De la même façon qu'il est dit qu'à force de répéter un mensonge il deviendra vérité, 'dieu' serait apparu !! Croyez pas ? Essayez de dire à quelqu'un que vous avez rencontré 'dieu' ! déjà, là, les gens vous regarderons de travers ! puis, ajoutez que vous avez eu une conversation avec lui ! (Interview exclusive !!) Hahahahaha ! Là, ce n'est même pas une personne qui vous croira, mais PERSONNE qui vous croira ! PERSONNE !
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Cela prouve bien que ce 'dieu' n'existait que dans votre tête alors que vous vous l'imaginiez dans la tête de tous !! D'où la réalité mise à nu ou: la vérité qui dérange.
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Parce qu'après tout, s'il apparaissait [dieu], les questions dites 'embarassantes' fuseraient de toutes parts. "Pourquoi des millions (milliards ?) d'enfants souffrent et meurent de faim sans que vous fassiez quelque chose ? Pourquoi des millions (milliards ?) de femmes sont battues, violées, traitées d'inférieures sans que vous ne fassiez rien ? Pourquoi des millions (milliards ?)... là, 'dieu' est déjà parti à des 'milliards' de kilomètres se cacher et regrettant amèrement d'être venu/'descendu' pour... discuter ! Discuter ! A le con ! Le con, le con !
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Mais, comme de l'or en banque, à Fort Knox ou à la banque d'El Paso, il n'y a pas une brindille de ce métal recherché sinon celles peintes à la bombe ou celles qui dans les champs crèvent de soif au soleil ! 'Croyez-moi, j'ai de l'or !'/''J'peux pas vous le montrer mais, j'ai de l'or ! Beaucoup d'or et même plus que vous ne le pensiez !''
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Avouez là que rien que pour la dernière phrase, çà vaut le déplacement ! "même plus que vous ne le pensiez !" Hahahahaha !
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Ainsi suffit-il de convaincre au préalable son entourage pour que ce dernier le répète et, - pour être 'plus' convainquant - en rajouter avec un "Je l'ai vu ! Il en a des montagnes ! Et, encore plus vous ne le pensiez !"
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Mais, toutefois, il est possible que des 'chefs d'Etats' soient dans la difficulté d'être crédibles en arguant - à qui veut l'entendre - qu'ils en sauraient plus que des personnes qui ont plus fait d'études qu'eux !!! Là, déjà le doute est frappant ! mais, ils ajoutent, qu'ils en savent plus que les scientifiques ! et, même pour comble, ils se réfèrent en un organisme de pauvres crétins dévoyés (dont la plupart étaient hier encore en prison !) qui s'appelle 'le GIEC' ! (Groupement d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat)
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où ne figure... aucun scientifique !!! mais 'pour remplacer' (Hahahaha !) des: 'experts' !! (Vous savez vous peigner les cheveux mieux que toute autre ? Vous êtes une experte ! Vous savez prédire le temps qu'il va faire en regardant les nuages noirs s'amonceler ? Vous êtes un expert !). 'Intergouvernemental' signifie 'entre', ou plutôt 'dans' un gouvernement (et non inter gouvernementaux qui signifierait entre des gouvernements); quant à 'sur l'évolution du climat'... HAHAHAHA ! Voila bien une chose qui veut à la fois tout dire et rien dire ! L'évolution du climat est une modification des températures (comme nous en connaissons bien une vingtaine tous les jours du matin/midi et le soir en plus du vent qui se lève (ou pas !) et de la pluie qui tombe (ou pas !).
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Donc, avec pareille étiquette, y a pas de quoi passer pour un con ! ou plutôt, d'y être laissé pour ce que vous êtes !
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Et là, bien-sûr the question: "Et dieu dans tout çà ??!" Bêh oui quoi ! Il va laisser refaire un déluge (des vagues d'un kilomètre de haut ! Hahahaha !), noyer des millions d'animaux et d'humains ! (sauf les poissons HAHAHAHA ! sauf les poissons qui s'en branlent, s'en foutent, s'en balancent et se marrent comme des baleines !).
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Donc, en cette fin d'année (2015), se tiendrait à Paris un 'symposium' sur le climat ! Aïe-aïe-aïe ! Où, se réuniront tout les 'HAARP' de la Terre de Gakona en Alaska à Gakona (en Amérique du Nord) en passant par la Maison Blanche de Gakona.
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Mais putain si on (ils vous disent) vous dit que la banquise va fondre : ELLE VA FONDRE ! Mais pour 'la mer qui monte'... heu-là, faudra attendre un peu !
George Soros met en garde « Sans exagération » que la Chine et les États-Unis sur le « Seuil de World War 3 »
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 22/05/2015 09:12-0400
Tout en admettant qu'atteindre un accord entre les deux pays sera difficile à atteindre, George Soros - parole à la Conférence de Bretton Woods de la Banque mondiale cette semaine - a averti qu' à moins que les États-Unis fait des "concessions majeures" et permet à la monnaie de la Chine à rejoindre le panier du FMI des monnaies, « il y a un réel danger de Chine s'alignera avec la Russie politiquement et militairement, et puis la menace de guerre mondiale deviendrait réelle. »
Beaucoup dans la géopolitique mondiale dépend de la santé et de la trajectoire de l'économie chinoise, a été le reflet des observations de George Soros, comme il a parlé cette semaine, mais que les rapports de MarketWatch,
Investisseur milliardaire que George Soros a déclaré catégoriquement qu'il est préoccupé par la possibilité d'une autre guerre mondiale
...
Si les efforts de la Chine à la transition vers une demande intérieure led économie d'un moteur d'exportation s'essouffler, il est "probable" que les dirigeants chinois favoriserait un conflit externe pour garder le pays ensemble et conserver le pouvoir.
...
Pour éviter ce scénario, Soros a appelé les Etats-Unis à faire une concession « majeure » et permettre à la monnaie de la Chine à rejoindre le panier du Fonds monétaire International des monnaies. Cela rendrait l'yuan un rival potentiel pour le dollar comme monnaie de réserve mondiale.
En retour, la Chine devra faire des concessions importantes similaires à réformer son économie, par exemple accepter la règle de droit, dit Soros.
Ce qui permet d'yuan de la Chine à être qu'une monnaie de marché créerait « un lien de liaison » entre les deux systèmes.
Un accord dans ce sens sera difficile à réaliser, Soros a dit, mais l'alternative est si désagréable.
« Sans elle, il y a un réel danger que la Chine s'alignera avec la Russie politiquement et militairement, et puis la menace d'une troisième guerre mondiale deviendrait réelle, donc il vaut mieux essayer. »
Et tandis que sur le sujet, Soros également parlé récemment, comme le souligne ValueWalk, sur la situation en Europe...
« L'Union européenne était une idée très inspirante à des gens comme moi, » a-t-il commenté, réfléchissant à quand les économies de l'UE étaient plus équilibrées. « C'était l'incarnation de l'idée d'une société ouverte, pays sympathisants se réunissent et sacrifier la bonne partie de leur souveraineté pour le commun. Il était censé être une association volontaire d'égal à égal. »
(suite en dessous:)
Soros a continué à dire : "en raison de la crise de l'Euro, [l'UE] a été transformé en quelque chose de radicalement différent." Il a également souligné qu'au fil du temps deux catégories différentes de pays ont évolué : créanciers et débiteurs. "Les débiteurs avaient des difficultés à satisfaire leurs obligations et cela mettre les créanciers en charge. Ils (les créanciers) fixer les règles et rendent très difficile pour les débiteurs quitter leur statut d'infériorité. Une association bénévole d'égal à égal est devenue une association involontaire d'ONU-égaux."
RépondreSupprimerTout en évitant de faire des prédictions, sur la Grèce Soros a noté : "la Grèce est une situation toxique. Toutes les parties ont fait beaucoup d'erreurs, et il y a beaucoup d'hostilité, de beaucoup de sentiments négatifs... Les deux côtés sont prêtes à blesser l'autre côté, même si ça leur fait mal."
* * *
L'investisseur milliardaire a conclu en soulignant que les dépenses militaires sont actuellement en hausse en Russie et en Chine, avertissement inquiétant...
« S'il y a conflit entre la Chine et un allié militaire des Etats-Unis, comme le Japon, alors il n'est pas exagéré de dire que nous sommes au seuil d'une troisième guerre mondiale. »
http://www.zerohedge.com/news/2015-05-21/george-soros-warns-no-exaggeration-china-us-threshold-world-war-3
L’Union européenne sur les traces de l’Ukraine
RépondreSupprimerPar Dagmar Henn –
Le 16 mai 2015 – Source vineyardsaker.de
Ce qui se passe à une petite échelle pour l’Ukraine se passe à grande échelle pour l’Europe. Dans les deux cas, il s’agit d’un territoire que les USA veulent garder entièrement sous leur contrôle. Pour ce faire, tous les moyens leur sont bons, et si ça ne suffit pas, c’est la stratégie de la terre brûlée qui est employée : ce que nous ne pouvons pas contrôler nous-mêmes, nous le détruisons, afin que personne d’autre n’y ait accès.
Des Ukrainiens, soumis à ces épreuves, ont fait la prédiction que ceci allait bientôt se passer aussi en Europe. Eh bien, nous y sommes.
Les USA n’ont pas réussi à établir un contrôle total sur l’Ukraine.
Ce pays aux fortes divisions internes n’a pas comblé les desiderata des seigneurs d’une façon totalement satisfaisante. De ce fait, la destruction de l’Ukraine reste au programme des USA. Elle est déjà bien avancée.
Les USA n’ont pas réussi à établir un contrôle total sur l’Europe.
Cette zone aux fortes divisions internes n’a pas rempli les desiderata des seigneurs d’une façon totalement satisfaisante. Dans la guerre de propagande, l’unité des alliés transatlantiques était affichée, mais quand il est devenu clair que, sur ordre des Américains, les Européens devaient paralyser leur économie, l’obéissance de l’Europe s’est arrêtée.
La phase de propagande aiguë n’a pas permis de vendre le TTIP (Transatlantic Trade and Investment Partnership). Le TTIP aurait pour effet de castrer les politiques européennes sur tous les plans, y compris au niveau national. Il s’agit d’une tentative désespérée de repousser l’effondrement économique des USA d’une ou deux décennies, aux dépens de l’Europe. Sous l’apparence du conflit ukrainien, il s’agit d’un enjeu d’une tout autre envergure. Avec le TTIP, l’Europe devient une vulgaire colonie américaine, sans pouvoir. Sans le TTIP, l’Europe peut encore essayer de défendre ses intérêts.
Parmi ces intérêts, il y a par exemple la coopération avec la Russie. Il s’agit d’intérêts réciproques. Les seuls qui y trouvent à redire, et qui n’en font pas mystère, sont les USA. L’Europe et la Russie sont très désireuses d’éviter une guerre entre elles. Et sont aussi très désireuses de développer leurs échanges commerciaux. Deux choses qui offensent grandement les USA.
L’Ukraine n’a pas rempli sa mission de déclencher une guerre entre l’Europe et la Russie. Mais ce n’est peut-être que partie remise. En ce moment, c’est la Pologne et les pays baltes qui s’activent particulièrement pour attiser en Europe l’humeur guerrière (en Allemagne il y a suffisamment d’éléments qui en attestent). Les USA sont en train d’inonder d’armes lourdes ces pays, qui se trouvent être des voisins directs de la Russie. Une opération sous fausse bannière peut être déclenchée à tout moment.
