- ENTREE de SECOURS -



jeudi 16 février 2017

À quoi rêvent les algorithmes ? Nos vies à l’heure des big data

le 17 février 2017 

Manipulation, débordement, les dérives du calcul : les algorithmes sont-ils infaillibles ?

Par Farid Gueham.


Ils font aujourd’hui partie de notre quotidien. Les algorithmes trient, confrontent, croisent et analysent nos données sans même que nous nous en rendions compte. Leur discrétion inquiète d’autant plus que, les contours des algorithmes sont encore flous. Dominique Cardon, auteur de l’ouvrage À quoi rêvent les algorithmes, démystifie ces programmes de calcul qui peuvent aussi faciliter nos vies.

« Comme une recette de cuisine, un algorithme est une série d’instructions permettant d’obtenir un résultat. À très grande vitesse, il opère un ensemble de calcul à partir des gigantesques masses de données (le « big data »). Il hiérarchise l’information, devine ce qui nous intéresse, sélectionne les biens que nous préférons et s’efforce de nous suppléer dans de nombreuses tâches. Nous fabriquons ces calculateurs mais en retour, ils nous construisent. »

Les algorithmes sont partout : dans nos achats, nos déplacements, dans nos démarches de recherche d’emploi, de formation professionnelle.

La révolution des calculs, c’est quoi au juste ?

Comprendre la révolution des calculs, c’est dans un premier temps, saisir l’ampleur du phénomène : une révolution qui imprime ses marques sur nos existences, portée par le big data. L’ouvrage de Dominique Cardon est ambitieux, « il décrit le monde auquel rêvent les algorithmes, avant que nous nous réveillons – trop tard ». Car aucun secteur n’est épargné : les outils statistiques n’ont longtemps communiqué que des versions simplifiées à l’extrême des choix politiques ou économiques faits pour eux, par les États ou les grandes entreprises.

Les statistiques sont des instruments de connaissance, conçus comme des outils politiques aux mains des décideurs. Quantificateurs de notre vie sociale, il sont à la fois baromètres, indices, palmarès, quantificateurs du moindre de nos gestes. Mais cette obsession de la mesure a aussi ses limites : le chiffrage constant de l’information enfermerait les individus dans leurs propres choix, nourris par le ciblage toujours plus marqué de nos informations personnelles.

« La thèse de ce livre est que, si les logiques de personnalisation s’installent aujourd’hui dans nos vies, c’est parce qu’elles calculent une forme nouvelle du social, la société des comportements, où se recompose la relation entre le centre de la société et des individus de plus en plus autonomes. »

Les quatre familles de calcul numérique : à côté, au-dessus, à l’intérieur et au-dessous des données numériques

Pour décrire métaphoriquement le rapport du calculateur au monde, Dominique Cardon identifie quatre familles de mesures « à côté, au-dessus, à l’intérieur et au-dessous des données numériques ». Ainsi, les mesures d’audience se situent « à côté du web », elles dénombrent les clics des internautes et la popularité des sites. « Au-dessus du web », nous trouvons le « Page Rank », l’algorithme de classement de l’information issue du moteur de recherche Google. Il permet de hiérarchiser et de classer les sites. Les réseaux sociaux et les indicateurs de notations se positionnent « à l’intérieur du web », ils participent de la popularité et construisent la réputation des personnes et des produits. Enfin, les données situées « sous le web » exploitent les traces de navigation des internautes et permettent ainsi d’anticiper voire de prédire leurs comportements à la lumière de l’historique des autres utilisateurs.

Manipulation, débordement, les dérives du calcul : les algorithmes sont-ils infaillibles ?

Les algorithmes peuvent être biaisés. « Plus les individus sont transparents, plus ceux qui les observent sont opaques. Les grands acteurs du web protègent jalousement la propriété commerciale de la recette de leurs algorithmes, au prétexte que la rendre publique faciliterait la vie de ceux qui essaient de les truquer », précise Dominique Cardon. En effet, comment s’assurer de la fiabilité des algorithmes ? Un site mieux référencé proposera-t-il obligatoirement un contenu de meilleure qualité ? Les algorithmes n’ont pas vocation à être éthiques, ni même à trancher un arbitrage de valeurs. Ils sont accusés de déformer, de trahir ou de censurer les représentations « vraies et neutres » de la réalité. Des soupçons en cascade qui portent non seulement sur l’algorithme mais aussi sur ceux qui sont suspectés de vouloir le manipuler.

« Des robots cliqueurs augmentent artificiellement l’audience des sites ou le nombre de vues sur Youtube. Le marché des faux comptes Facebook ou Twitter permet aux entreprises en mal de e-réputation de gonfler artificiellement leurs compteurs et de se prévaloir d’une notoriété qu’elles ont en fait achetée. Hôteliers, vendeurs de toutes sortes font appel à des petites mains pour rémunérer de faux avis de consommateurs (10 à 30% des avis de consommateurs sur internet sont faux. »

Et si les algorithmes se contentaient d’épouser les comportements des internautes, en répliquant et en amplifiant les fractures déjà présentent dans nos sociétés : les algorithmes reconduisent les inégalités de nos sociétés, en donnant aux mieux dotés les moyens d’enrichir leurs réseaux relationnels.

Et s’il fallait débrancher les algorithmes ?

L’auteur propose de « passer en manuel » : l’enjeu politique que poseraient les nouvelles boites noires du calcul algorithmique est celui de leur aptitude à débrayer, à passer « en manuel ». Car les algorithmes proposent en fait d’automatiser les arbitrages et les choix les plus mécaniques de nos vies.

« Dans les activités complexes, les habilités manuelles ont été transférées vers les machines. Les pilotes d’avion ne conduisent plus vraiment les avions, mais les surveillent. Les architectes ne font plus de dessins à la main mais les modélisent directement en 3D. Les algorithmes de détection visuelle sont en train d’apprendre à lire les radiographies et les IRM que valideront ensuite les médecins. »

En somme, pas de quoi dramatiser. Les algorithmes sont là pour nous aider. Inutile de s’épancher une fois de plus sur l’éternel conflit entre l’Homme et la machine. L’ouvrage rappelle avec finesse l’utilité de reconsidérer ce couple, qui est voué à rétroagir et s’influencer mutuellement.

« Les sociétés de calculs réalisent un couplage nouveau entre une puissance d’agir, de plus en plus forte, des individus et des systèmes sociotechniques imposant, eux aussi, des architectures de plus en plus fortes. Il est encore temps de dire aux algorithmes que nous ne sommes pas la somme imprécise et incomplète de nos comportements. »

Dominique Cardon, À quoi rêvent les algorithmes ? Nos vies à l’heure des big data, Éditions du Seuil, 2015, 112 pages.
Pour aller plus loin :

« Entre algorithmes et marchandisation: l’homme moderne face à la numérisation des sociétés », Guillaume Fauvel, Slate.fr
« Algorithmes: les robots ont-ils pris le pouvoir à Wall Street », L’Express.
« Justice : des algorithmes pour prévoir l’issue des procédures », France Culture.
« La Cnil ouvre un débat sur le pouvoir des algorithmes », Le Figaro.

25 commentaires:

  1. Les ordinateurs ne sont pas là pour inventer une nouvelle couleur ou nous propulser physiquement sur la lune mais pour apporter la ou des solutions à nos questions. Tel est le comportement de la plus basique calculette de poche qui peut en 1/100 sec nous apporter le résultat de telles ou telles opérations même très compliquées.

    Donc il ne faut pas être effrayé par une intelligence supérieure car... elle ne reproduit (paramètres) QUE ce que l'homme lui a rentré dedans !

    L'humain d'aujourd'hui n'aime pas attendre, faire la queue à la caisse, être pris dans des embouteillages, être retardé par la météo, etc, etc. Quand il veut quelque chose, il le veut de suite ! ("Faut attendre combien pour une pizza au four ?"). Il a l'impression de perdre son temps à tous bouts de journées. Il s'énerve, piétine, déborde, n'arrive plus à gérer la ou les situations, il recherche ce qui lui manque et... il l'a trouvé avec l'ORDINATEUR ! Whooâh ! Algorithmisé-à-fond-les manettes !

