Dr Delerue I.A. Transhumanisme lun., 06 fév. 2017 05:17 UTC
-- Commentaire : La liste est longue des catégories d'individus dont nous pouvons nous méfier : politiciens, militaires, hommes d'affaires, banquiers... et scientifiques. Ces derniers, quand ils ne sont pas eux-mêmes dépourvus de conscience, ou corrompus, ou contraints, ou les trois à la fois, voient en général leurs travaux récupérés et pervertis par les premiers. Forte utile, miraculeuse, inattaquable caution scientifique oblige.
Nous pouvons donc exercer notre vigilance, voire notre imagination, en gardant un œil sur les dernières avancées technologiques dont notre monde moderne a le secret : par elles sera toujours favorisée la servitude de l'humanité. Et, in fine, sa probable destruction. Dernière en date, au rayon des "inventions inévitablement mal utilisées" : le CRISPR Cas9. Avec lui, on tape dans la dévastation polyvalente. Virus modifiables, plantes modifiables, animaux modifiables... êtres humains modifiables ; il n'y a plus de limites, si ce ne sont celles de la folie humaine. Mais, heureusement, de folie, il n'est rien d'inéluctable, d'incontournable, d'insurmontable :
Q : Les nations se ressemblent-elles ?
R : Oui, elles suivent toutes les mêmes principes fondateurs (basés sur la conscience morale) mais diffèrent au niveau culturel (langue, rites, traditions, héros...) (...) Toutes les nations partagent un ensemble de principes très similaires - conscience et valeurs morales. Au sein de ce cadre moral, chaque nation, en fonction de son Histoire, de sa culture, de sa langue et de ses traditions, prend des décisions sociales et juridiques en harmonie avec ses spécificités culturelles. (...) Les sociétés modernes ont séparé la science de la religion, donnant ainsi naissance à une société schizophrène partagée entre science matérialiste d'un côté et religions irrationnelles de l'autre. L'idée ici est de ré-unir la spiritualité et la science afin de créer des pratiques religieuses qui soient véritablement bénéfiques aux adeptes. (...) Il y a une séparation totale entre les intérêts politiques d'une part, et la recherche scientifique d'autre part. Par conséquent, le financement de la recherche dépend exclusivement des priorités sociales et du potentiel scientifique.
C'est par ici. --
CRISPR Cas9, le "couteau suisse de la génétique" pourrait bien aider à la guérison de nombreuses maladies. Mais pourquoi les services de sécurité s'inquiètent-ils ? L'enquête de franceinfo montre les dangers potentiels de cette nouvelle technologie.
Le grand patron du renseignement américain a été le premier à tirer le signal d'alarme, en février 2016. Dans un rapport déclassifié par la CIA, James Clapper a classé CRISPR Cas9 dans la catégorie des "armes de destruction massive" potentielles. Pour lui, cette technologie utilisée dans des milliers de laboratoires doit être considérée comme le programme nucléaire nord-coréen, les armes chimiques syriennes et les missiles de croisière russes.
Tout commence pourtant dans l'euphorie, en 2012, lorsqu'une Française, Emmanuelle Charpentier, et une Américaine, Jennifer Doudna, inventent les "ciseaux à découper l'ADN". Ils sont alors présentés comme une avancée majeure de ce début de siècle. Ses co-découvreuses collectionnent les prix et sont régulièrement annoncées pour un Nobel. Il faut dire que cette découverte pourrait permettre de traiter des cancers et des maladies génétiques jusqu'ici incurables. CRISPR Cas9, c'est l'association d'un brin d'ARN (de l'ADN à une seule hélice) qui sert de guide à une enzyme (CAS9) permettant de couper, remplacer, inactiver, modifier le gène que l'on cherche à atteindre.
La technique est plus précise, plus rapide et nettement moins cher que tout ce qu'on utilisait jusque-là. Elle s'est donc répandue comme une traînée de poudre : plus de 3 000 laboratoires dans le monde utilisent cette technologie. André Choulika, le créateur de Cellectis, une des entreprises françaises les plus innovantes du secteur, est très enthousiaste : "C'est un truc complètement fou. L'édition de génome est une révolution qui va secouer la planète, à une profondeur dont on n'a même pas idée."
André Choulika pense par exemple que l'on va pouvoir créer des espèces. Aux États-Unis, on imagine déjà reconstituer des espèces disparues. George Church de l'université de Harvard, affirme qu'il peut "ressusciter" un mammouth laineux. D'après lui, dans quelques années, on pourra récupérer de l'ADN dans les restes d'un mammouth congelé, puis en le combinant à celui d'un éléphant d'Asie, on pourra faire revivre cette espèce disparue il y a 4 000 ans.
Comment: On ne ressuscite qu'à moitié, en réalité, puisque l'on doit combiner les gènes d'une espèce disparue avec ceux d'une espèce plus récente. Pas de vrai mammouth laineux, semble-t-il.
Une application sur les animaux
Certains scientifiques ont déjà mis leurs idées en pratique sur des animaux. Une équipe chinoise a donné naissance à des chiens nés avec le double de leur masse musculaire habituelle. Aux États Unis, une entreprise du Minnesota a créé des vaches laitières sans cornes. De leur côté, des chercheurs californiens ont réussi à améliorer la vision chez des rats atteints d'une forme de cécité d'origine héréditaire. À chaque fois, l'utilisation de CRISPR Cas9 a été décisive.
-- Comment: Oh oui, parlons des merveilleux et utiles progrès de la génétique : - « Frankenfish », « enviropig » et « chèvre-araignée », symboles d'une science dégénérée --
Après les animaux, les laboratoires ne vont pas tarder à faire leurs premières applications à l'homme. En novembre 2016, une équipe chinoise a annoncé des premiers essais dans le cadre d'un traitement contre une forme de cancer. Une équipe britannique a, elle, obtenu l'autorisation de mener des expériences sur des embryons humains. Mais pour l'instant, il s'agit de faire de la recherche : pas question de produire un "bébé génétiquement modifié".
L'agro-industrie est aussi un secteur prometteur pour CRISPR Cas9. L'université de Pennsylvanie a mis au point un champignon de Paris qui ne brunit plus quand on le coupe. Agnès Ricroch, professeur à AgroParisTech, explique la technique : "On a isolé le gène responsable du brunissement. C'est très intéressant parce que ça fait moins de gaspillage alimentaire."
Aux États-Unis, les autorités sanitaires ont décidé que ce champignon ne serait pas considéré comme un organisme génétiquement modifié (OGM), car aucun gène n'a été "ajouté". Ils ont donc autorisé sa mise sur le marché. Mais en Europe, le débat fait rage et la question devrait être tranchée dans les mois qui viennent par la Cour de justice de l'Union Européenne. Plusieurs membres du Haut conseil des biotechnologies (HCB) en France ont claqué la porte à la suite de la publication par l'organisme d'un rapport soutenant que ces nouvelles plantes n'étaient pas des OGM.
Pour l'un des démissionnaires, Yves Bertheau, directeur de recherches à l'Institut national de recherche agronomique (INRA), ces végétaux modifiés sont clairement des OGM.
« Contrairement aux OGM actuels, on ne peut pas déceler la trace de la modification génétique avec ces nouvelles méthodes. Et donc comment rend-on identifiable ce qui n'est pas traçable ? »
- Jean-Claude Ameisen, l'ancien président du Comité consultatif national d'éthique.
En attendant que la justice européenne règle la question du statut de ces plantes, les comités de bioéthique multiplient les réunions à l'échelle internationale. Pour Hervé Chneiweiss, le président du comité d'éthique de l'INSERM, "il faut un consensus mondial pour mieux connaître les effets délétères éventuels de ces techniques pour mieux les encadrer".
-- Comment: Petit tour des bienfaits des OGM : - OGM, plantes mutées et hygiène chimique : tour d'horizon d'une catastrophe sanitaire - Argentine : l'enfer du décor des OGM - OGM : une contamination inéluctable - OGM : l'humanité menacée --
Réflexions sur l'éthique et l'humain
Pour l'instant, la plupart des expériences menées sont des thérapies géniques classiques, telles qu'on les pratique depuis de nombreuses années. Mais ce qui inquiète, c'est l'éventuelle modification abusive du génome humain. Alain Fischer, de l'Institut des maladies génétiques Imagine, s'en explique :
"Ce qui serait problématique, ce serait de modifier le patrimoine génétique germinal, qui est transmis à la descendance. Ce serait d'une certaine façon toucher au patrimoine génétique de l'humanité."
Pour pouvoir rendre une modification transmissible, il faut intervenir aux premiers stades du développement de la vie. En avril 2015, une équipe chinoise a créé la polémique en modifiant sur des embryons un gène responsable d'une maladie du sang. Aucun n'a survécu, les embryons étant non-viables. Catherine Bourgain, généticienne et présidente de l'association Sciences citoyennes, s'interroge sur l'enjeu qui se présente :
"Peut-on autoriser la recherche sur l'embryon ? Personnellement, je pense que c'est entrer dans une mécanique qu'on a beaucoup de mal à contrôler une fois qu'elle est lancée."
Certaines expériences peuvent effectivement faire réfléchir, comme celle qui est menée dans le cadre de la lutte contre le paludisme. Cette maladie, qui fait encore 450 000 morts par an, est transmise par une espèce de moustique, l'anophèle. Eric Marois, chercheur à l'INSERM, explique : "Grâce à CRISPR Cas9, on a réussi à enlever un gène chez certains moustiques afin de les rendre résistants au paludisme." L'idée serait d'introduire dans la nature des anophèles modifiés et d'attendre qu'ils se reproduisent pour rendre toute la population mondiale résistante. Problème : c'est très long et aléatoire. Mais là encore CRISPR Cas9 apporte la solution : le forçage génétique. Cette technique permet d'accélérer la diffusion d'une mutation génétique. Les moustiques génétiquement modifiés de l'INSERM pourraient donc coloniser la planète. Mais une équipe britannique envisage un autre scénario : créer des anophèles avec un gène récessif de stérilité, et les introduire dans la nature, ce qui entraînerait la disparition de l'espèce en quelques générations... et du paludisme.
-- Comment: A propos des moustiques GM soi-disant inoffensifs : - Moustiques OGM : mise en garde de l'Académie des Sciences Virus Zika : les moustiques génétiquement modifiés à la base de l'épidémie ? - Surprise! Les moustiques OGM seraient-ils inefficaces ? - Bill Gates finance l'autorisation de moustiques génétiquement modifiés afin de lutter contre la dengue --
Eric Marois, chercheur à l'INSERM appelle à la prudence : "Il est quand même vertigineux de se dire que, pour la première fois, on est capable de modifier l'ensemble des individus d'une espèce à l'échelle de la planète", s'inquiète-t-il. "Personnellement je serais très prudent avec les approches d'éradication. Il faut d'abord s'assurer que l'espèce n'a pas un rôle essentiel dans l'écosystème."
En décembre dernier, plus de 150 ONG internationales ont demandé un moratoire sur le forçage génétique. Jennifer Doudna, l'une des découvreuses des "ciseaux à découper l'ADN" exprime également ses craintes. Dans le magazine scientifique Nature, elle explique qu'un jeune doctorant a créé un virus qui, une fois respiré par des souris, provoque des mutations dans leurs poumons. Selon elle, une minuscule erreur de conception aurait pu permettre que ce virus fonctionne aussi chez l'homme.
« Il m'a semblé incroyablement effrayant qu'il y ait des étudiants qui travaillent sur une telle chose. Il est important que les gens commencent à comprendre ce que cette technologie peut faire. »
- Jennifer Doudna, l'une des découvreuse des "ciseaux à découper l'ADN".
L'idée d'un moratoire n'est pourtant pas bien accueillie dans la communauté scientifique. Cécile Martinat, directrice de recherche à l'Institut des cellules souches pour le traitement et l'étude des maladies monogéniques (I-Stem), installé au Génopole d'Evry, y voit un frein potentiel à ses recherches sur les maladies génétiques : "À partir du moment où il y aura un moratoire, nous allons être très limités, et ce sont des États, qui seront dans un contexte moins restrictif, qui les utiliseront." Cécile Martinat estime qu'"on n'empêchera pas à l'échelle internationale une dérive de ces outils. Il faut faire confiance aux scientifiques et arrêter de penser qu'on fait n'importe quoi".
Une technologie, entre quelles mains ?
Pour 150 dollars, on peut acheter sur internet des "kits CRISPR" et modifier chez soi une bactérie grâce un mode d'emploi fourni. Les clients sont des bricoleurs de génome qui se nomment "biohackers". Ce mouvement, né aux États-Unis, où il compte des milliers d'adeptes, défend l'idée que l'on peut tous faire de la biologie dans son garage ou dans des "laboratoires participatifs".
Quitterie Largeteau, spécialiste française du biohacking, explique que ces kits "sont conçus pour être utilisés sans formation, comme une recette de cuisine". L'experte ajoute toutefois qu'"ils ne permettent de faire que ce qui est prévu. Il y a un code d'éthique chez les biohackers. Personne ne travaille sur l'homme ou des organismes pathogènes".
Et si cette technologie tombait dans des mains moins bien intentionnées ? Quelques mois après le rapport de James Clapper, les conseillers scientifiques de Barack Obama envisagent ouvertement l'utilisation de CRISPR Cas9 pour créer un virus d'un genre nouveau, mortel pour l'homme.
« La menace biologique diffère des menaces nucléaires ou chimiques [...] parce qu'elle requiert des ressources moins importantes et des équipements plus petits, comparables aux laboratoires ordinaires. »
- Les conseillers scientifiques de Barack Obama.
Olivier Lepick, chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique, confirme :
"Aujourd'hui, on voit mal comment on pourrait dénier à une organisation terroriste suffisamment puissante l'accès à ces techniques."
Dans son rapport, James Clapper fait aussi état des menaces qui pèsent sur l'économie. Sous couvert d'anonymat, un directeur de recherche français évoque un scénario envisagé : "Imaginez que quelqu'un modifie une pomme de terre pour la rendre toxique. Vous en introduisez quelques exemplaires sur le marché. Vous avez quelques victimes. En un mois, ce secteur économique s'effondre."
En décembre 2015, la France met en place un Conseil national consultatif pour la biosécurité constitué d'experts. Un de ses membres confirme que CRISPR Cas9 fait partie de leurs préoccupations. Les services de renseignements surveillent ceux qui s'initieraient de manière trop poussée aux techniques de manipulation de génome. Le même directeur de recherche déclare :
"La Direction générale de la sécurité extérieure (DGSI) est très attentive aux doctorants que nous prenons dans nos labos. Une fois, on m'en a refusé un. En général, on ne vous dit pas pourquoi."
Olivier Lepick estime qu'on "va aller vers un renforcement de ce type de surveillance. Le problème de ces technologies, c'est que leur détournement peut être envisagé de manière beaucoup plus évidente qu'il y a seulement une dizaine d'années". Au rythme où vont les nouvelles technologies, il y a donc de quoi s'inquiéter sur l'évolution des utilisations de CRISPR Cas9.
-- Commentaire : Quelques articles supplémentaires : - CRISPR : la technique d'édition de gènes classée comme arme de destruction massive - Révolution en génétique : le CRISPR-Cas9 ou la nouvelle baguette magique des apprentis-sorciers - Première mondiale : manipulation génétique d'ADN humain chez un embryon en bonne santé... - Science pervertie : génome, ADN, cancer provoqué --
Davantage de terroristes entreraient aux Etats-Unis par le Canada que par le Mexique
12 févr. 2017, 18:00
Davantage de terroristes entreraient aux Etats-Unis par le Canada que par le Mexique Source: Reuters
Le nombre d'individus ayant pénétré aux Etats-Unis avec le projet de commettre des actes terroristes serait deux fois plus élevés à la frontière canadienne qu'à la frontière mexicaine
Un rapport du FBI vient d'être révélé: on y apprend que, contrairement à ce que laissent penser les efforts gouvernementaux dirigés vers la frontière mexicaine, la frontière canadienne constituerait le véritable risque.
Et si, alors que toute l'attention de la Maison blanche est rivée sur la frontière mexicaine, le danger venait en réalité du Nord ? Un rapport du FBI et du Département de la sûreté intérieure, cité par le Daily Beast, affirme que le nombre de «terroristes suspects» pénétrant aux Etats-Unis serait bien plus élevé à la frontière avec le Canada qu'à la frontière avec le Mexique.
«Nous regardons du mauvais côté», affirme un officiel du Département de la sûreté intérieure. «Il ne s'agit pas de nier que le Mexique pose un problème, mais les vrais criminels dangereux ne viennent pas de là - du moins pour l'heure», ajoute-t-il.
En effet, des données collectées entre 2014 et 2016 estiment que le nombre de «terroristes suspects» entrés aux Etats-Unis par le Canada est près de deux fois supérieur au nombre d'entrées de «terroristes suspects» par le Mexique - sans toutefois préciser ce que la notion de «terroristes suspects» recouvre.
Lire aussi Une partie du mur en construction entre les Etats-Unis et le Mexique Trump veut financer le mur par une taxe de 20% sur les produits importés du Mexique
Selon la journaliste d'investigation Jana Winter, qui est responsable de la fuite du document, le terme est volontairement flou. «Nos critères sont critiqués depuis longtemps à cause de leur caractère très large, car peuvent être concernés des terroristes, des homonymes de terroristes, ou des parents éloignés de personnes faisant l'objet d'une enquête...», souligne-t-elle.
Jana Winter défend la validité de ces chiffres, dont elle affirme que la plupart des responsables gouvernementaux ne tiennent pas compte car il n'en ont tout simplement pas connaissance. Réfutant les critiques qui l'accusent de jouer le jeu des opposants au mur que s'est promis d'ériger Donald Trump à la frontière mexicaine, la journaliste assure que «les sources ayant transmis ces données sont des personnalités qui sont entièrement d'accord avec le projet du mur mexicain, et qui souhaiteraient même un projet similaire à la frontière canadienne».
Pour l'heure, néanmoins, aucun attentat n'a jamais été commis aux Etats-Unis par un individu ayant gagné le territoire national par la frontière canadienne C'est d'ailleurs ce qu'a tenu à souligner le gouvernement canadien en réaction à la publication de ces données.
Le problème du Canada ? ÉTATS-UNIS "Épidémie" des réfugiés américains au milieu de la peur, de la méfiance envers l'atout
Par Tyler Durden Feb 12, 2017 22h30
Dans ce que certains pourraient appeler une «victoire» pour le président Trump, les agents d'immigration canadiens avertir qu'ils éprouvent une «forte poussée [de réfugiés] traversant la frontière» avec beaucoup d'entre eux proclamant leur méfiance et la peur du président Trump.
Sherali et Sarah Shah ont accueilli trois demandeurs d'asile qui avaient tenté de se rendre au Canada à bord de la frontière mardi d'Emerson.
Dans le premier rapport officiel d'un groupe de «demandeurs d'asile» qui sont des réfugiés mécontents aux États-Unis tentant de devenir des réfugiés au Canada, des gardes-frontières américains et un shérif local ont attrapé trois ressortissants somaliens essayant de se glisser furtivement Frontière entre le Canada et les États-Unis mardi, selon CBC News.
Kris Grogan, agent des affaires publiques pour les douanes et la protection des frontières des États-Unis, a déclaré que les responsables des frontières des États-Unis s'inquiètent de plus en plus des demandeurs d'asile qui cherchent à entrer au Canada.
"Il est extrêmement dangereux de se mettre dans ces éléments où vous pourriez finir par mourir", at-il dit.
Comme CBC News a fait son premier signalement en janvier, des centaines de demandeurs d'asile sont entrés au Canada par des champs près de la frontière d'Emerson.
La question est venue à l'honneur après que deux réfugiés du Ghana aient été hospitalisés à Winnipeg après avoir souffert de gelures la veille de Noël alors qu'ils étaient perdus sur la route 75, près de la frontière entre le Canada et les États-Unis.
Les réfugiés étaient si mal gelés, qu'ils perdaient les doigts et les orteils. Depuis que l'histoire des deux hommes est devenue publique, des dizaines d'autres demandeurs d'asile, y compris une mère et un enfant de deux ans, ont traversé le Manitoba.
Farhan Ahmed espère trouver refuge aux États-Unis après avoir fui les menaces de mort en Somalie, mais la crainte d'une répression américaine contre l'immigration l'a envoyé sur un autre périlleux voyage - au Canada.
L'homme de 36 ans faisait partie de près de deux douzaines de demandeurs d'asile qui ont bravé un froid glacial pendant un week-end de février pour franchir la frontière et traverser les prairies enneigées dans la nuit pour faire une réclamation dans ce pays.
Il s'agissait d'un nombre record d'arrivées pour un seul week-end dans la petite ville frontalière d'Emerson, et les responsables canadiens ont dit jeudi qu'ils attendent pour plus.
Un accord avec les États-Unis empêche les demandeurs d'asile de déposer des réclamations au Canada s'ils débarquaient pour la première fois aux États-Unis, mais il ne s'applique qu'aux arrivées aux points de contrôle frontaliers, aux aéroports et aux gares.
Rita Chahal, directrice exécutive du Manitoba Interfaith Immigration Council, a décrit une «grande vague traversant la frontière». Selon l'Agence des services frontaliers du Canada, le nombre a pratiquement doublé au cours des quatre dernières années pour atteindre 321 cas au cours de l'exercice 2015-2016. Depuis avril, il y a eu 403 cas.
Les gens viennent souvent de Djibouti, du Ghana, du Nigéria et de la Somalie, a dit Chahal, dont l'agence travaille dans un bâtiment conçu par un architecte canadien de premier plan qui était autrefois lui-même un réfugié.
Les chiffres sont élevés, mais les itinéraires risqués que les demandeurs d'asile prennent sont également alarmants. "Ils traversent les champs des agriculteurs, et beaucoup d'entre eux se perdent", a déclaré M. Chahal. Les arrivées récentes racontent une histoire commune: «Nous avons peur de ce qui se passe aux États-Unis, nous ne savons pas trop ce qui va se passer si je suis renvoyé dans mon pays».
Samatar Adam, 30 ans, originaire de Djibouti, est arrivé le mois dernier. Interrogé sur la raison pour laquelle il n'a pas déposé de demande de statut de réfugié aux États-Unis, il a répondu: «Donald Trump». Il est parti peu de temps après l'inauguration. "Je suis attristé de voir les réfugiés fuir non seulement leur pays, mais aussi un pays sûr et démocratique comme les États-Unis", a déclaré Hani Al-Ubeady, un réfugié irakien de Winnipeg, qui aide maintenant à réinstaller d'autres personnes.
«Ils doivent entreprendre un autre voyage risqué pour se rendre dans un autre endroit sûr - Canada.»
Pour rappel, le Premier ministre canadien Justin Trudeau a répondu à l'interdiction d'immigration de Donald Trump en disant que le Canada accueille les réfugiés qui ont été rejetés des États-Unis.
«Pour ceux qui fuient la persécution, la terreur et la guerre, les Canadiens vous accueillent, peu importe votre foi. La diversité est notre force #WelcomeToCanada, "il a tweeté.
Et maintenant, c'est le problème du Canada? Les manifestants bloqueront-ils la frontière nord en exigeant que les réfugiés américains restent en Amérique? La signalisation de la vertu doit-elle être portée à 11? Pour le moment, il semble que les «espaces sûrs» du Canada sont plus sécuritaires que les «espaces sûrs» des États-Unis.
Multiplication des viols de femmes et d'enfants dans le camp de Grande-Synthe
12 févr. 2017, 23:22
Près de Dunkerque, le camp de Grande-Synthe est le théâtre d'agressions sexuelles de plus en plus fréquentes, notamment sur les plus vulnérables : femmes et enfants
La situation décrite par les volontaires dans le camp de réfugiés près de Dunkerque est alarmante : agressions sexuelles, prostitution forcée, viols d'enfants... Face à la recrudescence des violences, les bénévoles sont désemparés.
Des femmes et des enfants sont agressés et violés régulièrement par des trafiquants à l'intérieur du camp de réfugiés de Grande-Synthe, où il sont souvent des proies facile, selon plusieurs bénévoles qui ont répondu à The Guardian.
«La violence sexuelle est bien trop courante», déplore l'une des volontaires qui s'exprime anonymement. «Les mineurs sont agressés et les femmes violées, ou contraintes de se prostituer», alerte-t-elle. Les actes violents se multiplient en dépit des précautions mises en place : «Les toilettes sont fermées la nuit, mais il semble que des individus particulièrement dangereux aient les clefs et y emmènent les femmes».