(suite en dessous:)
L’Europe est-elle stupide au point de négliger sa propre sécurité ? Pas si simple en fait, car en cas de désobéissance aux USA, les conséquences ne sont pas moins menaçantes qu’en cas d’obéissance. La politique européenne des derniers six mois se caractérise à la fois par un discours totalement aux ordres des Américains et par un souci d’améliorer les relations avec la Russie. De ce paradoxe germent ainsi plusieurs comportements névrotiques de la part de l’Europe. Fait aggravant, l’Europe s’est élargie plutôt vers les pays de l’Est, qui sont plus loyaux vis-à-vis des USA qu’à son encontre.
RépondreSupprimerL’Ukraine en tant que pays intermédiaire est pratiquement détruite. D’ici 2019, il faudra trouver des alternatives. Le projet South Stream a été stoppé de façon brutale par les Américains. De ce fait, la Russie propose un projet alternatif de ce gazoduc via la Turquie (Turk Stream). Pour l’Union européenne, c’est moins bien que le South Stream, mais c’est mieux que d’autres alternatives (par exemple, le gaz du Qatar). L’effet de choc suite à l’abandon du projet South Stream a fait place à de nouvelles préoccupations au sein de l’Europe. Le temps est compté.
Là encore, les USA foulent aux pieds d’autres intérêts européens. Ils disent clairement aux Grecs que ceux-ci ne doivent pas compter sur le Turk Stream. D’importants faiseurs d’opinion s’attaquent à la Turquie et à ce projet (l’article en question est un parfait enseignement sur l’art de semer la zizanie entre des partenaires commerciaux et d’affirmer avec aplomb que ce qui est blanc est noir). En Macédoine, futur point de passage du nouveau gazoduc, un coup d’État a commencé. Sur le modèle exact de Maidan et des autres révolutions de couleur. On n’est plus ici en présence de signaux subtils à destination de l’Union européenne. On a largement dépassé ce stade. Les USA bloquent ouvertement les routes commerciales possibles entre la Russie et l’Europe et y mettent le feu à leur gré. La guerre économique entre les USA et l’Union européenne ne se cache même plus.
Hormis l’échelle, il y a dans les évolutions actuelles deux autres différences intéressantes entre l’Ukraine et l’Union européenne. Lorsque l’Ukraine était au bord de l’abîme, elle était sous contrôle total des USA, mais était encore économiquement indépendante. Le levier politique aura suffi pour pousser l’Ukraine vers le suicide, y compris sur le plan économique. A l’inverse, l’Union européenne est politiquement très fortement endoctrinée, mais bien qu’au bord de l’abîme, elle n’est pas impuissante et aveugle comme l’Ukraine. D’un autre côté, l’économie et le système financier en Europe sont si fortement dépendants des USA que ces derniers pourraient à tout moment en déclencher l’effondrement. Et ils pourraient d’ailleurs commencer par ça. La destruction de l’économie européenne est le moyen trouvé par les USA pour pousser l’Europe vers le suicide politique.
Les USA mettent l’Europe devant l’alternative suivante : l’esclavage sous la bannière du TTIP, ou la destruction. Europe, fais ton choix…
Traduit par Élisabeth, relu par Diane pour le Saker Francophone
http://lesakerfrancophone.net/lunion-europeenne-sur-les-traces-de-lukraine/
A propos de 6 des plus grandes banques du monde: 'criminalité à grande échelle' et 'la manipulation faisait partie de leur culture d'entreprise'
RépondreSupprimerpar Audrey Duperron
21 mai 2015
Aux États-Unis, quatre des plus grandes banques du monde - JP Morgan, Barclays, Royal Bank of Scotland et Citigroup - ont plaidé coupable aux accusations de manipulation des marchés des changes, dans une affaire dont le FBI a estimé qu’elle relevait « d’une criminalité à grande échelle ».
Deux autres banques - UBS et Bank of America – se sont vues infliger de lourdes amendes, mais elles ne seront pas poursuivies. Huit traders de Barclays seront licenciés, mais une fois de plus, personne ne sera poursuivi à titre individuel.
Ces condamnations sont l’aboutissement d’une longue enquête qui a permis de mettre au jour les agissements d’une vingtaine d’employés de ces 6 banques, qui se qualifiaient eux-mêmes de « cartel ». Entre 2007 et 2013, ils se sont échangés des informations codées dans le cadre d’une « chat room » en ligne afin de gagner de l’argent sur le marché des changes.
L'amende cumulée s’élève à 5,6 milliards de dollars. Sur les marchés des changes, 5.300 milliards de dollars de titres sont négociés quotidiennement.
La Deutsche Bank a été épargnée pour le moment, mais elle risque aussi d’être condamnée ultérieurement à une amende bien plus élevée qui pourrait peut-être dépasser l’amende cumulée des six banques susmentionnées.
C’est aussi une première : les banques ont plaidé coupable, ce qui ouvre la porte à d’autres procédures et au possible départ de clients, commente Marc Fiorentino de MonFinancier.com.
Mark Taylor, le doyen de la Warwick Business School, qui siège également au Groupe consultatif de la Fair and Effective Markets Review de la Banque d’Angleterre, s’étonne que les dirigeants de ces banques n’aient pas été inquiétés :
C’est un énorme coup dur pour les banques, à la fois financièrement et pour leur réputation. Mais la question se pose de savoir pourquoi aucun CEO ou cadre supérieur de toutes ces banques n’a donné sa démission, alors que la taille de l'amende et les résultats de l’enquête montrent que la manipulation du FOREX faisait partie de leur culture d'entreprise. »
Au cours des 5 dernières années, les États-Unis ont infligé plus de 100 milliards de dollars d’amendes à différentes banques dans le cadre de nombreux scandales. Cela représente près de 2 fois le PIB de la Bulgarie.
Depuis la crise financière, les États-Unis se sont spécialisés dans le traitement rapide et efficace de ces affaires qui permettent au Trésor américain d’encaisser des recettes substantielles. Les banques paient ou doivent cesser toute exploitation aux États-Unis. Ou pire, elles ne peuvent plus travailler en dollars. Un chantage très efficace…
La Suisse, l'Allemagne, la Grande-Bretagne et de nombreux autres pays enquêtent aussi sur des affaires bancaires. Mais comme le montre le graphique ci-dessous, élaboré par The Economist, dans ce domaine, ce sont les Etats-Unis qui raflent l’essentiel du jackpot. Le reste du monde doit se contenter des miettes…
http://www.express.be/business/fr/economy/a-propos-de-6-des-plus-grandes-banques-du-monde-criminalite-a-grande-echelle-et-la-manipulation-faisait-partie-de-leur-culture-dentreprise/213581.htm
Autriche confirme la foi en Fiat décoloration : Rapatrie 110 tonnes d'or de la BOE
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 22/05/2015 11:43-0400
Il y a six mois, nous a averti qu'Autriche il envisageaitet maintenant, comme les rapports Kronen-Zeitung, avec pas requis de référendum suisse-comme truqué, gouverneur de la Banque centrale autrichienne et la personne demande beaucoup est dans le cercle intérieur de Mario Draghi de confiance (bientôt pour être révisé) Edwald Nowotny a engagé à rapatrier 110 tonnes d'or. Cela fait partie de la nouvelle « stratégie d'or » de Nowotny et avec sa position (sur papier) comme l'un des lieutenants avant tout de Draghi, semble être un gros coup de poignard dans le dos pour argent super Mario d'impression.
Alors que l'or retraits de la Fed de New York ont été incessants depuis un an...
- voir graphique sur site -
... cette fois il semble que la Banque d'Angleterre fait face à la chute de confiance que 80 % de l'or de Vienne se tient là.
• LA BANQUE CENTRALE POUR APPORTER LA PLUPART DES RÉSERVES D'OR DE RETOUR EN AUTRICHE : KRONE
• PLANS D'OR KRONEN-ZEITUNG RAPPORTS ON AUTRICHIEN DE LA BANQUE CENTRALE
• AUTRICHE À TRANSPORT 110 TONNES D'OR VERS AUTRICHE : KRONE
Réserves de plans de la Banque centrale autrichienne à garder 50 % de son or en Autriche vs 17 % aujourd'hui, Kronen-Zeitung rapporte, citant du gouverneur Ewald Nowotny inédit nouvelle "stratégie or." Bloomberg ajoute :
• 30 % des réserves d'or à conserver au Royaume-Uni, de 80 % maintenant
• 20 % à être tenu en Suisse vs ~ 3 % maintenant
• Intention est "diversification des risques:" Krone
Dans l'ensemble, l'Autriche a 280 tonnes de réserves d'or, selon le rapport annuel de la Banque centrale 2013.
Rapports de Kronen-Zeitung,
Pour la population qui est une bonne nouvelle, parce que les sondages montrent que cela correspond aux souhaits de la majorité.
Depuis 2007, aucun or n'a été vendu, et également selon la nouvelle stratégie de la Banque centrale, cette "réserve d'urgence" ne sera pas touchée.
Après le rapatriement, Autriche auront au moins la moitié de son or situé sur son territoire, avec de l'or qui s'est tenue à Threadneedle Street dégringolant de 80 % du total à seulement 30 %, avec les 20 % restants se tiendra en Suisse. Selon Krone, le 110 rapatriés tonnes seront "transférés retour" en petites tranches dans les mois à venir.
Donc pour résumer : jusqu'à présent, les rapatriements or récentes suivantes ont eu lieu :
(suite en dessous:)
• 120 tonnes par l'Allemagne en 2014, dont de 85 tonnes de la Fed de New York
RépondreSupprimer• 122 tonnes par les pays-bas en 2014, ce qui de la Fed de NY
• Et maintenant 110 par l'Autriche
Quant à ce que ce scramble toujours plus agressive par les autorités monétaires officielles à repatirate leurs moyens or, nous avons à peine besoin de commenter ce que cela signifie pour l'avenir de "non - 6000 ans vieux, non traditionnels" monnaies fiat.
Alors pourquoi est l'Autriche de s'engager dans un mouvement qui sera considéré comme simplement la dernière gifle face à un régime de fiat ruine ? Accordig « Diversification des risques » Krone, qui ajoute que « qui est bonne nouvelle pour la population autrichienne, parce que les sondages montrent que cela correspond aux souhaits de la majorité ». Après tout, Krone ajoute, « la Bundesbank allemande - fin 2013 - a décidé de porter la moitié de ses réserves d'or à Francfort, le reste reste à New York et à Londres. »
Mais le « risque » qu'y a-t-il à se diversifier ? Après tout, il y a un proverbe qui dit: "aussi sûr que la Banque d'Angleterre." Eh bien, comme un rappel - c'est ce qui arrive lorsque vous cédez votre or à la Banque d'Angleterre pour la "garde"...
« La Banque des règlements internationaux est la Banque qui sanctionne l'indignation la plus notoire de cette génération — le viol de la Tchécoslovaquie. »
— George Strauss, député travailliste, s'exprimant aux Chambre des communes, mai 1939
"la Banque des règlements internationaux devrait être liquidée avant elle meublé tout plus nerf de la guerre à l'Allemagne et que l'étrange relation entre le gouvernement britannique et la Banque d'Angleterre devrait être réexaminée sans délai. »
— « Voit britanniques mains liées sur or tchèque, » New York Times, 6 juin 1939
Lorsque l'Allemagne nazie annexe la province de la frontière tchécoslovaque des Sudètes en septembre 1938, il est immédiatement absorbé une bonne partie du système bancaire du pays, ainsi que la plupart des défenses stratégiques de la Tchécoslovaquie. D'ici là Banque nationale du pays avait prudemment transfère la plupart de sa médaille d'or à l'étranger à deux comptes à la Banque d'Angleterre : un au nom de la BRI et l'autre au nom de la Banque nationale de Tchécoslovaquie elle-même. (Pays certains de leurs réserves d'or avaient déposé dans un compte secondaire sur le compte de la BRI à Londres afin de faciliter les achats et ventes d'or.) Les 94 772 kilos d'or, 6 337 kg seulement sont restés à Prague. La sécurité de l'or national était plus qu'une question monétaire. Le tchécoslovaque se réserve, comme ceux de l'Espagne républicaine, étaient une expression de l'identité nationale. Sculpté dans les vestiges de l'Empire austro-hongrois en 1918, la République tchécoslovaque était une nation nouvelle et fragile. Une bonne partie de l'or avait été donnée par le public dans le pays au début des années. Josef Malik, le gouverneur de la Banque nationale et ses compatriotes tchèques croyaient que, alors même que les Nazis démembré leur patrie, si l'or national était sûr, alors quelque chose de l'indépendance du pays durerait.
