USA - Canada : des paysages dévastés par l'exploitation du gaz de schiste
Enerzine jeu., 07 mai 2015 05:23 UTC
L'amélioration des technologies de forage associée à une forte demande de l'énergie a entraîné l'expansion à grande échelle de l'exploitation des hydrocarbures non conventionnels en Amérique du Nord (centre), avec 50.000 nouveaux puits forés par an.
Des endroits tels que le Bakken, Eagle Ford et les schistes de Marcellus sont connus, mais l'activité de forage qui se développe à un rythme soutenu créée de nouvelles zones. Mais quelles sont les conséquences écologiques de cette activité de forage accéléré ? Des chercheurs de l'Université du Montana se sont penchés sur cet épineux problème et ont effectué la première évaluation scientifique à grande échelle dans la façon dont le développement des hydrocarbures - gaz de schiste notamment - ont transformé les paysages à travers les États-Unis et le Canada.
Leurs travaux ont été publiés le 24 Avril dans la revue "Science" sous l'intitulé : "Ecosystem services lost to oil and gas in North America". L'article conclut que le développement du pétrole et du gaz engendre une perte significative des pâturages et des terres cultivables sur de vastes étendues de végétation en Amérique du Nord centrale. "Il y a deux choses importantes ici : premièrement, nous examinons tout le centre de l'Amérique du Nord, de la côte sud du Texas, au nord de l'Alberta. Quand on regarde cette image à l'échelle continentale, nous observons des impacts et des dégradations qui sont invisibles lorsque nous nous concentrons uniquement au niveau local. Deuxièmement, nous voyons comment les politiques actuelles peuvent potentiellement compromettre l'avenir de l'intégrité de l'écosystème sur de vastes zones" a indiqué l'auteur principal de l'article, Brady Allred. Entre 2000 et 2012, les scientifiques ont estimé que l'exploitation des hydrocarbures a dévasté de grandes quantités de végétation, culminant à un taux annuel de plus de la moitié du pâturage annuel sur les terres 'publiques' des États-Unis. L'élimination de la végétation sur ces terres agricoles équivaut à 120,2 millions de boisseaux de blé (ou 3,2 milliards de tonnes), soit environ 13% de tout le blé exporté par les États-Unis en 2013.
La fragmentation et la perte de l'habitat perturbent également les voies migratoires, modifient le comportement de la faune et aident de nouvelles espèces de plantes invasives à s'implanter. Dave Naugle - co-auteur- met en évidence la complexité de la question : "Nous connaissons les impacts du développement pétrolier et gazier depuis des années, mais nous avons maintenant des données scientifiques à une grande échelle (régionale) qui nous montre que nous devons agir dès à présent pour équilibrer l'utilisation concurrente des terres".
En outre, près de la moitié des puits forés sont dans des régions à stress hydrique relativement haut. La fracturation hydraulique utilise de 2 à 13 millions de litres d'eau par puits, intensifiant ainsi la concurrence avec l'agriculture, les écosystèmes aquatiques et les municipalités pour les ressources en eau.
"Nous avons besoin d'un cadre politique qui quantifie et réalise des arbitrages à grande échelle parce que la politique actuelle ne répond pas de manière adéquate, à la fois, à l'évaluation et à l'atténuation future", a ajouté Julia Haggerty de l'Université d'État du Montana, co-auteure de l'étude.
"Les technologies satellitaires peuvent désormais fournir des informations annuelles - hectare par hectare - à destination des gestionnaires sur la politique à mener quant à l'extraction des hydrocarbures vis à vis de l'affectation des sols", a affirmé Steve Courir, professeur d'écologie à l'UM Regents. "Nous devons avoir des politiques qui assurent la remise en état de ces zones en phase de post-production. Sinon, en 2050, des dizaines de millions d'hectares de terres seront dégradées d'une manière irréversible."
Les auteurs ont évalué les services écosystémiques perdus en utilisant des mesures satellitaires à haute résolution de la croissance de la végétation sur la base de méthodes développées par W. Kolby Smith. La production végétale terrestre est le fondement même du cycle du carbone de la biosphère et reste à la base d'une multitude de services écosystémiques essentiels.
Là, je vous demande quelques moments d'attention; il ne s'agit pas là de parler de recherches et d'exploitations pétrolières, le pétrole, lui (comme le gaz butane & propane) sort tout seul ! Tout seul ! Poussé par les pressions du magma de la terre qui fait aussi monter l'eau nettoyée. Les sources & derricks sont - en quelques sortes - des volcans miniatures. Mais, de parler du 'gaz de shiste' est, comme dirait, de faire sortir du charbon de sous terre en envoyant des milliards de tonnes d'eau !!
Parce que le 'gaz de shiste' n'a pas de pression. Pression zéro. Donc, pour le faire sortir: il faut en créer.
Ainsi des milliards de tonnes d'eau pure douce propre claire & buvable sont volontairement - et avec l'appui de la dictature en place aux gouvernements et groupuscules nazisverts - gaspillées et irrémédiablement pollués par les produits chimique envoyés pour la fracturation.
Le gaz aux robinets d'eau des cuisines et douches n'est pas du folklore mais bien un danger mortel réel.
La fracturation détruit des millions de kilomètres de galeries souterraines !! et, oblige de fait, l'eau de source à se détourner voire à... ne plus venir !! C'est ce qui se passe actuellement en Californie où... il manque de l'eau ! Alors que les Colorado, san Joaquin et Sacramento devraient être pleins ! Pleins à ras bord !
L'eau n'arrive plus !
Par contre, cause en l'ensevelissement de milliers de boyaux sous terre qui jouaient jusqu'alors le rôle de suspension primaire, les mouvements terrestres se répercutent désormais très loin.
C'est-à-dire que par la fracturation, ils cherchent (et réussissent !) à combler un volcan !!
Les accords de libre-échange soulèvent bien des inquiétudes quant aux risques qu'ils font peser, notamment sur notre alimentation. Les négociations du très emblématique TTIP en sont un bon exemple, particulièrement au vu du manque total de transparence qui les caractérise. Quel sera l'impact du TTIP sur la qualité de notre assiette, sur notre modèle agricole ou encore nos politiques publiques ? Nous avons interrogé Marie Arena sur ce sujet qu'elle connaît bien, notamment en qualité d'eurodéputée, membre de la Commission du commerce international au Parlement européen.
Quid de l'impact de l'abaissement des barrières tarifaires sur notre système alimentaire ?
La diminution des barrières tarifaires n'est pas forcément ce qui nous posera le plus de difficultés. Celle des barrières non-tarifaires et ses conséquences sur les produits est beaucoup plus inquiétante. Sur la question des barrières tarifaires, des tarifs préférentiels visant certaines catégories de produits sont établis entre les pays. Par exemple, il y a aujourd'hui une négociation des tarifs préférentiels appliqués à l'exportation des productions de viande du Canada vers l'Europe ; elle est assortie de la condition que cette viande respecte les normes européennes. Dans ce cas, les tarifs préférentiels ne viennent pas modifier la norme mais ils peuvent avoir des effets sur nos producteurs locaux. On risque d'avoir moins de choix dans nos assiettes parce qu'il sera davantage encore dicté par l'industrie agroalimentaire. La production locale aura du mal à faire face à ces économies d'échelle que les grosses industries peuvent négocier. Autrement dit, les accords internationaux favorisent les exploitations de type industriel, il faut le savoir. La Commission se veut rassurante dans ses communications, mais qu'en est-il réellement du risque de l'abaissement des normes sociales, environnementales et sanitaires ?
Je dis toujours : « je n'ai jamais vu un vendeur vendre ses produits en vantant ses défauts ».
La Commission souhaite ces accords internationaux ; elle ne va donc pas en montrer les défauts, elle met en avant leurs qualités, au contraire ! La première chose que nous devons faire est de vérifier que les avantages mis en avant sont réels. Or actuellement, ce n'est pas clair dans les différentes études d'impact, nous avons besoin d'informations correctes.
Si les entreprises sont tellement demandeuses de cet accord, ce n'est pas pour la question des tarifs puisque ceux-ci sont déjà très bas. Elles ont un autre intérêt, manifestement... Or la Commission assure que l'on ne va pas modifier nos normes ; quel est alors l'intérêt pour une entreprise de vouloir un accord international ? On en déduit que ce que dit la Commission est faux. A voir l'engouement des multinationales à défendre cet accord transnational, il est clair qu'elles y trouvent un intérêt. Et c'est forcément via la question de la norme.
La signature du TTIP n'est pas automatiquement synonyme d'abaissement de la norme. L'Europe déclare son intention d'exiger une clause de « stand still », c'est-à-dire de ne pas descendre en-deça de ce qui est acquis aujourd'hui. C'est déjà ça.
Le problème se pose pour l'avenir. La logique d'un tel accord voudrait que, dans le futur, les deux continents abordent la problématique de la norme de la même manière. Or pour le moment, les visions sont diamétralement opposées de part et d'autre de l'Atlantique. En Europe, on applique le principe de précaution alors qu'aux États-Unis, c'est le principe du risque qui prime. Un produit (soupçonné cancérigène, par exemple) peut rester sur le marché tant que sa nocivité n'est pas démontrée. Il ne sera retiré du marché qu'à la condition qu'on en établisse la preuve formelle.
Ces différentes approches sont-elles donc inconciliables ?
Dans le cadre du TTIP existe ce qu'on appelle « le forum de coopération règlementaire ». Il s'agit d'un groupe de régulateurs chargés de négocier pour faire converger ces approches. Ce qui pose problème, c'est que l'industrie est partie prenante de ces discussions, ce qui introduit automatiquement un vice dans le système. Surtout lorsque l'on sait les moyens que ces industries déploient dans les secteurs de la recherche et dans les chaires universitaires. Pour nous, c'est là qu'est le danger. Demain, on risque de voir arriver dans notre assiette des produits qui participent de la culture du risque et non plus de celle du principe de précaution. On n'aura peut-être pas des poulets chlorés mais peut-être pire !
Lors de notre colloque [1], la Fevia a expliqué que les entreprises belges avaient eu tellement d'efforts à faire pour s'adapter à ces normes imposées, qu'il n'était pas question de les brader... Normes : position de l'industrie européenne ?
Les normes européennes n'ont pas été établies avec le soutien de l'industrie, elles lui ont été imposées. Si demain le mécanisme mis en place entraînait moins de normes, je ne pense pas que le secteur industriel européen mette un frein à cette dérégulation. Du côté des États-Unis, l'approche normative est extrêmement contraignante à certains endroits et cela pose le même problème aux industries.
Par conséquent, un accord qui lèverait ces contraintes régulatrices arrangerait tant les entreprises américaines qu'européennes. Elles ont le même objectif : faire le plus d'argent possible. C'est le but d'une entreprise. La viande issue du clônage n'est pas indiquée comme telle aux États-Unis. La Commission pourrait-elle faire changer les choses en matière de traçabilité ?
On a connu des difficultés sur la traçabilité en Europe, récemment encore sur la question de la viande de bœuf remplacée par du cheval dans des lasagnes. Nous aurons encore plus de mal à garantir cette traçabilité avec l'ouverture à d'autres pays. D'autant que le traité prévoit que c'est le régulateur du pays d'origine qui est responsable du contrôle et donne les garanties aux pays d'importation.
Si l'on édicte des normes harmonisées, je pense que nous devons être responsables de leur contrôle, surtout quand la norme est initialement différente d'une entité à l'autre.
Vous disiez que cet accord se ferait à l'avantage des grandes multinationales. Se pose alors la question des tribunaux d'arbitrage. Quel est ce formidable outil qui nous est proposé ? L'outil envisagé a pour objectif de protéger les investisseurs. Il faut être conscient que le droit de propriété est l'un des mieux protégés aujourd'hui, partout dans le monde, et le mieux défendu dans le cadre de nos tribunaux publics. Cette question de propriété est l'essence même de notre droit. Mais les investisseurs - tant européens qu'américains - réclament plus que cette protection publique ; ils exigent une forme de protection privée. Ce qui revient à dire qu'ils ne font pas confiance aux tribunaux publics pour défendre leurs droits de propriété. Admettons un instant que les juridictions publiques ne fonctionnent pas ; dans ce cas, il faut alors les rendre performantes pour tout le monde, populations et investisseurs ! L'alternative qu'ils proposent, dans le cadre d'une affaire les opposant à un État, ce sont des tribunaux privés où les juges viendraient du milieu des affaires et seraient choisis par ce même milieu. L'État serait obligé de s'y conformer, tout en choisissant lui-même un juge issu d'on ne sait où, chargé de défendre la notion d'intérêt général. Si l'on compare les sommes que le privé peut engager pour défendre ses intérêts avec le budget qu'un État peut consacrer, vous voyez tout de suite la disproportion ! D'un côté vous aurez un « super méga avocat d'affaire de Wall Street » et de l'autre, probablement un très bon professionnel mais qui ne disposera pas du même soutien au niveau des structures des États.
Un autre problème et pas des moindres, c'est le coût des tribunaux privés. Huit millions d'euros : c'est la somme minimale qu'il faut pouvoir mettre sur la table dès que l'on décide d'introduire une affaire en justice ! Alors quand on nous dit que ce système est fait pour protéger les PME, il ne faut pas rêver ! C'est vraiment un dispositif de multinationales.
Si l'on résume, nous avons donc une multinationale qui peut, par décision d'un tribunal privé, faire condamner un Etat non pas à 8 millions d'euros mais à 200, 300 ou 400 millions de dommages et intérêts parce que cet État a pris une mesure dans l'intérêt général de sa population. Nous en avons un exemple aujourd'hui avec le procès intenté par le cigarettier Philip Morris contre l'État australien qui a décidé d'indiquer que le tabac nuit à la santé sur les paquets de cigarettes. Philip Morris estime que cette mesure lui porte préjudice, qu'elle est une entrave au commerce.
C'est la raison pour laquelle nous sommes radicalement opposés au mécanisme de cours et tribunaux privés. Car dans les faits, il avantage le business et met politiques publiques d'intérêt général et intérêts financiers privés au même niveau.
La nouvelle Commission a quelque peu soufflé le chaud et le froid sur ce sujet... La Commission se rend compte aujourd'hui que l'ISDS (Investor State Dispute Settlement) pose vraiment des difficultés. Les citoyens sont avertis. Ils se sont rendu compte qu'il n'est pas juste d'avoir des outils tels que ceux-là. 150.000 citoyens ont d'ailleurs répondu à la consultation, sur un sujet qui n'est pas facile à appréhender. Des plateformes de mobilisation se sont organisées. Et plutôt que de corriger la raison pour laquelle les citoyens ont peur, la Commission fait du marketing. Elle garde le monstre mais l'habille autrement. On lui met une autre robe pour que ça passe mieux. Nous ne sommes pas d'accord ; le monstre existe, il faut le sortir de ce TTIP.
On a l'impression qu'il n'y a aucune transparence. Qui est au courant, qui est informé ?
Comme je l'ai dit, les études d'impact manquent de transparence et ont été conduites par des centres d'étude « lobbyés » par les industries. Cela pose problème.
Deuxièmement, 95 % des experts qui accompagnent les négociations sont issus du monde industriel, ce qui compromet complètement l'indépendance des négociations. Certains nous disent que cette représentation est normale puisque ce sont des négociations d'affaire. Mais non, le commerce ce n'est pas uniquement du commerce. Le commerce, c'est aussi une question de protection du consommateur, ce sont les normes.
Troisièmement, jusqu'il n'y a pas très longtemps, nous n'avions tout simplement pas accès aux documents. Aujourd'hui, la Commission a donné accès aux membres de Commission du commerce international, mais il faut savoir dans quelles conditions. Nous pouvons les consulter dans une salle de lecture, sans y emporter de téléphone, d'ordinateur, rien. Nous ne pouvons donc pas les faire lire par des experts, on ne peut y aller qu'en tant que parlementaire pour lire des milliers et des milliers de page. C'est aberrant comme situation !
Si la Commission a choisi cette non-transparence, c'est son problème. Mais nous demandons qu'à la fin des négociations, le document soit analysé par un cabinet d'études indépendant. Et tant que leurs conclusions ne seront pas connues, il n'y aura pas de décision. Si la Commission veut que l'on prenne une décision, ce sera non.
Avez-vous une idée du rapport de force actuel entre ceux qui sont pour le TTIP et ceux qui sont contre ?
C'est très difficile à dire. Revoyons ce qui s'est passé avec ACTA, le traité contre la contrefaçon. Initialement, le rapport de force lui était favorable. Mais après tout le remue-ménage des plateformes citoyennes, ACTA n'est pas passé lors du vote, pour les mêmes raisons : le manque de transparence, le rôle des lobbies économiques, le fait que la position des citoyens n'était pas prise en considération. Deux ou trois mois avant, ACTA serait passé.
Je pense que l'on est ici dans le même cas de figure. Si l'on allait au vote aujourd'hui, sans mobilisation, on risquerait d'avoir le TTIP tel qu'il est. Mais le vote n'interviendra qu'en 2017. Il faut mobiliser pour changer les lignes. Pas pour exiger le retrait de l'accord mais pour dire : « On peut avoir des échanges qui soient des échanges justes et qui prennent en considération les attentes des citoyens de part et d'autre ». Parce que les États-Unis, ce sont aussi des citoyens américains tout aussi préoccupés par ces accords de libre-échange.
En début d'interview, vous avez pointé le risque que représentait l'accord de libre-échange avec le Canada. Pourquoi ? Parce que c'est une sorte de répétition générale ?
Oui, parce que c'est « le petit frère » en réalité. L'accord avec le Canada [NDLR : le CETA, Comprehensive Trade and Economic Agreement], personne ne s'en soucie, ne s'en méfie. Le Canada est un partenaire qu'on aime bien parce qu'il a des normes sociales - pas environnementales mais sociales en tout cas - assez proches des normes européennes. C'est aussi un partenaire qui, en termes d'impact sur nos relations commerciales, est moins important. Donc, on ne se méfie pas. Or, tout ce qu'il y a dans l'accord avec le Canada est l'embryon de ce qu'on aura dans l'accord avec les États-Unis. Ce qu'on demande pour le TTIP, on doit donc aussi le demander pour le Canada.
Il y a un autre danger. Si le CETA passait tel quel aujourd'hui, et que l'on reporte l'accord américain pour de quelconques raisons ou que le parlement vote contre, le Canada serait un hub des produits américains grâce à l'accord canadien. Les américains utiliseraient la plateforme canadienne pour attaquer le marché européen, via l'ALENA [NDLR : accord de libre-échange nord-américain].
L'ALENA, parlons-en, a-t-il créé de l'emploi ?
Non. Les études sur l'ALENA montrent que c'était un accord de business entre multinationales. Les États-Unis et le Canada ont perdu des emplois manufacturiers au profit du Mexique, sans pour autant améliorer la condition mexicaine. L'ALENA n'a pas créé d'emplois, il y a eu plutôt un abaissement, un nivellement vers le bas de la protection sociale et des normes.
A propos de ces études d'impact, une demande a été faite pour que le Bureau fédéral du Plan fasse sa propre analyse. Où en est-on ?
Le Bureau fédéral du Plan s'estime tout simplement incapable de faire l'analyse tant qu'il ne sait pas exactement ce qu'il y a dans l'objet de la négociation.
On pourrait faire des scénarios par exemple...
Oui mais cela coûte très cher. Certains pays l'ont fait. L'Autriche, par exemple, a beaucoup travaillé sur la question de l'impact du TTIP pour elle, elle a des modèles. Je préconise donc que les centres belges d'étude utilisent les modèles des centres d'études étrangers pour les appliquer aux données qui sont les leurs.
Mais encore une fois, l'idéal serait une politique de prévention anticipant les risques que le TTIP représente.
Si l'on détermine, par exemple, que le solde net du TTIP est positif (ce dont on n'est pas sûr) mais qu'il y a des gagnants et des perdants, on doit aujourd'hui l'anticiper au niveau européen. Si l'on sait que telle région risque d'être plus touchée parce qu'elle a un secteur qui est plus exposé, on ne doit pas attendre. Il faut renflouer dès maintenant les fonds de développement régionaux pour permettre à cette région de se positionner sur d'autres secteurs ou d'avoir un avantage compétitif.
Les libéraux ont une vision opposée ; ils estiment que c'est la logique du marché : certains gagnent, d'autres perdent. Et qu'il faut simplement « coller un petit sparadrap sur ceux qui perdent ». On ne veut pas une logique de sparadrap. On veut une logique structurante pour nos économies et nos emplois !
Notes :
[1] Vers une politique concertée de l'alimentation en Belgique. Colloque 04/2014
Depuis que Samsung a annoncé à grand renfort de publicité la construction d’une usine géante de semi-conducteurs, toutes sortes de questions se sont posé sur l’opportunité et le bien-fondé d’un tel projet. Or il se trouve que Samsung (Corée), déjà le second fabricant de LEDs derrière Nichia (Japon), veut prendre le contrôle mondial des LEDs car la première activité de cette usine géante sera la production des chips utilisées pour la fabrication des LEDs. Osram (Allemagne), Philips (Pays-Bas) et General Electric (USA) ont vu progressivement leur secteur éclairage en perte de vitesse à tel point que ces deux dernières sociétés vont tout simplement abandonner ce secteur. Il est donc tout à fait compréhensible que Samsung veuille se positionner dans ce secteur comme leader mondial pour s’accaparer le marché d’Osram.
Que s’est-il passé dans le secteur de l’éclairage ces cinquante dernières années, tout simplement une évolution ou plutôt une révolution quand les LEDs ont été mises au point pour émettre de la lumière blanche trichromatique, certes un peu blafarde et crue, mais extrêmement avantageuse en terme de consommation d’énergie :
L’éclairage consomme dans le monde entre 20 et 30 % de l’électricité produite et émet environ 6 % des « gaz à effet de serre ». J’ai bien mentionné entre guillemets ces gaz car mes lecteurs savent très bien que je ne crois pas à cette histoire d’effet de serre. Si on remplaçait tous les éclairages existants par des LEDs la consommation d’énergie électrique correspondante serait réduite de 40 % soit une économie de 100 milliards de dollars chaque année et en termes d’émission de carbone cela correspondrait à celle des trois quarts de tous les véhicules automobiles circulant aux USA ! Attention, ces données sont valables pour les USA. Autant dire que la contribution de l’éolien et du solaire apparaît dérisoire par comparaison : 6,5 et 2,5 % à l’horizon 2020 pour ce qui concerne encore les USA. Cette estimation est sensiblement identique pour la plupart des pays de l’OCDE selon une étude réalisée par la société Philips en 2013. Les LEDs mettent en jeu un semi-conducteur qui convertit directement l’électricité en photons, alors que la lampe à incandescence comme son nom l’indique utilise l’électricité pour chauffer un filament et l’éclairage fluorescent résulte d’une excitation d’un gaz par passage d’un courant à haut voltage. Cette même technologie des LEDs a permis de s’affranchir des écrans d’ordinateurs ou de télévisions encombrants et énergivores. La durée de vie des LEDs de nouvelle génération (Nichia, Samsung, MLS Electronics) est estimée à 20 ans alors que les lampes dites à basse énergie qui contiennent du mercure ont une durée de vie de au mieux cinq années.
L’abandon progressif des lampes à incandescence en Europe et au Japon, puis en Russie, en Chine et au Brésil notamment, a précipité les problèmes économiques d’Osram, Continental, General Electric ou Philips qui étaient assis sur la rente de situation des lampes à incandescence d’une durée de vie de deux ans en moyenne.
La conversion généralisée vers les LEDs va se précipiter, leur prix a baissé de 20 % en 2014 bien qu’elles soient encore dix fois plus coûteuses que les lampes à incandescence ou à halogènes. Comme il faut trois ans pour amortir ce surcoût, selon une étude de l’Institut McKinsey (voir le lien en fin de billet) il est d’ors et déjà rentable de remplacer les lampes à faible consommation en énergie par des LEDs. Les écologistes, jamais en reste dans leurs actions idéologiquement orientées vers une diminution drastique consommation de toute forme d’énergie, ont de facto obtenu l’interdiction des lampes compactes à faible consommation car elles contiennent du mercure et sont donc nocives pour l’environnement. À ce sujet il est très révélateur de constater que le Tea Party Nord-Américain s’est opposé en vain aux décisions prises par le législateur sous la pression des mouvements écologistes. Cette orientation a justement précipité la débâcle économique des activités éclairage de Philips, Siemens et General Electric.
