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Ils travaillent la nuit !
450 m d'autoroute finis dans la nuit !
Faut dire qu'au prix du litre d'essence...
Prix pour un gallon (3,78 l.) de gaz: 1,12 $ (1999) contre 2,44 $ (2017)
Prix du baril (159 l.) de pétrole: 14,36 $ (mars 1999) contre 53,18 $ (2017)
9:38 : 75 % du bruit enregistré sur la route vient... des pneus.
Chine: Autoroute, +5000 km/an !
Plus de la moitié des Américains soutiennent l’interdiction temporaire des réfugiés
RépondreSupprimer1 févr. 2017, 17:10
Un sondage montre que la population américaine paraît dans son ensemble approuver la décision de bloquer l’accès aux Etats-Unis aux citoyens de sept pays musulmans, mesure qui été largement critiquée à travers le monde.
57% des Américains interrogés par l’institut américain Rasmussen se sont prononcés pour une interdiction temporaire de la venue aux Etats-Unis de réfugiés venant de Syrie, d’Irak, d’Iran, de Libye, de Somalie, du Soudan et du Yémen. 33% étaient contre et les 10% restants indécis.
Lire aussi
L'équipe de Trump est soudée pour défendre le décret controversé par lequel le président américain a interdit l'accès de son pays aux ressortissants de sept pays arabes «On ne joue pas avec la vie des Américains» : le chef de la Sécurité défend le décret de Trump
Il est à préciser que l'institut de sondage posait ses questions sans mentionner le décret signé par Donald Trump. La question, posée entre le 25 et le 26 janvier était ainsi formulée : «Etes-vous pour ou contre une interdiction temporaire sur les réfugiés de Syrie, d’Irak, d’Iran, de Libye, de Somalie, du Soudan et du Yémen avant que le gouvernement fédéral n’améliore sa possibilité de filtrer les terroristes potentiels pour éviter qu’ils ne viennent ici ?»
Ces chiffres rencontrent un écho avec le sondage de Reuters/Ipsos, selon lequel 49% d’Américains interrogés ont approuvé le décret de Donald Trump et seulement 41% étaient contre. 51% de partisans du parti républicain se sont déclarés «tout à fait d’accord» et 53% de partisans démocrates «tout à fait en désaccord» avec cette mesure restrictive.
En outre, le sentiment public envers les migrants n’a pas beaucoup évolué depuis août dernier. A l’époque, selon un sondage de Rasmussen, 59% des personnes interrogées souhaitaient la tenue d’un moratoire temporaire à l’entrée des réfugiés musulmans sur le sol américain, pour s’assurer que des terroristes ne se glissent pas parmi eux. Et en septembre, plus de la moitié, 59%, s’opposaient à un projet de la candidate Hillary Clinton d’augmenter considérablement l’accueil de réfugiés syriens, contre seulement 25% l’approuvant.
Lire aussi : Trump défend son décret sur l'immigration, qui provoque colère et applaudissements dans le monde
https://francais.rt.com/international/33327-moitie-damericains-soutiennent-interdiction-refugies
Rappelons que SEULS les 'Dirigeants' acceptent que le peuple soit envahie par des terroristes car eux... ils ferment la porte chez eux !!
SupprimerPetite histoire du propriétaire de zoos qui sillonne l'Afrique en promettant aux animaux de leur donner à manger si ils viennent en Europe !
Le président et l'immigration
RépondreSupprimerJudge Andrew P. Napolitano.
le 2 février 2017
Le week-end dernier, nous avons tous assisté à une grande indignation du public dans les grandes villes du pays. Il visait la publication d'une ordonnance du 27 janvier, signée par le président Donald Trump, traitant de l'immigration. Avec l'ordre exécutif, le président a ordonné la suspension de l'entrée de tous les réfugiés aux États-Unis pendant 120 jours, ainsi que toute personne de Syrie pour une période indéterminée et toute personne de l'Iran, l'Irak, la Libye, la Somalie, le Soudan et le Yémen pendant 90 jours .
La foule de manifestants, qui comprenait des membres du Congrès, a appelé le président un tyran. Le président a soutenu qu'il protégeait légalement le pays de ceux qui pourraient faciliter les attaques terroristes ici. Peut-il légalement faire cela ?
Voici l'histoire de retour.
La Constitution donne expressément au Congrès le pouvoir de réglementer la naturalisation, qui est le processus de devenir un citoyen américain. Il ne lui donne pas expressément le pouvoir de réglementer l'immigration, qui est le processus d'entrée légalement dans le pays. De 1776 à 1882, le Congrès a reconnu cette distinction en restant largement silencieux sur l'immigration, et ainsi, n'importe qui pourrait venir ici de n'importe où, avec la seule réglementation réelle étant pour la santé publique.
En 1882, le Congrès s'est donné le pouvoir de réglementer l'immigration, soutenant que, même si la Constitution était silencieuse sur la question, le concept de nationalité donnait au Congrès la capacité de réglementer les frontières de la nation et donc de contrôler qui était autorisé à pénétrer à l'étranger. conditions.
En réponse à la concurrence économique des immigrants asiatiques en Californie - et au milieu de l'animus racial anti-asiatique - le Congrès a adopté la loi chinoise d'exclusion de 1882, qui a limité le nombre d'immigrants de la Chine pendant 10 ans. En 1892, le Congrès prolongea la loi pendant encore 10 ans, et en 1902, le Congrès a rendu la loi permanente. En 1924, le Congrès a adopté la Johnson-Reed Act, qui a restreint l'entrée aux États-Unis par des quotas en ce qui concerne les origines nationales. Les quotas ont été plafonnés en 1929, réduits en 1943 et sensiblement agrandis en 1965.
En 1952, le Congrès a adopté la Loi sur l'immigration et la nationalité, qui autorisait expressément le président à suspendre l'immigration de toute personne, catégorie de personnes ou groupe de personnes aux États-Unis pour des raisons de santé publique, de sécurité publique ou de sécurité nationale.
Les tribunaux ont maintenu ce pouvoir présidentiel parce que dans notre système, l'immigration affecte matériellement la politique étrangère de la nation et la politique étrangère est constitutionnellement le domaine du président - le rôle du Congrès étant limité à la confirmation sénatoriale des traités et des ambassadeurs et à l'autorisation de l'argent pour le président à dépenser. Pourtant, les tribunaux ont limité l'exercice de ce pouvoir par le président afin qu'il ne puisse pas se baser sur les libertés protégées par le Premier amendement, comme les libertés de parole, de religion et d'association. Il ne peut donc pas empêcher un immigrant en raison des opinions politiques de l'immigrant, de sa religion ou de ses collègues.
RépondreSupprimerEn 1979, le président Jimmy Carter a exercé ce pouvoir présidentiel pour empêcher quiconque de l'Iran d'entrer dans le pays jusqu'à ce que la crise des otages soit résolue. En 2011, le président Barack Obama a utilisé ce pouvoir présidentiel pour empêcher quiconque d'Irak d'entrer dans le pays pendant six mois.
Entrez le Président Trump.
En tant que candidat, Trump a promis qu'il sécuriserait les frontières de la nation de ceux qu'il juge nuisibles à la sécurité nationale pour des périodes de temps limitées - du moins jusqu'à ce que lui et ses subordonnés puissent déterminer un mécanisme plus précis pour séparer les vrais réfugiés de la Ceux qui cherchent l'entrée à des fins néfastes. À son huitième jour de mandat, il l'a fait.
La réaction a été rapide, forte et apparemment partout où des personnes nées à l'étranger, dont beaucoup de cartes vertes et de visas, ont été arrêtées et détenues dans les aéroports internationaux du pays samedi dernier. Au cours du week-end, les juges fédéraux de New York, de Boston, de Virginie et de Seattle ont jugé que l'ordonnance de Trump ne pouvait s'appliquer aux détenteurs de carte verte ou à ceux qui avaient reçu des visas délivrés par le Département d'État.
À son crédit, le gouvernement a reconnu que le libellé de l'arrêté exécutif devait être précisé parce que les détenteurs de cartes vertes, quel que soit le pays d'origine, ont le même droit de sortie et d'entrée que les citoyens. De plus, le gouvernement ne peut pas donner constitutionnellement à quelqu'un un avantage - comme un visa - puis annuler l'avantage parce qu'il a changé les normes d'émission par la suite. Donc, les changements Trump peut être prospective seulement.
