« Le marché obligataire japonais est mort selon la Mizuho Bank… !! »
Mes chères contrariennes, mes chers contrariens !
C’est une dépêche de l’agence de presse spécialisée dans la finance Bloomberg qui écrit un article assez long au sujet des dernières déclarations de la Mizuho Bank qui a indiqué tout simplement, ce qui n’est pas rien, que le marché obligataire est mort, tué par la politique de la Banque centrale japonaise.
Ces déclarations fracassantes, encore plus de la part d’un grand acteur financier, ont été relativement peu commentées pour ne pas dire pas du tout ! Et pourtant, ce qui est dit est très important… À moins que ce soit pour cette raison justement que ce ne soit pas ou insuffisamment repris !!
La Mizuho est l’un des SVT, un mot barbare signifiant que c’est l’une des banques ayant en charge le traitement « obligatoire » des obligations de l’État japonais, ce n’est donc pas rien, sans compter que cette banque est l’une des principales détentrices des dettes de l’État nippon.
Selon Tetsuya Miura, le stratège obligataire chez Mizuho basée à Tokyo, le marché obligataire est mort et la raison c’est évidemment la politique de la BoJ, la Banque centrale du Japon, qui rachète les dettes de l’État en monétisant autant que nécessaire ou presque. Résultat logique : le prix des obligations japonaises ne reflètent pas le risque. Conséquence ? Les réformes structurelles ne sont pas faites puisque la solution de facilité (imprimer des billets) c’est bien plus commode. Conclusion ? Pour lui, cette politique, au lieu d’améliorer la situation, l’aggrave considérablement.
Sans blague. Imprimer de la fausse monnaie n’a jamais été une solution.
244 % de dette sur PIB pour le Japon !
Incidemment, on apprend au détour de cet article de Bloomberg que la dette publique du Japon a grimpé de plus d’1 quadrillion de yens (je ne sais même pas combien de zéros il faudrait pour écrire ce nombre en chiffres) et que le FMI estime que cela correspond à… 244 pour cent du produit intérieur brut du pays cette année à comparer aux 106 pour cent de dette sur PIB pour les USA (tout de même).
Depuis le début de l’année le yen a chuté de 18 % par rapport au dollar américain, ce qui veut dire que détenir une obligation japonaise rapportant 0,1 % et libellée en yen qui baisse de 18 % vous fait un rendement négatif exceptionnel de 17,99 % sur votre placement en un an…
Logiquement, les investisseurs ne se bousculent pas au portillon pour profiter d’une telle aubaine pour leur patrimoine. Résultat ? Encore une fois, la fuite en avant dans l’impression monétaire et encore plus de yen, ce qui fera baisser encore plus la monnaie japonaise et ne relancera pas la croissance puisque le Japon, s’il est un exportateur, est avant tout un importateur très important que ce soit de produits énergétiques (pétrole, gaz, etc.) ou alimentaires. Pour les consommateurs japonais, cette politique est catastrophique puisque les Japonais se nourrissent tous les jours et se chauffent également. Avec une monnaie qui perd presque 20 % de sa valeur, le pouvoir d’achat s’effondre.
L’objectif : masquer l’insolvabilité du Japon
Si le Japon reste un pays riche et l’un des plus gros détenteurs de dettes US, il ne peut revendre ses bons du Trésor américain sous peine de faire s’effondrer la dette US. Et le Japon est un fidèle allié des États-Unis. Le Japon est en plein déclin démographique et ses seniors mobilisent massivement leur épargne pour boucler leurs fins de mois. La population est donc vendeuse nette de ses actifs financiers détenus. La seule façon de maintenir un semblant de normalité est de mettre en face la banque centrale qui achète en dernier recours. Résultat ? Encore une fois, il ne s’agit pas de relancer la croissance nippone mais de masquer l’insolvabilité du pays jusqu’au jour où le yen sera emporté par un épisode hyperinflationniste.
C’est dans ce contexte qu’aujourd’hui on admet enfin officiellement que la Banque centrale japonaise a tué le marché obligataire.
Comme l’a écrit Nicholas Spiro, directeur de la gestion et de la stratégie basée à Londres du Fonds Souverain Spiro, « à toutes fins utiles, il n’y a pas de marché des obligations japonaises ».
J’espère que le message est clair. Il est déjà trop tard, préparez-vous. À demain… si vous le voulez bien !! Charles SANNAT
Analysons la dette, quels pays en ont et surtout pourquoi !
La dette est au départ un crédit qui passe pour en être tant que la somme demeure disons 'acceptable'. Puis, très vite les insurmontables apparaissent sans que NUL NE BOUGE ! Cà alors ! Bizarre que 'ni la majorité ni, l'opposition (quand elle est au pouvoir) n'en parle, n'en poursuive les protagonistes, les arrête, les crucifie, les écartèle sur la place publique ! 'Bizarre' non ?
Puis après, l'habitude fait son 'train-train' et puis, quand l'inremboursabilité est x fois dépassée... bof, un peu plus un peu moins... Seulement, il faudrait, il faudra bien qu'un jour un tribunal se mette en place. Quand je dis 'tribunal' je veux dire Indépendant, et juge les coupables arrêtés ou non. Là, ce coup d'arrêt aura son importance. Reconnu ou non par les coupables au pouvoir on s'en fout ! Le principal n'est-il pas de dresser l'échafaud ?
Violence, guerres : justification par une science détournée
Unesco jeu., 16 nov. 1989 10:40 CET
Croyant qu'il relève de notre responsabilité en tant que chercheurs dans diverses disciplines d'attirer l'attention sur les activités les plus dangereuses et les plus destructrices de notre espèce, à savoir la violence et la guerre, reconnaissant que la science est un produit de la culture qui ne peut avoir un caractère définitif englobant l'ensemble des activités humaines, exprimant notre gratitude pour le soutien que nous avons reçu des autorités de Séville et des représentants espagnols de l'UNESCO, nous, les universitaires soussignés, originaires du monde entier et appartenant à des disciplines particulièrement concernées, nous nous sommes réunis et sommes parvenus au manifeste suivant sur la violence. Dans ce manifeste, nous contestons un certain nombre de soi-disant découvertes biologiques qui ont été utilisées par des personnes, y compris dans nos domaines respectifs, pour justifier la violence et la guerre. Parce que l'utilisation de ces « découvertes » a créé un climat de pessimisme dans nos sociétés, nous proclamons que la dénonciation publique et réfléchie de telles manipulations constitue une contribution importante à l'Année internationale de la paix.
Le mauvais usage de faits et théories scientifiques dans le but de légitimer la violence et la guerre, sans être un phénomène nouveau, est étroitement associé à l'avènement de la science moderne. Par exemple, la théorie de l'évolution a ainsi été « utilisée » pour justifier non seulement la guerre, mais aussi le génocide, le colonialisme et l'élimination du plus faible.
Nous exprimons notre point de vue sous la forme de cinq propositions. Nous sommes parfaitement conscients que bien d'autres questions touchant à la violence et la guerre pourraient être également discutées dans le cadre de nos disciplines, mais nous en restons volontairement à ce que nous considérons une première étape essentielle.
Première proposition
Il est scientifiquement incorrect que nous ayons hérité de nos ancêtres les animaux une propension à faire la guerre. Bien que le combat soit un phénomène largement répandu au sein des espèces animales, on ne connaît que quelques cas au sein des espèces vivantes de luttes destructrices intra-espèces entre des groupes organisés. En aucun cas, elles n'impliquent le recours à des outils utilisés comme armes. Le comportement prédateur s'exerçant à l'égard d'autres espèces, comportement normal, ne peut être considéré comme équivalent de la violence intra-espèces. La guerre est un phénomène spécifiquement humain qui ne se rencontre pas chez d'autres animaux.
Le fait que la guerre ait changé de manière aussi radicale au cours des temps prouve bien qu'il s'agit d'un produit de la culture. C'est principalement au travers du langage qui rend possibles la coordination entre les groupes, la transmission de la technologie et l'utilisation des outils que s'établit la filiation biologique de la guerre. La guerre est d'un point de vue biologique possible mais n'a pas un caractère inéluctable comme en témoignent les variations de lieu et de nature qu'elle a subies dans le temps et dans l'espace. Il existe des cultures qui depuis des siècles n'ont pas fait la guerre et d'autres qui à certaines périodes l'ont faite fréquemment puis ont vécu en paix durablement.
Il est scientifiquement incorrect de dire que la guerre ou toute autre forme de comportement violent soit génétiquement programmée dans la nature humaine. Si des gènes sont impliqués à tous les niveaux du fonctionnement du système nerveux, ils sont à la base d'un potentiel de développement qui ne se réalise que dans le cadre de l'environnement social et écologique. Si incontestablement les individus sont différemment prédisposés à subir l'empreinte de leur expérience, leurs personnalités sont néanmoins la résultante de l'interaction entre leur dotation génétique et les conditions de leur éducation. En dehors de quelques rares états pathologiques, les gènes ne conduisent pas à des individus nécessairement prédisposés à la violence. Mais le contraire est également vrai. Si les gènes sont impliqués dans nos comportements, ils ne peuvent à eux seuls les déterminer complètement.
Troisième proposition
Il est scientifiquement incorrect de dire qu'au cours de l'évolution humaine une sélection s'est opérée en faveur du comportement agressif par rapport à d'autres types. Dans toutes les espèces bien étudiées, la capacité à coopérer et à accomplir des fonctions sociales adaptées à la structure d'un groupe détermine la position sociale de ses membres. Le phénomène de « dominance » implique des liens sociaux et des filiations ; il ne résulte pas de la seule possession et utilisation d'une force physique supérieure, bien qu'il mette enjeu des comportements agressifs. Lorsque, par la sélection génétique de tels comportements ont été artificiellement créés chez des animaux, on a constaté l'apparition rapide d'individus hyperagressifs ; ceci permet de penser que dans les conditions naturelles la pression en faveur de l'agressivité n'avait pas naturellement atteint son niveau maximal. Lorsque de tels animaux hyperagressifs sont présents dans un groupe, soit ils détruisent la structure sociale, soit ils en sont éliminés. La violence n'est inscrite ni dans notre héritage évolutif ni dans nos gènes.
Quatrième proposition
Il est scientifiquement incorrect de dire que les hommes ont « un cerveau violent » bien que nous possédions en effet l'appareil neuronal nous permettant d'agir avec violence, il n'est pas activé de manière automatique par des stimuli internes ou externes. Comme chez les primates supérieurs et contrairement aux autres animaux, les fonctions supérieures neuronales filtrent de tels stimuli avant d'y répondre. Nos comportements sont modelés par nos types de conditionnement et nos modes de socialisation. Il n'y a rien dans la physiologie neuronale qui nous contraigne à réagir violemment.
Il est scientifiquement incorrect de dire que la guerre est un phénomène instinctif ou répond à un mobile unique. L'émergence de la guerre moderne est le point final d'un parcours qui, débutant avec des facteurs émotionnels, parfois qualifiés d'instincts, a abouti à des facteurs cognitifs. En effet, la guerre moderne met en jeu l'utilisation institutionnalisée d'une part de caractéristiques personnelles telles que l'obéissance aveugle ou l'idéalisme, et d'autre part d'aptitudes sociales telles que le langage ; elle implique enfin des approches rationnelles telles que l'évaluation des coûts, la planification et le traitement de l'information. Les technologies de la guerre moderne ont accentué considérablement le phénomène de la violence, que ce soit au niveau de la formation des combattants ou de la préparation psychologique à la guerre des populations. Du fait de cette amplification, on a tendance à confondre les causes et les conséquences.
Conclusion
Nous proclamons en conclusion que la biologie ne condamne pas l'humanité à la guerre, que l'humanité au contraire peut se libérer d'une vision pessimiste apportée par la biologie et, ayant retrouvé sa confiance, entreprendre, en cette Année internationale de la paix et pour les années à venir, les transformations nécessaires de nos sociétés. Bien que cette mise en œuvre relève principalement de la responsabilité collective, elle doit se fonder aussi sur la conscience d'individus dont l'optimisme comme le pessimisme sont des facteurs essentiels. Tout comme « les guerres commencent dans l'esprit des hommes », la paix également trouve son origine dans nos esprits. La même espèce qui a inventé la guerre est également capable d'inventer la paix. La responsabilité en incombe à chacun de nous.
Le cessez-le-feu à l'Est de l'Ukraine est enfin « réel », les deux parties confirment
12 décembre 2014 14:47
Le cessez-le-feu en Ukraine est effectivement en cours d'exécution, et les deux parties au conflit l'ont reconnu dans une rare manifestation d'accord après des mois d'accusations réciproques.
"J'ai de bonnes nouvelles," le Président ukrainien Petro Poroshenko, actuellement en visite en Australie, a déclaré aux journalistes vendredi. «Aujourd'hui, pour la première fois en sept mois, il y avait un cessez-le-feu véritable 24-heure-long.»
«Vous ne pouvez pas imaginer combien cela est important pour nous. C'est devenu la première nuit quand je n'ai pas un seul soldat tué ou blessé".
Poroshenko a admis, toutefois, la trêve a jusqu'ici été "très fragile" et a promis de "prier pour le processus visant l'exploitation".
Armure lourde, d'artillerie et de lanceurs de missiles Grad n'ont pas été utilisés par les forces rebelles au cours de la dernière journée, le Président de l'ukrainien du Conseil de sécurité, Andrey Lysenko, a confirmé vendredi.
Lysenko «dans l'ensemble nous pouvons confirmer la mise en place progressive et réciproque du régime « silence » dans les zones où l'opération de lutte contre le terrorisme se déroule», a déclaré, cité par RIA Novosti.
Les dirigeants des républiques autoproclamées de Donetsk et de Lougansk ont également admis que le cessez-le-feu était respecté pour la plupart.
Les combattants rebelles de Lougansk ont retiré des armes lourdes de la ligne de front, comme convenu avec Kiev, affirme le Président du Conseil de la population locale, Aleksey Karyakin.
"Le cessez-le-feu semble être observée dans l'ensemble, mais des accrochages les se produisent", a-t-il déclaré. «Seulement il n'est pas les armes lourdes, mais les petites armes à feu qui sont utilisés. Combats à grande échelle n'est pas en cours."
La situation est similaire à Donetsk, selon le chef du Conseil du peuple, Andrey vertu.
Purgin «pour autant que je comprends des escarmouches sporadiques sont prenant place, mais pas de 120 par jour, comme il l'habitude d'être,» a déclaré, cité par l'Agence de presse de Donetsk.
Ministre des affaires étrangères Sergey Lavrov de la Russie est optimiste quant à la trêve actuelle.
«Il a émergé une chance pour la paix en Ukraine. Avec une certaine douleur, le cessez-le-feu a finalement été atteint, « Lavrov a déclaré vendredi.
«Il y a un motif valable pour aller de l'avant dans la négociation d'autres questions, telles que la reconstruction économique de la région de Donbass, stimuler le dialogue politique, qui doit aboutir à une réforme constitutionnelle en Ukraine avec la participation de toutes les régions et toutes les forces politiques, quelque chose les autorités ukrainiennes avaient promis en avril. »
La tentative de dernier et réussie jusqu'à présent à un cessez-le-feu, négocié par l'OSCE, a été lancée le 9 décembre et est censé pour ouvrir la voie à un nouveau cycle de pourparlers de paix entre Kiev et les républiques autoproclamées en Orient. La date pour les négociations, qui auront lieu à Minsk, en Biélorussie, n'a pas encore été convenue sur.
La Russie, selon Lavrov, tente d'obtenir la date fixée dès que possible.
Un majeur feuille de route pour la paix a été déjà décidée à Minsk en septembre. Entre autres choses, il est stipulé que l'Ukraine était d'accorder un statut spécial pour les régions de Donetsk et de Lougansk et organiser des élections anticipées.
Depuis lors les Kiev et les rebelles sont accusés mutuellement de violer l'accord de septembre Minsk.
Kiev a lancé son opération militaire contre les forces hostiles au gouvernement en avril. 4 300 personnes ont été tuées dans le conflit depuis ce temps, l'ONU a récemment estimé.
Déplacez votre arsenal ! Chars américains, APC, Humvees rouleau par le biais de Lettonie (vidéo, PHOTOS)
12 décembre 2014 08:33
Un train de marchandises transportant une colonne entière de véhicules blindés américains a été pris en photo en Lettonie. Dalbe gare, où le train a été repéré aurait été il y a plusieurs jours, est inférieure à 300 km de la frontière russe.
Le train transportait au moins 38 véhicules et plusieurs semi-remorques, comprenant huit véhicules de combat Bradley, transporteurs de Personnel neuf blindés M113 (TTB), quatre camions-citernes d'essence, élargi la mobilité tactique des camions lourds (HEMTTs), High Mobility Multipurpose véhicules à roues (HMMWV), un véhicule de dépannage M88 Hercules Armory, un couple de camions, quelque génie tactique et véhicules de transport sanitaire, au moins quatre conteneurs et une paire de wagons avec des munitions.
Les autorités lettones ont confirmé au portail de nouvelles de Delfi que le train repéré le 7 décembre, a été chargé avec les véhicules de la 1re Division de cavalerie des États-Unis, et le train se dirigeait vers la Lituanie.
Des véhicules blindés américains ont été envoyés pour les pays baltes et la Pologne pour des exercices militaires et sont définies pendant la formation constante des troupes locales et les forces de rotation de nous.
Les véhicules de combat plus seront prépositionnés dans des bases militaires américaines en Allemagne. Déploiement de matériel supplémentaire pour les pays baltes et la Pologne se passe dans le cadre des États-Unis « Opération Atlantic résout » effort, mis en place pour rassurer les alliés américains en Europe de l'est inquiet d'une « Russie renaissante. »
Les budgets de sous-scolarisation, universités « en ruines » voir des milliers protestation en France
12 décembre 2014 13:02
Des milliers de membres du personnel universitaire français et d'étudiants ont défilé pour protester contre les budgets d'éducation faible et installations des universités « littéralement en ruines. »
Les foules ont envahi les rues des villes françaises jeudi pour rallier contre les budgets d'éducation faible et des « universités mortes. »
"Nous devons jeter une lumière sur l'état catastrophique de l'enseignement supérieur et la recherche (ESR) en France" tandis que "le gouvernement reste sourd aux demandes <>... la rhétorique ne peut pas masquer la dure réalité du manque de moyens, dont les conséquences précises sur la vie quotidienne du personnel et des étudiants s'aggraver rapidement," a déclaré les organisateurs dans leur déclaration officielle.
« Une image vaut mille mots, » le groupe dit, créer une galerie de photos des installations vétustes et pourris aux universités françaises.
La colère des professionnels de l'Université a été déclenchée par les modifications de budget de l'éducation pour 2015, approuvé par l'Assemblée nationale en novembre. Fonds d'éducation doivent être réduits de € 136 millions, dont € 70 millions du budget de l'enseignement supérieur.
Membres du personnel universitaire décrié aussi les installations décrépites d'établissements d'enseignement supérieur, disant autres € 20 milliards sont nécessaires durant la prochaine décennie pour réparer les installations pourris. Ceux-ci incluent : amphithéâtres qui fuit et couvert de graffitis, s'effondrant WCs, mais aussi des classes surchargées.
Enfin, employés de l'Université recherchent des allégements fiscaux lorsque les universités embauchent des chercheurs. Actuellement, le principe s'applique uniquement aux entreprises qui emploient les diplômés des sciences.
La protestation de longue date a conduit au Président François Hollande pour déclarer qu'il annulerait les coupes € 70 millions, rapporte Le Monde. Le déménagement a annoncé vendredi soir lors d'un dîner avec les chefs de l'Université au Palais de l'Elysées.
La retraite de François Hollande s’élèverait à plus de 15.000 euros (Elysée)
Par La Voix de la Russie
Le président français François Hollande pourra prétendre à la retraite d’environ 15.000 euros net par mois, selon les chiffres fournis par l’Elysée, qui ajoute que cette somme correspond à l’addition de toutes les pensions auxquelles l’homme politique a droit. « En supposant que François Hollande demande le moment venu la liquidation de toutes les pensions auxquelles il a droit », c’est « une dotation mensuelle de 15.114 euros ($ 18,840.73) net qu’il recevra », écrit la directrice de cabinet de François Hollande, Sylvie Hubac dans un droit de réponse adressé à l’hebdomadaire Marianne. Cette somme est notamment constituée de 5184 euros net par mois pour les fonctions de président de la République, exercées par Hollande et de 6208 euros net par mois comme parlementaire, explique l’Elysée dans une réponse écrite.
'Une merveilleuse amitié'... Juncker a aidé Amazon à conclure un accord pour bénéficier d'une fiscalité privilégiée
11 déc. 2014
Le nouveau président de la Commission européenne, le Luxembourgeois Jean-Claude Juncker, serait intervenu personnellement pour conclure un accord fiscal avec le géant américain du e-commerce, Amazon, rapporte le journal The Guardian, qui tient cette information d'une interview publiée dans le journal luxembourgeois Lëtzebuerger Land sous le titre « Une merveilleuse amitié».
Bob Comfort, l’ancien responsable du service fiscal de cette firme, a dit au cours de cette interview accordée au Lëtzebuerger Land qu’il avait rencontré Juncker, et que dans les mois qui avaient suivi son installation au Luxembourg en 2003, Amazon avait conclu un accord avec le ministère des Finances du pays. Il a cité une déclaration de Juncker, qui en était alors à la fois le Premier ministre et le ministre des Finances, et dont il affirme qu’il aurait agi comme un « business partner» « aidant à résoudre les problèmes » :
Son message était : « Si vous rencontrez un problème que vous pensez ne pas pouvoir résoudre, revenez me voir. J’essayerai de vous aider »
La pression sur Juncker devrait encore accroître, alors qu’il était apparu le mois dernier que le Luxembourg avait conclu des accords de montages fiscaux avec au moins 340 multinationales pour leur permettre de réduire leur fardeau fiscal entre 2002 et 2010, à une époque où Jean-Claude Juncker, le nouveau président de la Commission européenne, était Premier ministre du Luxembourg et ministre des Finances de son pays.
Des documents que l’International Consortium of Investigative Journalists (ICIJ) s’est procurés ont révélé qu’au Luxembourg, ces sociétés ne payaient parfois que 0,25% d’impôt société… Pendant ce temps-là, les autres pays n’enregistraient aucune recette fiscale de leur part, en dépit de leurs activités sur leur territoire.
Ce dernier point est crucial : ce scandale, appelé « LuxLeaks », semble montrer que le Luxembourg proposait non seulement à ces firmes de profiter de dispositions fiscales très avantageuses, mais qu’il agissait également en facilitateur pour leur éviter de payer des impôts dans d’autres pays. Cette semaine, la fuite d’un second jeu de documents a révélé que ces accords fiscaux avaient également profité à Disney, Skype, et Koch Industries, pour n’en citer que quelques unes.
« On pourrait dire que Juncker a enrichi son pays en vidant les poches des autres pays, y compris ceux de l’Union Européenne qu’il doit maintenant servir en vertu de son mandat », avait récemment écrit Bloomberg dans un éditorial.
Le mois dernier, Juncker s’était défendu de toutes ces accusations. « Je ne suis pas l’architecte du modèle luxembourgeois, parce que ce modèle n’existe pas ». Il avait dit que son gouvernement n’avait rien fait de plus que se battre pour attirer l’investissement, comme les autres.
Le Groupe des Verts au Parlement européen souhaite obtenir la mise en place d’une commission d’enquête sur le scandale des LuxLeaks, mais les trois grands groupes, les socialistes (S&D), les démocrates-chrétiens (PPE) et les Libéraux (ALDE), s’y sont opposés.
Quant à Comfort, il a pris sa retraite d’Amazon cet été, et il occupe désormais le poste de… «consul honoraire» pour le Luxembourg dans sa ville natale de Seattle. Il n’y aurait que 4 Luxembourgeois installés dans la région de Seattle, et ses fonctions ne consistent donc pas à régler des affaires de passeport, mais plutôt à promouvoir le Grand-Duché auprès des entreprises.
Traité transatlantique : la politique allemande plie face aux trusts économiques
Eberhard Hamer Mittelstandsinstitut Hanovre ven., 12 déc. 2014 11:23 CET Traduction : Horizons et débats
Les associations économiques des trusts allemands ont incité le ministre de l'économie Sigmar Gabriel à accepter l'accord de libre-échange négocié secrètement par les Etats-Unis et l'UE aussi avec la clause de sauvegarde des investissements. Quand on négocie à huis clos, il y a toujours quelque chose qui cloche. Car si sur le plan européen seul le bureau politique de Bruxelles négocie, du côté américain aussi bien les représentants du gouvernement et des banques que ceux des trusts et des cabinets d'avocats ont leur mot à dire. Il ne faut pas s'étonner que l'économie, la science et la population en Europe considèrent l'accord de libre-échange transatlantique intitulé Partenariat transatlantique de commerce et d'investissement (« PTCI » ou en anglais Transatlantic Trade and Investment Partnership « TTIP ») comme un complot des trusts multinationaux contournant les normes de concurrance nationales démocratiques.
Avec l'accord de libre-échange TTIP tous les droits de douanes doivent être supprimés ainsi que différentes normes et interdictions de protection. Chaque trust américain aurait donc dans les pays de l'UE les mêmes droits que dans leur pays d'origine. Ainsi les hautes normes de protection en Europe quant à l'alimentation, l'agriculture, la médecine, la santé, la recherche, l'autorisation des produits, la protection de l'environnement et de la nature, le travail, le social et la promotion de la culture deviendraient inutiles. Le fait que les trusts allemands se prononcent en faveur du TTIP s'explique d'un côté par la facilitation des exports et de l'autre du fait que la majorité des trusts allemands sont entre les mains de fonds internationaux; ils ont donc des intérêts plutôt internationaux que nationaux.
Jusqu'à présent on a manqué de prévenance pour les petites et moyennes entreprises, les syndicats, les protecteurs de l'environnement, les représentants culturels, pour les chercheurs, pour l'agriculture. Ils sont tous exclus des négociations et pour de bonnes raisons :
- La promotion culturelle publique créerait d'après le TTIP « une distorsion de concurrence indue » avec dommages et intérêts pour la mafia culturelle internationale.
- Si les normes américaines permettent la destruction de l'environnement telles que par exemple la fracturation hydraulique, le déboisement de grandes surfaces, l'introduction d'acides dans des rivières etc., alors à l'avenir l'exigence pourrait être la même pour leur production en Europe et il faudrait leur accorder les « mêmes opportunités compétitives ».
- 90% des Allemands ne veulent pas de chimie dans leur nourriture. Aux États-Unis le consommateur doit prouver les dommages qui en découlent pour lui alors qu'en Europe c'était jusqu'à présent l'inverse. A l'avenir, suite au TTIP, il incomberait au consommateur de rassembler les preuves.
- Les multinationales biotechnologiques américaines telles Monsanto et Syngenta ont établi en Amérique du Nord et en Amérique latine des monopoles sur les semences bien qu'il soit prouvé que les souris nourries avec le soja génétiquement modifié soient stériles après dix générations. Le TTIP livrerait sans scrupules les paysans allemands aux monopoles américains sur les semences et sur le génie génétique.
- L'agriculture européenne se compose de petites et moyennes exploitations. C'est pourquoi en Europe la politique agricole n'est pas seulement protection de l'agriculture mais aussi de l'environnement. Avec le TTIP les agro-multinationales pourraient envahir l'Europe avec des prix de dumping. Lorsque, déjà une fois en 1870 suite à la pression des grands industriels, le libre échange fut introduit dans l'agriculture, 100 000 exploitations agricoles de toutes tailles avaient disparu en dix ans. Cela se répéterait avec le TTIP.
Mais la plus grande impertinence de la part des négociateurs américains est qu'ils veuillent anéantir la justice européenne par une clause d'arbitrage. Des plaintes contre des mesures de monopole des trusts américains ne seraient plus possibles par les voies ordinaires de justice en Europe. Quant aux plaintes des trusts transatlantiques contre de nouvelles lois nationales, comme par exemple dans le domaine des normes environnementales ou de la promotion publique, la juridiction allemande n'aurait plus aucun mot à dire, cette compétence reviendrait aux tribunaux secrets privés (ICSID), sans seconde instance.
Ces tribunaux arbitraux seraient la compétence de cabinets juridiques américains (liés aux entreprises) aux États-Unis. Jusqu'à présent plus de 70% des cas de litige furent décidés en faveur des trusts américains. Il n'y a plus de possibilité de recours. Cela bouleverserait la culture juridique traditionnelle en Europe. Les plaintes et les peines maximales que les États-Unis infligent aux banques européennes montrent que la justice américaine n'a aucun scrupule d'imposer, avec l'aide de cette justice privée, la discrimination internationale. La justice américaine se déclare compétente partout où des affaires seront conclues en dollars. Cela priverait en particulier les PME de leurs droits, étant donné qu'ils ne seraient plus en mesure de porter plainte ou de se défendre aux États-Unis et qu'ils ne pourraient pas porter les coûts exorbitants des avocats américains.
S'y ajoute que le TTIP ne démantèlerait non seulement notre justice, nos normes sociales, environnementales, celles dans le domaine de la santé publique et autres, mais livrerait aussi nos droits démocratiques aux trusts. Nous ne pourrions par conséquent plus faire des lois considérées comme « entrave » sans que l'État soit passible de dommages et intérêts (exemple: la plainte de Vattenfall contre l'abandon de l'énergie nucléaire).
Par contre, lorsque les services secrets américains pratiquent de l'espionnage dans toutes les entreprises européennes par rapport à la technologie et transmettent les résultats à leurs trusts - tandis qu'en Europe la protection des données est célébrée, les Américains ne le considèrent pas comme anticoncurrentiel.
L'homme politique allemand Sigmar Gabriel a raison de refuser les clauses de sauvegarde des investissements demandées par les trusts américains. C'est justement à cela que s'attaque maintenant le lobby des trusts allemands. Sigmar Gabriel devrait examiner, en tant que ministre des trusts, s'il veut protéger tout ce que des générations ont créé dans les domaines de la culture, de la santé publique, de l'agriculture diversifiée et sans OGM ni produits chimiques, des normes environnementales, ou s'il veut vendre aux monopolistes américains la suprématie des lois sur l'économie lors des négociations à huis clos. Les petites et moyennes entreprises et les salariés seraient lésés massivement et seraient livrés aux trusts américains. Il faut savoir que le TTIP n'apportera pas la prétendue liberté du marché mais la prise de pouvoir des monopoles américains en Europe!
Rapport de la CIA torture : tragédie pour l'Amérique
12.12.2014
Aux États-Unis a publié le rapport sur les tortures horribles, inhumains des prisonniers dans les prisons secrètes de CIA. "Techniques d'interrogatoire telles que des claques et"broyé"(claquement des détenus contre un mur) ont été utilisés en combinaison, souvent parallèlement à la privation de sommeil et de la nudité. Techniques de waterboarding causant des dommages physiques ont été utilisées. "Détenus ont été privés pendant plus de 180 heures de sommeil, dit le rapport.
Politologue et américaniste Areg Gardner dit Pravda.Ru pourquoi cette information sort maintenant de tous les temps.
"Le Sénat a publié seulement les 500 premières pages, et l'intégralité du rapport est de 6 000 pages. Jusqu'à présent le Senate Select Committee on Intelligence obtenu l'approbation pour la libération de seulement 500 pages. Ce rapport doit avoir été libéré ainsi plus tôt, sa libération a été bloquée plusieurs fois quand les élections, "dit Areg Galstyan.
Il a souligné que les 100 premières pages du rapport devaient être libérés le plus tôt qu'en mars 2013, mais puisque le Senate Select Committee on Intelligence, malgré étant constitué de la majorité des démocrates, dirigée par le Président, a également eu des démocrates intransigeants. "En d'autres termes, les démocrates ont leurs propres faucons. Ils ont bloqué également le rapport qui sera publié,", a ajouté l'expert.
Selon lui, il a été exécuté simplement de facto, mais il doit être clair que l'ensemble du rapport est presque entièrement classé, seulement une petite partie a été libérée. « Droits de l'homme des défenseurs sont toujours en état de choc, tout semble être une certaine nouvelle pour eux ».
Mais il y avait beaucoup de rapports préliminaires, et ce qui s'écrirait il pouvait s'attendre. La sortie peut complètement en danger beaucoup nous résidents et américains travaillant à l'étranger. Il suffira simplement de mentionner l'assaut sur et l'assassinat de l'ambassadeur américain en Libye à Benghazi.
Américains soient méfient de la situation, ils ne joueront pas avec le feu, mais en même temps qu'ils ne peuvent pas fermer ce cas complètement, c'est pourquoi, ils libèrent des éléments d'information. Tout cela s'inscrit dans le cadre de l'intérieur secteur de la politique du Président pour l'Administration et le parti démocrate en général, "Areg Galstyan a déclaré dans une interview à Pravda.Ru.
Mais à la question Quelles répercussions suivraient cette exposition et ce rapport toucherait quoi que ce soit, l'expert a répondu qu'il ne serait guère tout changement substantiel, surtout maintenant.
"Toute tentative pour complément d'enquête dans le Senate Select Committee on Intelligence est vouées à l'échec. Car aujourd'hui, un droit de veto du Président du Comité de la républicain sur l'Intelligence est suffisant pour tout ralentir. Mais même si il n'y a rien de moins qu'un miracle et le processus s'allume et il y a un autre communiqué de l'information, puis le chef de la majorité a un droit absolu, ne pas de l'amener à un vote du public pour qu'il puisse être approuvé.
Mais même s'il décide de le faire, le Président John Boehner bloquera il au niveau de la chambre basse. Par conséquent, je ne sais quel miracle doit se produire pour cette question d'étendre plus loin, » dit Areg Galstyan.
À son tour, pour Obama, selon lui, reste plus qu'à sortir et dire - nous avons fait tout ce nous pouvions, tout ce que nous pouvions. « Obama doit comprendre clairement qu'aujourd'hui il sont a des menaces très graves, en particulier les menaces du terrorisme islamique au Moyen-Orient, en particulier l'État islamique, et qu'il comprend que, sans coopération avec l'intelligence, sa politique ne peut être efficace. »
Obama ne peut pas faire grand-chose en ce qui concerne le droit de faire quelques changements fondamentaux, pour rendre quelqu'un répondre quelque chose, ou de lancer certains actes graves au niveau des tribunaux, des audiences du Congrès, pour ce faire, il a besoin de réviser les principales dispositions de la USA Patriot Act. Ils ont besoin de revenir aux méthodes de l'administration de Clinton. En d'autres termes, c'est le processus pour les décennies à venir.
Membre du Conseil des droits de l'homme auprès du Président de la Fédération de Russie Yana Lantropova dit Pravda.Ru pourquoi ces tortures pourraient servir et si vous pouvez faire confiance informations reçues avec leur aide.
"Tortures ne doivent pas être utilisés en aucune circonstance. Naturellement, je ne ferais pas confiance informations obtenues par la torture sans participants, témoins, » dit-elle.
Yana Lantropova Pravda.Ru a raconté son voyage vers le sud-est de l'Ukraine. "Là-bas j'ai parlé avec ceux qui a été torturé et détenu en otage par la garde nationale ukrainienne. Ils parlaient des horreurs absolues, comment ils étaient tourmentés et roué de coups, comment plastique sacs ont été mis sur leurs têtes et c'est horrible, "l'expert a dit avoir rappelé que ces méthodes étaient inacceptables.
"Il est important pour la communauté internationale de prêter attention à cette situation, car pour une raison quelconque quand quelques choses bizarres se produisent avec la violation des droits de l'homme dans tout autre pays, par exemple, la Russie ou l'Ukraine, les États-Unis attention à elle. Et quand il arrive dans leur propre pays, ils l'ignorent simplement. Il est important pour des défenseurs internationaux relatifs aux droits de l'homme de différents pays à se rassembler et parler de tout ce chaos qui passe en ce moment,"a noté Yana Lantropova.
Répondre à la question, quelles répercussions suivraient cette exposition et ce rapport n'affecterait quoi que ce soit, elle a déclaré que les Etats-Unis probablement ferait tout pour que cette histoire a été vite oubliée. Mais, a souligné Yana Lantropova, tout dépend de la réaction des défenseurs des droits de l'homme.
"Parce qu'à une des réunions des droits de l'homme, défenseurs V.V. Poutine dit une très bonne chose que dans les églises de Donbass sont complètement détruites, prêtres sont tués, ils sont poursuivis pour certaines croyances religieuses, leurs têtes sont réduits et il dit pourquoi les défenseurs des droits de l'homme internationaux garderait le silence à ce sujet.
En d'autres termes, lorsqu'il y a une question de prestige qui est bénéfique pour eux, pour d'autres pays, tous les droits de l'homme des défenseurs soulèvent un chahut et commencent à parler, appeler les autorités pour quelque chose. « Mais lorsqu'il y a une violation massive des droits en Ukraine, lorsqu'il y a une catastrophe humanitaire là, pour une raison quelconque personne ne répond à celle, » l'expert dit Pravda.Ru.
Elle a ajouté que tout cela a montré qu'il y avait pas de démocratie et « toute action déployés à violer les droits de l'homme ».
Selon elle, certains américains, en particulier des organisations à but non lucratif, peuvent influencer la situation. "Si le peuple prendra à la rue pour exiger leurs droits, alors il est possible. Une ou dix personnes ne fera rien. Si on regarde le nombre de personnes aux États-Unis qui sont mécontents et de soutenir la Russie, nous voyons plutôt intéressant des chiffres indiqués sur le Web. "Il est important de prêter attention à la réponse des citoyens ordinaires, estime l'expert.
Le prochain Round de la crise révèle que l'ensemble du système est fondé sur la fraude
Soumis par Phoenix Capital recherche le 11/12/2014 11:44-0500
Le plus gros problème avec les marchés financiers est aujourd'hui la fraude .
La fraude est aujourd'hui endémique dans le système financier. Nous savons que les devises, actions, obligations, et même les marchés des matières premières ont été manipulés par les banques d'investissement ou des banques centrales.
Peu importe comment sophistiqué, votre analyse est, si vos entrées de données sont des ordures, vos prévisions sont des ordures. Nous savons maintenant que les prix à peu près tous actifs sous le soleil sont des ordures. Bonne chance informatique avec qui.
Puis, il y a fraude de bilan. Après le krach de 2008, les régulateurs suspendu des normes comptables qui nécessitait les banques de leurs actifs de prix à des valeurs basées sur le marché. La raison pour laquelle que les organismes de réglementation l'a fait était parce que le marché au prix de ces actifs Penny sur le Dollar, si pas de zéro.
Cela signifie que la plupart des banques ont été insolvable et en faillite.
Aujourd'hui, la plupart des banques sont de valorisation des actifs sur leurs bilans à l'aide de la marque de normes comptables de modèle. Étant donné que les « modèles » utilisés pour le prix de ces actifs sont développés par les banques elles-mêmes aucune supervision, "marquer au modèle" est en fait un terme d'expression pour "faire croire".
Au-delà de manipulation simple des prix et fraude de bilan, nous savons aussi que les revenus ou l'argent que les entreprises font prétendument après coûts, sont frauduleuses.
En effet, une étude réalisée par l'Université Duke a trouvé qu'environ 20 % des entreprises cotées en bourse manipulent leurs gains pour faire apparaître le mieux qu'ils le sont réellement. Les gens qui ont été interrogés pour cette étude sur cette pratique étaient les CAF réelles à l'entreprises eux-mêmes.
La réalité est que cette pratique est beaucoup plus endémique que les 20 % découverts dans cette étude (c'est plus probablement 50 %). Étant donné que la plupart de rémunération C-niveau reposent sur les stock-options, dont la valeur est déterminée par les boursiers... qui répondent aux battements de gains, directeurs financiers ont des dizaines de millions de Dollars de fortune personnelle sur la ligne lorsqu'il s'agit de masser des gains.
Alors... le prix des actifs est frauduleux, la valeur des bilans est frauduleux et les gains sont frauduleux. Cela signifie que les capitales de marché boursier, bilans et comptes de résultat sont des représentations tout inexactes de la réalité.
Assis au sommet de cette montagne de fraude est la réserve fédérale... la Banque centrale nous qui doit son existence à la fraude (si les américains compris comment la Fed a été créée et qui contrôle l'il, il aurait cessé d'exister depuis des décennies).
Il s'agit de la même organisation qui prétend que l'inflation est faible, que les plans de sauvetage de Wall Street ont été sur la Main Street, que les États-Unis sont en reprise, qu'il ne sera pas monétiser la dette américaine, qu'il a une stratégie de sortie pour son bilan de $ 4 billions, que c'est une entité indépendante, etc..
À ce stade, trouver une données point ou réclamer, dans le secteur financier, ce n'est pas massée, ou un mensonge pur et simple est comme trouver une aiguille dans une botte de foin. Tout le système est pourri structure construite sur une fondation de mensonges, manipulations et tromperies.
Jusqu'à ce que la poubelle est autorisée à sortir, nous sommes situés à une autre crise. La seule différence est que cette fois-ci, lorsque les choses frappe le ventilateur, tout le système se cassera, pas seulement une poignée de banques.
Si vous avez encore pour prendre des mesures pour se préparer à la deuxième ronde de la crise financière, nous offrons un rapport investissement gratuit Guide de survie « autour de deux » crise financière qui donne un aperçu simple et à suivre des stratégies vous pouvez utiliser pour non seulement protéger votre portefeuille contre un ralentissement du marché, mais en fait produire des bénéfices.
Niveau de la mer de Sydney s'élevant à seulement 6,5 cm par siècle. PIC-panique est derrière nous.
Dans "L'australien" Bob Carter compare long terme marée jauge record à Sydney avec projections et expose le coût exorbitant de l'assurance pour les prévisions alarmistes niveau de la mer. La bonne nouvelle est qu'il semble les conseils sont réveillent, et « PIC-mer-niveau-panique » est derrière nous.
Tiny Url pour ce post : http://tinyurl.com/nzjjqhc 12 décembre 2014 |
Niveau de la mer alarmisme a passé à marée haute et enfin diminue. Avec de la chance, santé mentale empirique prévaudra bientôt au cours de la modélisation.
Après des années de recherche, qu'il s'avère que parler du niveau de la mer « global » rise est presque vide de sens à des personnes réelles qui vivent dans un seul endroit. La montée de l'océan varie localement d'une plage à d'aussi peu que 5cm par siècle à jusqu'à 16cm par siècle. Les variations sont principalement due à des taux différents de terre diminuant ou augmentant.
Plus important encore, le taux de montée était soit le même ou même plus rapide avant la seconde guerre mondiale lorsque les niveaux de gazcarbonique étaient "sûrs".
Figure 5: Comparaison des taux décennales de variation dans le dossier historique. Analyse basée sur 20-y relative niveau d'eau moyen mobile séries chronologiques. | Watson 2011
- voir graphique sur site -
Fort Denison à Sydney a un des plus anciens enregistrements continus, à partir de 1886 et enfin les conseils sont rendent compte qu'ils ont besoin d'utiliser les données locales à planifier à l'avance, pas les index de taille unique global peur du GIEC.
Par exemple, des mesures à Sydney entre 2005 et 2014 montrent le site de jauge de marée s'enfonce au tarif de 0,49 mm/an, laissant seulement 0,16 mm/an de la hausse globale relative comme représentant le changement global de niveau de la mer. En effet, la vitesse de montée à Fort Denison et dans le monde, a diminué depuis 50 ans.
Nous allons remonter le moral, Shoalhaven Shire Council décalé à l'arrière de la mer-niveau-panique-index un cran, rejetant le pire scénario du GIEC, se contenter d'un peu moins effrayant et surtout, utilisé l'enregistrement local de Fort Denison et exclu « satellite ou modèle-niveau de la mer estimations jusqu'à ce que leur exactitude est garanti ».
Quand les conseils plan pour les scénarios qui n'arrivera jamais, l'assurance inutile peut coûter quelques malheureux propriétaires des dizaines de milliers — dans un comté – $ 40 000 chacun.
Eurobodalla des valeurs de propriété a subi une perte de 5,3 % en valeur par rapport aux statistiques des spécialistes de la propriété informations RP données montrent qu'entre 2011 et 2014, augmente de 4,9 % et 7,3 % pour les shires côtières voisines qui ne dispose pas des politiques restrictives équivalents de niveau de la mer. Dans le pire des cas, les propriétés individuelles ont perdu jusqu'à 52 % de leur valeur de marché
En trois ans, les propriétés individuelles d'Eurobodalla a perdu environ $ 40 000 en valeur. Avec 22 000 propriétés dans le comté, cela représente une perte en capital de 880m $ à un taux de 293 millions de dollars par an. Cette perte constante de valeur rateable signifie ménages devront faire face à des augmentations de taux plus élevées.
Si vous possédez une maison près de la mer, vous pouvez envoyer ce genre d'information à vos conseillers :
Queensland vice-première ministre Jeff Seeney récemment notifié Moreton Bay Conseil régional de son intention de diriger en vue de modifier son schéma de planification de projet "pour supprimer toute hypothèse sur une théorique prévu sea level rise due au changement climatique de tous ainsi que toute disposition du régime". Souzan a dit son intention était d'utiliser une cartographie côtière par État guichet « qui va supprimer l'approche « one size fits all » qui incorpore un ajout obligatoire de 0,8 m à des données historiques ».
Enfin, un gouvernement responsable a reconnu que les moyennes globales changement de niveau de la mer n'est pas plus pertinent à la gestion des zones côtières à la moyenne des températures mondiales sont à la conception du chauffage et de refroidissement résidentiels — météo locale et modification locale de niveau de la mer est ce qui compte. RÉFÉRENCE : P. J. Watson (2011) y A-t-il des preuves encore d'accélération dans la montée de niveau moyen de la mer autour de l'Australie continentale?. Journal de recherche côtière : Volume 27, numéro 2: p. 368-377.doi : 10.2112/JCOASTRES-D-10-00141.1 [lien Résumé PDF] White, Neil J., Haigh, Ivan D., église, John A., Koen, Terry, Watson, Christopher S., Pritchard, Tim R., Watson, Phil J., Burgette, Reed J., McInnes, Kathleen L., vous, Zai-Jin, Zhang, Xuebin, Tregoning, Paul: (2014) australien du niveau des mers – tendances, variabilité régionale et les facteurs qui influencent, Earth Science Reviews, doi : 10.1016/j.earscirev.2014.05.011
C'est ce que j'ai TOUJOURS dit: (...) Les variations sont principalement due à des taux différents de terre diminuant ou augmentant. (...)
Ces variations dépendent des tremblements de terre qui font naître des îles (plus ou moins grandes) soumarines ou ouvrent des failles qui font que le niveau des mers du globe baisse, et non la cause du 'climat' comme le soutiennent les escrocs du GIEC et ses faux scientifiques comme les politiciens qui osent mettre la vie de millions de personnes en danger de mort suite à des inondations causées par de simples pluies (comme il y en a toujours eut), sur des lits de fleuves & rivières volontairement non-dragués !
Pareillement que pour les éoliennes (voir clip sur le blog du jour), les escrocs nationalisés ! les ministres privatisés ! et les petits copains du GIEC ne vous rembourseront JAMAIS l'argent qu'ils vous ont volé depuis des années et continuent à le faire !!
Le projet de dérivation d'eau de la Chine commence à s'écouler à Pékin 48 milliards £ système peut apporter un soulagement au nord aride, mais à quel prix pour le sud de la sécheresse monté et ses agriculteurs déplacés ?
Jonathan Kaiman Pingdingshan The Guardian ,Vendredi 12 Décembre 2014 14.11 GMT
Vendredi après-midi, la Chine a tranquillement inauguré un des plus grands projets de génie de tous les temps: la dérivation d'eau Sud-Nord, un 48 milliards de livres sterling, réseau de 2400 km de canaux et de tunnels, destinés à détourner 44.8bn de mètres cubes d'eau par an de l'humide au sud de la Chine à son desséchée, au nord industrialisé.
A 14h32, "ligne médiane" du projet a commencé officiellement transport de l'eau du réservoir Danjiangkou dans la province centrale du Hubei à Pékin - la distance de la Corse à Londres. Le projet, disent les officiels, permettra de sauver la Chine d'une crise de l'eau qui pourrait mettre son développement revenir année.
Il a également détruit la vie de Wang Yanhe. Wang est né près du réservoir Danjiangkou en 1979, marié jeune et a eu deux enfants - la famille a vécu entre un petit ruisseau et une colline verdoyante, et a grandi une variété de grains. En 2009, sept ans après l'approbation du projet, les fonctionnaires lui que les niveaux d'eau du réservoir ont été informés et que la hausse son village serait submergé. Environ 345 000 villageois ont été déplacés par le projet à ce jour, et Wang devint bientôt l'un d'eux. Le gouvernement lui a donné une maison dans le New Village Heba migrants par une autoroute poussiéreux Pingdingshan rural, une municipalité riche en charbon dans la province du Henan voisin dont le nom se traduit par «montagne plat".
Puis vint la sécheresse. Cet été a été le plus sec de Pingdingshan en 63 ans - la récolte de maïs de Wang n'est passé à la hauteur des genoux, le forçant à abandonner sa récolte. «Rien n'est aussi bon qu'avant," a t-il dit, les cigarettes de la chaîne-fumeurs dans son salon béton parquet. Ses fuites du toit; il ne peut pas parler le dialecte local. Les fonctionnaires lui ont promis 0,2 acres de terre, mais seulement lui ont donné 0,15 (607 m²). "Après nous sommes arrivés, nous avons réalisé que la terre était sèche," a t-il dit. "Donc, il n'a même pas d'importance ce qu'ils nous ont promis."
Le journal du Henan Daily a annoncé l'inauguration de la ligne dans un poste de microblog lapidaire vendredi. «Être le projet d'ingénierie d'un peuple, en accord avec un style de travail économe et pragmatique, activités de célébration seront aussi simples que possible," il a dit. "Aucun fonctionnaire prendront part aux cérémonies."
L'économie florissante de la Chine au cours des trois dernières décennies, couplé avec un mandat de longue date de «la croissance d'abord, nettoyage plus tard», a été cataclysmique pour lacs autrefois abondantes, les rivières et les aquifères du pays . Plus de la moitié des 50 000 rivières de la Chine ont disparu au cours des deux dernières décennies, selon la première de la Chine recensement national de l'eau, publié l'an dernier. Environ 70% de son eau douce restante est polluée. "Si nous continuons avec notre modèle de business-as-usual, la Chine sera essentiellement de fonctionner hors de l'eau", a déclaré Hu Feng, analyste de l'eau avec le groupe de recherche basé à Hong Kong, la Chine risque de l'eau . "Il ne aura pas assez d'eau pour alimenter son économie."
Le projet a des racines dans un commentaire désinvolte par Mao Zedong qui, sur une tournée d'inspection dans les années 1950, a déclaré: "Le sud a beaucoup d'eau, mais le nord est sec. Si nous pouvions emprunter certains, ce serait bien "Le. projet comporte trois sections : une ligne est 1150 km, qui se étend de la rivière Yangtze inférieure à Tianjin; la ligne médiane, de Danjiangkou à Pékin; et une ligne ouest, qui pourrait un jour relier les sources du Yangtsé et du fleuve Jaune à travers la haute altitude Qinghai-Tibet Plateau. La ligne est a commencé à livrer de l'eau dans la province côtière du Shandong hiver dernier. La ligne occidentale reste largement conceptuel, si grande échelle qu'il peut se révéler impossible de construire.
Alors que le projet pourrait apporter un certain soulagement bien nécessaire, il "ne résoudra jamais le problème de l'eau au nord de la Chine", a déclaré Jennifer Turner, directeur du Forum sur l'environnement de la Chine au Wilson Center à Washington DC. Elle a appelé le projet d'une "Band-Aid" plutôt que d'une solution à long terme. «Le défi dans le secteur de l'eau, au sens large, ce est qu'il est tellement accro à la gestion de l'offre," dit-elle. «Ce est comme les ingénieurs en Chine ont un tatouage spécial qui dit« rien ne est trop grand »- ils se déplacent distances massives d'eau plutôt que de se profonde et sale dans le désordre de pousser conservation efficace de l'eau."
En Février, Qiu Baoxing, vice-ministre du ministère du Logement et du Développement urbain et rural, appelé le projet non viable . "Comme l'échelle du projet se agrandit et la distance est longue, plus il est de plus en plus difficile de détourner l'eau," écrit-il. "L'eau recyclée pourrait remplacer l'eau détournée. La plupart des villes chinoises sont capables de trouver plus d'eau si nous développons la technologie de dessalement de l'eau et de recueillir plus d'eau de pluie ".
Les experts disent que le sud ne peut plus avoir assez d'eau à revendre. Ils disent que le projet pourrait décimer la rivière Han, un affluent important du Yangtsé - environ 40% de l'eau de la rivière finira par être détourné au nord, en dépit de graves pénuries d'eau qui affligent déjà les villes le long de ses rives. En 2011, cinq mois de la sécheresse dans la province du Hubei laissé 315 000 personnes à court d'eau potable. Le réservoir Danjiangkou chuté à quatre mètres en dessous du niveau "de l'eau morte», le rendre inutilisable. La spéculation que le projet Sud-Nord de dérivation d'eau a causé la sécheresse de cette année a augmenté de sorte que chauffée médias d'Etat a émis un refus . «Province du Henan est le bénéficiaire de prestations du [projet]," Yang biantong, un porte-parole pour le contrôle des inondations et de lutte contre la sécheresse du département de Henan, a dit le Quotidien du Peuple à la fin Août. "Non seulement il a pas eu un effet négatif, le [projet] a également été extrêmement utile."
Christine Boyle, fondateur de Blue Horizon d'Insight et un expert sur les questions de l'eau de la Chine, dit que la question se résume à la façon dont on définit une sécheresse. En plus de sécheresses météorologiques invalidantes - périodes de faible pluviométrie - La Chine souffre également de sécheresses économiques qui se produisent lorsque la demande en eau dépasse l'offre. "Vous ne pouvez pas dire que la dérivation d'eau Sud-Nord est à l'origine une sécheresse météorologique," dit-elle. "Mais vous pouvez dire que ce est l'intensification une sécheresse économique." De nombreux agriculteurs chinois sont déjà pressés économique et les conditions météorologiques de plus en plus erratiques, peut-être liés au changement climatique - des hivers glacials, étés cloques, inondations et sécheresses - maintenant les poussant dans un état de urgence.
Le projet Sud-Nord de dérivation d'eau a commencé à envoyer l'approvisionnement en eau d'urgence à Pingdingshan à la mi-Août et, selon l'agence de presse officielle Xinhua , le détournement a été un succès. La ligne médiane a livré plus de 50m de mètres cubes d'eau pour le réservoir Baiguishan de la ville plus d'un mois et demi, il a dit: «soulager efficacement l'approvisionnement en eau rares de résidents d'un million-plus de la ville de Pingdingshan".