On comprend donc parfaitement que Samsung se lance dans un investissement de l’ordre de 8 milliards de dollars pour une usine géante de production de semi-conducteurs sans mentionner explicitement qu’une grande partie de la production de cette usine sera consacrée aux LEDs. Finalement les économies d’énergie électrique réalisables en généralisant l’usage des LEDs rendent dérisoires les investissements pharaoniques dans les énergies renouvelables à grands renforts d’impôts et taxes diverses. Le mélange des genres que pratiquent les écologistes est révélateur de leur double langage car ils n’exposent qu’un aspect de leur idéologie surannée tout en dissimulant la vérité des faits qui sont en désaccord avec leurs thèses malthusiennes. Analysée globalement, cette histoire de gazcarbonique, de changement climatique et de consommation d’énergie est un faux problème. C’est peut-être la raison pour laquelle on a décerné le Prix Nobel de physique 2014 aux trois scientifiques japonais qui ont découvert les LEDs: Shuji Nakamura, Isamu Akasaki et Hiroshi Amano. Ils ont par leur invention très largement contribué au bien-être futur de l’humanité …
La sécheresse des ouragans des États-Unis est «essentiellement pure chance», disent les scientifiques
Aucun ouragan de catégorie 3 ou supérieure n'a frappé les Etats-Unis depuis une décennie, le tronçon le plus long enregistré depuis scientifiques a commencé à suivre les tempêtes
Peter Moskowitz à New York Jeudi 30 Avril 2015 19.10 BST
Il y a dix ans, une saison des ouragans particulièrement forte et destructrice a Katrina en Louisiane en Août, suivie deux mois plus tard par Wilma claquant dans la côte de la Floride. Et puis, pour les 10 prochaines années, rien: pas de grands ouragans ont frappé les Etats-Unis depuis.
Comme les États-Unis approche d'une autre saison des ouragans commence le 1er Juin, il sera aussi proche d'une étape historique: il n'y a pas eu de catégorie 3 ou supérieure ouragans dans près d'une décennie, un coup de chance que les scientifiques disent est vraiment hors de l'ordinaire.
Cette «sécheresse de l'ouragan" actuelle est la plus longue jamais enregistrée depuis que les scientifiques ont commencé à garder la trace des ouragans en 1851. Le dernier enregistrement de huit ans, arrivé 1861-68.
Une nouvelle recherche de l'Institut Goddard de la Nasa pour les études spatiales, publiée cette semaine dans Geophysical Research Letters, suggère la sécheresse historique est probablement juste une coïncidence.
"Nous avons conclu qu'il est fondamentalement simple chance," a déclaré le co-auteur du rapport et chercheur principal à l'Institut Goddard Dr Timothy Hall de la Nasa. «Si [la sécheresse] est allé sur et ainsi de suite que nous avions en question nos hypothèses, mais pour l'instant il semble être de la chance."
Il y a eu beaucoup de grandes tempêtes et les ouragans depuis 2005, mais tous les ouragans majeurs ont manqué aux États-Unis et se concentre plutôt sur d'autres régions autour de l'océan Atlantique. Et il ya eu des tempêtes plus mineures qui étaient néanmoins destructrice aux États-Unis: l'ouragan Sandy en 2012 (catégorie 1), l'ouragan Irène en 2011 (catégorie 1) et l'ouragan Ike en 2008 (catégorie 2).
La plupart des dommages causés par ces tempêtes sont venus de la pluie et les inondations subséquentes (en partie aggravée par l'élévation du niveau de la mer et des ondes de tempête).
Hall a déclaré l'absence de dommages majeurs du vent des ouragans dans la dernière décennie pourrait avoir des conséquences graves si les gens sont endormis dans un sentiment de complaisance à des conditions météorologiques extrêmes.
L'étude de Hall, réalisé avec Kelly Hereid d'ACE Tempest Re, une société de réassurance, a constaté que les taux d'assurance étaient en baisse dans les zones sujettes aux ouragans, et les gens affluaient vers les côtes - ce qui signifie qu'il pourrait y avoir plus de dégâts quand un ouragan majeur rend finalement touché terre .
N'oubliez pas comment l'Union soviétique a sauvé le monde d'Hitler
Dans l'imaginaire populaire occidental - notamment celle américaine - la seconde guerre mondiale est un conflit nous a gagné. Il a été combattu sur les plages de Normandie et Iwo Jima, dans les décombres de villes françaises récupérés et coiffée par sépia des scènes de joie et amour des jeunes à New York. Ce fut une victoire en forme de la force d'acier du général Dwight D. Eisenhower, la fibre morale du premier ministre britannique Winston Churchill et l'incroyable puissance de la bombe atomique.
Mais ce récit change radicalement quand vous allez à la Russie, où la seconde guerre mondiale est appelée la grande guerre patriotique et se souvient de lui dans une lumière très différente.
Le 9 mai, le Président russe Vladimir Poutine accueillera un des défilés de militaires toujours plus grands de Moscou à l'occasion du 70e anniversaire de la victoire de l'Union soviétique sur l'Allemagne nazie. Plus de 16 000 hommes participeront, les avions de plus de 140 et 190 véhicules blindés, y compris les débuts du nouveau réservoir de génération de la Russie.
C'est un grand moment, mais peu d'entre les grands dirigeants du monde seront présents. Les chefs d'état de l'Inde et la Chine se penchera sur, mais pas beaucoup parmi leurs homologues occidentaux. C'est un reflet du présent géopolitique tendu, avec des relations de m. Poutine avec l'Occident après avoir tourné glacial après un an de l'ingérence russe en Ukraine. Quand tank T-14 Armata de la Russie est tombé en panne lors d'une répétition du défilé jeudi, le ricanaient pouvait être entendue à travers les médias occidentaux.
Injustement ou non, les tensions actuelles masquent l'ampleur de ce qui est commémoré: à partir de 1941, l'Union soviétique, le poids de la machine de guerre nazie et joue peut-être le rôle le plus important dans la défaite des alliés de Hitler. Par un calcul, pour chaque seul soldat américain tué, lutte contre les allemands, 80 soldats soviétiques est mort en faisant la même chose.
Bien sûr, le début de la guerre avait été façonné par un Pacte de Nazi-soviétique à morceler les terres entre leurs frontières. Puis Hitler se tourna contre l'URSS.
L'armée rouge a été « le principal moteur de la destruction du nazisme, » écrit l'historien britannique et journaliste Max Hastings dans "Inferno : le monde en guerre, 1939-1945. » L'URSS a payé le prix plus rude : si les chiffres ne sont pas exacts, 26 millions de citoyens soviétiques estimés sont morts pendant la seconde guerre mondiale, y compris jusqu'à 11 millions de soldats. Dans le même temps, les Allemands a subi trois quarts de leurs pertes en temps de guerre combattant l'armée rouge.
« C'était la chance extrême des alliés occidentaux que les Russes et pas eux, payé presque tout le 'projet de loi du boucher' pour [vaincre l'Allemagne nazie], acceptant de 95 pour cent des pertes militaires des trois grandes puissances de la grande Alliance, » écrit Hastings.
Les batailles épiques qui éventuellement annulées l'avance nazie - siège en hiver brutal de Stalingrad, le choc des milliers de véhicules blindés à Koursk (la plus grande bataille de chars dans l'histoire) - avait sans équivalent sur le Front occidental, où les nazis commis moins de moyens militaires. La sauvagerie sur écran était également d'un degré différent que celle vécue plus à l'Ouest.
Hitler a vu une grande partie de ce qui est maintenant l'Europe comme un site de « lebensraum » - surface habitable pour une expansion empire allemand et la course. Quoi que peut comporter a été la tentative horrible et systématique de dépeupler des pans entiers du continent. Ceci inclus le gros massacre de millions de juifs européens, dont la plupart vivait à l'extérieur des frontières d'avant la guerre de l'Allemagne à l'est. Mais des millions d'autres ont également été tués, maltraités, dépossédés de leurs terres et gauche pour mourir de faim.
"L'Holocauste éclipse les plans allemands qui envisageait de tuer encore plus. Hitler voulait non seulement d'éradiquer les juifs ; il voulait aussi de détruire la Pologne et l'Union soviétique comme États, exterminer leurs classes dirigeantes et tuer des dizaines de millions de slaves, » écrit l'historien Timothy Snyder dans "terres de sang : l'Europe entre Hitler et Staline."
En 1943, l'Union soviétique avait déjà perdu quelque 5 millions de soldats et les deux-tiers de sa capacité industrielle à l'avancée nazie. Qu'il était encore en mesure de retourner en arrière l'invasion allemande est testament au courage de l'effort de guerre soviétique. Mais on en est venu à un prix scandaleux.
Dans ses mémoires, Eisenhower a été consterné par l'ampleur du carnage :
Lorsque nous avons volé en Russie, en 1945, je ne voyais pas un permanent de l'Assemblée entre les frontières occidentales du pays et les environs de Moscou. À travers cette région de dépassement, maréchal Zhukov m'a dit tant de nombres de femmes, des enfants et des vieillards avaient été tués, que le gouvernement russe ne serait jamais en mesure d'estimer le total.
Pour être sûr, en tant que documents de Snyder, l'Union soviétique sous Staline avait aussi le sang de millions sur ses mains. Dans les années que précédant la seconde guerre mondiale, stalinien des purges a conduit à la mort et la famine de millions. Les horreurs ont été aggravés par l'invasion nazie.
"En Ukraine soviétique, Biélorussie soviétique et le district de Leningrad, où le régime stalinien avait affamé et a tiré quelques 4 millions de personnes dans les huit années précédentes, les forces allemandes réussis à mourir de faim et de tirer encore plus de la moitié du temps, les terres » Snyder écrit. Il dit qu'entre 1933 et 1945 dans les terres de "sang" - une vision large du territoire à la périphérie des royaumes soviétique et Nazi - quelque 14 millions de civils ont été tués.
Par quelques comptes, 60 % des ménages soviétiques a perdu un membre de leur famille nucléaire.
Pour les voisins de la Russie, il est difficile de séparer le triomphe soviétique depuis des décennies de domination de guerre froide qui a suivi. On peut également déplorer la façon dont les sacrifices du passé informer le nationalisme russe musclé maintenant colporté par Poutine et ses alliés du Kremlin. Mais nous ne devons pas oublier comment les Soviétiques a gagné la seconde guerre mondiale en Europe.
Microsoft lance sa distribution .NET pour Linux et Mac
29 avril 2015 par Frederic Lardinois ( fredericl )
En Novembre 2014, Microsoft a déclaré qu'il apporterait certaines des caractéristiques de base de sa plate-forme .NET - qui a toujours été pour Windows uniquement - à Linux et Mac . Aujourd'hui, lors de sa conférence des développeurs de construction, la société a annoncé son premier aperçu complet de l'exécution .NET de base pour Linux et Mac OS X.
En outre, Microsoft fait le candidat de libération du cadre .NET complète pour Windows disponible pour les développeurs aujourd'hui.
Le point culminant ici, cependant, est de toute évidence la libération de .NET de base pour les plates-formes autres que Windows. Comme Microsoft vice-président de sa division développeur S. "Soma" Somasegar m'a dit plus tôt cette semaine, la société vise maintenant à rencontrer des développeurs, où ils sont - à la place de ce qui les rend nécessairement utilisent Windows - et .NET Core est clairement partie de ce mouvement.
Microsoft affirme qu'il prend .NET multi-plateforme afin de construire et d'exploiter un plus grand écosystème pour elle. Comme la société a également noté peu de temps après l'annonce initiale, il a décidé que, pour prendre .NET multi-plateforme, il devait le faire comme un projet open source. Shepherd il aller de l'avant, Microsoft a également lancé la Fondation .NET an dernier. Bien qu'il soit encore un peu un choc pour certains de voir Microsoft actif dans le monde open-source, il est utile de rappeler que ce que la société a fait un bon nombre de contributions aux projets open source dernièrement.
Même avant l'annonce du framework .NET, l'entreprise avait déjà open-source de la plate-forme .NET Roslyn compilateur . Plus tôt cette année, Microsoft shuttered sa MS OpenTech filiale, laquelle était principalement responsable de ses projets open source, afin de mettre ces projets dans le giron globale Microsoft.
Californie est pour commencer collage résidents pour prendre des douches longues tandis que les riches utilisent les dernières gouttes d'eau pour Landscaping
Réseau NaturalNews.com 8 mai 2015 par Julie Wilson
Gouverneur Jerry Brown (D-CA) a publié un décret le 1er Avril obligatoire une réduction de 25 pour cent de la consommation d'eau en milieu urbain à travers la Californie. L'annonce fait suite à la publication des données récentes montrant que les Californiens ont réduit leur consommation d'eau d'à peine 2,8 pour cent en Février, la réduction la plus faible consommation d'eau depuis la State Water Board a commencé à suivre les données en Juillet ici 2014.
En Janvier, les Californiens ont réduit leur consommation d'eau de 8 pour cent, selon une enquête de plus de 400 détaillants d'eau urbains. Dernière tentative du gouverneur de sévir contre ceux qui violent les restrictions d'utilisation de l'eau de la Californie comprend une amende pouvant aller jusqu'à 500 $ pour chaque jour où l'infraction se produit.
"Dans cette situation extrêmement grave, le gouverneur appelle à des réductions immédiates. Californiens doivent intensifier maintenant - en particulier ceux qui ne l'ont pas été de faire leur part », a déclaré le président State Water Board Felicia Marcus.
"Nous sommes dans une période de sécheresse, comme nous ne l'avons pas vu avant, et nous devons tous intensifier comme jamais auparavant"
"Des tuyaux qui ne sont pas en train de faire leur part," comprennent les résidents riches de Beverly Hills, dont le cercle d'élite considère autre qu'une pelouse verdoyante bordée de floraison feuillage une parodie rien.
Un dimanche à flâner jusqu'à Maple Drive à Beverly Hills voudrait vous faire penser à quoi que ce soit à l'exception du fait que l'Etat connaît l'une des pires sécheresses de l'histoire comme il entre dans une quatrième année consécutive sec.
"Beverly Hills et d'autres villes riches utilisent beaucoup plus d'eau par habitant que les communautés moins riches, ce qui incite certains à les jeter comme des méchants dans l'effort de conservation de l'eau de la Californie," rapporte le Los Angeles Times.
Auparavant, Beverly Hills avait pas de restrictions d'eau, et la première fois se prépare à répondre à des restrictions obligatoires, y compris ceux récemment mis par le gouverneur Brown, selon le rapport.
Les données montrent que les résidents vivant dans les zones les plus riches utilisent un peu plus d'eau que ceux qui sont moins fortunés. Par exemple, les résidents vivant dans des communautés telles que La Canada Flintridge, Newport Beach, Malibu et Palos Verdes tous utilisés plus de 150 litres d'eau par habitant et par jour en Janvier.
En comparaison, ceux qui résident à Santa Ana ont utilisé seulement 38 gallons, tandis que les communautés du Sud-Est dans le comté de LA utilisés moins de 45 gallons. Les résidents de Los Angeles ont consommé une moyenne de 70 litres par habitant.
Après avoir examiné une décennie de Département de l'eau et les données de puissance, une étude de l'UCLA a constaté que les quartiers plus riches, en moyenne, utilisent trois fois plus d'eau que les moins aisés. Toutefois, la récente décret du gouverneur Brown vise soi-disant pour réduire la consommation d'eau dans l'ensemble de la Californie .
"Certaines personnes - croyez-le ou pas - ne savions pas que nous sommes dans une période de sécheresse", a déclaré George Murdoch, directeur général des services à Newport Beach, qui commence à fines récidivistes.
"Le problème réside, en partie, dans l'isolement social des riches, l'isolement moral des riches"
Stephanie Pincetl, qui ont contribué à l'étude de l'eau à usage de l'UCLA, dit ceux qui résident dans les communautés privilégiées sont «manque un sentiment que nous sommes tous dans le même bateau."
Comme ils entrent dans la deuxième étape de son plan de conservation de l'eau en cas d'urgence, les résidents de Beverly Hills sont invités à limiter leur utilisation de fontaines qui ne utilisent de l'eau recyclée, lave-chaussée et l'arrosage des pelouses. Cependant, à cette étape, les restrictions sont volontaires.
Les résidents dans d'autres parties de la Californie semblent être beaucoup plus vigilants quand il vient à la conservation des eaux. Une méthode qui gagne en popularité est l'utilisation de l'eau grise . L'eau grise est savonneuse restes de l'eau de lavage des mains ou faire la lessive qui peut ensuite être utilisé pour la chasse d'eau. Certaines personnes suggèrent également d'utiliser cette eau pour irriguer les plantes, mais qui peuvent venir avec le risque de contamination de l'environnement avec des savons ou autres produits chimiques rougies.
Chris Brown de Sacramento a utilisé son propre argent pour installer un système de paysage qui utilise de l'eau grise. "Chaque goutte d'eau coule vers ce tuyau, est souterrain maintenant, jusqu'à la cour avant, et puis il se propage,» dit-il.
"Lorsque nous obtenons de l'eau, il va venir dans les grandes surtensions et nous avons besoin d'être capturer dans les paysages et apprendre à vivre avec ça parce que ça va être notre avenir."
Les coupures d'eau obligatoires ont résidents Sacramento Turning Gray Eau dans la sécheresse
3 avril 2015 18h07
SACRAMENTO (CBS13) - Ils disent que vous pouvez en apprendre beaucoup sur une femme de son jardin, mais à la maison de Robin Weld, la salle de bains raconte l'histoire.
Elle dispose d'une toilette et un lavabo dans celui qu'elle a ordonné en provenance du Japon pour environ 100 $. Alors que certains disent qu'il ne coule à un nouveau plus bas pendant la sécheresse, elle dit qu'il enregistre parfois 10 gallons d'eau ou plus par jour.
"La personne moyenne utilise la salle de bains ce que au moins cinq fois par jour, alors que ce cinq fois par jour, donc qui ajoute," dit-elle.
Malgré ce que vous pouvez penser, il est en fait assez sanitaires que l'eau est acheminée par un tuyau séparé. Lorsque vous videz l'eau fraîche vient d'un petit robinet et vous laver les mains avec lui.
"Nous laver les mains et ensuite réutiliser cette eau», dit-elle.
L'eau savonneuse puis draine dans le bol pour la prochaine chasse d'eau.
La Californie a longtemps eu une loi sur les livres permettant le recyclage de l'eau de la maison, mais dans la quatrième année d'une sécheresse sans précédent, est la plus importante que jamais.
Le concept semble être partout à Sacramento. À la maison de son voisin, les eaux grises de la machine de linge à l'intérieur est utilisée pour irriguer les arbres fruitiers en face.
"Chaque goutte d'eau coule vers ce tuyau, est souterrain maintenant, jusqu'à la cour avant, et puis il se propage", a déclaré Chris Brown.
Le système de paysage a été installé avec son propre argent, et promotions de la ville a permis de remplacer sa pelouse avec du paillis. Il jeta dans certaines roches de rivière pour recueillir l'eau de pluie.
"Lorsque nous obtenons de l'eau, il va venir dans les grandes surtensions et nous avons besoin d'être capturer dans les paysages et apprendre à vivre avec ça parce que ça va être notre avenir", a t-il dit.
Krach.in : un blogueur condamné pour avoir traité de sécurité informatique
Un blogueur a été condamné par la justice française à 750 euros d'amende, à la suite de plusieurs articles sur la sécurité informatique.
Publié par Julien L., le Samedi 09 Mai 2015
L'affaire fait beaucoup parler d'elle sur les réseaux sociaux, illustrant aux yeux de plusieurs observateurs le décalage qui existerait entre le monde de la justice et l'écosystème numérique. Sur le blog Krach.in, aujourd'hui complètement vidé de son contenu, son auteur révèle avoir été condamné récemment par le tribunal de grande instance de Saint-Brieuc à une amende de 750 euros.
Son tort, d'après ses explications ? Avoir rédigé des articles traitant de sécurité informatique, en expliquant pour le grand public comment des méthodes permettent de contourner certaines protections via des faiblesses déjà connues ou en profitant de l'insouciance des utilisateurs. Trois publications en particulier auraient retenu l'attention du tribunal de grande instance :
Le premier portait sur les risques de sécurité avec le WiFi, quand aucune authentification n'est requise ou lorsque celle-ci se contente du protocole WEP alors que celui-ci n'est plus considéré comme sûr. Selon l'auteur de Krach.in, son article expliquait l'utilisation d'un utilitaire open-source (sans doute Aircrack-ng, ndlr) pour tester la sécurité de son réseau WiFi.
Le deuxième présentait un script écrit avec le langage de programmation Python en vue de retrouver le texte brut dans un hashage MD5. "C'était juste un morceau de code python de quelques dizaines de lignes utilisant le service web d'un des nombreux sites (légaux!) permettant de chercher l'équivalence dans leur base de données", indique-t-il.
Le troisième s'est focalisé sur l'outil Teensy 3.0, et sur le fait "qu'en utilisant un microcontrôleur de ce type, il est possible de simuler un utilisateur tapant sur un clavier". Selon le blogueur, c'était une simple démonstration pour montrer l'intérêt de surveiller sa machine et de la verrouiller en cas d'absence.
Selon les premiers éléments, il semble que que le blogueur ait fait une reconnaissance préalable de culpabilité (comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC)), ce qui signifie qu'il a reconnu avoir commis l'infraction. C'est une sorte de plaider coupable, qui est présentée comme un moyen d'éviter la procédure classique du procès, mais qui scelle le sort du prévenu.
C'est ce que note l'avocat Maître Eolas, sur Twitter. "Il n'est coupable que parce qu'il l'a admis. Il a préféré se reconnaître coupable pour faire des économies. C'est absurde". Mais Olivier Laurelli, qui rencontre lui aussi la pression judiciaire avec l'affaire Bluetouff, assure que l'auteur de Krach.in n'a pas bénéficié des meilleurs conseils de son avocat, qui l'aurait orienté vers le CRPC.
Au regard de la description des faits effectuée par le blogueur Krach.in et du contenu des articles, la condamnation prononcée par le tribunal de grande instance de Saint-Brieuc paraît à première vue exagérée et pose la question du risque lors de la publication de documents traitant de sécurité informatique. Cela étant, le fait d'être passé par la case CRPC a sans doute pesé lourd dans la décision finale.
Nous avons pris contact avec le tribunal de grande instance de Saint-Brieuc et le blogueur afin d'obtenir une copie du jugement, ainsi que des précisions sur cette affaire, en particulier les textes de loi qui ont permis de prononcer cette condamnation. Nous attendons ces informations pour en savoir plus.
Bienvenue dans chaos land - ils ont perdu la boule au dessus - ma solution pour placer son argent
lundi, 04 mai 2015 21:35
Vous le voyez tous sur Objectifeco tous les jours, on s'en esclaffe tellement le monde économique et monétaire est devenu taré.
Paradoxalement, j'aime bien les situations explosives chaotiques irrationnelles où la majorité des gens est perdue.
Quand l'homme perd la raison, il devient émotionnel. Et l'émotion, c'est ma came. Je sais la lire et l'anticiper. Je la comprend surtout.
Je n'aime pas trop quand les gens réfléchissent... Ils ne commettent pas assez facilement d'erreurs...
J'ai toujours été un trader de volatilité. C'est là où j'ai gagné mon argent. Dans le train train de la distribution gaussienne à 2 écart type, je me suis fait toujours fait chier. J'ai tenté dans les années 2000 la stratégie du SNIPER FOREX au format 1 minute sur l'EUR / USD, mais définitivement, j'aime les situations émotionnelles.
En ce moment, on a un monde irrationnel mais pas de volatilité.
Alors quoi faire de son argent ?
Franchement, le marché des taux est dingue. Les devises sont à peu près lisibles. Les indices boursiers sont totalement déconnectés et inflatés par les QE des banques centrales. Les matières premières tombent gentiment... L'immobilier est suspendu au krach démographique. Le peuple entier de France se réfugie dedans (et son pendant financier, l'assurance vie contrat euro qui est 100% vouée à un krach obligataire et la ruine).
En immobilier, le rendement n'existe presque plus tandis que le risque est lui mathématiquement presque certain et donc non rémunéré. Les cours vont forcément sauter à la revente quand les baby boomers mourront et que les enfants voudront vendre pour payer les impôts à cause des héritages. Quand bien même on supprimerait les impôts, il y aura toujours le souci qu'enlever du marché 200 à 300.000 personnes par an par la mort ne pourra pas être compensé techniquement. A moins qu'on y loge des robots ou qu'on laisse le tout vide. Donc, faible baisse des prix, mais zéro rentabilité...
Regardez l'image que j'ai posté aujourd'hui. 15% de QE sur PIB ne parviennent pas à relancer la conso. Les japonais vieillissent et claquent. C'est tout. Pourquoi faut il tourner autour du pot comme des hypocrites de manière aussi compliquée ? Le nombre de consommateurs baissent ! Point ! Personne n'y peut rien. A moins d'exporter comme des fous et trouver des consommateurs en dehors du pays, il n'y a pas de solution !
J'y ai bien réfléchi.
Il y a un moyen de placer de l'argent. C'est basé sur le chaos.