Lire aussi Le camp de réfugiés près de Grande-Synthe. Grande-Synthe : trois policiers agressés dans un camp de réfugiés
Le calvaire quotidien que vivent particulièrement les femmes et les plus jeunes inquiète les bénévoles qui travaillent dans le camp. Ces violences mènent parfois à des situations dramatiques. «Une petite fille de 12 ans a été agressée par un homme deux fois plus âgé qu'elle, tandis qu'un petit garçon de 13 ans a dû retourner dans son pays d'origine après avoir été violé», raconte un autre bénévole. Des cas encore plus extrêmes ont été rapportés, dont des viols sur des fillettes de sept ou huit ans.
Comment expliquer de tels déchaînements de violence ? Selon un volontaire, cité par The Guardian, qui travaille dans le camp depuis plus de trois ans, ils sont dus à «la présence de femmes dans des environnements d'hommes qui sont, la plupart du temps, déconnectés de la réalité». «Les enfants sont parfois désignés sous le nom de «petits steaks», vulnérables et appétissants», confie-t-il. Les mères, bien souvent terrorisées, n'osent pas parler à la police et se murent dans le silence.
Régulièrement présenté comme l'un des plus dangereux d'Europe, le camp de Grande-Synthe voit affluer de nouveaux migrants depuis le démantèlement de la Jungle de Calais. Depuis juin 2016, le camp humanitaire a été repris en main par l'Etat qui en assure le financement en en mandatant la gestion à un prestataire bénévole.
Lire aussi : Refoulée au camp de Grande-Synthe, Marine Le Pen dénonce la «folle politique d'immigration»
«Laxisme», «racailles» ou le silence : les réactions des politiques après les émeutes de Bobigny
12 févr. 2017, 21:15
Si François Hollande ne s'est pas exprimé officiellement après les violences perpétrées à Bobigny le 11 février, la plupart des candidats à la présidentielle, ainsi que leurs soutiens ont réagi.
Après la violente émeute qui a secoué la ville de Bobigny, en Seine-Saint-Denis, le samedi 11 février, en marge d'une manifestation de soutien au jeune Théo, victime présumée de violences policières à Aulnay-sous-Bois au début du mois, plusieurs personnalités politiques se sont exprimées.
«Les Français n'en peuvent plus de voir détruit, brûlé, saccagé ce qu'ils ont tant de mal à payer par leurs impôts», a déclaré Marine Le Pen au micro d'Europe 1. Elle a en outre dénoncé une «haine de la France, de l'Etat de droit et des forces de police» qui serait encouragée par «le laxisme» de la justice française. «Par principe, je soutiens la police, sauf démonstration par la justice», a-t-elle martelé, plaidant en faveur d'un réarmement des forces de l'ordre et d'une augmentation significative des embauches au sein de la police.
Le Front national a estimé que «les leçons de 2005 n'avaient pas été tirées», assurant les forces de l'ordre de son soutien. Gilbert Collard, député du Rassemblement Bleu Marine (RBM), proche Front national (FN), est allé plus loin : il a rappelé la proposition de loi qu'il avait soumise à l'Assemblée nationale en juin 2016 et dont l'objet visait à supprimer le RSA aux délinquants reconnus coupables d'actes de vandalisme. «Une mesure qui devrait en calmer plus d'un», a-t-il commenté.
«Les violences commises hier à Bobigny en marge d'une manifestation mettent en cause la responsabilité du gouvernement», a affirmé François Fillon dans un communiqué. Le candidat du parti Les Républicains (LR) à la présidentielle s'est également interrogé sur l'action de Bruno Le Roux, ministre de l'Intérieur : «Pourquoi le ministre de l'Intérieur a-t-il autorisé cette manifestation alors que les risques de violence étaient évidents ?», s'est demandé l'ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy.
Du côté du Parti socialiste (PS), les réactions sont plus discrètes. Si Claude Bartolone, président de l'Assemblée nationale, a salué le courage du manifestant qui a sauvé une petite fille des flammes, il n'a pas réagi aux émeutes elles-mêmes.
Le candidat du PS, Benoît Hamon, n'a pas réagi officiellement. Le conseiller régional d'Ile-de-France, Julien Dray a, pour sa part, évoqué «l'instrumentalisation de ces situations sur le terrain, par des groupes qui sont extrêmement radicaux et qui poussent à la confrontation». Le président socialiste du Conseil départemental de Seine-Saint-Denis, Stéphane Troussel, a déploré les «dégradations» commises en marge d'une «manifestation pacifique», avant de rappeler qu'il était pour lui «indispensable que les actes violents des policiers soient sanctionnés».
Jean-Luc Mélenchon, candidat de la France insoumise à la présidentielle, a exprimé sur Twitter son regret face au traitement médiatique des émeutes, regrettant que seules les images de l'émeute de Bobigny aient été, selon lui, diffusées par les chaînes de télévision, alors que «de nombreuses personnes se sont exprimées sur la paix».
Après la journée du 11 février, marquée par les violences à Bobigny, plusieurs incidents de même nature ont écalté dans la soirée du 12 février à Argenteuil, dans le Val-d'Oise.
Incendies, bus caillassés, abribus saccagés : de nouvelles émeutes à Argenteuil (VIDEOS)
12 févr. 2017, 20:13
Après plusieurs jours d'émeutes et de violences dans les banlieues autour de Paris, de nouveaux incendies ont été signalés ce 12 février à Argenteuil, dans le Val-d'Oise
Ce dimanche 12 février, plusieurs témoins rapportent des actes de violence commis en début de soirée à Argenteuil (Val-d'Oise), notamment sur la grande dalle. Des forces de police sont présentes en nombre sur place.
Trente à quarante jeunes se sont rassemblés, selon plusieurs témoignages, sur la dalle d’Argenteuil et autour de l'avenue Maurice Utrillo, ce 12 février en début de soirée. Un véhicule au moins aurait été incendié, ainsi que plusieurs poubelles. Onze individus ont été interpellés par la police, annonce l'AFP.
Des images montrent également qu'un autobus a été caillassé et qu'un abribus a été vandalisé.
Ça chauffe à #Argenteuil. Des jeunes se livrent à des actes de saccage contre des voitures et des abris-bus.
D'autres images montrent un homme, présenté comme étant journaliste à BFM-TV, à terre, après avoir été frappé.
Un van a également été renversé et incendié sur la chaussée
La police s'est déployée sur les lieux dès 17 heures, tandis que des dégagements de fumée noire, caractéristiques des incendies, étaient visibles dans le ciel.
Un peu plus tard dans la soirée, plusieurs témoins rapportent que des incendies se sont également déclarés à Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Des pompiers et des policiers étaient présents sur les lieux.
Samedi 11 février, une violente émeute avait secoué la ville de Bobigny, en Seine-Saint-Denis, alors que plusieurs manifestants marchaient dans les rues de la ville en soutien au jeune Théo, victime présumée de violences policières au début du mois de février.
Lire aussi : «Justice pour Théo : violents incidents en marge d'une manifestation à Bobigny (VIDEOS)»
Par Tyler Durden Feb 12, 2017 11:00 PM Soumis par Robert Gore via le blog Straight Line Logic,
Notre monde dérangé est un produit d'esprits dérangés.
La philosophie commence par des questions invariablement difficiles. Pourquoi suis-je ici? Quel est le but de la vie? Y at-il un dieu ou des dieux? Qu'est-ce qui est bien et qu'est-ce qui ne va pas? Comment les groupes de personnes devraient-ils être organisés et fonctionner ensemble? Ironiquement, lorsque de telles questions sont rarement posées, quand la philosophie est généralement ignorée ou dénigrée, comme elle l'est maintenant, c'est quand elle est la plus nécessaire.
La philosophie politique est la branche qui aborde la question de savoir comment le pouvoir coercitif doit être distribué dans une société. C'est une question complexe, mais une question apporte des éclaircissements, permet une analyse plus approfondie et aboutit à des conclusions utiles. Qui possède les ressources d'une unité politique? Cette question fait la différence entre les gouvernements qui protègent les droits individuels et les biens et ceux qui ne le font pas. Il souligne également un problème clé: sur la planète terre, chaque gouvernement entre dans cette dernière catégorie.
Les documents fondateurs des États-Unis rendent hommage aux droits individuels et au droit privé. Certains des fondateurs ont peut-être pensé établir un gouvernement subordonné à la protection des droits individuels, ce qui aurait été une première historique. Cependant, aucun ne pensait qu'un tel gouvernement serait facile à maintenir, et leurs craintes étaient confirmées. Le gouvernement des États-Unis met en évidence la liste sans gloire des gouvernements qui revendiquent la propriété de tout ce qui relève de leur dominion, défini comme n'importe quel endroit où ils peuvent exercer leur pouvoir coercitif.
Pour ceux qui disent que l'institution de propriété privée inviolée existe encore aux États-Unis, quel atout le gouvernement américain ne peut-il pas saisir? L'impôt sur le revenu lui donne une première réclamation sur le revenu. Aucun bien immobilier n'est exonéré d'un domaine éminent. Les demandes de propriété intellectuelle sont soumises aux autorités en matière de brevets, de marques de commerce et de droits d'auteur. Les actifs financiers détenus dans le système bancaire peuvent être «renfloués» et des plans sont en cours pour interdire l'encaisse. La gamme déjà vaste d'actifs soumis à la confiscation d'actifs civils continue de se développer. Plus inquiétant, les biens peuvent être saisis de parties jamais condamné. La conscription octroie au gouvernement la vie du conscrit. Le gouvernement des États-Unis ne fait pas exception à la règle générale, rien n'est inviolable attendre peut-être les pensées d'une personne, et sans doute il travaille sur cela.
Les individus qui revendiquent le droit d'engager une agression contre quiconque ils choisissent sont philosophiquement désavantagés, candidats à un asile ou un pénitencier. Rejetant le premier principe qui doit guider l'interaction humaine - à savoir que personne ne peut légitimement engager la force contre une autre personne -, ces individus n'ont aucun fondement rationnel pour leurs pensées ou leurs actions. Les «ordures» de leurs prémisses philosophiques produisent des «états d'émotion», des processus mentaux et finalement des vies. Ayant abandonné la raison de la coercition et de la violence, la réalité devient un vide chaotique et incompréhensible.
Le pouvoir coercitif des gouvernements leur permet de prendre: le pouvoir rend raison. Une philosophie qui reconnaissait le droit de certains individus de voler à d'autres échoue sur les premiers principes; Il n'y a pas de distinction logique possible entre le privilégié et le subjugué. L'agrégation des individus en une unité qui s'appelle un gouvernement leur donne-t-elle un droit qu'aucun d'eux n'a individuellement? On pourrait dire que l'agrégat a été pour la protection des personnes, des biens et des droits de ses électeurs, mais un gouvernement si limité agit en tant qu'agent subordonné de ses électeurs, en exerçant et en renforçant leur droit de légitime défense. Des efforts ont été faits, notamment l'expérience américaine, mais aucun gouvernement n'a jamais été restreint de cette manière.
Quelle que soit son orientation, chaque gouvernement s'est donné le pouvoir d'initier la violence contre ses citoyens. Ce n'est pas parce que l'agglomération dirigeante affirme ce privilège que sa validité n'est pas philosophiquement valable. Ce qu'il fait est légitime l'initiation de la violence pour toutes et toutes les causes - nationales et étrangères - le gouvernement juge approprié.
Ayant violé le premier principe de la non-agression, rien ne peut empêcher ce défaut philosophique de glisser vers la population sujet. Le voleur déchiré qui tient une bouteille d'alcool n'a pas le polonais et l'articulation du politicien qui affirme la première revendication du gouvernement sur la production d'une nation, le banquier central qui déprécie sa monnaie ou le général se pencha sur la domination mondiale qui gouverne des guerres offensives mais philosophiquement Ce sont des âmes sœurs. En effet, le voleur a un moral sur les autres: il ne prétend pas protéger les valeurs qu'il détruit.
Des millions ont dénoncé la violence qui a empêché Milo Yiannopoulos de parler à l'Université de Californie à Berkeley, de même que des millions de l'autre côté ont décrié la violence principalement illusoire parmi les partisans de Trump pendant la campagne. Cependant, pas un sur mille de ceux qui dénoncent la violence comme des violations des libertés civiles fondamentales dénoncent les violations quotidiennes des libertés fondamentales que leur gouvernement leur inflige. La corruption des États-Unis est si complète que ceux qui insistent sur le fait qu'ils ne sont pas des fourrages pour le gouvernement, que leur vie est la leur, et que le seul gouvernement approprié est subordonné à la protection de leurs droits individuels - Pourrait tenir une convention et ne pas remplir un gymnase de lycée.
Ce petit groupe est victime d'un terrifiant mouvement de pince de haut en bas. Quand une société s'abandonne à la violence, «légale» et autrement, elle s'abandonne à une irrationalité insensée, poussée par la haine et l'antipathie envers toute valeur positive. La violence n'est pas un moyen pour une fin autre que la destruction et la mort; La violence elle-même est la fin. L'humanité a été nourrie de la même tripes pendant des siècles: des fins nobles justifient les moyens du mal. La violation du premier principe - le rétrécissement contre l'agression initiée - empêche la considération des fins prétendues. Une «discussion» avec une arme à feu n'est pas une discussion. La violence exercée en légitime défense protège les valeurs positives, mais quand la violence est initiée, la destruction, la mort et le plaisir dépravé des esprits dégoûtants sont ses seules fins.
Un individu qui revendique par mot ou acte le droit d'initier la violence - et les droits conséquents de subjuguer, de blesser et de tuer - est un animal enragé, dérangé et dangereux. Un gouvernement qui affirme que le droit est un ensemble. En vertu de la légitime défense, les vertueux, pour protéger leur liberté, leurs droits et leurs vies, doivent mettre en quarantaine ou tuer le rabique. Un corollaire nécessaire du rétrécissement contre l'agression initiée, c'est que nous avons le droit d'utiliser tous les moyens nécessaires pour nous en défendre - peut-être avec pitié, mais sans remords.
Le chaos, la terreur, de notre monde en détérioration est un reflet fidèle et fidèle des âmes abandonnées à la haine. Le mental libre et ses méthodes - la curiosité intrépide, la vérité et la logique - se présentent comme leur ennemi ultime. Si ceux qui s'opposent à cette destruction et à cette mort abandonnent leurs âmes, ils deviennent le mal insensé auquel ils s'opposent. Ceux qui défendent leurs droits, leurs valeurs et leurs vies sans renoncer à leur moralité reconstruiront des décombres le genre de monde dans lequel ils méritent de vivre. Ils le feront sans obstruction: la haine mène inévitablement à sa propre destruction.
À l'intérieur du bloc noir: "Nous allons l'arrêter ... tout ce qu'il faut"
Par Tyler Durden Feb 12, 2017 9:00 PM
Hors de la marée de manifestants pacifiques en grande partie marchant dans le quartier financier de San Francisco en 2003, un sous-groupe plus militant a émergé. Ses membres portaient des masques noirs, des vestes noires, des capes noires et des casques. Ils ont brisé les fenêtres et pillé les bureaux de recrutement militaires.
Depuis lors, comme Paige St. John de Los Angeles Times, les prétendus manifestants du bloc noir sont devenus une force dans la région de la baie et au-delà. Ils ont été blâmés pour la violence pendant des protestations à Oakland au-dessus du pouvoir d'entreprise et des abus de police, notamment le cas d'Oscar Grant, un homme non armé noir qui a été tué par la police de BART en 2009.
Méprisé par les critiques à la fois de gauche et de droite et chassé par la police, le bloc noir apporte sa tactique radicale au mouvement de protestation massif suscité par la présidence de Donald Trump.
Les militants masqués sont passés au poing avec des néonazis au Capitole d'état en juin, où cinq de leurs alliés ont été poignardés. La tactique des blocs noirs a également entamé les cérémonies d'inauguration de Trump à Washington, laissant des fenêtres cassées, des banques vandalisées et une limousine incendiée.
Au début de ce mois-ci, sur le campus de l'Université de Berkeley, des militants du bloc noir ont déchiré les barricades de la police, ont brisé des fenêtres, commencé un incendie et agressé les partisans de Trump.
Bien que, comme le rapporte St. John, ils représentent un petit pourcentage des 1000 manifestants majoritairement non violents qui sont allés à Berkeley pour protester contre un discours du controversé chroniqueur Breitbart et écrivain conservateur Milo Yiannopoulos, mais ils ont dominé le résultat.
Les protestations ont été réprimandées par des étudiants, des administrateurs d'universités et Trump.
Le vice-chancelier en colère a qualifié la mêlée d '"invasion sans précédent" d'une manifestation pacifique.
Mais certains leaders de la protestation du campus l'ont appelée un succès écrasant.
"Ce ne sont pas seulement les gens habillés en noir qui agissent de manière militante et tous les autres sont des hippies Berkeley pacifiques", a déclaré Yvette Felarca, organisatrice politique de By Any Means Necessary, une coalition d'immigration et d'affirmative qui cherche à construire une masse Militant.
"Tout le monde a applaudi quand ces barricades ont été démantelées. ... Tout le monde était là avec nous en accord politique sur la nécessité de le fermer, quoi qu'il allait prendre. Il montre que nous avons le pouvoir ", a déclaré Felarca. «Je pensais que c'était superbe.
Le terme «bloc noir» a été utilisé pour décrire les coins serrés de manifestants vêtu de noir dans des casques et des masques qui sont apparus dans les manifestations de rue en Allemagne dans les années 1970, confondant les efforts pour isoler, identifier et poursuivre les individus. Son but était, et est toujours, l'action directe.
Les praticiens se soucient peu de la parole ou de la forme de l'opinion publique, et les médias sont tenus dans le dédain, tout comme les libéraux qui adoptent la non-violence.
Les membres opèrent en petites escouades qui s'organisent autour des drapeaux pendant les ravages d'une manifestation.
Beaucoup sont des anarchistes, et des sites Web anarchistes tels que It's Going Down fournissent une plate-forme publique pour les rapports de la clandestinité.
Ils disent qu'ils combattent la brutalité policière, la cupidité des entreprises, les interdictions d'immigration et l'érosion des libertés civiles.
La région de la baie a fourni une base fertile pour le groupe, particulièrement Oakland, lieu de naissance aux milices armées du mouvement de panthère noire.
«Je souscris à la légitime défense dans le même sens que le Parti des Panthères noires et que fait Malcolm X», a déclaré un ancien militant du bloc noir de la Bay Area qui a parlé à condition qu'il ne soit pas nommé parce qu'une grande partie des actions du groupe sont illégal.
Il se décrit comme un diplômé universitaire employé, le produit de l'incarcération des jeunes et un ménage où le respect des rues - et non le pacifisme - a été prêché.
"Ce qui veut dire que je reconnais un type de violence, c'est-à-dire que les gens sont battus pour avoir certains types de vues politiques et être impudents à leur sujet, par rapport à la violence quotidienne ... comme je passe par la Bay Area et il ya des gens Dormant dans les portes des condos de millions de dollars qui sont vides. ... N'est-ce pas violent? "Dit-il. - C'est la chose la plus cruelle et la plus violente que j'aie jamais vue.
Il y a une stratégie derrière une grande partie de la fracture, selon des entrevues et des manifestes publiés.
Le bloc repousse les lignes de la police, ouvrant et tenant l'espace pour les manifestations de masse que la police cherche à corral et de disperser la foule. Ils tirent du gaz poivré, des balles en caoutchouc et d'autres utilisations de la force. Ils disent qu'ils concentrent la destruction sur les porte-étendard du capitalisme: les machines de banque et un campus Starbucks ont été frappés après que Berkeley ait annulé le discours de Yiannopoulos.
«Starbucks est un symbole de la capitalisation mondiale», a déclaré le député noir.
Ces activistes interrogés n'ont exprimé aucun remords pour les dommages matériels. Ils ont dit qu'il devrait faire pression sur l'université pour y réfléchir à deux fois avant d'autoriser de tels événements à l'avenir. Ils ont le même respect pour la violence contre les gens.
Et ils recrutent ... Un groupe anarchiste organise une conférence de deux jours à Oakland et à San Francisco le mois prochain pour attirer les nouveaux arrivants. Le membre du bloc noir a dit qu'il espère qu'il aidera plus de gens à trouver le mouvement.
"Les gens que je vois entrer sont curieux de ce que ressemble cette politique directe. Ils sont venus dans la post-Oscar Grant, post-Occupy sorte d'environnement politique », a déclaré le membre.
"Dans les prochaines années, ils vont prendre leurs ailes et ils vont commencer à voler." Bonne chance en Amérique.
"La panique" se propage chez les Hispaniques après l'arrestation de centaines d'immigrants illégaux
Par Tyler Durden Feb 11, 2017 22h15
Comme nous l'avons déjà signalé, l'une des conséquences immédiates de l'ordonnance de l'immigration Trump - et qui n'a pas encore été contestée jusqu'à maintenant - a été une répression contre les immigrants illégaux résidant aux États-Unis. Cela a rapidement conduit le ministère mexicain des Affaires étrangères à dire jeudi qu'il a intensifié ses efforts pour protéger les migrants mexicains, "prévoyant le durcissement des mesures par les autorités d'immigration aux États-Unis, ainsi que les violations constitutionnelles possibles lors des raids ou dans le cadre d'une procédure régulière".
Nous avons également noté que selon le WSJ, les Mexicains influents poussent «une stratégie agressive et peut-être risquée pour lutter contre une augmentation probable des déportations de leurs compatriotes sans papiers aux États-Unis: les tribunaux d'immigration américains dans les espoirs de faire défaillir le système déjà surchargé» . " La proposition appelle des campagnes publicitaires conseillant aux migrants aux États-Unis de porter leurs affaires devant les tribunaux et de combattre l'expulsion si elles sont détenues. «L'arriéré dans le système d'immigration est énorme», a déclaré l'ancien ministre des Affaires étrangères Jorge Castañeda. L'idée est de doubler ou tripler l'arriéré, "jusqu'à ce que [U.S. Président Donald] Trump renonce à cette idée stupide », at-il ajouté.
Pour l'heure, cependant, ces efforts pour triompher de la directive anti-illégale de Trump n'ont pas généré de traction, et selon Reuters, les agents d'immigration fédéraux ont arrêté des centaines d'immigrants sans papiers dans au moins quatre États cette semaine dans ce que les fonctionnaires ont appelé vendredi Routinières ". Les mesures d'application de la loi ont eu lieu à Atlanta, New York, Chicago, Los Angeles et les régions avoisinantes, a déclaré David Marin, directeur de l'application et de la suppression pour le bureau de Los Angeles de l'Immigration and Customs Enforcement.
Marin a qualifié cette opération de cinq jours d '"augmentation de la loi".
Alors que l'agence n'a pas libéré un nombre total de détenus, le bureau d'Atlanta seul, qui couvre trois États, a arrêté 200 personnes, Bryan Cox, un porte-parole pour le bureau, a déclaré. Marin a également déclaré que des personnes arrêtées dans le sud de la Californie, seulement 10 n'avaient pas de casier judiciaire et que cinq d'entre elles avaient déjà été déportées.
"L'éruption de ces rapports récents sur les points de contrôle et les balayages aléatoires, c'est tout faux et c'est dangereux et irresponsable", a déclaré Marin. «Des rapports comme celui-là créent une panique». Il a décrit les arrestations comme une grande routine.
Peut-être, mais nous devons rappeler une fois au cours des 8 dernières années où une histoire sur les arrestations massives d'immigrants illégaux a fait la page d'atterrissage de Reuters ou le WSJ.
D'autres sont d'accord. Michael Kagan, professeur de droit de l'immigration à l'Université du Nevada à Las Vegas, a déclaré que les avocats de l'immigration craignent que les arrestations ne signent le début d'une application plus agressive et d'une augmentation des expulsions sous Trump. "On dirait que la majorité sont des gens qui auraient été des priorités dans le cadre d'Obama aussi", a déclaré Kagan dans une interview téléphonique.
"Mais les autres peuvent indiquer le premier bord d'une nouvelle vague d'arrestations et de déportations."
Ce qui explique probablement pourquoi il ya soudainement un sens palpable une panique parmi les communautés hispaniques, comme The Hill rapports.
