Le 23 septembre 2017
Pour faire passer la toxicité du gaz carbonique vis-à-vis du climat l’IPCC a d’abord construit la courbe de réchauffement dite en crosse de hockey, une fabuleuse escroquerie, qui a été ensuite effacée des rapports annuels (Assessment Reports) destinés aux décideurs politiques et aux parasites qui veulent se goinfrer avec toutes les technologies dites « vertes » en passant par les universitaires pas très scrupuleux travaillant peu ou prou sur des sujets ayant une liaison directe ou très indirecte avec le « changement climatique ». Ces climatologues d’opérette, plus motivés par leur idéologie que par la déontologie scientifique de base, ont donc « trafiqué », comme on dirait dans n’importe quel laboratoire de recherche en mal de notoriété, les données existantes et bien réelles pour masquer l’effet du Soleil sur le climat et faire ainsi ressortir artificiellement celui du gaz carbonique. C’était le but de la magouille qui après une propagande internationale fantastiquement bien organisée a été imprimée dans les esprits tant des politiciens que du grand public qui de toutes les façons sont perméables à toutes sortes de racontars puisqu’ils n’y comprennent rien du tout.
L’activité du Soleil se manifeste par ce que les spécialistes appellent l’irradiance c’est-à-dire l’énergie sous forme de radiations électromagnétiques, ultra-violet, visible et infra-rouge atteignant la surface de la Terre en provenance du Soleil. Il existe toutes sortes d’indices appelés « proxys » pour recalculer ce flux d’énergie exprimé en watt par mètre-carré durant les années passées et depuis l’arrivée des satellites il est encore plus facile de mesurer cette énergie à une distance du Soleil de une unité astronomique, la distance moyenne entre la Terre et le Soleil. Cette reconstruction a aussi pu être corrélée au nombre de taches solaires depuis que l’on dispose d’observations fiables et régulières depuis le début du XVIIIe siècle. L’irradiance solaire a ainsi pu être rapprochée de ce nombre de taches solaires et des proxys, que ce soient les cernes de croissance des arbres, l’abondance en carbone-14 et béryllium-10 (pour l’activité magnétique solaire) et oxygène-18 (pour les températures) dans les carottes de glace, les concrétions calcaires ou encore les coraux et les coquilles de mollusques. Bref, le scientifique dispose d’une quantité immense de données toutes disponibles au public.
Il suffit donc pour un scientifique un tant soit peu honnête d’analyser ces données et de constater que le climat est intimement dépendant de l’activité du Soleil et par voie de conséquence de l’irradiance solaire qui varie en gros entre 1364 et 1367 W/m2 à la surface de la Terre dans la zone intertropicale, par temps clair et quand le Soleil est au zénith. Il est intéressant de noter ici que la mission satellitaire SORCE a mesuré l’irradiance solaire dans l’espace à une distance de une unité astronomique du Soleil entre les années 2003 et 2013 et est arrivée à la conclusion qu’au cours d’une année cette grandeur varie entre 1319 et 1407 W/m2 soit un variation de 6,5 % par rapport à la moyenne de 1360 W/m2 pour deux raisons : l’orbite de la Terre est une ellipse et l’axe de rotation de la Terre n’est pas perpendiculaire au plan de son orbite autour du Soleil. Néanmoins une grande partie de cette énergie est captée par les hautes couches de l’atmosphère, en particulier par l’ozone, dans les longueurs d’onde de l’ultra-violet lointain, le rayonnement le plus énergétique provenant du Soleil, puis elle se dissipe dans l’espace.
Les variations passées du climat depuis le début du XVIIe siècle sont bien documentées et elle suivent très fidèlement les variations de l’irradiance solaire telle qu’elle a pu être reconstruite à l’aide de ces proxys. Malheureusement pour les fonctionnaires de l’IPCC ces observations allaient à l’encontre de l’hypothèse de l’effet de serre du gaz carbonique et des conséquences de cet effet de serre sur l’évolution du climat. Ces spécialistes, ou auto-proclamés comme tels, ont donc tout fait pour masquer l’effet de l’activité solaire sur le climat terrestre, quitte à carrément devenir malhonnêtes. Ce fut le cas grossier de la courbe en forme de crosse de hockey mais quel a été le cheminement de cette incroyable imposture ? Elle date de la fin des années 1990 et a été constamment modifiée pour satisfaire la mise en place du forcing radiatif provoqué par le gaz carbonique. Les curieux peuvent aller se délecter en lisant le rapport décrivant le « Coupled Model Intercomparison Project Phase 5 » (CMIP5) utilisé dans les rapports de l’IPCC (voir le lien). Pour établir une comparaison et faire ressortir cette imposture le Docteur Willie Soon du Harvard-Smithsonian Center for Astrophysics, en collaboration avec deux scientifiques irlandais indépendants (voir le lien) ont pris la peine de mettre dans une même illustration les évolutions réelles de l’irradiance solaire en regard des données trafiquées par les sbires de l’IPCC en normalisant à la même échelle toutes ces représentations et c’est tout à fait clair : il y a eu de la grosse magouille, une grosse magouille inacceptable pour n’importe quelle personne ayant un tant soit peu d’esprit critique mais que les politiciens du monde entier ont pris pour argent comptant !
