- ENTREE de SECOURS -



mardi 2 décembre 2014

Vladimir Poutine : Histoire de l'optimiste et du pessimiste

12 commentaires:

  1. Nouvelle réalité: hologrammes 3D invisibles qui peuvent être touchés et sentit

    03 Décembre, 2014 02:35

    Des environnements 3D immersifs, très visuels sont maintenant à l'horizon après que des scientifiques britanniques aient réussi à recréer des expériences sensorielles mi-air en contrôlant les ondes sonores pour projeter des hologrammes haptiques 3-D qui peut être vu et ressenti.

    Une équipe de l'Université de groupe de recherche de l'interaction et graphiques de Bristol, en utilisant la UltraHaptics, un système de création rétroaction haptique dans les airs, ont réussi à tester plusieurs formes, y compris les sphères et les pyramides.

    "Hologrammes touchables, réalité virtuelle immersive que vous pouvez sentir et les contrôles touchables complexes dans l'espace libre êtes tous les moyens possibles de l'utilisation de ce système," Dr Ben Long, assistant de recherche à partir de l'interaction Bristol et le groupe Graphics (BIG) dans le département d'informatique , a déclaré.

    Dans un court laps de temps les chercheurs ont réussi à sauter du plan simple 2- D à la mi-air formes pleines, en introduisant un LeapMotion qui suit la position des mains d'un utilisateur. Ensuite, les vagues sont étalonnés pour produire projection qui, au contact humain, se sent comme différents objets de différentes formes. Les utilisateurs peuvent se sentir 3-D des objets projetés, obtenir de la rétroaction des gestes mi-air et d'interagir avec des formes virtuelles.

    Les chercheurs se appuient sur la différence de pression créée par la machine en utilisant des ondes ultrasonores déplacées dans l'air de faire l'objet sait à l'utilisateur. En faisant de nombreuses vagues arrivent à un point focal dans le même temps, une différence de pression détectable est créée à cet endroit, qui exerce sur la peau d'un utilisateur quand ils ont frappé la main.

    "Sans haptique, ce est comme si vous étiez dans un rêve et vous ne pouvez pas sentir l'environnement," Sébastien Kuntz, un des développeurs de nouveaux scientifiques ont dit. "Vous ne pouvez regarder, vous ne avez pas de commentaires."

    (suite en dessous:)

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  2. Le document de recherche, publié dans ACM Transactions on Graphics sera présenté mercredi à la conférence SIGGRAPH Asia 2014 plus tard cette semaine. Recherche dirigée par le Dr Ben Long et ses collègues professeur Sriram Subramanian, Sue Ann Seah et Tom Carter de l'Université de Bristol Département d'informatique espère attirer un financement supplémentaire. Les scientifiques se attendent à la technologie haptique ultrasons pour être autorisé dans différents marchés, y compris l'électronique grand public, les appareils électroménagers et l'industrie automobile ainsi que la médecine.

    Par exemple, la nouvelle technologie pourrait "permettre aux chirurgiens d'explorer un scanner en leur permettant de se sentir une maladie, comme une tumeur."

    "Dans l'avenir, les gens pourraient se sentir hologrammes d'objets qui autrement ne seraient pas palpable, comme sentant les différences entre les matériaux dans un scanner ou à comprendre les formes des objets dans un musée», a déclaré Ben Long.

    En Novembre, Tom Carter, CTO chez Ultrahaptics, a déclaré que, «Le lancement du programme d'évaluation Ultrahaptics a reçu un accueil très chaleureux de ceux dans l'industrie. Beaucoup d'intérêt a été enregistré à partir de plusieurs organisations de premier ordre et le financement supplémentaire nous aidera à répondre aux besoins de nos clients. "

    - voir clip sur site:

    http://rt.com/news/210911-3d-ultrasound-holograms-touch/

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    1. Bof, rien de nouveau depuis ceux du 11 Septembre 2001, à part que c'est peut être l'explication qui peut être donnée sur la non-projection du fameux '3è avion' (qui devait lui s'écraser sur la tour n°7) mais, quelqu'un aurait 'involontairement' ? mis la main sur l'un des projecteurs. Hahahaha !