L'un des premiers cas à recevoir une attention nationale, la déportation de l'Arizona résidente Guadalupe Garcia de Rayos, a mis les communautés sans papiers et de statut mixte sur le bord. "Il est juste de dire que nous sommes tous extrêmement troublés par l'action de déportation que nous avons vu avoir lieu hier en Arizona", a déclaré Janet Murguia, présidente du Conseil national de La Raza. "La première déportation (après) son ordre exécutif est d'une maman qui travaille avec deux enfants américains", a t-elle ajouté.
Et pourtant, ce que Trump fait est précisément ce qu'il avait promis de faire. Sur la piste de campagne, Trump initialement promis d'édicter une force de déportation pour expulser tous les 11 millions d'immigrants sans papiers, en commençant par des criminels dangereux. "Ils vont sortir d'ici si vite, votre tête tournera", a déclaré Trump à Fox News en août. "En ce qui concerne le reste, nous allons passer par le processus, comme ils sont maintenant - peut-être avec beaucoup plus d'énergie." En tant que président élu, Trump a déclaré que son gouvernement chercherait «trois ou quatre millions de criminels dangereux Immigrants pour la déportation.
De nombreux défenseurs hispaniques estiment que l'affaire Garcia de Rayos montre que l'administration Trump poursuivra agressivement tous les immigrants sans papiers. "Cela réaffirme que lorsque l'administration Trump a dit qu'ils iraient contre les criminels, ils voulaient vraiment dire tout le monde", a déclaré Murguia.
La perception que Trump est en train de revenir à ses premières propositions de campagne a secoué de nombreux Hispaniques, y compris beaucoup qui sont légalement dans le pays, a noté la Colline.
"L'incertitude et la confusion sont répandues chez les sans-papiers, les résidents légaux et les citoyens", a déclaré José Diaz-Balart, l'ancre de Telemundo. "Il y a des millions de familles de statut mixte aux États-Unis d'Amérique." Et les organisateurs de la communauté admettent qu'ils ont peu d'outils pour étouffer l'inquiétude.
NCLR est l'une des nombreuses organisations qui ont mis en place une structure de défense légale et ont lancé des programmes pour informer les immigrants de leurs droits, mais en vertu de la loi actuelle, un immigrant sans papiers qui entre en contact avec les agents fédéraux d'application a relativement peu d'options. "Nous voulons que les gens restent calmes et nous voulons leur donner des assurances, mais nous ne pouvons pas leur donner des assurances", a déclaré Murguía.
Diaz-Balart, l'ancêtre de Noticieros Telemundo, le programme d'information nocturne du réseau, organise dimanche un évènement pour ses spectateurs afin de mieux comprendre les actions d'immigration de l'administration. "[Les immigrants] demandent maintenant, 'comment cela va-t-il avoir un impact sur moi ?'" A déclaré Diaz-Balart.
«C'est une mairie qui va traiter les questions que nous entendons encore et encore des gens que nous servons», at-il dit. «Il ne s'agit pas de dire aux gens ce qu'ils veulent entendre, mais de s'assurer que les gens sont informés des choses.»
Dans les premiers jours de l'administration Trump, l'immigration est apparue comme la cible la plus importante pour le président, apparemment de plus grande importance que d'abroger Obamacare ou de réduire les impôts. Grâce à ses ordres exécutifs, Trump a suivi les soi-disant «villes sanctuaires» qui restreignent la mesure dans laquelle leurs agents d'application de la loi collaborent avec l'application fédérale de l'immigration. Il a également redéfini qui pourrait être qualifié d '«étranger criminel». Cette redéfinition a considérablement augmenté le nombre d'immigrants sans papiers susceptibles d'être ciblés pour l'enlèvement, au-delà des «trois ou quatre millions» que Trump avait mentionné.
José Magaña-Salgado, avocat au Immigrant Legal Resource Center, a cité une étude selon laquelle jusqu'à 8 millions de personnes pouvaient maintenant être ciblées pour être expulsées. Sous l'ordonnance de Trump, la définition de la criminalité a été élargie pour inclure les délits comme le franchissement illicite de la frontière. Il a également élargi les définitions des immigrants pour qu'ils soient considérés comme des priorités en matière d'expulsion. Les étrangers qui ont «commis des actes constituant une infraction pénale imposable» sont prioritaires, même avant la condamnation. Il comprend également ceux qui ont commis «une fraude ou une déclaration trompeuse délibérée dans le cadre d'une affaire officielle ou d'une demande devant une agence gouvernementale», une catégorie qui comprend l'utilisation de faux numéros de sécurité sociale au travail.
Certes, faute de contestation judiciaire pour le moment, les Hispaniques réfutent la logique de l'ordre de Trump.
Magaña-Salgado a déclaré que la structure même de l'Immigration and Customs Enforcement (ICE) et de la Customs and Border Protection (CBP) offrirait une incitation à une application aveugle. "La philosophie générale des agents ICE et des agents CBP, ils considèrent leur travail comme expulser autant de gens du pays que possible", a déclaré Magaña-Salgado. "Il leur vaut d'avoir un nombre élevé d'expulsions parce qu'ils peuvent justifier leur budget, ils peuvent justifier leur mission", at-il ajouté. Et des cas comme Garcia de Rayos fournir une cible facile pour les agents fédéraux.
Garcia de Rayos a été appréhendée lors d'une inspection annuelle au siège local de la CIE, où elle s'est volontairement présentée en respectant les ordres qui lui avaient été donnés lors de son arrestation initiale. En tant que délinquant à faible risque - Garcia de Rayos a été reconnu coupable d'avoir utilisé un faux numéro de sécurité sociale pour travailler - elle n'était pas sur la liste des priorités de l'administration d'Obama malgré avoir été désignés pour être expulsés par un juge d'immigration.
Elle était pourtant très probablement un élu démocrate éligible, qui, bien que non discuté est le fondement de la poursuite agressive de Trump d'immigrants clandestins sans papiers aux États-Unis.
Au-delà de la détention de Garcia de Rayos, ICE a mené de grands raids cette semaine sur les maisons et les lieux de travail qui alarmaient encore les communautés hispaniques. Karen Tumlin, directrice juridique du National Immigration Law Center, a déclaré que les agents ont refusé l'accès aux avocats d'immigration après un tel raid à Los Angeles qui a rassemblé environ 100 personnes. "Les avocats de l'immigration se sont rassemblés sur les lieux", a déclaré Tumlin. «Ils ont été exclus. "[C'est] absolument inacceptable et potentiellement illégal", at-elle ajouté.
Des cas semblables à ceux de Garcia de Rayos pourraient également attirer l'attention des agents d'exécution fédéraux en raison de la pénurie de juges d'immigration pour poursuivre les affaires. Les personnes qui ont déjà été prévues pour être renvoyées par un juge peuvent être renvoyées sans autre procédure. Le manque de juges d'immigration «va certainement être une contrainte», a déclaré Magaña-Salgado.
Des cas semblables à ceux de Garcia de Rayos pourraient également attirer l'attention des agents d'exécution fédéraux en raison de la pénurie de juges d'immigration pour poursuivre les affaires. Les personnes qui ont déjà été prévues pour être renvoyées par un juge peuvent être renvoyées sans autre procédure. Le manque de juges d'immigration «va certainement être une contrainte», a déclaré Magaña-Salgado.
Mais les agents peuvent recourir à des procédures d'expulsion accélérées sous l'administration Obama, mais non retirées, afin d'amener les détenus à accepter une expulsion rapide sur une longue attente pour un juge de l'immigration, souvent incarcéré.
"Ils vont utiliser cet outil pour sortir les gens du système judiciaire et de la procédure régulière", a déclaré Magaña-Salgado. Cela va également entraver la tentative précédemment discutée par des Mexicains influents de «contester les tribunaux américains» en augmentant le nombre de cas d'expulsion. En fin de compte, cette stratégie pourrait avoir des effets négatifs si la loi devait être simplifiée.
Pendant ce temps, les militants hispaniques mettent en garde contre le fait que la poursuite d'objectifs faciles peut endommager les communautés de plusieurs façons.
Les gens qui seraient autrement actifs économiquement pourraient se cacher, la confiance dans les organismes d'application de la loi pourrait être diminuée, et les criminels dangereux pourraient plus facilement glisser dans les fissures que les agents fédéraux de poursuivre non dangereux immigrants sans papiers.
"Les gens veulent se conformer aux agences d'exécution", a déclaré Murguia. «Ils sont censés se présenter avec ces check-ins, s'ils voient qu'ils vont se mettre en danger, c'est une situation très difficile.
«Ce sont des histoires déchirantes et déchirantes», a t-elle ajouté. "Dans une société civilisée, nous ne pouvons pas trouver une meilleure façon de traiter ces questions ?"
Eh bien, Obama a essayé, et a échoué. C'est pourquoi la société «civilisée» américaine est maintenant où elle est et reflète la volonté de la majorité.
Des évacuations ont été commandées au-dessous du barrage d'Oroville après qu'un trou a été trouvé dans son déversoir d'urgence
Des millions de gallons d'eau de ruée continuent de saborder et d'éroder le déversoir massif du lac Oroville.
Des dizaines de milliers de résidents dans le nord de la Californie ont reçu l'ordre d'évacuer immédiatement dimanche après-midi après l'érosion à l'évacuateur d'urgence sur le barrage d'Oroville qui a menacé d'inonder Oroville et les villes voisines ci-dessous.
Les officiels ont déclaré dimanche qu'ils utiliseront des sacs de roches pour essayer de brancher le trou à la tête de l'évacuateur d'urgence, et aussi de réduire le niveau d'eau au lac Oroville pour alléger le stress sur le déversoir.
Ils ont souligné que la situation reste dangereuse au plus haut barrage de la nation et ont exhorté les habitants des communautés situées le long de la rivière Feather à évacuer vers un terrain plus élevé.
Le service météorologique national a d'abord déclaré que le déversoir auxiliaire du barrage d'Oroville devait échouer vers 17 h 45, ce qui pourrait entraîner une "libération incontrôlée des eaux d'inondation du lac Oroville".
Le shérif du comté de Butte, Kory L. Honea, a déclaré qu'une crevasse se développait près du bord inférieur du déversoir d'urgence et s'érode "à un rythme assez important".
Mises à jour en direct: Evacuations commandées ci-dessous Barrage d'Oroville
"Il y avait une préoccupation importante que [le trou] compromettrait l'intégrité de l'évacuateur de crues, résultant en une importante libération d'eau", a déclaré Honea. "Nous avons dû prendre une décision très critique et difficile pour amorcer l'évacuation de la région d'Oroville."
Ceux d'Oroville, une ville d'environ 16 000 personnes, ont été invités à fuir vers le nord vers Chico, avec Gridley et Biggs. Dans le comté de Yuba, ceux de Marysville et d'autres communautés du fond de la vallée du comté ont été invités à emprunter des routes à l'est, au sud ou à l'ouest. Dans le comté de Sutter, des évacuations ont été ordonnées pour Yuba City, Live Oak, Nicolaus et toutes les communautés autour du bassin de la rivière Feather.
"Ce n'est pas un exercice. Ce n'est pas un exercice. Répétez, ce n'est pas un exercice ", a déclaré le Service météorologique national. Les autorités ont exhorté les résidents à communiquer avec les voisins et les membres de leur famille, à se rendre auprès des personnes âgées et à les aider à évacuer.
Le dimanche soir, les responsables de l'Etat ont déterminé que le taux d'érosion du trou dans le déversoir d'urgence avait ralenti, et les experts ont élaboré un plan pour décharger des sacs de roches dans la fissure pour boucher le trou, a déclaré Honea.
Pour ralentir l'érosion du déversoir d'urgence, les responsables du Département des ressources en eau de l'État ont également doublé le débit d'eau dans le déversoir principal à 100 000 pieds cubes par seconde. L'augmentation rapide a considérablement réduit l'eau qui vient sur le déversoir d'urgence à deux pouces, Honea dit.
Le barrage lui-même est structurellement sain, les fonctionnaires ont dit.
Des millions de gallons de la ruée vers l'eau libèrent et érodent l'évacuateur massif de barrage de lac Oroville.
Les évacuations ont marqué un tournant dramatique au barrage d'Oroville, situé à environ 75 milles au nord de Sacramento.
Pendant plusieurs jours, les fonctionnaires ont essayé de trouver comment obtenir l'eau du lac Oroville après que le déversoir principal a été endommagé. Un trou massif a été découvert la semaine dernière sur le déversoir principal et éventuellement étendu sur toute la largeur du canal béton-doublé.
Samedi a marqué la première fois que le déversoir d'urgence a été utilisé depuis le barrage a été achevé en 1968, et jusqu'à dimanche après-midi, il semblait bien fonctionner. Mais l'eau de la pluie et de la neige a continué à couler dans le lac Oroville à un rythme rapide, faisant monter les niveaux d'eau aux niveaux d'urgence.
Le lac Oroville est le pivot du système de circulation de l'eau en Californie, envoyant de l'eau du sud de la Sierra Nevada aux fermes de la vallée de San Joaquin et des villes du Southland.
La vidéo des hélicoptères de télévision a montré dimanche soir de l'eau s'écoulant dans un stationnement à côté du barrage, avec de grands flux descendant à la fois le déversoir principal endommagé et le déversoir d'urgence.
Les fonctionnaires craignaient qu'une défaillance de l'évacuateur de détresse n'entraînerait une énorme quantité d'eau dans la rivière Feather, qui traverse le centre-ville d'Oroville et d'autres cours d'eau. Le résultat pourrait être des inondations et des défaillances de digues à des kilomètres au sud du barrage, selon la quantité d'eau libérée.
Les vidéos ont également montré des lignes de voitures sortir du centre-ville d'Oroville. Un centre d'évacuation a été mis en place au Silver Dollar Fairgrounds à Chico.
Sergia Richard-Madrid, 62 ans, travaillait son quart à Home Depot dimanche après-midi quand les téléphones ont commencé à sonner sur l'évacuation obligatoire.
Elle se précipita chez elle, mais le reste de sa famille était déjà partie. Certains ont fui vers le nord jusqu'à Chico, mais elle s'est dirigée vers le sud sur l'autoroute 70 et a été détournée lorsque les autorités ont commencé à évacuer la basse vallée de Marysville ainsi, environ une heure au sud d'Oroville.
Près du centre-ville Oroville quatre personnes étaient debout sur un pont donnant sur la rivière.
James Nash, 86 ans, a entendu parler de l'ordre d'évacuation de son directeur de l'immeuble. Chef retraité et vétéran de la guerre de Corée, il ne savait pas où aller, et était contrarié qu'O Oroville ne semblait pas faire plus.
Il ne pouvait pas arriver à Chico sur sa moto. Il avait un petit sac avec rasage, débarbouillettes et serviettes en papier. Pas de couvertures, pas d'eau.
Il s'est souvenu de l'ordre d'évacuation de 1997, qu'il a ignoré et qui n'a pas entraîné d'inondations. Il a dit qu'il est encore assez sûr que rien ne se produira cette fois: "Je ne crois pas que cela va se passer."
Mais il n'était pas assez à l'aise pour rentrer chez lui, donc il a continué à regarder l'eau dans la rivière en contrebas. - Je m'ennuie, dit-il.
Diminuée par des années de sécheresse, le lac Oroville était devenu un symbole de l'aggravation de la crise de l'État. Mais un hiver inhabituellement humide a pris le lac de presque plein à débordement en moins d'une semaine.
Parallèlement, le déversoir principal de près d'un mille de long sur lequel les gestionnaires du barrage s'appuient pour libérer l'excès d'eau a commencé à s'effriter, l'érosion se détériorant alors que des millions de gallons d'eau coulaient dessus.
Réaliser le lac pourrait atteindre un niveau qui pourrait déclencher l'utilisation d'un déversoir d'urgence, les travailleurs de l'Etat ont commencé à défricher la zone des arbres et de la brosse qui pourraient être envoyés en aval en aval.
Le samedi matin, l'eau a commencé à se laver sur le déversoir d'urgence du barrage pour la première fois depuis qu'il a été achevé en 1968. Les photographies montraient un torrent d'eau se précipitant vers le bas pour rejoindre la rivière Feather.
Dimanche, les responsables ont déclaré que, même s'ils s'attendaient à ce que le déversement non contrôlé prenne fin, ils prévoient de continuer à utiliser le déversoir en béton pour créer plus de stockage dans le réservoir en prévision des précipitations plus tard dans la semaine.
«Nous allons continuer à vider de l'eau vers le bas du déversoir et abaisser le lac», a déclaré See. «Vous allez voir le niveau du lac descendre au cours des prochains jours."
Les responsables ont souligné qu'en dépit des dommages causés aux déversoirs, le barrage lui-même ne risquait pas d'être défaillant.
«Croyez-moi, au cours des derniers jours, il ya eu beaucoup d'yeux sur elle», a déclaré Bill Croyle, directeur par intérim du département de l'eau. «Oroville Dam n'est en aucune façon une partie du dommage qui s'est produit.
Les responsables ont estimé qu'il pourrait coûter de 100 à 200 millions de dollars pour réparer les dommages causés à l'évacuateur de crues et d'autres caractéristiques.
Mise à jour: NBC rapporte que le déversoir a échoué: «Le déversoir auxiliaire du barrage d'Oroville (à 100 km au Nord de Sacramento et 200 au N-E de San Francisco) a échoué, forçant les évacuations de plusieurs comtés en Californie, avec entre 60 000 et 100 000 personnes forcées à évacuer de Butte, comté, en Californie, seul.
DWR prévoit d'utiliser des hélicoptères pour déposer des pierres pour combler la gouge dans le déversoir auxiliaire d'Oroville pour se stabiliser
Les autorités organisent une conférence de presse sur l'échec du déversoir du barrage d'Oroville:
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Des évacuations à grande échelle ont lieu entre les habitants des bas niveaux d'Oroville et des régions en aval après que les pluies torrentielles aient entraîné le débordement du lac Oroville dans le nord de la Californie pour la première fois depuis 48 ans, conduisant à ce qui serait un échec imminent De l'évacuateur de crues du barrage, ce qui selon les responsables pourrait "conduire à un échec de la structure."
ORDRE D'ÉVACUATION. L'utilisation du déversoir auxiliaire a conduit à une érosion sévère qui pourrait conduire à une défaillance de la structure. @CALFIRE_ButteCo
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Le barrage d'Oroville est un barrage de remblai en terre-plein sur la rivière Feather à l'est de la ville d'Oroville, en Californie, aux États-Unis. À 770 pieds (230 m) de hauteur, il est le barrage le plus grand des États-Unis et sert principalement à l'approvisionnement en eau, à la production d'hydroélectricité et au contrôle des crues.
Selon les responsables, une situation dangereuse se développe avec le déversoir auxiliaire du barrage d'Oroville. Le fonctionnement du déversoir auxiliaire a provoqué une grave érosion qui pourrait conduire à une défaillance du déversoir auxiliaire.
Selon Fox 40, les fonctionnaires prévoient une défaillance imminente du déversoir auxiliaire au barrage d'Oroville. "Les fonctionnaires prévoient un échec du déversoir auxiliaire au barrage Oroville dans les 60 prochaines minutes (5:45 p.m.)", le Département des ressources en eau de Californie a déclaré sur Facebook.
Sur Twitter, l'agence a ajouté que le déversoir auxiliaire au barrage d'Oroville prédit échouer dans l'heure suivante. Les résidents d'Oroville évacuer vers le nord.
ÉVACUATION D'URGENCE: Le déversoir auxiliaire au barrage d'Oroville devrait échouer dans l'heure suivante. Les résidents d'Oroville évacuent vers le nord.
Selon une déclaration du CDWR, les résidents doivent évacuer vers le nord, vers Chico. L'alerte de crue est en vigueur jusqu'à 16h15 le lundi.
Selon Fox 40, l'échec entraînerait une libération incontrôlée des eaux d'inondation du lac Oroville. Le DWR augmente l'eau rejetée à 100 000 pieds cubes (454, 609 m3/sec) par seconde. En outre, l'utilisation du déversoir auxiliaire a conduit à une érosion grave qui pourrait conduire à une défaillance de la structure, provoquant des inondations et des dommages sans précédent.
L'eau coule sur le déversoir d'urgence au lac Oroville
L'évacuation immédiate des faibles niveaux d'Oroville et des zones en aval a été ordonnée.
Le service météorologique national a publié un avertissement de crue éclair pour un éventuel échec du barrage.
Les zones touchées sont Oroville, Palerme, Gridley, Thermalito, Oroville Sud, Oroville Dam, Oroville Est et Wyandotte. Un centre d'évacuation des résidents a été mis en place au Silver Dollar Fairgrounds au 2357 Fair Street à Chico.
Abri d'évacuation pour les résidents évacués de #Oroville situé au Silver Dollar Fairgrounds à Chico. 2357 Fair St, Chico #spillway - Butte County, CA (@CountyofButte) 13 février 2017
Comme le montre la photo suivante choppercam, des milliers de personnes se démènent pour évacuer les zones en aval.
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Le communiqué de presse complet est ci-dessous:
Le flux d'eau relativement léger qui a commencé à se laver dans le déversoir auxiliaire du lac Oroville samedi matin devrait continuer à couler pour les prochains jours. Les rejets totaux du réservoir ne menacent pas le barrage ou les collectivités situées en aval et tombent bien dans la capacité de la rivière Feather et d'autres canaux en aval.
Le département des Ressources en Eau de la Californie (DWR), préparé pour le lac d'Oroville, a atteint son niveau le plus élevé depuis le début de l'érosion qui a commencé mardi sur la partie inférieure de l'évacuateur de crues principal du barrage.
Le lac a dépassé l'altitude de 901 pieds (274 m) au-dessus du niveau de la mer peu après 8 heures aujourd'hui, et l'eau a lentement commencé à s'écouler au-dessus du déversoir en béton du déversoir auxiliaire, en bas d'une colline et dans la rivière Feather. Le déversoir auxiliaire fonctionne comme prévu.
"Les flux que nous voyons sont extrêmement faibles par rapport à la conception de la structure", a déclaré le directeur intérimaire de DWR, William Croyle. Selon la situation actuelle, il n'y a pas de menace. Des débits de 6 000 pieds cubes par seconde (cfs) et de 12 000 cfs devraient circuler dans l'évacuateur de crues auxiliaire pendant 32 à 58 heures, en fonction de la dernière modélisation des conditions météorologiques, du réservoir Afflux et autres facteurs. Ces écoulements s'arrêteront une fois que la décharge du lac dépassera l'afflux.
Les débits dans le déversoir auxiliaire sont beaucoup moins importants que le volume d'eau qui se lave dans le lac depuis le bassin versant de la rivière Feather. C'est parce que la surface de 16 000 acres (64,74 km²) du lac agit comme un tampon, la propagation et atténuer l'afflux. Afin d'aider à gérer les niveaux de réservoir, les opérateurs DWR déchargent également 55 000 cfs de l'évacuateur de crue endommagé et s'attendent à continuer à le faire. L'érosion vers le haut sur ce déversoir étroitement surveillé, gated a ralenti considérablement.
DWR s'est concentré samedi sur les moyens d'amener la centrale électrique d'Hyatt au barrage d'Oroville en exploitation, car 14 000 cfs peuvent être déchargés de l'usine quand elle est en exploitation, ce qui aiderait à la gestion des réservoirs. La production d'électricité a été arrêtée lorsque les niveaux d'eau dans le canal qui mène de la centrale devinrent suffisamment élevés pour compromettre le fonctionnement.
Les niveaux d'eau ont augmenté lorsque les débris de l'évacuateur de crue érodé empilés dans le canal ci-dessous. La même érosion menace également les tours qui maintiennent les lignes électriques qui transportent l'électricité de la centrale au réseau électrique; Une telle connexion est nécessaire pour que la centrale fonctionne. DWR, Pacific Gas & Electric Company et d'autres partenaires travaillent à la sauvegarde des installations hydroélectriques et des lignes électriques.
Selon certains, il est criminel que les agences de la Californie ont attendu si longtemps avant de commander l'évacuation. Beaucoup plus d'informations sont disponibles dans la vidéo suivante:
Les lecteurs peuvent suivre les mises à jour en direct sur le lien suivant:
Le juge des forces de la ville de retour de 3 millions de dollars aux résidents condamnés à une amende par "inconstitutionnelle" caméras de trafic
Par Tyler Durden Feb 12, 2017 21h30
Un juge du comté de Butler a ordonné au village de New Miami de rembourser des amendes de 3 millions de dollars à plus de 45 000 automobilistes qui ont été facturés pour excès de vitesse par les caméras de feux de signalisation, déclarés inconstitutionnels en 2014.
