Plus rien ne marche pour dénigrer Trump ? Dites simplement qu’il est fou ! (VIDEO)
9 févr. 2017, 12:01
Les merdias americains s'embarrassent de moins en moins dans leurs accusations contre Donald Trump. Maintenant ils le qualifient tout simplement de «cliniquement malade» et ce pour une raison très simple...
Donald Trump a déjà été accusé de tous les vices du monde. Le président est sexiste, raciste, xénophobe, islamophobe, misogyne… Vous pensez la liste complète ? Hé non ! Car le traiter tout simplement de psychopathe est bien plus limpide ! RT revient en vidéo sur la frénésie psychiatrique qui s'est emparée des médias américains au sujet du nouveau président.
Pour une fois les pourfendeurs de l’amélioration variétale de plantes ne me contrediront pas, les tomates que l’on trouve dans le rayon légumes des supermarchés ne sont plus ce qu’elles étaient il y a 30 ou 40 ans. Des tomates fermes, à peine juteuses, d’un couleur franchement rouge, dégageant une odeur caractéristique provenant de dérivés de la famille des carotènes, ne cherchez pas : ces tomates n’existent pratiquement plus. La grande majorité des tomates ont été soigneusement sélectionnées durant les quelques 50 dernières années afin de murir lentement, de résister par elles-mêmes aux champignons et autres moisissures et surtout de se prêter à toutes sortes de transformations comme le ketchup ou les concentrés utilisés pour la confection des pizzas. La tomate est devenue un fruit typiquement industriel, sans goût ni attrait, un détestable produit commercial. Certes on trouve maintenant des tomates dites « cerises » attachées les unes aux autres naturellement, c’est uniquement pour la satisfaction visuelle car elles sont tout aussi insipides. Il faut musarder dans des boutiques averties pour trouver quelques tomates à l’aspect plutôt sinistre pour satisfaire ses papilles gustatives produites par de petits agriculteurs courageux qui ont le « goût » du risque.
Aujourd’hui la production de tomates est une véritable industrie. Ces fruits – oui, il s’agit de fruits et non pas de légumes – apparentés aux pommes de terre, sont produits dans des conditions contrôlées, souvent en hydroponie, c’est-à-dire en l’absence de terre, les racines étant imbibées automatiquement de liquides nutritifs, sous serre, stérilement, afin d’obtenir des tomates toutes de la même couleur, toutes de la même taille, facilement emballées et expédiées parfois à des milliers de kilomètres de leur lieu de production. Le revers de ce succès est un produit gorgé d’eau, sans goût aucun, bref une sorte d’ersatz repoussant.
Et ce résultat d’une sélection intense qui débuta au cours des années soixante a provoqué la disparition des gènes qui justement rendaient les tomates attractives de par leur senteur et la fermeté de leur chair. La sélection vers des tomates résistantes aux champignons et capables de rester sur les linéaires des supermarchés plus d’une semaine a été atteinte au détriment des propriétés organoleptiques qu’appréciaient nos parents et grands-parents. Aujourd’hui, on peut s’offrir un kilo de tomates insipides pour 1 euro ou si on est regardant et si on a les moyens financiers on peut s’offrir des tomates « comme autrefois » pour 10 euros le kilo, pas toutes de la même taille ni de la même couleur mais de vrais fruits que l’on peut déguster comme tels.
Le souci est que si les maraîchers voulaient produire des tomates, allez, on va dire industrielles, avec les saveurs d’antan, il faudrait réintroduire les gènes bien identifiés qu’elles ont perdu par sélection mais cette fois par génie génétique, en d’autres termes des tomates transgéniques qui redeviendraient de vraies tomates. N’est-ce pas là une absurdité ?
Je ne parle pas d’écologie telle qu’elle est appréhendée dans les hautes sphères dirigeantes, je pense à la famille royale d’Angleterre et au Prince Charles, au Club de Bilderberg, à Al Gore ou encore à la Banque Mondiale, mais à l’homme de la rue, le simple quidam comme tout un chacun qui s’est laissé endoctriner par des activistes de l’ombre, dûment payés par le Deep State pour répandre la propagande climatique, que ce soit la presse main-stream ou les chaines de télévision ou encore des publications qui n’ont de scientifique que la sophistication de leurs mensonges.
Aujourd’hui cette propagande monstrueuse fait que si on n’est pas écolo alors on est fasciste, complotiste, négationiste d’extrême droite, en un mot un être malfaisant qu’il faut éliminer comme l’Inquisition a éliminé Giordano Bruno. Il est de bon ton d’être écolo et sympathisant communiste comme le montre cette photo prise du balcon de mon modeste logement au centre du centre-ville de Santa Cruz de Tenerife il y a quelques jours. La couleur de l’écologie c’est comme une pastèque, c’est vert à l’extérieur et rouge à l’intérieur mais les vrais écolos, ceux qui manipulent tous ces gogos qui n’y comprennent rien, ce sont les groupes de pression qui ne sortent pas de leurs châteaux, de leur loft avec vue sur Central Park ou de leurs yachts de luxe. Ils engrangent méthodiquement les bénéfices de leurs propagandes sur le dos de tous ceux, les consommateurs anonymes, qui se sont fait piéger par des politiciens qu’ils ont élu et qui sont vendus à leur cause. Triste scène très caricaturale prise au hasard avec mon modeste Fuji X10, objectif 28 mm, 10 M pixels.
Une entreprise chinoise remplace 90 % des employés de l'atelier par des robots
Coriolan Devellopez.com lun., 06 fév. 2017 19:01 UTC
...Et voit sa production augmenter de 250 %
Pendant le mois de décembre, des scientifiques et des conseillers de l'ancien président des États-Unis Barack Obama ont publié un rapport sur les effets de l'automation sur le marché de l'emploi et l'économie américains. Les experts notent que l'IA présente un potentiel énorme de croissance et de richesse en raison de l'augmentation de la productivité, néanmoins, ils mettent en garde contre les menaces de l'emploi et l'aggravation de l'inégalité des salaires entre les salariés qualifiés et ceux moins qualifiés.
Durant les cent dernières années, des millions d'emplois ont été remplacés par des robots. L'automation a conquis de nombreux postes d'emploi comme ceux des standardistes, des agents de voyage ou encore les travailleurs dans la chaine de montage. Aujourd'hui, l'IA menace de remplacer les chauffeurs de taxi et d'Uber et s'en prendra probablement aux chauffeurs de poids lourds durant la prochaine décennie, une industrie de poids aux États-Unis qui fournit plus 3,8 millions d'emplois. Enfin, quelques chaines de restaurants fastfood ont déjà commencé à installer des kiosques et des systèmes de commande automatique.
Mais c'est en Chine que ce phénomène commence à prendre de l'ampleur. Une des premières usines robotisées à Dongguan a récemment remplacé 590 de ses ouvriers avec des robots et les résultats ont été stupéfiants. Seulement 60 employés travaillent encore dans l'usine et leur principale tâche est de s'assurer que les machines sont en bon état et marchent parfaitement. Bien que 60 est un nombre faible d'employés pour superviser une usine, les robots font un si bon travail que le management de l'entreprise a dit que le nombre d'employés humains pourrait être réduit davantage à 20 employés seulement.
La Changying Precision Technology Company se concentre essentiellement sur la production de téléphones mobiles et utilise des lignes de production automatisées. Les bras robotisés produisent certaines pièces de téléphones mobiles à chaque station et l'usine utilise même des camions de transports autonomes. Depuis la transition vers des robots, le nombre de pièces produites par personne par mois est passé de 8000 à 21 000, soit une augmentation de 250 %. Cette progression ne s'est pas faite au détriment de la qualité, en effet, le nombre de produits défectueux a diminué de 25 % à seulement 5 %.
Cette entreprise n'est pas la seule qui s'est lancée dans la voie de la robotisation. En Chine, l'initiative Made In China 2025 a pour but d'appliquer les avancées en technologie dans la production, un processus qui implique le recours à l'automation. Il n'est pas clair quel sera le destin de millions d'ouvriers dans le pays, mais cette étape ne fera surement pas l'affaire de ceux qui militent pour de meilleurs salaires et conditions de travail.
S'il est clair que l'automation est en quête de perturber le marché de l'emploi, les estimations ne s'entendent pas sur la vitesse avec laquelle cette tendance va se propager. Adidas est l'une des firmes qui ont déjà annoncé leur intention à robotiser entièrement leurs usines. Au Japon, Fukoku Mutual Life Insurance, une entreprise japonaise d'assurances, veut augmenter la productivité de son entreprise de 30 % grâce à un projet mené en collaboration avec la filiale japonaise IBM Watson. Fukoku évoque un système de codage automatique d'évaluation de certificats médicaux qui va s'appuyer sur Watson. Ce système va permettre à l'entreprise de se séparer de 34 employés et augmenter sa productivité de 30 %.
Les études qui mettent en garde contre la robotisation accrue ne manquent pas, des dizaines de métiers sont menacés de disparaitre et aucune économie n'est prête à faire cette transition pour le moment. S'il est vrai que l'automation a ses avantages et permet d'atteindre des objectifs impressionnants, il ne faut pas non plus négliger le fait qu'elle affecte négativement le marché de l'emploi pour le moment. En France, le Syndicat national de la banque et du crédit (SNB), deuxième organisation syndicale du secteur bancaire en France, a exprimé, lors d'une conférence de presse, son inquiétude au sujet d'une éventuelle substitution d'emplois dans le secteur par l'IA. D'après Régis Dos Santos, président du SNB, ces technologies qui émergent dans les établissements bancaires pour venir épauler les conseillers dans leurs tâches quotidiennes (réponses aux e-mails des clients, vérifications règlementaires, opérations de conformité, etc.), peuvent en effet finir par les écarter.
Investir dans un dépanneur est plus rentable que d'acheter une voiture qui ne sert que quelques heures par jour et coûte cher. Après la machine à laver qui lave votre linge, la machine à café qui vous propose ses boissons chaudes et les calculettes qui ne se trompent jamais, voici qu'un autre robot travaille pour vous: le dépanneur multi-service ! Vive l'esclavage de la machine !
L'électricité de l'Australie méridionale arrive à votre rencontre
February 9th, 2017
Hier, 90 000 clients ont perdu l'énergie en SA (ce qui en fait Blackout Round 5 depuis le grand dernier septembre).
Cette fois, c'était dû à la perte de charge.
Les faiblesses du pouvoir de SA se répandent à l'échelle nationale, à commencer par Victoria, prévient le Conseil australien de l'énergie
Le gouvernement fédéral doit prendre des mesures urgentes pour améliorer ses politiques énergétiques avant que le reste de l'Australie ne soit victime du type de pannes d'électricité de grande envergure subies en Australie-Méridionale, a annoncé le Conseil australien de l'énergie.
Ce n'est pas seulement que les énergies renouvelables réduisent l'approvisionnement en électricité (avec des problèmes de fréquence et d'instabilité), elles conduisent également un brochet à travers le marché de l'énergie. Ce sont deux disrupteurs distincts. Nous avons assisté à des pics inexplicables dans les prix de l'électricité en SA dans les saisons où il ne devrait pas arriver, mais cela pourrait être une nouvelle forme de volatilité. L'énergie éolienne produite 900MW plus tôt dans la journée, mais qui est tombé à moins de 100MW dans les 6 heures (ce qui n'est pas que d'habitude, voir le post hier pour le graphique). Le problème, apparemment, était que personne ne pensait qu'il valait la peine d'allumer leurs générateurs ?
SA a assez de génération (si seulement il était en cours d'exécution), mais quand le crunch est venu, le marché a échoué:
Il a demandé la mise en marche de plus de groupes électrogènes, mais n'a pas reçu de «soumissions suffisantes» et a déclaré qu'il n'avait pas assez de temps pour allumer la deuxième unité à Pelican Point.
Le directeur général de l'AEC, Matthew Warren, a déclaré qu'il n'y avait pas de pénurie d'électrons et de puissance disponible, mais il n'a pas été expédié au besoin.
Le «marché libre» sera blâmé, mais la réponse n'est pas plus la réglementation, mais moins. Le marché de l'énergie n'est pas un marché libre - mais un style soviétique rampante prise de contrôle. Nous ne sommes pas libres de choisir notre source d'énergie. Les détaillants ne sont pas libres de concurrencer le mélange mandaté par le gouvernement. Si vous vouliez construire une centrale électrique avec vos propres fonds et vendre de l'électricité bon marché à des consommateurs désireux, le gouvernement ne vous laisserait pas le faire.
Quelques idées supplémentaires viennent de cet article:
Mais le directeur général des parties prenantes d'AEMO, Joe Adamo, a déclaré qu'ils n'avaient pas assez de temps pour allumer la centrale hier.
«Lorsque nous avons discuté avec Pelican Point, il a été décidé que le délai pour que Pelican Point fasse son entrée sur le marché était un délai trop court et que nous devions prendre l'action de délestage», a-t-il ajouté.
Les opérateurs de la centrale d'Adelaide à Pelican Point, ENGIE, ont déclaré dans une déclaration qu'ils ne pouvaient pas fournir de puissance supplémentaire pour l'Australie du Sud, à moins que l'AEMO n'en ait fait la demande.
Notez les coûts:
Une autre tempête en décembre a obligé le distributeur de puissance à annoncer des paiements d'indemnisation totalisant 20 millions de dollars à environ 75 000 clients après de longues coupures de courant.
WA Travail vient de promettre d'aller à 50% d'énergies renouvelables et semble très probable de gagner en quatre semaines à l'élection d'Etat. Nous sommes une petite grille sans lien avec le reste de la nation. L'Australie du Sud ne peut pas le faire avec 40% d'énergies renouvelables et deux interconnexions. WA vise 50% sans aucune sauvegarde inter-états et une économie déprimée. Ce sera "amusant".
Les choses doivent devenir sérieuses - les libéraux de la SE parlent peut-être, peut-être, de l'option nucléaire.
