Vidéo : Un bus qui enjambe la circulation voit le jour en Chine
Une entreprise chinoise vient de mener le premier test d'un bus qui enjambe les voitures. Le projet, qui a l'air sorti tout droit d'un film de science-fiction, cherche à apporter une solution aux problèmes de circulation et de pollution.
La circulation dans les grandes villes peut être un vrai calvaire. En Chine, avec son 1,3 milliard d’habitants, cette problématique est encore plus marquée. Le pays détient en effet le record de l’embouteillage le plus long de l’histoire.
C’est pourquoi Transit Explore Bus (TEB), une entreprise basée à Pékin, a présenté en mai lors d’une exposition le concept d’un bus surélevé capable d’enjamber les voitures sur la route. Ce projet incongru est en passe de se concrétiser. En effet, l’agence de presse Xinhua News, signale que le tout premier test du TEB-1 vient d’être effectué à Qinhuangdao, une ville dans le Nord-Est du pays.
Ce bus a évidemment des caractéristiques atypiques et un design futuriste. Il mesure 22 mètres de long pour une largeur de 7,8 mètres et 4,8 mètres de hauteur. Sa conception a pris en compte un espace suffisant pour laisser circuler deux voitures de front. Jusqu’à 300 personnes peuvent voyager à bord dans le module supérieur. Et pour se déplacer, le TEB-1 utilise des rails similaires à ceux d’un tramway.
TEB 1
Le déploiement de ce mode de transport d’un nouveau genre aurait quelques avantages, à commencer par réduire les bouchons. Il aurait aussi un effet positif sur l’environnement car, en plus de limiter la pollution des voitures, qui n’auront plus à s’arrêter tous les deux mètres, le TEB-1 fonctionne à l’électricité. En outre, le fabricant estime que chaque modèle peut se substituer à 40 bus traditionnels.
Entre la présentation du concept et sa généralisation sur la voie publique, il faudra faire preuve de patience. Outre les importants travaux d’aménagement de voirie qu’un tel projet requiert, des questions demeurent sur la sécurité et la fiabilité d’un tel mode de transport.
A quelques mois des élections, le gouvernement tenterait de fausser les chiffres du chômage
3 août 2016, 11:34
Selon une note interne à Pôle Emploi révélée par Le Canard Enchaîné, les autorités françaises tentent de recaser d’urgence 500 000 chômeurs en leur proposant à tout prix des formations, afin de les évincer des statistiques officielles du chômage.
C’est le branle-bas de combat à Pôle Emploi. L’objectif ? Obtenir «des statistiques présentables pour décembre» 2016, assure le journal satirique Le Canard Enchaîné, présentant une instruction confidentielle de 16 pages distribuée aux cadres de l’organisme public.
Selon ce plan d’urgence, il s’agirait de mettre un demi-million de chômeurs «en formation» d’ici à la fin de l’année afin que ceux-ci disparaissent des statistiques.
En effet, les chiffres officiels ne retenant que les catégories de chômeurs A, B et C, 500 000 personnes pourraient basculer vers la catégorie D, à savoir les «personnes sans emploi, qui ne sont pas immédiatement disponibles, non tenues d'accomplir des actes positifs de recherche d'emploi» en raison d’une maladie ou… d’une formation.
Chaque employé de Pôle Emploi aurait donc été sommé d’envoyer un minimum de 15 chômeurs en stage par mois. «C’est phénoménal ! On reste soumis à une pression incessante, on racle tous nos fonds de tiroirs pour retrouver ceux qui ont émis un souhait de formation», remarque un employé interrogé par le journal français, rappelant qu’il y a quelques mois encore, il n’y avait plus d’argent pour financer les formations.
La secrétaire d’Etat dément les accusations
Interrogée sur la chaîne télévisée LCI, la secrétaire d’Etat à la formation professionnelle Clotilde Valter a dénoncé un «article caricatural». Si le gouvernement pouvait utiliser Pôle Emploi pour inverser la courbe du chômage «cela se saurait et il y a d’autres gouvernements qui l’auraient fait depuis très longtemps», a-t-elle ajouté.
Elle a par ailleurs indiqué que d’autres acteurs, comme les Régions ou les partenaires sociaux, avaient été consultés pour mettre en œuvre le «plan 500 000 formations».
«Moi président»
Lire aussi Le ministre français de l'économie Emmanuel Macron Plan emploi : jamais un gouvernement n’est allé aussi loin dans les réformes néo-libérales
Dès le début de son mandat, en 2012, le président François Hollande a promis d’«inverser la courbe du chômage».
Le 6 novembre 2014, sur le plateau de TF1, le chef de l’Etat a même fait de cette promesse une condition pour se représenter aux prochaines élections présidentielles de 2017.
Il avait alors déclaré : «Si je n'y parvenais pas [à inverser la courbe du chômage] à la fin de mon mandat, vous pensez que j'irais devant les Français en leur disant : “ben voilà, je n'y suis pas arrivé pendant cinq ans, mais je vous promets les cinq prochaines années, je vais y parvenir” ? Ça ne marche pas comme ça. Les Français seraient implacables et ils auraient raison.»
Depuis 2008 pourtant, le nombre de chômeurs ne cesse d’augmenter en France.
En juin 2016, il était de 6,5 millions en combinant les catégories A, B, C et D, selon les statistiques de Pôle Emploi.
«Les Etats-Unis ont délibérément détruit une prison secrète de la CIA utilisée pour la torture»
3 août 2016
Ammar al Baluchi a été brutalement torturé par la CIA aux côtés des autres détenus, mais la prison secrète où Baluchi était gardé a été détruite, affirme Alka Pradhan, avocat de ce détenu de Guantanamo.
Le procès portant sur l’attentat du 11 septembre 2001 n'a pas encore commencé dans le centre de détention de Guantanamo Bay. Il implique plusieurs détenus qui, selon le gouvernement, sont suffisamment coupables pour être accusés. Toutefois, les procédures judiciaires sont bloquées par l’insuffisance des preuves.
L'accusation a soumis à l’examen du juge de première instance près de la moitié des preuves, mais ce dernier les a rapidement renvoyées, qualifiant la quasi-totalité de ces preuves d’«inadéquates» et demandant aux procureurs d’en corriger les erreurs. Ce sont des preuves qu’il reste à présenter aux avocats des accusés, encore totalement dans l'inconnu.
Se pose ensuite la question de preuves spécifiques non renvoyées qui font référence à une prison secrète de la CIA où la plupart des accusés auraient été torturés. Les avocats ont annoncé que les prisons secrètes qu’ils croyaient être conservées en tant que scène de crime avaient été détruites à leur insu.
Alka Pradhan, conseiller en droits de l'homme du détenu de Guantanamo Ammar al Baluchi, explique à RT ce que signifie la perte d'accès à cette prison secrète.
RT : Vos clients ainsi qu’un grand nombre d’autres accusés ont été torturés dans cette prison secrète. Vous pensiez qu’il s’agissait d’une scène de crime conservée pour des raisons judiciaires. Il s’agit donc d’une destruction de preuves, c’est cela ?
Alka Pradhan (A. P.) : C'est tout à fait juste. Ce n’est rien d’autre qu'une partie de la couverture mise en place par le gouvernement des États-Unis pour cacher les preuves d’existence de leur programme de torture systématique et parrainé par l'État. Mon client Ammar al Baluchi a été brutalement torturé par la CIA, tout comme les autres détenus. Il a subi une blessure traumatique au cerveau alors qu’il était enfermé par la CIA. Et voilà que nous découvrons près de deux ans après que le juge ait autorisé la destruction du site, qu’il avait effectivement été détruit. Nous avions réclamé l’ accès à ce site en tant que scène de crime pour recueillir des éléments de preuve essentiels dans cette affaire. Les États-Unis tentent d'exécuter mon client et essayent de présenter des preuves contre lui, des preuves dont une partie est impossible à réfuter maintenant. Et c’est une énorme perte.
RT : Qu'est-ce que vous auriez pu apprendre si vous aviez pu accéder à ce site ?
A. P. : Il y a des personnes qui inspectent les sites de torture ou les prisons où la torture aurait pu avoir lieu, et ils sont généralement accompagnés d’experts en criminalité. Les choses qui semblent abstraites comme l'usure, les déchirures sur les installations, l’emplacement des salles et des objets dans ces salles, l’emplacement de la salle de contrôle et des haut-parleurs... Nous savons que la plupart des détenus ont été torturés avec de la musique [jouée très] forte, ou avec des robinets, des choses comme ça. Nous savons que la torture à l'eau a été utilisée contre un grand nombre de détenus, y compris mon client. Des choses comme cela auraient été importantes pour être en mesure de les voir et les examiner dans l’ensemble des preuves rassemblées que nous allons utiliser, qui seront présentées pendant le procès et qui permettront une réduction de peine si ces hommes sont reconnus coupables un jour.
RT : En 2014 vous avez commencé à réclamer l'accès à ce site en pensant qu'il était sous ordonnance conservatoire. L'accusation a rencontré séparément le juge du procès et ils ont convenu que ce lieu serait détruit. Qu’avez-vous obtenu en compensation pour être en mesure de voir réellement cette prison secrète de la CIA ?
A. P. : Le gouvernement nous avait dit qu'au lieu de nous donner accès à la prison secrète, ils nous donneraient des photographies et des diagrammes qui sont encore classés, que nous avons, que nous avons reçu, et que nous considérons comme parfaitement insuffisants pour être substitués à une réelle visite de la salle de torture. Mais nous avions affirmé dès le départ que nous avions besoin d'accès à ce site et nous avons cru tout ce temps – jusqu'en février – que cette scène de crime avait été conservée.
