle lurette et est passé au scalaire qui permet de stopper, de détourner l'arrivée d'émanations radioactives (mais pas encore d'en effacer la nocivité qui l'accompagne). Exemple récent est celui de Fukushima où quelques jours après l'explosion de 3 réacteurs - due à la libération intérieure d'hydrogène contenu dans les barres scellées d'Uranium - les cartes satellite diffusées par l'Institut NILU et montrant la progression d'Ouest en Est Pacifique des particules radioactives ont été... censurées ! Et, bizarrement, les analyses faites aux USA sur les retombées attendues ont confirmé... leur absence ! Çà alors ! Mais où sont passé les particules ?? Particules radioactives détournées vers le pôle Nord où - quelques années après lors d'un vortex (blizzard Nord-Sud)- ... elles sont réapparues sur le Canada et les États-Unis.
BRÈVE : Hamon veut fermer dix réacteurs nucléaires
RépondreSupprimerle 17 mars 2017
Une information qui n’a pas été reprise par la presse est significative de la dangereuse évolution de la politique énergétique « post-Fukushima » allemande : les consommateurs de l’Allemagne ont subi des coupures d’électricité à répétition sur les réseaux basse tension car il fallait privilégier les consommateurs industriels. Les moulins à vent et les panneaux solaires n’arrivent pas à l’évidence à prendre en charge la fermeture récente de 8 réacteurs nucléaires.
En France le candidat au trône élyséen, Benoit Hamon, vient de déclarer qu’il était plus rentable pour EDF, donc pour l’Etat, de fermer toutes les unités arrivant en ‘fin de vie » car les travaux nécessaires pour la prolongation de leur fonctionnement décidée par une instance indépendante, je le rappelle, serait trop coûteuse et estimée à 51 milliards, selon EDF. Les deux unités de la centrale nucléaire de Fessenheim qui ont reçu l’agrément de prolongation de dix ans (au moins) de fonctionnement ont été déjà préparées pour cette exploitation. Mais non ! Elles vont être arrêtées : un non-sens économique et financier total que Monsieur Hamon veut d’ors et déjà multiplier par 5. Hamon n’est qu’un rêveur et un incapable qui veut attirer les voix des écolos en déclarant droit dans ses bottes que, je cite la dépêche de l’Agence France Propagande : » le coût du maintien ou (du) prolongement de l’espérance de vie de nos réacteurs nucléaires est estimé à 60 milliards d’euros qui renchérissent le coût de l’électricité produite par le nucléaire, et le rapproche de facto du coût de l’électricité produite par des énergies renouvelables« . N’importe quoi …
Source : AFP. J’ai corrigé une faute d’orthographe dans le texte reproduit ici en caractères gras.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/03/17/breve-hamon-veut-fermer-dix-reacteurs-nucleaires/
Le Web a fêté ses 28 ans dans la partie française du CERN.
RépondreSupprimerle 17 mars 2017
Le 12 mars 1989 l’informaticien anglais Tim Berners-Lee (TimBL) travaillait au CERN avec un contrat d’indépendant et il proposa à cet organisme, bien connu aujourd’hui pour sa découverte récente du bozon de Higgs, le concept d’hypertexte afin d’aider les chercheurs à communiquer entre eux. Il mit en place un système qu’on peut appeler aujourd’hui « intranet » sur le site du CERN, fort de son expérience au sein de la société de télécommunication anglaise Plessey et ayant collaboré à la mise au point d’un logiciel de traitement de texte. Le système proposé au CERN fut appelé Enquire. C’était la naissance du Web tel qu’on le connait maintenant.
Le développement de l’hypertexte (HTTP, acronyme de HyperText Transfer Protocol) constitue la base technique du web avec le contrôle de transmission (TCP) et le système de noms de domaines (DNS).
Comme je n’y comprend rien je laisse mes lecteurs se documenter par eux-mêmes (source par exemple Wikipedia).
À l’occasion de cet évènement « TimBL », aujourd’hui membre fondateur de la WWW Foundation (ne pas confondre avec le WWF), a écrit une lettre ouverte indiquant les trois points qui menacent cette organisation devenue mondiale et dont presque plus personne ne peut se passer, que ce soit en se connectant avec un ordinateur, une tablette ou un téléphone portable et ceci dans toutes les couches de la société, dans tous les pays du monde et pour toutes les applications ou domaines industriels, politiques et commerciaux et ce pratiquement sans exception.
TimBL sonne l’alerte sur les fausses nouvelles qui envahissent « la toile » que ce soient de faux faits-divers, de fausses informations financières ou encore de fausses rumeurs à caractère politique ou commercial. Ces fausses nouvelles font souvent le « buzz », un néologisme presque sonore, et envahissent la toile avec une rapidité étonnante et dangereuse. Ce sont surtout les réseaux sociaux et une petite poignée de moteurs de recherche qui favorisent l’envahissement du WEB par ces fausses nouvelles. TimBL déplore le mercantilisme de ces organisations qui gagnent de l’argent chaque fois qu’on y accède. Par exemple, durant la campagne présidentielle américaine, jusqu’à 50000 messages publicitaires étaient présentés chaque jour sur Facebook, une situation totalement incontrôlable ! Et chaque fois qu’un utilisateur de ce réseau social y était connecté la compagnie de Zuckerberg gagnait de l’argent … beaucoup d’argent, des millions de dollars chaque minute.
L’autre point que déplore TimBL est la perte de contrôle de nos données personnelles. La fourniture de renseignements personnels à un site web en échange d’un accès gratuit à ce dernier permet aux gouvernements de nous surveiller à notre insu. « Dans les pays où nous croyons que le gouvernement a l’intérêt des citoyens à coeur, la surveillance de tous, tout le temps, va tout simplement trop loin » selon TimBL que ce soit au niveau des idées politiques, de l’appartenance à une religion, de la sexualité ou encore de la santé.
RépondreSupprimerTimBL aborde aussi très opportunément l’utilisation de la toile par le monde politique au mépris des plus basiques règles de la démocratie. À l’aide d’algorithmes sophistiqués le monde politique cible chacun des utilisateurs du web pour l’influencer dans ses choix. Un exemple évident est la main-mise évidente de l’écologie politique sur un nombre impressionnant de pages web de l’encyclopédie ouverte Wikipedia ainsi que la réécriture de certaines pages de l’histoire contemporaine.
Enfin TimBL conclue en appelant tous les « webinards » à s’unir pour sauvegarder la liberté d’internet car le web appartient à tout le monde et personne ne peut s’arroger le droit de l’utiliser comme un instrument de manipulation à des fins politiques ou idéologiques.
Source : http://webfoundation.org/2017/03/web-turns-28-letter/ disponible aussi en français, espagnol, portugais et arabe
https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/03/17/le-web-a-fete-ses-28-ans-dans-la-partie-francaise-du-cern/