Par István E. Markó,
le 21 avril 2015
Coup de gueule d’István Markó, le directeur scientifique de Climat : 15 vérités qui dérangent, à propos des affirmations sur le gazcarbonique et le réchauffement climatique sans cesse répétées dans les médias. Professeur de chimie organique, il sait de quoi il parle.
Non, non, non et non ! Je le répète et le répéterai sans cesse : le gazcarbonique n’est ni un poison, ni un polluant ! Il ne l’a jamais été et il ne le sera jamais !
Malgré les nombreuses campagnes de désinformation, menées par des ONG environnementalistes sans scrupule, qui n’hésitent pas à endoctriner nos jeunes têtes blondes dès le début de leurs études, en dépit des accusations médiatiques injustes relayées par certains journalistes trop occupés pour vérifier leurs sources les plus fondamentales ou déjà acquis à « la cause », et nonobstant sa condamnation par certains politiciens dogmatiques et aux connaissances scientifiques hésitantes, le gazcarbonique est et reste ce qu’il a toujours été : l’une des molécules les plus importantes de la vie !
Pas de gazcarbonique et pas de vie sur Terre telle que nous la connaissons.
Le gazcarbonique, c’est avant tout « la nourriture » des plantes. C’est leur aliment de base. La photosynthèse, cette merveilleuse transformation que les plantes ont appris à maîtriser, utilise la lumière du soleil et le gazcarbonique pour fabriquer sucres, cellulose et amidon et donner vie à nos végétaux. Pas de gazcarbonique, pas de plantes et donc pas d’herbivores, ni de carnivores, ni… d’humains. Le gazcarbonique est vraiment source de vie ! Nous savons aujourd’hui que nos végétaux sont affamés en gazcarbonique. De nombreux scientifiques ont montré que la quantité de gazcarbonique dans l’air était plus importante auparavant et que nos plantes souffrent d’un manque chronique de gaz carbonique. Elles ont faim. Tous ceux qui cultivent dans une serre botanique industrielle savent très bien que la quantité de gazcarbonique à l’intérieur de la serre est environ trois fois plus élevée (1100 à 1200 ppmv) que celle présente dans l’atmosphère que nous respirons (un peu moins de 400 ppmv en 2015). Dans ces conditions, les végétaux poussent plus vite, sont plus robustes, apprécient une température plus élevée et consomment moins d’eau.
Cette dernière propriété explique aussi pourquoi, depuis plus de 30 ans, on observe un verdissement de la planète de plus de 20%. Oui, vous lisez bien ! Il y a 20% de verdure en plus sur Terre aujourd’hui qu’il n’y en avait il y a trente ans. Malgré la déforestation continue – qui n’est une réalité qu’en certains endroits de la planète – et l’action des hommes, les plantes poussent plus vite et en plus grand nombre car elles ont enfin davantage de nourriture. L’un des résultats les plus visibles (par satellite) de ces conditions favorables à la croissance des plantes est le recul de certains déserts, dont celui du Sahel. L’autre est l’augmentation constante de la production mondiale de céréales pour lesquelles une hausse du taux de gazcarbonique atmosphérique est un formidable bonus. Une belle gifle pour ceux qui veulent diminuer la quantité de gazcarbonique présent dans l’atmosphère. La Nature nous donne un tout autre message : encore du gazcarbonique ! Plus de gazcarbonique !
Pour vivre, la plupart des animaux, en ce compris les humains, ont besoin d’oxygène. Celui-ci est produit notamment par les arbres et les végétaux, mais en quantités relativement faibles. La majorité de l’oxygène que nous respirons provient du phytoplancton. Ces minuscules organismes marins utilisent la lumière du soleil et le gazcarbonique atmosphérique pour se nourrir. Ils rejettent en même temps d’importantes quantités d’oxygène. Plus de 75% de l’oxygène présent dans l’atmosphère provient de ce phytoplancton et donc, du gazcarbonique qu’ils utilisent ! Pas de gazcarbonique, pas de phytoplancton et donc pas assez d’oxygène pour vivre ! À l’inverse de ce que l’on tente d’imprimer dans nos esprits depuis des lustres, les forêts ne sont pas les « poumons » de la Terre, à peine quelques petites alvéoles pulmonaires. Les vrais poumons, ce sont les phytoplanctons !
Malgré toutes ces qualités vitales à notre survie, le gazcarbonique est devenu la bête noire des climatologues alarmistes du GIEC (Groupement Intergouvernemental pour l’Étude du Climat) et des ONG environnementalistes qui accusent le gazcarbonique produit par l’Homme (uniquement celui-là, bien sûr) d’être responsable de l’augmentation de la « température moyenne » de notre globe depuis le début de l’ère industrielle. Le gazcarbonique est un gaz à « effet de serre » dont la puissance phénoménale de réchauffement est égale à… 1 ! La vapeur d’eau est 10 fois plus puissante et certains fréons plus de 10.000 fois !