Où cela nous laisse-t-il ?
Attendez-vous à de nombreux défis au Congrès et dans les tribunaux à l'ordre Trump parce que, les challengers vont argumenter, bien que son but déclaré n'était pas pour barrer un groupe religieux, son effet est largement d'interdire les musulmans. Bien sûr, les tribunaux s'en occuperont. La distinction entre objet et effet - qui existe dans de nombreux domaines de la loi, comme la déségrégation scolaire, la répartition législative et le droit de vote - n'a pas été acceptée par les tribunaux contre un président pour une interdiction temporaire d'immigration, Présidents sur la politique étrangère.
L'interdiction est-elle juste ?
RépondreSupprimerTout le monde sait que nous sommes une nation d'immigrants. Trois de mes grands-parents ont immigré ici comme des enfants. La plupart des gens reconnaissent que toutes les personnes ont le droit naturel de voyager, ce qui signifie qu'elles peuvent y entrer; Mais le pays a accepté les idées que nos frontières ne sont pas ouvertes, que l'Etat-providence ici n'est pas sans limites financières et qu'en des temps périlleux comme aujourd'hui, l'immigration est largement et légalement entre les mains du président, Lui ou non.
Pourtant, comme tous les pouvoirs gouvernementaux, en particulier ceux qui s'opposent souvent aux droits naturels lorsqu'ils sont exercés, le pouvoir de réglementer l'immigration doit s'exercer étroitement. Beaucoup de lecteurs sont ici parce que quelqu'un a quitté un autre pays pour les libertés qui sont respectées ici. Ces libertés sont naturelles pour tout le monde et attirent toujours les gens ici.
Le gouvernement ne peut interférer moralement et constitutionnellement avec la liberté personnelle que pour les raisons les plus contraignantes et en utilisant les moyens les moins restrictifs. Le gouvernement est-il fidèle à cette règle bien connue? Nous verrons bientôt.
http://www.judgenap.com/post/the-president-and-immigration
La question est de savoir si oui ou non les citoyens d'un pays ont le droit de poser des serrures à leurs portes ! Hahahaha !
SupprimerLa violence de Chicago "totalement hors de contrôle" en janvier; La ville en marche pour la plupart des homicides en 2 décennies
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
1 février 2017 23h30
Soumis par Joseph Jankowski via Planet Free Will
Chicago commence l'année 2017 à peu près comme elle l'a fait en 2016: en proie à la violence.
Le nombre de fusillades au mois de Janvier a presque doublé le dénombrement depuis le début de l'année dernière, qui a été l'année la plus sanglante à Chicago en plus de deux décennies.
Selon la police de Chicago, Janvier a terminé avec 51 meurtres, un de plus que l'année dernière. Par HeyJackAss !, voici comment les totaux du meurtre quotidien ont tendance au cours du mois passé:
- voir carte sur site -
Assassinats à Chicago
De ABC 7 Chicago:
La police a enregistré 51 meurtres à travers la ville le mois dernier, un de plus que Janvier 2016, le département a déclaré. Bien que, le département a déclaré dans un communiqué l'année dernière que 51 personnes ont été assassinées à Chicago en Janvier 2016
Trois districts policiers des quartiers sud et ouest de la ville - les districts d'Englewood, Harrison et Austin - représentaient environ la moitié des meurtres de la ville le mois dernier.
La police a compté 234 incidents de tir - huit de moins qu'en janvier 2016 - avec 299 victimes, soit une augmentation de huit par rapport à la même période l'an dernier.
Le district de Deering, qui était l'un des trois principaux districts de la ville pour les meurtres en 2016, a vu une réduction de 50 pour cent des meurtres le mois dernier par rapport à janvier 2016, a indiqué la police. Le département a déclaré que 59 des 77 quartiers de la ville soit est restée à plat ou vu une réduction des meurtres le mois dernier par rapport à janvier dernier.
Les policiers ont récupéré plus de 600 armes le mois dernier, soit une augmentation de plus de 60% par rapport à janvier 2016, a indiqué la police. Le ministère a également noté que les arrestations de pistolets dans l'ensemble ont plus que doublé par rapport à janvier 2016.
Assassinats à Chicago
RépondreSupprimerLors d'une réunion avec des membres de la communauté afro-américaine mercredi, le président Donald Trump a déclaré que si les responsables de Chicago ne prennent pas des mesures pour freiner la violence, «nous allons résoudre le problème pour eux.
"Parce que nous allons avoir à faire quelque chose ... Ce qui se passe à Chicago ne devrait pas se produire dans ce pays", a déclaré Trump.
Trump a appelé la violence à Chicago "totalement hors de contrôle."
Darrell Scott, un pasteur de l'Ohio qui a fait campagne pour Trump et qui était présent à la réunion du mercredi, a dit qu'il parlait aux membres de «gangs supérieurs» à Chicago qui voulaient s'asseoir et discuter comment abaisser le nombre de corps à l'intérieur de la ville. Par CBS Chicago 2:
"Ils m'ont contacté, parce qu'ils m'associent avec vous. Ils vous respectent. Ils croient en ce que vous faites, et ils veulent avoir un sit-down sur l'abaissement de ce nombre de corps. Donc, dans quelques semaines, je vais à Chicago ", a déclaré Scott. "J'ai dit que nous devions abaisser ce nombre de corps. Nous ne voulons pas parler d'autre chose; Et ils ont convenu que les directeurs qui peuvent le faire - ce sont des gars qui viennent de la rue, pas de politiciens, des gens de la rue - mais ils vont s'engager à ce que s'ils baissent ce nombre de corps, nous allons Entrez et nous ferons des programmes sociaux.
"C'est une excellente idée", a déclaré M. Trump au sujet d'une éventuelle rencontre impliquant des dirigeants de gangs et des programmes sociaux.
Le 24 janvier, le président Trump a tweeté que si Chicago est incapable d'arrêter le «carnage horrible» qui se passe, il serait prêt à «envoyer les feds.
Chicago a vu une énorme poussée de violence en 2016: 762 meurtres, 3 550 incidents de tir et 4 331 victimes de tournage, selon la police.
- voir graphique sur site:
http://www.zerohedge.com/news/2017-02-01/chicago-murders-january-surpass-violent-2016-putting-city-pace-most-homicides-2-deca
Rappel que l'ex sénateur de l'Illinois était à la Maison Blanche jusqu'au 20 Janvier !
SupprimerMouvement anti-Trump : raisons morales ou suggestion des médias ?
RépondreSupprimer2 févr. 2017
Les protestations continues contre Trump ne reflètent pas la réalité du pays, ce sont les grands médias qui dirigent tout le processus, mais il reste captivant de s'y intéresser, avec une certaine distance, estime Tim Young, auteur politique.
Tim Young est un comédien politique, présentateur et écrivain américain. Il est également expert politique et conseiller de différentes personnalités politiques.
RT : Starbucks vient de déclarer qu'ils allaient embaucher 10 000 réfugiés. Comment jugez-vous cette démarche ? Pensez-vous qu’il y a une motivation politique ou commerciale derrière cela, ou estiment-ils vraiment que c’est une bonne chose à faire du point de vue moral ?
Tim Young (T. Y.) : Je pense que cette annonce n'est pas moralement une bonne chose. C’est une démarche tout à fait commerciale et politique. S’ils voulaient aider les réfugiés, ils l’auraient fait avant que l'affaire ne soit totalement politisée. Ils ne le font que maintenant juste pour attirer plus de clients – ils voient ce large groupe de gens de gauche, qui protestent contre Donald Trump, et ils veulent en profiter. Et c’est un bon moyen de faire des affaires.
RT : Mais un contre-argument s’y oppose : il est possible qu’ils perdent les clients qui soutiennent Donald Trump. Beaucoup de gens peuvent penser qu’il faut en premier lieu donner des emplois aux Américains, et ne pas obligatoirement leur préférer les réfugiés, n’est-ce-pas ?
T. Y. : Nous venons de suivre la dernière élection présidentielle, dont le sujet principal de Donald Trump était «les Etats-Unis d'abord», cela paraît la bonne chose à faire. Mais il y a autre chose à prendre en compte, c’est que le PDG de Starbucks a tenté de s’engager en politique, en essayant de briguer un poste à responsabilité au sein du Parti démocrate au cours de ces dernières années. Mais personne n’en a parlé. En réalité, il a même envisagé de se présenter contre Hillary Clinton lors de la primaire démocrate.
