- ENTREE de SECOURS -



dimanche 3 septembre 2017

LES ARNAQUEURS VIP - Robert Vaughn, Adrian Lester, Jaime Murray

https://www.youtube.com/watch?v=MTkCIQGXC2Q

21 commentaires:

  1. Les Universités Françaises : la risée du monde entier !


    le 3 septembre 2017


    Le site webometrics (www.webometrics.info/en/world) vient de publier son dernier classement mondial des universités et la France fait figure de très mauvais élève. Ce classement considère avant tout autre critère l’impact international des Universités en termes de publications scientifiques et les Universités françaises sont, parmi les pays développés, complètement dans les choux, pour reprendre une expression bien connue des auteurs classiques.

    La première Université française classée est à la 180e place, bien après des consoeurs canadiennes, italiennes, néerlandaises ou allemandes et même brésilienne (Université de Sao Paulo), il s’agit de l’Université Paris VI Pierre et Marie Curie. Puis à la 292e place on trouve l’Université Paris XI (Orsay-Saclay), à la 333e place l’Université de Grenoble-Alpes suivie de près par l’Ecole Normale Supérieur d’Ulm (336e place) puis l’Université de Bordeaux (340e), l’Université Claude-Bernard de Lyon (351e). À la 359e place se situe l’Université Paris VII-Diderot suivie à la 378e place au classement par l’Université d’Aix-Marseille …

    Inutile d’aller plus loin dans les profondeurs du classement c’est suffisamment significatif !

    Où est le problème des universités françaises ? D’aucuns diront que ces endroits sont l’antichambre des bureaux de chômage puisqu’un diplôme de sociologie ou de philologie ne mène à rien de concret pour intégrer la vie active. En réalité, et de mon point de vue que je ne partage qu’avec moi-même, c’est tout le système éducatif français qui est inefficace, depuis l’école primaire. L’apprentissage de la lecture et de l’écriture est déjà un désastre avec la méthode dite globale. Puis l’obsession de délivrer le diplôme du baccalauréat à tous les élèves est une stupidité totale, enfin le tronc commun qui, au nom de l’égalité des chances, n’effectue aucune sélection en cours de scolarité est un pur non-sens. Les métiers manuels sont délaissés alors que de nombreux élèves se désintéressent de la grammaire et du calcul. On apprend à jouer au piano ou au violon dès l’âge de 5 ans, on peut tout aussi bien apprendre à être plombier, menuisier ou carreleur dès l’âge de 13 ans en apprentissage si à cet âge on s’ « emmerde » en classe. Or le système français considère que les métiers manuels sont dégradants et que tous les élèves doivent devenir des bacheliers et pouvoir éventuellement entrer à l’université, mais pour faire quoi ensuite ? C’est l’une des raisons pour lesquelles il y a en France chroniquement près de 300000 offres d’emplois (dits manuels) non satisfaites et le pays en est arrivé au paradoxe invraisemblable consistant à faire appel à des travailleurs étrangers pour satisfaire ces emplois …

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  2. Est-ce dégradant d’être électricien ou staffeur ou encore facteur d’instruments de musique ? Il n’existe pas d’école pour apprendre les deux derniers métiers mentionnés, il faut obligatoirement être apprenti chez un professionnel. Un de mes neveux a choisi de devenir plombier. Il a suivi quelques heures de cours dans une école dite pompeusement professionnelle mais il a surtout appris le métier comme compagnon dans une petite entreprise de plomberie. Il n’est pas nécessaire de faire des études sophistiquées de dynamique des fluides pour devenir plombier, cette discipline s’apprend à l’Université ou dans les écoles d’ingénieur. Ces exemples illustrent la totale stupidité du « tronc commun éducatif » si cher aux théoriciens de la Rue de Grenelle (Ministère de l’Education Nationale français) au nom de l’égalité des chances, une autre ineptie qui a ruiné l’ensemble du système éducatif français. Voilà la vraie raison du classement déplorable et bien regrettable des Universités françaises qui est à la mesure du déclin généralisé de la France …

    https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/09/03/les-universites-francaises-la-risee-du-monde-entier/

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  3. « À propos de la mesure du gaspillage alimentaire »


    2 Septembre 2017
    Seppi

    Les incertitudes statistiques en deux images pour la France (1)

    - voir graphique sur site -

    « On the Measurement of Food Waste » (à propos de la mesure du gaspillage alimentaire) est un article de Marc F. Bellemare, Metin Çakir, Hikaru Hanawa Peterson, Lindsey Novak et Jeta Rudi publié dans American Journal of Agricultural Economics. Le premier est professeur associé au Département d'Économie Appliquée de l'Université du Minnesota.

    Voici le résumé (nous découpons en paragraphes) :

    « Selon l'Organisation des Nations Unies pour l'Alimentation et l'Agriculture, un quart à un tiers de tous les aliments produits dans le monde est gaspillé. Nous développons un cadre simple pour réfléchir de manière systématique au gaspillage alimentaire en fonction du cycle de vie d'un produit alimentaire typique. Sur la base de notre cadre, nous identifions les problèmes liés aux mesures existantes du gaspillage alimentaire et proposons une approche plus cohérente et plus pratique. Ce faisant, nous montrons d'abord que les mesures existantes et largement citées du volume et de la valeur du gaspillage alimentaire ne sont pas cohérentes et exagèrent le problème du gaspillage alimentaire.

    En dirigeant et en affectant mal certaines des ressources actuellement consacrées aux efforts de réduction du gaspillage alimentaire, cette surestimation du problème pourrait avoir de graves conséquences pour les politiques publiques.

    Notre cadre permet ensuite de documenter les points d'intervention pour les politiques visant à réduire l'étendue du gaspillage alimentaire dans le cycle de vie des aliments et à identifier les interdépendances entre les leviers de politique potentiels. »

    Les incertitudes statistiques en deux images pour la France (2)

    Les auteurs proposent comme définition du gaspillage la différence entre la quantité produite et la somme des quantités utilisées à une fin productive quelconque, en tant qu'aliment ou non. Mais laissez-vous séduire par la formulation...