Le problème de cette théorie fumeuse est que depuis plus de 18 ans, la « température moyenne » de notre terre n’a pas augmenté d’un iota ! Durant cette période, plus d’un tiers du gazcarbonique total émis depuis le début de l’ère industrielle a été relâché dans l’atmosphère. Si ce gaz était vraiment responsable d’un quelconque réchauffement climatique anthropique, on s’attendrait à tout le moins à observer une hausse vigoureuse des températures. Rien de tout cela ne se produit. Nada. Comme le disait le grand physicien Richard Feynman : « Lorsque votre théorie, aussi belle et géniale soit-elle, est invalidée par l’expérience, c’est qu’elle est fausse. Il faut s’en débarrasser et en formuler une meilleure. » Exit la théorie du GIEC sur le gazcarbonique. Exit le GIEC aussi ? La vraie question reste cependant : pourquoi le GIEC, l’ONU, de nombreuses ONG, certains politiciens, de grandes compagnies électriques et d’autres veulent-elles à tout prix la peau du gazcarbonique anthropique ? La raison est double : politique et financière (pour changer).
Politique parce que de nombreuses organisations, dont l’ONU, ont trouvé dans la lutte contre le changement climatique et donc contre le gazcarbonique un thème unifiant qui leur ouvre la possibilité d’une gouvernance mondiale à laquelle elles aspirent depuis plusieurs générations. Le gazcarbonique est un problème mondial qui ne peut être résolu que par une action mondiale et qui mieux qu’un gouvernement mondial pourrait y pourvoir ? Le document qui sera discuté au prochain sommet du climat à Paris en décembre 2015 n’est rien de moins qu’un pas gigantesque en ce sens. On y trouve même la volonté d’instaurer un tribunal climatique mondial. À quand le rationnement du nombre de respirations quotidiennes par humain ?
Politique parce que certaines élites occidentales ne veulent pas que les pays émergents quittent leur état de pauvreté et de dépendance actuelles. Ils risqueraient de devenir de nouvelles puissances et leur feraient de l’ombre, voire relègueraient leurs rêves idéologiques à l’arrière-plan. Quel meilleur moyen de ralentir leur développement économique et technologique que de leur proposer d’investir dans la sauvegarde de notre terre commune en utilisant directement des énergies renouvelables et en appliquant les principes du développement durable ? Moyennant finances, bien entendu, via des transferts directs de richesse consentis par les pays « riches ». Ainsi, on maintient les pays émergents dans leur état actuel de précarité, voire on l’accentue, tout en condamnant les pays « riches » à s’appauvrir (le dernier rapport du GIEC préconise expressément la « décroissance », ce concept « scientifique » bien connu, pour les pays riches). Malthus serait fier de ses enfants !
Financier parce que la gigantesque arnaque du développement durable et de son corollaire, les énergies renouvelables, repose exclusivement sur la peur générée dans le grand public – et continuellement maintenue à grand renfort de publicité dans tous les médias – du réchauffement climatique dû au gazcarbonique produit par l’Homme. C’est cette crainte soigneusement entretenue qui permet aux gouvernements de créer de nouveaux impôts « verts », de financer avec l’argent du contribuable des éoliennes inutiles et d’investir dans des énergies renouvelables aussi ridicules que superflues, emplissant ainsi les poches de certains industriels peu scrupuleux, voire mafieux, avec l’argent des honnêtes citoyens. Quant aux ONG, elles reçoivent maintes subventions pour maintenir cette peur dans l’esprit du public.
La chasse au gazcarbonique n’a évidemment rien à voir avec son misérable « effet de serre », ni avec un quelconque réchauffement de la planète. Tout cela n’est que politique nauséabonde et combines financières en tous genres. Qui sont les perdants ? Les pauvres des pays riches. Qui sont les gagnants ? Les riches des pays pauvres. Sans l’imaginaire toxicité du gazcarbonique et de ses effets néfastes sur l’environnement, toute cette gigantesque supercherie se dégonflerait comme une baudruche percée. Tant d’intérêts sont cependant en jeu que leurs bénéficiaires ont certainement prévu de larges quantités de rustines pour colmater les fuites et maintenir en l’air aussi longtemps que possible ce claudiquant attelage.
Trump Slams 'Fake News' ment que l'immigration massive de la Suède "se débrouille juste magnifiquement"
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Feb 20, 2017 9:31 AM
Après avoir clarifié ses commentaires concernant la Suède au cours du week-end, le président Trump a pris Twitter pour tenter d'arrêter l'inondation inévitable et l'ignorance des grands médias sur le désastre de l'immigration suédoise ...
N'importe qui - médiatique ou politicien - prétendant que le peuple suédois n'est qu'un ardent défenseur des décisions d'immigration du gouvernement est soit menteur, soit délirant. Au cours de la dernière année, nous avons détaillé les problèmes de l'utopie scandinave à de nombreuses reprises:
- Nov 2015 - Suède: "Pas d'appartements, pas d'emplois, pas de shopping sans arme"
- Février 2016 - "Il est définitivement quelque chose d'étrange en cours" En Suède
- Mai 2016 - L'épidémie de viol des migrants en Suède expliquée
- Fév 2017 - Le policier suédois publie l'épopée de Facebook sur le crime d'immigrant; Incendie la tempête de foudre à l'échelle nationale
Ou demandez à cet équipage '60 Minutes 'comment tout est fantastique ...