L’autre falsification sciemment organisée a concerné le choix à faire par l’IPCC entre deux cas de figure : un Soleil avec une variabilité réelle – telle qu’elle a été déduite de tous ces proxys mentionnés ci-dessus – ou une activité solaire réduite. Car pour faire « passer » l’effet de serre du gaz carbonique et le forcing radiatif en résultant, l’activité solaire sous forme d’irradiance totale (TSI) réelle et telle que mesurée par ces proxys et rapprochée du comptage des taches solaires constituait une véritable épine dans le pied de ces menteurs patentés et mandatés par les Nations-Unies. Même chose ! Ils ont falsifié toutes les données en mettant au point des modèles uniquement écrits pour cette falsification finale.
L’illustration ci-dessus demande quelques explications. Les tracés en rouge représentent l’irradiance solaire totale telle que reconstruite à partir des divers proxys disponibles et en pointillés bleus le nombre de taches solaires (SSN) selon les observations disponibles. La courbe supérieure est la plus proche de la réalité. Elle a pourtant été réactualisée par le même auteur entre les années 1995 et 2000 pour des raisons obscures. Ces même données ont été à leur tour reprises par Wang et collaborateurs en 2005 et n’importe quel enfant de 5 ans dira que ce ne sont pas les mêmes courbes alors que les mêmes données ont été utilisées pour en arriver à ces représentations graphiques très différentes les unes des autres. La courbe de Wang et al. est plus conforme aux hypothèses de l’IPCC car un quelconque effet significatif de l’activité solaire sur les variations du climat terrestre ne peut plus être invoqué.
Toute cette histoire rocambolesque de réchauffement climatique provoqué par le gaz carbonique est basée sur des mensonges réitérés et ça n’a pas l’air de déranger qui que ce soit, en tous les cas certainement pas le ministre français de pacotille en charge de la transition énergétique solidaire, je crois que c’est à peu près le libellé de son maroquin, qui prend des décisions totalement injustifiées quand les mensonges de l’IPCC sont ainsi dévoilés clairement, que ce soient les primes à la casse pour les vieilles voitures, la construction de milliers d’éoliennes dans la campagne profonde française ou encore le combat contre le chocolat qui provoque la disparition des forêts tropicales humides de la Côte-d’Ivoire (objet d’un prochain article) entrainant donc une insupportable augmentation du gaz carbonique atmosphérique. Pour un ancien scientifique que je fus j’en reste ahuri de stupeur …
Source : Willie Soon, Ronan Connolly, Michael Conolly, Earth-Science Reviews (2015) « Re-evaluating the role of solar variability on northern hemisphere temperature trends since the 19th century« , article aimablement fourni par les auteurs qui sont chaleureusement remerciés ici et que je tiens aimablement à la disposition de mes lecteurs curieux, https://doi.org/10.1016/j.earscirev.2015.08.010 , accès payant.
L'électricité produite à la biomasse aux États-Unis est possible, bien que coûteuse
RépondreSupprimer22 septembre 2017
par Sandi Martin
Si les États-Unis veulent commencer à utiliser des granulés de bois pour produire de l'énergie, le gouvernement ou les consommateurs d'électricité devront payer un coût supplémentaire, a révélé une nouvelle étude de l'Université de Géorgie.
À l'heure actuelle, «il n'est tout simplement pas économiquement possible d'utiliser des granulés de bois dans la production d'énergie», a déclaré Bin Mei, professeur agrégé de financement et d'économie des ressources forestières dans l'École des forêts et des ressources naturelles de Warnell d'UGA.
Les granulés de bois sont largement utilisés dans les centrales électriques européennes en raison du mandat de réduire les émissions de combustibles fossiles, a déclaré M. Mei, mais la production d'énergie est fortement soutenue par des subventions gouvernementales.