Alors que l'eau a coulé dans les robinets des citadins de Pingdingshan et les systèmes de refroidissement de ses centrales au charbon, les agriculteurs sur la périphérie de la ville ont été laissés à eux-mêmes. Chang Xiangdang, 40 ans, vit avec sa famille de six à Malou Village, population 1000, un amas dense de maisons de parpaings seulement quelques centaines de mètres du canal principal du projet. De sa petite parcelle de radis et le chou, digues en béton élevés se étendent à l'horizon et un sas en forme de voûte s'élève comme un mirage. "Le canal traverse notre ville, mais il n'y a pas moyen d'obtenir de l'eau, pas de trou dans le mur», a t-il dit. Les villageois comptent sur les eaux souterraines pour la baignade et la cuisine. Dans les années précédentes, ils pourraient creuser 20 mètres pour atteindre l'aquifère. Cette année, même puits de 80 mètres sont la marche à sec.
Chang a déclaré que le manque d'eau a jeté sa vie en flux. Comme Wang, l'agriculteur déplacées, il a renoncé à la récolte de maïs de cette année. Sa famille a été subsister sur un régime de rémunération que les fonctionnaires du projet lui a donné il ya quatre ans, quand ils réquisitionnés une grande partie de ses terres agricoles. Un autre été sec, dit-il, serait de le laisser dans la misère. Il a envisagé de prendre un travail de construction dans la ville. "Il n'y a pas plus d'eau ici», a t-il dit. "Je ferai ce qu'il faut pour survivre."
« Les Sections plus flagrantes du droit que j'ai rencontrés au cours de mon temps en tant que représentant »
Soumis par Tyler Durden le 12/12/2014 21:40-0500
Soumis par Mike Krieger via blog Liberty Blitzkrieg,
Décence, la sécurité et la liberté comme exigent que le gouvernement des fonctionnaires doivent être soumis aux mêmes règles de conduite qui sont des commandes pour le citoyen. Dans un gouvernement de lois, l'existence du gouvernement va être en péril s'il omet de respecter la loi scrupuleusement. Notre gouvernement est le puissant, le professeur omniprésent. En bien ou en mal, il enseigne tout le peuple par son exemple. La criminalité est contagieuse. Si le gouvernement devient un malfaiteur, il reproduit de mépris de la Loi ; Il invite chacun à devenir un droit à lui-même ; Il invite l'anarchie. De déclarer que, dans l'administration du droit criminel, la fin justifie les moyens — pour déclarer que le gouvernement peut commettre des crimes afin d'obtenir la condamnation d'un criminel privé — apporterait terrible châtiment. Contre cette doctrine pernicieuse cette Cour mette résolument son visage.
– Louis Brandeis, Justice de Cour suprême, en 1928
Alors que la plupart des américains sont occupés Christmas shopping et des préparatifs des voyages pour voir la famille, Congrès reste dur au travail, ce qu'elle fait le mieux. Distribuant des cadeaux à Wall Street et piétiner les libertés des citoyens.
Je savais que la plèbe étaient sur le point d'être vissé royalement il y a une semaine, lorsque j'ai publié le post : Wall Street se déplace aux contribuables de mettre sur le crochet pour les métiers dérivés. La pièce a conclu avec le texte suivant :
N'oubliez pas ce que veut Wall Street, Wall Street obtient. Avoir un grand week-end idiots.
Naturellement, Wall Street a obtenu ce qu'elle voulait. En effet, cette disposition a été si importante pour les oligarques financiers que Jaime Dimon appelé autour d'encourager les représentants de notre (Wall Street) à l'appui. Les rapports du Washington Post qui :
L'acrimonie qui a éclaté jeudi entre le président Obama et les membres de son propre parti en grande partie pivote sur un seul élément dans une pièce de 1 600 pages de législation pour garder le financé par le gouvernement : les banques puissent faire des investissements risqués en utilisant l'argent de contribuable dos ?
L'idée était répugnante de nombreux démocrates au Capitole. Et certains ont été stupéfaits que la maison blanche appuierait le projet de loi avec cette disposition intacte, étant donné qu'il effacerait une disposition clef de la Loi de réforme financière Dodd-Frank 2010, une des réalisations de signature de Obama.
Mais peut-être encore plus scandaleux pour les démocrates, c'était que la langue dans le projet de loi semble venir directement sous la plume des lobbyistes dans les plus grandes banques du pays, aides dit. La disposition était si importante pour les profits des entreprises qui le PDG de JPMorgan Jamie Dimon lui-même a téléphoné à des législateurs individuels pour les inciter à voter en sa faveur, selon une personne connaissant bien l'effort.
Les plus grandes banques du pays, dirigé par Citigroup, J.P. Morgan et Bank of America — ont fait pression pour le changement de Dodd Frank, qui leur avait donné une période d'années pour se conformer. Associations professionnelles représentant les banques, la table ronde les Services financiers et l'American Bankers Association, a souligné que les banques régionales appuient le changement aussi bien.
Mais la modification de la réglementation pourrait également stimuler les profits des grandes banques, c'est pourquoi ils poussent tellement durs pour passage, a déclaré Simon Johnson, ancien économiste en chef du Fonds monétaire International et professeur à la MIT Sloan School of Management.
« C'est parce qu'il y a beaucoup d'argent en jeu », a déclaré Johnson. « Ils veulent être en mesure de prendre de gros risques où ils obtiennent la hausse et le contribuable obtient l'inconvénient potentiel », dit-il.
Alors que c'est assez mauvais, le canard boiteux Congrès n'a pas clairement envisager son travail sans légiférer là le quatrième amendement. Voici une partie de ce que l'un des membres du Congrès, Justin Amash, a écrit sur Facebook seulement décents:
Lorsque j'ai appris que l'Intelligence Authorization Act pour l'exercice 2015 a hâte à l'étage pour un vote — avec peu de débats et qu'un vote de voix devrait (c'est-à-dire, simplement déclaré « passé » avec presque personne dans la chambre) — j'ai demandé à mes services législatifs examiner rapidement le projet de loi pour langage inhabituel. Ce qu'ils ont découvert est une des sections plus flagrantes du droit que j'ai rencontrés au cours de mon temps en tant que représentant : il accorde l'exécutif Direction des accès quasi illimité aux communications de chaque américain.
Mercredi après-midi, je suis allé à l'étage de la maison pour demander un vote par appel nominal sur le projet de loi afin de que tout le monde vote devra être enregistré. Aussi, j'ai envoyé la lettre ci-dessous à chaque représentant.
Avec plus de temps à passer le mot, nous aurait arrêté ce projet de loi, qui a passé de 325-100. Grâce aux 99 autres représentants — 44 républicains et 55 démocrates — qui ont voté pour protéger nos droits et faire respecter la Constitution. Et Merci à mon personnel incroyablement talentueux.
Bloquer de nouveau espionner les citoyens américains: voter « Non » sur H.R. 4681
Cher collègue :
Le projet de loi intelligence reconduction, dont le Parlement votera aujourd'hui, contient une nouvelle disposition troublante que pour la première par la Loi autorise l'emploi d'espionnage sur les citoyens américains sans procédure légale.
Hier soir, le Sénat a adopté une version amendée du projet de loi avec une 309 s nouvelle intelligence reauthorization — l'un la maison n'a jamais examiné. 309 s autorise « l'acquisition, la rétention et la diffusion » des communications non publiques, y compris celles vers et à partir de ressortissants américains. L'article prévoit que les communications privées des américains, obtenus sans ordonnance d'un tribunal, peuvent être transférées en application de la Loi nationale pour des enquêtes criminelles.
Pour être clair, 309 s fournit la première autorité statutaire pour l'acquisition, la rétention et la diffusion de communications privées des personnes américaines obtenues sans procédure légale comme une ordonnance du tribunal ou une citation à comparaître. L'administration peut procéder actuellement à cette surveillance aux termes d'une revendication du pouvoir exécutif, comme E.O. 12333. Cependant, Congrès a jamais approuvé d'utiliser le pouvoir exécutif de cette façon à capturer et utiliser des enregistrements téléphoniques privés des américains, des communications électroniques ou données en nuage.
Huile ne tradez cette faible pour toujours... Et les chinois le savent !
Soumis par germer argent le 12/12/2014 10:43-0500
Comme nous le savons tous, le prix du pétrole a chuté à un niveau que nous n'avons pas vu depuis plus de cinq ans, et cela aura évidemment des conséquences graves pour les Etats-Unis et la zone euro comme de grandes économies. Sur le prix actuel du pétrole, beaucoup des producteurs de pétrole et de gaz de gaz schiste sont presque le territoire où ils deviennent non rentables et pourraient avoir à arrêter leurs activités. Cela signifie qu'un plus faible prix du pétrole est à la fois une malédiction et une bénédiction pour les États. Beaucoup de personnes peut-être perdre leur emploi si certains puits de coût supérieurs devra être abandonnée, mais en revanche le plus bas prix du pétrole pourrait être profitable aux autres secteurs de l'économie industrielle américaine.
La réserve fédérale n'est pas inquiète, mais comme elle a dit qu'elle attend que le prix du pétrole bas à en effet la nouvelle relance de l'économie américaine de carburant comme les coûts des intrants vont baisser. La Banque centrale s'attend a ce que ses citoyens dépensent de l'argent supplémentaire qu'ils auront à la fin du mois au lieu de l'enregistrer. C'est une idée intéressante que nous serions extrêmement surpris de voir un 1 sur 1 compromis par lequel la totalité du montant des économies d'énergie servira à augmenter le schéma de consommation. En outre, un prix du pétrole plus bas permettra de réduire le taux d'inflation et qui pourrait être un effet secondaire qui ne ferait pas heureux car il prévoit d'augmenter les taux d'intérêt de référence dès l'année prochaine sur la réserve fédérale.
William Dudley, NY Fed. Source
La Fed est également haussant hors le problème d'emploi indiquant que pour, maintenant il ne pense pas que la baisse du prix du pétrole va s'intensifier et il n'y aura une réduction à court terme des investissements pétroliers et gaziers aux USA. Cela pourrait être un point de vue très optimiste, car plusieurs entreprises ont besoin d'un prix de pétrole plus élevé que 65 $ par baril pour être viable et nous ne serions pas surpris de voir bon nombre des suppressions d'emplois en 2015 si le prix actuel du pétrole persiste.
L'impact du prix du pétrole bas est beaucoup plus positif pour la zone euro, comme tous les pays de la zone euro sont des importateurs nets de pétrole. Cependant, on ne peut ignorer le facteur de taux de change des devises (voir image suivante). Le prix du pétrole pourrait ont chuté de 40 % en Dollar américain, mais la baisse du prix du pétrole a été beaucoup moins quand en regardant le prix du pétrole en Euro comme le Dollar américain a continué à renforcer par rapport à l'Euro. Le pétrole moins cher influencera évidemment aussi bien le taux d'inflation, et cela pourrait très bien être pire cauchemar de Mario Draghi qu'il cherche désespérément à obtenir le taux d'inflation jusqu'à son niveau souhaité de 2 %. Cependant, le prix du pétrole baisse va également stimuler le PIB de la zone euro et selon des estimations préliminaires la baisse actuelle ajoutera environ 0,3 à 0,4 % du PIB pendant la première année après l'huile baisse de prix et ajoutera environ 0,8 % pour les trois premières années.
C'est évidemment très encourageant qu'un taux plus élevé de la croissance économique pourrait être beaucoup mieux pour les finances publiques des États membres de la zone euro ainsi que d'aider ces pays à maintenir son ratio dette/PIB sous contrôle. Il semble que la zone euro se prépare pour une tempête parfaite positive. Un Euro moins cher sera bon pour l'exportation de biens et services, tandis que le prix du pétrole plus bas permettra de réduire le coût de production initiale de plusieurs marchandises liées à l'exportation. Si vous jetez les taux d'intérêt plus bas dans le mélange ainsi, vous commencerait presque à penser que la zone euro pourrait être prête à bénéficier énormément le prix de bas niveau d'huile.
Un autre pays qui profite du prix du pétrole est la Chine. Le pays a déclaré vouloir plus que doubler ses réserves stratégiques de pétrole à l'intérieur de la Chine, et nous avons entendu plusieurs rapports émanant du secteur que la Chine intensifie efficacement la plaque et achète des quantités énormes de pétrole brut à des tarifs de vente de feu. Cela est clairement visible dans les tarifs de la Charte des pétroliers qui ont augmenté de façon exponentielle.
Par Reuters Afrique:
Rémunération moyenne de VLCC sur le Moyen-Orient et le Japon itinéraire cela année ont atteint le plus haut niveau depuis 2010, a déclaré Ralph Leszczynski, directeur de recherche à courtier italien Banchero Costa.
« Salaire moyen sur la route de moyen Orient-Asie jusqu'en 2014 sont $ 22 000 par jour, contre $ 32 000 par jour en 2010. Mais C'est toujours bien mieux que les trois dernières années,"dit-il Reuters vendredi
Il y a un résultat binaire pour le prix actuel du pétrole. Soit vous panique ou vous essayez de voir l'avantage et la possibilité de l'huile de faible coût. La Chine est en profitant de la situation et même la monnaie axée sur l'inflation blocs comme le USA et la zone euro voient les avantages. Tout comme un prix de l'or baisse, un prix du pétrole chute pourrait être quelque chose à prendre avantage de lors de la perte fiscale saison de vente.
Comme je l'ai toujours dit, baissez/supprimez les (=^ù*) de taxes voleuses sur le pétrole et n'importe quel pays est remis sur pieds en moins d'un mois ! Mais de çà, les gouvernements scélérats n'en veulent pas ! Ils veulent continuer à ruiner TOUS les habitants d'un pays et engagent même les avoirs de chacun en répondants de la dette qu'ils ont volontairement mis sur pieds ! C'est-à-dire que la TOTALITÉ des biens devra être saisie comme le sont actuellement les fragments (ports, aéroports, centrales électrique, transports ferroviaire, hôtels de luxe, etc) pour être la propriété de pays étrangers obligeant chacun à changer radicalement de système politique et religion sous peine de mort.
Remboursement de la dette est maintenant presque mathématiquement Impossible
Soumis par Tyler Durden le 12/12/2014 19:52-0500 Soumis par Simon Black via souverain homme blog
Exactement de 199 ans, en 1815, un Comité « temporaire » a été créé dans le Sénat américain, appelé le Comité sur les finances et la monnaie nationale uniforme.
Il a été mis en place pour traiter des questions économiques et la dette accumulée par le gouvernement américain après la guerre de 1812.
Bien sûr, parce qu'il n'y a rien de plus permanent qu'une mesure de gouvernement provisoire, le Comité est devenu un permanent après une seule année.
Il a rapidement étendu son rôle d'augmenter les tarifs pour avoir une influence sur la fiscalité, banques, monnaie et crédits.
Dans des guerres ultérieures, notamment la guerre de sécession, le Comité s'est empressé d'utiliser ses pouvoirs et a présenté le premier impôt sur le revenu de l'union. Ils également détaché le dollar de l'or pour aider à financer la guerre.
Ce fut toute une indication des choses à venir.
Au cours des décennies suivantes, il y avait une pression soutenue pour enfin mettre en place la Banque centrale du pays qui va contrôler la monnaie et du crédit, mais aussi instituer un impôt sur le revenu permanent pour nourrir les aspirations en expansion du gouvernement.
Ils ont réussi en 1913 quand la Loi de la réserve fédérale a été adoptée et a ratifié l'amendement 16, engageant le pays dans le carcan des banques centrales et de la fiscalité des revenus.
Au cours du siècle qui a suivi, les États-Unis a cessé d'être le plus grand créancier du monde à son plus gros débiteur.
Décennies d'élargir des programmes gouvernementaux, des déchets, interminables et coûteuses guerres, etc. ont accumulé tel un pieu énorme de la dette qu'il est devenu presque impossible de le payer vers le bas.
Beaucoup de gens ne réalisent pas que, depuis la fin de la seconde guerre mondiale, les recettes fiscales du gouvernement américain a été presque constante à environ 17 % du PIB.
En d'autres termes, même si les taux d'imposition réel se montent et descendent, « tranche » par le gouvernement du gâteau économique est presque toujours le même - 17 %.
J'ai travaillé sur un modèle mathématique qui montre que, même avec des hypothèses absurdes (7 % + la croissance du PIB pour les années en un temps, faibles taux d'intérêt, etc.), il n'est simplement pas possible pour le gouvernement américain à « grandir » voie de disparition.
Valeur par défaut est devenue la seule option. Et cela pourrait signifier un certain nombre de choses.
Ils pourraient par défaut sur leurs créanciers (autres gouvernements comme la Chine, qui a prêté de l'argent au gouvernement américain). Mais cela pourrait déclencher une crise financière et bancaire.
Ils pourraient par défaut sur la réserve fédérale, qui possède des milliers de milliards de dollars nous dette. Mais cela créerait une crise de change épique pour le dollar américain.
Ils pourraient également par défaut sur leurs obligations envers leurs citoyens — principalement aux futurs bénéficiaires de la sécurité sociale (qui détiennent collectivement billions de dollars de la dette américaine).
Ou ils peuvent choisir par défaut sur leurs obligations envers chaque être humain vivant qui détient... les dollars américains et l'inflation galopante de l'ingénieur. Aucun d'entre eux est une bonne option. Et tout simplement, le gouvernement américain a atteint un point de non-retour.
Je vise à illustrer cela à vous dans l'épisode du podcast vidéo d'aujourd'hui. C'est une réalisation très décevant.
C'est pourquoi, lors de la création d'une 'République' ou 'Confédération' le fil ne doit JAMAIS être perdu, car, les professionnels de l'embrouille sont vite là pour escroquer tous le monde et inventer de l'argent qui n'existe pas pour que complices ferment leur gueule !
Le spectre de Poutine hante l'hégémonie impériale des Etats-Unis et de l'Europe
Alberto Rabilotta El Correo jeu., 11 déc. 2014 19:10 CET
Au vu des réactions viscérales des hommes politiques à Washington et dans les capitales de l'Union Européenne ainsi que de leurs scribes [1], nous pouvons aujourd'hui affirmer sans l'ombre d'un doute, en paraphrasant le Manifeste Communiste, qu' « un spectre hante les Etats-Unis et l'Europe » : le spectre de Vladimir Poutine.
L'escalade des menaces militaires, des sanctions commerciales, économiques, financières et la propagande politique et idéologique virulente contre « la Russie de Poutine » s'accroît de jour en jour. La Chambre des Représentants du Congrès des Etats-Unis vient d'adopter (411 voix pour et seulement 10 contre) une résolution qui a déjà été qualifiée de première phase d'une « déclaration de guerre » contre la Russie, condamnant ce pays pour sa poursuite d'une « agression politique, économique et militaire (et) la violation permanente de la souveraineté, l'indépendance et l'intégrité territoriale de l'Ukraine, la Géorgie et la Moldavie ».
Le Représentant à l'initiative de cette résolution, Adam Kinsinger, a exhorté « les Etats-Unis, l'Europe et nos alliés à maintenir agressivement la pression sur Monsieur Poutine afin qu'il change de comportement » [2].
L'ex-Premier ministre Mikhaïl Fradkov, aujourd'hui Chef du Service russes de renseignements extérieurs de Russie, a déclaré à l'agence Bloomberg que le gouvernement russe était conscient des efforts des Etats-Unis pour « sortir Poutine du pouvoir ». « Nous avons remarqué ce désir, qui n'est pas si secret. Personne ne veut voir une Russie forte et indépendante » (Russian Spy Chief Blames U.S., EU for Ruble, Oil Price Collapse. By Ilya Arkhipov. Blomberg, 4 décembre 2014).
Il est on ne peut plus évident, Poutine l'a dit lui-même le 4 décembre de cette année dans son discours devant l'Assemblée Fédérale, évoquant les sanctions appliquées par l'OTAN à son pays :
« celles-ci ne sont pas uniquement un réflexe rotulien (knee-jerk) de soutien aux Etats-Unis ou à ses alliés suite à notre prise de position lors du coup (d'Etat) en Ukraine, ou même lors du dit Printemps de Crimée. Je suis certain que si ces faits ne s'étaient jamais produits - je tiens tout spécialement à souligner ceci pour vous, hommes politiques présents dans cet auditoire - si rien de tout ceci ne s'était jamais produit, alors ils auraient trouvé n'importe quelle autre excuse pour tenter d'endiguer les capacités croissantes de la Russie, pour porter atteinte à notre pays d'une manière ou d'une autre, y compris en cherchant à en tirer profit ». [3]
Pourquoi Poutine ?
Le fait que Poutine soit le Chef d'Etat de la seule superpuissance en matières d'armes nucléaires et conventionnelles capable de mettre un frein et le cas échéant de répondre dans les actes à la politique d'agressions militaires, économiques et politiques menées par l'impérialisme états-unien et l'OTAN pour assurer l'hégémonie néolibérale, apporte un début de réponse à cette question.
Pour compléter cette réponse, il est nécessaire de dire que Poutine fait preuve d'un grand réalisme et de convictions politiques fortes, ce qui explique sa popularité dans son propre pays et dans un grand nombre d'autres pays et cela parce qu'il parle franchement et clairement - mais sans agressivité - en montrant qu'il existe des voies de négociation pour parvenir à résoudre les conflits, et prend rapidement les mesures adéquates pour assurer la défense de son pays.
Et ce que pense le Président de la Russie correspond clairement et précisément aux aspirations de son peuple (et de beaucoup d'autres), comme par exemple celle de ne pas avoir à se soumettre au « diktat » de Washington et de ses alliés sous peine de se voir infliger des sanctions, ou celle de pouvoir exercer sa souveraineté nationale et populaire au profit de la protection de la société, du développement social, économique et culturel [4]
Le dirigeant russe aspire à pouvoir contribuer à mettre un terme au chaos qui règne dans les relations internationales et régionales, chaos induit par l'unipolarité que connait le monde depuis l'effondrement de l'Union Soviétique. Il aspire à pouvoir négocier la création d'un ordre international qui permette à la Russie et aux autres pays d'entretenir des relations sur un pied d'égalité, dans un climat de paix, de coopération et de dialogue constructif.
Le fait que le Chef d'Etat de la Russie se déclare antiimpérialiste dans les faits, et de plus en plus dans les paroles, est déjà en soi impardonnable, mais pire encore est le fait que sa position dans les affaires politiques, économiques et sociales reflète, au sens large, les aspirations nationales légitimes de la majorité des peuples, y compris de certains de ceux qui font partie de l'Union Européenne : « Si pour certains pays européens l'orgueil national est un concept oublié depuis fort longtemps et la souveraineté un luxe exagéré, la Russie a quant à elle besoin d'une véritable souveraineté pour survivre » [5].
Et, comme si cela ne suffisait pas, le Président russe vient de doter son pays de médias, comme Russia Today (RT), pour porter à la connaissance du monde entier la véritable politique de l'impérialisme ainsi que les alternatives politiques que propose son pays. Cela est impardonnable, nous le savons bien nous qui travaillons depuis des décennies dans des médias qui dénoncent la politique impérialiste agressive que les Etats-Unis mènent depuis plus d'un demi-siècle à l'encontre de Cuba et d'autres pays [6].
Cela affecte les intérêts et les plans d'hégémonie impériale !
Dans une note à part j'ai mis à la disposition des lecteurs mes traductions de l'anglais à l'espagnol de quelques paragraphes importants de deux discours de Poutine pour montrer des initiatives et des faits réels qui sont occultés par la propagande occidentale.
Mais il est évident que, pour expliquer tant la position de la Russie que la situation mondiale en général, nous devons partir de la constatation suivante : le néolibéralisme, tout comme les libéralismes antérieurs, tente d'instaurer des formes de capitalisme « pures », un capitalisme qui ne serait pas contaminer par les politiques d'intervention étatique (depuis les mesures sociales de Otto von Bismarck en 1883 et celles du bien-être du New Deal des années 1930) et qui serait totalement « décontaminé » des idées et des politiques sociales des démocrates, qu'ils soient bourgeois, chrétiens, socialistes ou communistes.
Les expériences des phases libérales du capitalisme au cours des 19e et 20e siècles ont montré leurs conséquences désastreuses pour l'économie, les institutions et les sociétés des pays où il fut implanté, y compris dans les pays impérialistes eux-mêmes. Il convient de rappeler ici, que le fascisme a été et continue d'être une conséquence du libéralisme, comme l'a indiqué l'historien de l'économie Karl Polanyi, en 1944, et comme Poutine le laisse entendre aujourd'hui [7].
L'hégémonie que recherche désespérément et agressivement l'empire néolibéral sous la houlette des Etats-Unis et de l'Union Européenne - l'utopie d'un capitalisme pur et universel - ne pourra se concrétiser et encore moins se maintenir si des alternatives socioéconomiques nationales et régionales - apportant des réponses démocratiques aux maux dont souffrent les peuples, y compris dans les pays les plus avancés de l'empire, existent et prospèrent.
L'impérialisme néolibéral ne peut accepter la coexistence avec des alternatives de développement socioéconomique de type capitaliste ou mixte qui obtiennent des résultats positifs, parce sa nature même le mène à ne bénéficier qu'aux oligarques des monopoles et au grand capital financier, détruisant ainsi la libre concurrence qui est pourtant théoriquement le credo du capitalisme et jetant les bases d'un régime franchement antisocial et antidémocratique.
La réalité concrète dans les pays du « capitalisme avancé », ce sont des politiques d'austérité qui profitent aux monopoles et à l'oligarchie dominante et provoquent le chômage chronique et massif, qui empêchent les jeunes d'accéder à un emploi et de s'intégrer socialement, autrement dit leur ferment les portes du futur.
Ce sont des politiques de dissolution sociale et d'appauvrissement des masses dans le seul but de concentrer la richesse entre les mains de un pour cent (voire moins) de la pyramide sociale. C'est la privatisation des services publics et la diminution ou suppression des programmes sociaux d'accès gratuit à ces services qui caractérisent les politiques néolibérales.
Ceci explique le rejet et les réactions agressives de l'empire face aux alternatives socioéconomiques - comme dans les pays d'Amérique latine, d'Asie ou en Russie, entre autres -, où les Etats interviennent dans les économies, régulant et parfois même planifiant le secteur industriel privé afin d'en assurer le développement, cherchant à éviter que les monopoles extracteurs des ressources naturelles nationales n'étranglent les finances publiques en détournant les devises provenant des exportations afin d'alimenter leurs comptes dans des paradis fiscaux ou de participer à la spéculation financière globale.
Sans ces contrôles et ces ressources il est impossible de collecter des impôts et de faire entrer des devises pour financer les plans nationaux de développement économique, la création, le maintien et l'augmentation des programmes sociaux (au lieu de les supprimer), le développement des plans d'éducation et de santé publique, le soutien aux familles et l'amélioration des pensions des retraités, politiques essentielles pour générer des emplois au lieu de développer le chômage, assurer l'intégration sociale et le renforcement de la démocratie.
La plupart de ces alternatives socioéconomiques ne dépassent pas le cadre d'un système capitaliste « mixte ». Elles constituent cependant une grave menace pour le système néolibéral parce qu'elles sont en train de prendre de l'importance au niveau régional dans le développement de projets de coopération économique, financière et monétaire, comme c'est le cas des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud), des Caricom, Mercosur, ALBA, Unasur et CELAC en Amérique latine, sans parler du processus régional de dimension gigantesque que supposent les accords de coopération et de planification conclus entre la Russie et la Chine.
Objectivement, comme me le disait récemment l'économiste canadienne Kari Polanyi Levitt, alors que dans les principaux pays du capitalisme où est appliqué le néolibéralisme le panorama social, économique et politique s'obscurcit pratiquement chaque jour, dans plusieurs pays anciennement périphériques du continent eurasien et d'Amérique latine les économies se développent, la pauvreté recule et le niveau de développement socioéconomique augmente grâce à l'intervention de l'Etat et à la promotion de la propriété sociale. La planification régionale de ces intégrations pourrait permettre que cette tendance se maintienne au moment même où pointe une nouvelle crise financière et économique à l'échelle mondiale (voir Estancamiento con deflación redoux, Oscar Ugarteche, ALAI en esp.).
Il est évident que Poutine avance et agit, avec chaque fois plus de détermination, pour mettre fin au chaotique monde unipolaire qu'implique l'hégémonie néolibérale. Il s'agit là d'une politique antiimpérialiste. De son côté, l'impérialisme n'oublie pas que s'il fut contraint de faire des concessions qui aboutirent à la création de « sociétés de l'Etat bienfaiteur » , c'est-à-dire à la redistribution des richesses, depuis la fin de la Seconde guerre mondiale jusqu'au début des années 1970, cela était dû au rapport de forces à l'intérieur - syndicats puissants et actifs, partis communistes et autres forces de gauche - et au niveau international - une Union Soviétique qui avait gagné la guerre contre le fascisme et qui était une superpuissance militaire avec un projet socioéconomique alternatif.
La chute de l'Union Soviétique et la fin de la Guerre Froide, comme le rappelle Poutine, ont mis un terme à cette compétition entre systèmes différents et les Etats-Unis se sont proclamés vainqueurs. A partir de ce moment-là, il est facile de comprendre les raisons pour lesquelles l'impérialisme cherche à déstabiliser, à encercler et à isoler dans le but de renverser le moment venu les gouvernements qui participent à la création d'alternatives socioéconomiques nationales et régionales, comme c'est le cas en Russie, Chine, Venezuela, Cuba, Bolivie, Argentine, Equateur, etc.
La seule chose qui pourrait mettre fin à ce projet impérial démentiel serait de poursuivre et d'amplifier le mouvement de ces alternatives socioéconomiques régionales afin d'établir dans les faits un ordre multipolaire plaçant toutes les nations sur un pied d'égalité, protégeant le droit des peuples à décider de leur système socioéconomique, interdisant le recours unilatéral ou multilatéral à la force pour résoudre les conflits internes et extérieurs et n'acceptant que des solutions négociées par voie politique et diplomatique, entre autres éléments importants.
C'est là, dans les grandes lignes, le programme du gouvernement de Vladimir Poutine.
Traduit de l'espagnol pour El Correo par : Marie-Rose Ardiaca
Notes
[1] What comes after Putin could be worse , Editorial du 3 décembre 2014 de l'Agence Bloomberg
[2] House of Representatives passes resolution against Russia . RT, Moscou, 4 décembre 2014.
[3] Discours du Président Vladimir Poutine devant la XIe Assemblée de la Fédération de Russie (en anglais). Discours devant le Club de Discussions Internationales Valdaï, Sotchi, 24 octobre 2014 (en anglais)
[4] Voir l'excellente analyse de Atilio Boron, « Un discours historique ». El Correo. Paris, 1er décembre 2014.
[5] Discours de Poutine à l'Assemblée fédérale de Russie, le 4 décembre 2014, le Saker francophone. Première partie publiée en français le 05-12-2014 et deuxième partie le 08-12-2014.
[6] Les Etats-Unis et leurs alliés sont revenus à l'époque de la Guerre Froide lorsqu'ils cherchaient à faire taire par tous les moyens possibles, y compris en cherchant à faire taire les agences de presse, les medias progressistes et les journalistes qui dénonçaient les politiques et les agissements de l'impérialisme. A présent, ils cherchent à faire taire RT. 'They'll try to shut you down' : Meeting Assange & the non-stop 'War on RT' , par Margarita Simonyan, éditorialiste de RT
[7] Dans le chapitre « L'histoire dans l'engrenage du changement social » de son livre La Grande Transformation, l'intellectuel hongrois Karl Polanyi écrivait en 1944 « si jamais il y a eu un mouvement politique qui répondait aux besoins d'une situation objective au lieu d'être la conséquences de causes fortuites, c'est bien le fascisme. Dans le même temps, le caractère destructeur de la solution fasciste était évident. Elle proposait un moyen d'échapper à une situation institutionnelle sans issue et elle était, pour l'essentiel, la même dans un grand nombre de pays. Néanmoins, recourir à ce remède revenait à répandre partout une maladie mortelle. C'est ainsi que périssent les civilisations (...). La solution fasciste pour sortir de l'impasse dans lequel s'était fourvoyé le capitalisme libéral peut être interprétée comme une réforme de l'économie de marché menée au prix de l'extirpation de toutes les institutions démocratiques, à la fois dans le domaine des relations industrielles (dissolution ou soumission des syndicats et annulation des acquis des travailleurs, ndlt) et dans celui de la politique. Le système économique qui menaçait de se casser devait alors revivre, tandis que les populations seraient soumises à une rééducation destinée à dénaturaliser l'individu et à le convertir en un être incapable de fonctionner en tant qu'unité responsable d'un corps politique ».
Il est NULLEMENT besoin de 'décerner' le Prix Machin-Truc-Chouette de la Paix en grande pompes aux vues misérables de ce que le 'Nobel de la Paix' s'est revêtu. Chacun des habitants de la Terre est libre de choisir le Président russe comme symbole de paix plutôt que son opposant dont ses citoyens ont du mal à dire d'où ils viennent quand ils sont en vacances à l'étranger !!
Le traité européen est un statut colonial pour l’europe
12 décembre 2014 Jean-Jacques Hector
Préambule
Je trouve tout a fait excellent ce texte qu’un bon ami m’a envoyé, à tel point que je dois absolument le publier tout de suite même s’il date de septembre dernier, soit de trois mois. Je voudrais seulement critiquer une contradiction en fin d’article, où il propose comme modèle la Déclaration d’indépendance américaine de 1776, alors qu’elle a directement engendré le monstre que les USA ont toujours été. Le fardeau de l’homme blanc (?) Einar Schlereth (saker allemand)
L’Europe sera de plus en plus impliquée dans les guerres américaines et les crises financières. Le projet de Constitution européenne (appelé maintenant Accord d’amendement) est un statut colonial capitaliste néolibéral, mis en place par les USA pour les États-Unis d’Europe. Avec ce traité, la condition de vassalité des règles européennes sera gravée dans le marbre. Les peuples d’Europe perdent leurs droits à l’autodétermination et leurs libertés démocratiques.
Les libertés capitalistes débridées laissées aux organisations et aux entreprises internationales s’appliquent également aux États-Unis et refoulent les valeurs et les traditions culturelles humanistes et sociales des Européens. La séparation des pouvoirs est mise de côté. La Commission européenne, en tant qu’organe non démocratique de législation et d’exécution, veille à s’adapter totalement aux conditions américaines.
Les bénéfices du travail des Européens et les réserves qu’il ont constituées se déversent dans des fonds américains. Les Offres publiques d’achat (OPA) hostiles sur les sociétés européennes sont facilitées par la législation de l’Union européenne. L’Europe finance les guerres irrationnelles universelles de l’Amérique contre le Mal. L’ancrage de la suprématie de l’Otan dans le traité constitutionnel de l’Union européenne (ou Accord d’amendement) transforme enfin l’Europe en tête de pont des États-Unis en Eurasie et en théâtre potentiel de guerre. Les services de renseignement et la présence militaire américaine en Europe sont assimilables à ceux d’une puissance occupante.
La population ne sera pas informée, mais au contraire trompée sur la stratégie de domination américaine. L’économie capitaliste profite de la modernisation et de l’industrie de guerre. Le coût de la vie augmentera. Les travailleurs seront malmenés, les collaborateurs et les spéculateurs s’enrichiront. Les conquêtes de l’époque des Lumières seront perdues. Une inconcevable attaque contre la raison (Al Gore), contre l’humanité, et la dignité humaine, contre la Constitution et le droit international, feront régresser l’Europe au temps des ténèbres du Moyen-Âge. Les atrocités seront monnaie courante. Les croyances religieuses tolérantes, la charité et la miséricorde seront évincées par des croyances religieuses fondamentalistes et des doctrines sectaires.
La puissante combinaison de la puissance et de la richesse a remplacé les valeurs nationales et religieuses. Les gens sont manipulés. Mais les peuples d’Europe sauront rétablir la liberté, la démocratie, l’indépendance, l’autodétermination et l’indépendance. La déclaration d’indépendance américaine de 1776 pourrait en être le modèle. Le soulèvement européen a déjà commencé.
Dr Erich Schäfer 1er septembre 2014 Publié initialement en allemand par Einar Schlereth, traduit en français par Jean-Jacques pour vineyardsaker.fr Source : EU-Vertrag ist Kolonialstatut für Europa (vineyardsaker, allemand, 11-12-2014)
Dilma Rousseff, la présidente du Brésil, pays membre des BRICS, est la prochaine cible de Washington
12 décembre 2014 The French Saker
Le 26 octobre dernier, Dilma Rousseff a survécu à la massive campagne de désinformation du département d’État US, en gagnant les élections présidentielles à l’arraché contre le candidat soutenu par les USA, Aecio Neves. Cependant, Washington a ouvert un nouveau front contre celle qui est l’un des dirigeants phares du groupe des économies émergentes non alignées, désignées par l’acronyme BRICS, à savoir le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud.
Avec sa gamme complète d’assauts financiers pour affaiblir la Russie de Poutine, et une série de déstabilisations visant la Chine, comme la récente révolution des parapluies à Honk Kong, financée par les USA, la présidente du Brésil, aux valeurs objectivement de gauche, est une cible prioritaire afin de stopper ce contrepoids émergeant, face au nouveau (dés-)ordre mondial de Washington.
La raison qui pousse Washington à se débarrasser de Rousseff est claire. En qualité de présidente, elle est un des cinq dirigeants des BRICS qui ont signé la formation d’une banque de développement pesant 100 milliards de dollars, et un fonds de monnaie de réserve de devises valant également 100 milliards de dollars. Elle soutient aussi l’idée d’une nouvelle devise de réserve internationale pour suppléer, et à terme remplacer le dollar. Elle est soutenue par des millions de Brésiliens à faibles revenus, qui sont sortis de la pauvreté grâce à divers programmes sociaux, en particulier la Bolsa Familia, un programme de subsides économiques pour les mères et les familles pauvres.
Ledit programme a permis à quelque 36 millions de familles d’échapper à la pauvreté, grâce à Rousseff et aux politiques économiques de son parti, lesquelles donnent des boutons à Wall Street et à Washington.
La campagne électorale, financée par les USA, conduite par sa rivale, Aécio Neves du parti social-démocrate brésilien (Partido da Social Democracia Brasileira – PSDB), en réalité servait les intérêts des financiers et de leurs alliés à Washington.
Le conseiller en chef de Neves en matière économique, qui aurait été nommé ministre des Finances si elle avait été élue présidente, était Arminio Fraga Neto, un ami proche et ancien associé de Soros et de son fonds d’investissement « Quantum ». Le conseiller personnel de Neves, et son probable ministre des Affaires étrangères, eût-elle gagné, était Rubens Antônio Barbosa, ancien ambassadeur du Brésil à Washington, et aujourd’hui un dirigeant au conseil d’entreprise d’ASG, basée à Sao Paulo.
La société ASG est le groupe de consulting de Madeleine Albright, ancienne secrétaire d’État US durant les bombardements en Yougoslavie. Albright, directrice au sein de l’influant think tank, Council on Foreign Relations (Comité des relations étrangères), est aussi membre de la toute grande ONG du gouvernement US s’occupant des Révolutions de couleur, l’Institut de démocratie nationale (IDN). Sans surprendre personne, Barbosa, durant la campagne récente, appelait à un renforcement des relations du Brésil avec les USA, et à l’atténuation des liens déjà forts avec la Chine, développés par Rousseff au moment où étaient révélées les écoutes d’espionnage US effectuées par la NSA sur Rousseff et son gouvernement [1].
Le scandale de corruption qui sort du chapeau…
Durant cette dure campagne électorale entre Rousseff et Neves, le camp de ce dernier commença à lancer des rumeurs sur Rousseff, qui jusqu’alors n’avait jamais été éclaboussée par quelque affaire de corruption que ce soit (une réalité très commune parmi les politiciens brésiliens), insinuant que cette dernière avait trempé dans un scandale impliquant le géant pétrolier national, Petrobas. En septembre, un ancien directeur de cette entreprise affirmait que des membres du gouvernement de Rousseff avaient reçu des commissions pour des contrats signés avec le géant pétrolier, des enveloppes bien garnies pour acheter des parlementaires.
Rousseff a été jusqu’en 2010 membre du comité directeur de la compagnie [2]. Et le 2 novembre, quelques jours après la victoire ardue de Rousseff, la société US de comptabilité, PriceWaterhouseCoopers, refusait d’avaliser les comptes de troisième trimestre de Petrobras. PWC exigea de plus amples expertises concernant le scandale de corruption impliquant la société publique pétrolière [3].
PriceWaterhouseCoopers est une des firmes US de comptabilité les plus entachées par des scandales. Elle est liée à quatorze ans de dissimulation de fraude du groupe d’assurances AIG, entreprise qui fut au cœur de la crise financière US de 2008. Et la chambre des Lords britannique, en 2011, devait critiquer PWC pour ne pas avoir souligné les risques du plan financier appliqué par la banque Northern Rock, un désastre conséquent durant la crise financière de l’immobilier britannique en 2008, qui avait été renflouée par le gouvernement UK. Les attaques contre Rousseff ne font que commencer, nous pouvons en être sûrs…
La vision du monde de Rousseff
Ce n’est pas seulement l’alliance de Rousseff avec les pays du BRICS qui fait de celle-ci un objectif de déstabilisation de première importance pour Washington. Durant son mandat, le Brésil corrige rapidement sa vulnérabilité aux systèmes US de surveillance électronique de la NSA.
Quelques jours après sa réélection, la firme publique Telebras annonçait le projet de construction d’un câble de télécommunications sous-marin en fibre optique à travers l’Atlantique sur 3 500 miles (environ 5 600 km), depuis la ville brésilienne de Fortaleza jusqu’au Portugal. Cela constitue une rupture flagrante, pour les communications transatlantiques, avec la domination technique US. De fait, le président de Telebras, Francisco Ziober Filho, déclarait lors d’un entretien que ce projet n’inclurait aucune compagnie US [4].
Les révélations de Snowden au sujet de la NSA, en 2013, ont dévoilé, parmi d’autres choses, les liens étroits entre des entreprises de pointe en matière de technologies de télécommunication, comme Cisco Systems ou Microsoft, avec les services de renseignements US. Il rappelait que « la problématique de l’intégrité des données et leur vulnérabilité est toujours un objet d’inquiétude pour toute compagnie de télécommunications ». Le Brésil a réagi aux écoutes de la NSA en entreprenant de massifs audits de tous les équipements fabriqués à l’étranger, afin d’estimer leur vulnérabilité en matière de sécurité, et a accéléré son processus d’indépendance technologique dans le domaine des communications sécurisées, selon le chef de Telebras.
Jusqu’à ce jour, à peu près toutes les communications trans-atlantiques transitaient par la côte Est des USA vers l’Europe et l’Afrique, un avantage déterminant en matière d’espionnage, pour Washington.
En réaction aux révélations de Snowden, le gouvernement de Rousseff mit un terme à tout accord contractuel avec Microsoft, en ce qui concerne les services de courrier Outlook.
Au contraire, le Brésil travaille de plus en plus de manière nationale, avec son propre système de courriel électronique appelé Expresso, développé par la société publique Servico Federal de Processamento de Dados (Serpro). Expresso est déjà utilisé par 13 des 39 ministères brésiliens. Le porte-parole de Serpro, Marcos Melo, déclarait : « Expresso est 100 % sous notre contrôle ». Vrai ou faux, il est clair qu’avec Rousseff et son parti, le Brésil poursuit ce qu’elle considère comme étant le meilleur intérêt national [5].
Le pétrole dans le monde, aussi un enjeu
Le Brésil s’éloigne aussi de la main mise anglo-américaine dans l’exploration pétrolifère ou gazière. Fin 2007, Petrobras découvrait ce qui est considéré comme une immense réserve de pétrole de haute qualité, et ce au large du continent brésilien, dans le bassin du Santos. Depuis lors, Petrobras a foré onze puits dans ce bassin, tous prometteurs.
Dans les seules régions de Tupi et Lara, Petrobras estime qu’il y a entre 8 et 12 milliards de barils de pétrole à exploiter, ce qui peut presque doubler les réserves brésiliennes de pétrole. Au total, le gisement continental brésilien pourrait contenir plus de 100 milliards de barils, transformant le pays en une des grandes puissances pétrolières et gazières, des réserves qu’Exxon et Chevron, les géants US, ont tenté avec acharnement de contrôler [6].
En 2009, selon des billets diplomatiques US révélés et publiés par le site Wikileaks, le consulat US de Rio notait qu’Exxon et Chevron s’efforçaient en vain de faire modifier une loi proposée par le mentor de Rousseff, et son prédécesseur au parti des travailleurs brésiliens, le président Luis Inacio Lula da Silva, dit Lula.
Cette loi de 2009 faisait de la société d’État Petrobras l’opérateur en chef de toutes les zones de forage au large des côtes [7]. Washington et les géants US du pétrole étaient furieux de perdre le contrôle sur ce qui était potentiellement l’unique découverte majeure de réserve de pétrole depuis des décennies.
Pire, aux yeux de Washington, non seulement Lula avait poussé vers la sortie ExxonMobil et Chevron, en donnant le contrôle stratégique à la société publique Petrobras, mais il ouvrit aussi la voie à l’exploration pétrolifère de l’espace brésilien à la Chine. En décembre 2010, lors de l’un de ses derniers actes officiels en qualité de président, il supervisa la signature d’un accord entre la société hispano-brésilienne Repso, et la société d’État chinoise Sinopec International Petroleum Service, opérant au Brésil, et cela dans le cadre d’une nouvelle alliance stratégique entre la Chine et le Brésil, un meneur actuel dans l’organisation des BRICS [8].
Washington n’était pas ravi…
En 2012, durant un forage d’exploration conjoint, regroupant Repsol Sinopec Brazil, la compagnie norvégienne Statoil et Petrobras, une découverte majeure fut faite à Pão de Açúcar, troisième puits du bloc BM-C33, qui inclut le Siège et Gávea, ce dernier site étant une des dix plus grandes découvertes de 2011. Les USA et la Grande-Bretagne étaient absolument absents [9].
Comme les relations entre le gouvernement de Rousseff et la Chine, ainsi qu’avec la Russie et les autres partenaires des BRICS s’intensifiaient, en mai 2013 le vice-président Joe Biden se rendit au Brésil où son agenda se résumait aux développements gaziers et pétroliers. Il rencontra la présidente Dilma Rousseff, qui succéda à son mentor Lula en 2011. Biden rencontra aussi des entreprises en énergie d’importance au Brésil, notamment Petrobras [10].
Peu de cela fut rendu public, mais Rousseff refusa de modifier la loi sur le pétrole de 2009 en des termes favorables à Biden et à Washington. Quelques jours après la visite de Biden surgirent les révélations de Snowden sur la NSA, faisant notamment savoir que les USA avaient aussi espionné Rousseff et de hauts cadres de Petrobras. Elle était livide, et dénonça l’administration d’Obama en septembre devant l’Assemblée générale de l’ONU pour violation de la loi internationale. Elle annula une visite planifiée à Washington en signe de protestation. Après cela, les relations US-Brésil prirent l’eau…
Avant la visite de Biden en mai 2013, Dilma Rousseff bénéficiait d’une cote de popularité de 70 %. Moins de deux semaines plus tard, des protestations d’échelle nationale, bien organisées par un groupe appelé Movimento Passe Livre, se mobilisaient contre une augmentation de dix centimes du ticket de bus, amenant le pays virtuellement à l’arrêt, et tombant dans la violence [11]. Les manifestations portaient la marque des typiques révolutions de couleurs ou déstabilisations à la Twitter, qui semblent suivre Biden où qu’il se rende. En quelques semaines, la popularité de Rousseff chuta à 30 %.
Washington avait clairement envoyé un message à Rousseff : qu’elle change de direction, sans quoi elle aurait de sérieux problèmes à gérer. Maintenant qu’elle est réélue, avec sa victoire sur les oligarques de droite très bien financés ainsi que sur l’opposition, Washington essaiera avec une nouvelle vigueur de se débarrasser d’un autre dirigeant des BRICS, dans une tentative de plus en plus désespérée de maintenir le statu quo. On dirait que le monde ne se met plus au garde-à-vous, comme durant les décennies passées, quand Washington donnait l’ordre du jour. L’année 2015 sera une rude aventure, pas seulement pour le Brésil, mais aussi pour le monde entier…
William Engdhal Traduit par Geoffrey, relu par Sylvain pour vineyardsaker.fr Notes [1] H. R. Resolution N 758. US Lawmakers Push Europe to Big War (strategic-culture.org, anglais, 12-12-2014) & Selon Ron Paul, le projet de loi 758 contient 16 pages de propagande de guerre qui feraient même rougir les néoconservateurs (vineyardsaker, français, 06-12-2014) [2] Dilma Rousseff: Brazil’s ‘Iron Lady’ (bbc.com, anglais, 27-10-2014) [3] Auditor refuses to sign off Brazil Petrobras’ Q3 results -Estado (reuters.com, anglais, 01-11-2014) [4] Brazil-to-Portugal Cable Shapes Up as Anti-NSA Case Study (bloomberg.com, anglais, 30-10-2014) [5] ibidem [6] Brazil’s Pre-Salt Layer, par Idel Waisberg (stanford.edu, anglais, 03-12-2011) [7] Viewing cable 09RIODEJANEIRO369, CAN THE OIL INDUSTRY BEAT BACK THE PRE-SALT LAW? (wikileaks.org, anglais, 02-12-2009) [8] Repsol Sinopec Brazil [9] Repsol makes a significant oil discovery in the Campos Basin, one of the thickest hydrocarbons columns drilled in Brazil (repsol.com, anglais, 27-02-2012) [10] Biden’s Brazil Focus Likely to Be Energy, Experts Say (usnews.com, anglais, 28-05-2013) [11] Violent Protests Over Bus Fare Hike Spread Across Brazil (abcnews.go.com, anglais, 16-06-2013) Source : BRICS’ Brazil President Next Washington Target (journal-neo.org, anglais, 18-11-2014)
Une étude réalisée par un cabinet russe montre la résilience de la Russie face aux sanctions
12 décembre 2014 The French Saker
Une étude publiée aujourd’hui par Awara Group, une firme d’experts-conseils en Russie, montre que l’économie de la Russie n’est pas aussi dépendante du pétrole et du gaz qu’aussi souvent revendiqué.
L’étude d’Awara sur la politique de Poutine à mi-mandat
Ayant étudié le développement des indicateurs clés de l’économie de 2000 à 2013, les auteurs de l’étude veulent démystifier l’histoire des médias, selon laquelle les gouvernements de la Russie sous Poutine se sont prétendument appuyé exclusivement sur un modèle économique basé sur les revenus du pétrole et du gaz, tout en négligeant la nécessité de moderniser et de diversifier l’économie.
Il s’avère que c’est tout à fait le contraire qui est vrai. L’économie, déchirée par la crise et battue par des années de capitalisme voleur durant l’anarchie des années 1990, dont a hérité Poutine en 2000, a maintenant atteint une maturité suffisante, pour justifier la conviction que la Russie peut faire la percée industrielle que le Président a annoncé.
« L’économie russe est beaucoup plus diversifiée et modernisée que les critiques ne le prétendent. L’affirmation qu’elle ne repose que sur le pétrole et le gaz est une absurdité totale« , dit Jon Hellevig, chercheur en chef de l’étude. « C’est pourquoi la Russie ne va pas seulement se maintenir dans ces conditions de sanctions, mais en réalité, fera la percée industrielle que le président Poutine a annoncé«, poursuit Hellevig.
L’étude révèle une série d’indicateurs impressionnants sur le développement de l’économie entre 2000 et 2013, et sur la santé de l’économie russe :
La part de revenus des ressources naturelles dans le PIB (pétrole, gaz, charbon, minéraux et forêts) a diminué de plus de la moitié entre 2000 à 2012, passant de 44,5 % à 18,7 %. Tandis que la part de pétrole et de gaz était de 16 %.
La production industrielle russe a augmenté de plus de 50% tout en ayant subi une modernisation totale dans le même temps.
La production alimentaire a augmenté de 100 % de 2000 à 2013.
La production automobile a, dans le même temps, plus que doublé et a été totalement rénovée.
Les exportations russes ont augmenté de près de 400 %, surpassant tous les grands pays occidentaux.
La croissance des exportations de biens non-pétroliers et gaziers a été de 250 %.
La croissance des exportations de la Russie a plus que doublé par rapport aux puissances occidentales concurrentes.
Le pétrole et le gaz ne comptent pas 50 % des recettes de l’État comme il l’a été revendiqué, mais seulement 27,4 %. La source la plus importante des revenus est en fait les impôts sur les salaires.
Le taux d’imposition total de la Russie à 29,5 % est parmi les plus bas des pays développés, et le taux d’imposition total autre que le pétrole et le gaz est la moitié de celui des pays occidentaux.
Le PIB de la Russie a plus que décuplé de 1999 à 2012.
La part du secteur public de l’emploi en Russie n’est pas élevée, en comparaison de celle des pays développés. Les agents de l’État ne représentent que 17,7 % de la force de travail totale de la Russie, ce qui se situe dans le milieu du peloton des économies mondiales.
La productivité du travail en Russie n’est pas de 40 % des normes occidentales comme cela est souvent présenté, mais plutôt de 80 %.
Loin de « s’appuyer » sur le pétrole et le gaz, le gouvernement russe est engagé dans des investissements massifs dans tous les secteurs de l’économie, les plus gros investissements allant à l’aviation, la construction navale, la fabrication de machines à haute valeur ajoutée et l’équipement technologique.
En contradiction totale avec ces faits, les médias occidentaux, les analystes financiers, et même des dirigeants tels que le président Obama ne cessent de répéter le refrain que « la Russie ne s’appuie que sur le pétrole et le gaz » et que « la Russie ne produit rien« . De toute évidence, Barack Obama n’a pas analysé l’économie russe, ce qui signifie que ceux dont le travail est de le faire trompent le président.
Nous croyons fermement que tout le monde bénéficie à connaître l’état réel de l’économie de la Russie, ses véritables résultats au cours de la dernière décennie, et son véritable potentiel. Connaître l’état actuel des choses est également utile pour les amis et les ennemis de la Russie, pour les investisseurs, pour la population russe – et même pour son gouvernement, qui n’a pas été très loquace à s’exprimer sur le progrès réel. Je pense qu’il y a un grand besoin de données précises sur la Russie, en particulier parmi les leaders de ses ennemis géopolitiques. Des données correctes aideront les investisseurs à faire plus de profits. Et des données correctes aideront les dirigeants politiques à maintenir la paix.
Savoir que la Russie n’est pas le cas économique désespéré qui est dépeint, contribuerait à écarter les ennemis de cette trajectoire de collision qu’ils ont entrepris avec la Russie.
Jon Hellevig Traduit par Stéphane pour vineyardsaker.fr
Source : Poutine 2000-2014, Résultats provisoires de mi-mandat : diversification, modernisation et le rôle de l’État dans l’économie de la Russie (awarablogs, anglais, 12-12-2014)
ATTENTION : l’étude a été dépubliée dans l’après-midi du 12 décembre. Nous la mettrons en ligne si nous en obtenons l’autorisation.
