'Punishment park'

Le monde est devenu un monde où il se passe rien ! (La nuit où il ne se passe rien). Rien qui peut assouvir nos pensées légitimes, complexité où notre attention ne peut être que superflue au regard des gens et de leurs actions, leur 'gouvernances' principautaires (réduites à leur regard dans la glace) n'est plus (comme n'a jamais été ?) qu'un égocentrisme qui n'a d'ailleurs jamais été qu'un blason qu'ils se donnent comme en chacun d'être quelqu'un. L'autre n'intéresse personne (!). Chacun y va de son départ mais, chacun analyse individuellement les papillonnacées qui l'entoure au savoir si cela se mange. Triste bilan que d'ouvrir les yeux !

Certes, la 'nuit' nous appartient, comme étant à chacun un autre devenir de soi de la position couchée à celle de debout. Ainsi nos neurones se recalibreraient-elles en une voie de synapses définies depuis notre construction primitive pour s'en étonner du présent ! 'Ainsi va le monde'.

Au pourquoi faire différent de ce que l'on aspire, est en primauté l'aventure d'un au-delà. Découverte boulimique pour certains qui n'a de sens que de tout vouloir mais qui n'est pas sans s'interroger du devenir de soi. Le soi prime. Prime en tous égards de ce que des cerveaux extérieurs nous encombrent de part aussi leur 'moi' dominant et parfois l'intérêt qu'ils peuvent porter à d'autres. Et, le coup blessant, à quoi l'on ne sait répondre d'une autre personne qui se questionne sur la matérialité de la personne en face. Bien sûr qu'en premier lieu on pensera à avoir à portée de main un bombe insecticide destinée à zapper l'intrus de notre écran ou autre encore de le ranger dans 'bloquer l'expéditeur', mais, les directives expéditives du 'savoir'-ordinaphoré mélangent les superfétations du condisciple à celles du vouloir-clavier de façon à les faire renaître en leur identité comme étant membre actif de leur pauvre défaillance et qui en résoudrait leurs problèmes ! ('parle à mon cul ma tête est malade !').

"C'est la vie des forums" me direz vous, soit, (je n'y vais jamais !), mais, entr'autres choses, il y a celles des "montre-moi ton fric et je te dirais ce que tu vaux" comme étant - outre le fait d'un 'récépissé bancaire', celles des "l'habit fait pas le moine" comme l'eau la carafe ou encore de 'sa femme le mari'. Donc, si 'à chacun sa bicyclette sa selle' l'on pourrait penser que l'autrui veut s'engouffrer dans le qui passe par là afin de s'y reconnaître comme étant - partie de lui - et d'en faire de ce quelqu'un d'autre sa propriété voire 'résidence secondaire', la liberté de chacun est de regarder précédemment sur le quoi il pose son siège comme d'éteindre la télé avant qu'il ne soit trop tard. Soit. Mais, les 'choses' envahissent notre quotidien au point où même debout l'on en serait forcer de s'aplatir contre un mur et de n'en plus bouger ! La station du piquet nous rappelant en classe les devoirs ne n'écouter que son maître et de n'apporter son AK 47 qu'en cour de récréation. Triste mésaventure de n'avoir que trois pommes de haut mais qui n'efface en rien cette idée de revanche face aux idées communistes du totalitarisme de s'en découdre une fois grand.

Ainsi le bâtit d'adulte se construit-il au large des pensées profondes de chaque être de n'être qu'un incompris dès lors que de son enfance l'on évoquerait des sentiments différents ! Combien dans ma courte vie de bipède volant n'ai-je rencontrer de personnes d'âge mûr qui se disaient de 'tout savoir/faire école' et qui ne savaient pas monter un ordinateur ou se servir intelligemment de leur téléphone du haut de leur 'supériorité hiérarchique' !...

Ainsi les 'actualités rigolomaniaques' nous servent-elles d'exemples de ce que le monde serait de devenir... avec les vieux ! (l'expérience ! l'histoire ! l'hier !) et que demain sera le 'Passé II' façon Caligula. "Si encore savaient-ils faire les comptes !" est une problématique que chacun se pose et qui -ayant fait un minimum d'étude - savent encore bien gérer leur budget sinon mieux que les autres. D'où les questions de confiance qui émergent et de l'évaluation que chacun se fait de ceux qui nous gouvernent en prétendant en savoir plus. Même si la complexité de leurs lois - qu'ils ont dirigé pour qu'elles soient opaques et portent à discutions sont ainsi proposées - il en découle que les 'représentants du peuple' n'en portent méfiance et se confortent dans leurs embonpoint financier au devoir de ne rien dire pour que les choses changent !