    N'ayez pas peur, ce n'est que votre intelligence !

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  2. «J’ai hérité d’un foutoir !» : Donald Trump incendie le bilan de Barack Obama (VIDEO)


    16 févr. 2017, 22:31


    Revenant en conférence de presse sur son premier mois à la Maison Blanche, marqué par des mesures fortes mais aussi par plusieurs défections, le président américain s’en est pris, avec son franc parler habituel, au bilan de son prédécesseur.

    «Notre administration a hérité de nombreux problèmes, au niveau du gouvernement et de l’économie. Pour être honnête, j’ai hérité d’un foutoir. C’est un foutoir. Chez nous et à l’extérieur. Un foutoir !», a lancé Donald Trump en conférence de presse à la Maison Blanche le 16 février.

    Dans la foulée de son attaque contre Barack Obama, le nouveau président des Etats-Unis a poursuivi : «Les emplois s’enfuient du pays, vous voyez ce qu’il se passe avec toutes les entreprises quittant notre pays, vers le Mexique ou d’autres endroits. Des faibles revenus, des faibles salaires, une instabilité massive à l’étranger, peu importe où vous regardez. Le moyen-orient : un désastre. La Corée du Nord : nous nous en occuperons, les gars.»

    Lors de son allocution, le président a notamment annoncé que son nouveau ministre du Travail serait Alexander Acosta, suite à la démission de Andrew Puzder en raison de révélations sur sa vie personnelle.

    Lire aussi : Donald Trump nomme Alexander Acosta au Travail et promet un nouveau décret sur l'immigration

    https://francais.rt.com/international/34100-jai-herite-foutoir-donald-trump-incendie-bilan-barack-obama

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  3. Et si, une fois élu, le Front national nous faisait sortir de l’Europe ?

    le 17 février 2017

    La politique monétaire du Front National, c’est un retour aux errements de la IVème République, et l’exact contraire de ce qu’a fait le général de Gaulle avec le nouveau Franc.

    Par Guillaume Nicoulaud.


    Exercice de style : que se passerait-il si, le Front National étant au pouvoir, il était en capacité de mettre en œuvre sa mesure emblématique sur le plan économique : le Frexit ?

    Avant d’entrer dans le cœur du sujet, je rappelle ici qu’il ne suffirait pas d’une élection de Marine Le Pen le 7 mai prochain. Je n’ai pas la prétention d’être un expert en la matière mais je ne crois pas possible d’engager la France sur ce chemin sans disposer d’une solide majorité parlementaire et du gouvernement qui l’accompagne. Autrement dit, tout ce qui suit relève — pour le moment — de la perspective purement hypothétique.

    Outre la sortie de l’Union Européenne stricto sensu qui relève davantage de la politique que d’autre chose, l’aspect économique du plan peut se résumer en trois grands points :

    Abandon de l’euro et instauration d’un nouveau franc à raison d’un franc pour un euro
    Redénomination de la dette publique de droit français (i.e. environ 80% du total) en franc
    Mise sous tutelle politique de la Banque de France et dévaluation.

    C’est évident, mais l’expérience prouve qu’il n’est pas inutile de le rappeler : la dévaluation du franc est l’objectif explicite de la manœuvre. C’est ce que Marine Le Pen entend par souveraineté monétaire : elle veut que le pouvoir politique soit en mesure de dévaluer pour, espère-t-elle, améliorer la compétitivité internationale des entreprises françaises1 et réduire la charge réelle de la dette publique2. C’est-à-dire, soit dit en passant, l’exact inverse de ce qu’a fait le général de Gaulle avec l’introduction du nouveau franc en 1960 : la politique monétaire du Front National, c’est un retour aux errements de la IVème République.

    Mesurer l’ampleur du cataclysme

    Bref, peu importe. Ce qui importe aujourd’hui, c’est ce qui peut en découler et là, je crains fort que nous soyons tous très loin de mesurer l’ampleur du cataclysme. Ci-dessous, une rapide liste à peu près ordonnée que je vous invite à compléter ou à critiquer dans les commentaires.

    Au premier abord, il est évident qu’un Frexit fait peser une incertitude majeure sur l’avenir de l’UE et de l’euro. À ce titre, et sans tenir compte d’autres effets, il est très vraisemblable que cela se traduise par une chute du cours de l’euro et une hausse des taux sur toutes les dettes émises dans la monnaie commune.

    Évidemment, l’argument de « la plus grande économie au sein de la première zone économique mondiale » cesse immédiatement d’exister et ce, d’autant plus que l’attitude du FN face aux échanges internationaux ne laisse pas planer de doute quant à ses intentions. Cela prendra certainement du temps mais il très probable que la plupart des entreprises internationales non françaises vont chercher à déménager.

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  4. Il est évident que l’intérêt bien compris de tous les résidents français3 est de mettre ses euros à l’abri. Si vous disposez d’une épargne investie sur des comptes rémunérés, des obligations françaises ou un contrat d’assurance-vie en euros, vous savez que vos euros vont être convertis de force en francs et que ces derniers vont perdre rapidement de la valeur. En conséquence de quoi, votre intérêt bien compris consiste à vous organiser de telle sorte que vos euros restent des euros (ouvrir un compte à l’étranger et y virer votre épargne) ou, à défaut, de les convertir en quelque chose qui ne risque pas d’être transformé en monnaie de singe (une autre monnaie que l’euro, de l’or, des actifs physiques…).

    Le point précédent renforce la probabilité d’une chute de l’euro mais, surtout, risque de mettre les banques françaises dans une situation extrêmement délicate, analogue à celle qu’ont traversé les banques grecques récemment : elles vont devoir trouver d’urgence des sources de refinancement, j’y reviens plus loin.
    Si les banques françaises sont en difficulté, il est plus que probable que le problème devienne systémique et s’étende à l’ensemble de leurs contreparties. C’est un scénario identique à la faillite de Lehamn Brothers, mais en bien plus grave.

    La redénomination de l’essentiel de la dette publique en franc, c’est un défaut technique. L’État français sera donc officiellement défaillant, ce qui obligera une large part de nos créanciers étrangers4 à vendre leurs titres et donc, accentuera la hausse des taux sur la dette française.

    Si l’État est défaillant, ce sont toutes les institutions françaises, publiques et privées, qui vont devoir faire face à de très grandes difficultés de financement. On en revient ici aux banques qui, justement, cherchent à se refinancer pour compenser les sorties d’euros : elles ne pourront sans doute plus compter que sur la Banque de France.

    Effet de bord : pour éviter un effondrement du système bancaire, la Banque de France sera obligée d’adopter une politique monétaire très accommodante ce qui, évidemment, accentuera la chute du franc.

    Quid des entreprises françaises qui ont émis de la dette en euro ? A priori, deux scénarios : si elles ont émis en droit français elles seront techniquement en défaut, sinon elles vont subir de plein fouet la baisse relative du franc. Dans tous les cas, privées de financement bancaire et en l’absence de marché, elles vont avoir toutes les peines du monde à financer leur trésorerie, sans parler d’une éventuelle croissance.

    On va donc probablement se retrouver très vite dans une situation de pentification extrême de la courbe des taux : taux courts au plancher par injection monétaire de la Banque de France et taux long très élevés pour cause d’anticipation de l’inflation.

    Le gouvernement du Front National ne pourra sans doute pas financer le déficit autrement que par la création monétaire : la chute du franc est inéluctable, l’inflation risque d’être spectaculaire.

    On va sans doute assister à un crash immobilier et à une érosion accélérée du bas de laine des petits épargnants : l’effet richesse, notamment sur les retraités, va être terrible.