Analyse de la très percutante allocution du ministre allemand des Affaires étrangères, Steinmeier, aux grandes entreprises
12 décembre 2014 Isabelle Savin
Dans son discours d’ouverture lors du sommet économique du journal Süddeutsche Zeitung [que nous venons de publier en français], le ministre des Affaires étrangères allemand Frank-Walter Steinmeier a appelé les chefs d’entreprises à soutenir l’accession de l’Allemagne au statut de grande puissance.
La réunion n’a pas eu lieu dans le Parkhotel de Düsseldorf, mais dans l’Hôtel Adlon de Berlin. Dans le public, pas de Fritz Thyssen ou Gustav Krupp von Bohlen und Halbach, mais le président directeur général de Thyssen-Krupp, Heinrich Hiesinger et d’autres pointures du grand capital allemand. Et bien évidemment, le ministre social-démocrate des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, n’est pas Adolf Hitler.
Néanmoins, la prestation de Steinmeier a rappelé celle de Hitler devant le club de l’industrie de Dusseldorf le 26 janvier 1932. Comme celui qui deviendrait bientôt le Führer, Steinmeier a lancé un appel direct aux chefs d’entreprises allemands à soutenir l’accession de l’Allemagne au statut de grande puissance. Il a explicitement demandé au grand capital de le soutenir lui et le gouvernement dans l’adoption d’une politique étrangère militariste allant à l’encontre de la volonté du peuple.
Le programme de Steinmeier évoque fortement la soif de pouvoir de l’Allemagne, alors qu’on la pensait appartenir au passé. « L’Allemagne devrait conduire l’Europe à mener le monde« , « européaniser la Russie » et « multilatéraliser les États-Unis« , a réclamé Steinmeier, en citant un essai qui figurait sur un site internet officiel du ministère des Affaires étrangères depuis des mois. Il a ajouté, « c’est une tâche de grande ampleur !« .
Les implications de ces paroles sont sans équivoque. Le retour de l’Allemagne à une politique étrangère agressive emprunte des voies similaires à celles suivies dans la première moitié du XXe siècle. Les élites allemandes, encore une fois, considèrent de leur devoir de dominer l’Europe pour que leur pays devienne une grande puissance. Aujourd’hui, comme par le passé, ce programme d’impérialisme allemand signifie le conflit avec la Russie et les États-Unis.
« Européaniser la Russie » ne signifie rien d’autre que subordonner la Russie à une Europe contrôlée par l’Allemagne. « Multilatéraliser les États-Unis » veut dire contester le rôle de puissance hégémonique des États-Unis. En d’autres termes, la politique étrangère allemande se développera, dans le futur, de plus en plus en opposition aux deux pouvoirs contre lesquels l’Allemagne a déjà mené deux guerres mondiales.
Après les crimes du régime nazi, les élites allemandes continuent pour le moment à présenter leur programme pour une troisième « tentative de prise de contrôle de la planète » comme un programme imposé de l’extérieur. Dans la salle de l’Adlon, Steinmeier s’est plaint que chaque jour, parviennent, de nos partenaires à l’étranger, « l’attente d’une implication de l’Allemagne« . C’est pourquoi, il « avait demandé à un grand groupe d’experts internationaux de formuler leurs attentes quant à la politique étrangère allemande« .
Des nombreuses réponses qu’il a reçues à cette demande, Steinmeier n’en a signalé qu’une seule, intitulée « la destinée de l’Allemagne : diriger l’Europe pour mener le monde » [1]. Cela nous vient de la plume d’un professeur d’origine indienne, Kishore Mahbubani, de l’université d’État de Singapour, qui se trouve dans un pays au régime monopartiste et autoritaire.
Ce texte, ainsi que d’autres appels à développer une politique étrangère allemande plus audacieuse, est disponible sur le site internet Review 2014 du ministère des Affaires étrangères allemand [2]. À propos des principales requêtes de Mahbubani, Steinmeier a dit laconiquement, « Et savez-vous qui a dit cela ? Pas un Français, pas un Américain, mais c’est un professeur indien qui a écrit cela pour nous« .
Le discours de Steinmeier a impressionné non seulement pour son appel à une toute puissance allemande sur le monde, mais aussi pour sa présentation d’un programme ostensiblement impérialiste. L’essence de son discours réside dans la conclusion que dans un monde qui est de plus en plus dominé par des conflits nationaux, les intérêts extérieurs de l’Allemagne ne peuvent plus être défendus par des moyens purement économiques, mais doivent compter sur une politique étrangère et une force militaire.
Au début de son allocution, Steinmeier a déclaré que ce n’était pas un hasard si « à la fin de cette turbulente année 2014« , il ouvrait ce congrès d’affaires avec un « discours résolument axé sur la politique étrangère ». Dans « toute son expérience politique« , il ne peut pas « se souvenir d’une époque où un si grand nombre de crises internationales, dans autant d’endroits dans le monde, et de tant de natures différentes, nous ont assaillis simultanément comme c’est le cas aujourd’hui « .
Le ministre allemand des Affaires étrangères a dressé un tableau de la situation mondiale qui rappelle fortement l’état du monde à l’aube de la Seconde Guerre mondiale. Un monde où prévalent « les luttes d’influence et de domination« , où « la crise est la nouvelle normalité« , où « des ruptures et divisions » évidentes apparaissent et dans lequel « nous nous cristallisons sur les différences entre les États, les peuples et les cultures« . Même « dans nos rapports avec nos partenaires les plus proches, notamment les États-Unis« , le « débat public est dominé par nos différences et non par nos convergences« .
Sur le plan économique, on a observé un « retour à des frontières nationales plus concrètes » à la suite de la crise économique et financière de 2008. Cette évolution est un défi à la fois pour la politique économique et étrangère, en particulier pour l’Allemagne, a ajouté Steinmeier. La « récession de la mondialisation » à menacé « les économies basées sur l’exportation« , tandis que « les divergences, atteignant des sommets« , sapaient « les moyens des diplomates« .
Steinmeier a alors conclu qu’il était dans l’intérêt du grand capital de soutenir une politique étrangère plus audacieuse, même si celle-ci devait entraîner, à court terme, des inconvénients économiques.
Le « premier pas vers la reprise » part « d’une prise de conscience de ceux qui savaient que nous, Allemands, ne pouvions pas rester à l’écart de la crise de l’ordre mondial ! Chaque fois que cela est possible, nous, personnes politiques et décideurs économiques allemands, devons nous extraire de toute pensée communautaire et de tout sentiment de confort !« . Ceux qui reconnaissent cela doivent « aussi amorcer l’étape suivante : en tant que pays le plus interconnecté, nous avons besoin d’un ordre mondial basé sur des règles et nous assurant la paix, et nous devons aussi intervenir pour garantir cet ordre ! Non seulement en Europe mais de par le monde« …
Steinmeier a tenté de convaincre les représentants du grand capital que l’accession de l’Allemagne au statut de grande puissance ne pouvait être réalisé uniquement au moyen de relations commerciales pacifiques : « La mondialisation économique seule ne garantit pas un terrain d’entente politique« … « Davantage de BMW dans les rues de Moscou et davantage d’usines Volkswagen dans les grandes agglomérations chinoises ne mène pas forcément à davantage de convergence politique« .
Le monde des affaires doit, par conséquent, participer aux sanctions imposées par l’Occident à la Russie. « Par l’annexion de la Crimée et ses actions en Ukraine de l’est« , la Russie avait remis en cause « le droit international et l’ordre fondé sur le respect des règles » et, ce faisant, « enfreint les fondements de notre sécurité et aussi de notre bien-être ». Les puissances occidentales ont réagi par des sanctions « qui ont aussi un coût économique pour nous« . Cependant, le « coût de la permanence d’une menace sur l’Europe » était « bien plus élevé » et les sanctions sont donc prises dans « l’intérêt à long terme du monde des affaires« , a fait valoir Steinmeier.
Dans le même temps, il a souligné que l’objectif des sanctions ne devait pas être « l’assujettissement économique de la Russie« . Ce qui serait extrêmement dangereux. « La déstabilisation ou l’effondrement de la Russie est, pour elle-même et pour les autres, un bien plus grand risque. Tous ceux qui s’expriment pour cela rendent un très mauvais service à la sécurité européenne« .
C’était une critique évidente de ceux qui exigent une réponse à la question, « La Russie est-elle amie ou ennemie, un partenaire ou un adversaire ?« . Il était clair qu’il parlait des États-Unis. Mais, pour ne pas trop contrarier Washington, Steinmeier a fait allusion au Canada. « La Russie restera toujours pour l’Europe un très grand voisin, et elle influencera notre évolution en bien ou en mal« .
Pour le moment, l’Allemagne veut pousser la Russie sur la défensive mais sans entraîner un effondrement total des relations économiques. Dans le même temps, elle n’est pas (encore) prête à affronter ouvertement les États-Unis. Mais elle commence à défendre ses intérêts impérialistes de manière plus autonome et avec plus d’assurance face aux autres puissances. Steinmeier n’a laissé planer aucun doute quant au fait que, comme par le passé, cela incluait le recours à une force militaire et à la guerre.
Pour combattre l’État islamique en Irak et en Syrie, Steinmeier a déclaré : « Évidemment, la solution militaire a son rôle à jouer et nous ne nous y soustrairons pas. Cet été, nous avons décidé de soutenir la lutte par l’envoi d’armes aux Peshmergas kurdes« . Alors que la « règle qui consiste à ne pas envoyer d’armes dans les régions en crise » est toujours en vigueur, la politique étrangère consiste à « envisager de nombreuses options imparfaites » et « dans de tels cas, il faut savoir si l’on respecte des principes ou si l’on se cache plutôt derrière eux« .
L’intégralité du discours de Steinmeier montre clairement qu’en Allemagne les élites dirigeantes ne sont plus disposées à se « cacher » derrière les « principes » ou les restrictions qu’elles avaient été contraintes d’accepter après la défaite de la Seconde Guerre mondiale. Elles se préparent à imposer ce nouveau programme de politique étrangère au peuple allemand.
À l’issue de son allocution, Steinmeier a mentionné une enquête réalisée par la Fondation Körber qui demandait aux Allemands « si l’Allemagne devait s’engager plus résolument qu’avant sur le plan international« . Seulement 38 % des sondés ont répondu « oui« , 60 % ont dit « non, s’il vous plaît, continuez à pratiquer la retenue« .
Le ministre des Affaires étrangères a déclaré : « C’est l’écart entre les attentes extérieures et la réactivité interne, mesdames et messieurs, qui me préoccupe. Pour être honnête, si j’étais un ingénieur, je ne construirais pas, en toute bonne foi, de pont au dessus d’un tel gouffre. En tant qu’homme politique, je dois le faire ! Et je serais heureux, si je ne me suis pas trompé dans mon exposé, et c’est dans votre intérêt, si les entreprises allemandes nous aidaient un peu ! Merci beaucoup« .
Ce que Steinmeier propose, c’est une alliance de l’État et du grand capital contre le peuple, qui est majoritairement hostile à cette nouvelle course à la guerre. Une telle alliance, unissant riches et puissants contre la majorité, est profondément antidémocratique. Après les terribles expériences des deux guerres mondiales, l’opposition à la guerre est profondément enracinée, tout particulièrement en Allemagne. Néanmoins, les élites dirigeantes ont décidé de revenir à une politique guerrière et d’imposer celle-ci à la population.
Lorsque Steinmeier eut fini, il y eut des applaudissement tonitruants dans la salle de l’hôtel Adlon.
Johannes Stern Traduit par Isabelle Savin pour vineyardsaker.fr Note [1] Deutschlands Bestimmung: Europa führen, um die Welt zu führen, (review2014.de, allemand, 02-05-2014) [2] Review 2014, Aussenpolitik weiter denken (allemand) Source : German Foreign Minister Steinmeier’s great power speech to big business (World Socialist Web Site, anglais, 06-12-2014)
Le Congrès approuve l'intention de former les rebelles syriens dans le projet de loi de défense
13 décembre 2014 02:06
Une écrasante majorité, le Congrès adopta une nouvelle défense passer le projet de loi qui permettra au Pentagone de réaliser son plan de bourgeonnement d'armer et de former des groupes de rebelles en Syrie dans le cadre de la campagne militaire contre les militants de l'État islamique.
En outre, le projet de loi alloue un montant total de $ 577 milliards pour les dépenses globales de défense – un nombre qui comprend $ 64 milliards dollars pour la guerre outre-mer s'aventure dans des pays comme l'Afghanistan, en Irak et la Syrie. On trouve également une augmentation de salaire de 1 % pour les militaires.
Sénateurs a adopté le projet de loi, qui établit les niveaux de dépenses pour l'exercice 2015, par un vote de 89-11 de la défense. Étant donné que les chambre des représentants a adopté la même mesure la semaine dernière, il dirige maintenant au Président Barack Obama pour sa signature.
Une des parties plus importantes du projet de loi est une autorisation de deux ans pour la formation des rebelles en Syrie, avec les États-Unis dans l'espoir qu'ils peuvent devenir assez capables de lutter contre les combattants de l'État islamique dans le pays. L'Etat islamique (IS, ou ISIS/ISIL) est devenu une force déstabilisatrice en Irak et en Syrie, où il est devenu connu pour son point de vue extrémiste de l'Islam et la violence brutale.
Formation ne sera pas limitée aux rebelles syriens, cependant, que le projet de loi de défense approuve de perfectionnement aux forces irakiens et Kurdes. « La puissance aérienne américaine avait changé la dynamique sur le terrain un peu et modérés dans la région l'occasion de se regrouper, mais ISIS ne peut pas être vaincue sans une force d'opposition à prendre sur le sol, la lutte contre » Le sénateur Carl Levin (D-Mich.), Président de la Commission des Services armés, a déclaré à l'AP.
« Pour ce faire, nos partenaires arabes et musulmans doivent être en tête parce que la lutte avec ISIS est avant tout une lutte au sein de l'Islam pour les coeurs et les esprits des musulmans. »
Pourtant, le programme de formation est venu sous contrôle sérieux, car on ne sait pas si le Pentagone sait quels groupes de rebelles il veut former. Certains législateurs et les critiques du régime affirment que les Etats-Unis ne peut pas savoir comment digne de confiance rebelles groupes seraient, compte tenu qu'ils sont intéressés pour éliminer le président syrien Bashar Assad de puissance et mettent en garde contre la possibilité d'armes américaines se retrouvent dans les mains des militants IS.
En plus correctement vetting des groupes rebelles, il y a une question de chiffres. Le Pentagone a déclaré en septembre qu'il peut avoir besoin de former jusqu'à 15 000 rebelles pour lutter efficacement contre les IS. ’En dehors de ces programmes de formation, le projet de loi de dépenses de la défense maintient en place des restrictions sur la capacité du président Obama de fermer la prison de Guantanamo Bay complexe à Cuba. Elle ne permettra pas de la maison blanche pour transférer des détenus aux États-Unis, rendant difficile de les enlever de la prison.
Gitmo victime: "bombe à retardement intel est fausseté, les gens disent n'importe quoi pour arrêter la torture"
13 décembre 2014 06:13
Ancien Bagram et Guantanamo détenu Moazzam Begg, qui a fait l'objet de mauvais traitements et mentionné dans le rapport du Comité sénatorial, a rejeté les revendications que la torture de la CIA pourrait être justifiée, partage son expérience avec RT Il a composé une fois faits pour mettre fin à la torture.
Begg a été libéré sans inculpation après près de trois ans en détention – tout d'abord à la base de Bagram Afghanistan, puis à la prison de Guantanamo Bay. Il dit qu'il a été battu il et privé de sommeil. Begg vit maintenant au Royaume-Uni, militant pour les droits des détenus.
RT: Quelle distance est la coopération entre le renseignement américain et britannique dans l'ère post-9/11 ? Est-il possible que Londres ne savait pas de tactiques de torture de la CIA?
Moazzam Begg : Non, ils travaillaient tous deux main dans la main. J'ai été à chaque étape de mon voyage-si elle se tenait au Pakistan par les Services secrets de renseignement avec la CIA, ou que ce soit à Bagram ou à Kandahar, qui ont été les sites de détention militaire américain, ou à Guantanamo – j'ai été interrogé par des agents de MI5 et MI6 plus de temps que je me souvienne. Et étaient donc les 15 autres citoyens britanniques ou résidents...En effet, celui qui est toujours là, Shaker Aamer, il soutient que sa tête était brisée à plusieurs reprises contre le mur dans les installations de Bagram en Afghanistan alors que les agents du MI5 regardaient sur. Donc nous avons sans doute dans notre esprit à tout ce que les services de renseignement britanniques ont été complètement impliqué à tous les niveaux. Et un couple d'années, en fait, une enquête criminelle – la première fois dans l'histoire britannique – a commencé des agents MI5 et MI6. Vous aviez britannique des agents de la police va la Libye, passant à Guantanamo, s'adressant à nous, ici, le témoignage de prise chez nous par rapport à ce que nous avons vu et été témoin de ces agents. Donc, il va droit vers le haut et il n'y a simplement pas nier que la Grande-Bretagne était impliquée.
RT : Le Sénat rapport mentionne expressément que les renseignements obtenus de vous – sous la torture – par la CIA a aidé MI5 britannique capture haut d'Al-Qaïda UK du dispositif. Pouvez-vous commenter là-dessus ?
MB: Eh bien, j'ai vu que le rapport et je pense que c'est juste une fausseté totale, et je vais vous dire pourquoi. Il est dit qu'une image a été dessinée à la base sur ce que j'avais dit et que cette image était alors prise et utilisée comme intelligence. La vérité est que je n'ai aucune idée ce qui ressemblait à l'individu. Et sous la torture, vous dirais absolument n'importe quoi afin d'amener les gens sur votre dos.
RT: Pour que la mention de vous dans le rapport est fausse ?
MB: No La mention de moi est correcte, mais...
RT: Ce qu'ils ont de vous était fausse ?
MB: Oui. Ce qu'ils ont obtenu de moi a été de...Je suis en train de vous expliquer dans quelles circonstances. Ils m'avaient dans une pièce avec mes mains attachées derrière le dos de mes jambes. Ils étaient coups de poing et coups de pied me. Ils avaient une capuche sur ma tête. Et ils élevèrent la hotte et agita une photo d'une femme et des enfants en face de moi et dit – alors qu'il y avait un son d'une femme crier voisine, dont ils ont conduit à me croire était mon épouse torturée-ils ont dit que si vous ne coopérez pas avec nous nous vous ferons parvenir en Égypte ou en Syrie. À la fin de ce processus, c'est quand je l'ai dit, ' OK je vais coopérer. Je vais faire tout ce que vous voulez, je vais signer des documents. » Et je l'ai fait. Et c'est ce que nombreuses personnes ont fait par l'armée américaine.
RT: Juste pour obtenir ce droit : avez-vous ou avez-vous vous pas conduire à la capture de Al-Qaeda operative de UK Albums ? Saviez-vous que qui était cette personne ?
MB: Non, je n'ai pas. Je ne savais pas du tout. Ce que j'ai fait, c'est qu'ils m'ont demandé de faire ce genre d'un type de photo-fit. Et je ne savais pas du tout ce à quoi il ressemblait, mais néanmoins, au moins, qui les ai sur mon dos. Et voilà le genre de choses, je pense que beaucoup de gens a fait. Ce n'était pas juste moi.
RT: UK responsables disent qu'ils auraient seulement demandé pour plus d'informations être expurgée du rapport sur la si il y avait eu une menace pour la sécurité nationale. Est qu'un juste point ?
MB: Vous ne savez pas parce que quand ils disent cela, ils ont soutenu ces cas avant en matière de sécurité de l'UK. N'oublions pas – il s'agissait de torture. Il s'agissait de traitement cruel, violent, inhumain et dégradant qui se déroulait. Ils peuvent prétendre et dire « oui, c'est ce qui a aidé à déjouer les attaques et attraper les gens et ainsi de suite. » La vérité est bien plus sinistre. C'est que les gens ont été torturés de manières... au moins, les Américains sont venus nettoyer avec qui. La Grande-Bretagne reste toujours silencieuse, au mieux, et au pire, c'est simplement le couvrant vers le haut en disant: « nous allons avoir ces enquêtes de torture ; Nous allons avoir cette enquête de torture. » Et en réalité, rien n'est venu de lui. En effet, l'enquête qui parlait de votre rapport, l'enquête dirigée par le juge Peter Gibson, a été ensuite remis à l'Intelligence, et le Comité de sécurité, qui lui-même supervise l'Agence MI5. Donc, c'est essentiellement le MI5 police elle-même. Donc, nous ne pouvons attendre toute beaucoup de transparence venant de là-bas.
Évacuations tempête frappe la Californie du Sud, coulées de boue enterrent les maisons (PHOTOS)
13 décembre 2014 05:18
Les autorités sont toujours à l'affût des coulées de boue après qu'une violente tempête a frappé le tirant d'eau-souffrance Southern California vendredi, provoquant des inondations et l'enfouissement des maisons. Des dizaines de milliers ont été laissés sans puissance, et des dizaines d'évacuations ont été ordonnées.
La tempête est passée Californie du Nord avec cinq pouces de pluie tombant, provoquant des débris et des glissements de terrain au hasard. Au moins dix maisons ont été complètement détruits, selon AP.
Sans puissance, fort vent, inondations Jusqu'à 50 000 personnes, perdu de puissance que la vitesse du vent atteint jusqu'à 60 km/h dans certains secteurs et inondations rue a été signalé.
– Une coulée de boue provenant d'une colline environ 50 milles (80 km) de Los Angeles, dans la ville de Camarillo, couvert des dizaines de maisons avec des débris, y compris le limon, bâtonnets et roches – certains d'entre eux aussi gros qu'un tableau. Quelques-unes des maisons étaient recouverts à leurs toits avec des débris.
Dizaines d'évacuations commandées ’Les autorités locales classés au moins 124 évacuations obligatoires de la région, en fonction le capitaine Don Aguilar du shérif du comté de Ventura. Pendant ce temps, 40 personnes ont été déplacées à la suite de dommages de la tempête et les deux personnes pris l'hôpital.
Le glissement de terrain a été si puissante que deux gros engins de terrassement utilisés comme barrière ont été renversés et l'un d'eux a été presque entièrement enterré.
Roches voyageant dans les rues La banlieue de Glendora, situé à l'est de Los Angeles, les roches devant témoins et les briques qui coule dans les rues, la police le lieutenant Matt Williams a déclaré à AP.
Les équipes de secours incendie ont participé à sauver deux personnes de la rivière de Los Angeles vendredi.
Le personnel de service d'incendie de Los Angeles stand-by à côté de la rivière de Los Angeles lors d'une opération de sauvetage à Los Angeles, 12 décembre 2014 (Reuters / Mario Anzuoni)
Coulée de boue d'alerte en vigueur La Californie a souffert d'un tirant d'eau, alors que la pluie a été bien accueillie. Mais comme l'averse soudaine causé des glissements de terrain, les autorités appelé les gens à rester vigilants. Les sauveteurs restent préoccupés par les collines touchés par les incendies de forêt dans le passé, craignant que le sol, ce qui n'est plus supporté par les racines, puisse être balayé.
Projet de prévisions météorologiques que la tempête se déplace à l'est et continuer en direction de Nevada et l'Arizona.
"Si l'U.S. envoie des armes à l'Ukraine, la Russie devrait envoyer des troupes" - législateur
12 décembre 2014 10:52
Un homme de gauche MP a dit décision du Sénat américain pour armer le régime de Kiev devrait inciter les « mesures adéquates » de la Russie, comme le déploiement d'une force militaire sur le territoire ukrainien avant que la menace devient trop élevée.
«La décision du Sénat américain est extrêmement dangereuse. S'il est pris en charge par la Chambre des représentants et signé par son Président, la Russie doit répondre avec des mesures adéquates, « Mikhail Yemelyanov du parti Russie juste a déclaré aux journalistes vendredi.
C'est tout à fait possible que nous devrions revenir à la décision de notre chambre haute et donner au Président russe une occasion d'utiliser la force militaire sur le territoire ukrainien préventivement. Nous ne devrions pas attendre jusqu'à ce que l'Ukraine est armé et devient vraiment dangereux, « le législateur a déclaré.
’Yemelyanov a également fait remarquer que selon lui la décision du Sénat américain pour armer l'Ukraine avait révélé que Washington n'était pas intéressé par un processus de désescalade du conflit ukrainien. Il a alors dit que les actions américaines lui donnaient l'impression qu'ils ne cherchait pas à transformer l'Ukraine en quelque sorte d'un «militant international ciblant la Fédération de Russie. »
«Dans quelques années, l'Ukraine va se transformer en un pays pauvre et d'affamés, dirigée par un gouvernement contre les Russes qui enseignera sa population à la haine de la Russie. Ils seront armés jusqu'aux dents et la réticence de l'Ukraine et les États-Unis à reconnaître la Fédération de Russie au sein de ses frontières actuelles provoquerait toujours des conflits, » a déclaré le député.
Le Sénat américain jeudi passé ce qu'on appelle « Ukraine soutien Loi sur la liberté » permettant l'octroi d'une assistance létale et non létales à l'Ukraine et d'imposer des sanctions supplémentaires contre la Russie. Le projet de loi a été adoptée à l'unanimité, selon l'un de ses principaux sponsors - le sénateur républicain Bob Corker. Le mouvement est encore à passer par la Chambre des représentants.
Le projet de loi a été contestée par les États-Unis le Président Barack Obama, qui a parlé devant le Conseil de l'exportation de maison-blanche jeudi et a déclaré que le déménagement serait contre-productif et créer des divisions avec les alliés européens de Washington.
Le 1 mars de cette année, la chambre haute du Parlement russe – le Conseil de la Fédération – a approuvé une résolution autorisant le Président à recourir à la force militaire sur le territoire de l'Ukraine «jusqu'à la normalisation de la situation sociale et politique dans ce pays. » La résolution a été adoptée conformément à la première partie de l'Article 102 de la constitution de la Fédération de Russie.
Toutefois, le 25 juin le Conseil de la Fédération ont voté pour abroger la législation suite à la demande de Vladimir Poutine. Le Président russe a incité le déplacement d'un désir de décharger les tensions compte tenu des pourparlers à trois sur un règlement pacifique à l'est et le sud-est de l'Ukraine. ’Président du Conseil de Fédération, Valentina Matviyenko, a déclaré après que le vote de juin que la Russie continuerait surveille la situation en Ukraine, mais a ajouté qu'elle n'a pas personnellement croyait que le Sénat votera à nouveau d'adopter une législation autorisant une action militaire en Ukraine.
Le régime de Kiev, un désastre en attente de l’effondrement
13 décembre 2014 The French Saker
L’arrêt forcé de la plus grande centrale nucléaire en Ukraine la semaine dernière est-il dû à la crise de carburant du pays ? Cette crise est elle-même le résultat de la crise politique que les parrains occidentaux ont engendré dans le pays suite au coup d’état illégal à Kiev plus tôt cette année.
Le régime de Kiev, soutenu par l’Occident, a affirmé qu’il n’y avait aucune menace pour la sécurité publique ou l’environnement, due à la fermeture du réacteur nucléaire de Zaporijia, depuis une semaine. Mais, vu le peu de détails diffusés sur la nature de l’incident, et étant donné le manque de fiabilité totale du régime et son absence de scrupules dans d’autres domaines, il y a des raisons d’être extrêmement sceptique.
En outre, les autorités de Kiev ont signalé l’arrêt plus de cinq jours après l’accident. Une telle incompétence fantasque est typique de ce régime. Après tout, dans un accès de bizarrerie sans précédent, il a nommé trois ressortissants étrangers, y compris un citoyen américain, à son cabinet ministériel. Mais pourquoi cette discrétion apparente sur l’accident nucléaire ? Que cache-t-elle ?
Rappelons aussi que c’est le pays qui a infligé le pire accident nucléaire au monde lorsque le réacteur de Tchernobyl a explosé en avril 1986. Cette catastrophe a entraîné des milliers de décès dûs au cancer, la contamination radioactive de grandes parties de la Russie et de l’Europe occidentale, et des dégâts estimés à 18 milliards de dollars.
La centrale nucléaire de Zaporijia, contrainte de fermer le 28 novembre, est située sur le fleuve Dniepr dans le sud de l’Ukraine. Elle est non seulement la plus grande centrale dans le pays, elle est également la plus grande centrale en Europe, avec une puissance de 6000 mégawatts. L’Ukraine dépend de quatre centrales nucléaires qui fournissent environ la moitié de ses besoins en électricité.
L’installation de Zaporijia est de loin le plus grand producteur de ces quatre sites nucléaires, selon la World Nuclear Association. Equipé de six réacteurs, elle fournit plus de 20 % des besoins totaux en électricité de l’Ukraine. Le récent arrêt se serait produit dans l’unité 3, un des plus anciens des six réacteurs, commandé en 1987 et approchant de la fin de sa durée de vie de 30 ans.
Lors d’une conférence de presse donnée ce mercredi, cinq jours après la panne de la centrale de Zaporijia, Volodymr Demchishin, le ministre de l’énergie récemment nommé, a déclaré que le problème a été « causé par un court-circuit dans le système de prise de courant ». Il a affirmé que la panne n’était pas liée au système de production d’énergie. Eh bien, nous devons le croire sur parole.
Le ministre a ajouté avec une certaine hésitation: « Je pense que le problème aura été résolu ce vendredi » [une semaine après l'arrêt].
Demchishin a maintenu qu’il n’y avait aucune fuite radiologique due à l’incident [1]. Cette évaluation semble être soutenue par un organisme de surveillance français. Reuters a rapporté: « L’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) français a dit qu’on n’avait pas détecté de radioactivité inhabituelle en Ukraine ».
Les rapports d’autres médias sur cet accident nucléaire soutiennent qu’un transformateur électrique a sauté, entraînant un arrêt de la production d’électricité, alors que le réacteur a continué de fonctionner normalement. Cela suggère que l’arrêt a été causé par une surtension électrique inattendue.
Alors que le régime de Kiev prétend que rien de fâcheux ou de dangereux ne s’est produit, le fait est que le pays doit nécessairement s’appuyer davantage sur ses installations nucléaires pour générer suffisamment d’électricité, d’autant plus qu’on est au début de l’hiver.
Les deux autres principales sources de combustibles pour la production d’électricité en Ukraine sont le charbon et le gaz, qui représentent respectivement environ 40 % et 10 % de la production totale.
Toutefois, les approvisionnements en charbon et en gaz sont gravement perturbés suite à la guerre que le régime de Kiev mène contre l’Ukraine orientale, et à cause de son hostilité envers la Russie. Plus de 80 pour cent de toutes les mines de charbon de l’Ukraine sont situées dans les régions orientales du Donbass, qui sont sous le contrôle des républiques autoproclamées séparatistes de Donetsk et Lougansk.
Le régime de Kiev est à court de stocks de charbon, ses réserves ayant diminué du quart, selon certains médias, et cette pénurie est due au conflit qu’il a déclenché contre la population dissidente du Donbass en avril de cette année. Les projets récents du régime de Kiev d’importer du charbon d’Afrique du Sud et de Pologne ont également dû être annulés, en partie parce que la qualité du charbon de ces pays ne convient pas aux centrales thermiques de l’Ukraine. Les stations ont été conçues pour fonctionner à partir de l’anthracite typique des mines du Donbass. Un autre obstacle découle des litiges dus au non-paiement des importations par le régime de Kiev. Personne ne sera surpris, étant donné l’attitude intolérable du régime de recevoir sans rien donner.
Les dépenses militaires massives engendrées par l’assaut du régime contre le Donbass, depuis sept mois, ont exacerbé les problèmes budgétaires et ont augmenté la dette extérieure du pays. De plus, les dettes impayées de gaz à la Russie pour un montant de 5 milliards de dollars, ainsi que l’hostilité déclarée contre Moscou, ont entravé l’approvisionnement en gaz naturel venant de son partenaire commercial russe, historiquement très important.
Le résultat inévitable est que le régime de Kiev, qui s’est emparé du pouvoir par un coup d’État illégal soutenu par l’Occident en février dernier, a créé une crise énergétique aiguë dans le pays, par ses propres politiques hostiles insensées. La Voix de l’Amérique a rapporté cette semaine que le régime a imposé des délestages dans de nombreuses villes à travers l’Ukraine, afin de maintenir les approvisionnements, de plus en plus limités, en électricité. Avec des températures bien au-dessous du point de congélation, la crise de l’énergie ne peut que s’aggraver.
Cela entraîne une plus grande dépendance à l’énergie nucléaire et à la centrale géante, en particulier de Zaporijia. On peut logiquement supposer que les autorités de Kiev poussent les centrales nucléaires à leur capacité maximale d’exploitation, afin de compenser la baisse désespérée dans la production d’électricité (un cercle vicieux que le régime a lui-même créé).
Autant qu’on puisse en juger, l’arrêt sur le site de Zaporijia ne semble pas avoir été le résultat d’une fusion dans le réacteur nucléaire. Mais l’ensemble des centrales nucléaires étant poussé à leur capacité maximale, et peut-être même au-delà, le danger d’un événement catastrophique est de plus en plus probable.
Avec le plein appui de Washington et de Bruxelles, le régime de Kiev, dirigé par des démagogues irresponsables, comme le Premier ministre soutenu par la CIA, Arseni Iatseniouk, et l’oligarque-président, Petro Porochenko, a déjà déclenché une série de catastrophes. Plus de 4 000 personnes sont mortes dans l’assaut militaire de Kiev contre d’autres Ukrainiens, et jusqu’à un million sont devenus des réfugiés.
L’armée de Kiev a lancé des bombes à fragmentation, illégales selon le droit international, sur des zones civiles et déploie des bataillons paramilitaires néo-nazis qui ont commis des crimes de guerre de façon systématique. Un avion civil a été abattu en juillet dernier, provoquant la mort des 298 passagers, très probablement suite aux machinations militaires de Kiev. L’économie et l’infrastructure de l’Ukraine ont été détruites, l’impact de celles-ci étant aggravé par le blocus économique de Kiev contre les régions de l’Est (une punition collective considérée comme un crime de guerre, selon le tribunal de Nuremberg).
Doit-on s’attendre à une catastrophe nucléaire ? Nous ne devrions pas être le moins du monde surpris, car ce régime, parrainé par l’Occident, est un désastre permanent voué à l’effondrement.
L'Allemagne va avoir besoin du gaz pour les 70 prochaines années
12 décembre 2014 16:38
Le plan de l'Allemagne de supprimer progressivement l'énergie nucléaire pour passer aux énergies renouvelables en 2022 est irréaliste, car le pays est voué à rester dépendant des combustibles fossiles comme le pétrole et le gaz pour les 70 prochaines années, expert en énergie Matthias Dornfeldt dit à RT
Les énergies renouvelables ne peuvent remplacer les combustibles fossiles du jour au lendemain parce qu'il n'y a pas assez d'infrastructures, a déclaré Dornfeldt dans une interview avec RT Il croit que le XXIe siècle sera le siècle du gaz, que le XXe siècle fut le siècle du pétrole.
"Nous allons être dépendante du pétrole, ainsi que sur le gaz, selon moi, pour les prochaines 50, 60, 70 années", a-t-il ajouté, il n'y a "un impact énorme des énergies fossiles sur l'économie nationale en Allemagne".
Ses commentaires font écho à une étude mercredi par l'Institut fédéral de géosciences et de ressources naturelles (BGR) Cela dit le Qu'allemagne resterait dépendante des combustibles fossiles pendant des décennies.
Pétrole, gaz naturel, charbon et lignite représentent 80 % de la consommation énergétique allemande. Plan de match de l'Allemagne pour passer aux énergies renouvelables, appelées Energiewende et le Plan d'Action National récemment approuvés pour l'efficacité énergétique à la recherche très irréaliste, le rapport ajouté.
Suite à la catastrophe de 2011 à la centrale nucléaire de Fukushima au Japon, gouvernement de Merkel s'est engagée à éliminer progressivement l'énergie nucléaire d'ici 2022 et obtenir 80 % de son énergie à partir de sources renouvelables d'ici 2050. Le pays devra nouvelles infrastructures énergétiques, y compris les nouvelles centrales électriques, lignes de transmission et stockage d'énergie supplémentaire.
Bien que certains des scientifiques observent les tentatives du gouvernement pour réduire les émissions avec scepticisme, il espère inverser cette tendance avec le Plan d'Action sur la Protection du climat il passé plus tôt en décembre. Le plan propose comme objectif de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 40 % par rapport aux niveaux de 1990 d'ici 2020.
L'Allemagne est encore loin d'atteindre son objectif. Même la production de pétrole en Allemagne, qui est faible par rapport avec les gros producteurs internationaux, contribue davantage à la production d'énergie que tous les équipements photovoltaïques domestique mis en place, selon l'étude BGR. En 2014 la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique de l'Allemagne est passée de 5 % par rapport à l'année précédente.
Mais que cherche donc à faire Merkel à l'Allemagne ??!
Non seulement elle s'est refusé de commenter intelligemment l'accident de Fukushima en 2011 pour cause d'omerta sur les accidents qui peuvent survenir de partout dans le monde parce que TOUTES les centrales nucléaire ont les mêmes défauts ! mais, plus encore, elle a décidé de tuer des millions de gens avec les particules cancérigènes du charbon qui inondent la France de Biarritz à Monté-Carlo, de l'Espagne en Italie et l'Afrique du Nord ! et, de plus, prévoirait d'être 'encore là' jusqu'en 2084 !
Les USA dépenseront en 2015 pour la défense plus que tous les pays de l'UE, la Russie et la Chine
Par La Voix de la Russie
Le Sénat américain, après la Chambre des représentants a approuvé le budget pour les besoins militaires de Washington en 2015. C'est au président de dire le dernier mot. 514 milliards de dollars seront versés dans le cadre de ce projet de loi aux dépenses du Pentagone et aux programmes militaires du ministère de l'Énergie qui est responsable de la sécurité des armes nucléaires. Environ 64 milliards de dollars seront consacrés à des opérations militaires en Afghanistan, en Irak et en Syrie. Le pays a également trouvé des fonds pour préserver la prison spéciale de Guantanamo. Barack Obama avait l’intention à maintes reprises de la fermer, mais le Congrès a refusé d'allouer des fonds. Le montant total du projet de financement de la défense dépasse les dépenses militaires de tous les pays de l'UE, de la Russie et de la Chine.
Susan George : « Le pouvoir des transnationales, illégitime et non élu, veut en finir avec la démocratie »
Lucie Fougeron, Cyprien Boganda, Dominique Sicot 13 décembre 2014
Dans l’Humanité Dimanche. « Nous sommes cernés. » Ainsi débute le nouvel ouvrage de Susan George, les Usurpateurs. Comment les entreprises transnationales prennent le pouvoir. Fidèle à la méthode du dévoilement qu’elle éprouve depuis son premier livre, Comment meurt l’autre moitié du monde, ce 17e opus pose la question de la légitimité des détenteurs du pouvoir dans la mondialisation, en montrant les rouages de l’émergence d’une « autorité illégitime » qui s’ingère dans les affaires internationales grâce à des moyens impressionnants. Présidente d’honneur d’ATTAC France et présidente du conseil du Transnational Institute, poursuivant son combat contre la mondialisation capitaliste, elle met au jour la cohorte d’individus et d’entreprises mus par leurs seuls intérêts, et qui, s’immisçant dans les traités de libre-échange, se substituent à l’autorité issue du fonctionnement démocratique. Entretien.
HD. Dans votre ouvrage Les Usurpateurs, vous vous qualifiez de « chercheur militant », quel sens cela a-t-il pour vous ?
Susan George : Les chercheurs en sciences sociales sont nécessairement de parti pris du fait de leur champ d’études. En outre, j’ai toujours été de ceux qui étudient le pouvoir. Dans mon premier livre (Comment meurt l’autre moitié du monde, 1976 – NDLR), je donnais un conseil : n’étudiez pas les pauvres, ils savent déjà ce qui ne va pas pour eux. Mais si vous voulez les aider, travaillez sur ceux qui les maintiennent dans cette situation. C’est ce que je m’efforce de faire.
HD. Vous écrivez : « Nous sommes minoritaires ? Tant mieux ! » Pourquoi cela ?
Susan George : Ce sont toujours les minorités qui ont les bonnes idées, et souvent il faut un temps très long pour que d’autres prennent conscience de cette idée, puis s’engagent, ou tout au moins ne s’y opposent plus.
HD. C’est donc une raison d’espérer ?
Susan George : Je crois à ce que les scientifiques appellent la criticalité auto-organisée : un système physique ou chimique arrive à un point où sa configuration va changer, sans qu’on puisse dire quel grain de sable va susciter ce changement. Cela me semble fonctionner aussi en sciences sociales, en histoire... L’exemple le plus récent, c’est l’immolation par le feu de Mohamed Bouazizi en 2010 en Tunisie, qui a déclenché une révolution qui continue... Il me semble que l’on se rapproche de ce type de moment critique.
HD. Votre ouvrage est sous-titré : « Comment les entreprises transnationales prennent le pouvoir ». Ce terme de « transnationale » n’est pas couramment utilisé en France. De quoi s’agit-il ?
Susan George : Je parle d’entreprises « transnationales » (ETN) – c’est d’ailleurs la terminologie des Nations unies –, plutôt que « multinationales » car leurs dirigeants sont très majoritairement de la nationalité du pays où est situé leur siège social. Ainsi, on peut dire que Total est français, Nestlé est suisse, Siemens est allemand, etc. S’ils sont tout à fait capables de licencier massivement dans les usines de leur « patrie », comme ailleurs, ils ont un ancrage social, politique et culturel dans leur pays d’origine, ils ont les codes pour naviguer dans ce cosmos et servir les intérêts de leur entreprise.
HD. Vous dites que ces ETN partagent un jargon et des ambitions, mais aussi une idéologie...
Susan George : Le néolibéralisme et la mondialisation néolibérale les ont vraiment renforcées. Juste un exemple : le rapport sur la compétitivité et la croissance en Europe rédigé par Jean- Louis Beffa (administrateur de Saint-Gobain et membre de plusieurs conseils d’administration) et Gerhard Cromme (Siemens, ThyssenKrupp), à la demande de Hollande et Merkel, en 2013, est devenu un véritable évangile. Si les économistes peuvent donner plusieurs sens à la compétitivité, eux n’en parlent qu’en termes de réduction du « coût du travail ». Et désormais, elle n’a plus que ce sens... alors que peu de monde s’interroge sur le coût du capital...
HD. Vous montrez que les ETN constituent aujourd’hui la première puissance collective mondiale, loin devant les gouvernements, dont vous précisez qu’ils leur sont trop souvent inféodés...
Susan George : Une étude de trois chercheurs de Zurich (Stefania Vitali, James Glattfelder, Stefano Battiston – NDLR) a montré comment 147 « super-entités » dominent l’économie mondiale. Et les ETN se sont organisées dans ce but. Le lobbying vise à obtenir la législation qui est bonne pour l’entreprise en question. Cela existe toujours – le plus puissant, celui de la santé, représente en 2013 un budget de 129 millions de dollars (104,7 millions d’euros). Mais depuis une vingtaine d’années se développent des coalitions par industrie, par branche, qui visent à obtenir des changements d’une tout autre ampleur. Elles font en sorte d’être là où les choix sont faits, là où on élabore, selon leurs désirs, l’avenir. Cela culmine dans le projet de traité transatlantique où elles se concentrent sur la régulation – les protections, en fait – concernant l’environnement, les consommateurs, la santé publique... Cela va toucher la vie quotidienne de plus de 800 millions de personnes.
HD. Comment en est-on arrivé là, d’autant plus dans le cadre de régimes démocratiques ?
Susan George : C’est le grand mystère... Pourquoi les gouvernements cèdent-ils aux sirènes et à l’influence des transnationales, sauf s’ils sont complètement prisonniers de leur propre idéologie – le néolibéralisme –, presque pour tous maintenant ? Les ETN apparaissent alors comme représentant les intérêts de la France ! Ce qui est complètement faux, comme ailleurs en Europe, car ce sont les PME-PMI qui fournissent très majoritairement l’emploi. Or, on les laisse en déshérence, comme le montre le rapport trimestriel de la BCE qui interroge les 130 banques les plus importantes sur leurs pratiques de prêts aux PMEPMI : depuis 2007, elles leur ont prêté moins et ont durci les termes du crédit. C’est là qu’il faut agir, et pas en chouchoutant les ETN !
HD. Ces transnationales ont réussi à dicter deux projets de traités – transatlantique et transpacifique – qui vont complètement remodeler les échanges mondiaux. Quelles en seront les conséquences ?
Susan George : Tout simplement la mise en danger de la démocratie, en particulier par deux biais. D’une part, elles se sont emparées du pouvoir judiciaire, dans le cadre des litiges opposant entreprises et États, en remplaçant les tribunaux par des cours d’arbitrage privées qui permettent à une entreprise de porter plainte contre un gouvernement pour n’importe quelle loi ou décision de justice qui peut altérer ses profits, actuels ou futurs. Un gouvernement va y regarder à deux fois avant de faire voter une loi visant à améliorer la propreté de l’eau ou à limiter les gaz à effet de serre, qui risquera de lui coûter des milliards en indemnisation.
D’autre part, il y a la question de la régulation, cruciale pour les échanges commerciaux, avec en ligne de mire leur fluidification censée relancer la croissance, les économies réalisées par les entreprises devant profiter aux consommateurs... Libre à chacun de croire à cette fable. Ce qui va être fait n’est pas encore très clair, et j’explique dans ce livre les enjeux et les scénarios qu’il faut avoir bien en tête. Les transnationales mènent une attaque contre les trois pouvoirs, législatif, judiciaire et exécutif.
HD. Les initiatives d’alerte s’amplifient concernant les dangers que ces projets recèlent pour la santé et l’environnement. En est-il de même pour la question du travail ?
Susan George : C’est encore difficile. Les syndicats étasuniens pensent qu’il faut négocier car cela leur permettrait d’améliorer leurs conditions et d’avoir plus de lois. Les États-Unis n’ont pas ratifié les conventions du BIT (Bureau international du travail), et la moitié des États ont des lois antisyndicales... Mais là encore, c’est l’« harmonisation » par le bas que visent les ETN. Un exemple : Veolia a porté plainte contre l’Égypte, qui aurait violé le contrat passé en augmentant le salaire minimum ! La sensibilisation des syndicats commence, en Irlande, en Espagne...
HD. Certains lieux de pouvoir sont ignorés du grand public. Vous évoquez l’exemple de l’IASB...
Susan George : Il s’agit de l’International Accounting Standards Board, ou Bureau international des normes comptables, créé au début des années 2000. À l’époque, l’Union européenne avait mobilisé un groupe de conseillers issus presque exclusivement des quatre principaux cabinets d’expertise comptable mondiaux (KPMG, PwC, Ernst & Young et Deloitte). Il s’agissait d’harmoniser les normes des pays européens. L’IASB a depuis acquis un pouvoir très important, puisqu’il décide désormais de normes comptables applicables en Europe, dans les BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine) et dans bien d’autres pays en développement. Tant que les transnationales ne seront pas soumises à des normes de comptabilité et de déclaration fiscales « pays par pays », elles pourront échapper à l’impôt en toute légalité, en jouant sur la localisation de leurs profits.
HD. Vous consacrez des pages édifiantes à ce qui se passe aux Nations unies...
Susan George : Je raconte comment les transnationales cherchent à étendre leur influence au sein de l’ONU. Dès les années 1980-1990, leurs représentants ont commencé à s’inviter au sein de conférences internationales que l’ONU organisait. Elles prétendent remédier à la supposée « incompétence » des États. Elles participent à tous les groupes de travail réfléchissant aux problèmes actuels et futurs de l’humanité : réchauffement climatique, protection des océans, etc. À l’image des sommets de Davos, ces groupes sont toujours composés de quelques émissaires des gouvernements, quelques professeurs et beaucoup de représentants de l’industrie. Il est assez stupéfiant de voir Bill Gates prendre la parole à l’assemblée générale de l’Organisation mondiale de la santé ! Il n’y a plus aucune limite.
Susan George : Le politique a été complètement phagocyté par ce nouveau pouvoir qui est celui des transnationales, un pouvoir non légitime parce que non élu. Dans le même temps, la valeur actionnariale a été érigée en vertu cardinale. Pour les multinationales, les travailleurs ne créent pas de valeur. Seul le capital en crée. Ce principe explique tout leur mode de fonctionnement.
HD. Comment qualifier cette prise de pouvoir ? De complot ?
Susan George :Je ne crois pas aux conspirations. Je crois en revanche à l’existence de groupes d’individus ou d’entreprises qui cherchent avant tout à défendre leurs intérêts. Ils disposent pour cela de moyens colossaux.
HD. Comment reprendre le pouvoir face aux « usurpateurs » ?
Susan George : La connaissance est un préalable à l’action. C’est pourquoi j’ai cherché à mettre au jour les rouages de cette prise de pouvoir. Ensuite, de nombreuses associations et organisations ont leur rôle à jouer. Les syndicats de magistrats peuvent mettre leur grain de sable dans les rouages des mécanismes d’arbitrage, les associations de consommateurs tenter de contrer telle ou telle norme imposée par les lobbies industriels, les ONG multiplier les pétitions... À ce jour, notre appel pour dire « stop au TAfTA » (Transatlantic free Trade Agreement – NDLR) a été signé par 750 000 personnes. Il faut que des millions d’Européens se joignent à ce mouvement et s’élèvent contre ce traité.
Susan George : Les Usurpateurs. Comment les entreprises transnationales prennent le pouvoir. Le Seuil, 2014, 192 pages, 17 euros.
Face à la complexité des grandes manoeuvres en cours, incarnées dans les traités stratégiques dont les noms – TAFTA, pour Transatlantic Free Trade Agreement (ou accord de libre-échange transatlantique) et TTIP, pour Transatlantic Trade and Investment Patrnership (ou partenariat transatlantique de commerce et d’investissement) – sont déjà tout un programme, Susan George guide ses lecteurs dans les méandres opaques d’une véritable mutation politique. Cet ouvrage, riche d’exemples édifiants, est un outil d’information et de combat. Dans la lignée de ses travaux de « chercheur militant » – de son best-seller, en 1976, Comment meurt l’autre moitié du monde à Cette fois, en finir avec la démocratie. Le rapport Lugano II (2012) –, elle se bat, aux côtés d’autres, pour que les citoyens, alertés des conséquences de ce démantèlement de l’intérêt public, rejoignent la mobilisation. Le site du Transnational Institute (Amsterdam) : www.tni.org (en anglais et en espagnol).
L'article partait pourtant bien puis pffit ! çà vaut pas un pet de lapin !
(...) Susan George : C’est le grand mystère... Pourquoi les gouvernements cèdent-ils aux sirènes et à l’influence des transnationales (...) HAHAHAHAHA ! Bêh, quand on en sait pas plus que çà on ferme se g... !
Huile de baisse des prix - les avantages et les coûts
Prix de l'énergie de culbutage peuvent sembler comme une pure aubaine - mais les mauvaises nouvelles peuvent l'emporter sur le bien
Par Jeremy Warner 6:40 AM GMT 12 décembre 2014
Voici une statistique étonnante. Depuis juillet, le grand saut dans le prix du pétrole a conçu un transfert net du revenu des producteurs d'énergie aux consommateurs, d'une valeur de clôture sur $ 1,5 billions par année. Le chiffre est atteint en compte la diminution du prix du pétrole – environ $42 – et en multipliant par la demande mondiale – environ 94 millions de barils par jour. Ajouter le coût baisse de charbon et de gaz naturel, et les transferts nets sont encore plus élevé – éventuellement quelque chose équivalent à la totalité PIB annuel de l'Angleterre.
Non pas que vous allez nécessairement voir cela dans vos factures de carburant. Déjà les gros utilitaires de Grande-Bretagne vont être alignant leurs excuses pour ne pas avoir la main sur toute l'étendue de ces chute des prix mondiaux ; contrats à terme à long terme bon nombre d'entre eux seront verrouillé dans des prix beaucoup plus élevés que désormais la règle.
Le même est vrai des compagnies aériennes, où les coûts de carburant sont une part importante du prix global d'un billet ; beaucoup auront déjà acheté leur carburant vers l'avant à un niveau supérieur. Il y a une grande différence entre le prix actuel pour le pétrole et le gaz et celle de nombreux grands utilisateurs sont confiées à payer.
Néanmoins, pour l'économie mondiale dans son ensemble, le grand saut dans le prix du pétrole – en faisant glisser les autres coûts de l'énergie avec lui – est un événement sismique et potentiellement transformationnel. Vers le bas des décennies, nous avons vu de nombreux bouleversements sur les marchés du pétrole, mais très peu à comparer avec la vitesse et la profondeur de la dernière correction. C'est comme les chocs pétroliers des années 70, seulement dans le sens inverse, avec des conséquences – beaucoup d'entre eux imprévisible – qui peuvent être d'un ordre de grandeur similaire.
Jusqu'à présent, la plupart des commentateurs ont tendance à se concentrer sur les aspects positifs de ce phénomène. Théoriquement, la chute des prix du pétrole devraient être puissamment relance, laissant plus d'argent dans les poches des entreprises et des consommateurs, comme le ferait une réduction d'impôt de même taille. Sur le plan positif, selon où vous vous situez, la diapositive de prix huile supprime également une puissante source d'inflation des prix atout.
Éloignement des excédents de pétrole du Golfe et de la Russie : moins d'argent pour les actions, d'obligations et propriété de Londres de haut de gamme, et achète des obligations. Les excédents qui seraient autrement ont gonflé les fonds souverains des producteurs pétrolières devraient plutôt s'appliquer à la demande des consommateurs occidentaux. Achat de cette semaine de New Scotland Yard par groupe financier d'Abu Dhabi pour 370 millions de livres peut-être provenir d'être considéré comme quelque chose d'un dernier hourra de Londres du Moyen-Orient frénésie de dépenses.
Sur le chemin vers le haut, le prix du pétrole a été une force terriblement destructrice, apportant quelques économies au bord même de la récession avant même que l'effondrement de la calamité de la Lehman Brothers et agir comme un frein puissant à la récupération par la suite. Eh bien maintenant, c'est l'autre manière autour – en théorie, au moins.
Malheureusement, il y a aussi une manière alternative et plus sombre de la regarder ; loin d'être une aubaine, le prix de bas niveau d'huile peut être symptomatique de quelque chose de beaucoup plus troublant. Que ce soit un prix beaucoup plus bas de l'huile se révèle pour être un net positif, ou au contraire quelque chose de plus sinistre, dépend de ce qui est la cause. Si c'est un cyclique, ou côté alimentation phénomène causé par des investissements excessifs dans les nouvelles sources de production, puis l'effet aurait sur l'équilibre d'être largement positif, au moins pour les économies de consommation. Mais si la chute des prix sont plutôt un reflet de la demande soumise, puis il est susceptible d'être beaucoup moins. Le gros souci est qu'il est un peu plus de ce dernier que l'ancien.