    Rappelons que, pour la FAO :

    « Les gaspillages alimentaires

    Les pertes alimentaires peuvent être définies comme «la diminution de nourriture en quantité ou en qualité». La partie des pertes alimentaires appelée « gaspillage alimentaire » se réfère aux aliments qui sont sains et nutritifs, produits pour la consommation humaine mais qui sont jetés ou détournés vers des utilisations non alimentaires le long de la chaîne d’approvisionnement, de la production primaire jusqu’au niveau du consommateur final. Le gaspillage alimentaire est reconnu comme une partie distincte des pertes alimentaires parce que le forces directrices que les génèrent sont différentes de celles qui génèrent les pertes alimentaires. (FAO, 2014)

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  4. Environ un tiers des aliments produits dans le monde pour la consommation humaine chaque année est perdu ou gaspillé. Les études de la FAO ont estimé que le gaspillage par personne au niveau des consommateurs est actuellement entre 95 et 115 kg par an en Europe et en Amérique du Nord, tandis qu’en Afrique Sub-Saharienne, en Asie du Sud et du Sud-Est, chaque personne jette seulement 6 à 11 kg par an. (FAO, 2011) »

    Voici la définition du projet européen FUSIONS :

    « Le gaspillage alimentaire est constitué par les aliments, et les parties non comestibles, éliminés de la chaîne d'approvisionnement alimentaire à récupérer ou à éliminer (y compris à composter, à mettre en terre/non récoltés, à utiliser en digestion anaérobie ou pour la production de bioénergie, la cogénération, l'incinération, l'élimination par les égouts, les décharges ou les rejets en mer). »

    Sur la base d'un modèle, les auteurs ont présenté les résultats, en termes de volume et de valeur, de l'application de leur définition et de quatre autres couramment employées. Ce qui est d'intérêt ici, ce ne sont pas les valeurs en soi (qui dépendent des coefficients utilisés dans le modèle), mais les écarts entre définitions.

    M. Bellemare a produit récemment un article, « Is ‘Food Waste’ Really Such a Waste ? » (le « gaspillage alimentaire » est-il un tel gaspillage ? ») dans le Wall Street Journal » (derrière un péage). En sous-titre, assez provocateur : « La quantité optimale de gaspillage n'est pas zéro ».

    M. Jason Lusk en a reproduit deux paragraphes sur son blog :

    « En outre, la quantité optimale de gaspillage alimentaire n'est pas nulle. Même la chaîne d'approvisionnement la plus efficace n'est pas sans frottement. Si vous êtes comme moi, vos achats de fruits et légumes frais reflètent plus souvent ce que vous souhaitez manger plutôt que ce que vous mangez réellement. Lorsque vous sortez dîner, vous courez le risque de ne pas aimer votre repas, ou vous pouvez commander trop et ne pas ramener les restes à la maison. Certaines de ces questions peuvent être résolubles en théorie, mais plus on tend vers le zéro gaspillage, plus ce sera coûteux de chercher à éliminer complètement le gaspillage.

    Il est particulièrement important de comprendre cela étant donné que "sauver" des aliments comestibles de la poubelle n'est pas la même chose que les envoyer pour nourrir les affamés. Les discussions populaires semblent souvent supposer implicitement que les aliments gaspillés pourraient être réaffectés d'une manière ou d'une autre pour nourrir les pauvres à peu ou pas de frais. Mais si des niveaux inférieurs de gaspillage alimentaire ont un effet positif sur la sécurité alimentaire, cela est loin d'être évident. L'ONU dit que les 5,9 milliards de personnes qui vivent dans les pays en développement et les 1,2 milliard des pays industrialisés perdent à peu près la même quantité de nourriture : environ 715 millions de tonnes par an. À mesure que la nourriture devient une fraction de plus en plus petite du budget d'un ménage, le gaspillage de nourriture devient de moins en moins cher par rapport aux autres dépenses. »

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  5. Ce dernier paragraphe est intéressant car il nous livre une illustration des incohérences dans les mesures et évaluations. Nous n'avons pas trouvé la source des 715 millions de tonnes. Dans « SAVE FOOD: Initiative mondiale de réduction des pertes et du gaspillage alimentaires », un page malheureusement non datée, la FAO écrit :

    « Les pays industrialisés et en développement perdent environ la même quantité de nourriture, respectivement 670 et 630 millions de tonnes. »

    « ...perdent... » est une traduction fautive de « ...dissipate... », un terme sémantiquement peu approprié qui a pour but d'englober les pertes et le gaspillage.

    Prenons les chiffres de M. Bellemare pour les pays industrialisés : cela ferait près de 600 kg de pertes et gaspillage par habitant, tout au long de la chaîne alimentaire. Crédible ? Comparez avec le graphique suivant tiré du même document de la FAO.

    Nous ajouterons un dernier point : perdre ou gaspiller un kilo de tomates n'est pas la même chose en termes alimentaires que perdre ou gaspiller un kilo de riz. Les comptes en termes de poids ne sont qu'un indicateur très imparfait.


    Post scriptum

    Un site qu'on peut visiter sur les calculs de pertes et gaspillage alimentaires : http://flwprotocol.org/

    http://seppi.over-blog.com/2017/09/a-propos-de-la-mesure-du-gaspillage-alimentaire.html

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    1. Question idiote que de demander pourquoi y aurait-il du gaspillage.

      Primo, l'agriculteur se doit de produire beaucoup car il y a TOUJOURS un pourcentage de perte dû aux maladies, attaques d'insectes, météo, etc. Idem pour les élevages.

      Secundo, le stockage en chambres froides a un coût lié au prix de l'électricité de plus en plus chère because qu'elle nécessiterait maintenant un stockage !! (alors que seules les centrales nucléaire sont aptes à réguler la demande sans pollution et s'adapter aux marchés.

      Tertio, même les conserves et embouteillages ont un coût et une durée de vie limitée.

      Quarto, le principal est que la marchandise soit achetée. Après, libre à chacun d'en faire ce qu'il veut car, de TOUTES FAÇONS la TOTALITÉ de ses achats alimentaires retourneront tôt ou tard d'où ils viennent ! (c-à-d: à la terre).