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  5. À court ou moyen terme, prévoyez la nationalisation des banques, un défaut souverain en bonne et due forme, la mise en place d’un système de contrôle des changes et de contrôle des prix : nous pourrions tout à fait connaitre un effondrement économique analogue à celui du Venezuela et ce, en quelques mois.

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    Ce qui, comme je l’ai expliqué ici, ne fonctionnera que si (i) les salaires ne suivent pas l’inflation qui en résultera et (ii) nos partenaires commerciaux ne nous retournent pas la politesse. ?
    C’est-à-dire quelle rêve de disposer de l’arme fiscale absolue. ?
    Les particuliers mais aussi les entreprises, surtout les entreprises internationales installées en France. ?
    Je suppose que le FN a prévu de légiférer pour que cette obligation légale ne s’étende pas aux investisseurs français. ?

    https://www.contrepoints.org/2017/02/17/281225-elu-front-national-faisait-sortir-de-leurope

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    1. Primo, l'article est partisan et non répondant à la volonté du peuple qui n'est PAS écouté.

      Il n'est pas question de marcher ensemble dans l'escroquerie du 7 Janvier 1973 et de collaborer avec tel ou tel parti anti-français.

      La dette est FAUSSE depuis le début. Les banques ont prêté de l'argent qu'elles n'avaient pas ! Donc, si depuis un ordinateur ont été émises des suites de chiffres, le remboursement ne doit être fait QUE PAR ORDINATEUR avec même dix millions de zéros en plus !

      Car, dites-vous bien qu'aucune banque au monde n'a en or le montant de ses prêts ! Le cube mondial de l'or du monde a 20,50 m d'arête et pas 2050 m !

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  6. La sécession interne et la route à ruiner: une histoire de deux pays


    Par Tyler Durden
    Feb 17, 2017 2:00 AM
    Soumis par Fred Reed via le blog The Burning Platform,


    Trump n'a pas causé la division profonde dans le pays. Cela lui a causé. Il y a deux Amériques très différentes. Je soupçonne que la moitié du pays qui a voté pour Trump, qui a voté avec enthousiasme sauvage, qui a rugi à des rassemblements énormes, n'était pas tant voter pour Trump que contre l'autre Amérique. C'était juste qu'ils n'avaient jamais eu une chance avant. Les deux pays ont peu en commun et n'appartiennent pas à la même géographie.

    Si Trump se révèle être le bouffon catastrophique qu'il semble aspirer à être, les manifestations actuelles éclairent une différence entre ses partisans et Hillary. Le gouffre est beaucoup plus profond que la politique, embrassant la culture, le goût, les mœurs et les mœurs. Les groupes sont distincts et incompatibles.

    La différence commence par les mœurs. Tout au long de la campagne, les partisans de Trump se sont rassemblés dans d'énormes rassemblements, ont applaudi, se sont calmement rendus à la maison, et plus tard ont voté. En même temps, nous avons vu, au nom de Clinton, des foules d'adolescents malades, pires, loufoques, pérennes, bloquant les routes, fermant les rallyes, se livrant au vandalisme et attaquant physiquement les partisans de Trump. Des voitures ont été détruites, des incendies ont été mis en place, des guichets automatiques ont été brisés. Black Lives Matter, toujours des prédateurs du ghetto, étaient pires, mais des étudiants de bas niveau et leurs professeurs également lugubres se sont joints à eux. Ils étaient obscènes, infantile.

    Et naïf: Ils semblent croire qu'ils nuisent à Trump, bien que leur comportement conduit les gens dans l'autre sens. Je ne suis pas un fan de Donald, mais je regarde ce qui précède et pense tout autre chose.

    Le désir de choc de l'éternellement pubescent. Smirk, smirk, regarde-moi, smirk, smirk.

    Nous avons vu Ashley Judd, apparemment une actrice, s'adressant à la «Marche des Femmes».

    «Je ne suis pas aussi méchant que le racisme, la fraude, les conflits d'intérêts, l'homophobie, l'agression sexuelle, la transphobie, la suprématie blanche, la misogynie, l'ignorance, le privilège blanc. Je ne suis pas aussi méchant que l'utilisation de petites filles comme Pokemon avant que leurs corps ont même développé. Je ne suis pas aussi méchant que ta propre fille étant ton symbole sexuel préféré, comme tes rêves humides imprégnés de tes propres gènes.

    Ce qui est étonnant, ce n'est pas que des gueules bluffées aient eu un tel cloacal, mais que la «Marche des Femmes» l'a parrainé, ne l'a pas expulsée ni même censurée.

    Pouvez-vous imaginer l'un des partisans d'Amérique du Trump accusant Obama de la convoitise pour l'inceste avec ses filles? Les deux camps sont des peuples différents. La moitié du pays semble dominée culturellement par le ghetto. L'autre moitié incarne des normes de comportement qui ont généralement été congruentes avec la société civile. Alors que Trump lui-même est crasseux, faisant des mensonges jibes sur l'air à Megyn Kelly par exemple, ses partisans ne sont pas.

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  7. On peut invoquer un certain nombre d'arguments contre Trump, mais tant l'effusion de l'hostilité, même de l'intelligent, manque de pensée. Ceaphobe, thataphobe, nazi, misogyne. Putain de Poutine. La plupart semblent ne pas savoir ce que les mots signifient, ou le soin.

    Pensée sauvage: Nous pouvons voir la régression darwinienne. Les nanoparticules intellectuelles agitant des pancartes, les clochards parlants peuvent représenter le retour du QI procaryote. Ils nous donnent un registre paléontologique vivant de ce à quoi ressemblait la vie avant d'évoluer. Pensez à «Implosion cambrienne». J'imagine Rachel Maddow avec douze segments de corps et yeux composés.

    Différents peuples. Je voudrais voir un sondage comparatif: Combien de femmes qui ont voté pour Trump se permettraient d'être associées aux remarques de Mme Judd ? Aucun, je soupçonne. Combien de femmes votant pour Trump défileraient dans des "casquettes de chatte" ? Combien de pères votant pour Trump permettraient à leurs filles, ont élevé leurs filles, de se comporter comme les «femmes marchantes»? Leurs enfants copient Black Lives Matter ?

    Différentes civilisations. Pratiquement aucun chevauchement.

    Les médias sont décidément de l'Amérique Clinton. À Washington au moins certains journalistes ont enfilé des chapeaux de chatte et ont joint les manifestants. Trashy comportement a filtré dans de nombreux dans les classes professionnelles. Trump a récemment poursuivi une journaliste et le London Daily Mail pour décrire Melania comme "une escorte haut de gamme" -.e.e., Une fille à emporter, une prostituée. Pouvez-vous imaginer un article conservateur - disons, le Washington Times, The American Conservative, National Review - décrivant Michelle Obama comme une pute ? Ou les fans de Trump portant des chapeaux de scrotum ?

    Il y a un mécontentement dans la croyance apparente des Clinton américains qu'ils ont droit au résultat électoral de leur choix. Quand ils ne l'obtiennent pas, ils agissent comme des enfants gâtés de deux ans. Pauvre chasseur! C'est gênant. Si Hillary avait gagné, les trumpistes déçus seraient-ils en train de se plaindre et de se faire passer dans des casques génitaux ou de pillages et de brûlures? Quels que soient les mérites de la politique des deux côtés, les deux ont peu en commun culturellement.

    Le fossé est beaucoup plus profond et plus général que la chaleur de l'élection. La classe éphémère à laquelle viennent les manifestants, non seulement à Washington ou tout récemment, s'oppose au fondement de notre rapprochement de la démocratie. Ce n'est pas une fracture économique. Sur les campus américains presque partout les «étudiants», dont la plupart n'ont pas l'intelligence pour l'université, utilisent la tactique des chemises brunes pour fermer discours par n'importe qui qui n'est pas d'accord avec eux. Ils n'ont aucune conception du débat raisonné, la tolérance du désaccord, ou le respect du droit. Plutôt que de favoriser l'assimilation à la norme américaine, ou ce qui était la norme américaine, le seul espoir de garder le pays de dévoluer en tribus en guerre, ils favorisent la politique d'identité. Ils ne désavouent pas, par exemple, les déprédations de Black Lives Matter. Tout comportement est acceptable, même admirable, s'ils sont engagés à leurs côtés.