(suite en dessous:)
Ils se sont trompés. Foi des tchécoslovaques dans la probité de la BRI et de la Banque d'Angleterre a été tragiquement égarée. L'or a été sacrifié, avec à peine une seconde pensée, aux besoins des Finances transnationales et le troisième Reich.
RépondreSupprimerLa première demande de Nazis est venu en février 1939, lorsque Berlin a ordonné à Prague pour transférer un peu plus de 14,5 tonnes d'or, soi-disant pour soutenir la monnaie allemande actuellement en circulation dans la région des Sudètes. C'était certainement une idée novatrice — tout d'abord envahir un pays voisin, annexer une partie de celui-ci et ensuite exiger que l'État nouvellement tronqué fournissent l'or à payer pour la perte de son territoire.
Le mois suivant, la question devenue académique. Le 15 mars, la Wehrmacht marche sur Prague. Le protectorat allemand de Bohême et la Moravie a été déclaré, et la Tchécoslovaquie avait cessé d'exister. Mais les réserves d'or. Trois jours plus tard un fonctionnaire de la Reichsbank a été envoyé à la Banque nationale de la Tchécoslovaquie et a ordonné à l'administration, sous la menace de mort, de donner deux ordres. Grâce au travail de détective diligent de Piet Clements, l'archiviste BIS, nous avons une vision claire de ce qui s'est passé ensuite. Premier ordre chargé de la BRI de transférer la 23,1 tonnes d'or tchécoslovaque, qui s'est tenue sur le compte de BIS chez la Banque d'Angleterre à la Reichsbank BIS compte, également tenu à la Banque d'Angleterre. Le second ordre a chargé la Banque d'Angleterre pour transférer presque 27 tonnes d'or tenu à la Banque nationale de compte propre de la Tchécoslovaquie au compte à la Banque d'Angleterre d'or de la BRI.
Malik et ses collègues directeurs espéraient qu'il serait évident que les instructions ont été publiées sous la contrainte et ne seraient donc pas être appliquées. Les Nazis avaient envahi la Tchécoslovaquie juste et cibleraient évidemment les réserves d'or nationales. Mais Malik n'avait pas considérés sur Montagu Norman. Le gouverneur de la Banque d'Angleterre n'avait aucun intérêt à savoir si la Tchécoslovaquie était libre ou une colonie nazie. Considérations « Politiques » ne doivent pas affecter les opérations de la BRI. L'ordre de virement, dit-il, doit traverser.
Pendant ce temps, à Bâle, Johan Beyen, le président néerlandais de la BRI, a hésité. Beyen abordé ce sujet avec le conseiller juridique de la BRI, Felix Weiser. Mais comme Norman, Weiser a adopté l'approche formaliste plus possible. Tant que la paperasserie était en ordre, l'argent doit traverser. Weiser a soutenu, un peu bizarrement, qu'il ne pourrait y avoir aucun motif juridique pour réclamer que l'ordre de transfert a été publié sous la contrainte, comme tel un plaidoyer pourrait être présentée devant un tribunal Suisse uniquement par les personnes qui ont agi sous la contrainte. Clairement, l'administration de la Banque nationale de la Tchécoslovaquie avaient peu de chances pour se rendre en Suisse pour présenter leurs arguments. Par conséquent, toute décision de ne pas autoriser le transfert serait une politique BIS, plutôt que de l'administration. Le Conseil d'administration de la BRI fait politique. Donc Beyen devra consulter le Conseil pour arrêter le paiement. (Il s'agissait de mauvais conseils pour une autre raison — aux termes de la BRI statuts les autorités suisses n'avaient pas compétence en tout cas au cours de l'or les transferts entre États.)
(suite en dessous:)
Beyen a refusé de se prononcer sans autorisation. Mais qui pourrait il demander ? Le Président du Conseil BIS, Sir Otto Niemeyer, de la Banque d'Angleterre, était en voyage en Egypte et était donc au secret. À 18:00 le 20 mars, Roger Auboin, directeur général de la Banque, a dit Beyen que le gouverneur de la Banque de France avait discuté avec Londres. La Banque d'Angleterre et la Banque de France ne prendrait aucune mesure pour arrêter le transfert, parce qu'ils estimaient qu'il n'y a pas lieu d'intervenir. L'ordre de transfert BIS a traversé.
RépondreSupprimerConformité avec Londres, Paris et de Bâle, l'Allemagne nazie avait pillé seulement 23,1 tonnes d'or sans coup férir. Plus des deux tiers de cet or a été échangé avec les banques nationales néerlandaises et belges et a été finalement transporté depuis Amsterdam et Bruxelles à voûtes de la Reichsbank à Berlin. Planification diligent de la Tchécoslovaquie de préserver ses réserves d'or nationales, ainsi que sa foi déplacée dans l'intégrité du nouveau système financier international, était venus pour rien. La deuxième ordonnance de transfert pour les 27 tonnes qui s'est tenue à la Banque nationale de compte propre de la Tchécoslovaquie à la Banque d'Angleterre ne passe pas. Sir John Simon, le chancelier de l'échiquier, avait chargé des banques pour bloquer tous les avoirs tchécoslovaques. Or tchécoslovaque mais détenues dans un compte de BIS à la Banque d'Angleterre, il semblait, n'était pas défini comme bien national et était hors de portée des lois du Royaume-Uni.
Décision de Norman et de Beyen provoqué désespoir et incompréhension à Prague et tumulte à Londres. La perte de l'or tchécoslovaque était tout « Faute de Norman, » s'est exclamé le Daily Herald. Paul Einzig, de l'actualité financière, a couru un flot d'histoires exposant la complicité du Trésor et de la Banque d'Angleterre dans l'affaire. Einzig ont exigé de savoir pourquoi le ministère des Finances n'avaient pas arrêté le transfert, tel qu'il était en violation flagrante de la loi dite loi Tchécoslovaquie. Brendan Bracken, un journaliste et un allié de Winston Churchill, a déclaré aux Chambre des communes que "la Banque d'Angleterre après ce qui s'est passé ne peut plus être considéré comme l'endroit le plus sûr du monde et de l'expression « Sans danger comme la Bank of England » peut s'appliquer n'est plus. » Churchill lui-même demandé à savoir comment le gouvernement pourrait invite les gens à s'enrôler dans l'armée quand il a été "tellement beurre doigts que 6 millions de livres d'or peuvent être transférées au gouvernement Nazi. »
Le vrai méchant de l'affaire était Norman. Beyen, qui plus tard a servi comme ministre des affaires étrangères néerlandais et comme directeur général du Fonds monétaire International, a été un bureaucrate inefficace, paralysé par l'idée qu'il pourrait avoir à assumer la responsabilité de se prononcer. Norman aurait pu s'arrêter le transfert immédiatement. Il est le gouverneur de la Banque d'Angleterre, qui a tenu les deux BIS comptes impliqués. À tout le moins, il aurait pu demander le transfert à un renvoi au Conseil de se prononcer, ce qui aurait aussi été une mesure bornée BIS. Il a choisi de ne pas le faire. , Il était clair que la guerre allait venir, que la Grande-Bretagne aurait à combattre. L'invasion nazie de la Tchécoslovaquie avait détruit les derniers espoirs de paix. Que des réserves or du pays, qui s'est tenue à Londres, ont maintenant une question de sécurité nationale britannique.
(suite en dessous:)
Pourtant, priorité de Norman n'était pas l'intérêt de son pays natal, mais plutôt l'indépendance de son bien-aimé BIS. Alors même que les coquilles étaient chargés dans les chars allemands, Norman a toujours cru que pour les banquiers il pouvait être entreprise comme d'habitude. Rien ne peut interférer avec la bankers' neutralité sacrée et courtois confiance dans une autre, pas même la conflagration qui viennent avec un régime dont le mal a été maintenant simplement à voir. La Banque de France avait refusé d'arrêter le transfert, mais avait aussi demandé à Norman de le bloquer. Norman est catégorique. Il ne pourrait y avoir aucune ingérence politique dans les opérations de la BRI, même, semble-t-il, quand ils ont été commandés au bout du fusil.
RépondreSupprimerNorman n'a pas exprimé aucun regret à tous sur le transfert d'or tchèque. En fait, il était positivement indigné à l'idée que le gouvernement britannique pourrait avoir certains disent dans les actions de la Banque. Il a écrit, "je ne peux pas imaginer n'importe quelle étape plus mauvaise qu'à apporter le gouvernement dans les affaires bancaires courantes de la BRI. Je suppose que cela signifierait la ruine. J'imagine les Allemands auraient jamais payé aucun intérêt à la BRI et au Conseil d'administration nous aurait alors probablement ont trouvé les allemands, italiens et japonais debout ensemble!" Norman a ensuite menti à Sir John Simon, le chancelier de l'échiquier, mais avec un mensonge très révélateur. Simon a demandé Norman si il ne pourrait pas avoir averti le gouvernement que, grâce à la BRI, l'Allemagne était sur le point d'acquérir « grande solidité financière supplémentaire. » Norman a dit à Simon qu'alors que la Banque d'Angleterre qui s'est tenue l'or pour la BRI, elle ne savait pas si l'or appartenait en fait par la BRI ou était détenu par la BRI pour les autres banques centrales. C'est faux, comme Norman a admis plus tard. Norman a ensuite fait un objectif important, même choquant, admission. Il a dit que Simon "il est très douteux qu'il eût cru son devoir, en tant que directeur de la BRI, de faire une déclaration au sujet de ses transactions au gouvernement britannique."
Norman a même écrit à Beyen de clarifier la question et pour assurer le Président BIS où ses loyautés ultimes pondent à Bâle. Norman ne voulait pas corriger publiquement les moindres détails de ce qui a été signalé dans la presse et le Hansard, le journal parlementaire britannique — que la Banque d'Angleterre ne savait pas dont or a eu lieu dans les comptes de BRI — comme qui l'exposerait. « La difficulté, c'est que si je signale au Trésor que c'est incorrect, je m'étends moi-même ouvert à être demandé détails des opérations, BIS, qui ne me paraît pas le Conseil du Trésor ont le droit de savoir. » Cela a été frôlé la trahison. Comme compatriotes de Norman étaient s'enrôler dans l'armée, préparation à risquer leur vie pour les libertés et le luxe qu'il aimait, comme son pays préparé pour la guerre contre les Nazis que tous savaient allait venir, Norman allègrement a annoncé que sa loyauté primaire n'était pas à la Grande-Bretagne, mais à une Banque internationale, hyper privilégié qui n'était même pas dix ans.
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L'erreur de Malik, le directeur de la Banque nationale de la Tchécoslovaquie, a été de croire que Norman, Beyen ou en effet tout de la gestion de la BRI pourrait concevoir n'importe quelle dimension morale ou politique à leurs décisions. Banquiers internationaux plus puissants de la planète ont été non seulement refusent de faire obstacle à la saisie nazie de la Tchécoslovaquie — ou autrichienne — actifs. Ils pourraient tout simplement pas concevoir de n'importe quelle raison pourquoi ils devraient le faire. Tant que les formalités ont été observées, les documents nécessaires étaient estampillées et l'or est réaffecté. Indépendance précieux de Norman pour la Banque d'Angleterre et la BRI avait été achetée à un prix élevé, dans les montagnes de lingots d'or à payer pour l'acier fabriquer des bombes qui seraient bientôt pleuvent sur Londres.