Ainsi, comme HeatSt.com rapports, le président Trump avait raison sur la Suède après tout ...
Le président Donald Trump a fait l'objet de moqueries dimanche après avoir prononcé un discours en Floride dans lequel il a parlé d'un incident «la nuit dernière en Suède» - mais il semble avoir fait allusion à un reportage réel et précis, techniquement vivre ou briser.
Dès que les mots ont volé de la bouche de Trump, les médias sociaux ont commencé à bourdonner avec des blagues au sujet de sa «fausse nouvelle» histoire au sujet d'une attaque de migrants dans le pays scandinave historique. Le hashtag, #lastnightinSweden a apparu, avertissant le monde que la Suède pourrait comploter une prise de contrôle, avec son hareng décapé et ses meubles bon marché de do-it-yourself (voir notre article relatif sur IKEA Israël!).
Même Chelsea Clinton, dont la mère a fait la fameuse histoire d'être fusillée par des tireurs d'élite alors qu'elle montait à bord d'un avion en Bosnie, a participé à l'action.
Trump a également réussi à déconcerter la Suède elle-même, qui a répondu en demandant à l'administration Trump pour toute information intérieure qu'ils pourraient avoir sur une récente attaque dans leur pays.
Mais Trump n'a peut-être pas eu tort - du moins en termes de sujet. Vendredi soir, l'animateur de Fox News Tucker Carlson a interviewé le documentaire Ami Horowitz au sujet de son prochain film sur la violence impliquant des migrants en Suède. Horowitz affirme que le gouvernement suédois minimise la montée de la violence qui a suivi une vague de migration de réfugiés dans le pays.
Pendant le segment, Carlson a montré des clips contemporains du documentaire.
RépondreSupprimerTrump a dit qu'il obtient la plupart de ses informations de regarder la télévision, principalement Fox News et d'autres réseaux de nouvelles par câble de 24 heures. Il n'est donc pas surprenant que l'histoire de la Suède à laquelle il a fait allusion soit issue d'un programme d'actualités de grande diffusion très populaire.
Les critiques de Trump sur Twitter l'interprétaient trop littéralement.
Pour ce qui est de la Suède, le film d'Ami Horowitz montre un pays profondément démenté au sujet du problème croissant de la violence des migrants - y compris une forte hausse du viol au cours des cinq dernières années. Horowitz affirme que l'augmentation est corrélée directement au programme suédois d'acceptation des réfugiés; Le pays a accueilli plus de 190 000 immigrants musulmans dans le même laps de temps.
La Suède, dit Horowitz, cache la vérité sur sa situation et les Suédois veulent que leur pays s'adapte aux migrants, plutôt que d'exiger que les migrants s'adaptent à la Suède.
http://www.zerohedge.com/news/2017-02-20/trump-slams-fake-news-lies-swedens-mass-immigration-working-out-just-beautifully
Pareillement qu'il y a aussi un gros doute sur le nombre réel d'habitants d'un pays !
SupprimerBill Gates adopte "Tax The Robots" Idiot socialiste: Quatre questions pour l'homme le plus riche du monde
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Feb 20, 2017 10:32
Soumis par Michael Shedlock via MishTalk.com,
Je ne suis pas sûr de savoir qui a eu l'idée d'imposer des robots, mais la proposition a été adoptée par le milieu universitaire, les socialistes et, en général, la gauche radicale.
Aujourd'hui, l'entrepreneur Bill Gates, fondateur de Microsoft, a approuvé l'idée.
Qu'est-ce que Gates veut faire avec l'argent recueilli ? Voici la réponse: Rincez-la dans les toilettes.
Dans une interview Quartz, Bill Gates propose Le robot qui prend votre travail devrait payer des impôts.
Les robots prennent des emplois. Mais Bill Gates croit que les gouvernements devraient taxer l'utilisation des entreprises, afin de ralentir au moins temporairement la diffusion de l'automatisation et de financer d'autres types d'emplois. C'est une position frappante de l'homme le plus riche du monde et un soi-disant techno-optimiste qui a cofondé Microsoft, l'un des principaux acteurs de la technologie de l'intelligence artificielle.
Dans une interview récente avec Quartz, Gates a dit qu'une taxe robot pourrait financer des emplois en prenant soin de personnes âgées ou en travaillant avec des enfants dans des écoles, pour lesquelles les besoins sont non satisfaits et auxquels les humains sont particulièrement bien adaptés. Il soutient que les gouvernements doivent surveiller ces programmes plutôt que de se fier aux entreprises, afin de réorienter les emplois pour aider les personnes à faible revenu. L'idée n'est pas totalement théorique: les législateurs européens ont envisagé une proposition visant à taxer les propriétaires de robots à payer pour la formation des travailleurs qui perdent leur emploi, bien que le 16 février les législateurs l'aient finalement rejetée.
"Vous devriez être prêt à relever le niveau d'imposition et même ralentir la vitesse" de l'automatisation, Gates argue.