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  3. Une « guerre non déclarée » du président Obama

    Par La Voix de la Russie

    L’hebdomadaire allemand Die Zeit a qualifiée dans son commentaire de « guerre non déclarée d’Obama » l’utilisation par le Pentagone de drones de combat pour exterminer ceux que les Etats-Unis rangent parmi les « terroristes ». De telles méthodes de lutte anti-terrorisme cause la mort de milliers de civils innocents.

    Le thème a focalisé à nouveau l’attention après la publication par The Guardian britannique des résultats de l’investigation de l’organisation internationale des droits de l’homme « Reprieve » (Sursis) siégeant à Londres. Les investigations avaient pour objectif d’analyser les conséquences de l’utilisation par les militaires américains de drones de combat afin d’éliminer des personnes soupçonnées de terrorisme.

    Ainsi, l’hebdomadaire Die Zeit a déjà mentionné l’a encore appelé « assassinat sans inculpation ni jugement ». D’après le périodique allemand, cela ne laisse aucune chance de se défendre à des personnes ainsi condamnées. Comme n’en ont pas ceux et celles qui sont classés avec indifférence comme « dommages collatéraux ».

    Comme l’ont établi les experts de « Reprieve » pour éliminer une personne concrète les drones étaient, en général, envoyés à plusieurs reprises. Et comme résultat : vers la fin du mois de novembre 2014 34 terroristes sur 41 ont été exterminés. Et avec eux les frappes aériennes ont tué 1147 civils, dont 150 enfants.

    Ces chiffres ne constituent que la partie émergée des dégâts collatéraux de la « guerre des drones » menée par les Américains, remarquent les auteurs de l’investigation. Suivant les calculs approximatifs du centre analytique américain Councilon Foreign Relations, au-delà de l’Afghanistan et de l’Irak les drones américains ont porté quelque 500 frappes, en exterminant 3674 personnes.
    On se demande si toutes elles ont été vraiment des terroristes ? Neues Deutschland a cité il y a quelques jours des données du Bureau of Investigative Journalism, siégeant à Londres. Selon elles, sur 2500 suspects tués seuls 12 % peuvent être considérés comme extrémistes, et rien que 4 % - comme membres d’Al-Qaïda. D’après le témoignage de l’un des collaborateurs de ce Bureau, le principe de l’identification par les militaires des victimes des frappes de drones était simple – si le tué portait une barbe et de longs cheveux, c’était un combattant ou extrémiste. Sous cette description dans le même Afghanistan tombait toute la population masculine.

    (suite en dessous:)

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  4. D’ailleurs, après la signature par Washington et Kaboul du traité sur la sécurité, donnant le feu vert à une nouvelle mission de l’OTAN dans l’Hindou Kouch, Barack Obama a signé, comme on l’apprend, un décret secret qui ne limite pas le contingent militaire restant en Afghanistan par la seule formation et consultation des militaires locaux. Les soldats américains participeront aux opérations contre Al-Qaïda, le Taliban et d’autres groupes radicaux. La Maison Blanche a de même pris la décision d’appuyer les troupes afghanes par l’aviation et les drones de combat. L’expert militaire Viktor Litovkine, qui dirige la rédaction des informations militaires de l’agence TASS considère indispensable à soumettre la pratique de l’usage de drones de combat à un règlement juridique international.

    « Les Américains se sont adjugé le droit de châtier uniquement à leur gré. Cela s’appelle un crime de guerre et un crime contre l’humanité. Je pense que l’ONU et le Conseil de Sécurité doivent dénoncer ces pratiques américaines et prendre des mesures appropriées. Certains des membres des Nations Unies tentent de soulever cette question, or les satellites américains ne cessent de torpiller l’adoption d’une telle décision. »

    Comme l’a constaté The Guardian, M. Obama n’a pas tenu sa promesse de restreindre l’utilisation des drones de combat et de lever le voile du secret sur eux. L’information donnée à ce sujet par la Maison Blanche contient plus d’interrogations que de réponses. Et, en fait, existent-elles ?

    http://french.ruvr.ru/2014_12_02/Une-guerre-non-declaree-du-president-Obama-1804/

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    1. Depuis son arrivée à la Pennsylvania Ave, ce ne sont que des meurtres qui succèdent aux meurtres !

