Les indices boursiers des Etats-Unis, du Japon et d'Europe battent des records historiques. Nous vivons une bulle boursière qui repose entièrement sur les taux zéro des banques centrales (Etats-Unis et Japon en particulier). Si les taux étaient dans un marché libre, le Dow Jones se situerait à des milliers de points sous ses niveaux actuels. Un tel rallye boursier a un prix : la Fed se retrouve à présent dans l'impossibilité de relever ses taux d'intérêt, sous peine de faire exploser la bulle. Alternativement, si les assouplissements monétaires (à savoir les rachats de 85 milliards de dollars d'obligations par mois par la banque centrale américaine) se poursuivent indéfiniment, c'est l'inflation, inévitable, qui éliminera à terme les gains.
Avec une hausse qui avoisine les 150% des actions américaines depuis 2009, le risque de krach ne peut pas être négligé. Personne ne peut prédire son occurrence, mais l'on sait que les bulles boursières sont toujours les plus attrayantes à leurs sommets. Or de nombreux investisseurs choisissent d'entrer maintenant dans le marché des actions, alors que l'indice des actions mondiales (MSCI Monde) n'a jamais été aussi déconnecté de la trajectoire baissière du PIB mondial (voir deuxième graphique dans la vidéo). Les actions sont valorisées à 14 fois les bénéfices futurs sur le marché américain, contre une valorisation moyenne à 30 ans de 12 fois. Cela veut dire que les actions sont aussi surévaluées d'après ce paramètre. En outre, nombre d'entreprises empruntent à taux zéro pour racheter leurs propres actions, ce qui ne représente pas de gains réels. Méfiance, donc, car il se pourrait bien que les investisseurs initiés soient en train de se dégager maintenant des actions, en vendant leurs titres aux plus profanes, trop contents de rejoindre la bulle. Dans ses derniers instants.
Les Bourses européennes en plein doute après le plongeon de Tokyo
Par Guillaume Maujean 23/05 | 11:25 | mis à jour à 14:27
Un vent de panique a balayé la Bourse de Tokyo, qui a chuté de 7,32 %. La contagion a gagné par la suite les principales Bourses européennes, et l’indice CAC 40 retombe sous les 4.000 points, en baisse de plus de 2 %. Les investisseurs sont saisis par le doute. Alors que les grandes places financières enchaînaient les records ces derniers jours (des plus hauts depuis 2 ans à Paris, 5 ans à Tokyo, 13 ans à Londres, et même des plus hauts historiques à Francfort et New York), le rappel à l’ordre est brutal. Il a commencé en Asie, où le principal indice japonais, soit une perte de plus de 1.000 points ! Un vent de panique a balayé «Kabuto-Cho», en surchauffe depuis plusieurs semaines. Après un bond de 80% en six mois, l’indice Nikkei n’a pas résisté à l’annonce d’une contraction de la production manufacturière en Chine, d’après la banque HSBC.
Cet indicateur, pourtant encore provisoire, a suffi à raviver les inquiétudes sur la croissance dans la deuxième économie mondiale, dont la vigueur reste essentielle pour tous les pays fortement exportateurs.
La contagion a gagné par la suite les principales Bourses européennes, qui ont ouvert en forte baisse dans la foulée de Tokyo. Deux heures après l’ouverture, Paris cède 2,38 % et l’indice CAC 40 retombe sous les 4.000 points, franchis vendredi dernier. Madrid perd 2,09%, Francfort 2,81%, Milan 2,97%. L’indice EuroStoxx 50, qui regroupe les principales valeurs de la zone euro, abandonne 2,61%.
Les marchés européens pâtissent de la contraction pour la première fois en sept mois, en mai, de l’activité manufacturière en Chine. Mais ils réagissent aussi au mauvais chiffre de l’activité du secteur privé de la zone euro. Elle s’est de nouveau contractée en mai, ce qui pourrait venir renforcer les appels en faveur de l’adoption de nouvelles mesures de soutien à l’économie par la Banque centrale européenne (BCE) et les gouvernements de la région. VIDEO Chute de la bourse : le prétexte et les vraies causes Désemparés par la Fed
Les investisseurs semblent enfin dans le brouillard sur la manière dont la Réserve fédérale américaine va adapter sa politique monétaire. La Fed a soufflé le chaud et le froid mercredi à Wall Street. Son président Ben Bernanke a indiqué que le comité monétaire continuerait de réfléchir au cours de ses prochaines réunions à une diminution progressive de ses achats d’actifs. Mais il a rappelé qu’il serait dangereux de resserrer trop vite sa politique.