Certes, il y a eu un certain nombre de surprises positives côté offre. Jusqu'à tout récemment, peu apprécié tout à fait l'ampleur de la révolution américaine de schiste deviendrait. Le prix élevé du pétrole de favoriser ces dernières années un tsunami de nouveau développement. Approvisionnement libyen et irakien a également été beaucoup moins mal perturbée par la guerre civile que pourrait avoir été prévu. Malgré tout, l'excès d'alimentation est presque hors de l'échelle, et dans tous les cas, il reste vulnérable aux autre mésaventure au Moyen-Orient.
En outre, il y a quelques grands Paris spéculatives contre l'huile de nos amis de gestionnaire de hedge funds dans Mayfair et au-delà. Ceux-ci ont déjà abouti à de grandes récompenses. Qu'ils soient inversées, la pression à la baisse sur les prix auraient dû faciliter. Marchés toujours remettre les gaz, et il est fort possible que nous sommes déjà dans cette phase.
L'explication la plus troublante, cependant, est que le bas prix est simplement une représentation équitable de l'État ayant une déficience de la demande mondiale, avec l'Europe plat comme une crêpe et ralentissement rapide de la Chine. L'ampleur du ralentissement de la Chine a presque certainement été sous-estimée par les observateurs plus à l'Ouest, avec un atterrissage dur maintenant une nette possibilité après des années de surinvestissement et excès spéculatifs.
La Chine a été la plus grande source unique de la demande de pétrole supplémentaires durant la dernière décennie ; retirer, et la dynamique de l'ensemble du marché change fondamentalement. Dur atterrissage ou non, la Chine a également inscrit une phase moins axée sur le pétrole de développement. Ce qui est plus, années de prix élevés ont débloqué innombrables technologies innovantes dans le secteur de l'énergie et des sources d'approvisionnement alternatives potentiellement abondantes.
En tout état de cause, tous les trois principales organisations internationales de prévisions – l'Agence internationale de l'énergie, de l'Energy Information Administration et de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole – ont fortement réduit leurs prévisions pour la demande mondiale au cours des derniers mois.
Pour beaucoup de pays producteurs de pétrole, le prix du pétrole a fait la différence entre la survie et de l'insolvabilité. Certains ont déjà été poussés au-delà du point de ce que l'on appelle « fiscal break even », menaçant les bouleversements sociaux, politiques et économiques, mais aussi une réaction chaotique sur les marchés financiers encore du mal à se remettre de la dernière crise. La situation semble particulièrement concernant dans le contexte russe. Comme un ours appâté, Poutine pourrait prendre en réponse à ce qu'il imagine être une conspiration occidentale pour déstabiliser son pays.
Historiquement, les baisses de prix raide ont toujours été autocorrectifs à long terme. Développement de nouveau envisagé est mise, production est par ailleurs perturbé et aidée par des prix bas, demande finalement ramasse. Encore ces forces cycliques prennent le temps de s'établir. Avec les modifications structurelles profondes à le œuvre dans le marché du pétrole, ils peuvent prendre encore plus longtemps cette fois-ci.
Le grand danger est que baisse des prix de pétrole finissent par devenir retranchés. Comme consommateurs de pétrole gros, Chine et Europe devraient en théorie bénéficier grandement de prix plus bas. Encore en réduisant la facture des importations, baisse des prix augmenteront aussi sensiblement l'excédent d'exportation existant de ces deux régions, ajoutant aux déséquilibres macroéconomiques et les pressions déflationnistes dans l'économie mondiale.
Dans la zone euro, le taux d'inflation est déjà plus près de zéro que ne fait aucune différence. Le prix du pétrole chute peut causer peu de temps le taux d'aller demande déjà profondément affaiblie négative, plus déprimante. Ce qui devrait être un coup de pouce relance, en d'autres termes, rapidement risquent d'ajouter à la spirale infernale de la demande et renforcer ainsi encore le fardeau de la dette.
En résistant à ces tendances, le déficit vivrier tels que les États-Unis et le Royaume-Uni ne réussite qu'en augmentant leur vulnérabilité à la crise financière. C'est parce que les pressions déflationnistes compteur afin de l'étranger, les gouvernements doivent resort à encore plus de stimulation avec l'argent qu'ils n'ont pas.
Prix des matières premières très bas nous disent quelque chose – et il n'est pas tout à fait l'histoire de bonnes nouvelles, on pourrait penser. C'est plutôt que l'économie mondiale est en panne dans les décharges et aux yeux des marchés monétaires et des banquiers centraux, susceptibles de rester comme ça pendant une longue période à venir
Bizarre que quand le prix du baril augmente le prix à la pompe est répercuté IMMEDIATEMENT, alors que lorsqu'il baisse... de plus de moitié !!! (c'est pas une paille !) il n'est répercuté que quelques menus centimes !! Idem pour le gaz.
LuxLeaks: un Français inculpé de vol de données et blanchiment
le samedi 13 décembre 2014 à 8h06
L'auteur présumé de la fuite de dizaines de milliers de pages d'accords fiscaux entre le Luxembourg et des multinationales ayant déclenché le scandale LuxLeaks a été convoqué et inculpé de vol et blanchiment, a annoncé le Parquet du Luxembourg.
L'identité du prévenu n'a pas été révélée. Mais il s'agit d'un Français, ancien employé du cabinet d'audit PwC Luxembourg, selon le quotidien Luxemburger Wort. L'intéressé, qui vit en France, a été convoqué dans le cadre d'une commission rogatoire de la justice luxembourgeoise, entendu par le juge pendant quelques heures et inculpé, avant d'être libéré, précise le journal.
Le scandale LuxLeaks a éclaboussé le nouveau président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, qui était Premier ministre du Luxembourg lorsque ces accords ont été passés par l'administration fiscale du Grand-Duché. Cette inculpation fait suite à une plainte contre X déposée par le cabinet PricewaterhouseCoopers (PwC) Luxembourg en juin 2012, après avoir découvert le vol de documents lors d'un reportage télévisé de France 2, un mois plus tôt.
Suite à la plainte de PwC, une information judiciaire avait été ouverte par le Parquet de Luxembourg. L'enquête a été relancée en novembre après les révélations de LuxLeaks par le consortium de journalistes d'investigation ICIJ. "Dans le cadre de cette information judiciaire, il a été procédé en date de ce jour à l'inculpation d'une personne par un juge d'instruction à Luxembourg des chefs de vol domestique, violation du secret professionnel, violation de secrets d'affaires, blanchiment et accès frauduleux à un système de traitement automatisé de données", indique le communiqué du Parquet.
Une commission rogatoire internationale a été lancée en France, selon une source proche du dossier, et a débouché jeudi sur l'inculpation du suspect. Selon les dirigeants de PwC, le vol avait été commis en septembre 2010 par un ancien employé de la firme, qui avait copié des données confidentielles, sans avoir été repéré, pendant près de deux ans, jusqu'à ce que le reportage de France 2 révèle la fuite des documents. Une enquête interne a permis d'identifier le suspect.
Le scandale LuxLeaks a éclaté début novembre, quelques jours seulement après l'entrée en fonction de la Commission Juncker. S'appuyant sur quelque 28.000 pages de documents obtenus par le Consortium international des journalistes d'investigation (ICIJ), une quarantaine de journaux avaient révélé qu'entre 2002 et 2010, le Luxembourg avait passé des accords fiscaux avec 340 multinationales, dont Apple, Amazon, Ikea, Pepsi, Heinz, Verizon et AIG, afin de minimiser leurs impôts.
Une deuxième salve a été tirée mardi soir, à la veille de la prestation de serment de M. Juncker et des autres membres de la Commission. Les mêmes médias ont publié de nouvelles informations visant notamment les groupes américains Skype, Walt Disney et Koch Industries.
Ces rescrits fiscaux ("tax rulings"), qui permettent à une entreprise de demander à l'avance à un pays comment sa situation fiscale sera traitée, dans un but d'optimisation fiscale, ont été conclus entre 2003 et 2011.
Jean-Claude Juncker, qui ne cesse de promettre depuis un mois de renforcer la lutte contre l'évasion et la fraude fiscales, a de nouveau affirmé mercredi que "l'harmonisation fiscale" était une "nécessité absolue", pour ne pas être "soumis à la seule volonté des groupes qui essaient d'échapper à l'impôt".
Il est sous pression de l'opinion publique, des ONG et du Parlement européen. Mercredi, le groupe socialiste, deuxième force politique derrière les conservateurs du PPE de M. Juncker, lui a donné six mois. "Si cela n'est pas fait, notre groupe ne pourra plus lui accorder sa confiance", a averti son président, Gianni Pittella.
Une colonne récente dans le U.S. News & World Report, The Swiss Gold Rush par Pat Garofalo, son rédacteur en chef adjoint pour avis, est sous-titré "un coup de pouce pour l'étalon-or en Suisse est symbolique de l'aile droite montante de l'Europe". U.S. News & World Report , par les présentes descend du commentaire à la propagande. Qui édite ses rédacteurs ?
Pour commencer, le référendum suisse, décisive et sagement rejeté par les électeurs suisses, n'était pas sur « l'étalon-or. » C'était un vote sur une proposition demandant d'environ 8 % à 20 % - ce qui implique l'acquisition, plus de cinq ans, de 1 500 tonnes de réserves de sa banque centrale à augmenter son or (« coût à environ $ 56,3 milliards aux prix courants, » rapports Bloomberg), jamais à vendre de l'or et de tenir l'or de la Fédération au sein de la Suisse. Cela n'a rien à voir avec l'étalon-or.
Les suisses ont voté 77 % - 23 % pour rejeter cette proposition. Le Conseil National Suisse avait rejeté l'initiative par 156 voix contre 20, avec 22 abstentions et le Conseil des Etats, par 43 voix pour, 2 abstentions. Et l'organisation d'un référendum pourrait bien avoir été une idée mauvaise, ou au moins idiote.
Avec un PIB Suisse d'environ $ 650 milliards (USD) par an l'obligation d'acquérir 10 milliards de dollars par an de ce produit brillant et ductile emblématique bien que non négligeable, à moins de 2 % du PIB annuel, peine serait ont été paralysant. Cela dit, l'étalon-or n'était pas sur le bulletin de vote.
En ce qui concerne les marchés or eux-mêmes, selon un rapport de 2011 par le FT, faire rapport sur une étude réalisée par la London Bullion Market Association, il y avait un volume quotidien moyen de $240bn en sur le marché de Londres. Annuels mandaté acquisition Suisse, puis, apparemment se serait élevé à environ... une demi-heure de trading volume sur l'une des principales places de marché or du monde. Investissement des produits de base, cependant, n'a rien à voir avec l'étalon-or.
Démonétisé (comme à l'heure actuelle), l'or est simplement une marchandise. L'étalon-or est une qualité standard, pas une quantité standard et sur le maintien de l'intégrité de la monnaie, ne limitant pas son approvisionnement. Ce référendum suisse sur le fond n'était pas pertinent à la politique monétaire. De Forbes.com propre Nathan Lewis avec perspicacité a souligné la quantité d'or qui s'est tenue, en vertu de l'étalon-or, sous forme de réserves par les banques d'émission a fluctué considérablement et immatériellement.
Le référendum suisse a généré un minimum d'attention internationale et de nombreuses critiques. Le référendum a présenté, en fait, comme erronée. Il ne pas, cependant, même implique un rétablissement de l'étalon-or beaucoup moins prouver lui-même, tel que Garofalo, présenté comme un symptôme de « Aile de droite montante de l'Europe. »
Garofalo a déclaré que « l'étalon-or est l'idée que la masse monétaire d'une nation devrait être liée à or, plutôt que d'être entièrement contrôlés par sa banque centrale ». Ce n'est même pas une approximation grossière de l'étalon-or. L'étalon-or détient tout simplement que la valeur d'une monnaie est dØfinie par et légalement transformables, un poids fixe d'or.
Garofalo implique et cite d'autres écrivains qui prétendent, que l'étalon-or a contraint la masse monétaire. Pas le cas. Comme Nathan Lewis a souligné, par exemple, de 1775 à 1900 la quantité d'or dans le système monétaire américain a augmenté de 3,4 x si la monnaie a augmenté de 163 x sans provoquant une dépréciation de valeur de la monnaie.
L'étalon-or est une norme non quantitative, qualitative. Il n'imposent pas de croissance de la masse monétaire, simplement il étalonnage raisonnablement bien (quoique imparfaitement, la perfection n'ayant jamais été atteinte par tout système monétaire) à la demande de monnaie de l'économie réelle. Lewis :
entre 1880 et 1900, la base monétaire en Italie en fait diminué de 4,8 %. Toutefois, le monétaire de base dans le U.S. a augmenté de 81 % sur ceux mêmes années. Les deux utilisés systèmes d'étalon-or. Donc, la « masse monétaire » a non seulement aucune relation avec la production aurifère, mais les deux pays peuvent avoir des résultats très différents au cours de la même période de temps.
Quant à savoir si l'étalon-or est supérieur à gestion fiduciaire, il y a des preuves abondantes que la nature organique de l'étalon-or surpasse constamment la nature synthétique de discrétion de la Banque centrale. Garofalo fait référence à un sondage de 40 économistes académiques qui écartent l'étalon-or (il est vrai que démodé).
Dans la critique de la performance de l'étalon-or, Garofalo s'appuie sur l'AtlantiqueMatt O'Brien.
En effet, lorsqu'elle était en vigueur, l'étalon-or a apporté avec elle une foule d'effets négatifs, et comme Matt O'Brien écrivait dans l'Atlantique, "a été un dispositif diabolique pour transformer les récessions dans les dépressions ». Il veille à ce qu'une banque centrale ne peut répondre à une crise en mettant plus d'argent dans le système financier, graisser les rouages de l'économie, puisque la masse monétaire est limitée par un facteur extérieur.
En ce qui concerne une autre célébrité qui invoque Garofalo, Nouriel Roubini, son hystérie mal fondée sur l'étalon-or a été critiqué ici et ici. O ' Brien et Roubini ont droit à leurs propres opinions, mais pas à leurs propres faits.
Comme historien de l'économie professeur Brian Domitrovic, chez Forbes.com, concerne également, l'étalon-or avait rien à faire avec Panics et bustes,
En regardant leXIXe siècle, avant que l'étalon-or est devenu un fantôme, une lettre-morte dans le début de l'ère de la réserve fédérale de 1913-33, rien ne prouve que la bonne vieille chose était impliquée dans aucune panique ou le buste.
Plutôt que de compter sur les commentateurs et universitaires, pro ou anti-or, il pourrait être pertinent de se tourner vers les pensées des banquiers centraux. Herr Dr. Jens Weidmann, Président de la Bundesbank, dans un 2012 discours or appelés "dans un sens, un classique intemporel".
Et Garofalo ne fait aucune référence à la 2011 Bank of England papier de stabilité financière n° 13, résumés et un lien hypertexte par Forbes.com collaborateur Charles Kadlec ici. Cette étude réalisée par la Banque d'Angleterre prudentielle - pas pour rien, appelée « la vieille dame de Threadneedle Street » - fournit qu'une évaluation empirique de l'approche de gestion fiduciaire a inauguré par les présidents Johnson et Nixon et, au moment de l'étude, en vigueur depuis 40 ans.
Papier de stabilité financière n° 13 contraste le rendement réel de l'économie mondiale au titre des protocoles Johnson/Nixon par rapport à l'étalon de change-or de Bretton Woods et l'étalon-or classique. L'analyse de la Banque d'Angleterre, basé sur des données empiriques, conclut que la gestion fiduciaire grandement sous-performé (pour la croissance économique, stabilité financière, inflation, récession et toutes les autres catégories évaluées) les systèmes de son prédécesseur.
Garofalo cite légitimement le poids d'élite académique d'avis économique contre l'étalon-or out-of-fashion. Cela dit, cette collection août des économistes, peu voire aucun d'entre eux prévoyaient la panique de 2007 et la récession qui a suivi, semblent être guidé par la devise de l'ancien trésorier US Ivy Baker du prêtre, « Souvent mal, jamais dans le doute. » Les lecteurs méritent d'être fourni avec le poids de la preuve, à compléter au moins, le poids de l'opinion élite.
Plus troublant sont les insinuations de Garofalo liant les promoteurs d'étalon-or à la politique de « droite » sinistre. Il n'y a pas de corrélation significative entre le plaidoyer pour l'étalon-or et, par exemple, les sentiments anti-immigrés. J'ai, un partisan de l'étalon-or, suis tout à fait officiellement pour une politique d'immigration généreuse, y compris, (y compris un chemin d'accès à la nationalité pour les étrangers sans papiers). Est donc les principes en Action américain, plus importante groupe de défense de l'étalon-or à Washington, DC, (que je conseille professionnellement).
Garofalo implique et cite d'autres écrivains qui prétendent, que l'étalon-or a contraint la masse monétaire. Pas le cas. Comme Nathan Lewis a souligné, par exemple, de 1775 à 1900 la quantité d'or dans le système monétaire américain a augmenté de 3,4 x si la monnaie a augmenté de 163 x sans provoquant une dépréciation de valeur de la monnaie.
L'étalon-or est une norme non quantitative, qualitative. Il n'imposent pas de croissance de la masse monétaire, simplement il étalonnage raisonnablement bien (quoique imparfaitement, la perfection n'ayant jamais été atteinte par tout système monétaire) à la demande de monnaie de l'économie réelle. Lewis :
entre 1880 et 1900, la base monétaire en Italie en fait diminué de 4,8 %. Toutefois, le monétaire de base dans le U.S. a augmenté de 81 % sur ceux mêmes années. Les deux utilisés systèmes d'étalon-or. Donc, la « masse monétaire » a non seulement aucune relation avec la production aurifère, mais les deux pays peuvent avoir des résultats très différents au cours de la même période de temps.
Quant à savoir si l'étalon-or est supérieur à gestion fiduciaire, il y a des preuves abondantes que la nature organique de l'étalon-or surpasse constamment la nature synthétique de discrétion de la Banque centrale. Garofalo fait référence à un sondage de 40 économistes académiques qui écartent l'étalon-or (il est vrai que démodé).
Dans la critique de la performance de l'étalon-or, Garofalo s'appuie sur l'AtlantiqueMatt O'Brien.
En effet, lorsqu'elle était en vigueur, l'étalon-or a apporté avec elle une foule d'effets négatifs, et comme Matt O'Brien écrivait dans l'Atlantique, "a été un dispositif diabolique pour transformer les récessions dans les dépressions ». Il veille à ce qu'une banque centrale ne peut répondre à une crise en mettant plus d'argent dans le système financier, graisser les rouages de l'économie, puisque la masse monétaire est limitée par un facteur extérieur.
En ce qui concerne une autre célébrité qui invoque Garofalo, Nouriel Roubini, son hystérie mal fondée sur l'étalon-or a été critiqué ici et ici. O ' Brien et Roubini ont droit à leurs propres opinions, mais pas à leurs propres faits.
Comme historien de l'économie professeur Brian Domitrovic, chez Forbes.com, concerne également, l'étalon-or avait rien à faire avec Panics et bustes,
En regardant leXIXe siècle, avant que l'étalon-or est devenu un fantôme, une lettre-morte dans le début de l'ère de la réserve fédérale de 1913-33, rien ne prouve que la bonne vieille chose était impliquée dans aucune panique ou le buste.
Plutôt que de compter sur les commentateurs et universitaires, pro ou anti-or, il pourrait être pertinent de se tourner vers les pensées des banquiers centraux. Herr Dr. Jens Weidmann, Président de la Bundesbank, dans un 2012 discours or appelés "dans un sens, un classique intemporel".
Et Garofalo ne fait aucune référence à la 2011 Bank of England papier de stabilité financière n° 13, résumés et un lien hypertexte par Forbes.com collaborateur Charles Kadlec ici. Cette étude réalisée par la Banque d'Angleterre prudentielle - pas pour rien, appelée « la vieille dame de Threadneedle Street » - fournit qu'une évaluation empirique de l'approche de gestion fiduciaire a inauguré par les présidents Johnson et Nixon et, au moment de l'étude, en vigueur depuis 40 ans.
Papier de stabilité financière n° 13 contraste le rendement réel de l'économie mondiale au titre des protocoles Johnson/Nixon par rapport à l'étalon de change-or de Bretton Woods et l'étalon-or classique. L'analyse de la Banque d'Angleterre, basé sur des données empiriques, conclut que la gestion fiduciaire grandement sous-performé (pour la croissance économique, stabilité financière, inflation, récession et toutes les autres catégories évaluées) les systèmes de son prédécesseur.
Garofalo cite légitimement le poids d'élite académique d'avis économique contre l'étalon-or out-of-fashion. Cela dit, cette collection août des économistes, peu voire aucun d'entre eux prévoyaient la panique de 2007 et la récession qui a suivi, semblent être guidé par la devise de l'ancien trésorier US Ivy Baker du prêtre, « Souvent mal, jamais dans le doute. » Les lecteurs méritent d'être fourni avec le poids de la preuve, à compléter au moins, le poids de l'opinion élite.
Plus troublant sont les insinuations de Garofalo liant les promoteurs d'étalon-or à la politique de « droite » sinistre. Il n'y a pas de corrélation significative entre le plaidoyer pour l'étalon-or et, par exemple, les sentiments anti-immigrés. J'ai, un partisan de l'étalon-or, suis tout à fait officiellement pour une politique d'immigration généreuse, y compris, (y compris un chemin d'accès à la nationalité pour les étrangers sans papiers). Est donc les principes en Action américain, plus importante groupe de défense de l'étalon-or à Washington, DC, (que je conseille professionnellement).
La figure plus synonyme de totalitarisme de droite, Adolf Hitler, s'est violemment opposée à l'étalon-or. L'étalon-or était alors, comme c'est maintenant, intrinsèque à un ordre républicain libéral. Hitler est inscrit comme disant ::
je n'avait aucun intérêt dans l'or-naturelle ou synthétique....Nos adversaires n'ont pas encore compris de notre système. Nous pouvons être faciles dans nos esprits sur ce sujet ; une fois la guerre terminée, ils auront des crises terribles. Pendant ce temps, nous allons construire un état solide, une preuve contre les crises et sans une once d'or derrière elle. Quiconque vend des supérieurs aux prix de l'ensemble, le laisser être emmenés dans un camp de concentration ! C'est le bastion de l'argent. Il n'y a pas d'autre moyen.
Garofalo stipule que « en 2012, républicains kowtowed à leurs membres plus extrêmes en incluant un appel au retour à l'étalon-or dans leur programme de parti. » C'est carrément, mauvais. La plate-forme de GOP 2012 n'a pas appelé au retour à l'étalon-or. Il est simplement appelé un "" Commission d'enquêter sur les moyens possibles pour définir une valeur fixe pour le dollar." (Ni il représentait un « animaux » à « davantage de membres extrêmes. »)
Au lieu de réciter le langage de la plateforme Garofalo a invoqué une description déformée de celui-ci par le commentateur Bruce Bartlett, à laquelle il relie. (Référence de Bartlett, dans son blog du New York Times Economix, à une "base métallique" allait langue plate-forme référençant une commission créée par Reagan, pas l'appel à l'action dans la plate-forme de 2012).
Garofalo États que « Kentucky le sénateur Rand Paul - a évoqué la possibilité d'un retour à l'étalon-or. » La source à laquelle il relie États montre le sénateur entièrement n'engage à rien: « Paul n'aurait pas commenter si un étalon-or est nécessaire ou pas... » Le sénateur Paul, pressé par un auteur de la question, tout simplement créer une Commission chargée d'étudier la question, qui a une connotation subtile mais diffère de l'avoir « évoqué la possibilité. »
Fausses déclarations de Garofalo sont, au mieux, bâclées, donnant des lecteurs bonne cause à s'interroger sur l'intégrité de le œuvre de cet écrivain. Ses recueillies écrits sont une compilation des panacées progressives : se plaindre que les prix du gaz sont trop faibles, s'opposant à la réforme de l'impôt, critiquant le président Obama pour avoir refusé de proposer une taxe sur l'essence, soutenant le salaire minimum obligatoire, jetant des bouquets à l'IRS et ainsi de suite.
Garofalo est un propagandiste plutôt qu'un commentateur. Bon sur lui : le discours est fait plus épicé de propagande.
Cela dit, les lecteurs de U.S. News & World Report méritent beaucoup propagande de meilleure qualité que cela. Le référendum suisse sont peut-être stupide, mais ce n'était pas sur l'étalon-or. L'étalon-or n'est « laid » ni la preuve d'une « embardée vers la droite ». Et, selon les mots de sa vie avant tout promoteur, Lewis E. Lehrman (dont l'Institut éponyme je conseille professionnellement), « Par l'épreuve des siècles, l'étalon-or véritable, sans les monnaies de réserve, est le système monétaire moins imparfait de l'histoire. »
L'itinérance et la pauvreté continuent de grimper en flèche en Amérique
Joshua Krause Le quotidien Sheeple 12 décembre 2014
Vous n'avez pas entendu la bonne nouvelle ? L'économie se redresse enfin. Le Dollar est en hausse, et le chômage est en baisse. Génération y font enfin assez d'argent pour sortir du sous-sol de leurs parents, et le marché boursier continue d'atteindre des niveaux records. Et le meilleur de tous, nos tarifs sans abri sont outre des diagrammes. Nous sommes chez le bébé de l'argent !
« Whoa, tenir là-bas » vous pourriez dire à vous-même "ce qui a été ce dernier détail ? Oui, l'un sur les sans-abri. »
Sans-abrisme à Washington a augmenté de 12,9 % l'an dernier. À Memphis, Tennessee, près de la moitié de la demande d'aide alimentaire d'urgence en 2013 est allé non satisfaite. Le nombre de demandes d'alimentaire d'urgence de l'aide à Philadelphie ont augmenté de 20 pour cent. Et à Plano, au Texas, refuges pour sans-abri avec une capacité limitée ont dû rebrousser chemin 84 pour cent des personnes cherchant de l'aide.
Ces statistiques proviennent de la Conférence américaine des maires 2014 la faim et sans-abrisme enquête, un rapport établi avec la participation des 25 gouvernements de ville dans tout le pays. L'enquête annuelle n'offre pas un échantillon représentatif des tendances à l'échelle nationale, mais il fournit un aperçu étroit de comment ces tendances affectent une poignée de grandes municipalités éparpillées dans diverses régions.
Dans l'ensemble, 71 % des villes participantes ont signalé une augmentation dans la demande locale d'aide alimentaire d'urgence entre septembre 2013 et août 2014, et 43 % de ces villes ont signalé une augmentation dans la lutte contre l'itinérance. Pour les villes, pour les sans-abri a été retrouvé ont augmenté de 0,7 %, et avez besoin d'aide alimentaire s'est avéré ont augmenté de 7 %.
Attends un peu. Serait-ce que ces autres statistiques n'indiquent vraiment une économie saine ? Retour du Dollar est uniquement causée par une économie mondiale terrible qui n'a nulle part où mettre son argent ? Serait-ce que les chiffres officiels du chômage sont une farce, et le marché boursier n'a aucun rapport réel pour la santé économique ? Non, qui ne peut pas être, peut-il ? Ce qui se passe vraiment ici ?
Bas salaires ont été cités comme des principales raisons pour augmenter l'insécurité alimentaire, tandis que les gouvernements de ville décelé un manque de logements abordables comme le principal défi en matière de lutte contre le sans-abrisme. Quelque 38 % des personnes qui sollicitent une assistance alimentaire d'urgence travaillaient à l'époque, et 18 pour cent de la population des sans-abri les villes avaient un emploi.
Maintenant la vérité sort. L'économie s'améliore, dans une sorte de comique de passage. Il n'y a plus d'emplois, mais peu d'entre eux payer n'importe où près de ce qu'ils étaient. Et beaucoup de ces nouveaux emplois sont centrés sur les régions métropolitaines, qui sont confrontés à un afflux de travailleurs désespérés, causant ainsi le coût du loyer à augmenter à un rythme effrayant. Il n'y a plus d'emplois à avoir qu'il y a en 2008, mais très peu d'entre eux peuvent suivre le coût de la vie.
Au moins certaines de ces personnes sont trouver du travail, même si la rémunération suce. Malheureusement, il y a encore des millions de gens qui aimeraient avoir un travail, mais se sentent encore gauche derrière de cette prétendue « reprise économique ».
« Il y a encore trop de chômeurs dans nos villes, et cela continue d'ajouter à l'effort sur les programmes d'aide d'urgence, » a déclaré U.S. Conférence des maires CEO Tom Cochran lors d'une conférence téléphonique de jeudi.
Dans tout le pays, la pauvreté et l'exclusion liée au logement ont diminué au cours des dernières années que les États-Unis a positionnée de la récession. Cependant, le Centre National pour les sans-abri de la famille des rapports que les enfants sans domicile est à son zénith à partir de 2013.
Comment est-ce encore possible ? Comment une seule statistique pourrait dire que l'itinérance est en baisse, tandis que l'autre dit que les enfants sans domicile est à une haute de tous les temps ? C'est parce que la première stat vient de chiffres officiels du gouvernement, tandis que la seconde stat provient d'un organisme privé à but non lucratif. Lequel pensez-vous est plus fiable ?
La vérité est que peu importe si la « reprise économique », car ce qu'ils appellent une reprise est une farce. Même si le dollar et le marché boursier sont va forts, et plus de gens ont un emploi, il y a un problème très important qui n'est pas traitée. Ce problème est l'inégalité, et il a été s'aggrave depuis des décennies. L'économie peut être en plein essor pour les gens au sommet, mais pour le reste d'entre nous, au fond, il pourrait aussi bien être 2008.
C'est vrai çà ! L'essence baisse ! même les prix des Matières Premières seraient en baisse ! Vous l'avez constaté dans votre magasin ? ou est-ce encore un 'conte de noël' ?
Pauvreté – le prix du «succès» de l’économie allemande
28 octobre 2014 Par Kai Littmann
(KL) – «Premier de la classe», «champion du monde des exportations», «moteur de l’Europe» - l’Allemagne se plaît dans le rôle du pays qui, malgré la crise, fait tout comme il faut. Ce que l’on ne dit pas en Allemagne, c’est que ce «succès» est chèrement payé – par les plus faibles de la société, le nouveau «précariat», un sixième de la population allemande qui s’est fait décrocher et qui n’a pas de lobby pour se faire entendre.
En 2013, selon le rapport du «Statistisches Bundesamt» (Office Fédéral des Statistiques), pas moins de 13 millions d’Allemands sont menacés par la pauvreté. Est considéré comme «pauvre» toute personne qui ne dispose de pas plus de 60% du salaire moyen – pour une personne vivant seule, le seuil est de 979 € par mois (11.749 € par an), pour une famille de deux adultes et deux enfants, le seuil se situe à 2.056 € par mois (24.673 € par an). Cette situation concerne 16,1% de la population allemande et le clivage entre la population active et le nouveau «précariat» ne cesse de se creuser.
Bien entendu, comparé à d’autres pays européens, ce seuil peut paraître élevé – mais il faut tenir compte du coût de la vie en Allemagne. Avec 979 € par mois, on ne va pas loin sur l’autre rive du Rhin. Beaucoup de personnes peu qualifiées sont tombées dans le piège des petits boulots, pourtant vivement recommandés par le personnel dans les Agences pour l'Emploi, les célèbres «boulots à 400 €». Ce format, initialement inventé pour permettre aux chômeurs de rester en contact avec le marché de l’emploi, s’est avéré comme un moyen pour les entreprises d’embaucher de la main d’oeuvre au moindre coût, ne permettant que dans des cas excptionnels, l’accès à un poste à temps plein.
Est-ce que l’on peut parler d’un «succès» de la politique allemande ? Est-ce que les chiffres allemands sont vraiment si mirobolants que ça ? Est-ce que le «modèle allemand» est vraiment un exemple à suivre pour l'Europe ? Certainement pas. Considérant que plus de 69% des chômeurs en Allemagne sont sérieusement menacés de cette pauvreté de laquelle on ne revient plus, considérant que 35,2% des monoparentaux sont menacés de cette pauvreté, considérant que 15,7% des enfants en Allemagne sont également menacés, on ne peut plus parler de succès.
Au contraire – en vue du fort pourcentage d’enfants qui naissent déjà dans le contexte de la précarité, force est de constater que le modèle de la société allemande est un échèc. L’Allemagne est en train de non seulement stigmatiser un sixième de sa population, mais de barrer la route à une partie des générations futures qui demain, sont censées porter financièrement cette société.
La solution à cet état des choses ne peut se trouver qu’au niveau européen. Une harmonisation des systèmes sociaux devrait rapprocher l’Allemagne des autres pays européens et non pas les autres pays européens du modèle allemand. Laisser un sixième des enfants dans la pauvreté, tout en injectant des milliards dans les marchés financiers, c’est cynique, injuste et un système qui ne pourra durer.
Et du coup, le «premier de la classe» devrait modestement s’asseoir et passer une heure de colle en rédigeant un texte sur le respect des plus faibles éléments d’une société. La qualité d’une démocratie ne se mesure pas au succès des plus fortunés, mais dans la gestion des problèmes des plus faibles. Et dans ce domaine, l’Allemagne n’est pas «premier de la classe», mais se trouve en queue du classement.
92 millions de personnes officiellement vivant dans la pauvreté en Chine
Xinhua 2014-12-08 11:55 (GMT + 17)
La Chine a recensé 128 000 villages appauvris et 92 millions de personnes vivant dans la pauvreté, a déclaré un responsable de la lutte contre la pauvreté senior samedi.
Selon Liu Yongfu, chef du Bureau du groupe principal Conseil d'Etat de lutte contre la pauvreté et le développement, la pauvreté a diminué sensiblement en Chine, mais le pays a encore des districts et des comtés pauvres 832. Tout travail 116 600 équipes avec 466 000 cadres ont été dépêchées dans les villages pour la lutte contre la pauvreté, lui dit un séminaire dans la province de Hubei de la Chine centrale.
« Presque tous les ménages défavorisés ont un cadre responsable des travaux de la lutte contre la pauvreté, » a-t-il dit. Il a souligné que plus de travail doit être fait pour améliorer la vie des personnes dans les zones pauvres à tous égards, y compris l'éducation, de finance et de logement. Il a également révélé qu'en 2015, Chine aidera quelque 500 villages appauvris par le tourisme.
Li Jinzao, chef de l'administration nationale du tourisme de la Chine qui ont participé au séminaire, a déclaré que la Chine a levé jusqu'à présent plus de 8 millions de personnes de la pauvreté par le développement du tourisme. Ainsi que des objectifs globaux de croissance du PIB, le gouvernement s'attache à élever le revenu de la population du pays avec un objectif actuel à double revenu par habitant par rapport au niveau de 2010 d'ici à 2020. Afin d'élargir le filet de sécurité pour les personnes dans la pauvreté, le seuil national de pauvreté est passé de 206 yuan (US$ 33,50/26,88 €) en 1986 à 2 300 yuans (374$ US/300,13 €) par an en 2011.
Une nouvelle étude montre que les bactéries vivant dans l'huile sont des créatures sociales dans la biosphère profonde de la terre
Réservoirs d'huile sont dispersés profondément à l'intérieur de la terre comme les lointaines îles de l'océan, donc leurs habitants devraient être très différents, mais une nouvelle étude menée par des chercheurs de Dartmouth College et l'Université d'Oslo montre que ces microbes souterrains sont des créatures sociales qui ont échangé des gènes depuis des éons.
L'étude, qui a été menée par des chercheurs au Dartmouth College et l'Université d'Oslo, apparaît dans le Journal ISME .
Les résultats un éclairage nouveau sur la « biosphère profonde », ou le vaste royaume souterrain unicellulaires dont les résidents sont estimés à peu près égaux en nombre et en diversité à tous les microbes qui habitent de la surface terre, air et eau. Recherche profonde microbienne peut également aider les scientifiques à mieux comprendre les débuts de l'évolution de la vie sur terre et aide à la recherche de vie sur Mars et d'autres planètes.
Certains scientifiques soutiennent un scénario « enterrement et l'isolement » dans lequel les bactéries vivant dans les gisements de pétrole sont les descendants des communautés bactériennes isolées enterrées avec des sédiments qui, au fil du temps, sont devenus des réservoirs de pétrole. « Au lieu de cela, notre analyse prend en charge une vue plus complexe de « colonisation », où bactéries provenant de populations sous la surface et marines ont été continuellement la migration vers les gisements de pétrole et qui influencent leur composition génétique depuis l'antiquité, » dit le co-auteur Olga Zhaxybayeva, professeur adjoint à Dartmouth.
Depuis les années 1980, un nombre croissant de formes de vie microbiennes ont été découverts profondément sous terre, mais de nombreuses questions subsistent, notamment quand et comment ces micro-organismes sont venus habiter les lieux où les températures et la pression sont extrêmes et les éléments nutritifs et énergétiques peuvent être rares. Micro-organismes sont de la plus ancienne forme de vie sur terre et continuent à jouer un rôle crucial dans l'écosystème planétaire. Ces bactéries demeure sous terre ne vivent pas de l'énergie du soleil mais chaleur intérieure de la terre, produits chimiques et les éléments nutritifs.
Dans leur nouveau livre, les chercheurs ont demandé un certain nombre de questions, y compris : enfouis de bactéries s'adaptent à la vie dans les réservoirs de pétrole car ils forment des sédiments ? Bactéries évoluent-elles dans l'isolement, ou ils migrent vers les gisements de pétrole et échanger des gènes avec entourant les bactéries, y compris celles introduites par forage fluides utilisés dans la production de pétrole ? Les chercheurs ont analysé les 11 génomes de Thermotoga, une ancienne lignée de bactéries thermophiles, prise de gisements de pétrole dans la mer du Nord et du Japon et de bouches d'eau chaude le fond de l'océan près des îles Kouriles au nord des Açores, un chapelet d'îles à l'ouest du Portugal, l'Italie et la Japon. Ils ont analysé aussi Thermotoga communauté ADN de l'environnement (ce que l'on appelle métagénomes) d'Amérique du Nord et d'Australie qui sont disponibles dans les bases de données publiques.
Les résultats révèlent des vastes flux génique sur tous les environnements échantillonnés, suggérant que les bactéries ne restent pas isolés dans les réservoirs d'huile mais plutôt longtemps migré vers et colonisé les réservoirs et ont contribué à leur constitution génétique. « La voie de l'écoulement de gène reste à s'expliquer, mais nous émettons l'hypothèse que beaucoup de l'écoulement de gène peut arriver dans le sous-sol, » dit le co-auteur Camilla Nesbø, chercheur au Centre for Ecological and synthèse évolutive à l'Université d'Oslo. Zhaxybayeva et des recherches antérieures de Nesbø a montré que Thermotoga et ses proches ont échangé des petits morceaux de génome avec Archaea, une ancienne simple-celled vie forme différente de bactéries et un autre groupe éloigné des bactéries, Firmicutes.
Scandale écoute de la NSA: Carrière de transcription
Par Rüdiger Ditz
Le miroir a révélé l'affaire d'espionnage sur le mobile du chancelier à l'automne 2013. Maintenant, l'affaire est de retour dans la conversation - parce que le procureur général a présenté le magazine dans le crépuscule Harald range lors d'une conférence de presse.
Le Procureur général Harald Range déterminé dans l'affaire de surveillance de NSA à un téléphone mobile par la chancelière Angela Merkel, mais il ne viendra pas avant. Services de renseignement américains a ignoré toutes les demandes de l'enquête sur Agence, le BND, n'a également pas aidé d'autres.
Mais il y a encore le miroir, qui a appelé le gouvernement fédéral sur l'attaque de la reconnaissance des informations dans un extrait de base de données de NSA à l'automne 2013.
"J'ai donc demandé la rédaction du miroir, à répondre aux questions sur le papier ou de nous les fournir. Le news magazine évoquant le privilège des journalistes n'est pas remplie", le procureur général a déclaré frustré jeudi dernier à sa conférence de presse annuelle à Karlsruhe.
Cependant, gamme Association sa déclaration en soulignant que « le document qui a été vu en public comme preuve d'une réelle interception du téléphone est sans ordre de l'éducation de télécommunications authentique de la NSA ». Il ne vient pas d'une base de données de la NSA. « Plutôt un éditeur de miroir lui-même a fait, selon ses déclarations sur la base d'un document d'inspecter la NSA. »
Cette déclaration pourrait être assimilé à un nouveau résultat de son enquête et donner une fausse impression, le miroir ont mis au point son témoignage lui-même - dans certains médias, rapports sur la Conférence de presse de gammes sonnaient il.
Le miroir mais jamais réclamé, a présenté un document original du gouvernement fédéral (niveau 44/2013 et 46/2013). Plutôt ses éditeurs ont peut consulter le document d'une base de données de la NSA et radier et encore plus clairement. Der SPIEGEL face du chancelier à la recherche, toutes les informations provenaient de cette entrée dans la base de données de la NSA. Le miroir a n'ajoutait rien à la.
Porte-parole de rang également la semaine dernière a précisé: « la demande des journalistes au cours de la Conférence de presse, qu'il s'agisse du document un faux, a Procureur général gamme expressément niée. »
Miroir plusieurs rédacteurs en chef ont été lancés en juin de l'année dernière à la NSA recherches sur la note, le téléphone cellulaire du chancelier suivra. Ainsi que les experts de cryptage et journaliste libre Jacob Appelbaum, ils sont allés à ce soupçon. Un extrait de la base de données interne de la NSA pour la détection des cibles figurant les numéro de téléphone mobile de Merkel, ainsi que son nom. Le miroir a tenté de vérifier cette information ; Enfin, il a décidé de demander Merkel à un avis.
Sur le 17 octobre 2013 ont été approchés, les éditeurs de miroir Nikolaus Blome et Jörg Schindler à l'orateur qui chancelier, Steffen Seibert. Vous lui a présenté un papier DIN A4, sur laquelle Merkel cell phone espionnage données étaient inscrites. Ils ont fait Seibert, il est clair que cet article était une copie d'une base de données de la NSA, que le miroir avait vu. Et le porte-parole du gouvernement a compris que trop.
Affiliées le BND et le Bureau fédéral ont été commandées à la chose à considérer pour la sécurité en technologie de l'information de la chancellerie. Christoph Heusgen, conseiller en politique étrangère de Merkel, Susan Rice, s'est porté volontaire pour le service en parallèle avec le conseiller pour la sécurité américaine. Au départ, les américains tenue à l'écart. La semaine suivante, Merkel au Président américain Barack Obama sur l'écoute s'est plaint. Il ne pourrait pas refuser l'opération écoute au moins pour le passé. Leur indignation mettre le chancelier un jour plus tard lors du sommet de l'UE à Bruxelles ainsi: « Espionnage entre amis - ce n'est pas. »
La transcription, qui a remis les rédacteurs en chef de miroir pour le porte-parole du gouvernement, apparues plus tard comme prétendu document original dans d'autres médias : dans la « Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung » du 27 octobre 2013, un jour plus tard dans le journal "l'image" et jeudi dernier sur le site d'actualité informatique "Golem.de". Le miroir, mais n'a jamais publié la transcription.
Sommet sur le climat : prolongations, faute de consensus entre pays riches et pauvres
Le Monde.fr | 13.12.2014 à 06h59
Les 195 pays participant à la conférence au Pérou ne se sont pas encore entendus sur le texte, notamment sur la contribution financière des uns et des autres. | AP/Rodrigo Abd
La conférence de l'ONU sur le climat jouait les prolongations, samedi 13 décembre, à Lima. Les discussions, qui devaient initialement s'achever, vendredi à 18 heures, heure locale (minuit, heure de Paris) se poursuivaient faute de consensus entre pays riches et pauves, après une nuit continue de consultations.
Le secrétariat général de la Convention de l'ONU sur le climat, sous l'égide de laquelle se déroulent ces négociations, a indiqué que les consultations sur un texte amendé étaient terminées, et qu'une séance plénière reprendrait à 10 heures, heure locale (16 heures, heure de Paris).
Une telle prolongation est un fait très habituel dans ces conférences annuelles de l'ONU sur le climat, où les 195 pays industrialisés et en voie de développement représentés peinent toujours à arriver à un consensus. L'enjeu est de poser les bases d'un futur grand accord espéré à Paris fin 2015.
RÈGLES COMMUNES
Les pays devront remettre ces contributions au secrétariat des Nations unies d'ici à mai 2015. La définition des règles qui les régissent, et leur processus d'évaluation (au niveau global, et par rapport à la capacité de chaque pays) sont un sujet de friction, et une étape cruciale pour assurer un certain niveau d'ambition dans l'accord multilatéral espéré à Paris.
Chine et Inde notamment sont opposés à une démarche trop exigeante. Les pays africains, qui ne représentent qu'une fraction marginale des émissions de gaz à effet de serre (quelque 3 %), conditionnent une évaluation précise à des garanties financières. Et les Etats-Unis et l'Union européenne souhaitent que ces contributions se concentrent sur l'effort de réduction des gaz à effet de serre.
Objectifs chiffrés, champs d'activité couverts, année de référence… « Les informations doivent être précises et comparables pour évaluer l'effort de chacun et dire s'il est suffisant pour contenir le réchauffement au-dessous de 2 °C », confie au Monde Romain Benicchio d'Oxfam, en redoutant que les discussions ne se terminent par un menu à la carte, « ni transparent, ni lisible ».
C'est possible. L'évaluation de ces contributions en juin 2015 n'est en effet pas acquise. Le Brésil, au nom des Basic (Brésil, Afrique du Sud, Inde et Chine), a dit qu'il n'y était pas favorable.
Sur le fond, les engagements attendus doivent permettre de réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) au niveau global, en vue de limiter à 2 °C la hausse de la température de la planète. A Lima, le projet d'accord sur ce sujet doit être formellement adopté, faute de quoi la conférence n'aura pas tenu ses promesses.
Limiter la hausse des températures impliquerait de réduire les émissions de GES d'ici à 2050 de 40 à 70 %, selon les experts. Cela suppose que tous les pays se détournent peu à peu des énergies fossiles – le charbon en premier lieu – et investissement massivement dans d'autres énergies.
Autre point de discorde, la différenciation entre pays développés et en voie de développement, que certains pays très pollueurs veulent maintenir. La Convention de l'ONU sur le climat de 1992 reconnaît « une responsabilité commune mais différenciée » pour ces deux catégories de pays. Chine et Inde en tête, désormais le premier et le quatrième émetteurs de GES, plaident pour un statu quo, considéré comme inacceptable par les Etats-Unis et l'Union européenne, notamment.
L'aide aux pays du Sud pour faire face au réchauffement est enfin un sujet de grande défiance. Certains pays, notamment la Chine, le Brésil, le Mexique, l'Arabie saoudite et la Bolivie (qui préside le groupe G77) exigent plus de visibilité sur la manière de tenir la promesse que le Nord a faite en 2009 d'atteindre 100 milliards de dollars d'aide annuelle en 2020. Pour l'instant, le Fonds vert pour le climat a été capitalisé à hauteur de 10,2 milliards de dollars.
- suit un clip tissu de mensonges, une escroquerie monumentale (complicité du journal 'Le Monde') acceptable par AUCUN vrai scientifique et ses pairs, mettant en scène ... l'élévation du niveau des océans qui... pourrait !! s'élever à plus de 1 m ! (sans dire d'où viendrait l'eau !) où parlant faussement des gaz a effet de serre ou gaz carbonique relaté comme poison !
La semaine dernière j'ai écrit que contrairement à l'ambiance dominante la force du dollar américain pourrait s'inverser à tout moment. Cette semaine j'ai regardé un autre aspect du dollar, qui certainement va devenir une importante source d'approvisionnement : un changement global hors de lui par des titulaires étrangers.
Ainsi que les sociétés multinationales qui compte en dollars, il y a des entités non américaines qui utilisent des dollars purement pour le commerce. Et tant que les gouvernements interviennent dans les marchés des changes, les gouvernements se retrouvent avec ces commerces dollars dans leurs réserves de devises étrangères. Certains de ces gouvernements poussent maintenant difficiles de remplacer le dollar, après avoir vu son avilissement, qui est indépendant de leur volonté. Cela a bouleversé des nations comme la Chine, et ce avant nous spéculons sur n'importe quel angle géopolitique.
La conséquence de la gestion de la devise de la Chine a été une accumulation massive de dollars que la Chine ne peut pas vendre facilement. Tout ce qu'elle peut faire est d'arrêter leur accumulation et pas réinvestir le produit de maturation des bons du Trésor, et cela a été largement sa politique depuis au moins l'an dernier. Si ce problème a été en cours depuis un certain temps et sans doute contribué à la détermination de la Chine à réduire sa dépendance vis-à-vis du dollar. En outre, c'est pourquoi il y a treize mois George Osborne (c'est le seul mot pour lui) a été convoqué à Pékin pour discuter d'un déménagement de toute urgence développer marchés financiers offshore de renminbi, en utilisant les liens historiques entre Hong Kong et Londres. Depuis lors, il est signalé que le mois dernier plus 22 % du commerce extérieur de la Chine, a été réglée dans sa propre monnaie.
Étant donné le peu de temps impliqués, il est clair qu'il y a un changement majeur qui passe dans le commerce transfrontalier à peine remarqué par des commentateurs financiers. Mais ce n'est pas tout : des sanctions contre la Russie l'ont transformé toute urgence face au dollar ainsi, et ainsi que de la Chine, ces deux nations dominent et transportent avec elles la plus grande partie de l'Asie, ce qui représente presque 4 milliards d'âmes voie d'industrialisation rapide. Pour cela, nous devrions ajouter au Moyen-Orient, la plupart dont l'huile est maintenant exporté vers la Chine, l'Inde et Asie du sud-est, licencie les pétro-dollars potentiellement aussi bien.
Dans un système de monnaie dollar-centrique, Chine est limitée en ce qu'elle peut faire, car avec presque $ 4 billions en total des réserves de change, elle ne peut pas vendre assez d'argent pour faire une différence sans conduire le renminbi sensiblement plus élevé. Dans le passé, elle a réduit ses soldes de dollars en vendant les autres monnaies, comme l'euro, mais elle ne peut pas compter sur les autres grandes banques centrales pour neutraliser l'effet de marché de ses ventes de dollar en son nom. En partie pour cette raison la Chine a maintenant l'intention de redéployer ses réserves dans des investissements internationaux pour développer ses marchés à l'exportation pour les biens d'équipement, ainsi que dans les grands projets d'infrastructure, tels que le système de route de la soie de 40 milliards $.
Cela revient simplement à disperser de dollars de la Chine entre diverses mains pour dissimuler leur disposition. Pendant ce temps les marchés des changes ont facturés dans la direction opposée, avec la force du dollar sape des prix des matières premières, plus nettement l'huile, beaucoup au profit de la Chine. Et tandis que les têtes de parler discutent de l'effet sur le schiste de Russie et de l'Amérique, ils sont inconscients au tsunami potentiel de dollars n'attendent que l'occasion de revenir à la bonne vieille US du A.
« Le marché obligataire japonais est mort selon la Mizuho Bank… !! »
RépondreSupprimerMes chères contrariennes, mes chers contrariens !
C’est une dépêche de l’agence de presse spécialisée dans la finance Bloomberg qui écrit un article assez long au sujet des dernières déclarations de la Mizuho Bank qui a indiqué tout simplement, ce qui n’est pas rien, que le marché obligataire est mort, tué par la politique de la Banque centrale japonaise.
Ces déclarations fracassantes, encore plus de la part d’un grand acteur financier, ont été relativement peu commentées pour ne pas dire pas du tout ! Et pourtant, ce qui est dit est très important… À moins que ce soit pour cette raison justement que ce ne soit pas ou insuffisamment repris !!
La Mizuho est l’un des SVT, un mot barbare signifiant que c’est l’une des banques ayant en charge le traitement « obligatoire » des obligations de l’État japonais, ce n’est donc pas rien, sans compter que cette banque est l’une des principales détentrices des dettes de l’État nippon.
Selon Tetsuya Miura, le stratège obligataire chez Mizuho basée à Tokyo, le marché obligataire est mort et la raison c’est évidemment la politique de la BoJ, la Banque centrale du Japon, qui rachète les dettes de l’État en monétisant autant que nécessaire ou presque. Résultat logique : le prix des obligations japonaises ne reflètent pas le risque. Conséquence ? Les réformes structurelles ne sont pas faites puisque la solution de facilité (imprimer des billets) c’est bien plus commode. Conclusion ? Pour lui, cette politique, au lieu d’améliorer la situation, l’aggrave considérablement.
Sans blague. Imprimer de la fausse monnaie n’a jamais été une solution.
244 % de dette sur PIB pour le Japon !
Incidemment, on apprend au détour de cet article de Bloomberg que la dette publique du Japon a grimpé de plus d’1 quadrillion de yens (je ne sais même pas combien de zéros il faudrait pour écrire ce nombre en chiffres) et que le FMI estime que cela correspond à… 244 pour cent du produit intérieur brut du pays cette année à comparer aux 106 pour cent de dette sur PIB pour les USA (tout de même).
Depuis le début de l’année le yen a chuté de 18 % par rapport au dollar américain, ce qui veut dire que détenir une obligation japonaise rapportant 0,1 % et libellée en yen qui baisse de 18 % vous fait un rendement négatif exceptionnel de 17,99 % sur votre placement en un an…
(suite en dessous:)
Logiquement, les investisseurs ne se bousculent pas au portillon pour profiter d’une telle aubaine pour leur patrimoine. Résultat ? Encore une fois, la fuite en avant dans l’impression monétaire et encore plus de yen, ce qui fera baisser encore plus la monnaie japonaise et ne relancera pas la croissance puisque le Japon, s’il est un exportateur, est avant tout un importateur très important que ce soit de produits énergétiques (pétrole, gaz, etc.) ou alimentaires. Pour les consommateurs japonais, cette politique est catastrophique puisque les Japonais se nourrissent tous les jours et se chauffent également. Avec une monnaie qui perd presque 20 % de sa valeur, le pouvoir d’achat s’effondre.
RépondreSupprimerL’objectif : masquer l’insolvabilité du Japon
Si le Japon reste un pays riche et l’un des plus gros détenteurs de dettes US, il ne peut revendre ses bons du Trésor américain sous peine de faire s’effondrer la dette US. Et le Japon est un fidèle allié des États-Unis. Le Japon est en plein déclin démographique et ses seniors mobilisent massivement leur épargne pour boucler leurs fins de mois. La population est donc vendeuse nette de ses actifs financiers détenus. La seule façon de maintenir un semblant de normalité est de mettre en face la banque centrale qui achète en dernier recours. Résultat ? Encore une fois, il ne s’agit pas de relancer la croissance nippone mais de masquer l’insolvabilité du pays jusqu’au jour où le yen sera emporté par un épisode hyperinflationniste.
C’est dans ce contexte qu’aujourd’hui on admet enfin officiellement que la Banque centrale japonaise a tué le marché obligataire.
Comme l’a écrit Nicholas Spiro, directeur de la gestion et de la stratégie basée à Londres du Fonds Souverain Spiro, « à toutes fins utiles, il n’y a pas de marché des obligations japonaises ».
J’espère que le message est clair.
Il est déjà trop tard, préparez-vous.
À demain… si vous le voulez bien !!