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  8. Le décorum et son manque sont des thèmes récurrents. Je n'ai pas de preuves tangibles, mais je soupçonne que l'Autre-Amérique croit que les hommes doivent se comporter en gentlemen et en dames; Que le sexe devrait être une affaire privée et en particulier que les enfants ne devraient pas être trop tôt exposés à elle. L'Amérique de Clinton s'appuie davantage sur le fait que le langage sexuel est authentique et naturel. La tuberculose hémorragique est naturelle, mais peut-être pas à encourager. Et ainsi d'un interprète principal, Beyonce, les paroles

    "Pouvez-vous lécher mes Skittles, c'est le plus doux au milieu / Rose est la saveur, résoudre l'énigme"

    Douloureusement mignon. Pouvez-vous imaginer Billie Holiday chanter ceci ? Ella Fitzgerald ? Que ce soit l'art du peuple, l'expression authentique d'une race opprimée, ou quelque chose qui devrait être griffonné sur le mur d'une toilette publique, traque avec qui vous êtes Voté pour. Encore une fois, deux pays.

    "Berkeley Protests de Breitbart Milo Yiannopoulos causé 100 000 $ en dommages"

    "Les protestations qui ont éclaté à l'UC Berkeley avant une apparition prévue mercredi par le commentateur de droite Milo Yiannopoulos a causé 100.000 dollars de dommages au campus, l'école a déclaré jeudi.

    Ces vandales sont les troupes d'assaut de l'Amérique Clinton. Je ne peux pas imaginer que l'Autre Amérique se comporte ainsi en raison de la programmation d'un locuteur quelconque.

    Pour quelque raison que ce soit, ceux qui se considèrent comme des libéraux sont beaucoup plus portés à la démonstration et à l'émeute que les conservateurs et beaucoup plus vulgaires. Je dis «se considèrent comme des libéraux». Leur comportement est contraire au libéralisme classique. La vulgarité n'est pas le libéralisme. Ni l'incendie criminel. Ni la suppression de la liberté d'expression. Tout cela est maintenant la norme sur les campus, dans les médias, tant parmi les étudiants que les professeurs. Et parmi les manifestants.

    Un autre pays.

    Les protestations en tant que telles donnent peu à déplorer. Les démonstrations sont à la fois légales et constitutionnellement protégées si elles se comportent bien, et les femmes de Washington. Ce sont les valeurs qui les représentent comme un autre pays. La satisfaction de soi, la croyance qu'ils représentent l'univers. Se rassembler dans de vastes ravages partagés, se réaffirmer sans cesse sur Facebook, peut leur donner une impression exagérée de leur nombre. Ainsi, l'utilisation fréquente de l'expression «nous le peuple». En fait, ils sont «nous, un assez grand nombre de la population." Alors que j'écris l'approbation de Trump est de 52%. Ma conjecture est que la truculence sans fin de l'homme va baisser son nombre, mais il n'a pas encore. Et un échec complet de sa présidence ne changera pas le fait que la moitié du pays est complètement malade de l'autre moitié.

    Où cela mène-t-il ?

    http://www.zerohedge.com/news/2017-02-17/internal-secession-and-road-ruin-tale-two-countries

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    1. Les États-Unis (comme 'le reste du monde') a été encrassé au fil des décennies par les 'pouvoirs publics' qui rassemblent 'les' partis contre le peuple, les journaux contre le peuple et la religion contre le peuple. Tous liés pour faire bloc. Mais, depuis 20 ans, est arrivé Internet ! Et ces 4 % de surdoués qu'il y a dans le monde en face des 'pouvoirs publics' commencent a inquiéter sérieusement les 'Dirigeants'. D'où les fausses manifestations où des clochards et des prostituées sont obligés d'être payés pour scander des slogans et promener des pancartes contre leur intérêt !! A cela s'ajoute ces débordements (que Coluche appelait 'les appariteurs') où ces mêmes mercenaires cassent des vitrines et brûlent des voitures pour attirer les foudres des forces de l'ordre et obliger le gouvernement à élever encore plus haut les remparts qui le protègent.

      Rappelez-vous le temps où sur les murs était marqués au pinceau des slogans politiques, puis, est arrivé la bombe de peinture. Et là, cette fois, ce sont les mercenaires qui s'en sont emparés. Emparer pour faire des 'graffitis' couvrant les slogans politiques tracés dans la nuit. Il ne fallait plus qu'il y ait des représentations d'idées 'personnelles' sur les murs des cités ! Il fallait des dessins pauvres en intelligence. Pareillement qu'aujourd'hui il y a des milliers de robots qui interviennent dans les forums pour 'répondre' à une intervention scandaleuse en... parlant d'autre chose pour faire perdre le fil et noyer les commentaires. Ce discrédit est quotidien et est là pour empêcher le peuple de savoir ce qui se passe réellement.

      Ce qui fait peur à la dictature est quelqu'un qui instaurerait un régime référendaire !

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  9. Le président de la Fed admet que les banques américaines n'ont que «la moitié des fonds propres dont elles ont besoin»


    Par Tyler Durden
    16 février 2017 16h27
    Soumis par Simon Black via SovereignMan.com,


    Dans un éditorial mordant publié aujourd'hui dans le Wall Street Journal, le président de la Banque fédérale de réserve de Minneapolis, Neel Kashkari, a critiqué les banques américaines, disant qu'elles manquaient encore de capitaux suffisants pour résister à une crise majeure.

    Kashkari fait une grande analogie.

    Lorsque vous postulez pour un prêt hypothécaire ou d'affaires, les banques sensées sont censées exiger un acompte de 20% de leurs emprunteurs.


    Si vous voulez acheter une maison de 500 000 $, une banque conservatrice prêtera emprunteurs solvables 400 000 $. L'emprunteur doit être en mesure de rayer ensemble un acompte de 100 000 $.

    Mais quand les banques font des investissements et achètent des actifs, elles ne sont pas obligées de faire la même chose.

    N'oubliez pas que lorsque vous déposez de l'argent à une banque, vous leur prêtez essentiellement vos économies.

    En tant que déposant bancaire, vous êtes le prêteur. La banque est l'emprunteur.

    Les banques regroupent leurs dépôts et font divers prêts et investissements.

    Ils achètent des obligations gouvernementales, le commerce commercial financier et financent les achats immobiliers.

    Certaines de leurs décisions d'investissement ont un sens. D'autres sont complètement idiots, comme nous l'avons vu dans la crise financière de 2008.

    Mais le plus important est que les banques n'utilisent pas leur propre argent pour effectuer ces investissements. Ils utilisent l'argent des autres. Ton argent.

    Le portefeuille d'investissement d'une banque est presque entièrement financé par l'épargne de ses clients. Très peu de l'argent de la banque est à risque.

    Vous pouvez voir le contraste frappant ici.

    Si vous, en tant qu'individu, voulez emprunter de l'argent pour investir dans quelque chose, vous êtes obligé de mettre 20%, peut-être même beaucoup plus selon l'actif.

    Votre acompte fournit un coussin substantiel pour la banque; Si vous arrêtez de payer le prêt, la valeur de la propriété pourrait diminuer de 20% avant que la banque perd de l'argent.

    Mais si une banque veut faire un investissement, ils n'ont généralement pas à mettre un seul sou.

    Les prêteurs de la banque, c'est-à-dire ses déposants, ont mis tout l'argent pour l'investissement.

    Si l'investissement fait bien, la banque conserve tous les bénéfices.

    Mais si l'investissement fait mal, la banque n'a pas risqué de son propre argent.

    Les prêteurs de la banque (c'est-à-dire les déposants) assument tous les risques.

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  10. Cela semble assez unilatéral, surtout si l'on considère que, en échange d'assumer tout le risque d'une banque de décisions d'investissement, vous êtes récompensé par un minime taux d'intérêt qui ne parvient pas à suivre l'inflation.