Puisque tout est dingue, autant jouer sur ce qui a déjà pété. Un krach qui a déjà eu lieu, il ne peut plus avoir lieu dans le futur.
Logique non ?
Prenons l'indice boursier de la Grèce. Il se traine à 15% de la valeur de son plus haut. 85% de chute !
- voir graphique sur site -
Les 20 plus grosses entreprises ne vont pas faire faillite et fermer... L'indice boursier représente 25% de la valeur du PIB. Certaines chercheurs ont retracé un siècle entier d'histoire économique et de valorisation boursière. La situation sur la Grèce n'est arrivée que 9 fois sur notre bonne vieille planète...
La Grèce représente 4% de l'Europe, des dettes, des soucis, du PIB. C'est une poussière. Imaginez que la vieille Europe va tomber pour seulement 4% de sa taille ? A mon humble avis, on va payer et régler gentiment le souci. Quand je pense depuis le début de l'année, à l'hystérie que le cas grecque a provoqué.
Je n'ai pas arrêté de l'écrire sur Objectifeco. C'est du bidon total.
Sérieux, nous voilà en mai ! Il est où le krach ? La fin du monde ? La fin de l'Europe ? Hein ? Et l'euro qui doit mourrir à cause de la Grèce ? Et les krachs obligataires ?
Il n'y a rien de tout cela. Rien.
On s'en bat complet et total de la Grèce. L'autre communiste (pour pas l'appeler par ses vrais surnoms, soit fiotte, soit menteur) au pouvoir s'est couché dès la fin du premier mois. Il n'a même pas réussi à passer un mois entier dans son baratin...
Même pas un mois.
Donc la Grèce, elle est peut être l'un des meilleurs endroits au monde où il faut placer son argent aujourd'hui.
Voici aussi la bourse d'Islande à titre d'exemple. On le voit, après le krach, à long terme, au moins, on a un marché raisonnable.
- voir graphique sur site -
En misant sur les krachs déjà arrivés, cela me paraît être le meilleur endroit pour placer son argent aujourd'hui.
Comme je l'ai écrit sur Objectifeco, j'étais très très chaud sur la Russie. Voici son chart long terme. Même logique. La fin du monde a disparu des médias occidentaux. Les cours sont gentiment en train de revenir à la raison.
- voir graphique sur site -
Souvenez vous de la Thaïlande en 1997 avec le krach boursier sur les banques qui sont tombées, lâchées par le pouvoir en place. Voici le graphique
- voir graphique sur site -
Je ne sais pas quelle logique il faut adopter pour la revente, mais pour l'achat, le job de chasseur de krach me semble être le plus adéquat du moment...
Les promoteurs, les ennemis de contenu de l'énergie nucléaire avec prêcher des convertis
7 mai 2015
Par Writer SATOSHI OTANI / Personnel
Un conférencier lors d'une réunion à Osaka vanté l'amélioration de la sûreté des réacteurs nucléaires, a dénoncé craintes infondées de radioactivité et a souligné que le rayonnement est naturellement tout autour de nous.
Mais lors d'une réunion de taille similaire a eu lieu plus tard à Tokyo, un conférencier différent averti des dangers terrifiants de rayonnement, en particulier pour les enfants, et prédit que la préfecture de Fukushima deviendrait un désert.
À propos de tous les deux côtés avaient en commun était leur réticence à discuter de la question de l'énergie nucléaire avec l'autre camp.
Depuis la catastrophe nucléaire de Fukushima se déroulait en Mars 2011, les partisans et les adversaires de l'énergie nucléaire ont mené des campagnes défendant leurs versions de la vérité à propos de l'énergie nucléaire.
Encore écartées, les deux parties semblent contenu à diffuser leurs messages respectifs à des gens comme toi, une situation que les experts disent est contre-productif.
L'Agence de la consommation en Janvier a tenu une séance de «communication des risques» dans un immeuble à Osaka en ce qui concerne les matières radioactives qui peuvent être trouvés dans les aliments.
"La seule chose que nous apprenons à l'école sur le rayonnement est 'armes nucléaires et de la mort," le chargé de cours masculin dit environ 20 participants. "Voilà pourquoi tant de gens ont peur."
Le conférencier a poursuivi: "Si rayonnement était vraiment dangereux, les humains auraient pas été capables de survivre pendant si longtemps par roulement progéniture. Je veux que vous sachiez la vérité ".
Les participants rayonnement mesurées dans la salle pour trouver un exemple des niveaux naturels qui existent autour d'eux.
L'objectif du projet de communication sur les risques est d'informer les nutritionnistes et des infirmières de santé publique sur le rayonnement dans l'espoir qu'ils vont relayer ces connaissances à leurs communautés et les écoles locales.
Le projet a débuté l'exercice 2013, après la triple crise à la centrale nucléaire de Fukushima n ° 1.
La session à Osaka impliqué employés des entreprises alimentaires qui sont en position pour faire face à la radiation.
«Je crois que je peux expliquer à mes collègues parce que je l'ai développé un certain niveau de confort sur le rayonnement», a déclaré un employé dans une grande entreprise de boissons.
La position pro-nucléaire de la conférence devrait pas surprendre.
Le conférencier a précédemment travaillé comme chercheur à l'Institut central de recherche de l'industrie électrique, qui est soutenue par les principales compagnies d'électricité.
Le conférencier a conclu son discours par un mot sur les réacteurs nucléaires: «Je crois que les risques ont été considérablement réduites en raison des mesures de sécurité ont été mises en œuvre."
L'Agence de la consommation a commandé l'Organisation de l'énergie atomique du Japon Relations pour gérer le projet de communication sur les risques. Les statuts de l'organisation affirment qu'il sera "mener activement l'édification et à la diffusion des connaissances liées à l'utilisation pacifique de l'énergie nucléaire."
La Fédération des compagnies électriques du Japon est le plus grand contributeur de la taxe à l'organisation, bien que le montant réel n'a pas été médiatisée.
Environ 18 mois après l'accident mortel à 1999 combustible nucléaire l'usine de JCO Co. à Tokai, Préfecture d'Ibaraki, l'organisation a rédigé un rapport de recherche sur la communication des risques de l'énergie nucléaire.
"Alors que les attitudes envers l'énergie nucléaire se sont durcies en raison de l'accident qui a fait deux morts, il ya aussi un déséquilibre car il est l'acceptation sociétale des accidents de voiture qui se traduisent par 10.000 décès par an", a déclaré le rapport.
Le rapport ajoute, "très rarement magazines général publiera des articles promotion de l'énergie nucléaire."
Pour faire face à cette situation, le rapport propose "faire des efforts pour avoir le grand public à observer les travailleurs des centrales nucléaires afin qu'ils puissent maintenir un sentiment de familiarité."
Kohei Urano, un professeur émérite de gestion de la sécurité de l'environnement à l'Université nationale de Yokohama, définit la communication des risques comme "les experts et les citoyens partageant des informations relatives à des dangers en vue de rechercher une solution à partir d'un pied d'égalité."
"Essayer de gagner la compréhension des participants en expliquant seulement d'un côté est pas la communication des risques," at-il dit. "En outre, si une manipulation de l'organisation du projet est d'un côté du débat, il ya une forte possibilité que les vues de ceux qui détiennent des préoccupations au sujet de matières radioactives ne seront pas pris en compte."
A demandé à un fonctionnaire de l'Agence de la consommation en charge des conférences si les gens opposés à l'énergie nucléaire ont été invités à des entretiens.
"Ce ne serait pas faire pour notre organisation à reconnaître certains individus comme des« adversaires »," le fonctionnaire dit.
La série de conférences a eu lieu le 55 reprises autour du Japon pour l'exercice 2013 et 2014. Le budget total pour la série et d'autres événements de communication des risques, telles que des colloques, est de 45 millions de yens ($ 376 000), financé en partie par le compte spécial du gouvernement pour la reconstruction après les catastrophes naturelles 2011.
Les groupes anti-nucléaires ont tenu des rassemblements autour du Japon - souvent sans inviter quelqu'un de l'autre côté.
En Avril, environ 20 participants ont assisté à une conférence à Chiyoda à Tokyo sur le thème des contrôles d'exposition aux radiations dans la préfecture de Fukushima.
"Il y a de nombreux cas de cancer malin", a déclaré le conférencier. «Les enfants sont en danger."
Il a également critiqué les savants qui poussent l'énergie nucléaire comme peu fiable. Il a conclu sa conférence en disant que ce sera impossible de vivre à Fukushima.
Un document distribué aux participants contenait un article qui dit, "les événements de communication des risques parrainés par les gouvernements locaux font plus de mal que de bien et exigent un examen."
Quelques jours après l'événement, le conférencier a admis qu'il n'a aucune expérience dans la recherche spécialisée sur le rayonnement.
"Même un citoyen ordinaire comme moi peut comprendre que quelque chose de terrible se produit simplement en étudiant un peu», dit-il.
Lorsqu'on lui a demandé pourquoi il n'a pas pris son cas directement aux entreprises du gouvernement ou de centrales électriques, l'homme a dit: "Les partisans de l'énergie nucléaire sont ceux qui doivent être tenus responsables, mais ils ne sont pas révisé leur position à tous. Je dois pas l'intention de les rencontrer, car il serait vain de parler même avec eux. "
Hideyuki Ban, co-directeur du Centre d'information nucléaire des citoyens, une organisation à but non lucratif, se fait un point d'accepter les invitations aux sessions parrainées par le gouvernement à propos de réacteurs nucléaires. Cependant, étant un adversaire de l'énergie nucléaire, Ban est dans une minorité décidée à de tels événements.
Bien que ses opinions ne sont généralement pas pris en compte dans les conclusions, Ban assiste toujours aux réunions.
"Si l'on veut obtenir ses arguments dans la société au changement, même un peu, la seule alternative est d'apparaître dans le même forum pour les discussions", a déclaré Ban.
L'accident de Fukushima et l'énergie nucléaire d'aujourd'hui & demain sont deux choses différentes.
Le pourquoi qu'il y a t-il des anti-nucléaire est la réponse à la non-explication.
Pourquoi ne pas avoir expliqué calmement ce qui s'est passé ce 11 Mars 2011 ?
Effectivement, comme tous les constructeurs au monde font pareil, ils seraient donc montrés du doigt.
Si les centrales nucléaire du Japon peuvent repartir, cela veut dire que le problème est réglé. Que les réparations ont été faites. Il en est d'ailleurs de même dans le monde... où, sans avoir modifié quoi que ce soit elles ont continué de fonctionner !
Le secteur en question était celui de l'approvisionnement en eau. Longues tuyauteries qui serpentaient de l'océan à la centrale qui pompait l'eau pour la dessaliniser et alimenter les réacteurs. Or, ces tuyauteries aériennes courant sur le sol, n'étaient pas monté sur supports-vérins et étaient de simples canaux en PVC !
Donc, le jour du raz-de-marée, le tsunami a rejeté des tonnes de pierres (et de déchets divers) sur les dits-tuyaux extérieurs. Tuyaux qui se sont rompu s'ils ne l'étaient déjà avec le tremblement de terre (Mag.9). Donc, en l'absence de ravitaillement, l'eau dans les réacteurs a très vite atteint un seuil critique (où la chaleur s'est augmenté par la mise à nu des barres de combustible. Puis, chaleur atteignant les 3000°C, les crayons en zirconium ont fondu - libérant les pastilles d'Uranium. Cet état de fonte (appelé corium) a très vite rompu l'enveloppe-même des réacteurs pour couler au travers, traverser la chape de béton armé de 10 m et atteindre - comme une coulée de lave ou d'acide - les nappes phréatique.
D'autre part, la fonte des tiges en zirconium a libéré de l'hydrogène intérieur et provoqué l'explosion/déchapeautage des réacteurs.
De plus, comme les lignes électrique relayant les 'pompes de secours' étaient également extérieures et non-protégées, elles se sont brisé.
Tout est là. Tout est dit. Les tuyaux et les lignes électriques non protégés sont responsables de la tragédie du 11 Mars 2011.
Qu'en est-il aujourd'hui pour les autres partout dans le monde ? Sachant qu'un simple drone peut transporter une charge explosive et endommager les tuyauteries et lignes électriques extérieures non-protégées.
C'est depuis ce jour qu'est intervenu le lobby nucléaire qui parlait d'arrêter toutes les centrales électrique nucléaire du monde ! pour... les 'remplacer' par des éoliennes & panneaux solaires !! Hahahaha !
Le but ultime de l'Empire est le chaos, pas la victoire
Peter Koenig Global Research mer., 06 mai 2015 17:53 UTC
Traduit par SLT Une fois de plus, un pays « libéré » par l'Occident sombre de plus en plus profondément dans le chaos.
Ceci peut s'appliquer à tous les pays actuellement en conflit, où Washington et ses sbires occidentaux et moyen-orientaux ont imposé la guerre - le chaos perpétuel, la misère et la mort - et l'asservissement.
C'est là que se trouve toute la question: la stratégie de Washington et de l'OTAN n'est pas de « gagner » une guerre ou un conflit, mais de susciter un chaos continuel, sans fin. C'est la façon de (i) contrôler les gens, les nations et leurs ressources; de (ii) garantir à l'Occident un besoin incessant en troupes et en équipement militaire - souvenez-vous que plus de 50% du PIB des USA dépend du complexe militaro-industriel et des industries et services connexes; et enfin (iii), qu'un pays dans la détresse ou le chaos est ruiné et a besoin d'argent - de l'argent sous des conditions de nécessité, des conditions « d'austérité » du sulfureux FMI, de la Banque Mondiale et d'autres malfaisantes « institutions de développement » et de prêteurs d'argent; de l'argent qui équivaut à un esclavage, surtout avec des dirigeants corrompus qui ne se soucient pas de leurs populations.
C'est la nature de l'enjeu - au Yémen, en Ukraine, en Syrie, en Irak, au Soudan, en Afrique Centrale, en Libye... faites votre choix. Qui se bat contre qui n'a pas d'importance. ISIS / EIIL / EI / Daesh / al-Qaeda et quels que soient les noms des organisations de tueurs mercenaires que vous voulez ajouter à la liste - ce ne sont que des étiquettes pour distraire votre attention. Vous pouvez tout aussi bien y ajouter Blackwater, Xe, Academi et tous ses noms successifs choisis pour ne pas être facilement reconnus. Ce sont des prostituées de l'Empire Anglo-Saxon/Sioniste, des prostituées de raz-de-trottoir. Arrivent ensuite les prostituées de luxe comme l'Arabie Saoudite, le Qatar, le Bahreïn et d'autres États du Golfe; puis le Royaume-Uni et la France, bien sûr.
Le Président Hollande vient de signer un contrat de plusieurs milliards d'euros avec le Qatar pour la vente de 24 avions de combat Rafale. Il se dirige à présent vers Riyad (à l'heure d'écriture, ndlr) pour des discussions avec le Roi saoudien Salmane, et pour lui vendre davantage de Rafales - c'est bon pour le commerce et ça contribue à tuer les ennemis fabriqués au fur et à mesure; et aussi pour se rendre à un sommet du Conseil de Coopération du Golfe (CCG), le 5 mai. Parmi les sujets abordés lors de la réunion figurent les « crises » de la région dont celle du Yémen, provoquée par l'Occident pour le compte de Washington et imputée aux « rebelles » qui ne font que chercher à avoir un gouvernement plus juste.
L'Occident a inventé un vocabulaire si ignoble, c'est comme un virus qui s'incruste dans nos cerveaux - ou ce qu'il en reste - faisant que nous ne connaissons même plus le vrai sens des mots. Nous les répétons et nous y croyons. Après tout, les médias de masse nous les assènent tous les jours jusqu'à l'abrutissement. Les personnes qui se battent pour leur liberté, pour leur survie contre des régimes oppresseurs sont des « terroristes », des « rebelles ». Les réfugiés d'Afrique, fuyant les pays dévastés par les conflits provoqués par Washington, ces réfugiés dont plus de 4000 ont déjà péri cette année en essayant de traverser la Méditerranée à la quête d'une « vie meilleure » - ils ont opportunément été requalifiés « d'immigrants ». Souvent le terme « illégal » est ajouté. Ainsi, la conscience de l'Occident est blanchie de toute culpabilité. Les immigrants sont des clochards. Les immigrants illégaux ont leur place en prison. Ils n'ont rien à voir avec le désordre et le chaos déclenchés par l'Occident dans les pays d'origine de ces « immigrants ». Honte sur vous, Bruxelles!
On revient au chaos - M. Hollande sait pertinemment que ses avions sont utilisés pour servir son maître et faire davantage de ravages dans la région, plus de mort, de désastre, de misère et d'asservissement - davantage de réfugiés dans la Mer Méditerranée - encore plus de chaos perpétuel, des gens aux limites de la survie, des gens qui ne peuvent plus se battre pour leur pays, pour leurs ressources, pour leur liberté - parce qu'il faut qu'ils se battent rien que pour pouvoir survivre, pour la survie de leurs enfants et de leurs familles. C'est ça l'Empire.
Dites-moi - un homme qui vend des armes, des avions de combat - et d'autres sortes de machines à tuer, à des pays en sachant très bien que ces armes servent à tuer des gens, à détruire des pays - un tel homme n'est-il pas un boucher? Un criminel de guerre de la pire espèce?
M. Hollande, en plus d'être un criminel de guerre, est un bigot refait qui s'imagine qu'à la fin des comptes, quelques miettes du Grand Butin vont retomber dans son assiette - et qu'il pourra nager en compagnie de ses maîtres dans une voluptueuse mer de lait et de miel. Pense-t-il devoir préserver l'économie de son grand pays qui a produit des hommes comme Victor Hugo, Stendhal, Balzac, Dumas - en vendant des machines à tuer à d'autres sbires de l'empire? Ne se soucie-t-il pas du fait que 83% de son électorat le méprise?
Répandre le désordre, le chaos et la misère - c'est ce que Washington et ses vassaux font le mieux. Ils ne désirent pas « gagner » les guerres; ils veulent un chaos sans fin et la misère; des gens pouvant facilement être soumis - la domination à large spectre (full spectrum dominance, ndlr), comme ils disent.
Et puisque l'armée US et son grand frère (ou grande sœur) l'OTAN ne peuvent pas être partout et ne veulent pas être vus partout, ils payent pour tuer. Washington invente et crée, puis finance avec ses ressources inépuisables d'argent les EIIL, Daesh, al-Qaeda - et le répertoire grandit selon la fantaisie de leurs maîtres - pour qu'ils se battent pour eux, tuent pour eux, provoquent le chaos et des attaques sous fausse bannière - afin qu'éventuellement ils, l'OTAN et le bulldozer du Pentagone, puissent débarquer et faire croire qu'ils « détruisent » ces mercenaires qu'ils ont, dès le départ, implantés. Mais les médias de masse ne vont diront pas la vérité.
Ils vous font croire que les Houthis, un groupe de Chiites laïcs, humanistes et socialistes se battent contre les Sunnites au Yémen pour le pouvoir; que les Saoudiens et leurs acolytes du CCG ne font que libérer le Yémen d'une bande de terroristes; que les Houthis sont soutenus par l'Iran (un pays à majorité Chiite) - ce qui récemment été contesté avec véhémence par un responsable de l'ONU - et donc, que les Houthis doivent être soumis. Par la même occasion, cela fournit à Washington une raison supplémentaire pour porter encore un autre blâme à l'Iran. Une fois que les Houthis ont été assujettis et décimés en quantité suffisante, un pantin de président sera installé au pouvoir comme l'ancien président Saleh ou son successeur Hadi, afin que Washington puisse continuer à mener la danse - en opprimant la population du pays pour garder un accès sans entraves au port stratégique d'Aden et au Golfe Persique.
C'est pareil en Ukraine: est-ce qu'ISIS / EIIL / Daesh / al-Qaeda, ou quel que soit leur nom se trouve en Ukraine ? Vous plaisantez, sous le commandement de la CIA avec quelques 6000 soldats US - des instructeurs bien entendu. Ils entraînent les troupes de Kiev à mieux et plus rapidement tuer leurs frères dans le Donbass; ils les entraînent à susciter un chaos qui perdure. Et si les soldats refusent d'être entraînés à tuer leurs frères, le régime nazi de Kiev les abattra en tant que traîtres. À bout portant. C'est si facile. Comme ça personne ne résistera plus.
En outre, les « conseillers » militaires US et la CIA, avec le concours de leurs tueurs à gages - ISIS / Daesh /al-Qaeda - cherchent à provoquer le Président Poutine à entrer en guerre - éventuellement une Troisième Guerre Mondiale. Oui, la troisième en moins d'un siècle, pouvant potentiellement dévaster l'Europe et peut-être le monde. Jusqu'ici le monde a été préservé de ce désastre, grandement grâce à la sagesse de la stratégie de M. Poutine de non-affrontement.
Donc - pas de doute qu'ISIS / Daesh / al-Qaeda soit en Ukraine. Ils sont là où l'Empire leur ordonne d'être. C'est ce pourquoi ils sont payés. C'est ce que font les prostituées. Surtout des prostituées fabriquées pour l'occasion; des prostituées bien payées. L'idéologie n'est qu'une feuille de vigne, commodément reprise par les médias occidentaux - afin que nous puissions tous croire que les Musulmans sont mauvais, certains encore plus que les autres. L'Occident doit les combattre, parce qu'ils représentent un véritable et palpable danger à l'encontre de notre liberté, de notre indépendance et de notre démocratie - et surtout de nos valeurs néolibérales de marché complètement débridées.
Parce que c'est l'objectif ultime: des êtres humains comme biens de marché monnayables, sacrifiables, réduits à de la chair à canon, à se faire décimer en masse par des aliments génétiquement modifiés (et empoisonnés), par des drones, des bombes, par des famines provoquées artificiellement, pour qu'en définitive les survivants soient les serfs d'une petite élite qui contrôle les quatre coins de la Terre et TOUTES ses ressources, pour entretenir le style de vie de gens exceptionnels - oui, la nation exceptionnelle, qui sera réduite à une troupe de gens exceptionnels vivant dans une splendeur opulente.
Souvenez-vous des fameuses paroles de Henry Kissinger, de la vision de l'un des criminels de guerre les plus atroces encore vivants aujourd'hui - un autre Lauréat du Prix Nobel (sic) - énoncée il y a une cinquantaine d'années: « Celui qui contrôle l'alimentation contrôle la population; celui qui contrôle l'énergie contrôle des continents entiers; celui qui contrôle l'argent peut contrôler le monde entier. »
Ces mots sonnent de plus en plus vrais, à chaque jour qui passe. Mais seulement tant que nous le permettons; tant que Nous, le Peuple, Nous les 99.999% des habitants de la planète, l'autorisons.
Ne serait-ce pas plutôt des ventes forcées ? Càd des propositions de "Si t'en achètes pas on te tue !" et d'ajouter "Après çà on s'occupe de ton armée. Un par un tout tes petits soldats seront passés par les armes".
Que se passera t-il après ? Après, le peuple sans chef d'Etat ou qui refuse celui qui a été assis là par l'ennemi, cherche à reconstituer un semblant d'armée. Mais, dans le peuple désuni se réveille de vieilles vengeance etniques ou religieuses et c'est la discorde. Discorde embrouillée par la nouvelle armée (d'étrangers) aux ordres du président (lui aussi étranger). C'est donc effectivement le chaos qui s'établi.
Isolée ? Chine & Russie célèbrent la fête de la victoire ensemble, Obama absent
Soumis par Tyler Durden le 09/05/2015 22:15-0400
Soumis par Mike Krieger via blog Liberty Blitzkrieg
BEIJING — Quand un chinois l'honneur garde se joint à un défilé militaire dans la capitale russe ce week-end, surveillée par le Président Xi Jinping de la Chine, il marquera plus qu'une reconnaissance symbolique des contributions des deux pays à la victoire des alliés en 1945.
La participation de la Chine reflète également dire une mise à niveau de ses liens militaires avec la Russie, y compris des manoeuvres navales conjointes et une reprise des achats d'armes, qui pourrait compliquer la lutte menée par les Etats-Unis contre les deux nations' expansion des diplomates, des analystes et des activités militaires.
Fondamentalement, ils sont venus à un consensus que malgré leurs divergences au sujet de certains intérêts nationaux, ils vraiment faire face à l'ennemi commun même, » a déclaré Gilbert Rozman, un expert sur les relations de la Chine et la Russie à l'Université de Princeton.
– De l'article du Wall Street Journal : Chine défilés des liens plus étroits à Moscou
Un des thèmes clés ici a eu l'imprudence et l'incompétence des responsables d'élaboration de politique étrangère américaine. Je ne suis pas naïf, et je comprends très bien que le monde est un endroit dangereux. Tout comme je crois que les individus devraient avoir le droit de se défendre eux-mêmes et leurs familles avec le droit de porter les armes, je comprends l'importance d'une défense nationale forte.