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RT : Trump va à l'encontre des grandes sociétés qui ne sont pas d'accord avec ce qu'il essaie de faire. Pensez-vous que ce qui se passe avec Starbucks est symptomatique des difficultés auxquelles il fait face avec les grandes sociétés ?
T. Y : Il y a beaucoup de grandes entreprises qui soutiennent sa politique. C’est donc une sorte d'équilibre, mais ce que nous devons dire, c’est que c’est une stratégie politique qui peut vraiment se retourner contre elles – ou pas. Il semble que le pays est divisé à parts égales. Ce qui se passe maintenant c’est que Starbucks en retire une sacrée publicité. La preuve, c'est ce dont on parle en ce moment.
Ces boycotts ne marchent jamais, et le virtue-signalling n’a aucun effet non plus
RT : Quelle est la réaction générale à cette histoire aux Etats-Unis ?
T. Y. : C’est juste une nouvelle journée de manifestations, ce qu’on appelle le «virtue-signalling» [un mouvement social pour monter son attitude envers une personne ou exprimer la solidarité avec un événement – par exemple, Ice Bucket Challenge ou modification d’avatars par un groupe de personnes dans les réseaux sociaux]. Vous allez mettre un hashtag afin de signaler à vos amis que vous faites quelque chose, mais en réalité, tout le monde va passer prendre son café à Starbucks, ou tout autre café de proximité – n’importe où, il y en a partout. Ces boycotts ne marchent jamais, tout comme le virtue-signalling qui n’a aucun effet non plus.
RépondreSupprimerRT : Qu'en est-il de cette mobilisation aux Etats-Unis ? Le mouvement est-il en train de s'essouffler ?
T. Y. : C’est absurde, il n'est pas trop tôt pour que ça s'arrête. On n’arrivera à rien par ces protestations, qui commencent à perdre en ampleur. Une grande partie a été financée par George Soros et par de grandes entreprises aux intérêts opposés à Donald Trump. Vous pouvez réunir une foule tant que vous payez pour cela, mais les gens finissent par retourner au travail, comme d’habitude – il est difficile de manifester tous les jours contre le président américain quand vous avez un emploi.
Il est facile d’enrôler quelques milliers de personnes d'universités ou d’autres organisations, pour donner l’impression qu’il y a un tollé général contre le président
RT : On a l’impression que personne n’aime Donald Trump, si vous suivez les médias, mais, en fait, une grande partie de la société appuie le nouveau président – c’est pourquoi il est au pouvoir...
T. Y. : Cela ne pose pas de problème de rassembler une large foule, d’attirer les communautés libérales dans des grandes villes comme Washington, New York, Los Angeles ou San Francisco, où les grands médias sont basés. Il est facile d’enrôler quelques milliers de personnes d'universités ou d’autres organisations, pour donner l’impression qu’il y a un tollé général contre le président.
Quand vous allez au centre du pays, où il n’y a pas de grands médias, vous découvrez que le mouvement n’est pas si populaire, et que c’est plus répandu dans les communautés plus larges. Là-bas ils soutiennent Donald Trump. C’est juste l'influence des médias.
RT : Peut-on s’attendre à une trêve entre les médias et le nouveau président ?
T. Y. : Je ne le crois pas. Je ne parierais pas là-desssus ! Mais ça donne matière à beaucoup de sujets pour la télévision. Surtout si on se met à la place d'un téléspectateur extérieur, comme la communauté internationale qui observe tout cela, c'est amusant de regarder ces échanges entre la Maison-Blanche et la communauté médiatique. Les médias ne vont pas reculer, ni l’administration Trump. C'est intéressant de regarder ça comme un spectacle politique comique, Ce cera intéressant à suivre, avec une certaine distance.
Lire aussi : Crise du système médiatique : irrationalité à tous les étages !
https://francais.rt.com/opinions/33364-mouvement-anti-trump-raisons-morales-suggestion-medias
Alors que TOUT LE MONDE (5 milliards d'adultes sur 7 milliards d'habitants) refuse la venue d'immigrés (quelqu'un qui n'a pas choisi ce pays par amour mais seulement pour ses allocations versées aux étrangers qui se diraient 'réfugiés' !) à ne pas confondre avec les touristes (qui choisissent ce pays par amour et apportent de l'argent), les merdias internationaux (un seul chef pour tous !) parlent du contraire et se disent de parler 'au nom du Peuple' !!!
SupprimerSEUL LE PEUPLE PARLE POUR LE PEUPLE !
En procès contre UBS, la lanceuse d'alerte Stéphanie Gibaud dénonce «l'absence de l'Etat français»
RépondreSupprimer2 févr. 2017, 15:12
Elle dit qu'elle en «savait trop» : Stéphanie Gibaud s'est défendue jeudi 2 février face à son ex-employeur, UBS France, qui l'accuse de «diffamation» pour un livre décrivant des pratiques d'évasion fiscale de la banque. RT France est sur place.
L'affaire opposant UBS France et une ancienne cadre de la banque, Stéphanie Gibaud, était jugée le 2 février à partir de 13h30 devant la 17e chambre du tribunal correctionnel de Paris, spécialisée dans ce que l'on appelle les «délits de presse», très souvent des affaires de diffamation et d'injure.
Stéphanie Gibaud, que la filiale française du géant bancaire suisse UBS poursuit pour diffamation après que celle-ci a dévoilé dans un ouvrage des documents d'évasion fiscale présumée, est arrivée au tribunal entourée d'un comité de soutien.
Devant la caméra de RT France, celle qui se définit comme «un lanceur d'alerte» a salué la mobilisation de soutien avant de déplorer «l'absence de l'Etat français» dans cette affaire. «Comment l'Etat français qui dit protéger les lanceurs d'alerte accepte que je sois aujourd'hui devant les tribunaux ?», s'est-elle offusquée.
«C'est une ineptie que je sois à nouveau traînée devant les tribunaux, alors que j'ai déjà gagné deux fois, au pénal il y a sept ans et il y a deux ans devant les prud'hommes sur le harcèlement que j'ai vécu au sein de cette banque», a expliqué Stéphanie Gibaud à RT France.
Pratique du «carnet de lait»
L'affaire a démarré lorsque la banque UBS France a relevé une vingtaine de passages selon elle diffamatoires dans le livre La femme qui en savait vraiment trop, paru en 2014 aux éditions Le Cherche Midi.
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Stéphanie Gibaud, lanceuse d'alerte dans l'affaire UBS «Les corrupteurs et les corrompus s'en sortent beaucoup mieux en France» (EXCLUSIF RT)
La banque a donc a porté plainte contre l'auteur, qui a travaillé pendant une dizaine d'années pour elle, mais aussi contre l'éditeur.
UBS France dit vouloir «défendre et protéger ses salariés», ainsi que sa «réputation», contre des «accusations sans preuve ni articulation de faits précis» et dénonce les «nombreuses déclarations mensongères, les incohérences et contradictions contenues dans le livre».
Dans son ouvrage d'un peu plus de 200 pages, Stéphanie Gibaud raconte son travail à partir de septembre 1999 au sein de la filiale française d'UBS.
Chargée d'organiser des récitals, tournois de golf et autres réceptions luxueuses pour les clients ou potentiels clients de la banque, auxquels participent des commerciaux, elle dit découvrir la pratique du «carnet du lait», une procédure qui offrait aux chargés d’affaires la garantie de la reconnaissance comptable de leur opérations – importante pour le calcul de leur bonus – le tout «sans trace de flux» dans les outils officiels de la banque.
Il s'agit selon elle d'une comptabilité officieuse retraçant des fonds collectés en France mais transférés à l'étranger, en Suisse ou ailleurs, potentiellement pour échapper à l'impôt.
RépondreSupprimerLe livre détaille aussi les consignes de discrétion données aux commerciaux d'UBS lors de leurs déplacements à l'étranger : il leur est par exemple conseillé, en cas de contrôle, de verrouiller leurs ordinateurs en tapant plusieurs fois, et volontairement, un mot de passe erroné.