Pour apprécier à quel point la situation est désastreuse, considérer que c'est le même leader qui a exclu un bas niveau de décharge nucléaire dans SA:
Malgré l'opposition à une décharge nucléaire de haut niveau en Australie-Méridionale, le leader libéral Steven Marshall propose maintenant l'énergie nucléaire comme solution potentielle aux problèmes de fiabilité énergétique de l'État.
Ressemble à une hypocrisie de grade A:
... aujourd'hui il a dit que cela ne signifie pas qu'il ou son parti étaient contre la production de déchets nucléaires de haut niveau en Australie du Sud, via la production d'énergie nucléaire.
Donc faire des déchets radioactifs de haut niveau est très bien. Il est hors de question de stocker ce genre de matière médicale.
C'est un langage fort d'un politicien australien: «Nous n'avons jamais exclu l'occasion nucléaire pour l'énergie."
Les batteries (aussi 'modernes soient-elles) ne se comportent pas comme des bassins remplis d'eau en hauteur dont ils peuvent être approvisionnés vite ou lentement (selon la force du vent ou du soleil) et débités régulièrement, mais comme des objets très précieux dont le bobinage claque/font très vite !
(Phys.org) - Les chercheurs ont mis au point un type de pile rechargeable appelée cellule d'écoulement qui peut être rechargée avec une solution à base d'eau contenant du gaz carbonique dissous émis par les centrales à combustible fossile. Le dispositif fonctionne en tirant parti de la différence de concentration de gaz carbonique entre les émissions de gaz carbonique et l'air ambiant, qui peut finalement être utilisé pour produire de l'électricité.
La nouvelle cellule d'écoulement produit une densité de puissance moyenne de 0,82 W / m2, ce qui est près de 200 fois plus élevée que les valeurs obtenues en utilisant des méthodes similaires antérieures. Bien qu'il ne soit pas encore clair si le processus pourrait être économiquement viable sur une grande échelle, les premiers résultats semblent prometteurs et pourraient être améliorés avec la recherche future.
Les scientifiques, Taeyong Kim, Bruce E. Logan et Christopher A. Gorski de l'Université d'Etat de Pennsylvanie, ont publié un article sur la nouvelle méthode de conversion de gaz carbonique à l'électricité dans un récent numéro de Environmental Science & Technology Letters.
«Ce travail offre un moyen alternatif et plus simple de capter l'énergie des émissions de gaz carbonique par rapport aux technologies existantes qui nécessitent des matériaux de catalyseurs chers et des températures très élevées pour convertir le gaz carbonique en carburants utiles», a déclaré Gorski à Phys.org.
Alors que le contraste de la fumée grise-blanche sur un ciel bleu illustre l'impact environnemental néfaste de la combustion des combustibles fossiles, la grande différence dans la concentration de gaz carbonique entre les deux gaz est aussi ce qui fournit une source d'énergie inexploitée pour la production d'électricité.
Afin d'exploiter l'énergie potentielle dans cette différence de concentration, les chercheurs ont d'abord dissous le gaz carbonique et l'air ambiant dans des récipients séparés d'une solution aqueuse, dans un processus appelé barbotage. A la fin de ce procédé, la solution gazeuse sous forme de gaz carbonique forme des ions bicarbonate, ce qui lui donne un pH inférieur à 7,7 par rapport à la solution gonflée à l'air, qui a un pH de 9,4.
Après injection, les chercheurs ont injecté chaque solution dans l'un des deux canaux dans une cellule d'écoulement, créant un gradient de pH dans la cellule. La cellule d'écoulement comporte des électrodes sur des côtés opposés des deux canaux, avec une membrane semi-poreuse entre les deux canaux qui empêche le mélange instantané tout en permettant aux ions de passer. En raison de la différence de pH entre les deux solutions, divers ions traversent la membrane, créant une différence de tension entre les deux électrodes et provoquant l'écoulement des électrons le long d'un fil reliant les électrodes.
Une fois que la cellule d'écoulement est déchargée, elle peut être rechargée à nouveau en commutant les canaux que les solutions traversent. En commutant la solution qui circule sur chaque électrode, le mécanisme de charge est inversé de sorte que les électrons s'écoulent dans la direction opposée. Les tests ont montré que la cellule conserve ses performances sur 50 cycles de solutions alternées.
Les résultats ont également montré que, plus la différence de pH entre les deux canaux est élevée, plus la densité de puissance moyenne est élevée. Bien que la cellule d'écoulement à gradient de pH atteigne une densité de puissance élevée par rapport à des cellules similaires qui convertissent le gaz carbonique résiduel en électricité, elle est encore bien inférieure aux densités de puissance des systèmes de pile à combustible qui combinent le gaz carbonique avec d'autres combustibles,
Cependant, la nouvelle cellule d'écoulement présente certains avantages par rapport à ces autres dispositifs, tels que l'utilisation de matériaux peu coûteux et le fonctionnement à température ambiante. Ces caractéristiques rendent la cellule d'écoulement attrayante pour des applications pratiques dans les centrales électriques existantes. "Un système contenant de nombreuses cellules d'écoulement identiques serait installé dans les centrales électriques qui brûlent les combustibles fossiles", a déclaré M. Gorski. "Les gaz de fumée émis par la combustion des combustibles fossiles devront être pré-refroidis, puis bouillonnent à travers un réservoir d'eau qui peut être pompé à travers les cellules d'écoulement."
À l'avenir, les chercheurs prévoient d'améliorer encore la performance des cellules d'écoulement.
"Nous cherchons actuellement à voir comment les conditions de la solution peuvent être optimisées pour maximiser la quantité d'énergie produite", a déclaré M. Gorski. "Nous étudions également si nous pouvons dissoudre des produits chimiques dans l'eau qui présentent des propriétés redox dépendantes du pH, ce qui nous permet d'augmenter la quantité d'énergie qui peut être récupérée. Cette dernière approche serait analogue à une batterie de flux, qui réduit et oxydent Dissous dans des solutions aqueuses, sauf que nous les réduisons et les oxydons ici en changeant le pH de la solution avec le gaz carbonique.
La pauvreté — ou la misère — n’est pas un état normal de l’être vivant. Il s’agit d’un accident de la vie tout à fait comparable à ce que peut être la maladie par rapport à la bonne santé.
La maladie peut toucher un individu de façon hasardeuse, génétique, endémique ou par contagion, mais elle peut aussi être déclenchée par son comportement imprudent. Elle peut être collective, sous la forme d’une épidémie, là aussi l’origine peut être liée au hasard tout comme elle peut provenir du comportement de la collectivité. Enfin la maladie peut être le fait d’un acte volontaire, par exemple une blessure infligée à autrui, initié par un individu ou un groupe. Tous ces aspects de la maladie sont connus et acceptés. Les responsabilités recherchées, collectives par exemple pour le sang contaminé, individuelles pour la tabagie, l’alcoolisme etc…
La lucidité par rapport aux origines de la maladie, à la recherche des agents responsables, n’entame en rien la compassion que tout le monde développe face à celui qui est malade, face à l’injustice que représente le fait d’être malade. Mais cette lucidité permet de se donner les moyens de combattre au mieux la maladie.
Bizarrement il en est tout autrement pour la pauvreté.
Alors que celle-ci peut être liée au hasard, mais aussi à des comportements à risque, qu’elle peut être individuelle mais aussi collective, aucune objectivité n’est possible lorsqu’il s’agit de parler de la pauvreté. Pas plus d’ailleurs de la richesse qui pourtant n’est que la bonne santé de l’économie humaine.
Pendant que tout le monde s’accorde à trouver nécessaire la protection du capital santé — air, nourriture, vigilance contre les agressions à ce capital — personne ne pense à protéger la richesse qui est le capital économique commun.
Cela va plus loin, on le voit avec l’affaire Fillon.
Ceux qui prétendent représenter les pauvres préfèrent répandre la pauvreté plutôt que d’en confier les soins et la guérison à des riches. En clair c’est comme si le malade n’attendait pas de son médecin qu’il soit bien portant et compétant pour bien le soigner, mais qui le veuille lui aussi malade, de la même maladie, qu’il est d’ailleurs prêt à lui inoculer, à lui transmettre. Comme c’est étrange.
Lorsque les malades ne font rien pour se soigner et tout pour vous coller leurs maladies, il arrive un moment où la compassion capitule, où la peur s’installe, où plus personne ne peut rien pour eux. Puis vient ensuite le temps de l’épidémie qui emporte tout sur son passage.
La pauvreté est la peste de notre époque.
Ceux qui aujourd’hui proposent de soulager et de soigner la pauvreté sont du niveau de compétence des médecins italiens en 1347. Croyant la peste liée au lieu de sa déclaration, les gens fuyaient participant ainsi à disséminer la maladie. Les espagnols furent les premiers à comprendre qu’au contraire il fallait empêcher tout contact avec les malades, isoler les foyers de peste. Cela sauva des vies, éloigna la maladie et permis en 1894 d’en comprendre la transmission, puis de l’éradiquer.
Pour la pauvreté l’agent de la dissémination est Bercy qui en détruisant la richesse prétend éradiquer la pauvreté alors qu’il la propage.
C’est tout l’inverse qu’il y aurait lieu de faire. Tout comme seuls ceux qui sont en bonne santé peuvent aider à vaincre la maladie, seuls les riches peuvent aider à vaincre la pauvreté.
Les médecins de Molière saignaient les affaiblis entretenant ainsi leur faiblesse, les agents de Bercy saignent les créateurs de richesse les dirigeant de la sorte vers le statut de la pauvreté qu’ils prétendent combattre.
Etre en très bonne santé est-ce une insulte à la maladie ?
Doit-on n’être juste que pas encore malade mais presque par respect pour ceux qui sont malades ?
Où doit-on être le plus possible en bonne santé pour assister ceux qui sont malades?
Ceux qui font des efforts pour ne pas être pauvres sont-ils nuisibles aux pauvres ?
Personne ne peut prétendre que ne plus faire boire un calva le matin au jeune mousse en guise de médecine n’est pas un progrès. Que si ce même jeune mousse mène une vie tournée vers l’entretien de son corps et de sa santé c’est aussi un progrès. Que si, par contre, il se vautre dans son canapé et s’engraisse aux sucreries et autres cochonneries, il est responsable de la déchéance à venir de sa santé.
Pourquoi en est-il autrement s’il s’efforce de s’enrichir ? Pourquoi alors, comme à l’époque du calva, son entourage va-t-il le traiter de lâcheur, l’éjecter du groupe qui lui impose en quelque sorte la pauvreté commune ?
Décidemment, l’accident de la vie qu’est la pauvreté pour l’individu ou pour la collectivité n’est pas traité comme il se doit.
D’abord, celui qui porte éventuellement une responsabilité pour lui-même ou pour les autres dans l’entrave de la richesse, donc dans la survenance de la pauvreté, devrait être sévèrement dénoncé et puni.
Ensuite, ceux qui sont pauvres de façon endémique devraient être motivés pour réagir, en les incitant à devenir riches. Tout ceux qui leur font croire que les autres régleront le problème à leur place sont des menteurs, ils ont droit à la vérité.
Aujourd’hui, tout le monde sait que la santé n’est pas une donnée due, que chacun doit en assumer l’entretien, que les autres font ce qu’ils peuvent pour les malades, mais que c’est très limité. C’est un immense progrès par rapport à l’obscurantisme, au déni, des millénaires précédents.
Pour la pauvreté, la vérité n’est pas encore à l’ordre du jour. Les pauvres sont encore la proie des charlatans, qui n’hésitent pas, pour leur démonstration, à tirer à boulet rouge sur les riches et la richesse, quelle bêtise.
Imaginez la médecine réduite à stigmatiser les bien portants, vous aurez une idée de l’escroquerie dont sont victimes les pauvres et dont les riches paient stupidement la facture.
(...) C’est tout l’inverse qu’il y aurait lieu de faire. Tout comme seuls ceux qui sont en bonne santé peuvent aider à vaincre la maladie, seuls les riches peuvent aider à vaincre la pauvreté. (...)
'les riches peuvent aider à vaincre la pauvreté' ? Donnez de l'argent à un pauvre ne le rendra pas riche pour la vie (mais plutôt lui apprendre à pêcher), car un con pauvre (c'est généralement le cas) deviendra un con riche (juste quelques jours avant de se faire plumer.
Comment les riches le sont-ils devenus ? Héritage ou œuvre de soi-même ou (de plus en plus répandu:) le vol ! C'est-à-dire que si l'Etat s'abstenait de prendre l'argent des gens, tous seraient riches !
Le tout est de bien gérer son patrimoine. Le nouveau riche du loto aura le tournis, le petit riche survivaliste (clochard) n'espèrera rien de demain. Par contre, l'allocataire auto-suffisant, lui, il projettera et pourra un jour devenir riche.
Environ la moitié de tous les immigrants illégaux vivent dans ces 10 zones métropolitaines
Par Tyler Durden 9 février 2017 20h34
Tandis que Trump obtient la pression sur les soi-disant «villes de sanctuaire», et les États de sanctuaire dans le cas de la Californie, voici un regard où la majorité des immigrants illégaux aux États-Unis résident actuellement. Selon les données du Pew Research Centre, environ 60% de tous les immigrants illégaux vivent dans seulement 20 régions métropolitaines à travers le pays.
La plupart des 11,1 millions d'immigrants non autorisés des États-Unis vivent dans seulement 20 grandes régions métropolitaines, avec les plus grandes populations à New York, Los Angeles et Houston, selon les nouvelles estimations Pew Research Center basées sur des données gouvernementales.
L'analyse montre que la population immigrante non autorisée du pays est fortement concentrée, plus que la population des États-Unis. En 2014, les 20 régions métropolitaines où se trouvent la plupart des immigrants non autorisés abritaient 6,8 millions d'entre eux, soit 61% du total national estimé. En revanche, seulement 36% de la population totale des États-Unis vivaient dans ces régions métropolitaines.