Le compte-rendu de la dernière réunion de la Réserve fédérale, publié après le discours de Bernanke, a confirmé que les débats étaient animés sur la question de la poursuite de la politique monétaire ultra-accommodante de la Fed.
Les actions japonaises à l'arrêt; Plongeon de 1500 points pour clôturer en baisse de 7,3% - plus forte baisse en 26 mois
Soumis par Tyler Durden le 23/05/2013 00:33 -0400
Mise à jour 1: Ils sont pris de panique ... BOJ 2 a injecté milliards de yens (19,4 milliards de dollars) dans le système financier pour endiguer la volatilité à la suite d'un disjoncteur dans JGB transactions à terme. UPDATE 2: Nikkei 225 est maintenant en baisse 1500 points de ses hauts et bas 1150 (plus de 7%) à la clôture d'hier Tout le temps c'est juste le deuxième plus grand marché obligataire JPY quadrillion dans le monde qui connaît la volatilité sur une échelle sans précédent, la BoJ et ses partenaires dans le crime sont plus que disposés à «officiellement» disent "s'il vous plaît ne vous inquiétez pas." Mais lorsque le marché boursier - qui baromètre de tout bon et saint sur Abenomics commence à cratère, vous pouvez parier les excuses viendront rapides et furieuses. La baisse d'aujourd'hui de plus de 1500 points (plus de 9%) par rapport aux sommets précédents est la plus forte baisse du Nikkei 225 depuis Mars 2011. L'indice Nikkei 225 a juste perdu le tout-puissant niveau 15000 et souffre un autre choc VaR avec un mouvement 6-sigma aujourd'hui. En fait, étant donné les niveaux de prix de cette baisse est à égalité avec le post-Lehman se déplace en 2008. La question maintenant (avec les futures d'équité US aussi décoloration rapides-20 points et JPY traverse se martelé), c'est comment l'appétence au risque japonais pour périphérique merde européenne tiendra jusqu'à avec ce sertissage dans leur plan comme dépotoir d'actions et des obligations japonaises ?
Le Nikkei 225 est en baisse de 7% (1000 points) de ses sommets précédents ... - voir graphique sur site - Haute-to-bas c'est la plus forte baisse en 26 mois ... - voir graphique sur site - Fermez à fermer c'est la plus forte baisse de l'indice Nikkei à plus de 26 mois ! - voir graphique sur site - Les données de clôture finale est une catastrophe avec JPY bond en arrière à 101.50 (carry trades se baumgartner'd partout), les stocks en baisse de plus de 7%, et 10Y JGB oscillant entre +11 bps à l'ouverture à 6bps à la fin de la deuxième plus grande gamme jour dans une dizaine d'années ...
Pour résoudre le problème de l'urbanisation, la Chine pense d'une ville hôte gratte-ciel de 30 000 personnes : vivre et travailler au sein de Sky City, une « grande » qu'Aoste ou Oristano (Broad.com)
Il avait été présenté comme une révolution pour le restaurant: pas plus de bouteilles d'huile, mais les bouteilles d'origine, afin d'éviter les faux à la table. Mais après une semaine, la Commission europe a eu des doutes, pour s'attacher à des critiques. L'idée était d'abolir la première huile en vrac dans les lieux publics, puis le vinaigre, puis le vin, l'envoi des cruches de broyage du «vin de la maison» que l'on trouve encore dans de nombreux restaurants. Avec le vin aurait été plus simple, sans huile. Les entreprises vont devoir produire des paquets de un demi-litre contenu ou encore moins à mettre sur la table, en essayant de trouver des bouteilles plus gracieuses que celles destinés aux grandes surfaces. Les traiteurs devront renoncer à l'achat de forfaits multilitro qui vous permettent de réduire le coût du pétrole. Bruxelles avait expliqué qu'il fallait agir pour éviter la manipulation et de défendre la qualité de l'huile.