      Quinto, il n'y a donc pas de gaspillage puisque notre planète ne pèsera pas un gramme de plus ou de moins !
      Le seul service qui devrait être demandé aux consommateurs est: de rapporter les déchets et emballages... là où vous les avez acheté ! (aux poubelles des magasins).
      Vous allez au supermarché ? Portez-y vos poubelles ! (plus légères qu'avant). Cela vous évitera de gaspiller votre argent à payer des factures de voirie ! Libèrera des places de parking par la disparition des containers-poubelles. Évitera les embouteillages matinaux plutôt nauséabonds !

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  6. Une attaque "super-puissante" EMP: l'arme la plus récente de Corée du Nord contre les États-Unis


    par Tyler Durden
    3 septembre 2017 15h15


    La dynamique de l'étalement entre les États-Unis et la Corée du Nord a considérablement changé au cours de la dernière semaine.

    Tout d'abord, le Nord a commencé par une provocation inattendue - lancer un missile sur l'île japonaise de Hokkaido - avant de suivre son sixième test nucléaire. Aussi, à en juger par la taille du tremblement de terre détecté dans le nord montagneux du pays dimanche matin, la Corée du Nord a peut-être dit la vérité quand elle a déclaré qu'elle a conduit ce qu'elle a décrit comme son premier test de la bombe à hydrogène.

    Et alors que le Nord se vantait du «grand pouvoir destructeur» de l'arme dans une émission télévisée, ce qui a attiré l'attention des analystes était une mention d'une tactique différente: détoner une bombe H à haute altitude pour créer une impulsion électromagnétique qui pourrait éliminer des parties de le réseau électrique américain.

    Voici WSJ:

    "Les menaces de la Corée du Nord contre les États-Unis incluent maintenant une tactique longuement discutée par certains experts: une impulsion électromagnétique, ou EMP, déclenchée par une arme nucléaire qui viserait à éteindre le réseau électrique américain.

    L'agence de presse officielle de Corée du Nord a fait une référence rare à la tactique dans une version du dimanche matin où le pays a déclaré qu'il était capable de charger une bombe à hydrogène sur un missile à longue portée. La bombe, a déclaré la Corée du Nord, «est un nucléaire thermonucléaire multifonctionnel avec un grand pouvoir destructeur qui peut être détoné même à haute altitude pour une attaque EMP super puissante»

    Contrairement à un nucléaire conventionnel, une explosion EMP - pense Oceans '11 - n'est pas directement mortelle et sert principalement à éliminer l'infrastructure clé (utile lors du vol de casino).

    Cependant, cela entraînerait probablement un nombre inconnu de décès indirects alors que les hôpitaux et les infrastructures essentielles perdent leur énergie électrique (réseaux ou batteries).

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  7. "L'idée d'une attaque EMP est de détoner une arme nucléaire à des dizaines ou à des centaines de milles au-dessus de la terre dans le but de renverser le pouvoir dans une grande partie des États-Unis. Contrairement aux bombes atomiques américaines tombées sur Hiroshima et Nagasaki en 1945, une telle arme n'est pas directement de détruire des bâtiments ou tuer des gens. Au lieu de cela, les ondes électromagnétiques de l'explosion nucléaire produiraient des impulsions pour submerger le réseau électrique et les appareils électroniques de la même manière qu'une onde éclair pourrait détruire l'équipement ".

    Dans le pire scénario possible, les réseaux électriques régionaux pourraient être déconnectés pendant des mois, ce qui pourrait coûter beaucoup de morts, car les gens finiraient par ne pas utiliser de produits de première nécessité comme les aliments et les médicaments. Les législateurs et l'armée américaine ont pris conscience de la menace EMP pendant de nombreuses années, selon WSJ. Dans un rapport de 2008 commandé par le Congrès, les auteurs ont averti qu'une attaque EMP entraînerait "des perturbations répandues et durables et des dommages aux infrastructures critiques qui sous-tendent le tissu de la société américaine".

    Dans un rapport publié le mois dernier, Hill Hill a noté que le Nord pourrait choisir de mener une attaque d'EMP sur le Japon ou la Corée du Sud comme un acte d'agression politiquement plus acceptable. Une telle attaque pourrait aider le Nord à atteindre ses trois objectifs politiques les plus importants, a déclaré Hill.

    "La Corée du Nord possède des missiles et des satellites nucléaires potentiellement capables d'une attaque par impulsions électromagnétiques (EMP). L'EMP est considérée par beaucoup comme l'utilisation la plus politiquement acceptable d'une arme nucléaire, car la détonation à haute altitude (au-dessus de 30 kilomètres) ne produit pas d'effets explosifs, thermiques ou radioactifs nuisibles aux personnes.

    EMP lui-même est inoffensif pour les personnes, ne détruisant que l'électronique. Mais en détruisant les réseaux électriques et autres infrastructures critiques durables, les effets indirects d'EMP peuvent tuer beaucoup plus de personnes à long terme que de dynamitage nucléaire dans une ville. Dans ce scénario, la Corée du Nord attaque le Japon et la Corée du Sud pour atteindre ses trois objectifs de politique étrangère les plus importants: la réunification avec la Corée du Sud, la vengeance contre le Japon pour la Seconde Guerre mondiale et la reconnaissance de la Corée du Nord en tant que puissance mondiale ".

    Les scientifiques ont d'abord découvert les capacités EMP auxiliaires d'une pompe à hydrogène après avoir testé une dans le Pacifique au début des années 1960.

    "Lorsque les États-Unis ont testé une bombe à hydrogène dans le Pacifique en 1962, les feux s'éclairent à Honolulu, près de 1 000 milles du site d'essai. Les événements électromagnétiques naturels sur le soleil peuvent également perturber les systèmes d'alimentation.

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  8. Une panne d'électricité de 1989 au Québec qui est venue des jours après que des explosions puissantes sur le soleil ont expulsé un nuage de particules chargées qui ont frappé le champ magnétique terrestre.