Les fournisseurs d'énergie américains devraient-ils passer à une méthode de «co-attentat» - où une centrale électrique brûle à la fois du charbon et des granulés de bois, basculant entre les deux - ils transmettent les coûts non seulement à des installations de co-licenciement, mais aussi à acheter les granulés de bois plus cher. Si une subvention gouvernementale ne paiera pas les coûts supplémentaires, Mei a déclaré, alors les consommateurs devront retirer l'onglet.
Mei et coauteur Michael Wetzstein avec Purdue University ont récemment publié leurs résultats dans Energy Economics.
Aux États-Unis, les centrales électriques ont traditionnellement utilisé du charbon pour produire de l'électricité, mais le charbon émet des niveaux élevés de dioxyde de carbone et d'autres polluants. L'Union européenne a pris la tête des efforts mondiaux pour passer à la combustion de la biomasse au lieu du charbon, alors que le Clean Power Plan des États-Unis vise à réduire les émissions de dioxyde de carbone du pays des centrales électriques de 32 pour cent par rapport aux niveaux enregistrés de 2005 au cours des 25 prochains années. À l'heure actuelle, les États-Unis exportent environ 4,8 millions de tonnes de granulés de bois en Europe pour les aider à répondre à leurs besoins énergétiques.
Bien que les entreprises européennes se soient converties, les producteurs d'électricité américains ne peuvent pas simplement abandonner leurs centrales au charbon, a déclaré M. Mei. Les usines sont conçues pour les dernières décennies et sont construites à des coûts importants. Mais ils peuvent être modifiés pour brûler de la biomasse, et les granulés de bois sont l'une des choses les plus faciles à changer, a t-il dit.
Mei et Wetzstein ont examiné les prix fluctuants du charbon et des boules de bois et incorporé l'incertitude des prix et les coûts de conversion dans la prise de décision.
En d'autres termes, une baisse du prix de la boule de bois ne peut pas déclencher immédiatement l'adoption de carburant mixte d'une centrale électrique en raison du coût de conversion. C'est ce qu'on appelle l'effet d'inertie dans l'économie financière, mais les interventions du gouvernement peuvent changer cette situation.
RépondreSupprimerIls ont constaté que la production d'énergie avec un mélange de charbon et de granulés de bois n'est tout simplement pas une "option commercialement viable dans la plupart des cas", a déclaré Mei. Sur la base des données historiques des prix, «les paires de prix appartiennent à la région du changement de charbon, ce qui signifie qu'il n'est pas économique de co-incendier les granulés de bois avec du charbon, car le coût du carburant mixte augmente avec la part des granulés de bois».
Mei a déclaré avoir constaté qu'il y aurait des moments où la conversion des plantes en co-incendie avec des granulés de bois serait déclenchée et tous les scénarios nécessiteraient une subvention gouvernementale ou une taxe supplémentaire facturée aux consommateurs.
Le gouvernement devrait payer 8 milliards de dollars pour inciter les centrales électriques à se convertir à l'aide de granulés de charbon et de bois et de 2,7 milliards de dollars pour conserver les centrales de cogénération actuelles, a déclaré M. Mei.
"Ces chiffres sont à peu près comparables aux subventions et aux crédits d'impôt pour l'énergie solaire et éolienne par unité", a déclaré Mei. "Par conséquent, les politiques en matière d'énergies renouvelables devraient donner des priorités égales aux pellets de bois co-déclenchement de l'énergie solaire et éolienne aux États-Unis"
https://phys.org/news/2017-09-biomass-produced-electricity-expensive.html#jCp
(...) Les granulés de bois sont largement utilisés dans les centrales électriques européennes en raison du mandat de réduire les émissions de combustibles fossiles, a déclaré M. Mei, mais la production d'énergie est fortement soutenue par des subventions gouvernementales. (...)
SupprimerEffectivement, comme pour les éoliennes & panneaux solaire qui feraient de l'électricité gratuite a condition de payer, la combustion de granulés de bois coûte plus cher que d'utiliser la bonne vieille bûche dans la cheminée !
Ils parlent même de remplacer le flambeau tenu à bout de bras par la Statue de la Liberté par... une gigantesque ampoules électrique à basse-énergie ! Hahahaha ! Après tout, on a bien rigolé le 11 septembre pourquoi pas un autre jour !