Au cours de la discussion, la Commission européenne a constaté que l'Italie et le Portugal ont déjà adapté à l'interdiction dell'oliera, bien que de nombreux restaurateurs ne semblent pas le savoir. A partir du 1er Janvier mesure suivante devait être étendu à toute l'Europe: via la burette, seules les bouteilles de bouchon d'huile de qualité avec effraction. 15 Etats membres ont soutenu l'initiative: l'Italie à l'avant-garde avec l'Espagne, la Grèce et le Portugal, la France, l'Irlande, Chypre, la Slovénie, la Slovaquie, la Pologne, la Lettonie, Lutuania, République tchèque, Roumanie et Malte. Contre la décision ont été jetés Allemagne, Danemark, Pays-Bas, la Bulgarie, l'Estonie, le Luxembourg, l'Autriche, la Finlande et la Suède. Abstenu, Royaume-Uni, la Belgique et la Hongrie. Comme il n'y a pas de majorité en faveur ou contre la vigueur, la proposition est encore passé. Hier, la Grande-Bretagne a protesté. Et récemment, la Commission a retiré tous. Cela a été annoncé par le commissaire Dacian Cialos: l'interdiction européenne des burettes d'huile, il y aura. Reste à voir quel sera l'Italie.
Chine ralentit, s'effondre le Tokyo Stock Exchange (-7%) en Europe ouvre en rouge profond, Milan -2,3%
Marchés et l'économie mondiale
Tremblement des marchés après les données sur le ralentissement de l'économie chinoise. Pour le Japon est la pire sourde de Fukushima Les bourses asiatiques plongent sous l'effet conjugué de la contraction du secteur manufacturier chinois indice PMI, la première en sept mois, et les déclarations du président de la Fed Ben Bernanke a ouvert mercredi une réduction possible du plan pour l'achat de titres lancé pour stimuler l'économie américaine. Accuser les plus durement touchées est de Tokyo, qui a fini en baisse 7,32%, la plus forte baisse de -10.55% reçue après le tsunami en 2011 a causé la catastrophe de Fukushima. En Chine, Shanghai est proche après la séance avec une baisse de 0,99%. Lourd Hong Kong, en baisse de 2,54%, tandis que Séoul recule d'1, 24%. 1 vers le bas, 99% de la bourse de Sydney. VENTES - restent lourdes mi-séance après les stocks européens données décevantes sur l'activité manufacturière en Chine qui a frappé Tokyo et les marchés asiatiques. Milan (-2,3%), une reprise par rapport aux creux de la session (-3%), donne le maillot noir à Francfort (-2,6%), Paris a perdu 2,3% et le London 1 9 %. Les sacs attendent le déploiement de données macroéconomiques américaines, y compris celles sur l'emploi, l'amélioration de ce qui pourrait aider à accélérer les mesures de relance de la Fed OBLIGATIONS D'ÉTAT - L'écart entre les BTP dix ans et Bund allemand est stable à 263 points pour un taux de 4%. Le différentiel Bonos / Bund s'est établi à 288 points pour un rendement de 4,25%.
'J'espère que tous les contribuables de toute l'Europe vont entendre cela...'