    (Après quoi le gouvernement vous taxe sur les intérêts que vous recevez.)

    Il semble à peine vaut la peine.

    En 2008-2009, tout le système financier était au bord de l'effondrement parce que les banques faisaient des paris sauvages sans avoir suffisamment de capitaux.

    En d'autres termes, les banques n'avaient pas fait un "acompte" suffisant sur les investissements toxiques qu'ils avaient achetés.

    Tous ces actifs et ces prêts idiots étaient réalisés presque exclusivement avec l'épargne de leurs clients.

    Lehman Brothers, une banque d'investissement désormais défunte, avait infâme environ 3% de capital au moment de son effondrement, ce qui signifie que Lehman a utilisé seulement 3% de son propre argent pour acheter des actifs toxiques.

    Finalement, les valeurs de ces actifs toxiques se sont effondrées.

    Et non seulement la banque a été anéantie, mais les investisseurs qui avaient prêté l'argent de la banque ont subi une perte énorme.

    Cela s'est produit à travers l'ensemble du système financier parce que les banques avaient pris des décisions idiotes d'investissement et n'ont pas réussi à maintenir un capital suffisant pour absorber les pertes.

    Près d'une décennie plus tard, Kashkari dit que les banques ne sont toujours pas suffisamment capitalisés.

    (Il souligne également que les banques aujourd'hui sont obsédées par la documentation inutile et semblent «incapables d'exercer le jugement ou d'utiliser le bon sens»)

    Les banques elles-mêmes ne sont évidemment pas d'accord.

    Comme le dit Kashkari, les banques estiment qu'elles ont actuellement TOUS BEAUCOUP de capitaux.

    Bizarre. Ils disent simplement qu'ils veulent être moins en sécurité, comme un pilote cascadeur se plaignant que son casque est trop robuste.

    J'ai écrit à ce sujet plusieurs fois - la décision de savoir où tenir vos questions d'épargne. C'est important.

    En plus des problèmes de solvabilité et de liquidité, il existe une multitude d'autres questions, comme les violations systématiques de la confiance du public, la collusion pour fixer les taux d'intérêt et de change, la manipulation des prix des actifs et la fraude totale.

    (Personnellement, j'ai eu tellement marre de notre système financier trompeur que j'ai commencé ma propre banque en 2015 pour gérer les transactions financières de mes entreprises.

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  11. Pourtant, en dépit de ces risques évidents, la plupart des gens suppriment tout simplement la sécurité de leur banque.

    Ils vont passer plus de temps à penser à ce qu'il faut regarder sur Netflix que quelle banque est le gardien le plus responsable de l'épargne de leur vie.

    Il existe d'innombrables façons de comprendre cela, mais voici un raccourci: beaucoup de «capital» ou «fonds propres» la banque a-t-elle en pourcentage de son actif total?

    Ce sont des chiffres faciles à trouver. Just Google "bilan de la banque XYZ".

    Regardez le bas où il dit «capital» ou «équité». C'est votre numérateur.

    Ensuite, regardez au-dessus de ce nombre pour trouver l'actif total. C'est votre dénominateur.

    Divisez les deux. Plus le pourcentage est élevé, plus la banque est sûre.

    Kashkari pense que la réponse devrait être au moins 20%, en particulier parmi les méga-banques aux États-Unis.

    Avez-vous un plan B ?

    http://www.zerohedge.com/news/2017-02-16/fed-president-admits-us-banks-have-only-half-equity-they-need

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  12. Le paradoxe de l'agriculture: les revenus des agriculteurs et les achats d'équipement


    Par Tyler Durden
    16 février 2017 21h31


    La semaine dernière, nous avons écrit au sujet du dernier rapport semestriel du ministère des Finances des États-Unis sur les revenus agricoles qui a peint une image très sombre pour le fermier américain. Dans ses premières prévisions pour 2017, l'USDA a enregistré une baisse des recettes monétaires agricoles de 14% par rapport à 2015 et de 36% par rapport au sommet précédent en 2012, alors que l'endettement agricole continuait de monter et que l'effet de levier a atteint des sommets historiques.

    Vous trouverez ci-dessous un résumé de certains des principaux points à emporter:

    Les revenus agricoles réels en 2017 devraient baisser en dessous de 2010, ce qui représente une baisse de 36% par rapport au pic récent et une baisse de 14% depuis 2015.

    - voir graphique sur site -

     Entre-temps, la dette agricole continue à augmenter à un rythme étonnant ...

    - voir graphique sur site -

    Alors que l'effet de levier des agriculteurs a atteint le niveau le plus élevé depuis au moins 1960.

    - voir graphique sur site -

    Et bien sûr, des revenus plus faibles signifie moins d'argent à dépenser sur de nouveaux tracteurs John Deere brillants, le capex des équipements devant diminuer de 35% par rapport à 2015.

     - voir graphique sur site -

    Et enfin, les rendements des agriculteurs ont chuté aux plus bas niveaux de jamais été. Nous ne sommes pas sûrs de vous, mais un 2,1% ROIC semble un "faible faible", même dans notre environnement de taux d'intérêt rigged actuel.

    - voir graphique sur site -

    En résumé, les agriculteurs ne font pas d'argent, mais parviennent à peine à rester à flot en ajoutant une dette massive et en réduisant les dépenses en immobilisations.

    En outre, le résumé ci-dessus a été apparemment confirmé récemment lorsque ISI a publié ses dernières données sur les volumes de ventes en Amérique du Nord pour les tracteurs et les moissonneuses-batteuses. Il n'est pas surprenant que les volumes de janvier aient diminué de 20% à près de 50% en glissement annuel, comme c'était le cas pour la plupart des années 2015 et 2016.

    - voir graphique sur site -

    - voir graphique sur site -
     
    Ce qui nous amène à notre point final, qui est, ce que sont exactement les investisseurs John Deere voir que nous ne sommes pas ?

    - voir graphique sur site -

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  13. Bien que nous comprenions certainement le concept d'investissement dans les actions cycliques au bas de leur cycle de résultats, nous sommes un peu moins familiarisés avec la stratégie de tarification complète dans une reprise plusieurs années à l'avance tout en continuant à acheter ces mêmes stocks cycliques à tout moment Les hauts et les pics.

    - voir graphique sur site -

    Cela dit, nous sommes convaincus que ces multiples auront la marge de manœuvrer même «au sommet» demain lorsque John Deere rapportera les bénéfices ... nous ne pouvons pas attendre pour voir des marchés efficaces au travail.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-02-16/ag-paradox-farm-incomes-and-equipment-purchases-tank-while-john-deeres-stock-soars

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  14. Une catapulte de drogue découverte est attachée à la muraille de la frontière des États-Unis et du Mexique en Arizona


    Par Tyler Durden
    Feb 16, 2017 2:35 PM
    Pas l'oignon.


    En patrouillant en Arizona la semaine dernière, des agents de la patrouille frontalière des États-Unis ont localisé une catapulte près de la zone d'entrée du port de Douglas qui servait à lancer la marijuana du Mexique aux États-Unis.

    Selon les fonctionnaires, les agents de la frontière ont remarqué un certain nombre de personnes se retirant de la zone comme ils approchait, et sur une enquête plus approfondie, ils ont découvert deux paquets de cannabis pesant plus de 47 livres au total. Lorsque les agents ont vu la catapulte, ils ont démantelé l'appareil, qui a ensuite été confisqué par les autorités mexicaines chargées de l'application de la loi.
     
    En 2013, The Guardian a rapporté qu'un «canon à la marijuana» avait été saisi de la ville frontalière de Mexicali après que les agents américains ont informé la police mexicaine qu'un grand nombre de paquets de marijuana semblaient avoir été «tirés» au-delà de la frontière. Les autorités mexicaines ont déclaré avoir confisqué plusieurs de ces appareils au cours des dernières années.
     