Sommée de détruire des preuves
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Une banque suisse Secret bancaire et évasion fiscale, vers la fin de la forteresse suisse
En juin 2008, alors que le groupe UBS a déjà été inquiété par la justice américaine, et que les soupçons de fraude fiscale s'accumulent en France, Stéphanie Gibaud dit avoir reçu la consigne de «détruire tous ses fichiers» informatiques, en particulier les listes de clients.
Elle raconte ensuite comment, face à son refus, la banque la prive peu à peu de ses responsabilités, et s'efforce de la pousser vers la sortie mais bute sur son statut de salariée protégée – elle siège au comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT).
Stéphanie Gibaud est alors persuadée qu'on la suit, que son téléphone est mis sur écoute, son ordinateur piraté. Elle sera finalement licenciée en 2012.
Le conseil de Prud'hommes de Paris a jugé en mars 2015 que l'ancien cadre avait été victime de harcèlement moral, et a condamné la banque à lui verser 30 000 euros de dommages et intérêts.
https://francais.rt.com/france/33375-en-proces-contre-ubs-lanceur-dalerte-stephanie-gibaud-denonce-absence-de-letat-francais
RépondreSupprimerCarla Ortiz : «La guerre en Syrie a été montée de toutes pièces»
2 févr. 2017
Témoignages d'habitants, mensonges des médias occidentaux et réalité du quotidien en Syrie... l'actrice bolivienne Carla Ortiz fait part de son expérience de plusieurs mois passés en Syrie, ravagée par la guerre.
Carla Ortiz est actrice et productrice bolivienne. Elle a tourné un documentaire sur la guerre en Syrie qui sera diffusé en juin 2017.
RT : Vous avez réalisé un film documentaire sur la guerre en Syrie. Comment en êtes-vous arrivés à vous lancer dans ce projet ?
Carla Ortiz (C. O.) : On en parle sans cesse, ce sujet est constamment dans les titres de tous les programmes d'information. On nous dicte l'idée selon laquelle le moyen-orient est une région où les conflits sont incessants, que c'est une situation sans issue. La mort des gens n'est plus que statistiques. J’ai alors commencé à chercher des réponses et je me suis aperçu que la réalité était complètement différente. Après cela, j’ai décidé d'aller en Syrie pour entendre la version des Syriens sur place.
RT : Une religieuse argentine, Guadalupe Rodrigo, qui est en Syrie depuis plusieurs années, fait partie de ceux qui croient que le conflit a été planifié, qu'il ne s'agit pas d'un soulèvement spontané du peuple syrien.
C. O. : Après avoir traversé 75% du pays, j’ai compris que mon dialogue avec ses habitants se répétait constamment. Quel que soit le lieu, le statut social ou la religion de l’interlocuteur, j'obtenais la même réponse : la guerre a été montée de toute pièce, délibérément et soigneusement. Des femmes m'ont raconté que certaines personnes s’adressaient à elles en leur proposant des téléphones par satellite pour qu’elles puissent filmer les émeutes, les troubles, puis transmettre les vidéos finales à la chaîne de télévision saoudienne Al Arabiya.
RT : Guadalupe Rodrigo affirme également que, du point de vue syrien, les médias occidentaux ont menti dès le début et ont déformé la réalité. Que vous ont dit les Syriens des médias occidentaux ?
C. O. : Ils ont perdu confiance en ces médias occidentaux, car ces derniers ont souvent abusé des informations auxquelles ils ont eu accès. Ils ont déformé les histoires, ou omis certaines parties des interviews, utilisant tout au profit du mécanisme qu'ils avaient créé. En conséquence, vous êtes perdu et ne savez pas où est la vérité, tout devient très trompeur.
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Si vous allez en Syrie, vous verrez que les vrais Syriens parlent de paix, d'unité, d'amour
RT : Autre fait intéressant : vous mentionnez dans votre film, qu'il n'y avait pas de correspondants étrangers sur le terrain lors de la bataille d’Alep…
C. O. : Il n’y en avait pas. Il y en avait à Alep, ils étaient dans le même hôtel que moi. Je les voyais au petit déjeuner le matin, j'ai fait leur connaissance, je connais leurs noms... mais, pour une raison que j'ignore, ils n’étaient pas sur la ligne de front.
RépondreSupprimerQui y était ? Après tout, j'y suis allée et il n'y avait pas de bombardements de la population civile. J'y étais, et j’ai échappé à plusieurs balles. Qui rapportait les nouvelles ? J'étais à Alep Est et ne pouvais pas dire à mon père que je me portais bien, que j’étais vivante. Mais certains militants criaient, filmant tout cela sur leurs téléphones : «On nous tue !», «Oh, je vais mourir !» Quel type de communication par satellite utilisaient-ils ? S’ils avaient une communication par satellite, c’est qu’ils étaient partisan de l’autre bord. C’est une des complexes contradictions où rentrent en jeu le facteur humain et la logique.
RT : Il y a également l'histoire de Bana, une petite fille qui aurait twitté depuis Alep. C’est une histoire très répandue en Occident. Cette histoire est-elle crédible, étant qu'il n'y avait tout simplement aucun accès à internet ?
C. O. : Je ne peux pas imaginer ça, tout simplement parce que nous tournions sans éclairage à cause de l’absence d'électricité. Même dans la partie ouest d'Alep, qui était sous protection, nous ne pouvions pas utiliser ni prises et ni recharges pour nos appareils. D’où viennent ces vidéos, où elle est en train de lire des livres électroniques ? Très souvent, sur ses vidéos, on n’entend même pas de coups de feu. Comment une fille de sept ans peut-elle dire qu'elle se moque d'une troisième guerre mondiale tant que Bachar ne gagne pas ?
Un enfant syrien ne choisirait jamais entre la guerre et la mort. Il est difficile de l'expliquer aux gens. Mais si vous allez en Syrie, vous verrez que les Syriens parlent de paix, d'unité, d'amour. Cela ressemble à de la poésie, mais cela s’entend dans leurs propos, où que vous alliez. J'ai parlé avec eux, avec des enfants qui ont été forcés de se battre de côté des extrémistes, qui ont été forcés de tuer, et ils m’ont dit : «Nous ne voulons que la paix. Nous voulons reconstruire notre pays.» Je trouve difficile de croire que ce conflit ne soit pas le résultat d'une manipulation externe par certaines forces ayant une autre philosophie de vie.
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RT : Vous avez mentionné un fait intéressant : ces vidéos, soi-disant filmées à Alep, où on n’entend pas d'explosion, alors même que tout le monde dit que cette ville est constamment bombardée.
C. O. : C’est amusant, parce que pendant huit mois de fréquents voyages en Syrie, dans certaines villes, le bombardement avait lieu une fois par semaine ou une fois tous les deux jours. On entendait des coups de feu toutes les trois heures.
RépondreSupprimerQuand nous étions à Darayya lors de la bataille pour le contrôle de la ville, on entendait des explosions toutes les 15-20 minutes. Mais à Alep on entendait des explosions chaque minute, toutes les 30 secondes. Une nuit, un bombardement a duré quatre heures sans interruption. A cette époque, je ne voulais qu'une seule chose, me réveiller vivante et pouvoir commencer une nouvelle journée. Dans toutes mes vidéos on entend des coups de feu. Donc, je ne comprends pas où ces vidéos ont été filmés s’il n’y a pas ces sons, surtout si ces vidéos ont soi-disant été tournées à Alep Est…
RT : Selon vous, la communauté internationale est-elle responsable du conflit en Syrie ? Quel degré de responsabilité incombe à l'armée syrienne ? Vous parlez d'une perception très différente de l'armée syrienne par le peuple syrien...
C. O. : Je ne dirai jamais qu’il n’y a aucune opposition, bien sûr, elle existe. Et je connais beaucoup de gens qui en font partie, j'ai beaucoup d'amis dans l'opposition et nous avons échangé à ce sujet. Mais l'opposition syrienne ne porte pas d'armes. L'opposition syrienne aime la Syrie et elle ne détruit pas son pays. Des opposants syriens qui se trouvent à l’étranger rêvent de revenir dans leur patrie. Je pense qu'à un moment donné la communauté internationale a décidé que le peuple syrien voulait se débarrasser de cette forme de gouvernement, et par conséquent, par une sorte de complot, le mouvement en faveur de la révolte a apparu. Cependant, je pense qu'en réalité la situation est tout à fait différente. Et c'est devenu tout à fait évident après six ans de guerre. Sinon, ils auraient déjà déposé leur président. L'armée syrienne est actuellement composé principalement de volontaires, de filles et de garçons de dix-huit ans. Ce sont des enfants qui, au lieu de communiquer par WhatsApp et de faire des selfies, portent des armes et tentent de vaincre le terrorisme. Par conséquent, je crois que la communauté internationale devrait reconsidérer sa politique étrangère, la politique que nous avons menée en Syrie, y compris celle des sanctions économiques contre ce pays. Après tout, le pétrole syrien se vend encore et toujours, mais qui en bénéficie ? Et ce n'est pas mon imagination, on peut facilement trouver tout cela sur internet. Ce sont les terroristes, les groupes extrémistes qui bénéficient de tout cela.