Des chercheurs décrivent un mécanisme qui sous-tend la perte osseuse associée à l'âge
RépondreSupprimer22 septembre 2017
Un problème de santé majeur chez les personnes âgées est l'ostéoporose associée à l'âge: l'amincissement de l'os et la perte de densité osseuse qui augmente le risque de fractures. Souvent, cela s'accompagne d'une augmentation des cellules adipeuses dans la moelle osseuse.
Les chercheurs de l'Université d'Alabama à Birmingham ont maintenant décrit un mécanisme sous-jacent conduisant à cette ostéoporose. Lorsque ce mécanisme fonctionne mal, les cellules progénitrices cessent de créer des cellules productrices d'os et créent plutôt des cellules adipeuses. La connaissance de ce mécanisme peut fournir des cibles dans la recherche de nouvelles thérapies de perte osseuse pour traiter l'ostéoporose humaine avec des effets secondaires minimes.
Les chercheurs de l'UAB ont constaté qu'une protéine appelée Cbf-beta joue un rôle essentiel dans le maintien des cellules productrices d'os. En outre, l'examen des souris âgées a montré des taux considérablement réduits de Cbf-bêta dans les cellules de la moelle osseuse, par rapport aux souris plus jeunes.
Ainsi, ils proposent, le maintien de Cbf-beta peut être essentiel pour prévenir l'ostéoporose associée à l'âge humain qui est due à une création élevée de cellules adipeuses.
L'os est un tissu vivant qui se reconstruit constamment. Les os nécessitent une nouvelle création constante de cellules spécifiques à leur tissu, y compris les cellules osseuses appelées ostéoblastes. Les ostéoblastes ne vivent que d'environ trois mois et ne se divisent pas.
Les cellules progénitrices pour les ostéoblastes sont des cellules souches mésenchymateuses de la moelle osseuse. Outre les ostéoblastes, les cellules souches mésenchymateuses peuvent également se différencier en cellules chondrocytaires qui font du cartilage, les cellules myocytaires qui aident à former les muscles, les adipocytes ou les cellules adipeuses. Ainsi, la même cellule progénitrice comporte quatre voies possibles de différenciation.
Les chercheurs et les collègues de l'UAB se sont concentrés sur le mécanisme moléculaire qui contrôle le changement d'engagement de la lignée entre les traces d'ostéoblastes et d'adipocytes. Dirigé par Yi-Ping Li, Ph.D., professeur de pathologie de l'UAB, et Wei Chen, M.D., professeur associé de pathologie de l'UAB, ils ont étudié le rôle clé joué par Cbf-beta ou la sous-unité de facteur de liaison de base bêta.
Détails de l'étude
RépondreSupprimerL'équipe dirigée par Li et Chen a généré trois modèles de souris en supprimant Cbf-beta à différents stades de la lignée des ostéoblastes. Les trois modèles de souris ont montré une ostéoporose sévère avec accumulation de cellules adipeuses dans la moelle osseuse, une pathologie qui ressemble à l'os âgé par une augmentation de la création d'adipocytes.
Les cellules souches mésenchymateuses de la moelle osseuse et les cellules osseuses des crânes de souris déficients en Cbf-beta ont montré une augmentation de l'expression des gènes adipocytaires.
En ce qui concerne le mécanisme en aval, les chercheurs ont constaté que la perte de Cbf-beta entravait la voie de signalisation canonique Wnt, en particulier par une diminution de l'expression de Wnt10b. Chez les souris non mammifères, ils ont constaté que le complexe protéique composé de Cbf-bêta et le facteur de transcription Runx2 se lie au promoteur Wnt10b pour conduire l'expression de Wnt10b. Le complexe Cbf-beta / Runx2 a également inhibé l'expression de la protéine renforçante C / EBP-alpha qui favorise la différenciation des adipocytes.
En outre, les chercheurs ont montré que Cbf-beta maintient l'engagement de lignée des ostéoblastes de deux façons - à travers la voie paracrine de Wnt pour affecter les cellules voisines et par la signalisation endogène dans la cellule pour supprimer l'expression de gène adipogénique.
Dans l'ensemble, cette connaissance du mécanisme généré par Cbf-beta peut aider à expliquer le déséquilibre de la maintenance osseuse chez les personnes âgées.
https://medicalxpress.com/news/2017-09-mechanism-underlies-age-associated-bone-loss.html
L'ostéoporose est liée au manque de calcium. Or, qui dit calcium dit forcément tartre ou calcaire (qui sont ses pseudonymes). Maintenant, si nous analysons l'alimentation l'on s'aperçoit que ce manque de calcium vient du détartrage des cafetières comme de boire de l'eau embouteillée plutôt que celle du robinet qui serait 'trop blanche' !
