Alors qu'il n'y a pas loin de 570 000 morts en France chaque année (je ne blague pas ! pour 800 000 naissances), les moutons tondus/rasés/écorchés vifs qui rigolent devant leur télémerdes, s'émoient (non, c'est l'autre !) de voir 50 (ou 100 ou 200 ou 3000 ou +) personnes (qu'ils ne connaissent pas !) disparaître dans un attentat par voiture/avion/bateau/train/soucoupe volante/bicyclette ! ou 'de mort naturelle' (en recevant la facture du gouvernement) ou accidentelle en cherchant à s'asseoir sur la chaise qui n'est pas là.
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AAAAâââarght !
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Ainsi, dans un système complètement débile ou nous nous émouvrions (au présent du conditionnel) pour la fortune (volée ?!) de l'autre ainsi qu'aux beaux discours des escrocs, serions-nous de nous arrêter de manger, de baiser, de chier, de conduire ("Range-toi au bord de la route !"), pour écouter/voir l'info qui serait en titre de journal et non pas VOUS qui allez travailler comme un con qui ne se pose question du pourquoi qui court le môssieu !
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D'où la suspiçion naissante (n'y voyez là aucune remarque désobligeante) au succès des autres qui seraient toujours les même à se la faire sucer ! C'est vrai çà ! Et pourquoi que 'les autres' feraient-ils ou elles toujours la une des couvertures ou de la couette alors que chez soi on a les mêmes sans que le voisin ne le sache !??
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D'ou, l'initiative de toutes les start-up que vous êtes à vous lever le matin avec la bonne résolution de ne plus en chier (fini les diarrhéiques/vive les constipés !), et du moi-y-en-a-plus-travail je vais faire la une ! (ou le hun pour les hommes ?) et, derrière chez moi l'herbe ne repoussera plus (grâce au Round-up !) !
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Donc: partir sans laisser de trace (c'est ce que font de plus en plus d'americains qui balancent leur passeport) pour aller se dorer (la pilule ?) sur les plages d'Hawaii ou du Panama ! Oublier tous ces morts-tués-décédés dont vous n'auriez que foutre, fermer boutique à ces attentions perdues auquelles vous deviez vous soumettre et déguerpir vers ces contrées sauvages comme votre coeur d'homme libre afin de n'être poursuivi. Car c'est là que vous ferez le point de qui vous êtes et ce que les autres sont réellement pour vous.
Pauvreté accrue au Canada : les jeunes autochtones en sont les premières victimes
RépondreSupprimerQuebec Huffington
mer., 18 mai 2016 07:39 UTC
Un rapport s'attardant aux conditions de vie des jeunes autochtones au Canada déplore qu'ils ont au moins deux fois plus de risques de vivre dans la pauvreté que les enfants des autres communautés. Le rapport publié mardi par le Centre canadien de politiques alternatives (CCPA) constate d'ailleurs que la majorité des enfants des Premières Nations demeurant dans des réserves, 60 %, vivaient en 2010 dans la pauvreté et que depuis, leur situation s'est aggravée. Ce taux a été mesuré à 51 % chez ceux vivant hors-réserves.
Chez les enfants d'immigrants, le taux de pauvreté atteignait 32 % comparativement à 22 % chez les enfants des minorités visibles. Pour ce qui est des enfants qui n'appartiennent à aucune de ces catégories, le taux de pauvreté a été mesuré à 13 %, similaire à celui des autres pays membres de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).
Dans des réserves, des taux qualifiés de révoltants de 76 et de 69 % ont été relevés au Manitoba (centre du Canada sur Dakota du Nord) et en Saskatchewan (à côté sur Montana). À l'opposé, au Québec, ce taux de pauvreté était de 37 %.
Le rapport signale que la pauvreté est parfois exacerbée par d'autres conditions dans les réserves, telles le sous-financement chronique des écoles et des services à l'enfance, les logements surpeuplés et l'eau non potable, par exemple.
Le Centre canadien de politiques alternatives a observé que le taux global de pauvreté des enfants au Canada était de 18 %, ce qui le place parmi les pires de l'OCDE, au 27e rang sur 34 pays.
Le CCPA recommande notamment l'amélioration des mesures directes de soutien au revenu et des perspectives d'emploi.
- Voir vidéo Radio Canada (sur site) -
-- Commentaire : Il n'y a pas beaucoup de nouvelles concernant les Premières Nations ni jamais beaucoup d'informations : comment vivent-ils dans les réserves ? Quels sont leurs problèmes ? A quelles difficultés sont-ils quotidiennement exposés ? Ils sont les autochtones : ces oubliés de l'Histoire, toujours vivants, déjà enterrés. Ils sont aussi un mystère, comme presque inaccessible. Au delà des mots vides des politiciens qui parlent pour ne rien dire, qui font des promesses qu'ils ne tiennent jamais, les indiens sont là, survivants d'un génocide, rescapés d'un monde ancien... mais pour combien de temps encore ? --
Lire aussi :
- Les Indiens du Canada : « Respectez notre existence ou attendez-vous à de la résistance »
- Charnier d'enfants au Canada - Rapport spécial du Tribunal International contre les crimes de l'Église et des États
- Génocide des nations autochtones au Canada - Le cas sanglant des écoles résidentielles pour Indiens de 1850 à 1996 mis au grand jour
- Changement climatique : les anciens Inuits témoignent
- Des premières nations ou une seule grande première nation autochtone ?
- Attawapiskat ( Canada ) déclare l'état d'urgence après 39 tentatives de suicide depuis le 1er mars
https://fr.sott.net/article/28239-Pauvrete-accrue-au-Canada-les-jeunes-autochtones-en-sont-les-premieres-victimes
Ce n'est pas pour rien s'ils (au Canada) font tant de publicité tapageuses pour 'Allez au Canada !' (on parle français comme en Martinique et en plus c'est à côté... du pôle Nord !).
SupprimerL'Eurovision est devenu la scène de la nouvelle guerre froide
RépondreSupprimerNeil Clark
RT
mer., 18 mai 2016 16:34 UTC
Le 14 mai 2016 est le jour où la musique est morte et où un concours dont le but premier était l'harmonie internationale est devenu la scène de la nouvelle guerre froide, impitoyable et obsessionnelle des élites occidentales contre la Russie.
L'Ukraine a présenté une chanson purement politique qui aurait dû être interdite dès le début puisqu'elle enfreignait ouvertement la règle de l'Union européenne de radio-télévision selon laquelle les sujets des chansons ne doivent pas porter sur la politique. Mais cela ne l'a pas empêché de remporter le concours Eurovision de la chanson, même si le pays qui a reçu le plus de votes du public a été la Russie.
Les soi-disant «professionnels de l'industrie de la musique» qui représentaient 50% des votes ont permis la victoire de l'Ukraine et placé la Russie en cinquième place ex-æquo, avec 81 points de moins que le vainqueur.
Comme certains l'ont fait remarquer sur Twitter le 14 mai, l'Eurovision cette année s'est résumé à un remake des élections présidentielles américaines de 2000 que George W. Bush a remportées bien qu'Al Gore ait obtenu plus de voix. L'establishment laisse le petit peuple s'exprimer mais il conserve des mécanismes qui lui permettent d'obtenir le résultat final qu'il souhaite.
L'idée que le concours ait lieu en Russie l'année prochaine et que cette dernière puisse le remporter a sûrement fait paniquer les cercles de l'establishment. La prochaine Coupe du monde de football a déjà été octroyée à la Russie, un événement largement critiqué par les russophobes qui ont appelé au boycott ou au transfert de l'événement ; alors l'Eurovision en Russie serait la goutte qui fait déborder le vase. La Russie devrait être punie et isolée pour avoir déjoué les plans de l'Occident en Syrie et dans d'autres régions, et donc, ne pas recevoir d'événements suivis par des millions de personnes dans le monde.
L'Union européenne de radio-télévision s'inquiétait beaucoup d'une possible victoire russe cette année et a fait tout ce qui était en son pouvoir pour que cela n'arrive pas. Ce n'est pas seulement le système de vote - avec des «jurys nationaux» pour fausser l'opinion du publique - qui a permis la victoire de l'Ukraine, mais également l'ordre de passage des participants. Jamala, la candidate ukrainienne, a obtenu le numéro 21 pour chanter «1944».
Dans un concours où tant de pays prennent part, obtenir un créneau vers la fin de l'émission est souvent un avantage non négligeable.
Jamala aurait-elle obtenu un tel résultat si elle avait chanté au début de l'émission ? J'en doute fortement.
(suite en dessous:)
L'Union européenne de radio-télévision a finalement obtenu le résultat qu'elle voulait, mais ce faisant, elle a anéanti le concours. L'Eurovision a longtemps été corrompue par le vote en bloc - lorsque les pays votent pour leurs voisins - mais ce qu'il s'est passé cette année est complètement différent. La politisation et l'agenda de la compétition n'ont jamais autant sauté aux yeux.
RépondreSupprimerLes vrais fans de l'Eurovision pensent que la politique des pays participants ne devrait pas influencer le vote et sont scandalisés par ce qu'il s'est passé.
Prenez les voix du «jury national» anglais. Les «professionnels de l'industrie de la musique» britannique ont accordé 10 points à l'Ukraine, mais aucun à une chanson russe que le public a préféré. Parti pris ? Loin de moi cette idée ! Je suis sûr que le ministre des Affaires étrangères, Philip Hammond, a approuvé le choix du jury.
Le public britannique ne partage pas les préjugés russophobes de l'élite et le vote du public l'a confirmé : la Russie est arrivée en quatrième place, devant l'Ukraine.
On a observé la même déconnexion entre les jurys nationaux et le public dans d'autres pays.
Le jury serbe a donné 12 point à l'Ukraine mais le peuple serbe a voté pour la Russie. Le jury israélien n'a donné aucun point à la Russie mais 12 à l'Ukraine, alors que le public israélien a placé la Russie en seconde place. Le public ukrainien lui-même a mis la Russie en première place, prouvant que l'hostilité ukrainienne envers la Russie vient surtout de l'élite ukrainienne.
Ceux qui croyaient que l'Eurovision consistait à voter pour la meilleure chanson cherchent encore une explication aux résultats de cette année.
Le tweet de PaddyPower qui, comme d'autres bookmakers plaçait la Russie en grande favorite, résumait parfaitement la situation :
Comment cette chanson a-t-elle pu gagner ? C'est nul.
Dan Eccles a répondu à cette question.
Alors que les Russes se sentent - à juste titre - victimes de tricherie, c'est un mal pour un bien puisque cela a permis de montrer à tout le monde les limites de la démocratie en Occident.
Les gens doivent être présents pour pouvoir voter, mais pour s'assurer que le résultat convienne aux élites, des blocs doivent être mis en place.
Aux Etats-Unis, Bernie Sanders devance Hillary Clinton dans les primaires démocrates, mais même s'il rattrape la candidate soutenue par Wall Street et le secteur militaro-industriel, il y a toujours les «super délégués» et Hillary Clinton bénéficierait du soutien de 524 d'entre eux, contre 40 pour Sanders.
(suite en dessous:)
L'été dernier au Royaume-Uni, Jeremy Corbyn, le candidat de gauche contre la guerre et largement soutenu par les membres de son Parti, a nettement remporté les primaires pour la tête du parti Travailliste. Mais son idée de la démocratie a fait des vagues au sein de l'establishment blairiste du Parti et des changements sont en cours pour modifier la répartition des pouvoirs au sein du Parti et en donner davantage aux députés qui se situent plus à droite.
RépondreSupprimer-- Commentaire : On peut rajouter à cette liste les fraudes massives lors du référendum pour l'indépendance de l'Ecosse.--
La possibilité pour le peuple de décider sans qu'aucun bloc anti-démocratique ne soit mis en place terrifie les élites des «démocraties» américaine et européennes.
S'il s'avère qu'après tout ce lavage de cerveau et cette propagande pro-establishment, le petit peuple ne vote pas «comme il fallait», on le fait simplement revoter - comme ce fut le cas des Irlandais quand ils ont refusé le Traité de Lisbonne lors du référendum de 2008. Et si les Britanniques votent en faveur du Brexit le 23 juin, ne pensez-vous pas que l'Union européenne essayera d'obtenir le résultat inverse ?
Si David Cameron a regardé l'Eurovision, peut-être changera-t-il les termes du référendum pour nominer un «jury national» constitué d'«experts» dont le vote représentera 50% du résultat final.
Si seul le vote populaire avait compté lors de l'Eurovision, c'est la Russie et non l'Ukraine qui aurait été couronnée le 14 mai. Merci aux super délégués, pardon, aux «professionnels de l'industrie de la musique», qui ont évité que le cauchemar de l'establishment russophobe ne se produise. Cela a beau n'être «qu'un concours de chansons», le résultat était visiblement d'une extrême importance aux yeux de certains.
Commentaire : Voir aussi :
L'Eurovision et la victoire de la russophobie
https://fr.sott.net/article/28237-L-Eurovision-est-devenu-la-scene-de-la-nouvelle-guerre-froide
(...) élections présidentielles américaines de 2000 que George W. Bush a remportées bien qu'Al Gore ait obtenu plus de voix. (...)
SupprimerAucune preuve mais à choisir, ce serait pour GWB qui a fait moins de morts qu'Al gore !