Quartz: Que pensez-vous d'une taxe robot ? C'est l'idée que, pour générer des fonds pour la formation des travailleurs, dans des domaines tels que la fabrication, qui sont déplacés par l'automatisation, une chose concrète que les gouvernements pourraient faire est d'imposer l'installation d'un robot dans une usine, par exemple.
Bill Gates: Il y aura certainement des impôts qui concernent l'automatisation. À l'heure actuelle, le travailleur humain qui fait 50 000 $ de travail dans une usine, ce revenu est taxé et vous obtenez l'impôt sur le revenu, la sécurité sociale, toutes ces choses. Si un robot arrive à faire la même chose, on pourrait penser que nous imposerions le robot à un niveau similaire.
Fortune sur Robot Tax
Fortune discute de la proposition dans Bill Gates dit Robots doivent être taxés comme les travailleurs.
L'idée de ce qui équivaut à une taxe sur l'efficacité semblerait anathème à beaucoup de sagesse économique conventionnelle. Depuis des décennies, la tendance dominante à l'automatisation est que les travailleurs déplacés se déplacent vers des rôles plus productifs, ce qui augmente l'économie totale.
Mais cette thèse a commencé à montrer des fissures - comme dit Gates, «les gens disent que l'arrivée de ce robot est une perte nette», exigeant un engagement plus actif avec le recyclage d'emploi et d'autres programmes qui ciblent les communautés touchées.
RépondreSupprimerTandis que Gates résout résolument en faveur du rôle du gouvernement dans la gestion des impacts de l'automatisation, il offre deux points qui devraient être au moins un peu contraignante pour les marketeurs libres.
D'abord, selon Gates, l'impact de la robotique et de l'intelligence artificielle au cours des 20 prochaines années sera une version beaucoup plus concentrée du déplacement constant et progressif qui était courant tout au long du XXe siècle. Le marché à lui seul ne sera pas en mesure de faire face à la vitesse de cette transition - et, comme le suggère Gates, une grande partie des possibilités de mettre la main-d'œuvre libre à une meilleure utilisation sera dans le secteur public.
Deuxièmement, et probablement encore plus important, Gates dit que l'automatisation ne sera pas autorisée à prospérer si le public s'y oppose.
Taxe sur l'efficience
Bonne douleur. Il est difficile de savoir par où commencer à réfuter cette idiotie. Mais l'article soulève une importante construction concernant une taxe sur l'efficience.
Quatre questions pour Gates
Conserver les travailleurs pour faire quoi ?
Comment le gouvernement, Bill Gates, ou quelqu'un d'autre connaîtra-t-il le bon champ de recyclage ?
Comment le gouvernement ou quelqu'un d'autre connaîtra-t-il le nombre de personnes nécessaires ?
Qui paie la taxe robot ?
Personne ne peut répondre aux trois premières questions, avec précision. Mais je peux répondre à la quatrième.
Les robots ne paieront jamais d'impôt. Et si les propriétaires de robots doivent payer une taxe, ils devront augmenter les prix en conséquence.
Ce que dit Gates
Trop d'efficacité est une mauvaise chose.
L'argent qui achète plus de biens et de services est une mauvaise chose.
Le gouvernement sait mieux ce qu'il faut faire avec votre argent que vous.
En fin de compte, les consommateurs paieront 100% de toute taxe robot.
Plus précisément, les consommateurs paieront bien plus de 100% de tout recouvrement fiscal du robot, car les bureaucrates du gouvernement perdront au moins 50% de la somme collectée tout en déployant des fonds dans les zones défectueuses ou en surpassant les contrats attribués.
Pensée compliquée
Curieusement, Gates soutient que nous devons taxer l'efficacité au point où elle n'est plus efficace ou l'efficacité mourra de son propre chef parce que «l'automatisation ne sera pas autorisée à prospérer si le public s'y oppose».
http://www.zerohedge.com/news/2017-02-20/bill-gates-embraces-tax-robots-socialist-idiocy-four-questions-worlds-richest-man
Retour préconisé de la vignette sur les voiture ? Pourquoi ne pas taxer les entreprises qui embauchent des humains qui volent (l'huile de coude) le travail aux robots ?
SupprimerParis et l'Ile-de-France ont perdu 1,5 million de touristes en 2016
RépondreSupprimer21 févr. 2017, 06:07 - Avec AFP
Selon le Comité régional du Tourisme, la région Paris Ile-de-France a perdu 1,5 million de touristes en 2016 en raison de la vague d'attentats qui a frappé le pays. Les visiteurs chinois et japonais ont notamment fait défaut.
Dans la matinée du 21 février, le Comité régional du Tourisme a publié un rapport selon lequel, avec près de 31 millions d'arrivées hôtelières au cours de l'année 2016, la fréquentation touristique de la destination Paris Ile-de-France était en baisse de 4,7% et même de 8,8% s'agissant des seuls étrangers par rapport à 2015.