Le problème avec la politique étrangère américaine actuelle est qu'il n'est pas nature défensive. Toutes les indications sont plutôt que le gouvernement américain agit offensivement ; principalement déterminés par l'ego et la volonté de dominer. Une grande partie du monde est venu de voir les Etats-Unis non pas comme un partenaire puissant, mais comme un maître narcissique. Quel leadership américain ne parvient pas à comprendre, est qu'en prenant une telle posture, c'est tout simplement en faisant d'autres outre-mer se sentent paranoïaque et menacées, attirant ainsi les rapprocher les uns aux autres et plus éloignées des États-Unis
Les exemples de catastrophe politique étrangère américaine depuis le 11 septembre sont nombreux, et j'ai énuméré plusieurs d'entre eux à la fin du post. Toutefois, je tiens à souligner aujourd'hui celui est l'épave de train de ralenti en cours en ce qui concerne la Russie.
Comme les lecteurs seront bien au courant, le gouvernement américain a essayé d'appliquer de fortes pressions sur l'économie russe pour tenter d'affaiblir la position de Vladimir Poutine à la maison et en fin de compte renverser son gouvernement. Il est maintenant clair que cette stratégie a totalement échoué. Pour aggraver les choses, la « stratégie » solidifié simplement la vue parmi les puissances émergentes de la nécessité d'un compteur à l'agression des Etats-Unis. Nulle part cela peut être à voir plus clairement que la relation toujours plus étroite entre la Russie et la Chine.
En résumé, non seulement la stratégie des clowns de la politique étrangère américaine, n'a en fait servi à affaiblir la position américaine considérablement en rassemblant potentiellement dangereux rivaux géopolitique plus près.
Nous apprenons de la suivante du Wall Street Journal :
BEIJING — Lorsqu'une garde d'honneur chinois rejoint un défilé militaire dans la capitale russe ce week-end, surveillée par le Président chinois, Xi Jinping, il marquera plus qu'une reconnaissance symbolique des contributions des deux pays à la victoire des alliés en 1945.
Participation de la Chine reflète également dire une mise à niveau de ses liens militaires avec la Russie, y compris des manoeuvres navales conjointes et une reprise des achats d'armes, qui pourrait compliquer la lutte menée par les Etats-Unis contre les deux nations' expansion des diplomates, des analystes et des activités militaires.
Les 102 troupes chinoises qui seront joindra à la parade de la fête de la victoire à Moscou samedi ont été observés lors d'une répétition de cette semaine de marche dans les rues voisines de la place rouge chantant la ballade en temps de guerre russe « Katioucha », selon les séquences vidéo mises en ligne.
Les seuls autres pays étrangers avec des troupes à la parade sont l'Inde, de Mongolie, de Serbie et de six anciennes républiques soviétiques.
Oui, juste la Russie, la Chine et l'Inde. Pas grand chose. Sans la France, ils ne sont personne.
Trois navires de la marine chinoises a également fait une rare incursion dans la mer noire sur leur chemin pour rejoindre la commémoration en sud du port de Novorossiisk du Russie le samedi.
Les chinois les navires — deux missiles destroyers et un navire d'approvisionnement — participera ensuite à des exercices conjoints avec la marine russe en Méditerranée pour la première fois, selon les autorités chinoises et russes.
Les deux parties disent les exercices ne sont pas dirigés à d'autres pays, mais le timing, après l'annexion de 2014 de la Russie de la Crimée et l'emplacement, sur le flanc sud de l'OTAN, ont aggravé Western préoccupations autour d'un axe Moscou-Pékin émergent.
Vous allez aimer cela, « Western composé trait autour d'un axe Moscou-Pékin émergent. » Un axe qui se passe dans un premier temps précisément en raison de la politique étrangère américaine agressive et inepte.
Mercredi, le gouvernement russe a dévoilé un projet cybersécurité deal avec la Chine en vertu de laquelle les deux pays conviennent ne pas pour mener des attaques contre l'autre et pour contrer la technologie qui pourrait perturber leur politique intérieure.
M. Xi semble également partager une affinité personnelle avec le Président russe Vladimir Poutine, qui est considéré par beaucoup en Chine comme un leader fort, patriotique.
L'an dernier, Moscou et Pékin ont organisé des manoeuvres navales communes pour la première fois dans la mer de Chine orientale, où la Chine est en proie à un conflit territorial avec le Japon. En septembre, M. Poutine et certains de ses compagnons seront joindra à une parade militaire en Chine pour marquer l'anniversaire de la défaite du Japon en 1945.
Le Pentagone affirme que Chine poursuit aussi actuellement un nouveau conception et production programme conjoint avec la Russie pour les sous-marins, qui pourrait être utilisé pour tenter d'empêcher les navires américains d'intervenir dans un conflit en Asie.
«Ils sont essentiellement venus à un consensus que malgré leurs divergences au sujet de certains intérêts nationaux, ils vraiment faire face à l'ennemi commun même, » a déclaré Gilbert Rozman, un expert sur les relations de la Chine et la Russie à l'Université de Princeton.
« Je pense qu'ils sont tous deux envoi d'un message que leur relation est plus forte que les étrangers attendent généralement et si d'autres faire pression sur soit dans leurs propres sphères, les deux vont coexister. »
Vous pouvez remercier les néocons idiots dans les deux parties républicains et démocratiques pour ce résultat.
* * *
Par ailleurs, Voici les médias chinois Comment dépeint l'absence de Obama...
Les médias chinois : Obama préfère aller jouer golf plutôt que de se joindre à #RussiaVictoryDayParade. XI est plus responsable ! pic.twitter.com/EVSAgqJUTE
Le Danemark relève l'Allemagne de toutes ses dettes de guerre
08:41 09.05.2015
Les réparations militaires de l'Allemagne pour l'occupation du Danemark avaient été fixées à 11,6 milliards de couronnes en 1946.
Après que les troupes hitlériennes vaincues ont quitté le Danemark en mai 1945, l'Allemagne a accumulé une dette qu'elle n'a jamais payée, rapporte l'agence d'information Ritzaus Bureau à l'occasion du 70e anniversaire de la libération du pays de l'occupation allemande.
Les réparations militaires allemandes pour l'occupation du Danemark avaient été fixées en 1946 à 11,6 milliards de couronnes, soit aujourd'hui plus de 200 milliards de couronnes (28,6 milliards de dollars). En 70 ans, l'Allemagne n'a payé qu'une petite partie de cette somme, et le reste de la dette a été annulé. Notamment, l'endettement sur ledit "compte de la Wehrmacht" à la Banque nationale du Danemark s'élevait à 4,8 milliards de couronnes (685,7 millions de dollars), précise Steen Andersen, professeur d'histoire à l'École de commerce de Copenhague. Ce compte était utilisé pour payer la construction par les entreprises danoises de nombreux bunkers allemands sur la côte ouest du pays, ainsi que de nouveaux aéroports et routes.
Par ailleurs, un compte compensatoire servait à comptabiliser les importations de produits industriels de l'Allemagne en échange des exportations de produits agricoles danois. Après la guerre, le déficit allemand sur ce compte s'élevait à 2,9 milliards de couronnes (414,3 millions de dollars).
Lors de la conférence de Londres en 1953, le Danemark et un certain nombre d'autres pays ont accepté d'annuler la moitié de la dette allemande, et par conséquent son montant est passé à 5,7 milliards de couronnes, soit 102 milliards de couronnes (1,5 milliards de dollars) en 2007. Le ministre des Affaires étrangères Per Stig Moeller a présenté ces données des archives du Ministère en 2006, en répondant aux questions des parlementaires au Folketing. Toutefois, en dehors de la dette principale, l'Allemagne a payé au Danemark 200 millions de couronnes (28,6 millions de dollars) pour indemniser les dommages. Le gouvernement danois a confisqué des biens allemands pour 156 millions de couronnes (22,3 millions de dollars). L'Allemagne a compensé au Danemark les coûts des réfugiés allemands d'après-guerre à hauteur de 160 millions de couronnes (22,9 millions de dollars). Elle a aussi payé 16 millions de couronnes (près de 12 millions de dollars) aux victimes des persécutions nazies au Danemark.
En 1977, le Premier ministre Anker Jorgensen a déclaré que le gouvernement danois n'allait pas essayer de faire payer cette dette à l'Allemagne. Le Ritzaus Bureau fait remarquer qu'au total, le Danemark a reçu 0,25% du montant des réparations. Les États-Unis et la Grande Bretagne ont reçu 28%, la France 16%, les Pays-Bas 3,9% et la Norvège 1,3%.
"C'est peine perdue, pense Steen Andersen. Aucun politicien n'oserait soulever cette question et déclarer que l'Allemagne a une dette à rembourser au Danemark. Les relations dano-allemandes sont stables; en 1955, Bonn et Copenhague ont signé un accord sur la reconnaissance mutuelle des frontières et des minorités. Risquer cette stabilité serait très bête politiquement". "L'Allemagne n'a pas un sou à payer au Danemark, affirme un autre professeur d'histoire de l'École de commerce de Copenhague, Joachim Lund. Le Danemark, comme le reste de l'Europe, a profité du redressement économique de l'Allemagne. Donc l'annulation de la dette en 1953 était justifiée". L'Allemagne a payé au Danemark la dernière tranche de la dette réduite en 1983. Contenu réalisé à partir d'informations émanant de sources ouvertes
N. Californie résidents craignent que l'usine d'embouteillage d'eau nuira à l'environnement
Par Lee Romney 9 mai 2015, 17:00
Fonctionnaires Siskiyou County étaient effusive en 2013 lorsque le directeur général de Crystal Geyser annoncé l'extérieur d'une usine d'embouteillage tourné au ralenti ici que ce serait bientôt barattage de l'eau pétillante, thés et boissons aromatisées.
Un havre de journalisation ponctuels, cette commune du nord avait été longtemps accablés par un chômage élevé, et l'achat de l'entreprise de l'usine juste en dehors des limites de la ville serait créer des emplois.
Mais cela ne l'ancien Mount Shasta. Un afflux constant d'amateurs de plein air, les chercheurs spirituels et les retraités urbains est arrivé au cours des dernières décennies, attiré par la beauté et la puissance de la montagne 14 180 pieds qui se profile à l'est.
Le stratovolcan glacier-clouté est la source de beaucoup de l'eau de la Californie. La fonte des neiges percole à travers la roche fracturée à éclater dans les sources froides claires ci-dessous avant de faire son chemin à Shasta Lake, qui détient environ 40% de l'approvisionnement stockée dans le projet fédéral de Central Valley.
Pour beaucoup de ceux qui a appris de l'événement «politicien-clouté" de le journal local, il n'a pas siégé droit qu'ils avaient eu rien à dire.
L'usine fait face à aucun plafond sur ce qu'il peut pomper. Sa production puits profond est entouré par des maisons qui comptent sur les moins profondes, dont certaines, les résidents soutiennent qu'elles ont été compromises lorsque l'opération d'embouteillage Coca-Cola de l'eau - et de Dannon avant cela - était de pompage.
Les résidents ont soulevé des questions au sujet du bruit, la circulation des camions et les dangers environnementaux de bouteilles en plastique. Généralement, ils croyaient la ressource de la montagne a été mieux partagée par tous, pas exporté pour le profit.
les fonctionnaires du comté et de la ville disent ne pas avoir l'autorité légale d'exiger un rapport d'impact sur l'environnement parce que le site a été zoné pour l'industrie lourde quand il était un moulin à bois, et l'embouteillage de l'eau est une utilisation antérieure et autorisé.
Représentants de Crystal Geyser disent "partager les préoccupations de chacun pour l'avenir et avoir un intérêt à aider à préserver un environnement sûr et durable."
Mais l'opposition a intensifié dans la quatrième année de sécheresse record qui a diminué le manteau neigeux et tendu le système d'eau de la ville.
Il vient alors que les manifestations visent opérations d'embouteillage commerciales ailleurs. Bien que l'industrie utilise une relativement petite proportion de l'eau de la Californie, les controverses ont soulevé des questions sur la gestion des eaux souterraines locales dans un état où la réglementation a été notoirement faible.
«On n'a jamais dit que l'usine ne devrait pas ouvrir", a déclaré Bruce Hillman, 66 ans, qui avec son compatriote résident Roslyn McCoy, 54, formé EAU - Nous préconisons d'évaluation environnementale approfondie. "Nous disons que nous devons savoir ce que les effets seront donc nous pouvons les atténuer." :: Dannon transformé l'ancien site de l'usine dans une usine d'embouteillage d'eau en 2001. Bien que les citoyens concernés ont aidé à tuer une proposition pour une importante installation de Nestlé dans les environs de McCloud, l'humeur était sombre quand Coca-Cola emballé en place en 2010 et a versé 42 emplois.
"De la seconde que nous étions conscients du fait qu'ils allaient être arrêter les opérations, nous avons essayé de trouver des moyens pour remplacer celle perdue l'emploi", a déclaré Tonya Dowse, directeur exécutif du Conseil de développement économique du comté.
Cristal Geyser, une filiale de Otsuka Holdings du Japon basée en Californie, les actions "les mêmes valeurs que nous faisons en tant que communauté", a déclaré Dowse, et est "un ajustement de la qualité pour nous en raison de la disponibilité des ressources."
Beaucoup ici qui sont d'accord rappeler le moulin, qui "utilisé plus d'eau, a eu plus de camions et fait plus de bruit que toutes les installations d'embouteillage", a déclaré Greg Plucker, directeur du développement de la collectivité du comté.
"Ceci est l'une des meilleures choses qui se sont produites dans cette ville depuis longtemps», a déclaré Ross Porterfield, un agent d'assurance et ancien conseiller municipal. «Nous sommes à la recherche pour les entreprises respectueuses de l'environnement, et cela en est une."
D'autres sont très inquiets.
Après avoir lu sur la coupe du ruban, Hillman et McCoy ont uni leurs forces pour pousser pour une évaluation publique du projet, penché sur la Loi sur la qualité de l'environnement de la Californie.
Raven Stevens, l'agent de liaison communautaire pour le Neighborhood Assn Gateway., Qui jouxte l'usine, a lancé une étude pour surveiller les niveaux d'eau souterraine dans les puits des résidents de sorte que toute incidence défavorable de l'usine deviendrait apparente.
Les membres de la tribu Winnemem Wintu, dont l'histoire commence à l'origine Panther printemps sur le flanc de la montagne, ont également rejoint la lutte.
«Je comprends le comté veut apporter dans les affaires», a déclaré Luisa Navejas, 69 ans, qui sert avec son mari, Mark Miyoshi, 64, comme un gardien de sites sacrés de la tribu. "Mais vous devez penser à vos générations futures."
La sécheresse a aggravé l'anxiété du public.
Panther Spring couru sécher les deux dernières années, pour la première fois dans la mémoire tribale. Le Mt. Shasta Ski Park, qui attire le tourisme hivernale critique, ne pouvait pas ouvrir. Sortie à Cold Springs, qui alimente le système municipal de la ville, a chuté à des niveaux records, forçant puits de sauvegarde pour exécuter des heures supplémentaires l'été dernier. Les résidents, qui va bientôt obtenir des compteurs d'eau, sont appelés à sacrifier.
Au nord d'ici, Joyce et Kyle Chester ont également senti la piqûre de la sécheresse: Un éleveur de louer leur pâturage transporté ses vaches après le directeur de l'eau du comté coupé l'accès à l'approvisionnement de la Kyles.
"La souffrance de tout le monde, pas seulement les personnes dans la moitié inférieure de l'Etat", a déclaré Joyce Kyle, 77. «Laisser cristal Geyser venir et tirer vers le bas les eaux souterraines, il ne va pas."
Plucker a dit qu'il comprend que les résidents veulent leur mot à dire, mais du comté "les mains liées" à moins que l'entreprise cherche une sorte de permis discrétionnaire. Pendant ce temps, un effort de la ville pour lancer un rapport d'impact environnemental sur la plante évaporé après une subvention qui elle était liée par d'abattre.
«Nous essayons de faire le meilleur d'une situation où nous avons perdu notre levier juridique", a déclaré le conseiller municipal Jeffrey Collings, qui soutient la plante, mais voudrait voir pleinement Info vérifiée. :: L'usine sera la première bouteille d'eau pétillante, ajoutant plus tard des thés et des boissons aromatisées, un représentant de Crystal Geyser dit dans les réponses écrites aux questions. Avec une ligne de production à pleine capacité, il tirera une moyenne de 115.000 gallons par jour, moins de 1% de la production de Big Springs. Une deuxième ligne de production finira par augmenter que 217.000 gallons par jour.
Conçu pour répondre aux normes écologiques haut de construction, l'usine sera rincer ses bouteilles en plastique avec de l'air, pas d'eau, et d'utiliser un type de adoucisseur plastique qui ne se décomposent pas dans les phtalates, qui ont été montrés pour causer des problèmes de santé, a indiqué la compagnie.
Il est prévu d'ouvrir plus tard cette année avec 25 à 35 travailleurs, mais emploiera 60 avec la première ligne à pleine capacité. Certains vont transférer dans d'autres usines de Crystal Geyser qui devraient fermer.
L'usine fera appel à Big Springs, qui dégringole de suite dans un parc de la ville. Le premier voyage eaux depuis des décennies par les fissures complexes et tubes de lave qui sont censées se connecter à d'autres ressorts.
Propre surveillance de Crystal Geyser de Big Springs Creek cours de l'année dernière a trouvé peu de changement malgré la sécheresse, et les experts retenus par la compagnie ont confirmé "la durabilité de la source d'eau", a déclaré le représentant.
Une nouvelle loi de l'Etat qui appelle à la réglementation locale des bassins d'eau souterraine dans les années à venir ne seront pas contraindre action ici. fonctionnaires d'eau de l'Etat appellent pas un bassin, mais une «zone de source» de faible priorité.
Mais beaucoup sur le bassin versant reste inconnue. Un plan régional de gestion de l'eau préparé en 2013 par les gouvernements et les groupes de défense local a déclaré que la capacité de les ressorts de résister à la sécheresse restait une question ouverte en raison de "la géologie mal compris» et était «cruellement besoin d'étude supplémentaire."
"Nos préoccupations sont énormes", a déclaré Curtis Knight, directeur exécutif de la Californie à but non lucratif Trout, qui vise à rétablir les poissons et les eaux sauvages de l'Etat. Son message à Crystal Geyser: "Si vous dites qu'il n'y aura pas d'avoir un impact, alors vous devez le prouver Et si vous avez un impact, vous allez avoir à atténuer.».
Le problème, dit-il, est-il peut-être pas un moyen de contraindre la société à le faire. :: Sur une récente journée, les résidents ont convergé sur Big Springs pour remplir des cruches réutilisables avec de l'eau potable.
"Nous voyons les nappes d'eau tombant de partout", a déclaré John Hawk, 77, un bibliothécaire à la retraite. "Si vous tirez cette ressource, vous verrez l'impact sur nous tous. Les puits devront être creusé plus profondément."
Sa préoccupation est reprise ailleurs. Nestle Waters North America a été sous le feu pour le pompage de la forêt nationale de San Bernardino sur un permis vieux de plusieurs décennies, l'embouteillage d'un aquifère en déclin près de Cabazon, et de puiser dans l'approvisionnement en eau de la municipalité de Sacramento. Starbucks, face à des critiques pour l'exploitation d'une usine d'embouteillage d'eau dans Merced, a déclaré jeudi qu'il ferait passer la production d'Ethos Water en Pennsylvanie.
Chris Hogan, porte-parole pour les internationaux en bouteille Assn à base d'eau-Virginie., A déclaré l'aversion de l'industrie est entraîné par l'émotion, pas un fait. la recherche de l'industrie montre que cela prend 1,32 litres d'eau pour produire un litre d'eau en bouteille, un faible ratio dans l'industrie des boissons. En Californie, il a dit, les embouteilleurs utilisent seulement 0,02% de l'approvisionnement en eau de l'Etat. (Crystal Geyser dit qu'il utilise seulement 0,00016%.)
Ellen Hanak, directeur du Centre de politique de l'eau à l'Institut des politiques publiques de la Californie, a convenu que la réaction à l'industrie peut sembler disproportionnée par rapport à son impact. Embouteilleurs ne sont pas différents que les autres utilisateurs commerciaux, dit-elle, et des estimations annuelles maximales d'utilisation de Crystal Geyser égalent moins de ce qu'il faudrait pour irriguer 50 hectares de luzerne.
Plutôt que de «arbitrairement décider que l'un usage particulier ... est pas bon," a suggéré qu'elle, "il serait préférable de mettre en place un plan de gestion des eaux souterraines, parce que qui est de dire que les utilisations combinées ne causent pas un problème ?"
En effet, alors que la nouvelle loi sur les eaux souterraines ne nécessite pas de plans pour les zones de faible priorité, il «encourage et autorise" les juridictions locales pour les rendre.
Le superviseur du comté de Siskiyou Ed Valenzuela a dit une étude plus approfondie de l'aquifère pourrait bien prouver la "doublure d'argent" de la controverse amère. Puis, il a dit, "il pourrait y avoir une estimation de ce qui peut être raisonnablement enlevé."
La France peut vendre à la Chine des navires de guerre construits pour la Russie
Reporter du personnel 10/05/2015 09:22 (GMT + 17)
Au cours d'une visite par la Marine française à Shanghai entre mai 9-15 France peut essayer de vendre son navire d'assaut amphibie classe Mistral à la Chine, selon Duowei Nouvelles, un nouveau point de vente à l'étranger de fonctionner par des Chinois d'outre-mer.
Le microblog officiel de la marine de l'APL a déclaré que le groupe de travail français en visite en Chine se compose de deux bâtiments de guerre, y compris le Dixmude, un navire d'assaut amphibie classe Mistral, et Aconit, une Classe La Fayette. Dixmude est le troisième et dernier navire de la classe Mistral conçu pour la marine française. Il est la première fois pour un navire d'assaut amphibie classe Mistral à visiter un port chinois.
La Russie a signé un contrat avec la France pour l'achat de deux navires d'assaut amphibies de classe Mistral, mais l'affaire a été sabordé en raison des sanctions imposées au cours de la crise en Ukraine, même si la construction de deux navires - nommé le Vladivostok et, dignement si, ironiquement, Sébastopol - avait été achevée .
La marine française est peu probable que la mise en service des deux nouveaux navires et une option de choix serait d'essayer de les vendre à d'autres acheteurs potentiels, dont le Brésil, le Canada, la Chine, l'Egypte ou l'Inde. Même si la Chine a déjà des plans pour développer son propre navire d'assaut amphibie, le pays peut encore acheter le Vladivostok et Sébastopol comme des modèles à copier.
USA - Canada : des paysages dévastés par l'exploitation du gaz de schiste
RépondreSupprimerEnerzine
jeu., 07 mai 2015 05:23 UTC
L'amélioration des technologies de forage associée à une forte demande de l'énergie a entraîné l'expansion à grande échelle de l'exploitation des hydrocarbures non conventionnels en Amérique du Nord (centre), avec 50.000 nouveaux puits forés par an.
Des endroits tels que le Bakken, Eagle Ford et les schistes de Marcellus sont connus, mais l'activité de forage qui se développe à un rythme soutenu créée de nouvelles zones. Mais quelles sont les conséquences écologiques de cette activité de forage accéléré ? Des chercheurs de l'Université du Montana se sont penchés sur cet épineux problème et ont effectué la première évaluation scientifique à grande échelle dans la façon dont le développement des hydrocarbures - gaz de schiste notamment - ont transformé les paysages à travers les États-Unis et le Canada.
Leurs travaux ont été publiés le 24 Avril dans la revue "Science" sous l'intitulé : "Ecosystem services lost to oil and gas in North America". L'article conclut que le développement du pétrole et du gaz engendre une perte significative des pâturages et des terres cultivables sur de vastes étendues de végétation en Amérique du Nord centrale.
"Il y a deux choses importantes ici : premièrement, nous examinons tout le centre de l'Amérique du Nord, de la côte sud du Texas, au nord de l'Alberta. Quand on regarde cette image à l'échelle continentale, nous observons des impacts et des dégradations qui sont invisibles lorsque nous nous concentrons uniquement au niveau local. Deuxièmement, nous voyons comment les politiques actuelles peuvent potentiellement compromettre l'avenir de l'intégrité de l'écosystème sur de vastes zones" a indiqué l'auteur principal de l'article, Brady Allred.
Entre 2000 et 2012, les scientifiques ont estimé que l'exploitation des hydrocarbures a dévasté de grandes quantités de végétation, culminant à un taux annuel de plus de la moitié du pâturage annuel sur les terres 'publiques' des États-Unis. L'élimination de la végétation sur ces terres agricoles équivaut à 120,2 millions de boisseaux de blé (ou 3,2 milliards de tonnes), soit environ 13% de tout le blé exporté par les États-Unis en 2013.