Charles SANNAT
http://www.lecontrarien.com/le-marche-obligataire-japonais-est-mort-selon-la-mizuho-bank-12-12-2014-edito?utm_source=Le+Contrarien+Matin&utm_campaign=cd6e2a908d-daily_newsletter_2014_12_12&utm_medium=email&utm_term=0_b6dd3f3e5f-cd6e2a908d-45320805
Analysons la dette, quels pays en ont et surtout pourquoi !
SupprimerLa dette est au départ un crédit qui passe pour en être tant que la somme demeure disons 'acceptable'. Puis, très vite les insurmontables apparaissent sans que NUL NE BOUGE ! Cà alors ! Bizarre que 'ni la majorité ni, l'opposition (quand elle est au pouvoir) n'en parle, n'en poursuive les protagonistes, les arrête, les crucifie, les écartèle sur la place publique ! 'Bizarre' non ?
Puis après, l'habitude fait son 'train-train' et puis, quand l'inremboursabilité est x fois dépassée... bof, un peu plus un peu moins...
Seulement, il faudrait, il faudra bien qu'un jour un tribunal se mette en place. Quand je dis 'tribunal' je veux dire Indépendant, et juge les coupables arrêtés ou non. Là, ce coup d'arrêt aura son importance. Reconnu ou non par les coupables au pouvoir on s'en fout ! Le principal n'est-il pas de dresser l'échafaud ?
Violence, guerres : justification par une science détournée
RépondreSupprimerUnesco
jeu., 16 nov. 1989 10:40 CET
Croyant qu'il relève de notre responsabilité en tant que chercheurs dans diverses disciplines d'attirer l'attention sur les activités les plus dangereuses et les plus destructrices de notre espèce, à savoir la violence et la guerre, reconnaissant que la science est un produit de la culture qui ne peut avoir un caractère définitif englobant l'ensemble des activités humaines, exprimant notre gratitude pour le soutien que nous avons reçu des autorités de Séville et des représentants espagnols de l'UNESCO, nous, les universitaires soussignés, originaires du monde entier et appartenant à des disciplines particulièrement concernées, nous nous sommes réunis et sommes parvenus au manifeste suivant sur la violence. Dans ce manifeste, nous contestons un certain nombre de soi-disant découvertes biologiques qui ont été utilisées par des personnes, y compris dans nos domaines respectifs, pour justifier la violence et la guerre. Parce que l'utilisation de ces « découvertes » a créé un climat de pessimisme dans nos sociétés, nous proclamons que la dénonciation publique et réfléchie de telles manipulations constitue une contribution importante à l'Année internationale de la paix.
Le mauvais usage de faits et théories scientifiques dans le but de légitimer la violence et la guerre, sans être un phénomène nouveau, est étroitement associé à l'avènement de la science moderne. Par exemple, la théorie de l'évolution a ainsi été « utilisée » pour justifier non seulement la guerre, mais aussi le génocide, le colonialisme et l'élimination du plus faible.
Nous exprimons notre point de vue sous la forme de cinq propositions. Nous sommes parfaitement conscients que bien d'autres questions touchant à la violence et la guerre pourraient être également discutées dans le cadre de nos disciplines, mais nous en restons volontairement à ce que nous considérons une première étape essentielle.
Première proposition
Il est scientifiquement incorrect que nous ayons hérité de nos ancêtres les animaux une propension à faire la guerre. Bien que le combat soit un phénomène largement répandu au sein des espèces animales, on ne connaît que quelques cas au sein des espèces vivantes de luttes destructrices intra-espèces entre des groupes organisés. En aucun cas, elles n'impliquent le recours à des outils utilisés comme armes. Le comportement prédateur s'exerçant à l'égard d'autres espèces, comportement normal, ne peut être considéré comme équivalent de la violence intra-espèces. La guerre est un phénomène spécifiquement humain qui ne se rencontre pas chez d'autres animaux.
Le fait que la guerre ait changé de manière aussi radicale au cours des temps prouve bien qu'il s'agit d'un produit de la culture. C'est principalement au travers du langage qui rend possibles la coordination entre les groupes, la transmission de la technologie et l'utilisation des outils que s'établit la filiation biologique de la guerre. La guerre est d'un point de vue biologique possible mais n'a pas un caractère inéluctable comme en témoignent les variations de lieu et de nature qu'elle a subies dans le temps et dans l'espace. Il existe des cultures qui depuis des siècles n'ont pas fait la guerre et d'autres qui à certaines périodes l'ont faite fréquemment puis ont vécu en paix durablement.
(suite en dessous:)
Deuxième proposition
RépondreSupprimerIl est scientifiquement incorrect de dire que la guerre ou toute autre forme de comportement violent soit génétiquement programmée dans la nature humaine. Si des gènes sont impliqués à tous les niveaux du fonctionnement du système nerveux, ils sont à la base d'un potentiel de développement qui ne se réalise que dans le cadre de l'environnement social et écologique. Si incontestablement les individus sont différemment prédisposés à subir l'empreinte de leur expérience, leurs personnalités sont néanmoins la résultante de l'interaction entre leur dotation génétique et les conditions de leur éducation. En dehors de quelques rares états pathologiques, les gènes ne conduisent pas à des individus nécessairement prédisposés à la violence. Mais le contraire est également vrai. Si les gènes sont impliqués dans nos comportements, ils ne peuvent à eux seuls les déterminer complètement.
Troisième proposition
Il est scientifiquement incorrect de dire qu'au cours de l'évolution humaine une sélection s'est opérée en faveur du comportement agressif par rapport à d'autres types. Dans toutes les espèces bien étudiées, la capacité à coopérer et à accomplir des fonctions sociales adaptées à la structure d'un groupe détermine la position sociale de ses membres. Le phénomène de « dominance » implique des liens sociaux et des filiations ; il ne résulte pas de la seule possession et utilisation d'une force physique supérieure, bien qu'il mette enjeu des comportements agressifs. Lorsque, par la sélection génétique de tels comportements ont été artificiellement créés chez des animaux, on a constaté l'apparition rapide d'individus hyperagressifs ; ceci permet de penser que dans les conditions naturelles la pression en faveur de l'agressivité n'avait pas naturellement atteint son niveau maximal. Lorsque de tels animaux hyperagressifs sont présents dans un groupe, soit ils détruisent la structure sociale, soit ils en sont éliminés. La violence n'est inscrite ni dans notre héritage évolutif ni dans nos gènes.
Quatrième proposition
Il est scientifiquement incorrect de dire que les hommes ont « un cerveau violent » bien que nous possédions en effet l'appareil neuronal nous permettant d'agir avec violence, il n'est pas activé de manière automatique par des stimuli internes ou externes. Comme chez les primates supérieurs et contrairement aux autres animaux, les fonctions supérieures neuronales filtrent de tels stimuli avant d'y répondre. Nos comportements sont modelés par nos types de conditionnement et nos modes de socialisation. Il n'y a rien dans la physiologie neuronale qui nous contraigne à réagir violemment.
(suite en dessous:)
Cinquième proposition
RépondreSupprimerIl est scientifiquement incorrect de dire que la guerre est un phénomène instinctif ou répond à un mobile unique. L'émergence de la guerre moderne est le point final d'un parcours qui, débutant avec des facteurs émotionnels, parfois qualifiés d'instincts, a abouti à des facteurs cognitifs. En effet, la guerre moderne met en jeu l'utilisation institutionnalisée d'une part de caractéristiques personnelles telles que l'obéissance aveugle ou l'idéalisme, et d'autre part d'aptitudes sociales telles que le langage ; elle implique enfin des approches rationnelles telles que l'évaluation des coûts, la planification et le traitement de l'information. Les technologies de la guerre moderne ont accentué considérablement le phénomène de la violence, que ce soit au niveau de la formation des combattants ou de la préparation psychologique à la guerre des populations. Du fait de cette amplification, on a tendance à confondre les causes et les conséquences.
Conclusion
Nous proclamons en conclusion que la biologie ne condamne pas l'humanité à la guerre, que l'humanité au contraire peut se libérer d'une vision pessimiste apportée par la biologie et, ayant retrouvé sa confiance, entreprendre, en cette Année internationale de la paix et pour les années à venir, les transformations nécessaires de nos sociétés. Bien que cette mise en œuvre relève principalement de la responsabilité collective, elle doit se fonder aussi sur la conscience d'individus dont l'optimisme comme le pessimisme sont des facteurs essentiels. Tout comme « les guerres commencent dans l'esprit des hommes », la paix également trouve son origine dans nos esprits. La même espèce qui a inventé la guerre est également capable d'inventer la paix. La responsabilité en incombe à chacun de nous.
http://fr.sott.net/article/24168-Violence-guerres-justification-par-une-science-detournee
RépondreSupprimerLe cessez-le-feu à l'Est de l'Ukraine est enfin « réel », les deux parties confirment
12 décembre 2014 14:47
Le cessez-le-feu en Ukraine est effectivement en cours d'exécution, et les deux parties au conflit l'ont reconnu dans une rare manifestation d'accord après des mois d'accusations réciproques.
"J'ai de bonnes nouvelles," le Président ukrainien Petro Poroshenko, actuellement en visite en Australie, a déclaré aux journalistes vendredi. «Aujourd'hui, pour la première fois en sept mois, il y avait un cessez-le-feu véritable 24-heure-long.»
«Vous ne pouvez pas imaginer combien cela est important pour nous. C'est devenu la première nuit quand je n'ai pas un seul soldat tué ou blessé".
Poroshenko a admis, toutefois, la trêve a jusqu'ici été "très fragile" et a promis de "prier pour le processus visant l'exploitation".
Armure lourde, d'artillerie et de lanceurs de missiles Grad n'ont pas été utilisés par les forces rebelles au cours de la dernière journée, le Président de l'ukrainien du Conseil de sécurité, Andrey Lysenko, a confirmé vendredi.
Lysenko «dans l'ensemble nous pouvons confirmer la mise en place progressive et réciproque du régime « silence » dans les zones où l'opération de lutte contre le terrorisme se déroule», a déclaré, cité par RIA Novosti.
Les dirigeants des républiques autoproclamées de Donetsk et de Lougansk ont également admis que le cessez-le-feu était respecté pour la plupart.
Les combattants rebelles de Lougansk ont retiré des armes lourdes de la ligne de front, comme convenu avec Kiev, affirme le Président du Conseil de la population locale, Aleksey Karyakin.
"Le cessez-le-feu semble être observée dans l'ensemble, mais des accrochages les se produisent", a-t-il déclaré. «Seulement il n'est pas les armes lourdes, mais les petites armes à feu qui sont utilisés. Combats à grande échelle n'est pas en cours."
La situation est similaire à Donetsk, selon le chef du Conseil du peuple, Andrey vertu.
Purgin «pour autant que je comprends des escarmouches sporadiques sont prenant place, mais pas de 120 par jour, comme il l'habitude d'être,» a déclaré, cité par l'Agence de presse de Donetsk.
Ministre des affaires étrangères Sergey Lavrov de la Russie est optimiste quant à la trêve actuelle.
«Il a émergé une chance pour la paix en Ukraine. Avec une certaine douleur, le cessez-le-feu a finalement été atteint, « Lavrov a déclaré vendredi.
(suite en dessous:)
«Il y a un motif valable pour aller de l'avant dans la négociation d'autres questions, telles que la reconstruction économique de la région de Donbass, stimuler le dialogue politique, qui doit aboutir à une réforme constitutionnelle en Ukraine avec la participation de toutes les régions et toutes les forces politiques, quelque chose les autorités ukrainiennes avaient promis en avril. »
RépondreSupprimerLa tentative de dernier et réussie jusqu'à présent à un cessez-le-feu, négocié par l'OSCE, a été lancée le 9 décembre et est censé pour ouvrir la voie à un nouveau cycle de pourparlers de paix entre Kiev et les républiques autoproclamées en Orient. La date pour les négociations, qui auront lieu à Minsk, en Biélorussie, n'a pas encore été convenue sur.
La Russie, selon Lavrov, tente d'obtenir la date fixée dès que possible.
Un majeur feuille de route pour la paix a été déjà décidée à Minsk en septembre. Entre autres choses, il est stipulé que l'Ukraine était d'accorder un statut spécial pour les régions de Donetsk et de Lougansk et organiser des élections anticipées.
Depuis lors les Kiev et les rebelles sont accusés mutuellement de violer l'accord de septembre Minsk.
Kiev a lancé son opération militaire contre les forces hostiles au gouvernement en avril. 4 300 personnes ont été tuées dans le conflit depuis ce temps, l'ONU a récemment estimé.
http://rt.com/news/213827-ukraine-president-ceasefire-real/
Déplacez votre arsenal ! Chars américains, APC, Humvees rouleau par le biais de Lettonie (vidéo, PHOTOS)
RépondreSupprimer12 décembre 2014 08:33
Un train de marchandises transportant une colonne entière de véhicules blindés américains a été pris en photo en Lettonie. Dalbe gare, où le train a été repéré aurait été il y a plusieurs jours, est inférieure à 300 km de la frontière russe.
Le train transportait au moins 38 véhicules et plusieurs semi-remorques, comprenant huit véhicules de combat Bradley, transporteurs de Personnel neuf blindés M113 (TTB), quatre camions-citernes d'essence, élargi la mobilité tactique des camions lourds (HEMTTs), High Mobility Multipurpose véhicules à roues (HMMWV), un véhicule de dépannage M88 Hercules Armory, un couple de camions, quelque génie tactique et véhicules de transport sanitaire, au moins quatre conteneurs et une paire de wagons avec des munitions.
Les autorités lettones ont confirmé au portail de nouvelles de Delfi que le train repéré le 7 décembre, a été chargé avec les véhicules de la 1re Division de cavalerie des États-Unis, et le train se dirigeait vers la Lituanie.
Des véhicules blindés américains ont été envoyés pour les pays baltes et la Pologne pour des exercices militaires et sont définies pendant la formation constante des troupes locales et les forces de rotation de nous.
Les véhicules de combat plus seront prépositionnés dans des bases militaires américaines en Allemagne. Déploiement de matériel supplémentaire pour les pays baltes et la Pologne se passe dans le cadre des États-Unis « Opération Atlantic résout » effort, mis en place pour rassurer les alliés américains en Europe de l'est inquiet d'une « Russie renaissante. »
http://rt.com/news/213747-latvia-us-armored-vehicles/
Les budgets de sous-scolarisation, universités « en ruines » voir des milliers protestation en France
RépondreSupprimer12 décembre 2014 13:02
Des milliers de membres du personnel universitaire français et d'étudiants ont défilé pour protester contre les budgets d'éducation faible et installations des universités « littéralement en ruines. »
Les foules ont envahi les rues des villes françaises jeudi pour rallier contre les budgets d'éducation faible et des « universités mortes. »
"Nous devons jeter une lumière sur l'état catastrophique de l'enseignement supérieur et la recherche (ESR) en France" tandis que "le gouvernement reste sourd aux demandes <>... la rhétorique ne peut pas masquer la dure réalité du manque de moyens, dont les conséquences précises sur la vie quotidienne du personnel et des étudiants s'aggraver rapidement," a déclaré les organisateurs dans leur déclaration officielle.
« Une image vaut mille mots, » le groupe dit, créer une galerie de photos des installations vétustes et pourris aux universités françaises.
La colère des professionnels de l'Université a été déclenchée par les modifications de budget de l'éducation pour 2015, approuvé par l'Assemblée nationale en novembre. Fonds d'éducation doivent être réduits de € 136 millions, dont € 70 millions du budget de l'enseignement supérieur.
Membres du personnel universitaire décrié aussi les installations décrépites d'établissements d'enseignement supérieur, disant autres € 20 milliards sont nécessaires durant la prochaine décennie pour réparer les installations pourris. Ceux-ci incluent : amphithéâtres qui fuit et couvert de graffitis, s'effondrant WCs, mais aussi des classes surchargées.
Enfin, employés de l'Université recherchent des allégements fiscaux lorsque les universités embauchent des chercheurs. Actuellement, le principe s'applique uniquement aux entreprises qui emploient les diplômés des sciences.
La protestation de longue date a conduit au Président François Hollande pour déclarer qu'il annulerait les coupes € 70 millions, rapporte Le Monde. Le déménagement a annoncé vendredi soir lors d'un dîner avec les chefs de l'Université au Palais de l'Elysées.
http://rt.com/news/213839-france-protest-university-hollande/
La retraite de François Hollande s’élèverait à plus de 15.000 euros (Elysée)
RépondreSupprimerPar La Voix de la Russie
Le président français François Hollande pourra prétendre à la retraite d’environ 15.000 euros net par mois, selon les chiffres fournis par l’Elysée, qui ajoute que cette somme correspond à l’addition de toutes les pensions auxquelles l’homme politique a droit.
« En supposant que François Hollande demande le moment venu la liquidation de toutes les pensions auxquelles il a droit », c’est « une dotation mensuelle de 15.114 euros ($ 18,840.73) net qu’il recevra », écrit la directrice de cabinet de François Hollande, Sylvie Hubac dans un droit de réponse adressé à l’hebdomadaire Marianne.
Cette somme est notamment constituée de 5184 euros net par mois pour les fonctions de président de la République, exercées par Hollande et de 6208 euros net par mois comme parlementaire, explique l’Elysée dans une réponse écrite.
http://french.ruvr.ru/news/2014_12_12/La-retraite-de-Francois-Hollande-s-eleverait-a-plus-de-15-000-euros-Elysee-5511/
'Une merveilleuse amitié'... Juncker a aidé Amazon à conclure un accord pour bénéficier d'une fiscalité privilégiée
RépondreSupprimer11 déc. 2014
Le nouveau président de la Commission européenne, le Luxembourgeois Jean-Claude Juncker, serait intervenu personnellement pour conclure un accord fiscal avec le géant américain du e-commerce, Amazon, rapporte le journal The Guardian, qui tient cette information d'une interview publiée dans le journal luxembourgeois Lëtzebuerger Land sous le titre « Une merveilleuse amitié».
Bob Comfort, l’ancien responsable du service fiscal de cette firme, a dit au cours de cette interview accordée au Lëtzebuerger Land qu’il avait rencontré Juncker, et que dans les mois qui avaient suivi son installation au Luxembourg en 2003, Amazon avait conclu un accord avec le ministère des Finances du pays. Il a cité une déclaration de Juncker, qui en était alors à la fois le Premier ministre et le ministre des Finances, et dont il affirme qu’il aurait agi comme un « business partner» « aidant à résoudre les problèmes » :
Son message était : « Si vous rencontrez un problème que vous pensez ne pas pouvoir résoudre, revenez me voir. J’essayerai de vous aider »
La pression sur Juncker devrait encore accroître, alors qu’il était apparu le mois dernier que le Luxembourg avait conclu des accords de montages fiscaux avec au moins 340 multinationales pour leur permettre de réduire leur fardeau fiscal entre 2002 et 2010, à une époque où Jean-Claude Juncker, le nouveau président de la Commission européenne, était Premier ministre du Luxembourg et ministre des Finances de son pays.
Des documents que l’International Consortium of Investigative Journalists (ICIJ) s’est procurés ont révélé qu’au Luxembourg, ces sociétés ne payaient parfois que 0,25% d’impôt société… Pendant ce temps-là, les autres pays n’enregistraient aucune recette fiscale de leur part, en dépit de leurs activités sur leur territoire.
Ce dernier point est crucial : ce scandale, appelé « LuxLeaks », semble montrer que le Luxembourg proposait non seulement à ces firmes de profiter de dispositions fiscales très avantageuses, mais qu’il agissait également en facilitateur pour leur éviter de payer des impôts dans d’autres pays. Cette semaine, la fuite d’un second jeu de documents a révélé que ces accords fiscaux avaient également profité à Disney, Skype, et Koch Industries, pour n’en citer que quelques unes.
« On pourrait dire que Juncker a enrichi son pays en vidant les poches des autres pays, y compris ceux de l’Union Européenne qu’il doit maintenant servir en vertu de son mandat », avait récemment écrit Bloomberg dans un éditorial.
(suite en dessous:)
Le mois dernier, Juncker s’était défendu de toutes ces accusations. « Je ne suis pas l’architecte du modèle luxembourgeois, parce que ce modèle n’existe pas ». Il avait dit que son gouvernement n’avait rien fait de plus que se battre pour attirer l’investissement, comme les autres.
RépondreSupprimerLe Groupe des Verts au Parlement européen souhaite obtenir la mise en place d’une commission d’enquête sur le scandale des LuxLeaks, mais les trois grands groupes, les socialistes (S&D), les démocrates-chrétiens (PPE) et les Libéraux (ALDE), s’y sont opposés.
Quant à Comfort, il a pris sa retraite d’Amazon cet été, et il occupe désormais le poste de… «consul honoraire» pour le Luxembourg dans sa ville natale de Seattle. Il n’y aurait que 4 Luxembourgeois installés dans la région de Seattle, et ses fonctions ne consistent donc pas à régler des affaires de passeport, mais plutôt à promouvoir le Grand-Duché auprès des entreprises.
http://www.express.be/business/fr/economy/une-merveilleuse-amitie-juncker-a-aide-amazon-a-conclure-un-accord-pour-bnficier-dune-fiscalit-privilgie/209862.htm
Traité transatlantique : la politique allemande plie face aux trusts économiques
RépondreSupprimerEberhard Hamer
Mittelstandsinstitut Hanovre
ven., 12 déc. 2014 11:23 CET
Traduction : Horizons et débats
Les associations économiques des trusts allemands ont incité le ministre de l'économie Sigmar Gabriel à accepter l'accord de libre-échange négocié secrètement par les Etats-Unis et l'UE aussi avec la clause de sauvegarde des investissements.
Quand on négocie à huis clos, il y a toujours quelque chose qui cloche. Car si sur le plan européen seul le bureau politique de Bruxelles négocie, du côté américain aussi bien les représentants du gouvernement et des banques que ceux des trusts et des cabinets d'avocats ont leur mot à dire. Il ne faut pas s'étonner que l'économie, la science et la population en Europe considèrent l'accord de libre-échange transatlantique intitulé Partenariat transatlantique de commerce et d'investissement (« PTCI » ou en anglais Transatlantic Trade and Investment Partnership « TTIP ») comme un complot des trusts multinationaux contournant les normes de concurrance nationales démocratiques.
Avec l'accord de libre-échange TTIP tous les droits de douanes doivent être supprimés ainsi que différentes normes et interdictions de protection. Chaque trust américain aurait donc dans les pays de l'UE les mêmes droits que dans leur pays d'origine. Ainsi les hautes normes de protection en Europe quant à l'alimentation, l'agriculture, la médecine, la santé, la recherche, l'autorisation des produits, la protection de l'environnement et de la nature, le travail, le social et la promotion de la culture deviendraient inutiles.
Le fait que les trusts allemands se prononcent en faveur du TTIP s'explique d'un côté par la facilitation des exports et de l'autre du fait que la majorité des trusts allemands sont entre les mains de fonds internationaux; ils ont donc des intérêts plutôt internationaux que nationaux.
Jusqu'à présent on a manqué de prévenance pour les petites et moyennes entreprises, les syndicats, les protecteurs de l'environnement, les représentants culturels, pour les chercheurs, pour l'agriculture. Ils sont tous exclus des négociations et pour de bonnes raisons :
- La promotion culturelle publique créerait d'après le TTIP « une distorsion de concurrence indue » avec dommages et intérêts pour la mafia culturelle internationale.
- Si les normes américaines permettent la destruction de l'environnement telles que par exemple la fracturation hydraulique, le déboisement de grandes surfaces, l'introduction d'acides dans des rivières etc., alors à l'avenir l'exigence pourrait être la même pour leur production en Europe et il faudrait leur accorder les « mêmes opportunités compétitives ».
- 90% des Allemands ne veulent pas de chimie dans leur nourriture. Aux États-Unis le consommateur doit prouver les dommages qui en découlent pour lui alors qu'en Europe c'était jusqu'à présent l'inverse. A l'avenir, suite au TTIP, il incomberait au consommateur de rassembler les preuves.
(suite en dessous:)
- Les multinationales biotechnologiques américaines telles Monsanto et Syngenta ont établi en Amérique du Nord et en Amérique latine des monopoles sur les semences bien qu'il soit prouvé que les souris nourries avec le soja génétiquement modifié soient stériles après dix générations. Le TTIP livrerait sans scrupules les paysans allemands aux monopoles américains sur les semences et sur le génie génétique.
RépondreSupprimer- L'agriculture européenne se compose de petites et moyennes exploitations. C'est pourquoi en Europe la politique agricole n'est pas seulement protection de l'agriculture mais aussi de l'environnement. Avec le TTIP les agro-multinationales pourraient envahir l'Europe avec des prix de dumping. Lorsque, déjà une fois en 1870 suite à la pression des grands industriels, le libre échange fut introduit dans l'agriculture, 100 000 exploitations agricoles de toutes tailles avaient disparu en dix ans. Cela se répéterait avec le TTIP.
Mais la plus grande impertinence de la part des négociateurs américains est qu'ils veuillent anéantir la justice européenne par une clause d'arbitrage. Des plaintes contre des mesures de monopole des trusts américains ne seraient plus possibles par les voies ordinaires de justice en Europe. Quant aux plaintes des trusts transatlantiques contre de nouvelles lois nationales, comme par exemple dans le domaine des normes environnementales ou de la promotion publique, la juridiction allemande n'aurait plus aucun mot à dire, cette compétence reviendrait aux tribunaux secrets privés (ICSID), sans seconde instance.
Ces tribunaux arbitraux seraient la compétence de cabinets juridiques américains (liés aux entreprises) aux États-Unis. Jusqu'à présent plus de 70% des cas de litige furent décidés en faveur des trusts américains. Il n'y a plus de possibilité de recours. Cela bouleverserait la culture juridique traditionnelle en Europe. Les plaintes et les peines maximales que les États-Unis infligent aux banques européennes montrent que la justice américaine n'a aucun scrupule d'imposer, avec l'aide de cette justice privée, la discrimination internationale. La justice américaine se déclare compétente partout où des affaires seront conclues en dollars. Cela priverait en particulier les PME de leurs droits, étant donné qu'ils ne seraient plus en mesure de porter plainte ou de se défendre aux États-Unis et qu'ils ne pourraient pas porter les coûts exorbitants des avocats américains.
S'y ajoute que le TTIP ne démantèlerait non seulement notre justice, nos normes sociales, environnementales, celles dans le domaine de la santé publique et autres, mais livrerait aussi nos droits démocratiques aux trusts. Nous ne pourrions par conséquent plus faire des lois considérées comme « entrave » sans que l'État soit passible de dommages et intérêts (exemple: la plainte de Vattenfall contre l'abandon de l'énergie nucléaire).
Par contre, lorsque les services secrets américains pratiquent de l'espionnage dans toutes les entreprises européennes par rapport à la technologie et transmettent les résultats à leurs trusts - tandis qu'en Europe la protection des données est célébrée, les Américains ne le considèrent pas comme anticoncurrentiel.
(suite en dessous:)
L'homme politique allemand Sigmar Gabriel a raison de refuser les clauses de sauvegarde des investissements demandées par les trusts américains. C'est justement à cela que s'attaque maintenant le lobby des trusts allemands.
RépondreSupprimerSigmar Gabriel devrait examiner, en tant que ministre des trusts, s'il veut protéger tout ce que des générations ont créé dans les domaines de la culture, de la santé publique, de l'agriculture diversifiée et sans OGM ni produits chimiques, des normes environnementales, ou s'il veut vendre aux monopolistes américains la suprématie des lois sur l'économie lors des négociations à huis clos. Les petites et moyennes entreprises et les salariés seraient lésés massivement et seraient livrés aux trusts américains. Il faut savoir que le TTIP n'apportera pas la prétendue liberté du marché mais la prise de pouvoir des monopoles américains en Europe!
http://fr.sott.net/article/24169-Traite-transatlantique-la-politique-allemande-plie-face-aux-trusts-economiques
Rapport de la CIA torture : tragédie pour l'Amérique
RépondreSupprimer12.12.2014
Aux États-Unis a publié le rapport sur les tortures horribles, inhumains des prisonniers dans les prisons secrètes de CIA. "Techniques d'interrogatoire telles que des claques et"broyé"(claquement des détenus contre un mur) ont été utilisés en combinaison, souvent parallèlement à la privation de sommeil et de la nudité. Techniques de waterboarding causant des dommages physiques ont été utilisées. "Détenus ont été privés pendant plus de 180 heures de sommeil, dit le rapport.
Politologue et américaniste Areg Gardner dit Pravda.Ru pourquoi cette information sort maintenant de tous les temps.
"Le Sénat a publié seulement les 500 premières pages, et l'intégralité du rapport est de 6 000 pages. Jusqu'à présent le Senate Select Committee on Intelligence obtenu l'approbation pour la libération de seulement 500 pages. Ce rapport doit avoir été libéré ainsi plus tôt, sa libération a été bloquée plusieurs fois quand les élections, "dit Areg Galstyan.
Il a souligné que les 100 premières pages du rapport devaient être libérés le plus tôt qu'en mars 2013, mais puisque le Senate Select Committee on Intelligence, malgré étant constitué de la majorité des démocrates, dirigée par le Président, a également eu des démocrates intransigeants. "En d'autres termes, les démocrates ont leurs propres faucons. Ils ont bloqué également le rapport qui sera publié,", a ajouté l'expert.
Selon lui, il a été exécuté simplement de facto, mais il doit être clair que l'ensemble du rapport est presque entièrement classé, seulement une petite partie a été libérée. « Droits de l'homme des défenseurs sont toujours en état de choc, tout semble être une certaine nouvelle pour eux ».
Mais il y avait beaucoup de rapports préliminaires, et ce qui s'écrirait il pouvait s'attendre. La sortie peut complètement en danger beaucoup nous résidents et américains travaillant à l'étranger. Il suffira simplement de mentionner l'assaut sur et l'assassinat de l'ambassadeur américain en Libye à Benghazi.
Américains soient méfient de la situation, ils ne joueront pas avec le feu, mais en même temps qu'ils ne peuvent pas fermer ce cas complètement, c'est pourquoi, ils libèrent des éléments d'information. Tout cela s'inscrit dans le cadre de l'intérieur secteur de la politique du Président pour l'Administration et le parti démocrate en général, "Areg Galstyan a déclaré dans une interview à Pravda.Ru.
Mais à la question Quelles répercussions suivraient cette exposition et ce rapport toucherait quoi que ce soit, l'expert a répondu qu'il ne serait guère tout changement substantiel, surtout maintenant.
"Toute tentative pour complément d'enquête dans le Senate Select Committee on Intelligence est vouées à l'échec. Car aujourd'hui, un droit de veto du Président du Comité de la républicain sur l'Intelligence est suffisant pour tout ralentir. Mais même si il n'y a rien de moins qu'un miracle et le processus s'allume et il y a un autre communiqué de l'information, puis le chef de la majorité a un droit absolu, ne pas de l'amener à un vote du public pour qu'il puisse être approuvé.
(suite en dessous:)
Mais même s'il décide de le faire, le Président John Boehner bloquera il au niveau de la chambre basse. Par conséquent, je ne sais quel miracle doit se produire pour cette question d'étendre plus loin, » dit Areg Galstyan.
RépondreSupprimerÀ son tour, pour Obama, selon lui, reste plus qu'à sortir et dire - nous avons fait tout ce nous pouvions, tout ce que nous pouvions. « Obama doit comprendre clairement qu'aujourd'hui il sont a des menaces très graves, en particulier les menaces du terrorisme islamique au Moyen-Orient, en particulier l'État islamique, et qu'il comprend que, sans coopération avec l'intelligence, sa politique ne peut être efficace. »
Obama ne peut pas faire grand-chose en ce qui concerne le droit de faire quelques changements fondamentaux, pour rendre quelqu'un répondre quelque chose, ou de lancer certains actes graves au niveau des tribunaux, des audiences du Congrès, pour ce faire, il a besoin de réviser les principales dispositions de la USA Patriot Act. Ils ont besoin de revenir aux méthodes de l'administration de Clinton. En d'autres termes, c'est le processus pour les décennies à venir.
Membre du Conseil des droits de l'homme auprès du Président de la Fédération de Russie Yana Lantropova dit Pravda.Ru pourquoi ces tortures pourraient servir et si vous pouvez faire confiance informations reçues avec leur aide.
"Tortures ne doivent pas être utilisés en aucune circonstance. Naturellement, je ne ferais pas confiance informations obtenues par la torture sans participants, témoins, » dit-elle.
Yana Lantropova Pravda.Ru a raconté son voyage vers le sud-est de l'Ukraine. "Là-bas j'ai parlé avec ceux qui a été torturé et détenu en otage par la garde nationale ukrainienne. Ils parlaient des horreurs absolues, comment ils étaient tourmentés et roué de coups, comment plastique sacs ont été mis sur leurs têtes et c'est horrible, "l'expert a dit avoir rappelé que ces méthodes étaient inacceptables.
"Il est important pour la communauté internationale de prêter attention à cette situation, car pour une raison quelconque quand quelques choses bizarres se produisent avec la violation des droits de l'homme dans tout autre pays, par exemple, la Russie ou l'Ukraine, les États-Unis attention à elle. Et quand il arrive dans leur propre pays, ils l'ignorent simplement. Il est important pour des défenseurs internationaux relatifs aux droits de l'homme de différents pays à se rassembler et parler de tout ce chaos qui passe en ce moment,"a noté Yana Lantropova.
Répondre à la question, quelles répercussions suivraient cette exposition et ce rapport n'affecterait quoi que ce soit, elle a déclaré que les Etats-Unis probablement ferait tout pour que cette histoire a été vite oubliée. Mais, a souligné Yana Lantropova, tout dépend de la réaction des défenseurs des droits de l'homme.
"Parce qu'à une des réunions des droits de l'homme, défenseurs V.V. Poutine dit une très bonne chose que dans les églises de Donbass sont complètement détruites, prêtres sont tués, ils sont poursuivis pour certaines croyances religieuses, leurs têtes sont réduits et il dit pourquoi les défenseurs des droits de l'homme internationaux garderait le silence à ce sujet.
(suite en dessous:)
En d'autres termes, lorsqu'il y a une question de prestige qui est bénéfique pour eux, pour d'autres pays, tous les droits de l'homme des défenseurs soulèvent un chahut et commencent à parler, appeler les autorités pour quelque chose. « Mais lorsqu'il y a une violation massive des droits en Ukraine, lorsqu'il y a une catastrophe humanitaire là, pour une raison quelconque personne ne répond à celle, » l'expert dit Pravda.Ru.
RépondreSupprimerElle a ajouté que tout cela a montré qu'il y avait pas de démocratie et « toute action déployés à violer les droits de l'homme ».
Selon elle, certains américains, en particulier des organisations à but non lucratif, peuvent influencer la situation. "Si le peuple prendra à la rue pour exiger leurs droits, alors il est possible. Une ou dix personnes ne fera rien. Si on regarde le nombre de personnes aux États-Unis qui sont mécontents et de soutenir la Russie, nous voyons plutôt intéressant des chiffres indiqués sur le Web. "Il est important de prêter attention à la réponse des citoyens ordinaires, estime l'expert.
Pravda.Ru
http://english.pravda.ru/world/americas/12-12-2014/129296-cia_torture_report-0/
Le prochain Round de la crise révèle que l'ensemble du système est fondé sur la fraude
RépondreSupprimerSoumis par Phoenix Capital recherche le 11/12/2014 11:44-0500
Le plus gros problème avec les marchés financiers est aujourd'hui la fraude .
La fraude est aujourd'hui endémique dans le système financier. Nous savons que les devises, actions, obligations, et même les marchés des matières premières ont été manipulés par les banques d'investissement ou des banques centrales.
Peu importe comment sophistiqué, votre analyse est, si vos entrées de données sont des ordures, vos prévisions sont des ordures. Nous savons maintenant que les prix à peu près tous actifs sous le soleil sont des ordures. Bonne chance informatique avec qui.
Puis, il y a fraude de bilan. Après le krach de 2008, les régulateurs suspendu des normes comptables qui nécessitait les banques de leurs actifs de prix à des valeurs basées sur le marché. La raison pour laquelle que les organismes de réglementation l'a fait était parce que le marché au prix de ces actifs Penny sur le Dollar, si pas de zéro.
Cela signifie que la plupart des banques ont été insolvable et en faillite.
Aujourd'hui, la plupart des banques sont de valorisation des actifs sur leurs bilans à l'aide de la marque de normes comptables de modèle. Étant donné que les « modèles » utilisés pour le prix de ces actifs sont développés par les banques elles-mêmes aucune supervision, "marquer au modèle" est en fait un terme d'expression pour "faire croire".
Au-delà de manipulation simple des prix et fraude de bilan, nous savons aussi que les revenus ou l'argent que les entreprises font prétendument après coûts, sont frauduleuses.
En effet, une étude réalisée par l'Université Duke a trouvé qu'environ 20 % des entreprises cotées en bourse manipulent leurs gains pour faire apparaître le mieux qu'ils le sont réellement. Les gens qui ont été interrogés pour cette étude sur cette pratique étaient les CAF réelles à l'entreprises eux-mêmes.
La réalité est que cette pratique est beaucoup plus endémique que les 20 % découverts dans cette étude (c'est plus probablement 50 %). Étant donné que la plupart de rémunération C-niveau reposent sur les stock-options, dont la valeur est déterminée par les boursiers... qui répondent aux battements de gains, directeurs financiers ont des dizaines de millions de Dollars de fortune personnelle sur la ligne lorsqu'il s'agit de masser des gains.
Alors... le prix des actifs est frauduleux, la valeur des bilans est frauduleux et les gains sont frauduleux. Cela signifie que les capitales de marché boursier, bilans et comptes de résultat sont des représentations tout inexactes de la réalité.
Assis au sommet de cette montagne de fraude est la réserve fédérale... la Banque centrale nous qui doit son existence à la fraude (si les américains compris comment la Fed a été créée et qui contrôle l'il, il aurait cessé d'exister depuis des décennies).
(suite en dessous:)
Il s'agit de la même organisation qui prétend que l'inflation est faible, que les plans de sauvetage de Wall Street ont été sur la Main Street, que les États-Unis sont en reprise, qu'il ne sera pas monétiser la dette américaine, qu'il a une stratégie de sortie pour son bilan de $ 4 billions, que c'est une entité indépendante, etc..
RépondreSupprimerÀ ce stade, trouver une données point ou réclamer, dans le secteur financier, ce n'est pas massée, ou un mensonge pur et simple est comme trouver une aiguille dans une botte de foin. Tout le système est pourri structure construite sur une fondation de mensonges, manipulations et tromperies.
Jusqu'à ce que la poubelle est autorisée à sortir, nous sommes situés à une autre crise. La seule différence est que cette fois-ci, lorsque les choses frappe le ventilateur, tout le système se cassera, pas seulement une poignée de banques.
Si vous avez encore pour prendre des mesures pour se préparer à la deuxième ronde de la crise financière, nous offrons un rapport investissement gratuit Guide de survie « autour de deux » crise financière qui donne un aperçu simple et à suivre des stratégies vous pouvez utiliser pour non seulement protéger votre portefeuille contre un ralentissement du marché, mais en fait produire des bénéfices.
http://www.zerohedge.com/news/2014-12-11/next-round-crisis-will-reveal-entire-system-based-fraud
Niveau de la mer de Sydney s'élevant à seulement 6,5 cm par siècle. PIC-panique est derrière nous.
RépondreSupprimerDans "L'australien" Bob Carter compare long terme marée jauge record à Sydney avec projections et expose le coût exorbitant de l'assurance pour les prévisions alarmistes niveau de la mer. La bonne nouvelle est qu'il semble les conseils sont réveillent, et « PIC-mer-niveau-panique » est derrière nous.
Tiny Url pour ce post : http://tinyurl.com/nzjjqhc
12 décembre 2014 |
Niveau de la mer alarmisme a passé à marée haute et enfin diminue. Avec de la chance, santé mentale empirique prévaudra bientôt au cours de la modélisation.
Après des années de recherche, qu'il s'avère que parler du niveau de la mer « global » rise est presque vide de sens à des personnes réelles qui vivent dans un seul endroit. La montée de l'océan varie localement d'une plage à d'aussi peu que 5cm par siècle à jusqu'à 16cm par siècle. Les variations sont principalement due à des taux différents de terre diminuant ou augmentant.
Plus important encore, le taux de montée était soit le même ou même plus rapide avant la seconde guerre mondiale lorsque les niveaux de gazcarbonique étaient "sûrs".
Figure 5: Comparaison des taux décennales de variation dans le dossier historique. Analyse basée sur 20-y relative niveau d'eau moyen mobile séries chronologiques. | Watson 2011
- voir graphique sur site -
Fort Denison à Sydney a un des plus anciens enregistrements continus, à partir de 1886 et enfin les conseils sont rendent compte qu'ils ont besoin d'utiliser les données locales à planifier à l'avance, pas les index de taille unique global peur du GIEC.
Par exemple, des mesures à Sydney entre 2005 et 2014 montrent le site de jauge de marée s'enfonce au tarif de 0,49 mm/an, laissant seulement 0,16 mm/an de la hausse globale relative comme représentant le changement global de niveau de la mer. En effet, la vitesse de montée à Fort Denison et dans le monde, a diminué depuis 50 ans.
(suite en dessous:)
Nous allons remonter le moral, Shoalhaven Shire Council décalé à l'arrière de la mer-niveau-panique-index un cran, rejetant le pire scénario du GIEC, se contenter d'un peu moins effrayant et surtout, utilisé l'enregistrement local de Fort Denison et exclu « satellite ou modèle-niveau de la mer estimations jusqu'à ce que leur exactitude est garanti ».
RépondreSupprimerQuand les conseils plan pour les scénarios qui n'arrivera jamais, l'assurance inutile peut coûter quelques malheureux propriétaires des dizaines de milliers — dans un comté – $ 40 000 chacun.
Eurobodalla des valeurs de propriété a subi une perte de 5,3 % en valeur par rapport aux statistiques des spécialistes de la propriété informations RP données montrent qu'entre 2011 et 2014, augmente de 4,9 % et 7,3 % pour les shires côtières voisines qui ne dispose pas des politiques restrictives équivalents de niveau de la mer. Dans le pire des cas, les propriétés individuelles ont perdu jusqu'à 52 % de leur valeur de marché
En trois ans, les propriétés individuelles d'Eurobodalla a perdu environ $ 40 000 en valeur. Avec 22 000 propriétés dans le comté, cela représente une perte en capital de 880m $ à un taux de 293 millions de dollars par an. Cette perte constante de valeur rateable signifie ménages devront faire face à des augmentations de taux plus élevées.
Si vous possédez une maison près de la mer, vous pouvez envoyer ce genre d'information à vos conseillers :
Queensland vice-première ministre Jeff Seeney récemment notifié Moreton Bay Conseil régional de son intention de diriger en vue de modifier son schéma de planification de projet "pour supprimer toute hypothèse sur une théorique prévu sea level rise due au changement climatique de tous ainsi que toute disposition du régime". Souzan a dit son intention était d'utiliser une cartographie côtière par État guichet « qui va supprimer l'approche « one size fits all » qui incorpore un ajout obligatoire de 0,8 m à des données historiques ».
Enfin, un gouvernement responsable a reconnu que les moyennes globales changement de niveau de la mer n'est pas plus pertinent à la gestion des zones côtières à la moyenne des températures mondiales sont à la conception du chauffage et de refroidissement résidentiels — météo locale et modification locale de niveau de la mer est ce qui compte.
RÉFÉRENCE : P. J. Watson (2011) y A-t-il des preuves encore d'accélération dans la montée de niveau moyen de la mer autour de l'Australie continentale?. Journal de recherche côtière : Volume 27, numéro 2: p. 368-377.doi : 10.2112/JCOASTRES-D-10-00141.1 [lien Résumé PDF]
White, Neil J., Haigh, Ivan D., église, John A., Koen, Terry, Watson, Christopher S., Pritchard, Tim R., Watson, Phil J., Burgette, Reed J., McInnes, Kathleen L., vous, Zai-Jin, Zhang, Xuebin, Tregoning, Paul: (2014) australien du niveau des mers – tendances, variabilité régionale et les facteurs qui influencent, Earth Science Reviews, doi : 10.1016/j.earscirev.2014.05.011
http://joannenova.com.au/2014/12/sydney-sea-levels-rising-at-just-6-5cm-per-century-peak-panic-is-behind-us/#more-39910
C'est ce que j'ai TOUJOURS dit: (...) Les variations sont principalement due à des taux différents de terre diminuant ou augmentant. (...)
SupprimerCes variations dépendent des tremblements de terre qui font naître des îles (plus ou moins grandes) soumarines ou ouvrent des failles qui font que le niveau des mers du globe baisse, et non la cause du 'climat' comme le soutiennent les escrocs du GIEC et ses faux scientifiques comme les politiciens qui osent mettre la vie de millions de personnes en danger de mort suite à des inondations causées par de simples pluies (comme il y en a toujours eut), sur des lits de fleuves & rivières volontairement non-dragués !
Pareillement que pour les éoliennes (voir clip sur le blog du jour), les escrocs nationalisés ! les ministres privatisés ! et les petits copains du GIEC ne vous rembourseront JAMAIS l'argent qu'ils vous ont volé depuis des années et continuent à le faire !!
Le projet de dérivation d'eau de la Chine commence à s'écouler à Pékin
RépondreSupprimer48 milliards £ système peut apporter un soulagement au nord aride, mais à quel prix pour le sud de la sécheresse monté et ses agriculteurs déplacés ?
Jonathan Kaiman Pingdingshan
The Guardian ,Vendredi 12 Décembre 2014 14.11 GMT
Vendredi après-midi, la Chine a tranquillement inauguré un des plus grands projets de génie de tous les temps: la dérivation d'eau Sud-Nord, un 48 milliards de livres sterling, réseau de 2400 km de canaux et de tunnels, destinés à détourner 44.8bn de mètres cubes d'eau par an de l'humide au sud de la Chine à son desséchée, au nord industrialisé.
A 14h32, "ligne médiane" du projet a commencé officiellement transport de l'eau du réservoir Danjiangkou dans la province centrale du Hubei à Pékin - la distance de la Corse à Londres. Le projet, disent les officiels, permettra de sauver la Chine d'une crise de l'eau qui pourrait mettre son développement revenir année.
Il a également détruit la vie de Wang Yanhe. Wang est né près du réservoir Danjiangkou en 1979, marié jeune et a eu deux enfants - la famille a vécu entre un petit ruisseau et une colline verdoyante, et a grandi une variété de grains. En 2009, sept ans après l'approbation du projet, les fonctionnaires lui que les niveaux d'eau du réservoir ont été informés et que la hausse son village serait submergé. Environ 345 000 villageois ont été déplacés par le projet à ce jour, et Wang devint bientôt l'un d'eux. Le gouvernement lui a donné une maison dans le New Village Heba migrants par une autoroute poussiéreux Pingdingshan rural, une municipalité riche en charbon dans la province du Henan voisin dont le nom se traduit par «montagne plat".
Puis vint la sécheresse. Cet été a été le plus sec de Pingdingshan en 63 ans - la récolte de maïs de Wang n'est passé à la hauteur des genoux, le forçant à abandonner sa récolte. «Rien n'est aussi bon qu'avant," a t-il dit, les cigarettes de la chaîne-fumeurs dans son salon béton parquet. Ses fuites du toit; il ne peut pas parler le dialecte local. Les fonctionnaires lui ont promis 0,2 acres de terre, mais seulement lui ont donné 0,15 (607 m²). "Après nous sommes arrivés, nous avons réalisé que la terre était sèche," a t-il dit. "Donc, il n'a même pas d'importance ce qu'ils nous ont promis."
Le journal du Henan Daily a annoncé l'inauguration de la ligne dans un poste de microblog lapidaire vendredi. «Être le projet d'ingénierie d'un peuple, en accord avec un style de travail économe et pragmatique, activités de célébration seront aussi simples que possible," il a dit. "Aucun fonctionnaire prendront part aux cérémonies."
(suite en dessous:)
RépondreSupprimerL'économie florissante de la Chine au cours des trois dernières décennies, couplé avec un mandat de longue date de «la croissance d'abord, nettoyage plus tard», a été cataclysmique pour lacs autrefois abondantes, les rivières et les aquifères du pays . Plus de la moitié des 50 000 rivières de la Chine ont disparu au cours des deux dernières décennies, selon la première de la Chine recensement national de l'eau, publié l'an dernier. Environ 70% de son eau douce restante est polluée. "Si nous continuons avec notre modèle de business-as-usual, la Chine sera essentiellement de fonctionner hors de l'eau", a déclaré Hu Feng, analyste de l'eau avec le groupe de recherche basé à Hong Kong, la Chine risque de l'eau . "Il ne aura pas assez d'eau pour alimenter son économie."
Le projet a des racines dans un commentaire désinvolte par Mao Zedong qui, sur une tournée d'inspection dans les années 1950, a déclaré: "Le sud a beaucoup d'eau, mais le nord est sec. Si nous pouvions emprunter certains, ce serait bien "Le. projet comporte trois sections : une ligne est 1150 km, qui se étend de la rivière Yangtze inférieure à Tianjin; la ligne médiane, de Danjiangkou à Pékin; et une ligne ouest, qui pourrait un jour relier les sources du Yangtsé et du fleuve Jaune à travers la haute altitude Qinghai-Tibet Plateau. La ligne est a commencé à livrer de l'eau dans la province côtière du Shandong hiver dernier. La ligne occidentale reste largement conceptuel, si grande échelle qu'il peut se révéler impossible de construire.
Alors que le projet pourrait apporter un certain soulagement bien nécessaire, il "ne résoudra jamais le problème de l'eau au nord de la Chine", a déclaré Jennifer Turner, directeur du Forum sur l'environnement de la Chine au Wilson Center à Washington DC. Elle a appelé le projet d'une "Band-Aid" plutôt que d'une solution à long terme. «Le défi dans le secteur de l'eau, au sens large, ce est qu'il est tellement accro à la gestion de l'offre," dit-elle. «Ce est comme les ingénieurs en Chine ont un tatouage spécial qui dit« rien ne est trop grand »- ils se déplacent distances massives d'eau plutôt que de se profonde et sale dans le désordre de pousser conservation efficace de l'eau."
En Février, Qiu Baoxing, vice-ministre du ministère du Logement et du Développement urbain et rural, appelé le projet non viable . "Comme l'échelle du projet se agrandit et la distance est longue, plus il est de plus en plus difficile de détourner l'eau," écrit-il. "L'eau recyclée pourrait remplacer l'eau détournée. La plupart des villes chinoises sont capables de trouver plus d'eau si nous développons la technologie de dessalement de l'eau et de recueillir plus d'eau de pluie ".
(suite en dessous:)
Les experts disent que le sud ne peut plus avoir assez d'eau à revendre. Ils disent que le projet pourrait décimer la rivière Han, un affluent important du Yangtsé - environ 40% de l'eau de la rivière finira par être détourné au nord, en dépit de graves pénuries d'eau qui affligent déjà les villes le long de ses rives. En 2011, cinq mois de la sécheresse dans la province du Hubei laissé 315 000 personnes à court d'eau potable. Le réservoir Danjiangkou chuté à quatre mètres en dessous du niveau "de l'eau morte», le rendre inutilisable. La spéculation que le projet Sud-Nord de dérivation d'eau a causé la sécheresse de cette année a augmenté de sorte que chauffée médias d'Etat a émis un refus . «Province du Henan est le bénéficiaire de prestations du [projet]," Yang biantong, un porte-parole pour le contrôle des inondations et de lutte contre la sécheresse du département de Henan, a dit le Quotidien du Peuple à la fin Août. "Non seulement il a pas eu un effet négatif, le [projet] a également été extrêmement utile."
RépondreSupprimerChristine Boyle, fondateur de Blue Horizon d'Insight et un expert sur les questions de l'eau de la Chine, dit que la question se résume à la façon dont on définit une sécheresse. En plus de sécheresses météorologiques invalidantes - périodes de faible pluviométrie - La Chine souffre également de sécheresses économiques qui se produisent lorsque la demande en eau dépasse l'offre. "Vous ne pouvez pas dire que la dérivation d'eau Sud-Nord est à l'origine une sécheresse météorologique," dit-elle. "Mais vous pouvez dire que ce est l'intensification une sécheresse économique." De nombreux agriculteurs chinois sont déjà pressés économique et les conditions météorologiques de plus en plus erratiques, peut-être liés au changement climatique - des hivers glacials, étés cloques, inondations et sécheresses - maintenant les poussant dans un état de urgence.
Le projet Sud-Nord de dérivation d'eau a commencé à envoyer l'approvisionnement en eau d'urgence à Pingdingshan à la mi-Août et, selon l'agence de presse officielle Xinhua , le détournement a été un succès. La ligne médiane a livré plus de 50m de mètres cubes d'eau pour le réservoir Baiguishan de la ville plus d'un mois et demi, il a dit: «soulager efficacement l'approvisionnement en eau rares de résidents d'un million-plus de la ville de Pingdingshan".
Alors que l'eau a coulé dans les robinets des citadins de Pingdingshan et les systèmes de refroidissement de ses centrales au charbon, les agriculteurs sur la périphérie de la ville ont été laissés à eux-mêmes. Chang Xiangdang, 40 ans, vit avec sa famille de six à Malou Village, population 1000, un amas dense de maisons de parpaings seulement quelques centaines de mètres du canal principal du projet. De sa petite parcelle de radis et le chou, digues en béton élevés se étendent à l'horizon et un sas en forme de voûte s'élève comme un mirage. "Le canal traverse notre ville, mais il n'y a pas moyen d'obtenir de l'eau, pas de trou dans le mur», a t-il dit. Les villageois comptent sur les eaux souterraines pour la baignade et la cuisine. Dans les années précédentes, ils pourraient creuser 20 mètres pour atteindre l'aquifère. Cette année, même puits de 80 mètres sont la marche à sec.
(suite en dessous:)
Chang a déclaré que le manque d'eau a jeté sa vie en flux. Comme Wang, l'agriculteur déplacées, il a renoncé à la récolte de maïs de cette année. Sa famille a été subsister sur un régime de rémunération que les fonctionnaires du projet lui a donné il ya quatre ans, quand ils réquisitionnés une grande partie de ses terres agricoles. Un autre été sec, dit-il, serait de le laisser dans la misère. Il a envisagé de prendre un travail de construction dans la ville. "Il n'y a pas plus d'eau ici», a t-il dit. "Je ferai ce qu'il faut pour survivre."
RépondreSupprimerhttp://www.theguardian.com/world/2014/dec/12/china-water-diversion-project-beijing-displaced-farmers
« Les Sections plus flagrantes du droit que j'ai rencontrés au cours de mon temps en tant que représentant »
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 12/12/2014 21:40-0500
Soumis par Mike Krieger via blog Liberty Blitzkrieg,
Décence, la sécurité et la liberté comme exigent que le gouvernement des fonctionnaires doivent être soumis aux mêmes règles de conduite qui sont des commandes pour le citoyen. Dans un gouvernement de lois, l'existence du gouvernement va être en péril s'il omet de respecter la loi scrupuleusement. Notre gouvernement est le puissant, le professeur omniprésent. En bien ou en mal, il enseigne tout le peuple par son exemple. La criminalité est contagieuse. Si le gouvernement devient un malfaiteur, il reproduit de mépris de la Loi ; Il invite chacun à devenir un droit à lui-même ; Il invite l'anarchie. De déclarer que, dans l'administration du droit criminel, la fin justifie les moyens — pour déclarer que le gouvernement peut commettre des crimes afin d'obtenir la condamnation d'un criminel privé — apporterait terrible châtiment. Contre cette doctrine pernicieuse cette Cour mette résolument son visage.