En comptabilisant les nuitées hôtelières (le nombre de nuits passées) - et non pas les arrivées hôtelières (comptées une seule fois quelle que soit la durée du séjour) - la baisse en un an atteint 7,2%, et même 10,8% dans le cas des visiteurs étrangers.
Les statistiques concernant les origines des touristes indiquent qu'en 2016 la France a perdu 21,5% de Chinois, soit 268 000 visiteurs, 41,2% de Japonais, soit 225 000 touristes, 26,1% d'Italiens, soit 215 000 touristes, et 27,6% de Russes, soit 65 000 touristes.
Les Américains se sont montrés moins frileux : le recul de leur fréquentation de l'Hexagone n'a diminué que de 4,9% soit 100 000 personnes.
Lire aussi : Cocorico ! La France reste la première destination touristique mondiale
«Au total, les hôteliers ont ainsi accueilli 1,5 million de touristes français et internationaux en moins par rapport à 2015, soit une baisse moins importante que prévue», a estimé le Comité régional du Tourisme.
https://francais.rt.com/france/34270-paris-idf-ont-perdu-million-et-demi-touristes-2016
On aurait préféré:
Supprimer'Paris et l'Ile-de-France ont perdu 1,5 million d'immigrés en 2016'.
La vérité est ailleurs : quand Florian Philippot qualifie l'AFP de «fake news»
RépondreSupprimer20 févr. 2017, 21:46
A bien des égards, la vie politique française est influencée par ce qui se passe outre-atlantique. Dernière invention des médias mainstream, la notion controversée de «fake news» s'installe dans le débat politique. Contre les médias eux-mêmes
Décidément, la campagne présidentielle tout comme la société française semblent sous influence américaine. Dans le sillage de Donald Trump, qui a retourné l'expression de «fake news» contre les médias mainstreams américains qui l'avaient inventée, afin de lutter contre la concurrence des réseaux sociaux et des sites d'information alternatifs, c'est Florian Philippot qui s'en saisit à son tour.
Echaudé par une infographie de l'AFP intitulée L’essentiel des programmes des principaux candidats, le vice-président du Front national (FN), la jugeant trompeuse et ne reflétant pas assez fidèlement les propositions de son parti, a posté un tweet accusateur : «Sinon, pour savoir vraiment ce que nous proposons : Marine2017.fr rubrique "Projet" Directement à la source. Plus fiable que les Fake News».
Ce n'est d'ailleurs pas la première fois que le FN se saisit de cette arme pour la retourner contre les médias. Le 25 janvier 2017, Marine Le Pen avait déjà recadré un journaliste d'Europe 1 sur la question du SMIC, jugeant qu'il ne présentait pas le programme du FN de façon correcte : «C’est grave car les Français ne peuvent pas prendre des décisions si on leur donne des fausses informations. Des "fake news", comme on dit maintenant», avait elle lancé.
Le récit que font les médias des démêlés des eurodéputés du FN avec l'Organisme de lutte antifraude européen, l'Olaf, n'a pas plu non plus au Front national.
Le phénomène des «fake news» a en effet pris son essor très récemment : au lendemain de l'élection de Donald Trump. La plupart des médias mainstream, qui soutenaient Hillary Clinton, ont mis en cause les électeurs eux-mêmes pour expliquer la défaite imprévue de leur favorite, les accusant d'avoir mal voté.
Par la suite, une fois la sidération passée, une explication moins stigmatisante a émergé, plus rationnelle : les électeurs américains ont mal voté parce qu'ils ont été mal informés. Sur la base de ce postulat, les initiatives des médias historiques se multiplient, à l'instar du «Decodex» lancé par Le Monde, associant même les géants d'internet tels que Google ou Facebook dont l'objectif est de conserveur leur monopole sur l'information.
Le 27 février 2017, aboutissement de cette réflexion, le site Crosscheck devrait être en ligne et opérationnel. La plateforme se présente comme un vérificateur d'infos. Parmi les partenaires : Libération, Le Monde, mais aussi... l'AFP.
Alors que l'expression «fake news» fait florès, il n'est pas à exclure qu'elle échappe en France à ses créateurs – les médias – comme cela s'est produit aux Etats-Unis, où CNN est constamment accusée de propager de fausses informations.
RépondreSupprimerLire aussi : «Fake news» : les médias mainstream français s'allient avec Google et Facebook pour cadrer l'info
https://francais.rt.com/france/34264-florian-philippot-afp-fake-news
La seule liberté dans la presse est celle qui n'en fait pas partie.
SupprimerReporting Décembre 2016 – Le secret pour devenir libre !
RépondreSupprimerTanguy CARADEC
lundi, 20 février 2017 16:54
Quel est le secret pour devenir libre financièrement ?
Avant d’y venir, laissez moi vous souhaitez une très bonne année 2017 à vous et à vos proches. Ce secret, c’est mon cadeau pour cette nouvelle année. C’est lui qui m’a permis de radicalement changer de vie il y a 5 ans.