Comme le rapporte la filiale ABC locale, un juge affirme que le placement de caméras de radars stationnaires n'était pas équitable pour les conducteurs et maintenant une communauté locale doit rembourser 3 millions de dollars en amendes.
C'est une bataille controversée sur les caméras sans pilote.
Les caméras ont été jugées inconstitutionnelles en 2014 par le juge Michael J. Sage, juge du plaidoyer en common law du comté de Butler, qui a approuvé le statut d'action en classe.
La controverse entoure encore l'utilisation.
Le village de New Miami doit rembourser les conducteurs pour les amendes perçues pendant près de deux ans alors que les caméras étaient en place.
Dans une décision rendue mercredi, le juge Michael Oester a déclaré que l'argent versé au village lui a donné un avantage injuste au détriment des speeders.
Alors maintenant, le village doit retourner l'argent payé par les conducteurs impliqués dans un procès collectif.
Cela représente un total d'environ 3 millions de dollars.
Près de 45 000 personnes ont été citées dans 15 mois. Comme le note Josie Wales de TheAntiMedia, sur les 3 millions de dollars encaissés en amendes, 60% des revenus sont allés au village tandis que 40% sont allés à la compagnie de feux de signalisation qui gère le programme. Le procureur du village envisage de porter l'affaire devant la Cour suprême, affirmant que le village ne devrait pas être responsable des fonds qu'il n'a pas reçus, ignorant apparemment qu'il était responsable de la mise en œuvre du programme inconstitutionnel et de la collecte des amendes en premier lieu.
Fessenheim : En France l’incompétence des hauts fonctionnaires est exemplaire
le 12 février 2017
Voici une dépêche de l’Agence France Propagande » (AFP) qui comme à son habitude scrute tout évènement susceptible de satisfaire la mouvance anti-nucléaire pilotée par Greenpeace, entre autres organisations subversives. Il s’agit toujours (et encore) de la fermeture programmée de la centrale nucléaire de Fessenheim qui pourrait sans encombre être exploitée encore pendant peut-être 30 années voire plus. Il s’agit d’un immense gâchis payé par les contribuables, faut-il le rappeler, un gâchis technologique, un gâchis environnemental, un gâchis financier pour EDF et enfin un gâchis économique et social pour la région Alsacienne. Puisque la fermeture de cette usine a été décidée par Hollande dans son programme électorale elle va donc avoir lieu. Ce sera d’ailleurs à peu près la seule promesse que Hollande aura tenu au cours de ses 5 années de règne catastrophique qui aura conduit la France dans un marasme économique, social et culturel peu enviable.
Mais non ! Ça ne suffit pas, il faut aussi détruire le patrimoine nucléaire français payé par les contribuables car les organisations écologistes l’ont exigé, Greenpeace et Corinne Lepage en premier lieu. La dépêche d’agence ci-dessous en dit long sur l’incompétence crasse du sieur Carenco, actuel préfet de la Région Ile-de-France, qui va prendre les manettes de la commission de régulation de l’énergie, un comité Théodule de plus en charge de faire respecter les accords de la COP21, comme si la France avait besoin de se serrer la ceinture en matière d’émissions de gaz carbonique puisqu’elle est l’un des pays les moins pollueurs en termes de rejets de gaz carbonique par les usines de production d’électricité. La principale activité française rejetant du gaz carbonique est le transport par véhicules automobiles, or la centrale nucléaire de Fessenheim pourrait allègrement recharger 400000 voitures électriques chaque jour (1,4 % du parc automobile français) mais les écolos (dont fait partie Carenco) n’ont pas effleuré ce détail dans leur petit cerveau pollué par une idéologie totalement déconnectée de la réalité.
La France peut se passer de l’électricité de Fessenheim (président pressenti de la CRE)
Paris – La centrale nucléaire de Fessenheim (Haut-Rhin), promise à la fermeture par le gouvernement, n’est pas indispensable à la sécurité d’approvisionnement électrique de la France, a estimé mercredi le candidat pressenti à la présidence du régulateur français de l’énergie.
« A-t-on besoin de Fessenheim aujourd’hui? (…) Ma réponse est non, en sécurité d’approvisionnement », a déclaré Jean-François Carenco, actuellement préfet de la région Ile-de-France.
« Fessenheim, c’est un autre sujet que la satisfaction immédiate en France de l’équilibre offre-demande », a-t-il ajouté lors d’une audition devant la commission des Affaires économiques du Sénat, préalable à sa nomination à la tête de la Commission de régulation de l’énergie (CRE).
« On peut avoir besoin de Fessenheim pour d’autres sujets, pour d’autres raisons », a-t-il toutefois estimé.
La puissance des deux réacteurs alsaciens, de 900 mégawatts (MW) chacun, pourraient facilement être substituée par des énergies renouvelables, à condition de développer des technologies de stockage pour pallier leur variabilité en fonction des conditions météo.
« 1.800 mégawatts de puissance, vous les gagnez en un rien de temps sur les énergies renouvelables. C’est donc bien un problème de stockage », a assuré M. Carenco.
« Oui, les énergies renouvelables triompheront, premièrement quand on saura les stocker correctement et qu’on aura défini un système de stockage. Deuxièmement, lorsqu’on n’aura plus besoin du nucléaire en base », c’est-à-dire pour alimenter la consommation en dehors des heures de pointe, selon lui.
Fin janvier, le président de la République avait indiqué envisager de nommer Jean-François Carenco à la présidence de la CRE en remplacement de Philippe de Ladoucette, dont le mandat est arrivé à échéance début février.
Avant le Sénat amené à se prononcer également, la commission des Affaires économiques de l’Assemblée nationale a annoncé avoir approuvé à l’unanimité la nomination de ce haut-fonctionnaire de 64 ans à la suite de son audition mardi.
M. Carenco a notamment été directeur de cabinet de Jean-Louis Borloo au ministère de l’Ecologie et de l’Energie.
Comme mes lecteurs ont pu le constater les propos de Carenco sont totalement farfelus. À l’évidence il ne sait pas de quoi il parle. Le seul stockage des énergies intermittentes dites vertes ou renouvelables qui soit économiquement réalisable est le pompage de l’eau de rivière dans des retenues collinaires ou en altitude, point barre. Toutes les autres technologies de stockage direct de l’électricité sont des vues d’esprits dérangés car elles ne sont économiquement pas viables. Or la France a presque totalement épuisé les capacités de développement de telles infrastructures et s’il en reste encore – je pense au bassin versant de la Loire et à quelques autres rivières dans le Sud-Ouest de la France – un quelconque projet d’aménagement de retenues verrait immédiatement une opposition féroce des écologistes qui restent logiques avec eux-mêmes : tout développement pouvant détruire des milieux naturels est à bannir. Mais qu’en est-il des éoliennes tueuses d’oiseaux migrateurs et de rapaces nocturnes, qu’en est-il des panneaux solaires qui grillent sur place les insectes (et les oiseaux), qu’en est-il des fermenteurs de biomasse qui dégagent des gaz toxiques dont personne ne parle et dont on ne sait que faire ? Carenco est un incapable comme beaucoup de hauts-fonctionnaires pour qui seule la carrière et la retraite qui s’en suit sont importantes. La France, sous l’impulsion des mouvements écologistes, depuis Borloo et Lepage, est définitivement entrée dans une ère de régression et d’obscurantisme. Merci pour mes petits-enfants !
- voir graphique sur site -
Je voudrais faire également une remarque au sujet des retombées économiques nationales de la fermeture de Fessenheim. La France a été durant des années exportateur net d’électricité vers les autres pays européens. Or il se trouve qu’aujourd’hui le pays importe de l’électricité principalement de l’Allemagne. L’illustration ci-dessus le montre clairement. Il s’agit des mouvements de l’énergie électrique aux frontières de l’Allemagne, document issu de Agora Energiewende daté pour la dernière statistique du 10 février 2017 à 23h21. À quelques rares exceptions près durant les 8, 9 et 10 février la France a importé de l’électricité de l’Allemagne : le 9 février à 1 heure du matin elle a importé sur le marché spot l’équivalent de la production de la centrale de Fessenheim ! Quant à l’Autriche qui fait figure de bon élève européen en matière de rejets de CO2 il ne faut pas oublier qu’elle importe massivement de l’électricité de son voisin allemand …
Dans le rôle de la victime: fabriquer un crime pour prouver que Trump a tort
INTERNATIONAL 20:26 12.02.2017
Après l’élection de Donald Trump, le nombre de faux crimes motivés par la haine religieuse va croissant. Ce phénomène est d’ailleurs incité par l’adoption par les Républicains du décret interdisant provisoirement d’entrée aux USA des ressortissants de sept pays musulmans. L’objectif? Prouver vaille que vaille que le président avait tort.
Ces derniers temps, le nombre de plaintes pour agressions et menaces incitées par la haine religieuse est en hausse parmi les jeunes musulmans américains. Or, comme le montrent les enquêtes, ces recours s'avèrent parfois infondés, les « crimes » étant fabriqués de toute pièce.
Ces crimes qui n'ont pas eu lieu
En décembre dernier, un habitant du Texas a avoué avoir mis le feu à son véhicule et sa moto et avoir écrit des propos racistes sur le portail de sa maison et ce pour se faire passer pour une victime d'un crime motivé par la haine.
Et ce cas est loin d'être isolé. Le 20 janvier, un étudiant musulman du Wisconsin a annoncé que quelqu'un avait écrit un slogan islamophobe sur la porte de sa maison. Toutefois, les enquêteurs ont établi que l'inscription avait été faite par le plaignant lui-même et l'ont interpellé pour fausses accusations. Une agence d'information locale n'a pas tardé à lier ces fausses allégations aux actions de Donald Trump.
« Ce message hostile aux musulmans est une conséquence du chaos qui prend de l'ampleur dans le pays suite au décret de Donald Trump d'interdire provisoirement de visa les ressortissants de sept pays à dominante musulmane », a-t-il été écrit.
Voici encore trois cas, d'ailleurs séparés: dans les États du Michigan, de la Louisiane et de New York, trois jeunes femmes musulmanes ont déclaré avoir subi des agressions de la part de partisans de Donald Trump. Comme lors des cas susmentionnés, l'enquête a réussi à établir qu'aucun incident n'avait eu lieu. Deux plaignantes comparaîtront bientôt devant la justice.
Alerter l'opinion publique
Expert: les opposants à Trump ne disaient rien quand Obama bombardait les musulmans
Depuis que le nouveau président américain a adopté le décret, les problèmes des victimes de ses mesures se sont retrouvés au centre de la préoccupation de l'opinion publique. À titre d'exemple, le témoignage de Mike Hager, un ressortissant irakien qui dit avoir perdu sa mère à cause de l'interdiction d'entrée aux États-Unis n'a pas laissé les gens indifférents. Toutefois, cette histoire s'est avérée être un faux. L'imam proche de la famille a annoncé que la dame s'était éteinte avant l'entrée de l'interdiction en vigueur.
« Hyperboliser ou mentir au sujet du racisme aux États-Unis n'a aucun sens. Les accusations fabriquées ne profitent à personne. Les personnes qui le font ne rendent pas service aux vraies victimes de ce genre de transgressions », résume dans un commentaire à la chaîne RT le journaliste américain Ted Rall.
Pourquoi Donald Trump a besoin de la prochaine récession pour démarrer aussi rapidement que possible
Par Michael Snyder, Le 12 février 2017
Une nouvelle récession est à venir, et Donald Trump a besoin d'elle pour commencer tôt ou tard. Comme je l'ai expliqué la semaine dernière, la plupart des électeurs américains ont tendance à se soucier de leurs carnets plus que toute autre chose. Si la prochaine récession allait officiellement commencer au cours du premier trimestre de 2017, il serait très facile pour Trump de le blâmer sur Obama, puis il pourrait se présenter comme celui qui a tiré l'économie américaine de la récession à temps pour 2020 élection. Mais si la prochaine récession ne commence pas avant 2018 ou 2019, tout le monde va le blâmer sur Trump, même si ce n'est pas sa faute. En politique, qui a le blâme pour tout ce qui va mal est souvent la chose la plus importante, et si Trump veut éviter le blâme pour la prochaine récession, il a besoin pour que cela commence aussi rapidement que possible.
Pendant la majeure partie de 2016, les grands médias ont averti qu'une nouvelle récession viendrait probablement, peu importe qui a gagné les élections. Pour un exemple, il suffit de consulter cet article Bloomberg.
Et pour une fois, les grands médias étaient précisément exacts. Barack Obama nous a laissé un énorme désordre économique, et il faudrait un miracle économique d'une ampleur sans précédent pour empêcher l'économie des États-Unis d'entrer dans une récession à ce point.
Pendant les années d'Obama, les États-Unis sont allés sur une frénésie dette contrairement à tout ce que nous avons jamais vu auparavant.
La dette nationale des États-Unis a presque doublé. Pendant le temps d'Obama à la Maison Blanche, il est passé de 10,6 trillions de dollars à près de 20 trillions de dollars, ce qui signifie que plus de 9 billions de dollars de consommation future a été apporté dans le présent. Cette incroyable augmentation des dépenses aurait entraîné une croissance économique des États-Unis dans la stratosphère pendant des périodes normales, mais parce que nous étions en train de lutter autant que tout ce que nous en sortions, c'était huit ans de stagnation économique.
En fait, Barack Obama a été le seul président de l'histoire américaine moderne à ne jamais avoir une seule année où l'économie des États-Unis a augmenté d'au moins 3 pour cent, et il avait deux mandats pour essayer d'atteindre cet objectif.
Et rappelez-vous, Obama a également eu l'avantage de numéros économiques corrigés. John Williams de shadowstats.com trace ce que les chiffres ressembleraient si honnêtes chiffres étaient utilisés, et selon ses calculs de l'économie des États-Unis a été continuellement en récession depuis 2005.
En plus de la dette publique, d'autres formes de dette sont aussi hors de contrôle. Le montant total de la dette des consommateurs aux États-Unis a maintenant atteint 12 trillions de dollars, et la dette des entreprises a environ doublé depuis la dernière récession.
Lorsque les niveaux de la dette grandissent beaucoup, beaucoup plus vite que l'économie globale, il est inévitable qu'un accident viendra.
Si vous regardez en arrière à travers l'histoire, je ne sais pas si vous pouvez trouver un seul exemple où la dette a augmenté cette rapidement et un accident n'est pas arrivé par la suite.
Par miracle, si nous sommes en mesure d'éviter une crise économique majeure cette fois, nous allons littéralement défier les lois de l'économie.
La crise de l'emploi menace également de s'aggraver dans les mois à venir. Les grands médias continuent à nous dire que nous sommes presque au «plein emploi», mais la vérité est que plus de 100 millions d'Américains n'ont pas de travail en ce moment.
Oui, il y a quelques régions du pays où les emplois semblent être abondants, mais il ya beaucoup plus de domaines où ils ne sont pas.
Par exemple, vous ne serez jamais capable de convaincre Tyler Moore, 23 ans, que le marché du travail est bon ...
Tyler Moore à la fin de Décembre drive à Louisville, Kentucky, était un de désespoir. Il était dirigé quatre heures à l'ouest sur l'Interstate 64 pour interviewer pour un travail. Même si il a atterri la position, remplissant son réservoir d'essence lui avait laissé avec 8 $ à son nom. Il devait dormir chez un ami jusqu'à ce qu'il puisse gagner assez pour payer le loyer.
Le joueur de 23 ans n'avait plus d'options. Il avait demandé des dizaines d'emplois dans une heure et demie de sa ville natale de Lovely, une fois un bastion de mine de charbon. Au lieu des occasions, il avait trouvé des listes d'attente.
«Les emplois à salaire minimum, les restaurants de restauration rapide, Wal-Mart, tout ça, beaucoup d'entre eux ont déjà été pris», explique-t-il dans un Applaquin, expliquant que l'arriéré était d'une année. Il n'y a pas d'emplois.
Si l'économie des États-Unis est en «bonne forme», pourquoi les gens comme Moore ne trouvent-ils pas un emploi ?
Oui, il y a un énorme optimisme sur les marchés financiers en ce moment et le marché boursier a été en plein essor.
Mais exactement les mêmes choses étaient vraies en 2007, et nous nous souvenons comment cela s'est avéré.
Il n'est pas possible que le S & P 500 continue de générer un rendement annuel de 18% sans croissance économique correspondante. Ce qui suit provient de David Stockman ...
Dans l'ensemble, le S & P 500 est maintenant à 3.4X son bas après la crise, ayant généré un rendement annuel de 18% (y compris les dividendes) pendant près de huit ans.
Certes, dans un marché libre honnête, ce fait serait un feu rouge clignotant, avertissant que des gains exceptionnellement élevés sur une période prolongée nécessitent une régression de la moyenne dans la période à venir.
Beaucoup de gens sont pris au piège en essayant de prédire exactement quand le marché boursier va s'écraser, mais ce que tout le monde devrait être en mesure d'accord, c'est qu'il va planter.
Il n'existe aucun moyen possible que les stocks peuvent rester à des niveaux ridiculement trop cher indéfiniment.
Tout au long de l'histoire, les stocks ont toujours reculé dans la direction des moyennes à long terme, et cette fois ne sera pas une exception.
Et tout comme la dernière fois, le début d'une nouvelle récession sera probablement accompagné d'une correction financière majeure.
Dans les articles récents, j'ai souligné certaines des raisons pour lesquelles il semble qu'une nouvelle récession est imminente ...
- Les recettes fiscales fédérales sont devenues négatives pour la première fois depuis la dernière récession.
- La croissance des emplois chez S & P 500 a été négative pour la toute première fois depuis la dernière récession.
- Le déficit commercial des États-Unis en 2016 était le plus important en quatre ans.
- Les normes de prêt se sont resserrées pour les moyennes et grandes entreprises pendant six trimestres consécutifs.
- Les normes de prêt sont également de renforcer pour les consommateurs.
- Nous venons de constater le plus fort recul de la semaine hebdomadaire moyenne depuis la récession de 2008.
- L'investissement intérieur privé privé est en baisse.
- Les faillites des consommateurs augmentent.
- Les faillites commerciales sont en hausse.
Tout cela n'est pas nécessairement une mauvaise nouvelle pour Trump.
Une horrible récession a commencé pendant les premières années de la présidence de Ronald Reagan, mais l'économie des États-Unis a tourné plus tard dans son premier mandat et cette dynamique a aidé à le propulser à une victoire facile en 1984.
De même, Trump pourrait réellement profiter du ralentissement économique à venir tant qu'il est en mesure d'épingler tous les blâme pour elle sur l'administration précédente.
S'il y a une chose qui est vraie au sujet des électeurs américains, c'est qu'ils ont tendance à se soucier de leur propre bien-être économique plus que toute autre chose.
Si vous en doutez, consultez les résultats d'un sondage récent de Fox News ...
Le dernier sondage Fox News demande également, ce qui définit le rêve américain aujourd'hui ? Au sommet, selon le sondage national publié mercredi, est «se retirer confortablement." Environ 88 % estiment qu'il est extrêmement ou très important de réaliser le rêve.
Ensuite, 76 % disent «qu'avoir une carrière réussie» est important. Cela est suivi par «l'élévation d'une famille» (74 %) et «faire une contribution précieuse» à leur communauté (74 %).
«Posséder une maison» est considéré comme une grande partie de la réalisation du rêve pour près de 7 sur 10 (69 %). Environ 6 sur 10 disent «diplôme collégial» (61 %) et «être mieux lotis» que leurs parents (57 %).
Pour la plupart des Américains, être «réussi dans la vie» se résume à combien d'argent ils ont.
Cela ne devrait pas être vrai, mais il est.
Et c'est finalement ce sur quoi Trump sera jugé.
Si l'économie s'améliore d'ici à 2020, les électeurs auront tendance à l'évaluer favorablement. Mais si l'économie chancelle pendant la prochaine campagne électorale, il sera plus difficile pour lui d'obtenir un second mandat.
Donc, ce que Trump et tous ceux qui soutiennent Trump devrait vouloir est pour la récession à venir de commencer et de fin aussi rapidement que possible.
Cependant, il y a aussi la possibilité que la prochaine récession peut être particulièrement mauvaise. Parce que nous sommes au milieu de la plus grande bulle d'endettement de l'histoire humaine, tout ralentissement majeur pourrait finalement spirale complètement hors de contrôle. En d'autres termes, nous sommes peut-être confrontés au genre de crise dont nous ne nous remettons jamais complètement.
Un expert qui met en garde contre un tel scénario est l'investisseur légendaire Jim Rogers ...
... préparez-vous parce que nous allons avoir les pires problèmes économiques que nous ayons eus au cours de votre vie ou de ma vie et quand cela arrive, beaucoup de gens vont disparaître.
En 2008 Bear Stearns a disparu, Bear Stearns avait été autour plus de 90 ans. Lehman Brothers a disparu. Lehman Brothers avait existé depuis plus de 150 ans. Longtemps, une longue et glorieuse histoire, ils ont traversé des guerres, la dépression, la guerre civile, ils ont traversé tout et pourtant ils disparaissent.
Donc la prochaine fois que ça va être pire que tout ce que nous avons vu et beaucoup d'institutions, de gens, d'entreprises, même de pays, certainement les gouvernements et peut-être même les pays vont disparaître. J'espère que vous vous inquiétez beaucoup.
Quand vous commencez à avoir des marchés baissiers comme vous, je suis sûr bien savoir qu'une mauvaise chose se produit et une autre chose mauvaise se produit et ces choses boule de neige juste comme dans les marchés bull bonne nouvelle sort alors plus de bonnes nouvelles sort la prochaine chose que vous savez que vous êtes Cinq ou six ou sept ans dans un marché haussier.
Les marchés baissiers font la même chose et nous avons donc beaucoup de mauvaises nouvelles à l'horizon. Je n'ai même pas eu la guerre. Je n'ai même pas eu à négocier la guerre ou quelque chose comme ça, mais vous savez que les choses vont mal.
Si elle est aussi mauvaise que Rogers le suggère, il ne serait pas trop longtemps avant que les conditions en Amérique commencent à ressembler à celles décrites dans mon roman.
Espérons que ce ne sera pas le cas.
Espérons que la prochaine récession commencera et se terminera aussi rapidement que possible et que l'économie des États-Unis connaîtra une croissance solide d'ici 2020.
Et si vous êtes un partisan Trump, ne soyez pas trop consterné si l'économie américaine tombe un ralentissement majeur en 2017. Comme je l'ai discuté ci-dessus, il pourrait effectivement être juste la chose que Trump doit préparer la voie à une autre victoire électorale en 2020 .
RépondreSupprimerUn peu de génétique de destruction massive ?
Dr Delerue
I.A. Transhumanisme
lun., 06 fév. 2017 05:17 UTC
-- Commentaire : La liste est longue des catégories d'individus dont nous pouvons nous méfier : politiciens, militaires, hommes d'affaires, banquiers... et scientifiques. Ces derniers, quand ils ne sont pas eux-mêmes dépourvus de conscience, ou corrompus, ou contraints, ou les trois à la fois, voient en général leurs travaux récupérés et pervertis par les premiers. Forte utile, miraculeuse, inattaquable caution scientifique oblige.
Nous pouvons donc exercer notre vigilance, voire notre imagination, en gardant un œil sur les dernières avancées technologiques dont notre monde moderne a le secret : par elles sera toujours favorisée la servitude de l'humanité. Et, in fine, sa probable destruction. Dernière en date, au rayon des "inventions inévitablement mal utilisées" : le CRISPR Cas9. Avec lui, on tape dans la dévastation polyvalente. Virus modifiables, plantes modifiables, animaux modifiables... êtres humains modifiables ; il n'y a plus de limites, si ce ne sont celles de la folie humaine. Mais, heureusement, de folie, il n'est rien d'inéluctable, d'incontournable, d'insurmontable :
Q : Les nations se ressemblent-elles ?