22 mai 2013 par Audrey Duperron
Le Parlement européen a débattu mercredi à propos de l'évasion fiscale et des paradis fiscaux. Nigel Farage, le leader du parti eurosceptique britannique UKIP, coutumier des déclarations fracassantes, n’a pas manqué cette occasion de brocarder une fois de plus la bureaucratie européenne : « Le fait est que nous avons une grande unité aujourd’hui avec un ennemi commun : les gens riches et les compagnies prospères qui cherchent à éviter de payer des impôts, ce qui, bien sûr, est un problème. Eviter de payer des impôts n’est pas illégal, mais cela donne à cette chambre un ton hautement moralisateur. M. Barroso a dit que c’était surtout une perception d’équité, parce qu’il y a cet avantage qui creuse l’écart entre le Royaume Uni, les îles de la Manche, l’île de Man et les îles Caïman. Mais avant que nous déclarions nos vertus, peut-être devrions nous examiner seulement ce qui se passe plus proche de chez nous. Et j’espère que tous les contribuables de toute l’Europe vont entedre cela. Si nous examinons les officiels qui travaillent pour la Commission européenne et le Parlement européen, la plus haute catégorie est celle de personnes qui gagnent un salaire net d’un peu plus de 100.000 livres sterlings par an (environ 120.000 euros annuels). Et pourtant, avec les règles de l’UE, ils ne payent que 12% d’impôts. C’est une fraude fiscale sur une échelle absolument phénoménale, et M. Barroso, je vous dirais : « Comment peut-on estimer que c’est juste ? Comment les gens d’ici qui ont du mal – les 16 millions de chômeurs de la zone euro – quelle considération peuvent-ils avoir pour ces institutions, qui non seulement donnent de grosses sommes d’argent à des gens, mais qui en plus les autorisent à bénéficier d’avantages fiscaux et aussi bien sûr, des avantages de pension sur une échelle d’une ampleur encore inconnue dans le reste du monde ? Je suggère donc que nous baissions notre ton moralisateur. Et que nous ont donné ces officiels ? Eh bien, ils ont été les architectes de l’euro, qui est un désastre total, leur obsession pour le réchauffement climatique, qui tinte très fortement ici, signifie que nous avons gâté nos campagnes et nos côtes avec ces éoliennes affreuses qui ont fait grimper le prix de l’énergie.
Mais ne permettons pas que l’on puisse dire que je ne suis pas capable de reconnaître le succès quand je le vois, et je suis sûr que tous les citoyens de l’Europe vont tous applaudir et crier hourrah, parce que le grave danger mortel des bols d’huile d’olive pour tremper son pain a été supprimé par les officiels.
Bravo à tous !»
Alors que la députée finlandaise socialiste Liisa Jaakonsaari lui demande :« J’espère que les citoyens européens ont entendu les opinions cyniques de Monsieur Farage, et ses prières pour les paradis fiscaux britanniques. Monsieur Farage, est ce que vous ne pensez pas que c’est une bonne idée que le Conseil européen évoque les problèmes d’évasion fiscale et de paradis fiscaux ? Etes-vous tellement cynique que vous pensez que c’est une mauvaise idée ? », il répond : « Je suis d’accord avec vous que l’évasion fiscale est un problème et qu’elle coûte de l’argent aux gouvernements, mais nous devrions nous souvenir que l’optimisation fiscale est légale. Et la raison principale qui explique la prospérité de ces paradis fiscaux, c’est que nous avons cet état d’esprit vraiment ancré que nous devons essayer de soutirer le plus possible d’impôts des individus qui ont réussi. Et si vous faites cela, et que vous avez un système fiscal très complexe, les gens feront tout ce qu’ils pourront dans les limites de la loi pour éviter de payer des impôts autant que possible. Les gouvernements doivent donc commencer par apprendre quelques unes des leçons des Etats-Unis et du Royaume Uni des années 1980. Baisser les impôts, simplifier les impôts, et ensuite pour ceux qui souhaitent respecter la loi, il n’y a plus besoin d’avoir recours à des paradis fiscaux ».
Euphorie boursière sur caféine monétaire
RépondreSupprimerMyret Zaki
Publié le 21 Mai 2013 à 16:30
Les indices boursiers des Etats-Unis, du Japon et d'Europe battent des records historiques. Nous vivons une bulle boursière qui repose entièrement sur les taux zéro des banques centrales (Etats-Unis et Japon en particulier). Si les taux étaient dans un marché libre, le Dow Jones se situerait à des milliers de points sous ses niveaux actuels.
Un tel rallye boursier a un prix : la Fed se retrouve à présent dans l'impossibilité de relever ses taux d'intérêt, sous peine de faire exploser la bulle. Alternativement, si les assouplissements monétaires (à savoir les rachats de 85 milliards de dollars d'obligations par mois par la banque centrale américaine) se poursuivent indéfiniment, c'est l'inflation, inévitable, qui éliminera à terme les gains.