RépondreSupprimer* * * * *
... l'affaire avait mis en évidence les connexions profondément troublantes entre la Banque d'Angleterre, le gouvernement britannique et la BRI. Il y avait beaucoup de sentiment de partis en Grande-Bretagne, rapporté le New York Times, que «la Banque des règlements internationaux devrait être liquidée avant elle apportée tout plus nerf de la guerre à l'Allemagne, et que l'étrange relation entre le gouvernement britannique et la Banque d'Angleterre devrait être réexaminée sans délai. » Le New York Times était alors en mesure d'assumer que ses lecteurs comprennent une allusion classique. Le mot « tendons » était une référence à une épithète de Cicéron, le philosophe romain, qui avait dit: «le nerf de la guerre est argent infini. » Observation de Cicéron était aussi prémonitoire alors que durant les années 1930. Mais ceux qui voulaient les BIS à liquider étaient trop tard. Grâce à la BRI le « nerf de la guerre"et les flux d'argent près-infini étaient sur le point d'être considérablement renforcé.
http://www.zerohedge.com/news/2015-05-22/austria-confirms-faith-fiat-fading-repatriates-110-tons-gold-boe
L’or de l’Allemagne et de la Fed est parti en Chine
Supprimerhttps://www.goldbroker.fr/actualites/or-allemagne-fed-parti-asie-chine-288
Puce argent entrant dans les métaux précieux comme la Russie achète un autre 300 000 onces
RépondreSupprimerSoumis par GoldCore le 22/05/2015 09:40-0400
Du jour AM LBMA prix de l'or a été de 1,211.00 USD, 1,083.45 EUR et GBP 772.96 $us l'once.
AM LBMA veille Prix de l'or a été 1,209.60 USD, 1,084.36 EUR et GBP 772.60 $us l'once.
Or a chuté de 3,78 $ pour clôturer à $ 1 205,82 l'once sur hier, et l'argent est resté inchangé à 17,12 $ l'once.
Or en Dollars US - 1 semaine
Du jour au lendemain, or à Singapour ont progressé 0,2 pour cent à $ 1 208,19 l'once vers la fin de la journée de négociation. Or est-il sur la bonne voie au commerce baisse de 1,4 % plus forte baisse hebdomadaire en un mois.
Prix de l'or ont rebondi aujourd'hui après fin hier en baisse de 0,3 %, mais semblent ont rencontré une certaine résistance à leur déplacement de 200 jours en moyenne (1215). Sur la semaine, l'or est en baisse de 0,7 % et argent est légèrement inférieur en dollars pour la semaine mais a suppléa à des gains en euros. La plus grande chute de la semaine était le palladium, baisse un peu plus de 2 %.
Sur une base quotidienne, palladium est le seul métal précieux plus faible aujourd'hui, vers le bas un peu plus d'un demi-point, alors que de 0,3 % et hausse de 0,5 % de l'argent du platine.
Or en Euros - 1 semaine
L'or était faible en termes de dollars mais forte en euros cette semaine. Le dollar a gagné près de 2 % cette semaine que l'euro affaibli à nouveau.
« Discute » demeure un risque réel. La chancelière allemande Angela Merkel, le premier ministre grec Alexis Tsipras et Français Président Francois Hollande négocient un cash-Deal de réformes qui permettrait à la Grèce rencontrer ses remboursements de la dette le mois prochain et rejoindre le programme d'assouplissement quantitatif de la BCE.
« Nous ne pouvons pas simplement jeter la Grèce de l'euro » - Juncker a menacé avant le sommet de la crise. Grèce dit une partie de la réforme peut venir dans 10 jours, mais Merkel est prudent - elle a averti qu'il y a « beaucoup à gauche » à faire sur les pourparlers de plan de sauvetage de la Grèce.
Trac reste sur le prochain remboursement qui est prévu le 5 juin. « Prolonger et faire semblant » semble encore une fois, mais évidemment cela ne peut aller si longtemps avant que nous obtenions une crise très grave et potentiellement de la contagion.
Données de Thomson Reuters Lipper service ont montré hier que les investisseurs en fonds basé aux Etats-Unis éliminés $ 597 millions sur les fonds de matières premières et des métaux précieux dans la semaine s'est terminée le 20 mai, le plus grand exode depuis décembre 2013, montrant le sentiment négatif à l'égard du secteur.
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Or en livres sterling - 1 semaine
RépondreSupprimerCependant, l'argent futé continue à maintenir les allocations ou d'accumuler des positions. Financier de mines américain Qu'oskar Lewnowski se prépare à lancer un fonds de métaux précieux et de base, des sources ont dit à Reuters. C'est sa dernière étape en recréant Red Kite - le célèbre trading et l'entreprise d'investissement, il a co-fondé il y a une dizaine d'années.
Deux ans après sortir sur son propre et créer une entreprise d'investissement de capitaux privés Orion Resource Partners, le New-yorkais âgé de 50 ans a déjà investi presque $ 1 milliard en fonds propres, les prêts et les flux de redevances au moins 17 entreprises minières juniors et embauché un négociant de métaux physiques pour gérer l'approvisionnement.
Réserves d'or russes a augmenté par une autre importante onces troy 300 000 en avril pour apporter au total, déclarées réserves d'or russes sur la marque de 40 millions - à 40,1 millions d'onces troy. Il y a bien sûr la possibilité que la Russie n'est pas déclarant tous leurs achats de lingots d'or et les réserves, à la manière de la Banque de Chine populaire.
En fin de matinée, European trading or est 0,56 pour cent à $ 1 212,67 l'once. L'argent est en hausse de 0,68 % à 17,28 $ l'once et le platine est en hausse de 0,27 % à $ 1 157,00 l'once.
http://www.zerohedge.com/news/2015-05-22/smart-money-entering-precious-metals-russia-buys-another-300000-ounces
Il est mathématiquement Impossible de rembourser toutes nos dettes
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 21 mai 2015
Saviez-vous que si vous avez pris chaque centime loin de tout le monde aux États-Unis qu'il encore ne suffire pas pour rembourser la dette nationale ? Aujourd'hui, la dette du gouvernement fédéral dépasse $ 145 000 par ménage, et il s'aggrave avec chaque année qui passe. Beaucoup croient que si nous on a payé un peu à la fois que nous pourrions éventuellement rembourser tout, mais comme vous le verrez ci-dessous qui ne va pas fonctionné non plus. Il a été prévu que « obligatoire » des dépenses fédérales pour des programmes tels que la sécurité sociale, Medicaid et Medicare plus intérêt sur la dette publique dépassera total des revenus fédéraux en 2025. C'est avant un seul dollar est passé sur le militaire, homeland security, payer les fonctionnaires fédéraux ou construire des routes et des ponts. Si non, nous n'allons pas à être « rembourser » notre dette n'importe quel moment dans un avenir prévisible. Et bien sûr ce n'est pas seulement notre dette nationale 18 billions de dollar dont nous avons besoin de s'inquiéter. Dans l'ensemble, les Américains sont un total de 58 billions de dollars de dette. Il y a 35 ans, ce nombre était assis à seulement 4,3 billions de dollars. Il est impossible dans le monde que tous de cette dette peuvent être jamais remboursé. La seule chose que nous pouvons espérer pour l'instant est pour cette bulle de dette pour durer aussi longtemps que possible avant il explose enfin.
Cela choque beaucoup de gens pour apprendre que notre dette est bien plus grande que le montant total d'argent dans l'existence. Nous allons donc prendre quelques instants et passer par certains des chiffres.
Quand la plupart des gens pensent de « l'argent », ils pensent que des pièces de monnaie, papier-monnaie et vérification des comptes. Tous ceux qui sont contenus dans une des mesures plus élémentaires d'argent appelée M1. La définition suivante du M1 provient Investopedia...
Une mesure de la masse monétaire qui comprend tout l'argent physique, tels que des pièces de monnaie et monnaie, ainsi que des dépôts de demande, vérification des comptes et ordre négociable de retrait (maintenant). M1 mesure les composants plus liquides de la masse monétaire, car il contient des liquidités et des actifs qui peuvent rapidement être convertis à la monnaie.
…Comme vous pouvez le voir sur le graphique ci-dessous, M1 a vraiment progressé ces dernières années grâce à l'assouplissement quantitatif rampant par la réserve fédérale. À l'heure actuelle, il est assis juste timide de 3 billions de dollars...
- voir graphique sur site -
Donc si vous ramassé toutes les pièces de monnaie, tout en papier monnaie et tout l'argent dans tous les comptes de chèques, qui même ferait beaucoup d'une brèche dans notre dette ?
Nope.
Va falloir trouver plus de « argent » à saisir.
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M2 est une définition plus large d'argent que M1 est, parce qu'il inclut plus de choses. La définition suivante du M2 vient de Investopedia...
RépondreSupprimerUne mesure de la masse monétaire qui comprend l'encaisse et des dépôts vérification (M1) ainsi qu'à proximité d'argent. « L'argent proche » en M2 comprend les dépôts d'épargne, les fonds communs de placement du marché monétaire et les autres dépôts à terme, qui sont moins liquides et ne conviennent pas aussi comme moyens d'échange, mais peuvent être rapidement convertis en argent comptant ou de contrôle des dépôts.
Comme vous pouvez le voir sur le graphique ci-dessous, M2 est assis juste en deçà de 12 billions de dollars en ce moment...
- voir graphique sur site -
C'est beaucoup plus « d'argent », mais il ne serait pas encore rembourser notre dette nationale, encore moins la dette totale de 58 billions de dollars.
Ainsi est-il autre chose que nous pourrions récupérer ?
Eh bien, la définition la plus large de « l'argent » qui est couramment utilisé est M3. La définition suivante de M3 provient Investopedia...
Une mesure de la masse monétaire qui comprend M2, mais aussi les grands dépôts à terme, fonds institutionnels du marché, les accords de rachat d'actions à court terme et autres actifs plus liquides. La mesure de M3 comprend les avoirs qui sont moins liquides que les autres composantes de la masse monétaire et sont plus étroitement apparentés aux finances des grandes institutions financières et sociétés qu'à ceux des entreprises et des particuliers. Ces types d'actifs sont appelés « proche, près de l'argent. »
La réserve fédérale ne prévoit plus graphiques M3, mais selon John Williams de shadowstats.com, M3 est actuellement assis quelque part dans le quartier de 17 billions de dollars.
Ainsi, même avec la définition la plus large possible de « argent », nous simplement ne pouvons imaginé assez pour rembourser la dette du gouvernement fédéral, encore moins le reste de nos dettes.
Ce n'est pas du tout bonne nouvelle.
Alternativement, pourrions nous juste commencer à dépenser moins de nous apporter et commencer à rembourser la dette nationale, un peu à la fois ?
Peut-être qui sont peut-être vrai en même temps, mais maintenant nous sommes vraiment contre le mur. Notre vieillissement rapide population va mettre une énorme quantité de stress sur nos finances nationales dans les années à venir.
Selon au représentant américain Frank Wolf, intérêts sur la dette nationale plus de dépenses "obligatoires" sur des programmes comme la sécurité sociale, Medicare et Medicaid dépassera le montant total des recettes fédérales d'ici à 2025. Qui est avant un centime est consacré à la sécurité intérieure, la défense nationale, payer les fonctionnaires fédéraux, etc..
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Mais même maintenant, les choses sont un gâchis géant. On nous dit que « les déficits sont sous contrôle », mais c'est un canular massif qui repose sur les gimmicks de comptabilité. Au cours de l'exercice 2014, la dette publique américaine a augmenté de plus de 1 billion de dollars. C'est pas « sous contrôle » – c'est une crise nationale qui fait rage.