– Louis Brandeis, Justice de Cour suprême, en 1928
Alors que la plupart des américains sont occupés Christmas shopping et des préparatifs des voyages pour voir la famille, Congrès reste dur au travail, ce qu'elle fait le mieux. Distribuant des cadeaux à Wall Street et piétiner les libertés des citoyens.
Je savais que la plèbe étaient sur le point d'être vissé royalement il y a une semaine, lorsque j'ai publié le post : Wall Street se déplace aux contribuables de mettre sur le crochet pour les métiers dérivés. La pièce a conclu avec le texte suivant :
N'oubliez pas ce que veut Wall Street, Wall Street obtient. Avoir un grand week-end idiots.
Naturellement, Wall Street a obtenu ce qu'elle voulait. En effet, cette disposition a été si importante pour les oligarques financiers que Jaime Dimon appelé autour d'encourager les représentants de notre (Wall Street) à l'appui. Les rapports du Washington Post qui :
L'acrimonie qui a éclaté jeudi entre le président Obama et les membres de son propre parti en grande partie pivote sur un seul élément dans une pièce de 1 600 pages de législation pour garder le financé par le gouvernement : les banques puissent faire des investissements risqués en utilisant l'argent de contribuable dos ?
(suite en dessous:)
L'idée était répugnante de nombreux démocrates au Capitole. Et certains ont été stupéfaits que la maison blanche appuierait le projet de loi avec cette disposition intacte, étant donné qu'il effacerait une disposition clef de la Loi de réforme financière Dodd-Frank 2010, une des réalisations de signature de Obama.
RépondreSupprimerMais peut-être encore plus scandaleux pour les démocrates, c'était que la langue dans le projet de loi semble venir directement sous la plume des lobbyistes dans les plus grandes banques du pays, aides dit. La disposition était si importante pour les profits des entreprises qui le PDG de JPMorgan Jamie Dimon lui-même a téléphoné à des législateurs individuels pour les inciter à voter en sa faveur, selon une personne connaissant bien l'effort.
Les plus grandes banques du pays, dirigé par Citigroup, J.P. Morgan et Bank of America — ont fait pression pour le changement de Dodd Frank, qui leur avait donné une période d'années pour se conformer. Associations professionnelles représentant les banques, la table ronde les Services financiers et l'American Bankers Association, a souligné que les banques régionales appuient le changement aussi bien.
Mais la modification de la réglementation pourrait également stimuler les profits des grandes banques, c'est pourquoi ils poussent tellement durs pour passage, a déclaré Simon Johnson, ancien économiste en chef du Fonds monétaire International et professeur à la MIT Sloan School of Management.
« C'est parce qu'il y a beaucoup d'argent en jeu », a déclaré Johnson. « Ils veulent être en mesure de prendre de gros risques où ils obtiennent la hausse et le contribuable obtient l'inconvénient potentiel », dit-il.
Alors que c'est assez mauvais, le canard boiteux Congrès n'a pas clairement envisager son travail sans légiférer là le quatrième amendement. Voici une partie de ce que l'un des membres du Congrès, Justin Amash, a écrit sur Facebook seulement décents:
Lorsque j'ai appris que l'Intelligence Authorization Act pour l'exercice 2015 a hâte à l'étage pour un vote — avec peu de débats et qu'un vote de voix devrait (c'est-à-dire, simplement déclaré « passé » avec presque personne dans la chambre) — j'ai demandé à mes services législatifs examiner rapidement le projet de loi pour langage inhabituel. Ce qu'ils ont découvert est une des sections plus flagrantes du droit que j'ai rencontrés au cours de mon temps en tant que représentant : il accorde l'exécutif Direction des accès quasi illimité aux communications de chaque américain.
Mercredi après-midi, je suis allé à l'étage de la maison pour demander un vote par appel nominal sur le projet de loi afin de que tout le monde vote devra être enregistré. Aussi, j'ai envoyé la lettre ci-dessous à chaque représentant.
Avec plus de temps à passer le mot, nous aurait arrêté ce projet de loi, qui a passé de 325-100. Grâce aux 99 autres représentants — 44 républicains et 55 démocrates — qui ont voté pour protéger nos droits et faire respecter la Constitution. Et Merci à mon personnel incroyablement talentueux.
(suite en dessous:)
Bloquer de nouveau espionner les citoyens américains: voter « Non » sur H.R. 4681
RépondreSupprimerCher collègue :
Le projet de loi intelligence reconduction, dont le Parlement votera aujourd'hui, contient une nouvelle disposition troublante que pour la première par la Loi autorise l'emploi d'espionnage sur les citoyens américains sans procédure légale.
Hier soir, le Sénat a adopté une version amendée du projet de loi avec une 309 s nouvelle intelligence reauthorization — l'un la maison n'a jamais examiné. 309 s autorise « l'acquisition, la rétention et la diffusion » des communications non publiques, y compris celles vers et à partir de ressortissants américains. L'article prévoit que les communications privées des américains, obtenus sans ordonnance d'un tribunal, peuvent être transférées en application de la Loi nationale pour des enquêtes criminelles.
Pour être clair, 309 s fournit la première autorité statutaire pour l'acquisition, la rétention et la diffusion de communications privées des personnes américaines obtenues sans procédure légale comme une ordonnance du tribunal ou une citation à comparaître. L'administration peut procéder actuellement à cette surveillance aux termes d'une revendication du pouvoir exécutif, comme E.O. 12333. Cependant, Congrès a jamais approuvé d'utiliser le pouvoir exécutif de cette façon à capturer et utiliser des enregistrements téléphoniques privés des américains, des communications électroniques ou données en nuage.
http://www.zerohedge.com/news/2014-12-12/most-egregious-sections-law-ive-encountered-during-my-time-representative
Huile ne tradez cette faible pour toujours... Et les chinois le savent !
RépondreSupprimerSoumis par germer argent le 12/12/2014 10:43-0500
Comme nous le savons tous, le prix du pétrole a chuté à un niveau que nous n'avons pas vu depuis plus de cinq ans, et cela aura évidemment des conséquences graves pour les Etats-Unis et la zone euro comme de grandes économies. Sur le prix actuel du pétrole, beaucoup des producteurs de pétrole et de gaz de gaz schiste sont presque le territoire où ils deviennent non rentables et pourraient avoir à arrêter leurs activités. Cela signifie qu'un plus faible prix du pétrole est à la fois une malédiction et une bénédiction pour les États. Beaucoup de personnes peut-être perdre leur emploi si certains puits de coût supérieurs devra être abandonnée, mais en revanche le plus bas prix du pétrole pourrait être profitable aux autres secteurs de l'économie industrielle américaine.
La réserve fédérale n'est pas inquiète, mais comme elle a dit qu'elle attend que le prix du pétrole bas à en effet la nouvelle relance de l'économie américaine de carburant comme les coûts des intrants vont baisser. La Banque centrale s'attend a ce que ses citoyens dépensent de l'argent supplémentaire qu'ils auront à la fin du mois au lieu de l'enregistrer. C'est une idée intéressante que nous serions extrêmement surpris de voir un 1 sur 1 compromis par lequel la totalité du montant des économies d'énergie servira à augmenter le schéma de consommation. En outre, un prix du pétrole plus bas permettra de réduire le taux d'inflation et qui pourrait être un effet secondaire qui ne ferait pas heureux car il prévoit d'augmenter les taux d'intérêt de référence dès l'année prochaine sur la réserve fédérale.
William Dudley, NY Fed. Source
La Fed est également haussant hors le problème d'emploi indiquant que pour, maintenant il ne pense pas que la baisse du prix du pétrole va s'intensifier et il n'y aura une réduction à court terme des investissements pétroliers et gaziers aux USA. Cela pourrait être un point de vue très optimiste, car plusieurs entreprises ont besoin d'un prix de pétrole plus élevé que 65 $ par baril pour être viable et nous ne serions pas surpris de voir bon nombre des suppressions d'emplois en 2015 si le prix actuel du pétrole persiste.
L'impact du prix du pétrole bas est beaucoup plus positif pour la zone euro, comme tous les pays de la zone euro sont des importateurs nets de pétrole. Cependant, on ne peut ignorer le facteur de taux de change des devises (voir image suivante). Le prix du pétrole pourrait ont chuté de 40 % en Dollar américain, mais la baisse du prix du pétrole a été beaucoup moins quand en regardant le prix du pétrole en Euro comme le Dollar américain a continué à renforcer par rapport à l'Euro. Le pétrole moins cher influencera évidemment aussi bien le taux d'inflation, et cela pourrait très bien être pire cauchemar de Mario Draghi qu'il cherche désespérément à obtenir le taux d'inflation jusqu'à son niveau souhaité de 2 %. Cependant, le prix du pétrole baisse va également stimuler le PIB de la zone euro et selon des estimations préliminaires la baisse actuelle ajoutera environ 0,3 à 0,4 % du PIB pendant la première année après l'huile baisse de prix et ajoutera environ 0,8 % pour les trois premières années.
(suite en dessous:)
Source
RépondreSupprimerC'est évidemment très encourageant qu'un taux plus élevé de la croissance économique pourrait être beaucoup mieux pour les finances publiques des États membres de la zone euro ainsi que d'aider ces pays à maintenir son ratio dette/PIB sous contrôle. Il semble que la zone euro se prépare pour une tempête parfaite positive. Un Euro moins cher sera bon pour l'exportation de biens et services, tandis que le prix du pétrole plus bas permettra de réduire le coût de production initiale de plusieurs marchandises liées à l'exportation. Si vous jetez les taux d'intérêt plus bas dans le mélange ainsi, vous commencerait presque à penser que la zone euro pourrait être prête à bénéficier énormément le prix de bas niveau d'huile.
Un autre pays qui profite du prix du pétrole est la Chine. Le pays a déclaré vouloir plus que doubler ses réserves stratégiques de pétrole à l'intérieur de la Chine, et nous avons entendu plusieurs rapports émanant du secteur que la Chine intensifie efficacement la plaque et achète des quantités énormes de pétrole brut à des tarifs de vente de feu. Cela est clairement visible dans les tarifs de la Charte des pétroliers qui ont augmenté de façon exponentielle.
Par Reuters Afrique:
Rémunération moyenne de VLCC sur le Moyen-Orient et le Japon itinéraire cela
année ont atteint le plus haut niveau depuis 2010, a déclaré Ralph
Leszczynski, directeur de recherche à courtier italien Banchero
Costa.
« Salaire moyen sur la route de moyen Orient-Asie jusqu'en
2014 sont $ 22 000 par jour, contre $ 32 000 par jour en 2010. Mais
C'est toujours bien mieux que les trois dernières années,"dit-il
Reuters vendredi
Il y a un résultat binaire pour le prix actuel du pétrole. Soit vous panique ou vous essayez de voir l'avantage et la possibilité de l'huile de faible coût. La Chine est en profitant de la situation et même la monnaie axée sur l'inflation blocs comme le USA et la zone euro voient les avantages. Tout comme un prix de l'or baisse, un prix du pétrole chute pourrait être quelque chose à prendre avantage de lors de la perte fiscale saison de vente.
http://www.zerohedge.com/news/2014-12-12/oil-won%E2%80%99t-trade-low-forever-and-chinese-know-it
SupprimerComme je l'ai toujours dit, baissez/supprimez les (=^ù*) de taxes voleuses sur le pétrole et n'importe quel pays est remis sur pieds en moins d'un mois ! Mais de çà, les gouvernements scélérats n'en veulent pas ! Ils veulent continuer à ruiner TOUS les habitants d'un pays et engagent même les avoirs de chacun en répondants de la dette qu'ils ont volontairement mis sur pieds ! C'est-à-dire que la TOTALITÉ des biens devra être saisie comme le sont actuellement les fragments (ports, aéroports, centrales électrique, transports ferroviaire, hôtels de luxe, etc) pour être la propriété de pays étrangers obligeant chacun à changer radicalement de système politique et religion sous peine de mort.
Remboursement de la dette est maintenant presque mathématiquement Impossible
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 12/12/2014 19:52-0500
Soumis par Simon Black via souverain homme blog
Exactement de 199 ans, en 1815, un Comité « temporaire » a été créé dans le Sénat américain, appelé le Comité sur les finances et la monnaie nationale uniforme.
Il a été mis en place pour traiter des questions économiques et la dette accumulée par le gouvernement américain après la guerre de 1812.
Bien sûr, parce qu'il n'y a rien de plus permanent qu'une mesure de gouvernement provisoire, le Comité est devenu un permanent après une seule année.
Il a rapidement étendu son rôle d'augmenter les tarifs pour avoir une influence sur la fiscalité, banques, monnaie et crédits.
Dans des guerres ultérieures, notamment la guerre de sécession, le Comité s'est empressé d'utiliser ses pouvoirs et a présenté le premier impôt sur le revenu de l'union. Ils également détaché le dollar de l'or pour aider à financer la guerre.
Ce fut toute une indication des choses à venir.
Au cours des décennies suivantes, il y avait une pression soutenue pour enfin mettre en place la Banque centrale du pays qui va contrôler la monnaie et du crédit, mais aussi instituer un impôt sur le revenu permanent pour nourrir les aspirations en expansion du gouvernement.
Ils ont réussi en 1913 quand la Loi de la réserve fédérale a été adoptée et a ratifié l'amendement 16, engageant le pays dans le carcan des banques centrales et de la fiscalité des revenus.
Au cours du siècle qui a suivi, les États-Unis a cessé d'être le plus grand créancier du monde à son plus gros débiteur.
Décennies d'élargir des programmes gouvernementaux, des déchets, interminables et coûteuses guerres, etc. ont accumulé tel un pieu énorme de la dette qu'il est devenu presque impossible de le payer vers le bas.
Beaucoup de gens ne réalisent pas que, depuis la fin de la seconde guerre mondiale, les recettes fiscales du gouvernement américain a été presque constante à environ 17 % du PIB.
En d'autres termes, même si les taux d'imposition réel se montent et descendent, « tranche » par le gouvernement du gâteau économique est presque toujours le même - 17 %.
J'ai travaillé sur un modèle mathématique qui montre que, même avec des hypothèses absurdes (7 % + la croissance du PIB pour les années en un temps, faibles taux d'intérêt, etc.), il n'est simplement pas possible pour le gouvernement américain à « grandir » voie de disparition.
Valeur par défaut est devenue la seule option. Et cela pourrait signifier un certain nombre de choses.
Ils pourraient par défaut sur leurs créanciers (autres gouvernements comme la Chine, qui a prêté de l'argent au gouvernement américain). Mais cela pourrait déclencher une crise financière et bancaire.
(suite en dessous:)
Ils pourraient par défaut sur la réserve fédérale, qui possède des milliers de milliards de dollars nous dette. Mais cela créerait une crise de change épique pour le dollar américain.
RépondreSupprimerIls pourraient également par défaut sur leurs obligations envers leurs citoyens — principalement aux futurs bénéficiaires de la sécurité sociale (qui détiennent collectivement billions de dollars de la dette américaine).
Ou ils peuvent choisir par défaut sur leurs obligations envers chaque être humain vivant qui détient... les dollars américains et l'inflation galopante de l'ingénieur.
Aucun d'entre eux est une bonne option. Et tout simplement, le gouvernement américain a atteint un point de non-retour.
Je vise à illustrer cela à vous dans l'épisode du podcast vidéo d'aujourd'hui. C'est une réalisation très décevant.
http://www.zerohedge.com/news/2014-12-12/paying-down-debt-now-almost-mathematically-impossible
C'est pourquoi, lors de la création d'une 'République' ou 'Confédération' le fil ne doit JAMAIS être perdu, car, les professionnels de l'embrouille sont vite là pour escroquer tous le monde et inventer de l'argent qui n'existe pas pour que complices ferment leur gueule !
SupprimerLe spectre de Poutine hante l'hégémonie impériale des Etats-Unis et de l'Europe
RépondreSupprimerAlberto Rabilotta
El Correo
jeu., 11 déc. 2014 19:10 CET
Au vu des réactions viscérales des hommes politiques à Washington et dans les capitales de l'Union Européenne ainsi que de leurs scribes [1], nous pouvons aujourd'hui affirmer sans l'ombre d'un doute, en paraphrasant le Manifeste Communiste, qu' « un spectre hante les Etats-Unis et l'Europe » : le spectre de Vladimir Poutine.
L'escalade des menaces militaires, des sanctions commerciales, économiques, financières et la propagande politique et idéologique virulente contre « la Russie de Poutine » s'accroît de jour en jour. La Chambre des Représentants du Congrès des Etats-Unis vient d'adopter (411 voix pour et seulement 10 contre) une résolution qui a déjà été qualifiée de première phase d'une « déclaration de guerre » contre la Russie, condamnant ce pays pour sa poursuite d'une « agression politique, économique et militaire (et) la violation permanente de la souveraineté, l'indépendance et l'intégrité territoriale de l'Ukraine, la Géorgie et la Moldavie ».
Le Représentant à l'initiative de cette résolution, Adam Kinsinger, a exhorté « les Etats-Unis, l'Europe et nos alliés à maintenir agressivement la pression sur Monsieur Poutine afin qu'il change de comportement » [2].
L'ex-Premier ministre Mikhaïl Fradkov, aujourd'hui Chef du Service russes de renseignements extérieurs de Russie, a déclaré à l'agence Bloomberg que le gouvernement russe était conscient des efforts des Etats-Unis pour « sortir Poutine du pouvoir ». « Nous avons remarqué ce désir, qui n'est pas si secret. Personne ne veut voir une Russie forte et indépendante » (Russian Spy Chief Blames U.S., EU for Ruble, Oil Price Collapse. By Ilya Arkhipov. Blomberg, 4 décembre 2014).
Il est on ne peut plus évident, Poutine l'a dit lui-même le 4 décembre de cette année dans son discours devant l'Assemblée Fédérale, évoquant les sanctions appliquées par l'OTAN à son pays :
« celles-ci ne sont pas uniquement un réflexe rotulien (knee-jerk) de soutien aux Etats-Unis ou à ses alliés suite à notre prise de position lors du coup (d'Etat) en Ukraine, ou même lors du dit Printemps de Crimée. Je suis certain que si ces faits ne s'étaient jamais produits - je tiens tout spécialement à souligner ceci pour vous, hommes politiques présents dans cet auditoire - si rien de tout ceci ne s'était jamais produit, alors ils auraient trouvé n'importe quelle autre excuse pour tenter d'endiguer les capacités croissantes de la Russie, pour porter atteinte à notre pays d'une manière ou d'une autre, y compris en cherchant à en tirer profit ». [3]
Pourquoi Poutine ?
Le fait que Poutine soit le Chef d'Etat de la seule superpuissance en matières d'armes nucléaires et conventionnelles capable de mettre un frein et le cas échéant de répondre dans les actes à la politique d'agressions militaires, économiques et politiques menées par l'impérialisme états-unien et l'OTAN pour assurer l'hégémonie néolibérale, apporte un début de réponse à cette question.
(suite en dessous:)
Pour compléter cette réponse, il est nécessaire de dire que Poutine fait preuve d'un grand réalisme et de convictions politiques fortes, ce qui explique sa popularité dans son propre pays et dans un grand nombre d'autres pays et cela parce qu'il parle franchement et clairement - mais sans agressivité - en montrant qu'il existe des voies de négociation pour parvenir à résoudre les conflits, et prend rapidement les mesures adéquates pour assurer la défense de son pays.
RépondreSupprimerEt ce que pense le Président de la Russie correspond clairement et précisément aux aspirations de son peuple (et de beaucoup d'autres), comme par exemple celle de ne pas avoir à se soumettre au « diktat » de Washington et de ses alliés sous peine de se voir infliger des sanctions, ou celle de pouvoir exercer sa souveraineté nationale et populaire au profit de la protection de la société, du développement social, économique et culturel [4]
Le dirigeant russe aspire à pouvoir contribuer à mettre un terme au chaos qui règne dans les relations internationales et régionales, chaos induit par l'unipolarité que connait le monde depuis l'effondrement de l'Union Soviétique. Il aspire à pouvoir négocier la création d'un ordre international qui permette à la Russie et aux autres pays d'entretenir des relations sur un pied d'égalité, dans un climat de paix, de coopération et de dialogue constructif.
Le fait que le Chef d'Etat de la Russie se déclare antiimpérialiste dans les faits, et de plus en plus dans les paroles, est déjà en soi impardonnable, mais pire encore est le fait que sa position dans les affaires politiques, économiques et sociales reflète, au sens large, les aspirations nationales légitimes de la majorité des peuples, y compris de certains de ceux qui font partie de l'Union Européenne : « Si pour certains pays européens l'orgueil national est un concept oublié depuis fort longtemps et la souveraineté un luxe exagéré, la Russie a quant à elle besoin d'une véritable souveraineté pour survivre » [5].
Et, comme si cela ne suffisait pas, le Président russe vient de doter son pays de médias, comme Russia Today (RT), pour porter à la connaissance du monde entier la véritable politique de l'impérialisme ainsi que les alternatives politiques que propose son pays. Cela est impardonnable, nous le savons bien nous qui travaillons depuis des décennies dans des médias qui dénoncent la politique impérialiste agressive que les Etats-Unis mènent depuis plus d'un demi-siècle à l'encontre de Cuba et d'autres pays [6].
Cela affecte les intérêts et les plans d'hégémonie impériale !
Dans une note à part j'ai mis à la disposition des lecteurs mes traductions de l'anglais à l'espagnol de quelques paragraphes importants de deux discours de Poutine pour montrer des initiatives et des faits réels qui sont occultés par la propagande occidentale.
(suite en dessous:)
Mais il est évident que, pour expliquer tant la position de la Russie que la situation mondiale en général, nous devons partir de la constatation suivante : le néolibéralisme, tout comme les libéralismes antérieurs, tente d'instaurer des formes de capitalisme « pures », un capitalisme qui ne serait pas contaminer par les politiques d'intervention étatique (depuis les mesures sociales de Otto von Bismarck en 1883 et celles du bien-être du New Deal des années 1930) et qui serait totalement « décontaminé » des idées et des politiques sociales des démocrates, qu'ils soient bourgeois, chrétiens, socialistes ou communistes.
RépondreSupprimerLes expériences des phases libérales du capitalisme au cours des 19e et 20e siècles ont montré leurs conséquences désastreuses pour l'économie, les institutions et les sociétés des pays où il fut implanté, y compris dans les pays impérialistes eux-mêmes. Il convient de rappeler ici, que le fascisme a été et continue d'être une conséquence du libéralisme, comme l'a indiqué l'historien de l'économie Karl Polanyi, en 1944, et comme Poutine le laisse entendre aujourd'hui [7].
L'hégémonie que recherche désespérément et agressivement l'empire néolibéral sous la houlette des Etats-Unis et de l'Union Européenne - l'utopie d'un capitalisme pur et universel - ne pourra se concrétiser et encore moins se maintenir si des alternatives socioéconomiques nationales et régionales - apportant des réponses démocratiques aux maux dont souffrent les peuples, y compris dans les pays les plus avancés de l'empire, existent et prospèrent.
L'impérialisme néolibéral ne peut accepter la coexistence avec des alternatives de développement socioéconomique de type capitaliste ou mixte qui obtiennent des résultats positifs, parce sa nature même le mène à ne bénéficier qu'aux oligarques des monopoles et au grand capital financier, détruisant ainsi la libre concurrence qui est pourtant théoriquement le credo du capitalisme et jetant les bases d'un régime franchement antisocial et antidémocratique.
La réalité concrète dans les pays du « capitalisme avancé », ce sont des politiques d'austérité qui profitent aux monopoles et à l'oligarchie dominante et provoquent le chômage chronique et massif, qui empêchent les jeunes d'accéder à un emploi et de s'intégrer socialement, autrement dit leur ferment les portes du futur.
Ce sont des politiques de dissolution sociale et d'appauvrissement des masses dans le seul but de concentrer la richesse entre les mains de un pour cent (voire moins) de la pyramide sociale. C'est la privatisation des services publics et la diminution ou suppression des programmes sociaux d'accès gratuit à ces services qui caractérisent les politiques néolibérales.
(suite en dessous:)
Ceci explique le rejet et les réactions agressives de l'empire face aux alternatives socioéconomiques - comme dans les pays d'Amérique latine, d'Asie ou en Russie, entre autres -, où les Etats interviennent dans les économies, régulant et parfois même planifiant le secteur industriel privé afin d'en assurer le développement, cherchant à éviter que les monopoles extracteurs des ressources naturelles nationales n'étranglent les finances publiques en détournant les devises provenant des exportations afin d'alimenter leurs comptes dans des paradis fiscaux ou de participer à la spéculation financière globale.
RépondreSupprimerSans ces contrôles et ces ressources il est impossible de collecter des impôts et de faire entrer des devises pour financer les plans nationaux de développement économique, la création, le maintien et l'augmentation des programmes sociaux (au lieu de les supprimer), le développement des plans d'éducation et de santé publique, le soutien aux familles et l'amélioration des pensions des retraités, politiques essentielles pour générer des emplois au lieu de développer le chômage, assurer l'intégration sociale et le renforcement de la démocratie.
La plupart de ces alternatives socioéconomiques ne dépassent pas le cadre d'un système capitaliste « mixte ». Elles constituent cependant une grave menace pour le système néolibéral parce qu'elles sont en train de prendre de l'importance au niveau régional dans le développement de projets de coopération économique, financière et monétaire, comme c'est le cas des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud), des Caricom, Mercosur, ALBA, Unasur et CELAC en Amérique latine, sans parler du processus régional de dimension gigantesque que supposent les accords de coopération et de planification conclus entre la Russie et la Chine.
Objectivement, comme me le disait récemment l'économiste canadienne Kari Polanyi Levitt, alors que dans les principaux pays du capitalisme où est appliqué le néolibéralisme le panorama social, économique et politique s'obscurcit pratiquement chaque jour, dans plusieurs pays anciennement périphériques du continent eurasien et d'Amérique latine les économies se développent, la pauvreté recule et le niveau de développement socioéconomique augmente grâce à l'intervention de l'Etat et à la promotion de la propriété sociale. La planification régionale de ces intégrations pourrait permettre que cette tendance se maintienne au moment même où pointe une nouvelle crise financière et économique à l'échelle mondiale (voir Estancamiento con deflación redoux, Oscar Ugarteche, ALAI en esp.).
Il est évident que Poutine avance et agit, avec chaque fois plus de détermination, pour mettre fin au chaotique monde unipolaire qu'implique l'hégémonie néolibérale. Il s'agit là d'une politique antiimpérialiste. De son côté, l'impérialisme n'oublie pas que s'il fut contraint de faire des concessions qui aboutirent à la création de « sociétés de l'Etat bienfaiteur » , c'est-à-dire à la redistribution des richesses, depuis la fin de la Seconde guerre mondiale jusqu'au début des années 1970, cela était dû au rapport de forces à l'intérieur - syndicats puissants et actifs, partis communistes et autres forces de gauche - et au niveau international - une Union Soviétique qui avait gagné la guerre contre le fascisme et qui était une superpuissance militaire avec un projet socioéconomique alternatif.
(suite en dessous:)
La chute de l'Union Soviétique et la fin de la Guerre Froide, comme le rappelle Poutine, ont mis un terme à cette compétition entre systèmes différents et les Etats-Unis se sont proclamés vainqueurs. A partir de ce moment-là, il est facile de comprendre les raisons pour lesquelles l'impérialisme cherche à déstabiliser, à encercler et à isoler dans le but de renverser le moment venu les gouvernements qui participent à la création d'alternatives socioéconomiques nationales et régionales, comme c'est le cas en Russie, Chine, Venezuela, Cuba, Bolivie, Argentine, Equateur, etc.
RépondreSupprimerLa seule chose qui pourrait mettre fin à ce projet impérial démentiel serait de poursuivre et d'amplifier le mouvement de ces alternatives socioéconomiques régionales afin d'établir dans les faits un ordre multipolaire plaçant toutes les nations sur un pied d'égalité, protégeant le droit des peuples à décider de leur système socioéconomique, interdisant le recours unilatéral ou multilatéral à la force pour résoudre les conflits internes et extérieurs et n'acceptant que des solutions négociées par voie politique et diplomatique, entre autres éléments importants.
C'est là, dans les grandes lignes, le programme du gouvernement de Vladimir Poutine.
Traduit de l'espagnol pour El Correo par : Marie-Rose Ardiaca
Notes
[1] What comes after Putin could be worse , Editorial du 3 décembre 2014 de l'Agence Bloomberg
[2] House of Representatives passes resolution against Russia . RT, Moscou, 4 décembre 2014.
[3] Discours du Président Vladimir Poutine devant la XIe Assemblée de la Fédération de Russie (en anglais). Discours devant le Club de Discussions Internationales Valdaï, Sotchi, 24 octobre 2014 (en anglais)
[4] Voir l'excellente analyse de Atilio Boron, « Un discours historique ». El Correo. Paris, 1er décembre 2014.
[5] Discours de Poutine à l'Assemblée fédérale de Russie, le 4 décembre 2014, le Saker francophone. Première partie publiée en français le 05-12-2014 et deuxième partie le 08-12-2014.
(suite en dessous:)
[6] Les Etats-Unis et leurs alliés sont revenus à l'époque de la Guerre Froide lorsqu'ils cherchaient à faire taire par tous les moyens possibles, y compris en cherchant à faire taire les agences de presse, les medias progressistes et les journalistes qui dénonçaient les politiques et les agissements de l'impérialisme. A présent, ils cherchent à faire taire RT. 'They'll try to shut you down' : Meeting Assange & the non-stop 'War on RT' , par Margarita Simonyan, éditorialiste de RT
RépondreSupprimer[7] Dans le chapitre « L'histoire dans l'engrenage du changement social » de son livre La Grande Transformation, l'intellectuel hongrois Karl Polanyi écrivait en 1944 « si jamais il y a eu un mouvement politique qui répondait aux besoins d'une situation objective au lieu d'être la conséquences de causes fortuites, c'est bien le fascisme. Dans le même temps, le caractère destructeur de la solution fasciste était évident. Elle proposait un moyen d'échapper à une situation institutionnelle sans issue et elle était, pour l'essentiel, la même dans un grand nombre de pays. Néanmoins, recourir à ce remède revenait à répandre partout une maladie mortelle. C'est ainsi que périssent les civilisations (...). La solution fasciste pour sortir de l'impasse dans lequel s'était fourvoyé le capitalisme libéral peut être interprétée comme une réforme de l'économie de marché menée au prix de l'extirpation de toutes les institutions démocratiques, à la fois dans le domaine des relations industrielles (dissolution ou soumission des syndicats et annulation des acquis des travailleurs, ndlt) et dans celui de la politique. Le système économique qui menaçait de se casser devait alors revivre, tandis que les populations seraient soumises à une rééducation destinée à dénaturaliser l'individu et à le convertir en un être incapable de fonctionner en tant qu'unité responsable d'un corps politique ».
http://fr.sott.net/article/24174-Le-spectre-de-Poutine-hante-l-hegemonie-imperiale-des-Etats-Unis-et-de-l-Europe
Il est NULLEMENT besoin de 'décerner' le Prix Machin-Truc-Chouette de la Paix en grande pompes aux vues misérables de ce que le 'Nobel de la Paix' s'est revêtu. Chacun des habitants de la Terre est libre de choisir le Président russe comme symbole de paix plutôt que son opposant dont ses citoyens ont du mal à dire d'où ils viennent quand ils sont en vacances à l'étranger !!
SupprimerLe traité européen est un statut colonial pour l’europe
RépondreSupprimer12 décembre 2014
Jean-Jacques Hector
Préambule
Je trouve tout a fait excellent ce texte qu’un bon ami m’a envoyé, à tel point que je dois absolument le publier tout de suite même s’il date de septembre dernier, soit de trois mois. Je voudrais seulement critiquer une contradiction en fin d’article, où il propose comme modèle la Déclaration d’indépendance américaine de 1776, alors qu’elle a directement engendré le monstre que les USA ont toujours été.
Le fardeau de l’homme blanc (?)
Einar Schlereth (saker allemand)
L’Europe sera de plus en plus impliquée dans les guerres américaines et les crises financières. Le projet de Constitution européenne (appelé maintenant Accord d’amendement) est un statut colonial capitaliste néolibéral, mis en place par les USA pour les États-Unis d’Europe. Avec ce traité, la condition de vassalité des règles européennes sera gravée dans le marbre. Les peuples d’Europe perdent leurs droits à l’autodétermination et leurs libertés démocratiques.
Les libertés capitalistes débridées laissées aux organisations et aux entreprises internationales s’appliquent également aux États-Unis et refoulent les valeurs et les traditions culturelles humanistes et sociales des Européens. La séparation des pouvoirs est mise de côté. La Commission européenne, en tant qu’organe non démocratique de législation et d’exécution, veille à s’adapter totalement aux conditions américaines.
Les bénéfices du travail des Européens et les réserves qu’il ont constituées se déversent dans des fonds américains. Les Offres publiques d’achat (OPA) hostiles sur les sociétés européennes sont facilitées par la législation de l’Union européenne. L’Europe finance les guerres irrationnelles universelles de l’Amérique contre le Mal. L’ancrage de la suprématie de l’Otan dans le traité constitutionnel de l’Union européenne (ou Accord d’amendement) transforme enfin l’Europe en tête de pont des États-Unis en Eurasie et en théâtre potentiel de guerre. Les services de renseignement et la présence militaire américaine en Europe sont assimilables à ceux d’une puissance occupante.
La population ne sera pas informée, mais au contraire trompée sur la stratégie de domination américaine. L’économie capitaliste profite de la modernisation et de l’industrie de guerre. Le coût de la vie augmentera. Les travailleurs seront malmenés, les collaborateurs et les spéculateurs s’enrichiront. Les conquêtes de l’époque des Lumières seront perdues. Une inconcevable attaque contre la raison (Al Gore), contre l’humanité, et la dignité humaine, contre la Constitution et le droit international, feront régresser l’Europe au temps des ténèbres du Moyen-Âge. Les atrocités seront monnaie courante. Les croyances religieuses tolérantes, la charité et la miséricorde seront évincées par des croyances religieuses fondamentalistes et des doctrines sectaires.
La puissante combinaison de la puissance et de la richesse a remplacé les valeurs nationales et religieuses. Les gens sont manipulés. Mais les peuples d’Europe sauront rétablir la liberté, la démocratie, l’indépendance, l’autodétermination et l’indépendance. La déclaration d’indépendance américaine de 1776 pourrait en être le modèle. Le soulèvement européen a déjà commencé.
Dr Erich Schäfer
1er septembre 2014
Publié initialement en allemand par Einar Schlereth, traduit en français par Jean-Jacques pour vineyardsaker.fr
Source : EU-Vertrag ist Kolonialstatut für Europa (vineyardsaker, allemand, 11-12-2014)
http://www.vineyardsaker.fr/2014/12/12/le-traite-europeen-est-un-statut-colonial-pour-leurope/#more-8867
Dilma Rousseff, la présidente du Brésil, pays membre des BRICS, est la prochaine cible de Washington
RépondreSupprimer12 décembre 2014
The French Saker
Le 26 octobre dernier, Dilma Rousseff a survécu à la massive campagne de désinformation du département d’État US, en gagnant les élections présidentielles à l’arraché contre le candidat soutenu par les USA, Aecio Neves. Cependant, Washington a ouvert un nouveau front contre celle qui est l’un des dirigeants phares du groupe des économies émergentes non alignées, désignées par l’acronyme BRICS, à savoir le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Afrique du Sud.
Avec sa gamme complète d’assauts financiers pour affaiblir la Russie de Poutine, et une série de déstabilisations visant la Chine, comme la récente révolution des parapluies à Honk Kong, financée par les USA, la présidente du Brésil, aux valeurs objectivement de gauche, est une cible prioritaire afin de stopper ce contrepoids émergeant, face au nouveau (dés-)ordre mondial de Washington.
La raison qui pousse Washington à se débarrasser de Rousseff est claire. En qualité de présidente, elle est un des cinq dirigeants des BRICS qui ont signé la formation d’une banque de développement pesant 100 milliards de dollars, et un fonds de monnaie de réserve de devises valant également 100 milliards de dollars. Elle soutient aussi l’idée d’une nouvelle devise de réserve internationale pour suppléer, et à terme remplacer le dollar. Elle est soutenue par des millions de Brésiliens à faibles revenus, qui sont sortis de la pauvreté grâce à divers programmes sociaux, en particulier la Bolsa Familia, un programme de subsides économiques pour les mères et les familles pauvres.
Ledit programme a permis à quelque 36 millions de familles d’échapper à la pauvreté, grâce à Rousseff et aux politiques économiques de son parti, lesquelles donnent des boutons à Wall Street et à Washington.
La campagne électorale, financée par les USA, conduite par sa rivale, Aécio Neves du parti social-démocrate brésilien (Partido da Social Democracia Brasileira – PSDB), en réalité servait les intérêts des financiers et de leurs alliés à Washington.
Le conseiller en chef de Neves en matière économique, qui aurait été nommé ministre des Finances si elle avait été élue présidente, était Arminio Fraga Neto, un ami proche et ancien associé de Soros et de son fonds d’investissement « Quantum ». Le conseiller personnel de Neves, et son probable ministre des Affaires étrangères, eût-elle gagné, était Rubens Antônio Barbosa, ancien ambassadeur du Brésil à Washington, et aujourd’hui un dirigeant au conseil d’entreprise d’ASG, basée à Sao Paulo.
(suite en dessous:)
La société ASG est le groupe de consulting de Madeleine Albright, ancienne secrétaire d’État US durant les bombardements en Yougoslavie. Albright, directrice au sein de l’influant think tank, Council on Foreign Relations (Comité des relations étrangères), est aussi membre de la toute grande ONG du gouvernement US s’occupant des Révolutions de couleur, l’Institut de démocratie nationale (IDN). Sans surprendre personne, Barbosa, durant la campagne récente, appelait à un renforcement des relations du Brésil avec les USA, et à l’atténuation des liens déjà forts avec la Chine, développés par Rousseff au moment où étaient révélées les écoutes d’espionnage US effectuées par la NSA sur Rousseff et son gouvernement [1].
RépondreSupprimerLe scandale de corruption qui sort du chapeau…
Durant cette dure campagne électorale entre Rousseff et Neves, le camp de ce dernier commença à lancer des rumeurs sur Rousseff, qui jusqu’alors n’avait jamais été éclaboussée par quelque affaire de corruption que ce soit (une réalité très commune parmi les politiciens brésiliens), insinuant que cette dernière avait trempé dans un scandale impliquant le géant pétrolier national, Petrobas. En septembre, un ancien directeur de cette entreprise affirmait que des membres du gouvernement de Rousseff avaient reçu des commissions pour des contrats signés avec le géant pétrolier, des enveloppes bien garnies pour acheter des parlementaires.
Rousseff a été jusqu’en 2010 membre du comité directeur de la compagnie [2]. Et le 2 novembre, quelques jours après la victoire ardue de Rousseff, la société US de comptabilité, PriceWaterhouseCoopers, refusait d’avaliser les comptes de troisième trimestre de Petrobras. PWC exigea de plus amples expertises concernant le scandale de corruption impliquant la société publique pétrolière [3].
PriceWaterhouseCoopers est une des firmes US de comptabilité les plus entachées par des scandales. Elle est liée à quatorze ans de dissimulation de fraude du groupe d’assurances AIG, entreprise qui fut au cœur de la crise financière US de 2008. Et la chambre des Lords britannique, en 2011, devait critiquer PWC pour ne pas avoir souligné les risques du plan financier appliqué par la banque Northern Rock, un désastre conséquent durant la crise financière de l’immobilier britannique en 2008, qui avait été renflouée par le gouvernement UK. Les attaques contre Rousseff ne font que commencer, nous pouvons en être sûrs…
La vision du monde de Rousseff
Ce n’est pas seulement l’alliance de Rousseff avec les pays du BRICS qui fait de celle-ci un objectif de déstabilisation de première importance pour Washington. Durant son mandat, le Brésil corrige rapidement sa vulnérabilité aux systèmes US de surveillance électronique de la NSA.
(suite en dessous:)
Quelques jours après sa réélection, la firme publique Telebras annonçait le projet de construction d’un câble de télécommunications sous-marin en fibre optique à travers l’Atlantique sur 3 500 miles (environ 5 600 km), depuis la ville brésilienne de Fortaleza jusqu’au Portugal. Cela constitue une rupture flagrante, pour les communications transatlantiques, avec la domination technique US. De fait, le président de Telebras, Francisco Ziober Filho, déclarait lors d’un entretien que ce projet n’inclurait aucune compagnie US [4].
RépondreSupprimerLes révélations de Snowden au sujet de la NSA, en 2013, ont dévoilé, parmi d’autres choses, les liens étroits entre des entreprises de pointe en matière de technologies de télécommunication, comme Cisco Systems ou Microsoft, avec les services de renseignements US. Il rappelait que « la problématique de l’intégrité des données et leur vulnérabilité est toujours un objet d’inquiétude pour toute compagnie de télécommunications ». Le Brésil a réagi aux écoutes de la NSA en entreprenant de massifs audits de tous les équipements fabriqués à l’étranger, afin d’estimer leur vulnérabilité en matière de sécurité, et a accéléré son processus d’indépendance technologique dans le domaine des communications sécurisées, selon le chef de Telebras.
Jusqu’à ce jour, à peu près toutes les communications trans-atlantiques transitaient par la côte Est des USA vers l’Europe et l’Afrique, un avantage déterminant en matière d’espionnage, pour Washington.
En réaction aux révélations de Snowden, le gouvernement de Rousseff mit un terme à tout accord contractuel avec Microsoft, en ce qui concerne les services de courrier Outlook.
Au contraire, le Brésil travaille de plus en plus de manière nationale, avec son propre système de courriel électronique appelé Expresso, développé par la société publique Servico Federal de Processamento de Dados (Serpro). Expresso est déjà utilisé par 13 des 39 ministères brésiliens. Le porte-parole de Serpro, Marcos Melo, déclarait : « Expresso est 100 % sous notre contrôle ». Vrai ou faux, il est clair qu’avec Rousseff et son parti, le Brésil poursuit ce qu’elle considère comme étant le meilleur intérêt national [5].
Le pétrole dans le monde, aussi un enjeu
Le Brésil s’éloigne aussi de la main mise anglo-américaine dans l’exploration pétrolifère ou gazière. Fin 2007, Petrobras découvrait ce qui est considéré comme une immense réserve de pétrole de haute qualité, et ce au large du continent brésilien, dans le bassin du Santos. Depuis lors, Petrobras a foré onze puits dans ce bassin, tous prometteurs.
Dans les seules régions de Tupi et Lara, Petrobras estime qu’il y a entre 8 et 12 milliards de barils de pétrole à exploiter, ce qui peut presque doubler les réserves brésiliennes de pétrole. Au total, le gisement continental brésilien pourrait contenir plus de 100 milliards de barils, transformant le pays en une des grandes puissances pétrolières et gazières, des réserves qu’Exxon et Chevron, les géants US, ont tenté avec acharnement de contrôler [6].
(suite en dessous:)
En 2009, selon des billets diplomatiques US révélés et publiés par le site Wikileaks, le consulat US de Rio notait qu’Exxon et Chevron s’efforçaient en vain de faire modifier une loi proposée par le mentor de Rousseff, et son prédécesseur au parti des travailleurs brésiliens, le président Luis Inacio Lula da Silva, dit Lula.
RépondreSupprimerCette loi de 2009 faisait de la société d’État Petrobras l’opérateur en chef de toutes les zones de forage au large des côtes [7]. Washington et les géants US du pétrole étaient furieux de perdre le contrôle sur ce qui était potentiellement l’unique découverte majeure de réserve de pétrole depuis des décennies.
Pire, aux yeux de Washington, non seulement Lula avait poussé vers la sortie ExxonMobil et Chevron, en donnant le contrôle stratégique à la société publique Petrobras, mais il ouvrit aussi la voie à l’exploration pétrolifère de l’espace brésilien à la Chine. En décembre 2010, lors de l’un de ses derniers actes officiels en qualité de président, il supervisa la signature d’un accord entre la société hispano-brésilienne Repso, et la société d’État chinoise Sinopec International Petroleum Service, opérant au Brésil, et cela dans le cadre d’une nouvelle alliance stratégique entre la Chine et le Brésil, un meneur actuel dans l’organisation des BRICS [8].
Washington n’était pas ravi…
En 2012, durant un forage d’exploration conjoint, regroupant Repsol Sinopec Brazil, la compagnie norvégienne Statoil et Petrobras, une découverte majeure fut faite à Pão de Açúcar, troisième puits du bloc BM-C33, qui inclut le Siège et Gávea, ce dernier site étant une des dix plus grandes découvertes de 2011. Les USA et la Grande-Bretagne étaient absolument absents [9].
Comme les relations entre le gouvernement de Rousseff et la Chine, ainsi qu’avec la Russie et les autres partenaires des BRICS s’intensifiaient, en mai 2013 le vice-président Joe Biden se rendit au Brésil où son agenda se résumait aux développements gaziers et pétroliers. Il rencontra la présidente Dilma Rousseff, qui succéda à son mentor Lula en 2011. Biden rencontra aussi des entreprises en énergie d’importance au Brésil, notamment Petrobras [10].
Peu de cela fut rendu public, mais Rousseff refusa de modifier la loi sur le pétrole de 2009 en des termes favorables à Biden et à Washington. Quelques jours après la visite de Biden surgirent les révélations de Snowden sur la NSA, faisant notamment savoir que les USA avaient aussi espionné Rousseff et de hauts cadres de Petrobras. Elle était livide, et dénonça l’administration d’Obama en septembre devant l’Assemblée générale de l’ONU pour violation de la loi internationale. Elle annula une visite planifiée à Washington en signe de protestation. Après cela, les relations US-Brésil prirent l’eau…
(suite en dessous:)
Avant la visite de Biden en mai 2013, Dilma Rousseff bénéficiait d’une cote de popularité de 70 %. Moins de deux semaines plus tard, des protestations d’échelle nationale, bien organisées par un groupe appelé Movimento Passe Livre, se mobilisaient contre une augmentation de dix centimes du ticket de bus, amenant le pays virtuellement à l’arrêt, et tombant dans la violence [11]. Les manifestations portaient la marque des typiques révolutions de couleurs ou déstabilisations à la Twitter, qui semblent suivre Biden où qu’il se rende. En quelques semaines, la popularité de Rousseff chuta à 30 %.
RépondreSupprimerWashington avait clairement envoyé un message à Rousseff : qu’elle change de direction, sans quoi elle aurait de sérieux problèmes à gérer. Maintenant qu’elle est réélue, avec sa victoire sur les oligarques de droite très bien financés ainsi que sur l’opposition, Washington essaiera avec une nouvelle vigueur de se débarrasser d’un autre dirigeant des BRICS, dans une tentative de plus en plus désespérée de maintenir le statu quo. On dirait que le monde ne se met plus au garde-à-vous, comme durant les décennies passées, quand Washington donnait l’ordre du jour. L’année 2015 sera une rude aventure, pas seulement pour le Brésil, mais aussi pour le monde entier…
William Engdhal
Traduit par Geoffrey, relu par Sylvain pour vineyardsaker.fr
Notes
[1] H. R. Resolution N 758. US Lawmakers Push Europe to Big War (strategic-culture.org, anglais, 12-12-2014) & Selon Ron Paul, le projet de loi 758 contient 16 pages de propagande de guerre qui feraient même rougir les néoconservateurs (vineyardsaker, français, 06-12-2014)
[2] Dilma Rousseff: Brazil’s ‘Iron Lady’ (bbc.com, anglais, 27-10-2014)
[3] Auditor refuses to sign off Brazil Petrobras’ Q3 results -Estado (reuters.com, anglais, 01-11-2014)
[4] Brazil-to-Portugal Cable Shapes Up as Anti-NSA Case Study (bloomberg.com, anglais, 30-10-2014)
[5] ibidem
[6] Brazil’s Pre-Salt Layer, par Idel Waisberg (stanford.edu, anglais, 03-12-2011)
[7] Viewing cable 09RIODEJANEIRO369, CAN THE OIL INDUSTRY BEAT BACK THE PRE-SALT LAW? (wikileaks.org, anglais, 02-12-2009)
[8] Repsol Sinopec Brazil
[9] Repsol makes a significant oil discovery in the Campos Basin, one of the thickest hydrocarbons columns drilled in Brazil (repsol.com, anglais, 27-02-2012)
[10] Biden’s Brazil Focus Likely to Be Energy, Experts Say (usnews.com, anglais, 28-05-2013)
[11] Violent Protests Over Bus Fare Hike Spread Across Brazil (abcnews.go.com, anglais, 16-06-2013)
Source : BRICS’ Brazil President Next Washington Target (journal-neo.org, anglais, 18-11-2014)
http://www.vineyardsaker.fr/2014/12/12/dilma-rousseff-la-presidente-du-bresil-pays-membre-des-brics-est-la-prochaine-cible-de-washington/
Une étude réalisée par un cabinet russe montre la résilience de la Russie face aux sanctions
RépondreSupprimer12 décembre 2014
The French Saker
Une étude publiée aujourd’hui par Awara Group, une firme d’experts-conseils en Russie, montre que l’économie de la Russie n’est pas aussi dépendante du pétrole et du gaz qu’aussi souvent revendiqué.
L’étude d’Awara sur la politique de Poutine à mi-mandat
Ayant étudié le développement des indicateurs clés de l’économie de 2000 à 2013, les auteurs de l’étude veulent démystifier l’histoire des médias, selon laquelle les gouvernements de la Russie sous Poutine se sont prétendument appuyé exclusivement sur un modèle économique basé sur les revenus du pétrole et du gaz, tout en négligeant la nécessité de moderniser et de diversifier l’économie.
Il s’avère que c’est tout à fait le contraire qui est vrai. L’économie, déchirée par la crise et battue par des années de capitalisme voleur durant l’anarchie des années 1990, dont a hérité Poutine en 2000, a maintenant atteint une maturité suffisante, pour justifier la conviction que la Russie peut faire la percée industrielle que le Président a annoncé.
« L’économie russe est beaucoup plus diversifiée et modernisée que les critiques ne le prétendent. L’affirmation qu’elle ne repose que sur le pétrole et le gaz est une absurdité totale« , dit Jon Hellevig, chercheur en chef de l’étude. « C’est pourquoi la Russie ne va pas seulement se maintenir dans ces conditions de sanctions, mais en réalité, fera la percée industrielle que le président Poutine a annoncé«, poursuit Hellevig.
L’étude révèle une série d’indicateurs impressionnants sur le développement de l’économie entre 2000 et 2013, et sur la santé de l’économie russe :
La part de revenus des ressources naturelles dans le PIB (pétrole, gaz, charbon, minéraux et forêts) a diminué de plus de la moitié entre 2000 à 2012, passant de 44,5 % à 18,7 %. Tandis que la part de pétrole et de gaz était de 16 %.
La production industrielle russe a augmenté de plus de 50% tout en ayant subi une modernisation totale dans le même temps.
La production alimentaire a augmenté de 100 % de 2000 à 2013.
La production automobile a, dans le même temps, plus que doublé et a été totalement rénovée.
Les exportations russes ont augmenté de près de 400 %, surpassant tous les grands pays occidentaux.
La croissance des exportations de biens non-pétroliers et gaziers a été de 250 %.
La croissance des exportations de la Russie a plus que doublé par rapport aux puissances occidentales concurrentes.
Le pétrole et le gaz ne comptent pas 50 % des recettes de l’État comme il l’a été revendiqué, mais seulement 27,4 %. La source la plus importante des revenus est en fait les impôts sur les salaires.
Le taux d’imposition total de la Russie à 29,5 % est parmi les plus bas des pays développés, et le taux d’imposition total autre que le pétrole et le gaz est la moitié de celui des pays occidentaux.
Le PIB de la Russie a plus que décuplé de 1999 à 2012.
La part du secteur public de l’emploi en Russie n’est pas élevée, en comparaison de celle des pays développés. Les agents de l’État ne représentent que 17,7 % de la force de travail totale de la Russie, ce qui se situe dans le milieu du peloton des économies mondiales.
(suite en dessous:)
La productivité du travail en Russie n’est pas de 40 % des normes occidentales comme cela est souvent présenté, mais plutôt de 80 %.
RépondreSupprimerLoin de « s’appuyer » sur le pétrole et le gaz, le gouvernement russe est engagé dans des investissements massifs dans tous les secteurs de l’économie, les plus gros investissements allant à l’aviation, la construction navale, la fabrication de machines à haute valeur ajoutée et l’équipement technologique.
En contradiction totale avec ces faits, les médias occidentaux, les analystes financiers, et même des dirigeants tels que le président Obama ne cessent de répéter le refrain que « la Russie ne s’appuie que sur le pétrole et le gaz » et que « la Russie ne produit rien« . De toute évidence, Barack Obama n’a pas analysé l’économie russe, ce qui signifie que ceux dont le travail est de le faire trompent le président.
Nous croyons fermement que tout le monde bénéficie à connaître l’état réel de l’économie de la Russie, ses véritables résultats au cours de la dernière décennie, et son véritable potentiel. Connaître l’état actuel des choses est également utile pour les amis et les ennemis de la Russie, pour les investisseurs, pour la population russe – et même pour son gouvernement, qui n’a pas été très loquace à s’exprimer sur le progrès réel. Je pense qu’il y a un grand besoin de données précises sur la Russie, en particulier parmi les leaders de ses ennemis géopolitiques. Des données correctes aideront les investisseurs à faire plus de profits. Et des données correctes aideront les dirigeants politiques à maintenir la paix.
Savoir que la Russie n’est pas le cas économique désespéré qui est dépeint, contribuerait à écarter les ennemis de cette trajectoire de collision qu’ils ont entrepris avec la Russie.
Jon Hellevig
Traduit par Stéphane pour vineyardsaker.fr
Source : Poutine 2000-2014, Résultats provisoires de mi-mandat : diversification, modernisation et le rôle de l’État dans l’économie de la Russie (awarablogs, anglais, 12-12-2014)
ATTENTION : l’étude a été dépubliée dans l’après-midi du 12 décembre. Nous la mettrons en ligne si nous en obtenons l’autorisation.
http://www.vineyardsaker.fr/2014/12/12/un-etude-realisee-par-un-cabinet-russe-montre-la-resilience-de-la-russie-face-aux-sanctions/
Analyse de la très percutante allocution du ministre allemand des Affaires étrangères, Steinmeier, aux grandes entreprises
RépondreSupprimer12 décembre 2014
Isabelle Savin
Dans son discours d’ouverture lors du sommet économique du journal Süddeutsche Zeitung [que nous venons de publier en français], le ministre des Affaires étrangères allemand Frank-Walter Steinmeier a appelé les chefs d’entreprises à soutenir l’accession de l’Allemagne au statut de grande puissance.