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L’ancienne citadelle d’Alep rouvre ses portes aux visiteurs (VIDEO)
Ce n’est pas l'armée de Bachar Al-Assad, c’est l’armée syrienne
RT : Est-ce que vous avez eu la possibilité de parler avec des soldats de l'armée syrienne ? Comment perçoivent-ils la situation ? Par exemple quand les médias occidentaux mettent en circulation des rumeurs selon lesquelles, pendant l'évacuation d'Alep, l'armée syrienne s'est livrée à des brutalités contre les civils.
C. O. : Ce n'est pas vrai. J'ai encore des vidéos sur mon portable, je les ai publiées et diffusées. Qui, selon vous, m'a protégée pendant que j'y étais ? Je ne vais pas demander la protection de l’Etat islamique ou d'al-Nosra. Les terroristes ne me protégeront pas. Il faut d'abord avoir en tête qu'ils ne me permettront pas de me déplacer librement et me feront porter des vêtements totalement enveloppant. C'est l'armée syrienne qui m'a protégée, j'ai beaucoup parlé avec eux. Il s’agit de simples soldats. Parmi eux, il y a des ingénieurs civils, beaucoup de médecins, d'architectes, même des pêcheurs. Ce sont eux qui me défendaient. Ce sont les «méchants» de l'armée de Bachar el-Assad. Mais ça n’est pas l'armée de Bachar Al-Assad, c’est l’armée syrienne. Voulez-vous que je vous dise ce qu'ils ont fait ? Ils se sont mis en rang, formant une sorte de mur humain, pour que les évacués puissent sortir sains et saufs, tandis que les tireurs isolés ont essayé de les attaquer. La chose la plus triste, dans tout cela, est que personne ne gagne dans cette guerre, nous y perdons tous. Après tout, les terroristes ont des enfants, eux aussi ! Et, à cause de leurs pères, ces enfants restent à la maison et meurent aussi. Pour le moment, les enfants n'ont pas le choix, ils n'ont pas la possibilité de choisir et c'est ça le plus difficile. Bien sûr, des gens meurent, la guerre est ce qu'elle est. Et beaucoup d'injustices nous attendent encore à l'avenir.
RépondreSupprimerRT : La participation desdits «Casques blancs», cette hypothétique organisation non gouvernementale dont on a dit qu'elle avait des liens avec les gouvernements américain et britannique, dans le conflit a été débattue. Est-ce que vous avez été témoin de la participation des «Casques blancs» dans la guerre en Syrie ?
C. O. : Bien sûr, je voulais les interviewer, quand j'étais à Alep. J’ai posé des questions à leur sujet. A mes questions sur les «Casques blancs», tout le monde m'a répondu qu’ils ne les connaissaient pas. Je parle de gens qui ont traversé Alep d'est en ouest, qui ont été enfermés dans la ville et complètement coupés du monde extérieur, dans la partie orientale d'Alep, pendant ces quatre années. Je leur ai montré les photos, expliquant : « Ce sont eux, les "casques blancs", l'organisation pacifique qui vous aide.» Mais ils m'ont répondu: «Non, non ! C'est l'Etat islamique !» Pour eux, l'Etat islamique, ce sont tous les terroristes et cela leur importe peu qu'il y ait au minimum 47 organisations terroristes…
Lire aussi : Les Casques blancs nominés aux Oscars : le prix du «meilleur film de propagande» les attend
https://francais.rt.com/opinions/33365-carla-ortiz-guerre-syrie-montee-toutes-pieces
SupprimerAjoutons que - bizarrement ? - AUCUNE guerre antécédentes n'a vue en France des 'réfugiés' ! Çà alors ! Même que dans les 'réfugiés' il y a des personnes venues de pays qui ne sont PAS en guerre avec quiconque ! Hahahaha !
La fin de l’extrême pauvreté
RépondreSupprimerle 2 février 2017
Grâce à la révolution industrielle et au commerce, la croissance économique dans l’Occident s’est accélérée à des niveaux historiquement sans précédent.
Par Marian Tupy.
Un article de la Foundation for economic education
La fin de l'extrême pauvreté
Comme l’a expliqué la Banque mondiale, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, « moins de 10% de la population mondiale vit dans une extrême pauvreté depuis la fin de 2015 ».
La banque a « utilisé un nouveau revenu de 1,90 $ par jour pour définir l’extrême pauvreté, contre 1,25 $ auparavant. Elle a estimé que la proportion de la population mondiale dans cette catégorie passe de 12,8% en 2012 à 9,6% ».
Comme le savent les chercheurs, historiquement parlant, l’extrême pauvreté était la norme pour la plupart des gens ordinaires. Même dans les régions les plus économiquement avancées du monde, la vie était misérable.
Pour donner un exemple, à la fin du XVIIIe siècle, dix millions des vingt-trois millions de Français dépendaient d’une sorte de charité publique ou privée pour survivre, et trois millions étaient des mendiants à plein temps.
La révolution industrielle sans précédent dans l’Histoire
Grâce à la révolution industrielle et au commerce, la croissance économique dans l’Occident s’est accélérée à des niveaux historiquement sans précédent. Au cours des XIXe et XXe siècles, les revenus réels se sont multipliés par quinze. Mais l’abîme qui s’est ouvert à la suite du décollage de l’Occident se termine maintenant.
- voir graphique sur site -
La montée du monde non occidental est, sans ambiguïté, le résultat de la croissance économique stimulée par l’abandon de la planification centrale et l’intégration de nombreux pays non occidentaux dans l’économie mondiale. Pour donner un exemple, après la libéralisation économique en Chine en 1978, les revenus réels ont augmenté de treize fois.
Comme l’indique le professeur Angus Deaton de l’Université de Princeton dans son livre The Great Escape :
« La croissance rapide des revenus moyens, en particulier en Chine et en Inde, et particulièrement après 1975, a beaucoup contribué à réduire l’extrême pauvreté dans le monde. En Chine surtout, mais aussi en Inde, l’évasion de centaines de millions de personnes venant de la pauvreté traditionnelle et établie constitue la plus grande évasion de toutes. »
https://fee.org/articles/the-end-of-extreme-poverty-and-the-great-fact/
https://www.contrepoints.org/2017/02/02/279751-fin-de-lextreme-pauvrete
(...) Comme l’a expliqué la Banque mondiale, pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, « moins de 10% de la population mondiale vit dans une extrême pauvreté depuis la fin de 2015 ». (...)
SupprimerC'est UNIQUEMENT en Chine et SEULEMENT GRÂCE A ELLE que la pauvreté à baissé en Chine et dans le monde !
(...) La banque a « utilisé un nouveau revenu de 1,90 $ par jour pour définir l’extrême pauvreté, contre 1,25 $ auparavant. (...)
Il y a des gens qui sont riches avec 1,90$ (ou 1,25$) tandis qu'il y a des pauvres qui ont 10 fois plus !
Tout dépend donc dans quel pays ils vivent et de combien l'Etat vole ses habitants.
Comme quoi il faut expliquer pourquoi n'y a qu'en Chine que les pauvres deviennent riches
Brise-glaces russes bloqués dans l'Arctique et yachts au-dessus de volcans sous-marins
RépondreSupprimerAdapt 2030
YouTube
mar., 31 jan. 2017 20:37 UTC
Des briseurs de glace russes sont bloqués dans une glace de mer complètement inattendue et d'une épaisseur inhabituelle. Mais bon on nous a dit que la calotte glaciaire disparaissait.
Les navires Kapitan Dranitsyn et Almirante Makarov « coincés » à l'est pour le reste de l'hiver après avoir été piégés au large de Chukotka.