De loin, les plus grandes populations d'immigrants non autorisés se trouvaient dans les zones métropolitaines de New York et de Los Angeles (1,2 million et 1 million, respectivement). Aucune autre zone métropolitaine n'a approché un million. Parmi les 20 premières régions, les plus petites populations d'immigrants non autorisés comprenaient Orlando (110 000) et Austin (100 000).
- voir tableau sur site Immigration illégale
Entre-temps, les 10 principales régions métropolitaines représentent à elles seules près de 50% des immigrants clandestins et seulement trois États, la Californie, le Texas et New York, représentent environ 37% du total.
Immigration illégale
- voir tableau sur site
Bien sûr, ces chiffres deviendront de plus en plus importants au cours des prochains mois, car l'administration Trump continue de développer des politiques liées à ce qui sera sans aucun doute un sujet controversé pour les prochaines 4-8 années. Dans une interview récente sur Fox News, le président Trump a laissé entendre Bill O'Reilly que toutes les options, y compris la défrance d'états entiers, seraient sur la table pour les endroits qui refusent d'appliquer les lois fédérales d'immigration.
"Je pense que c'est ridicule. Sanctuaire villes, comme vous le savez, je suis très opposé aux villes de sanctuaire. Ils multiplient le crime, il ya beaucoup de problèmes, "a déclaré Trump.
"Si nous devons le faire, nous défundons", a déclaré Trump dans une interview accordée à l'animateur de Fox News, Bill O'Reilly, avant le Super Bowl. "Nous donnons d'énormes quantités d'argent à la Californie, en Californie à bien des égards est hors de contrôle, comme vous le savez."
Trump a déclaré à O'Reilly qu'il ne voulait pas déprécier un État ou une ville et aimerait leur donner "l'argent dont ils ont besoin pour fonctionner correctement".
Mais le président a ajouté que "s'ils vont avoir des villes de sanctuaire, nous pouvons avoir à le faire. Ce serait certainement une arme.
Et, avec 27 milliards de dollars de financement fédéral en jeu, nous soupçonnons qu'au moins quelques villes voyous seront forcés de tomber en ligne. Voici quelques données sur les États / villes qui reçoivent le plus de fonds fédéraux (voir «Déplorable ? Obama a envoyé 27 milliards de dollars d'argent des contribuables pour financer les villes du Sanctuaire en 2016»):
Voici les 10 principaux points à retenir de nos constatations:
1. 26,741 milliards de dollars de subventions fédérales annuelles et de paiements directs ont été versés dans les 106 villes du sanctuaire des États-Unis (FY2016).
2. En moyenne, le coût du financement fédéral perdu pour une famille de quatre résidant dans l'une des 106 villes du sanctuaire est de 1 810 $ - soit 454 $ par personne. Une population totale de 46,2 millions de résidents vivent dans les 106 villes du sanctuaire selon les données du recensement.
3. Washington, DC et Chicago, les gouvernements de l'Illinois ont reçu le montant le plus élevé de financement fédéral par résident et, par conséquent, ont le plus à perdre en maintenant leur statut de sanctuaire.Washington, le gouvernement municipal de DC a reçu le montant le plus élevé de financement fédéral par habitant : 3 228 $ par personne; 12 912 $ par famille de quatre personnes; Soit 2,09 milliards de dollars au total. La Ville de Chicago (IL) a reçu le deuxième montant le plus élevé de financement fédéral par habitant: 1 942 $ par personne; 7 768 $ par famille de quatre; Soit 5,3 milliards de dollars au total.
4. Dans les villes de 100 000 habitants et plus, les collectivités ayant le moins de dollars fédéraux par habitant «à risque» sont St. Paul, Minnesota (47 $ par personne, 14,2 millions de dollars au total); Downey, en Californie (36 $ par personne, 4,2 millions $ au total) et Miami (Floride) (67 $ par personne, 29,7 millions $ au total).
5. 15,983 milliards de dollars de fonds fédéraux ont été versés dans seulement douze grandes villes américaines où résident 1 personne sur 5 (FY2016).
6. Les subventions accordées par le ministère de la Justice aux services de police - c'est-à-dire les services de police municipaux - ont totalisé 543,97 millions de dollars (FY2016). En règle générale, ce financement ne représentait qu'un faible pourcentage des budgets locaux d'application de la loi.
7. 4,23 milliards de dollars de financement fédéral des 106 villes du sanctuaire s'écoulent par le biais du type «paiement direct». Ces paiements ont financé des services municipaux tels que le logement, l'éducation, le développement communautaire et les écoles.
8. 21,5 milliards de dollars de financement fédéral des 106 villes du refuge ont été financés par le mécanisme de paiement «subvention». Ces paiements ont financé la police locale et les services d'incendie, les écoles, le logement et les services municipaux.
9. À Los Angeles, 1 personne résidant sur 5 (22 %) est une entrée illégale. Toutefois, le montant du financement fédéral s'élève à seulement 126 $ par résident; 504 $ par famille de quatre; Soit un total de 502,5 millions de dollars.
10. À Newark, dans le New Jersey, 19 % des résidents de la ville sont des sans-papiers. Toutefois, le montant du financement fédéral s'élève à 733 $ par résident; 2 922 $ par famille de quatre personnes; Soit 206,7 millions de dollars.
Il est vraiment dommage que Jerry Brown ait seulement 2 ans à la tête du bureau ... une bataille de quatre ans, Trump-Brown serait une chose glorieuse à observer.
La cour d’appel suspend le décret migratoire, Donald Trump promet «un rendez-vous au tribunal»
10 févr. 2017, 07:21
Après le camouflet infligé à Trump par la Justice qui a décidé de maintenir la suspension de son décret limitant l'immigration, le président promet de poursuivre la bataille judiciaire afin de défendre sa mesure. Bientôt la Cour suprême ?
«Rendez-vous au tribunal, la sécurité de notre nation est en jeu», a tweeté Donald Trump en réponse à la suspension de son décret migratoire par trois juges de la cour d’appel de San Francisco.
Il a ensuite devant des journalistes qualifié la décision de «politique» : «C'est une simple décision qui vient de tomber, mais nous allons gagner le dossier», a-t-il affirmé, selon la chaîne NBC.
Lire aussi Donald Trump et son vice-président Mike Pence ont toutes les raisons de se réjouir de cette nouvelle Etats-Unis : le gouvernement soutient les restrictions à l'immigration de Donald Trump
Les trois juges de la cour d’appel de San Francisco William Canby, Richard Clifton et Michelle Friedland ont pris la décision de suspendre le décret interdisant l'accès aux Etats-Unis pour trois mois aux ressortissants de sept pays musulmans (la Syrie, l’Iran, l’Irak, le Soudan, la Somalie, le Yémen et la Libye) et pour quatre mois aux réfugiés. L'appel du gouvernement est «rejeté», ont-ils écrit dans une décision prise à l'unanimité, insistant sur la nécessité de protéger «l'intérêt général». Le gouvernement n'a pas su démontrer que le maintien de la suspension du décret se traduirait par de graves atteintes à la sécurité des Etats-Unis, ont-ils conclu.
La cour d’appel n’a pas statué quant à la constitutionnalité du décret du président américain.
Les trois juges ont par contre débattu pour déterminer si l’interdiction d’accès aux ressortissants de ces sept pays à majorité musulmane constituait une interdiction visant en premier lieu les musulmans. Le juge Richard Clifton, s'est dit peu convaincu, affirmant que les pays touchés par l’ordre exécutif «représentaient un relativement petit pourcentage des musulmans» de la planète.
Lire aussi : Plus de la moitié des Européens souhaiteraient que l'immigration des pays à majorité musulmane cesse
Il est possible que la bataille judiciaire à laquelle doit faire face Donald Trump aille jusqu'à la plus haute instance juridique américaine, la Cour suprême.
Mic-mac indescriptible, conflictuel né avec l'affaire du sherif arizonien Arpaio (2012) qui apportait au tribunal toutes les preuves formelles et irréversibles que Barack Obama était né au Kenya (et non à Honolulu), la Cour en avait décidé autrement !!
Immigration, Europe des nations, Buisson... : le résumé de l'«Emission politique» avec Marine Le Pen
9 févr. 2017, 23:58
Marine Le Pen a défendu son projet de référendum sur la sortie de l'Union européenne et sa volonté de créer une Europe des nations souveraines
La candidate du Front national a répondu pendant plus de deux heures à des contradicteurs (parfois inattendus), développant son programme et ses propositions. Retour sur les moments marquants de l'émission.
Invitée sur le plateau de «L'Emission politique» sur France 2 ce 9 février, Marine Le Pen effectuait son grand retour médiatique après une absence relative des plateaux de télévision depuis plusieurs mois. De la laïcité à l'Europe en passant par la Russie, elle a défendu son projet pendant près de deux heures. Au terme de l'émission, un sondage Harris Interactive estimait qu'environ 41% des Français ayant regardé l'émission l'avaient trouvé «convaincante» - soit le meilleur score parmi les candidats à la présidentielle déjà invités à participe à l'émission.
En guise d'ouverture, la candidate du Front national a tenu à expliquer que son soutien «de principe» aux policiers dans l'affaire du jeune Théo, dans l'attente des résultats de l'enquête, ne remettait pas pour autant en cause la souffrance de la victime. «C'est un jeune homme qui a été gravement blessé donc oui, nous avons de la compassion, mais l'accusation avant même le début de l'enquête m'apparaît un peu systématique», a-t-elle expliqué.
Élargissement de la laïcité à tous les lieux publics
Évoquant plus généralement la question des banlieues, Marine Le Pen a estimé que le problème de l'insécurité allait de pair avec celui du communautarisme. Elle a notamment été prise à partie par le maire communiste de Montreuil, Patrice Bessac, qui l'accusait de stigmatiser les minorités religieuses et de vouloir mettre en place «la police des kippas et des voiles». Elle a répondu en l'accusant de faire partie des maires «lâches» responsables, selon elle, du «communautarisme».
Invitée à préciser sa vision de la laïcité, elle a confirmé qu'elle souhaitait élargir l'interdiction du port de signes religieux ostentatoires à tout l'espace public. «Quand la loi est votée, tout le monde doit s'y soumettre. Le voile est un acte de soumission de la femme», a-t-elle martelé. La question de la croix catholique demeure, selon elle, secondaire. «Il n'y a pas de grosse croix», a-t-elle ironisé.
Réduction drastique de l'immigration et fin de la binationalité Très attendue sur la question de l'immigration, Marine Le Pen a d'emblée annoncé : «Il est évident qu’il faut prendre les gens et les mettre sur nos propres bateaux et les ramener chez eux». Pointant du doigt l'exemple de l'Allemagne qui «a accueilli plus d'un million de migrants, non pas pour des raisons humanitaires mais économiques», elle a répété qu'elle mettrait tout en oeuvre pour ramener le solde migratoire à 10 000 entrées annuelles. Elle a également insisté sur le fait qu'il s'agissait d'une nécessité «avec 7 millions de chômeurs et 9 millions de pauvres», tout en se défendant de toute mauvaise intention : «Je ne suis pas un monstre», s'est-elle défendue.
«La naturalisation par mariage ne sera plus automatique, et nous renforcerons les critères pour obtenir la nationalité», a-t-elle également insisté. Affirmant qu'elle comptait de plus appliquer la suppression de la double-nationalité, Marine Le Pen a dû répondre à une question de Léa Salamé, qui lui demandait si une telle mesure s'appliquerait également «aux juifs français». «Israël n'est pas l'Europe», a rétorqué Marine Le Pen, qui a paru visiblement étonnée du rapprochement effectué par la journaliste entre les Français juifs et Israël.
«La Russie a sa place dans l'Europe des nations»
La politique étrangère était la grande absente de cette émission. L'une des uniques questions qui ont été posées à Marine Le Pen en la matière concernait la Russie et son appartenance éventuelle à l'Europe des nations qu'elle appelle de ses voeux. «Je veux l'Europe des nations et je pense que la Russie y a sa place», a affirmé Marine Le Pen, qui a insisté sur le fait qu'il ne s'agit pas pour elle de «réformer» l'Europe, mais d'en proposer un nouveau modèle.
Autre incursion à l'étranger au cours de l'émission : Marine Le Pen a plusieurs fois cité Donald Trump comme exemple d'une politique protectionniste faisant ses preuves. Elle a notamment dit s'inspirer du président des Etats-Unis pour mettre en place des sanctions contre les entreprises qui délocaliseront si elle est élue. «J'expliquerais à ces entreprises que si elles ne construisent pas en France, elle seront frappées d'un droit de douane de 25%», a-t-elle développé.
L'arrivée imprévue de Patrick Buisson
Un invité surprise était annoncé, mais la réaction de la candidat du Front national à l'arrivée de Patrick Buisson sur le plateau laisse peu de doute : Marine Le Pen ne s'attendait sans doute pas du tout à sa présence. Ancienne figure de l'extrême-droite devenue conseiller de Nicolas Sarkozy avant de se retourner contre lui, il a déstabilisé la candidate en lui demandant comment elle comptait séduire l'électorat de François Fillon et de Jean-Luc Mélenchon, réservoirs potentiels de voix pour un second tour face à Emmanuel Macron.
Si la présence de l'ancienne éminence grise de l'extrême-droite en tant que contradicteur était sans doute très désagréable et lourde de sens pour Marine Le Pen, les internautes, eux, ne l'ont pas perçu comme tel. Un certain nombre d'entre eux s'est agacé que France 2 organise un débat entre deux personnalités qu'ils associent au même bord politique.
Le tsunami de la robotisation : en 2000, ils étaient 600, aujourd’hui, il n’y en a plus que… 2
Audrey Duperron 9 février 2017
Il y a à peine 17 ans, la banque d’investissement américaine Goldman Sachs employait 600 traders dans ses bureaux de New York, pour acheter et vendre des actions au nom de leurs clients. Aujourd’hui, il n’en reste plus que… 2.