    Certains experts qui ont parlé avec WSJ ont déclaré qu'il serait impossible de garantir le succès lors d'une attaque d'EMP, car l'arme devrait détoner avec une précision presque parfaite.

    "Les sceptiques reconnaissent généralement qu'une attaque EMP serait possible en théorie, mais ils disent que le danger est exagéré, car il serait difficile pour un ennemi tel que la Corée du Nord d'étalonner l'attaque afin d'endommager le réseau électrique américain. Si une bombe nord-coréenne a explosé loin de son emplacement cible, elle pourrait éliminer seulement quelques appareils ou des parties de la grille. "

    La Corée du Nord a déclaré que sa pompe à hydrogène avait un pouvoir explosif de dizaines de kilotons à des centaines de kilotons, alors bien sûr, si elle atterrit pour fermer, ou l'attaque a été mal menée par d'autres moyens, ce qui devait être une attaque d'EMP entraînerait un nucléaire la grève. Au moins un expert a déclaré que l'utilisation d'une attaque EMP aurait peu de sens lorsque le Nord pourrait causer beaucoup plus de destruction avec une attaque nucléaire au sol.

    "D'autres disent que, même si la Corée du Nord avait la capacité technique de délivrer un pouls électromagnétique dommageable, il ne serait pas judicieux de l'utiliser parce que Pyongyang pourrait faire plus de destruction avec une attaque nucléaire traditionnelle dirigée vers une grande ville.

    Un état déchaîné préfère un «éclat de terrain spectaculaire et direct, de préférence à une grève EMP peu fiable et incertaine. Une arme de destruction massive est préférable à une arme de perturbation de masse ", a écrit le physicien Yousaf M. Butt dans une analyse de 2010".

    Heureusement, si les autorités militaires américaines craignent vraiment une attaque, il existe des mesures à long terme que les États-Unis pourraient prendre pour minimiser l'efficacité d'une attaque par impulsions électromagnétiques. Les défenses pourraient être renforcées peu coûteuses en concevant des composants de grille électrique pour résister à des impulsions soudaines, tout comme la grille est déjà protégée contre les éclairs. Les États-Unis pourraient également créer des systèmes de sauvegarde qui pourraient intervenir pour les principaux réseaux électriques en cas d'urgence.

    Si le dernier test nucléaire du Nord, mené début dimanche, ne comportait pas de bombe à hydrogène, l'arme utilisée était au moins proche de celle des fonctionnaires américains. C'était le premier essai nucléaire du Nord depuis la fin de l'année dernière, et aussi le premier depuis que les tensions entre Kim Jong Un et le président Donald Trump ont commencé à escalader peu après son inauguration. La Chine, le Japon, la Corée du Sud et les États-Unis ont déjà condamné l'attaque, la Chine et la Corée du Sud ayant menacé de travailler avec le Conseil de sécurité pour imposer des sanctions plus lourdes contre le défiant nord.

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  9. Pendant ce temps, le président Donald Trump, dans une série de tweets, a laissé entendre qu'il était frustré par les mesures diplomatiques, qu'il appelait «apaisement». Nous imaginons qu'il y a plus de quelques généraux qui lui chuchotent à propos de la réussite potentielle d'une grève chirurgicale .

    * * *

    Enfin, voici un repost depuis juillet 2014, dans lequel la légende du fonds de couverture Paul Singer, responsable de Elliott Management, a déclaré que «il existe un risque qui se situe nettement au-dessus du reste en ce qui concerne la portée des dommages potentiels ajustés en fonction de la probabilité d'occurrence "- une impulsion électromagnétique (EMP). Trois ans, il peut être prouvé correctement.

    De: "Le" danger le plus important "selon Paul Singer d'Elliott"

    EMP: LE DANGER LE PLUS SIGNIFICATIF

    Bien que ces pages débordent généralement de scénarios effrayants ou déprimants, il existe un risque qui se situe nettement au-dessus du reste en fonction de la portée des dégâts potentiels ajustés en fonction de la probabilité d'occurrence. Même la guerre nucléaire est une question relativement localisée, sauf dans sa forme la plus extrême. Et la menace des astéroïdes peut (peut-être) être atténuée.

    Les risques associés aux impulsions électromagnétiques, ou EMP, représentent une autre histoire entièrement. Cela peut se produire naturellement, à partir de tempêtes solaires qui envoient des "éjections de masse coronale", qui sont des explosions énergétiques massives de vent solaire, des dizaines de millions de kilomètres en quelques heures seulement. Ou il peut être artificiel, produit par une explosion de haute altitude (au moins 15 milles) d'armes nucléaires à relativement faible rendement (même à Hiroshima-force).

    Les différents initiateurs d'EMP ont des impulsions différentes et des effets différents. Mais le résultat est que EMP frite des appareils électroniques, y compris des parties de grilles électriques. En 1859, une perturbation solaire particulièrement forte (le "Carrington Event") a provoqué une perturbation du réseau télégraphique naissant. Il est arrivé à nouveau avec des perturbations similaires en 1921, avant que notre réseau électrique moderne n'ait existé. Une étude de la NASA a conclu que ces événements se sont déroulés environ une fois par siècle. Une répétition de l'événement Carrington aujourd'hui entraînerait une perturbation massive de la grille électrique, éventuellement la fermeture complètement pendant des mois ou plus, avec des conséquences inimaginables.

    Il y a seulement deux ans, le soleil se lâche avec un éclat de Carrington-magnitude, mais la position de la terre à l'époque empêchait l'éclatement de le frapper. Les chances d'événements supplémentaires d'une telle ampleur peuvent être beaucoup plus importantes que la plupart des gens pensent.