La réunion n’a pas eu lieu dans le Parkhotel de Düsseldorf, mais dans l’Hôtel Adlon de Berlin. Dans le public, pas de Fritz Thyssen ou Gustav Krupp von Bohlen und Halbach, mais le président directeur général de Thyssen-Krupp, Heinrich Hiesinger et d’autres pointures du grand capital allemand. Et bien évidemment, le ministre social-démocrate des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, n’est pas Adolf Hitler.
Néanmoins, la prestation de Steinmeier a rappelé celle de Hitler devant le club de l’industrie de Dusseldorf le 26 janvier 1932. Comme celui qui deviendrait bientôt le Führer, Steinmeier a lancé un appel direct aux chefs d’entreprises allemands à soutenir l’accession de l’Allemagne au statut de grande puissance. Il a explicitement demandé au grand capital de le soutenir lui et le gouvernement dans l’adoption d’une politique étrangère militariste allant à l’encontre de la volonté du peuple.
Le programme de Steinmeier évoque fortement la soif de pouvoir de l’Allemagne, alors qu’on la pensait appartenir au passé. « L’Allemagne devrait conduire l’Europe à mener le monde« , « européaniser la Russie » et « multilatéraliser les États-Unis« , a réclamé Steinmeier, en citant un essai qui figurait sur un site internet officiel du ministère des Affaires étrangères depuis des mois. Il a ajouté, « c’est une tâche de grande ampleur !« .
Les implications de ces paroles sont sans équivoque. Le retour de l’Allemagne à une politique étrangère agressive emprunte des voies similaires à celles suivies dans la première moitié du XXe siècle. Les élites allemandes, encore une fois, considèrent de leur devoir de dominer l’Europe pour que leur pays devienne une grande puissance. Aujourd’hui, comme par le passé, ce programme d’impérialisme allemand signifie le conflit avec la Russie et les États-Unis.
« Européaniser la Russie » ne signifie rien d’autre que subordonner la Russie à une Europe contrôlée par l’Allemagne. « Multilatéraliser les États-Unis » veut dire contester le rôle de puissance hégémonique des États-Unis. En d’autres termes, la politique étrangère allemande se développera, dans le futur, de plus en plus en opposition aux deux pouvoirs contre lesquels l’Allemagne a déjà mené deux guerres mondiales.
Après les crimes du régime nazi, les élites allemandes continuent pour le moment à présenter leur programme pour une troisième « tentative de prise de contrôle de la planète » comme un programme imposé de l’extérieur. Dans la salle de l’Adlon, Steinmeier s’est plaint que chaque jour, parviennent, de nos partenaires à l’étranger, « l’attente d’une implication de l’Allemagne« . C’est pourquoi, il « avait demandé à un grand groupe d’experts internationaux de formuler leurs attentes quant à la politique étrangère allemande« .
(suite en dessous:)
Des nombreuses réponses qu’il a reçues à cette demande, Steinmeier n’en a signalé qu’une seule, intitulée « la destinée de l’Allemagne : diriger l’Europe pour mener le monde » [1]. Cela nous vient de la plume d’un professeur d’origine indienne, Kishore Mahbubani, de l’université d’État de Singapour, qui se trouve dans un pays au régime monopartiste et autoritaire.
RépondreSupprimerCe texte, ainsi que d’autres appels à développer une politique étrangère allemande plus audacieuse, est disponible sur le site internet Review 2014 du ministère des Affaires étrangères allemand [2]. À propos des principales requêtes de Mahbubani, Steinmeier a dit laconiquement, « Et savez-vous qui a dit cela ? Pas un Français, pas un Américain, mais c’est un professeur indien qui a écrit cela pour nous« .
Le discours de Steinmeier a impressionné non seulement pour son appel à une toute puissance allemande sur le monde, mais aussi pour sa présentation d’un programme ostensiblement impérialiste. L’essence de son discours réside dans la conclusion que dans un monde qui est de plus en plus dominé par des conflits nationaux, les intérêts extérieurs de l’Allemagne ne peuvent plus être défendus par des moyens purement économiques, mais doivent compter sur une politique étrangère et une force militaire.
Au début de son allocution, Steinmeier a déclaré que ce n’était pas un hasard si « à la fin de cette turbulente année 2014« , il ouvrait ce congrès d’affaires avec un « discours résolument axé sur la politique étrangère ». Dans « toute son expérience politique« , il ne peut pas « se souvenir d’une époque où un si grand nombre de crises internationales, dans autant d’endroits dans le monde, et de tant de natures différentes, nous ont assaillis simultanément comme c’est le cas aujourd’hui « .
Le ministre allemand des Affaires étrangères a dressé un tableau de la situation mondiale qui rappelle fortement l’état du monde à l’aube de la Seconde Guerre mondiale. Un monde où prévalent « les luttes d’influence et de domination« , où « la crise est la nouvelle normalité« , où « des ruptures et divisions » évidentes apparaissent et dans lequel « nous nous cristallisons sur les différences entre les États, les peuples et les cultures« . Même « dans nos rapports avec nos partenaires les plus proches, notamment les États-Unis« , le « débat public est dominé par nos différences et non par nos convergences« .
Sur le plan économique, on a observé un « retour à des frontières nationales plus concrètes » à la suite de la crise économique et financière de 2008. Cette évolution est un défi à la fois pour la politique économique et étrangère, en particulier pour l’Allemagne, a ajouté Steinmeier. La « récession de la mondialisation » à menacé « les économies basées sur l’exportation« , tandis que « les divergences, atteignant des sommets« , sapaient « les moyens des diplomates« .
Steinmeier a alors conclu qu’il était dans l’intérêt du grand capital de soutenir une politique étrangère plus audacieuse, même si celle-ci devait entraîner, à court terme, des inconvénients économiques.
(suite en dessous:)
Le « premier pas vers la reprise » part « d’une prise de conscience de ceux qui savaient que nous, Allemands, ne pouvions pas rester à l’écart de la crise de l’ordre mondial ! Chaque fois que cela est possible, nous, personnes politiques et décideurs économiques allemands, devons nous extraire de toute pensée communautaire et de tout sentiment de confort !« . Ceux qui reconnaissent cela doivent « aussi amorcer l’étape suivante : en tant que pays le plus interconnecté, nous avons besoin d’un ordre mondial basé sur des règles et nous assurant la paix, et nous devons aussi intervenir pour garantir cet ordre ! Non seulement en Europe mais de par le monde« …
RépondreSupprimerSteinmeier a tenté de convaincre les représentants du grand capital que l’accession de l’Allemagne au statut de grande puissance ne pouvait être réalisé uniquement au moyen de relations commerciales pacifiques : « La mondialisation économique seule ne garantit pas un terrain d’entente politique« … « Davantage de BMW dans les rues de Moscou et davantage d’usines Volkswagen dans les grandes agglomérations chinoises ne mène pas forcément à davantage de convergence politique« .
Le monde des affaires doit, par conséquent, participer aux sanctions imposées par l’Occident à la Russie. « Par l’annexion de la Crimée et ses actions en Ukraine de l’est« , la Russie avait remis en cause « le droit international et l’ordre fondé sur le respect des règles » et, ce faisant, « enfreint les fondements de notre sécurité et aussi de notre bien-être ». Les puissances occidentales ont réagi par des sanctions « qui ont aussi un coût économique pour nous« . Cependant, le « coût de la permanence d’une menace sur l’Europe » était « bien plus élevé » et les sanctions sont donc prises dans « l’intérêt à long terme du monde des affaires« , a fait valoir Steinmeier.
Dans le même temps, il a souligné que l’objectif des sanctions ne devait pas être « l’assujettissement économique de la Russie« . Ce qui serait extrêmement dangereux. « La déstabilisation ou l’effondrement de la Russie est, pour elle-même et pour les autres, un bien plus grand risque. Tous ceux qui s’expriment pour cela rendent un très mauvais service à la sécurité européenne« .
C’était une critique évidente de ceux qui exigent une réponse à la question, « La Russie est-elle amie ou ennemie, un partenaire ou un adversaire ?« . Il était clair qu’il parlait des États-Unis. Mais, pour ne pas trop contrarier Washington, Steinmeier a fait allusion au Canada. « La Russie restera toujours pour l’Europe un très grand voisin, et elle influencera notre évolution en bien ou en mal« .
Pour le moment, l’Allemagne veut pousser la Russie sur la défensive mais sans entraîner un effondrement total des relations économiques. Dans le même temps, elle n’est pas (encore) prête à affronter ouvertement les États-Unis. Mais elle commence à défendre ses intérêts impérialistes de manière plus autonome et avec plus d’assurance face aux autres puissances. Steinmeier n’a laissé planer aucun doute quant au fait que, comme par le passé, cela incluait le recours à une force militaire et à la guerre.
Pour combattre l’État islamique en Irak et en Syrie, Steinmeier a déclaré : « Évidemment, la solution militaire a son rôle à jouer et nous ne nous y soustrairons pas. Cet été, nous avons décidé de soutenir la lutte par l’envoi d’armes aux Peshmergas kurdes« . Alors que la « règle qui consiste à ne pas envoyer d’armes dans les régions en crise » est toujours en vigueur, la politique étrangère consiste à « envisager de nombreuses options imparfaites » et « dans de tels cas, il faut savoir si l’on respecte des principes ou si l’on se cache plutôt derrière eux« .
(suite en dessous:)
L’intégralité du discours de Steinmeier montre clairement qu’en Allemagne les élites dirigeantes ne sont plus disposées à se « cacher » derrière les « principes » ou les restrictions qu’elles avaient été contraintes d’accepter après la défaite de la Seconde Guerre mondiale. Elles se préparent à imposer ce nouveau programme de politique étrangère au peuple allemand.
RépondreSupprimerÀ l’issue de son allocution, Steinmeier a mentionné une enquête réalisée par la Fondation Körber qui demandait aux Allemands « si l’Allemagne devait s’engager plus résolument qu’avant sur le plan international« . Seulement 38 % des sondés ont répondu « oui« , 60 % ont dit « non, s’il vous plaît, continuez à pratiquer la retenue« .
Le ministre des Affaires étrangères a déclaré : « C’est l’écart entre les attentes extérieures et la réactivité interne, mesdames et messieurs, qui me préoccupe. Pour être honnête, si j’étais un ingénieur, je ne construirais pas, en toute bonne foi, de pont au dessus d’un tel gouffre. En tant qu’homme politique, je dois le faire ! Et je serais heureux, si je ne me suis pas trompé dans mon exposé, et c’est dans votre intérêt, si les entreprises allemandes nous aidaient un peu ! Merci beaucoup« .
Ce que Steinmeier propose, c’est une alliance de l’État et du grand capital contre le peuple, qui est majoritairement hostile à cette nouvelle course à la guerre. Une telle alliance, unissant riches et puissants contre la majorité, est profondément antidémocratique. Après les terribles expériences des deux guerres mondiales, l’opposition à la guerre est profondément enracinée, tout particulièrement en Allemagne. Néanmoins, les élites dirigeantes ont décidé de revenir à une politique guerrière et d’imposer celle-ci à la population.
Lorsque Steinmeier eut fini, il y eut des applaudissement tonitruants dans la salle de l’hôtel Adlon.
Johannes Stern
Traduit par Isabelle Savin pour vineyardsaker.fr
Note
[1] Deutschlands Bestimmung: Europa führen, um die Welt zu führen, (review2014.de, allemand, 02-05-2014)
[2] Review 2014, Aussenpolitik weiter denken (allemand)
Source : German Foreign Minister Steinmeier’s great power speech to big business (World Socialist Web Site, anglais, 06-12-2014)
http://www.vineyardsaker.fr/2014/12/12/steinmeier-aux-grandes-entreprises-allemandes/
Le Congrès approuve l'intention de former les rebelles syriens dans le projet de loi de défense
RépondreSupprimer13 décembre 2014 02:06
Une écrasante majorité, le Congrès adopta une nouvelle défense passer le projet de loi qui permettra au Pentagone de réaliser son plan de bourgeonnement d'armer et de former des groupes de rebelles en Syrie dans le cadre de la campagne militaire contre les militants de l'État islamique.
En outre, le projet de loi alloue un montant total de $ 577 milliards pour les dépenses globales de défense – un nombre qui comprend $ 64 milliards dollars pour la guerre outre-mer s'aventure dans des pays comme l'Afghanistan, en Irak et la Syrie. On trouve également une augmentation de salaire de 1 % pour les militaires.
Sénateurs a adopté le projet de loi, qui établit les niveaux de dépenses pour l'exercice 2015, par un vote de 89-11 de la défense. Étant donné que les chambre des représentants a adopté la même mesure la semaine dernière, il dirige maintenant au Président Barack Obama pour sa signature.
Une des parties plus importantes du projet de loi est une autorisation de deux ans pour la formation des rebelles en Syrie, avec les États-Unis dans l'espoir qu'ils peuvent devenir assez capables de lutter contre les combattants de l'État islamique dans le pays. L'Etat islamique (IS, ou ISIS/ISIL) est devenu une force déstabilisatrice en Irak et en Syrie, où il est devenu connu pour son point de vue extrémiste de l'Islam et la violence brutale.
Formation ne sera pas limitée aux rebelles syriens, cependant, que le projet de loi de défense approuve de perfectionnement aux forces irakiens et Kurdes.
« La puissance aérienne américaine avait changé la dynamique sur le terrain un peu et modérés dans la région l'occasion de se regrouper, mais ISIS ne peut pas être vaincue sans une force d'opposition à prendre sur le sol, la lutte contre » Le sénateur Carl Levin (D-Mich.), Président de la Commission des Services armés, a déclaré à l'AP.
« Pour ce faire, nos partenaires arabes et musulmans doivent être en tête parce que la lutte avec ISIS est avant tout une lutte au sein de l'Islam pour les coeurs et les esprits des musulmans. »
(suite en dessous:)
Pourtant, le programme de formation est venu sous contrôle sérieux, car on ne sait pas si le Pentagone sait quels groupes de rebelles il veut former. Certains législateurs et les critiques du régime affirment que les Etats-Unis ne peut pas savoir comment digne de confiance rebelles groupes seraient, compte tenu qu'ils sont intéressés pour éliminer le président syrien Bashar Assad de puissance et mettent en garde contre la possibilité d'armes américaines se retrouvent dans les mains des militants IS.
RépondreSupprimerEn plus correctement vetting des groupes rebelles, il y a une question de chiffres. Le Pentagone a déclaré en septembre qu'il peut avoir besoin de former jusqu'à 15 000 rebelles pour lutter efficacement contre les IS.
’En dehors de ces programmes de formation, le projet de loi de dépenses de la défense maintient en place des restrictions sur la capacité du président Obama de fermer la prison de Guantanamo Bay complexe à Cuba. Elle ne permettra pas de la maison blanche pour transférer des détenus aux États-Unis, rendant difficile de les enlever de la prison.
http://rt.com/usa/214087-congress-training-syrian-rebels/
Ce sont ces mêmes assassins qui défileront et feront la loi aux Etats-Unis de si tôt.
SupprimerGitmo victime: "bombe à retardement intel est fausseté, les gens disent n'importe quoi pour arrêter la torture"
RépondreSupprimer13 décembre 2014 06:13
Ancien Bagram et Guantanamo détenu Moazzam Begg, qui a fait l'objet de mauvais traitements et mentionné dans le rapport du Comité sénatorial, a rejeté les revendications que la torture de la CIA pourrait être justifiée, partage son expérience avec RT Il a composé une fois faits pour mettre fin à la torture.
Begg a été libéré sans inculpation après près de trois ans en détention – tout d'abord à la base de Bagram Afghanistan, puis à la prison de Guantanamo Bay. Il dit qu'il a été battu il et privé de sommeil. Begg vit maintenant au Royaume-Uni, militant pour les droits des détenus.
RT: Quelle distance est la coopération entre le renseignement américain et britannique dans l'ère post-9/11 ? Est-il possible que Londres ne savait pas de tactiques de torture de la CIA?
Moazzam Begg : Non, ils travaillaient tous deux main dans la main. J'ai été à chaque étape de mon voyage-si elle se tenait au Pakistan par les Services secrets de renseignement avec la CIA, ou que ce soit à Bagram ou à Kandahar, qui ont été les sites de détention militaire américain, ou à Guantanamo – j'ai été interrogé par des agents de MI5 et MI6 plus de temps que je me souvienne. Et étaient donc les 15 autres citoyens britanniques ou résidents...En effet, celui qui est toujours là, Shaker Aamer, il soutient que sa tête était brisée à plusieurs reprises contre le mur dans les installations de Bagram en Afghanistan alors que les agents du MI5 regardaient sur. Donc nous avons sans doute dans notre esprit à tout ce que les services de renseignement britanniques ont été complètement impliqué à tous les niveaux. Et un couple d'années, en fait, une enquête criminelle – la première fois dans l'histoire britannique – a commencé des agents MI5 et MI6. Vous aviez britannique des agents de la police va la Libye, passant à Guantanamo, s'adressant à nous, ici, le témoignage de prise chez nous par rapport à ce que nous avons vu et été témoin de ces agents. Donc, il va droit vers le haut et il n'y a simplement pas nier que la Grande-Bretagne était impliquée.
RT : Le Sénat rapport mentionne expressément que les renseignements obtenus de vous – sous la torture – par la CIA a aidé MI5 britannique capture haut d'Al-Qaïda UK du dispositif. Pouvez-vous commenter là-dessus ?
MB: Eh bien, j'ai vu que le rapport et je pense que c'est juste une fausseté totale, et je vais vous dire pourquoi. Il est dit qu'une image a été dessinée à la base sur ce que j'avais dit et que cette image était alors prise et utilisée comme intelligence. La vérité est que je n'ai aucune idée ce qui ressemblait à l'individu. Et sous la torture, vous dirais absolument n'importe quoi afin d'amener les gens sur votre dos.
(suite en dessous:)
RT: Pour que la mention de vous dans le rapport est fausse ?
RépondreSupprimerMB: No La mention de moi est correcte, mais...
RT: Ce qu'ils ont de vous était fausse ?
MB: Oui. Ce qu'ils ont obtenu de moi a été de...Je suis en train de vous expliquer dans quelles circonstances. Ils m'avaient dans une pièce avec mes mains attachées derrière le dos de mes jambes. Ils étaient coups de poing et coups de pied me. Ils avaient une capuche sur ma tête. Et ils élevèrent la hotte et agita une photo d'une femme et des enfants en face de moi et dit – alors qu'il y avait un son d'une femme crier voisine, dont ils ont conduit à me croire était mon épouse torturée-ils ont dit que si vous ne coopérez pas avec nous nous vous ferons parvenir en Égypte ou en Syrie. À la fin de ce processus, c'est quand je l'ai dit, ' OK je vais coopérer. Je vais faire tout ce que vous voulez, je vais signer des documents. » Et je l'ai fait. Et c'est ce que nombreuses personnes ont fait par l'armée américaine.
RT: Juste pour obtenir ce droit : avez-vous ou avez-vous vous pas conduire à la capture de Al-Qaeda operative de UK Albums ? Saviez-vous que qui était cette personne ?
MB: Non, je n'ai pas. Je ne savais pas du tout. Ce que j'ai fait, c'est qu'ils m'ont demandé de faire ce genre d'un type de photo-fit. Et je ne savais pas du tout ce à quoi il ressemblait, mais néanmoins, au moins, qui les ai sur mon dos. Et voilà le genre de choses, je pense que beaucoup de gens a fait. Ce n'était pas juste moi.
RT: UK responsables disent qu'ils auraient seulement demandé pour plus d'informations être expurgée du rapport sur la si il y avait eu une menace pour la sécurité nationale. Est qu'un juste point ?
MB: Vous ne savez pas parce que quand ils disent cela, ils ont soutenu ces cas avant en matière de sécurité de l'UK. N'oublions pas – il s'agissait de torture. Il s'agissait de traitement cruel, violent, inhumain et dégradant qui se déroulait. Ils peuvent prétendre et dire « oui, c'est ce qui a aidé à déjouer les attaques et attraper les gens et ainsi de suite. » La vérité est bien plus sinistre. C'est que les gens ont été torturés de manières... au moins, les Américains sont venus nettoyer avec qui. La Grande-Bretagne reste toujours silencieuse, au mieux, et au pire, c'est simplement le couvrant vers le haut en disant: « nous allons avoir ces enquêtes de torture ; Nous allons avoir cette enquête de torture. » Et en réalité, rien n'est venu de lui. En effet, l'enquête qui parlait de votre rapport, l'enquête dirigée par le juge Peter Gibson, a été ensuite remis à l'Intelligence, et le Comité de sécurité, qui lui-même supervise l'Agence MI5. Donc, c'est essentiellement le MI5 police elle-même. Donc, nous ne pouvons attendre toute beaucoup de transparence venant de là-bas.
http://rt.com/news/214067-cia-torture-victim-guantanamo/
Évacuations tempête frappe la Californie du Sud, coulées de boue enterrent les maisons (PHOTOS)
RépondreSupprimer13 décembre 2014 05:18
Les autorités sont toujours à l'affût des coulées de boue après qu'une violente tempête a frappé le tirant d'eau-souffrance Southern California vendredi, provoquant des inondations et l'enfouissement des maisons. Des dizaines de milliers ont été laissés sans puissance, et des dizaines d'évacuations ont été ordonnées.
La tempête est passée Californie du Nord avec cinq pouces de pluie tombant, provoquant des débris et des glissements de terrain au hasard. Au moins dix maisons ont été complètement détruits, selon AP.
Sans puissance, fort vent, inondations Jusqu'à 50 000 personnes, perdu de puissance que la vitesse du vent atteint jusqu'à 60 km/h dans certains secteurs et inondations rue a été signalé.
– Une coulée de boue provenant d'une colline environ 50 milles (80 km) de Los Angeles, dans la ville de Camarillo, couvert des dizaines de maisons avec des débris, y compris le limon, bâtonnets et roches – certains d'entre eux aussi gros qu'un tableau. Quelques-unes des maisons étaient recouverts à leurs toits avec des débris.
Dizaines d'évacuations commandées ’Les autorités locales classés au moins 124 évacuations obligatoires de la région, en fonction le capitaine Don Aguilar du shérif du comté de Ventura. Pendant ce temps, 40 personnes ont été déplacées à la suite de dommages de la tempête et les deux personnes pris l'hôpital.
Le glissement de terrain a été si puissante que deux gros engins de terrassement utilisés comme barrière ont été renversés et l'un d'eux a été presque entièrement enterré.
Roches voyageant dans les rues La banlieue de Glendora, situé à l'est de Los Angeles, les roches devant témoins et les briques qui coule dans les rues, la police le lieutenant Matt Williams a déclaré à AP.
Les équipes de secours incendie ont participé à sauver deux personnes de la rivière de Los Angeles vendredi.
Le personnel de service d'incendie de Los Angeles stand-by à côté de la rivière de Los Angeles lors d'une opération de sauvetage à Los Angeles, 12 décembre 2014 (Reuters / Mario Anzuoni)
Coulée de boue d'alerte en vigueur La Californie a souffert d'un tirant d'eau, alors que la pluie a été bien accueillie. Mais comme l'averse soudaine causé des glissements de terrain, les autorités appelé les gens à rester vigilants.
Les sauveteurs restent préoccupés par les collines touchés par les incendies de forêt dans le passé, craignant que le sol, ce qui n'est plus supporté par les racines, puisse être balayé.
Projet de prévisions météorologiques que la tempête se déplace à l'est et continuer en direction de Nevada et l'Arizona.
http://rt.com/usa/214091-california-mudslides-storm-evacuation/
SupprimerC'est surtout l'effondrement de collines
"Si l'U.S. envoie des armes à l'Ukraine, la Russie devrait envoyer des troupes" - législateur
RépondreSupprimer12 décembre 2014 10:52
Un homme de gauche MP a dit décision du Sénat américain pour armer le régime de Kiev devrait inciter les « mesures adéquates » de la Russie, comme le déploiement d'une force militaire sur le territoire ukrainien avant que la menace devient trop élevée.
«La décision du Sénat américain est extrêmement dangereuse. S'il est pris en charge par la Chambre des représentants et signé par son Président, la Russie doit répondre avec des mesures adéquates, « Mikhail Yemelyanov du parti Russie juste a déclaré aux journalistes vendredi.
C'est tout à fait possible que nous devrions revenir à la décision de notre chambre haute et donner au Président russe une occasion d'utiliser la force militaire sur le territoire ukrainien préventivement. Nous ne devrions pas attendre jusqu'à ce que l'Ukraine est armé et devient vraiment dangereux, « le législateur a déclaré.
’Yemelyanov a également fait remarquer que selon lui la décision du Sénat américain pour armer l'Ukraine avait révélé que Washington n'était pas intéressé par un processus de désescalade du conflit ukrainien. Il a alors dit que les actions américaines lui donnaient l'impression qu'ils ne cherchait pas à transformer l'Ukraine en quelque sorte d'un «militant international ciblant la Fédération de Russie. »
«Dans quelques années, l'Ukraine va se transformer en un pays pauvre et d'affamés, dirigée par un gouvernement contre les Russes qui enseignera sa population à la haine de la Russie. Ils seront armés jusqu'aux dents et la réticence de l'Ukraine et les États-Unis à reconnaître la Fédération de Russie au sein de ses frontières actuelles provoquerait toujours des conflits, » a déclaré le député.
Le Sénat américain jeudi passé ce qu'on appelle « Ukraine soutien Loi sur la liberté » permettant l'octroi d'une assistance létale et non létales à l'Ukraine et d'imposer des sanctions supplémentaires contre la Russie. Le projet de loi a été adoptée à l'unanimité, selon l'un de ses principaux sponsors - le sénateur républicain Bob Corker. Le mouvement est encore à passer par la Chambre des représentants.
Le projet de loi a été contestée par les États-Unis le Président Barack Obama, qui a parlé devant le Conseil de l'exportation de maison-blanche jeudi et a déclaré que le déménagement serait contre-productif et créer des divisions avec les alliés européens de Washington.
Le 1 mars de cette année, la chambre haute du Parlement russe – le Conseil de la Fédération – a approuvé une résolution autorisant le Président à recourir à la force militaire sur le territoire de l'Ukraine «jusqu'à la normalisation de la situation sociale et politique dans ce pays. » La résolution a été adoptée conformément à la première partie de l'Article 102 de la constitution de la Fédération de Russie.
Toutefois, le 25 juin le Conseil de la Fédération ont voté pour abroger la législation suite à la demande de Vladimir Poutine. Le Président russe a incité le déplacement d'un désir de décharger les tensions compte tenu des pourparlers à trois sur un règlement pacifique à l'est et le sud-est de l'Ukraine.
’Président du Conseil de Fédération, Valentina Matviyenko, a déclaré après que le vote de juin que la Russie continuerait surveille la situation en Ukraine, mais a ajouté qu'elle n'a pas personnellement croyait que le Sénat votera à nouveau d'adopter une législation autorisant une action militaire en Ukraine.
http://rt.com/politics/213807-american-weaponry-russia-troops-ukrai
Le régime de Kiev, un désastre en attente de l’effondrement
RépondreSupprimer13 décembre 2014
The French Saker
L’arrêt forcé de la plus grande centrale nucléaire en Ukraine la semaine dernière est-il dû à la crise de carburant du pays ? Cette crise est elle-même le résultat de la crise politique que les parrains occidentaux ont engendré dans le pays suite au coup d’état illégal à Kiev plus tôt cette année.
Le régime de Kiev, soutenu par l’Occident, a affirmé qu’il n’y avait aucune menace pour la sécurité publique ou l’environnement, due à la fermeture du réacteur nucléaire de Zaporijia, depuis une semaine. Mais, vu le peu de détails diffusés sur la nature de l’incident, et étant donné le manque de fiabilité totale du régime et son absence de scrupules dans d’autres domaines, il y a des raisons d’être extrêmement sceptique.
En outre, les autorités de Kiev ont signalé l’arrêt plus de cinq jours après l’accident. Une telle incompétence fantasque est typique de ce régime. Après tout, dans un accès de bizarrerie sans précédent, il a nommé trois ressortissants étrangers, y compris un citoyen américain, à son cabinet ministériel. Mais pourquoi cette discrétion apparente sur l’accident nucléaire ? Que cache-t-elle ?
Rappelons aussi que c’est le pays qui a infligé le pire accident nucléaire au monde lorsque le réacteur de Tchernobyl a explosé en avril 1986. Cette catastrophe a entraîné des milliers de décès dûs au cancer, la contamination radioactive de grandes parties de la Russie et de l’Europe occidentale, et des dégâts estimés à 18 milliards de dollars.
La centrale nucléaire de Zaporijia, contrainte de fermer le 28 novembre, est située sur le fleuve Dniepr dans le sud de l’Ukraine. Elle est non seulement la plus grande centrale dans le pays, elle est également la plus grande centrale en Europe, avec une puissance de 6000 mégawatts. L’Ukraine dépend de quatre centrales nucléaires qui fournissent environ la moitié de ses besoins en électricité.
L’installation de Zaporijia est de loin le plus grand producteur de ces quatre sites nucléaires, selon la World Nuclear Association. Equipé de six réacteurs, elle fournit plus de 20 % des besoins totaux en électricité de l’Ukraine. Le récent arrêt se serait produit dans l’unité 3, un des plus anciens des six réacteurs, commandé en 1987 et approchant de la fin de sa durée de vie de 30 ans.
(suite en dessous:)
Lors d’une conférence de presse donnée ce mercredi, cinq jours après la panne de la centrale de Zaporijia, Volodymr Demchishin, le ministre de l’énergie récemment nommé, a déclaré que le problème a été « causé par un court-circuit dans le système de prise de courant ». Il a affirmé que la panne n’était pas liée au système de production d’énergie. Eh bien, nous devons le croire sur parole.
RépondreSupprimerLe ministre a ajouté avec une certaine hésitation: « Je pense que le problème aura été résolu ce vendredi » [une semaine après l'arrêt].
Demchishin a maintenu qu’il n’y avait aucune fuite radiologique due à l’incident [1]. Cette évaluation semble être soutenue par un organisme de surveillance français. Reuters a rapporté: « L’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) français a dit qu’on n’avait pas détecté de radioactivité inhabituelle en Ukraine ».
Les rapports d’autres médias sur cet accident nucléaire soutiennent qu’un transformateur électrique a sauté, entraînant un arrêt de la production d’électricité, alors que le réacteur a continué de fonctionner normalement. Cela suggère que l’arrêt a été causé par une surtension électrique inattendue.
Alors que le régime de Kiev prétend que rien de fâcheux ou de dangereux ne s’est produit, le fait est que le pays doit nécessairement s’appuyer davantage sur ses installations nucléaires pour générer suffisamment d’électricité, d’autant plus qu’on est au début de l’hiver.
Les deux autres principales sources de combustibles pour la production d’électricité en Ukraine sont le charbon et le gaz, qui représentent respectivement environ 40 % et 10 % de la production totale.
Toutefois, les approvisionnements en charbon et en gaz sont gravement perturbés suite à la guerre que le régime de Kiev mène contre l’Ukraine orientale, et à cause de son hostilité envers la Russie. Plus de 80 pour cent de toutes les mines de charbon de l’Ukraine sont situées dans les régions orientales du Donbass, qui sont sous le contrôle des républiques autoproclamées séparatistes de Donetsk et Lougansk.
Le régime de Kiev est à court de stocks de charbon, ses réserves ayant diminué du quart, selon certains médias, et cette pénurie est due au conflit qu’il a déclenché contre la population dissidente du Donbass en avril de cette année. Les projets récents du régime de Kiev d’importer du charbon d’Afrique du Sud et de Pologne ont également dû être annulés, en partie parce que la qualité du charbon de ces pays ne convient pas aux centrales thermiques de l’Ukraine. Les stations ont été conçues pour fonctionner à partir de l’anthracite typique des mines du Donbass. Un autre obstacle découle des litiges dus au non-paiement des importations par le régime de Kiev. Personne ne sera surpris, étant donné l’attitude intolérable du régime de recevoir sans rien donner.
(suite en dessous:)
Les dépenses militaires massives engendrées par l’assaut du régime contre le Donbass, depuis sept mois, ont exacerbé les problèmes budgétaires et ont augmenté la dette extérieure du pays. De plus, les dettes impayées de gaz à la Russie pour un montant de 5 milliards de dollars, ainsi que l’hostilité déclarée contre Moscou, ont entravé l’approvisionnement en gaz naturel venant de son partenaire commercial russe, historiquement très important.
RépondreSupprimerLe résultat inévitable est que le régime de Kiev, qui s’est emparé du pouvoir par un coup d’État illégal soutenu par l’Occident en février dernier, a créé une crise énergétique aiguë dans le pays, par ses propres politiques hostiles insensées. La Voix de l’Amérique a rapporté cette semaine que le régime a imposé des délestages dans de nombreuses villes à travers l’Ukraine, afin de maintenir les approvisionnements, de plus en plus limités, en électricité. Avec des températures bien au-dessous du point de congélation, la crise de l’énergie ne peut que s’aggraver.
Cela entraîne une plus grande dépendance à l’énergie nucléaire et à la centrale géante, en particulier de Zaporijia. On peut logiquement supposer que les autorités de Kiev poussent les centrales nucléaires à leur capacité maximale d’exploitation, afin de compenser la baisse désespérée dans la production d’électricité (un cercle vicieux que le régime a lui-même créé).
Autant qu’on puisse en juger, l’arrêt sur le site de Zaporijia ne semble pas avoir été le résultat d’une fusion dans le réacteur nucléaire. Mais l’ensemble des centrales nucléaires étant poussé à leur capacité maximale, et peut-être même au-delà, le danger d’un événement catastrophique est de plus en plus probable.
Avec le plein appui de Washington et de Bruxelles, le régime de Kiev, dirigé par des démagogues irresponsables, comme le Premier ministre soutenu par la CIA, Arseni Iatseniouk, et l’oligarque-président, Petro Porochenko, a déjà déclenché une série de catastrophes. Plus de 4 000 personnes sont mortes dans l’assaut militaire de Kiev contre d’autres Ukrainiens, et jusqu’à un million sont devenus des réfugiés.
L’armée de Kiev a lancé des bombes à fragmentation, illégales selon le droit international, sur des zones civiles et déploie des bataillons paramilitaires néo-nazis qui ont commis des crimes de guerre de façon systématique. Un avion civil a été abattu en juillet dernier, provoquant la mort des 298 passagers, très probablement suite aux machinations militaires de Kiev. L’économie et l’infrastructure de l’Ukraine ont été détruites, l’impact de celles-ci étant aggravé par le blocus économique de Kiev contre les régions de l’Est (une punition collective considérée comme un crime de guerre, selon le tribunal de Nuremberg).
Doit-on s’attendre à une catastrophe nucléaire ? Nous ne devrions pas être le moins du monde surpris, car ce régime, parrainé par l’Occident, est un désastre permanent voué à l’effondrement.
n (strategic-culture.org, anglais, 07-12-2014)
http://www.vineyardsaker.fr/2014/12/13/le-regime-de-kiev-un-desastre-en-attente-de-leffondrement/#more-8945
L'Allemagne va avoir besoin du gaz pour les 70 prochaines années
RépondreSupprimer12 décembre 2014 16:38
Le plan de l'Allemagne de supprimer progressivement l'énergie nucléaire pour passer aux énergies renouvelables en 2022 est irréaliste, car le pays est voué à rester dépendant des combustibles fossiles comme le pétrole et le gaz pour les 70 prochaines années, expert en énergie Matthias Dornfeldt dit à RT
Les énergies renouvelables ne peuvent remplacer les combustibles fossiles du jour au lendemain parce qu'il n'y a pas assez d'infrastructures, a déclaré Dornfeldt dans une interview avec RT Il croit que le XXIe siècle sera le siècle du gaz, que le XXe siècle fut le siècle du pétrole.
"Nous allons être dépendante du pétrole, ainsi que sur le gaz, selon moi, pour les prochaines 50, 60, 70 années", a-t-il ajouté, il n'y a "un impact énorme des énergies fossiles sur l'économie nationale en Allemagne".
Ses commentaires font écho à une étude mercredi par l'Institut fédéral de géosciences et de ressources naturelles (BGR) Cela dit le Qu'allemagne resterait dépendante des combustibles fossiles pendant des décennies.
Pétrole, gaz naturel, charbon et lignite représentent 80 % de la consommation énergétique allemande. Plan de match de l'Allemagne pour passer aux énergies renouvelables, appelées Energiewende et le Plan d'Action National récemment approuvés pour l'efficacité énergétique à la recherche très irréaliste, le rapport ajouté.
Suite à la catastrophe de 2011 à la centrale nucléaire de Fukushima au Japon, gouvernement de Merkel s'est engagée à éliminer progressivement l'énergie nucléaire d'ici 2022 et obtenir 80 % de son énergie à partir de sources renouvelables d'ici 2050. Le pays devra nouvelles infrastructures énergétiques, y compris les nouvelles centrales électriques, lignes de transmission et stockage d'énergie supplémentaire.
Bien que certains des scientifiques observent les tentatives du gouvernement pour réduire les émissions avec scepticisme, il espère inverser cette tendance avec le Plan d'Action sur la Protection du climat il passé plus tôt en décembre. Le plan propose comme objectif de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 40 % par rapport aux niveaux de 1990 d'ici 2020.
L'Allemagne est encore loin d'atteindre son objectif. Même la production de pétrole en Allemagne, qui est faible par rapport avec les gros producteurs internationaux, contribue davantage à la production d'énergie que tous les équipements photovoltaïques domestique mis en place, selon l'étude BGR.
En 2014 la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique de l'Allemagne est passée de 5 % par rapport à l'année précédente.
http://rt.com/business/213963-germany-gas-renewable-energy/
SupprimerMais que cherche donc à faire Merkel à l'Allemagne ??!
Non seulement elle s'est refusé de commenter intelligemment l'accident de Fukushima en 2011 pour cause d'omerta sur les accidents qui peuvent survenir de partout dans le monde parce que TOUTES les centrales nucléaire ont les mêmes défauts ! mais, plus encore, elle a décidé de tuer des millions de gens avec les particules cancérigènes du charbon qui inondent la France de Biarritz à Monté-Carlo, de l'Espagne en Italie et l'Afrique du Nord ! et, de plus, prévoirait d'être 'encore là' jusqu'en 2084 !
Qui a dit qu'Hitler était mort ?
Les USA dépenseront en 2015 pour la défense plus que tous les pays de l'UE, la Russie et la Chine
RépondreSupprimerPar La Voix de la Russie
Le Sénat américain, après la Chambre des représentants a approuvé le budget pour les besoins militaires de Washington en 2015. C'est au président de dire le dernier mot. 514 milliards de dollars seront versés dans le cadre de ce projet de loi aux dépenses du Pentagone et aux programmes militaires du ministère de l'Énergie qui est responsable de la sécurité des armes nucléaires. Environ 64 milliards de dollars seront consacrés à des opérations militaires en Afghanistan, en Irak et en Syrie.
Le pays a également trouvé des fonds pour préserver la prison spéciale de Guantanamo. Barack Obama avait l’intention à maintes reprises de la fermer, mais le Congrès a refusé d'allouer des fonds. Le montant total du projet de financement de la défense dépasse les dépenses militaires de tous les pays de l'UE, de la Russie et de la Chine.
http://french.ruvr.ru/news/2014_12_13/Les-USA-depenseront-en-2015-pour-la-defense-plus-que-tous-les-pays-de-lUE-la-Russie-et-la-Chine-7968/
Susan George : « Le pouvoir des transnationales, illégitime et non élu, veut en finir avec la démocratie »
RépondreSupprimerLucie Fougeron, Cyprien Boganda, Dominique Sicot
13 décembre 2014
Dans l’Humanité Dimanche. « Nous sommes cernés. » Ainsi débute le nouvel ouvrage de Susan George, les Usurpateurs. Comment les entreprises transnationales prennent le pouvoir. Fidèle à la méthode du dévoilement qu’elle éprouve depuis son premier livre, Comment meurt l’autre moitié du monde, ce 17e opus pose la question de la légitimité des détenteurs du pouvoir dans la mondialisation, en montrant les rouages de l’émergence d’une « autorité illégitime » qui s’ingère dans les affaires internationales grâce à des moyens impressionnants. Présidente d’honneur d’ATTAC France et présidente du conseil du Transnational Institute, poursuivant son combat contre la mondialisation capitaliste, elle met au jour la cohorte d’individus et d’entreprises mus par leurs seuls intérêts, et qui, s’immisçant dans les traités de libre-échange, se substituent à l’autorité issue du fonctionnement démocratique. Entretien.
HD. Dans votre ouvrage Les Usurpateurs, vous vous qualifiez de « chercheur militant », quel sens cela a-t-il pour vous ?
Susan George : Les chercheurs en sciences sociales sont nécessairement de parti pris du fait de leur champ d’études. En outre, j’ai toujours été de ceux qui étudient le pouvoir. Dans mon premier livre (Comment meurt l’autre moitié du monde, 1976 – NDLR), je donnais un conseil : n’étudiez pas les pauvres, ils savent déjà ce qui ne va pas pour eux. Mais si vous voulez les aider, travaillez sur ceux qui les maintiennent dans cette situation. C’est ce que je m’efforce de faire.
HD. Vous écrivez : « Nous sommes minoritaires ? Tant mieux ! » Pourquoi cela ?
Susan George : Ce sont toujours les minorités qui ont les bonnes idées, et souvent il faut un temps très long pour que d’autres prennent conscience de cette idée, puis s’engagent, ou tout au moins ne s’y opposent plus.
HD. C’est donc une raison d’espérer ?
Susan George : Je crois à ce que les scientifiques appellent la criticalité auto-organisée : un système physique ou chimique arrive à un point où sa configuration va changer, sans qu’on puisse dire quel grain de sable va susciter ce changement. Cela me semble fonctionner aussi en sciences sociales, en histoire... L’exemple le plus récent, c’est l’immolation par le feu de Mohamed Bouazizi en 2010 en Tunisie, qui a déclenché une révolution qui continue... Il me semble que l’on se rapproche de ce type de moment critique.
HD. Votre ouvrage est sous-titré : « Comment les entreprises transnationales prennent le pouvoir ». Ce terme de « transnationale » n’est pas couramment utilisé en France. De quoi s’agit-il ?
Susan George : Je parle d’entreprises « transnationales » (ETN) – c’est d’ailleurs la terminologie des Nations unies –, plutôt que « multinationales » car leurs dirigeants sont très majoritairement de la nationalité du pays où est situé leur siège social. Ainsi, on peut dire que Total est français, Nestlé est suisse, Siemens est allemand, etc. S’ils sont tout à fait capables de licencier massivement dans les usines de leur « patrie », comme ailleurs, ils ont un ancrage social, politique et culturel dans leur pays d’origine, ils ont les codes pour naviguer dans ce cosmos et servir les intérêts de leur entreprise.
(suite en dessous:)
HD. Vous dites que ces ETN partagent un jargon et des ambitions, mais aussi une idéologie...
RépondreSupprimerSusan George : Le néolibéralisme et la mondialisation néolibérale les ont vraiment renforcées. Juste un exemple : le rapport sur la compétitivité et la croissance en Europe rédigé par Jean- Louis Beffa (administrateur de Saint-Gobain et membre de plusieurs conseils d’administration) et Gerhard Cromme (Siemens, ThyssenKrupp), à la demande de Hollande et Merkel, en 2013, est devenu un véritable évangile. Si les économistes peuvent donner plusieurs sens à la compétitivité, eux n’en parlent qu’en termes de réduction du « coût du travail ». Et désormais, elle n’a plus que ce sens... alors que peu de monde s’interroge sur le coût du capital...
HD. Vous montrez que les ETN constituent aujourd’hui la première puissance collective mondiale, loin devant les gouvernements, dont vous précisez qu’ils leur sont trop souvent inféodés...
Susan George : Une étude de trois chercheurs de Zurich (Stefania Vitali, James Glattfelder, Stefano Battiston – NDLR) a montré comment 147 « super-entités » dominent l’économie mondiale. Et les ETN se sont organisées dans ce but. Le lobbying vise à obtenir la législation qui est bonne pour l’entreprise en question. Cela existe toujours – le plus puissant, celui de la santé, représente en 2013 un budget de 129 millions de dollars (104,7 millions d’euros). Mais depuis une vingtaine d’années se développent des coalitions par industrie, par branche, qui visent à obtenir des changements d’une tout autre ampleur. Elles font en sorte d’être là où les choix sont faits, là où on élabore, selon leurs désirs, l’avenir. Cela culmine dans le projet de traité transatlantique où elles se concentrent sur la régulation – les protections, en fait – concernant l’environnement, les consommateurs, la santé publique... Cela va toucher la vie quotidienne de plus de 800 millions de personnes.
HD. Comment en est-on arrivé là, d’autant plus dans le cadre de régimes démocratiques ?
Susan George : C’est le grand mystère... Pourquoi les gouvernements cèdent-ils aux sirènes et à l’influence des transnationales, sauf s’ils sont complètement prisonniers de leur propre idéologie – le néolibéralisme –, presque pour tous maintenant ? Les ETN apparaissent alors comme représentant les intérêts de la France ! Ce qui est complètement faux, comme ailleurs en Europe, car ce sont les PME-PMI qui fournissent très majoritairement l’emploi. Or, on les laisse en déshérence, comme le montre le rapport trimestriel de la BCE qui interroge les 130 banques les plus importantes sur leurs pratiques de prêts aux PMEPMI : depuis 2007, elles leur ont prêté moins et ont durci les termes du crédit. C’est là qu’il faut agir, et pas en chouchoutant les ETN !
HD. Ces transnationales ont réussi à dicter deux projets de traités – transatlantique et transpacifique – qui vont complètement remodeler les échanges mondiaux. Quelles en seront les conséquences ?
Susan George : Tout simplement la mise en danger de la démocratie, en particulier par deux biais. D’une part, elles se sont emparées du pouvoir judiciaire, dans le cadre des litiges opposant entreprises et États, en remplaçant les tribunaux par des cours d’arbitrage privées qui permettent à une entreprise de porter plainte contre un gouvernement pour n’importe quelle loi ou décision de justice qui peut altérer ses profits, actuels ou futurs. Un gouvernement va y regarder à deux fois avant de faire voter une loi visant à améliorer la propreté de l’eau ou à limiter les gaz à effet de serre, qui risquera de lui coûter des milliards en indemnisation.
(suite en dessous:)
D’autre part, il y a la question de la régulation, cruciale pour les échanges commerciaux, avec en ligne de mire leur fluidification censée relancer la croissance, les économies réalisées par les entreprises devant profiter aux consommateurs... Libre à chacun de croire à cette fable. Ce qui va être fait n’est pas encore très clair, et j’explique dans ce livre les enjeux et les scénarios qu’il faut avoir bien en tête. Les transnationales mènent une attaque contre les trois pouvoirs, législatif, judiciaire et exécutif.
RépondreSupprimerHD. Les initiatives d’alerte s’amplifient concernant les dangers que ces projets recèlent pour la santé et l’environnement. En est-il de même pour la question du travail ?
Susan George : C’est encore difficile. Les syndicats étasuniens pensent qu’il faut négocier car cela leur permettrait d’améliorer leurs conditions et d’avoir plus de lois. Les États-Unis n’ont pas ratifié les conventions du BIT (Bureau international du travail), et la moitié des États ont des lois antisyndicales... Mais là encore, c’est l’« harmonisation » par le bas que visent les ETN. Un exemple : Veolia a porté plainte contre l’Égypte, qui aurait violé le contrat passé en augmentant le salaire minimum ! La sensibilisation des syndicats commence, en Irlande, en Espagne...
HD. Certains lieux de pouvoir sont ignorés du grand public. Vous évoquez l’exemple de l’IASB...
Susan George : Il s’agit de l’International Accounting Standards Board, ou Bureau international des normes comptables, créé au début des années 2000. À l’époque, l’Union européenne avait mobilisé un groupe de conseillers issus presque exclusivement des quatre principaux cabinets d’expertise comptable mondiaux (KPMG, PwC, Ernst & Young et Deloitte). Il s’agissait d’harmoniser les normes des pays européens. L’IASB a depuis acquis un pouvoir très important, puisqu’il décide désormais de normes comptables applicables en Europe, dans les BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine) et dans bien d’autres pays en développement. Tant que les transnationales ne seront pas soumises à des normes de comptabilité et de déclaration fiscales « pays par pays », elles pourront échapper à l’impôt en toute légalité, en jouant sur la localisation de leurs profits.
HD. Vous consacrez des pages édifiantes à ce qui se passe aux Nations unies...
Susan George : Je raconte comment les transnationales cherchent à étendre leur influence au sein de l’ONU. Dès les années 1980-1990, leurs représentants ont commencé à s’inviter au sein de conférences internationales que l’ONU organisait. Elles prétendent remédier à la supposée « incompétence » des États. Elles participent à tous les groupes de travail réfléchissant aux problèmes actuels et futurs de l’humanité : réchauffement climatique, protection des océans, etc. À l’image des sommets de Davos, ces groupes sont toujours composés de quelques émissaires des gouvernements, quelques professeurs et beaucoup de représentants de l’industrie. Il est assez stupéfiant de voir Bill Gates prendre la parole à l’assemblée générale de l’Organisation mondiale de la santé ! Il n’y a plus aucune limite.
(suite en dessous:)
HD. Comment expliquer ce « dysfonctionnement » ?
RépondreSupprimerSusan George : Le politique a été complètement phagocyté par ce nouveau pouvoir qui est celui des transnationales, un pouvoir non légitime parce que non élu. Dans le même temps, la valeur actionnariale a été érigée en vertu cardinale. Pour les multinationales, les travailleurs ne créent pas de valeur. Seul le capital en crée. Ce principe explique tout leur mode de fonctionnement.
HD. Comment qualifier cette prise de pouvoir ? De complot ?
Susan George :Je ne crois pas aux conspirations. Je crois en revanche à l’existence de groupes d’individus ou d’entreprises qui cherchent avant tout à défendre leurs intérêts. Ils disposent pour cela de moyens colossaux.
HD. Comment reprendre le pouvoir face aux « usurpateurs » ?
Susan George : La connaissance est un préalable à l’action. C’est pourquoi j’ai cherché à mettre au jour les rouages de cette prise de pouvoir. Ensuite, de nombreuses associations et organisations ont leur rôle à jouer. Les syndicats de magistrats peuvent mettre leur grain de sable dans les rouages des mécanismes d’arbitrage, les associations de consommateurs tenter de contrer telle ou telle norme imposée par les lobbies industriels, les ONG multiplier les pétitions... À ce jour, notre appel pour dire « stop au TAfTA » (Transatlantic free Trade Agreement – NDLR) a été signé par 750 000 personnes. Il faut que des millions d’Européens se joignent à ce mouvement et s’élèvent contre ce traité.
Susan George : Les Usurpateurs. Comment les entreprises transnationales prennent le pouvoir. Le Seuil, 2014, 192 pages, 17 euros.
Face à la complexité des grandes manoeuvres en cours, incarnées dans les traités stratégiques dont les noms – TAFTA, pour Transatlantic Free Trade Agreement (ou accord de libre-échange transatlantique) et TTIP, pour Transatlantic Trade and Investment Patrnership (ou partenariat transatlantique de commerce et d’investissement) – sont déjà tout un programme, Susan George guide ses lecteurs dans les méandres opaques d’une véritable mutation politique. Cet ouvrage, riche d’exemples édifiants, est un outil d’information et de combat. Dans la lignée de ses travaux de « chercheur militant » – de son best-seller, en 1976, Comment meurt l’autre moitié du monde à Cette fois, en finir avec la démocratie. Le rapport Lugano II (2012) –, elle se bat, aux côtés d’autres, pour que les citoyens, alertés des conséquences de ce démantèlement de l’intérêt public, rejoignent la mobilisation. Le site du Transnational Institute (Amsterdam) : www.tni.org (en anglais et en espagnol).
http://www.legrandsoir.info/susan-george-le-pouvoir-des-transnationales-illegitime-et-non-elu-veut-en-finir-avec-la-democratie.html
L'article partait pourtant bien puis pffit ! çà vaut pas un pet de lapin !
Supprimer(...) Susan George : C’est le grand mystère... Pourquoi les gouvernements cèdent-ils aux sirènes et à l’influence des transnationales (...) HAHAHAHAHA ! Bêh, quand on en sait pas plus que çà on ferme se g... !
Huile de baisse des prix - les avantages et les coûts
RépondreSupprimerPrix de l'énergie de culbutage peuvent sembler comme une pure aubaine - mais les mauvaises nouvelles peuvent l'emporter sur le bien
Par Jeremy Warner
6:40 AM GMT 12 décembre 2014
Voici une statistique étonnante. Depuis juillet, le grand saut dans le prix du pétrole a conçu un transfert net du revenu des producteurs d'énergie aux consommateurs, d'une valeur de clôture sur $ 1,5 billions par année. Le chiffre est atteint en compte la diminution du prix du pétrole – environ $42 – et en multipliant par la demande mondiale – environ 94 millions de barils par jour. Ajouter le coût baisse de charbon et de gaz naturel, et les transferts nets sont encore plus élevé – éventuellement quelque chose équivalent à la totalité PIB annuel de l'Angleterre.
Non pas que vous allez nécessairement voir cela dans vos factures de carburant. Déjà les gros utilitaires de Grande-Bretagne vont être alignant leurs excuses pour ne pas avoir la main sur toute l'étendue de ces chute des prix mondiaux ; contrats à terme à long terme bon nombre d'entre eux seront verrouillé dans des prix beaucoup plus élevés que désormais la règle.
Le même est vrai des compagnies aériennes, où les coûts de carburant sont une part importante du prix global d'un billet ; beaucoup auront déjà acheté leur carburant vers l'avant à un niveau supérieur. Il y a une grande différence entre le prix actuel pour le pétrole et le gaz et celle de nombreux grands utilisateurs sont confiées à payer.
Néanmoins, pour l'économie mondiale dans son ensemble, le grand saut dans le prix du pétrole – en faisant glisser les autres coûts de l'énergie avec lui – est un événement sismique et potentiellement transformationnel. Vers le bas des décennies, nous avons vu de nombreux bouleversements sur les marchés du pétrole, mais très peu à comparer avec la vitesse et la profondeur de la dernière correction. C'est comme les chocs pétroliers des années 70, seulement dans le sens inverse, avec des conséquences – beaucoup d'entre eux imprévisible – qui peuvent être d'un ordre de grandeur similaire.
Jusqu'à présent, la plupart des commentateurs ont tendance à se concentrer sur les aspects positifs de ce phénomène. Théoriquement, la chute des prix du pétrole devraient être puissamment relance, laissant plus d'argent dans les poches des entreprises et des consommateurs, comme le ferait une réduction d'impôt de même taille. Sur le plan positif, selon où vous vous situez, la diapositive de prix huile supprime également une puissante source d'inflation des prix atout.