La végétation arctique aime le réchauffement de la planète et les bactéries arctiques mangent plus de carbone pour le petit déjeuner
RépondreSupprimer19 mai 2016
Ne regardez pas maintenant. Peut être une autre rétroaction négative, que j’ai oublié les modeleurs. Quand l’Arctique se réchauffe, il y a plus d’usines et moins de mousse dures et vieilles. Le real, err, de surprendre, était ce qui s’est passé pour les bactéries et les champignons. Les micro-créatures qui normalement décomposent la matière organique sont assez contentes sur le switch de mousse dure pour arbustes de toundra savoureuses (ou dans ce cas, pour le gâteau, je vais vous expliquer dans un instant). Ils s’adaptent en un tour-de-main à gruger les bits fraîchement morts de plantes gastronomiques avec plus d’azote. Donc au lieu de se décomposer plus par temps chaud, les sols sont devenus plus riches avec carbone et se décomposent moins.
Après avoir lu le communiqué de presse, j’ai regardé la vidéo et a été un peu surprise de trouver leur ensemencement au sol avec sucre, plutôt que de plantes arctiques gourmet. Je suis un peu déçu par le plan d’étude. Bien que le résultat final sons crédibles parce que la vie sur terre a dépensé 500 millions années, trouver des façons de sucer que le gazcarbonique dans le ciel.
Les chercheurs suggèrent même que cela pourrait ralentir le réchauffement climatique. Dans l’affirmative, il sera une symbolique, mesurables semi centième de degré. Mais peut-être la plus belle chose à ce sujet est qu’à l’Université de Lund, il y a toujours les chercheurs autorisés à éteindre les communiqués de presse suggérent: « bonnes nouvelles » pour le climat.
Le changement climatique a crée plus de végétation arbustive dans les écosystèmes arides, arctiques. Une étude à l’Université de Lund en Suède montre que les organismes, tels que les bactéries et les champignons sont déclenchées pour décomposer les parties mortes particulièrement nutritifs des arbustes. Pendant ce temps, le montant total de décomposition est réduit. Cela pourrait avoir un effet inhibiteur sur le réchauffement climatique.
Une grande quantité de carbone et d’azote de la terre est stockée dans les écosystèmes arctiques où le sol est gelé en permanence, connu comme le pergélisol. Le changement climatique provoque des sols à la chaleur vers le haut. Johannes Rousk à l’Université de Lund, ainsi que ses collègues Kathrin Rousk och Anders Michelsen de l’Université de Copenhague et du Centre pour le pergélisol (CENPERM), ont mené des études de terrain extérieur Abisko dans l’extrême nord de la Suède, étudier ce qui arrive à la décomposition des matières organiques comme le climat se réchauffe.
« Comme la région de l’Arctique se réchauffe, les arbustes commencent plus à se développer, plutôt que de point de riz qui est difficile à briser. Les arbustes ont des feuilles et les racines qui sont faciles à décomposer et sécrètent de sucre. Ce que nous avons montré, c’est que les organismes de décomposition, comme les bactéries et les champignons sont déclenchées pour chercher les matières organiques riches en éléments nutritifs qui contiennent plus d’azote, tout en décomposition comme ensemble est réduit, » dit Johannes Rousk.
(suite en dessous:)
Lorsque le matériau riche en nutriments est décomposé, la partie pauvre en nutriments de la matière organique s’enrichit, causant probablement la quantité de carbone pour augmenter. Les modèles climatiques actuels ne considèrent pas la connexion entre la végétation arbustive accrue à la suite de changements climatiques en cours et le sol devient moins nutritifs.
RépondreSupprimer"Il sera intéressant de voir comment cela affectera le chiffre d’affaires de carbone du sol à long terme. Peut-être nos résultats aideront complément modèles du climat futur, » dit Johannes Rousk.
Aujourd'hui, personne ne sait quel sol moins nutritif dans les écosystèmes arctiques et entraînera une décomposition une diminution globale de la matière organique. Cependant, Johannes Rousk ose avancer une hypothèse :
« Je pense qu’il aura un effet inhibiteur sur le réchauffement climatique, » dit-il.
Vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=mo1oCVOLCsQ
Communiqué de presse
RÉFÉRENCE Kathrin Rousk, Anders Michelsen, Johannes Rousk. Contrôle microbien du sol organique question réponses de minéralisation au carbone labile dans les traitements de changement de climat subarctique. Global Change Biology, 2016 ; DOI : 10.1111/gcb.13296
http://joannenova.com.au/2016/05/arctic-greenery-likes-warm-world-and-eats-carbon-for-breakfast/#more-48860
Pour être en bonne santé allez à la messe !
RépondreSupprimerle 19 mai 2016
par jacqueshenry
Dans le genre pseudo-science on n’arrête plus le progrès à tel point que toutes les occasions sont bonnes pour prétendre tout et n’importe quoi. Par exemple une récente étude parue dans le très sérieux JAMA (Journal of the American Medical Association) émanant d’un diverticule de l’Université de Harvard, la Chan School of Public Health, fait état d’une relation entre la santé des femmes et leur assiduité aux offices religieux. L’étude a concerné 74543 femmes, toutes blanches, catholiques ou protestantes, et toutes infirmières entre 1996 et 2012. Parmi celles-ci 13537 décédèrent durant cette période dont 2721 de troubles cardiovasculaires et 4479 de cancers. Tous les quatre ans, il était demandé à ces sujettes de préciser combien de fois elles se rendaient sur leur lieu de culte, plusieurs fois par semaine, une fois par semaine, une fois par mois ou rarement. Tous facteurs autres que l’assiduité religieuse ont été lissés comme par exemple le style de vie, l’alimentation, la cigarette, l’alcool et les satisfactions conjugales et sociales.
Il est ressorti de cette étude, après moult bidouillages statistiques, qu’aller à l’église (ou au temple) au moins une fois par semaine réduisait de 27 % les risques de maladies cardiovasculaires et de 21 % les risques de cancer. Je n’invente rien, c’est écrit noir sur blanc dans le résumé de cette étude pourtant parue dans un très respectable périodique médical. Le Docteur Dan Blazer s’est fendu d’un éditorial sarcastique dans ce numéro du JAMA intitulé « Etude empirique relative à l’assiduité aux services religieux pour la santé« . Il a relevé très justement que toutes les participantes à l’étude étaient blanches, issues de familles pratiquantes, ayant reçu une bonne éducation, d’âge moyen proche de la soixantaine et que cette étude, pour toutes ces raisons, n’avait aucune signification scientifique.
Heureusement que les auteurs de l’étude, pour ne pas se couvrir de ridicule, insistent sur le fait que leurs travaux ne sont qu’une observation et qu’ils n’ont jamais tenté d’établir une quelconque relation de cause à effet. Ouf ! C’est rassurant …
Source : JAMA, doi : 10.1001/jamainternmed.2016.1615
https://jacqueshenry.wordpress.com/2016/05/19/pour-etre-en-bonne-sante-allez-a-la-messe/
Dans le même état d'esprit: soutenir les assassins qui tuent des millions de personnes à l'étranger serait bon pour le trou de cul.
SupprimerRoussef à RT : les médias sont soudain en faveur du gouvernement provisoire (EXCLUSIF)
RépondreSupprimer19 mai 2016, 10:24
Dilma Roussef, dans une première interview exclusive à RT depuis sa suspension suite au processus de destitution qu’elle considère comme un coup d’Etat, a partagé son étonnement face à la partialité médiatique en faveur de ceux qui veulent l’évincer.
«Les médias, au Brésil, ont été très critiques à mon encontre, à l'encontre de mon gouvernement et de nos alliés… Mais soudain ils tendent à favoriser le gouvernement temporaire, et à éviter la critique, malgré la situation particulière qui s’est développée», a confié à RT la présidente brésilienne, suspendue depuis le 12 mai.
La libéralisation des médias a fait l’objet de débats enflammés au Brésil, selon elle. «Nous ne voulons pas contrôler ou influencer la position de quiconque. Nous sommes contre la situation d'oligopole dans les medias, qui conserverait tout le pouvoir dans les mains de quelques familles», explique Roussef.
Selon la présidente, ce type d'organisation médiatique déstabiliserait la démocratie brésilienne et «nous le constatons [...] en ce moment».
Comparant les procédés utilisés contre elle et son gouvernement à du «chantage», Dilma Roussef a estimé que le gouvernement provisoire avait fait le choix d’une politique néolibérale servant les intérêts d’oligarques brésiliens.
Elle a aussi juré de lutter contre la procédure de destitution qui la vise par tous les moyens.
https://francais.rt.com/international/20849-roussef-rt-presse-interview-partialite
Pourquoi ce seulement un extrait de l'interview de Rousef ??
SupprimerLa France s’oppose au projet de bouclier antimissile de l'Otan
RépondreSupprimer12:37 19.05.2016
Les fonctionnaires français s’opposent à ce que le bouclier antimissile américain installé en Europe soit passé sous le contrôle de l’Otan, rapporte le Wall Street Journal, citant des sources anonymes au sein du gouvernement américain et de l’Alliance atlantique. D'après le WSJ, l'Elysée se dit préoccupé par le fait que le bouclier antimissile, remis de jure sous le contrôle de l'Otan, reste de facto sous la tutelle du Pentagone.
"En l'occurence, il ne s'agit pas d'une simple question technique, dénuée d'implications politiques", a confié au journal un fonctionnaire français.
Et d'ajouter: "Dans le cas de figure, c'est l'Otan qui assumerait les responsabilités si un missile avait été abattu. De même, c'est l'Otan qui assumerait les responsabilités si une cible visée n'avait pas été touchée".
Toujours plus: l'Estonie veut du matériel de l'Otan près de ses frontières"A présent, le système intégré de gestion et de contrôle élaboré par l'Otan n'est pas encore en mesure d'assurer le fonctionnement du bouclier antimissile. Ce système, nommé C2, nécessite des améliorations avant que le bouclier ne passe sous le contrôle de l'Alliance", a précisé un autre fonctionnaire.
La Maison Blanche, poursuit le WSJ, craint pour sa part que tout retard dans la procédure de cession ne soit considéré par la Russie comme une preuve de faiblesse et d'impuissance. Toujours est-il que les Etats-Unis et l'Otan comptent faire changer d'avis leurs homologues français avant le sommet de l'Otan qui se tiendra à Varsovie le juillet prochain.
Auparavant, le chef du Pentagone Ashton Carter avait placé la Russie en première position parmi les "menaces globales" pour les Etats-Unis, alors que le chef d'Etat-major des armées des Etats-Unis Joseph Dunford avait lancé la notion de "menace existentielle", reprise par des hommes politiques et des militaires dans leurs propos sur la Russie.
L'Otan mène un exercice "top secret" en EuropeLe nouveau Commandant suprême des forces alliées en Europe, le général américain Curtis Scaparrotti, a appelé les membres de l'alliance à être prêts à faire face aux menaces de la "Russie renaissante".
De son côté, le Kremlin a à plusieurs reprises souligné que la Russie ne cherchait pas à fomenter une confrontation, mais qu'elle était prête à apporter une riposte appropriée aux actions de l'Occident.
https://fr.sputniknews.com/defense/201605191025119177-otan-france-reticence-projet-boucilier-antmissile/
Hahahaha ! Faire partie de l'OTAN et avoir les mains propres ??!
SupprimerLe plus grand parti politique de l’Islande est maintenant le « Parti Pirate »
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 19/05/2016 08:21 -0400
Soumis par Michaela Whitton via TheAntiMedia.org,
Le Parti Pirate continue à mener des sondages à l’échelle nationale comme le choix le plus populaire pour les prochaines élections contre l’ordre de l’Islande. Le parti — dont les politiques comprennent la liberté sur internet, dépénalisation de la drogue et ouvrir la démocratie — a toujours conduit aux urnes pour le dernier exercice et, par conséquent, a obtenu un financement plus que n’importe lequel de ses concurrents.
La crise financière de 2008 a frappé dur l’Islande. L’année suivante, la Couronne a été dévaluée de près de 50 %, chômage a doublé, et introduire des contrôles de capitaux ont été. Par miracle, le pays est passé de ses cendres pour devenir un des plus performants en termes de croissance européens. Plus récemment, l’establishment politique a été dans la tourmente depuis que trois ministres du gouvernement ont été impliqués dans le scandale de Panama papiers global.
Malgré leur lutte, ou peut-être à cause de cela, la liste des raisons pour admirer les islandais continue à l’élevage. Que ce soit la condamnation de grands banquiers — ou l’indignation massive à la fuite d’offshore, dont 10 % de la population a propulsé vers les rues et évincé le premier ministre — le refus radical des islandais de s’incliner et d’accepter la corruption mise en place est admirable.
Pour cette raison, la montée en popularité du Parti Pirate une fois-frange vient comme petite surprise — récents sondages suggèrent que près de la moitié de la nation prend en charge les.
En Islande, un soutien financier aux partis politiques est alloué basé sur la façon dont ils ont fait dans les sondages.
Bien que le parti n’ait pas les dirigeants officiels, la Présidente du groupe parlementaire et porte-parole, Birgitta Jonsdottir, dit qu'ils ne prévoyaient pas le financement. Affirmant leur campagne était, financés jusqu’ici par un marché aux puces, elle dit que c’était assez et que tous les besoins des partis doivent être en mesure de payer les salaires de ses employés.