SupprimerDonc: Buvez du calcium, cela évitera le docteur de vous prescrire très cher des solutions calcaires !
Aluminium ultra léger: les chimistes signalent une percée dans la conception matérielle
RépondreSupprimer22 septembre 2017
par Mary-Ann Muffoletto
Si vous déposez une cuillère en aluminium dans un puits plein d'eau, la cuillère coule vers le bas. C'est parce que l'aluminium, dans sa forme conventionnelle, est plus dense que l'eau, affirme le chimiste de l'Université de l'Utah, Alexander Boldyrev.
Mais si vous restructurez le métal ménager commun au niveau moléculaire, comme Boldyrev et ses collègues l'ont fait en utilisant une modélisation informatique, vous pourriez produire une forme cristalline ultra légère qui est plus légère que l'eau. Boldyrev, ainsi que les scientifiques Iliya Getmanskii, Vitaliy Koval, Rusya Minyaev et Vladimir Minkin de l'Université fédérale du Sud à Rostov-on Don, en Russie, ont publié des résultats dans l'édition en ligne du 18 septembre 2017 du Journal of Physical Chemistry C.
La recherche de l'équipe est soutenue par la National Science Foundation et le Ministère russe des sciences et de l'éducation.
«L'approche de mes collègues à ce défi était très novatrice», explique Boldyrev, professeur au département de chimie et de biochimie de l'USU. "Ils ont commencé avec un réseau cristallin connu, dans ce cas, un diamant et remplacé chaque atome de carbone par un tétraèdre en aluminium".
Les calculs de l'équipe ont confirmé qu'une telle structure est une forme nouvelle, métastable et légère en cristal d'aluminium. Et à leur stupéfaction, il a une densité de seulement 0,61 gramme par centimètre cube, contrairement à la densité de l'aluminium conventionnel de 2,7 grammes par centimètre cube.
"Cela signifie que la nouvelle forme cristallisée flottera sur l'eau, qui a une densité d'un gramme par centimètre cube", dit Boldyrev.
Une telle propriété ouvre un tout nouveau domaine d'applications possibles pour le métal non magnétique, résistant à la corrosion, abondant, relativement peu coûteux et facile à produire.
«Le vol spatial, la médecine, le câblage et les pièces automobiles plus légères, plus éconergétiques sont des applications qui nous viennent à l'esprit», dit Boldyrev. "Bien sûr, il est très tôt de spéculer sur la façon dont ce matériel pourrait être utilisé. Il y a beaucoup d'inconnus. D'une part, nous ne savons rien de sa force."
Pourtant, dit-il, la découverte révolutionnaire marque une nouvelle façon d'aborder la conception matérielle.
"Un aspect incroyable de cette recherche est l'approche: utiliser une structure connue pour concevoir un nouveau matériau", dit Boldyrev. "Cette approche ouvre la voie à de futures découvertes".
https://phys.org/news/2017-09-ultra-light-aluminum-chemists-breakthrough-material.html#jCp
(...) il a une densité de seulement 0,61 gramme par centimètre cube, contrairement à la densité de l'aluminium conventionnel de 2,7 grammes par centimètre cube. (...)
SupprimerPlus de 4,4 fois plus léger ! BRAVO !
L'exercice peut rendre les cellules plus saines, promouvoir une vie plus longue, étudier les découvertes
RépondreSupprimer22 septembre 2017
par Josh Barney
Les étudiants travaillent dans le centre aquatique et de fitness d'UVA. Une nouvelle étude montre que l'exercice déclenche un processus appelé mitophagie, où le muscle dispose de mitochondries endommagées, ce qui rend les muscles et les cellules plus sains. Crédit: Université de Virginie
Qu'il s'agisse de faire de la course, de la marche, du vélo, de la natation ou de l'aviron, il est bien connu depuis l'Antiquité que faire une forme d'exercice aérobie est essentiel à la bonne santé et au bien-être. Vous pouvez perdre du poids, dormir mieux, lutter contre le stress et l'hypertension artérielle, améliorer votre humeur, renforcer les os et les muscles.
«Que le muscle soit sain ou ne détermine vraiment pas si le corps entier est en bonne santé ou non», a déclaré Zhen Yan, de l'École de médecine de l'Université de Virginie. "Et la capacité d'exercice, principalement déterminée par la taille et la fonction du muscle, est le meilleur prédicteur de la mortalité dans la population en général".