R : Oui, elles suivent toutes les mêmes principes fondateurs (basés sur la conscience morale) mais diffèrent au niveau culturel (langue, rites, traditions, héros...) (...) Toutes les nations partagent un ensemble de principes très similaires - conscience et valeurs morales. Au sein de ce cadre moral, chaque nation, en fonction de son Histoire, de sa culture, de sa langue et de ses traditions, prend des décisions sociales et juridiques en harmonie avec ses spécificités culturelles. (...) Les sociétés modernes ont séparé la science de la religion, donnant ainsi naissance à une société schizophrène partagée entre science matérialiste d'un côté et religions irrationnelles de l'autre. L'idée ici est de ré-unir la spiritualité et la science afin de créer des pratiques religieuses qui soient véritablement bénéfiques aux adeptes. (...) Il y a une séparation totale entre les intérêts politiques d'une part, et la recherche scientifique d'autre part. Par conséquent, le financement de la recherche dépend exclusivement des priorités sociales et du potentiel scientifique.
C'est par ici. --
CRISPR Cas9, le "couteau suisse de la génétique" pourrait bien aider à la guérison de nombreuses maladies. Mais pourquoi les services de sécurité s'inquiètent-ils ? L'enquête de franceinfo montre les dangers potentiels de cette nouvelle technologie.
Le grand patron du renseignement américain a été le premier à tirer le signal d'alarme, en février 2016. Dans un rapport déclassifié par la CIA, James Clapper a classé CRISPR Cas9 dans la catégorie des "armes de destruction massive" potentielles. Pour lui, cette technologie utilisée dans des milliers de laboratoires doit être considérée comme le programme nucléaire nord-coréen, les armes chimiques syriennes et les missiles de croisière russes.
Une avancée majeure
RépondreSupprimerTout commence pourtant dans l'euphorie, en 2012, lorsqu'une Française, Emmanuelle Charpentier, et une Américaine, Jennifer Doudna, inventent les "ciseaux à découper l'ADN". Ils sont alors présentés comme une avancée majeure de ce début de siècle. Ses co-découvreuses collectionnent les prix et sont régulièrement annoncées pour un Nobel. Il faut dire que cette découverte pourrait permettre de traiter des cancers et des maladies génétiques jusqu'ici incurables. CRISPR Cas9, c'est l'association d'un brin d'ARN (de l'ADN à une seule hélice) qui sert de guide à une enzyme (CAS9) permettant de couper, remplacer, inactiver, modifier le gène que l'on cherche à atteindre.
La technique est plus précise, plus rapide et nettement moins cher que tout ce qu'on utilisait jusque-là. Elle s'est donc répandue comme une traînée de poudre : plus de 3 000 laboratoires dans le monde utilisent cette technologie. André Choulika, le créateur de Cellectis, une des entreprises françaises les plus innovantes du secteur, est très enthousiaste : "C'est un truc complètement fou. L'édition de génome est une révolution qui va secouer la planète, à une profondeur dont on n'a même pas idée."
André Choulika pense par exemple que l'on va pouvoir créer des espèces. Aux États-Unis, on imagine déjà reconstituer des espèces disparues. George Church de l'université de Harvard, affirme qu'il peut "ressusciter" un mammouth laineux. D'après lui, dans quelques années, on pourra récupérer de l'ADN dans les restes d'un mammouth congelé, puis en le combinant à celui d'un éléphant d'Asie, on pourra faire revivre cette espèce disparue il y a 4 000 ans.
Comment: On ne ressuscite qu'à moitié, en réalité, puisque l'on doit combiner les gènes d'une espèce disparue avec ceux d'une espèce plus récente. Pas de vrai mammouth laineux, semble-t-il.
Une application sur les animaux
Certains scientifiques ont déjà mis leurs idées en pratique sur des animaux. Une équipe chinoise a donné naissance à des chiens nés avec le double de leur masse musculaire habituelle. Aux États Unis, une entreprise du Minnesota a créé des vaches laitières sans cornes. De leur côté, des chercheurs californiens ont réussi à améliorer la vision chez des rats atteints d'une forme de cécité d'origine héréditaire. À chaque fois, l'utilisation de CRISPR Cas9 a été décisive.
-- Comment: Oh oui, parlons des merveilleux et utiles progrès de la génétique :
- « Frankenfish », « enviropig » et « chèvre-araignée », symboles d'une science dégénérée --
Après les animaux, les laboratoires ne vont pas tarder à faire leurs premières applications à l'homme. En novembre 2016, une équipe chinoise a annoncé des premiers essais dans le cadre d'un traitement contre une forme de cancer. Une équipe britannique a, elle, obtenu l'autorisation de mener des expériences sur des embryons humains. Mais pour l'instant, il s'agit de faire de la recherche : pas question de produire un "bébé génétiquement modifié".
La problématique pour l'alimentation
RépondreSupprimerL'agro-industrie est aussi un secteur prometteur pour CRISPR Cas9. L'université de Pennsylvanie a mis au point un champignon de Paris qui ne brunit plus quand on le coupe. Agnès Ricroch, professeur à AgroParisTech, explique la technique : "On a isolé le gène responsable du brunissement. C'est très intéressant parce que ça fait moins de gaspillage alimentaire."
Aux États-Unis, les autorités sanitaires ont décidé que ce champignon ne serait pas considéré comme un organisme génétiquement modifié (OGM), car aucun gène n'a été "ajouté". Ils ont donc autorisé sa mise sur le marché. Mais en Europe, le débat fait rage et la question devrait être tranchée dans les mois qui viennent par la Cour de justice de l'Union Européenne. Plusieurs membres du Haut conseil des biotechnologies (HCB) en France ont claqué la porte à la suite de la publication par l'organisme d'un rapport soutenant que ces nouvelles plantes n'étaient pas des OGM.
Pour l'un des démissionnaires, Yves Bertheau, directeur de recherches à l'Institut national de recherche agronomique (INRA), ces végétaux modifiés sont clairement des OGM.
« Contrairement aux OGM actuels, on ne peut pas déceler la trace de la modification génétique avec ces nouvelles méthodes. Et donc comment rend-on identifiable ce qui n'est pas traçable ? »
- Jean-Claude Ameisen, l'ancien président du Comité consultatif national d'éthique.
En attendant que la justice européenne règle la question du statut de ces plantes, les comités de bioéthique multiplient les réunions à l'échelle internationale. Pour Hervé Chneiweiss, le président du comité d'éthique de l'INSERM, "il faut un consensus mondial pour mieux connaître les effets délétères éventuels de ces techniques pour mieux les encadrer".
-- Comment: Petit tour des bienfaits des OGM :
- OGM, plantes mutées et hygiène chimique : tour d'horizon d'une catastrophe sanitaire
- Argentine : l'enfer du décor des OGM
- OGM : une contamination inéluctable
- OGM : l'humanité menacée --
Réflexions sur l'éthique et l'humain
Pour l'instant, la plupart des expériences menées sont des thérapies géniques classiques, telles qu'on les pratique depuis de nombreuses années. Mais ce qui inquiète, c'est l'éventuelle modification abusive du génome humain. Alain Fischer, de l'Institut des maladies génétiques Imagine, s'en explique :
"Ce qui serait problématique, ce serait de modifier le patrimoine génétique germinal, qui est transmis à la descendance. Ce serait d'une certaine façon toucher au patrimoine génétique de l'humanité."
Pour pouvoir rendre une modification transmissible, il faut intervenir aux premiers stades du développement de la vie. En avril 2015, une équipe chinoise a créé la polémique en modifiant sur des embryons un gène responsable d'une maladie du sang. Aucun n'a survécu, les embryons étant non-viables. Catherine Bourgain, généticienne et présidente de l'association Sciences citoyennes, s'interroge sur l'enjeu qui se présente :
RépondreSupprimer"Peut-on autoriser la recherche sur l'embryon ? Personnellement, je pense que c'est entrer dans une mécanique qu'on a beaucoup de mal à contrôler une fois qu'elle est lancée."
Certaines expériences peuvent effectivement faire réfléchir, comme celle qui est menée dans le cadre de la lutte contre le paludisme. Cette maladie, qui fait encore 450 000 morts par an, est transmise par une espèce de moustique, l'anophèle. Eric Marois, chercheur à l'INSERM, explique : "Grâce à CRISPR Cas9, on a réussi à enlever un gène chez certains moustiques afin de les rendre résistants au paludisme." L'idée serait d'introduire dans la nature des anophèles modifiés et d'attendre qu'ils se reproduisent pour rendre toute la population mondiale résistante. Problème : c'est très long et aléatoire. Mais là encore CRISPR Cas9 apporte la solution : le forçage génétique. Cette technique permet d'accélérer la diffusion d'une mutation génétique. Les moustiques génétiquement modifiés de l'INSERM pourraient donc coloniser la planète. Mais une équipe britannique envisage un autre scénario : créer des anophèles avec un gène récessif de stérilité, et les introduire dans la nature, ce qui entraînerait la disparition de l'espèce en quelques générations... et du paludisme.
-- Comment: A propos des moustiques GM soi-disant inoffensifs :
- Moustiques OGM : mise en garde de l'Académie des Sciences
Virus Zika : les moustiques génétiquement modifiés à la base de l'épidémie ?
- Surprise! Les moustiques OGM seraient-ils inefficaces ?
- Bill Gates finance l'autorisation de moustiques génétiquement modifiés afin de lutter contre la dengue --
Eric Marois, chercheur à l'INSERM appelle à la prudence :
"Il est quand même vertigineux de se dire que, pour la première fois, on est capable de modifier l'ensemble des individus d'une espèce à l'échelle de la planète", s'inquiète-t-il. "Personnellement je serais très prudent avec les approches d'éradication. Il faut d'abord s'assurer que l'espèce n'a pas un rôle essentiel dans l'écosystème."
En décembre dernier, plus de 150 ONG internationales ont demandé un moratoire sur le forçage génétique. Jennifer Doudna, l'une des découvreuses des "ciseaux à découper l'ADN" exprime également ses craintes. Dans le magazine scientifique Nature, elle explique qu'un jeune doctorant a créé un virus qui, une fois respiré par des souris, provoque des mutations dans leurs poumons. Selon elle, une minuscule erreur de conception aurait pu permettre que ce virus fonctionne aussi chez l'homme.
« Il m'a semblé incroyablement effrayant qu'il y ait des étudiants qui travaillent sur une telle chose. Il est important que les gens commencent à comprendre ce que cette technologie peut faire. »
RépondreSupprimer- Jennifer Doudna, l'une des découvreuse des "ciseaux à découper l'ADN".
L'idée d'un moratoire n'est pourtant pas bien accueillie dans la communauté scientifique. Cécile Martinat, directrice de recherche à l'Institut des cellules souches pour le traitement et l'étude des maladies monogéniques (I-Stem), installé au Génopole d'Evry, y voit un frein potentiel à ses recherches sur les maladies génétiques : "À partir du moment où il y aura un moratoire, nous allons être très limités, et ce sont des États, qui seront dans un contexte moins restrictif, qui les utiliseront." Cécile Martinat estime qu'"on n'empêchera pas à l'échelle internationale une dérive de ces outils. Il faut faire confiance aux scientifiques et arrêter de penser qu'on fait n'importe quoi".
Une technologie, entre quelles mains ?
Pour 150 dollars, on peut acheter sur internet des "kits CRISPR" et modifier chez soi une bactérie grâce un mode d'emploi fourni. Les clients sont des bricoleurs de génome qui se nomment "biohackers". Ce mouvement, né aux États-Unis, où il compte des milliers d'adeptes, défend l'idée que l'on peut tous faire de la biologie dans son garage ou dans des "laboratoires participatifs".
Quitterie Largeteau, spécialiste française du biohacking, explique que ces kits "sont conçus pour être utilisés sans formation, comme une recette de cuisine". L'experte ajoute toutefois qu'"ils ne permettent de faire que ce qui est prévu. Il y a un code d'éthique chez les biohackers. Personne ne travaille sur l'homme ou des organismes pathogènes".
Et si cette technologie tombait dans des mains moins bien intentionnées ? Quelques mois après le rapport de James Clapper, les conseillers scientifiques de Barack Obama envisagent ouvertement l'utilisation de CRISPR Cas9 pour créer un virus d'un genre nouveau, mortel pour l'homme.
« La menace biologique diffère des menaces nucléaires ou chimiques [...] parce qu'elle requiert des ressources moins importantes et des équipements plus petits, comparables aux laboratoires ordinaires. »
- Les conseillers scientifiques de Barack Obama.
Olivier Lepick, chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique, confirme :
"Aujourd'hui, on voit mal comment on pourrait dénier à une organisation terroriste suffisamment puissante l'accès à ces techniques."
Dans son rapport, James Clapper fait aussi état des menaces qui pèsent sur l'économie. Sous couvert d'anonymat, un directeur de recherche français évoque un scénario envisagé :
"Imaginez que quelqu'un modifie une pomme de terre pour la rendre toxique. Vous en introduisez quelques exemplaires sur le marché. Vous avez quelques victimes. En un mois, ce secteur économique s'effondre."
En décembre 2015, la France met en place un Conseil national consultatif pour la biosécurité constitué d'experts. Un de ses membres confirme que CRISPR Cas9 fait partie de leurs préoccupations. Les services de renseignements surveillent ceux qui s'initieraient de manière trop poussée aux techniques de manipulation de génome. Le même directeur de recherche déclare :
RépondreSupprimer"La Direction générale de la sécurité extérieure (DGSI) est très attentive aux doctorants que nous prenons dans nos labos. Une fois, on m'en a refusé un. En général, on ne vous dit pas pourquoi."
Olivier Lepick estime qu'on "va aller vers un renforcement de ce type de surveillance. Le problème de ces technologies, c'est que leur détournement peut être envisagé de manière beaucoup plus évidente qu'il y a seulement une dizaine d'années". Au rythme où vont les nouvelles technologies, il y a donc de quoi s'inquiéter sur l'évolution des utilisations de CRISPR Cas9.
-- Commentaire : Quelques articles supplémentaires :
- CRISPR : la technique d'édition de gènes classée comme arme de destruction massive
- Révolution en génétique : le CRISPR-Cas9 ou la nouvelle baguette magique des apprentis-sorciers
- Première mondiale : manipulation génétique d'ADN humain chez un embryon en bonne santé...
- Science pervertie : génome, ADN, cancer provoqué --
https://fr.sott.net/article/30012-Un-peu-de-genetique-de-destruction-massive
Davantage de terroristes entreraient aux Etats-Unis par le Canada que par le Mexique
RépondreSupprimer12 févr. 2017, 18:00
Davantage de terroristes entreraient aux Etats-Unis par le Canada que par le Mexique Source: Reuters
Le nombre d'individus ayant pénétré aux Etats-Unis avec le projet de commettre des actes terroristes serait deux fois plus élevés à la frontière canadienne qu'à la frontière mexicaine
Un rapport du FBI vient d'être révélé: on y apprend que, contrairement à ce que laissent penser les efforts gouvernementaux dirigés vers la frontière mexicaine, la frontière canadienne constituerait le véritable risque.
Et si, alors que toute l'attention de la Maison blanche est rivée sur la frontière mexicaine, le danger venait en réalité du Nord ? Un rapport du FBI et du Département de la sûreté intérieure, cité par le Daily Beast, affirme que le nombre de «terroristes suspects» pénétrant aux Etats-Unis serait bien plus élevé à la frontière avec le Canada qu'à la frontière avec le Mexique.
«Nous regardons du mauvais côté», affirme un officiel du Département de la sûreté intérieure. «Il ne s'agit pas de nier que le Mexique pose un problème, mais les vrais criminels dangereux ne viennent pas de là - du moins pour l'heure», ajoute-t-il.
En effet, des données collectées entre 2014 et 2016 estiment que le nombre de «terroristes suspects» entrés aux Etats-Unis par le Canada est près de deux fois supérieur au nombre d'entrées de «terroristes suspects» par le Mexique - sans toutefois préciser ce que la notion de «terroristes suspects» recouvre.
Lire aussi
Une partie du mur en construction entre les Etats-Unis et le Mexique Trump veut financer le mur par une taxe de 20% sur les produits importés du Mexique
Selon la journaliste d'investigation Jana Winter, qui est responsable de la fuite du document, le terme est volontairement flou. «Nos critères sont critiqués depuis longtemps à cause de leur caractère très large, car peuvent être concernés des terroristes, des homonymes de terroristes, ou des parents éloignés de personnes faisant l'objet d'une enquête...», souligne-t-elle.
Jana Winter défend la validité de ces chiffres, dont elle affirme que la plupart des responsables gouvernementaux ne tiennent pas compte car il n'en ont tout simplement pas connaissance. Réfutant les critiques qui l'accusent de jouer le jeu des opposants au mur que s'est promis d'ériger Donald Trump à la frontière mexicaine, la journaliste assure que «les sources ayant transmis ces données sont des personnalités qui sont entièrement d'accord avec le projet du mur mexicain, et qui souhaiteraient même un projet similaire à la frontière canadienne».
Pour l'heure, néanmoins, aucun attentat n'a jamais été commis aux Etats-Unis par un individu ayant gagné le territoire national par la frontière canadienne C'est d'ailleurs ce qu'a tenu à souligner le gouvernement canadien en réaction à la publication de ces données.
https://francais.rt.com/international/33877-davantage-terroristes-entreraient-etats-unis-canada-mexique-frontiere
Avec ses 9000 personnes qui voyagent de st Pierre & Miquelon vers l'Europe et ses 24 000 vers st Jean, Halifax et Montreal...
SupprimerLe problème du Canada ? ÉTATS-UNIS "Épidémie" des réfugiés américains au milieu de la peur, de la méfiance envers l'atout
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Feb 12, 2017 22h30
Dans ce que certains pourraient appeler une «victoire» pour le président Trump, les agents d'immigration canadiens avertir qu'ils éprouvent une «forte poussée [de réfugiés] traversant la frontière» avec beaucoup d'entre eux proclamant leur méfiance et la peur du président Trump.
Sherali et Sarah Shah ont accueilli trois demandeurs d'asile qui avaient tenté de se rendre au Canada à bord de la frontière mardi d'Emerson.
Dans le premier rapport officiel d'un groupe de «demandeurs d'asile» qui sont des réfugiés mécontents aux États-Unis tentant de devenir des réfugiés au Canada, des gardes-frontières américains et un shérif local ont attrapé trois ressortissants somaliens essayant de se glisser furtivement Frontière entre le Canada et les États-Unis mardi, selon CBC News.
Kris Grogan, agent des affaires publiques pour les douanes et la protection des frontières des États-Unis, a déclaré que les responsables des frontières des États-Unis s'inquiètent de plus en plus des demandeurs d'asile qui cherchent à entrer au Canada.
"Il est extrêmement dangereux de se mettre dans ces éléments où vous pourriez finir par mourir", at-il dit.
Comme CBC News a fait son premier signalement en janvier, des centaines de demandeurs d'asile sont entrés au Canada par des champs près de la frontière d'Emerson.
La question est venue à l'honneur après que deux réfugiés du Ghana aient été hospitalisés à Winnipeg après avoir souffert de gelures la veille de Noël alors qu'ils étaient perdus sur la route 75, près de la frontière entre le Canada et les États-Unis.
Les réfugiés étaient si mal gelés, qu'ils perdaient les doigts et les orteils. Depuis que l'histoire des deux hommes est devenue publique, des dizaines d'autres demandeurs d'asile, y compris une mère et un enfant de deux ans, ont traversé le Manitoba.
Farhan Ahmed espère trouver refuge aux États-Unis après avoir fui les menaces de mort en Somalie, mais la crainte d'une répression américaine contre l'immigration l'a envoyé sur un autre périlleux voyage - au Canada.
L'homme de 36 ans faisait partie de près de deux douzaines de demandeurs d'asile qui ont bravé un froid glacial pendant un week-end de février pour franchir la frontière et traverser les prairies enneigées dans la nuit pour faire une réclamation dans ce pays.
Il s'agissait d'un nombre record d'arrivées pour un seul week-end dans la petite ville frontalière d'Emerson, et les responsables canadiens ont dit jeudi qu'ils attendent pour plus.
Un accord avec les États-Unis empêche les demandeurs d'asile de déposer des réclamations au Canada s'ils débarquaient pour la première fois aux États-Unis, mais il ne s'applique qu'aux arrivées aux points de contrôle frontaliers, aux aéroports et aux gares.
Rita Chahal, directrice exécutive du Manitoba Interfaith Immigration Council, a décrit une «grande vague traversant la frontière». Selon l'Agence des services frontaliers du Canada, le nombre a pratiquement doublé au cours des quatre dernières années pour atteindre 321 cas au cours de l'exercice 2015-2016. Depuis avril, il y a eu 403 cas.
RépondreSupprimerLes gens viennent souvent de Djibouti, du Ghana, du Nigéria et de la Somalie, a dit Chahal, dont l'agence travaille dans un bâtiment conçu par un architecte canadien de premier plan qui était autrefois lui-même un réfugié.
Les chiffres sont élevés, mais les itinéraires risqués que les demandeurs d'asile prennent sont également alarmants. "Ils traversent les champs des agriculteurs, et beaucoup d'entre eux se perdent", a déclaré M. Chahal. Les arrivées récentes racontent une histoire commune: «Nous avons peur de ce qui se passe aux États-Unis, nous ne savons pas trop ce qui va se passer si je suis renvoyé dans mon pays».
Samatar Adam, 30 ans, originaire de Djibouti, est arrivé le mois dernier. Interrogé sur la raison pour laquelle il n'a pas déposé de demande de statut de réfugié aux États-Unis, il a répondu: «Donald Trump». Il est parti peu de temps après l'inauguration. "Je suis attristé de voir les réfugiés fuir non seulement leur pays, mais aussi un pays sûr et démocratique comme les États-Unis", a déclaré Hani Al-Ubeady, un réfugié irakien de Winnipeg, qui aide maintenant à réinstaller d'autres personnes.
«Ils doivent entreprendre un autre voyage risqué pour se rendre dans un autre endroit sûr - Canada.»
Pour rappel, le Premier ministre canadien Justin Trudeau a répondu à l'interdiction d'immigration de Donald Trump en disant que le Canada accueille les réfugiés qui ont été rejetés des États-Unis.
«Pour ceux qui fuient la persécution, la terreur et la guerre, les Canadiens vous accueillent, peu importe votre foi. La diversité est notre force #WelcomeToCanada, "il a tweeté.
Et maintenant, c'est le problème du Canada? Les manifestants bloqueront-ils la frontière nord en exigeant que les réfugiés américains restent en Amérique? La signalisation de la vertu doit-elle être portée à 11? Pour le moment, il semble que les «espaces sûrs» du Canada sont plus sécuritaires que les «espaces sûrs» des États-Unis.
http://www.zerohedge.com/news/2017-02-12/canadas-problem-us-refugee-crossings-epidemic-amid-fear-distrust-trump
Comme pour la frontière Sud, ceux qui passent hors des points de contrôle ont... probablement quelque chose à se reprocher !!!
SupprimerMultiplication des viols de femmes et d'enfants dans le camp de Grande-Synthe
RépondreSupprimer12 févr. 2017, 23:22
Près de Dunkerque, le camp de Grande-Synthe est le théâtre d'agressions sexuelles de plus en plus fréquentes, notamment sur les plus vulnérables : femmes et enfants
La situation décrite par les volontaires dans le camp de réfugiés près de Dunkerque est alarmante : agressions sexuelles, prostitution forcée, viols d'enfants... Face à la recrudescence des violences, les bénévoles sont désemparés.
Des femmes et des enfants sont agressés et violés régulièrement par des trafiquants à l'intérieur du camp de réfugiés de Grande-Synthe, où il sont souvent des proies facile, selon plusieurs bénévoles qui ont répondu à The Guardian.
«La violence sexuelle est bien trop courante», déplore l'une des volontaires qui s'exprime anonymement. «Les mineurs sont agressés et les femmes violées, ou contraintes de se prostituer», alerte-t-elle. Les actes violents se multiplient en dépit des précautions mises en place : «Les toilettes sont fermées la nuit, mais il semble que des individus particulièrement dangereux aient les clefs et y emmènent les femmes».
Lire aussi
Le camp de réfugiés près de Grande-Synthe. Grande-Synthe : trois policiers agressés dans un camp de réfugiés
Le calvaire quotidien que vivent particulièrement les femmes et les plus jeunes inquiète les bénévoles qui travaillent dans le camp. Ces violences mènent parfois à des situations dramatiques. «Une petite fille de 12 ans a été agressée par un homme deux fois plus âgé qu'elle, tandis qu'un petit garçon de 13 ans a dû retourner dans son pays d'origine après avoir été violé», raconte un autre bénévole. Des cas encore plus extrêmes ont été rapportés, dont des viols sur des fillettes de sept ou huit ans.