"Nous n’attendions pas cela. On s’en fout. La démocratie ne tourne autour de faire beaucoup d’argent du gouvernement," elle ajouté.
http://www.zerohedge.com/news/2016-05-19/icelands-biggest-political-party-now-pirate-party
SupprimerCe qui est tout-à-fait à l'opposé des Etats-Unis où seuls les riches (milliardaires) peuvent - en tant que candidats aux présidentielles - se payer des spots télé et en corrompre les journalistes !
NEW YORK/FRANCFORT Groupe allemand de médicaments et substances chimiques que Bayer a fait une proposition de reprise spontanée aux États-Unis la compagnie Monsanto, le tout visant à créer le plus grand fournisseur agricole du monde et profiter de pesticides convergentes et marchés de semences.
RépondreSupprimerPar Greg Roumeliotis et Mike Stone
Jeudi 19 mai 2016 8:48 am EDT
Monsanto a révélé l’approche mercredi avant que Bayer a confirmé son coup, bien que ni libéré des modalités proposées.
La capitalisation boursière de $ 42 milliards de Monsanto signifie que l’affaire serait susceptible d’éclipser le projet d’acquisition de l’entreprise suisse de produits agrochimiques Syngenta--une cible Monsanto lui-même poursuivi l’an dernier--de ChemChina et pourrait faire face à obstacles antitrust aux États-Unis.
Une déclaration de Monsanto a déclaré que son Conseil d’administration était à examiner la proposition, qui est sous réserve de diligence raisonnable, les approbations réglementaires et les autres conditions. Il n’y a aucune assurance que toute transaction aura lieu, elle a ajouté. Actions de Bayer a chuté de plus de 8 % à un minimum de 2-1/2 année de 88,39 euros en début négociation de jeudi, avec quelques investisseurs préoccupés par le coût potentiel d’une affaire.
Actions de Monsanto ont été vu 7,6 pour cent plus élevé à 104,50 $ dans les métiers de la précommercialisation.
UBS Global Asset Management, qui montre des données Reuters est parmi les 30 plus gros investisseurs de Bayer, dit il était « profondément préoccupé » par la charge pesant sur les finances de Bayer d’une prise de contrôle, disant elle préférerait que les compagnies d’accepter une coentreprise ou une fusion de néant-prime.
Les analystes de Deutsche Bank dit de choses pourraient déplacer Centre de gravité de Bayer à l’agriculture représente environ 55 % de la rémunération de base, vers le haut par environ 28 pour cent l’an dernier à l’exclusion de l’entreprise de produits chimiques Covestro que Bayer prévoit de vendre.
Cela aurait un impact négatif sur le sentiment parmi la clientèle d’investisseurs axés sur les soins de santé de Bayer, la Banque a dit.
ESTIMATIONS DE PRIX
Bayer, qui a une valeur marchande de $ 90 milliards, a dit que la fusion créerait "une entreprise leader de l’agriculture intégrée", se référant à pousser de Bayer à chercher davantage de synergies de la combinaison de l’élaboration et la vente de semences et de produits chimiques protection des cultures.
(suite en dessous:)
La plupart des sociétés agrochimiques principales visent à génétiquement plus robustes plantes et produits chimiques coutume-construisez d’aller avec eux, les vendre ensemble aux agriculteurs qui ont du mal à composer avec des bas prix.
RépondreSupprimerBien qu’aucun prix Busters a été mentionné par ces sociétés, analyste de Bernstein Research Jeremy Redenius a estimé qu’il serait 41,9 milliards d’euros ($ 47 milliards), ainsi que supposé de 6,7 milliards d’euros de dette. Il a dit que Bayer pourrait avoir besoin d’une émission d’actions de 27 milliards d’euros pour aider à financer l’achat.
Les analystes de Citi ont dit que les Bayer aurait probablement besoin de payer le salaire de base 14 - 16 fois de Monsanto, ce qui implique un prix Busters, y compris la dette de 57 milliards d’euros à 65 milliards d’euros.
Une cession de participation de Bayer au fabricant de produits chimiques de mousse Covestro pourrait lever environ 4 milliards d’euros, tandis que ses activités de santé animale, que Bayer a indiqué qu'il pourrait mettre sur le bloc, pourraient chercher à 7 milliards d’euros.
La proposition intervient alors que beaucoup de ChemChina pour Syngenta fait face examen réglementaire aux États-Unis sur les préoccupations quant à la sécurité de l’approvisionnement alimentaire des États-Unis.
Tout accord entre Bayer et Monsanto, qui serait plus grand Bayer de loin et nain le rachat de 17 milliards d’euros de drugmaker Schering en 2006, pourrait soulever des préoccupations antitrust aux États-Unis en raison d’un chevauchement dans les entreprises de semences, en particulier en coton, de soja et de canola, les experts antitrust ont dit.
La proposition vient moins de trois semaines après que Werner Baumann a repris comme PDG de Bayer, un signe de la puissance de base qu’il construit dans ses précédentes fonctions comme chef de stratégie.
Bayer, l’inventeur de l’aspirine et le fabricant de Yasmin contraceptifs oraux, est beaucoup plus diversifié que Syngenta ou Monsanto, avec des produits, y compris des médicaments contre le cancer, les colliers contre les puces et tiques pour animaux de compagnie et Coppertone écran solaire. Certains analystes ont dit qu'un accord avec Monsanto pourrait conduire à un éclatement du groupe.
Division des sciences de Bayer crop a entreprises de semences, produits phytosanitaires et antiparasitaire non-agricole, éventuellement en complément de Monsanto graines actifs.
(suite en dessous:)
BAYER, BASF AMBITIONS
RépondreSupprimerRival Bayer et l’allemand BASF SE cherchent pour construire l’échelle en produits agrochimiques. Monsanto a déclaré après son échec à la terre de Syngenta qui elle n’a pas besoin de faire une affaire, mais il a également participé aux discussions.
Monsanto s’est approché Bayer cette année à intérêt exprès dans l’unité de science agricole de ce dernier, sous la forme d’une acquisition ou une joint-venture, sources a déclaré à Reuters en mars.
Bayer et BASF avaient exploré tie-ups avec Monsanto pendant des mois, mais préoccupations d’évaluation ont fait une affaire insaisissables, sources ont dit.
Bayer est classé n ° 2 en produits chimiques des cultures, avec une part de marché de 18 %, juste derrière Syngenta sur 19 pour cent, indiquent des données de l’industrie.
Monsanto est le leader dans les graines, avec une part de marché de 26 %, suivi de DuPont avec 21 %. DuPont a décidé l’an dernier de fusionner avec Dow Chemical. Tout accord de Bayer-Monsanto réduirait encore davantage le nombre de joueurs importants de pesticides et de semences à quatre de six.
Morgan Stanley et Ducera partenaires sont des conseillers financiers de Monsanto, a indiqué la compagnie dans sa déclaration, tandis que Wachtell, Lipton, Rosen & Katz est conseiller juridique.
http://www.reuters.com/article/us-monsanto-m-a-bayer-idUSKCN0YA054
Le passage à une société sans argent liquide est boule de neige
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 19/05/2016 22:00 -0400
Aime ou déteste, la trésorerie joue un rôle de plus en plus moins important dans la société.
À certains égards, il s’agit de bonnes nouvelles pour les consommateurs. La hausse des paiements mobiles et électroniques signifie des achats plus rapides, pratiques et plus efficaces dans la plupart des cas. Nouvelles technologies sont construites et améliorée pour faciliter ces opérations, et amélioration de la sécurité est également une priorité pour de nombreux prestataires de paiement.
Toutefois, comme l’explique Visual capitaliste de Jeff Desjardins, il est également un revers dans la transition vers une société sans argent liquide. Les gouvernements et les banques centrales ont une logique différente derrière l’élimination des transactions en espèces, et par conséquent, la prétendue « guerre contre la trésorerie » est sur.
- voir tableau-mappemonde sur site -
Courtoisie de : Visual capitaliste
SUR LE CHEMIN VERS UNE SOCIÉTÉ SANS ARGENT LIQUIDE
La réserve fédérale estime qu’il y aura des $ 616,9 milliards en opérations scripturales en 2016. C’est vers le haut d’environ $ 60 milliards en 2010.
Malgré l’ampleur de ce changement global, ce qui se passe d’un pays à l’autre varie considérablement. Examiner les éléments de preuve contradictoires entre la Suède et l’Allemagne.
En Suède, environ 59 % de toutes les transactions de consommateur sont sans argent et en devises représente seulement 2 % de l’économie. Pourtant, à travers la mer Baltique, les allemands sont promoteurs bien plus grands d’espèces modernes. Cela ne devrait pas être trop surprenant, étant donné que les mots allemands « dette » et « culpabilité » sont l'exact même.
En Allemagne, seulement 33 % des ventes au détail sont sans argent, et il existe seulement 0,06 cartes de crédit par personne.
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LE CÔTÉ OBSCUR DE CASHLESS
RépondreSupprimerLe passage à une société sans argent liquide même gagne du terrain en Allemagne, mais ce n’est pas en raison de l’adoption de prête auprès du grand public. Selon le Handelsblatt, un grand journal économique allemand, une proposition visant à supprimer la note de 500 € tout en couvrant toutes les transactions en espèces de 5 000 € a été effectuée en février par le partenaire junior de la coalition gouvernementale.
Les gouvernements ont fait pression de plus en plus pour une société sans argent liquide. En apparence, par la présence d’une trace écrite pour toutes les transactions, une telle mesure diminuerait la criminalité, le blanchiment d’argent et évasion fiscale. Le ministre des Finances a récemment déclaré qu’il "lutte contre l’utilisation de la trésorerie et l’anonymat de l’économie français" de la France afin de prévenir le terrorisme et autres menaces. Pendant ce temps, ancien Secrétaire au Trésor et économiste Larry Summers a appelé à la mise au rebut le billet de 100 $ US – la note de monnaie plus largement utilisée dans le monde.
DEMANDE AGRÉGÉE « LISSE » ?
Il n’est pas simplement un argument de la justification de gouvernement ci-dessus par rapport à celle de la vie privée et l’anonymat. Peut-être l’implication moins parlé d’une société sans argent liquide est le moyen qu’il pourrait potentiellement habiliter la Banque centrale d’avoir plus de munitions dans le « lissage » hors des façon dont les gens économiser et dépensent de l’argent.
En éliminant la perspective d’économies de trésorerie, des options de politique monétaire comme taux d’intérêt négatifs seraient beaucoup plus efficaces si mis en place. Tout argent vraisemblablement est enregistré sous le même parapluie système de banques et même le plus prudent épargnants pourraient être taxés à des taux négatifs pour encourager les dépenses de consommation.
Alors qu’il y a certainement des avantages à l’utilisation des paiements numériques, notre avis est que va numérique devrait être un choix du consommateur individuel qui peut se fonder sur les inconvénients et les avantages personnels. Personnes devraient avoir le choix volontaire d’allant de plastique ou de moyen d’applications de paiement, mais ils ne devraient pas être poussés dans l’option contre son gré.
Bannissement forcé d’argent est une chose complètement différente, et nous devrions être de plus en plus méfiant et soupçonneux de la justification réelle derrière un tel régime.
http://www.zerohedge.com/news/2016-05-19/shift-cashless-society-snowballing
C'est cette technologie de l'argent électrique qui conserve sa plus haute sécurité de destruction en matière d'échange qui n'est pas encore au point et... qui est lancée. Certains diront que ce n'est là qu'un test nécessaire mais PERSONNE n'a encore songé à renflouer un compte vidé par des hakers !
SupprimerPire encore en plus des 'hakers' il y a l'IEM ! Et çà... çà fait très mal ! Mal aux comptes en banques qui vident en moins d'une seconde TOUS les comptes périmétrés en plus d'empêcher toute relation téléphonique ou de se véhiculer avec des routières dites modernes !
Ancien Hedgeye et Business Insider salarié arrêté pour avoir volé trois banques
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 19/05/2016 21:45 -0400
La dernière fois nous avons entendu le nom Vincent Veneziani était il y a plusieurs années, quand il avait à Business Insider, un ami proche avec l’ensemble des éditeurs et d’écrivains, de Henry Blodget écrit des histoires sur les criminels de Wall Street et les fraudes comme "Ponzi Schemer Chantal Super de Starr Condo de l’Upper East Side vient de vendre pour $ 5,63 millions"et"l’histoire complète de la façon dont Lenny Dykstra Went du haut du monde à la prison. » L’ironie inhérente ici deviendra évident dans quelques instants.
Peu de temps après le Veneziani mi-20 a disparu du radar médiatique mondiale, seulement d’écrire un livreet puis réapparaître dans le monde financier, cette fois comme un employé de la tenue de "paid-to-promote-hedge-fund-research" toujours divertissant appelée Hedgeye, où, selon sa biographie, il a travaillé comme rédacteur en chef.