    Vous allez devoir rendre ce mur un peu plus haut, président Trump.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-02-16/drug-catapult-discovered-attached-us-mexico-border-wall-arizona

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  15. Le consensus politique s'effondre dans les guerres de classe


    Par Tyler Durden
    Feb 16, 2017 12:36 PM
    Soumis par Charles Hugh-Smith via le blog OfTwoMinds,


    Comprendre comment ces nombreuses guerres seront menées est essentiel pour survivre intactes.

    Dans les années passées, nous avons parlé de guerre de classe entre les riches et les démunis. Ce n'est plus si simple. Maintenant, le consensus politique traditionnel s'effondre dans de multiples guerres de classe entre les camps chevauchants des protégés et des non protégés, ceux qui ont été promis des droits et des privilèges qui ne sont plus abordables et ceux qui devraient payer plus d'impôts.

    À l'époque moderne, l'expression «guerre de classe» est enracinée dans le concept socialiste / marxiste selon lequel le conflit entre le travail (la classe ouvrière) et le capital (les propriétaires du capital) n'est pas seulement inévitable: c'est le pivot de l'histoire. De ce point de vue, cette guerre de classe est le résultat inévitable de l'asymétrie entre l'élite qui possède / contrôle le capital et la classe beaucoup plus importante de personnes dont les moyens de subsistance sont gagnés uniquement par leur travail.

    Dans l'analyse de Marx, la dynamique interne du capitalisme conduit inévitablement à la concentration du capital dans les monopoles / cartels dont la grande richesse leur permet d'influencer le gouvernement au service des intérêts du capital. Subservent au capital, la classe ouvrière doit renverser cette association impie du capital et de l'Etat pour se libérer politiquement par la propriété des moyens de production, c'est-à-dire des biens productifs.

    Cette guerre de classe ne s'est pas déroulée comme Marx l'avait prévu. Au début du XXe siècle, la classe ouvrière a acquis un pouvoir politique suffisant pour obtenir les fondements de la sécurité économique: éducation publique universelle, lois du travail qui interdisaient l'exploitation pure et simple, le droit de syndicaliser et les pensions financées par l'État.

    (L'autre explication de cette vague de politiques progressistes est que les dirigeants présidents de la classe capital / Etat ont introduit dans ces réformes comme la seule alternative à la dissolution du statu quo.Les réformes ouvrières ont commencé en Allemagne et en Grande-Bretagne à la fin du XIXe siècle Gilded L'âge, et une autre vague de réformes ont été adoptées dans la crise décennale du capitalisme dans la grande dépression.)

    Bien que l'opinion conventionnelle soit que cet échec du capitalisme à dévoluer comme prévu prouve que l'analyse de Marx est sans mérite, on peut également prétendre que le partenariat entre l'État et le capital était beaucoup plus souple qu'anticipé par les marxistes: partager assez de la richesse générée dans l'industrie Révolution avec la classe ouvrière pour permettre une classe moyenne stable et productive a profité à la classe d'État-capital en créant une nouvelle couche de consommateurs (de biens, de services et de crédit) qui a grandement enrichi les capitalistes industriels et financiers et l'état qui pourrait augmenter des sommes sans précédent De la masse salariale et de l'impôt sur le revenu.

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  16. Profitant du luxe du recul, il est facile pour nous aujourd'hui d'oublier les luttes souvent violentes entre le travail et le capital qui ont caractérisé le début du 20e siècle: les anarchistes ont bombardé Wall Street et les Puissances envoyées dans les forces armées pour réprimer les efforts De syndiquer des pans entiers de travailleurs industriels.

    Alors que la classe moyenne des professionnels, des propriétaires de petites entreprises, des commerçants et des entrepreneurs peut être remontée à la naissance du capitalisme moderne au 15ème siècle, l'émergence d'une classe moyenne de masse de dizaines de millions de salariés avec le pouvoir d'achat et d'emprunt Créé par l'emploi stable était une caractéristique unique du capitalisme du XXe siècle.

    En effet, la classe moyenne était la Grande Trêve dans la guerre de classes: l'imposition par l'État de règlements et d'un filet de sécurité sociale sur le capital sans entraves a résolu le conflit principal du travail et du capital en partageant la production de la générosité du capitalisme.

    Il a fallu mettre en place de nombreux atouts pour permettre à cette dizaine de millions de travailleurs de disposer d'une source d'énergie bon marché et abondante (combustibles fossiles - charbon, pétrole et gaz naturel), d'un réseau de transport efficace et accessible, d'un réseau financier Un système qui pourrait étendre le crédit à des millions de ménages et un gouvernement avec les recettes fiscales et les ressources pour financer des travaux publics trop risqués ou hors d'atteinte pour le capital du secteur privé.

    Dans le dernier tiers du XXe siècle, la permanence de cette version du capitalisme d'Etat était incontestée: les ouvriers seraient toujours en mesure d'entrer dans la classe moyenne et les possibilités d'avancement seraient toujours ouvertes à ceux qui avaient accès à l'éducation et au crédit de la classe moyenne .

    Il n'y avait aucune raison impérieuse de croire que ce consensus était sur le point de se mêler et de se dissoudre potentiellement, et aucune raison de penser que plutôt que d'être une caractéristique permanente du capitalisme avancé, la classe moyenne était un élément unique basée sur l'énergie bon marché, Phase de relance de l'expansion du crédit.

    Mais maintenant, l'inégalité du revenu et de la richesse augmente fortement, et le capital tire largement au-dessus de la main-d'œuvre, ce qui crée une division vaste et rapidement élargie entre les classes.

    Guerre de classe: c'est plus qu'un simple revenu

    Une nouvelle série de guerres de classe est en train d'émerger au fur et à mesure que ce contrat social de longue date s'affaiblit: la mobilité sociale a décliné, favorisant une division entre la classe ouvrière traditionnelle (aussi appelée classe moyenne inférieure) qui se trouve de plus en plus exposée Aux vents corrosifs de la mondialisation et des politiques néolibérales et à la classe moyenne supérieure des professionnels hautement qualifiés et des technocrates qui ont bénéficié de ces politiques, assurant l'emploi protégé dans l'enseignement supérieur, le gouvernement et l'Amérique d'entreprise.

    L'influent essai du commentateur Peggy Noonan a décrit la guerre de classe naissante de l'Amérique comme opposant la classe protégée-ceux avec salaire et avantages sûrs-contre la classe non protégée de ceux avec l'emploi et les avantages incertains.

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  17. En d'autres termes, la question économique de division n'est pas simplement la quantité de revenu et de richesse de chaque classe, mais la qualité de leur sécurité économique respective.

    Par exemple, si un ménage non protégé gagne 80 000 $ en salaires et 30 000 $ en avantages sociaux au cours d'une bonne année de plein emploi dans des emplois riches en avantages sociaux et de 30 000 $ en salaires et sans avantages dans la suivante année de non- Leur salaire moyen est de 70 000 $ par année, ce qui constitue un revenu de classe moyenne très respectable.

    Mais comparer les difficultés posées par la perte des prestations de soins de santé et d'obtenir par une baisse de 50 000 $ en salaires vs les sécurisés 70 000 $ gagné année après année par année par un ménage protégé.

    Considérons les angoisses qui pèsent sur le foyer précaire de deux travailleurs qui ne peuvent pas compter sur des prestations et un emploi à temps plein qui voient leurs comptes d'épargne ou de retraite accumulés dans les bonnes années drainées dans les mauvaises années. Maisons achetées dans les bonnes années sont forcées dans la forclusion dans les mauvaises années.

    Prenons un autre exemple: comparez la sécurité d'un professeur titulaire dans l'enseignement supérieur avec le revenu zéro-bénéfice précaire d'un enseignant dont le contrat d'enseignement annuel est sujet à annulation ou modification chaque année de sa carrière.