Le mois dernier, je vous parlais de l’importance de savoir sortir du troupeau ! Cela a été un ingrédient fondamental de mes progrès depuis 5 ans sur le chemin pour devenir libre financièrement. Cela m’a permis de remettre en cause le statu quo et de réfléchir au lieu d’être dans l’imitation de mes proches. Mais je n’ai pas toujours été comme cela. Ce n’est pas un gène que l’on a a la naissance (en tout cas pas en ce qui me concerne). Cela a plutôt été une compétence, que je continue à cultiver.
Lorsque j’ai commencé à investir en 2011 dans l’immobilier aux USA, je ne l’ai pas fait pour être différent. Je l’ai fait car c’était pour moi le meilleur moyen de faire travailler mon argent. Et que j’avais un brûlant désir de mettre en place des revenus alternatifs à mon travail salarié.
Voila le vrai secret pour devenir libre. Ce qui s’est joué à ce moment de ma vie, c’est le désir de devenir libre, de ne plus dépendre d’une entreprise capable de supprimer votre job du jour au lendemain.
Alors que nous commençons une nouvelle année, je vous souhaite de prendre la résolution ferme et définitive d’avancer sur le chemin de la liberté financière. Car c’est cette résolution, ce désir brûlant, qui sera le socle de toutes vos actions à venir. Et qui sait ou cela vous mènera ? Dans mon cas, cela m’a permis en autres d’acquérir 5 maisons aux USA
de me former à l’investissement à la valeur en bourse (et de ne plus faire de bourse « casino ») de comprendre les cycles de l’investissement de surmonter ma peur et de lancer le blog que vous êtes en train de lire.
Cette logique peut s’appliquer d’ailleurs à d’autres domaines de votre vie (santé, sport,..)
Prenez cette résolution de devenir libre et mettez en place chaque jour des actions pour vous en rapprocher.
Et parfois elles sont plus simples que de se lancer dans le blogging. Par exemple, ouvrir un PEA ne prends que quelques minutes, j’y reviendrai…
Pour vous donner deux exemples personnels:
Nous avons mis en location notre résidence principale sur AirBnB. sur quelques périodes de temps ou la maison était vide. 3 locations plus tard, nous avons gagné plus de 1,300 euros.
Cette année j’ai mis en location mon parking et choisit de garer ma voiture dans la rue. 1 annonce sur le bon coin et quelques jours plus tard, un locataire était trouvé et je touche 125 euros supplémentaires tous les mois, soit 1500 euros par an.
Je ne dis pas cela pour faire de l’étalage mais juste pour vous montrer qu’il est possible, même à un modeste niveau, de se créer des revenus passifs à celui qui le souhaite ardemment. C’est ce que je vous souhaite pour 2017 !
RépondreSupprimerNous n’avons pas encore essayé la location de notre voiture mais sachez que c’est possible également. J’ai ainsi loué un van à un particulier qui lui a permis de gagner 400 euros pour une semaine de location.
FAITS MARQUANTS DE DECEMBRE 2016 – Toujours plus haut !
Côté marché, la bourse américaine a terminé l’année en fanfare et dépassé ses plus hauts niveaux historiques. Le Warren Buffet ratio est de 126% soit le ratio de mars 1999, seulement 12 mois avant l’explosion de la bulle internet (mars 2000). L’élection de Donald Trump a propulsé les indices boursiers vers des sommets en un temps très court. Bien qu’il soit impossible de prédire l’avenir (et donc l’évolution des cours de bourse), le bon sens recommande de se préparer à la possibilité d’une chute forte des indices (tout en sachant qu’elle pourrait ne pas se produire tout de suite)
Devenir libre: danger sur les indices boursiers
J’ai soldé ma ligne Avanquest, avec une plus-value de 30% en quelques mois seulement (coup de chance, il en faut aussi !)
J’ai pris des bénéfices sur 2 autres valeurs dont l’une est en hausse de 30% et l’autre de 50%
Suite à ces récentes prises de bénéfices sur ces 3 valeurs analysées par l’Investisseur Français , mon PEA n’aura jamais été aussi liquide avec 43% de cash. Ce qui me va bien au regard du risque élevé de krack boursier.
PORTEFEUILLE
Le portefeuille est toujours majoritairement investi (59%) en immobilier US. Je suis propriétaire de 5 maisons. Sur Décembre le cash flow est de -2157 USD en raisons de travaux et du paiement des impôts locaux. Comme on me pose régulièrement la question, je reçois mes loyers nets en dollars sur un compte Bank of America.
Les actions sont le 2e poste le plus important (18%). J’investis dans la valeur en suivant les excellentes analyses de l’Investisseur Français.
- voir graphique sur site -
Le portefeuille baisse 7% (et reperd donc la hausse de 10 % du mois de novembre) Encore une fois, l’évolution a été contrastée avec une poursuite de la baisse de SEARS qui est carrément passée sous les 10 dollars. C’est dur de tenir psychologiquement cette position mais je me rappelle ce que disait Peter Lynch dans son livre Et si vous en saviez assez pour investir en bourse. Il parlait d’une action qui avait vu son cours divisé par 4. Alors jeune analyste chez Magellan, il ne comprenait pas cette baisse. Après avoir refait ces calculs de valeur de la société, il décida de conserver et finalement l’action a rebondi. Dans le cas de SEARS, je souhaite ne pas me tromper, mais il est dur de ne pas valoriser le plus grand parc d’immobilier commercial aux USA (que détient SEARS) à moins de 10 milliards de dollars. Avec une capitalisation actuelle de moins d’ 1 milliard de dollars. Souhaitons que l’année 2017 voit un changement de tendance. Je peux par contre me reprocher d’avoir fait de SEARS ma première position (et de très loin). Ce ‘all in’ comme disent les joueurs de poker aura été une grosse erreur et je m’attache à présent à ne refaire cette erreur.