Malheureusement pour Veneziani, il a seulement réussi à rester indépendant à Hedgeye pour un peu plus d’un an, jusqu’au printemps 2013, quand les choses ont terriblement mal tourné pour le jeune homme qui a mystérieusement disparu de la surface de la terre pour les prochaines années. Le New Yorker ancien, puis réapparu, maintenant en tant que résident de la ville les plus pauvres aux Etats-Unis, Camden, New Jersey, où il écrivit le récit troublant suivant il y a le 9 mars, décrivant ce qui lui était arrivé peu de temps après avoir quitté Hedgeye et Wall Street, pour deux mois seulement bonne.
La fin d’un Long chemin de la criminalité
En mai de 2013, j’étais âgé de 27 ans et avait simplement été mis à pied d’un travail pépère à Wall Street que j’avais travaillé à un peu plus d’un an. j’ai aussi été près d’un an dans une dépendance à l’héroïne pleine soufflé me temps, énergie et surtout l’argent drainé. J’étais fauché et dope le droit des malade et pas penser. Après avoir demandé à tout le monde je savais que pour l’argent et venir court, , j’ai décidé de cambrioler un petit café-restaurant à Broadway à West Harlem qui était près de mon appartement. Non seulement a fait voler la Caisse au couteau, j’ai même endroit frappé deux semaines plus tard et a recommencé parce qu’il était si facile. je ne savais même que je m’engage à vol à main armée parce que je n’avait jamais commis un crime (grave) avant et n’avait jamais été arrêté sauf pour un DUI scellé et supprimé, j’ai eu quand j’étais âgé de 19 ans.
J’ai pensé que j’étais bien, mais dans la première semaine de juin, j’ai été arrêté et les détectives avaient une montagne de preuves contre moi. Le gabarit est en hausse. Maintenant, j’avais perdu mon travail, appartement, fiancé, famille et mon esprit. Il suçait.
J’ai rapidement été expédié à Rikers Island car la façon dont j’ai été incapable de faire caution de $ 30 000. Je finirais par passer un total de 18 mois sur Rikers entre 2013 et 2014. C’était l’enfer. Cet endroit se brisera tout homme en morceaux et je ne le veux sur mon pire ennemi.
Grâce à un aide juridique avocat nommé Raoul Zaltzberg, qui a effectivement donné une merde sur mon cas et des entretiens approfondis avec ADA Tiana Walton et juge Farber en Cour suprême de Manhattan, il a été convenu que je n’étais pas une menace pour la société. Qu’oui, j’avais foutu royalement, mais mérite d’être remise en état au lieu d’upstate de 10 à 30 ans dans une prison de haute sécurité.
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On m’a donné un accord de plaidoyer qui a réclamé 18 mois de traitement aux patients hospitalisés et ambulatoires, suivis de cinq ans de probation. Étant donné que j’ai étais inculpé sous deux chefs de premier degré vol à Manhattan, c’est aussi bon qu’il obtient. Une fois que j’ai terminé les 18 mois de traitement, les deux chefs d’accusation tomberaient néanmoins à vol de troisième degré, un crime non violente qui transporte beaucoup moins de temps et des répercussions si arrêté une nouvelle fois mais un crime.
RépondreSupprimerHier, Raoul, qui est maintenant un avocat privé avec son propre cabinet (j’étais un de ses premiers clients et restent fidèles à lui), Tiana et je suis entré dans la Cour de juge Farber et finalisé tout. J’ai a complété les 18 mois de traitement malgré un hoquet ou deux et commencerions probation. Cinq longues années de surveillés par l’État. Il est assez impressionnante si vous pensez à ce sujet : obtenir même arrêté pour un excès de vitesse comtes de billets « Contact de Police » et pouvez-vous obtenir risque de coincer avec votre bon de commande.
Mais j’ai combattu un chemin long et difficile et ont tout perdu dans ma vie et puis certains. C’est OK pourtant. J’ai appris à devenir une meilleure personne et dans quelques mois, je serai tournant âgé de 30 ans. Alors que l’obtention d’un emploi décent a été presque impossible, comme a des logements abordables, je suis assez chanceux d’avoir trouvé une femme qui m’aime pour qui je suis et ne me jugez pas malgré mes dernières erreurs et toxicomanie. Elle est magnifique et rien de moins étonnant. J’ai des vêtements sur mon dos, rémunéré emploi et même une voiture pour se déplacer dans le sud du New Jersey et Philadelphie avec grâce à mon père, qui l’a acheté pour moi sachant que cela permettrait d’améliorer mes chances de réussir et de reconstruction de ma vie. Il m’a fallu beaucoup de temps pour obtenir plus de perdre une femme que je devais pour épouser et mes nombreux objets matériels coûteux. J’ai été jeune, avec succès, un auteur publié, travaillant dans la finance et de vivre le rêve dans la ville de New York. Je ne suis plus cette personne, mais les choses arrivent pour une raison et je suis très bien avec l’ensemble de ce changement. C’est pour le mieux.
2016 est clairement une année pour jalons. Même, je ne peux pas décrire comment il est bon de fermer enfin les livres sur ce dernier chapitre de mes 20 ans et de passer à mes 30 ans sachant que j’ai n’est plus à vérifier avec la juge Farber chaque 45-50 jours et dépenser des tonnes d’argent sur les programmes et les classes qui sont conçus pour être des machines à profit Medicaid. Comme je disais, cinq ans de probation est un temps long, mais il n’y a rien, je ne peux pas gérer. J’ai les outils, j’ai le système de support en place et surtout, je suis heureux.
Je ne pensais pas je ne serait jamais heureux à nouveau et ne méritait pas d’être heureux. J’ai eu tort. Voici à explorer le prochain chapitre de ma vie et de rester hors de l’ennui.
En d’autres termes, Vincent est ce qui, selon certains Bloomberg "journalistes", classerait comme une source crédible.
Sarcasme sur « concurrents » côté, choses devaient tout vraiment spin incontrôlable pour le Veneziani maintenant 29 an, qui, comme il s’est avéré que jamais appris à devenir une "meilleure personne". Au lieu de cela il devenir un criminel grisonnant.
Le premier indice de cela a été révélé un peu plus d’un mois après que Veneziani a écrit le post ci-dessus, le 23 avril lorsque le service de Police de canton Evesham émis la demande suivante de l’aide publique pour traquer un criminel recherché.
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Canton de Evesham Banque volé, Help du Public Needed
RépondreSupprimerLe service de Police de Evesham demande l’aide du public pour identifier un homme qui a volé la Banque TD, 336 w. RT. 70 sur 23 avril 2016, à environ 13:19 samedi après-midi. L’homme de race blanche est entré à la Banque, s’est approché d’un caissier et lui a remis une note demandant de l’argent. Puis, le mâle s’enfuit la Banque à pied vers un parking à proximité de Wawa.
Si quelqu'un connaît l’identité de ce suspect vous devrez contacter le service de Police d’Evesham à 856-983-1116, la ligne info-confidentiel à 856-983-4699 ou par courriel à Facebook@Eveshampd.org. Texte anonyme conseils ETPDTIP à 847411
L’identité de l’auteur a été révélée quelques jours plus tard, quand le voleur de banque a été rapidement capturé. C’est ce que Post-Courier a écrit:
Le même homme est à l’origine d’au moins trois vols de banque dans le comté de Camden ce mois-ci, procureurs disent.
Vincent Venezian [i], 29 ans, a été arrêté lundi par la Police de Cherry Hill dans le cadre d’un vol plus tôt ce jour-là à la Wells Fargo Bank sur Evesham Road. Police dit qu’il est entré à la Banque à environ 15:13 et transmis une note au caissier exigeant argent ; il s’est enfui avec une somme non divulguée mais [arrêté] peu de temps après.
Le parquet Camden County dit l’homme de Cherry Hill est également responsable de deux autres vols à main armée ce mois-ci : l’un à la succursale de la Banque de Fulton à Voorhees le 4 avril et l’autre à la Banque TD à Marlton le 23 avril.
Venezian [i] face à des accusations de vol qualifié et de drogue et est dans la prison du comté de Camden, en liberté sous caution de $ 60 000.
Et se termine donc, cette fois pour de bon, pourtant anoter tentative semi repenti d’un ancien toxicomane mur Streeter pour obtenir sa vie et sa carrière, dans l’ordre. Et défaillant.
À ce stade, si nous étions Bloomberg, nous avons immédiatement utiliserait cet héroïnomane psychologiquement instable comme source de clickbaiting « information » sur un de ses deux employeurs antérieurs, si Business Insider ou Hedgeye. Mais puisque nous nous rendons compte à quel point troublé cela totalement perdu jeune homme est, et étant donné que nous ne sommes pas Bloomberg, nous n’allons pas.
En ce qui concerne Veneziani, nous espérons qu’un jour il va remettre sa vie en ordre et peut vraiment récupérer.
http://www.zerohedge.com/news/2016-05-19/former-hedgeye-and-business-insider-employee-arrested-robbing-three-banks
Lorsque dans 'de grandes écoles' l'on apprend à combattre la fraude où l'on peut devenir très très riche en quelques secondes sur un clavier d'ordinateur, il est bien évident que ce type de leçons laisse des traces. Et, c'est traces sont plus que visibles dans l'attention que portent certains ministres ou chefs d'Etat à ruiner VOLONTAIREMENT leur pays pour le compte d'un autre sans JAMAIS être puni par la soi-disante opposition lorsqu'elle arrive au pouvoir !!
SupprimerC'est là que l'on s'aperçoit du terme 'blanc bonnet et bonnet blanc' et tous dans le même sac !
10 plus chers pays pour les soins de santé dans le monde
RépondreSupprimerSoumis par Pivotfarm le 19/05/2016 19:18 -0400
Qu’ont en commun avec l’autre financement votre retraite mais aussi de trouver des soins de santé abordables et la possibilité de perdre votre emploi tous ? Facile, au moins pour un américain, ces jours-ci. Ce sont les soucis de trois albums que nous nous réveillons à ce pays et que 60 % des gens croient sont très bien plus que des cauchemars qui a mal tournés. Ils pourraient devenir réalité et il semblerait que les femmes sont plus concernées en particulier. Il a les soins de santé qui se trouve sur toutes les lèvres et il a été comme ça pendant ans. Américains sont devenus carrément précaires depuis la crise économique et malgré des progrès dans les chiffres de l’emploi ou dans le produit intérieur brut du pays, c’est toujours un sujet d’inquiétude majeur que les gens perçoivent tous les jours. Comment payer pour vos soins de santé dans un pays où il est le plus cher du monde ? Même si vous êtes sur une figure de pays à revenu intermédiaire et avez une assurance, vous êtes toujours susceptible d’être assis à leur demandais et parcourant plus comment faire face à des factures de santé si ils sont déjà arrivés dans votre boîte aux lettres, ou pire encore inquiétants sur l’inconnu et comment vous allez gérer les si (ou plutôt quand) ils validées dans vous.
Le pays reste à peu près divisé parmi ceux qui sont pro -Affordable Care Act et ceux qui pensent que le Président Obama eu tout faux en passant que la loi en essayant de fournir des soins de santé abordables dans le pays qui dépensent plus d’argent que n’importe quel autre dans le monde dans ce secteur d’activité. Il n’y a plus et plusieurs républicains qui expriment leurs opinions pour obtenir cette loi abandonné dès que Obama ferme la porte peu de blanche dans le bureau ovale grand et le fait un coureur quelque part au large au soleil, sans doute. Il n’est pas surprenant que les gens sont vraiment inquiets aux USA comment ils peuvent payer pour leurs soins de santé et celle de leur famille.
La preuve est dans les chiffres
Une enquête réalisée par l' Institut pour l’étude des politiques communautaires (George Washington University) montre que "la majorité des américains ont un sentiment généralisé d’insécurité économique" aujourd'hui.
· 62 % des femmes s’inquiètent aux USA sur leurs frais de soins de santé.
· 47 % des hommes s’inquiètent également comment ils vont payer pour les coûts de soins de santé pour eux-mêmes ou pour leurs familles.
· Il est évident que soins de santé est une préoccupation majeure pour les américains ces jours-ci.
· Aujourd'hui, dépenses de santé s’élève à 17,5 % du PIB aux États-Unis.
· Entre 2014 et 2015, frais de santé a augmenté à un taux beaucoup plu qu’au cours des douze dernières années selon les statistiques officielles.
· Le taux moyen de croissance des dépenses de soins de santé aux Etats-Unis s’élevait à environ 3,7 % par an entre 2008 et 2013.
· 2013 a même été une année historique avec la croissance des dépenses qui se tenait à un maigre (par comparaison) le chiffre de seulement 2,9 %.
· Mais en 2014, ce chiffre est passé à 5,3 % par an.
· Alors que le nombre de personnes atteintes de la santé publique d’assurance a augmenté de 12,9 % en 2000 à un peu moins de 24 % en 2013, il y avait une baisse radicale de 71,8 % à 61 % pour l’assurance-maladie privée dans le pays.
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· La récession peut être attribuée en grande partie pour ces chiffres relies à l’assurance de santé public et privé, avec la perte en matière d’emploi conduisant à une assurance maladie privée étant confisqués et d’inscription pour certains dans des régimes d’assurance-santé publique.
RépondreSupprimer· Mais, quelle est la cause de l’augmentation depuis 2014 dans la croissance de la dépense moyenne pour les soins de santé dans ce pays ? C’est en raison de la Loi sur les soins de santé abordable et de nouveaux médicaments très coûteux qui ont été lancées sur le marché.