Mais pourquoi ? Yan pourrait avoir des réponses. Lui et ses collègues de l'UVA regardent à l'intérieur de la cellule pour comprendre, à un niveau moléculaire, pourquoi cette séance d'entraînement - elle le veut ou non - est si vitale pour le corps. Ils ont constaté qu'un avantage important implique la centrale cellulaire - les mitochondries - qui crée le carburant afin que le corps puisse fonctionner correctement.
L'exercice soulève les mitochondries
Yan et ses collègues ont terminé une étude chez la souris qui, pour la première fois, montre qu'un exercice d'exercice modéré à intense agit comme un «test de stress» sur les mitochondries dans les muscles. Ils ont découvert que ce «test de stress» induit par un exercice aérobie déclenche un processus appelé mitophagie, où le muscle dispose des mitochondries endommagées ou dysfonctionnelles, ce qui rend le muscle plus sain. Yan compare la mitophagie induite par l'exercice à une inspection des véhicules de l'État qui supprime les voitures endommagées des rues.
"L'exercice aérobie supprime les mitochondries endommagées dans le muscle squelettique", a déclaré Yan. "Si vous le faites à plusieurs reprises, vous continuez à enlever les endommagés. Vous avez un meilleur muscle avec une meilleure qualité mitochondriale. Nous nettoyons les clunkers, maintenant la ville, la cellule, est pleine de voitures saines et fonctionnelles".
Comment l'exercice élimine les "clunkers" des mitochondries
Pour cette étude, Yan et ses collègues ont évalué le muscle squelettique d'un modèle de souris où ils ont ajouté un gène rapporteur mitochondrial appelé «pMitoTimer». Les mitochondries fluorescent en vert lorsqu'elles sont en bonne santé et deviennent rouges lorsqu'elles sont endommagées et décomposées par le système d'élimination des déchets de la cellule, les lysosomes.
Les souris ont couru sur un petit tapis roulant pendant 90 minutes et l'équipe de Yan a observé le stress mitochondrial (signes d'une «inspection de l'état») et une mitophagie (remorquage des clous) à six heures après l'exercice. Yan a expliqué que l'exercice chez ces souris a également stimulé une kinase appelée AMPK, qui a ensuite activé une autre kinase, Ulk1. Ces réactions chimiques semblent être importantes dans le contrôle de l'élimination des mitochondries dysfonctionnelles.
RépondreSupprimer"Lorsqu'il est allumé, Ulk1 active d'autres composants dans la cellule pour exécuter l'élimination des mitochondries dysfonctionnelles", a déclaré Yan. "C'est analogue à un appel 911 où un remorquage retire les clunkers. Cependant, nous ne savons toujours pas comment ces activités sont coordonnées".
Certaines souris n'ont pas bénéficié de l'exercice
Le laboratoire de Yan a également supprimé le gène Ulk1 dans le muscle squelettique de la souris et a constaté que, sans le gène, l'élimination des mitochondries endommagées ou dysfonctionnelles est considérablement inhibée, ce qui suggère un nouveau rôle pour le gène Ulk1 dans l'exercice et la mitophagie.
"Les souris qui ont été incapables de faire de la mitophagie n'ont pas bénéficié de l'exercice", a expliqué le co-auteur Joshua Drake, un boursier postdoctoral au laboratoire Yan. "Même si, du point de vue de l'exercice, ils pouvaient toujours fonctionner aussi loin que les souris normales, ils ne bénéficiaient pas de métabolisme avec une formation".
Drake a souligné que certaines personnes atteintes de diabète de type 2 ne répondent pas à l'exercice, ce qui constitue un problème clinique croissant. Il espère que la recherche continue dans le laboratoire Yan conduira à de nouvelles découvertes pour aider ces non-répondeurs.
Les résultats ont été publiés en ligne par la revue scientifique Nature Communications.
https://medicalxpress.com/news/2017-09-cells-healthier-longer-life.html
Attention a ce que vous lisez ! Ne pas confondre gymnastique et sport. Le sport tue et ne fait aucun centenaire. Il achève plus tôt ces idiots comme une voiture qui fait 100 000 km par an ou même la moitié.
SupprimerMettre la dette américaine de 20 milliards de dollars sur le record de l'Amérique dans un contexte mondial
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
23 septembre 2017 22h15
Le gouvernement fédéral des États-Unis a juste dépassé un montant record de 20 billions de dollars en dettes publiques. C'est plus grand que l'ensemble de l'économie de chaque pays de l'Union européenne, combiné.