Avec une hausse qui avoisine les 150% des actions américaines depuis 2009, le risque de krach ne peut pas être négligé. Personne ne peut prédire son occurrence, mais l'on sait que les bulles boursières sont toujours les plus attrayantes à leurs sommets. Or de nombreux investisseurs choisissent d'entrer maintenant dans le marché des actions, alors que l'indice des actions mondiales (MSCI Monde) n'a jamais été aussi déconnecté de la trajectoire baissière du PIB mondial (voir deuxième graphique dans la vidéo).
Les actions sont valorisées à 14 fois les bénéfices futurs sur le marché américain, contre une valorisation moyenne à 30 ans de 12 fois. Cela veut dire que les actions sont aussi surévaluées d'après ce paramètre. En outre, nombre d'entreprises empruntent à taux zéro pour racheter leurs propres actions, ce qui ne représente pas de gains réels. Méfiance, donc, car il se pourrait bien que les investisseurs initiés soient en train de se dégager maintenant des actions, en vendant leurs titres aux plus profanes, trop contents de rejoindre la bulle. Dans ses derniers instants.
Une bulle n'en est jamais une qu'après-coup.
http://www.bilan.ch/myret-zaki/redaction-bilan/euphorie-boursiere-sur-cafeine-monetaire
Les Bourses européennes en plein doute après le plongeon de Tokyo
RépondreSupprimerPar Guillaume Maujean
23/05 | 11:25 | mis à jour à 14:27
Un vent de panique a balayé la Bourse de Tokyo, qui a chuté de 7,32 %. La contagion a gagné par la suite les principales Bourses européennes, et l’indice CAC 40 retombe sous les 4.000 points, en baisse de plus de 2 %.
Les investisseurs sont saisis par le doute. Alors que les grandes places financières enchaînaient les records ces derniers jours (des plus hauts depuis 2 ans à Paris, 5 ans à Tokyo, 13 ans à Londres, et même des plus hauts historiques à Francfort et New York), le rappel à l’ordre est brutal.
Il a commencé en Asie, où le principal indice japonais, soit une perte de plus de 1.000 points ! Un vent de panique a balayé «Kabuto-Cho», en surchauffe depuis plusieurs semaines. Après un bond de 80% en six mois, l’indice Nikkei n’a pas résisté à l’annonce d’une contraction de la production manufacturière en Chine, d’après la banque HSBC.
(suite en dessous:)
Ralentissement en Chine
RépondreSupprimerCet indicateur, pourtant encore provisoire, a suffi à raviver les inquiétudes sur la croissance dans la deuxième économie mondiale, dont la vigueur reste essentielle pour tous les pays fortement exportateurs.
La contagion a gagné par la suite les principales Bourses européennes, qui ont ouvert en forte baisse dans la foulée de Tokyo. Deux heures après l’ouverture, Paris cède 2,38 % et l’indice CAC 40 retombe sous les 4.000 points, franchis vendredi dernier. Madrid perd 2,09%, Francfort 2,81%, Milan 2,97%. L’indice EuroStoxx 50, qui regroupe les principales valeurs de la zone euro, abandonne 2,61%.
Les marchés européens pâtissent de la contraction pour la première fois en sept mois, en mai, de l’activité manufacturière en Chine. Mais ils réagissent aussi au mauvais chiffre de l’activité du secteur privé de la zone euro. Elle s’est de nouveau contractée en mai, ce qui pourrait venir renforcer les appels en faveur de l’adoption de nouvelles mesures de soutien à l’économie par la Banque centrale européenne (BCE) et les gouvernements de la région.
VIDEO Chute de la bourse : le prétexte et les vraies causes
Désemparés par la Fed
Les investisseurs semblent enfin dans le brouillard sur la manière dont la Réserve fédérale américaine va adapter sa politique monétaire. La Fed a soufflé le chaud et le froid mercredi à Wall Street. Son président Ben Bernanke a indiqué que le comité monétaire continuerait de réfléchir au cours de ses prochaines réunions à une diminution progressive de ses achats d’actifs. Mais il a rappelé qu’il serait dangereux de resserrer trop vite sa politique.