La fragmentation et la perte de l'habitat perturbent également les voies migratoires, modifient le comportement de la faune et aident de nouvelles espèces de plantes invasives à s'implanter. Dave Naugle - co-auteur- met en évidence la complexité de la question : "Nous connaissons les impacts du développement pétrolier et gazier depuis des années, mais nous avons maintenant des données scientifiques à une grande échelle (régionale) qui nous montre que nous devons agir dès à présent pour équilibrer l'utilisation concurrente des terres".
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En outre, près de la moitié des puits forés sont dans des régions à stress hydrique relativement haut. La fracturation hydraulique utilise de 2 à 13 millions de litres d'eau par puits, intensifiant ainsi la concurrence avec l'agriculture, les écosystèmes aquatiques et les municipalités pour les ressources en eau.
RépondreSupprimer"Nous avons besoin d'un cadre politique qui quantifie et réalise des arbitrages à grande échelle parce que la politique actuelle ne répond pas de manière adéquate, à la fois, à l'évaluation et à l'atténuation future", a ajouté Julia Haggerty de l'Université d'État du Montana, co-auteure de l'étude.
"Les technologies satellitaires peuvent désormais fournir des informations annuelles - hectare par hectare - à destination des gestionnaires sur la politique à mener quant à l'extraction des hydrocarbures vis à vis de l'affectation des sols", a affirmé Steve Courir, professeur d'écologie à l'UM Regents. "Nous devons avoir des politiques qui assurent la remise en état de ces zones en phase de post-production. Sinon, en 2050, des dizaines de millions d'hectares de terres seront dégradées d'une manière irréversible."
Les auteurs ont évalué les services écosystémiques perdus en utilisant des mesures satellitaires à haute résolution de la croissance de la végétation sur la base de méthodes développées par W. Kolby Smith. La production végétale terrestre est le fondement même du cycle du carbone de la biosphère et reste à la base d'une multitude de services écosystémiques essentiels.
http://fr.sott.net/article/25538-USA-Canada-des-paysages-devastes-par-l-exploitation-du-gaz-de-schiste
Là, je vous demande quelques moments d'attention; il ne s'agit pas là de parler de recherches et d'exploitations pétrolières, le pétrole, lui (comme le gaz butane & propane) sort tout seul ! Tout seul ! Poussé par les pressions du magma de la terre qui fait aussi monter l'eau nettoyée. Les sources & derricks sont - en quelques sortes - des volcans miniatures. Mais, de parler du 'gaz de shiste' est, comme dirait, de faire sortir du charbon de sous terre en envoyant des milliards de tonnes d'eau !!
SupprimerParce que le 'gaz de shiste' n'a pas de pression. Pression zéro. Donc, pour le faire sortir: il faut en créer.
Ainsi des milliards de tonnes d'eau pure douce propre claire & buvable sont volontairement - et avec l'appui de la dictature en place aux gouvernements et groupuscules nazisverts - gaspillées et irrémédiablement pollués par les produits chimique envoyés pour la fracturation.
Le gaz aux robinets d'eau des cuisines et douches n'est pas du folklore mais bien un danger mortel réel.
La fracturation détruit des millions de kilomètres de galeries souterraines !! et, oblige de fait, l'eau de source à se détourner voire à... ne plus venir !! C'est ce qui se passe actuellement en Californie où... il manque de l'eau ! Alors que les Colorado, san Joaquin et Sacramento devraient être pleins ! Pleins à ras bord !
L'eau n'arrive plus !
Par contre, cause en l'ensevelissement de milliers de boyaux sous terre qui jouaient jusqu'alors le rôle de suspension primaire, les mouvements terrestres se répercutent désormais très loin.
C'est-à-dire que par la fracturation, ils cherchent (et réussissent !) à combler un volcan !!
Pour un moment seulement. Seulement un moment.
TAFTA : un peu plus loin que le poulet chloré...
RépondreSupprimerNon Merci
Stop Tafta
sam., 09 mai 2015 05:44 UTC
Les accords de libre-échange soulèvent bien des inquiétudes quant aux risques qu'ils font peser, notamment sur notre alimentation. Les négociations du très emblématique TTIP en sont un bon exemple, particulièrement au vu du manque total de transparence qui les caractérise. Quel sera l'impact du TTIP sur la qualité de notre assiette, sur notre modèle agricole ou encore nos politiques publiques ? Nous avons interrogé Marie Arena sur ce sujet qu'elle connaît bien, notamment en qualité d'eurodéputée, membre de la Commission du commerce international au Parlement européen.
Quid de l'impact de l'abaissement des barrières tarifaires sur notre système alimentaire ?
La diminution des barrières tarifaires n'est pas forcément ce qui nous posera le plus de difficultés. Celle des barrières non-tarifaires et ses conséquences sur les produits est beaucoup plus inquiétante. Sur la question des barrières tarifaires, des tarifs préférentiels visant certaines catégories de produits sont établis entre les pays. Par exemple, il y a aujourd'hui une négociation des tarifs préférentiels appliqués à l'exportation des productions de viande du Canada vers l'Europe ; elle est assortie de la condition que cette viande respecte les normes européennes. Dans ce cas, les tarifs préférentiels ne viennent pas modifier la norme mais ils peuvent avoir des effets sur nos producteurs locaux.
On risque d'avoir moins de choix dans nos assiettes parce qu'il sera davantage encore dicté par l'industrie agroalimentaire. La production locale aura du mal à faire face à ces économies d'échelle que les grosses industries peuvent négocier. Autrement dit, les accords internationaux favorisent les exploitations de type industriel, il faut le savoir.
La Commission se veut rassurante dans ses communications, mais qu'en est-il réellement du risque de l'abaissement des normes sociales, environnementales et sanitaires ?
Je dis toujours : « je n'ai jamais vu un vendeur vendre ses produits en vantant ses défauts ».
La Commission souhaite ces accords internationaux ; elle ne va donc pas en montrer les défauts, elle met en avant leurs qualités, au contraire ! La première chose que nous devons faire est de vérifier que les avantages mis en avant sont réels. Or actuellement, ce n'est pas clair dans les différentes études d'impact, nous avons besoin d'informations correctes.
Si les entreprises sont tellement demandeuses de cet accord, ce n'est pas pour la question des tarifs puisque ceux-ci sont déjà très bas. Elles ont un autre intérêt, manifestement... Or la Commission assure que l'on ne va pas modifier nos normes ; quel est alors l'intérêt pour une entreprise de vouloir un accord international ? On en déduit que ce que dit la Commission est faux. A voir l'engouement des multinationales à défendre cet accord transnational, il est clair qu'elles y trouvent un intérêt. Et c'est forcément via la question de la norme.
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La signature du TTIP n'est pas automatiquement synonyme d'abaissement de la norme. L'Europe déclare son intention d'exiger une clause de « stand still », c'est-à-dire de ne pas descendre en-deça de ce qui est acquis aujourd'hui. C'est déjà ça.
RépondreSupprimerLe problème se pose pour l'avenir. La logique d'un tel accord voudrait que, dans le futur, les deux continents abordent la problématique de la norme de la même manière. Or pour le moment, les visions sont diamétralement opposées de part et d'autre de l'Atlantique. En Europe, on applique le principe de précaution alors qu'aux États-Unis, c'est le principe du risque qui prime. Un produit (soupçonné cancérigène, par exemple) peut rester sur le marché tant que sa nocivité n'est pas démontrée. Il ne sera retiré du marché qu'à la condition qu'on en établisse la preuve formelle.
Ces différentes approches sont-elles donc inconciliables ?
Dans le cadre du TTIP existe ce qu'on appelle « le forum de coopération règlementaire ». Il s'agit d'un groupe de régulateurs chargés de négocier pour faire converger ces approches. Ce qui pose problème, c'est que l'industrie est partie prenante de ces discussions, ce qui introduit automatiquement un vice dans le système. Surtout lorsque l'on sait les moyens que ces industries déploient dans les secteurs de la recherche et dans les chaires universitaires.
Pour nous, c'est là qu'est le danger. Demain, on risque de voir arriver dans notre assiette des produits qui participent de la culture du risque et non plus de celle du principe de précaution. On n'aura peut-être pas des poulets chlorés mais peut-être pire !
Lors de notre colloque [1], la Fevia a expliqué que les entreprises belges avaient eu tellement d'efforts à faire pour s'adapter à ces normes imposées, qu'il n'était pas question de les brader... Normes : position de l'industrie européenne ?
Les normes européennes n'ont pas été établies avec le soutien de l'industrie, elles lui ont été imposées. Si demain le mécanisme mis en place entraînait moins de normes, je ne pense pas que le secteur industriel européen mette un frein à cette dérégulation. Du côté des États-Unis, l'approche normative est extrêmement contraignante à certains endroits et cela pose le même problème aux industries.
Par conséquent, un accord qui lèverait ces contraintes régulatrices arrangerait tant les entreprises américaines qu'européennes. Elles ont le même objectif : faire le plus d'argent possible. C'est le but d'une entreprise.
La viande issue du clônage n'est pas indiquée comme telle aux États-Unis. La Commission pourrait-elle faire changer les choses en matière de traçabilité ?
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On a connu des difficultés sur la traçabilité en Europe, récemment encore sur la question de la viande de bœuf remplacée par du cheval dans des lasagnes. Nous aurons encore plus de mal à garantir cette traçabilité avec l'ouverture à d'autres pays. D'autant que le traité prévoit que c'est le régulateur du pays d'origine qui est responsable du contrôle et donne les garanties aux pays d'importation.
RépondreSupprimerSi l'on édicte des normes harmonisées, je pense que nous devons être responsables de leur contrôle, surtout quand la norme est initialement différente d'une entité à l'autre.
Vous disiez que cet accord se ferait à l'avantage des grandes multinationales. Se pose alors la question des tribunaux d'arbitrage. Quel est ce formidable outil qui nous est proposé ?
L'outil envisagé a pour objectif de protéger les investisseurs. Il faut être conscient que le droit de propriété est l'un des mieux protégés aujourd'hui, partout dans le monde, et le mieux défendu dans le cadre de nos tribunaux publics. Cette question de propriété est l'essence même de notre droit. Mais les investisseurs - tant européens qu'américains - réclament plus que cette protection publique ; ils exigent une forme de protection privée. Ce qui revient à dire qu'ils ne font pas confiance aux tribunaux publics pour défendre leurs droits de propriété. Admettons un instant que les juridictions publiques ne fonctionnent pas ; dans ce cas, il faut alors les rendre performantes pour tout le monde, populations et investisseurs !
L'alternative qu'ils proposent, dans le cadre d'une affaire les opposant à un État, ce sont des tribunaux privés où les juges viendraient du milieu des affaires et seraient choisis par ce même milieu. L'État serait obligé de s'y conformer, tout en choisissant lui-même un juge issu d'on ne sait où, chargé de défendre la notion d'intérêt général. Si l'on compare les sommes que le privé peut engager pour défendre ses intérêts avec le budget qu'un État peut consacrer, vous voyez tout de suite la disproportion ! D'un côté vous aurez un « super méga avocat d'affaire de Wall Street » et de l'autre, probablement un très bon professionnel mais qui ne disposera pas du même soutien au niveau des structures des États.
Un autre problème et pas des moindres, c'est le coût des tribunaux privés. Huit millions d'euros : c'est la somme minimale qu'il faut pouvoir mettre sur la table dès que l'on décide d'introduire une affaire en justice ! Alors quand on nous dit que ce système est fait pour protéger les PME, il ne faut pas rêver ! C'est vraiment un dispositif de multinationales.
Si l'on résume, nous avons donc une multinationale qui peut, par décision d'un tribunal privé, faire condamner un Etat non pas à 8 millions d'euros mais à 200, 300 ou 400 millions de dommages et intérêts parce que cet État a pris une mesure dans l'intérêt général de sa population. Nous en avons un exemple aujourd'hui avec le procès intenté par le cigarettier Philip Morris contre l'État australien qui a décidé d'indiquer que le tabac nuit à la santé sur les paquets de cigarettes. Philip Morris estime que cette mesure lui porte préjudice, qu'elle est une entrave au commerce.
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C'est la raison pour laquelle nous sommes radicalement opposés au mécanisme de cours et tribunaux privés. Car dans les faits, il avantage le business et met politiques publiques d'intérêt général et intérêts financiers privés au même niveau.
RépondreSupprimerLa nouvelle Commission a quelque peu soufflé le chaud et le froid sur ce sujet... La Commission se rend compte aujourd'hui que l'ISDS (Investor State Dispute Settlement) pose vraiment des difficultés. Les citoyens sont avertis. Ils se sont rendu compte qu'il n'est pas juste d'avoir des outils tels que ceux-là. 150.000 citoyens ont d'ailleurs répondu à la consultation, sur un sujet qui n'est pas facile à appréhender. Des plateformes de mobilisation se sont organisées. Et plutôt que de corriger la raison pour laquelle les citoyens ont peur, la Commission fait du marketing. Elle garde le monstre mais l'habille autrement. On lui met une autre robe pour que ça passe mieux. Nous ne sommes pas d'accord ; le monstre existe, il faut le sortir de ce TTIP.
On a l'impression qu'il n'y a aucune transparence. Qui est au courant, qui est informé ?
Comme je l'ai dit, les études d'impact manquent de transparence et ont été conduites par des centres d'étude « lobbyés » par les industries. Cela pose problème.
Deuxièmement, 95 % des experts qui accompagnent les négociations sont issus du monde industriel, ce qui compromet complètement l'indépendance des négociations. Certains nous disent que cette représentation est normale puisque ce sont des négociations d'affaire. Mais non, le commerce ce n'est pas uniquement du commerce. Le commerce, c'est aussi une question de protection du consommateur, ce sont les normes.
Troisièmement, jusqu'il n'y a pas très longtemps, nous n'avions tout simplement pas accès aux documents. Aujourd'hui, la Commission a donné accès aux membres de Commission du commerce international, mais il faut savoir dans quelles conditions. Nous pouvons les consulter dans une salle de lecture, sans y emporter de téléphone, d'ordinateur, rien. Nous ne pouvons donc pas les faire lire par des experts, on ne peut y aller qu'en tant que parlementaire pour lire des milliers et des milliers de page. C'est aberrant comme situation !
Si la Commission a choisi cette non-transparence, c'est son problème. Mais nous demandons qu'à la fin des négociations, le document soit analysé par un cabinet d'études indépendant. Et tant que leurs conclusions ne seront pas connues, il n'y aura pas de décision. Si la Commission veut que l'on prenne une décision, ce sera non.
Avez-vous une idée du rapport de force actuel entre ceux qui sont pour le TTIP et ceux qui sont contre ?
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C'est très difficile à dire. Revoyons ce qui s'est passé avec ACTA, le traité contre la contrefaçon. Initialement, le rapport de force lui était favorable. Mais après tout le remue-ménage des plateformes citoyennes, ACTA n'est pas passé lors du vote, pour les mêmes raisons : le manque de transparence, le rôle des lobbies économiques, le fait que la position des citoyens n'était pas prise en considération. Deux ou trois mois avant, ACTA serait passé.
RépondreSupprimerJe pense que l'on est ici dans le même cas de figure. Si l'on allait au vote aujourd'hui, sans mobilisation, on risquerait d'avoir le TTIP tel qu'il est. Mais le vote n'interviendra qu'en 2017. Il faut mobiliser pour changer les lignes. Pas pour exiger le retrait de l'accord mais pour dire : « On peut avoir des échanges qui soient des échanges justes et qui prennent en considération les attentes des citoyens de part et d'autre ». Parce que les États-Unis, ce sont aussi des citoyens américains tout aussi préoccupés par ces accords de libre-échange.
En début d'interview, vous avez pointé le risque que représentait l'accord de libre-échange avec le Canada. Pourquoi ? Parce que c'est une sorte de répétition générale ?
Oui, parce que c'est « le petit frère » en réalité. L'accord avec le Canada [NDLR : le CETA, Comprehensive Trade and Economic Agreement], personne ne s'en soucie, ne s'en méfie. Le Canada est un partenaire qu'on aime bien parce qu'il a des normes sociales - pas environnementales mais sociales en tout cas - assez proches des normes européennes. C'est aussi un partenaire qui, en termes d'impact sur nos relations commerciales, est moins important. Donc, on ne se méfie pas. Or, tout ce qu'il y a dans l'accord avec le Canada est l'embryon de ce qu'on aura dans l'accord avec les États-Unis. Ce qu'on demande pour le TTIP, on doit donc aussi le demander pour le Canada.
Il y a un autre danger. Si le CETA passait tel quel aujourd'hui, et que l'on reporte l'accord américain pour de quelconques raisons ou que le parlement vote contre, le Canada serait un hub des produits américains grâce à l'accord canadien. Les américains utiliseraient la plateforme canadienne pour attaquer le marché européen, via l'ALENA [NDLR : accord de libre-échange nord-américain].
L'ALENA, parlons-en, a-t-il créé de l'emploi ?
Non. Les études sur l'ALENA montrent que c'était un accord de business entre multinationales. Les États-Unis et le Canada ont perdu des emplois manufacturiers au profit du Mexique, sans pour autant améliorer la condition mexicaine. L'ALENA n'a pas créé d'emplois, il y a eu plutôt un abaissement, un nivellement vers le bas de la protection sociale et des normes.
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A propos de ces études d'impact, une demande a été faite pour que le Bureau fédéral du Plan fasse sa propre analyse. Où en est-on ?
RépondreSupprimerLe Bureau fédéral du Plan s'estime tout simplement incapable de faire l'analyse tant qu'il ne sait pas exactement ce qu'il y a dans l'objet de la négociation.
On pourrait faire des scénarios par exemple...
Oui mais cela coûte très cher. Certains pays l'ont fait. L'Autriche, par exemple, a beaucoup travaillé sur la question de l'impact du TTIP pour elle, elle a des modèles. Je préconise donc que les centres belges d'étude utilisent les modèles des centres d'études étrangers pour les appliquer aux données qui sont les leurs.
Mais encore une fois, l'idéal serait une politique de prévention anticipant les risques que le TTIP représente.
Si l'on détermine, par exemple, que le solde net du TTIP est positif (ce dont on n'est pas sûr) mais qu'il y a des gagnants et des perdants, on doit aujourd'hui l'anticiper au niveau européen. Si l'on sait que telle région risque d'être plus touchée parce qu'elle a un secteur qui est plus exposé, on ne doit pas attendre. Il faut renflouer dès maintenant les fonds de développement régionaux pour permettre à cette région de se positionner sur d'autres secteurs ou d'avoir un avantage compétitif.
Les libéraux ont une vision opposée ; ils estiment que c'est la logique du marché : certains gagnent, d'autres perdent. Et qu'il faut simplement « coller un petit sparadrap sur ceux qui perdent ». On ne veut pas une logique de sparadrap. On veut une logique structurante pour nos économies et nos emplois !
Notes :
[1] Vers une politique concertée de l'alimentation en Belgique. Colloque 04/2014
http://fr.sott.net/article/25539-TAFTA-un-peu-plus-loin-que-le-poulet-chlore
Les moulins à vent : un faux argument écologiste.
RépondreSupprimerPublié le 9 mai 2015
par jacqueshenry
Depuis que Samsung a annoncé à grand renfort de publicité la construction d’une usine géante de semi-conducteurs, toutes sortes de questions se sont posé sur l’opportunité et le bien-fondé d’un tel projet. Or il se trouve que Samsung (Corée), déjà le second fabricant de LEDs derrière Nichia (Japon), veut prendre le contrôle mondial des LEDs car la première activité de cette usine géante sera la production des chips utilisées pour la fabrication des LEDs. Osram (Allemagne), Philips (Pays-Bas) et General Electric (USA) ont vu progressivement leur secteur éclairage en perte de vitesse à tel point que ces deux dernières sociétés vont tout simplement abandonner ce secteur. Il est donc tout à fait compréhensible que Samsung veuille se positionner dans ce secteur comme leader mondial pour s’accaparer le marché d’Osram.
Que s’est-il passé dans le secteur de l’éclairage ces cinquante dernières années, tout simplement une évolution ou plutôt une révolution quand les LEDs ont été mises au point pour émettre de la lumière blanche trichromatique, certes un peu blafarde et crue, mais extrêmement avantageuse en terme de consommation d’énergie :
L’éclairage consomme dans le monde entre 20 et 30 % de l’électricité produite et émet environ 6 % des « gaz à effet de serre ». J’ai bien mentionné entre guillemets ces gaz car mes lecteurs savent très bien que je ne crois pas à cette histoire d’effet de serre. Si on remplaçait tous les éclairages existants par des LEDs la consommation d’énergie électrique correspondante serait réduite de 40 % soit une économie de 100 milliards de dollars chaque année et en termes d’émission de carbone cela correspondrait à celle des trois quarts de tous les véhicules automobiles circulant aux USA ! Attention, ces données sont valables pour les USA. Autant dire que la contribution de l’éolien et du solaire apparaît dérisoire par comparaison : 6,5 et 2,5 % à l’horizon 2020 pour ce qui concerne encore les USA. Cette estimation est sensiblement identique pour la plupart des pays de l’OCDE selon une étude réalisée par la société Philips en 2013. Les LEDs mettent en jeu un semi-conducteur qui convertit directement l’électricité en photons, alors que la lampe à incandescence comme son nom l’indique utilise l’électricité pour chauffer un filament et l’éclairage fluorescent résulte d’une excitation d’un gaz par passage d’un courant à haut voltage. Cette même technologie des LEDs a permis de s’affranchir des écrans d’ordinateurs ou de télévisions encombrants et énergivores. La durée de vie des LEDs de nouvelle génération (Nichia, Samsung, MLS Electronics) est estimée à 20 ans alors que les lampes dites à basse énergie qui contiennent du mercure ont une durée de vie de au mieux cinq années.
L’abandon progressif des lampes à incandescence en Europe et au Japon, puis en Russie, en Chine et au Brésil notamment, a précipité les problèmes économiques d’Osram, Continental, General Electric ou Philips qui étaient assis sur la rente de situation des lampes à incandescence d’une durée de vie de deux ans en moyenne.
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La conversion généralisée vers les LEDs va se précipiter, leur prix a baissé de 20 % en 2014 bien qu’elles soient encore dix fois plus coûteuses que les lampes à incandescence ou à halogènes. Comme il faut trois ans pour amortir ce surcoût, selon une étude de l’Institut McKinsey (voir le lien en fin de billet) il est d’ors et déjà rentable de remplacer les lampes à faible consommation en énergie par des LEDs. Les écologistes, jamais en reste dans leurs actions idéologiquement orientées vers une diminution drastique consommation de toute forme d’énergie, ont de facto obtenu l’interdiction des lampes compactes à faible consommation car elles contiennent du mercure et sont donc nocives pour l’environnement. À ce sujet il est très révélateur de constater que le Tea Party Nord-Américain s’est opposé en vain aux décisions prises par le législateur sous la pression des mouvements écologistes. Cette orientation a justement précipité la débâcle économique des activités éclairage de Philips, Siemens et General Electric.
RépondreSupprimerOn comprend donc parfaitement que Samsung se lance dans un investissement de l’ordre de 8 milliards de dollars pour une usine géante de production de semi-conducteurs sans mentionner explicitement qu’une grande partie de la production de cette usine sera consacrée aux LEDs. Finalement les économies d’énergie électrique réalisables en généralisant l’usage des LEDs rendent dérisoires les investissements pharaoniques dans les énergies renouvelables à grands renforts d’impôts et taxes diverses. Le mélange des genres que pratiquent les écologistes est révélateur de leur double langage car ils n’exposent qu’un aspect de leur idéologie surannée tout en dissimulant la vérité des faits qui sont en désaccord avec leurs thèses malthusiennes. Analysée globalement, cette histoire de gazcarbonique, de changement climatique et de consommation d’énergie est un faux problème. C’est peut-être la raison pour laquelle on a décerné le Prix Nobel de physique 2014 aux trois scientifiques japonais qui ont découvert les LEDs: Shuji Nakamura, Isamu Akasaki et Hiroshi Amano. Ils ont par leur invention très largement contribué au bien-être futur de l’humanité …
http://www.mckinsey.com/~/media/mckinsey/dotcom/client_service/automotive%20and%20assembly/lighting_the_way_perspectives_on_global_lighting_market_2012.ashx )
https://jacqueshenry.wordpress.com/2015/05/09/les-moulins-a-vent-un-faux-argument-ecologiste/
La sécheresse des ouragans des États-Unis est «essentiellement pure chance», disent les scientifiques
RépondreSupprimerAucun ouragan de catégorie 3 ou supérieure n'a frappé les Etats-Unis depuis une décennie, le tronçon le plus long enregistré depuis scientifiques a commencé à suivre les tempêtes
Peter Moskowitz à New York
Jeudi 30 Avril 2015 19.10 BST
Il y a dix ans, une saison des ouragans particulièrement forte et destructrice a Katrina en Louisiane en Août, suivie deux mois plus tard par Wilma claquant dans la côte de la Floride. Et puis, pour les 10 prochaines années, rien: pas de grands ouragans ont frappé les Etats-Unis depuis.