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  10. La version artificielle d'EMP, une sorte d'attaque nucléaire, nécessiterait entre une et trois explosions nucléaires de grande altitude pour créer son effet sur l'ensemble de l'Amérique du Nord. Cela n'entraînerait aucun dommage causé par les rayonnements ou les rayonnements, mais une telle attaque aurait des conséquences

    La version artificielle d'EMP, une sorte d'attaque nucléaire, nécessiterait entre une et trois explosions nucléaires de grande altitude pour créer son effet sur l'ensemble de l'Amérique du Nord. Cela n'entraînerait aucun risque de rayonnement ou de rayonnement, mais une telle attaque aurait des conséquences encore plus catastrophiques qu'une tempête solaire sévère. Il ne pouvait pas seulement réduire la grille, mais aussi poser un pouls très intense et très rapide à travers le continent, endommager ou détruire les commutateurs électroniques, les appareils, les ordinateurs et les transformateurs à travers l'Amérique.

    Il n'y a aucun moyen d'arrêter un EMP naturel, et la prolifération nucléaire, combinée aux progrès dans les systèmes de livraison d'armes, rend la version artificielle une possibilité distincte, de sorte que les dangers sont très réels.

    Que peut-on faire à propos de ce risque ? Les éléments critiques du réseau électrique et des appareils électroniques essentiels peuvent être durcis. Les pièces de rechange peuvent être stockées pour d'autres matériels moins critiques. Des procédures peuvent être développées dans le cadre de la préparation aux situations d'urgence afin que les agences gouvernementales compétentes et les ONG d'intervention d'urgence soient prêtes à répondre rapidement et efficacement à un épisode grand ou petit.

    Pourquoi écrivons-nous sur EMP? Parce que dans toute analyse du risque sociétal, EMP est tout seul. Les comités du Congrès étudient ce problème et la législation fédérale travaille activement dans le processus. Nous pensons que sensibiliser les gens sur ce qui devrait être un effort des deux parties pour rendre le pays (et le monde) plus sûr de ce type d'événement est une bonne chose à faire.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-09-03/super-powerful-emp-attack-north-koreas-newest-weapon-against-us

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    1. TOUS les pays du monde sont aujourd'hui dotés de l'Impulsion ElectroMagnétique a plus ou moins grande échelle. Donc, la Corée du Nord ne déroge point à la règle.

      Or, d'après les essais constatés, la Corée du Nord ne possèderait que des EMP de premier secteur rayon de 50 à 100 km). D'où la nécessité pour elle de régler l'engin porteur (le lanceur) qui lui va à quelques milliers de kilomètres.

      Mais, de toute façon, quelque soit le pays (sauf la Corée du Sud) ont TOUS une DCA plus ou moins 'avant-gardiste' pour repérer et détruire tout engin volant non identifié.

      Donc, la SEULE crainte que peuvent avoir les pays du monde est (en dehors des avions qui chemtraillent tous les jours) d'être survolé par un 'avion de ligne' larguant l'EMP tout les 100 km !

      Qu'en est-il de la résultance ? L'EMP (appelé aussi 'bombe propre') grille TOUS les appareils qui usent de l'électricité. Voitures, avions, bateaux à moteur, téléphones, montres, pacemakers, etc, etc (sans oublier les ascenseurs !). La seule protection est la cage de Faraday qui sauve tel ou tel appareil enfermé dedans, ou, voitures anciennes qui démarraient à la manivelle et n'avaient besoin de batterie.

      Conséquence extrême: Toutes les centrales électrique (nucléaire ou pas) s'arrêtent. Résultat: Des milliers de Fukushima en préparation dans les heures qui viennent faute au défaut des pompes électrique pour acheminer l'eau aux réacteurs.

      Primo: Si tout s'arrête: Se cacher immédiatement dans une cave, sous un pont, etc car, pendant 10 minutes environ il y aura des chutes d'avions.

      Secundo, partir à pieds, a bicyclettes ou à cheval afin de s'éloigner des centrales nucléaire.

      Tertio: Gagner le bord de mer et prendre un bateau à voile ou rame (ou en confectionner un avec des chambres à air de type radeau) et s'éloigner de tout çà en espérant que le courant marin vous en éloigne vite.

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  11. Nouvelle Raquette d'ONG: Smuggling, Inc.


    par Tyler Durden
    4 septembre 2017 2:00 AM
    Auteur de Soeren Kern via The Gatestone Institute,


    Bien que l'Union européenne ait soulevé avec succès le président turc Recep Tayyip Erdogan l'année dernière - l'incitant à ralentir le flux de migrants en route vers la Grèce vers la Grèce - l'Italie a reçu près de 100 000 personnes cette année.

    Cet été, même plus que les années précédentes, il est devenu évident que certaines ONG travaillant en Méditerranée agissent comme des intermédiaires. Beaucoup ont en fait agi en tant que facilitateurs. Cela rend les ONG effectivement pas plus que le visage bénéfique des réseaux de contrebande. Les travailleurs secrets ont également découvert que les ONG remettent leurs bateaux aux réseaux des passeurs, les aidant effectivement à continuer leur entreprise criminelle indéfiniment.

    Un groupe qui cherche à s'opposer à la trajectoire folle autodestructrice actuelle de l'Europe ne peut désormais pas même fournir un soutien financier indépendant. Les groupes, cependant, continuent à pousser l'Europe sur sa trajectoire actuelle à continuer d'obtenir tout le soutien officiel dont ils ont besoin. Dans la différence de réaction à ces deux groupes, il y a une partie importante de l'histoire de la ruine d'un continent.
    Parfois, c'est dans l'écart entre les choses que la vérité émerge.

    Au cours des dernières années, l'Europe a été en train de recevoir l'une des crises migratoires les plus importantes de l'histoire. En 2015, en une seule année, des pays comme l'Allemagne et la Suède se sont retrouvés en ajoutant 2 % à leurs populations respectives. Bien qu'une grande partie du public continue de travailler sous l'inconvénient que ceux qui viennent encore fuient la guerre civile syrienne; en fait, la majorité de ceux qui entrent actuellement en Europe proviennent d'Afrique, en particulier de l'Afrique subsaharienne.