Un yacht privé a navigué à travers des pierres ponces flottantes et puis il a ensuite vu un volcan sous-marin et il a navigué par-dessus. L'article du journal Herald de la Nouvelle-Zélande, est un article épique et une bonne étude d'un cas de « Le biais du réchauffement climatique des médias ».
- voir clip sur site :
https://fr.sott.net/article/29958-Brise-glaces-russes-bloques-dans-l-Arctique-et-yachts-au-dessus-de-volcans-sous-marins
Maintenant, les algorithmes battent les gérants de fonds spéculatifs
RépondreSupprimerArnaud Lefebvre
2 février 2017
Plusieurs des hedge funds (fonds spéculatifs) se targuant d’avoir les meilleures performances font appel à des algorithmes.
La domination de l’investisseur humain traditionnel est radicalement mise au défi par la technologie, affirme l’équipe du fonds LCH Investments, un fond de hedge funds géré par le groupe Edmond de Rothschild, et qui tient la liste annuelle des 20 meilleurs gérants de hedge funds.
DH Shaw, Citadel et Two Sigma, qui font appel à des algorithmes informatiques, figurent dans ce top 20 de la gestion alternative.
DH Shaw, détenteur d’un portefeuille de 27 milliards de dollars, a fait son entrée dans le classement à la 3ème place. Citadel est la 5ème place et Two Sigma à la 20ème place.
LCH estime qu’avec Pure Alpha Fund, qui utilise également pour partie des algorithmes informatiques, ces 3 fonds ont permis à leurs souscripteurs d’empocher près de 90 milliards de dollars de bénéfices cumulés au cours des 10 dernières années.
Succès
Le classement de LCH Investments montre selon les observateurs que des stratégies commerciales quantitatives modernes sont de plus en plus importantes pour les fonds spéculatifs.
« Ces systèmes automatisés sont utilisés par un certain nombre de fonds d’investissement pour avoir à disposition des sources de données alternatives, de nouvelles analyses d’investissement et l’intelligence artificielle. »
En tête du classement de LCH Investments, on trouve le fonds Bridgewater, géré par Ray Dalio, et qui a dégagé près de 50 milliards de dollars de bénéfices depuis son lancement dans les années 70. Le Soros Fund Management, géré par George Soros, occupe la deuxième place, avec des gains cumulés de près de 42 milliards de dollars sur 45 ans.
Comment fonctionnent les hedge funds ?
Les fonds spéculatifs tentent de se protéger des risques liés à l’investissement si bien qu’ils ne gagnent ou ne perdent pas d’argent via le jeu des valeurs financières sur les marchés. Ils tirent leur rendement principalement en faisant appel à l’effet de levier (ils engagent de montants supérieures aux capitaux dont ils disposent) qui font beaucoup appel aux produits dérivés, notamment aux options, pour générer des rentabilités élevées.
https://fr.express.live/2017/02/02/ordinateurs-meilleures-performances-fonds-speculatifs/
SupprimerIls savent aussi perdre et/ou tromper pour gagner. Seule la vitesse excessive y parvient.
Nous sommes constitués de poussière d’étoiles …
RépondreSupprimerle 2 février 2017
Carl Sagan, fameux astrobiologiste et auteur de nombreux ouvrages de vulgarisation scientifique, avait coutume de dire que nous sommes tous constitués de poussière d’étoiles, et c’est vrai. L’astronome Jennifer Johnson de l’Université de l’Ohio a coloré le tableau périodique des éléments en fonction de l’origine de chacun d’entre eux et je me suis amusé à digresser sur cette belle illustration dont on apprend beaucoup. Notre corps est composé de 7 octillions d’atomes (nombre qui s’écrit avec un 7 suivi de 27 zéros) que ce soit l’azote et le phosphore de notre ADN, le calcium de nos os et de nos dents ou encore le fer de notre sang … Tous proviennent de l’explosion d’étoiles massives ou naines mis à part l’hydrogène (et l’hélium) qui préexistaient dans l’univers depuis le « big-bang » datant conventionnellement de 13,8 milliards d’années. Comme notre étoile, le Soleil, ne date « que » d’environ 5 milliards d’années, il s’en est passé des choses en 8,8 milliards d’années et tous les éléments chimiques plus lourds que l’hélium proviennent d’explosions d’une (ou plusieurs) étoiles ayant précédé la naissance de notre Soleil et de son système de planètes.
- voir tableau sur site -
Dans ce tableau périodique aux couleurs de l’arc-en-ciel ou presque on retrouve les éléments les plus courants constitutifs de la matière vivante dans la deuxième ligne après l’hydrogène lui-même l’élément le plus abondant dans notre corps : carbone, azote et oxygène (C, N et O). Dans la troisième ligne figurent deux métaux essentiels à la vie, le sodium et le magnésium (Na et Mg) puis le silicium le phosphore, le soufre et le chlore (N° 14, 15, 16 et 17), des éléments essentiels à la vie mis à part le silicium (voir notes) et tous issus de l’explosion d’une étoile massive. Dans la quatrième ligne, les deux premiers éléments sont encore très important pour la vie, le potassium et le calcium (K et Ca). Viennent ensuite une série de métaux dits de transition dont certains jouent un rôle incontournable dans certaines activités métaboliques : le chrome (Cr, trivalent) complexé à certains facteurs à activité insulinique, puis le fer, le cobalt, le nickel, le cuivre et le zinc, tous cofacteurs d’enzymes ou de pigments. Le fer est un élément structural de l’hémoglobine, le cobalt fait partie intégrante de la vitamine B12 et le cuivre et le zinc sont impliqués dans de nombreuses voies métaboliques importantes. Le rôle biologique du brome (Br) n’est pas prouvé chez les mammifères. Dans la cinquième ligne du tableau périodique la situation est plus claire puisque deux éléments seulement se retrouvent dans notre corps, le molybdène (Mo) et l’iode (I). Le molybdène est essentiel pour certaines activités enzymatiques de détoxification et l’iode se retrouve exclusivement lié aux hormones thyroïdiennes T3 et T4.
En résumé notre corps a besoin pour vivre de 20 éléments, tous formés au cours de l’explosion d’une étoile massive ou d’une étoile dite naine blanche mis à part l’hydrogène, la mère de tous les autres éléments chimiques. Le système solaire est issu de l’explosion d’une étoile massive et tous les éléments constitutifs de la croute terrestre sont issus de cette étoile et nous-mêmes sommes finalement de la poussière d’étoile.
Surgit alors une question à laquelle il est impossible d’apporter une réponse dans l’état actuel de nos connaissances mais qui préoccupa Carl Sagan : cette étoile massive ancêtre de notre Soleil était-elle entourée d’une ou plusieurs planètes sur lesquelles apparut une forme de vie durant les quelques 8 milliards d’années précédant son explosion puisqu’on a retrouvé des molécules chimiques relativement compliquées sur des comètes ? La vie n’est-elle pas l’aboutissement d’un processus naturel quand les conditions favorables à son apparition sont réunies comme sur notre Terre ? Nous ne pouvons pas affirmer que seule notre Terre est favorable à la vie dans l’Univers.
RépondreSupprimerSource : sciencealert.com
Notes. Les éléments en grisé, technetium et promethium, sont instables et n’existent pas dans la croute terrestre. Le promethium fait partie de la famille dite des « terres rares » et a été prédit comme devant exister selon le tableau périodique des éléments. L’isotope 99 du technetium est par contre produit industriellement par bombardement neutronique d’uranium 235 hautement enrichi (donc de qualité militaire) car il est utilisé dans le monde entier pour divers radiodiagnostics médicaux. C’est la raison pour laquelle cette production est étroitement contrôlée. J’ai écrit quelques billets sur les problèmes d’approvisionnement en Tc-99 sur ce blog.
La liste ci-dessus a été établie de mémoire et si je me suis un peu attardé sur le cas du molybdène c’est tout simplement parce qu’il m’est arrivé au cours de ma carrière de biologiste de m’intéresser un temps à un enzyme, la xanthine oxydase, nécessitant un atome de molybdène pour être fonctionnel. Quant au silicium, le métal le plus abondant dans la croute terrestre, il semble jouer un rôle limité dans les propriétés structurales du collagène et de l’élastine, des protéines constitutives de l’ensemble de l’organisme dont en particulier les vaisseaux sanguins ou encore la peau. L’aluminium, l’autre métal le plus abondant dans la croute terrestre, n’a paradoxalement aucun rôle biologique.