Comme ils l’ont fait dans les usines, les robots se sont imposés dans le trading des actions à Wall Street, et celui-ci est désormais largement automatisé. Cependant, les emplois n’ont pas tous disparu, et les deux traders qui subsistent chez Goldman Sachs sont assistés par une armée de 200 ingénieurs informaticiens.
Au début, seule une partie des traders redoutaient de perdre leur travail : ceux qui étaient actifs dans les domaines où les cours quotidiens peuvent être facilement identifiés. Mais aujourd’hui, les traders qui opèrent dans des environnements plus complexes, comme le change et les futures sont aussi menacés d’être remplacés par des algorithmes.
4 traders remplacés pour un spécialiste en informatique
Goldman Sachs a mené pendant un certain temps des expériences de robotisation du trading de devises. Ces tests ont montré qu’il était facile de remplacer 4 traders par un spécialiste en informatique. Cela explique aussi pourquoi un tiers des 27.000 travailleurs que la banque emploie sont des spécialistes en informatique. Cette tendance sera probablement bientôt renforcée lorsque Marty Chavez, un ancien directeur de la technologie de la banque, deviendra directeur financier à compter du 1er avril prochain.
Le banquier d’investissement également voué à disparaître
Selon Chavez, les banquiers d’investissement sont appelés à connaître le même sort. Comme le travail est basé sur la confiance et nécessite donc des compétences humaines, il ne disparaîtra probablement jamais complètement. Toutefois, d’après Chavez, des algorithmes se substitueront à la grande majorité des emplois.
Goldman Sachs a déjà cartographié l’ensemble du processus d’introduction en bourse. Il se compose d’exactement 146 étapes spécifiques, dont beaucoup peuvent être facilement automatisées.
Selon Coalition, une société britannique qui surveille le secteur financier, presque 45% des transactions de trading dans le monde sont automatisées.
Conclusion
On associe les robots au travail facilement remplaçable (comme les postes dans une usine de voitures, par exemple); l’histoire de Goldman Sachs montre que les emplois nécessitant un haut niveau de connaissances, comme les traders, qui passent la plus grande partie de leur journée devant un écran, puis prennent des décisions, n’échapperont pas non plus à la robotisation.
Quels emplois survivront au tsunami de la robotisation ?
Les tâches qui exigent la flexibilité, la créativité et l’improvisation seront plus difficilement automatisables. Telles que gérer une crise, arracher des dents, couper des cheveux, monter un meuble par les escaliers, car il ne rentre pas dans l’ascenseur, réaliser un thriller, ou être un Leo Messi …
64 % des belges veulent stopper toute immigration issue de pays à majorité musulmane
Redactie Express Business 8 février 2017
64 % des belges veulent mettre fin immédiatement à toute immigration en provenance de pays à majorité musulmane. C’est ce qui ressort d’une étude réalisée par le think tank britannique Chatham House parmi 10 000 citoyens issus de 10 pays européens.
Seule l’Autriche (65 %) et la Pologne (71 %) ont enregistré des pourcentages plus élevés. Selon le think tank, ces résultats donnent à réfléchir, et ils indiquent que la peur de l’immigration musulmane ne se cantonne pas qu’aux États-Unis, où récemment, le président Trump a annoncé des restrictions pour les citoyens provenant de 7 pays à majorité musulmane, qui ont été révoquées par un tribunal.
Le sondage a été réalisé avant que le décret présidentiel de Trump ne soit annoncé.
Il n’y a que dans 2 pays que le souhait de l’arrêt de l’immigration n’est pas majoritaire
En moyenne, 55 % des Européens sont d’accord avec l’affirmation selon laquelle il faudrait stopper toute immigration des pays à majorité musulmane. 20 % sont en désaccord, tandis que 25 % ne sont ni d’accord, ni en désaccord avec cette affirmation.
Il n’y a guère qu’en Espagne (41 %) et au Royaume-Uni (47 %) que les sondés opposés à toute immigration musulmane n’étaient pas majoritaires.
La démographie
L’étude montre également que ce sont surtout les plus de 45 ans et les retraités qui s’opposent à l’immigration en provenance de pays musulmans. Les jeunes de moins de 30 ans y sont moins hostiles. L’éducation apporte aussi une ligne de démarcation. Moins de la moitié des personnes très instruites s’opposent à la poursuite de l’immigration. Chez les personnes ayant un diplôme de l’enseignement secondaire, cette proportion monte à 59 %.
Un nombre record d'Américains renoncent à la citoyenneté américaine en 2016; 2 200% de surtension pendant le règne d'Obama
Par Tyler Durden 9 février 2017 21 h 00
Obama a averti tout le monde en 2009 que "les élections ont des conséquences". Maintenant, huit ans plus tard, nous apprenons que, apparemment, les «conséquences» de courir dans le pays pendant près d'une décennie menaçant d'augmenter les impôts, de «répandre la richesse autour» et de poursuivre toutes sortes d'autres politiques socialistes sont un nombre record de personnes renonçant à leurs Citoyenneté américaine.
Par un billet du International Tax Blog, le Trésor des États-Unis a récemment publié les noms des personnes qui ont renoncé à leur citoyenneté des États-Unis ou ont mis fin à leur résidence de longue durée aux États-Unis au cours du quatrième trimestre de 2016.
Le nombre d'expatriés publiés pour le 4T 2016 était de 2 365, ce qui porte le nombre total pour 2016 à 5 411, établissant un nouveau record tous les trimestres et annuels. Par comparaison, le nombre d'expatriés pour 2016 reflète une augmentation de 26% par rapport à 2015 et une augmentation de 58% par rapport à 2014 (3.415).
- voir graphique sur site - Expats
L'examen plus détaillé des 20 dernières années illustre la montée en flèche du nombre d'expatriés publiés qui «coïncident» avec l'élection d'Obama en 2008. En fait, la liste de 2016 est plus de 22 fois plus grande que 2008, l'année juste avant que Obama ne bouge Dans la Maison Blanche.
- voir graphique sur site - Expats
Comme le souligne le New York Times, le renoncement à la citoyenneté le plus remarquable vient peut-être du ministre britannique des Affaires étrangères, Boris Johnson, qui a gagné la gloire comme l'un des partisans les plus enthousiastes du référendum Brexit et un des premiers critiques de Trump le décrivant comme "hors de son esprit" D'une «ignorance stupéfiante».
Boris Johnson, le secrétaire aux Affaires étrangères de la Grande-Bretagne, qui est peut-être le plus connu pour son rôle de premier plan dans la campagne pour le départ de son pays de l'Union européenne, a renoncé à sa citoyenneté américaine.
Né à New York, M. Johnson, âgé de 52 ans, détenait la double nationalité jusqu'à l'année dernière. Il s'était longtemps plaint d'avoir à payer des impôts aux États-Unis, même s'il avait 5 ans quand il a vécu la dernière fois. Contrairement à la plupart des pays, les États-Unis taxent les ressortissants qui vivent à l'étranger sur leurs revenus mondiaux.
M. Johnson, conservateur, n'a pas été connu pour ses qualités diplomatiques. Ses relations avec Donald J. Trump ont pris un coup en décembre 2015, quand il a accusé M. Trump, alors candidat à la présidence, d'être «hors de son esprit» et d'une «ignorance stupéfiante» qui le rendait inapte à la présidence. Devinez que nous pouvons ajouter ceci à l '"héritage d'Obama" ...
La Bulle de la Ferme du Midwest continue de s'effondrer à mesure que les revenus agricoles devraient s'abattre en 2017
Par Tyler Durden 9 février 2017 18h30
Plus tôt cette semaine, le ministère de l'Agriculture des États-Unis a publié son rapport semestriel sur les revenus agricoles qui peint une image très sombre pour le fermier américain. Dans ses premières prévisions pour 2017, l'USDA constate une baisse des recettes monétaires agricoles de 14% par rapport à 2015 et de 36% par rapport au sommet précédent en 2012, alors que la dette agricole continue de grimper et de faire grimper les hausses historiques.
Comme le souligne le Wall Street Journal, la combinaison mortelle de la hausse des coûts des intrants, de la baisse des prix des céréales, d'un dollar fort et d'un effet de levier excessif poussera beaucoup d'agriculteurs du Midwest de l'Amérique à cesser leurs activités en 2017.
Les coûts pour les semences, les engrais et l'équipement ont grimpé si haut et les prix des céréales ont chuté si bas qu'il a toujours perdu plus de 120 $ l'acre. Peur de revenir à nouveau, M. Scott a décidé l'automne dernier de ne pas planter 170 acres de blé d'hiver, près d'un tiers du montant habituel. Les agriculteurs américains ont semé le plus petit nombre d'acres de blé d'hiver cette saison en plus d'un siècle.
«Personne n'a plus de fermes céréalières», a déclaré Deb Stout, dont les fils Mason et Spencer cultivent les 2 000 acres de la famille à Sterling, au Kansas, à 120 miles à l'est de Ransom. Spencer travaille également comme mécanicien, et Mason est un facteur de substitution. "Avoir un travail parallèle semble être la seule façon de le faire fonctionner", a t-elle dit.
Elle et son mari ont déjà déclaré faillite. Les agriculteurs autour de Sterling ont perdu 6 400 $ en moyenne en 2015, les dernières données disponibles, après des profits de 80 800 $ un an plus tôt, selon l'Association de gestion de ferme du Kansas.
- voir graphique sur site - Fermes
Pendant ce temps, la part des États-Unis dans le commerce mondial des céréales a été réduite de moitié depuis les années 1970, ce qui a permis aux agriculteurs nationaux de contrôler moins les prix, qui sont devenus de plus en plus volatils au cours de la dernière décennie.
La part des États-Unis dans le marché mondial des céréales est inférieure à la moitié de ce qu'elle était dans les années 1970. Les revenus des agriculteurs américains chuteront de 9% en 2017, estime le ministère de l'Agriculture, prolongeant la plus forte chute depuis la Grande Dépression en une quatrième année.
"Vous continuez à pincer et à pincer et bientôt il n'y a plus rien à pincer", a déclaré Craig Scott, un agriculteur de cinquième génération dans cette ville de l'ouest du Kansas.
La part des agriculteurs américains dans le commerce mondial des céréales est passée de 65% au milieu des années 1970 à 30% aujourd'hui, ce qui leur donne moins d'influence sur les prix. Plus de producteurs et plus d'acheteurs à travers le monde signifient également plus de perturbations potentielles du mauvais temps, la famine ou la crise politique.
Les prix du maïs variaient d'une année à l'autre de moins de 1 $ le boisseau. Depuis 2006, ils ont grimpé et ont chuté de plus de 4 $ le boisseau.
Alors, où est-ce que cela laisse le fermier américain ? Les revenus agricoles réels en 2017 devraient baisser en dessous des niveaux de 2010, ce qui représente une baisse de 36% par rapport au pic récent et une baisse de 14% depuis 2015.
- voir graphique sur site - Fermes
Entre-temps, la dette agricole continue à augmenter à un rythme étonnant ...
- voir graphique sur site - Fermes
Alors que l'effet de levier des agriculteurs a atteint le niveau le plus élevé depuis au moins 1960.
- voir graphique sur site - Fermes
Et, bien sûr, des revenus plus faibles signifie moins d'argent à dépenser sur de nouveaux tracteurs John Deere brillants, le capex des équipements devant diminuer de 35% par rapport à 2015.
- voir graphique sur site - Fermes
Et enfin, les rendements des agriculteurs ont chuté aux niveaux les plus bas jamais. Nous ne sommes pas sûrs de vous, mais un 2,1% ROIC semble un "faible faible", même dans notre environnement de taux d'intérêt rigged actuel. Donc, il ya seulement quelques façons de résoudre ce problème ... soit les prix des produits de base doivent se rétablir rapidement ou les prix des terres agricoles doivent baisser considérablement. Que pensez-vous que se passera en premier ?
Alors que la mécanisation et la passation par programmes-ordinateur gagne du terrain et fait nécessairement baisser le prix de la transformation/sélection des dosages d'engrais & produits de traitement, voilà que ces intrants ont un coût révisé à la hausse !! (comme les taxes & impôts !!).
Il s'agit là de la pire escroquerie visant à priver la quasi totalité des américains de nourriture à brève échéance !! Bientôt les États-Unis devront-ils importer leur nourriture ?
Plus rien ne marche pour dénigrer Trump ? Dites simplement qu’il est fou ! (VIDEO)
RépondreSupprimer9 févr. 2017, 12:01
Les merdias americains s'embarrassent de moins en moins dans leurs accusations contre Donald Trump. Maintenant ils le qualifient tout simplement de «cliniquement malade» et ce pour une raison très simple...
Donald Trump a déjà été accusé de tous les vices du monde. Le président est sexiste, raciste, xénophobe, islamophobe, misogyne… Vous pensez la liste complète ? Hé non ! Car le traiter tout simplement de psychopathe est bien plus limpide ! RT revient en vidéo sur la frénésie psychiatrique qui s'est emparée des médias américains au sujet du nouveau président.
https://francais.rt.com/international/33732-rien-marche-pour-denigrer-trump-fou
Les tomates : un fruit devenu immangeable …
RépondreSupprimerle 8 février 2017
Pour une fois les pourfendeurs de l’amélioration variétale de plantes ne me contrediront pas, les tomates que l’on trouve dans le rayon légumes des supermarchés ne sont plus ce qu’elles étaient il y a 30 ou 40 ans. Des tomates fermes, à peine juteuses, d’un couleur franchement rouge, dégageant une odeur caractéristique provenant de dérivés de la famille des carotènes, ne cherchez pas : ces tomates n’existent pratiquement plus. La grande majorité des tomates ont été soigneusement sélectionnées durant les quelques 50 dernières années afin de murir lentement, de résister par elles-mêmes aux champignons et autres moisissures et surtout de se prêter à toutes sortes de transformations comme le ketchup ou les concentrés utilisés pour la confection des pizzas. La tomate est devenue un fruit typiquement industriel, sans goût ni attrait, un détestable produit commercial. Certes on trouve maintenant des tomates dites « cerises » attachées les unes aux autres naturellement, c’est uniquement pour la satisfaction visuelle car elles sont tout aussi insipides. Il faut musarder dans des boutiques averties pour trouver quelques tomates à l’aspect plutôt sinistre pour satisfaire ses papilles gustatives produites par de petits agriculteurs courageux qui ont le « goût » du risque.