RépondreSupprimerBeaucoup croient que que nous pourrions améliorer la situation en augmentant les impôts. Et oui, un petit peu que plus pourraient probablement être coincé hors de nous, mais l'impact sur les finances publiques serait négligeable. Depuis la fin de la seconde guerre mondiale, le montant des recettes fiscales par le gouvernement fédéral a fluctué dans une fourchette entre 15 et 20 pour cent du PIB n'importe quel impôt taux ont été. Je crois qu'il est possible de se lever dans la bas de la vingtaine, mais qui serait très préjudiciable à notre économie et le public américain serait probablement jeter une énorme crise de colère.
Le vrai problème, bien sûr, est notre hors du contrôle des dépenses.
Durant les deux dernières décennies, les dépenses du gouvernement fédéral a augmenté de 63 % plus rapidement que l'inflation et les dépenses "obligatoires" sur des programmes tels que la sécurité sociale, Medicare et Medicaid a en fait doublé après que vous ajustez à l'inflation.
Nous pouvons simplement continuer à dépenser de l'argent comme ça.
Et puis, il y a la question de l'intérêt sur la dette nationale. Pour l'instant, le reste du monde va nous prêter gigantesques montagnes d'argent à un taux ridiculement bas. Toutefois, si le taux moyen d'intérêt sur la dette du gouvernement américain était juste pour revenir à la moyenne à long terme, nous aurait dépenser plus de 1 billion de dollars par an , juste en intérêt sur la dette nationale.
Donc le meilleur environnement possible pour « rembourser notre dette » jamais que nous allons voir est passe en ce moment. Le seul endroit où les taux d'intérêt sur la dette du gouvernement américain doivent aller est en place, et notre population va juste reçois plus âgés et plus dépendant des programmes gouvernementaux.
Pendant ce temps, notre dette globale continue d'échapper à tout contrôle aussi bien. Selon CNBC, le montant total de la dette que les américains doivent a atteint un impressionnant 58,7 billions de dollars...
Comme la nation entré dans les années 1980, il y avait relativement peu de dette — à peu près $ 4,3 billions. C'était seulement environ 1,5 fois la taille du PIB brut. Puis une drôle de chose s'est passé.
L'écart a commencé à se creuser au cours de la décennie et devenue alors essentiellement parabolique à travers les années 90 et dans la première partie du XXIe siècle.
Bien que la dette a pris un bref recul en 2009, dont le pays boitait de sortir de la crise financière, il a grimpé à nouveau et est maintenant, à $ 58,7 billions, 3,3 fois la taille du PIB et environ 13 fois ce qu'il était en 1980, selon les données de la succursale de St. Louis de la réserve fédérale. (La mesure de la dette totale est à ne pas confondre avec la $ 18,2 billions dette nationale, qui est de 102 % du PIB et est un sous-ensemble du chiffre total.)
Comme j'ai indiqué plus haut, il n'ya pas assez d'argent dans tout notre système à même de rembourser une partie importante de cette dette.
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Donc ce qui arrive lorsque le montant total de la dette dans une société dépasse largement le montant total d'argent ?
RépondreSupprimerEst-il possible sur autre que de l'effondrement ?
Vous pouvez partager ce que vous pensez en postant un commentaire ci-dessous...
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/it-is-mathematically-impossible-to-pay-off-all-of-our-debt
Bizarre que ce soit le 'ménage americain' qui soit responsabilisé d'un montant (exorbitant) de la dette alors que pour le plus souvent il n'en a pas fait !
SupprimerAffaire Kerviel: trop tard pour les preuves
RépondreSupprimerMyret Zaki
Publié le 18 Mai 2015 à 11:17
« J'ai été désigné comme unique responsable par la Société Générale. J'assume ma part de responsabilité, mais je ne serai pas le bouc-émissaire de la Société Générale », déclarait début février 2008 Jérôme Kerviel, le trader actif dans l’arbitrage sur indices boursiers, qui venait de perdre 4,9 milliards d’euros.
Tout au début de l’affaire, aucun spécialiste sérieux des marchés ne croyait à la thèse de «l’homme seul». Il aura fallu 7 ans pour que cette thèse, qui a prévalu par la suite, soit à nouveau remise en cause. Ce n’est que ce 9 avril que Nathalie Le Roy, la commandante de la brigade financière chargée à l’époque de l’enquête, a décidé de briser le silence. Ses révélations ouvriront-elles une «affaire Société Générale»? Ce n’est pas sûr, tant il est difficile, 7 ans après, de reconstituer des preuves.
Mais cette affaire restera, à jamais, marquée du sceau du doute.
Ce qui apparaît, dans ses dernières révélations, c’est un scénario malheureusement très classique : des enquêteurs dépassés par les complexités de la haute finance, qui se retrouvent en sous-effectif, pris de vitesse par une banque qui se serait débarrassée d’e-mails incriminants, et qui aurait fait signer des contrats de confidentialité à de multiples témoins potentiels. Par rapport à la banque puissante qu’ils ont en face, les autorités de l’enquête se retrouvent rapidement en mode suiveur ; les témoins clés avec qui Nathalie Le Roy a parlé en 2008 lui glissent entre les mains, les preuves lui échappent et le sol se dérobe sous ses pieds. Au final, les autorités se retrouveront en situation de déléguer l’affaire à la Société Générale, et prendront les témoins choisis par cette dernière.
Ce scénario qui se dessine, quelle que soit la vérité de l’affaire, révèle déjà le rapport des forces en présence.
Lorsque le scandale des 4,8 milliards d’euros de pertes éclate au début de 2008, les rubriques financières des journaux qui ont enquêté dans le milieu du trading doutaient fortement de la thèse de l’homme seul. Des traders de banques concurrentes à la Société Générale nous parlaient des volumes de plusieurs centaines de milliers de contrats futures sur l’indice boursier DAX, qu’ils voyaient tous depuis des mois, et qu’ils savaient venir de cette banque. Les informations circulent si vite sur le marché. Se pourrait-il que les traders de la concurrence aient su d’où venaient ces gigantesques volumes, alors que la banque qui employait ledit trader ait simultanément tout ignoré de son activité ?
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Tout porte à croire que la Société Générale ait préféré être accusée de défaillance de ses contrôles internes, c’est-à-dire d’avoir manqué de voir 75 signaux d’alertes de risques successifs entre juin 2006 à début 2008, plutôt que d’être vue comme complice de prises de risques aussi disproportionnées, les positions de Kerviel ayant atteint 28 milliards d’euros le 30 juin 2007. Et c’est ainsi que le rapport interne sur l'affaire Kerviel de mai 2008 n’a mis au jour «aucune complicité interne ou externe» dans cette affaire.
RépondreSupprimerUn calcul tout à fait rationnel : mieux vaut être jugé incompétent que malhonnête.
Et une stratégie tout à fait pertinente, si elle se confirme: la banque se sera offert une impunité de 7 ans, voire davantage.
Tout cela rappelle étrangement une autre affaire, plus proche de nous: l’affaire UBS et ses 50 milliards de pertes dans les subprimes à la même époque. La Commission fédérale des banques (CFB), basée à Berne, avait manqué d’ascendant et de moyens pour surveiller les risques américains d’une UBS à laquelle la Suisse n’était que trop redevable pour le rayonnement qu’elle lui procurait alors. La taille et l’influence d’UBS lui avaient conféré une influence exagérée sur la CFB concernant des questions telles que le niveau adéquat de fonds propres pour certains types de risques. C’est le piège de l’«institutional capture» (ou capture institutionnelle), dans les termes mêmes de son ex-directeur Daniel Zuberbühler, qui signifie que la CFB a manqué de recul et d’esprit critique dans la surveillance de ce géant global.
Une situation similaire semble s’être produite dans l'affaire Kerviel en 2008 : comment une brigade financière sous-dimensionnée pouvait-elle dépêtrer le labyrinthe hiérarchique, financier et informatique, en un temps record (avant que les preuves ne soient effacées) d’un géant comme Société Générale, qui emploie 150'000 collaborateurs ?
http://www.bilan.ch/myret-zaki/redaction-bilan/affaire-kerviel-tard-preuves
Google va concevoir la méthode pour classer les sites Web de véracité
RépondreSupprimer.. .même si Google ne lance pas un tel système, il est voué à l'échec. L'internet est un des bastions derniers, le meilleures du marché libre dans l'action que nous avons dans notre économie figée, réglementé, contrôlé, manipulé.
20 mai 2015,
par James Corbett
Voulez-vous tout d'abord la bonne nouvelle ou la mauvaise nouvelle ?
Bon, Voici les mauvaises nouvelles : Google s'apprête à lancer des sites de classement selon leur conformité avec grand public opinion. Ou du moins c'est ce que la des journaux voudraient faire vous croire.
Les sources habituelles dans les médias contrôlés corporatifs vous disent que c'est une bonne chose et que seulement "défenseurs anti-science sont paniquer sur les classements de Google de vérité," mais si cela semble comme une attitude remarquablement blasé à prendre face à la perspective d'un 1984-comme réalité où le ministère de la vérité l'âge moderne (Google) va déterminer la "vérité" de sujets controversés et rang recherche résulte en conséquence , alors n'oubliez pas que ces articles sont écrits par des gens comme Joanna Rothkopf, fille de mini-Kissinger et auteur de « Superclasse, » David Rothkopf.
New Scientist--le site Web qui a cassé l'histoire avec leur article « Google veut classement sites Web basés sur des faits pas de liens »--également encadré l'histoire, assez prévisible comme « science"versus « anti-science," à partir de leur article en déplorant le fait que "la anti-vaccination sites Web font la première page de Google, et fait libres 'news' histoires se répandent comme une traînée de poudre. » L'article se réjouit du fait que les gars bons Google sont venus vers le haut avec une réponse pare-balles à ce gâchis: "sites Web selon leur véracité au rang".
Les peu de bonnes nouvelles sont que, ironie du sort, l'article du New Scientist semble être un exemple parfait d'une histoire de libres fait répandre autour de l'internet comme une traînée de poudre. Alors que l'histoire a lien vers un document de recherche d'une équipe de recherche de Google qui décrit un "modèle probabiliste de le multicouche roman" en confier un "score de fiabilité" à des pages web, il omet de mentionner que l'idée est toujours très bien un théorique work-in-progress à l'heure actuelle et qu'il est nulle part près prête à être lancé. Si vous avez un fétiche pour les équations multivariées, granularité sélectionnée dynamiquement et des graphiques linéaires en comparant les courbes d'étalonnage pour différentes méthodes d'analyse de données, ont à lui ! Pour le reste d'entre nous qui ne parlent pas couramment en langage boffin, l'essentiel c'est la suivante :
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Tout d'abord, une page est récoltée pour ses « triples de connaissances ». Voici les triplés connectés d'information consistant en un sujet, prédicat et l'objet. Le livre lui-même utilement fournit l'exemple : Obama - nationalité - USA. Une valeur"false" (toujours selon le document lui-même) serait Obama - nationalité - Kenya. Ces triples de connaissances sont évaluées pour leur exactitude (Google-déterminé) et la page est attribuée un score de KBT (Knowledge-Based Trust), Google pourrait utiliser à la place de (ou peut-être dans une combinaison avec) la musique traditionnelle de PageRank pour déterminer à quelle hauteur dans les résultats de la recherche, la page web doit placer.
RépondreSupprimerLe papier utilise une liste de 15 sites de potins de démontrer que l'utilisation de cette méthode, sites avec contesté et informations souvent erronées (sites de potins) pourraient figurer dans les résultats de recherche traditionnels, qui sont pondérés vers la popularité, mais faible dans les résultats KBT. Mais même le livre lui-même admet il y a un long chemin à parcourir avant que cette méthode KBT serait utilisable par Google au rang des milliards de pages web.