· Hôpitaux représente 32 % de toutes les dépenses en soins de santé aujourd'hui aux USA.
· Ce chiffre a augmenté de 0,6 % par rapport à 2013 et 2014.
· Médecins représentent 20 % des dépenses en soins de santé dans le pays.
· Les frais de médecins ont augmenté de 2,1 % entre 2013 et 2014.
Mais, le USA n’est seul au coût de son système de soins de santé dans le monde et quels sont les autres endroits où vous auriez à débourser et creuser profondément, jusqu'à ce que tu as assez d’argent pour trouver le traitement ?
N’est-il pas un triste état des affaires que vous devez penser à combien vous avez dans la Banque avant que vous pouvez réellement obtenir de traitement ? Ou est-ce la vieille idée malthusienne qu’il faut se débarrasser des pauvres, car ils seront simplement ronger les ressources des riches ? N’oubliez pas cependant qu’il y a toujours quelqu'un qui est plus riche que vous êtes. Cela signifie que vous serez toujours le pauvre de quelqu'un d’autre, ne sera pas vous ?
Mais, où il vous en coûterait une bombe pour faire soigner ces jours-ci ? Voici la liste. Obtenir traitées dans n’importe quel hôpital par n’importe quel docteur dans aucun de ces pays certainement nous coûterait moins qu’au USA. Avoir une réflexion à ce sujet.
Ce qui est inclus dans les coûts de soins de santé ? Quoi que ce soit de procédures médicales pour les produits pharmaceutiques et ordonnances ainsi que l’administration et le personnel.
Dix pays plus chers pour les soins de santé dans le monde
1. Les États-Unis
Par habitant, dépenses de santé dans ce pays s’élève à $ 8 713. Espérance de vie s’élève à 78,8 ans (le pays de seulement dix qui n’atteint même pas 80 ans d’espérance de vie) et le taux d’obésité est de 35,3 %. Les USA ont plus d’argent que la plupart des pays dans ce monde et il dépense plus d’argent que n’importe quel autre en soins de santé. Pourtant, il y a encore des gens qui n’ont pas la couverture, et il n’y a aucun meilleur rendement sur investissement ici que partout ailleurs. En fait, c’est pire. Les USA ont à peu près 2,5 médecins pour 1 000 habitants, qui est l’un des plus faibles et pire dans la liste de dix. Non seulement ça nous coûte davantage pour voir le médecin, mais nous devons attendre davantage pour en obtenir un qui est disponible.
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2. Suisse
RépondreSupprimerLa Suisse a une dépense par habitant de $ 6 325 et qui se chiffre à 11,1 % du PIB de ce pays. Le taux d’obésité est seulement 10,3 % et l’espérance de vie est de 82,9 ans. 81 % des suisses croient qu’ils sont en meilleure santé avec leurs soins de santé universels. Au moins, les résultats sont meilleurs. Les Suisses vivent plus longtemps. Le pays a même plus d’infirmières que tout autre pays dans le monde (17 pour 1 000 personnes de la population) et ils ont 4 médecins pour 1 000 habitants.
3. Norvège
La Norvège a des dépenses de santé qui s’élève à $ 5 862 (par habitant) et qui représente 8,9 % de son PIB. Espérance de vie s’élève à 81,8 ans annonce l’obésité est 10 % de la population totale. Comme dans beaucoup de pays dans le monde occidental, les soins de santé universels est l’ordre du jour ici. Il y a aussi le même nombre d’infirmières (17) et les médecins (4) pour 1 000 habitants en ce qui concerne la Suisse dans ce pays.
4. Pays-Bas
Dépenses de santé s’élève à $ 5 131 par habitant, et c’est 11,1 % du PIB. Espérance de vie s’élève à 81,4 ans et l’obésité est un peu plus de 11 %. Seulement 1 % des résidents sont dépourvus d’assurance santé dans ce pays. Tous les niveaux dans tous les pays de l’OCDE, plus de 65 ans croient qu’ils sont en bonne santé à un taux de 43,4 %. Mais, aux Pays-Bas, ce chiffre est beaucoup plus élevé à 60 %.
5. Suède
Ici les dépenses de santé s’élève à $ 4 904 par personne dans le pays (11 % du PIB). Espérance de vie est à l’âge de 82 ans, et l’obésité s’élève à 11,7 % de la population. Suédois également aller chez le médecin beaucoup moins que tout autre pays dans le monde (2,9 fois par an) et c’est parce qu’ils affirment qu’ils sont en excellente santé à un taux de 81 % pour tous les résidents.
6. Allemagne
Ici les dépenses de santé par habitant s’élève à $ 4 819 et équivaut à 11 % du PIB (et c’est avec 25 % de sa population est de plus de 65 ans). Presque tout le pays a une couverture santée médicale signifie soit en public ou privé (par comparaison aux USA seulement 89 % du territoire est couvert).
7. Danemark
Espérance de vie ici est de 80,4 ans au Canada, et ils dépensent $ 4 553 par personne dans le pays (10,4 % du PIB). Vieillissement de sa population croissante sera probablement voir ce pourcentage des dépenses de santé augmenter dans les années à venir (ceux âgés de plus de 65 ans seront élèvera à près d’un quart de la population au cours des trente prochaines années).
8. Autriche
Presque tout le pays a assurance ici avec $ 4 553 dépensés par personne (10,1 % du PIB). Il y a une espérance de vie de 81,2 ans ici.
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9. Luxembourg
RépondreSupprimerIci l’espérance de vie s’élève à 81,9 %, mais l’obésité est de 22,7 %. Des dépenses en soins de santé par habitant s’élève à $ 4 371 (762 $ provenant du secteur privé, par habitant).
10. Canada
Le Canada a un taux d’espérance de vie de 81,5 ans. Elle dépense $ 4 351 par habitant sur les soins de santé et cela équivaut à 10,2 % du PIB. Le pourcentage moyen des dépenses en pourcentage du PIB de l’OCDE se situe à 8,9 %.
Le plus vous dépensez devraient être synonyme de meilleurs rendements sur l’investissement pour les personnes aux Etats-Unis. Cela signifie que les américains soient le peuple plus fort sur cette planète. Ils ne sont certainement pas ! Ce qui s’est passé et où tout vous tromper ?
Les gens vivent plus longtemps et cela signifie nécessairement que nous devons penser à des soins de santé de l’avenir. Quelle direction voulons-nous prendre et peut-on encore vivant dans le pays avec le système de santé plus chère au monde? Y nous toujours prêt à travailler toute notre vie et n’ont pas assez d’argent pour obtenir régulièrement un examen médical ou de payer pour les opérations ? En se concentrant sur la peur vient nous tenir dans le passé plutôt que de progresser vers quelque chose de mieux et de nouvelles. L’écrivain néerlandais Corrie ten Boom a dit un jour «inquiétante est charge de demain avec la force d’aujourd'hui-charge deux jours à la fois. C’est émouvant dans demain à l’avance. Inquiétant n’est pas vider demain de son chagrin, elle se jette aujourd'hui de sa force. » Il est inutile, transportant des soucis d’hier autour de nous aujourd'hui, mais qui ne peut se faire tant que le coût des soins de santé se résume dans ce pays. Après tout, qui on fait riche ? Certainement pas les personnes qui travaillent dans ce secteur et certainement pas le peuple qui l’utiliser pour être soigné et traité.
Pourtant, il y a beaucoup des moyens novateurs de réduire les coûts de santé et nous permettant ainsi de se débarrasser de cette inquiétude et la peur des soins de santé dont nous disposons.
Que feriez-vous pour améliorer les soins de santé ?
http://www.zerohedge.com/news/2016-05-19/10-most-expensive-countries-healthcare-world
Dilma Rousseff : «Ma destitution est un coup d’Etat» (EXCLUSIF)
RépondreSupprimer19 mai 2016
Brasilia, le 19 mai – Dilma Rousseff, évincée du pouvoir par le Parlement brésilien il y a une semaine, a déclaré lors d’une interview exclusive à RT que sa destitution était un coup d’Etat puisqu’elle n’a pas enfreint la Constitution de son pays.
RT : Vous êtes désormais au palais Alvorada, et d’une certaine façon bannie dans votre propre pays. Comment vous sentez-vous moralement ?
Dilma Rousseff (D.R.) : Je suis assez positive. Je continue de me battre non pas juste pour conserver mon poste de présidente, mais surtout pour la démocratie dans mon pays. Honnêtement, je n’ai pas l’intention de rester cloîtrée dans ma résidence officielle – le palais Alvorada. Je veux me rendre dans beaucoup de villes au Brésil, discuter avec le peuple, rencontrer beaucoup de gens. Cela va me permettre de dire aux Brésiliens, et peut-être même au monde entier, ce qu’il se passe réellement dans ce pays, et que nous allons nous battre contre ce que nous considérons être une tentative de coup d’Etat.
RT : Cela n’est-il pas, dans le fond, un coup d’Etat fantôme, «froid», puisque sans armes ? Selon vous, dans quelle mesure cet acte vous cible personnellement, et dans quelle mesure cible-t-il non seulement le pays, mais aussi ses alliés, notamment les BRICS ?
Il s’agit là d’un coup d’Etat puisque la Constitution n’a pas été enfreinte
D.R.: D’après moi, c’est le processus de destitution, de ma mise à l’écart. La destitution est prévue par la constitution de notre pays uniquement si le Président enfreint la Constitution et ne respecte pas les droits de l’Homme. D’après moi et mes soutiens, il s’agit là d’un coup d’Etat puisque la Constitution n’a pas été enfreinte. Ils me poursuivent en justice pour mes actions, pour des «crédits» supplémentaires accordés au budget, mais tous les présidents avant moi l’ont fait. Ça n’a jamais été un crime et ça n’en devient pas un maintenant. Il n’y a rien qui permette de dire que c’est un crime. Pour parler de crime, il faut que ce terme soit défini par la loi. C’est pourquoi mes soutiens et moi-même considérons que cette destitution est un coup d’Etat dans la mesure où la Constitution précise très clairement les conditions pour destituer le Président : un abus de pouvoir, une violation à la constitution ou aux droits de l’Homme. Les actions prises en compte dans ce procès n’ont strictement rien à voir avec de tels crimes. En outre, le Brésil est une république présidentielle. […] C’est pourquoi le Président ne peut être destitué pour des motivations politiques, en raison du fait que l’on ne fait pas confiance au Président de la République […].
Le gouvernement par intérim actuel ne partage ni notre vision des BRICS ni l’importance que nous accordons à l’Amérique latine
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Une initiative a été lancée pour changer de programme politique – qui comprend notamment la sphère sociale et le développement économique – afin de faire face à la crise que le Brésil a connu ces dernières années et adopter un nouveau programme, à l’évidence néo-libéral. Ce programme prévoit, entre autres, la réduction de nos programmes sociaux à leur minimum, selon la doctrine d’«intervention minimale de l’Etat». Une doctrine qui va à l’encontre de toutes les lois brésiliennes sur les services publics, notamment la santé, le droit au logement, l’accès gratuit à une éducation de qualité, le salaire minimum, tout ce qui est garanti aux plus démunis au Brésil. Ils veulent en finir avec ces droits et en même temps ils mènent une politique antinationale – notamment en ce qui concerne les ressources en pétrole du pays. D’importantes réserves de pétrole ont été découvertes au Brésil à 7 000 mètres de profondeur sous des couches antésalifères. Les ministres disaient que l’accès à ces réserves était impossible. Mais aujourd’hui on extrait des millions de barils de pétrole par jour de réserves se trouvant sous des couches antésalifères. Ils ont évidemment dit ça dans le but de changer la législation pour garantir l’accès à ces puits de pétrole à diverses compagnies pétrolières internationales. De plus, en ce qui concerne la politique étrangère, nous – l’ancien président Lula da Silva et moi-même – avons œuvré pour le renforcement des relations avec les autres pays d’Amérique latine, d’Afrique, les BRICS, mais également avec d’autres pays en développement – en plus bien sûr des relations avec les Etats-Unis et l’Europe. Je pense que le groupe des BRICS est l’une des alliances multilatérales les plus importantes du monde de ces 10 dernières années. Mais le gouvernement par intérim actuel ne partage ni notre vision des BRICS ni l’importance que nous accordons à l’Amérique latine. Ils parlent même de fermer nos ambassades dans les pays d’Afrique.
RépondreSupprimerRT : Le nouveau gouvernement du président par intérim, que seuls 2% des Brésiliens soutiennent et qui pourrait être destitué lui-même au vu de certaines informations, est constitué exclusivement d’hommes de race blanche, dans un pays multiculturel, avec des ministres qui font l’objet d’enquêtes pour corruption… Jusqu’à quel point ce gouvernement est-il légal ?