Comment expliquer de tels déchaînements de violence ? Selon un volontaire, cité par The Guardian, qui travaille dans le camp depuis plus de trois ans, ils sont dus à «la présence de femmes dans des environnements d'hommes qui sont, la plupart du temps, déconnectés de la réalité». «Les enfants sont parfois désignés sous le nom de «petits steaks», vulnérables et appétissants», confie-t-il. Les mères, bien souvent terrorisées, n'osent pas parler à la police et se murent dans le silence.
Régulièrement présenté comme l'un des plus dangereux d'Europe, le camp de Grande-Synthe voit affluer de nouveaux migrants depuis le démantèlement de la Jungle de Calais. Depuis juin 2016, le camp humanitaire a été repris en main par l'Etat qui en assure le financement en en mandatant la gestion à un prestataire bénévole.
Lire aussi : Refoulée au camp de Grande-Synthe, Marine Le Pen dénonce la «folle politique d'immigration»
https://francais.rt.com/france/33887-multiplication-viols-sur-enfants-femmes-camp-grande-synthe
«Laxisme», «racailles» ou le silence : les réactions des politiques après les émeutes de Bobigny
RépondreSupprimer12 févr. 2017, 21:15
Si François Hollande ne s'est pas exprimé officiellement après les violences perpétrées à Bobigny le 11 février, la plupart des candidats à la présidentielle, ainsi que leurs soutiens ont réagi.
Après la violente émeute qui a secoué la ville de Bobigny, en Seine-Saint-Denis, le samedi 11 février, en marge d'une manifestation de soutien au jeune Théo, victime présumée de violences policières à Aulnay-sous-Bois au début du mois, plusieurs personnalités politiques se sont exprimées.
«Les Français n'en peuvent plus de voir détruit, brûlé, saccagé ce qu'ils ont tant de mal à payer par leurs impôts», a déclaré Marine Le Pen au micro d'Europe 1. Elle a en outre dénoncé une «haine de la France, de l'Etat de droit et des forces de police» qui serait encouragée par «le laxisme» de la justice française. «Par principe, je soutiens la police, sauf démonstration par la justice», a-t-elle martelé, plaidant en faveur d'un réarmement des forces de l'ordre et d'une augmentation significative des embauches au sein de la police.
Le Front national a estimé que «les leçons de 2005 n'avaient pas été tirées», assurant les forces de l'ordre de son soutien. Gilbert Collard, député du Rassemblement Bleu Marine (RBM), proche Front national (FN), est allé plus loin : il a rappelé la proposition de loi qu'il avait soumise à l'Assemblée nationale en juin 2016 et dont l'objet visait à supprimer le RSA aux délinquants reconnus coupables d'actes de vandalisme. «Une mesure qui devrait en calmer plus d'un», a-t-il commenté.
«Les violences commises hier à Bobigny en marge d'une manifestation mettent en cause la responsabilité du gouvernement», a affirmé François Fillon dans un communiqué. Le candidat du parti Les Républicains (LR) à la présidentielle s'est également interrogé sur l'action de Bruno Le Roux, ministre de l'Intérieur : «Pourquoi le ministre de l'Intérieur a-t-il autorisé cette manifestation alors que les risques de violence étaient évidents ?», s'est demandé l'ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy.
Du côté du Parti socialiste (PS), les réactions sont plus discrètes. Si Claude Bartolone, président de l'Assemblée nationale, a salué le courage du manifestant qui a sauvé une petite fille des flammes, il n'a pas réagi aux émeutes elles-mêmes.
Le candidat du PS, Benoît Hamon, n'a pas réagi officiellement. Le conseiller régional d'Ile-de-France, Julien Dray a, pour sa part, évoqué «l'instrumentalisation de ces situations sur le terrain, par des groupes qui sont extrêmement radicaux et qui poussent à la confrontation». Le président socialiste du Conseil départemental de Seine-Saint-Denis, Stéphane Troussel, a déploré les «dégradations» commises en marge d'une «manifestation pacifique», avant de rappeler qu'il était pour lui «indispensable que les actes violents des policiers soient sanctionnés».
Jean-Luc Mélenchon, candidat de la France insoumise à la présidentielle, a exprimé sur Twitter son regret face au traitement médiatique des émeutes, regrettant que seules les images de l'émeute de Bobigny aient été, selon lui, diffusées par les chaînes de télévision, alors que «de nombreuses personnes se sont exprimées sur la paix».
Après la journée du 11 février, marquée par les violences à Bobigny, plusieurs incidents de même nature ont écalté dans la soirée du 12 février à Argenteuil, dans le Val-d'Oise.
https://francais.rt.com/france/33884-reactions-politiques-apres-journee-demeutes
Incendies, bus caillassés, abribus saccagés : de nouvelles émeutes à Argenteuil (VIDEOS)
RépondreSupprimer12 févr. 2017, 20:13
Après plusieurs jours d'émeutes et de violences dans les banlieues autour de Paris, de nouveaux incendies ont été signalés ce 12 février à Argenteuil, dans le Val-d'Oise
Ce dimanche 12 février, plusieurs témoins rapportent des actes de violence commis en début de soirée à Argenteuil (Val-d'Oise), notamment sur la grande dalle. Des forces de police sont présentes en nombre sur place.
Trente à quarante jeunes se sont rassemblés, selon plusieurs témoignages, sur la dalle d’Argenteuil et autour de l'avenue Maurice Utrillo, ce 12 février en début de soirée. Un véhicule au moins aurait été incendié, ainsi que plusieurs poubelles. Onze individus ont été interpellés par la police, annonce l'AFP.
Des images montrent également qu'un autobus a été caillassé et qu'un abribus a été vandalisé.
Ça chauffe à #Argenteuil. Des jeunes se livrent à des actes de saccage contre des voitures et des abris-bus.
D'autres images montrent un homme, présenté comme étant journaliste à BFM-TV, à terre, après avoir été frappé.
Un van a également été renversé et incendié sur la chaussée
La police s'est déployée sur les lieux dès 17 heures, tandis que des dégagements de fumée noire, caractéristiques des incendies, étaient visibles dans le ciel.
Un peu plus tard dans la soirée, plusieurs témoins rapportent que des incendies se sont également déclarés à Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis). Des pompiers et des policiers étaient présents sur les lieux.
Samedi 11 février, une violente émeute avait secoué la ville de Bobigny, en Seine-Saint-Denis, alors que plusieurs manifestants marchaient dans les rues de la ville en soutien au jeune Théo, victime présumée de violences policières au début du mois de février.
Lire aussi : «Justice pour Théo : violents incidents en marge d'une manifestation à Bobigny (VIDEOS)»
https://francais.rt.com/france/33881-violents-incidents-cours-argenteuil-images
"Comme Ye Sow ..."
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Feb 12, 2017 11:00 PM
Soumis par Robert Gore via le blog Straight Line Logic,
Notre monde dérangé est un produit d'esprits dérangés.
La philosophie commence par des questions invariablement difficiles. Pourquoi suis-je ici? Quel est le but de la vie? Y at-il un dieu ou des dieux? Qu'est-ce qui est bien et qu'est-ce qui ne va pas? Comment les groupes de personnes devraient-ils être organisés et fonctionner ensemble? Ironiquement, lorsque de telles questions sont rarement posées, quand la philosophie est généralement ignorée ou dénigrée, comme elle l'est maintenant, c'est quand elle est la plus nécessaire.
La philosophie politique est la branche qui aborde la question de savoir comment le pouvoir coercitif doit être distribué dans une société. C'est une question complexe, mais une question apporte des éclaircissements, permet une analyse plus approfondie et aboutit à des conclusions utiles. Qui possède les ressources d'une unité politique? Cette question fait la différence entre les gouvernements qui protègent les droits individuels et les biens et ceux qui ne le font pas. Il souligne également un problème clé: sur la planète terre, chaque gouvernement entre dans cette dernière catégorie.
Les documents fondateurs des États-Unis rendent hommage aux droits individuels et au droit privé. Certains des fondateurs ont peut-être pensé établir un gouvernement subordonné à la protection des droits individuels, ce qui aurait été une première historique. Cependant, aucun ne pensait qu'un tel gouvernement serait facile à maintenir, et leurs craintes étaient confirmées. Le gouvernement des États-Unis met en évidence la liste sans gloire des gouvernements qui revendiquent la propriété de tout ce qui relève de leur dominion, défini comme n'importe quel endroit où ils peuvent exercer leur pouvoir coercitif.
Pour ceux qui disent que l'institution de propriété privée inviolée existe encore aux États-Unis, quel atout le gouvernement américain ne peut-il pas saisir? L'impôt sur le revenu lui donne une première réclamation sur le revenu. Aucun bien immobilier n'est exonéré d'un domaine éminent. Les demandes de propriété intellectuelle sont soumises aux autorités en matière de brevets, de marques de commerce et de droits d'auteur. Les actifs financiers détenus dans le système bancaire peuvent être «renfloués» et des plans sont en cours pour interdire l'encaisse. La gamme déjà vaste d'actifs soumis à la confiscation d'actifs civils continue de se développer. Plus inquiétant, les biens peuvent être saisis de parties jamais condamné. La conscription octroie au gouvernement la vie du conscrit. Le gouvernement des États-Unis ne fait pas exception à la règle générale, rien n'est inviolable attendre peut-être les pensées d'une personne, et sans doute il travaille sur cela.
Les individus qui revendiquent le droit d'engager une agression contre quiconque ils choisissent sont philosophiquement désavantagés, candidats à un asile ou un pénitencier. Rejetant le premier principe qui doit guider l'interaction humaine - à savoir que personne ne peut légitimement engager la force contre une autre personne -, ces individus n'ont aucun fondement rationnel pour leurs pensées ou leurs actions. Les «ordures» de leurs prémisses philosophiques produisent des «états d'émotion», des processus mentaux et finalement des vies. Ayant abandonné la raison de la coercition et de la violence, la réalité devient un vide chaotique et incompréhensible.
RépondreSupprimerLe pouvoir coercitif des gouvernements leur permet de prendre: le pouvoir rend raison. Une philosophie qui reconnaissait le droit de certains individus de voler à d'autres échoue sur les premiers principes; Il n'y a pas de distinction logique possible entre le privilégié et le subjugué. L'agrégation des individus en une unité qui s'appelle un gouvernement leur donne-t-elle un droit qu'aucun d'eux n'a individuellement? On pourrait dire que l'agrégat a été pour la protection des personnes, des biens et des droits de ses électeurs, mais un gouvernement si limité agit en tant qu'agent subordonné de ses électeurs, en exerçant et en renforçant leur droit de légitime défense. Des efforts ont été faits, notamment l'expérience américaine, mais aucun gouvernement n'a jamais été restreint de cette manière.
Quelle que soit son orientation, chaque gouvernement s'est donné le pouvoir d'initier la violence contre ses citoyens. Ce n'est pas parce que l'agglomération dirigeante affirme ce privilège que sa validité n'est pas philosophiquement valable. Ce qu'il fait est légitime l'initiation de la violence pour toutes et toutes les causes - nationales et étrangères - le gouvernement juge approprié.
Ayant violé le premier principe de la non-agression, rien ne peut empêcher ce défaut philosophique de glisser vers la population sujet. Le voleur déchiré qui tient une bouteille d'alcool n'a pas le polonais et l'articulation du politicien qui affirme la première revendication du gouvernement sur la production d'une nation, le banquier central qui déprécie sa monnaie ou le général se pencha sur la domination mondiale qui gouverne des guerres offensives mais philosophiquement Ce sont des âmes sœurs. En effet, le voleur a un moral sur les autres: il ne prétend pas protéger les valeurs qu'il détruit.
Des millions ont dénoncé la violence qui a empêché Milo Yiannopoulos de parler à l'Université de Californie à Berkeley, de même que des millions de l'autre côté ont décrié la violence principalement illusoire parmi les partisans de Trump pendant la campagne. Cependant, pas un sur mille de ceux qui dénoncent la violence comme des violations des libertés civiles fondamentales dénoncent les violations quotidiennes des libertés fondamentales que leur gouvernement leur inflige. La corruption des États-Unis est si complète que ceux qui insistent sur le fait qu'ils ne sont pas des fourrages pour le gouvernement, que leur vie est la leur, et que le seul gouvernement approprié est subordonné à la protection de leurs droits individuels - Pourrait tenir une convention et ne pas remplir un gymnase de lycée.
RépondreSupprimerCe petit groupe est victime d'un terrifiant mouvement de pince de haut en bas. Quand une société s'abandonne à la violence, «légale» et autrement, elle s'abandonne à une irrationalité insensée, poussée par la haine et l'antipathie envers toute valeur positive. La violence n'est pas un moyen pour une fin autre que la destruction et la mort; La violence elle-même est la fin. L'humanité a été nourrie de la même tripes pendant des siècles: des fins nobles justifient les moyens du mal. La violation du premier principe - le rétrécissement contre l'agression initiée - empêche la considération des fins prétendues. Une «discussion» avec une arme à feu n'est pas une discussion. La violence exercée en légitime défense protège les valeurs positives, mais quand la violence est initiée, la destruction, la mort et le plaisir dépravé des esprits dégoûtants sont ses seules fins.
Un individu qui revendique par mot ou acte le droit d'initier la violence - et les droits conséquents de subjuguer, de blesser et de tuer - est un animal enragé, dérangé et dangereux. Un gouvernement qui affirme que le droit est un ensemble. En vertu de la légitime défense, les vertueux, pour protéger leur liberté, leurs droits et leurs vies, doivent mettre en quarantaine ou tuer le rabique. Un corollaire nécessaire du rétrécissement contre l'agression initiée, c'est que nous avons le droit d'utiliser tous les moyens nécessaires pour nous en défendre - peut-être avec pitié, mais sans remords.
Le chaos, la terreur, de notre monde en détérioration est un reflet fidèle et fidèle des âmes abandonnées à la haine. Le mental libre et ses méthodes - la curiosité intrépide, la vérité et la logique - se présentent comme leur ennemi ultime. Si ceux qui s'opposent à cette destruction et à cette mort abandonnent leurs âmes, ils deviennent le mal insensé auquel ils s'opposent. Ceux qui défendent leurs droits, leurs valeurs et leurs vies sans renoncer à leur moralité reconstruiront des décombres le genre de monde dans lequel ils méritent de vivre. Ils le feront sans obstruction: la haine mène inévitablement à sa propre destruction.
http://www.zerohedge.com/news/2017-02-12/ye-sow
Dérangés dérangés des rangées.
SupprimerÀ l'intérieur du bloc noir: "Nous allons l'arrêter ... tout ce qu'il faut"
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Feb 12, 2017 9:00 PM
Hors de la marée de manifestants pacifiques en grande partie marchant dans le quartier financier de San Francisco en 2003, un sous-groupe plus militant a émergé. Ses membres portaient des masques noirs, des vestes noires, des capes noires et des casques. Ils ont brisé les fenêtres et pillé les bureaux de recrutement militaires.
Depuis lors, comme Paige St. John de Los Angeles Times, les prétendus manifestants du bloc noir sont devenus une force dans la région de la baie et au-delà. Ils ont été blâmés pour la violence pendant des protestations à Oakland au-dessus du pouvoir d'entreprise et des abus de police, notamment le cas d'Oscar Grant, un homme non armé noir qui a été tué par la police de BART en 2009.
Méprisé par les critiques à la fois de gauche et de droite et chassé par la police, le bloc noir apporte sa tactique radicale au mouvement de protestation massif suscité par la présidence de Donald Trump.
Les militants masqués sont passés au poing avec des néonazis au Capitole d'état en juin, où cinq de leurs alliés ont été poignardés. La tactique des blocs noirs a également entamé les cérémonies d'inauguration de Trump à Washington, laissant des fenêtres cassées, des banques vandalisées et une limousine incendiée.
Au début de ce mois-ci, sur le campus de l'Université de Berkeley, des militants du bloc noir ont déchiré les barricades de la police, ont brisé des fenêtres, commencé un incendie et agressé les partisans de Trump.
Bien que, comme le rapporte St. John, ils représentent un petit pourcentage des 1000 manifestants majoritairement non violents qui sont allés à Berkeley pour protester contre un discours du controversé chroniqueur Breitbart et écrivain conservateur Milo Yiannopoulos, mais ils ont dominé le résultat.
Les protestations ont été réprimandées par des étudiants, des administrateurs d'universités et Trump.
Le vice-chancelier en colère a qualifié la mêlée d '"invasion sans précédent" d'une manifestation pacifique.
Mais certains leaders de la protestation du campus l'ont appelée un succès écrasant.
"Ce ne sont pas seulement les gens habillés en noir qui agissent de manière militante et tous les autres sont des hippies Berkeley pacifiques", a déclaré Yvette Felarca, organisatrice politique de By Any Means Necessary, une coalition d'immigration et d'affirmative qui cherche à construire une masse Militant.
"Tout le monde a applaudi quand ces barricades ont été démantelées. ... Tout le monde était là avec nous en accord politique sur la nécessité de le fermer, quoi qu'il allait prendre. Il montre que nous avons le pouvoir ", a déclaré Felarca. «Je pensais que c'était superbe.
Le terme «bloc noir» a été utilisé pour décrire les coins serrés de manifestants vêtu de noir dans des casques et des masques qui sont apparus dans les manifestations de rue en Allemagne dans les années 1970, confondant les efforts pour isoler, identifier et poursuivre les individus. Son but était, et est toujours, l'action directe.
RépondreSupprimerLes praticiens se soucient peu de la parole ou de la forme de l'opinion publique, et les médias sont tenus dans le dédain, tout comme les libéraux qui adoptent la non-violence.
Les membres opèrent en petites escouades qui s'organisent autour des drapeaux pendant les ravages d'une manifestation.
Beaucoup sont des anarchistes, et des sites Web anarchistes tels que It's Going Down fournissent une plate-forme publique pour les rapports de la clandestinité.
Ils disent qu'ils combattent la brutalité policière, la cupidité des entreprises, les interdictions d'immigration et l'érosion des libertés civiles.
La région de la baie a fourni une base fertile pour le groupe, particulièrement Oakland, lieu de naissance aux milices armées du mouvement de panthère noire.
«Je souscris à la légitime défense dans le même sens que le Parti des Panthères noires et que fait Malcolm X», a déclaré un ancien militant du bloc noir de la Bay Area qui a parlé à condition qu'il ne soit pas nommé parce qu'une grande partie des actions du groupe sont illégal.
Il se décrit comme un diplômé universitaire employé, le produit de l'incarcération des jeunes et un ménage où le respect des rues - et non le pacifisme - a été prêché.
"Ce qui veut dire que je reconnais un type de violence, c'est-à-dire que les gens sont battus pour avoir certains types de vues politiques et être impudents à leur sujet, par rapport à la violence quotidienne ... comme je passe par la Bay Area et il ya des gens Dormant dans les portes des condos de millions de dollars qui sont vides. ... N'est-ce pas violent? "Dit-il. - C'est la chose la plus cruelle et la plus violente que j'aie jamais vue.
Il y a une stratégie derrière une grande partie de la fracture, selon des entrevues et des manifestes publiés.
Le bloc repousse les lignes de la police, ouvrant et tenant l'espace pour les manifestations de masse que la police cherche à corral et de disperser la foule. Ils tirent du gaz poivré, des balles en caoutchouc et d'autres utilisations de la force. Ils disent qu'ils concentrent la destruction sur les porte-étendard du capitalisme: les machines de banque et un campus Starbucks ont été frappés après que Berkeley ait annulé le discours de Yiannopoulos.
«Starbucks est un symbole de la capitalisation mondiale», a déclaré le député noir.
Ces activistes interrogés n'ont exprimé aucun remords pour les dommages matériels. Ils ont dit qu'il devrait faire pression sur l'université pour y réfléchir à deux fois avant d'autoriser de tels événements à l'avenir. Ils ont le même respect pour la violence contre les gens.
RépondreSupprimerEt ils recrutent ... Un groupe anarchiste organise une conférence de deux jours à Oakland et à San Francisco le mois prochain pour attirer les nouveaux arrivants. Le membre du bloc noir a dit qu'il espère qu'il aidera plus de gens à trouver le mouvement.
"Les gens que je vois entrer sont curieux de ce que ressemble cette politique directe. Ils sont venus dans la post-Oscar Grant, post-Occupy sorte d'environnement politique », a déclaré le membre.
"Dans les prochaines années, ils vont prendre leurs ailes et ils vont commencer à voler."
Bonne chance en Amérique.
http://www.zerohedge.com/news/2017-02-12/inside-black-bloc-were-gonna-shut-it-down-whatever-it-takes
"La panique" se propage chez les Hispaniques après l'arrestation de centaines d'immigrants illégaux
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Feb 11, 2017 22h15
Comme nous l'avons déjà signalé, l'une des conséquences immédiates de l'ordonnance de l'immigration Trump - et qui n'a pas encore été contestée jusqu'à maintenant - a été une répression contre les immigrants illégaux résidant aux États-Unis. Cela a rapidement conduit le ministère mexicain des Affaires étrangères à dire jeudi qu'il a intensifié ses efforts pour protéger les migrants mexicains, "prévoyant le durcissement des mesures par les autorités d'immigration aux États-Unis, ainsi que les violations constitutionnelles possibles lors des raids ou dans le cadre d'une procédure régulière".
Nous avons également noté que selon le WSJ, les Mexicains influents poussent «une stratégie agressive et peut-être risquée pour lutter contre une augmentation probable des déportations de leurs compatriotes sans papiers aux États-Unis: les tribunaux d'immigration américains dans les espoirs de faire défaillir le système déjà surchargé» . " La proposition appelle des campagnes publicitaires conseillant aux migrants aux États-Unis de porter leurs affaires devant les tribunaux et de combattre l'expulsion si elles sont détenues. «L'arriéré dans le système d'immigration est énorme», a déclaré l'ancien ministre des Affaires étrangères Jorge Castañeda. L'idée est de doubler ou tripler l'arriéré, "jusqu'à ce que [U.S. Président Donald] Trump renonce à cette idée stupide », at-il ajouté.
Pour l'heure, cependant, ces efforts pour triompher de la directive anti-illégale de Trump n'ont pas généré de traction, et selon Reuters, les agents d'immigration fédéraux ont arrêté des centaines d'immigrants sans papiers dans au moins quatre États cette semaine dans ce que les fonctionnaires ont appelé vendredi Routinières ". Les mesures d'application de la loi ont eu lieu à Atlanta, New York, Chicago, Los Angeles et les régions avoisinantes, a déclaré David Marin, directeur de l'application et de la suppression pour le bureau de Los Angeles de l'Immigration and Customs Enforcement.
Marin a qualifié cette opération de cinq jours d '"augmentation de la loi".
Alors que l'agence n'a pas libéré un nombre total de détenus, le bureau d'Atlanta seul, qui couvre trois États, a arrêté 200 personnes, Bryan Cox, un porte-parole pour le bureau, a déclaré. Marin a également déclaré que des personnes arrêtées dans le sud de la Californie, seulement 10 n'avaient pas de casier judiciaire et que cinq d'entre elles avaient déjà été déportées.
"L'éruption de ces rapports récents sur les points de contrôle et les balayages aléatoires, c'est tout faux et c'est dangereux et irresponsable", a déclaré Marin. «Des rapports comme celui-là créent une panique». Il a décrit les arrestations comme une grande routine.
Peut-être, mais nous devons rappeler une fois au cours des 8 dernières années où une histoire sur les arrestations massives d'immigrants illégaux a fait la page d'atterrissage de Reuters ou le WSJ.
D'autres sont d'accord. Michael Kagan, professeur de droit de l'immigration à l'Université du Nevada à Las Vegas, a déclaré que les avocats de l'immigration craignent que les arrestations ne signent le début d'une application plus agressive et d'une augmentation des expulsions sous Trump. "On dirait que la majorité sont des gens qui auraient été des priorités dans le cadre d'Obama aussi", a déclaré Kagan dans une interview téléphonique.
RépondreSupprimer"Mais les autres peuvent indiquer le premier bord d'une nouvelle vague d'arrestations et de déportations."
Ce qui explique probablement pourquoi il ya soudainement un sens palpable une panique parmi les communautés hispaniques, comme The Hill rapports.