Il s'agit de bonnes nouvelles pour ces sites de médias alt (et leurs lecteurs) qui se rendent compte que ce sont eux directement en ligne de mire de cette technologie. Étant donné que Google n'est autre qu'un complément des services de renseignement américains (et a été depuis sa création), voudrions-nous rien qui ressemble à une évaluation équitable de la "véracité" entourant les sujets politiquement les plus controversés de notre époque ?
La réserve fédérale est un cartel privé créé par les banksters dans le but exprès de manipulation de la masse monétaire et de contrôler l'économie ? THÉORIE DU COMPLOT ! Aucun Google pour vous !
Gouvernements utilisent toujours et tout au long de l'histoire le terrorisme sous fausse bannière afin de justifier leurs guerres d'agression ? CALOMNIE ! Ne passez pas aller, ne recueillent pas go 200, $ directement à la base des résultats de recherche !
Google et tout autre grand cabinet de Silicon Valley est au lit avec le DOD, la CIA ou la NSA ? BLASPHÈME ! Vous avez été excommunié de l'église de Google.
Vous voyez l'idée.
Mais voici la vraiment bonne nouvelle : même si Google lance un tel système, il est voué à l'échec. L'internet est un des bastions derniers, le meilleures du marché libre dans l'action que nous avons dans notre économie figée, réglementé, contrôlé, manipulé. Popularité de Google n'est pas venu car goons gouvernement pointé une arme à feu de tête de chacun et contraint à l'utiliser. Ils n'ont pas même créer un système de licences pour le fonctionnement des moteurs de recherche, un truc de gouvernement favori pour garder une véritable concurrence sur le marché. Elle est devenue populaire parce qu'il était un million de fois plus utile que AskJeeves ou Yahoo! ou l'un de l'autre recherche désuet, maladroit et dysfonctionnelle « portails » qui a dominé le web dans les années 1990. Certes, la puissance du PageRank de Google vient peut-être directement les ingénieurs de la NSA, comme certains ont émis l'hypothèse, mais le fait demeure : les gens l'utiliser parce qu'ils peuvent trouver ce qu'ils veulent rapidement et facilement avec agitation minimale.
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À ce moment-là à laquelle Google cesse d'être utile à sa destination (aider les gens à chercher de l'information), les gens vont commencer à chercher des alternatives. Et des solutions de rechange existent.
RépondreSupprimerIxquick est un moteur de recherche-protection de la vie privée qui renvoie les résultats tirés d'un large éventail d'autres moteurs de recherche.
DuckDuckGo est un autre moteur de recherche alternatif mettant l'accent sur la protection de la vie privée qui utilise un certain nombre d'outils innovants pour rendre la recherche plus rapide et plus facile.
SigTruth est une "Alternative Media recherche moteur for Liberty Minded People" qui utilise les capacités de recherche personnalisée de Google propre contre lui-même en retournant uniquement les résultats de site Web médias alt sur divers sujets.
Et même les nouvelles que Google pourrait commencer à un moment donné à l'aide de son score « truthiness » de déclasser les médias alt a stimulé d'autres dans les médias alt (comme Mike Adams) pour annoncer la création de leurs propres moteurs de recherche.
Voilà comment la libre circulation des idées est censée fonctionner, et si Google commence la propagande aseptisée de retour, ceux qui sont indifférents en propagande aseptisée voteront avec leurs pieds (doigts?).
Mais voici la bonne nouvelle de l'ensemble : ce qui montre vraiment cette envie de classer les sites par la « véracité » (et tous les articles de haute fiving dos-slapping, sur ces nouvelles des médias mourant création embout buccal) est désespérée à quel point les gardiens potentiels deviennent dans leur lutte pour remettre le génie médias alt dans la bouteille. Et même mieux encore, ce n'est en aucun cas le premier signe que les gardiens perdent leur guerre pour maintenir les gens dans l'ignorance sur les sujets qui comptent.
En 2008, arch-mondialiste Zbigniew Brzezinski a commencé à se lamenter comment, pour la première fois dans l'histoire humaine « toute l'humanité est politiquement activés, politiquement consciente et politiquement interactive. » Cela, comme il a souligné dans le discours et articles à la fois, signifie qu'il n'est plus possible de dominer les gens de la même façon qu'ils ont été dominés pendant des siècles.
En 2011, Hillary Clinton a admis que les États-Unis perdait la guerre de l'information aux médias alternatifs de tout poil.
En 2013, PopularScience.com dû éteindre tous leurs articles à commenter parce que, disaient-ils, une « guerre des décennies sur l'expertise a érodé le consensus populaire sur une vaste gamme de sujets scientifiquement validés » comme catastrophique de réchauffement climatique.
Et sondage après sondage après sondage dans chaque année après que année continue de tracer le déclin des médias dinosaure print/radio/tv et la montée de l'internet comme source d'information pour la majorité du public tous les jours.
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Oui, il y a un ciel sombre et les raisons de s'inquiéter de ce qui vient à l'inévitable répression numérique. Mais il y a des points positifs aussi bien, et ils méritent d'être noté, a souligné et célébré. Après tout, les gens ont eu un avant-goût des informations réelles et maintenant plus de personnes que jamais auparavant voir par le biais de la propagande de plus en plus maladroite de l'établissement. Et qui fait la propagande de plus en plus inutile pour l'agenda politique.
RépondreSupprimerLe dentifrice de révolution internet est sorti de la bouteille, et ça va être un diable d'un emploi, obtenir de nouveau. Et c'est une bonne nouvelle.
http://theinternationalforecaster.com/International_Forecaster_Weekly/Google_Devising_Method_to_Rank_Websites_by_Truthfulness
Comment du sang jeune peut réparer des vieux os cassés
RépondreSupprimerPublié le 22 Mai 2015
Une étude menée conjointement aux Etats-Unis et au Canada ouvre des perspectives thérapeutiques extrêmement intéressantes, notamment chez les personnes âgées, souvent victimes de fractures du col du fémur.
Atlantico. Une étude, menée à l'université de Duke (Etats-Unis) et à l'hôpital des enfants malades de Toronto (Canada), a prouvé que du sang d'animaux jeunes transfusé à des plus âgés permettait de régénérer leurs os, qu'en pensez-vous ?
Jérôme Guicheux : Les chercheurs montré que le sang est constitué d'un facteur circulant qui permet de réparer les vieux os vont se réparer de la même manière que les jeunes os.. Cela veut dire que le vieil os est toujours capable de se régénérer comme un jeune, le problème est uniquement qu'il lui manque le signal pour enclencher le processus. Ce n'est pas parce que les cellules ne sont plus capables, mais elles ne reçoivent pas les bons signaux. Cette étude montre donc que si on alimente un vieil os fracturé avec du sang de jeune animal, cet os fracturé vieux va se réparer comme un os fracturé jeune.
Evidemment, ce n'est pas applicable en l'état chez l'homme parce qu'il existe des problèmes avec les transferts de sang : on ne peut pas s'amuser à transfuser à tout-va. Mais, cet effet est dépendant d'une voie de signalisation dans les cellules osseuses qui s'appelle la béta-caténine. Il va donc désormais falloir identifier ce signal. Le jour où on l'aura identifié dans le sang ce qui dit aux vieilles cellules de se comporter comme des jeunes, cela pourra être utile pour la réparation des os chez les populations âgées particulièrement.
Selon vous, cela pourrait-il être au point chez l'homme ? En quoi cette étude apporte une nouveauté dans la recherche regénérative ?
Il est certain qu'il sera possible de la mettre au point, mais cela nécessite énormément d'argent et de temps. Cette étude, même si elle est menée conjointement au Canada et aux Etats-Unis pourra servir en France. La prochaine étape est donc d'identifier le facteur qui est sécrété par les cellules hématopoïétiques de la moelle ossseuse et cela pourra permettre à un vieil os de bien se réparer. Cela ouvre des perspectives thérapeutiques extrêmement intéressantes.
La réparation des fractures chez les personnes âgées est essentielle pour leur bien-être. En effet, plus on vieillit, moins on répare bien les os. Chez les personnes qui cassent leur col du fémur, parce qu'elles sont ostéoporotiques, cette situation peut être vraiment handicapante. La fracture du col du fémur chez les personnes âgées est un vrai problème de santé publique. En effet, les personnes âgées qui voient leur col du fémur fracturé à gauche aura une chance sur deux d'avoir son col droit fracturé également, et sur ces personnes-là la moitié mouront des conséquences de la fracture. Parce que ce sont des personnes qui sont allitées et désocialisées. Si on arrive à ce que ces os se réparent chez les personnes âgées, c'est un pas important.
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Je ne sais si cela pourra augmenter l'espérance de vie, mais cela participera au bien vieillir.
RépondreSupprimerPeut-on comparer certaines des études menées en France à celle-ci ?
C'est la première fois que l'on montre le rôle "rajeunissant" du sang. Cela a déjà été montré dans d'autres applications que celles de l'os, pour les maladies neuro-dégénératives par exemple. Une étude menée il y a trois ans montre que quand on transfuse de vieilles souris avec de jeunes souris, on atténue leur maladie dégénératives comme Alzheimer ou Parkinson.
Qu'est-ce qu'il faudrait pour que ce soit applicable chez l'homme ?
Il va falloir identifier le facteur que ces cellules hématopoïétiques, qui sont dans le sang, sécrètent. Une fois qu'il sera identifié, on pourra le fabriquer et donc le donner aux patients comme médicament. Le problème reste, chez l'homme celui de la transfusion sanguine. Ce sang d'animaux jeunes, quand on le donne à des animaux vieux, permet à ces animaux vieux de réparer comme des jeunes. Mais on ne va pas s'amuser à transfuser tous les patients vieux qui ont une fracture avec du sang jeune. Il y a des risques de transmissions d'agents patogènes non conventionnels, liés à la transfusion sanguine.
L'idéal serait d'identifier le facteur, de le produire par génie biologique et le donner à ces patients. Ca, c'est l'étape d'après.
http://www.atlantico.fr/decryptage/comment-sang-jeune-peut-reparer-vieux-os-casses-jerome-guicheux-2154157.html
Ne pas oublier que ces fracturations comme ces décalcifications osseuses sont dues - pour la plupart - à l'emploi chez soi d'aiguières avec filtre anti-calcaire ! Car, très peu de gens savent que en réalité le calcaire c'est du calcium comme du tartre (3 noms pour désigner une seule chose !).
SupprimerProuvé : Vaccins américains causent des dommages permanents au cerveau
RépondreSupprimer22.05.2015 | Source :
Pravda.Ru
Nouvelles recherches sur la qualité des vaccins a été réalisée récemment. Les scientifiques américains ont prouvé que les vaccins peuvent conduire à Vaccine-Induced Brain Damage Syndrome (VIBDS).
C'est possible grâce à des additifs toxiques qui ont été trouvés dans les vaccins. Ces composants comme l'aluminium, le mercure, le formaldéhyde, MSG, antibiotiques, etc. entraînent la suppression de la fonction cognitive permanente aussi bien. Chacun de ces ingrédients est connu comme une neurotoxine. Une fois que le cerveau a été empoisonné assez par l'un de ces produits chimiques, qui sera le cerveau ne parviennent pas à saisir les risques présents dans l'ensemble de tous les produits chimiques.
Suppression cognitive peut être causée par des choses comme renifler de la colle ou soumis à des traitements de chimiothérapie. Pravda.Ru a déjà été signalé sur leschangements irréversibles que chimiothérapie provoque. Les patients subissant une chimiothérapie couramment pièce supprimé cognition, réduit la résolution de problèmes et une perte de compétences sociales.