Aujourd’hui la production de tomates est une véritable industrie. Ces fruits – oui, il s’agit de fruits et non pas de légumes – apparentés aux pommes de terre, sont produits dans des conditions contrôlées, souvent en hydroponie, c’est-à-dire en l’absence de terre, les racines étant imbibées automatiquement de liquides nutritifs, sous serre, stérilement, afin d’obtenir des tomates toutes de la même couleur, toutes de la même taille, facilement emballées et expédiées parfois à des milliers de kilomètres de leur lieu de production. Le revers de ce succès est un produit gorgé d’eau, sans goût aucun, bref une sorte d’ersatz repoussant.
Et ce résultat d’une sélection intense qui débuta au cours des années soixante a provoqué la disparition des gènes qui justement rendaient les tomates attractives de par leur senteur et la fermeté de leur chair. La sélection vers des tomates résistantes aux champignons et capables de rester sur les linéaires des supermarchés plus d’une semaine a été atteinte au détriment des propriétés organoleptiques qu’appréciaient nos parents et grands-parents. Aujourd’hui, on peut s’offrir un kilo de tomates insipides pour 1 euro ou si on est regardant et si on a les moyens financiers on peut s’offrir des tomates « comme autrefois » pour 10 euros le kilo, pas toutes de la même taille ni de la même couleur mais de vrais fruits que l’on peut déguster comme tels.
Le souci est que si les maraîchers voulaient produire des tomates, allez, on va dire industrielles, avec les saveurs d’antan, il faudrait réintroduire les gènes bien identifiés qu’elles ont perdu par sélection mais cette fois par génie génétique, en d’autres termes des tomates transgéniques qui redeviendraient de vraies tomates. N’est-ce pas là une absurdité ?
Inspiré d’un article paru sur le site Bloomberg
https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/02/08/les-tomates-un-fruit-devenu-immangeable/
La couleur des écolos
RépondreSupprimerle 9 février 2017
Je ne parle pas d’écologie telle qu’elle est appréhendée dans les hautes sphères dirigeantes, je pense à la famille royale d’Angleterre et au Prince Charles, au Club de Bilderberg, à Al Gore ou encore à la Banque Mondiale, mais à l’homme de la rue, le simple quidam comme tout un chacun qui s’est laissé endoctriner par des activistes de l’ombre, dûment payés par le Deep State pour répandre la propagande climatique, que ce soit la presse main-stream ou les chaines de télévision ou encore des publications qui n’ont de scientifique que la sophistication de leurs mensonges.
Aujourd’hui cette propagande monstrueuse fait que si on n’est pas écolo alors on est fasciste, complotiste, négationiste d’extrême droite, en un mot un être malfaisant qu’il faut éliminer comme l’Inquisition a éliminé Giordano Bruno. Il est de bon ton d’être écolo et sympathisant communiste comme le montre cette photo prise du balcon de mon modeste logement au centre du centre-ville de Santa Cruz de Tenerife il y a quelques jours. La couleur de l’écologie c’est comme une pastèque, c’est vert à l’extérieur et rouge à l’intérieur mais les vrais écolos, ceux qui manipulent tous ces gogos qui n’y comprennent rien, ce sont les groupes de pression qui ne sortent pas de leurs châteaux, de leur loft avec vue sur Central Park ou de leurs yachts de luxe. Ils engrangent méthodiquement les bénéfices de leurs propagandes sur le dos de tous ceux, les consommateurs anonymes, qui se sont fait piéger par des politiciens qu’ils ont élu et qui sont vendus à leur cause. Triste scène très caricaturale prise au hasard avec mon modeste Fuji X10, objectif 28 mm, 10 M pixels.
https://jacqueshenry.wordpress.com/2017/02/09/la-couleur-des-ecolos/
Une entreprise chinoise remplace 90 % des employés de l'atelier par des robots
RépondreSupprimerCoriolan
Devellopez.com
lun., 06 fév. 2017 19:01 UTC
...Et voit sa production augmenter de 250 %
Pendant le mois de décembre, des scientifiques et des conseillers de l'ancien président des États-Unis Barack Obama ont publié un rapport sur les effets de l'automation sur le marché de l'emploi et l'économie américains. Les experts notent que l'IA présente un potentiel énorme de croissance et de richesse en raison de l'augmentation de la productivité, néanmoins, ils mettent en garde contre les menaces de l'emploi et l'aggravation de l'inégalité des salaires entre les salariés qualifiés et ceux moins qualifiés.
Durant les cent dernières années, des millions d'emplois ont été remplacés par des robots. L'automation a conquis de nombreux postes d'emploi comme ceux des standardistes, des agents de voyage ou encore les travailleurs dans la chaine de montage. Aujourd'hui, l'IA menace de remplacer les chauffeurs de taxi et d'Uber et s'en prendra probablement aux chauffeurs de poids lourds durant la prochaine décennie, une industrie de poids aux États-Unis qui fournit plus 3,8 millions d'emplois. Enfin, quelques chaines de restaurants fastfood ont déjà commencé à installer des kiosques et des systèmes de commande automatique.
Mais c'est en Chine que ce phénomène commence à prendre de l'ampleur. Une des premières usines robotisées à Dongguan a récemment remplacé 590 de ses ouvriers avec des robots et les résultats ont été stupéfiants. Seulement 60 employés travaillent encore dans l'usine et leur principale tâche est de s'assurer que les machines sont en bon état et marchent parfaitement. Bien que 60 est un nombre faible d'employés pour superviser une usine, les robots font un si bon travail que le management de l'entreprise a dit que le nombre d'employés humains pourrait être réduit davantage à 20 employés seulement.
La Changying Precision Technology Company se concentre essentiellement sur la production de téléphones mobiles et utilise des lignes de production automatisées. Les bras robotisés produisent certaines pièces de téléphones mobiles à chaque station et l'usine utilise même des camions de transports autonomes. Depuis la transition vers des robots, le nombre de pièces produites par personne par mois est passé de 8000 à 21 000, soit une augmentation de 250 %. Cette progression ne s'est pas faite au détriment de la qualité, en effet, le nombre de produits défectueux a diminué de 25 % à seulement 5 %.
Cette entreprise n'est pas la seule qui s'est lancée dans la voie de la robotisation. En Chine, l'initiative Made In China 2025 a pour but d'appliquer les avancées en technologie dans la production, un processus qui implique le recours à l'automation. Il n'est pas clair quel sera le destin de millions d'ouvriers dans le pays, mais cette étape ne fera surement pas l'affaire de ceux qui militent pour de meilleurs salaires et conditions de travail.
S'il est clair que l'automation est en quête de perturber le marché de l'emploi, les estimations ne s'entendent pas sur la vitesse avec laquelle cette tendance va se propager. Adidas est l'une des firmes qui ont déjà annoncé leur intention à robotiser entièrement leurs usines. Au Japon, Fukoku Mutual Life Insurance, une entreprise japonaise d'assurances, veut augmenter la productivité de son entreprise de 30 % grâce à un projet mené en collaboration avec la filiale japonaise IBM Watson. Fukoku évoque un système de codage automatique d'évaluation de certificats médicaux qui va s'appuyer sur Watson. Ce système va permettre à l'entreprise de se séparer de 34 employés et augmenter sa productivité de 30 %.
RépondreSupprimerLes études qui mettent en garde contre la robotisation accrue ne manquent pas, des dizaines de métiers sont menacés de disparaitre et aucune économie n'est prête à faire cette transition pour le moment. S'il est vrai que l'automation a ses avantages et permet d'atteindre des objectifs impressionnants, il ne faut pas non plus négliger le fait qu'elle affecte négativement le marché de l'emploi pour le moment. En France, le Syndicat national de la banque et du crédit (SNB), deuxième organisation syndicale du secteur bancaire en France, a exprimé, lors d'une conférence de presse, son inquiétude au sujet d'une éventuelle substitution d'emplois dans le secteur par l'IA. D'après Régis Dos Santos, président du SNB, ces technologies qui émergent dans les établissements bancaires pour venir épauler les conseillers dans leurs tâches quotidiennes (réponses aux e-mails des clients, vérifications règlementaires, opérations de conformité, etc.), peuvent en effet finir par les écarter.
Source : Monetary Watch
https://fr.sott.net/article/29991-Une-entreprise-chinoise-remplace-90-des-employes-de-l-atelier-par-des-robots
Investir dans un dépanneur est plus rentable que d'acheter une voiture qui ne sert que quelques heures par jour et coûte cher. Après la machine à laver qui lave votre linge, la machine à café qui vous propose ses boissons chaudes et les calculettes qui ne se trompent jamais, voici qu'un autre robot travaille pour vous: le dépanneur multi-service !
SupprimerVive l'esclavage de la machine !
L'électricité de l'Australie méridionale arrive à votre rencontre
RépondreSupprimerFebruary 9th, 2017
Hier, 90 000 clients ont perdu l'énergie en SA (ce qui en fait Blackout Round 5 depuis le grand dernier septembre).
Cette fois, c'était dû à la perte de charge.
Les faiblesses du pouvoir de SA se répandent à l'échelle nationale, à commencer par Victoria, prévient le Conseil australien de l'énergie
Le gouvernement fédéral doit prendre des mesures urgentes pour améliorer ses politiques énergétiques avant que le reste de l'Australie ne soit victime du type de pannes d'électricité de grande envergure subies en Australie-Méridionale, a annoncé le Conseil australien de l'énergie.
Ce n'est pas seulement que les énergies renouvelables réduisent l'approvisionnement en électricité (avec des problèmes de fréquence et d'instabilité), elles conduisent également un brochet à travers le marché de l'énergie. Ce sont deux disrupteurs distincts. Nous avons assisté à des pics inexplicables dans les prix de l'électricité en SA dans les saisons où il ne devrait pas arriver, mais cela pourrait être une nouvelle forme de volatilité. L'énergie éolienne produite 900MW plus tôt dans la journée, mais qui est tombé à moins de 100MW dans les 6 heures (ce qui n'est pas que d'habitude, voir le post hier pour le graphique). Le problème, apparemment, était que personne ne pensait qu'il valait la peine d'allumer leurs générateurs ?
SA a assez de génération (si seulement il était en cours d'exécution), mais quand le crunch est venu, le marché a échoué:
Il a demandé la mise en marche de plus de groupes électrogènes, mais n'a pas reçu de «soumissions suffisantes» et a déclaré qu'il n'avait pas assez de temps pour allumer la deuxième unité à Pelican Point.
Le directeur général de l'AEC, Matthew Warren, a déclaré qu'il n'y avait pas de pénurie d'électrons et de puissance disponible, mais il n'a pas été expédié au besoin.
Le «marché libre» sera blâmé, mais la réponse n'est pas plus la réglementation, mais moins. Le marché de l'énergie n'est pas un marché libre - mais un style soviétique rampante prise de contrôle. Nous ne sommes pas libres de choisir notre source d'énergie. Les détaillants ne sont pas libres de concurrencer le mélange mandaté par le gouvernement. Si vous vouliez construire une centrale électrique avec vos propres fonds et vendre de l'électricité bon marché à des consommateurs désireux, le gouvernement ne vous laisserait pas le faire.
Quelques idées supplémentaires viennent de cet article:
Mais le directeur général des parties prenantes d'AEMO, Joe Adamo, a déclaré qu'ils n'avaient pas assez de temps pour allumer la centrale hier.
«Lorsque nous avons discuté avec Pelican Point, il a été décidé que le délai pour que Pelican Point fasse son entrée sur le marché était un délai trop court et que nous devions prendre l'action de délestage», a-t-il ajouté.
Les opérateurs de la centrale d'Adelaide à Pelican Point, ENGIE, ont déclaré dans une déclaration qu'ils ne pouvaient pas fournir de puissance supplémentaire pour l'Australie du Sud, à moins que l'AEMO n'en ait fait la demande.
RépondreSupprimerNotez les coûts:
Une autre tempête en décembre a obligé le distributeur de puissance à annoncer des paiements d'indemnisation totalisant 20 millions de dollars à environ 75 000 clients après de longues coupures de courant.
WA Travail vient de promettre d'aller à 50% d'énergies renouvelables et semble très probable de gagner en quatre semaines à l'élection d'Etat. Nous sommes une petite grille sans lien avec le reste de la nation. L'Australie du Sud ne peut pas le faire avec 40% d'énergies renouvelables et deux interconnexions. WA vise 50% sans aucune sauvegarde inter-états et une économie déprimée. Ce sera "amusant".
Les choses doivent devenir sérieuses - les libéraux de la SE parlent peut-être, peut-être, de l'option nucléaire.
Pour apprécier à quel point la situation est désastreuse, considérer que c'est le même leader qui a exclu un bas niveau de décharge nucléaire dans SA:
Malgré l'opposition à une décharge nucléaire de haut niveau en Australie-Méridionale, le leader libéral Steven Marshall propose maintenant l'énergie nucléaire comme solution potentielle aux problèmes de fiabilité énergétique de l'État.
Ressemble à une hypocrisie de grade A:
... aujourd'hui il a dit que cela ne signifie pas qu'il ou son parti étaient contre la production de déchets nucléaires de haut niveau en Australie du Sud, via la production d'énergie nucléaire.
Donc faire des déchets radioactifs de haut niveau est très bien. Il est hors de question de stocker ce genre de matière médicale.