Des centaines d'Allemands cherchent à quitter la Bundeswehr
12:54 03.08.2016
Au cours des deux dernières années, près de 500 soldats ont demandé de quitter les forces militaires volontaires d'Allemagne pour des motifs de conscience.
En 2011, l'Allemagne a aboli la conscription et la Bundeswehr (armée allemande) est devenu une force purement volontaire.
Des centaines de soldats qui ont choisi de rejoindre l'armée ont néanmoins changé d'avis, depuis. Entre 2014 et 2016, 62 femmes et 407 hommes ont présenté des demandes de quitter la Bundeswehr pour motif de conscience, a rapporté le Rheinische Post.
"Les situations de combat sont souvent des moments de révélation où un soldat comprend et éprouve pour la première fois dans toute son ampleur le risque (de tuer ou d'être tué) que représente son engagement, a expliqué l'expert du Parti de gauche Katrin Kunert.
Berlin renforcera la sécurité de ses soldats à Incirlik
Depuis le milieu de 2014, le ministère allemand de la Famille et des Affaires civiles a traité 644 applications, y compris celles des mois précédents. Au total, 67% ont été approuvées, 25% ont été rejetées, et 8 % ont été considérées irrecevables ou retirées.
La plupart des demandeurs avaient le grade de caporal et combattaient souvent sur les lignes de front, selon le journal.
D'ailleurs, quitter l'armée peut être assez coûteux: pour 153 officiers qui ont quitté, la Bundeswehr a exigé un remboursement de 5,6 millions au total en frais de formation (de 1.200 à 69.000 euros selon les cas). Le gouvernement a également demandé que 83 sous-officiers ou cadets retournent un total d'environ 400.000 euros.
L'Allemagne a eu du mal à attirer de nouvelles recrues depuis la fin de la conscription, mais ces dernières années le pays essaie d'augmenter la taille de son armée et les dépenses militaires.
(...) pour 153 officiers qui ont quitté, la Bundeswehr a exigé un remboursement de 5,6 millions au total en frais de formation (de 1.200 à 69.000 euros selon les cas). Le gouvernement a également demandé que 83 sous-officiers ou cadets retournent un total d'environ 400.000 euros. (...)
IDEM pour la formation en école des enfants de 5 ans et plus ainsi que les 'maternelles' ! La désertion pourrait coûter des sommes extromicides ! HAHAHAHA !
Le marché boursier a prédit le résultat des élections présidentielles avec 86 pour cent de précision
Par Michael Snyder, le 2 Août, 2016
Si public que vous voulez Donald Trump pour gagner l'élection, alors vous devriez être à l'enracinement pour un accident de marché boursier entre maintenant et Novembre. Comme vous le verrez ci-dessous, si les stocks augmentent au cours des trois derniers mois avant une élection, le parti sortant conserve presque toujours la Maison Blanche. Mais si les stocks baissent au cours des trois derniers mois avant une élection, le parti au pouvoir perd presque toujours. Plus tôt aujourd'hui, Trump a averti les Américains de sortir du marché boursier, et si son avertissement se révèle être correct, il sera probablement de lui profiter aussi bien politiquement. Lorsque la population en général croit que les choses vont bien, les Américains ont tendance à coller avec la direction actuelle, mais quand la population générale est d'avis que nous avons frappé fois rocheux, ils sont généralement prêts pour un changement.
Il se trouve que cette très forte corrélation entre la direction du marché boursier et les résultats des élections présidentielles va tout le chemin de retour à avant les jours de la Grande Dépression. Ce qui suit vient de Zero Hedge ...
Depuis 1928, il y a eu 22 élections présidentielles. Dans 14 d'entre eux, le S & P 500 a grimpé au cours des trois mois précédant le jour du scrutin. Le président ou parti au pouvoir a remporté dans 12 de ces 14 cas. Cependant, dans 7 des 8 élections où le S & P 500 tombés au cours de cette période de trois mois, le parti au pouvoir a perdu.
La dernière fois que cette corrélation n'a pas été en 1980, et à ce moment les Américains se sentaient déprimés sur le pays pour d'autres raisons. Dans l'ensemble, le marché boursier a prédit le résultat des élections présidentielles avec 86 pour cent de précision, et ce qui est beaucoup trop forte d'une corrélation à ignorer. Il suffit de considérer les gains ou les pertes que nous avons vu pour le S & P 500 au cours des trois derniers mois avant chaque élection depuis 1928 et les résultats de ces élections ...
1928: 13,6 % de gain - parti au pouvoir a remporté
1932: -2.6 % de perte - parti au pouvoir a perdu
1936: un gain de 7,9 % - parti au pouvoir a remporté
1940: 8,6 % de gain - parti au pouvoir a remporté
1944: 2,3 % de gain - parti au pouvoir a remporté
1948: 5,4 % de gain - parti au pouvoir a remporté
1952: -3.3 % de perte - parti au pouvoir a perdu
1956: -2.6 % de perte - parti au pouvoir a remporté
1960: -0.7 % de perte - parti au pouvoir a perdu
1964: 2,6 % de gain - parti au pouvoir a remporté
1968: 6,5 % de gain - titulaire parti a perdu
1972: 3,0 % de gain - parti au pouvoir a remporté
1976: -0.1 % de perte - parti au pouvoir a perdu
1980: 6,7 % de gain - titulaire parti a perdu
1984: 4,8 % de gain - parti au pouvoir a remporté
1988: 1,9 % de gain - parti au pouvoir a remporté
1992: -1.2 % de perte - parti au pouvoir a perdu
1996: 8,2 % de gain - parti au pouvoir a remporté
2000: -3.2 % de perte - parti au pouvoir a perdu
2004: 2.2 % de gain - parti au pouvoir a remporté
2008: -19,5 % de perte - parti au pouvoir a perdu
2012: 2,5 % de gain - parti au pouvoir a remporté
Comme vous pouvez le voir, les seules fois la corrélation tombée en panne étaient pendant les années de 1956, 1968 et 1980.
Mais ceci est une année très étrange. On n'a jamais vu un candidat comme Donald Trump avant, et la mise en place est en tirant tous les arrêts dans un effort pour faire dérailler sa marche vers la Maison Blanche. Ainsi, les règles normales ne peuvent pas appliquer cette fois-ci.
Le mardi, Barack Obama a pris le temps de son horaire chargé de dire à la presse que Trump est "terriblement mal préparés" pour être président, et il a appelé les dirigeants républicains à tirer leur soutien à lui ...
«Il doit venir un moment où vous dire quelqu'un qui fait ce genre de déclarations n'a pas le jugement, le tempérament, la compréhension à occuper la position la plus puissante dans le monde", a déclaré Obama lors de l'événement avec le Premier ministre Lee Hsien Loong.
"Il doit y avoir un point où vous dites ceci est quelqu'un que je ne peux pas appuyer la présidence des Etats-Unis", a déclaré le président. "Il doit y avoir un point où vous dites« assez. »
La chose drôle est que les mêmes choses exactes pourrait dire de Hillary Clinton. En fait, trois des quatre premiers livres à couverture rigide sur la liste nonfiction meilleurs vendeurs du New York Times sont sur la façon dont Hillary Clinton n'a pas le jugement, le tempérament ou le caractère d'être le président des États-Unis. Ce qui suit provient de l'examinateur de Washington ...
Pour la première fois, trois des quatre meilleurs New York Times nonfiction les meilleures ventes sont des livres anti- Clinton.
Deux nouveaux livres ont sauté à l'avant de la liste de tous importants hardcover nonfiction cette semaine: Armageddon, par Dick Morris et Eileen McGann, et en Amérique de Hillary, par Dinesh D'Souza.
Ils rejoignent n ° 1 Crise de caractère par l'ancien secret Serviceman Gary J. Byrne qui a été au-dessus de la liste pendant quatre semaines consécutives.
Si vous voulez voir où Hillary Clinton, Barack Obama et les démocrates veulent prendre l'Amérique, tout ce que vous avez à faire est de regarder l'effondrement du "paradis socialiste" au Venezuela. Pendant un certain temps le socialisme semblait fonctionner très bien là-bas, mais maintenant les citoyens désespérés d'attendre dans les lignes pour un maximum de 12 heures dans l'espoir d'obtenir quelque chose pour nourrir leurs familles ...
Un journaliste de la BBC, qui a tenté de filmer la crise, a été arrêté et contraint par des soldats de supprimer les images d'une manifestation à l'extérieur d'un supermarché Vénézuéliens désespérées ont attendu pour la nourriture.
Les foules juxtaposables de crier "Nous pouvons acheter des choses !», comme ils regroupés en dehors du magasin dans la capitale du pays, Caracas.
Rapport journaliste de la BBC Vladimir Hernandez que beaucoup de gens l'ont approché pour dire qu'ils avaient mis en attente pendant 12 heures sans être en mesure d'acheter ce qu'ils voulaient.
Voici ce que la phase finale du socialisme ressemble.
Malheureusement, le peuple américain ne comprennent pas cela.
Malheureusement, environ la moitié du pays veut faire Hillary Clinton le prochain président des États-Unis.
Et à la fin, le résultat de cette élection peut être influencé d'une manière ou l'autre en fonction de ce que le marché boursier fait entre maintenant et Novembre.
Je ne sais pas ce que cela dit à propos de notre pays, mais il est pas bon.
Si le peuple américain avait encore un sens, un homme politique en faillite morale ultra-corrompus tels que Hillary Clinton ne serait pas une prière d'être élu receveur de chien, beaucoup moins président des États-Unis. Le fait que près de la moitié du pays prévoit de voter pour elle à ce point est extrêmement effrayant, et il peut indiquer que cette nation est en forme bien pire que la plupart d'entre nous aimeraient admettre
Ce pauvre 'avocat' blogueur ne semble rien vouloir comprendre au mode vénézuélien dont il en envie la politique !