Je ne l’ai pas nommé vice-président ou chef provisoire du gouvernement pour qu’il forme un nouveau gouvernement composé uniquement d’hommes blancs, sans aucune femme ni de personne d’origine africaine
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D.R. : Il n’y a aucune légitimité tout d’abord à cause du péché originel qui est le processus de chantage. Le représentant de la Chambre des députés [Eduardo Kuhnia, désormais destitué de ses fonctions], qui a initié ce processus, est accusé de posséder des comptes à l’étranger, de corruption, de blanchiment d’argent. Evidemment, ce processus répand la peste sur la démocratie brésilienne et détruit tout le dispositif gouvernemental que nous avions. Je ne l’ai pas nommé vice-président ou chef provisoire du gouvernement pour qu’il forme un nouveau gouvernement composé uniquement d’hommes blancs, sans aucune femme ni de personne d’origine africaine. […] Une autre caractéristique de ce gouvernement est qu’il adopte une mesure mais la changer le lendemain : étant donné que ce n’est pas un gouvernement qui a été élu par le peuple, il n’a pas de programme législatif. Il n’a pas présenté son programme lors des élections, n’a pas participé aux débats. Ce programme n’a pas été approuvé par la population. C’est pourquoi le gouvernement raconte n’importe quoi.
RépondreSupprimerIl dit par exemple qu’il faut détruire toute une partie du système unique de santé publique brésilien. Ce système garantit, selon la constitution de 1988, la gratuité et l’universalité des soins à la population. Le gouvernement provisoire veut réduire l’importance de ce système, en transmettant une partie des services apportés à la population au secteur privé. Le gouvernement crée de tels conflits pour observer la réaction de la société et 24h plus tard change de position. Mais il pourra difficilement cacher que leur tendance, et en général leur but, consiste à adopter un programme aussi néo-libéral que possible face à la situation actuelle au Brésil.
Je suis convaincue qu’une énorme partie de la population brésilienne me soutient
RT : Y a-t-il une chance que vous retrouviez votre poste de présidente du Brésil ?
D.R. : Je vais vous dire la chose suivante : je vais me battre chaque jour, chaque minute, chaque moment de ma vie pour que cela arrive. Et je suis convaincue qu’une énorme partie de la population brésilienne me soutient.
https://francais.rt.com/opinions/20918-dilma-rousseff-destitution
Qui est responsable pour les mensonges du gouvernement ?
RépondreSupprimerPar Andrew P. Napolitano
19 mai 2016
Voici un petit quiz pop. Qu'est-ce qui se passe si nous mentons au gouvernement ? Qu'est-ce qui se passe si le gouvernement nous ment ? Est-ce important qui fait le mensonge?
L'année dernière, l'administration Obama a négocié un accord avec le gouvernement de l'Iran permettant l'Iran d'obtenir certains matériaux pour la construction des installations nucléaires. Elle a également permis la libération de dizaines de milliards de dollars d'actifs iraniens qui avaient été détenus dans des banques américaines et que les tribunaux avaient gelé, et il a levé les sanctions commerciales. En échange, certaines inspections des installations nucléaires iraniennes peuvent se produire dans certaines circonstances.
Au cours des négociations, beaucoup de critiques ont fait de nombreuses allégations quant à savoir si l'administration Obama a dit la vérité au Congrès et au peuple américain.
Y avait-il un secret accord parallèle ? L'administration a dit non. Si nous négocions vraiment avec les modérés dans le gouvernement iranien, par opposition aux durs représentés dans les médias américains ? L'administration a dit oui. U.N. ou inspecteurs américains peuvent examiner les installations nucléaires iraniennes sans préavis et à tout moment? L'administration a dit oui.
Il semble que cet accord est un accord exécutif entre le président Barack Obama et quelle que soit la faction qu'il croit exécute le gouvernement de l'Iran. Cela signifie qu'il expirera si pas renouvelé à midi le 20 janvier 2017, lorsque se termine le mandat du président.
Il est pas un traité parce qu'il n'a pas été ratifié par un vote des deux tiers du Sénat, que la Constitution exige que les traités. Pourtant, l'administration Obama a conclu une entente avec les dirigeants du Congrès républicain, inconnu à la Constitution et sans précédent dans l'ère moderne. Cet accord à condition que l'accord serait valable que si les deux tiers des votants dans les deux chambres du Congrès se sont opposés. Ils ne l'ont pas.
Puis, la semaine dernière, le vice-sécurité nationale conseiller du président pour les communications stratégiques, Ben Rhodes, qui a géré les négociations avec l'Iran, a déclaré au New York Times qu'il avait menti quand il a parlé au Congrès et la presse sur les questions mêmes critiques se plaignaient à propos. Il a défendu ses mensonges que nécessaire pour ternes craintes irrationnelles du Congrès du gouvernement iranien.
Je ne suis pas aborder le fond de l'affaire, mais je pense que plus l'Iran est nouveau acceptée dans la culture des nations civilisées la plus grande liberté économique se produira pour les Iraniens. Et là où il y a la liberté économique, les libertés individuelles ne peuvent pas être loin derrière.
J'adresse la question du mensonge. L'interview de Rhodes a déclenché une tempête de critiques et «Je vous l'a dit" critiques à Capitol Hill, et la surveillance de la maison et de la réforme du gouvernement l'ont appelé à expliquer son comportement. Il voulait savoir s'il a dit la vérité au Congrès et au public pendant les négociations ou il a dit la vérité à The New York Times la semaine dernière.
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Il redoute apparemment répondre à cette question, alors il a refusé de comparaître et de témoigner. On se demande comment ce grave comité du Congrès est parce qu'il a simplement demandé la comparution de Rhodes; il ne l'a pas subpoena. Une citation à comparaître du Congrès a force de loi et exige soit la conformité ou l'interférence par un tribunal fédéral. a déclaré la raison de Rhodes pour ne pas témoigner est une revendication de privilège.
RépondreSupprimerQu'est-ce qu'un privilège ? Il est la capacité en vertu de la loi de cacher la vérité afin de préserver les communications ouvertes. Il est un jugement par les législateurs et les juges que dans certaines circonstances étroitement définies, la liberté de communication est un bien plus grand que d'exposer la vérité.
D'où l'avocat / client et prêtre / pénitent et le médecin / privilèges des patients ont été écrits dans la loi afin que les gens peuvent librement dire à leurs avocats, prêtres et médecins ce dont ils ont besoin pour leur dire sans crainte qu'ils répéter ce qu'ils ont entendu.
Le privilège exécutif est la capacité du président et ses collaborateurs de refuser à quiconque des témoignages et des documents qui reflètent militaire, secrets de sécurité nationale diplomatiques ou sensibles. Ceci est le privilège que Rhodes a réclamé.
Pourtant, le défaut dans la demande de Rhodes de privilège est qu'il a renoncé en parlant au sujet des négociations iraniennes à The New York Times. Renonciation - la connaissance et intentionnelle donnant d'un privilège ou un droit - vainc la demande de privilège.
Ainsi, en parlant au Times, Rhodes a admis que le sujet de sa conversation - les négociations iraniennes - ne sont pas privilégiés. On ne peut pas affirmer de manière sélective privilège de l'exécutif. Les articles sont soit privilégiée ou non, et un privilège, une fois levé volontairement, ne peuvent par la suite avec succès faire valoir.
La surveillance de la maison et de la réforme du gouvernement devraient assigner Rhodes, ainsi que le journaliste du Times à qui il a parlé, pour déterminer où se trouve la vérité.
Il est un crime de mentir au gouvernement lors de la communication à elle d'une manière officielle. Il suffit de demander Martha Stewart. On ne peut pas mentir légalement sous serment ou lors de la signature d'un document on est l'envoi au gouvernement ou au moment de répondre aux questions des agents du gouvernement. Il suffit de demander Roger Clemens. Autrement dit, si Rhodes dit au FBI, soit ce qu'il a dit au Congrès ou ce qu'il a déclaré au New York Times - quelle version était fausse - il serait exposé à l'acte d'accusation.
Ben Rhodes est l'un des plus proches conseillers du président. Ils travaillent souvent ensemble sur une base plusieurs fois par jour. Pourrait-il avoir menti au sujet de cette affaire iranienne, sans savoir ce président il?
Quelqu'un se soucie plus longtemps que le gouvernement est au peuple américain en toute impunité et poursuit les gens quand il pense qu'ils ont menti à elle? Est-ce que le gouvernement travaille pour nous, ou devons-nous travailler pour le gouvernement ?
Reproduit avec la permission de l'auteur.
https://www.lewrockwell.com/2016/05/andrew-p-napolitano/government-nest-liars/
L’Otan et la Russie pourraient entrer en guerre nucléaire “dans l’année”
RépondreSupprimerReeva Verlinden
19 mai 2016
Il existerait des risques d’une guerre nucléaire avec la Russie “dans l’année”, si l’Otan n’augmente pas immédiatement ses capacités de défense dans les pays baltes, affirme le Général Richard Shirreff, ex-Commandeur suprême européen de l’Otan entre 2011 et 2014. L’Estonie, la Lituanie et la Lettonie (toutes membres de l’Otan) seraient menacées et l’Occident devrait agir au plus vite pour éviter une ” catastrophe potentielle”, ajoute-t-il.
Richard Shirreff, auteur du livre de fiction “2017 War with Russia”, a déclaré à la BBC que les faits décrits dans son livre étaient “entièrement plausibles”. Dans celui-ci, il prédit que la Russie pourrait miser sur l’affaiblissement de l’OTAN pour envahir l’Ukraine, puis les 3 pays baltes. Elle pourrait ensuite décider de conquérir le reste de l’Europe. L’objectif ultime du président Poutine serait alors atteint. “Nous devons juger le Président Poutine en fonction de ses actes, et non de ses paroles”. “Il a envahi la Géorgie, il a envahi la Crimée, il a envahi l’Ukraine. Il a utilisé la force et il s’en est sorti.”
Les Pays baltes
Selon l’article 5 du traité fondateur, les membres de l’Otan seraient obligés de défendre les états baltes en cas d’attaque.
Une “perception” de faiblesse de l’Otan pourrait persuader Poutine d’attaquer, sous prétexte de “défendre” les importantes minorités russes de ces pays, prétend Shirreff. L’Otan, qui a déjà augmenté les défenses des trois pays baltes, “devrait monter la barre suffisamment haut pour qu’aucun adversaire ne pense que le risque en vaille la peine”, dit-il.
Dans sa préface, il critique les coupes budgétaires de la défense anglaise, un pays autrefois connu pour “marcher doucement et porter un grand bâton”. Un bâton qui serait aujourd’hui “de plus en plus petit et impuissant”.
An urgent warning from senior military command. General Sir Richard Shirreff’s 2017: War with Russia. pic.twitter.com/BOFe7mkpWH
— Hodder & Stoughton (@HodderBooks) 18 mai 2016
https://fr.express.live/2016/05/19/risques-guerre-nucleaire-otan-russie/
SupprimerQuand l'ordurologie est en marche... ou comment les Etats-Unis rêvent de détruire l'Europe.
11-Septembre : Inside Job ou Mossad Job ?
RépondreSupprimermercredi 18 mai 2016
Voici un remarquable article de Laurent Guyénot qu'il convient de mettre en avant alors qu'on nous tanne depuis des semaines avec les 28 pages du rapport sur le 11 septembre qui incrimineraient l'Arabie Saoudite. Ces informations, elles, ne feront jamais les gros titres pourtant, comme vous pourrez le constater, les preuves de l'implication israélienne abondent. Cet article, particulièrement bien documenté, en surprendra sûrement plus d'un. Prenez le temps de le découvrir (prévoir au moins 20 minutes de lecture).
En complément, voir également cet article qui apporte quelques informations complémentaires sur l'implication du Mossad dans les attaques du 11 septembre et celui-ci ou un ancien agent du MI5 évoque d'autres attentats sous fausse bannière attribués au Mossad. Pour ma part, ces informations ne remettent pas en cause la responsabilité des agences de renseignement et du gouvernement US qui a tout à fait pour que les attaques puissent avoir lieu, en particulier en saturant les défenses aériennes du pays avec des simulations d'attaques telles que Global Guardian, Northern Vigilance, Amalgam Warrior et en particulier l'exercice Vigilant Guardian impliquant des détournements d'avion précisément le jour des attaques. Fawkes
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Tandis que le rôle d’Israël dans la déstabilisation du monde post-11-Septembre devient de plus en plus évident, l’idée qu’une factions de likoudniks, aidés par leurs alliés infiltrés dans l’appareil d’Etat US, sont responsables de l’opération sous fausse bannière du 11-Septembre devient plus difficile à refouler, et quelques personnalités ont le courage de l’énoncer publiquement. Francesco Cossiga, président d’Italie entre 1985 et 1992, déclara le 30 novembre 2007 au quotidien Corriere della Sera : « On nous fait croire que Ben Laden aurait avoué l’attaque du 11 septembre 2001 sur les deux tours à New York — alors qu’en fait les services secrets américains et européens savent parfaitement que cette attaque désastreuse fut planifiée et exécutée par la CIA et le Mossad, dans le but d’accuser les pays arabes de terrorisme et de pouvoir ainsi attaquer l’Irak et l’Afghanistan [1]. » Alan Sabrosky, ancien professeur du U.S. Army War College et à la U.S. Military Academy, n’hésite pas à clamer sa conviction que le 11-Septembre est « une opération classiquement orchestrée par le Mossad » réalisée avec des complicités au sein du gouvernement états-unien, et sa voix est relayée avec force par quelques sites de vétérans de l’armée U.S., dégoutés par les guerres ignobles qu’on leur a fait faire au nom du mensonge du 11-Septembre ou de celui des armes de destruction massives de Saddam Hussein [2].