C'est un langage fort d'un politicien australien: «Nous n'avons jamais exclu l'occasion nucléaire pour l'énergie."
http://joannenova.com.au/2017/02/south-australian-electricity-is-coming-your-way/#more-52933
SupprimerLes batteries (aussi 'modernes soient-elles) ne se comportent pas comme des bassins remplis d'eau en hauteur dont ils peuvent être approvisionnés vite ou lentement (selon la force du vent ou du soleil) et débités régulièrement, mais comme des objets très précieux dont le bobinage claque/font très vite !
La batterie peut être rechargée avec du gaz carbonique
RépondreSupprimer9 février 2017
par Lisa Zyga
- voir schema sur site -
La cellule d'écoulement à gradient de pH a deux canaux: l'un contenant une solution aqueuse, arrosée de dioxyde de carbone (pH bas) et l'autre contenant une solution aqueuse, arrosée d'air ambiant (pH élevé). Le gradient de pH fait circuler les ions à travers la membrane, créant une différence de tension entre les deux électrodes et provoquant l'écoulement des électrons le long d'un fil reliant les électrodes. Crédit: Kim et al. © 2017 American Chemical Society
(Phys.org) - Les chercheurs ont mis au point un type de pile rechargeable appelée cellule d'écoulement qui peut être rechargée avec une solution à base d'eau contenant du gaz carbonique dissous émis par les centrales à combustible fossile. Le dispositif fonctionne en tirant parti de la différence de concentration de gaz carbonique entre les émissions de gaz carbonique et l'air ambiant, qui peut finalement être utilisé pour produire de l'électricité.
La nouvelle cellule d'écoulement produit une densité de puissance moyenne de 0,82 W / m2, ce qui est près de 200 fois plus élevée que les valeurs obtenues en utilisant des méthodes similaires antérieures. Bien qu'il ne soit pas encore clair si le processus pourrait être économiquement viable sur une grande échelle, les premiers résultats semblent prometteurs et pourraient être améliorés avec la recherche future.
Les scientifiques, Taeyong Kim, Bruce E. Logan et Christopher A. Gorski de l'Université d'Etat de Pennsylvanie, ont publié un article sur la nouvelle méthode de conversion de gaz carbonique à l'électricité dans un récent numéro de Environmental Science & Technology Letters.
«Ce travail offre un moyen alternatif et plus simple de capter l'énergie des émissions de gaz carbonique par rapport aux technologies existantes qui nécessitent des matériaux de catalyseurs chers et des températures très élevées pour convertir le gaz carbonique en carburants utiles», a déclaré Gorski à Phys.org.
Alors que le contraste de la fumée grise-blanche sur un ciel bleu illustre l'impact environnemental néfaste de la combustion des combustibles fossiles, la grande différence dans la concentration de gaz carbonique entre les deux gaz est aussi ce qui fournit une source d'énergie inexploitée pour la production d'électricité.
Afin d'exploiter l'énergie potentielle dans cette différence de concentration, les chercheurs ont d'abord dissous le gaz carbonique et l'air ambiant dans des récipients séparés d'une solution aqueuse, dans un processus appelé barbotage. A la fin de ce procédé, la solution gazeuse sous forme de gaz carbonique forme des ions bicarbonate, ce qui lui donne un pH inférieur à 7,7 par rapport à la solution gonflée à l'air, qui a un pH de 9,4.
Après injection, les chercheurs ont injecté chaque solution dans l'un des deux canaux dans une cellule d'écoulement, créant un gradient de pH dans la cellule. La cellule d'écoulement comporte des électrodes sur des côtés opposés des deux canaux, avec une membrane semi-poreuse entre les deux canaux qui empêche le mélange instantané tout en permettant aux ions de passer. En raison de la différence de pH entre les deux solutions, divers ions traversent la membrane, créant une différence de tension entre les deux électrodes et provoquant l'écoulement des électrons le long d'un fil reliant les électrodes.
Une fois que la cellule d'écoulement est déchargée, elle peut être rechargée à nouveau en commutant les canaux que les solutions traversent. En commutant la solution qui circule sur chaque électrode, le mécanisme de charge est inversé de sorte que les électrons s'écoulent dans la direction opposée. Les tests ont montré que la cellule conserve ses performances sur 50 cycles de solutions alternées.
RépondreSupprimerLes résultats ont également montré que, plus la différence de pH entre les deux canaux est élevée, plus la densité de puissance moyenne est élevée. Bien que la cellule d'écoulement à gradient de pH atteigne une densité de puissance élevée par rapport à des cellules similaires qui convertissent le gaz carbonique résiduel en électricité, elle est encore bien inférieure aux densités de puissance des systèmes de pile à combustible qui combinent le gaz carbonique avec d'autres combustibles,
Cependant, la nouvelle cellule d'écoulement présente certains avantages par rapport à ces autres dispositifs, tels que l'utilisation de matériaux peu coûteux et le fonctionnement à température ambiante. Ces caractéristiques rendent la cellule d'écoulement attrayante pour des applications pratiques dans les centrales électriques existantes.
"Un système contenant de nombreuses cellules d'écoulement identiques serait installé dans les centrales électriques qui brûlent les combustibles fossiles", a déclaré M. Gorski. "Les gaz de fumée émis par la combustion des combustibles fossiles devront être pré-refroidis, puis bouillonnent à travers un réservoir d'eau qui peut être pompé à travers les cellules d'écoulement."
À l'avenir, les chercheurs prévoient d'améliorer encore la performance des cellules d'écoulement.
"Nous cherchons actuellement à voir comment les conditions de la solution peuvent être optimisées pour maximiser la quantité d'énergie produite", a déclaré M. Gorski. "Nous étudions également si nous pouvons dissoudre des produits chimiques dans l'eau qui présentent des propriétés redox dépendantes du pH, ce qui nous permet d'augmenter la quantité d'énergie qui peut être récupérée. Cette dernière approche serait analogue à une batterie de flux, qui réduit et oxydent Dissous dans des solutions aqueuses, sauf que nous les réduisons et les oxydons ici en changeant le pH de la solution avec le gaz carbonique.
https://phys.org/news/2017-02-battery-recharged-carbon-dioxide.html
La pauvreté est une maladie
RépondreSupprimerjeudi, 09 février 2017 16:34
La pauvreté — ou la misère — n’est pas un état normal de l’être vivant. Il s’agit d’un accident de la vie tout à fait comparable à ce que peut être la maladie par rapport à la bonne santé.
La maladie peut toucher un individu de façon hasardeuse, génétique, endémique ou par contagion, mais elle peut aussi être déclenchée par son comportement imprudent. Elle peut être collective, sous la forme d’une épidémie, là aussi l’origine peut être liée au hasard tout comme elle peut provenir du comportement de la collectivité. Enfin la maladie peut être le fait d’un acte volontaire, par exemple une blessure infligée à autrui, initié par un individu ou un groupe. Tous ces aspects de la maladie sont connus et acceptés. Les responsabilités recherchées, collectives par exemple pour le sang contaminé, individuelles pour la tabagie, l’alcoolisme etc…
La lucidité par rapport aux origines de la maladie, à la recherche des agents responsables, n’entame en rien la compassion que tout le monde développe face à celui qui est malade, face à l’injustice que représente le fait d’être malade. Mais cette lucidité permet de se donner les moyens de combattre au mieux la maladie.
Bizarrement il en est tout autrement pour la pauvreté.
Alors que celle-ci peut être liée au hasard, mais aussi à des comportements à risque, qu’elle peut être individuelle mais aussi collective, aucune objectivité n’est possible lorsqu’il s’agit de parler de la pauvreté. Pas plus d’ailleurs de la richesse qui pourtant n’est que la bonne santé de l’économie humaine.
Pendant que tout le monde s’accorde à trouver nécessaire la protection du capital santé — air, nourriture, vigilance contre les agressions à ce capital — personne ne pense à protéger la richesse qui est le capital économique commun.
Cela va plus loin, on le voit avec l’affaire Fillon.
Ceux qui prétendent représenter les pauvres préfèrent répandre la pauvreté plutôt que d’en confier les soins et la guérison à des riches. En clair c’est comme si le malade n’attendait pas de son médecin qu’il soit bien portant et compétant pour bien le soigner, mais qui le veuille lui aussi malade, de la même maladie, qu’il est d’ailleurs prêt à lui inoculer, à lui transmettre. Comme c’est étrange.
Lorsque les malades ne font rien pour se soigner et tout pour vous coller leurs maladies, il arrive un moment où la compassion capitule, où la peur s’installe, où plus personne ne peut rien pour eux. Puis vient ensuite le temps de l’épidémie qui emporte tout sur son passage.
La pauvreté est la peste de notre époque.
Ceux qui aujourd’hui proposent de soulager et de soigner la pauvreté sont du niveau de compétence des médecins italiens en 1347. Croyant la peste liée au lieu de sa déclaration, les gens fuyaient participant ainsi à disséminer la maladie. Les espagnols furent les premiers à comprendre qu’au contraire il fallait empêcher tout contact avec les malades, isoler les foyers de peste. Cela sauva des vies, éloigna la maladie et permis en 1894 d’en comprendre la transmission, puis de l’éradiquer.
Pour la pauvreté l’agent de la dissémination est Bercy qui en détruisant la richesse prétend éradiquer la pauvreté alors qu’il la propage.
C’est tout l’inverse qu’il y aurait lieu de faire. Tout comme seuls ceux qui sont en bonne santé peuvent aider à vaincre la maladie, seuls les riches peuvent aider à vaincre la pauvreté.
RépondreSupprimerLes médecins de Molière saignaient les affaiblis entretenant ainsi leur faiblesse, les agents de Bercy saignent les créateurs de richesse les dirigeant de la sorte vers le statut de la pauvreté qu’ils prétendent combattre.
Etre en très bonne santé est-ce une insulte à la maladie ?
Doit-on n’être juste que pas encore malade mais presque par respect pour ceux qui sont malades ?
Où doit-on être le plus possible en bonne santé pour assister ceux qui sont malades?
Ceux qui font des efforts pour ne pas être pauvres sont-ils nuisibles aux pauvres ?
Personne ne peut prétendre que ne plus faire boire un calva le matin au jeune mousse en guise de médecine n’est pas un progrès. Que si ce même jeune mousse mène une vie tournée vers l’entretien de son corps et de sa santé c’est aussi un progrès. Que si, par contre, il se vautre dans son canapé et s’engraisse aux sucreries et autres cochonneries, il est responsable de la déchéance à venir de sa santé.
Pourquoi en est-il autrement s’il s’efforce de s’enrichir ? Pourquoi alors, comme à l’époque du calva, son entourage va-t-il le traiter de lâcheur, l’éjecter du groupe qui lui impose en quelque sorte la pauvreté commune ?
Décidemment, l’accident de la vie qu’est la pauvreté pour l’individu ou pour la collectivité n’est pas traité comme il se doit.
D’abord, celui qui porte éventuellement une responsabilité pour lui-même ou pour les autres dans l’entrave de la richesse, donc dans la survenance de la pauvreté, devrait être sévèrement dénoncé et puni.
Ensuite, ceux qui sont pauvres de façon endémique devraient être motivés pour réagir, en les incitant à devenir riches. Tout ceux qui leur font croire que les autres régleront le problème à leur place sont des menteurs, ils ont droit à la vérité.
Aujourd’hui, tout le monde sait que la santé n’est pas une donnée due, que chacun doit en assumer l’entretien, que les autres font ce qu’ils peuvent pour les malades, mais que c’est très limité. C’est un immense progrès par rapport à l’obscurantisme, au déni, des millénaires précédents.
Pour la pauvreté, la vérité n’est pas encore à l’ordre du jour. Les pauvres sont encore la proie des charlatans, qui n’hésitent pas, pour leur démonstration, à tirer à boulet rouge sur les riches et la richesse, quelle bêtise.
Imaginez la médecine réduite à stigmatiser les bien portants, vous aurez une idée de l’escroquerie dont sont victimes les pauvres et dont les riches paient stupidement la facture.
Bien cordialement. H. Dumas
http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/liberalisme/la-pauvrete-est-une-maladie.html
Supprimer(...) C’est tout l’inverse qu’il y aurait lieu de faire. Tout comme seuls ceux qui sont en bonne santé peuvent aider à vaincre la maladie, seuls les riches peuvent aider à vaincre la pauvreté. (...)
'les riches peuvent aider à vaincre la pauvreté' ? Donnez de l'argent à un pauvre ne le rendra pas riche pour la vie (mais plutôt lui apprendre à pêcher), car un con pauvre (c'est généralement le cas) deviendra un con riche (juste quelques jours avant de se faire plumer.
Comment les riches le sont-ils devenus ? Héritage ou œuvre de soi-même ou (de plus en plus répandu:) le vol ! C'est-à-dire que si l'Etat s'abstenait de prendre l'argent des gens, tous seraient riches !
Le tout est de bien gérer son patrimoine. Le nouveau riche du loto aura le tournis, le petit riche survivaliste (clochard) n'espèrera rien de demain. Par contre, l'allocataire auto-suffisant, lui, il projettera et pourra un jour devenir riche.
Environ la moitié de tous les immigrants illégaux vivent dans ces 10 zones métropolitaines
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
9 février 2017 20h34
Tandis que Trump obtient la pression sur les soi-disant «villes de sanctuaire», et les États de sanctuaire dans le cas de la Californie, voici un regard où la majorité des immigrants illégaux aux États-Unis résident actuellement. Selon les données du Pew Research Centre, environ 60% de tous les immigrants illégaux vivent dans seulement 20 régions métropolitaines à travers le pays.
La plupart des 11,1 millions d'immigrants non autorisés des États-Unis vivent dans seulement 20 grandes régions métropolitaines, avec les plus grandes populations à New York, Los Angeles et Houston, selon les nouvelles estimations Pew Research Center basées sur des données gouvernementales.