Mes lecteurs croiront que j’ai oublié le fluor et si je ne l’ai pas mentionné c’est tout simplement parce que cet élément n’a aucune activité biologique connue. L’effet supposé bénéfique du fluor sur les caries dentaires n’est qu’un artefact largement exploité par les fabricants de dentifrices. Il n’y a pas de fluor dans la dentine ni dans l’émail dentaire. Le seul effet du fluor pourrait être une conséquence de son activité inhibitrice sur les phosphatases, des enzymes pouvant être excrétés par les bactéries des plaques dentaires et attaquant éventuellement l’émail. Je sens que ma remarque risque de soulever une polémique mais j’en assume l’entière responsabilité …
Enfin il était opportun de rappeler cette citation prémonitoire de Carl Sagan datant de 1995 tirée de son livre Demon-Haunted World : Science as a Candle in the Dark traduit par mes soins le mieux possible :
» La science est beaucoup plus qu’un corpus de connaissances. C’est une façon de penser. J’ai comme une vision du monde dans lequel vivront mes enfants et petits-enfants où l’Amérique sera une économie de services et d’information, quand la quasi-totalité des industries manufacturières aura émigré vers d’autres pays, quand des outils technologiques impressionnants seront entre les mains d’un très petit nombre, alors plus personne représentant l’intérêt public ne pourra prendre conscience de ce problème. Les gens auront perdu la possibilité d’organiser leur propre vie ou de remettre en question le rôle des responsables [politiques]. En nous raccrochant à nos boules de cristal et en consultant nerveusement nos horoscopes, notre sens critique aura décliné, nous serons devenus incapables de faire la distinction entre ce qui est bon et ce qui est vrai, alors nous glisserons presque sans nous en rendre compte dans la superstition et l’obscurantisme« .
RépondreSupprimerLe texte anglais est ici : Science is more than a body of knowledge; it is a way of thinking. I have a foreboding of an America in my children’s or grandchildren’s time — when the United States is a service and information economy; when nearly all the key manufacturing industries have slipped away to other countries; when awesome technological powers are in the hands of a very few, and no one representing the public interest can even grasp the issues; when the people have lost the ability to set their own agendas or knowledgeably question those in authority; when, clutching our crystals and nervously consulting our horoscopes, our critical faculties in decline, unable to distinguish between what feels good and what’s true, we slide, almost without noticing, back into superstition and darkness.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/02/02/nous-sommes-constitues-de-poussiere-detoiles/
AK-47 Maker s'immobilise en plein essor des commandes d'exportation
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
Feb 2, 2017 2:45 AM
Alors que le monde tourne au milieu des tourbillons du moyen-orient, de la dysphorie de Donald Trump et des crises de colère terroristes, il y a un argent pour certains. Comme le signale MSN, le fabricant de la mitrailleuse semi-automatique AK-47 dit qu'il est d'augmenter le personnel de 30% en raison d'une flambée des commandes à l'exportation.
Pour rappel, cette poussée de la demande suit les sanctions américaines interdisant l'importation d'armes à feu Kalachnikov en provenance de Russie en 2014.
Le groupe Kalashnikov a diffusé lundi un communiqué de presse de son bureau de Moscou, indiquant qu'il créera encore 1 700 emplois cette année.
"Suite à la croissance du volume de production, qui a été tirée par la hausse du nombre de commandes à l'exportation, il a été décidé d'augmenter le nombre d'employés du Groupe", a déclaré Alexey Krivoruchko, PDG du Groupe Kalachnikov.
"Le défi auquel nous sommes confrontés est de gérer le nombre croissant d'ordres. Pour les réaliser, à partir d'avril 2017, la production se déroulera en trois équipes", a t-il ajouté.
Le groupe Kalachnikov a déclaré qu'il employait environ 5 500 personnes à la fin de 2016. Le nouveau personnel sera recruté pour travailler comme technicien de service, broyeur, outilleur et opérateur de machine.
Voir modèles sur site:
http://www.zerohedge.com/news/2017-02-01/ak-47-maker-staffs-amid-surge-export-orders
Le juge a ordonné d'imposer une peine plus longue pour agression sexuelle de 3 ans
RépondreSupprimerBrittny Mejia
Une cour d'appel a annulé cette semaine la sentence controversée de 10 ans d'un juge du comté d'Orange pour un homme qui a sodomisé une fille de trois ans.
La cour d'appel du 4ème district de Californie a conclu mardi que Kevin Rojano-Nieto devrait servir au moins 25 ans et a ordonné un renvoi. Une date de résiliation n'a pas été fixée immédiatement.
Rojano-Nieto, alors âgé de 19 ans, a été condamné en 2014 pour avoir sodomisé une toute-petite de 3 ans, une parente, qui avait erré dans un garage où elle jouait à des jeux vidéo.
La jeune fille a raconté à sa mère ce qui s'était passé et a été emmenée dans une clinique de l'hôpital, où une infirmière a effectué un examen d'agression sexuelle.
Rojano-Nieto a été arrêté le même jour et finalement avoué, affirmant que la sodomie a duré "cinq secondes".
Il a fait face à un minimum de 25 ans de prison.
L'année dernière, M. Marc Kelly, juge de la Cour supérieure du comté d'Orange, s'est retrouvé dans une tempête de fouet quand il a condamné Rojano-Nieto à 10 ans, déclarant que la peine plus élevée serait une «punition cruelle et inhabituelle».
Au moment de la détermination de la peine, les superviseurs du comté d'Orange réclamaient la démission du juge et des milliers de personnes signaient des pétitions condamnant ses actes.
La cour d'appel a conclu qu'une peine d'emprisonnement de 25 ans n'est pas «si disproportionnée» à l'égard du crime.
"Nous concluons que Rojano a commis une infraction grave et grave quand il a sodomisé Jane Doe", a déclaré le jugement. "Par conséquent, une peine de 25 ans à la vie n'est pas grossièrement disproportionnée par rapport au crime et ne constitue pas une punition cruelle et inhabituelle en vertu du huitième amendement à la Constitution des États-Unis".
Le bureau du procureur général, qui avait fait appel de la sentence, a déclaré dans une déclaration qu'il applaudit la décision.
«Ce fut une bonne journée pour les enfants victimes d'agressions sexuelles brutales et les gens du comté d'Orange», Dist. Orange County Dist. Atty. A déclaré Tony Rackauckas.
http://www.latimes.com/local/lanow/la-me-ln-oc-assault-sentence-20170202-story.html
SupprimerS'il y avait un mur anti-immigration, cela ne se serait pas passé.
Ici en Californie, à la 3è infraction: c'est la prison à vie !
SupprimerTrump suggère de réduire les fonds fédéraux à UC Berkeley après des manifestations violentes sur Yiannopoulos
RépondreSupprimerUn discours de conservateur et Milo Yiannopoulos a été annulé mercredi à l'UC Berkeley au milieu de violentes manifestations qui ont incité le président Trump à suggérer de réduire le financement de l'université.
Matt Hamilton, Teresa Watanabe et Peter H. King
On ne sait pas très bien si Trump menaçait réellement de réduire le financement ou de faire quelque chose de rhétorique. Le plus grand système d'UC, dont Berkeley est le campus phare, reçoit des milliards de dollars du gouvernement fédéral pour financer divers programmes, notamment la recherche, l'aide aux étudiants et les programmes de soins de santé.
L'université reçoit plus de 8,5 milliards de dollars en dollars fédéraux pour l'éducation, la recherche et les soins de santé - une part importante du budget du système de 25 milliards de dollars. Les fonds fédéraux représentent la plus importante source de financement de la recherche, soit plus de 3 milliards de dollars.
«Jusqu'à présent, je ne pourrais pas être plus heureux. Red California appuie Trump, considère les manifestations comme une réaction excessive
Les discussions de Yiannopoulos, et les tentatives de parler, dans d'autres campus, y compris UC Davis, ont généré des protestations et la colère des étudiants et du corps professoral, mais les hauts fonctionnaires UC ont généralement dit qu'ils croient qu'il a le droit de parler.
Dan Mogulof, un porte-parole de l'UC Berkeley, a déclaré que les responsables du campus allaient à «des longueurs extraordinaires» pendant des semaines de planification pour aider les républicains du Collège de Berkeley à se préparer à l'événement.