Comme les États-Unis approche d'une autre saison des ouragans commence le 1er Juin, il sera aussi proche d'une étape historique: il n'y a pas eu de catégorie 3 ou supérieure ouragans dans près d'une décennie, un coup de chance que les scientifiques disent est vraiment hors de l'ordinaire.
Cette «sécheresse de l'ouragan" actuelle est la plus longue jamais enregistrée depuis que les scientifiques ont commencé à garder la trace des ouragans en 1851. Le dernier enregistrement de huit ans, arrivé 1861-68.
Une nouvelle recherche de l'Institut Goddard de la Nasa pour les études spatiales, publiée cette semaine dans Geophysical Research Letters, suggère la sécheresse historique est probablement juste une coïncidence.
"Nous avons conclu qu'il est fondamentalement simple chance," a déclaré le co-auteur du rapport et chercheur principal à l'Institut Goddard Dr Timothy Hall de la Nasa. «Si [la sécheresse] est allé sur et ainsi de suite que nous avions en question nos hypothèses, mais pour l'instant il semble être de la chance."
Il y a eu beaucoup de grandes tempêtes et les ouragans depuis 2005, mais tous les ouragans majeurs ont manqué aux États-Unis et se concentre plutôt sur d'autres régions autour de l'océan Atlantique. Et il ya eu des tempêtes plus mineures qui étaient néanmoins destructrice aux États-Unis: l'ouragan Sandy en 2012 (catégorie 1), l'ouragan Irène en 2011 (catégorie 1) et l'ouragan Ike en 2008 (catégorie 2).
La plupart des dommages causés par ces tempêtes sont venus de la pluie et les inondations subséquentes (en partie aggravée par l'élévation du niveau de la mer et des ondes de tempête).
Hall a déclaré l'absence de dommages majeurs du vent des ouragans dans la dernière décennie pourrait avoir des conséquences graves si les gens sont endormis dans un sentiment de complaisance à des conditions météorologiques extrêmes.
L'étude de Hall, réalisé avec Kelly Hereid d'ACE Tempest Re, une société de réassurance, a constaté que les taux d'assurance étaient en baisse dans les zones sujettes aux ouragans, et les gens affluaient vers les côtes - ce qui signifie qu'il pourrait y avoir plus de dégâts quand un ouragan majeur rend finalement touché terre .
http://www.theguardian.com/world/2015/apr/30/us-hurricane-drought-dumb-luck-katrina-wilma
N'oubliez pas comment l'Union soviétique a sauvé le monde d'Hitler
RépondreSupprimerDans l'imaginaire populaire occidental - notamment celle américaine - la seconde guerre mondiale est un conflit nous a gagné. Il a été combattu sur les plages de Normandie et Iwo Jima, dans les décombres de villes françaises récupérés et coiffée par sépia des scènes de joie et amour des jeunes à New York. Ce fut une victoire en forme de la force d'acier du général Dwight D. Eisenhower, la fibre morale du premier ministre britannique Winston Churchill et l'incroyable puissance de la bombe atomique.
Mais ce récit change radicalement quand vous allez à la Russie, où la seconde guerre mondiale est appelée la grande guerre patriotique et se souvient de lui dans une lumière très différente.
Le 9 mai, le Président russe Vladimir Poutine accueillera un des défilés de militaires toujours plus grands de Moscou à l'occasion du 70e anniversaire de la victoire de l'Union soviétique sur l'Allemagne nazie. Plus de 16 000 hommes participeront, les avions de plus de 140 et 190 véhicules blindés, y compris les débuts du nouveau réservoir de génération de la Russie.
C'est un grand moment, mais peu d'entre les grands dirigeants du monde seront présents. Les chefs d'état de l'Inde et la Chine se penchera sur, mais pas beaucoup parmi leurs homologues occidentaux. C'est un reflet du présent géopolitique tendu, avec des relations de m. Poutine avec l'Occident après avoir tourné glacial après un an de l'ingérence russe en Ukraine. Quand tank T-14 Armata de la Russie est tombé en panne lors d'une répétition du défilé jeudi, le ricanaient pouvait être entendue à travers les médias occidentaux.
Injustement ou non, les tensions actuelles masquent l'ampleur de ce qui est commémoré: à partir de 1941, l'Union soviétique, le poids de la machine de guerre nazie et joue peut-être le rôle le plus important dans la défaite des alliés de Hitler. Par un calcul, pour chaque seul soldat américain tué, lutte contre les allemands, 80 soldats soviétiques est mort en faisant la même chose.
Bien sûr, le début de la guerre avait été façonné par un Pacte de Nazi-soviétique à morceler les terres entre leurs frontières. Puis Hitler se tourna contre l'URSS.
L'armée rouge a été « le principal moteur de la destruction du nazisme, » écrit l'historien britannique et journaliste Max Hastings dans "Inferno : le monde en guerre, 1939-1945. » L'URSS a payé le prix plus rude : si les chiffres ne sont pas exacts, 26 millions de citoyens soviétiques estimés sont morts pendant la seconde guerre mondiale, y compris jusqu'à 11 millions de soldats. Dans le même temps, les Allemands a subi trois quarts de leurs pertes en temps de guerre combattant l'armée rouge.
« C'était la chance extrême des alliés occidentaux que les Russes et pas eux, payé presque tout le 'projet de loi du boucher' pour [vaincre l'Allemagne nazie], acceptant de 95 pour cent des pertes militaires des trois grandes puissances de la grande Alliance, » écrit Hastings.
(suite en dessous:)
Les batailles épiques qui éventuellement annulées l'avance nazie - siège en hiver brutal de Stalingrad, le choc des milliers de véhicules blindés à Koursk (la plus grande bataille de chars dans l'histoire) - avait sans équivalent sur le Front occidental, où les nazis commis moins de moyens militaires. La sauvagerie sur écran était également d'un degré différent que celle vécue plus à l'Ouest.
RépondreSupprimerHitler a vu une grande partie de ce qui est maintenant l'Europe comme un site de « lebensraum » - surface habitable pour une expansion empire allemand et la course. Quoi que peut comporter a été la tentative horrible et systématique de dépeupler des pans entiers du continent. Ceci inclus le gros massacre de millions de juifs européens, dont la plupart vivait à l'extérieur des frontières d'avant la guerre de l'Allemagne à l'est. Mais des millions d'autres ont également été tués, maltraités, dépossédés de leurs terres et gauche pour mourir de faim.
"L'Holocauste éclipse les plans allemands qui envisageait de tuer encore plus. Hitler voulait non seulement d'éradiquer les juifs ; il voulait aussi de détruire la Pologne et l'Union soviétique comme États, exterminer leurs classes dirigeantes et tuer des dizaines de millions de slaves, » écrit l'historien Timothy Snyder dans "terres de sang : l'Europe entre Hitler et Staline."
En 1943, l'Union soviétique avait déjà perdu quelque 5 millions de soldats et les deux-tiers de sa capacité industrielle à l'avancée nazie. Qu'il était encore en mesure de retourner en arrière l'invasion allemande est testament au courage de l'effort de guerre soviétique. Mais on en est venu à un prix scandaleux.
Dans ses mémoires, Eisenhower a été consterné par l'ampleur du carnage :
Lorsque nous avons volé en Russie, en 1945, je ne voyais pas un permanent de l'Assemblée entre les frontières occidentales du pays et les environs de Moscou. À travers cette région de dépassement, maréchal Zhukov m'a dit tant de nombres de femmes, des enfants et des vieillards avaient été tués, que le gouvernement russe ne serait jamais en mesure d'estimer le total.
Pour être sûr, en tant que documents de Snyder, l'Union soviétique sous Staline avait aussi le sang de millions sur ses mains. Dans les années que précédant la seconde guerre mondiale, stalinien des purges a conduit à la mort et la famine de millions. Les horreurs ont été aggravés par l'invasion nazie.
"En Ukraine soviétique, Biélorussie soviétique et le district de Leningrad, où le régime stalinien avait affamé et a tiré quelques 4 millions de personnes dans les huit années précédentes, les forces allemandes réussis à mourir de faim et de tirer encore plus de la moitié du temps, les terres » Snyder écrit. Il dit qu'entre 1933 et 1945 dans les terres de "sang" - une vision large du territoire à la périphérie des royaumes soviétique et Nazi - quelque 14 millions de civils ont été tués.
Par quelques comptes, 60 % des ménages soviétiques a perdu un membre de leur famille nucléaire.
Pour les voisins de la Russie, il est difficile de séparer le triomphe soviétique depuis des décennies de domination de guerre froide qui a suivi. On peut également déplorer la façon dont les sacrifices du passé informer le nationalisme russe musclé maintenant colporté par Poutine et ses alliés du Kremlin. Mais nous ne devons pas oublier comment les Soviétiques a gagné la seconde guerre mondiale en Europe.
http://www.washingtonpost.com/blogs/worldviews/wp/2015/05/08/dont-forget-how-the-soviet-union-saved-the-world-from-hitler/?tid=pm_pop_b
Microsoft lance sa distribution .NET pour Linux et Mac
RépondreSupprimer29 avril 2015
par Frederic Lardinois ( fredericl )
En Novembre 2014, Microsoft a déclaré qu'il apporterait certaines des caractéristiques de base de sa plate-forme .NET - qui a toujours été pour Windows uniquement - à Linux et Mac . Aujourd'hui, lors de sa conférence des développeurs de construction, la société a annoncé son premier aperçu complet de l'exécution .NET de base pour Linux et Mac OS X.
En outre, Microsoft fait le candidat de libération du cadre .NET complète pour Windows disponible pour les développeurs aujourd'hui.
Le point culminant ici, cependant, est de toute évidence la libération de .NET de base pour les plates-formes autres que Windows. Comme Microsoft vice-président de sa division développeur S. "Soma" Somasegar m'a dit plus tôt cette semaine, la société vise maintenant à rencontrer des développeurs, où ils sont - à la place de ce qui les rend nécessairement utilisent Windows - et .NET Core est clairement partie de ce mouvement.
Microsoft affirme qu'il prend .NET multi-plateforme afin de construire et d'exploiter un plus grand écosystème pour elle. Comme la société a également noté peu de temps après l'annonce initiale, il a décidé que, pour prendre .NET multi-plateforme, il devait le faire comme un projet open source. Shepherd il aller de l'avant, Microsoft a également lancé la Fondation .NET an dernier.
Bien qu'il soit encore un peu un choc pour certains de voir Microsoft actif dans le monde open-source, il est utile de rappeler que ce que la société a fait un bon nombre de contributions aux projets open source dernièrement.
Même avant l'annonce du framework .NET, l'entreprise avait déjà open-source de la plate-forme .NET Roslyn compilateur . Plus tôt cette année, Microsoft shuttered sa MS OpenTech filiale, laquelle était principalement responsable de ses projets open source, afin de mettre ces projets dans le giron globale Microsoft.
http://techcrunch.com/2015/04/29/microsoft-launches-its-net-distribution-for-linux-and-mac/?ncid=rss&utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+Techcrunch+%28TechCrunch%29#.mokipb:n0cO
Californie est pour commencer collage résidents pour prendre des douches longues tandis que les riches utilisent les dernières gouttes d'eau pour Landscaping
RépondreSupprimerRéseau NaturalNews.com
8 mai 2015
par Julie Wilson
Gouverneur Jerry Brown (D-CA) a publié un décret le 1er Avril obligatoire une réduction de 25 pour cent de la consommation d'eau en milieu urbain à travers la Californie. L'annonce fait suite à la publication des données récentes montrant que les Californiens ont réduit leur consommation d'eau d'à peine 2,8 pour cent en Février, la réduction la plus faible consommation d'eau depuis la State Water Board a commencé à suivre les données en Juillet ici 2014.
En Janvier, les Californiens ont réduit leur consommation d'eau de 8 pour cent, selon une enquête de plus de 400 détaillants d'eau urbains. Dernière tentative du gouverneur de sévir contre ceux qui violent les restrictions d'utilisation de l'eau de la Californie comprend une amende pouvant aller jusqu'à 500 $ pour chaque jour où l'infraction se produit.
"Dans cette situation extrêmement grave, le gouverneur appelle à des réductions immédiates. Californiens doivent intensifier maintenant - en particulier ceux qui ne l'ont pas été de faire leur part », a déclaré le président State Water Board Felicia Marcus.
"Nous sommes dans une période de sécheresse, comme nous ne l'avons pas vu avant, et nous devons tous intensifier comme jamais auparavant"
"Des tuyaux qui ne sont pas en train de faire leur part," comprennent les résidents riches de Beverly Hills, dont le cercle d'élite considère autre qu'une pelouse verdoyante bordée de floraison feuillage une parodie rien.
Un dimanche à flâner jusqu'à Maple Drive à Beverly Hills voudrait vous faire penser à quoi que ce soit à l'exception du fait que l'Etat connaît l'une des pires sécheresses de l'histoire comme il entre dans une quatrième année consécutive sec.
"Beverly Hills et d'autres villes riches utilisent beaucoup plus d'eau par habitant que les communautés moins riches, ce qui incite certains à les jeter comme des méchants dans l'effort de conservation de l'eau de la Californie," rapporte le Los Angeles Times.
Auparavant, Beverly Hills avait pas de restrictions d'eau, et la première fois se prépare à répondre à des restrictions obligatoires, y compris ceux récemment mis par le gouverneur Brown, selon le rapport.
Les données montrent que les résidents vivant dans les zones les plus riches utilisent un peu plus d'eau que ceux qui sont moins fortunés. Par exemple, les résidents vivant dans des communautés telles que La Canada Flintridge, Newport Beach, Malibu et Palos Verdes tous utilisés plus de 150 litres d'eau par habitant et par jour en Janvier.
En comparaison, ceux qui résident à Santa Ana ont utilisé seulement 38 gallons, tandis que les communautés du Sud-Est dans le comté de LA utilisés moins de 45 gallons. Les résidents de Los Angeles ont consommé une moyenne de 70 litres par habitant.
Après avoir examiné une décennie de Département de l'eau et les données de puissance, une étude de l'UCLA a constaté que les quartiers plus riches, en moyenne, utilisent trois fois plus d'eau que les moins aisés. Toutefois, la récente décret du gouverneur Brown vise soi-disant pour réduire la consommation d'eau dans l'ensemble de la Californie .
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"Certaines personnes - croyez-le ou pas - ne savions pas que nous sommes dans une période de sécheresse", a déclaré George Murdoch, directeur général des services à Newport Beach, qui commence à fines récidivistes.
RépondreSupprimer"Le problème réside, en partie, dans l'isolement social des riches, l'isolement moral des riches"
Stephanie Pincetl, qui ont contribué à l'étude de l'eau à usage de l'UCLA, dit ceux qui résident dans les communautés privilégiées sont «manque un sentiment que nous sommes tous dans le même bateau."
Comme ils entrent dans la deuxième étape de son plan de conservation de l'eau en cas d'urgence, les résidents de Beverly Hills sont invités à limiter leur utilisation de fontaines qui ne utilisent de l'eau recyclée, lave-chaussée et l'arrosage des pelouses. Cependant, à cette étape, les restrictions sont volontaires.
Les résidents dans d'autres parties de la Californie semblent être beaucoup plus vigilants quand il vient à la conservation des eaux. Une méthode qui gagne en popularité est l'utilisation de l'eau grise . L'eau grise est savonneuse restes de l'eau de lavage des mains ou faire la lessive qui peut ensuite être utilisé pour la chasse d'eau. Certaines personnes suggèrent également d'utiliser cette eau pour irriguer les plantes, mais qui peuvent venir avec le risque de contamination de l'environnement avec des savons ou autres produits chimiques rougies.
Chris Brown de Sacramento a utilisé son propre argent pour installer un système de paysage qui utilise de l'eau grise. "Chaque goutte d'eau coule vers ce tuyau, est souterrain maintenant, jusqu'à la cour avant, et puis il se propage,» dit-il.
"Lorsque nous obtenons de l'eau, il va venir dans les grandes surtensions et nous avons besoin d'être capturer dans les paysages et apprendre à vivre avec ça parce que ça va être notre avenir."
http://www.thedailysheeple.com/california-to-begin-fining-residents-for-taking-long-showers-while-the-rich-use-the-last-drops-of-water-for-landscaping_052015
Les coupures d'eau obligatoires ont résidents Sacramento Turning Gray Eau dans la sécheresse
RépondreSupprimer3 avril 2015 18h07
SACRAMENTO (CBS13) - Ils disent que vous pouvez en apprendre beaucoup sur une femme de son jardin, mais à la maison de Robin Weld, la salle de bains raconte l'histoire.
Elle dispose d'une toilette et un lavabo dans celui qu'elle a ordonné en provenance du Japon pour environ 100 $. Alors que certains disent qu'il ne coule à un nouveau plus bas pendant la sécheresse, elle dit qu'il enregistre parfois 10 gallons d'eau ou plus par jour.
"La personne moyenne utilise la salle de bains ce que au moins cinq fois par jour, alors que ce cinq fois par jour, donc qui ajoute," dit-elle.
Malgré ce que vous pouvez penser, il est en fait assez sanitaires que l'eau est acheminée par un tuyau séparé. Lorsque vous videz l'eau fraîche vient d'un petit robinet et vous laver les mains avec lui.
"Nous laver les mains et ensuite réutiliser cette eau», dit-elle.
L'eau savonneuse puis draine dans le bol pour la prochaine chasse d'eau.
La Californie a longtemps eu une loi sur les livres permettant le recyclage de l'eau de la maison, mais dans la quatrième année d'une sécheresse sans précédent, est la plus importante que jamais.
Le concept semble être partout à Sacramento. À la maison de son voisin, les eaux grises de la machine de linge à l'intérieur est utilisée pour irriguer les arbres fruitiers en face.
"Chaque goutte d'eau coule vers ce tuyau, est souterrain maintenant, jusqu'à la cour avant, et puis il se propage", a déclaré Chris Brown.
Le système de paysage a été installé avec son propre argent, et promotions de la ville a permis de remplacer sa pelouse avec du paillis. Il jeta dans certaines roches de rivière pour recueillir l'eau de pluie.
"Lorsque nous obtenons de l'eau, il va venir dans les grandes surtensions et nous avons besoin d'être capturer dans les paysages et apprendre à vivre avec ça parce que ça va être notre avenir", a t-il dit.
http://sacramento.cbslocal.com/2015/04/03/mandatory-water-cuts-have-sacramento-residents-turning-to-gray-water-in-drought/
Krach.in : un blogueur condamné pour avoir traité de sécurité informatique
RépondreSupprimerUn blogueur a été condamné par la justice française à 750 euros d'amende, à la suite de plusieurs articles sur la sécurité informatique.
Publié par Julien L.,
le Samedi 09 Mai 2015
L'affaire fait beaucoup parler d'elle sur les réseaux sociaux, illustrant aux yeux de plusieurs observateurs le décalage qui existerait entre le monde de la justice et l'écosystème numérique. Sur le blog Krach.in, aujourd'hui complètement vidé de son contenu, son auteur révèle avoir été condamné récemment par le tribunal de grande instance de Saint-Brieuc à une amende de 750 euros.
Son tort, d'après ses explications ? Avoir rédigé des articles traitant de sécurité informatique, en expliquant pour le grand public comment des méthodes permettent de contourner certaines protections via des faiblesses déjà connues ou en profitant de l'insouciance des utilisateurs. Trois publications en particulier auraient retenu l'attention du tribunal de grande instance :
Le premier portait sur les risques de sécurité avec le WiFi, quand aucune authentification n'est requise ou lorsque celle-ci se contente du protocole WEP alors que celui-ci n'est plus considéré comme sûr. Selon l'auteur de Krach.in, son article expliquait l'utilisation d'un utilitaire open-source (sans doute Aircrack-ng, ndlr) pour tester la sécurité de son réseau WiFi.
Le deuxième présentait un script écrit avec le langage de programmation Python en vue de retrouver le texte brut dans un hashage MD5. "C'était juste un morceau de code python de quelques dizaines de lignes utilisant le service web d'un des nombreux sites (légaux!) permettant de chercher l'équivalence dans leur base de données", indique-t-il.
Le troisième s'est focalisé sur l'outil Teensy 3.0, et sur le fait "qu'en utilisant un microcontrôleur de ce type, il est possible de simuler un utilisateur tapant sur un clavier". Selon le blogueur, c'était une simple démonstration pour montrer l'intérêt de surveiller sa machine et de la verrouiller en cas d'absence.
Selon les premiers éléments, il semble que que le blogueur ait fait une reconnaissance préalable de culpabilité (comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC)), ce qui signifie qu'il a reconnu avoir commis l'infraction. C'est une sorte de plaider coupable, qui est présentée comme un moyen d'éviter la procédure classique du procès, mais qui scelle le sort du prévenu.
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C'est ce que note l'avocat Maître Eolas, sur Twitter. "Il n'est coupable que parce qu'il l'a admis. Il a préféré se reconnaître coupable pour faire des économies. C'est absurde". Mais Olivier Laurelli, qui rencontre lui aussi la pression judiciaire avec l'affaire Bluetouff, assure que l'auteur de Krach.in n'a pas bénéficié des meilleurs conseils de son avocat, qui l'aurait orienté vers le CRPC.
RépondreSupprimerAu regard de la description des faits effectuée par le blogueur Krach.in et du contenu des articles, la condamnation prononcée par le tribunal de grande instance de Saint-Brieuc paraît à première vue exagérée et pose la question du risque lors de la publication de documents traitant de sécurité informatique. Cela étant, le fait d'être passé par la case CRPC a sans doute pesé lourd dans la décision finale.
Nous avons pris contact avec le tribunal de grande instance de Saint-Brieuc et le blogueur afin d'obtenir une copie du jugement, ainsi que des précisions sur cette affaire, en particulier les textes de loi qui ont permis de prononcer cette condamnation. Nous attendons ces informations pour en savoir plus.
http://www.numerama.com/magazine/33048-krachin-un-blogueur-condamne-pour-avoir-traite-de-securite-informatique.html
Bienvenue dans chaos land - ils ont perdu la boule au dessus - ma solution pour placer son argent
RépondreSupprimerlundi, 04 mai 2015 21:35
Vous le voyez tous sur Objectifeco tous les jours, on s'en esclaffe tellement le monde économique et monétaire est devenu taré.
Paradoxalement, j'aime bien les situations explosives chaotiques irrationnelles où la majorité des gens est perdue.
Quand l'homme perd la raison, il devient émotionnel. Et l'émotion, c'est ma came. Je sais la lire et l'anticiper. Je la comprend surtout.
Je n'aime pas trop quand les gens réfléchissent... Ils ne commettent pas assez facilement d'erreurs...
J'ai toujours été un trader de volatilité. C'est là où j'ai gagné mon argent. Dans le train train de la distribution gaussienne à 2 écart type, je me suis fait toujours fait chier. J'ai tenté dans les années 2000 la stratégie du SNIPER FOREX au format 1 minute sur l'EUR / USD, mais définitivement, j'aime les situations émotionnelles.
En ce moment, on a un monde irrationnel mais pas de volatilité.
Alors quoi faire de son argent ?
Franchement, le marché des taux est dingue. Les devises sont à peu près lisibles. Les indices boursiers sont totalement déconnectés et inflatés par les QE des banques centrales. Les matières premières tombent gentiment... L'immobilier est suspendu au krach démographique. Le peuple entier de France se réfugie dedans (et son pendant financier, l'assurance vie contrat euro qui est 100% vouée à un krach obligataire et la ruine).
En immobilier, le rendement n'existe presque plus tandis que le risque est lui mathématiquement presque certain et donc non rémunéré. Les cours vont forcément sauter à la revente quand les baby boomers mourront et que les enfants voudront vendre pour payer les impôts à cause des héritages. Quand bien même on supprimerait les impôts, il y aura toujours le souci qu'enlever du marché 200 à 300.000 personnes par an par la mort ne pourra pas être compensé techniquement. A moins qu'on y loge des robots ou qu'on laisse le tout vide. Donc, faible baisse des prix, mais zéro rentabilité...
Regardez l'image que j'ai posté aujourd'hui. 15% de QE sur PIB ne parviennent pas à relancer la conso. Les japonais vieillissent et claquent. C'est tout. Pourquoi faut il tourner autour du pot comme des hypocrites de manière aussi compliquée ? Le nombre de consommateurs baissent ! Point ! Personne n'y peut rien. A moins d'exporter comme des fous et trouver des consommateurs en dehors du pays, il n'y a pas de solution !