L'un des premiers cas à recevoir une attention nationale, la déportation de l'Arizona résidente Guadalupe Garcia de Rayos, a mis les communautés sans papiers et de statut mixte sur le bord. "Il est juste de dire que nous sommes tous extrêmement troublés par l'action de déportation que nous avons vu avoir lieu hier en Arizona", a déclaré Janet Murguia, présidente du Conseil national de La Raza. "La première déportation (après) son ordre exécutif est d'une maman qui travaille avec deux enfants américains", a t-elle ajouté.
Et pourtant, ce que Trump fait est précisément ce qu'il avait promis de faire. Sur la piste de campagne, Trump initialement promis d'édicter une force de déportation pour expulser tous les 11 millions d'immigrants sans papiers, en commençant par des criminels dangereux. "Ils vont sortir d'ici si vite, votre tête tournera", a déclaré Trump à Fox News en août. "En ce qui concerne le reste, nous allons passer par le processus, comme ils sont maintenant - peut-être avec beaucoup plus d'énergie." En tant que président élu, Trump a déclaré que son gouvernement chercherait «trois ou quatre millions de criminels dangereux Immigrants pour la déportation.
De nombreux défenseurs hispaniques estiment que l'affaire Garcia de Rayos montre que l'administration Trump poursuivra agressivement tous les immigrants sans papiers. "Cela réaffirme que lorsque l'administration Trump a dit qu'ils iraient contre les criminels, ils voulaient vraiment dire tout le monde", a déclaré Murguia.
La perception que Trump est en train de revenir à ses premières propositions de campagne a secoué de nombreux Hispaniques, y compris beaucoup qui sont légalement dans le pays, a noté la Colline.
"L'incertitude et la confusion sont répandues chez les sans-papiers, les résidents légaux et les citoyens", a déclaré José Diaz-Balart, l'ancre de Telemundo. "Il y a des millions de familles de statut mixte aux États-Unis d'Amérique." Et les organisateurs de la communauté admettent qu'ils ont peu d'outils pour étouffer l'inquiétude.
NCLR est l'une des nombreuses organisations qui ont mis en place une structure de défense légale et ont lancé des programmes pour informer les immigrants de leurs droits, mais en vertu de la loi actuelle, un immigrant sans papiers qui entre en contact avec les agents fédéraux d'application a relativement peu d'options. "Nous voulons que les gens restent calmes et nous voulons leur donner des assurances, mais nous ne pouvons pas leur donner des assurances", a déclaré Murguía.
RépondreSupprimerDiaz-Balart, l'ancêtre de Noticieros Telemundo, le programme d'information nocturne du réseau, organise dimanche un évènement pour ses spectateurs afin de mieux comprendre les actions d'immigration de l'administration. "[Les immigrants] demandent maintenant, 'comment cela va-t-il avoir un impact sur moi ?'" A déclaré Diaz-Balart.
«C'est une mairie qui va traiter les questions que nous entendons encore et encore des gens que nous servons», at-il dit. «Il ne s'agit pas de dire aux gens ce qu'ils veulent entendre, mais de s'assurer que les gens sont informés des choses.»
Dans les premiers jours de l'administration Trump, l'immigration est apparue comme la cible la plus importante pour le président, apparemment de plus grande importance que d'abroger Obamacare ou de réduire les impôts. Grâce à ses ordres exécutifs, Trump a suivi les soi-disant «villes sanctuaires» qui restreignent la mesure dans laquelle leurs agents d'application de la loi collaborent avec l'application fédérale de l'immigration. Il a également redéfini qui pourrait être qualifié d '«étranger criminel». Cette redéfinition a considérablement augmenté le nombre d'immigrants sans papiers susceptibles d'être ciblés pour l'enlèvement, au-delà des «trois ou quatre millions» que Trump avait mentionné.
José Magaña-Salgado, avocat au Immigrant Legal Resource Center, a cité une étude selon laquelle jusqu'à 8 millions de personnes pouvaient maintenant être ciblées pour être expulsées. Sous l'ordonnance de Trump, la définition de la criminalité a été élargie pour inclure les délits comme le franchissement illicite de la frontière. Il a également élargi les définitions des immigrants pour qu'ils soient considérés comme des priorités en matière d'expulsion. Les étrangers qui ont «commis des actes constituant une infraction pénale imposable» sont prioritaires, même avant la condamnation. Il comprend également ceux qui ont commis «une fraude ou une déclaration trompeuse délibérée dans le cadre d'une affaire officielle ou d'une demande devant une agence gouvernementale», une catégorie qui comprend l'utilisation de faux numéros de sécurité sociale au travail.
Certes, faute de contestation judiciaire pour le moment, les Hispaniques réfutent la logique de l'ordre de Trump.
Magaña-Salgado a déclaré que la structure même de l'Immigration and Customs Enforcement (ICE) et de la Customs and Border Protection (CBP) offrirait une incitation à une application aveugle. "La philosophie générale des agents ICE et des agents CBP, ils considèrent leur travail comme expulser autant de gens du pays que possible", a déclaré Magaña-Salgado. "Il leur vaut d'avoir un nombre élevé d'expulsions parce qu'ils peuvent justifier leur budget, ils peuvent justifier leur mission", at-il ajouté. Et des cas comme Garcia de Rayos fournir une cible facile pour les agents fédéraux.
RépondreSupprimerGarcia de Rayos a été appréhendée lors d'une inspection annuelle au siège local de la CIE, où elle s'est volontairement présentée en respectant les ordres qui lui avaient été donnés lors de son arrestation initiale. En tant que délinquant à faible risque - Garcia de Rayos a été reconnu coupable d'avoir utilisé un faux numéro de sécurité sociale pour travailler - elle n'était pas sur la liste des priorités de l'administration d'Obama malgré avoir été désignés pour être expulsés par un juge d'immigration.
Elle était pourtant très probablement un élu démocrate éligible, qui, bien que non discuté est le fondement de la poursuite agressive de Trump d'immigrants clandestins sans papiers aux États-Unis.
Au-delà de la détention de Garcia de Rayos, ICE a mené de grands raids cette semaine sur les maisons et les lieux de travail qui alarmaient encore les communautés hispaniques. Karen Tumlin, directrice juridique du National Immigration Law Center, a déclaré que les agents ont refusé l'accès aux avocats d'immigration après un tel raid à Los Angeles qui a rassemblé environ 100 personnes. "Les avocats de l'immigration se sont rassemblés sur les lieux", a déclaré Tumlin. «Ils ont été exclus. "[C'est] absolument inacceptable et potentiellement illégal", at-elle ajouté.
Des cas semblables à ceux de Garcia de Rayos pourraient également attirer l'attention des agents d'exécution fédéraux en raison de la pénurie de juges d'immigration pour poursuivre les affaires. Les personnes qui ont déjà été prévues pour être renvoyées par un juge peuvent être renvoyées sans autre procédure. Le manque de juges d'immigration «va certainement être une contrainte», a déclaré Magaña-Salgado.
Des cas semblables à ceux de Garcia de Rayos pourraient également attirer l'attention des agents d'exécution fédéraux en raison de la pénurie de juges d'immigration pour poursuivre les affaires. Les personnes qui ont déjà été prévues pour être renvoyées par un juge peuvent être renvoyées sans autre procédure. Le manque de juges d'immigration «va certainement être une contrainte», a déclaré Magaña-Salgado.
Mais les agents peuvent recourir à des procédures d'expulsion accélérées sous l'administration Obama, mais non retirées, afin d'amener les détenus à accepter une expulsion rapide sur une longue attente pour un juge de l'immigration, souvent incarcéré.
"Ils vont utiliser cet outil pour sortir les gens du système judiciaire et de la procédure régulière", a déclaré Magaña-Salgado. Cela va également entraver la tentative précédemment discutée par des Mexicains influents de «contester les tribunaux américains» en augmentant le nombre de cas d'expulsion. En fin de compte, cette stratégie pourrait avoir des effets négatifs si la loi devait être simplifiée.
Pendant ce temps, les militants hispaniques mettent en garde contre le fait que la poursuite d'objectifs faciles peut endommager les communautés de plusieurs façons.
RépondreSupprimerLes gens qui seraient autrement actifs économiquement pourraient se cacher, la confiance dans les organismes d'application de la loi pourrait être diminuée, et les criminels dangereux pourraient plus facilement glisser dans les fissures que les agents fédéraux de poursuivre non dangereux immigrants sans papiers.
"Les gens veulent se conformer aux agences d'exécution", a déclaré Murguia. «Ils sont censés se présenter avec ces check-ins, s'ils voient qu'ils vont se mettre en danger, c'est une situation très difficile.
«Ce sont des histoires déchirantes et déchirantes», a t-elle ajouté. "Dans une société civilisée, nous ne pouvons pas trouver une meilleure façon de traiter ces questions ?"
Eh bien, Obama a essayé, et a échoué. C'est pourquoi la société «civilisée» américaine est maintenant où elle est et reflète la volonté de la majorité.
http://www.zerohedge.com/news/2017-02-11/panic-spreads-among-hispanics-after-hundreds-illegal-immigrants-arrested
Des évacuations ont été commandées au-dessous du barrage d'Oroville après qu'un trou a été trouvé dans son déversoir d'urgence
RépondreSupprimerDes millions de gallons d'eau de ruée continuent de saborder et d'éroder le déversoir massif du lac Oroville.
Des dizaines de milliers de résidents dans le nord de la Californie ont reçu l'ordre d'évacuer immédiatement dimanche après-midi après l'érosion à l'évacuateur d'urgence sur le barrage d'Oroville qui a menacé d'inonder Oroville et les villes voisines ci-dessous.
Les officiels ont déclaré dimanche qu'ils utiliseront des sacs de roches pour essayer de brancher le trou à la tête de l'évacuateur d'urgence, et aussi de réduire le niveau d'eau au lac Oroville pour alléger le stress sur le déversoir.
Ils ont souligné que la situation reste dangereuse au plus haut barrage de la nation et ont exhorté les habitants des communautés situées le long de la rivière Feather à évacuer vers un terrain plus élevé.
Le service météorologique national a d'abord déclaré que le déversoir auxiliaire du barrage d'Oroville devait échouer vers 17 h 45, ce qui pourrait entraîner une "libération incontrôlée des eaux d'inondation du lac Oroville".
Le shérif du comté de Butte, Kory L. Honea, a déclaré qu'une crevasse se développait près du bord inférieur du déversoir d'urgence et s'érode "à un rythme assez important".
Mises à jour en direct: Evacuations commandées ci-dessous Barrage d'Oroville
"Il y avait une préoccupation importante que [le trou] compromettrait l'intégrité de l'évacuateur de crues, résultant en une importante libération d'eau", a déclaré Honea. "Nous avons dû prendre une décision très critique et difficile pour amorcer l'évacuation de la région d'Oroville."
Ceux d'Oroville, une ville d'environ 16 000 personnes, ont été invités à fuir vers le nord vers Chico, avec Gridley et Biggs. Dans le comté de Yuba, ceux de Marysville et d'autres communautés du fond de la vallée du comté ont été invités à emprunter des routes à l'est, au sud ou à l'ouest. Dans le comté de Sutter, des évacuations ont été ordonnées pour Yuba City, Live Oak, Nicolaus et toutes les communautés autour du bassin de la rivière Feather.
"Ce n'est pas un exercice. Ce n'est pas un exercice. Répétez, ce n'est pas un exercice ", a déclaré le Service météorologique national. Les autorités ont exhorté les résidents à communiquer avec les voisins et les membres de leur famille, à se rendre auprès des personnes âgées et à les aider à évacuer.
Le dimanche soir, les responsables de l'Etat ont déterminé que le taux d'érosion du trou dans le déversoir d'urgence avait ralenti, et les experts ont élaboré un plan pour décharger des sacs de roches dans la fissure pour boucher le trou, a déclaré Honea.
Pour ralentir l'érosion du déversoir d'urgence, les responsables du Département des ressources en eau de l'État ont également doublé le débit d'eau dans le déversoir principal à 100 000 pieds cubes par seconde. L'augmentation rapide a considérablement réduit l'eau qui vient sur le déversoir d'urgence à deux pouces, Honea dit.
Le barrage lui-même est structurellement sain, les fonctionnaires ont dit.
RépondreSupprimerDes millions de gallons de la ruée vers l'eau libèrent et érodent l'évacuateur massif de barrage de lac Oroville.
Les évacuations ont marqué un tournant dramatique au barrage d'Oroville, situé à environ 75 milles au nord de Sacramento.
Pendant plusieurs jours, les fonctionnaires ont essayé de trouver comment obtenir l'eau du lac Oroville après que le déversoir principal a été endommagé. Un trou massif a été découvert la semaine dernière sur le déversoir principal et éventuellement étendu sur toute la largeur du canal béton-doublé.
Samedi a marqué la première fois que le déversoir d'urgence a été utilisé depuis le barrage a été achevé en 1968, et jusqu'à dimanche après-midi, il semblait bien fonctionner. Mais l'eau de la pluie et de la neige a continué à couler dans le lac Oroville à un rythme rapide, faisant monter les niveaux d'eau aux niveaux d'urgence.
Le lac Oroville est le pivot du système de circulation de l'eau en Californie, envoyant de l'eau du sud de la Sierra Nevada aux fermes de la vallée de San Joaquin et des villes du Southland.
La vidéo des hélicoptères de télévision a montré dimanche soir de l'eau s'écoulant dans un stationnement à côté du barrage, avec de grands flux descendant à la fois le déversoir principal endommagé et le déversoir d'urgence.
Les fonctionnaires craignaient qu'une défaillance de l'évacuateur de détresse n'entraînerait une énorme quantité d'eau dans la rivière Feather, qui traverse le centre-ville d'Oroville et d'autres cours d'eau. Le résultat pourrait être des inondations et des défaillances de digues à des kilomètres au sud du barrage, selon la quantité d'eau libérée.
Les vidéos ont également montré des lignes de voitures sortir du centre-ville d'Oroville. Un centre d'évacuation a été mis en place au Silver Dollar Fairgrounds à Chico.
Sergia Richard-Madrid, 62 ans, travaillait son quart à Home Depot dimanche après-midi quand les téléphones ont commencé à sonner sur l'évacuation obligatoire.
Elle se précipita chez elle, mais le reste de sa famille était déjà partie. Certains ont fui vers le nord jusqu'à Chico, mais elle s'est dirigée vers le sud sur l'autoroute 70 et a été détournée lorsque les autorités ont commencé à évacuer la basse vallée de Marysville ainsi, environ une heure au sud d'Oroville.
Près du centre-ville Oroville quatre personnes étaient debout sur un pont donnant sur la rivière.
James Nash, 86 ans, a entendu parler de l'ordre d'évacuation de son directeur de l'immeuble. Chef retraité et vétéran de la guerre de Corée, il ne savait pas où aller, et était contrarié qu'O Oroville ne semblait pas faire plus.
Il ne pouvait pas arriver à Chico sur sa moto. Il avait un petit sac avec rasage, débarbouillettes et serviettes en papier. Pas de couvertures, pas d'eau.
RépondreSupprimerIl s'est souvenu de l'ordre d'évacuation de 1997, qu'il a ignoré et qui n'a pas entraîné d'inondations. Il a dit qu'il est encore assez sûr que rien ne se produira cette fois: "Je ne crois pas que cela va se passer."
Mais il n'était pas assez à l'aise pour rentrer chez lui, donc il a continué à regarder l'eau dans la rivière en contrebas. - Je m'ennuie, dit-il.
Diminuée par des années de sécheresse, le lac Oroville était devenu un symbole de l'aggravation de la crise de l'État. Mais un hiver inhabituellement humide a pris le lac de presque plein à débordement en moins d'une semaine.
Parallèlement, le déversoir principal de près d'un mille de long sur lequel les gestionnaires du barrage s'appuient pour libérer l'excès d'eau a commencé à s'effriter, l'érosion se détériorant alors que des millions de gallons d'eau coulaient dessus.
Réaliser le lac pourrait atteindre un niveau qui pourrait déclencher l'utilisation d'un déversoir d'urgence, les travailleurs de l'Etat ont commencé à défricher la zone des arbres et de la brosse qui pourraient être envoyés en aval en aval.
Le samedi matin, l'eau a commencé à se laver sur le déversoir d'urgence du barrage pour la première fois depuis qu'il a été achevé en 1968. Les photographies montraient un torrent d'eau se précipitant vers le bas pour rejoindre la rivière Feather.
Dimanche, les responsables ont déclaré que, même s'ils s'attendaient à ce que le déversement non contrôlé prenne fin, ils prévoient de continuer à utiliser le déversoir en béton pour créer plus de stockage dans le réservoir en prévision des précipitations plus tard dans la semaine.
«Nous allons continuer à vider de l'eau vers le bas du déversoir et abaisser le lac», a déclaré See. «Vous allez voir le niveau du lac descendre au cours des prochains jours."
Les responsables ont souligné qu'en dépit des dommages causés aux déversoirs, le barrage lui-même ne risquait pas d'être défaillant.
«Croyez-moi, au cours des derniers jours, il ya eu beaucoup d'yeux sur elle», a déclaré Bill Croyle, directeur par intérim du département de l'eau. «Oroville Dam n'est en aucune façon une partie du dommage qui s'est produit.
Les responsables ont estimé qu'il pourrait coûter de 100 à 200 millions de dollars pour réparer les dommages causés à l'évacuateur de crues et d'autres caractéristiques.
http://www.latimes.com/local/lanow/la-me-ln-oroville-update-20170212-story.html
100 000 personnes évacuent une «faille imminente» du barrage d'Oroville en Californie - Live Feeds
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Feb 12, 2017 20h48
https://www.google.fr/maps/@39.5127735,-121.542896,13z
Mise à jour: NBC rapporte que le déversoir a échoué: «Le déversoir auxiliaire du barrage d'Oroville (à 100 km au Nord de Sacramento et 200 au N-E de San Francisco) a échoué, forçant les évacuations de plusieurs comtés en Californie, avec entre 60 000 et 100 000 personnes forcées à évacuer de Butte, comté, en Californie, seul.
DWR prévoit d'utiliser des hélicoptères pour déposer des pierres pour combler la gouge dans le déversoir auxiliaire d'Oroville pour se stabiliser
Les autorités organisent une conférence de presse sur l'échec du déversoir du barrage d'Oroville:
- voir photo sur site -
Des évacuations à grande échelle ont lieu entre les habitants des bas niveaux d'Oroville et des régions en aval après que les pluies torrentielles aient entraîné le débordement du lac Oroville dans le nord de la Californie pour la première fois depuis 48 ans, conduisant à ce qui serait un échec imminent De l'évacuateur de crues du barrage, ce qui selon les responsables pourrait "conduire à un échec de la structure."
ORDRE D'ÉVACUATION. L'utilisation du déversoir auxiliaire a conduit à une érosion sévère qui pourrait conduire à une défaillance de la structure. @CALFIRE_ButteCo
- voir photo sur site -
Le barrage d'Oroville est un barrage de remblai en terre-plein sur la rivière Feather à l'est de la ville d'Oroville, en Californie, aux États-Unis. À 770 pieds (230 m) de hauteur, il est le barrage le plus grand des États-Unis et sert principalement à l'approvisionnement en eau, à la production d'hydroélectricité et au contrôle des crues.
Selon les responsables, une situation dangereuse se développe avec le déversoir auxiliaire du barrage d'Oroville. Le fonctionnement du déversoir auxiliaire a provoqué une grave érosion qui pourrait conduire à une défaillance du déversoir auxiliaire.
Selon Fox 40, les fonctionnaires prévoient une défaillance imminente du déversoir auxiliaire au barrage d'Oroville. "Les fonctionnaires prévoient un échec du déversoir auxiliaire au barrage Oroville dans les 60 prochaines minutes (5:45 p.m.)", le Département des ressources en eau de Californie a déclaré sur Facebook.
Sur Twitter, l'agence a ajouté que le déversoir auxiliaire au barrage d'Oroville prédit échouer dans l'heure suivante. Les résidents d'Oroville évacuer vers le nord.
ÉVACUATION D'URGENCE: Le déversoir auxiliaire au barrage d'Oroville devrait échouer dans l'heure suivante. Les résidents d'Oroville évacuent vers le nord.
Selon une déclaration du CDWR, les résidents doivent évacuer vers le nord, vers Chico. L'alerte de crue est en vigueur jusqu'à 16h15 le lundi.
Selon Fox 40, l'échec entraînerait une libération incontrôlée des eaux d'inondation du lac Oroville. Le DWR augmente l'eau rejetée à 100 000 pieds cubes (454, 609 m3/sec) par seconde. En outre, l'utilisation du déversoir auxiliaire a conduit à une érosion grave qui pourrait conduire à une défaillance de la structure, provoquant des inondations et des dommages sans précédent.
L'eau coule sur le déversoir d'urgence au lac Oroville
L'évacuation immédiate des faibles niveaux d'Oroville et des zones en aval a été ordonnée.
Le service météorologique national a publié un avertissement de crue éclair pour un éventuel échec du barrage.
RépondreSupprimerLes zones touchées sont Oroville, Palerme, Gridley, Thermalito, Oroville Sud, Oroville Dam, Oroville Est et Wyandotte. Un centre d'évacuation des résidents a été mis en place au Silver Dollar Fairgrounds au 2357 Fair Street à Chico.
Abri d'évacuation pour les résidents évacués de #Oroville situé au Silver Dollar Fairgrounds à Chico. 2357 Fair St, Chico #spillway
- Butte County, CA (@CountyofButte) 13 février 2017
Comme le montre la photo suivante choppercam, des milliers de personnes se démènent pour évacuer les zones en aval.
- voir photo sur site -
Le communiqué de presse complet est ci-dessous:
Le flux d'eau relativement léger qui a commencé à se laver dans le déversoir auxiliaire du lac Oroville samedi matin devrait continuer à couler pour les prochains jours. Les rejets totaux du réservoir ne menacent pas le barrage ou les collectivités situées en aval et tombent bien dans la capacité de la rivière Feather et d'autres canaux en aval.
Le département des Ressources en Eau de la Californie (DWR), préparé pour le lac d'Oroville, a atteint son niveau le plus élevé depuis le début de l'érosion qui a commencé mardi sur la partie inférieure de l'évacuateur de crues principal du barrage.
Le lac a dépassé l'altitude de 901 pieds (274 m) au-dessus du niveau de la mer peu après 8 heures aujourd'hui, et l'eau a lentement commencé à s'écouler au-dessus du déversoir en béton du déversoir auxiliaire, en bas d'une colline et dans la rivière Feather. Le déversoir auxiliaire fonctionne comme prévu.
"Les flux que nous voyons sont extrêmement faibles par rapport à la conception de la structure", a déclaré le directeur intérimaire de DWR, William Croyle. Selon la situation actuelle, il n'y a pas de menace. Des débits de 6 000 pieds cubes par seconde (cfs) et de 12 000 cfs devraient circuler dans l'évacuateur de crues auxiliaire pendant 32 à 58 heures, en fonction de la dernière modélisation des conditions météorologiques, du réservoir Afflux et autres facteurs. Ces écoulements s'arrêteront une fois que la décharge du lac dépassera l'afflux.
Les débits dans le déversoir auxiliaire sont beaucoup moins importants que le volume d'eau qui se lave dans le lac depuis le bassin versant de la rivière Feather. C'est parce que la surface de 16 000 acres (64,74 km²) du lac agit comme un tampon, la propagation et atténuer l'afflux. Afin d'aider à gérer les niveaux de réservoir, les opérateurs DWR déchargent également 55 000 cfs de l'évacuateur de crue endommagé et s'attendent à continuer à le faire. L'érosion vers le haut sur ce déversoir étroitement surveillé, gated a ralenti considérablement.
DWR s'est concentré samedi sur les moyens d'amener la centrale électrique d'Hyatt au barrage d'Oroville en exploitation, car 14 000 cfs peuvent être déchargés de l'usine quand elle est en exploitation, ce qui aiderait à la gestion des réservoirs. La production d'électricité a été arrêtée lorsque les niveaux d'eau dans le canal qui mène de la centrale devinrent suffisamment élevés pour compromettre le fonctionnement.
RépondreSupprimerLes niveaux d'eau ont augmenté lorsque les débris de l'évacuateur de crue érodé empilés dans le canal ci-dessous. La même érosion menace également les tours qui maintiennent les lignes électriques qui transportent l'électricité de la centrale au réseau électrique; Une telle connexion est nécessaire pour que la centrale fonctionne. DWR, Pacific Gas & Electric Company et d'autres partenaires travaillent à la sauvegarde des installations hydroélectriques et des lignes électriques.