Le compte-rendu de la dernière réunion de la Réserve fédérale, publié après le discours de Bernanke, a confirmé que les débats étaient animés sur la question de la poursuite de la politique monétaire ultra-accommodante de la Fed.
http://www.lesechos.fr/entreprises-secteurs/finance-marches/actu/0202780536009-les-bourses-europeennes-en-plein-doute-apres-le-plongeon-de-tokyo-568770.php
Les actions japonaises à l'arrêt; Plongeon de 1500 points pour clôturer en baisse de 7,3% - plus forte baisse en 26 mois
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 23/05/2013 00:33 -0400
Mise à jour 1: Ils sont pris de panique ... BOJ 2 a injecté milliards de yens (19,4 milliards de dollars) dans le système financier pour endiguer la volatilité à la suite d'un disjoncteur dans JGB transactions à terme.
UPDATE 2: Nikkei 225 est maintenant en baisse 1500 points de ses hauts et bas 1150 (plus de 7%) à la clôture d'hier
Tout le temps c'est juste le deuxième plus grand marché obligataire JPY quadrillion dans le monde qui connaît la volatilité sur une échelle sans précédent, la BoJ et ses partenaires dans le crime sont plus que disposés à «officiellement» disent "s'il vous plaît ne vous inquiétez pas." Mais lorsque le marché boursier - qui baromètre de tout bon et saint sur Abenomics commence à cratère, vous pouvez parier les excuses viendront rapides et furieuses.
La baisse d'aujourd'hui de plus de 1500 points (plus de 9%) par rapport aux sommets précédents est la plus forte baisse du Nikkei 225 depuis Mars 2011. L'indice Nikkei 225 a juste perdu le tout-puissant niveau 15000 et souffre un autre choc VaR avec un mouvement 6-sigma aujourd'hui. En fait, étant donné les niveaux de prix de cette baisse est à égalité avec le post-Lehman se déplace en 2008.
La question maintenant (avec les futures d'équité US aussi décoloration rapides-20 points et JPY traverse se martelé), c'est comment l'appétence au risque japonais pour périphérique merde européenne tiendra jusqu'à avec ce sertissage dans leur plan comme dépotoir d'actions et des obligations japonaises ?
Le Nikkei 225 est en baisse de 7% (1000 points) de ses sommets précédents ...
- voir graphique sur site -
Haute-to-bas c'est la plus forte baisse en 26 mois ...
- voir graphique sur site -
Fermez à fermer c'est la plus forte baisse de l'indice Nikkei à plus de 26 mois !
- voir graphique sur site -
Les données de clôture finale est une catastrophe avec JPY bond en arrière à 101.50 (carry trades se baumgartner'd partout), les stocks en baisse de plus de 7%, et 10Y JGB oscillant entre +11 bps à l'ouverture à 6bps à la fin de la deuxième plus grande gamme jour dans une dizaine d'années ...
http://www.zerohedge.com/news/2013-05-23/japanese-stocks-plunge-over-800-points-biggest-drop-22-months
Chine, voici le gratte-ciel de 30 000 habitants
RépondreSupprimerPour résoudre le problème de l'urbanisation, la Chine pense d'une ville hôte gratte-ciel de 30 000 personnes : vivre et travailler au sein de Sky City, une « grande » qu'Aoste ou Oristano (Broad.com)
http://www.corriere.it/esteri/foto/05-2013/grattacielo/30milapersone/cina-ecco-grattacielo-30000-abitanti_33ec8b0c-c13e-11e2-9182-3948fb309202.shtml#2
L'Europe fait marche arrière sur le pétrole
RépondreSupprimerMai 23
Il avait été présenté comme une révolution pour le restaurant: pas plus de bouteilles d'huile, mais les bouteilles d'origine, afin d'éviter les faux à la table. Mais après une semaine, la Commission europe a eu des doutes, pour s'attacher à des critiques. L'idée était d'abolir la première huile en vrac dans les lieux publics, puis le vinaigre, puis le vin, l'envoi des cruches de broyage du «vin de la maison» que l'on trouve encore dans de nombreux restaurants.