J'y ai bien réfléchi.
Il y a un moyen de placer de l'argent. C'est basé sur le chaos.
Puisque tout est dingue, autant jouer sur ce qui a déjà pété. Un krach qui a déjà eu lieu, il ne peut plus avoir lieu dans le futur.
Logique non ?
Prenons l'indice boursier de la Grèce. Il se traine à 15% de la valeur de son plus haut. 85% de chute !
- voir graphique sur site -
Les 20 plus grosses entreprises ne vont pas faire faillite et fermer... L'indice boursier représente 25% de la valeur du PIB. Certaines chercheurs ont retracé un siècle entier d'histoire économique et de valorisation boursière. La situation sur la Grèce n'est arrivée que 9 fois sur notre bonne vieille planète...
(suite en dessous:)
La Grèce représente 4% de l'Europe, des dettes, des soucis, du PIB. C'est une poussière. Imaginez que la vieille Europe va tomber pour seulement 4% de sa taille ? A mon humble avis, on va payer et régler gentiment le souci. Quand je pense depuis le début de l'année, à l'hystérie que le cas grecque a provoqué.
RépondreSupprimerJe n'ai pas arrêté de l'écrire sur Objectifeco. C'est du bidon total.
Sérieux, nous voilà en mai ! Il est où le krach ? La fin du monde ? La fin de l'Europe ? Hein ? Et l'euro qui doit mourrir à cause de la Grèce ? Et les krachs obligataires ?
Il n'y a rien de tout cela. Rien.
On s'en bat complet et total de la Grèce. L'autre communiste (pour pas l'appeler par ses vrais surnoms, soit fiotte, soit menteur) au pouvoir s'est couché dès la fin du premier mois. Il n'a même pas réussi à passer un mois entier dans son baratin...
Même pas un mois.
Donc la Grèce, elle est peut être l'un des meilleurs endroits au monde où il faut placer son argent aujourd'hui.
Voici aussi la bourse d'Islande à titre d'exemple. On le voit, après le krach, à long terme, au moins, on a un marché raisonnable.
- voir graphique sur site -
En misant sur les krachs déjà arrivés, cela me paraît être le meilleur endroit pour placer son argent aujourd'hui.
Comme je l'ai écrit sur Objectifeco, j'étais très très chaud sur la Russie. Voici son chart long terme. Même logique. La fin du monde a disparu des médias occidentaux. Les cours sont gentiment en train de revenir à la raison.
- voir graphique sur site -
Souvenez vous de la Thaïlande en 1997 avec le krach boursier sur les banques qui sont tombées, lâchées par le pouvoir en place. Voici le graphique
- voir graphique sur site -
Je ne sais pas quelle logique il faut adopter pour la revente, mais pour l'achat, le job de chasseur de krach me semble être le plus adéquat du moment...
Charles Dereeper
http://www.objectifeco.com/bourse/indices-boursiers/indices-reste-du-monde/bienvenue-dans-chaos-land-ils-ont-perdu-la-boule-au-dessus-ma-solution-pour-placer-son-argent.html
Les promoteurs, les ennemis de contenu de l'énergie nucléaire avec prêcher des convertis
RépondreSupprimer7 mai 2015
Par Writer SATOSHI OTANI / Personnel
Un conférencier lors d'une réunion à Osaka vanté l'amélioration de la sûreté des réacteurs nucléaires, a dénoncé craintes infondées de radioactivité et a souligné que le rayonnement est naturellement tout autour de nous.
Mais lors d'une réunion de taille similaire a eu lieu plus tard à Tokyo, un conférencier différent averti des dangers terrifiants de rayonnement, en particulier pour les enfants, et prédit que la préfecture de Fukushima deviendrait un désert.
À propos de tous les deux côtés avaient en commun était leur réticence à discuter de la question de l'énergie nucléaire avec l'autre camp.
Depuis la catastrophe nucléaire de Fukushima se déroulait en Mars 2011, les partisans et les adversaires de l'énergie nucléaire ont mené des campagnes défendant leurs versions de la vérité à propos de l'énergie nucléaire.
Encore écartées, les deux parties semblent contenu à diffuser leurs messages respectifs à des gens comme toi, une situation que les experts disent est contre-productif.
L'Agence de la consommation en Janvier a tenu une séance de «communication des risques» dans un immeuble à Osaka en ce qui concerne les matières radioactives qui peuvent être trouvés dans les aliments.
"La seule chose que nous apprenons à l'école sur le rayonnement est 'armes nucléaires et de la mort," le chargé de cours masculin dit environ 20 participants. "Voilà pourquoi tant de gens ont peur."
Le conférencier a poursuivi: "Si rayonnement était vraiment dangereux, les humains auraient pas été capables de survivre pendant si longtemps par roulement progéniture. Je veux que vous sachiez la vérité ".
Les participants rayonnement mesurées dans la salle pour trouver un exemple des niveaux naturels qui existent autour d'eux.
L'objectif du projet de communication sur les risques est d'informer les nutritionnistes et des infirmières de santé publique sur le rayonnement dans l'espoir qu'ils vont relayer ces connaissances à leurs communautés et les écoles locales.
Le projet a débuté l'exercice 2013, après la triple crise à la centrale nucléaire de Fukushima n ° 1.
La session à Osaka impliqué employés des entreprises alimentaires qui sont en position pour faire face à la radiation.
«Je crois que je peux expliquer à mes collègues parce que je l'ai développé un certain niveau de confort sur le rayonnement», a déclaré un employé dans une grande entreprise de boissons.
La position pro-nucléaire de la conférence devrait pas surprendre.
Le conférencier a précédemment travaillé comme chercheur à l'Institut central de recherche de l'industrie électrique, qui est soutenue par les principales compagnies d'électricité.
Le conférencier a conclu son discours par un mot sur les réacteurs nucléaires: «Je crois que les risques ont été considérablement réduites en raison des mesures de sécurité ont été mises en œuvre."
(suite en dessous:)
L'Agence de la consommation a commandé l'Organisation de l'énergie atomique du Japon Relations pour gérer le projet de communication sur les risques. Les statuts de l'organisation affirment qu'il sera "mener activement l'édification et à la diffusion des connaissances liées à l'utilisation pacifique de l'énergie nucléaire."
RépondreSupprimerLa Fédération des compagnies électriques du Japon est le plus grand contributeur de la taxe à l'organisation, bien que le montant réel n'a pas été médiatisée.
Environ 18 mois après l'accident mortel à 1999 combustible nucléaire l'usine de JCO Co. à Tokai, Préfecture d'Ibaraki, l'organisation a rédigé un rapport de recherche sur la communication des risques de l'énergie nucléaire.
"Alors que les attitudes envers l'énergie nucléaire se sont durcies en raison de l'accident qui a fait deux morts, il ya aussi un déséquilibre car il est l'acceptation sociétale des accidents de voiture qui se traduisent par 10.000 décès par an", a déclaré le rapport.
Le rapport ajoute, "très rarement magazines général publiera des articles promotion de l'énergie nucléaire."
Pour faire face à cette situation, le rapport propose "faire des efforts pour avoir le grand public à observer les travailleurs des centrales nucléaires afin qu'ils puissent maintenir un sentiment de familiarité."
Kohei Urano, un professeur émérite de gestion de la sécurité de l'environnement à l'Université nationale de Yokohama, définit la communication des risques comme "les experts et les citoyens partageant des informations relatives à des dangers en vue de rechercher une solution à partir d'un pied d'égalité."
"Essayer de gagner la compréhension des participants en expliquant seulement d'un côté est pas la communication des risques," at-il dit. "En outre, si une manipulation de l'organisation du projet est d'un côté du débat, il ya une forte possibilité que les vues de ceux qui détiennent des préoccupations au sujet de matières radioactives ne seront pas pris en compte."
A demandé à un fonctionnaire de l'Agence de la consommation en charge des conférences si les gens opposés à l'énergie nucléaire ont été invités à des entretiens.
"Ce ne serait pas faire pour notre organisation à reconnaître certains individus comme des« adversaires »," le fonctionnaire dit.
La série de conférences a eu lieu le 55 reprises autour du Japon pour l'exercice 2013 et 2014. Le budget total pour la série et d'autres événements de communication des risques, telles que des colloques, est de 45 millions de yens ($ 376 000), financé en partie par le compte spécial du gouvernement pour la reconstruction après les catastrophes naturelles 2011.
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Les groupes anti-nucléaires ont tenu des rassemblements autour du Japon - souvent sans inviter quelqu'un de l'autre côté.
RépondreSupprimerEn Avril, environ 20 participants ont assisté à une conférence à Chiyoda à Tokyo sur le thème des contrôles d'exposition aux radiations dans la préfecture de Fukushima.
"Il y a de nombreux cas de cancer malin", a déclaré le conférencier. «Les enfants sont en danger."
Il a également critiqué les savants qui poussent l'énergie nucléaire comme peu fiable. Il a conclu sa conférence en disant que ce sera impossible de vivre à Fukushima.
Un document distribué aux participants contenait un article qui dit, "les événements de communication des risques parrainés par les gouvernements locaux font plus de mal que de bien et exigent un examen."
Quelques jours après l'événement, le conférencier a admis qu'il n'a aucune expérience dans la recherche spécialisée sur le rayonnement.
"Même un citoyen ordinaire comme moi peut comprendre que quelque chose de terrible se produit simplement en étudiant un peu», dit-il.
Lorsqu'on lui a demandé pourquoi il n'a pas pris son cas directement aux entreprises du gouvernement ou de centrales électriques, l'homme a dit: "Les partisans de l'énergie nucléaire sont ceux qui doivent être tenus responsables, mais ils ne sont pas révisé leur position à tous. Je dois pas l'intention de les rencontrer, car il serait vain de parler même avec eux. "
Hideyuki Ban, co-directeur du Centre d'information nucléaire des citoyens, une organisation à but non lucratif, se fait un point d'accepter les invitations aux sessions parrainées par le gouvernement à propos de réacteurs nucléaires. Cependant, étant un adversaire de l'énergie nucléaire, Ban est dans une minorité décidée à de tels événements.
Bien que ses opinions ne sont généralement pas pris en compte dans les conclusions, Ban assiste toujours aux réunions.
"Si l'on veut obtenir ses arguments dans la société au changement, même un peu, la seule alternative est d'apparaître dans le même forum pour les discussions", a déclaré Ban.
Par Writer SATOSHI OTANI / Personnel
http://ajw.asahi.com/article/0311disaster/fukushima/AJ201505070071
L'accident de Fukushima et l'énergie nucléaire d'aujourd'hui & demain sont deux choses différentes.
SupprimerLe pourquoi qu'il y a t-il des anti-nucléaire est la réponse à la non-explication.
Pourquoi ne pas avoir expliqué calmement ce qui s'est passé ce 11 Mars 2011 ?
Effectivement, comme tous les constructeurs au monde font pareil, ils seraient donc montrés du doigt.
Si les centrales nucléaire du Japon peuvent repartir, cela veut dire que le problème est réglé. Que les réparations ont été faites. Il en est d'ailleurs de même dans le monde... où, sans avoir modifié quoi que ce soit elles ont continué de fonctionner !
Le secteur en question était celui de l'approvisionnement en eau. Longues tuyauteries qui serpentaient de l'océan à la centrale qui pompait l'eau pour la dessaliniser et alimenter les réacteurs. Or, ces tuyauteries aériennes courant sur le sol, n'étaient pas monté sur supports-vérins et étaient de simples canaux en PVC !
Donc, le jour du raz-de-marée, le tsunami a rejeté des tonnes de pierres (et de déchets divers) sur les dits-tuyaux extérieurs. Tuyaux qui se sont rompu s'ils ne l'étaient déjà avec le tremblement de terre (Mag.9). Donc, en l'absence de ravitaillement, l'eau dans les réacteurs a très vite atteint un seuil critique (où la chaleur s'est augmenté par la mise à nu des barres de combustible. Puis, chaleur atteignant les 3000°C, les crayons en zirconium ont fondu - libérant les pastilles d'Uranium. Cet état de fonte (appelé corium) a très vite rompu l'enveloppe-même des réacteurs pour couler au travers, traverser la chape de béton armé de 10 m et atteindre - comme une coulée de lave ou d'acide - les nappes phréatique.
D'autre part, la fonte des tiges en zirconium a libéré de l'hydrogène intérieur et provoqué l'explosion/déchapeautage des réacteurs.
De plus, comme les lignes électrique relayant les 'pompes de secours' étaient également extérieures et non-protégées, elles se sont brisé.
Tout est là. Tout est dit. Les tuyaux et les lignes électriques non protégés sont responsables de la tragédie du 11 Mars 2011.
Qu'en est-il aujourd'hui pour les autres partout dans le monde ? Sachant qu'un simple drone peut transporter une charge explosive et endommager les tuyauteries et lignes électriques extérieures non-protégées.
C'est depuis ce jour qu'est intervenu le lobby nucléaire qui parlait d'arrêter toutes les centrales électrique nucléaire du monde ! pour... les 'remplacer' par des éoliennes & panneaux solaires !! Hahahaha !
Le but ultime de l'Empire est le chaos, pas la victoire
RépondreSupprimerPeter Koenig
Global Research
mer., 06 mai 2015 17:53 UTC
Traduit par SLT
Une fois de plus, un pays « libéré » par l'Occident sombre de plus en plus profondément dans le chaos.
Ceci peut s'appliquer à tous les pays actuellement en conflit, où Washington et ses sbires occidentaux et moyen-orientaux ont imposé la guerre - le chaos perpétuel, la misère et la mort - et l'asservissement.
C'est là que se trouve toute la question: la stratégie de Washington et de l'OTAN n'est pas de « gagner » une guerre ou un conflit, mais de susciter un chaos continuel, sans fin. C'est la façon de (i) contrôler les gens, les nations et leurs ressources; de (ii) garantir à l'Occident un besoin incessant en troupes et en équipement militaire - souvenez-vous que plus de 50% du PIB des USA dépend du complexe militaro-industriel et des industries et services connexes; et enfin (iii), qu'un pays dans la détresse ou le chaos est ruiné et a besoin d'argent - de l'argent sous des conditions de nécessité, des conditions « d'austérité » du sulfureux FMI, de la Banque Mondiale et d'autres malfaisantes « institutions de développement » et de prêteurs d'argent; de l'argent qui équivaut à un esclavage, surtout avec des dirigeants corrompus qui ne se soucient pas de leurs populations.
C'est la nature de l'enjeu - au Yémen, en Ukraine, en Syrie, en Irak, au Soudan, en Afrique Centrale, en Libye... faites votre choix. Qui se bat contre qui n'a pas d'importance. ISIS / EIIL / EI / Daesh / al-Qaeda et quels que soient les noms des organisations de tueurs mercenaires que vous voulez ajouter à la liste - ce ne sont que des étiquettes pour distraire votre attention. Vous pouvez tout aussi bien y ajouter Blackwater, Xe, Academi et tous ses noms successifs choisis pour ne pas être facilement reconnus. Ce sont des prostituées de l'Empire Anglo-Saxon/Sioniste, des prostituées de raz-de-trottoir. Arrivent ensuite les prostituées de luxe comme l'Arabie Saoudite, le Qatar, le Bahreïn et d'autres États du Golfe; puis le Royaume-Uni et la France, bien sûr.
Le Président Hollande vient de signer un contrat de plusieurs milliards d'euros avec le Qatar pour la vente de 24 avions de combat Rafale. Il se dirige à présent vers Riyad (à l'heure d'écriture, ndlr) pour des discussions avec le Roi saoudien Salmane, et pour lui vendre davantage de Rafales - c'est bon pour le commerce et ça contribue à tuer les ennemis fabriqués au fur et à mesure; et aussi pour se rendre à un sommet du Conseil de Coopération du Golfe (CCG), le 5 mai. Parmi les sujets abordés lors de la réunion figurent les « crises » de la région dont celle du Yémen, provoquée par l'Occident pour le compte de Washington et imputée aux « rebelles » qui ne font que chercher à avoir un gouvernement plus juste.
(suite en dessous:)
L'Occident a inventé un vocabulaire si ignoble, c'est comme un virus qui s'incruste dans nos cerveaux - ou ce qu'il en reste - faisant que nous ne connaissons même plus le vrai sens des mots. Nous les répétons et nous y croyons. Après tout, les médias de masse nous les assènent tous les jours jusqu'à l'abrutissement. Les personnes qui se battent pour leur liberté, pour leur survie contre des régimes oppresseurs sont des « terroristes », des « rebelles ». Les réfugiés d'Afrique, fuyant les pays dévastés par les conflits provoqués par Washington, ces réfugiés dont plus de 4000 ont déjà péri cette année en essayant de traverser la Méditerranée à la quête d'une « vie meilleure » - ils ont opportunément été requalifiés « d'immigrants ». Souvent le terme « illégal » est ajouté. Ainsi, la conscience de l'Occident est blanchie de toute culpabilité. Les immigrants sont des clochards. Les immigrants illégaux ont leur place en prison. Ils n'ont rien à voir avec le désordre et le chaos déclenchés par l'Occident dans les pays d'origine de ces « immigrants ». Honte sur vous, Bruxelles!
RépondreSupprimerOn revient au chaos - M. Hollande sait pertinemment que ses avions sont utilisés pour servir son maître et faire davantage de ravages dans la région, plus de mort, de désastre, de misère et d'asservissement - davantage de réfugiés dans la Mer Méditerranée - encore plus de chaos perpétuel, des gens aux limites de la survie, des gens qui ne peuvent plus se battre pour leur pays, pour leurs ressources, pour leur liberté - parce qu'il faut qu'ils se battent rien que pour pouvoir survivre, pour la survie de leurs enfants et de leurs familles. C'est ça l'Empire.
Dites-moi - un homme qui vend des armes, des avions de combat - et d'autres sortes de machines à tuer, à des pays en sachant très bien que ces armes servent à tuer des gens, à détruire des pays - un tel homme n'est-il pas un boucher? Un criminel de guerre de la pire espèce?
M. Hollande, en plus d'être un criminel de guerre, est un bigot refait qui s'imagine qu'à la fin des comptes, quelques miettes du Grand Butin vont retomber dans son assiette - et qu'il pourra nager en compagnie de ses maîtres dans une voluptueuse mer de lait et de miel. Pense-t-il devoir préserver l'économie de son grand pays qui a produit des hommes comme Victor Hugo, Stendhal, Balzac, Dumas - en vendant des machines à tuer à d'autres sbires de l'empire? Ne se soucie-t-il pas du fait que 83% de son électorat le méprise?
Répandre le désordre, le chaos et la misère - c'est ce que Washington et ses vassaux font le mieux. Ils ne désirent pas « gagner » les guerres; ils veulent un chaos sans fin et la misère; des gens pouvant facilement être soumis - la domination à large spectre (full spectrum dominance, ndlr), comme ils disent.
Et puisque l'armée US et son grand frère (ou grande sœur) l'OTAN ne peuvent pas être partout et ne veulent pas être vus partout, ils payent pour tuer. Washington invente et crée, puis finance avec ses ressources inépuisables d'argent les EIIL, Daesh, al-Qaeda - et le répertoire grandit selon la fantaisie de leurs maîtres - pour qu'ils se battent pour eux, tuent pour eux, provoquent le chaos et des attaques sous fausse bannière - afin qu'éventuellement ils, l'OTAN et le bulldozer du Pentagone, puissent débarquer et faire croire qu'ils « détruisent » ces mercenaires qu'ils ont, dès le départ, implantés. Mais les médias de masse ne vont diront pas la vérité.
(suite en dessous:)
Ils vous font croire que les Houthis, un groupe de Chiites laïcs, humanistes et socialistes se battent contre les Sunnites au Yémen pour le pouvoir; que les Saoudiens et leurs acolytes du CCG ne font que libérer le Yémen d'une bande de terroristes; que les Houthis sont soutenus par l'Iran (un pays à majorité Chiite) - ce qui récemment été contesté avec véhémence par un responsable de l'ONU - et donc, que les Houthis doivent être soumis. Par la même occasion, cela fournit à Washington une raison supplémentaire pour porter encore un autre blâme à l'Iran. Une fois que les Houthis ont été assujettis et décimés en quantité suffisante, un pantin de président sera installé au pouvoir comme l'ancien président Saleh ou son successeur Hadi, afin que Washington puisse continuer à mener la danse - en opprimant la population du pays pour garder un accès sans entraves au port stratégique d'Aden et au Golfe Persique.
RépondreSupprimerC'est pareil en Ukraine: est-ce qu'ISIS / EIIL / Daesh / al-Qaeda, ou quel que soit leur nom se trouve en Ukraine ? Vous plaisantez, sous le commandement de la CIA avec quelques 6000 soldats US - des instructeurs bien entendu. Ils entraînent les troupes de Kiev à mieux et plus rapidement tuer leurs frères dans le Donbass; ils les entraînent à susciter un chaos qui perdure. Et si les soldats refusent d'être entraînés à tuer leurs frères, le régime nazi de Kiev les abattra en tant que traîtres. À bout portant. C'est si facile. Comme ça personne ne résistera plus.
En outre, les « conseillers » militaires US et la CIA, avec le concours de leurs tueurs à gages - ISIS / Daesh /al-Qaeda - cherchent à provoquer le Président Poutine à entrer en guerre - éventuellement une Troisième Guerre Mondiale. Oui, la troisième en moins d'un siècle, pouvant potentiellement dévaster l'Europe et peut-être le monde. Jusqu'ici le monde a été préservé de ce désastre, grandement grâce à la sagesse de la stratégie de M. Poutine de non-affrontement.
Donc - pas de doute qu'ISIS / Daesh / al-Qaeda soit en Ukraine. Ils sont là où l'Empire leur ordonne d'être. C'est ce pourquoi ils sont payés. C'est ce que font les prostituées. Surtout des prostituées fabriquées pour l'occasion; des prostituées bien payées. L'idéologie n'est qu'une feuille de vigne, commodément reprise par les médias occidentaux - afin que nous puissions tous croire que les Musulmans sont mauvais, certains encore plus que les autres. L'Occident doit les combattre, parce qu'ils représentent un véritable et palpable danger à l'encontre de notre liberté, de notre indépendance et de notre démocratie - et surtout de nos valeurs néolibérales de marché complètement débridées.
Parce que c'est l'objectif ultime: des êtres humains comme biens de marché monnayables, sacrifiables, réduits à de la chair à canon, à se faire décimer en masse par des aliments génétiquement modifiés (et empoisonnés), par des drones, des bombes, par des famines provoquées artificiellement, pour qu'en définitive les survivants soient les serfs d'une petite élite qui contrôle les quatre coins de la Terre et TOUTES ses ressources, pour entretenir le style de vie de gens exceptionnels - oui, la nation exceptionnelle, qui sera réduite à une troupe de gens exceptionnels vivant dans une splendeur opulente.
(suite en dessous:)
Souvenez-vous des fameuses paroles de Henry Kissinger, de la vision de l'un des criminels de guerre les plus atroces encore vivants aujourd'hui - un autre Lauréat du Prix Nobel (sic) - énoncée il y a une cinquantaine d'années: « Celui qui contrôle l'alimentation contrôle la population; celui qui contrôle l'énergie contrôle des continents entiers; celui qui contrôle l'argent peut contrôler le monde entier. »
RépondreSupprimerCes mots sonnent de plus en plus vrais, à chaque jour qui passe. Mais seulement tant que nous le permettons; tant que Nous, le Peuple, Nous les 99.999% des habitants de la planète, l'autorisons.
http://fr.sott.net/article/25545-Le-but-ultime-de-l-Empire-est-le-chaos-pas-la-victoire
SupprimerNe serait-ce pas plutôt des ventes forcées ? Càd des propositions de "Si t'en achètes pas on te tue !" et d'ajouter "Après çà on s'occupe de ton armée. Un par un tout tes petits soldats seront passés par les armes".
Que se passera t-il après ? Après, le peuple sans chef d'Etat ou qui refuse celui qui a été assis là par l'ennemi, cherche à reconstituer un semblant d'armée. Mais, dans le peuple désuni se réveille de vieilles vengeance etniques ou religieuses et c'est la discorde. Discorde embrouillée par la nouvelle armée (d'étrangers) aux ordres du président (lui aussi étranger). C'est donc effectivement le chaos qui s'établi.
Isolée ? Chine & Russie célèbrent la fête de la victoire ensemble, Obama absent
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 09/05/2015 22:15-0400
Soumis par Mike Krieger via blog Liberty Blitzkrieg
BEIJING — Quand un chinois l'honneur garde se joint à un défilé militaire dans la capitale russe ce week-end, surveillée par le Président Xi Jinping de la Chine, il marquera plus qu'une reconnaissance symbolique des contributions des deux pays à la victoire des alliés en 1945.