Le président Maduro n'est en rien responsable du non-approvisionnement des rayons aux supermarchés ! Les supermarchés comme les centrales d'achat qui distribuent aussi envers les petits commerces sont les seules responsables de ce qui se passe actuellement au Venezuela !
Le Venezuela est au 21ème siècle un des rares pays au monde à être encore libre ! La presse étrangère (télés/radios/journaux !) est LIBRE de diffuser à partir du SOL vénézuélien ! Les centrales d'achat comme tous les supermarchés sont aux prises des mains étrangères et donc, les vénézuéliens renforcent leur position de soutien envers le président chaviste Maduro.
Au Venezuela les carburants sont gratuits ! (chacun se sert à la pompe !). Au Venezuela les soins médicaux et l'éducation sont gratuits ! (il n'y a pas de 'Madurocare' ! Hahahaha !).
Si révélé, le taux réel de l'inflation briserait le système
3 août 2016
La triste réalité est que l'inflation réelle est de plus de 7 % par an. Cette semaine, je l'ai fait remarquer que les prix à la consommation ont grimpé de 160 % depuis 2001, alors que sous le radar baisse de valeur, la quantité et la qualité sont des formes d'inflation Caché dans Plain Sight.
Qu'est-ce qui se passerait si le taux réel de l'inflation a été révélé ? L'ensemble du statu quo serait immédiatement d'imploser. Considérez les conséquences immédiates de la sécurité sociale, les taux d'intérêt et le coût de refinancement de la dette du gouvernement.
Les efforts impartiaux du secteur privé pour calculer le taux réel de l'inflation ont donné un taux de l'ordre de 7% à 13% par an, selon les paramètres régionaux - de nombreux multiples du taux officiel d'environ 1% par an.
Donc ce qui arrive si le statu quo accepté la réalité de + de 7% inflation ? Voici quelques-unes des conséquences:
1. Les bénéficiaires de la sécurité sociale devraient exiger des augmentations annuelles de + de 7 % au lieu de zéro ou près de zéro les augmentations annuelles. Le système de sécurité sociale, qui est déjà distribue plus de paiements de prestations qu'il reçoit des recettes fiscales de la paie, serait immédiatement aller profondément dans le rouge.
(S'il vous plaît, je ne revendique pas le Fonds d'affectation spéciale SSA sera solvable pendant des décennies. J'ai rejeté la fraude des illusoires Fonds d'affectation spéciale à plusieurs reprises. La réalité est que le gouvernement fédéral doit emprunter chaque dollar de dépenses de déficit de la sécurité sociale en vendant plus les bons du Trésor, tout comme il emprunte tout autre dollar de dépenses de déficit.)
La fraude au cœur de la sécurité sociale (17 Janvier, 2011)
Le problème avec la sécurité sociale et l'assurance-maladie (17 Juillet, 2013)
Le système de sécurité sociale serait révélé comme insoutenable si l'inflation réelle (+ de 7 % par an) ont été rendus publics.
2. Les investisseurs mondiaux pourraient commencer à exiger des rendements sur les bons du Trésor qui sont au-dessus du taux réel de l'inflation. Si l'inflation est de 7%, puis les acheteurs d'obligations devraient gagner 8% par an juste pour gagner un rendement réel de 1%.
Etats centraux ne sont en mesure de soutenir leur énorme déficit budgétaire parce que les taux d'intérêt et les rendements obligataires sont proches de zéro ou même en dessous de zéro. Si le gouvernement fédéral a soudainement eu à payer 8% de rouler à échéance des obligations d'État, le coût du service de la dette existante - sans parler du coût d'emprunt un montant supplémentaire de 400 milliards $ ou plus chaque année - serait monter en flèche, évinçant tout autre gouvernement les dépenses et le déclenchement des déficits massifs juste pour payer les intérêts de la montgolfière sur la dette existante.
Les rendements obligataires de + de 8 % s'effondreraient le statu quo de massives dépenses de déficit public.
3. Les taux d'intérêt du secteur privé augmenteraient également, écrasant les emprunts privés. Combien de voitures, camions et maisons se vendraient si les acheteurs devaient payer 8% d'intérêt sur les nouveaux prêts ? Beaucoup moins sont vendus à des prêts automobiles d'intérêt de 1% ou 3,5% des prêts hypothécaires.
4. Toute baisse importante des emprunts privés et de l'Etat serait imploser l'ensemble du système. Rappelons qu'une baisse très modeste dans les nouveaux emprunts presque effondré le système financier mondial en 2008-09, que l'ensemble du système dépend de l'expansion permanente monstrueuse de nouveaux emprunts pour financer la consommation, les prêts étudiants, les taxes, etc.
Combien de milliards de dollars seront siphonné les dettes-serfs, oups, je veux dire les étudiants, devrais prêts étudiants seront émises à des taux d'intérêt au nord de 8%? (Certains prêts étudiants privés sont déjà dans la gamme de 8%. Où vont les suivre si l'inflation est reconnu comme fonctionnant à 7% par an)
La triste réalité est que l'inflation réelle est de 7 +% par an, et cette réalité doit être caché derrière les calculs officiels faux de l'inflation que cette réalité pourrait réduire la totalité de statu quo. élites Super-riches gagnent + de 10 % des rendements sur les portefeuilles boursiers, obligataires et immobiliers ne sont pas particulièrement touchés par les 7% d'inflation; leur richesse réelle continue à se développer bien.
Qui est détruit par + de 7 % l'inflation réelle ? Toute personne dont le revenu a stagné et tout le monde qui dépend des salaires plutôt que des actifs pour obtenir par - en d'autres termes, le fond 95%.
Brexit menace Gravy climat train - accord de Paris, la vie sur Terre. Time for Clexit !
August 3rd, 2016
Brexit était sismique. Même la nature peut voir la menace - Le Royaume-Uni était grand promoteur de la sorcellerie climatique, mais il est parti maintenant:
"Brexit pourrait être une excuse pour certains pays de l'UE de refuser leur signature», dit Oliver Geden, chef de la Division de la recherche de l'UE à l'Institut allemand pour les affaires internationales et de sécurité à Berlin. Avant les pourparlers de Paris, l'UE a promis de réduire ses émissions de gaz à effet de serre d'au moins 40% d'ici 2030, par rapport aux niveaux de 1990.
"Le Royaume-Uni ne faisant pas partie du mélange de négociation signifie qu'il est susceptible d'être moins de pression pour des objectifs ambitieux et veiller à ce que l'UE respecte ses engagements de l'accord de Paris», dit Martin Nesbit, un expert en politique à l'Institut pour la politique environnementale européenne à Londres .
Mais ne pas se détendre, le mouvement Clexit est plus que jamais nécessaire
Le président tchèque Vaclav Klaus Dr. reconnaît, et il Monckton, Morano, moi et beaucoup d'autres de 60 pays ont rejoint le nouveau mouvement Clexit commencé par Viv Forbes. Vérifiez-le. Brexit nous a donné un grand avantage, mais nous devons appuyer sur la maison.
Il y a beaucoup de raisons de Paris peut encore réussir
L'accord de Paris peut sembler être aux prises avec seulement 22 pays d'étain-pot (désolé Norvège) et 1% des émissions de l'homme signé, mais regarder le pois. Nous savons tous que si les réductions d'émissions étaient censés être de même pour toutes les nations, il ne serait jamais descendre au sol, mais comme la convention des Nations unies de Paris, il est tout ce théâtre - la signature de «l'accord» était juste pour le spectacle. Et de nombreuses ratifications peuvent être trop. Pas pour l'Ouest, mais pour des pays comme l'Inde, la Chine ou la Russie - ils peuvent ratifier leurs promesses faibles pour presque rien. Si elles le font, ils apporteront leur 4%, 20% et 7% des émissions humaines dans le cadre de l'accord parapluie Paris qui coûtera ces pays peu, mais être une victoire majeure de relations publiques pour l'ONU. Il serait infliger une douleur réelle sur les nations occidentales assez stupides pour signer et ratifier, mais la plupart du reste du monde serait d'accord à pas grand-chose, et bénéficiant de la concurrence avec un Occident entravé. Fermons bas un peu plus de usines à Birmingham, Adelaide ou Austin.
La Chine, l'Inde et la Russie veulent être achetés par l'ONU. Voir leurs protestations maintenant comme une partie de leurs stratagèmes de négociation tordre plus de porc. Peu de pays en développement face à beaucoup de jeu électoral, et ils ont tous quelque chose à gagner de l'Gravy Train climatique. La Chine, en particulier, a été de devenir riche sur les crédits de carbone pour les barrages qu'il allait construire, et les usines qu'il fait sale juste pour obtenir les crédits pour le nettoyage. Et il y a d'autres cartes à jouer non-climat que l'un de ces pays pourraient être achetés pour - considérer l'Inde, qui dit qu'il va retarder la signature de l'accord, mais veut vraiment obtenir l'adhésion à l'Fournisseurs Nuclear Group (NSG) en disant: «Un décision positive anticipée par le NSG nous aurait permis d'avancer sur l'accord de Paris ".
En d'autres mots avec un gros pot de l'ONU de porc à gagner, la chose arrêter la «ratification» de l'énergie chère et le cilice collective de l'Occident sont électeurs de l'Ouest, en particulier, les électeurs américains. Si Hillary remporte la seule chose qui empêche l'accord sera le Congrès américain.