    Bien que l'Union européenne ait soulevé avec succès le président turc Recep Tayyip Erdogan l'année dernière - l'incitant à ralentir le flux de migrants en route vers la Grèce vers la Grèce - l'Italie a reçu près de 100 000 personnes cette année. L'Espagne - qui a profité d'une grande partie du mouvement des dernières années - se retrouve à l'origine de milliers de personnes qui sont parfois (comme dans ces images mémorables depuis le début de ce mois), atterrissent simplement sur les plages du pays et courent directement dans le pays. Ce faisant, ils ne se livrent pas seulement à l'Europe d'une manière illégale, mais en ignorant tous les protocoles d'asile, et d'autres protocoles, même si inadéquats, sont censés exister.

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  12. En réaction à de tels événements, les autorités espagnoles ont fait quelque chose d'extraordinaire. Ils ont fait le chemin des autorités italiennes et ont fait plus d'efforts pour intercepter les bateaux en direction du pays. Non pas pour les transformer ou les bloquer, mais pour les «sauver». Dans un seul jour de la semaine dernière, les gardes-côtes espagnols ont «sauvé» 600 migrants. Le but des guillemets autour du «sauvetage» est que son utilisation dans ce contexte est très contestable. Quelqu'un peut être sauvé d'une voiture en feu ou sauvé d'un bateau qui coule. Mais si des milliers de personnes passent intentionnellement à travers de vastes étendues d'eau, on peut difficilement dire que chacun d'entre eux a été «sauvé».

    De quoi ont-ils été secourus ? Ils peuvent être sauvés de la guerre. Ou ils peuvent être sauvés de la pauvreté. Ou des perspectives économiques légèrement moins réticentes que les personnes nées en Espagne. La plupart de ces personnes ont simplement été sauvés d'Afrique ou quel que soit leur pays d'origine. Cette situation conduit à des questions auxquelles les politiciens européens refusent même de répondre - c'est-à-dire si l'Europe devrait effectivement «sauver» toute personne qui se retrouve dans un bateau près d'Europe.

    Chaque fois qu'ils sont interrogés, le public en Europe dit constamment qu'ils veulent que la migration ralentisse ou s'arrête. C'est une opinion majoritaire dans tous les pays européens. Dans l'ensemble de l'UE, une enquête récente a révélé que 76% des citoyens européens pensent que la gestion de l'ensemble de la crise par l'Union européenne a été médiocre. Mais c'est dans l'écart entre le traitement de deux acteurs dans cette crise que nous pouvons discerner un fait terrible sur le destin de l'Europe.

    Tout au long de la crise des dernières années - et surtout depuis la crise de la crise en 2015 - les navires officiels exploités par les États européens ont été rejoints par des membres d'organisations non gouvernementales (ONG), soit sur les navires, soit sur les navires de course de les leurs. Une part significative de la partie de la crise des migrants («sauvetage») (la recherche de bateaux et le transfert de ceux sur des navires sûrs ou le guidage de leurs navires vers le port) a été effectuée par des ONG. Des organisations telles que Save the Children et Médecins sans frontières ont été invitées à le faire par des organismes gouvernementaux européens, et bon nombre d'entre eux reçoivent des fonds importants du gouvernement ainsi que des dons de bienfaisance du public.

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  13. Pourtant, cet été, même plus que les années précédentes, il est devenu évident que certaines des ONG travaillant en Méditerranée agissent comme des intermédiaires. Beaucoup ont en fait agi en tant que facilitateurs. Les agents qui ont infiltré les groupes d'ONG ont trouvé une collusion entre les ONG et les réseaux de passeurs, y compris la coordination avec ces organisations brutales et mercenaires. Les enquêtes ont révélé que les ONG avaient rompu leurs propres règles de fonctionnement convenues en coordonnant les emplacements pour rencontrer et ramasser des navires envoyés par les passeurs. Cela rend les ONG effectivement pas plus que le visage bénéfique des réseaux de contrebande. Les travailleurs secrets ont également découvert que les ONG remettent leurs bateaux aux réseaux des passeurs, les aidant effectivement à continuer leur entreprise criminelle indéfiniment.

    Certaines ONG qui travaillent pour ramasser des migrants des bateaux en Méditerranée et les transporter en Europe ont été découvertes pour remettre leurs navires aux réseaux de contrebandiers, en aidant leur entreprise criminelle. Photo: Un petit bateau en caoutchouc surpeuplé avec des migrants passe un bateau mis à l'eau par les équipages de Phoenix, un navire exploité par l'ONG Migrant Offshore Aid Station (MOAS), après que tous les passagers aient été évacués, le 18 mai 2017. Le protocole de MOAS de torcher les bateaux de contrebande après le débarquement empêche les passeurs de réutiliser le navire.

    Dans les pays de première ligne tels que l'Italie, cette activité illégale a provoqué une colère grandissante du public. Dans d'autres pays d'Europe, la notion que ces ONG ne sont pas entièrement angéliques dans leurs opérations prend plus de temps à couler. Mais comparez les réactions à celles-ci - en recevant qu'elles continuent d'être d'une grande quantité d'argent public et gouvernemental - avec une groupe qui a une vision différente de celle des ONG.

    Au début de cet été, un groupe appelé "Défend Europe" a levé des fonds pour embaucher et naviguer sur un bateau au large de l'Italie. Le navire visait à empêcher les migrants de traverser la Méditerranée. Un activiste a été enregistré en disant: "Nous voulons obtenir un équipage, équiper un bateau et naviguer vers l'océan méditerranéen pour chasser les ennemis d'Europe". Certains des autres personnages et la rhétorique associés à ce mouvement peuvent être tout aussi désagréables. Pendant quelques semaines, le navire «Defend Europe», avec des pancartes affichées de manière proéminente, a flotté en Méditerranée et a déclaré aux gens dans diverses langues, «Non, vous ne ferez pas l'Europe à la maison» et «Arrêtez le trafic d'êtres humains».