Selon certains, il est criminel que les agences de la Californie ont attendu si longtemps avant de commander l'évacuation. Beaucoup plus d'informations sont disponibles dans la vidéo suivante:
Les lecteurs peuvent suivre les mises à jour en direct sur le lien suivant:
http://www.zerohedge.com/news/2017-02-12/thousands-are-evacuating-after-californias-oroville-dam-predicted-fail-minutes
Le juge des forces de la ville de retour de 3 millions de dollars aux résidents condamnés à une amende par "inconstitutionnelle" caméras de trafic
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Feb 12, 2017 21h30
Un juge du comté de Butler a ordonné au village de New Miami de rembourser des amendes de 3 millions de dollars à plus de 45 000 automobilistes qui ont été facturés pour excès de vitesse par les caméras de feux de signalisation, déclarés inconstitutionnels en 2014.
Comme le rapporte la filiale ABC locale, un juge affirme que le placement de caméras de radars stationnaires n'était pas équitable pour les conducteurs et maintenant une communauté locale doit rembourser 3 millions de dollars en amendes.
C'est une bataille controversée sur les caméras sans pilote.
Les caméras ont été jugées inconstitutionnelles en 2014 par le juge Michael J. Sage, juge du plaidoyer en common law du comté de Butler, qui a approuvé le statut d'action en classe.
La controverse entoure encore l'utilisation.
Le village de New Miami doit rembourser les conducteurs pour les amendes perçues pendant près de deux ans alors que les caméras étaient en place.
Dans une décision rendue mercredi, le juge Michael Oester a déclaré que l'argent versé au village lui a donné un avantage injuste au détriment des speeders.
Alors maintenant, le village doit retourner l'argent payé par les conducteurs impliqués dans un procès collectif.
Cela représente un total d'environ 3 millions de dollars.
Près de 45 000 personnes ont été citées dans 15 mois.
Comme le note Josie Wales de TheAntiMedia, sur les 3 millions de dollars encaissés en amendes, 60% des revenus sont allés au village tandis que 40% sont allés à la compagnie de feux de signalisation qui gère le programme. Le procureur du village envisage de porter l'affaire devant la Cour suprême, affirmant que le village ne devrait pas être responsable des fonds qu'il n'a pas reçus, ignorant apparemment qu'il était responsable de la mise en œuvre du programme inconstitutionnel et de la collecte des amendes en premier lieu.
http://www.zerohedge.com/news/2017-02-12/judge-forces-town-return-3-million-residents-fined-unconstitutional-traffic-cameras
D'ailleurs, pourquoi serait-il autorisé de publier des photos de quelqu'un sans son accord ?
SupprimerFessenheim : En France l’incompétence des hauts fonctionnaires est exemplaire
RépondreSupprimerle 12 février 2017
Voici une dépêche de l’Agence France Propagande » (AFP) qui comme à son habitude scrute tout évènement susceptible de satisfaire la mouvance anti-nucléaire pilotée par Greenpeace, entre autres organisations subversives. Il s’agit toujours (et encore) de la fermeture programmée de la centrale nucléaire de Fessenheim qui pourrait sans encombre être exploitée encore pendant peut-être 30 années voire plus. Il s’agit d’un immense gâchis payé par les contribuables, faut-il le rappeler, un gâchis technologique, un gâchis environnemental, un gâchis financier pour EDF et enfin un gâchis économique et social pour la région Alsacienne. Puisque la fermeture de cette usine a été décidée par Hollande dans son programme électorale elle va donc avoir lieu. Ce sera d’ailleurs à peu près la seule promesse que Hollande aura tenu au cours de ses 5 années de règne catastrophique qui aura conduit la France dans un marasme économique, social et culturel peu enviable.
Mais non ! Ça ne suffit pas, il faut aussi détruire le patrimoine nucléaire français payé par les contribuables car les organisations écologistes l’ont exigé, Greenpeace et Corinne Lepage en premier lieu. La dépêche d’agence ci-dessous en dit long sur l’incompétence crasse du sieur Carenco, actuel préfet de la Région Ile-de-France, qui va prendre les manettes de la commission de régulation de l’énergie, un comité Théodule de plus en charge de faire respecter les accords de la COP21, comme si la France avait besoin de se serrer la ceinture en matière d’émissions de gaz carbonique puisqu’elle est l’un des pays les moins pollueurs en termes de rejets de gaz carbonique par les usines de production d’électricité. La principale activité française rejetant du gaz carbonique est le transport par véhicules automobiles, or la centrale nucléaire de Fessenheim pourrait allègrement recharger 400000 voitures électriques chaque jour (1,4 % du parc automobile français) mais les écolos (dont fait partie Carenco) n’ont pas effleuré ce détail dans leur petit cerveau pollué par une idéologie totalement déconnectée de la réalité.
La France peut se passer de l’électricité de Fessenheim (président pressenti de la CRE)
Paris – La centrale nucléaire de Fessenheim (Haut-Rhin), promise à la fermeture par le gouvernement, n’est pas indispensable à la sécurité d’approvisionnement électrique de la France, a estimé mercredi le candidat pressenti à la présidence du régulateur français de l’énergie.
« A-t-on besoin de Fessenheim aujourd’hui? (…) Ma réponse est non, en sécurité d’approvisionnement », a déclaré Jean-François Carenco, actuellement préfet de la région Ile-de-France.
« Fessenheim, c’est un autre sujet que la satisfaction immédiate en France de l’équilibre offre-demande », a-t-il ajouté lors d’une audition devant la commission des Affaires économiques du Sénat, préalable à sa nomination à la tête de la Commission de régulation de l’énergie (CRE).
« On peut avoir besoin de Fessenheim pour d’autres sujets, pour d’autres raisons », a-t-il toutefois estimé.
La puissance des deux réacteurs alsaciens, de 900 mégawatts (MW) chacun, pourraient facilement être substituée par des énergies renouvelables, à condition de développer des technologies de stockage pour pallier leur variabilité en fonction des conditions météo.
« 1.800 mégawatts de puissance, vous les gagnez en un rien de temps sur les énergies renouvelables. C’est donc bien un problème de stockage », a assuré M. Carenco.
« Oui, les énergies renouvelables triompheront, premièrement quand on saura les stocker correctement et qu’on aura défini un système de stockage. Deuxièmement, lorsqu’on n’aura plus besoin du nucléaire en base », c’est-à-dire pour alimenter la consommation en dehors des heures de pointe, selon lui.
RépondreSupprimerFin janvier, le président de la République avait indiqué envisager de nommer Jean-François Carenco à la présidence de la CRE en remplacement de Philippe de Ladoucette, dont le mandat est arrivé à échéance début février.
Avant le Sénat amené à se prononcer également, la commission des Affaires économiques de l’Assemblée nationale a annoncé avoir approuvé à l’unanimité la nomination de ce haut-fonctionnaire de 64 ans à la suite de son audition mardi.
M. Carenco a notamment été directeur de cabinet de Jean-Louis Borloo au ministère de l’Ecologie et de l’Energie.
Comme mes lecteurs ont pu le constater les propos de Carenco sont totalement farfelus. À l’évidence il ne sait pas de quoi il parle. Le seul stockage des énergies intermittentes dites vertes ou renouvelables qui soit économiquement réalisable est le pompage de l’eau de rivière dans des retenues collinaires ou en altitude, point barre. Toutes les autres technologies de stockage direct de l’électricité sont des vues d’esprits dérangés car elles ne sont économiquement pas viables. Or la France a presque totalement épuisé les capacités de développement de telles infrastructures et s’il en reste encore – je pense au bassin versant de la Loire et à quelques autres rivières dans le Sud-Ouest de la France – un quelconque projet d’aménagement de retenues verrait immédiatement une opposition féroce des écologistes qui restent logiques avec eux-mêmes : tout développement pouvant détruire des milieux naturels est à bannir. Mais qu’en est-il des éoliennes tueuses d’oiseaux migrateurs et de rapaces nocturnes, qu’en est-il des panneaux solaires qui grillent sur place les insectes (et les oiseaux), qu’en est-il des fermenteurs de biomasse qui dégagent des gaz toxiques dont personne ne parle et dont on ne sait que faire ? Carenco est un incapable comme beaucoup de hauts-fonctionnaires pour qui seule la carrière et la retraite qui s’en suit sont importantes. La France, sous l’impulsion des mouvements écologistes, depuis Borloo et Lepage, est définitivement entrée dans une ère de régression et d’obscurantisme. Merci pour mes petits-enfants !
- voir graphique sur site -
Je voudrais faire également une remarque au sujet des retombées économiques nationales de la fermeture de Fessenheim. La France a été durant des années exportateur net d’électricité vers les autres pays européens. Or il se trouve qu’aujourd’hui le pays importe de l’électricité principalement de l’Allemagne. L’illustration ci-dessus le montre clairement. Il s’agit des mouvements de l’énergie électrique aux frontières de l’Allemagne, document issu de Agora Energiewende daté pour la dernière statistique du 10 février 2017 à 23h21. À quelques rares exceptions près durant les 8, 9 et 10 février la France a importé de l’électricité de l’Allemagne : le 9 février à 1 heure du matin elle a importé sur le marché spot l’équivalent de la production de la centrale de Fessenheim ! Quant à l’Autriche qui fait figure de bon élève européen en matière de rejets de CO2 il ne faut pas oublier qu’elle importe massivement de l’électricité de son voisin allemand …
https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/02/12/fessenheim-en-france-lincompetence-des-hauts-fonctionnaires-est-exemplaire/
Supprimerhttp://huemaurice5.blogspot.fr/2015/04/le-co2-nest-pas-un-poison.html
Dans le rôle de la victime: fabriquer un crime pour prouver que Trump a tort
RépondreSupprimerINTERNATIONAL
20:26 12.02.2017
Après l’élection de Donald Trump, le nombre de faux crimes motivés par la haine religieuse va croissant. Ce phénomène est d’ailleurs incité par l’adoption par les Républicains du décret interdisant provisoirement d’entrée aux USA des ressortissants de sept pays musulmans. L’objectif? Prouver vaille que vaille que le président avait tort.
Ces derniers temps, le nombre de plaintes pour agressions et menaces incitées par la haine religieuse est en hausse parmi les jeunes musulmans américains. Or, comme le montrent les enquêtes, ces recours s'avèrent parfois infondés, les « crimes » étant fabriqués de toute pièce.
Ces crimes qui n'ont pas eu lieu
En décembre dernier, un habitant du Texas a avoué avoir mis le feu à son véhicule et sa moto et avoir écrit des propos racistes sur le portail de sa maison et ce pour se faire passer pour une victime d'un crime motivé par la haine.
Et ce cas est loin d'être isolé. Le 20 janvier, un étudiant musulman du Wisconsin a annoncé que quelqu'un avait écrit un slogan islamophobe sur la porte de sa maison. Toutefois, les enquêteurs ont établi que l'inscription avait été faite par le plaignant lui-même et l'ont interpellé pour fausses accusations. Une agence d'information locale n'a pas tardé à lier ces fausses allégations aux actions de Donald Trump.
« Ce message hostile aux musulmans est une conséquence du chaos qui prend de l'ampleur dans le pays suite au décret de Donald Trump d'interdire provisoirement de visa les ressortissants de sept pays à dominante musulmane », a-t-il été écrit.
Voici encore trois cas, d'ailleurs séparés: dans les États du Michigan, de la Louisiane et de New York, trois jeunes femmes musulmanes ont déclaré avoir subi des agressions de la part de partisans de Donald Trump. Comme lors des cas susmentionnés, l'enquête a réussi à établir qu'aucun incident n'avait eu lieu. Deux plaignantes comparaîtront bientôt devant la justice.
Alerter l'opinion publique
Expert: les opposants à Trump ne disaient rien quand Obama bombardait les musulmans
Depuis que le nouveau président américain a adopté le décret, les problèmes des victimes de ses mesures se sont retrouvés au centre de la préoccupation de l'opinion publique. À titre d'exemple, le témoignage de Mike Hager, un ressortissant irakien qui dit avoir perdu sa mère à cause de l'interdiction d'entrée aux États-Unis n'a pas laissé les gens indifférents. Toutefois, cette histoire s'est avérée être un faux. L'imam proche de la famille a annoncé que la dame s'était éteinte avant l'entrée de l'interdiction en vigueur.
« Hyperboliser ou mentir au sujet du racisme aux États-Unis n'a aucun sens. Les accusations fabriquées ne profitent à personne. Les personnes qui le font ne rendent pas service aux vraies victimes de ce genre de transgressions », résume dans un commentaire à la chaîne RT le journaliste américain Ted Rall.
https://fr.sputniknews.com/international/201702121030055936-trump-musulmans-faux-crimes/
Pourquoi Donald Trump a besoin de la prochaine récession pour démarrer aussi rapidement que possible
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
Le 12 février 2017
Une nouvelle récession est à venir, et Donald Trump a besoin d'elle pour commencer tôt ou tard. Comme je l'ai expliqué la semaine dernière, la plupart des électeurs américains ont tendance à se soucier de leurs carnets plus que toute autre chose. Si la prochaine récession allait officiellement commencer au cours du premier trimestre de 2017, il serait très facile pour Trump de le blâmer sur Obama, puis il pourrait se présenter comme celui qui a tiré l'économie américaine de la récession à temps pour 2020 élection. Mais si la prochaine récession ne commence pas avant 2018 ou 2019, tout le monde va le blâmer sur Trump, même si ce n'est pas sa faute. En politique, qui a le blâme pour tout ce qui va mal est souvent la chose la plus importante, et si Trump veut éviter le blâme pour la prochaine récession, il a besoin pour que cela commence aussi rapidement que possible.
Pendant la majeure partie de 2016, les grands médias ont averti qu'une nouvelle récession viendrait probablement, peu importe qui a gagné les élections. Pour un exemple, il suffit de consulter cet article Bloomberg.
Et pour une fois, les grands médias étaient précisément exacts. Barack Obama nous a laissé un énorme désordre économique, et il faudrait un miracle économique d'une ampleur sans précédent pour empêcher l'économie des États-Unis d'entrer dans une récession à ce point.
Pendant les années d'Obama, les États-Unis sont allés sur une frénésie dette contrairement à tout ce que nous avons jamais vu auparavant.
La dette nationale des États-Unis a presque doublé. Pendant le temps d'Obama à la Maison Blanche, il est passé de 10,6 trillions de dollars à près de 20 trillions de dollars, ce qui signifie que plus de 9 billions de dollars de consommation future a été apporté dans le présent. Cette incroyable augmentation des dépenses aurait entraîné une croissance économique des États-Unis dans la stratosphère pendant des périodes normales, mais parce que nous étions en train de lutter autant que tout ce que nous en sortions, c'était huit ans de stagnation économique.
En fait, Barack Obama a été le seul président de l'histoire américaine moderne à ne jamais avoir une seule année où l'économie des États-Unis a augmenté d'au moins 3 pour cent, et il avait deux mandats pour essayer d'atteindre cet objectif.
Et rappelez-vous, Obama a également eu l'avantage de numéros économiques corrigés. John Williams de shadowstats.com trace ce que les chiffres ressembleraient si honnêtes chiffres étaient utilisés, et selon ses calculs de l'économie des États-Unis a été continuellement en récession depuis 2005.
En plus de la dette publique, d'autres formes de dette sont aussi hors de contrôle. Le montant total de la dette des consommateurs aux États-Unis a maintenant atteint 12 trillions de dollars, et la dette des entreprises a environ doublé depuis la dernière récession.
Lorsque les niveaux de la dette grandissent beaucoup, beaucoup plus vite que l'économie globale, il est inévitable qu'un accident viendra.
Si vous regardez en arrière à travers l'histoire, je ne sais pas si vous pouvez trouver un seul exemple où la dette a augmenté cette rapidement et un accident n'est pas arrivé par la suite.
Par miracle, si nous sommes en mesure d'éviter une crise économique majeure cette fois, nous allons littéralement défier les lois de l'économie.
RépondreSupprimerLa crise de l'emploi menace également de s'aggraver dans les mois à venir. Les grands médias continuent à nous dire que nous sommes presque au «plein emploi», mais la vérité est que plus de 100 millions d'Américains n'ont pas de travail en ce moment.
Oui, il y a quelques régions du pays où les emplois semblent être abondants, mais il ya beaucoup plus de domaines où ils ne sont pas.
Par exemple, vous ne serez jamais capable de convaincre Tyler Moore, 23 ans, que le marché du travail est bon ...
Tyler Moore à la fin de Décembre drive à Louisville, Kentucky, était un de désespoir. Il était dirigé quatre heures à l'ouest sur l'Interstate 64 pour interviewer pour un travail. Même si il a atterri la position, remplissant son réservoir d'essence lui avait laissé avec 8 $ à son nom. Il devait dormir chez un ami jusqu'à ce qu'il puisse gagner assez pour payer le loyer.
Le joueur de 23 ans n'avait plus d'options. Il avait demandé des dizaines d'emplois dans une heure et demie de sa ville natale de Lovely, une fois un bastion de mine de charbon. Au lieu des occasions, il avait trouvé des listes d'attente.
«Les emplois à salaire minimum, les restaurants de restauration rapide, Wal-Mart, tout ça, beaucoup d'entre eux ont déjà été pris», explique-t-il dans un Applaquin, expliquant que l'arriéré était d'une année. Il n'y a pas d'emplois.
Si l'économie des États-Unis est en «bonne forme», pourquoi les gens comme Moore ne trouvent-ils pas un emploi ?
Oui, il y a un énorme optimisme sur les marchés financiers en ce moment et le marché boursier a été en plein essor.
Mais exactement les mêmes choses étaient vraies en 2007, et nous nous souvenons comment cela s'est avéré.
Il n'est pas possible que le S & P 500 continue de générer un rendement annuel de 18% sans croissance économique correspondante. Ce qui suit provient de David Stockman ...
Dans l'ensemble, le S & P 500 est maintenant à 3.4X son bas après la crise, ayant généré un rendement annuel de 18% (y compris les dividendes) pendant près de huit ans.
Certes, dans un marché libre honnête, ce fait serait un feu rouge clignotant, avertissant que des gains exceptionnellement élevés sur une période prolongée nécessitent une régression de la moyenne dans la période à venir.
Beaucoup de gens sont pris au piège en essayant de prédire exactement quand le marché boursier va s'écraser, mais ce que tout le monde devrait être en mesure d'accord, c'est qu'il va planter.
Il n'existe aucun moyen possible que les stocks peuvent rester à des niveaux ridiculement trop cher indéfiniment.
Tout au long de l'histoire, les stocks ont toujours reculé dans la direction des moyennes à long terme, et cette fois ne sera pas une exception.
Et tout comme la dernière fois, le début d'une nouvelle récession sera probablement accompagné d'une correction financière majeure.
RépondreSupprimerDans les articles récents, j'ai souligné certaines des raisons pour lesquelles il semble qu'une nouvelle récession est imminente ...
- Les recettes fiscales fédérales sont devenues négatives pour la première fois depuis la dernière récession.
- La croissance des emplois chez S & P 500 a été négative pour la toute première fois depuis la dernière récession.
- Le déficit commercial des États-Unis en 2016 était le plus important en quatre ans.
- Les normes de prêt se sont resserrées pour les moyennes et grandes entreprises pendant six trimestres consécutifs.
- Les normes de prêt sont également de renforcer pour les consommateurs.
- Nous venons de constater le plus fort recul de la semaine hebdomadaire moyenne depuis la récession de 2008.
- L'investissement intérieur privé privé est en baisse.
- Les faillites des consommateurs augmentent.
- Les faillites commerciales sont en hausse.
Tout cela n'est pas nécessairement une mauvaise nouvelle pour Trump.
Une horrible récession a commencé pendant les premières années de la présidence de Ronald Reagan, mais l'économie des États-Unis a tourné plus tard dans son premier mandat et cette dynamique a aidé à le propulser à une victoire facile en 1984.
De même, Trump pourrait réellement profiter du ralentissement économique à venir tant qu'il est en mesure d'épingler tous les blâme pour elle sur l'administration précédente.
S'il y a une chose qui est vraie au sujet des électeurs américains, c'est qu'ils ont tendance à se soucier de leur propre bien-être économique plus que toute autre chose.
Si vous en doutez, consultez les résultats d'un sondage récent de Fox News ...
Le dernier sondage Fox News demande également, ce qui définit le rêve américain aujourd'hui ? Au sommet, selon le sondage national publié mercredi, est «se retirer confortablement." Environ 88 % estiment qu'il est extrêmement ou très important de réaliser le rêve.
Ensuite, 76 % disent «qu'avoir une carrière réussie» est important. Cela est suivi par «l'élévation d'une famille» (74 %) et «faire une contribution précieuse» à leur communauté (74 %).
«Posséder une maison» est considéré comme une grande partie de la réalisation du rêve pour près de 7 sur 10 (69 %). Environ 6 sur 10 disent «diplôme collégial» (61 %) et «être mieux lotis» que leurs parents (57 %).
Pour la plupart des Américains, être «réussi dans la vie» se résume à combien d'argent ils ont.
Cela ne devrait pas être vrai, mais il est.
Et c'est finalement ce sur quoi Trump sera jugé.
Si l'économie s'améliore d'ici à 2020, les électeurs auront tendance à l'évaluer favorablement. Mais si l'économie chancelle pendant la prochaine campagne électorale, il sera plus difficile pour lui d'obtenir un second mandat.
Donc, ce que Trump et tous ceux qui soutiennent Trump devrait vouloir est pour la récession à venir de commencer et de fin aussi rapidement que possible.
RépondreSupprimerCependant, il y a aussi la possibilité que la prochaine récession peut être particulièrement mauvaise. Parce que nous sommes au milieu de la plus grande bulle d'endettement de l'histoire humaine, tout ralentissement majeur pourrait finalement spirale complètement hors de contrôle. En d'autres termes, nous sommes peut-être confrontés au genre de crise dont nous ne nous remettons jamais complètement.
Un expert qui met en garde contre un tel scénario est l'investisseur légendaire Jim Rogers ...
... préparez-vous parce que nous allons avoir les pires problèmes économiques que nous ayons eus au cours de votre vie ou de ma vie et quand cela arrive, beaucoup de gens vont disparaître.
En 2008 Bear Stearns a disparu, Bear Stearns avait été autour plus de 90 ans. Lehman Brothers a disparu. Lehman Brothers avait existé depuis plus de 150 ans. Longtemps, une longue et glorieuse histoire, ils ont traversé des guerres, la dépression, la guerre civile, ils ont traversé tout et pourtant ils disparaissent.
Donc la prochaine fois que ça va être pire que tout ce que nous avons vu et beaucoup d'institutions, de gens, d'entreprises, même de pays, certainement les gouvernements et peut-être même les pays vont disparaître. J'espère que vous vous inquiétez beaucoup.
Quand vous commencez à avoir des marchés baissiers comme vous, je suis sûr bien savoir qu'une mauvaise chose se produit et une autre chose mauvaise se produit et ces choses boule de neige juste comme dans les marchés bull bonne nouvelle sort alors plus de bonnes nouvelles sort la prochaine chose que vous savez que vous êtes Cinq ou six ou sept ans dans un marché haussier.
Les marchés baissiers font la même chose et nous avons donc beaucoup de mauvaises nouvelles à l'horizon. Je n'ai même pas eu la guerre. Je n'ai même pas eu à négocier la guerre ou quelque chose comme ça, mais vous savez que les choses vont mal.
Si elle est aussi mauvaise que Rogers le suggère, il ne serait pas trop longtemps avant que les conditions en Amérique commencent à ressembler à celles décrites dans mon roman.
Espérons que ce ne sera pas le cas.
Espérons que la prochaine récession commencera et se terminera aussi rapidement que possible et que l'économie des États-Unis connaîtra une croissance solide d'ici 2020.
Et si vous êtes un partisan Trump, ne soyez pas trop consterné si l'économie américaine tombe un ralentissement majeur en 2017. Comme je l'ai discuté ci-dessus, il pourrait effectivement être juste la chose que Trump doit préparer la voie à une autre victoire électorale en 2020 .
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/why-donald-trump-needs-the-next-recession-to-start-as-quickly-as-possible