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  5. Selon Kerry, les sanctions contre la Russie ont échoué

    03 décembre, 2014
    Par La Voix de la Russie

    Le chef du Département d'Etat américain John Kerry a déclaré que les sanctions contre la Russie ont échoué, rapporte RIA Novosti.
    Kerry a souligné que la mise en vigueur des sanctions « prend un certain temps ». En dressant des parallèles dans l’histoire de la diplomatie américaine, le fonctionnaire américain a notamment cité « les sanctions contre le régime d'apartheid d’Afrique du Sud » et des sanctions contre « le programme nucléaire de l'Iran ».

    http://french.ruvr.ru/news/2014_12_02/Selon-Kerry-les-sanctions-contre-la-Russie-ont-echoue-4595/

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  6. Merkel, jeune et innocent(e)…

    2 décembre 2014
    The French Saker

    Différents journaux reprennent dorénavant, avec une prudence qui les honore, une hypothèse qui effectivement circule de plus en plus, selon laquelle la NSA américaine disposerait, par telle ou telle voie, d’un dossier compromettant pour Angela Merkel, montrant une compromission coupable de la jeune Merkel à l’égard de la Stasi, ou toute autre affaire gênante de cette nature [1].

    En menaçant Merkel de rendre public ce dossier, la diplomatie américaine l’aurait convaincue, tout récemment, de soutenir à 100 % la position américaine dans l’affaire ukrainienne, alors que, jusque-là, comme le monde entier l’avait observé auparavant, elle ne l’appuyait qu’à… disons 60 %. Virement cap pour cap qu’elle a effectué incontinent, et d’une façon qui a surpris la plupart de ceux s’intéressant à cette actualité chaude.

    Nous pensons en effet qu’il ne s’agit pas là d’une simple hypothèse amusante, du type : Pierre a vu l’homme qui a vu l’homme qui a vu le loup. Il s’agit d’une affaire méritant d’entrer dans la grande Histoire, compte tenu des conséquences en chaine désastreuses de la soumission soudaine d’Angela Merkel aux pressions américaines. Les intérêts allemands sont les premiers à souffrir du divorce dorénavant hélas sans doute définitif entre l’Allemagne et la Russie. Mais nos intérêts français en souffrent aussi, car nous avons la faiblesse de suivre comme des moutons les consignes de Washington, en ce domaine comme en tous les autres.

    Si quelqu’un, selon des voies que nous ne pouvons pas à notre place imaginer, apportait des preuves du chantage de la NSA et de la capitulation d’Angela Merkel, l’histoire pourrait être changée. Nous avons pour le moment, en ce qui nous concerne, le devoir de faire écho à cette rumeur, de façon ce qu’elle devienne virale et que la preuve dont nous avons tous besoin sorte peut-être de l’ombre (à moins bien évidemment, qu’un démenti éclatant puisse être apporté).

    Cela ne paraîtra pas très digne, mais que faire d’autre ? Passer l’affaire sous silence serait encore moins digne.

    Ajoutons que, mais il ne s’agit que d’un point mineur, pourrait ainsi se comprendre la gentillesse soudaine de la Chancelière à l’égard des espionnages américains contre elle révélés dans le cadre de l’affaire Snowden. Longtemps virulente contre la NSA à l’égard de la découverte de ces espionnages, d’un jour à l’autre, elle n’en a plus parlé.

    Sans doute s’agissait-il d’un effet collatéral de la menace américaine : Taisez-vous un peu et faites ce que nous vous disons de faire, ou alors gare…

    Jean-Paul Baquiast
    [1] Le cas significatif de la chancelière Merkel (dedefensa.org, français et anglais, 01-12-2014)

    http://www.vineyardsaker.fr/2014/12/02/thriller-jeune-et-innocente/

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  7. Tel est pris qui croyait prendre... 'Les pays de l'OPEP sont bien plus vulnérables à une chute des cours du pétrole que les Etats-Unis'

    par Audrey Duperron
    01 déc. 2014

    L’Arabie saoudite et les autres pays de l’OPEP qui ont voté pour le maintien des niveaux de production actuels du pétrole ont fait un pari risqué, si leur but est d’affaiblir les producteurs de pétrole de schiste américains, en faisant plonger le cours du pétrole à 66 dollars le baril, affirme Ambrose Evans-Pritchard du Daily Telegraph. Il juge que cette chute des cours pourrait favoriser la poussée des mouvements islamistes en Afrique et au Moyen-Orient, et générer des troubles politiques bien avant d'affecter négativement les producteurs américains.