L'accord sur le climat de Paris est sur la politique et le pouvoir, pas sur le temps
Le point de l'accord de Paris est de ne pas modifier les températures mondiales, ou même de réduire les émissions de gaz carbonique, il est de soutenir le Complexe vert industriel des énergies renouvelables (d'une valeur 300b $ plus seulement dans l'UE), et le carbone global de 2 $ Trillion systèmes d'échange que les maisons financières se tiennent à tirer profit de. Si l'ONU se souciait des émissions de gaz carbonique, nous savons tous qu'ils choisiraient la façon la plus rentable de les réduire (charbon supercritique, l'énergie nucléaire, et des programmes comme l'action directe qui coûtent seulement 14 $ / tonne dans la réduction par opposition à 50 $ - 120 $ par tonne que le vent frais "fermes".
Si les Verts se souciait de l'environnement qu'ils se soucient que les crédits de carbone ne réduisent pas les émissions de carbone, que personne ne compte les émissions correctement, et que la corruption est monnaie courante. Tout cela est trompeur. L'Accord de Paris est un traité, même si elle n'a pas appelé un. Il est appelé "non contraignant", mais il pourrait lier les coûts réels, mais qui était aussi important, alors Obama (ou Hillary) peut le ratifier sans prendre d'au Congrès.
le 3 août 2016 dans Monnaie et finance Par Ron Paul.
La liberté et une monnaie saine sont indissociables. L’argent doit être rendu au peuple afin qu’il le gère, et ôté des mains de l’État et de la banque centrale, ce qui passe par une reconsidération de l’étalon-or.
Trente-quatre ans après sa première publication en 1982, The Case for Gold (le plaidoyer pour l’or) demeure remarquablement actuel. C’est le titre d’un “rapport minoritaire” rédigé par l’US Gold Commission, mais également un plaidoyer approfondi et exhaustif en faveur d’une monnaie saine.
De nombreuses voies de réforme y figuraient : des devises compétitives, la révocation du “cours légal”, la redéfinition du dollar pour qu’il corresponde à une certaine quantité d’or, des modifications juridiques faisant entrer en vigueur les clauses monétaires de la Constitution telles qu’elles y sont écrites noir sur blanc, l’application d’une libre concurrence normale dans le secteur bancaire, pour ne citer que celles-là.
N’importe laquelle de ces réformes aurait été une excellente mesure. Si elles avaient toutes été mises en œuvre, une monnaie saine aurait été rétablie et cela nous aurait épargné ces problèmes économiques continuels et éreintants qui sont en train de tuer le rêve américain à petit feu.
De nouvelles voies numériques
Aujourd’hui, à la lumière des avancées technologiques, nous pouvons y ajouter de nouvelles voies. L’avènement des réseaux numériques pourrait permettre un type d’entrepreneuriat monétaire inédit : avec les devises numériques et les nouveaux systèmes de paiement, ainsi que les nouvelles structures bancaires et de crédit, les consommateurs peuvent se rapprocher des producteurs et entretenir une véritable relation de marché.
Mais il s’avère que cette évolution est sérieusement entravée par la réglementation et le monopole. En résumé, dans les secteurs monétaire et bancaire, la libre entreprise est illégale. À une époque où l’économie numérique révolutionne tous les domaines, les secteurs monétaire et bancaire semblent figés à jamais à l’ère analogique et dans les erreurs du passé.
J’ai fait de mon mieux pour que l’argent devienne une question publique, que ce soit au cours de ma campagne présidentielle de 2012 ou bien dans mon livre intitulé End the Fed [NDLR : Il faut abolir la Fed]. J’ai tenté de briser le silence. La classe politique a largement dédaigné ce que je disais. Toutefois, cette réalité économique devenant de plus en plus manifeste, le vent commence aussi à tourner du côté de la politique.
Jamais depuis la première parution de The Case for Gold, au début des années 1980, les débats à propos de l’or ne se sont autant généralisés au sein du club des experts et dans la presse financière. Investir dans l’or n’est plus réservé aux “gold bugs” dont on s’est moqué si longtemps, mais apparaît désormais comme une protection intégrale contre l’inflation pour les investisseurs lambda, atterrés par la réduction de leur pouvoir d’achat.
Le magazine Forbes, en personne, a lancé un appel pour que l’on envisage sérieusement un étalon-or. Par ailleurs, même d’anciens gouverneurs de la Réserve fédérale commencent à remettre en question le bien-fondé du monopole que celle-ci exerce sur la création monétaire, et réclament un libre marché monétaire.
Aujourd’hui, je suis enchanté que la nouvelle génération montre de l’enthousiasme pour ce sujet. Désormais, ces jeunes voient que la Fed est plus qu’une institution technocratique parmi tant d’autres à Washington. Ils la considèrent comme une menace pour leur avenir. C’est trop beau. On exerce également de fortes pressions sur la Fed pour que ses activités soient plus transparentes. Le temps où son pouvoir n’était jamais remis en question est révolu.
Le système monétaire de la Fed, fondé sur le papier, est une source majeure de souffrance économique, à l’heure actuelle. C’est pour cette raison que le Congrès est incapable de contrôler ses dépenses. C’est pour cette raison que les guerres et l’État policier peuvent être financés. Le monopole de la monnaie-papier dénature les indicateurs économiques et provoque des expansions et des récessions. Il pille le peuple américain via cette taxe insidieuse appelée inflation.
N’oublions jamais que la Fed détient ce colossal pouvoir uniquement à cause de la monnaie-papier. Si elle était limitée par un étalon-or ou une concurrence monétaire, la Fed serait une menace, mais pas un danger mortel. En l’état, la Fed, et par extension, le gouvernement lui-même, ont intégralement pris en otage notre avenir économique.
Politique des taux à zéro
La mesure politique la plus visible, et qui a le plus pénalisé la classe moyenne, c’est la “politique des taux à zéro” de la Fed. L’idée, en l’espèce, c’était de provoquer des prêts et de provoquer une impulsion économique. Cela n’a rien produit de tel, et autorisé la Fed à sur-rémunérer les banques dans un contexte dénué de tout risque pour ce secteur.
Cela a dépassé de plusieurs crans la bonne vieille doctrine du “trop gros pour faire faillite” et nous avons frôlé la nationalisation totale.
Voilà le type d’extrêmes que la Fed a adoptés afin de faire durer un système non viable. La trajectoire est prévisible : de la monnaie-papier à la mainmise totale de l’État. Chaque pas nous éloignant du libre marché monétaire entraîne de nouveaux problèmes qui semblent exiger une nouvelle intervention, laquelle crée de nouveaux problèmes, et ainsi de suite jusqu’à ce que tout le système s’effrite. Et c’est exactement ce à quoi nous sommes en train d’assister.
Pour la classe moyenne, les risques sont très élevés. Cette incroyable crise de 2008 pourrait n’être qu’un “échauffement”. Un autre effondrement, encore pire, nous menace car, au lieu d’affronter la réalité, la Fed a dissimulé les problèmes. Par conséquent, l’hyperinflation est une possibilité bien réelle et la Fed ne pourra se contenter d’actionner le levier “stop” une fois qu’elle se sera amorcée. Les retraits massifs de dépôts bancaires demeureront une menace. Le dollar continuera à perdre son pouvoir d’achat. L’État continuera de s’alourdir.
Ce système erroné a trop souvent prouvé qu’il ne fonctionnait pas. Une nouvelle fois, je lance le défi suivant : il faut réformer le système monétaire ou bien nous étoufferons l’avenir de la liberté elle-même. Voilà le choix qui s’offre à nous. Il n’est pas trop tard. Et ce type de réforme n’a jamais été aussi facile. L’État devrait autoriser la libre entreprise à jouer un rôle dans la gestion de l’argent. Il faut laisser les entrepreneurs prendre la relève là où la Fed a échoué.
Dans un monde idéal, le dollar reviendrait à un étalon-or. Ce serait la première mesure qu’un Congrès et un président responsables devraient prendre. Mais sans même réformer le dollar, les producteurs et consommateurs devraient pouvoir migrer en toute légalité vers d’autres systèmes monétaires et bancaires fondés sur le marché.
La nécessité de réformer n’a jamais été aussi urgente. Le plaidoyer en faveur de cette réforme est le même, fondamentalement, que lorsqu’il a été initialement publié. Ses principes sont immuables. La liberté et une monnaie saine sont indissociables. L’argent doit être rendu au peuple afin qu’il le gère, et ôté des mains de l’État et de ses apparatchiks de la planification, de la banque centrale. Le socialisme ne fonctionne dans aucun domaine de l’existence. La liberté, elle, fonctionne partout.
Pour plus d’informations et de conseils de ce genre, c’est ici et c’est gratuit
L'argent doit être indissociable de l'État républicain et non être gérer par des banques privée. Dès lors que l'argent est aux mains de banques privée, la République PERD son statut au profit de la monarchie.
Vidéo : Un bus qui enjambe la circulation voit le jour en Chine
RépondreSupprimerUne entreprise chinoise vient de mener le premier test d'un bus qui enjambe les voitures. Le projet, qui a l'air sorti tout droit d'un film de science-fiction, cherche à apporter une solution aux problèmes de circulation et de pollution.
La circulation dans les grandes villes peut être un vrai calvaire. En Chine, avec son 1,3 milliard d’habitants, cette problématique est encore plus marquée. Le pays détient en effet le record de l’embouteillage le plus long de l’histoire.
C’est pourquoi Transit Explore Bus (TEB), une entreprise basée à Pékin, a présenté en mai lors d’une exposition le concept d’un bus surélevé capable d’enjamber les voitures sur la route. Ce projet incongru est en passe de se concrétiser. En effet, l’agence de presse Xinhua News, signale que le tout premier test du TEB-1 vient d’être effectué à Qinhuangdao, une ville dans le Nord-Est du pays.