    Non seulement le professeur rémunéré environ la moitié du salaire du professeur titulaire, quand le professeur approche de l'âge de la retraite, il n'a pas de pension autre que la sécurité sociale, tandis que le professeur titulaire a un ensemble de retraite retraite de retraite et de soins de santé. Les deux enseignent le même nombre d'années, mais on est confronté à un coucher de soleil de la pauvreté ou la nécessité de continuer à travailler bien au-delà de l'âge conventionnel de la retraite de 65 ans, tandis que l'autre peut se retirer confortablement et continuer à enseigner ou faire des recherches pour la satisfaction plutôt que la nécessité financière.

    Le problème sous-jacent est le nombre de postes à pourvoir est beaucoup plus petit que le nombre de candidats qualifiés. La surproduction de travailleurs hautement qualifiés divise les classes moyennes en riches et en défavorisés le long de nouvelles failles.

    Guerre de classe: économique et culturel

    Cet écart grandissant entre le Protégé et le Non Protégé n'est pas seulement économique; C'est aussi culturel.

    Les Cosmopolitains mobiles qui obtiennent des positions protégées ont peu d'exposition aux défis des personnes non protégées, avec qui ils interagissent habituellement seulement en tant qu'employeur donnant des instructions aux femmes de ménage, aux nounous, aux marcheurs de chiens, aux serveurs, etc. Son livre 2012 Venir à l'écart: L'état de l'Amérique blanche, 1960-2010.

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  18. Murray a fait valoir que l'élite culturelle de l'Amérique - la classe moyenne supérieure mobile, hautement éduquée et en grande partie urbaine, c'est-à-dire la classe protégée - est un réservoir des valeurs traditionnelles (mariage, participation à l'église, établissement d'objectifs, etc.) -classe non protégée Amérique.

    Murray a posé que divers comportements et associations caractérisent chaque classe. La classe ouvrière, par exemple, est volontaire pour servir dans l'armée américaine, alors que les élites occupent des postes de pouvoir civils (par exemple, celles qui ordonnent aux volontaires de la classe ouvrière d'entrer dans les guerres permanentes des États-Unis). La classe d'élite poursuit l'enrichissement culturel, etc.

    Alors que de nombreux commentateurs considèrent les conclusions de Murray comme trop négatives, les récentes élections présidentielles ont accentué la fracture culturelle qu'il a décrite entre les «déplorables» de Hillary Clinton (que le président Obama a réprimandés pour leur attachement aux «canons et à Jésus») Si moralement supérieur) «progressistes».

    (Le mot est entre parenthèses parce que j'ai suggéré que ces "meilleurs" oints d'eux-mêmes sont au mieux des faux-progressistes, car ils soutiennent les politiques néolibérales d'exploitation qui sont tout sauf progressistes.)

    Il est douloureusement évident que la division économique entre superpositions protégées et non protégées trop bien sur les divisions culturelles de Murray.

    La classe «progressiste» du haut-milieu a le genre de mobilité sociale et financière et de sécurité - des quantités plus élevées de revenu et de richesse et des qualités de sécurité supérieures - hors de portée de la plupart des ménages non protégés du pays.

    Tous les avantages que procure la classe moyenne supérieure - la mobilité sociale, l'accès à l'enseignement supérieur moins les fardeaux écrasants de la dette de prêt étudiant, les liens familiaux et sociaux qui mènent à des carrières lucratives, les parents qui peuvent se permettre de donner leurs voitures descendantes et les acomptes Pour les maisons-sont accretive: chacun renforce les autres.

    L'intensité des défis de la vie est considérablement différente pour chaque classe. Avec un revenu plus élevé et une plus grande sécurité (comme avoir une assurance santé stable), la classe protégée peut se permettre de mieux prendre soin d'elle-même; Ils ont de multiples couches de coussins financiers contre les difficultés inévitables de la vie telles que les licenciements, les maladies qui nécessitent des congés de maladie / procédures coûteuses, accidents automobiles, etc

    Pour les élites protégées, l'intensité de ces défis est atténuée par les ressources financières et sociales. Les connexions sociales mènent à un nouvel emploi dans la même profession, l'assurance-maladie plaquée or couvre la plupart des coûts de la maladie, et une assurance auto ample remplace le véhicule détruit avec un minimum de perturbation.

    Dans le même temps, pour les ménages non protégés, chacune de ces difficultés est potentiellement dévastatrice: un emploi sécurisé ne peut jamais être remplacé, une maladie peut conduire à la faillite et la perte d'un véhicule fiable peut paralyser la capacité du ménage de se rendre au travail et de gagner de l'argent Nécessaire pour acheter une autre voiture.

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  19. Le contrat social du 20ème siècle a créé des filets de sécurité financés par l'État pour ceux qui connaissent des licenciements et des urgences médicales. Mais ces programmes étaient en grande partie conçus pour fournir une aide temporaire à ceux qui «revenaient sur leurs pieds».

    Alors que les fondements de la mobilité et de la sécurité de la classe moyenne s'érodent, ces programmes se transforment en systèmes permanents de bien-être à vie. Cela crée de nouveaux stress et divisions sociales.

    Les Pitchforks sont Sharpened

    Mais cette protection contre les non protégés n'est pas la seule guerre de classe qui se prépare. Beaucoup de personnes protégées ressentent que leur sécurité est de plus en plus vulnérable et que d'autres sont fatigués d'être des ânes fiscaux. Tout le monde se sent défensif et droit à leur tranche actuelle de la tarte. Comme la tarte se rétrécit, peu de céder leurs revendications volontairement.

    Le résultat net: un effondrement du consensus politique dans les camps en guerre.

    Dans la Partie 2: Le Livre de Guerre de Classes, nous montrons pourquoi la pénurie de ressources - de l'énergie bon marché, de la dette bon marché, de la part de travail de l'économie, du fruit faible de la mondialisation - clôturera bientôt tout mouvement de masse en classes concurrentes . Notre société civile, complexe et interdépendante, engendrera des conflits de classe également complexes et interdépendants. Bref: il n'y aura pas une seule guerre de classe, il y en aura beaucoup, faisant rage dans les champs de bataille sociaux, politiques et économiques. Comprendre comment ces nombreuses guerres seront menées est essentiel pour survivre intactes. Cliquez ici pour lire la partie 2 du présent rapport (résumé analytique gratuit, inscription requise pour un accès complet)

    http://www.zerohedge.com/news/2017-02-16/political-consensus-splintering-class-wars

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  20. 11 Faits extrêmement alarmants sur l'infrastructure en ruine de l'Amérique


     Par Michael Snyder,
    le 16 février 2017



    Ce que votre perspective politique particulière est, s'il y a une chose que pratiquement tout le monde aux États-Unis peuvent convenir, c'est le fait que l'infrastructure de l'Amérique est en ruine. Les générations précédentes d'Américains ont conquis un continent entier et ont érigé le plus grand système d'infrastructure que le monde ait jamais vu, mais maintenant des milliers et des milliers de ces projets d'infrastructure extrêmement impressionnants ont des décennies et nécessitent désespérément de réparation ou de mise à niveau. L'échec presque catastrophique du barrage d'Oroville est un parfait exemple de ce dont je parle. Nous devrions construire la prochaine génération de projets d'infrastructure pour nos enfants et nos petits-enfants, mais au lieu de cela nous sommes tellement désolés que nous ne pouvons même pas suivre l'entretien et l'entretien des grands projets d'infrastructure qui nous ont été transmis .

    Il était une fois que personne sur la planète entière ne pouvait même s'approcher de notre infrastructure, mais maintenant notre infrastructure en ruine est devenue une blague pour une grande partie du reste du monde industrialisé. Malheureusement, ce n'est qu'un autre symptôme de notre effondrement économique à long terme. Nous ne sommes tout simplement pas en mesure de mettre autant de notre argent vers l'infrastructure que les générations précédentes d'Américains ont fait et, par conséquent, nous avons un énorme gâchis sur les mains. Ce qui suit sont 11 faits profondément alarmants sur l'infrastructure en ruine de l'Amérique ...