Le Programme National d'indemnisation des blessures vaccin créé par le Congrès a déjà versé près de 3 milliards de dollars pour ceux qui ont souffert de dommages de cerveau, coma et décès.
La Congrès américain cependant encore subventions vaccin sociétés juridiques l'immunité absolue.
http://english.pravda.ru/news/health/22-05-2015/130699-vaccine-0/
TAFTA : sous pression américaine, l'Europe renonce à interdire les perturbateurs endocriniens
RépondreSupprimerArthur Neslen
The Guardian
ven., 22 mai 2015 03:58 UTC
Traduction : Amis de la Terre
Suite aux pressions des responsables du commerce des États-Unis en vue de l'accord sur le TAFTA, l'Union européenne a renoncé à prendre des mesures règlementaires relatives aux perturbateurs endocriniens liés au cancer et à la stérilité masculine.
C'est ce qui ressort des documents qu'a obtenus le Réseau européen d'action contre les pesticides (PAN Europe). Les critères de l'Union européenne en projet auraient pu interdire 31 pesticides contenant des produits chimiques, perturbateurs endocriniens. Mais ils ont été abandonnés par crainte d'une réaction commerciale violente, alimentée par un lobby états-unien agressif.
Le 2 juillet 2013 au matin, une délégation de haut niveau de la Mission des États-Unis vers l'Europe et de la Chambre états-unienne du Commerce, rendait visite aux responsables du commerce de l'Union européenne, afin d'insister pour que les européens abandonnent leurs nouveaux critères pour mettre en évidence les perturbateurs endocriniens et ce, en faveur d'une nouvelle étude d'impact. A la fin de la journée, l'Union européenne avait cédé.
Les minutes de la rencontre montrent que les responsables de la Commission expliquent que « bien qu'ils veulent que le TAFTA soit un succès, ils n'aimeraient passer pour des gens qui affaiblissent les normes européennes ».
Le TAFTA est un accord commercial en cours de négociation entre les États-Unis et l'Union européenne pour supprimer les barrières commerciales et favoriser le libre échange. Dans les minutes, on peut lire que les représentants de la Chambre de Commerce des États-Unis qui répondaient aux négociateurs états-uniens, « se plaignaient de l'inutilité de créer des catégories et donc des listes » de substances interdites. Les représentant des États-Unis insistaient pour qu'une approche basée sur le risques soient adoptée pour la réglementation, et « mettaient l'accent sur la nécessité d'une évaluation d'impact ».
Plus tard lors de cette journée, la secrétaire générale de la Commission, Catherine Day, envoyait une lettre à Karl Falkenberg, directeur du département Environnement, en lui disant de suspendre les critères en projet :
« Nous suggérons que, comme l'ont fait les autres Direction générales, vous envisagiez de procéder à une unique évaluation d'impact commune pour couvrir toutes les propositions. Nous ne pensons pas qu'il soit nécessaire de préparer des recommandations de la Commission, relatives aux critères pour identifier les substances qui sont des perturbateurs endocriniens. »
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Suite à cela, la législation prévue pour 2014, fut repoussée au moins jusqu'en 2016, malgré les coûts pour la santé que provoquent les maladies, comme la perte de QI, l'obésité ou le cryptorchidisme - maladie qui affecte le système génital des petits garçons, et que l'on estime à 150 milliards d'€ chaque année. [1] )
RépondreSupprimerUn mois avant cette rencontre, la Chambre du Commerce des États-Unis avait prévenu l'Union européenne des « vastes implications » qu'aurait l'adoption des critères en projet. Cet organisme commercial voulait que l'évaluation d'impact de l'UE fixe des seuils plus souples pour les expositions acceptables aux perturbateurs endocriniens, basés sur les propriétés de la substance. Le président du comité environnement de la Chambre de Commerce des Etats-Unis écrivait dans une lettre à la Commission :
« Nous sommes inquiets de voir que cette décision qui est source de nombreux débats scientifiques, puisse être prise pour des raisons politiques, sans qu'auparavant, ses impacts sur la marché européen ne soient évalués ».
Ils pourraient être considérables, nous dit la lettre.
Dans une note interne de niveau élevé, envoyée peu après au commissaire à la Santé, Tonio Borg, son directeur général prévenait que la politique de l'Union européenne relative aux perturbateurs endocriniens « aura des conséquences importantes sur l'économie, l'agriculture et le commerce ». Cette lettre fortement expurgée, envoyée une semaine avant que l'Union européenne n'abandonne ses projets poursuit : « Les États-Unis, le Canada et le Brésil ont déjà exprimé leur inquiétudes concernant ces critères qui pourraient avoir des répercussions importantes sur le commerce ».
Pour Bas Eikhout, député européen Vert, ces faits sont « incroyables ».
« Ces documents montrent de façon convaincante que le TAFTA non seulement représente un danger pour l'avenir en baissant les normes de l'Europe, mais qu'en plus, cela se produit déjà au moment où nous parlons » affirmait-il au Guardian.
Suite aux révélations du Guardian sur l'étendue du lobbying de l'industrie menant à l'abandon des critères, 64 députés déposaient, cette année, une question à la Commission à propos des retards sur la classification des perturbateurs endocriniens. La Suède [2], le Parlement européen et le Conseil européen ont déposé des recours contre la Commission et ce blocage législatif.
Juste quelques semaines avant que ces règlementations ne soient abandonnées, il y a eu un tir de barrage par des firmes européennes comme Dupont, Bayer, BASF au sujet des perturbateurs endocriniens. L'association des industries chimiques, Cefic, prévenait que le problème des perturbateurs endocriniens « pouvait devenir un problème qui bloque l'avancée des négociations entre les États-Unis et l'Union européenne ».
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Le géant de la chimie, BASF, dénonçait le fait que l'interdiction des pesticides « allait réduire le libre échange des produits agricoles au niveau mondial ». Au même moment, le département de l'agriculture, très pro-industrie de la Commission, pesait sur le débat interne de l'Union européenne après avoir été « informé par des représentants de l'industrie chimique des États-unienne ». Un thème qui revenait dans les lettres de lobbying évoquait le besoin de fixer des seuils sans danger d'exposition aux perturbateurs endocriniens, même si les preuves scientifiques s'accumulent pour suggérer que le modèle linéaire des seuils - dans lequel des doses plus élevées provoquent des effets plus importants - ne convient pas aux perturbateurs endocriniens.
RépondreSupprimer« Le système endocrinien humain est régulé par les hormones et les récepteurs hormonaux sont sensibles aux faibles doses. » explique Hans Muilerman, coordinateur de PAN Europe. « Dans les études de toxicité sur les animaux, les effets sont observés à faibles doses mais disparaissent à des doses plus fortes. Mais dans le domaine règlementaire, les faibles doses ne sont pas testées ».
Un porte-parole de la Commission insistait sur le fait que les inquiétudes concernant la santé et l'environnement seraient entièrement prises en compte, malgré les pressions de l'industrie ou des groupes commerciaux. Un responsable de l'UE affirmait : « Les procédures en cours de l'Union européenne sur les évaluations d'impact n'ont aucun rapport avec les négociations sur le TTIP. L'Union européenne procèdera à l'adoption de critères définitifs pour identifier les perturbateurs, indépendamment du cours futur de nos négociations avec les États-Unis sur le TAFTA ».
Un document de principe de l'Union européenne sur le TAFTA, publié en mai dernier, citait les perturbateurs endocriniens comme étant un des « nouveaux problèmes scientifiques émergents » que les États-Unis et l'Union européenne pourraient aborder pour une « coopération règlementaire renforcée » dans le futur accord du TAFTA.
Pour le porte-parole de la Commission « Étant donné que le futur accord sur le TAFTA ne rentrera très probablement pas en vigueur avant l'adoption définitive des critères de l'UE pour identifier les perturbateurs endocriniens, il est clair que l'évaluation d'impact en cours et l'adoption de critères définitifs ne seront pas traités dans le cadre des négociations sur le TAFTA ».
Notes :
[1] http://www.theguardian.com/environment/2015/mar/06/health-costs-hormone-disrupting-chemicals-150bn-a-year-europe-says-study
[2] http://www.amisdelaterre.org/La-Commission-europeenne-prepare.html
http://fr.sott.net/article/25634-TAFTA-sous-pression-americaine-l-Europe-renonce-a-interdire-les-perturbateurs-endocriniens
Des e-mails d'Hillary Clinton révèlent le double-jeu de l'occident concernant la Libye
RépondreSupprimerSputnik News
ven., 22 mai 2015 04:53 UTC
Les pays occidentaux ont bien mené un double-jeu pendant le renversement du leader libyen Mouammar Kadhafi en 2011.
La correspondance de Hillary Clinton, alors Secrétaire d'État des USA, avec son collègue Sidney Blumenthal a révélé les plans peu glorieux de la Grande Bretagne et de la France concernant la division de la Libye. Dans une interview à Anissa Naouai, présentatrice de l'émission In the Now, Catherine Shakdam, spécialiste du Moyen Orient, estime que les partenaires de la coalition qui ont envahi la Libye poursuivaient leurs propres intérêts.
Suite à une fuite d'information, la presse a eu accès à la correspondance de Hillary Clinton, Secrétaire d'État des USA en 2011, avec l'un de ses proches collaborateurs. Les messages jettent la lumière sur la façon dont la Grande Bretagne et la France ont essayé de s'emparer de la "plus grosse part du gâteau libyen".
"Par le biais de ses services de renseignement, la Grande Bretagne dirige tant les actions des rebelles libyens que celles du régime de Kadhafi", peut-on ainsi lire dans l'un des messages électroniques.
Les diplomates maintenaient des contacts avec le gouvernement Kadhafi pour protéger les positions britanniques dans l'hypothèse où les troubles en Libye n'aboutiraient pas à un changement de pouvoir. En même temps, ils menaient des négociations avec le fils de Kadhafi, Saïf al-Islam, au cas où son père lui transmettrait les rênes du pays.
Un autre message signale que le Royaume-Uni a uni ses efforts avec la France afin de créer dans l'est de la Libye une zone semi-autonome. L'objectif était de diviser le pays après l'effondrement du régime Kadhafi — une proposition des conseillers de Nicolas Sarkozy après que le nouveau gouvernement libyen n'a pas accordé aux entreprises françaises de contrats avantageux.
L'auteur de ce message est Sidney Blumenthal, ancien assistant du président Bill Clinton, qui serait payé par la Fondation Clinton. Blumenthal conseillait notamment des entreprises américaines qui cherchaient à obtenir des contrats libyens. En 2009, Hillary Clinton avait essayé de lui trouver une place au Département d'État, mais les assistants d'Obama ne le lui avaient pas permis. Le New York Times rappelle que Blumenthal et ses sources n'étaient pas toujours exacts dans leurs estimations, et certaines étaient même considérées de manière assez sceptique par Mme Clinton. Cependant, il est évident que la France et la Grande Bretagne avaient — et ont gardé — des intérêts géopolitiques en Libye.
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"L'affaire n'est pas étonnante en soi. En 2011, par exemple, le Royaume-Uni et la France ont immédiatement rejoint l'opération militaire en Libye. Pourquoi souhaitaient-ils tellement cette intervention? Il me semble que la réponse est évidente", affirme Catherine Shakdam, spécialiste du Moyen Orient, dans son interview à RT. Les messages de Clinton suggèrent que les États-Unis étaient bien conscients des objectifs de leurs partenaires de la coalition.
RépondreSupprimer"Je crois qu'au moment où les USA formaient la coalition, ils comprenaient certainement les objectifs de leurs alliés — qui ne coïncidaient pas nécessairement avec les leurs. Donc, en l'occurrence, les États-Unis devaient accorder une certaine liberté d'action à la France et à la Grande Bretagne", souligne Shakdam.