Ce bus a évidemment des caractéristiques atypiques et un design futuriste. Il mesure 22 mètres de long pour une largeur de 7,8 mètres et 4,8 mètres de hauteur. Sa conception a pris en compte un espace suffisant pour laisser circuler deux voitures de front. Jusqu’à 300 personnes peuvent voyager à bord dans le module supérieur. Et pour se déplacer, le TEB-1 utilise des rails similaires à ceux d’un tramway.
TEB 1
Le déploiement de ce mode de transport d’un nouveau genre aurait quelques avantages, à commencer par réduire les bouchons. Il aurait aussi un effet positif sur l’environnement car, en plus de limiter la pollution des voitures, qui n’auront plus à s’arrêter tous les deux mètres, le TEB-1 fonctionne à l’électricité. En outre, le fabricant estime que chaque modèle peut se substituer à 40 bus traditionnels.
Entre la présentation du concept et sa généralisation sur la voie publique, il faudra faire preuve de patience. Outre les importants travaux d’aménagement de voirie qu’un tel projet requiert, des questions demeurent sur la sécurité et la fiabilité d’un tel mode de transport.
http://www.numerama.com/tech/187199-un-bus-qui-enjambe-la-circulation-voit-le-jour-en-chine.html
A quelques mois des élections, le gouvernement tenterait de fausser les chiffres du chômage
RépondreSupprimer3 août 2016, 11:34
Selon une note interne à Pôle Emploi révélée par Le Canard Enchaîné, les autorités françaises tentent de recaser d’urgence 500 000 chômeurs en leur proposant à tout prix des formations, afin de les évincer des statistiques officielles du chômage.
C’est le branle-bas de combat à Pôle Emploi. L’objectif ? Obtenir «des statistiques présentables pour décembre» 2016, assure le journal satirique Le Canard Enchaîné, présentant une instruction confidentielle de 16 pages distribuée aux cadres de l’organisme public.
Selon ce plan d’urgence, il s’agirait de mettre un demi-million de chômeurs «en formation» d’ici à la fin de l’année afin que ceux-ci disparaissent des statistiques.
En effet, les chiffres officiels ne retenant que les catégories de chômeurs A, B et C, 500 000 personnes pourraient basculer vers la catégorie D, à savoir les «personnes sans emploi, qui ne sont pas immédiatement disponibles, non tenues d'accomplir des actes positifs de recherche d'emploi» en raison d’une maladie ou… d’une formation.
Chaque employé de Pôle Emploi aurait donc été sommé d’envoyer un minimum de 15 chômeurs en stage par mois. «C’est phénoménal ! On reste soumis à une pression incessante, on racle tous nos fonds de tiroirs pour retrouver ceux qui ont émis un souhait de formation», remarque un employé interrogé par le journal français, rappelant qu’il y a quelques mois encore, il n’y avait plus d’argent pour financer les formations.
La secrétaire d’Etat dément les accusations
Interrogée sur la chaîne télévisée LCI, la secrétaire d’Etat à la formation professionnelle Clotilde Valter a dénoncé un «article caricatural». Si le gouvernement pouvait utiliser Pôle Emploi pour inverser la courbe du chômage «cela se saurait et il y a d’autres gouvernements qui l’auraient fait depuis très longtemps», a-t-elle ajouté.
Elle a par ailleurs indiqué que d’autres acteurs, comme les Régions ou les partenaires sociaux, avaient été consultés pour mettre en œuvre le «plan 500 000 formations».
«Moi président»
Lire aussi
Le ministre français de l'économie Emmanuel Macron Plan emploi : jamais un gouvernement n’est allé aussi loin dans les réformes néo-libérales
Dès le début de son mandat, en 2012, le président François Hollande a promis d’«inverser la courbe du chômage».
(suite en dessous:)
Le 6 novembre 2014, sur le plateau de TF1, le chef de l’Etat a même fait de cette promesse une condition pour se représenter aux prochaines élections présidentielles de 2017.
RépondreSupprimerIl avait alors déclaré : «Si je n'y parvenais pas [à inverser la courbe du chômage] à la fin de mon mandat, vous pensez que j'irais devant les Français en leur disant : “ben voilà, je n'y suis pas arrivé pendant cinq ans, mais je vous promets les cinq prochaines années, je vais y parvenir” ? Ça ne marche pas comme ça. Les Français seraient implacables et ils auraient raison.»
Depuis 2008 pourtant, le nombre de chômeurs ne cesse d’augmenter en France.
En juin 2016, il était de 6,5 millions en combinant les catégories A, B, C et D, selon les statistiques de Pôle Emploi.
https://francais.rt.com/economie/24696-françois-hollande-maquille-chiffres-chomage
Sans parler des 12 millions de personnes "dispensées de recherche d'emploi" qui ne figurent donc pas sur la liste des chômeurs !!!
Supprimer«Les Etats-Unis ont délibérément détruit une prison secrète de la CIA utilisée pour la torture»
RépondreSupprimer3 août 2016
Ammar al Baluchi a été brutalement torturé par la CIA aux côtés des autres détenus, mais la prison secrète où Baluchi était gardé a été détruite, affirme Alka Pradhan, avocat de ce détenu de Guantanamo.
Le procès portant sur l’attentat du 11 septembre 2001 n'a pas encore commencé dans le centre de détention de Guantanamo Bay. Il implique plusieurs détenus qui, selon le gouvernement, sont suffisamment coupables pour être accusés. Toutefois, les procédures judiciaires sont bloquées par l’insuffisance des preuves.
L'accusation a soumis à l’examen du juge de première instance près de la moitié des preuves, mais ce dernier les a rapidement renvoyées, qualifiant la quasi-totalité de ces preuves d’«inadéquates» et demandant aux procureurs d’en corriger les erreurs. Ce sont des preuves qu’il reste à présenter aux avocats des accusés, encore totalement dans l'inconnu.
Se pose ensuite la question de preuves spécifiques non renvoyées qui font référence à une prison secrète de la CIA où la plupart des accusés auraient été torturés. Les avocats ont annoncé que les prisons secrètes qu’ils croyaient être conservées en tant que scène de crime avaient été détruites à leur insu.
Alka Pradhan, conseiller en droits de l'homme du détenu de Guantanamo Ammar al Baluchi, explique à RT ce que signifie la perte d'accès à cette prison secrète.
RT : Vos clients ainsi qu’un grand nombre d’autres accusés ont été torturés dans cette prison secrète. Vous pensiez qu’il s’agissait d’une scène de crime conservée pour des raisons judiciaires. Il s’agit donc d’une destruction de preuves, c’est cela ?
Alka Pradhan (A. P.) : C'est tout à fait juste. Ce n’est rien d’autre qu'une partie de la couverture mise en place par le gouvernement des États-Unis pour cacher les preuves d’existence de leur programme de torture systématique et parrainé par l'État. Mon client Ammar al Baluchi a été brutalement torturé par la CIA, tout comme les autres détenus. Il a subi une blessure traumatique au cerveau alors qu’il était enfermé par la CIA. Et voilà que nous découvrons près de deux ans après que le juge ait autorisé la destruction du site, qu’il avait effectivement été détruit. Nous avions réclamé l’ accès à ce site en tant que scène de crime pour recueillir des éléments de preuve essentiels dans cette affaire. Les États-Unis tentent d'exécuter mon client et essayent de présenter des preuves contre lui, des preuves dont une partie est impossible à réfuter maintenant. Et c’est une énorme perte.
RT : Qu'est-ce que vous auriez pu apprendre si vous aviez pu accéder à ce site ?
(suite en dessous:)
A. P. : Il y a des personnes qui inspectent les sites de torture ou les prisons où la torture aurait pu avoir lieu, et ils sont généralement accompagnés d’experts en criminalité. Les choses qui semblent abstraites comme l'usure, les déchirures sur les installations, l’emplacement des salles et des objets dans ces salles, l’emplacement de la salle de contrôle et des haut-parleurs... Nous savons que la plupart des détenus ont été torturés avec de la musique [jouée très] forte, ou avec des robinets, des choses comme ça. Nous savons que la torture à l'eau a été utilisée contre un grand nombre de détenus, y compris mon client. Des choses comme cela auraient été importantes pour être en mesure de les voir et les examiner dans l’ensemble des preuves rassemblées que nous allons utiliser, qui seront présentées pendant le procès et qui permettront une réduction de peine si ces hommes sont reconnus coupables un jour.
RépondreSupprimerRT : En 2014 vous avez commencé à réclamer l'accès à ce site en pensant qu'il était sous ordonnance conservatoire. L'accusation a rencontré séparément le juge du procès et ils ont convenu que ce lieu serait détruit. Qu’avez-vous obtenu en compensation pour être en mesure de voir réellement cette prison secrète de la CIA ?
A. P. : Le gouvernement nous avait dit qu'au lieu de nous donner accès à la prison secrète, ils nous donneraient des photographies et des diagrammes qui sont encore classés, que nous avons, que nous avons reçu, et que nous considérons comme parfaitement insuffisants pour être substitués à une réelle visite de la salle de torture. Mais nous avions affirmé dès le départ que nous avions besoin d'accès à ce site et nous avons cru tout ce temps – jusqu'en février – que cette scène de crime avait été conservée.
https://francais.rt.com/opinions/24693-etats-unis-detruit-prison-cia
Des centaines d'Allemands cherchent à quitter la Bundeswehr
RépondreSupprimer12:54 03.08.2016
Au cours des deux dernières années, près de 500 soldats ont demandé de quitter les forces militaires volontaires d'Allemagne pour des motifs de conscience.
