C'est aussi ce qui est appelé 'démocratie'

L'effet d'être heureux maintenant est une situation de 'fin-mondiste' qui tend à prendre tout de suite quelque chose de peur de ne plus pouvoir en saisir l'occasion un autre jour ! Pareillement que pendant la guerre en Europe les gens qui mangeaient disaient toujours "Encore un que les allemands n'auront pas !"

Mais là où cela se rapproche de 'la vitre de Bastiat' c'est dans l'alternative de deux routes. Ce choix considérable entre partir à gauche ou partir à droite peut prêter à toute discussion. Cela me rappelle un film de François Richenbach (70's ?) où - alors aux USA pour reportage - il avait demandé à un immigrant de l'Inde depuis 10 ou 15 ans ce qu'il n'aimait pas dans l'Amérique, et là, le type a répondu "On ne sait pas où aller" ! C'est-à-dire que comme un oiseau sorti de sa cage qui se demanderait s'il ne devrait pas y retourner !

D'où l'absurdité - pour éviter que les gens se posent trop de question - de toujours leur faire faire un travail répétitif au même endroit. Ainsi comme chaque jour l'ouvrier se lèvera a heure fixe et partira vers l'usine par la même route et passera toute sa vie à répéter ces manoeuvres. Par contre, le jour où il sortira de son train-train quotidien...

Rendez-vous compte que, l'humain a un cerveau. Un. Et se pose encore des questions ! Qu'en serait-il s'il devait en gérer plusieurs ?! Ainsi tous chefs d'Etats doivent 'penser pour les autres' ! (alors que cette fonction n'est demandée par personne !). Tout aussi obscurément sont apparus les 'rois/chefs et empereurs' qui - se couronnant eux-mêmes - se sont donc désigné comme 'être suprême' du dessus-des-autres mais qui comme les 'tireurs d'élites' n'ont jamais atteint leur cible.

Ce qui - il fut un temps - put été considéré comme un affront d'obéir aux ordres de regagner le navire (en l'occurrence le 'Bounty') aux marins qui désiraient rester là sur l'île découverte et même si tout l'équipage n'est fait de 'Christian Fletcher', les capitaines Bligh sont encore là. D'où l'avancée considérable des sur-places de l'immobilisme qui ont traversé les siècles. Ainsi, depuis que l'union fait la force, l'esprit se serait arrêté à la force physique !

Aux 'débats' télévisés où "Faut-il "s'asseoir" sur la dette" seulement deux directions sont apparues du 'continuer jusqu'au mur' ! et celle d'en sortir qui ne réserverait que le strict point final de la première proposition ! "Et le terme de pause est-il fait pour les chiens ?" Ce temps accordé pour refaire le plein n'est même pas abordé ! Pareillement qu'au titre d'inondation où la Seine pourrait envahir Paris, des substituts de mélancolie se sont glissé au 'débat' où, les réserves d'eau souterraines étant pleines, les pluies fabriqueraient les inondations ! Choses qui - soi-dites en passant - si elles avaient été vides... ce serait la même chose because que les taux d'absorption par la terre sont toujours moindres que les grandes pluies. Ainsi, n'ont jamais été abordé le véritable pourquoi de telles inondations !

Si l'eau de l'océan était au même niveau que la Capitale, l'eau stagnerait. Si l'eau se déplace doucement vers l'Atlantique c'est qu'il y a déclivité. Or, que voyons-nous ? L'eau du fleuve se déplace très vite, donc: il y a bien un haut et un bas; et, si cela déborde c'est... (question a 1 Franc:) que la Seine n'a pas été draguée ! Ainsi fait, si un enlèvement de vase sur 2 mètres était procédé... l'eau du fleuve... descendrait de 2 mètres ! Cà alors ! (poussez pas c'est moi qui l'ai trouvé !). (et comme les écluses ne sont aussi pas faites pour les chiens...).

D'où les absurdités constatées tous les jours chez 'les gens qui nous gouvernent' de n'évoluer qu'en vases clos et de n'accepter comme remarques que les pas invités à discourir. C'est aussi ce qui est appelé 'démocratie'.