L'analyse montre que la population immigrante non autorisée du pays est fortement concentrée, plus que la population des États-Unis. En 2014, les 20 régions métropolitaines où se trouvent la plupart des immigrants non autorisés abritaient 6,8 millions d'entre eux, soit 61% du total national estimé. En revanche, seulement 36% de la population totale des États-Unis vivaient dans ces régions métropolitaines.
De loin, les plus grandes populations d'immigrants non autorisés se trouvaient dans les zones métropolitaines de New York et de Los Angeles (1,2 million et 1 million, respectivement). Aucune autre zone métropolitaine n'a approché un million. Parmi les 20 premières régions, les plus petites populations d'immigrants non autorisés comprenaient Orlando (110 000) et Austin (100 000).
- voir tableau sur site
Immigration illégale
Entre-temps, les 10 principales régions métropolitaines représentent à elles seules près de 50% des immigrants clandestins et seulement trois États, la Californie, le Texas et New York, représentent environ 37% du total.
Immigration illégale
- voir tableau sur site
Bien sûr, ces chiffres deviendront de plus en plus importants au cours des prochains mois, car l'administration Trump continue de développer des politiques liées à ce qui sera sans aucun doute un sujet controversé pour les prochaines 4-8 années. Dans une interview récente sur Fox News, le président Trump a laissé entendre Bill O'Reilly que toutes les options, y compris la défrance d'états entiers, seraient sur la table pour les endroits qui refusent d'appliquer les lois fédérales d'immigration.
"Je pense que c'est ridicule. Sanctuaire villes, comme vous le savez, je suis très opposé aux villes de sanctuaire. Ils multiplient le crime, il ya beaucoup de problèmes, "a déclaré Trump.
"Si nous devons le faire, nous défundons", a déclaré Trump dans une interview accordée à l'animateur de Fox News, Bill O'Reilly, avant le Super Bowl. "Nous donnons d'énormes quantités d'argent à la Californie, en Californie à bien des égards est hors de contrôle, comme vous le savez."
Trump a déclaré à O'Reilly qu'il ne voulait pas déprécier un État ou une ville et aimerait leur donner "l'argent dont ils ont besoin pour fonctionner correctement".
RépondreSupprimerMais le président a ajouté que "s'ils vont avoir des villes de sanctuaire, nous pouvons avoir à le faire. Ce serait certainement une arme.
Et, avec 27 milliards de dollars de financement fédéral en jeu, nous soupçonnons qu'au moins quelques villes voyous seront forcés de tomber en ligne. Voici quelques données sur les États / villes qui reçoivent le plus de fonds fédéraux (voir «Déplorable ? Obama a envoyé 27 milliards de dollars d'argent des contribuables pour financer les villes du Sanctuaire en 2016»):
Voici les 10 principaux points à retenir de nos constatations:
1. 26,741 milliards de dollars de subventions fédérales annuelles et de paiements directs ont été versés dans les 106 villes du sanctuaire des États-Unis (FY2016).
2. En moyenne, le coût du financement fédéral perdu pour une famille de quatre résidant dans l'une des 106 villes du sanctuaire est de 1 810 $ - soit 454 $ par personne. Une population totale de 46,2 millions de résidents vivent dans les 106 villes du sanctuaire selon les données du recensement.
3. Washington, DC et Chicago, les gouvernements de l'Illinois ont reçu le montant le plus élevé de financement fédéral par résident et, par conséquent, ont le plus à perdre en maintenant leur statut de sanctuaire.Washington, le gouvernement municipal de DC a reçu le montant le plus élevé de financement fédéral par habitant : 3 228 $ par personne; 12 912 $ par famille de quatre personnes; Soit 2,09 milliards de dollars au total. La Ville de Chicago (IL) a reçu le deuxième montant le plus élevé de financement fédéral par habitant: 1 942 $ par personne; 7 768 $ par famille de quatre; Soit 5,3 milliards de dollars au total.
4. Dans les villes de 100 000 habitants et plus, les collectivités ayant le moins de dollars fédéraux par habitant «à risque» sont St. Paul, Minnesota (47 $ par personne, 14,2 millions de dollars au total); Downey, en Californie (36 $ par personne, 4,2 millions $ au total) et Miami (Floride) (67 $ par personne, 29,7 millions $ au total).
5. 15,983 milliards de dollars de fonds fédéraux ont été versés dans seulement douze grandes villes américaines où résident 1 personne sur 5 (FY2016).
6. Les subventions accordées par le ministère de la Justice aux services de police - c'est-à-dire les services de police municipaux - ont totalisé 543,97 millions de dollars (FY2016). En règle générale, ce financement ne représentait qu'un faible pourcentage des budgets locaux d'application de la loi.
7. 4,23 milliards de dollars de financement fédéral des 106 villes du sanctuaire s'écoulent par le biais du type «paiement direct». Ces paiements ont financé des services municipaux tels que le logement, l'éducation, le développement communautaire et les écoles.
RépondreSupprimer8. 21,5 milliards de dollars de financement fédéral des 106 villes du refuge ont été financés par le mécanisme de paiement «subvention». Ces paiements ont financé la police locale et les services d'incendie, les écoles, le logement et les services municipaux.
9. À Los Angeles, 1 personne résidant sur 5 (22 %) est une entrée illégale. Toutefois, le montant du financement fédéral s'élève à seulement 126 $ par résident; 504 $ par famille de quatre; Soit un total de 502,5 millions de dollars.
10. À Newark, dans le New Jersey, 19 % des résidents de la ville sont des sans-papiers. Toutefois, le montant du financement fédéral s'élève à 733 $ par résident; 2 922 $ par famille de quatre personnes; Soit 206,7 millions de dollars.
Il est vraiment dommage que Jerry Brown ait seulement 2 ans à la tête du bureau ... une bataille de quatre ans, Trump-Brown serait une chose glorieuse à observer.
http://www.zerohedge.com/news/2017-02-09/roughly-half-all-illegal-immigrants-live-these-10-metro-areas
La cour d’appel suspend le décret migratoire, Donald Trump promet «un rendez-vous au tribunal»
RépondreSupprimer10 févr. 2017, 07:21
Après le camouflet infligé à Trump par la Justice qui a décidé de maintenir la suspension de son décret limitant l'immigration, le président promet de poursuivre la bataille judiciaire afin de défendre sa mesure. Bientôt la Cour suprême ?
«Rendez-vous au tribunal, la sécurité de notre nation est en jeu», a tweeté Donald Trump en réponse à la suspension de son décret migratoire par trois juges de la cour d’appel de San Francisco.
Il a ensuite devant des journalistes qualifié la décision de «politique» : «C'est une simple décision qui vient de tomber, mais nous allons gagner le dossier», a-t-il affirmé, selon la chaîne NBC.
Lire aussi
Donald Trump et son vice-président Mike Pence ont toutes les raisons de se réjouir de cette nouvelle Etats-Unis : le gouvernement soutient les restrictions à l'immigration de Donald Trump
Les trois juges de la cour d’appel de San Francisco William Canby, Richard Clifton et Michelle Friedland ont pris la décision de suspendre le décret interdisant l'accès aux Etats-Unis pour trois mois aux ressortissants de sept pays musulmans (la Syrie, l’Iran, l’Irak, le Soudan, la Somalie, le Yémen et la Libye) et pour quatre mois aux réfugiés. L'appel du gouvernement est «rejeté», ont-ils écrit dans une décision prise à l'unanimité, insistant sur la nécessité de protéger «l'intérêt général». Le gouvernement n'a pas su démontrer que le maintien de la suspension du décret se traduirait par de graves atteintes à la sécurité des Etats-Unis, ont-ils conclu.
La cour d’appel n’a pas statué quant à la constitutionnalité du décret du président américain.
Les trois juges ont par contre débattu pour déterminer si l’interdiction d’accès aux ressortissants de ces sept pays à majorité musulmane constituait une interdiction visant en premier lieu les musulmans. Le juge Richard Clifton, s'est dit peu convaincu, affirmant que les pays touchés par l’ordre exécutif «représentaient un relativement petit pourcentage des musulmans» de la planète.
Lire aussi : Plus de la moitié des Européens souhaiteraient que l'immigration des pays à majorité musulmane cesse
Il est possible que la bataille judiciaire à laquelle doit faire face Donald Trump aille jusqu'à la plus haute instance juridique américaine, la Cour suprême.
https://francais.rt.com/international/33775-cour-dappel-suspend-decret-migratoire-trump
SupprimerMic-mac indescriptible, conflictuel né avec l'affaire du sherif arizonien Arpaio (2012) qui apportait au tribunal toutes les preuves formelles et irréversibles que Barack Obama était né au Kenya (et non à Honolulu), la Cour en avait décidé autrement !!
RépondreSupprimerImmigration, Europe des nations, Buisson... : le résumé de l'«Emission politique» avec Marine Le Pen
9 févr. 2017, 23:58
Marine Le Pen a défendu son projet de référendum sur la sortie de l'Union européenne et sa volonté de créer une Europe des nations souveraines
La candidate du Front national a répondu pendant plus de deux heures à des contradicteurs (parfois inattendus), développant son programme et ses propositions. Retour sur les moments marquants de l'émission.
Invitée sur le plateau de «L'Emission politique» sur France 2 ce 9 février, Marine Le Pen effectuait son grand retour médiatique après une absence relative des plateaux de télévision depuis plusieurs mois. De la laïcité à l'Europe en passant par la Russie, elle a défendu son projet pendant près de deux heures. Au terme de l'émission, un sondage Harris Interactive estimait qu'environ 41% des Français ayant regardé l'émission l'avaient trouvé «convaincante» - soit le meilleur score parmi les candidats à la présidentielle déjà invités à participe à l'émission.
En guise d'ouverture, la candidate du Front national a tenu à expliquer que son soutien «de principe» aux policiers dans l'affaire du jeune Théo, dans l'attente des résultats de l'enquête, ne remettait pas pour autant en cause la souffrance de la victime. «C'est un jeune homme qui a été gravement blessé donc oui, nous avons de la compassion, mais l'accusation avant même le début de l'enquête m'apparaît un peu systématique», a-t-elle expliqué.
Élargissement de la laïcité à tous les lieux publics
Évoquant plus généralement la question des banlieues, Marine Le Pen a estimé que le problème de l'insécurité allait de pair avec celui du communautarisme. Elle a notamment été prise à partie par le maire communiste de Montreuil, Patrice Bessac, qui l'accusait de stigmatiser les minorités religieuses et de vouloir mettre en place «la police des kippas et des voiles». Elle a répondu en l'accusant de faire partie des maires «lâches» responsables, selon elle, du «communautarisme».
Invitée à préciser sa vision de la laïcité, elle a confirmé qu'elle souhaitait élargir l'interdiction du port de signes religieux ostentatoires à tout l'espace public. «Quand la loi est votée, tout le monde doit s'y soumettre. Le voile est un acte de soumission de la femme», a-t-elle martelé. La question de la croix catholique demeure, selon elle, secondaire. «Il n'y a pas de grosse croix», a-t-elle ironisé.
Réduction drastique de l'immigration et fin de la binationalité
Très attendue sur la question de l'immigration, Marine Le Pen a d'emblée annoncé : «Il est évident qu’il faut prendre les gens et les mettre sur nos propres bateaux et les ramener chez eux». Pointant du doigt l'exemple de l'Allemagne qui «a accueilli plus d'un million de migrants, non pas pour des raisons humanitaires mais économiques», elle a répété qu'elle mettrait tout en oeuvre pour ramener le solde migratoire à 10 000 entrées annuelles. Elle a également insisté sur le fait qu'il s'agissait d'une nécessité «avec 7 millions de chômeurs et 9 millions de pauvres», tout en se défendant de toute mauvaise intention : «Je ne suis pas un monstre», s'est-elle défendue.
«La naturalisation par mariage ne sera plus automatique, et nous renforcerons les critères pour obtenir la nationalité», a-t-elle également insisté. Affirmant qu'elle comptait de plus appliquer la suppression de la double-nationalité, Marine Le Pen a dû répondre à une question de Léa Salamé, qui lui demandait si une telle mesure s'appliquerait également «aux juifs français». «Israël n'est pas l'Europe», a rétorqué Marine Le Pen, qui a paru visiblement étonnée du rapprochement effectué par la journaliste entre les Français juifs et Israël.
RépondreSupprimer«La Russie a sa place dans l'Europe des nations»
La politique étrangère était la grande absente de cette émission. L'une des uniques questions qui ont été posées à Marine Le Pen en la matière concernait la Russie et son appartenance éventuelle à l'Europe des nations qu'elle appelle de ses voeux. «Je veux l'Europe des nations et je pense que la Russie y a sa place», a affirmé Marine Le Pen, qui a insisté sur le fait qu'il ne s'agit pas pour elle de «réformer» l'Europe, mais d'en proposer un nouveau modèle.
Autre incursion à l'étranger au cours de l'émission : Marine Le Pen a plusieurs fois cité Donald Trump comme exemple d'une politique protectionniste faisant ses preuves. Elle a notamment dit s'inspirer du président des Etats-Unis pour mettre en place des sanctions contre les entreprises qui délocaliseront si elle est élue. «J'expliquerais à ces entreprises que si elles ne construisent pas en France, elle seront frappées d'un droit de douane de 25%», a-t-elle développé.
L'arrivée imprévue de Patrick Buisson
Un invité surprise était annoncé, mais la réaction de la candidat du Front national à l'arrivée de Patrick Buisson sur le plateau laisse peu de doute : Marine Le Pen ne s'attendait sans doute pas du tout à sa présence. Ancienne figure de l'extrême-droite devenue conseiller de Nicolas Sarkozy avant de se retourner contre lui, il a déstabilisé la candidate en lui demandant comment elle comptait séduire l'électorat de François Fillon et de Jean-Luc Mélenchon, réservoirs potentiels de voix pour un second tour face à Emmanuel Macron.