En 2011, l'Allemagne a aboli la conscription et la Bundeswehr (armée allemande) est devenu une force purement volontaire.
Des centaines de soldats qui ont choisi de rejoindre l'armée ont néanmoins changé d'avis, depuis. Entre 2014 et 2016, 62 femmes et 407 hommes ont présenté des demandes de quitter la Bundeswehr pour motif de conscience, a rapporté le Rheinische Post.
"Les situations de combat sont souvent des moments de révélation où un soldat comprend et éprouve pour la première fois dans toute son ampleur le risque (de tuer ou d'être tué) que représente son engagement, a expliqué l'expert du Parti de gauche Katrin Kunert.
Berlin renforcera la sécurité de ses soldats à Incirlik
Depuis le milieu de 2014, le ministère allemand de la Famille et des Affaires civiles a traité 644 applications, y compris celles des mois précédents. Au total, 67% ont été approuvées, 25% ont été rejetées, et 8 % ont été considérées irrecevables ou retirées.
La plupart des demandeurs avaient le grade de caporal et combattaient souvent sur les lignes de front, selon le journal.
D'ailleurs, quitter l'armée peut être assez coûteux: pour 153 officiers qui ont quitté, la Bundeswehr a exigé un remboursement de 5,6 millions au total en frais de formation (de 1.200 à 69.000 euros selon les cas). Le gouvernement a également demandé que 83 sous-officiers ou cadets retournent un total d'environ 400.000 euros.
L'Allemagne a eu du mal à attirer de nouvelles recrues depuis la fin de la conscription, mais ces dernières années le pays essaie d'augmenter la taille de son armée et les dépenses militaires.
https://fr.sputniknews.com/international/201608031027133093-allemagne-armee-demission/
Dégoûtés de la pédale ?:
Supprimer(...) pour 153 officiers qui ont quitté, la Bundeswehr a exigé un remboursement de 5,6 millions au total en frais de formation (de 1.200 à 69.000 euros selon les cas). Le gouvernement a également demandé que 83 sous-officiers ou cadets retournent un total d'environ 400.000 euros. (...)
IDEM pour la formation en école des enfants de 5 ans et plus ainsi que les 'maternelles' ! La désertion pourrait coûter des sommes extromicides ! HAHAHAHA !
Le marché boursier a prédit le résultat des élections présidentielles avec 86 pour cent de précision
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 2 Août, 2016
Si public que vous voulez Donald Trump pour gagner l'élection, alors vous devriez être à l'enracinement pour un accident de marché boursier entre maintenant et Novembre. Comme vous le verrez ci-dessous, si les stocks augmentent au cours des trois derniers mois avant une élection, le parti sortant conserve presque toujours la Maison Blanche. Mais si les stocks baissent au cours des trois derniers mois avant une élection, le parti au pouvoir perd presque toujours. Plus tôt aujourd'hui, Trump a averti les Américains de sortir du marché boursier, et si son avertissement se révèle être correct, il sera probablement de lui profiter aussi bien politiquement. Lorsque la population en général croit que les choses vont bien, les Américains ont tendance à coller avec la direction actuelle, mais quand la population générale est d'avis que nous avons frappé fois rocheux, ils sont généralement prêts pour un changement.
Il se trouve que cette très forte corrélation entre la direction du marché boursier et les résultats des élections présidentielles va tout le chemin de retour à avant les jours de la Grande Dépression. Ce qui suit vient de Zero Hedge ...
Depuis 1928, il y a eu 22 élections présidentielles. Dans 14 d'entre eux, le S & P 500 a grimpé au cours des trois mois précédant le jour du scrutin. Le président ou parti au pouvoir a remporté dans 12 de ces 14 cas. Cependant, dans 7 des 8 élections où le S & P 500 tombés au cours de cette période de trois mois, le parti au pouvoir a perdu.
La dernière fois que cette corrélation n'a pas été en 1980, et à ce moment les Américains se sentaient déprimés sur le pays pour d'autres raisons. Dans l'ensemble, le marché boursier a prédit le résultat des élections présidentielles avec 86 pour cent de précision, et ce qui est beaucoup trop forte d'une corrélation à ignorer. Il suffit de considérer les gains ou les pertes que nous avons vu pour le S & P 500 au cours des trois derniers mois avant chaque élection depuis 1928 et les résultats de ces élections ...
1928: 13,6 % de gain - parti au pouvoir a remporté
1932: -2.6 % de perte - parti au pouvoir a perdu
1936: un gain de 7,9 % - parti au pouvoir a remporté
1940: 8,6 % de gain - parti au pouvoir a remporté
1944: 2,3 % de gain - parti au pouvoir a remporté
1948: 5,4 % de gain - parti au pouvoir a remporté
1952: -3.3 % de perte - parti au pouvoir a perdu
1956: -2.6 % de perte - parti au pouvoir a remporté
1960: -0.7 % de perte - parti au pouvoir a perdu
1964: 2,6 % de gain - parti au pouvoir a remporté
1968: 6,5 % de gain - titulaire parti a perdu
1972: 3,0 % de gain - parti au pouvoir a remporté
1976: -0.1 % de perte - parti au pouvoir a perdu
1980: 6,7 % de gain - titulaire parti a perdu
1984: 4,8 % de gain - parti au pouvoir a remporté
1988: 1,9 % de gain - parti au pouvoir a remporté
1992: -1.2 % de perte - parti au pouvoir a perdu
1996: 8,2 % de gain - parti au pouvoir a remporté
2000: -3.2 % de perte - parti au pouvoir a perdu
2004: 2.2 % de gain - parti au pouvoir a remporté
2008: -19,5 % de perte - parti au pouvoir a perdu
2012: 2,5 % de gain - parti au pouvoir a remporté
Comme vous pouvez le voir, les seules fois la corrélation tombée en panne étaient pendant les années de 1956, 1968 et 1980.
(suite en dessous:)
Mais ceci est une année très étrange. On n'a jamais vu un candidat comme Donald Trump avant, et la mise en place est en tirant tous les arrêts dans un effort pour faire dérailler sa marche vers la Maison Blanche. Ainsi, les règles normales ne peuvent pas appliquer cette fois-ci.
RépondreSupprimerLe mardi, Barack Obama a pris le temps de son horaire chargé de dire à la presse que Trump est "terriblement mal préparés" pour être président, et il a appelé les dirigeants républicains à tirer leur soutien à lui ...
«Il doit venir un moment où vous dire quelqu'un qui fait ce genre de déclarations n'a pas le jugement, le tempérament, la compréhension à occuper la position la plus puissante dans le monde", a déclaré Obama lors de l'événement avec le Premier ministre Lee Hsien Loong.
"Il doit y avoir un point où vous dites ceci est quelqu'un que je ne peux pas appuyer la présidence des Etats-Unis", a déclaré le président. "Il doit y avoir un point où vous dites« assez. »
La chose drôle est que les mêmes choses exactes pourrait dire de Hillary Clinton. En fait, trois des quatre premiers livres à couverture rigide sur la liste nonfiction meilleurs vendeurs du New York Times sont sur la façon dont Hillary Clinton n'a pas le jugement, le tempérament ou le caractère d'être le président des États-Unis. Ce qui suit provient de l'examinateur de Washington ...
Pour la première fois, trois des quatre meilleurs New York Times nonfiction les meilleures ventes sont des livres anti- Clinton.
Deux nouveaux livres ont sauté à l'avant de la liste de tous importants hardcover nonfiction cette semaine: Armageddon, par Dick Morris et Eileen McGann, et en Amérique de Hillary, par Dinesh D'Souza.
Ils rejoignent n ° 1 Crise de caractère par l'ancien secret Serviceman Gary J. Byrne qui a été au-dessus de la liste pendant quatre semaines consécutives.
Si vous voulez voir où Hillary Clinton, Barack Obama et les démocrates veulent prendre l'Amérique, tout ce que vous avez à faire est de regarder l'effondrement du "paradis socialiste" au Venezuela. Pendant un certain temps le socialisme semblait fonctionner très bien là-bas, mais maintenant les citoyens désespérés d'attendre dans les lignes pour un maximum de 12 heures dans l'espoir d'obtenir quelque chose pour nourrir leurs familles ...
Un journaliste de la BBC, qui a tenté de filmer la crise, a été arrêté et contraint par des soldats de supprimer les images d'une manifestation à l'extérieur d'un supermarché Vénézuéliens désespérées ont attendu pour la nourriture.
Les foules juxtaposables de crier "Nous pouvons acheter des choses !», comme ils regroupés en dehors du magasin dans la capitale du pays, Caracas.
Rapport journaliste de la BBC Vladimir Hernandez que beaucoup de gens l'ont approché pour dire qu'ils avaient mis en attente pendant 12 heures sans être en mesure d'acheter ce qu'ils voulaient.
(suite en dessous:)
Voici ce que la phase finale du socialisme ressemble.
RépondreSupprimerMalheureusement, le peuple américain ne comprennent pas cela.
Malheureusement, environ la moitié du pays veut faire Hillary Clinton le prochain président des États-Unis.
Et à la fin, le résultat de cette élection peut être influencé d'une manière ou l'autre en fonction de ce que le marché boursier fait entre maintenant et Novembre.
Je ne sais pas ce que cela dit à propos de notre pays, mais il est pas bon.
Si le peuple américain avait encore un sens, un homme politique en faillite morale ultra-corrompus tels que Hillary Clinton ne serait pas une prière d'être élu receveur de chien, beaucoup moins président des États-Unis. Le fait que près de la moitié du pays prévoit de voter pour elle à ce point est extrêmement effrayant, et il peut indiquer que cette nation est en forme bien pire que la plupart d'entre nous aimeraient admettre
http://endoftheamericandream.com/archives/the-stock-market-has-predicted-the-outcome-of-presidential-elections-with-86-percent-accuracy
Ce pauvre 'avocat' blogueur ne semble rien vouloir comprendre au mode vénézuélien dont il en envie la politique !