Des douzaines de policiers ont été amenés dans neuf des 10 campus de l'Université de Californie pour aider, a t-il dit. Mais ce n'était pas assez pour empêcher ce que Mogulof a dit était une agression "sans précédent" sur le campus.
Des représentants de l'Université ont annulé l'événement de Berkeley environ deux heures avant que Yiannopoulos ne prenne la parole au syndicat étudiant, où plus de 1 500 personnes se sont rassemblées à l'extérieur.
Un certain nombre de personnes portant du noir et utilisant des tactiques paramilitaires avaient «essentiellement envahi le campus», a déclaré Mogulof. Ils ont lancé des feux d'artifice de qualité commerciale à la police, ont lancé des feux et lancé des barricades aux fenêtres, a t-il dit.
"Nous condamnons profondément la violence et le comportement anarchique et nous regrettons profondément que les actions de quelques-uns ont piétiné les droits du 1er amendement des autres", a déclaré Mogulof.
Yiannopoulos, 32 ans, écrit pour Breitbart News - un site populaire parmi l'extrême droite - et il est un partisan avoué du président Trump. Il est également un provocateur flamboyant qui a été dénoncé pour la propagation du racisme, la misogynie et anti-islam, mais il se considère comme un champion de la liberté d'expression.
Cet été, il a gagné de la notoriété pour encourager un barrage de harcèlement contre les "Ghostbusters" actrice Leslie Jones, qui a poussé Twitter à l'interdire de la plate-forme des médias sociaux.
Suivez les dernières nouvelles de Trump Administration sur Essential Washington »
RépondreSupprimerLa polémique, les troubles et, parfois, la violence ont suivi ses apparitions dans une tournée de conférences dans les collèges à travers les États-Unis, sur lequel Berkeley devait être le dernier arrêt. Le mois dernier, un homme a été abattu devant une salle de l'Université de Washington où Yiannopoulos était censé prendre la parole.
La décision de mercredi des responsables de Berkeley est la deuxième fois en deux semaines que des protestations acharnées ont forcé l'annulation de l'une de ses conférences. UC Davis a également annulé un de ses discours le mois dernier.
A Berkeley, la police s'est heurtée aux manifestants, et une grande partie de l'université a été mise en lock-out. La police du campus a ordonné à plusieurs reprises aux manifestants de quitter la zone, menaçant la foule d'être arrêtée. La plupart ont refusé de partir.
À un moment donné, certains ont renversé une génératrice qui allumait un projecteur, et la machinerie s'est incendiée dans la place en dehors du syndicat étudiant. Les flammes ont créé des images dramatiques provenant d'hélicoptères télévisés.
La police du campus n'a rapporté aucune blessure majeure et environ une demi-douzaine de blessures mineures, a déclaré l'université dans un communiqué.
Sur sa page Facebook, Yiannopoulos a déclaré que les «violents manifestants de gauche» avaient brisé le rez-de-chaussée d'un immeuble, déchiré des barricades et jeté des pierres.
"Mon équipe et moi sommes en sécurité", a déclaré Yiannopoulous.
De façon caractéristique, il a souligné le chaos sur le campus pour mettre en évidence son programme: «Une chose que nous savons avec certitude: la gauche est absolument terrifiée de la liberté d'expression et fera littéralement quoi que ce soit pour l'arrêter.
Les manifestants semblaient autant attirés par la plate-forme de Yiannopoulos que par l'ascendant plus large de la politique d'extrême-droite.
Un employé de navire à la retraite originaire de Fresno, il s'est tenu près de l'arrière de ceux rassemblés et a dit qu'il a apporté le signe à une série de protestations récentes, y compris une marche récente des femmes, les manifestations d'aéroport au-dessus des restrictions de voyage d'atout et une protestation à UC Davis.
"Nous allons partout où les gens s'opposent à Trump et à son régime fasciste", a déclaré Bitter. Il considérait la vaste majorité des manifestants comme pacifique et attribuait la violence à une poignée d'anarchistes, qui portaient pour la plupart des vêtements noirs.
D'autres distribuèrent des tracts jaunes, appelant Yiannopoulos «un outil du gouvernement fasciste possessif de Trump».
«Il n'a pas le droit de parler à Cal ou ailleurs», déclarait le dépliant.
RépondreSupprimerÀ 8 heures du soir, la foule avait diminué à quelques centaines et s'est répandue dans les rues, marchant vers le bas Telegraph Avenue. Le groupe avait un élément de carnaval, avec une bande de cinq morceaux de jazz qui se sont réunis par hasard, avec tuba, trombone et joueurs de clarinette marchant dans l'étape.
"Certains sont venus à dessein. Certains sont venus à l'accident ", a déclaré l'un des membres de la bande, qui a refusé d'être identifié.
Mais la légèreté fut éclipsée par des rafales de violence. Une poignée de manifestants ont fracassé des goujons dans une banque de guichets automatiques. Photos sur les médias sociaux ont montré des fenêtres brisées aux entreprises.
Le groupe étendu a arrêté la circulation aux avenues de Telegraph et de Durant, où un conducteur a labouré une conduite intérieure blanche dans la foule. L'un des manifestants s'est emparé de la voiture pour un bloc, puis a roulé sain et sauf.
Un autre automobiliste a été blessé par la foule. Bryan Quintana, 29 ans, qui livre de la nourriture pour un restaurant italien, était dans une voiture près de l'assemblée quand il a dit qu'il a été touché et poivré par certains des manifestants.
«Je conduisais très lentement. Et quelqu'un a frappé ma voiture et quelqu'un a frappé mon bras, et m'a frappé la tête », a déclaré Quintana. Ses yeux étaient rouges et son bras gonflé. Il a été secoué, mais d'autres manifestants se sont arrêtés et se sont précipités pour verser de l'eau sur lui, pour réduire la piqûre de l'aérosol de poivre. Plus tard, il est parti pour livrer une commande à environ un kilomètre de distance.
Mardi, Yiannopoulos a parlé à Cal Poly San Luis Obispo, où l'université a soutenu pour de grandes manifestations et a posté plus de 100 policiers. Environ 150 manifestants sont arrivés et sont restés pacifiques, et il n'y a eu aucun rapport d'arrestations, selon le San Luis Obispo Tribune.
Dans ses remarques, Yiannopoulos a exalté Cal Poly pour avoir une population d'étudiant qui était pour la plupart un homme, a harcelé l'avortement et a donné des instructions sur la façon de demander à son fonds de bourses pour hommes seulement, la «concession de privilège", selon le texte de ses remarques publiées Par Breitbart.
L'annulation de son discours à l'UC Davis a suscité un débat sur les limites de la liberté d'expression et de la haine. Davis College républicains a décidé qu'il était dangereux de continuer l'événement après un grand nombre de manifestants ont bloqué l'accès au lieu, selon un communiqué de l'école.
Le chancelier intérimaire de l'UC Davis, Ralph Hexter, a déclaré qu'il était "profondément déçu" par les protestations et l'annulation et a dit qu'il craignait que les groupes extérieurs utilisent les campus universitaires pour déclencher les conflits destinés à la scène nationale.
"Je suis très, très alarmé par des gens qui ne traitent pas [la liberté d'expression] pour le trésor qu'il est," il a dit il y a deux semaines.
Jusqu'à présent, le système des UC a résisté aux appels pour annuler les pourparlers de Yiannopoulos. À midi, quelques heures avant l'événement de mercredi, les administrateurs de Berkeley ont publié une déclaration disant qu'ils étaient engagés à la tolérance ainsi que la liberté d'expression.
RépondreSupprimerAu cours des semaines qui ont précédé l'apparition prévue de Yiannopoulos à Berkeley, les administrateurs ont reçu des centaines de lettres de professeurs, d'étudiants et d'autres exigeant qu'ils l'empêchent de parler.
Une lettre d'une douzaine de membres du corps professoral a fait valoir que son discours pourrait être annulé au motif que ses actes - qu'ils appelaient «harcèlement, calomnie, diffamation et discours de haine» - violaient le code de conduite de UC Berkeley.
http://www.latimes.com/local/lanow/la-me-milo-yiannopoulos-berkeley-20170201-story.html
SupprimerS'il y avait un mur anti-immigration, cela ne se serait pas passé.