Avec le vin aurait été plus simple, sans huile. Les entreprises vont devoir produire des paquets de un demi-litre contenu ou encore moins à mettre sur la table, en essayant de trouver des bouteilles plus gracieuses que celles destinés aux grandes surfaces. Les traiteurs devront renoncer à l'achat de forfaits multilitro qui vous permettent de réduire le coût du pétrole. Bruxelles avait expliqué qu'il fallait agir pour éviter la manipulation et de défendre la qualité de l'huile.
Au cours de la discussion, la Commission européenne a constaté que l'Italie et le Portugal ont déjà adapté à l'interdiction dell'oliera, bien que de nombreux restaurateurs ne semblent pas le savoir. A partir du 1er Janvier mesure suivante devait être étendu à toute l'Europe: via la burette, seules les bouteilles de bouchon d'huile de qualité avec effraction. 15 Etats membres ont soutenu l'initiative: l'Italie à l'avant-garde avec l'Espagne, la Grèce et le Portugal, la France, l'Irlande, Chypre, la Slovénie, la Slovaquie, la Pologne, la Lettonie, Lutuania, République tchèque, Roumanie et Malte. Contre la décision ont été jetés Allemagne, Danemark, Pays-Bas, la Bulgarie, l'Estonie, le Luxembourg, l'Autriche, la Finlande et la Suède. Abstenu, Royaume-Uni, la Belgique et la Hongrie. Comme il n'y a pas de majorité en faveur ou contre la vigueur, la proposition est encore passé. Hier, la Grande-Bretagne a protesté. Et récemment, la Commission a retiré tous. Cela a été annoncé par le commissaire Dacian Cialos: l'interdiction européenne des burettes d'huile, il y aura. Reste à voir quel sera l'Italie.
http://divini.corriere.it/2013/05/23/leuropa-fa-retromarcia-sullolio/
Chine ralentit, s'effondre le Tokyo Stock Exchange (-7%)
RépondreSupprimeren Europe ouvre en rouge profond, Milan -2,3%
Marchés et l'économie mondiale
Tremblement des marchés après les données sur le ralentissement de l'économie chinoise. Pour le Japon est la pire sourde de Fukushima
Les bourses asiatiques plongent sous l'effet conjugué de la contraction du secteur manufacturier chinois indice PMI, la première en sept mois, et les déclarations du président de la Fed Ben Bernanke a ouvert mercredi une réduction possible du plan pour l'achat de titres lancé pour stimuler l'économie américaine. Accuser les plus durement touchées est de Tokyo, qui a fini en baisse 7,32%, la plus forte baisse de -10.55% reçue après le tsunami en 2011 a causé la catastrophe de Fukushima. En Chine, Shanghai est proche après la séance avec une baisse de 0,99%. Lourd Hong Kong, en baisse de 2,54%, tandis que Séoul recule d'1, 24%. 1 vers le bas, 99% de la bourse de Sydney.
VENTES - restent lourdes mi-séance après les stocks européens données décevantes sur l'activité manufacturière en Chine qui a frappé Tokyo et les marchés asiatiques. Milan (-2,3%), une reprise par rapport aux creux de la session (-3%), donne le maillot noir à Francfort (-2,6%), Paris a perdu 2,3% et le London 1 9 %. Les sacs attendent le déploiement de données macroéconomiques américaines, y compris celles sur l'emploi, l'amélioration de ce qui pourrait aider à accélérer les mesures de relance de la Fed
OBLIGATIONS D'ÉTAT - L'écart entre les BTP dix ans et Bund allemand est stable à 263 points pour un taux de 4%. Le différentiel Bonos / Bund s'est établi à 288 points pour un rendement de 4,25%.
http://www.corriere.it/economia/13_maggio_23/piazza-affari-mercati_3d2701c2-c37b-11e2-8072-09f5b2e9767e.shtml
'J'espère que tous les contribuables de toute l'Europe vont entendre cela...'