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  14. Maintenant, on peut abhorrer cette tactique, l'approuver ou sentir toute une gamme d'émotions entre les deux. Le traitement de «Défend Europe», cependant, par rapport aux ONG pro-migration, est surprenant. Au cours des dernières semaines, lorsque le navire «Defend Europe» a eu des problèmes techniques mineurs, il a provoqué une gueule non dissimulée dans les médias occidentaux. un navire pro-migration de l'ONG pourrait avoir à le sauver a causé encore plus de joie. Maintenant, le groupe a retiré ses sources de financement. Ce n'est pas que "Défendre l'Europe" ait jamais reçu l'aide du gouvernement. Loin de cela. Mais la semaine dernière, Le site de financement des foules basé aux États-Unis, Patreon, a fermé la page de profil du groupe, ce qui leur a empêché de recueillir des fonds. La cause ostensible était que Patreon croyait que les actions de «Défend Europe» étaient «susceptibles de causer des pertes de vie».

    On peut facilement argumenter, bien sûr, que les ONG de pro-migration qui collient avec des gangs de contrebande et qui les assistent dans leur travail sont «susceptibles de causer une perte de vie», sinon en Méditerranée, en encourageant des milliers de personnes à donner leur de l'argent pour trafic de gangs et d'encourager des millions d'autres à partir pour une nouvelle vie dans un continent qui est de moins en moins susceptible de les recevoir avec chaleur. Un groupe qui cherche à s'opposer à la trajectoire autodestructrice actuelle de l'Europe ne peut désormais même pas fournir un soutien financier indépendant. Les groupes, cependant, continuent à pousser l'Europe sur sa trajectoire actuelle à continuer d'obtenir tout le soutien officiel dont ils ont besoin. Dans la différence de réaction à ces deux groupes, il y a une partie importante de l'histoire de la ruine d'un continent.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-09-03/new-ngo-racket-smuggling-inc

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  15. La montée de l'état profond: comment ils ont le pouvoir de manipuler pour un contrôle ultime


    par Tyler Durden
    3 septembre 2017 10h30
    Auteur de Mac Slavo via SHTFplan.com,


    Bien que beaucoup aux États-Unis croient fermement que le gouvernement ne fonctionne tout simplement pas, il l'est. Mais cela ne fonctionne que pour les élites puissantes et riches du gouvernement et des médias qui ont envie de s'accrocher à leur contrôle oppressif des autres et de l'argent que de nombreux sont prêts à leur permettre de voler.

    La lutte n'a jamais été entre les républicains et les démocrates.

    Alors que les Américains choisissent les côtés, leurs droits et libertés sont vendus au plus offrant. Selon Intellectual Takeout, le combat est entre «nous» et l'état profond; pas ceux à droite et ceux de gauche. De plus en plus souvent, nous constatons que les bureaucrates, les lobbyistes et les élus des deux parties entament les wagons afin d'éviter toute véritable réforme du gouvernement. Ils écrivent constamment des lois dont ils s'excluent, proposent des moyens inventifs de nous imposer notre point de rupture et de détruire le système de santé. Et c'est tout par la conception.

    Selon Joost Meerloo dans son livre séminal The Rape of the Mind, l'auteur discute de la psychologie du lavage de cerveau qui permet à chaque Américain de succomber à la tyrannie juste devant ses yeux et non seulement de ne pas le réaliser, mais de vouloir plus d'oppression. "La question psychologique brûlante est de savoir si l'homme finira par mener ses institutions afin que celles-ci le servent et ne le gouvernent pas", a déclaré Meerloo dans sa discussion de l'Etat profond ou de la "machine administrative" publiée en 1956.

    Meerlo décrit la montée de l'état profond comme suit:

    "... Le développement d'une sorte d'absolutisme bureaucratique n'est cependant pas limité aux pays totalitaires. Une forme légère d'absolutisme professionnel est évidente dans tous les pays dans la classe médiatrice des fonctionnaires qui relient l'écart entre l'homme et ses dirigeants. Une telle bureaucratie peut être utilisée pour aider ou nuire aux citoyens qu'il devrait servir.

    Il est important de se rendre compte qu'une forme de bataille particulière et silencieuse se déroule dans tous les pays du monde - sous toutes les formes de gouvernement - une bataille entre l'homme commun et l'appareil gouvernemental qu'il a créé lui-même. Dans de nombreux endroits, nous pouvons voir que cet outil de gouvernance, initialement destiné à servir et à aider l'homme, a graduellement obtenu plus de pouvoir qu'il ne l'avait prévu.

    ... Les techniques gouvernementales ne diffèrent pas de toute autre stratégie psychologique; la mise en veille de la régimentation peut prendre possession mentale de ceux qui sont dédiés à elle, si elles ne sont pas alertes. Et c'est le danger intrinsèque des diverses agences qui font la médiation entre l'homme commun et son gouvernement. C'est un aspect tragique de la vie que l'homme doit placer un autre homme faillible entre lui et la réalisation de ses idéaux les plus élevés.

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  16. - Le viol de l'esprit
    Meerlo poursuit en disant que le pouvoir d'être simplement au gouvernement corrompera:

    Être un fonctionnaire de haut niveau soumet l'homme à une tentation dangereuse, simplement parce qu'il fait partie de l'appareil dirigeant. Il se retrouve pris dans le complexe de la stratégie. La magie de devenir un exécutif et un stratège provoque des sentiments d'omnipotence longtemps réprimés. Un stratège ressemble à un joueur d'échecs. Il veut manipuler le monde par télécommande. Maintenant, il peut attendre d'autres, car il a été forcé de s'attendre dans ses journées de salade, et ainsi il peut se sentir supérieur.

    - Le viol de l'esprit
    Mais ce que nous voyons maintenant n'est pas seulement la corruption du gouvernement.

    Nous assistons à l'état profond tirant les cordes de tous les politiciens et nous battons pour garder leur pouvoir et leur argent. Les membres de l'Etat profond se battent non seulement pour leur travail et leur pouvoir, mais aussi pour leur sens de l'être. C'est un coup de pouce pour contrôler toute la population. Mais qu'est-ce qu'ils ont dans la vie s'ils ont été montrés qu'ils sont en fait dispensables, qu'ils et leurs services peuvent être éliminés ? À la fin, leurs ego dépendent du maintien et de la croissance de la puissance et du prestige.