Comme le note HowMuch.net, la dette ne fera que progresser, à moins que le président Trump et le Congrès des États-Unis ne puissent accepter des réductions de dépenses sans précédent combinées à des augmentations d'impôt.
Ne comptez pas que cela se produise bientôt. La plupart des gens pensent qu'une dette de 20 milliards de trillions est insurmontable et, en fait, c'est le plus grand au monde de loin.
Mais lorsque vous regardez une autre mesure fiscale - le ratio dette / PIB - les États-Unis ne sont pas dans la pire situation ...
Source: HowMuch.net
La visualisation de HowMuch.net vous permet de voir rapidement comment la dette du gouvernement américain se compare à d'autres pays à travers le monde. La taille du pays est en corrélation avec la taille de la dette. Les États-Unis et le Japon se distinguent parce qu'ils ont les dettes les plus élevées au monde (20,17T $ et 11,59T respectivement). D'autres pays, comme l'Allemagne et le Brésil, semblent beaucoup plus petits parce que leurs dettes sont comparativement minuscules (2,45 T et 1,45 T respectivement). Nous avons ensuite codé en couleur chaque pays en fonction de son ratio dette / PIB. Les pays verts ont une marge saine, mais les pays du rouge foncé et de la fuchsia ont des dettes qui sont encore plus grandes que leurs économies entières.
Les 10 pays les plus riches en dettes par rapport au PIB
- Japon (245 % à 11,59 milliards de dollars)
- Grèce (173 % à 338 milliards de dollars)
- Italie (138 % à 138 000 $
- Portugal (133 % à 274 000 $)
- Belgique (111 % à 111 milliards de dollars)
- Espagne (106 % à 106 000 $)
- Canada (106 % à 106 000 $)
- Irlande (105 % à 105 milliards de dollars)
- France (98 % à 98 milliards de dollars)
- Brésil (82 % à 82 G $)
Le ratio dette / PIB est une mesure critique pour évaluer la santé fiscale d'un pays. Il est très logique que le gouvernement américain ait une dette plus élevée qu'un pays beaucoup plus petit, comme l'Allemagne. Pensez-y comme ça: Bill Gates vaut 86 milliards de dollars, donc il peut se payer une facture de carte de crédit beaucoup plus élevée que moi ou vous.
C'est pourquoi il est important de considérer le produit intérieur brut (PIB) de chaque pays, un nombre qui représente la somme de toutes les transactions survenues dans l'économie.
Une fois que vous comprenez la dette publique en pourcentage du PIB, vous obtenez des conditions de concurrence équitables pour les pays ayant des échelles économiques différentes. Lorsque vous le pensez comme ça, les États-Unis ne sont même pas parmi les dix pires dettes souveraines au monde.
http://www.zerohedge.com/news/2017-09-23/putting-americas-record-breaking-20-trillion-debt-global-context
http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/10/il-faudra-398-879-561-ans-pour.html
SupprimerLes 'dettes' sont FAUSSES depuis le début. Faute d'or en soutes le papier a été inventé puis passé à l'ordi ou l'encre d'imprimerie est économisée. Mais, la planche-à-billets internationale se fait du soucis ! Eh oui ! Parce qu'il y aurait sur Terre des gens (des pays) malhonnêtes qui voudraient payer en or ! en or référence ! Et seulement en or !!
SupprimerLà, plus question de dire "Heu, oui... les soutes sont vides... c'est parce que... les barres ont été louées !... Elles vont donc revenir et l'Allemagne sera payée !" Hahahaha ! Louées à qui ? "Top secret !" !
Elon Musk n'est pas seul: Vladimir Poutine demande "combien de temps avant que les robots ne nous mangent"
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
23 septembre 2017 20h15
Elon Musk n'est pas le seul à avoir peur que les progrès de l'intelligence artificielle conduisent à quelque chose qui ressemble à la création de Skynet.
The Daily Mail rapporte que le président russe Vladimir Poutine a exprimé des réserves au sujet de l'intelligence artificielle, même en demandant à la tête de la plus grande entreprise de technologie de Russie, «combien de temps avons-nous avant que les robots ne nous mangent»?
Le président russe a parlé à Arkady Volozh, chef de la société Internet Yandex, lors d'une visite du siège de la société à Moscou, les rapports Daily Mail. Volozh a discuté du «potentiel» d'IA lorsqu'il a découvert que Poutine avait une interprétation considérablement différente de ce qui pourrait être.
Selon le radiodiffuseur russe financé par l'État RT, la question a confondu Volozh.