RépondreSupprimer22 mai 2013
par Audrey Duperron
Le Parlement européen a débattu mercredi à propos de l'évasion fiscale et des paradis fiscaux. Nigel Farage, le leader du parti eurosceptique britannique UKIP, coutumier des déclarations fracassantes, n’a pas manqué cette occasion de brocarder une fois de plus la bureaucratie européenne :
« Le fait est que nous avons une grande unité aujourd’hui avec un ennemi commun : les gens riches et les compagnies prospères qui cherchent à éviter de payer des impôts, ce qui, bien sûr, est un problème. Eviter de payer des impôts n’est pas illégal, mais cela donne à cette chambre un ton hautement moralisateur. M. Barroso a dit que c’était surtout une perception d’équité, parce qu’il y a cet avantage qui creuse l’écart entre le Royaume Uni, les îles de la Manche, l’île de Man et les îles Caïman. Mais avant que nous déclarions nos vertus, peut-être devrions nous examiner seulement ce qui se passe plus proche de chez nous.
Et j’espère que tous les contribuables de toute l’Europe vont entedre cela. Si nous examinons les officiels qui travaillent pour la Commission européenne et le Parlement européen, la plus haute catégorie est celle de personnes qui gagnent un salaire net d’un peu plus de 100.000 livres sterlings par an (environ 120.000 euros annuels). Et pourtant, avec les règles de l’UE, ils ne payent que 12% d’impôts. C’est une fraude fiscale sur une échelle absolument phénoménale, et M. Barroso, je vous dirais : « Comment peut-on estimer que c’est juste ? Comment les gens d’ici qui ont du mal – les 16 millions de chômeurs de la zone euro – quelle considération peuvent-ils avoir pour ces institutions, qui non seulement donnent de grosses sommes d’argent à des gens, mais qui en plus les autorisent à bénéficier d’avantages fiscaux et aussi bien sûr, des avantages de pension sur une échelle d’une ampleur encore inconnue dans le reste du monde ? Je suggère donc que nous baissions notre ton moralisateur.
Et que nous ont donné ces officiels ? Eh bien, ils ont été les architectes de l’euro, qui est un désastre total, leur obsession pour le réchauffement climatique, qui tinte très fortement ici, signifie que nous avons gâté nos campagnes et nos côtes avec ces éoliennes affreuses qui ont fait grimper le prix de l’énergie.
(suite en dessous:)
Mais ne permettons pas que l’on puisse dire que je ne suis pas capable de reconnaître le succès quand je le vois, et je suis sûr que tous les citoyens de l’Europe vont tous applaudir et crier hourrah, parce que le grave danger mortel des bols d’huile d’olive pour tremper son pain a été supprimé par les officiels.
RépondreSupprimerBravo à tous !»
Alors que la députée finlandaise socialiste Liisa Jaakonsaari lui demande :« J’espère que les citoyens européens ont entendu les opinions cyniques de Monsieur Farage, et ses prières pour les paradis fiscaux britanniques. Monsieur Farage, est ce que vous ne pensez pas que c’est une bonne idée que le Conseil européen évoque les problèmes d’évasion fiscale et de paradis fiscaux ? Etes-vous tellement cynique que vous pensez que c’est une mauvaise idée ? », il répond :
« Je suis d’accord avec vous que l’évasion fiscale est un problème et qu’elle coûte de l’argent aux gouvernements, mais nous devrions nous souvenir que l’optimisation fiscale est légale. Et la raison principale qui explique la prospérité de ces paradis fiscaux, c’est que nous avons cet état d’esprit vraiment ancré que nous devons essayer de soutirer le plus possible d’impôts des individus qui ont réussi. Et si vous faites cela, et que vous avez un système fiscal très complexe, les gens feront tout ce qu’ils pourront dans les limites de la loi pour éviter de payer des impôts autant que possible. Les gouvernements doivent donc commencer par apprendre quelques unes des leçons des Etats-Unis et du Royaume Uni des années 1980. Baisser les impôts, simplifier les impôts, et ensuite pour ceux qui souhaitent respecter la loi, il n’y a plus besoin d’avoir recours à des paradis fiscaux ».
- voir clip sur site:
http://www.express.be/business/fr/economy/jespere-que-tous-les-contribuables-de-toute-leurope-vont-entendre-cela/190723.htm