    Pendant de nombreuses décennies, le gouvernement même dont beaucoup d'entre eux ont toujours confiance pour garder leur sécurité a mis en place des ordres compulsifs, des formalités administratives et des réglementations tout en développant de manière exponentielle pour faire respecter ce qu'il crée et en volant davantage d'argent pour couvrir les coûts croissants. Tout le temps, ses racines poussent de plus en plus profondément dans le gouvernement même, beaucoup se battent toujours pour protéger. Même les politiciens que nous envoyons à D.C. pensant qu'ils nous représentent sont pris dans le jeu. Ils commencent à jouer selon les règles établies par l'Etat profond; En effet, nos élus deviennent même dépendants de l'Etat profond.

    La question est donc de savoir comment combattre l'état profond et retrouver notre liberté ?

    http://www.zerohedge.com/news/2017-09-03/rise-deep-state-how-they-got-their-power-manipulate-ultimate-control

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    1. Quand on pense que près de 99 % des étatsuniens ne SAVENT PAS ce qu'est la Démocratie !!! (Ils pensent que le parti démocrate est pour la Démocratie !!! Hahahaha !)

      La Démocratie: c'est le Peuple qui gouverne. Le Peuple qui propose SES propres lois et vote SES propres lois.
      Il n'y a qu'une seule Démocratie dans le monde !!! La Suisse.

      https://rudy2.wordpress.com

      http://educate-yourself.org/mc/

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  17. Climat : deux choses que vous avez manquées cet été


    le 4 septembre 2017


    Avouez-le : les vacances vous ont éloigné de l’actualité climatique et de sa délicieuse propagande. Heureusement, Rivalo a veillé au grain en nous repêchant deux belles pièces passées sous les radars. Merci à lui.

    par Rivalo.

    Chers amis climato-réalistes, vous avez probablement fini par comprendre que nous n’étions pas qualifiés pour intervenir dans le débat sur l’origine anthropique du changement climatique, mais savez-vous pourquoi ?

    Non, ce n’est pas parce que nous ne serions ignorants, vendus, criminels et minoritaires et que nous ferions le jeu de Donald Trump. En tout cas pas seulement.

    Une autre raison, bien plus fondamentale, nous a été dévoilée par Gilles Bœuf, invité des « Matins d’été » sur France Culture le 25 juillet. Je vous sens impatients, alors À la réflexion du journaliste Lucas Menget

    Mais enfin il y a encore des hommes politiques en vue en France en Europe qui continuent à dire que l’homme n’est pas responsable du réchauffement climatique, que le réchauffement climatique ce n’est qu’une passade, une phase de l’histoire

    Gilles Boeuf a rétorqué (tenez-vous bien) :

    Là je vais être très clair, ces gens là ont été élevés et éduqués dans leurs écoles sans qu’on leur dise qu’ils sont pleins de bactéries. Un corps humain, c’est au moins autant de bactéries sur la peau et dans le tube digestif que de cellules humaines, donc qu’ils arrêtent de ramener le fait qu’ils sont un être absolument à part. Ils ne mangent que du biologique, ils ne coopèrent qu’avec du biologique. Donc ça, quand on comprend ça, on comprend qu’agresser la nature c’est s’auto-agresser. Excusez le terme, c’est vraiment con. Donc ces gens là doivent revoir leur éducation.

    Nous voilà prêts pour la lecture du Charme discret de l’intestin…

    La suite de la diatribe de Gilles Bœuf était plus attendue :

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  18. Ensuite ce sont des lobbies irresponsables qui, par intérêts très présents, veulent continuer à disséminer ces idées qui sont fausses. C’est ça qui se passe aujourd’hui. Et ça, pour nos enfants et nos petits-enfants, c’est totalement irresponsable et inconséquent. Donc il faut que la science officielle base des données sur le changement climatique, je peux vous expliquer aussi pourquoi c’est bien l’homme qui est hélas… si vous voulez, si vous me donnez quelques minutes, je peux développer tout à l’heure [tout à l’heure, le presse Lucas Menget]… c’est tout !

    En quelques mots, toutes les cases sont cochées : vilains lobbies, gentils zenfants… Mention spéciale à la « science officielle« , jolie façon de voir les choses qui nous ramène aux plus riches heures intellectuelles du milieu du siècle dernier.

    Dans la chronique qu’il tient sur le site d’@rrêt sur Images, consacrée le 30/06/2017 aux hydrates de méthane (rien qu’à leur nom on comprend que ça doit être des produits pas très sains, hein !), Fabrice Nicolino nous annonçait :

    si l’on tenait compte des engagements qui ont été pris il y a deux ans à Paris, on serait sur une trajectoire de trois pour cent [sic] d’augmentation de la température moyenne du globe, c’est-à-dire presque deux fois plus que ce que promettent les engagements qui ne sont que des engagements sans aucune contrainte, sans aucun pouvoir contraignant de la part des signataires, donc ce serait presque deux fois plus que ce qu’annoncent les accords de Paris, autant dire que la situation est grave

    On ne saisit pas bien si ces 3 % représentent une ou deux fois ce qu’annoncent l’Accord de Paris, mais il est sûr qu’avec une température globale moyenne de 15°C soit 288K, une augmentation de 3%, donc de presque 9°C, serait effectivement impressionnante !

    Poursuivant sur la fonte de la banquise arctique, qui diminue son albédo, lequel augmente le réchauffement, qui en retour accélère la fonte, Fabrice Nicolino nous explique ensuite que

    l’on appelle ça dans le langage scientifique une rétroaction négative [sic], et en effet on ne sait pas où ça va s’arrêter.

    L’auteur voulait sans doute parler de rétroaction positive, mais convenons que ce terme aurait détonné. Dans une chronique qui n’est qu’une avalanche de termes alarmistes (« aggravation« , « angoissant« , « angoisse« , « catastrophe« , « crise« , « dangereux« , « dérèglement« , « destruction« , « grave« , « hors de contrôle« , « suicider« , « terrifier« , « urgence« …), il aurait été de mauvais ton de positiver les rétroactions !

    https://mythesmanciesetmathematiques.wordpress.com/2017/09/04/climat-deux-choses-que-vous-avez-manquees-cet-ete/

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