La participation de la Chine reflète également dire une mise à niveau de ses liens militaires avec la Russie, y compris des manoeuvres navales conjointes et une reprise des achats d'armes, qui pourrait compliquer la lutte menée par les Etats-Unis contre les deux nations' expansion des diplomates, des analystes et des activités militaires.
Fondamentalement, ils sont venus à un consensus que malgré leurs divergences au sujet de certains intérêts nationaux, ils vraiment faire face à l'ennemi commun même, » a déclaré Gilbert Rozman, un expert sur les relations de la Chine et la Russie à l'Université de Princeton.
– De l'article du Wall Street Journal : Chine défilés des liens plus étroits à Moscou
Un des thèmes clés ici a eu l'imprudence et l'incompétence des responsables d'élaboration de politique étrangère américaine. Je ne suis pas naïf, et je comprends très bien que le monde est un endroit dangereux. Tout comme je crois que les individus devraient avoir le droit de se défendre eux-mêmes et leurs familles avec le droit de porter les armes, je comprends l'importance d'une défense nationale forte.
Le problème avec la politique étrangère américaine actuelle est qu'il n'est pas nature défensive. Toutes les indications sont plutôt que le gouvernement américain agit offensivement ; principalement déterminés par l'ego et la volonté de dominer. Une grande partie du monde est venu de voir les Etats-Unis non pas comme un partenaire puissant, mais comme un maître narcissique. Quel leadership américain ne parvient pas à comprendre, est qu'en prenant une telle posture, c'est tout simplement en faisant d'autres outre-mer se sentent paranoïaque et menacées, attirant ainsi les rapprocher les uns aux autres et plus éloignées des États-Unis
Les exemples de catastrophe politique étrangère américaine depuis le 11 septembre sont nombreux, et j'ai énuméré plusieurs d'entre eux à la fin du post. Toutefois, je tiens à souligner aujourd'hui celui est l'épave de train de ralenti en cours en ce qui concerne la Russie.
Comme les lecteurs seront bien au courant, le gouvernement américain a essayé d'appliquer de fortes pressions sur l'économie russe pour tenter d'affaiblir la position de Vladimir Poutine à la maison et en fin de compte renverser son gouvernement. Il est maintenant clair que cette stratégie a totalement échoué. Pour aggraver les choses, la « stratégie » solidifié simplement la vue parmi les puissances émergentes de la nécessité d'un compteur à l'agression des Etats-Unis. Nulle part cela peut être à voir plus clairement que la relation toujours plus étroite entre la Russie et la Chine.
(suite en dessous:)
En résumé, non seulement la stratégie des clowns de la politique étrangère américaine, n'a en fait servi à affaiblir la position américaine considérablement en rassemblant potentiellement dangereux rivaux géopolitique plus près.
RépondreSupprimerNous apprenons de la suivante du Wall Street Journal :
BEIJING — Lorsqu'une garde d'honneur chinois rejoint un défilé militaire dans la capitale russe ce week-end, surveillée par le Président chinois, Xi Jinping, il marquera plus qu'une reconnaissance symbolique des contributions des deux pays à la victoire des alliés en 1945.
Participation de la Chine reflète également dire une mise à niveau de ses liens militaires avec la Russie, y compris des manoeuvres navales conjointes et une reprise des achats d'armes, qui pourrait compliquer la lutte menée par les Etats-Unis contre les deux nations' expansion des diplomates, des analystes et des activités militaires.
Les 102 troupes chinoises qui seront joindra à la parade de la fête de la victoire à Moscou samedi ont été observés lors d'une répétition de cette semaine de marche dans les rues voisines de la place rouge chantant la ballade en temps de guerre russe « Katioucha », selon les séquences vidéo mises en ligne.
Les seuls autres pays étrangers avec des troupes à la parade sont l'Inde, de Mongolie, de Serbie et de six anciennes républiques soviétiques.
Oui, juste la Russie, la Chine et l'Inde. Pas grand chose. Sans la France, ils ne sont personne.
Trois navires de la marine chinoises a également fait une rare incursion dans la mer noire sur leur chemin pour rejoindre la commémoration en sud du port de Novorossiisk du Russie le samedi.
Les chinois les navires — deux missiles destroyers et un navire d'approvisionnement — participera ensuite à des exercices conjoints avec la marine russe en Méditerranée pour la première fois, selon les autorités chinoises et russes.
Les deux parties disent les exercices ne sont pas dirigés à d'autres pays, mais le timing, après l'annexion de 2014 de la Russie de la Crimée et l'emplacement, sur le flanc sud de l'OTAN, ont aggravé Western préoccupations autour d'un axe Moscou-Pékin émergent.
Vous allez aimer cela, « Western composé trait autour d'un axe Moscou-Pékin émergent. » Un axe qui se passe dans un premier temps précisément en raison de la politique étrangère américaine agressive et inepte.
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Mercredi, le gouvernement russe a dévoilé un projet cybersécurité deal avec la Chine en vertu de laquelle les deux pays conviennent ne pas pour mener des attaques contre l'autre et pour contrer la technologie qui pourrait perturber leur politique intérieure.
RépondreSupprimerM. Xi semble également partager une affinité personnelle avec le Président russe Vladimir Poutine, qui est considéré par beaucoup en Chine comme un leader fort, patriotique.
L'an dernier, Moscou et Pékin ont organisé des manoeuvres navales communes pour la première fois dans la mer de Chine orientale, où la Chine est en proie à un conflit territorial avec le Japon. En septembre, M. Poutine et certains de ses compagnons seront joindra à une parade militaire en Chine pour marquer l'anniversaire de la défaite du Japon en 1945.
Le Pentagone affirme que Chine poursuit aussi actuellement un nouveau conception et production programme conjoint avec la Russie pour les sous-marins, qui pourrait être utilisé pour tenter d'empêcher les navires américains d'intervenir dans un conflit en Asie.
«Ils sont essentiellement venus à un consensus que malgré leurs divergences au sujet de certains intérêts nationaux, ils vraiment faire face à l'ennemi commun même, » a déclaré Gilbert Rozman, un expert sur les relations de la Chine et la Russie à l'Université de Princeton.
« Je pense qu'ils sont tous deux envoi d'un message que leur relation est plus forte que les étrangers attendent généralement et si d'autres faire pression sur soit dans leurs propres sphères, les deux vont coexister. »
Vous pouvez remercier les néocons idiots dans les deux parties républicains et démocratiques pour ce résultat.
* * *
Par ailleurs, Voici les médias chinois Comment dépeint l'absence de Obama...
Les médias chinois : Obama préfère aller jouer golf plutôt que de se joindre à #RussiaVictoryDayParade. XI est plus responsable ! pic.twitter.com/EVSAgqJUTE
— George Chen (@george_chen) 9 mai 2015
http://www.zerohedge.com/news/2015-05-09/isolated-china-and-russia-demonstrate-closer-relationship-joint-military-exercises
Pourquoi ObamasquéÔhéÔhé n'a pu venir à Moscou ? Parce qu'ils refusaient les majorettes et les snipers !
SupprimerLe Danemark relève l'Allemagne de toutes ses dettes de guerre
RépondreSupprimer08:41 09.05.2015
Les réparations militaires de l'Allemagne pour l'occupation du Danemark avaient été fixées à 11,6 milliards de couronnes en 1946.
Après que les troupes hitlériennes vaincues ont quitté le Danemark en mai 1945, l'Allemagne a accumulé une dette qu'elle n'a jamais payée, rapporte l'agence d'information Ritzaus Bureau à l'occasion du 70e anniversaire de la libération du pays de l'occupation allemande.
Les réparations militaires allemandes pour l'occupation du Danemark avaient été fixées en 1946 à 11,6 milliards de couronnes, soit aujourd'hui plus de 200 milliards de couronnes (28,6 milliards de dollars). En 70 ans, l'Allemagne n'a payé qu'une petite partie de cette somme, et le reste de la dette a été annulé.
Notamment, l'endettement sur ledit "compte de la Wehrmacht" à la Banque nationale du Danemark s'élevait à 4,8 milliards de couronnes (685,7 millions de dollars), précise Steen Andersen, professeur d'histoire à l'École de commerce de Copenhague. Ce compte était utilisé pour payer la construction par les entreprises danoises de nombreux bunkers allemands sur la côte ouest du pays, ainsi que de nouveaux aéroports et routes.
Par ailleurs, un compte compensatoire servait à comptabiliser les importations de produits industriels de l'Allemagne en échange des exportations de produits agricoles danois. Après la guerre, le déficit allemand sur ce compte s'élevait à 2,9 milliards de couronnes (414,3 millions de dollars).
Lors de la conférence de Londres en 1953, le Danemark et un certain nombre d'autres pays ont accepté d'annuler la moitié de la dette allemande, et par conséquent son montant est passé à 5,7 milliards de couronnes, soit 102 milliards de couronnes (1,5 milliards de dollars) en 2007. Le ministre des Affaires étrangères Per Stig Moeller a présenté ces données des archives du Ministère en 2006, en répondant aux questions des parlementaires au Folketing.
Toutefois, en dehors de la dette principale, l'Allemagne a payé au Danemark 200 millions de couronnes (28,6 millions de dollars) pour indemniser les dommages. Le gouvernement danois a confisqué des biens allemands pour 156 millions de couronnes (22,3 millions de dollars). L'Allemagne a compensé au Danemark les coûts des réfugiés allemands d'après-guerre à hauteur de 160 millions de couronnes (22,9 millions de dollars). Elle a aussi payé 16 millions de couronnes (près de 12 millions de dollars) aux victimes des persécutions nazies au Danemark.
En 1977, le Premier ministre Anker Jorgensen a déclaré que le gouvernement danois n'allait pas essayer de faire payer cette dette à l'Allemagne.
Le Ritzaus Bureau fait remarquer qu'au total, le Danemark a reçu 0,25% du montant des réparations. Les États-Unis et la Grande Bretagne ont reçu 28%, la France 16%, les Pays-Bas 3,9% et la Norvège 1,3%.
"C'est peine perdue, pense Steen Andersen. Aucun politicien n'oserait soulever cette question et déclarer que l'Allemagne a une dette à rembourser au Danemark. Les relations dano-allemandes sont stables; en 1955, Bonn et Copenhague ont signé un accord sur la reconnaissance mutuelle des frontières et des minorités. Risquer cette stabilité serait très bête politiquement".
"L'Allemagne n'a pas un sou à payer au Danemark, affirme un autre professeur d'histoire de l'École de commerce de Copenhague, Joachim Lund. Le Danemark, comme le reste de l'Europe, a profité du redressement économique de l'Allemagne. Donc l'annulation de la dette en 1953 était justifiée".
L'Allemagne a payé au Danemark la dernière tranche de la dette réduite en 1983.
Contenu réalisé à partir d'informations émanant de sources ouvertes
http://fr.sputniknews.com/international/20150509/1016011186.html
N. Californie résidents craignent que l'usine d'embouteillage d'eau nuira à l'environnement
RépondreSupprimerPar Lee Romney
9 mai 2015, 17:00
Fonctionnaires Siskiyou County étaient effusive en 2013 lorsque le directeur général de Crystal Geyser annoncé l'extérieur d'une usine d'embouteillage tourné au ralenti ici que ce serait bientôt barattage de l'eau pétillante, thés et boissons aromatisées.
Un havre de journalisation ponctuels, cette commune du nord avait été longtemps accablés par un chômage élevé, et l'achat de l'entreprise de l'usine juste en dehors des limites de la ville serait créer des emplois.
Mais cela ne l'ancien Mount Shasta. Un afflux constant d'amateurs de plein air, les chercheurs spirituels et les retraités urbains est arrivé au cours des dernières décennies, attiré par la beauté et la puissance de la montagne 14 180 pieds qui se profile à l'est.
Le stratovolcan glacier-clouté est la source de beaucoup de l'eau de la Californie. La fonte des neiges percole à travers la roche fracturée à éclater dans les sources froides claires ci-dessous avant de faire son chemin à Shasta Lake, qui détient environ 40% de l'approvisionnement stockée dans le projet fédéral de Central Valley.
Pour beaucoup de ceux qui a appris de l'événement «politicien-clouté" de le journal local, il n'a pas siégé droit qu'ils avaient eu rien à dire.
L'usine fait face à aucun plafond sur ce qu'il peut pomper. Sa production puits profond est entouré par des maisons qui comptent sur les moins profondes, dont certaines, les résidents soutiennent qu'elles ont été compromises lorsque l'opération d'embouteillage Coca-Cola de l'eau - et de Dannon avant cela - était de pompage.
Les résidents ont soulevé des questions au sujet du bruit, la circulation des camions et les dangers environnementaux de bouteilles en plastique. Généralement, ils croyaient la ressource de la montagne a été mieux partagée par tous, pas exporté pour le profit.
les fonctionnaires du comté et de la ville disent ne pas avoir l'autorité légale d'exiger un rapport d'impact sur l'environnement parce que le site a été zoné pour l'industrie lourde quand il était un moulin à bois, et l'embouteillage de l'eau est une utilisation antérieure et autorisé.
Représentants de Crystal Geyser disent "partager les préoccupations de chacun pour l'avenir et avoir un intérêt à aider à préserver un environnement sûr et durable."
Mais l'opposition a intensifié dans la quatrième année de sécheresse record qui a diminué le manteau neigeux et tendu le système d'eau de la ville.
Il vient alors que les manifestations visent opérations d'embouteillage commerciales ailleurs. Bien que l'industrie utilise une relativement petite proportion de l'eau de la Californie, les controverses ont soulevé des questions sur la gestion des eaux souterraines locales dans un état où la réglementation a été notoirement faible.
(suite en dessous:)
«On n'a jamais dit que l'usine ne devrait pas ouvrir", a déclaré Bruce Hillman, 66 ans, qui avec son compatriote résident Roslyn McCoy, 54, formé EAU - Nous préconisons d'évaluation environnementale approfondie. "Nous disons que nous devons savoir ce que les effets seront donc nous pouvons les atténuer."
RépondreSupprimer::
Dannon transformé l'ancien site de l'usine dans une usine d'embouteillage d'eau en 2001. Bien que les citoyens concernés ont aidé à tuer une proposition pour une importante installation de Nestlé dans les environs de McCloud, l'humeur était sombre quand Coca-Cola emballé en place en 2010 et a versé 42 emplois.
"De la seconde que nous étions conscients du fait qu'ils allaient être arrêter les opérations, nous avons essayé de trouver des moyens pour remplacer celle perdue l'emploi", a déclaré Tonya Dowse, directeur exécutif du Conseil de développement économique du comté.
Cristal Geyser, une filiale de Otsuka Holdings du Japon basée en Californie, les actions "les mêmes valeurs que nous faisons en tant que communauté", a déclaré Dowse, et est "un ajustement de la qualité pour nous en raison de la disponibilité des ressources."
Beaucoup ici qui sont d'accord rappeler le moulin, qui "utilisé plus d'eau, a eu plus de camions et fait plus de bruit que toutes les installations d'embouteillage", a déclaré Greg Plucker, directeur du développement de la collectivité du comté.
"Ceci est l'une des meilleures choses qui se sont produites dans cette ville depuis longtemps», a déclaré Ross Porterfield, un agent d'assurance et ancien conseiller municipal. «Nous sommes à la recherche pour les entreprises respectueuses de l'environnement, et cela en est une."
D'autres sont très inquiets.
Après avoir lu sur la coupe du ruban, Hillman et McCoy ont uni leurs forces pour pousser pour une évaluation publique du projet, penché sur la Loi sur la qualité de l'environnement de la Californie.
Raven Stevens, l'agent de liaison communautaire pour le Neighborhood Assn Gateway., Qui jouxte l'usine, a lancé une étude pour surveiller les niveaux d'eau souterraine dans les puits des résidents de sorte que toute incidence défavorable de l'usine deviendrait apparente.
Les membres de la tribu Winnemem Wintu, dont l'histoire commence à l'origine Panther printemps sur le flanc de la montagne, ont également rejoint la lutte.
«Je comprends le comté veut apporter dans les affaires», a déclaré Luisa Navejas, 69 ans, qui sert avec son mari, Mark Miyoshi, 64, comme un gardien de sites sacrés de la tribu. "Mais vous devez penser à vos générations futures."
La sécheresse a aggravé l'anxiété du public.
Panther Spring couru sécher les deux dernières années, pour la première fois dans la mémoire tribale. Le Mt. Shasta Ski Park, qui attire le tourisme hivernale critique, ne pouvait pas ouvrir. Sortie à Cold Springs, qui alimente le système municipal de la ville, a chuté à des niveaux records, forçant puits de sauvegarde pour exécuter des heures supplémentaires l'été dernier. Les résidents, qui va bientôt obtenir des compteurs d'eau, sont appelés à sacrifier.
(suite en dessous:)
Au nord d'ici, Joyce et Kyle Chester ont également senti la piqûre de la sécheresse: Un éleveur de louer leur pâturage transporté ses vaches après le directeur de l'eau du comté coupé l'accès à l'approvisionnement de la Kyles.
RépondreSupprimer"La souffrance de tout le monde, pas seulement les personnes dans la moitié inférieure de l'Etat", a déclaré Joyce Kyle, 77. «Laisser cristal Geyser venir et tirer vers le bas les eaux souterraines, il ne va pas."
Plucker a dit qu'il comprend que les résidents veulent leur mot à dire, mais du comté "les mains liées" à moins que l'entreprise cherche une sorte de permis discrétionnaire. Pendant ce temps, un effort de la ville pour lancer un rapport d'impact environnemental sur la plante évaporé après une subvention qui elle était liée par d'abattre.
«Nous essayons de faire le meilleur d'une situation où nous avons perdu notre levier juridique", a déclaré le conseiller municipal Jeffrey Collings, qui soutient la plante, mais voudrait voir pleinement Info vérifiée.
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L'usine sera la première bouteille d'eau pétillante, ajoutant plus tard des thés et des boissons aromatisées, un représentant de Crystal Geyser dit dans les réponses écrites aux questions. Avec une ligne de production à pleine capacité, il tirera une moyenne de 115.000 gallons par jour, moins de 1% de la production de Big Springs. Une deuxième ligne de production finira par augmenter que 217.000 gallons par jour.
Conçu pour répondre aux normes écologiques haut de construction, l'usine sera rincer ses bouteilles en plastique avec de l'air, pas d'eau, et d'utiliser un type de adoucisseur plastique qui ne se décomposent pas dans les phtalates, qui ont été montrés pour causer des problèmes de santé, a indiqué la compagnie.
Il est prévu d'ouvrir plus tard cette année avec 25 à 35 travailleurs, mais emploiera 60 avec la première ligne à pleine capacité. Certains vont transférer dans d'autres usines de Crystal Geyser qui devraient fermer.
L'usine fera appel à Big Springs, qui dégringole de suite dans un parc de la ville. Le premier voyage eaux depuis des décennies par les fissures complexes et tubes de lave qui sont censées se connecter à d'autres ressorts.
Propre surveillance de Crystal Geyser de Big Springs Creek cours de l'année dernière a trouvé peu de changement malgré la sécheresse, et les experts retenus par la compagnie ont confirmé "la durabilité de la source d'eau", a déclaré le représentant.
Une nouvelle loi de l'Etat qui appelle à la réglementation locale des bassins d'eau souterraine dans les années à venir ne seront pas contraindre action ici. fonctionnaires d'eau de l'Etat appellent pas un bassin, mais une «zone de source» de faible priorité.
Mais beaucoup sur le bassin versant reste inconnue. Un plan régional de gestion de l'eau préparé en 2013 par les gouvernements et les groupes de défense local a déclaré que la capacité de les ressorts de résister à la sécheresse restait une question ouverte en raison de "la géologie mal compris» et était «cruellement besoin d'étude supplémentaire."
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"Nos préoccupations sont énormes", a déclaré Curtis Knight, directeur exécutif de la Californie à but non lucratif Trout, qui vise à rétablir les poissons et les eaux sauvages de l'Etat. Son message à Crystal Geyser: "Si vous dites qu'il n'y aura pas d'avoir un impact, alors vous devez le prouver Et si vous avez un impact, vous allez avoir à atténuer.».
RépondreSupprimerLe problème, dit-il, est-il peut-être pas un moyen de contraindre la société à le faire.
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Sur une récente journée, les résidents ont convergé sur Big Springs pour remplir des cruches réutilisables avec de l'eau potable.
"Nous voyons les nappes d'eau tombant de partout", a déclaré John Hawk, 77, un bibliothécaire à la retraite. "Si vous tirez cette ressource, vous verrez l'impact sur nous tous. Les puits devront être creusé plus profondément."
Sa préoccupation est reprise ailleurs. Nestle Waters North America a été sous le feu pour le pompage de la forêt nationale de San Bernardino sur un permis vieux de plusieurs décennies, l'embouteillage d'un aquifère en déclin près de Cabazon, et de puiser dans l'approvisionnement en eau de la municipalité de Sacramento. Starbucks, face à des critiques pour l'exploitation d'une usine d'embouteillage d'eau dans Merced, a déclaré jeudi qu'il ferait passer la production d'Ethos Water en Pennsylvanie.
Chris Hogan, porte-parole pour les internationaux en bouteille Assn à base d'eau-Virginie., A déclaré l'aversion de l'industrie est entraîné par l'émotion, pas un fait. la recherche de l'industrie montre que cela prend 1,32 litres d'eau pour produire un litre d'eau en bouteille, un faible ratio dans l'industrie des boissons. En Californie, il a dit, les embouteilleurs utilisent seulement 0,02% de l'approvisionnement en eau de l'Etat. (Crystal Geyser dit qu'il utilise seulement 0,00016%.)
Ellen Hanak, directeur du Centre de politique de l'eau à l'Institut des politiques publiques de la Californie, a convenu que la réaction à l'industrie peut sembler disproportionnée par rapport à son impact. Embouteilleurs ne sont pas différents que les autres utilisateurs commerciaux, dit-elle, et des estimations annuelles maximales d'utilisation de Crystal Geyser égalent moins de ce qu'il faudrait pour irriguer 50 hectares de luzerne.
Plutôt que de «arbitrairement décider que l'un usage particulier ... est pas bon," a suggéré qu'elle, "il serait préférable de mettre en place un plan de gestion des eaux souterraines, parce que qui est de dire que les utilisations combinées ne causent pas un problème ?"
En effet, alors que la nouvelle loi sur les eaux souterraines ne nécessite pas de plans pour les zones de faible priorité, il «encourage et autorise" les juridictions locales pour les rendre.
Le superviseur du comté de Siskiyou Ed Valenzuela a dit une étude plus approfondie de l'aquifère pourrait bien prouver la "doublure d'argent" de la controverse amère. Puis, il a dit, "il pourrait y avoir une estimation de ce qui peut être raisonnablement enlevé."
http://touch.latimes.com/#section/1780/article/p2p-83499853/
Ce qui manque aux embouteilleurs est le patriotisme.
SupprimerCe qui manque aux Gouverneurs est un poste de responsable.
La France peut vendre à la Chine des navires de guerre construits pour la Russie
RépondreSupprimerReporter du personnel
10/05/2015
09:22 (GMT + 17)
Au cours d'une visite par la Marine française à Shanghai entre mai 9-15 France peut essayer de vendre son navire d'assaut amphibie classe Mistral à la Chine, selon Duowei Nouvelles, un nouveau point de vente à l'étranger de fonctionner par des Chinois d'outre-mer.
Le microblog officiel de la marine de l'APL a déclaré que le groupe de travail français en visite en Chine se compose de deux bâtiments de guerre, y compris le Dixmude, un navire d'assaut amphibie classe Mistral, et Aconit, une Classe La Fayette. Dixmude est le troisième et dernier navire de la classe Mistral conçu pour la marine française. Il est la première fois pour un navire d'assaut amphibie classe Mistral à visiter un port chinois.
La Russie a signé un contrat avec la France pour l'achat de deux navires d'assaut amphibies de classe Mistral, mais l'affaire a été sabordé en raison des sanctions imposées au cours de la crise en Ukraine, même si la construction de deux navires - nommé le Vladivostok et, dignement si, ironiquement, Sébastopol - avait été achevée .
La marine française est peu probable que la mise en service des deux nouveaux navires et une option de choix serait d'essayer de les vendre à d'autres acheteurs potentiels, dont le Brésil, le Canada, la Chine, l'Egypte ou l'Inde. Même si la Chine a déjà des plans pour développer son propre navire d'assaut amphibie, le pays peut encore acheter le Vladivostok et Sébastopol comme des modèles à copier.
http://www.wantchinatimes.com/news-subclass-cnt.aspx?id=20150510000011&cid=1101
SupprimerHahahaha ! Pour les revendre après à la Russie ?