Les arguments en faveur de l’hypothèse du Mossad ne tiennent pas seulement à la réputation du service secret le plus puissant du monde, qu’un rapport de la U.S. Army School for Advanced Military Studies (cité par le Washington Times la veille du 11-Septembre), décrit comme : « Sournois. impitoyabe et rusé. Capable de commettre une attaque sur les forces américaines et de les déguiser en un acte commis par les Palestiniens/Arabes [3]. » L’implication du Mossad, associé à d’autres unités d’élite israéliennes, est rendue évidente par un certain nombre de faits peu connus.
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Le livre électronique de Hicham Hamza, Israël et le 11-Septembre : le Grand Tabou (2013) réunit l’ensemble du dossier à charge d’Israël, avec une rigueur irréprochable et l’ensemble des sources aisément accessibles.
RépondreSupprimerLes israéliens dansants
Sait-on par exemple que les seules personnes arrêtées le jour même et en relation avec les attaques terroristes du 11-Septembre sont des Israéliens [4] ? L’information a été rapportée dès le lendemain par le journaliste Paulo Lima dans The Record,quotidien du comté de Bergen dans le New Jersey,d’après des sources policières. Immédiatement après le premier impact sur la tour Nord, trois individus furent aperçus par divers témoins sur le toit d’un van stationné à Liberty State Park dans Jersey City, « en train d’exulter » (celebrating), de « sauter de joie » (jumping up and down), et de se photographier avec les tours jumelles en arrière-plan. Ils déplacèrent ensuite leur van sur un autre parking de Jersey City, où d’autres témoins les virent se livrer aux mêmes réjouissances ostentatoires. La police émit aussitôt une alerte BOLO (be-on-the-look-out) : « Véhicule possiblement lié à l’attaque terroriste de New York. Van blanc Chevrolet 2000 avec une plaque du New Jersey et un signe ‘Urban Moving Systems’ à l’arrière, a été vu au Liberty State Park, Jersey City, NJ, au moment du premier impact d’avion de ligne dans le World Trade Center. Trois individus avec le van ont été vus se réjouissant après l’impact initial et l’explosion qui s’en suivit [5]. »
Le van fut intercepté par la police quelques heures plus tard, avec à son bord cinq jeunes Israéliens : Sivan et Paul Kurzberg, Yaron Shmuel, Oded Ellner et Omer Marmari. Contraint physiquement de sortir du véhicule et plaqué à terre, le conducteur, Sivan Kurzberg, lança cette phrase étrange : « On est Israéliens. On n’est pas votre problème. Vos problèmes sont nos problèmes. Les Palestiniens sont le problème [6]. » Les sources policières qui informèrent Paulo Lima étaient convaincues de l’implication de ces Israéliens dans les attentats de la matinée : « Il y avait des cartes de la ville dans le van avec certains points surlignés. On aurait dit qu’ils étaient au courant, […] qu’ils savaient ce qui allait se passer lorsqu’ils étaient à Liberty State Park [7]. » On trouva également sur eux des passeports de nationalités diverses, près de 6 000 dollars en espèces et des billets d’avion open pour l’étranger. Les frères Kurzberg furent formellement identifiés comme agents du Mossad. Les cinq Israéliens travaillaient officiellement pour une compagnie de déménagement nommée Urban Moving Systems,dont les employés étaient majoritairement israéliens. « J’étais en pleurs. Ces types blaguaient et ça me perturbait [8], » révéla auRecord un des rares employés non-israéliens. Le 14 septembre, après avoir reçu la visite de la police, le propriétaire de l’entreprise, Dominik Otto Suter, quittait le pays pour Tel-Aviv.
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L’information divulguée par le Record, confirmée par le rapport de police, a été reprise par des sites d’investigation comme le Wayne Madsen Report (14 septembre 2005) etCounterpunch (7 février 2007). Elle fut aussi rapportée dans quelques grands médias comme mais d’une façon qui minimisait sa portée : le New York Times (21 novembre 2001) omettait de préciser la nationalité des individus, tout comme Fox News et l’agence Associated Press. Le Washington Post (23 novembre 2001) disait bien qu’ils étaient Israéliens, mais passa sous silence leur apparente préconnaissance de l’événement. En revanche, The Forward (15 mars 2002), magazine de la communauté juive new-yorkaise, révéla, d’après une source anonyme du renseignement états-unien, qu’Urban Moving Systems était une antenne sous couverture du Mossad (ce qui ne l’empécha pas de bénéficier d’un prêt fédéral de 498 750 dollars, comme le révèlent les archives du fisc [9].
RépondreSupprimerLe FBI diligenta sur cette affaire une enquête consignée dans un rapport de 579 pages, partiellement déclassifié en 2005 (il le sera totalement en 2035). Le journaliste indépendant Hicham Hamza a analysé ce rapport en détail dans son livre : Israël et le le 11-Septembre : le Grand Tabou. Il en ressort plusieurs éléments accablants. Tout d’abord, les photos prises par ces jeunes Israéliens les montrent effectivement dans des attitudes de célébration devant la tour Nord en feu : « Ils souriaient, ils s’embrassaient et ils se tappaient mutuellement dans les mains. » Pour expliquer cette attitude, les intéressés dirent qu’ils s’étaient simplement réjoui « que les États-Unis auraient maintenant à prendre des mesures pour arrêter le terrorisme dans le monde » (alors que, à ce point, une majorité de gens pensait à un accident plutôt qu’à un acte terroriste). Plus grâve, un témoin au moins les a vus positionnés dès 8 heures, soit avant qu’un avion ne percute la première tour, tandis que d’autres certifient qu’ils prenaient déjà des photos cinq minutes après, ce que confirment leurs photos.
Un ancien employé confirma au FBI l’ambiance fanatiquement pro-israélienne et anti-américaine qui régnait dans l’entreprise, prêtant même à son directeur Dominik Otto Suter ces paroles : « Donnez-nous vingt ans et nous nous emparerons de vos médias et détruirons votre pays. » Les cinq Israéliens arrêtés étaient en contact avec une autre entreprise de déménagement dénommée Classic International Movers, dont quatre employés avaient été interrogés indépendamment pour leur liens avec les dix-neufs pirates de l’air présumés. L’un d’eux avait téléphoné à « un individu en Amérique du Sud possédant des liens authentiques avec les militants islamiques au moyen orient. » Enfin, « un chien renifleur donna un résultat positif pour la présence de traces d’explosifs dans le véhicule [10]. »
Comme le remarque Hamza, la conclusion du rapport laisse sonjeur : le FBI informe la police locale, qui détient les suspects, « que le FBI n’a plus aucun intérêt à enquêter sur les détenus et qu’il convient d’entamer les procédures d’immigration appropriées [11]. » Une lettre du Service fédéral de l’immigration et de la naturalisation prouve qu’en fait la direction du FBI avait recommandé la clôture de l’enquête dès le 24 septembre 2001. Les cinq Israéliens passèrent cependant 71 jours dans une prison de Brooklyn, au cours desquels ils refusèrent puis échouèrent plusieurs fois au détecteur de mensonge. Puis ils furent rapatriés sous la simple charge de visa violations.
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Omer Marmari, Oded Ellner et Yaron Shmuel, trois des cinq « Israéliens dansants », sont invités à témoigner dans une émission israélienne dès leur retour en novembre 2001. Niant être membres du Mossad, l’un d’eux déclara candidement : « Notre but était d’enregistrer l’événement. »
RépondreSupprimerOn doit, pour finir, évoquer un détail essentiel de cette affaire, qui apporte peut-être une explication supplémentaire au comportement exhubérant de ces jeunes Isréaliens : certains témoins précisent, dans leurs appels à la police, que les individus se réjouissant sur le toit de leur van semblaient « arabes » ou « Palestiniens ». En particulier, peu après l’effondrement des tours, un appel anonyme à la police de Jersey City, rapporté le jour même par NBC News, signale « un van blanc, avec deux ou trois types à l’intérieur, ils ressemblent à des Palestiniens et ils tournent autour d’un bâtiment » ; l’un d’eux « mélange des choses et il a cet uniforme ‘sheikh’. […] Il est habillé comme un arabe [12]. » Tout porte à croire que ces individus étaient précisément les cinq Israéliens arrêtés plus tard. Deux hypothèses viennent à l’esprit : ou bien nos faux déménageurs se sont effectivement livrés à une mise en scène pour apparaître comme arabes/Palestiniens, ou bien le ou les témoins les ayant décrits comme tels étaient des complices.
Dans un cas comme dans l’autre, il ressort que leur but était d’initier la rumeur médiatique qu’on avait repéré des musulmans qui non seulement se réjouissaient des attentats, mais en avaient préconnaissance. L’information fut effectivement diffusée sur certaines radios dès midi, et sur NBC News dans l’après-midi. Je penche personnellement pour la seconde hypothèse (les informateurs complices plutôt que de vrais déguisement arabes), car le rapport de police ne signale pas de vêtement exotique trouvé dans le van, mais surtout parce que l’informateur cité plus haut, qui insiste sur ce détail vestimentaire, semble avoir voulu induire en erreur la police sur la localisation exacte du van ; ce dernier ne fut intercepté que parce que la police, au lieu de se contenter de cette localisation, barra tous les ponts et souterrains entre New Jersey et New York. Mais l’important est ceci : Si les Israéliens n’avaient pas été interpelés en fin d’après-midi, l’histoire aurait probablement fait la une des journaux sous le titre : The Dancing Arabs. Au lieu de ça, elle fut totalement étouffée et ne circula que confidentiellement, sous le titre the dancing Israelis, ou the highfivers.
Ehud Barak, ancien chef du Renseignement militaire israélien (Sayeret Matkal), était premier ministre de juillet 1999 à mars 2001. Remplacé par Ariel Sharon, il s’installe aux États-Unis comme conseiller pour Electronic Data Systems et pour SCP Partners, une compagnie écran du Mossad spécialisée dans les questions de sécurité qui, avec ses partenaires Metallurg Holdings et Advanced Metallurgical, avait la capacité de produire de la nano-thermite. SCP Partners disposait d’un bureau à moins de dix kilomètres d’Urban Moving Systems. Une heure après la désintégration des tours, Ehud Barak est sur le plateau de BBC World pour désigner Ben Laden comme principal suspect(Bollyn, Solving 9-11, p. 278-280).
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200 espions experts en explosifs
RépondreSupprimerPeu de gens, même parmi les 9/11 Truthers, connaissent cette histoire d’ « Israéliens dansants » (on attend toujours, par exemple, que l’association Reopen 9/11 en parle sur son site francophone, pourtant très pointus sur tous les autres aspects du dossier). Peu de gens également savent qu’à la date des attentats, les polices fédérales US étaient occupées à démanteler le plus vaste réseau d’espionnage israélien jamais identifié sur le sol états-unien. En mars 2001, le National CounterIntelligence Center (NCIC) avait posté ce message sur son site web : « Durant les dernières six semaines, des employés des bureaux fédéraux situés dans tout les États-Unis ont signalé des activitées suspectes liées à des individus se présentant comme des étudiants étrangers vendant ou livrant des œuvres d’art. » Le NCIC précise que ces individus, de nationalité israélienne, « se sont également rendus aux domiciles privés d’officiers fédéraux sous le prétexte de vendre des objets artistiques [13]. »
Puis dans l’été, la Drug Enforcement Agency (DEA), après avoir été visée par un grand nombre d’incidents de ce type, compila un rapport qui sera révélé au public par le Washington Post le 23 novembre 2001, puis dans Le Monde le 14 mars 2002, avant d’être rendu entièrement accessible par le magazine françaisIntelligence Online. Ce rapport liste 140 Israéliens appréhendés depuis mars 2001. Âgés entre 20 et 30 ans et organisés en équipes de 4 à 8 membres, ils ont visité au moins « 36 sites sensibles du Département de la Défense ». Nombres d’entre eux furent identifiés comme membres du Mossad ou du Aman (renseignement militaire israélien), et six étaient en possession de téléphones payés par un ancien vice-consul israélien. Soixante arrestations eurent encore lieu après le 11-Septembre, ce qui porte à 200 le nombre d’espions Israéliens arrêtés. Tous furent finalement relâchés.
Michael Chertoff, citoyen israélien, fils d’un rabbin orthodoxe et d’une pionnière du Mossad, dirigeait la Criminal Division du Department of Justice en 2001, et fut à ce titre responsable de la rétention et destruction de toutes les preuves concernant le 11-Septembre — des caméras du Pentagone aux poutres du World Trade Center. C’est à lui également que les « Israéliens dansants » doivent leur discret rapatriement. En 2003, il fut nommé à la tête du nouveau Department of Homeland Security, chargé du contre-terrorisme sur le territoire états-unien, ce qui lui permet de contrôler la dissidence tout en continuant à restreindre l’accès au dossier du 11-Septembre à travers la loi Sensitive Security Information.