RépondreSupprimerA l’opposé, une forte hausse du PEA de 6% sur le mois soit un progression cumulée de 242% depuis juin 2014, avec deux belles success story en 2016 Plastivoire et les Nouveaux Constructeurs
- voir graphique sur site -
Le cash disponible remonte logiquement à 11% suite à mes prises de bénéfices.
L’or et l’argent représentent 12% de mon patrimoine. Je détiens l’or et l’argent via les sites aucoffre.com et goldmoney.com.
CE QUE J’AI APPRIS – Mes lectures
Le livre Tout le monde n’a pas eu la chance de rater ses études d’Olivier Roland, très intéressant pour les blogueurs car son auteur est une référence du blogging mais également pour les adeptes de l’entrepreneuriat et du développement personnel. Je ne l’ai pas encore fini, mais ce que j’ai lu vaut déjà son pesant de cacahuètes.
Le livre The rise of Charles Ponzi, par Charles Ponzi. L’histoire du fameux inventeur du schéma d’escroquerie qui porte son nom. Bien que l’auteur soit un escroc assumé, ce livre contient quelques perles de psychologie humaine. En voici une que j’ai résumé pour vous.
Un jour une dame vient avec un policier pour retirer son argent, soupçonnant (à raison) une fraude. Charles Ponzi s’exécute et la dame a un moment de regret. Elle demande à garder son argent investi (il faut dire que Ponzi paye un intérêt de 50% en 90 jours) ce qui ne manque pas d’énerver le policier qui comprend qu’il a perdu son temps. Ponzi refuse en déclarant qu’il ne peut accepter d’argent de gens qui ne lui font pas confiance. Et le policier de conclure que ce Ponzi est décidément un honnête homme…
RépondreSupprimerPROCHAINES ÉTAPES
Je vais consacrer les prochains jours à préparer mes objectifs pour l’année 2017 avec en tête de conserver les bonnes habitudes acquises et d’en acquérir de nouvelles !
Je reviendrais dans un prochain article sur l’année 2016, ce qui a bien fonctionné et à l’inverse mes erreurs (et il y en a eu plusieurs) ! Je vous dirais également comment je compte investir mon argent en 2017 alors restez connecté
Une surprise arrivera sur la chaine Youtube courant janvier, j’ai profité de ma semaine de Noël à Londres pour aller interviewer un investisseur immobilier qui cartonne.
Bons investissements
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La faim, arme politique pour dominer et tuer les plus faibles de cette planète
RépondreSupprimerBruno Guigue
Mondialisation Canada
lun., 20 fév. 2017 20:02 UTC
Si on voulait vraiment la preuve que la faim n'est pas un accident climatique ou je ne sais quelle fatalité qui pèserait sur des contrées abandonnées des dieux, il suffirait de regarder la carte des famines à venir. Dressée par l'économiste en chef du Programme alimentaire mondial, Arif Husain, cette carte est édifiante. Selon lui, 20 millions de personnes risquent de mourir de faim dans quatre pays au cours des six prochains mois : le Yémen, le Nigéria, le Sud-Soudan et la Somalie (http://ici.radio-canada.ca/nouvelle...).
La faim
Or la cause majeure de cette insécurité alimentaire est politique. Quand elle n'a pas directement provoqué le chaos générateur du non-développement ou la rupture des approvisionnements, l'intervention étrangère a jeté de l'huile sur le feu. La guerre civile et le terrorisme y ont ruiné les structures étatiques, banalisant une violence endémique et provoquant l'exode des populations.
Au Yémen, les bombardements saoudiens, depuis mars 2015, ont généré un désastre humanitaire sans précédent. L'ONU s'alarme de la situation, mais c'est une résolution du conseil de sécurité qui a autorisé l'intervention militaire étrangère !
La fermeture de l'aéroport de Sanaa et l'embargo infligé par la coalition internationale ont privé la population de médicaments.
Les stocks de blé baissent à vue d'œil. Les banques étrangères refusent les transactions financières avec les établissements locaux. 14 millions de personnes, soit 80 % de la population, ont besoin d'aide alimentaire, dont 2 millions sont en état d'urgence. 400 000 enfants souffrent de malnutrition. Jugée coupable de soutenir le mouvement houthi, la population yéménite est condamnée à mort. En fournissant son arsenal à Riyad, les puissances occidentales participent à ce crime de masse.