    La semaine dernière, les 12 membres l'OPEP (Organisation des pays exportateurs de pétrole, qui représente environ 40% de la production mondiale de pétrole), se sont réunis à Vienne. La majorité d'entre eux a décidé le maintien de la production actuelle, au grand dam du Venezuela, du Nigeria, de l’Iran, de l’Irak et de l’Equateur. Ces derniers ne détiennent pas des réserves financières aussi importantes que les pays du Golfe pour compenser la perte de revenus liée à cette baisse des cours, et ils se retrouvent étranglés financièrement par la chute des cours actuelle.

    Mais pour Alistair Newton, qui dirige le service de risque politique chez Nomura, l'OPEP a méjugé ses concurrents américains: « La résistance des producteurs de pétrole de schiste américains pourrait s’avérer bien supérieure à celle de l’OPEP », dit-il.

    Les producteurs américains ont en effet conclu des contrats de vente à terme qui leur garantissent un prix de vente profitable sur les prochains mois. Noble Energy et Devon Energy ont tous les deux garanti le prix pour les ¾ de leur production de 2015. Pioneer Natural Resources a même couvert les deux tiers de sa production jusqu’en 2016.

    En outre, les coûts de production du pétrole de schiste ne sont plus élevés qu’ils l’étaient par le passé. La productivité s’améliore et les producteurs exploitent des champs de moins en moins coûteux. Les coûts de production de 70 à 80 dollars le baril pour le pétrole américain souvent évoqués prennent en compte l’acquisition des terrains et les coûts d’infrastructure. Mais lorsque ces investissements de départ ont été amortis, les coûts opérationnels tombent à un niveau très inférieur, à seulement 30 dollars par baril, estime Edward Morse, l’analyste responsable du secteur des matières premières chez Citigroup.

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  8. « Nous pouvons produire jusqu’à 50 dollars le baril », affirme Harold Hamm, de Continental Resources. Selon l’Agence Internationale de l’Energie, le champ de Bakken demeurerait rentable avec un cours inférieur à 42 dollars le baril, et dans le Comté de McKenzie, le point mort pourrait même se situer à 28 dollars le baril.

    D’autres régions du monde pourraient donc être bien plus durement affectées par la chute des cours que les Etats-Unis... Ainsi, le Venezuela est déjà sévèrement touché. Le pétrole représente 95% de ses exportations, et ces recettes sont cruciales pour permettre le financement des programmes sociaux engagés par la nation. Jeudi, le président Nicolas Maduro a annoncé que le pays allait réduire ses dépenses publiques, et qu’il allait examiner les salaires « de tous les employés des ministères, des entreprises publiques, à commencer par le président », dans le but d’obtenir « une proposition de réduction substantielle des salaires et traitements de la haute direction, des ministre et ministres délégués, des présidents et vice-présidents des entreprises d'Etat ».

    Selon Evans-Pritchard, la chute des cours du pétrole risque aussi de déclencher une crise économique dans les grands pays exportateurs tels que le Nigeria, qui pourrait permettre aux mouvements extrémistes islamistes de renforcer leur position en Afrique et au Maghreb. Ces mouvements pourraient à leur tour constituer une menace pour le régime saoudien.

    http://www.express.be/business/fr/economy/tel-est-pris-qui-croyait-prendre-les-pays-de-lopep-sont-bien-plus-vulnerables-a-une-chute-des-cours-du-petrole-que-les-etats-unis/209610.htm

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    1. Effectivement, si la véritable baisse du prix du baril est appliquée à la pompe, les affaires ne peuvent que reprendre et le commerce redémarrer. Donc, si cette possibilité est offerte, des travaux réels sur des énergies de remplacement pourraient se mettre en route, sauf bien sûr si l'Etat en empêche le développement en alourdissant les taxes pétrole ou demandant aux distributeurs de maintenir des prix plafonds.

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