"J'espère que jamais", a-t-il répondu après avoir pris une pause pour rassembler ses pensées. "Ce n'est pas la première machine à être mieux que les humains à quelque chose. Une excavatrice creuse mieux que nous ne le faisons avec une pelle. Mais nous ne nous mangeons pas par des excavatrices. Une voiture se déplace plus vite que nous ... "
Mais Poutine semblait peu convaincu. "Ils ne pensent pas", a-t-il remarqué.
Volozh a reconnu que c'était vrai et a repris son discours sur les mérites d'AI.
Poutine n'a pas toujours abrité une vision aussi pessimiste de l'IA. Lorsqu'on a demandé plus tôt ce mois-ci à un groupe d'enfants de savoir qui gouvernerait le monde dans le futur, Poutine a déclaré que ce serait n'importe quel pays qui parvient à perfectionner l'intelligence artificielle.
Comme le souligne RT, les entreprises technologiques comme Google et Facebook développent une nouvelle technologie AI, car un nombre croissant de services en ligne s'appuient sur des algorithmes, y compris des moteurs de recherche, une traduction automatisée entre les langues, l'amélioration de l'image et la publicité ciblée, une zone qui a récemment mis Facebook l'eau quand son auto-déclaration ad algos a créé une catégorie de ciblage à l'aide des mots-clés "haw haw".
Musk a à maintes reprises averti que l'IA pourrait causer la troisième guerre mondiale. À moins que la technologie soit correctement réglementée, a t-il dit, cela représente une menace beaucoup plus grande pour la sécurité des États-Unis que de la Corée du Nord.
Bien sûr, Musk a été critiqué pour ses vues paranoïaques par des personnalités telles que Mark Zuckerberg, PDG de Facebook, qui a déclaré qu'il était «optimiste» au sujet du potentiel d'AI.
Quoi qu'il arrive avec l'IA, j'espère qu'il n'y en a pas.
http://www.zerohedge.com/news/2017-09-22/elon-musk-isnt-alone-vladimir-putin-asks-how-long-robots-eat-us
Il ne peut pas y avoir d'imposition de règles de ne pas dépasser l'humain. Même si ce résultat est loin d'être acquis quel mal y a t-il a pouvoir discuter avec un professeur surdoué ? Un crâne avec tout l'internet à l'intérieur ! (des milliards de milliards de pages, de photos & de films !!).
SupprimerReste à concevoir le sentiment, l'émotion et la faculté de créer quelque chose de novateur.
Peut-il faire cela :
https://www.behance.net
Poutine: une «récolte record» s’annonce en Russie
RépondreSupprimer18:30 23.09.2017
Les agriculteurs russes comptent battre un nouveau record en 2017 malgré le printemps et l’été froid et pluvieux. Selon le Président russe Vladimir Poutine, l’économie nationale affiche une croissance stable.
Une moisson record aura lieu cette année en Russie, a annoncé samedi le Président russe Vladimir Poutine lors d’une rencontre avec le ministre russe du Développement économique Maksim Orechkine et le ministre russe de l’Industrie et du Commerce Denis Mantourov.
La Russie s'attend à des exportations record de blé
«Il paraît qu’il y aura de nouveau une récolte record», a indiqué M.Poutine.
Le ministre du Développement économique a confirmé que la production agricole russe de cette année devrait battre les records précédents malgré l’été pluvieux et froid.
«Tout n’a pas bien commencé, mais à présent, le temps est idéal pour rentrer la récolte et le niveau de production dépassera celui de l’an dernier. Les pertes ont aussi considérablement diminué», a noté M.Orechkine.
La Russie bientôt leader sur le marché mondial du blé
L'agence d’analyse russe SovEcon a récemment revu à la hausse ses prévisions concernant les récoltes de céréales en Russie en 2017. Elles devraient atteindre les 133 millions de tonnes. Le pays pourrait ainsi battre le record absolu établi en 1978, à l’époque de l’URSS — 127,4 millions de tonnes.
En 2016, la Russie a déjà rentré la meilleure récolte de blé de toute son histoire moderne, soit 115 millions de tonnes.
Le Président Poutine a estimé que l’économie russe s’était mise sur la voie d’une croissance durable avant d’espérer que le gouvernement prendrait des mesures supplémentaires pour maintenir cette tendance et assurer des rythmes de croissance supérieurs au niveau mondial d’ici 2020.
https://fr.sputniknews.com/economie/201709231033179690-russie-agriculture-cereales-ble-record/
133 000 000 de tonnes pour 144 300 000 hab. soit 921 kg/hab.
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