SupprimerLe président Maduro n'est en rien responsable du non-approvisionnement des rayons aux supermarchés ! Les supermarchés comme les centrales d'achat qui distribuent aussi envers les petits commerces sont les seules responsables de ce qui se passe actuellement au Venezuela !
Le Venezuela est au 21ème siècle un des rares pays au monde à être encore libre ! La presse étrangère (télés/radios/journaux !) est LIBRE de diffuser à partir du SOL vénézuélien ! Les centrales d'achat comme tous les supermarchés sont aux prises des mains étrangères et donc, les vénézuéliens renforcent leur position de soutien envers le président chaviste Maduro.
Au Venezuela les carburants sont gratuits ! (chacun se sert à la pompe !). Au Venezuela les soins médicaux et l'éducation sont gratuits ! (il n'y a pas de 'Madurocare' ! Hahahaha !).
Si révélé, le taux réel de l'inflation briserait le système
RépondreSupprimer3 août 2016
La triste réalité est que l'inflation réelle est de plus de 7 % par an.
Cette semaine, je l'ai fait remarquer que les prix à la consommation ont grimpé de 160 % depuis 2001, alors que sous le radar baisse de valeur, la quantité et la qualité sont des formes d'inflation Caché dans Plain Sight.
Qu'est-ce qui se passerait si le taux réel de l'inflation a été révélé ? L'ensemble du statu quo serait immédiatement d'imploser. Considérez les conséquences immédiates de la sécurité sociale, les taux d'intérêt et le coût de refinancement de la dette du gouvernement.
Les efforts impartiaux du secteur privé pour calculer le taux réel de l'inflation ont donné un taux de l'ordre de 7% à 13% par an, selon les paramètres régionaux - de nombreux multiples du taux officiel d'environ 1% par an.
Donc ce qui arrive si le statu quo accepté la réalité de + de 7% inflation ? Voici quelques-unes des conséquences:
1. Les bénéficiaires de la sécurité sociale devraient exiger des augmentations annuelles de + de 7 % au lieu de zéro ou près de zéro les augmentations annuelles. Le système de sécurité sociale, qui est déjà distribue plus de paiements de prestations qu'il reçoit des recettes fiscales de la paie, serait immédiatement aller profondément dans le rouge.
(S'il vous plaît, je ne revendique pas le Fonds d'affectation spéciale SSA sera solvable pendant des décennies. J'ai rejeté la fraude des illusoires Fonds d'affectation spéciale à plusieurs reprises. La réalité est que le gouvernement fédéral doit emprunter chaque dollar de dépenses de déficit de la sécurité sociale en vendant plus les bons du Trésor, tout comme il emprunte tout autre dollar de dépenses de déficit.)
La fraude au cœur de la sécurité sociale (17 Janvier, 2011)
Le problème avec la sécurité sociale et l'assurance-maladie (17 Juillet, 2013)
Le système de sécurité sociale serait révélé comme insoutenable si l'inflation réelle (+ de 7 % par an) ont été rendus publics.
2. Les investisseurs mondiaux pourraient commencer à exiger des rendements sur les bons du Trésor qui sont au-dessus du taux réel de l'inflation. Si l'inflation est de 7%, puis les acheteurs d'obligations devraient gagner 8% par an juste pour gagner un rendement réel de 1%.
Etats centraux ne sont en mesure de soutenir leur énorme déficit budgétaire parce que les taux d'intérêt et les rendements obligataires sont proches de zéro ou même en dessous de zéro. Si le gouvernement fédéral a soudainement eu à payer 8% de rouler à échéance des obligations d'État, le coût du service de la dette existante - sans parler du coût d'emprunt un montant supplémentaire de 400 milliards $ ou plus chaque année - serait monter en flèche, évinçant tout autre gouvernement les dépenses et le déclenchement des déficits massifs juste pour payer les intérêts de la montgolfière sur la dette existante.
Les rendements obligataires de + de 8 % s'effondreraient le statu quo de massives dépenses de déficit public.
(suite en dessous:)
3. Les taux d'intérêt du secteur privé augmenteraient également, écrasant les emprunts privés. Combien de voitures, camions et maisons se vendraient si les acheteurs devaient payer 8% d'intérêt sur les nouveaux prêts ? Beaucoup moins sont vendus à des prêts automobiles d'intérêt de 1% ou 3,5% des prêts hypothécaires.
RépondreSupprimer4. Toute baisse importante des emprunts privés et de l'Etat serait imploser l'ensemble du système. Rappelons qu'une baisse très modeste dans les nouveaux emprunts presque effondré le système financier mondial en 2008-09, que l'ensemble du système dépend de l'expansion permanente monstrueuse de nouveaux emprunts pour financer la consommation, les prêts étudiants, les taxes, etc.
Combien de milliards de dollars seront siphonné les dettes-serfs, oups, je veux dire les étudiants, devrais prêts étudiants seront émises à des taux d'intérêt au nord de 8%? (Certains prêts étudiants privés sont déjà dans la gamme de 8%. Où vont les suivre si l'inflation est reconnu comme fonctionnant à 7% par an)
La triste réalité est que l'inflation réelle est de 7 +% par an, et cette réalité doit être caché derrière les calculs officiels faux de l'inflation que cette réalité pourrait réduire la totalité de statu quo. élites Super-riches gagnent + de 10 % des rendements sur les portefeuilles boursiers, obligataires et immobiliers ne sont pas particulièrement touchés par les 7% d'inflation; leur richesse réelle continue à se développer bien.
Qui est détruit par + de 7 % l'inflation réelle ? Toute personne dont le revenu a stagné et tout le monde qui dépend des salaires plutôt que des actifs pour obtenir par - en d'autres termes, le fond 95%.
http://www.oftwominds.com/blogaug16/inflation-crash8-16.html
Brexit menace Gravy climat train - accord de Paris, la vie sur Terre. Time for Clexit !
RépondreSupprimerAugust 3rd, 2016
Brexit était sismique. Même la nature peut voir la menace - Le Royaume-Uni était grand promoteur de la sorcellerie climatique, mais il est parti maintenant:
"Brexit pourrait être une excuse pour certains pays de l'UE de refuser leur signature», dit Oliver Geden, chef de la Division de la recherche de l'UE à l'Institut allemand pour les affaires internationales et de sécurité à Berlin. Avant les pourparlers de Paris, l'UE a promis de réduire ses émissions de gaz à effet de serre d'au moins 40% d'ici 2030, par rapport aux niveaux de 1990.
"Le Royaume-Uni ne faisant pas partie du mélange de négociation signifie qu'il est susceptible d'être moins de pression pour des objectifs ambitieux et veiller à ce que l'UE respecte ses engagements de l'accord de Paris», dit Martin Nesbit, un expert en politique à l'Institut pour la politique environnementale européenne à Londres .
Mais ne pas se détendre, le mouvement Clexit est plus que jamais nécessaire
Le président tchèque Vaclav Klaus Dr. reconnaît, et il Monckton, Morano, moi et beaucoup d'autres de 60 pays ont rejoint le nouveau mouvement Clexit commencé par Viv Forbes. Vérifiez-le. Brexit nous a donné un grand avantage, mais nous devons appuyer sur la maison.
Il y a beaucoup de raisons de Paris peut encore réussir
L'accord de Paris peut sembler être aux prises avec seulement 22 pays d'étain-pot (désolé Norvège) et 1% des émissions de l'homme signé, mais regarder le pois. Nous savons tous que si les réductions d'émissions étaient censés être de même pour toutes les nations, il ne serait jamais descendre au sol, mais comme la convention des Nations unies de Paris, il est tout ce théâtre - la signature de «l'accord» était juste pour le spectacle. Et de nombreuses ratifications peuvent être trop. Pas pour l'Ouest, mais pour des pays comme l'Inde, la Chine ou la Russie - ils peuvent ratifier leurs promesses faibles pour presque rien. Si elles le font, ils apporteront leur 4%, 20% et 7% des émissions humaines dans le cadre de l'accord parapluie Paris qui coûtera ces pays peu, mais être une victoire majeure de relations publiques pour l'ONU. Il serait infliger une douleur réelle sur les nations occidentales assez stupides pour signer et ratifier, mais la plupart du reste du monde serait d'accord à pas grand-chose, et bénéficiant de la concurrence avec un Occident entravé. Fermons bas un peu plus de usines à Birmingham, Adelaide ou Austin.
La Chine, l'Inde et la Russie veulent être achetés par l'ONU. Voir leurs protestations maintenant comme une partie de leurs stratagèmes de négociation tordre plus de porc. Peu de pays en développement face à beaucoup de jeu électoral, et ils ont tous quelque chose à gagner de l'Gravy Train climatique. La Chine, en particulier, a été de devenir riche sur les crédits de carbone pour les barrages qu'il allait construire, et les usines qu'il fait sale juste pour obtenir les crédits pour le nettoyage. Et il y a d'autres cartes à jouer non-climat que l'un de ces pays pourraient être achetés pour - considérer l'Inde, qui dit qu'il va retarder la signature de l'accord, mais veut vraiment obtenir l'adhésion à l'Fournisseurs Nuclear Group (NSG) en disant: «Un décision positive anticipée par le NSG nous aurait permis d'avancer sur l'accord de Paris ".