Si la présence de l'ancienne éminence grise de l'extrême-droite en tant que contradicteur était sans doute très désagréable et lourde de sens pour Marine Le Pen, les internautes, eux, ne l'ont pas perçu comme tel. Un certain nombre d'entre eux s'est agacé que France 2 organise un débat entre deux personnalités qu'ils associent au même bord politique.
https://francais.rt.com/france/33770-immigration-europe-nations-buisson-points
Le tsunami de la robotisation : en 2000, ils étaient 600, aujourd’hui, il n’y en a plus que… 2
RépondreSupprimerAudrey Duperron
9 février 2017
Il y a à peine 17 ans, la banque d’investissement américaine Goldman Sachs employait 600 traders dans ses bureaux de New York, pour acheter et vendre des actions au nom de leurs clients. Aujourd’hui, il n’en reste plus que… 2.
Comme ils l’ont fait dans les usines, les robots se sont imposés dans le trading des actions à Wall Street, et celui-ci est désormais largement automatisé. Cependant, les emplois n’ont pas tous disparu, et les deux traders qui subsistent chez Goldman Sachs sont assistés par une armée de 200 ingénieurs informaticiens.
Au début, seule une partie des traders redoutaient de perdre leur travail : ceux qui étaient actifs dans les domaines où les cours quotidiens peuvent être facilement identifiés. Mais aujourd’hui, les traders qui opèrent dans des environnements plus complexes, comme le change et les futures sont aussi menacés d’être remplacés par des algorithmes.
4 traders remplacés pour un spécialiste en informatique
Goldman Sachs a mené pendant un certain temps des expériences de robotisation du trading de devises. Ces tests ont montré qu’il était facile de remplacer 4 traders par un spécialiste en informatique. Cela explique aussi pourquoi un tiers des 27.000 travailleurs que la banque emploie sont des spécialistes en informatique. Cette tendance sera probablement bientôt renforcée lorsque Marty Chavez, un ancien directeur de la technologie de la banque, deviendra directeur financier à compter du 1er avril prochain.
Le banquier d’investissement également voué à disparaître
Selon Chavez, les banquiers d’investissement sont appelés à connaître le même sort. Comme le travail est basé sur la confiance et nécessite donc des compétences humaines, il ne disparaîtra probablement jamais complètement. Toutefois, d’après Chavez, des algorithmes se substitueront à la grande majorité des emplois.
Goldman Sachs a déjà cartographié l’ensemble du processus d’introduction en bourse. Il se compose d’exactement 146 étapes spécifiques, dont beaucoup peuvent être facilement automatisées.
Selon Coalition, une société britannique qui surveille le secteur financier, presque 45% des transactions de trading dans le monde sont automatisées.
Conclusion
On associe les robots au travail facilement remplaçable (comme les postes dans une usine de voitures, par exemple); l’histoire de Goldman Sachs montre que les emplois nécessitant un haut niveau de connaissances, comme les traders, qui passent la plus grande partie de leur journée devant un écran, puis prennent des décisions, n’échapperont pas non plus à la robotisation.
Quels emplois survivront au tsunami de la robotisation ?
Les tâches qui exigent la flexibilité, la créativité et l’improvisation seront plus difficilement automatisables. Telles que gérer une crise, arracher des dents, couper des cheveux, monter un meuble par les escaliers, car il ne rentre pas dans l’ascenseur, réaliser un thriller, ou être un Leo Messi …
https://fr.express.live/2017/02/09/goldman-sachs-robotisation-trading-operations-complexes/
La tâche demandée est bien trop complexe pour l'homme et les algorithmes sont traités par des ordinateurs aux capacités plus rapides et intelligentes.
Supprimer64 % des belges veulent stopper toute immigration issue de pays à majorité musulmane
RépondreSupprimerRedactie Express Business
8 février 2017
64 % des belges veulent mettre fin immédiatement à toute immigration en provenance de pays à majorité musulmane. C’est ce qui ressort d’une étude réalisée par le think tank britannique Chatham House parmi 10 000 citoyens issus de 10 pays européens.
Seule l’Autriche (65 %) et la Pologne (71 %) ont enregistré des pourcentages plus élevés. Selon le think tank, ces résultats donnent à réfléchir, et ils indiquent que la peur de l’immigration musulmane ne se cantonne pas qu’aux États-Unis, où récemment, le président Trump a annoncé des restrictions pour les citoyens provenant de 7 pays à majorité musulmane, qui ont été révoquées par un tribunal.
Le sondage a été réalisé avant que le décret présidentiel de Trump ne soit annoncé.
Il n’y a que dans 2 pays que le souhait de l’arrêt de l’immigration n’est pas majoritaire
En moyenne, 55 % des Européens sont d’accord avec l’affirmation selon laquelle il faudrait stopper toute immigration des pays à majorité musulmane. 20 % sont en désaccord, tandis que 25 % ne sont ni d’accord, ni en désaccord avec cette affirmation.
Il n’y a guère qu’en Espagne (41 %) et au Royaume-Uni (47 %) que les sondés opposés à toute immigration musulmane n’étaient pas majoritaires.
La démographie
L’étude montre également que ce sont surtout les plus de 45 ans et les retraités qui s’opposent à l’immigration en provenance de pays musulmans. Les jeunes de moins de 30 ans y sont moins hostiles. L’éducation apporte aussi une ligne de démarcation. Moins de la moitié des personnes très instruites s’opposent à la poursuite de l’immigration. Chez les personnes ayant un diplôme de l’enseignement secondaire, cette proportion monte à 59 %.
https://fr.express.live/2017/02/08/immigration-pays-musulmans/
Rappelons qu'AUCUN sondage n'est valide hors référendum.
SupprimerUn nombre record d'Américains renoncent à la citoyenneté américaine en 2016; 2 200% de surtension pendant le règne d'Obama
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
9 février 2017 21 h 00
Obama a averti tout le monde en 2009 que "les élections ont des conséquences". Maintenant, huit ans plus tard, nous apprenons que, apparemment, les «conséquences» de courir dans le pays pendant près d'une décennie menaçant d'augmenter les impôts, de «répandre la richesse autour» et de poursuivre toutes sortes d'autres politiques socialistes sont un nombre record de personnes renonçant à leurs Citoyenneté américaine.
Par un billet du International Tax Blog, le Trésor des États-Unis a récemment publié les noms des personnes qui ont renoncé à leur citoyenneté des États-Unis ou ont mis fin à leur résidence de longue durée aux États-Unis au cours du quatrième trimestre de 2016.
Le nombre d'expatriés publiés pour le 4T 2016 était de 2 365, ce qui porte le nombre total pour 2016 à 5 411, établissant un nouveau record tous les trimestres et annuels. Par comparaison, le nombre d'expatriés pour 2016 reflète une augmentation de 26% par rapport à 2015 et une augmentation de 58% par rapport à 2014 (3.415).
- voir graphique sur site -
Expats
L'examen plus détaillé des 20 dernières années illustre la montée en flèche du nombre d'expatriés publiés qui «coïncident» avec l'élection d'Obama en 2008. En fait, la liste de 2016 est plus de 22 fois plus grande que 2008, l'année juste avant que Obama ne bouge Dans la Maison Blanche.
- voir graphique sur site -
Expats
Comme le souligne le New York Times, le renoncement à la citoyenneté le plus remarquable vient peut-être du ministre britannique des Affaires étrangères, Boris Johnson, qui a gagné la gloire comme l'un des partisans les plus enthousiastes du référendum Brexit et un des premiers critiques de Trump le décrivant comme "hors de son esprit" D'une «ignorance stupéfiante».
Boris Johnson, le secrétaire aux Affaires étrangères de la Grande-Bretagne, qui est peut-être le plus connu pour son rôle de premier plan dans la campagne pour le départ de son pays de l'Union européenne, a renoncé à sa citoyenneté américaine.
Né à New York, M. Johnson, âgé de 52 ans, détenait la double nationalité jusqu'à l'année dernière. Il s'était longtemps plaint d'avoir à payer des impôts aux États-Unis, même s'il avait 5 ans quand il a vécu la dernière fois. Contrairement à la plupart des pays, les États-Unis taxent les ressortissants qui vivent à l'étranger sur leurs revenus mondiaux.
M. Johnson, conservateur, n'a pas été connu pour ses qualités diplomatiques. Ses relations avec Donald J. Trump ont pris un coup en décembre 2015, quand il a accusé M. Trump, alors candidat à la présidence, d'être «hors de son esprit» et d'une «ignorance stupéfiante» qui le rendait inapte à la présidence.
Devinez que nous pouvons ajouter ceci à l '"héritage d'Obama" ...
http://www.zerohedge.com/news/2017-02-09/record-number-americans-renounce-their-us-citizenship-2016
La Bulle de la Ferme du Midwest continue de s'effondrer à mesure que les revenus agricoles devraient s'abattre en 2017
RépondreSupprimerPar Tyler Durden
9 février 2017 18h30
Plus tôt cette semaine, le ministère de l'Agriculture des États-Unis a publié son rapport semestriel sur les revenus agricoles qui peint une image très sombre pour le fermier américain. Dans ses premières prévisions pour 2017, l'USDA constate une baisse des recettes monétaires agricoles de 14% par rapport à 2015 et de 36% par rapport au sommet précédent en 2012, alors que la dette agricole continue de grimper et de faire grimper les hausses historiques.
Comme le souligne le Wall Street Journal, la combinaison mortelle de la hausse des coûts des intrants, de la baisse des prix des céréales, d'un dollar fort et d'un effet de levier excessif poussera beaucoup d'agriculteurs du Midwest de l'Amérique à cesser leurs activités en 2017.
Les coûts pour les semences, les engrais et l'équipement ont grimpé si haut et les prix des céréales ont chuté si bas qu'il a toujours perdu plus de 120 $ l'acre. Peur de revenir à nouveau, M. Scott a décidé l'automne dernier de ne pas planter 170 acres de blé d'hiver, près d'un tiers du montant habituel. Les agriculteurs américains ont semé le plus petit nombre d'acres de blé d'hiver cette saison en plus d'un siècle.
«Personne n'a plus de fermes céréalières», a déclaré Deb Stout, dont les fils Mason et Spencer cultivent les 2 000 acres de la famille à Sterling, au Kansas, à 120 miles à l'est de Ransom. Spencer travaille également comme mécanicien, et Mason est un facteur de substitution. "Avoir un travail parallèle semble être la seule façon de le faire fonctionner", a t-elle dit.
Elle et son mari ont déjà déclaré faillite. Les agriculteurs autour de Sterling ont perdu 6 400 $ en moyenne en 2015, les dernières données disponibles, après des profits de 80 800 $ un an plus tôt, selon l'Association de gestion de ferme du Kansas.
- voir graphique sur site -
Fermes
Pendant ce temps, la part des États-Unis dans le commerce mondial des céréales a été réduite de moitié depuis les années 1970, ce qui a permis aux agriculteurs nationaux de contrôler moins les prix, qui sont devenus de plus en plus volatils au cours de la dernière décennie.
La part des États-Unis dans le marché mondial des céréales est inférieure à la moitié de ce qu'elle était dans les années 1970. Les revenus des agriculteurs américains chuteront de 9% en 2017, estime le ministère de l'Agriculture, prolongeant la plus forte chute depuis la Grande Dépression en une quatrième année.
"Vous continuez à pincer et à pincer et bientôt il n'y a plus rien à pincer", a déclaré Craig Scott, un agriculteur de cinquième génération dans cette ville de l'ouest du Kansas.
La part des agriculteurs américains dans le commerce mondial des céréales est passée de 65% au milieu des années 1970 à 30% aujourd'hui, ce qui leur donne moins d'influence sur les prix. Plus de producteurs et plus d'acheteurs à travers le monde signifient également plus de perturbations potentielles du mauvais temps, la famine ou la crise politique.
Les prix du maïs variaient d'une année à l'autre de moins de 1 $ le boisseau. Depuis 2006, ils ont grimpé et ont chuté de plus de 4 $ le boisseau.
- voir graphique sur site -
RépondreSupprimerFermes
Alors, où est-ce que cela laisse le fermier américain ? Les revenus agricoles réels en 2017 devraient baisser en dessous des niveaux de 2010, ce qui représente une baisse de 36% par rapport au pic récent et une baisse de 14% depuis 2015.
- voir graphique sur site -
Fermes
Entre-temps, la dette agricole continue à augmenter à un rythme étonnant ...
- voir graphique sur site -
Fermes
Alors que l'effet de levier des agriculteurs a atteint le niveau le plus élevé depuis au moins 1960.
- voir graphique sur site -
Fermes
Et, bien sûr, des revenus plus faibles signifie moins d'argent à dépenser sur de nouveaux tracteurs John Deere brillants, le capex des équipements devant diminuer de 35% par rapport à 2015.
- voir graphique sur site -
Fermes
Et enfin, les rendements des agriculteurs ont chuté aux niveaux les plus bas jamais. Nous ne sommes pas sûrs de vous, mais un 2,1% ROIC semble un "faible faible", même dans notre environnement de taux d'intérêt rigged actuel. Donc, il ya seulement quelques façons de résoudre ce problème ... soit les prix des produits de base doivent se rétablir rapidement ou les prix des terres agricoles doivent baisser considérablement. Que pensez-vous que se passera en premier ?
http://www.zerohedge.com/news/2017-02-09/midwest-farm-bubble-continues-collapse-farm-incomes-expected-crash-2017
SupprimerAlors que la mécanisation et la passation par programmes-ordinateur gagne du terrain et fait nécessairement baisser le prix de la transformation/sélection des dosages d'engrais & produits de traitement, voilà que ces intrants ont un coût révisé à la hausse !! (comme les taxes & impôts !!).
Il s'agit là de la pire escroquerie visant à priver la quasi totalité des américains de nourriture à brève échéance !! Bientôt les États-Unis devront-ils importer leur nourriture ?