    # 1 Selon l'Association américaine des constructeurs de routes et de transports, près de 56 000 ponts aux États-Unis sont actuellement «structurellement déficients». Ce qui rend ce chiffre encore plus froid est le fait que les véhicules traversent ces ponts un total de 185 millions de fois par jour.

    # 2 Plus d'un pont sur quatre aux États-Unis a plus de 50 ans et «n'a jamais eu de grands travaux de reconstruction».

    # 3 Amérique n'a pas un seul aéroport qui est considéré comme étant dans le top 25 dans le monde.

    # 4 L'âge moyen des barrages de l'Amérique est maintenant de 52 ans.

    # 5 Il n'y a pas si longtemps, la Société américaine des ingénieurs civils a donné la condition des barrages de l'Amérique un «D» grade.

    # 6 Dans l'ensemble, la Société américaine des ingénieurs civils a déclaré que la condition de l'Amérique dans son ensemble l'infrastructure obtient seulement un "D +" grade.

    # 7 La congestion sur nos routes coûte aux Américains environ 101 milliards de dollars par an en gaspillage de carburant et de temps.

    # 8 Selon le ministère américain des Transports, plus des deux tiers de nos routes ont «un besoin urgent de réparations ou d'améliorations».

    # 9 Afin de réparer complètement toutes nos routes et ponts, il faudrait environ 808 milliards de dollars.

    # 10 Les dépenses fédérales en infrastructures ont diminué de 9% au cours de la dernière décennie.

    # 11 Selon Bloomberg, on prévoit «qu'en 2025, les déficits dans les investissements dans les infrastructures entraîneront une perte de 3,9 billions de dollars par rapport au produit intérieur brut des États-Unis».

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  21. La qualité de notre infrastructure affecte tous nos vies chaque jour. Par exemple, nous tenons tout simplement pour acquis que de l'eau potable sûre et propre va sortir de nos robinets, mais les événements récents ont montré que ce ne sera pas nécessairement toujours le cas.

    Il suffit de demander aux résidents de Flint, Michigan.

    Les conduites d'eau, les systèmes d'égouts et les installations de traitement de l'eau dans tout le pays vieillissent et ont un besoin urgent de réparation. Bien sûr, la même chose pourrait être dit au sujet de notre réseau électrique. Il n'a jamais été conçu pour traiter autant de personnes, et aux jours les plus chauds de l'été, la tension sur la grille est très évidente.

    Et bien sûr, le réseau électrique est extrêmement vulnérable à un événement d'impulsion électromagnétique, et c'est quelque chose que j'ai abordé dans mon livre sur la préparation. Il a été prévu qu'il ne coûterait que deux milliards de dollars pour durcir le réseau contre un événement EMP, mais nos politiciens refusent de dépenser l'argent.

    Pendant ce temps, le président Trump a tout à fait raison quand il dit que nos aéroports ressemblent à quelque chose que vous verriez dans un pays du tiers monde. La plupart de nos aéroports ont au moins plusieurs décennies d'existence, et ils montrent clairement leur âge.

    Mais les choses sont encore pires quand on regarde d'autres systèmes de transport en commun à travers le pays. Alors que d'autres nations comme le Japon et la Chine investissent d'énormes quantités d'argent dans le train à grande vitesse, nous ne faisons rien à côté, même si ce que nous avons actuellement est absolument pathétique.

    Je pourrais continuer à parler de nos ports, de nos écoles, de nos cours d'eau, de nos parcs, etc., mais je crois que vous avez compris.

    Les instincts du président Trump ont raison sur l'argent quand il dit qu'il veut dépenser un billion de dollars sur l'infrastructure. Sans aucun doute, nous en avons désespérément besoin.

    Le problème est que nous sommes à plat cassé.

    Nous avons 20 billions de dollars de dettes et nous ajoutons

    Nous sommes endettés à 20 billions de dollars, et nous ajoutons chaque année plus d'un billion de dollars à ce total.

    Alors, où allons-nous obtenir l'argent ?

    Il est facile pour les libéraux de dire que nous devrions augmenter les impôts, mais combien plus vous allez sortir des consommateurs américains ? Les deux tiers du pays vivent du salaire au chèque de paie, et nous venons d'apprendre que la dette des ménages des États-Unis a atteint un total de 12,58 billions de dollars.

    Il était une fois, l'Amérique était la nation la plus riche sur la planète entière et nous pourrions nous permettre de construire audacieux, de nouveaux projets d'infrastructure de la mer à la mer brillante.

    Mais aujourd'hui, nous avons la plus grande montagne de la dette dans l'histoire du monde et nous ne pouvons même pas se permettre de réparer ce que nous avons déjà.

    Quand je parle de notre effondrement économique à long terme, c'est précisément ce dont je parle. Nous sommes manifestement en déclin depuis très longtemps, et quiconque voudrait suggérer autrement n'est tout simplement pas honnête avec vous.

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/11-deeply-alarming-facts-about-americas-crumbling-infrastructure

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  22. Le paradoxe de l'agriculture: les revenus des agriculteurs et les achats d'équipement


    Par Tyler Durden
    16 février 2017 21h31


    La semaine dernière, nous avons écrit au sujet du dernier rapport semestriel du ministère des Finances des États-Unis sur les revenus agricoles qui a peint une image très sombre pour le fermier américain. Dans ses premières prévisions pour 2017, l'USDA a enregistré une baisse des recettes monétaires agricoles de 14% par rapport à 2015 et de 36% par rapport au sommet précédent en 2012, alors que l'endettement agricole continuait de monter et que l'effet de levier a atteint des sommets historiques.

    Vous trouverez ci-dessous un résumé de certains des principaux points à emporter:

    Les revenus agricoles réels en 2017 devraient baisser en dessous de 2010, ce qui représente une baisse de 36% par rapport au pic récent et une baisse de 14% depuis 2015.

    - voir graphique sur site -

     Entre-temps, la dette agricole continue à augmenter à un rythme étonnant ...

    - voir graphique sur site -

    Alors que l'effet de levier des agriculteurs a atteint le niveau le plus élevé depuis au moins 1960.

    - voir graphique sur site -

    Et bien sûr, des revenus plus faibles signifie moins d'argent à dépenser sur de nouveaux tracteurs John Deere brillants, le capex des équipements devant diminuer de 35% par rapport à 2015.

     - voir graphique sur site -

    Et enfin, les rendements des agriculteurs ont chuté aux plus bas niveaux de jamais été. Nous ne sommes pas sûrs de vous, mais un 2,1% ROIC semble un "faible faible", même dans notre environnement de taux d'intérêt rigged actuel.

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    En résumé, les agriculteurs ne font pas d'argent, mais parviennent à peine à rester à flot en ajoutant une dette massive et en réduisant les dépenses en immobilisations.

    En outre, le résumé ci-dessus a été apparemment confirmé récemment lorsque ISI a publié ses dernières données sur les volumes de ventes en Amérique du Nord pour les tracteurs et les moissonneuses-batteuses. Il n'est pas surprenant que les volumes de janvier aient diminué de 20% à près de 50% en glissement annuel, comme c'était le cas pour la plupart des années 2015 et 2016.

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    Ce qui nous amène à notre point final, qui est, ce que sont exactement les investisseurs John Deere voir que nous ne sommes pas ?

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    Bien que nous comprenions certainement le concept d'investissement dans les actions cycliques au bas de leur cycle de résultats, nous sommes un peu moins familiarisés avec la stratégie de tarification complète dans une reprise plusieurs années à l'avance tout en continuant à acheter ces mêmes stocks cycliques à tout moment Les hauts et les pics.

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    Cela dit, nous sommes convaincus que ces multiples auront la marge de manœuvrer même «au sommet» demain lorsque John Deere rapportera les bénéfices ... nous ne pouvons pas attendre pour voir des marchés efficaces au travail.

    http://www.zerohedge.com/news/2017-02-16/ag-paradox-farm-incomes-and-equipment-purchases-tank-while-john-deeres-stock-soars

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