Au Nigéria, la situation chaotique dans laquelle est plongé le nord-est du pays gangrène toute la région. Des millions de personnes, fuyant les violences du groupe Boko Haram, s'entassent dans des camps de réfugiés. Totalement dépendants de l'aide humanitaire, ces populations « survivent par 50 °C, dans des huttes au toit de tôle, avec un point d'eau, des cuisines communes et un repas par jour », explique Arif Husain. Alimenté par la propagande saoudienne, le terrorisme défie aujourd'hui cet Etat, le plus peuplé du continent, qui comptera 440 millions d'habitants en 2050. Depuis la calamiteuse destruction de la Libye par l'OTAN, l'Afrique sub-saharienne est devenue le terrain de chasse préféré des djihadistes. La famine qui s'annonce est la conséquence directe de cette déstabilisation.
Au Sud-Soudan, la proclamation de l'indépendance, en 2011, a débouché sur une guerre civile où deux camps rivaux se disputent le contrôle des richesses énergétiques. Cet Etat sécessionniste, fragmenté, enclavé, coupé du nord auquel l'opposa une interminable guerre civile, est le fruit de la stratégie américaine. Cette création artificielle visait à contrecarrer l'influence du Soudan, inscrit de longue date sur la liste des « rogue states ». Porté sur les fonts baptismaux par Washington, qui a armé la guérilla sécessionniste de John Garang pendant 20 ans, le Sud-Soudan est aujourd'hui un champ de ruines.
RépondreSupprimerDepuis décembre 2013, plusieurs dizaines de milliers de personnes ont été tuées. 2,5 millions ont fui leurs foyers et près de 5 millions font face à une insécurité alimentaire « sans précédent », selon l'ONU. Pour les réclamations, prière de s'adresser aux néo-cons de Washington.
En Somalie, les aléas climatiques font peser la menace d'un nouveau désastre alimentaire. En 2011, la terrible famine consécutive à la sécheresse avait fait 260 000 morts. Cette vulnérabilité de l'agriculture vivrière reflète l'état de non-développement du pays, écartelé en une dizaine d'entités politiques rivales. Le règne sanglant des seigneurs de la guerre locaux, les interventions militaires étrangères (USA, Ethiopie, Kenya), l'influence croissante, sur fond de décomposition politique, de l'organisation islamiste radicale Al-Shabab, ont donné à ce pays l'indice de développement humain le plus faible de la planète. Depuis l'effondrement du régime marxiste de Syaad Barré en 1991, les structures étatiques se sont évanouies. L'économie est exsangue, le système éducatif délabré. La hausse des prix des denrées et la chute des revenus, aujourd'hui, font redouter le pire.
D'autres zones de tensions, hélas, suscitent l'inquiétude. Les conflits en cours en Syrie, en Irak, en Afghanistan, en Ukraine, en Libye, au Zimbabwe, bouleversent les conditions de vie et génèrent des flux migratoires. Certains pays, enfin, vivent dans une insécurité alimentaire chronique : la République démocratique du Congo, la République centrafricaine, le Burundi, le Mali, le Niger. Ce n'est pas un hasard si la plupart de ces pays sont en proie à la guerre civile, au terrorisme et à l'intervention militaire étrangère. Le désordre qui y sévit est d'abord de nature politique et géopolitique. Loin d'être une fatalité, il résulte de causes endogènes et exogènes identifiables. La famine ne tombe pas sur les damnés de la terre comme frappe la foudre. C'est l'arme des puissants pour écraser les faibles.
-- Commentaire : Que dire devant cette honteuse situation ? Les famines ont toujours été un moyen de conquête pour les empires, et elles ont été utilisées comme arme de guerre, aussi efficaces que des bombes. Les empires continuent à se servir de la famine pour contrôler, abuser, piller, voler, diviser et faire souffrir des innocents. Non, ce n'est pas le réchauffement de la planète qui est la cause de ces génocides. Ce sont l'avarice, le mépris, le sadisme les vrais responsables de ces famines, cette horreur de la condition humaine qui vit sous le joug des psychopathes. --
Lire aussi :
Lire Frantz Fanon aujourd'hui pour comprendre
https://fr.sott.net/article/30069-La-faim-arme-politique-pour-dominer-et-tuer-les-plus-faibles-de-cette-planete
Cet état de faim n'est PAS provoqué par une surpopulation mais seulement par l'interdiction de se nourrir et de nourrir les autres !
SupprimerCette interdiction passe par l'agriculture où, ceux qui ont le savoir agricole, disparaissent tous les jours sans être remplacé ! En Andalousie (Espagne) des milliers d'hectares sont occupés par des serres qui fournissent à manger à des millions de personnes ! Or, le parti anti-vie (écologistes) s'oppose à ce que ces paysans espagnols pompent de l'eau pour irriguer les cultures et font... disparaître peu à peu un marais plein de moustiques ! (que les verts appellent 'la biodiversité' ! Hahahaha !).
La famine (actuelle ou à venir), c'est çà !
Prendre la défense de ratons-laveurs qui bouffent les semences, de castors qui détruisent les plantations, de millions d'insectes qui ravagent les cultures non-traitées pour empêcher l'humain de vivre !!!