(suite en dessous:)
Éloignement des excédents de pétrole du Golfe et de la Russie : moins d'argent pour les actions, d'obligations et propriété de Londres de haut de gamme, et achète des obligations. Les excédents qui seraient autrement ont gonflé les fonds souverains des producteurs pétrolières devraient plutôt s'appliquer à la demande des consommateurs occidentaux. Achat de cette semaine de New Scotland Yard par groupe financier d'Abu Dhabi pour 370 millions de livres peut-être provenir d'être considéré comme quelque chose d'un dernier hourra de Londres du Moyen-Orient frénésie de dépenses.
RépondreSupprimerSur le chemin vers le haut, le prix du pétrole a été une force terriblement destructrice, apportant quelques économies au bord même de la récession avant même que l'effondrement de la calamité de la Lehman Brothers et agir comme un frein puissant à la récupération par la suite. Eh bien maintenant, c'est l'autre manière autour – en théorie, au moins.
Malheureusement, il y a aussi une manière alternative et plus sombre de la regarder ; loin d'être une aubaine, le prix de bas niveau d'huile peut être symptomatique de quelque chose de beaucoup plus troublant. Que ce soit un prix beaucoup plus bas de l'huile se révèle pour être un net positif, ou au contraire quelque chose de plus sinistre, dépend de ce qui est la cause. Si c'est un cyclique, ou côté alimentation phénomène causé par des investissements excessifs dans les nouvelles sources de production, puis l'effet aurait sur l'équilibre d'être largement positif, au moins pour les économies de consommation. Mais si la chute des prix sont plutôt un reflet de la demande soumise, puis il est susceptible d'être beaucoup moins. Le gros souci est qu'il est un peu plus de ce dernier que l'ancien.
Certes, il y a eu un certain nombre de surprises positives côté offre. Jusqu'à tout récemment, peu apprécié tout à fait l'ampleur de la révolution américaine de schiste deviendrait. Le prix élevé du pétrole de favoriser ces dernières années un tsunami de nouveau développement. Approvisionnement libyen et irakien a également été beaucoup moins mal perturbée par la guerre civile que pourrait avoir été prévu. Malgré tout, l'excès d'alimentation est presque hors de l'échelle, et dans tous les cas, il reste vulnérable aux autre mésaventure au Moyen-Orient.
En outre, il y a quelques grands Paris spéculatives contre l'huile de nos amis de gestionnaire de hedge funds dans Mayfair et au-delà. Ceux-ci ont déjà abouti à de grandes récompenses. Qu'ils soient inversées, la pression à la baisse sur les prix auraient dû faciliter. Marchés toujours remettre les gaz, et il est fort possible que nous sommes déjà dans cette phase.
L'explication la plus troublante, cependant, est que le bas prix est simplement une représentation équitable de l'État ayant une déficience de la demande mondiale, avec l'Europe plat comme une crêpe et ralentissement rapide de la Chine. L'ampleur du ralentissement de la Chine a presque certainement été sous-estimée par les observateurs plus à l'Ouest, avec un atterrissage dur maintenant une nette possibilité après des années de surinvestissement et excès spéculatifs.
(suite en dessous:)
La Chine a été la plus grande source unique de la demande de pétrole supplémentaires durant la dernière décennie ; retirer, et la dynamique de l'ensemble du marché change fondamentalement. Dur atterrissage ou non, la Chine a également inscrit une phase moins axée sur le pétrole de développement. Ce qui est plus, années de prix élevés ont débloqué innombrables technologies innovantes dans le secteur de l'énergie et des sources d'approvisionnement alternatives potentiellement abondantes.
RépondreSupprimerEn tout état de cause, tous les trois principales organisations internationales de prévisions – l'Agence internationale de l'énergie, de l'Energy Information Administration et de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole – ont fortement réduit leurs prévisions pour la demande mondiale au cours des derniers mois.
Pour beaucoup de pays producteurs de pétrole, le prix du pétrole a fait la différence entre la survie et de l'insolvabilité. Certains ont déjà été poussés au-delà du point de ce que l'on appelle « fiscal break even », menaçant les bouleversements sociaux, politiques et économiques, mais aussi une réaction chaotique sur les marchés financiers encore du mal à se remettre de la dernière crise. La situation semble particulièrement concernant dans le contexte russe. Comme un ours appâté, Poutine pourrait prendre en réponse à ce qu'il imagine être une conspiration occidentale pour déstabiliser son pays.
Historiquement, les baisses de prix raide ont toujours été autocorrectifs à long terme. Développement de nouveau envisagé est mise, production est par ailleurs perturbé et aidée par des prix bas, demande finalement ramasse. Encore ces forces cycliques prennent le temps de s'établir. Avec les modifications structurelles profondes à le œuvre dans le marché du pétrole, ils peuvent prendre encore plus longtemps cette fois-ci.
Le grand danger est que baisse des prix de pétrole finissent par devenir retranchés. Comme consommateurs de pétrole gros, Chine et Europe devraient en théorie bénéficier grandement de prix plus bas. Encore en réduisant la facture des importations, baisse des prix augmenteront aussi sensiblement l'excédent d'exportation existant de ces deux régions, ajoutant aux déséquilibres macroéconomiques et les pressions déflationnistes dans l'économie mondiale.
Dans la zone euro, le taux d'inflation est déjà plus près de zéro que ne fait aucune différence. Le prix du pétrole chute peut causer peu de temps le taux d'aller demande déjà profondément affaiblie négative, plus déprimante. Ce qui devrait être un coup de pouce relance, en d'autres termes, rapidement risquent d'ajouter à la spirale infernale de la demande et renforcer ainsi encore le fardeau de la dette.
En résistant à ces tendances, le déficit vivrier tels que les États-Unis et le Royaume-Uni ne réussite qu'en augmentant leur vulnérabilité à la crise financière. C'est parce que les pressions déflationnistes compteur afin de l'étranger, les gouvernements doivent resort à encore plus de stimulation avec l'argent qu'ils n'ont pas.
(suite en dessous:)
Prix des matières premières très bas nous disent quelque chose – et il n'est pas tout à fait l'histoire de bonnes nouvelles, on pourrait penser. C'est plutôt que l'économie mondiale est en panne dans les décharges et aux yeux des marchés monétaires et des banquiers centraux, susceptibles de rester comme ça pendant une longue période à venir
RépondreSupprimerhttp://www.telegraph.co.uk/finance/oilprices/11288808/Falling-oil-prices-the-benefits-and-the-costs.html
Bizarre que quand le prix du baril augmente le prix à la pompe est répercuté IMMEDIATEMENT, alors que lorsqu'il baisse... de plus de moitié !!! (c'est pas une paille !) il n'est répercuté que quelques menus centimes !! Idem pour le gaz.
SupprimerLuxLeaks: un Français inculpé de vol de données et blanchiment
RépondreSupprimerle samedi 13 décembre 2014 à 8h06
L'auteur présumé de la fuite de dizaines de milliers de pages d'accords fiscaux entre le Luxembourg et des multinationales ayant déclenché le scandale LuxLeaks a été convoqué et inculpé de vol et blanchiment, a annoncé le Parquet du Luxembourg.
L'identité du prévenu n'a pas été révélée. Mais il s'agit d'un Français, ancien employé du cabinet d'audit PwC Luxembourg, selon le quotidien Luxemburger Wort. L'intéressé, qui vit en France, a été convoqué dans le cadre d'une commission rogatoire de la justice luxembourgeoise, entendu par le juge pendant quelques heures et inculpé, avant d'être libéré, précise le journal.
Le scandale LuxLeaks a éclaboussé le nouveau président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, qui était Premier ministre du Luxembourg lorsque ces accords ont été passés par l'administration fiscale du Grand-Duché.
Cette inculpation fait suite à une plainte contre X déposée par le cabinet PricewaterhouseCoopers (PwC) Luxembourg en juin 2012, après avoir découvert le vol de documents lors d'un reportage télévisé de France 2, un mois plus tôt.
Suite à la plainte de PwC, une information judiciaire avait été ouverte par le Parquet de Luxembourg. L'enquête a été relancée en novembre après les révélations de LuxLeaks par le consortium de journalistes d'investigation ICIJ.
"Dans le cadre de cette information judiciaire, il a été procédé en date de ce jour à l'inculpation d'une personne par un juge d'instruction à Luxembourg des chefs de vol domestique, violation du secret professionnel, violation de secrets d'affaires, blanchiment et accès frauduleux à un système de traitement automatisé de données", indique le communiqué du Parquet.
Une commission rogatoire internationale a été lancée en France, selon une source proche du dossier, et a débouché jeudi sur l'inculpation du suspect.
Selon les dirigeants de PwC, le vol avait été commis en septembre 2010 par un ancien employé de la firme, qui avait copié des données confidentielles, sans avoir été repéré, pendant près de deux ans, jusqu'à ce que le reportage de France 2 révèle la fuite des documents. Une enquête interne a permis d'identifier le suspect.
(suite en dessous:)
Rappel des faits
RépondreSupprimerLe scandale LuxLeaks a éclaté début novembre, quelques jours seulement après l'entrée en fonction de la Commission Juncker. S'appuyant sur quelque 28.000 pages de documents obtenus par le Consortium international des journalistes d'investigation (ICIJ), une quarantaine de journaux avaient révélé qu'entre 2002 et 2010, le Luxembourg avait passé des accords fiscaux avec 340 multinationales, dont Apple, Amazon, Ikea, Pepsi, Heinz, Verizon et AIG, afin de minimiser leurs impôts.
Une deuxième salve a été tirée mardi soir, à la veille de la prestation de serment de M. Juncker et des autres membres de la Commission. Les mêmes médias ont publié de nouvelles informations visant notamment les groupes américains Skype, Walt Disney et Koch Industries.
Ces rescrits fiscaux ("tax rulings"), qui permettent à une entreprise de demander à l'avance à un pays comment sa situation fiscale sera traitée, dans un but d'optimisation fiscale, ont été conclus entre 2003 et 2011.
Jean-Claude Juncker, qui ne cesse de promettre depuis un mois de renforcer la lutte contre l'évasion et la fraude fiscales, a de nouveau affirmé mercredi que "l'harmonisation fiscale" était une "nécessité absolue", pour ne pas être "soumis à la seule volonté des groupes qui essaient d'échapper à l'impôt".
Il est sous pression de l'opinion publique, des ONG et du Parlement européen. Mercredi, le groupe socialiste, deuxième force politique derrière les conservateurs du PPE de M. Juncker, lui a donné six mois. "Si cela n'est pas fait, notre groupe ne pourra plus lui accorder sa confiance", a averti son président, Gianni Pittella.
http://www.rtbf.be/info/societe/detail_luxleaks-l-auteur-presume-des-fuites-inculpe-de-vol-et-blanchiment?id=8566980
La vérité derrière le référendum or suisse
RépondreSupprimer09.12.2014
Par Ralph Benko
Une colonne récente dans le U.S. News & World Report, The Swiss Gold Rush par Pat Garofalo, son rédacteur en chef adjoint pour avis, est sous-titré "un coup de pouce pour l'étalon-or en Suisse est symbolique de l'aile droite montante de l'Europe". U.S. News & World Report , par les présentes descend du commentaire à la propagande. Qui édite ses rédacteurs ?
Pour commencer, le référendum suisse, décisive et sagement rejeté par les électeurs suisses, n'était pas sur « l'étalon-or. » C'était un vote sur une proposition demandant d'environ 8 % à 20 % - ce qui implique l'acquisition, plus de cinq ans, de 1 500 tonnes de réserves de sa banque centrale à augmenter son or (« coût à environ $ 56,3 milliards aux prix courants, » rapports Bloomberg), jamais à vendre de l'or et de tenir l'or de la Fédération au sein de la Suisse. Cela n'a rien à voir avec l'étalon-or.
Les suisses ont voté 77 % - 23 % pour rejeter cette proposition. Le Conseil National Suisse avait rejeté l'initiative par 156 voix contre 20, avec 22 abstentions et le Conseil des Etats, par 43 voix pour, 2 abstentions. Et l'organisation d'un référendum pourrait bien avoir été une idée mauvaise, ou au moins idiote.
Avec un PIB Suisse d'environ $ 650 milliards (USD) par an l'obligation d'acquérir 10 milliards de dollars par an de ce produit brillant et ductile emblématique bien que non négligeable, à moins de 2 % du PIB annuel, peine serait ont été paralysant. Cela dit, l'étalon-or n'était pas sur le bulletin de vote.
En ce qui concerne les marchés or eux-mêmes, selon un rapport de 2011 par le FT, faire rapport sur une étude réalisée par la London Bullion Market Association, il y avait un volume quotidien moyen de $240bn en sur le marché de Londres. Annuels mandaté acquisition Suisse, puis, apparemment se serait élevé à environ... une demi-heure de trading volume sur l'une des principales places de marché or du monde. Investissement des produits de base, cependant, n'a rien à voir avec l'étalon-or.
Démonétisé (comme à l'heure actuelle), l'or est simplement une marchandise. L'étalon-or est une qualité standard, pas une quantité standard et sur le maintien de l'intégrité de la monnaie, ne limitant pas son approvisionnement. Ce référendum suisse sur le fond n'était pas pertinent à la politique monétaire. De Forbes.com propre Nathan Lewis avec perspicacité a souligné la quantité d'or qui s'est tenue, en vertu de l'étalon-or, sous forme de réserves par les banques d'émission a fluctué considérablement et immatériellement.
Le référendum suisse a généré un minimum d'attention internationale et de nombreuses critiques. Le référendum a présenté, en fait, comme erronée. Il ne pas, cependant, même implique un rétablissement de l'étalon-or beaucoup moins prouver lui-même, tel que Garofalo, présenté comme un symptôme de « Aile de droite montante de l'Europe. »
(suite en dessous:)
Garofalo a déclaré que « l'étalon-or est l'idée que la masse monétaire d'une nation devrait être liée à or, plutôt que d'être entièrement contrôlés par sa banque centrale ». Ce n'est même pas une approximation grossière de l'étalon-or. L'étalon-or détient tout simplement que la valeur d'une monnaie est dØfinie par et légalement transformables, un poids fixe d'or.
RépondreSupprimerGarofalo implique et cite d'autres écrivains qui prétendent, que l'étalon-or a contraint la masse monétaire. Pas le cas. Comme Nathan Lewis a souligné, par exemple, de 1775 à 1900 la quantité d'or dans le système monétaire américain a augmenté de 3,4 x si la monnaie a augmenté de 163 x sans provoquant une dépréciation de valeur de la monnaie.
L'étalon-or est une norme non quantitative, qualitative. Il n'imposent pas de croissance de la masse monétaire, simplement il étalonnage raisonnablement bien (quoique imparfaitement, la perfection n'ayant jamais été atteinte par tout système monétaire) à la demande de monnaie de l'économie réelle. Lewis :
entre 1880 et 1900, la base monétaire en Italie en fait diminué de 4,8 %. Toutefois, le monétaire de base dans le U.S. a augmenté de 81 % sur ceux mêmes années. Les deux utilisés systèmes d'étalon-or. Donc, la « masse monétaire » a non seulement aucune relation avec la production aurifère, mais les deux pays peuvent avoir des résultats très différents au cours de la même période de temps.
Quant à savoir si l'étalon-or est supérieur à gestion fiduciaire, il y a des preuves abondantes que la nature organique de l'étalon-or surpasse constamment la nature synthétique de discrétion de la Banque centrale. Garofalo fait référence à un sondage de 40 économistes académiques qui écartent l'étalon-or (il est vrai que démodé).
Dans la critique de la performance de l'étalon-or, Garofalo s'appuie sur l'AtlantiqueMatt O'Brien.
En effet, lorsqu'elle était en vigueur, l'étalon-or a apporté avec elle une foule d'effets négatifs, et comme Matt O'Brien écrivait dans l'Atlantique, "a été un dispositif diabolique pour transformer les récessions dans les dépressions ». Il veille à ce qu'une banque centrale ne peut répondre à une crise en mettant plus d'argent dans le système financier, graisser les rouages de l'économie, puisque la masse monétaire est limitée par un facteur extérieur.
En ce qui concerne une autre célébrité qui invoque Garofalo, Nouriel Roubini, son hystérie mal fondée sur l'étalon-or a été critiqué ici et ici. O ' Brien et Roubini ont droit à leurs propres opinions, mais pas à leurs propres faits.
Comme historien de l'économie professeur Brian Domitrovic, chez Forbes.com, concerne également, l'étalon-or avait rien à faire avec Panics et bustes,
En regardant leXIXe siècle, avant que l'étalon-or est devenu un fantôme, une lettre-morte dans le début de l'ère de la réserve fédérale de 1913-33, rien ne prouve que la bonne vieille chose était impliquée dans aucune panique ou le buste.
(suite en dessous:)
Plutôt que de compter sur les commentateurs et universitaires, pro ou anti-or, il pourrait être pertinent de se tourner vers les pensées des banquiers centraux. Herr Dr. Jens Weidmann, Président de la Bundesbank, dans un 2012 discours or appelés "dans un sens, un classique intemporel".
RépondreSupprimerEt Garofalo ne fait aucune référence à la 2011 Bank of England papier de stabilité financière n° 13, résumés et un lien hypertexte par Forbes.com collaborateur Charles Kadlec ici. Cette étude réalisée par la Banque d'Angleterre prudentielle - pas pour rien, appelée « la vieille dame de Threadneedle Street » - fournit qu'une évaluation empirique de l'approche de gestion fiduciaire a inauguré par les présidents Johnson et Nixon et, au moment de l'étude, en vigueur depuis 40 ans.
Papier de stabilité financière n° 13 contraste le rendement réel de l'économie mondiale au titre des protocoles Johnson/Nixon par rapport à l'étalon de change-or de Bretton Woods et l'étalon-or classique. L'analyse de la Banque d'Angleterre, basé sur des données empiriques, conclut que la gestion fiduciaire grandement sous-performé (pour la croissance économique, stabilité financière, inflation, récession et toutes les autres catégories évaluées) les systèmes de son prédécesseur.
Garofalo cite légitimement le poids d'élite académique d'avis économique contre l'étalon-or out-of-fashion. Cela dit, cette collection août des économistes, peu voire aucun d'entre eux prévoyaient la panique de 2007 et la récession qui a suivi, semblent être guidé par la devise de l'ancien trésorier US Ivy Baker du prêtre, « Souvent mal, jamais dans le doute. » Les lecteurs méritent d'être fourni avec le poids de la preuve, à compléter au moins, le poids de l'opinion élite.
Plus troublant sont les insinuations de Garofalo liant les promoteurs d'étalon-or à la politique de « droite » sinistre. Il n'y a pas de corrélation significative entre le plaidoyer pour l'étalon-or et, par exemple, les sentiments anti-immigrés. J'ai, un partisan de l'étalon-or, suis tout à fait officiellement pour une politique d'immigration généreuse, y compris, (y compris un chemin d'accès à la nationalité pour les étrangers sans papiers). Est donc les principes en Action américain, plus importante groupe de défense de l'étalon-or à Washington, DC, (que je conseille professionnellement).
Garofalo implique et cite d'autres écrivains qui prétendent, que l'étalon-or a contraint la masse monétaire. Pas le cas. Comme Nathan Lewis a souligné, par exemple, de 1775 à 1900 la quantité d'or dans le système monétaire américain a augmenté de 3,4 x si la monnaie a augmenté de 163 x sans provoquant une dépréciation de valeur de la monnaie.
L'étalon-or est une norme non quantitative, qualitative. Il n'imposent pas de croissance de la masse monétaire, simplement il étalonnage raisonnablement bien (quoique imparfaitement, la perfection n'ayant jamais été atteinte par tout système monétaire) à la demande de monnaie de l'économie réelle. Lewis :
(suite en dessous:)
entre 1880 et 1900, la base monétaire en Italie en fait diminué de 4,8 %. Toutefois, le monétaire de base dans le U.S. a augmenté de 81 % sur ceux mêmes années. Les deux utilisés systèmes d'étalon-or. Donc, la « masse monétaire » a non seulement aucune relation avec la production aurifère, mais les deux pays peuvent avoir des résultats très différents au cours de la même période de temps.
RépondreSupprimerQuant à savoir si l'étalon-or est supérieur à gestion fiduciaire, il y a des preuves abondantes que la nature organique de l'étalon-or surpasse constamment la nature synthétique de discrétion de la Banque centrale. Garofalo fait référence à un sondage de 40 économistes académiques qui écartent l'étalon-or (il est vrai que démodé).
Dans la critique de la performance de l'étalon-or, Garofalo s'appuie sur l'AtlantiqueMatt O'Brien.
En effet, lorsqu'elle était en vigueur, l'étalon-or a apporté avec elle une foule d'effets négatifs, et comme Matt O'Brien écrivait dans l'Atlantique, "a été un dispositif diabolique pour transformer les récessions dans les dépressions ». Il veille à ce qu'une banque centrale ne peut répondre à une crise en mettant plus d'argent dans le système financier, graisser les rouages de l'économie, puisque la masse monétaire est limitée par un facteur extérieur.
En ce qui concerne une autre célébrité qui invoque Garofalo, Nouriel Roubini, son hystérie mal fondée sur l'étalon-or a été critiqué ici et ici. O ' Brien et Roubini ont droit à leurs propres opinions, mais pas à leurs propres faits.
Comme historien de l'économie professeur Brian Domitrovic, chez Forbes.com, concerne également, l'étalon-or avait rien à faire avec Panics et bustes,
En regardant leXIXe siècle, avant que l'étalon-or est devenu un fantôme, une lettre-morte dans le début de l'ère de la réserve fédérale de 1913-33, rien ne prouve que la bonne vieille chose était impliquée dans aucune panique ou le buste.
Plutôt que de compter sur les commentateurs et universitaires, pro ou anti-or, il pourrait être pertinent de se tourner vers les pensées des banquiers centraux. Herr Dr. Jens Weidmann, Président de la Bundesbank, dans un 2012 discours or appelés "dans un sens, un classique intemporel".
Et Garofalo ne fait aucune référence à la 2011 Bank of England papier de stabilité financière n° 13, résumés et un lien hypertexte par Forbes.com collaborateur Charles Kadlec ici. Cette étude réalisée par la Banque d'Angleterre prudentielle - pas pour rien, appelée « la vieille dame de Threadneedle Street » - fournit qu'une évaluation empirique de l'approche de gestion fiduciaire a inauguré par les présidents Johnson et Nixon et, au moment de l'étude, en vigueur depuis 40 ans.
(suite en dessous:)
Papier de stabilité financière n° 13 contraste le rendement réel de l'économie mondiale au titre des protocoles Johnson/Nixon par rapport à l'étalon de change-or de Bretton Woods et l'étalon-or classique. L'analyse de la Banque d'Angleterre, basé sur des données empiriques, conclut que la gestion fiduciaire grandement sous-performé (pour la croissance économique, stabilité financière, inflation, récession et toutes les autres catégories évaluées) les systèmes de son prédécesseur.
RépondreSupprimerGarofalo cite légitimement le poids d'élite académique d'avis économique contre l'étalon-or out-of-fashion. Cela dit, cette collection août des économistes, peu voire aucun d'entre eux prévoyaient la panique de 2007 et la récession qui a suivi, semblent être guidé par la devise de l'ancien trésorier US Ivy Baker du prêtre, « Souvent mal, jamais dans le doute. » Les lecteurs méritent d'être fourni avec le poids de la preuve, à compléter au moins, le poids de l'opinion élite.
Plus troublant sont les insinuations de Garofalo liant les promoteurs d'étalon-or à la politique de « droite » sinistre. Il n'y a pas de corrélation significative entre le plaidoyer pour l'étalon-or et, par exemple, les sentiments anti-immigrés. J'ai, un partisan de l'étalon-or, suis tout à fait officiellement pour une politique d'immigration généreuse, y compris, (y compris un chemin d'accès à la nationalité pour les étrangers sans papiers). Est donc les principes en Action américain, plus importante groupe de défense de l'étalon-or à Washington, DC, (que je conseille professionnellement).
La figure plus synonyme de totalitarisme de droite, Adolf Hitler, s'est violemment opposée à l'étalon-or. L'étalon-or était alors, comme c'est maintenant, intrinsèque à un ordre républicain libéral. Hitler est inscrit comme disant ::
je n'avait aucun intérêt dans l'or-naturelle ou synthétique....Nos adversaires n'ont pas encore compris de notre système. Nous pouvons être faciles dans nos esprits sur ce sujet ; une fois la guerre terminée, ils auront des crises terribles. Pendant ce temps, nous allons construire un état solide, une preuve contre les crises et sans une once d'or derrière elle. Quiconque vend des supérieurs aux prix de l'ensemble, le laisser être emmenés dans un camp de concentration ! C'est le bastion de l'argent. Il n'y a pas d'autre moyen.
Garofalo stipule que « en 2012, républicains kowtowed à leurs membres plus extrêmes en incluant un appel au retour à l'étalon-or dans leur programme de parti. » C'est carrément, mauvais. La plate-forme de GOP 2012 n'a pas appelé au retour à l'étalon-or. Il est simplement appelé un "" Commission d'enquêter sur les moyens possibles pour définir une valeur fixe pour le dollar." (Ni il représentait un « animaux » à « davantage de membres extrêmes. »)
(suite en dessous:)
Au lieu de réciter le langage de la plateforme Garofalo a invoqué une description déformée de celui-ci par le commentateur Bruce Bartlett, à laquelle il relie. (Référence de Bartlett, dans son blog du New York Times Economix, à une "base métallique" allait langue plate-forme référençant une commission créée par Reagan, pas l'appel à l'action dans la plate-forme de 2012).
RépondreSupprimerGarofalo États que « Kentucky le sénateur Rand Paul - a évoqué la possibilité d'un retour à l'étalon-or. » La source à laquelle il relie États montre le sénateur entièrement n'engage à rien: « Paul n'aurait pas commenter si un étalon-or est nécessaire ou pas... » Le sénateur Paul, pressé par un auteur de la question, tout simplement créer une Commission chargée d'étudier la question, qui a une connotation subtile mais diffère de l'avoir « évoqué la possibilité. »
Fausses déclarations de Garofalo sont, au mieux, bâclées, donnant des lecteurs bonne cause à s'interroger sur l'intégrité de le œuvre de cet écrivain. Ses recueillies écrits sont une compilation des panacées progressives : se plaindre que les prix du gaz sont trop faibles, s'opposant à la réforme de l'impôt, critiquant le président Obama pour avoir refusé de proposer une taxe sur l'essence, soutenant le salaire minimum obligatoire, jetant des bouquets à l'IRS et ainsi de suite.
Garofalo est un propagandiste plutôt qu'un commentateur. Bon sur lui : le discours est fait plus épicé de propagande.
Cela dit, les lecteurs de U.S. News & World Report méritent beaucoup propagande de meilleure qualité que cela. Le référendum suisse sont peut-être stupide, mais ce n'était pas sur l'étalon-or. L'étalon-or n'est « laid » ni la preuve d'une « embardée vers la droite ». Et, selon les mots de sa vie avant tout promoteur, Lewis E. Lehrman (dont l'Institut éponyme je conseille professionnellement), « Par l'épreuve des siècles, l'étalon-or véritable, sans les monnaies de réserve, est le système monétaire moins imparfait de l'histoire. »
Ralph Benko
http://english.pravda.ru/business/finance/09-12-2014/129258-swiss_gold_referendum-0/
L'itinérance et la pauvreté continuent de grimper en flèche en Amérique
RépondreSupprimerJoshua Krause
Le quotidien Sheeple
12 décembre 2014
Vous n'avez pas entendu la bonne nouvelle ? L'économie se redresse enfin. Le Dollar est en hausse, et le chômage est en baisse. Génération y font enfin assez d'argent pour sortir du sous-sol de leurs parents, et le marché boursier continue d'atteindre des niveaux records. Et le meilleur de tous, nos tarifs sans abri sont outre des diagrammes. Nous sommes chez le bébé de l'argent !
« Whoa, tenir là-bas » vous pourriez dire à vous-même "ce qui a été ce dernier détail ? Oui, l'un sur les sans-abri. »
Sans-abrisme à Washington a augmenté de 12,9 % l'an dernier. À Memphis, Tennessee, près de la moitié de la demande d'aide alimentaire d'urgence en 2013 est allé non satisfaite. Le nombre de demandes d'alimentaire d'urgence de l'aide à Philadelphie ont augmenté de 20 pour cent. Et à Plano, au Texas, refuges pour sans-abri avec une capacité limitée ont dû rebrousser chemin 84 pour cent des personnes cherchant de l'aide.
Ces statistiques proviennent de la Conférence américaine des maires 2014 la faim et sans-abrisme enquête, un rapport établi avec la participation des 25 gouvernements de ville dans tout le pays. L'enquête annuelle n'offre pas un échantillon représentatif des tendances à l'échelle nationale, mais il fournit un aperçu étroit de comment ces tendances affectent une poignée de grandes municipalités éparpillées dans diverses régions.
Dans l'ensemble, 71 % des villes participantes ont signalé une augmentation dans la demande locale d'aide alimentaire d'urgence entre septembre 2013 et août 2014, et 43 % de ces villes ont signalé une augmentation dans la lutte contre l'itinérance. Pour les villes, pour les sans-abri a été retrouvé ont augmenté de 0,7 %, et avez besoin d'aide alimentaire s'est avéré ont augmenté de 7 %.
Attends un peu. Serait-ce que ces autres statistiques n'indiquent vraiment une économie saine ? Retour du Dollar est uniquement causée par une économie mondiale terrible qui n'a nulle part où mettre son argent ? Serait-ce que les chiffres officiels du chômage sont une farce, et le marché boursier n'a aucun rapport réel pour la santé économique ? Non, qui ne peut pas être, peut-il ? Ce qui se passe vraiment ici ?
(suite en dessous:)
Bas salaires ont été cités comme des principales raisons pour augmenter l'insécurité alimentaire, tandis que les gouvernements de ville décelé un manque de logements abordables comme le principal défi en matière de lutte contre le sans-abrisme. Quelque 38 % des personnes qui sollicitent une assistance alimentaire d'urgence travaillaient à l'époque, et 18 pour cent de la population des sans-abri les villes avaient un emploi.
RépondreSupprimerMaintenant la vérité sort. L'économie s'améliore, dans une sorte de comique de passage. Il n'y a plus d'emplois, mais peu d'entre eux payer n'importe où près de ce qu'ils étaient. Et beaucoup de ces nouveaux emplois sont centrés sur les régions métropolitaines, qui sont confrontés à un afflux de travailleurs désespérés, causant ainsi le coût du loyer à augmenter à un rythme effrayant. Il n'y a plus d'emplois à avoir qu'il y a en 2008, mais très peu d'entre eux peuvent suivre le coût de la vie.
Au moins certaines de ces personnes sont trouver du travail, même si la rémunération suce. Malheureusement, il y a encore des millions de gens qui aimeraient avoir un travail, mais se sentent encore gauche derrière de cette prétendue « reprise économique ».
« Il y a encore trop de chômeurs dans nos villes, et cela continue d'ajouter à l'effort sur les programmes d'aide d'urgence, » a déclaré U.S. Conférence des maires CEO Tom Cochran lors d'une conférence téléphonique de jeudi.
Dans tout le pays, la pauvreté et l'exclusion liée au logement ont diminué au cours des dernières années que les États-Unis a positionnée de la récession. Cependant, le Centre National pour les sans-abri de la famille des rapports que les enfants sans domicile est à son zénith à partir de 2013.
Comment est-ce encore possible ? Comment une seule statistique pourrait dire que l'itinérance est en baisse, tandis que l'autre dit que les enfants sans domicile est à une haute de tous les temps ? C'est parce que la première stat vient de chiffres officiels du gouvernement, tandis que la seconde stat provient d'un organisme privé à but non lucratif. Lequel pensez-vous est plus fiable ?
La vérité est que peu importe si la « reprise économique », car ce qu'ils appellent une reprise est une farce. Même si le dollar et le marché boursier sont va forts, et plus de gens ont un emploi, il y a un problème très important qui n'est pas traitée. Ce problème est l'inégalité, et il a été s'aggrave depuis des décennies. L'économie peut être en plein essor pour les gens au sommet, mais pour le reste d'entre nous, au fond, il pourrait aussi bien être 2008.
- voir sur site clip formidable ! :
http://www.thedailysheeple.com/homelessness-and-poverty-continue-to-skyrocket-in-america_122014
C'est vrai çà ! L'essence baisse ! même les prix des Matières Premières seraient en baisse ! Vous l'avez constaté dans votre magasin ? ou est-ce encore un 'conte de noël' ?
SupprimerPauvreté – le prix du «succès» de l’économie allemande
RépondreSupprimer28 octobre 2014
Par Kai Littmann
(KL) – «Premier de la classe», «champion du monde des exportations», «moteur de l’Europe» - l’Allemagne se plaît dans le rôle du pays qui, malgré la crise, fait tout comme il faut. Ce que l’on ne dit pas en Allemagne, c’est que ce «succès» est chèrement payé – par les plus faibles de la société, le nouveau «précariat», un sixième de la population allemande qui s’est fait décrocher et qui n’a pas de lobby pour se faire entendre.
En 2013, selon le rapport du «Statistisches Bundesamt» (Office Fédéral des Statistiques), pas moins de 13 millions d’Allemands sont menacés par la pauvreté. Est considéré comme «pauvre» toute personne qui ne dispose de pas plus de 60% du salaire moyen – pour une personne vivant seule, le seuil est de 979 € par mois (11.749 € par an), pour une famille de deux adultes et deux enfants, le seuil se situe à 2.056 € par mois (24.673 € par an). Cette situation concerne 16,1% de la population allemande et le clivage entre la population active et le nouveau «précariat» ne cesse de se creuser.
Bien entendu, comparé à d’autres pays européens, ce seuil peut paraître élevé – mais il faut tenir compte du coût de la vie en Allemagne. Avec 979 € par mois, on ne va pas loin sur l’autre rive du Rhin. Beaucoup de personnes peu qualifiées sont tombées dans le piège des petits boulots, pourtant vivement recommandés par le personnel dans les Agences pour l'Emploi, les célèbres «boulots à 400 €». Ce format, initialement inventé pour permettre aux chômeurs de rester en contact avec le marché de l’emploi, s’est avéré comme un moyen pour les entreprises d’embaucher de la main d’oeuvre au moindre coût, ne permettant que dans des cas excptionnels, l’accès à un poste à temps plein.
Est-ce que l’on peut parler d’un «succès» de la politique allemande ? Est-ce que les chiffres allemands sont vraiment si mirobolants que ça ? Est-ce que le «modèle allemand» est vraiment un exemple à suivre pour l'Europe ? Certainement pas. Considérant que plus de 69% des chômeurs en Allemagne sont sérieusement menacés de cette pauvreté de laquelle on ne revient plus, considérant que 35,2% des monoparentaux sont menacés de cette pauvreté, considérant que 15,7% des enfants en Allemagne sont également menacés, on ne peut plus parler de succès.
Au contraire – en vue du fort pourcentage d’enfants qui naissent déjà dans le contexte de la précarité, force est de constater que le modèle de la société allemande est un échèc. L’Allemagne est en train de non seulement stigmatiser un sixième de sa population, mais de barrer la route à une partie des générations futures qui demain, sont censées porter financièrement cette société.
(suite en dessous:)
La solution à cet état des choses ne peut se trouver qu’au niveau européen. Une harmonisation des systèmes sociaux devrait rapprocher l’Allemagne des autres pays européens et non pas les autres pays européens du modèle allemand. Laisser un sixième des enfants dans la pauvreté, tout en injectant des milliards dans les marchés financiers, c’est cynique, injuste et un système qui ne pourra durer.
RépondreSupprimerEt du coup, le «premier de la classe» devrait modestement s’asseoir et passer une heure de colle en rédigeant un texte sur le respect des plus faibles éléments d’une société. La qualité d’une démocratie ne se mesure pas au succès des plus fortunés, mais dans la gestion des problèmes des plus faibles. Et dans ce domaine, l’Allemagne n’est pas «premier de la classe», mais se trouve en queue du classement.
http://blogs.mediapart.fr/edition/eurojournaliste/article/281014/pauvrete-le-prix-du-succes-de-l-economie-allemande
92 millions de personnes officiellement vivant dans la pauvreté en Chine
RépondreSupprimerXinhua
2014-12-08
11:55 (GMT + 17)
La Chine a recensé 128 000 villages appauvris et 92 millions de personnes vivant dans la pauvreté, a déclaré un responsable de la lutte contre la pauvreté senior samedi.
Selon Liu Yongfu, chef du Bureau du groupe principal Conseil d'Etat de lutte contre la pauvreté et le développement, la pauvreté a diminué sensiblement en Chine, mais le pays a encore des districts et des comtés pauvres 832.
Tout travail 116 600 équipes avec 466 000 cadres ont été dépêchées dans les villages pour la lutte contre la pauvreté, lui dit un séminaire dans la province de Hubei de la Chine centrale.
« Presque tous les ménages défavorisés ont un cadre responsable des travaux de la lutte contre la pauvreté, » a-t-il dit.
Il a souligné que plus de travail doit être fait pour améliorer la vie des personnes dans les zones pauvres à tous égards, y compris l'éducation, de finance et de logement.
Il a également révélé qu'en 2015, Chine aidera quelque 500 villages appauvris par le tourisme.
Li Jinzao, chef de l'administration nationale du tourisme de la Chine qui ont participé au séminaire, a déclaré que la Chine a levé jusqu'à présent plus de 8 millions de personnes de la pauvreté par le développement du tourisme.
Ainsi que des objectifs globaux de croissance du PIB, le gouvernement s'attache à élever le revenu de la population du pays avec un objectif actuel à double revenu par habitant par rapport au niveau de 2010 d'ici à 2020. Afin d'élargir le filet de sécurité pour les personnes dans la pauvreté, le seuil national de pauvreté est passé de 206 yuan (US$ 33,50/26,88 €) en 1986 à 2 300 yuans (374$ US/300,13 €) par an en 2011.
http://www.wantchinatimes.com/news-subclass-cnt.aspx?cid=1106&MainCatID=11&id=20141208000039
Une nouvelle étude montre que les bactéries vivant dans l'huile sont des créatures sociales dans la biosphère profonde de la terre
RépondreSupprimerRéservoirs d'huile sont dispersés profondément à l'intérieur de la terre comme les lointaines îles de l'océan, donc leurs habitants devraient être très différents, mais une nouvelle étude menée par des chercheurs de Dartmouth College et l'Université d'Oslo montre que ces microbes souterrains sont des créatures sociales qui ont échangé des gènes depuis des éons.
L'étude, qui a été menée par des chercheurs au Dartmouth College et l'Université d'Oslo, apparaît dans le Journal ISME .
Les résultats un éclairage nouveau sur la « biosphère profonde », ou le vaste royaume souterrain unicellulaires dont les résidents sont estimés à peu près égaux en nombre et en diversité à tous les microbes qui habitent de la surface terre, air et eau. Recherche profonde microbienne peut également aider les scientifiques à mieux comprendre les débuts de l'évolution de la vie sur terre et aide à la recherche de vie sur Mars et d'autres planètes.
Certains scientifiques soutiennent un scénario « enterrement et l'isolement » dans lequel les bactéries vivant dans les gisements de pétrole sont les descendants des communautés bactériennes isolées enterrées avec des sédiments qui, au fil du temps, sont devenus des réservoirs de pétrole. « Au lieu de cela, notre analyse prend en charge une vue plus complexe de « colonisation », où bactéries provenant de populations sous la surface et marines ont été continuellement la migration vers les gisements de pétrole et qui influencent leur composition génétique depuis l'antiquité, » dit le co-auteur Olga Zhaxybayeva, professeur adjoint à Dartmouth.
Depuis les années 1980, un nombre croissant de formes de vie microbiennes ont été découverts profondément sous terre, mais de nombreuses questions subsistent, notamment quand et comment ces micro-organismes sont venus habiter les lieux où les températures et la pression sont extrêmes et les éléments nutritifs et énergétiques peuvent être rares. Micro-organismes sont de la plus ancienne forme de vie sur terre et continuent à jouer un rôle crucial dans l'écosystème planétaire. Ces bactéries demeure sous terre ne vivent pas de l'énergie du soleil mais chaleur intérieure de la terre, produits chimiques et les éléments nutritifs.
(suite en dessous:)
Dans leur nouveau livre, les chercheurs ont demandé un certain nombre de questions, y compris : enfouis de bactéries s'adaptent à la vie dans les réservoirs de pétrole car ils forment des sédiments ? Bactéries évoluent-elles dans l'isolement, ou ils migrent vers les gisements de pétrole et échanger des gènes avec entourant les bactéries, y compris celles introduites par forage fluides utilisés dans la production de pétrole ? Les chercheurs ont analysé les 11 génomes de Thermotoga, une ancienne lignée de bactéries thermophiles, prise de gisements de pétrole dans la mer du Nord et du Japon et de bouches d'eau chaude le fond de l'océan près des îles Kouriles au nord des Açores, un chapelet d'îles à l'ouest du Portugal, l'Italie et la Japon. Ils ont analysé aussi Thermotoga communauté ADN de l'environnement (ce que l'on appelle métagénomes) d'Amérique du Nord et d'Australie qui sont disponibles dans les bases de données publiques.
RépondreSupprimerLes résultats révèlent des vastes flux génique sur tous les environnements échantillonnés, suggérant que les bactéries ne restent pas isolés dans les réservoirs d'huile mais plutôt longtemps migré vers et colonisé les réservoirs et ont contribué à leur constitution génétique. « La voie de l'écoulement de gène reste à s'expliquer, mais nous émettons l'hypothèse que beaucoup de l'écoulement de gène peut arriver dans le sous-sol, » dit le co-auteur Camilla Nesbø, chercheur au Centre for Ecological and synthèse évolutive à l'Université d'Oslo. Zhaxybayeva et des recherches antérieures de Nesbø a montré que Thermotoga et ses proches ont échangé des petits morceaux de génome avec Archaea, une ancienne simple-celled vie forme différente de bactéries et un autre groupe éloigné des bactéries, Firmicutes.
http://phys.org/news/2014-12-oil-dwelling-bacteria-social-creatures-earth.html
Scandale écoute de la NSA: Carrière de transcription
RépondreSupprimerPar Rüdiger Ditz
Le miroir a révélé l'affaire d'espionnage sur le mobile du chancelier à l'automne 2013. Maintenant, l'affaire est de retour dans la conversation - parce que le procureur général a présenté le magazine dans le crépuscule Harald range lors d'une conférence de presse.
Le Procureur général Harald Range déterminé dans l'affaire de surveillance de NSA à un téléphone mobile par la chancelière Angela Merkel, mais il ne viendra pas avant. Services de renseignement américains a ignoré toutes les demandes de l'enquête sur Agence, le BND, n'a également pas aidé d'autres.
Mais il y a encore le miroir, qui a appelé le gouvernement fédéral sur l'attaque de la reconnaissance des informations dans un extrait de base de données de NSA à l'automne 2013.
"J'ai donc demandé la rédaction du miroir, à répondre aux questions sur le papier ou de nous les fournir. Le news magazine évoquant le privilège des journalistes n'est pas remplie", le procureur général a déclaré frustré jeudi dernier à sa conférence de presse annuelle à Karlsruhe.
Cependant, gamme Association sa déclaration en soulignant que « le document qui a été vu en public comme preuve d'une réelle interception du téléphone est sans ordre de l'éducation de télécommunications authentique de la NSA ». Il ne vient pas d'une base de données de la NSA. « Plutôt un éditeur de miroir lui-même a fait, selon ses déclarations sur la base d'un document d'inspecter la NSA. »
Cette déclaration pourrait être assimilé à un nouveau résultat de son enquête et donner une fausse impression, le miroir ont mis au point son témoignage lui-même - dans certains médias, rapports sur la Conférence de presse de gammes sonnaient il.
Le miroir mais jamais réclamé, a présenté un document original du gouvernement fédéral (niveau 44/2013 et 46/2013). Plutôt ses éditeurs ont peut consulter le document d'une base de données de la NSA et radier et encore plus clairement. Der SPIEGEL face du chancelier à la recherche, toutes les informations provenaient de cette entrée dans la base de données de la NSA. Le miroir a n'ajoutait rien à la.
Porte-parole de rang également la semaine dernière a précisé: « la demande des journalistes au cours de la Conférence de presse, qu'il s'agisse du document un faux, a Procureur général gamme expressément niée. »
Miroir plusieurs rédacteurs en chef ont été lancés en juin de l'année dernière à la NSA recherches sur la note, le téléphone cellulaire du chancelier suivra. Ainsi que les experts de cryptage et journaliste libre Jacob Appelbaum, ils sont allés à ce soupçon. Un extrait de la base de données interne de la NSA pour la détection des cibles figurant les numéro de téléphone mobile de Merkel, ainsi que son nom. Le miroir a tenté de vérifier cette information ; Enfin, il a décidé de demander Merkel à un avis.
(suite en dessous:)
Sur le 17 octobre 2013 ont été approchés, les éditeurs de miroir Nikolaus Blome et Jörg Schindler à l'orateur qui chancelier, Steffen Seibert. Vous lui a présenté un papier DIN A4, sur laquelle Merkel cell phone espionnage données étaient inscrites. Ils ont fait Seibert, il est clair que cet article était une copie d'une base de données de la NSA, que le miroir avait vu. Et le porte-parole du gouvernement a compris que trop.
RépondreSupprimerAffiliées le BND et le Bureau fédéral ont été commandées à la chose à considérer pour la sécurité en technologie de l'information de la chancellerie. Christoph Heusgen, conseiller en politique étrangère de Merkel, Susan Rice, s'est porté volontaire pour le service en parallèle avec le conseiller pour la sécurité américaine. Au départ, les américains tenue à l'écart. La semaine suivante, Merkel au Président américain Barack Obama sur l'écoute s'est plaint. Il ne pourrait pas refuser l'opération écoute au moins pour le passé. Leur indignation mettre le chancelier un jour plus tard lors du sommet de l'UE à Bruxelles ainsi: « Espionnage entre amis - ce n'est pas. »
La transcription, qui a remis les rédacteurs en chef de miroir pour le porte-parole du gouvernement, apparues plus tard comme prétendu document original dans d'autres médias : dans la « Frankfurter Allgemeine Sonntagszeitung » du 27 octobre 2013, un jour plus tard dans le journal "l'image" et jeudi dernier sur le site d'actualité informatique "Golem.de". Le miroir, mais n'a jamais publié la transcription.
http://www.spiegel.de/politik/deutschland/der-spiegel-harald-range-und-die-nsa-ueberwachungsaffaere-a-1008258.html
Sommet sur le climat : prolongations, faute de consensus entre pays riches et pauvres
RépondreSupprimerLe Monde.fr | 13.12.2014 à 06h59
Les 195 pays participant à la conférence au Pérou ne se sont pas encore entendus sur le texte, notamment sur la contribution financière des uns et des autres. | AP/Rodrigo Abd
La conférence de l'ONU sur le climat jouait les prolongations, samedi 13 décembre, à Lima. Les discussions, qui devaient initialement s'achever, vendredi à 18 heures, heure locale (minuit, heure de Paris) se poursuivaient faute de consensus entre pays riches et pauves, après une nuit continue de consultations.
Le secrétariat général de la Convention de l'ONU sur le climat, sous l'égide de laquelle se déroulent ces négociations, a indiqué que les consultations sur un texte amendé étaient terminées, et qu'une séance plénière reprendrait à 10 heures, heure locale (16 heures, heure de Paris).
Une telle prolongation est un fait très habituel dans ces conférences annuelles de l'ONU sur le climat, où les 195 pays industrialisés et en voie de développement représentés peinent toujours à arriver à un consensus. L'enjeu est de poser les bases d'un futur grand accord espéré à Paris fin 2015.
RÈGLES COMMUNES
Les pays devront remettre ces contributions au secrétariat des Nations unies d'ici à mai 2015. La définition des règles qui les régissent, et leur processus d'évaluation (au niveau global, et par rapport à la capacité de chaque pays) sont un sujet de friction, et une étape cruciale pour assurer un certain niveau d'ambition dans l'accord multilatéral espéré à Paris.
Chine et Inde notamment sont opposés à une démarche trop exigeante. Les pays africains, qui ne représentent qu'une fraction marginale des émissions de gaz à effet de serre (quelque 3 %), conditionnent une évaluation précise à des garanties financières. Et les Etats-Unis et l'Union européenne souhaitent que ces contributions se concentrent sur l'effort de réduction des gaz à effet de serre.
Objectifs chiffrés, champs d'activité couverts, année de référence… « Les informations doivent être précises et comparables pour évaluer l'effort de chacun et dire s'il est suffisant pour contenir le réchauffement au-dessous de 2 °C », confie au Monde Romain Benicchio d'Oxfam, en redoutant que les discussions ne se terminent par un menu à la carte, « ni transparent, ni lisible ».
C'est possible. L'évaluation de ces contributions en juin 2015 n'est en effet pas acquise. Le Brésil, au nom des Basic (Brésil, Afrique du Sud, Inde et Chine), a dit qu'il n'y était pas favorable.
(suite en dessous:)
RÉDUIRE LES ÉMISSIONS DE GES
RépondreSupprimerSur le fond, les engagements attendus doivent permettre de réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) au niveau global, en vue de limiter à 2 °C la hausse de la température de la planète. A Lima, le projet d'accord sur ce sujet doit être formellement adopté, faute de quoi la conférence n'aura pas tenu ses promesses.
Limiter la hausse des températures impliquerait de réduire les émissions de GES d'ici à 2050 de 40 à 70 %, selon les experts. Cela suppose que tous les pays se détournent peu à peu des énergies fossiles – le charbon en premier lieu – et investissement massivement dans d'autres énergies.
Autre point de discorde, la différenciation entre pays développés et en voie de développement, que certains pays très pollueurs veulent maintenir. La Convention de l'ONU sur le climat de 1992 reconnaît « une responsabilité commune mais différenciée » pour ces deux catégories de pays. Chine et Inde en tête, désormais le premier et le quatrième émetteurs de GES, plaident pour un statu quo, considéré comme inacceptable par les Etats-Unis et l'Union européenne, notamment.
L'aide aux pays du Sud pour faire face au réchauffement est enfin un sujet de grande défiance. Certains pays, notamment la Chine, le Brésil, le Mexique, l'Arabie saoudite et la Bolivie (qui préside le groupe G77) exigent plus de visibilité sur la manière de tenir la promesse que le Nord a faite en 2009 d'atteindre 100 milliards de dollars d'aide annuelle en 2020. Pour l'instant, le Fonds vert pour le climat a été capitalisé à hauteur de 10,2 milliards de dollars.
- suit un clip tissu de mensonges, une escroquerie monumentale (complicité du journal 'Le Monde') acceptable par AUCUN vrai scientifique et ses pairs, mettant en scène ... l'élévation du niveau des océans qui... pourrait !! s'élever à plus de 1 m ! (sans dire d'où viendrait l'eau !) où parlant faussement des gaz a effet de serre ou gaz carbonique relaté comme poison !
http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/12/13/a-lima-les-negociations-sur-le-climat-se-prolongent_4539978_3244.html
Rechange dollars
RépondreSupprimerPar Alasdair Macleod
GoldMoney
13 décembre 2014
La semaine dernière j'ai écrit que contrairement à l'ambiance dominante la force du dollar américain pourrait s'inverser à tout moment. Cette semaine j'ai regardé un autre aspect du dollar, qui certainement va devenir une importante source d'approvisionnement : un changement global hors de lui par des titulaires étrangers.
Ainsi que les sociétés multinationales qui compte en dollars, il y a des entités non américaines qui utilisent des dollars purement pour le commerce. Et tant que les gouvernements interviennent dans les marchés des changes, les gouvernements se retrouvent avec ces commerces dollars dans leurs réserves de devises étrangères. Certains de ces gouvernements poussent maintenant difficiles de remplacer le dollar, après avoir vu son avilissement, qui est indépendant de leur volonté. Cela a bouleversé des nations comme la Chine, et ce avant nous spéculons sur n'importe quel angle géopolitique.
La conséquence de la gestion de la devise de la Chine a été une accumulation massive de dollars que la Chine ne peut pas vendre facilement. Tout ce qu'elle peut faire est d'arrêter leur accumulation et pas réinvestir le produit de maturation des bons du Trésor, et cela a été largement sa politique depuis au moins l'an dernier. Si ce problème a été en cours depuis un certain temps et sans doute contribué à la détermination de la Chine à réduire sa dépendance vis-à-vis du dollar. En outre, c'est pourquoi il y a treize mois George Osborne (c'est le seul mot pour lui) a été convoqué à Pékin pour discuter d'un déménagement de toute urgence développer marchés financiers offshore de renminbi, en utilisant les liens historiques entre Hong Kong et Londres. Depuis lors, il est signalé que le mois dernier plus 22 % du commerce extérieur de la Chine, a été réglée dans sa propre monnaie.
Étant donné le peu de temps impliqués, il est clair qu'il y a un changement majeur qui passe dans le commerce transfrontalier à peine remarqué par des commentateurs financiers. Mais ce n'est pas tout : des sanctions contre la Russie l'ont transformé toute urgence face au dollar ainsi, et ainsi que de la Chine, ces deux nations dominent et transportent avec elles la plus grande partie de l'Asie, ce qui représente presque 4 milliards d'âmes voie d'industrialisation rapide. Pour cela, nous devrions ajouter au Moyen-Orient, la plupart dont l'huile est maintenant exporté vers la Chine, l'Inde et Asie du sud-est, licencie les pétro-dollars potentiellement aussi bien.
(suite en dessous:)
Dans un système de monnaie dollar-centrique, Chine est limitée en ce qu'elle peut faire, car avec presque $ 4 billions en total des réserves de change, elle ne peut pas vendre assez d'argent pour faire une différence sans conduire le renminbi sensiblement plus élevé. Dans le passé, elle a réduit ses soldes de dollars en vendant les autres monnaies, comme l'euro, mais elle ne peut pas compter sur les autres grandes banques centrales pour neutraliser l'effet de marché de ses ventes de dollar en son nom. En partie pour cette raison la Chine a maintenant l'intention de redéployer ses réserves dans des investissements internationaux pour développer ses marchés à l'exportation pour les biens d'équipement, ainsi que dans les grands projets d'infrastructure, tels que le système de route de la soie de 40 milliards $.
RépondreSupprimerCela revient simplement à disperser de dollars de la Chine entre diverses mains pour dissimuler leur disposition. Pendant ce temps les marchés des changes ont facturés dans la direction opposée, avec la force du dollar sape des prix des matières premières, plus nettement l'huile, beaucoup au profit de la Chine. Et tandis que les têtes de parler discutent de l'effet sur le schiste de Russie et de l'Amérique, ils sont inconscients au tsunami potentiel de dollars n'attendent que l'occasion de revenir à la bonne vieille US du A.
http://www.lewrockwell.com/2014/12/alasdair-macleod/spare-dollars-held-overseas/