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En d'autres mots avec un gros pot de l'ONU de porc à gagner, la chose arrêter la «ratification» de l'énergie chère et le cilice collective de l'Occident sont électeurs de l'Ouest, en particulier, les électeurs américains. Si Hillary remporte la seule chose qui empêche l'accord sera le Congrès américain.
RépondreSupprimerL'accord sur le climat de Paris est sur la politique et le pouvoir, pas sur le temps
Le point de l'accord de Paris est de ne pas modifier les températures mondiales, ou même de réduire les émissions de gaz carbonique, il est de soutenir le Complexe vert industriel des énergies renouvelables (d'une valeur 300b $ plus seulement dans l'UE), et le carbone global de 2 $ Trillion systèmes d'échange que les maisons financières se tiennent à tirer profit de. Si l'ONU se souciait des émissions de gaz carbonique, nous savons tous qu'ils choisiraient la façon la plus rentable de les réduire (charbon supercritique, l'énergie nucléaire, et des programmes comme l'action directe qui coûtent seulement 14 $ / tonne dans la réduction par opposition à 50 $ - 120 $ par tonne que le vent frais "fermes".
Si les Verts se souciait de l'environnement qu'ils se soucient que les crédits de carbone ne réduisent pas les émissions de carbone, que personne ne compte les émissions correctement, et que la corruption est monnaie courante. Tout cela est trompeur. L'Accord de Paris est un traité, même si elle n'a pas appelé un. Il est appelé "non contraignant", mais il pourrait lier les coûts réels, mais qui était aussi important, alors Obama (ou Hillary) peut le ratifier sans prendre d'au Congrès.
Consultez Clexit.
http://joannenova.com.au/2016/08/brexit-threatens-climate-gravy-train-paris-agreement-life-on-earth-time-for-clexit/
Pollution et pollution
Supprimerjeudi 13 novembre 2014
http://huemaurice5.blogspot.fr/2014/11/pollution-et-pollution.html
L’étalon-or plus d’actualité que jamais !
RépondreSupprimerle 3 août 2016 dans Monnaie et finance
Par Ron Paul.
La liberté et une monnaie saine sont indissociables. L’argent doit être rendu au peuple afin qu’il le gère, et ôté des mains de l’État et de la banque centrale, ce qui passe par une reconsidération de l’étalon-or.
Trente-quatre ans après sa première publication en 1982, The Case for Gold (le plaidoyer pour l’or) demeure remarquablement actuel. C’est le titre d’un “rapport minoritaire” rédigé par l’US Gold Commission, mais également un plaidoyer approfondi et exhaustif en faveur d’une monnaie saine.
De nombreuses voies de réforme y figuraient : des devises compétitives, la révocation du “cours légal”, la redéfinition du dollar pour qu’il corresponde à une certaine quantité d’or, des modifications juridiques faisant entrer en vigueur les clauses monétaires de la Constitution telles qu’elles y sont écrites noir sur blanc, l’application d’une libre concurrence normale dans le secteur bancaire, pour ne citer que celles-là.
N’importe laquelle de ces réformes aurait été une excellente mesure. Si elles avaient toutes été mises en œuvre, une monnaie saine aurait été rétablie et cela nous aurait épargné ces problèmes économiques continuels et éreintants qui sont en train de tuer le rêve américain à petit feu.
De nouvelles voies numériques
Aujourd’hui, à la lumière des avancées technologiques, nous pouvons y ajouter de nouvelles voies. L’avènement des réseaux numériques pourrait permettre un type d’entrepreneuriat monétaire inédit : avec les devises numériques et les nouveaux systèmes de paiement, ainsi que les nouvelles structures bancaires et de crédit, les consommateurs peuvent se rapprocher des producteurs et entretenir une véritable relation de marché.
Mais il s’avère que cette évolution est sérieusement entravée par la réglementation et le monopole. En résumé, dans les secteurs monétaire et bancaire, la libre entreprise est illégale. À une époque où l’économie numérique révolutionne tous les domaines, les secteurs monétaire et bancaire semblent figés à jamais à l’ère analogique et dans les erreurs du passé.
J’ai fait de mon mieux pour que l’argent devienne une question publique, que ce soit au cours de ma campagne présidentielle de 2012 ou bien dans mon livre intitulé End the Fed [NDLR : Il faut abolir la Fed]. J’ai tenté de briser le silence. La classe politique a largement dédaigné ce que je disais. Toutefois, cette réalité économique devenant de plus en plus manifeste, le vent commence aussi à tourner du côté de la politique.
Jamais depuis la première parution de The Case for Gold, au début des années 1980, les débats à propos de l’or ne se sont autant généralisés au sein du club des experts et dans la presse financière. Investir dans l’or n’est plus réservé aux “gold bugs” dont on s’est moqué si longtemps, mais apparaît désormais comme une protection intégrale contre l’inflation pour les investisseurs lambda, atterrés par la réduction de leur pouvoir d’achat.
Le magazine Forbes, en personne, a lancé un appel pour que l’on envisage sérieusement un étalon-or. Par ailleurs, même d’anciens gouverneurs de la Réserve fédérale commencent à remettre en question le bien-fondé du monopole que celle-ci exerce sur la création monétaire, et réclament un libre marché monétaire.
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Aujourd’hui, je suis enchanté que la nouvelle génération montre de l’enthousiasme pour ce sujet. Désormais, ces jeunes voient que la Fed est plus qu’une institution technocratique parmi tant d’autres à Washington. Ils la considèrent comme une menace pour leur avenir. C’est trop beau. On exerce également de fortes pressions sur la Fed pour que ses activités soient plus transparentes. Le temps où son pouvoir n’était jamais remis en question est révolu.
RépondreSupprimerLe système monétaire de la Fed, fondé sur le papier, est une source majeure de souffrance économique, à l’heure actuelle. C’est pour cette raison que le Congrès est incapable de contrôler ses dépenses. C’est pour cette raison que les guerres et l’État policier peuvent être financés. Le monopole de la monnaie-papier dénature les indicateurs économiques et provoque des expansions et des récessions. Il pille le peuple américain via cette taxe insidieuse appelée inflation.
N’oublions jamais que la Fed détient ce colossal pouvoir uniquement à cause de la monnaie-papier. Si elle était limitée par un étalon-or ou une concurrence monétaire, la Fed serait une menace, mais pas un danger mortel. En l’état, la Fed, et par extension, le gouvernement lui-même, ont intégralement pris en otage notre avenir économique.
Politique des taux à zéro
La mesure politique la plus visible, et qui a le plus pénalisé la classe moyenne, c’est la “politique des taux à zéro” de la Fed. L’idée, en l’espèce, c’était de provoquer des prêts et de provoquer une impulsion économique. Cela n’a rien produit de tel, et autorisé la Fed à sur-rémunérer les banques dans un contexte dénué de tout risque pour ce secteur.
Cela a dépassé de plusieurs crans la bonne vieille doctrine du “trop gros pour faire faillite” et nous avons frôlé la nationalisation totale.
Voilà le type d’extrêmes que la Fed a adoptés afin de faire durer un système non viable. La trajectoire est prévisible : de la monnaie-papier à la mainmise totale de l’État. Chaque pas nous éloignant du libre marché monétaire entraîne de nouveaux problèmes qui semblent exiger une nouvelle intervention, laquelle crée de nouveaux problèmes, et ainsi de suite jusqu’à ce que tout le système s’effrite. Et c’est exactement ce à quoi nous sommes en train d’assister.
Pour la classe moyenne, les risques sont très élevés. Cette incroyable crise de 2008 pourrait n’être qu’un “échauffement”. Un autre effondrement, encore pire, nous menace car, au lieu d’affronter la réalité, la Fed a dissimulé les problèmes. Par conséquent, l’hyperinflation est une possibilité bien réelle et la Fed ne pourra se contenter d’actionner le levier “stop” une fois qu’elle se sera amorcée. Les retraits massifs de dépôts bancaires demeureront une menace. Le dollar continuera à perdre son pouvoir d’achat. L’État continuera de s’alourdir.
Ce système erroné a trop souvent prouvé qu’il ne fonctionnait pas. Une nouvelle fois, je lance le défi suivant : il faut réformer le système monétaire ou bien nous étoufferons l’avenir de la liberté elle-même. Voilà le choix qui s’offre à nous. Il n’est pas trop tard. Et ce type de réforme n’a jamais été aussi facile. L’État devrait autoriser la libre entreprise à jouer un rôle dans la gestion de l’argent. Il faut laisser les entrepreneurs prendre la relève là où la Fed a échoué.
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Dans un monde idéal, le dollar reviendrait à un étalon-or. Ce serait la première mesure qu’un Congrès et un président responsables devraient prendre. Mais sans même réformer le dollar, les producteurs et consommateurs devraient pouvoir migrer en toute légalité vers d’autres systèmes monétaires et bancaires fondés sur le marché.
RépondreSupprimerLa nécessité de réformer n’a jamais été aussi urgente. Le plaidoyer en faveur de cette réforme est le même, fondamentalement, que lorsqu’il a été initialement publié. Ses principes sont immuables. La liberté et une monnaie saine sont indissociables. L’argent doit être rendu au peuple afin qu’il le gère, et ôté des mains de l’État et de ses apparatchiks de la planification, de la banque centrale. Le socialisme ne fonctionne dans aucun domaine de l’existence. La liberté, elle, fonctionne partout.
Pour plus d’informations et de conseils de ce genre, c’est ici et c’est gratuit
http://www.contrepoints.org/2016/08/03/262095-gold-standard-plus-dactualite-jamais
L'argent doit être indissociable de l'État républicain et non être gérer par des banques privée. Dès lors que l'argent est aux mains de banques privée, la République PERD son statut au profit de la monarchie.
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