L'experte relève par ailleurs que l'Europe, surtout aujourd'hui, veut atteindre un certain niveau d'indépendance énergétique envers la Russie. En même temps, elle a besoin de ressources en pétrole et en gaz. La Libye se présentait comme une solution idéale pour l'UE, la France et le Royaume-Uni. Catherine Shakdam est sûre qu'ils essaient d'utiliser les canaux politiques pour promouvoir les intérêts de leurs entreprises.
"Ça a toujours été comme ça. Il me semble qu'aujourd'hui, les mêmes arrangements en coulisses ont lieu au Yémen, affirme l'experte. Il faut garder à l'esprit qu'à présent, le vainqueur n'est pas certain. Il est tout à fait possible que le conflit conduise à une impasse et se termine par un match nul. Certes, les politiciens américains, européens et britanniques essaient de maintenir le contact avec les deux parties. En d'autres termes, ils restent en contact avec les Saoudiens, les Houthis et, bien sûr, avec l'ancien président Ali Abdallah Saleh qui, autant qu'on sache, exerce toujours une influence importante sur la situation dans le pays", souligne Shakdam.
"Bien sûr, on ne peut pas nier la réalité, et elle est telle que le pouvoir appartient aux Houthis et à l'ancien président Ali Abdallah Saleh — pas pleinement, peut-être, mais ils ont beaucoup d'atouts. Voilà pourquoi les politiciens et les entrepreneurs continuent à négocier avec eux: ils n'ont pas de choix. Et quand il s'agit d'argent et des objectifs militaires, ils se comportent de manière très pragmatique. Donc ils continueront à négocier avec Ali Abdallah Saleh, tout comme avec Abd Rabo Mansour Hadi car ils ne savent pas encore lequel d'entre eux gagnera", conclut l'experte.
http://fr.sott.net/article/25636-Des-e-mails-d-Hillary-Clinton-revelent-le-double-jeu-de-l-occident-concernant-la-Libye
Ils ont assassiné le chef libyen ainsi que des millions d'habitants et pratiqué la politique de la terre brûlée avec des munitions UA répandues partout. Ils ont surtout (le but) pris l'or, comme aujourd'hui ils cherchent la guerre avec la Chine ! et la Russie !
SupprimerPour « mieux conjuguer ordre et liberté », limitons le droit de manifester !
RépondreSupprimerJulia Gualtieri
Politis
jeu., 21 mai 2015 04:34 UTC
Des députés PS, UMP et UDI suggèrent de limiter la liberté de manifester, dans un rapport qui sera remis le 28 mai au président de l'Assemblée nationale.
Pour « mieux conjuguer ordre et liberté », rognons sur la liberté de manifester. La commission d'enquête parlementaire ouverte après la mort de Rémi Fraisse sur le site du barrage de Sivens (Tarn), n'a rien trouvé de mieux que de suggérer de limiter un droit fondamental. Cette commission, qui a présenté ce jeudi 21 mai 23 propositions, envisage en effet de créer une interdiction administrative de manifester aux personnes susceptibles d'être violentes. Une idée déjà évoquée, ou plutôt suggérée, par le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve en février 2014, lors de son audition.
L'interdiction ressemblerait fortement à celle qui s'applique dans les stades à certains supporters. Noël Mamère (EELV), président de la commission, s'indigne : « Le droit d'assister à un match n'est pas une liberté fondamentale, contrairement à celui de manifester. »
L'écologiste n'a donc pas voté le rapport rédigé par Pascal Popelin, député socialiste de Seine-Saint-Denis et chaud partisan de Manuel Valls. Pas plus que la communiste Marie-George Buffet. Celui-ci a en revanche été approuvé par les élus PS, UMP et UDI, membres de la commission d'enquête. Pour défendre cette proposition, la seconde du rapport, la commission fait valoir qu'il s'agit de régulariser une pratique existante. Le procureur de la République peut en effet sur réquisition écrite, autoriser les policiers à contrôler quelqu'un pour rechercher une ou plusieurs infractions précises.
Quant à la première proposition, elle est tout aussi sécuritaire. Elle conseille d'appliquer le dispositif qui permet aux juges d'énoncer une peine complémentaire d'interdiction de manifester en cas de condamnation pour des violences commises lors de troubles à l'ordre public. Pourquoi faire simple quand on peut multiplier les restrictions ?
D'autres suggestions, plus sensées, sont avancées. Notamment la présence des préfets sur les lieux des manifestations pour pouvoir « mesurer et adapter » leurs décisions ainsi qu'une meilleure formation au maintien de l'ordre. Dans la même logique, la commission propose de réserver ce type d'opération aux unités spécialisées et de limiter l'usage des Flashball mais pas celui des LDB40.
Une déception pour Noël Mamère qui espérait l'interdiction pure et simple de ces deux « lanceurs de balles de défense », comme elles sont définies. Avec l'Espagne qui se prépare à les interdire, la France est le seul pays européen à utiliser ces lanceurs, souligne Médiapart. Et préfère interdire des manifestants plutôt que ses armes, responsables du décès qui a fait naître la commission.
http://fr.sott.net/article/25635-Pour-mieux-conjuguer-ordre-et-liberte-limitons-le-droit-de-manifester
La Chine est « Fortement mécontente » nous avertit que « Accident » est « Très probable » en mer de Chine du Sud
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 22/05/2015 20:40-0400
Choses sont en hausse rapidement dans la mer de Chine méridionale où Beijing a trouvé une solution innovante à la notion de « contesté eaux. »
Comme les lecteurs réguliers sont maintenant tout à fait consciente, la Chine semble avoir adopté l'équivalent de la frontière maritime du vieux axiome « possession est neuf dixièmes de la loi » parce que les dragues chinois ont été occupés pendant un certain temps maintenant créer des îles, de récifs dans l'archipel des Spratly. Une fois terminés, les îles Chine colonise rapidement les. Vient ensuite la construction d'usines de ciment, des ports et pistes d'atterrissage de 10 000 pieds.
Sans surprise, Washington n'est pas friand de "Châteaux de sable" de la Chine et tout le monde du président Obama pour le Pentagone est maintenant crier sur les toits sur la souveraineté territoriale et chinois « intimidation ».
Aux États-Unis il ont monté d'un cran cette semaine quand il a survolé un avion espion Fiery Cross Reef, probablement juste pour voir ce qui se passerait. Un cameramen CNN est allé le long de la balade. Ce que Washington a découvert , c'est que quand il s'agit de protéger ses nouvelles îles, scirpe Chine n'est pas. "C'est la Marine chinoise... YOU GO !" était le message qui est venu à la radio.
La rhétorique et le sabre des vibrations n'ont pas laissé un peu depuis lors et en fait, il y a eu un flot continu de signets des deux côtés au cours des dernières 48 heures. Voici le dernier.
Via Reuters:
Les États-Unis a promis jeudi de suivre les patrouilles aériennes et maritimes dans les eaux internationales après que la Marine chinoise a averti à plusieurs reprises un avion de surveillance américain de quitter l'espace aérien au-dessus des îles artificielles que Chine crée dans la mer de Chine du Sud contestée...
L'incident, ainsi que de récentes mises en garde chinois d'avion militaire Philippine à quitter les zones autour de l'archipel des Spratly dans la mer de Chine méridionale, Beijing suggérée tente d'imposer une zone d'exclusion militaire au-dessus de ses nouvelles îles.
Certains experts en sécurité s'inquiètent du risque de confrontation, surtout après qu'un responsable américain a déclaré la semaine dernière que le Pentagone envisageait d'envoyer des avions militaires et navires d'affirmer la liberté de navigation autour des îles fabriqués en Chine.
(suite en dessous:)
Le haut diplomate américain pour l'Asie du sud-est, Secrétaire d'État adjoint Daniel Russel, a déclaré à un média d'information à Washington, le vol de reconnaissance américain était « tout à fait approprié » et que des forces navales américaines et d'avions militaires « continuerait d'exercer pleinement » le droit d'opérer dans les eaux internationales et l'espace aérien.
RépondreSupprimerIl a dit Qu'aux États-Unis pourrait aller plus loin et préserver la capacité de tous les pays à se déplacer dans l'espace aérien et les eaux internationales.
« Dans leur esprit, personne ne va essayer d'arrêter l'US Navy d'exploitation - qui ne serait pas un bon pari, » dit-il.
Le Ministre des affaires étrangères chinois Wang Yi la semaine dernière a affirmé droit de Pékin pour reconquérir les récifs et détermination de la Chine a dit pour protéger ses intérêts était « aussi dure comme un roc. »
La Chine a aussi dit qu'il avait parfaitement le droit de mettre place un Air Defense Identification Zone (ADIZ), dans le sud La mer de Chine, mais que les conditions actuelles ne justifiaient pas un.
ADIZs sont utilisés par certaines nations pour étendre son contrôle au-delà des frontières nationales, obligeant les avions civiles et militaires à s'identifier ou de faire face à une interception militaire possible.
Et comme si cela ne suffit pas, voici plus d'une pièce séparée de Reuters :
La Chine a déclaré vendredi que c'était « fortement insatisfaite » après qu'un avion militaire américain ait survolé la partie de la mer de Chine méridionale près où la Chine est la construction d'îles artificielles et a appelé les Etats-Unis à arrêter cette action ou risque de causer un accident...
Hong Lei, porte-parole du ministère des affaires étrangères, a déclaré que le chinois militaire chassa l'avion américain, conformément à la réglementation pertinente, étiquetage le recours américain une menace de sécurité pour les îles et de récifs de la Chine.
"Cette action est susceptible de causer un accident, c'est très irresponsable et dangereux et nuisible à la paix et de stabilité. Nous exprimons notre vif mécontentement, nous exhortons les Etats-Unis à strictement respecter le droit international et international les règles et s'abstenir de prendre toute action risquée et provocateur,"il a dit une conférence de presse.
Il est impossible d'exagérer l'ampleur de ce que la Chine tente ici. Pékin a littéralement créé nouveau territoire souverain au milieu de l'océan et est maintenant efficacement l'application une zone d'exclusion aérienne.
Et malgré la rheotric hors de Washington au sujet de comment personne ne "dans leur esprit" essaierait de restreindre la circulation des opérations militaires américaines, c'est exactement ce que la Chine a fait cette semaine, quand il dit essentiellement à l'avion-espion P8-A Poseidon à arrêter avec l'espionnage ou faire partie d'un récif sous un château de sable chinois.
Nous ne pouvons pas attendre de voir ce qui se passe la semaine prochaine.
http://www.zerohedge.com/news/2015-05-22/strongly-dissatisfied-china-warns-us-accident-highly-likely-south-china-sea
"La créature de Jekyll Island": Tout sur l’histoire des banques, de l'auteur Edward Griffin (PDF en français)
RépondreSupprimer* À lire.
vendredi 22 mai 2015
"Creature from Jekyll Island" expose l'histoire de la Banque Fédérale de Réserve, de la Banque du Canada et de toutes les banques centrales. On apprend que ces prétendues institutions gouvernementales sont en fait la création d'un consortium de banquiers internationaux. J'ai rencontré Edward Griffin dans les années 2000 et c'est à partir de la lecture de son livre que j'ai commencé à m'intéresser à l'arnaque des banques, à la mise en place d'un nouvel ordre mondial (appelé maintenant "gouvernance mondiale"). Comme dirait M. Griffin à l'époque, la Fed n'est pas plus fédérale que la compagnie Federal Express!
Vous comprendrez que la faillite éventuelle des banques ne sera que de la poudre aux yeux, un stratagème calculé qui saura profiter aux hommes qui ont inspiré le jeu Monopoly...
http://www.dossiers-sos-justice.com/media/00/01/517365590.pdf
http://conscience-du-peuple.blogspot.fr/2015/05/la-creature-de-jekyll-island-tout-sur.html