Le rapport de la DEA conclut que « la nature des comportements des individus […] nous conduit à penser que les incidents constituent peut-être une activité de collecte de renseignement [14]. » Mais la nature des renseignements collectés reste inconnue. Il se pourrait qu’en fait l’espionnage n’ait été qu’une couverture secondaire — un sous-vêtement — de ces Israeli art students, si l’on considère les formations militaires reçues par certains commedemolition/explosive ordnance expert, combat engineer, bomb disposal expert, electronic signal intercept operator, selon la DEA. L’un des agents arrêtés, Peer Segalovitz, « a reconnu qu’il était capable de faire exploser des bâtiments, des ponts, des voitures, et tout ce qu’il voulait [15]. » Pourquoi ces agents israéliens auraient-ils fait diversion sur leur véritable mission par une campagne d’espionnage aussi ostentatoire qu’improductive, curieusement concentrée sur la Drug Enforcement Agency ? La réponse à cette question est suggérée par un lien troublant, de nature géographique, entre ce réseau et les attentats du 11-Septembre.
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Selon le rapport de la DEA, « La localité d’Hollywood en Floride semble être le point focal de ces individus [16]. » En effet, plus d’une trentaine des faux étudiants-espions israéliens arrêtés peu avant le 11 septembre vivaient dans ou près de la ville d’Hollywood en Floride, où s’étaient précisément regroupés 15 des 19 prétendus pirates de l’air islamistes (9 à Hollywood même, 6 à proximité). L’un d’eux, Hanan Serfaty, par qui transita au moins 100 000 dollars en trois mois, avait loué deux appartements à Hollywood à proximité immédiate de l’appartement et de la boite postale loués par Mohamed Atta, qu’on nous présentera comme le chef de la bande des pirates de l’air. Quels étaient les rapports entre les « espions israéliens » et les « terroristes islamistes » ? Selon l’explication embarrassée des médias alignés, les premiers ne faisaient que surveiller les seconds.
RépondreSupprimerÉcoutons par exemple David Pujadas introduisant l’article d’Intelligence Online au journal télévisé du 5 mars 2002 sur France 2 : « Toujours à propos d’Israël, mais concernant l’Afghanistan maintenant, cette affaire d’espionnage, qui sème le trouble : un réseau israélien a été démantelé aux États-Unis, notamment en Floride : l’une de ses missions aurait été de pister les hommes d’Al-Qaïda (c’était avant le 11 septembre). Certaines sources vont même plus loin : elles indiquent que le Mossad n’aurait pas livré toutes les informations en sa possession. » Cette explication euphémique est un bel exemple de damage control. Israël en ressort à peine entachée, puisqu’on ne peut raisonnablement blâmer un service d’espionnage de ne pas partager ses informations. Tout au plus Israël pourra-t-il être accusé d’avoir « laissé faire », ce qui lui garantit l’impunité. Ainsi s’explique, à mon avis, la sous-couverture d’espions des faux étudiants israéliens, en réalité experts en attentats sous fausse bannière. En fait, leur couverture volontairement grossière d’étudiants était faite pour attirer l’attention sur leur couverture secondaire, celle d’espions, qui servirait d’alibi à leur proximité avec les pirates supposés.
Pourquoi Pujadas (propulsé au journal télévisé de France 2 tout juste une semaine avant le 11-Septembre) évoque-t-il l’Afghanistan, qui n’a aucun rapport avec l’information qu’il introduit ? Le lapsus ne peut être que volontaire et illustre « le grand tabou » dont parle Hicham Hamza : ne jamais mentionner le 11-Septembre et Israël dans la même phrase.
La vérité est probablement qu’ils n’espionnaient pas ces pirates, mais qu’ils les manipulaient, les finançaient, et probablement les ont éliminés peu avant le 11-Septembre. Un article du New York Times du 18 février 2009 a établi qu’Ali al-Jarrah, cousin d’un pirate présumé du vol UA93, Ziad al-Jarrah, avait été pendant 25 ans espion pour le Mossad, infiltré dans la résistance palestinienne et dans le Hezbollah depuis 1983. Il est actuellement en prison au Liban. Rappelons également que le Mohamed Atta de Floride était un faux. Le vrai Mohamed Atta, qui téléphona à son père au lendemain des attentats (comme ce dernier le confirma au magazine allemand Bild am Sonntag fin 2002), est décrit par sa famille comme réservé, pieux, évitant les femmes et ayant la phobie des avions.
Il s’était fait voler son passeport en 1999 alors qu’il étudiait l’architecture à Hambourg. Le faux Mohamed Atta de Floride vivait avec une strip-teaseuse, mangeait du porc, aimait les voitures rapides, les casinos et la cocaïne. Comme l’a rapporté le South Florida Sun-Sentinel dès le 16 septembre (sous le titre « Suspects’ Actions Don’t Add Up » (« Les comportements des suspects ne collent pas »), suivi par de nombreux quotidiens nationaux, ce Atta s’est saoulé, drogué et a payé les services de plusieurs prostituées dans les semaines et les jours précédant le 11-Septembre, et quatre autres des terroristes suicidaires ont eu des comportements similaires peu compatibles avec des islamistes se préparant à la mort [17].
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Le réseau new-yorkais
RépondreSupprimerSelon l’agent renégat Victor Ostrovsky (By Way of Deception, 1990), le Mossad tire son efficacité de son réseau international de sayanim (« collaborateurs »), terme hébreu désignant des juifs vivant hors d’Israël et prêts à accomplir sur demande des actions illégales, sans nécessairement connaître leur finalité. Ils se comptent par milliers aux États-Unis, et particulièrement à New York, où se concentre la communauté juive US. Larry Silverstein, titulaire du bail des tours jumelles depuis avril 2001, apparaît comme l’archétype du sayan du 11-Septembre. Il est membre dirigeant de la United Jewish Appeal Federation of Jewish Philanthropies of New York, le plus grand leveur de fonds américains pour Israël (après l’État US, qui verse chaque année trois milliards d’aide à Israël).
Silverstein était aussi, au moment des attentats, l’ami intime d’Ariel Sharon et de Benjamin Netanyahou, avec qui il est en conversation téléphonique chaque dimanche, selon le journal israélien Haaretz. Le partenaire de Silverstein dans le bail du WTC était, pour le centre commercial du sous-sol, Frank Lowy, un autre « philanthrope » sioniste proche d’Ehud Barak et Ehud Olmert, ancien membre de la Haganah. Le chef de la New York Port Authority, qui privatisa le WTC en concédant le bail à Silverstein et Lowy, était Lewis Eisenberg, également membre de la United Jewish Appeal Federation et ancien vice-président de l’AIPAC. Silverstein, Lowy et Eisenberg furent sans aucun doute trois hommes clés dans la planification des attentats contre les tours jumelles.
Lucky Larry ! Chaque matin, sans exception, Larry Silverstein prenait son petit-déjeuner au Windows on the World au sommet de la tour Nord du WTC. Jusqu’au matin du 11 septembre, où il avait rendez-vous chez le dermatologue.
D’autres membres du réseau new-yorkais peuvent être identifiés. Selon le rapport du NIST, le Boeing qui s’encastra dans la tour Nord « a fait une entaille de plus de la moitié de la largeur du bâtiment et qui s’étendait du 93ème au 99ème étage. Tous ces étages étaient occupés par Marsh & McLennan, une compagnie d’assurance internationale qui occupait également le 100ème étage [18]. » Le PDG de Marsh & McLennan est alors Jeffrey Greenberg, membre d’une richissime famille juive qui contribua massivement à la campagne de George W. Bush. Les Greenberg étaient aussi les assureurs des tours jumelles et, le 24 juillet 2001, ils avaient pris la précaution de réassurer leur contrat auprès de concurrents, qui durent indemniser Silverstein et Lowy. Et comme le monde des néoconservateurs est petit, en novembre 2000, le conseil d’administration de Marsh & McLennan accueille Paul Bremer, président de la National Commission on Terrorism au moment des attentats, et nommé en 2003 à la la tête de la Coalition Provisional Authority (CPA) en 2003
Paul Bremer intervient le 11 septembre 2001 sur le plateau de NBC, calme et détendu, tandis que 400 employés de sa compagnie sont portés disparus (au final, 295 employés et plus de 60 collaborateurs du groupe seront officiellement dénombrés parmi les victimes).
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Des complicités devront aussi être cherchées dans les aéroports et les compagnies aériennes impliquées dans les attentats. Les deux aéroports d’où sont partis les vols AA11, UA175 et UA93 (l’aéroport Logan à Boston et l’aéroport Newark Liberty près de New York) sous-traitaient leur sécurité à la compagnie International Consultants on Targeted Security (ICTS), une firme à capital israélien présidée par Menahem Atzmon, un des trésoriers du Likoud. Une enquête approfondie permettrait certainement de remonter à d’autres complicités. Elle devrait par exemple s’intéresser à Zim Israel Navigational, un géant du transport maritime détenu à 48 % par l’État hébreu (connu pour servir occasionnellement de couverture aux services secrets israéliens), dont l’antenne états-unienne quitta ses bureaux du WTC avec ses 200 employés le 4 septembre 2001, une semaine avant les attentats — « comme par un acte de Dieu [19] », commente le PDG Shaul Cohen-Mintz.
RépondreSupprimerIt’s the oil, stupid !
Tous ces faits donnent un sens nouveau aux propos du membre de la Commission sur le 11-Septembre Bob Graham, qui citait dans son interview à PBS en décembre 2002, « des preuves que des gouvernements étrangers ont contribué à faciliter les activités d’au moins certains des terroristes aux États-Unis [20]. » Graham, bien sûr, voulait parler de l’Arabie saoudite. Pourquoi la famille Saoud aurait-elle aidé Oussama Ben Laden, après l’avoir déchu de sa nationalité saoudienne et avoir mis sa tête à prix pour ses attentats sur leur sol ? La réponse de Graham, formulée en juillet 2011, est : « la menace de soulèvements sociaux contre la monarchie, conduits par Al-Qaïda [21]. » Les Saoud auraient aidé Ben Laden sous sa menace de fomenter une révolution. Cette théorie ridicule (que Graham, à court d’argument, développa dans un roman) [22] n’a qu’un seul but : détourner les soupçons loin du seul « gouvernement étranger » dont les liens avec les terroristes présumés sont démontrés, Israël, vers son ennemi l’Arabie Saoudite.
On sourit pareillement en lisant, dans le résumé du livre La Guerre d’après (2003) de l’anti-saoudien Laurent Murawiec, que « Le pouvoir royal [saoudien] a réussi au fil des ans à infiltrer des agents d’influence au plus haut niveau de l’administration américaine et à organiser un efficace lobby intellectuel qui contrôle désormais plusieurs universités du pays parmi les plus prestigieuses [23]. »
En affirmant en outre que la piste saoudienne a été étouffée en raison de l’amitié entre les Bush et les Saoud, Graham et ses amis néconservateurs se servent de George W. Bush comme fusible ou paratonnerre. La stratégie paye, puisque le 9/11 Truth movement, dans son ensemble, s’acharne contre lui et renacle à prononcer le nom d’Israël. On reconnaît l’art de Machiavel : faire accomplir le sale boulot par un autre, puis diriger la vindicte populaire contre lui.
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Comme je l’ai montré ailleurs, une dénomination plus appropriée pour les « néo-conservateurs » serait « machiavelo-sionistes ». Michael Ledeen en donne la preuve dans un article de la {Jewish World Review} du 7 juin 1999, où il défend la thèse que Machiavel était « secrètement juif » comme l’étaient à l’époque des milliers de familles nominalement converties au catholicisme sous menace d’expulsion (principalement les Marranes issus de la péninsule ibérique). « Écoutez sa philosophie politique et vous entendrez la musique juive » Par définition, le machiavélisme avance masqué par un discours vertueux (c.a.d. droit-de-l’hommiste), mais un nombre croissant de sionistes s’en réclament ouvertement : un autre exemple avec le livre d’Obadiah Shoher, "Samson Blinded : A Machiavellian Perspective on the Middle East Conflict".
RépondreSupprimerLe jour où, sous la pression de l’opinion publique, les grands médias seront forcés d’abandonner la thèse officielle, le mouvement constestataire aura déjà été soigneusement infiltré, et le slogan 9/11 is an inside jobaura préparé les esprits à un déchaînement contre Bush, Cheney et quelques autres, tandis que les néonconservateurs resteront hors d’atteinte de toute Justice. Et si, par malheur, le jour du grand déballage, les médias sionisés ne parvenaient pas à maintenir Israël hors d’atteinte, l’État hébreu pourra toujours jouer la carte chomskienne :America made me do it.Noam Chomsky [24], qui campe à l’extrême gauche depuis que le trotskiste Irving Kristol virait à l’extrême droite pour former le mouvement néoconservateur, continue en effet d’asséner sans relâche la thèse éculée qu’Israël ne fait qu’exécuter la volonté des États-Unis, dont elle ne serait que le 51ème État et le gendarme au Proche-Orient.
Selon Chomsky et les figures médiatisées de la gauche radicale états-unienne comme Michael Moore, la déstabilisation du Proche-Orient serait la volonté de Washington avant d’être celle de Tel-Aviv. La guerre d’Irak ? Pour le pétrole évidemment : « Bien sûr que c’était les ressources énergétiques de l’Irak. La question ne se pose même pas [25]. » Signe des temps, voilà Chomsky rejoint dans ce refrain par Alan Greenspan, directeur de la Réserve Fédérale, qui dans son livre Le Temps des turbulences (2007) fait mine de concéder « ce que tout le monde sait : l’un des grands enjeux de la guerre d’Irak était le pétrole de la région ».
« Je crois personnellement qu’il y a une relation profonde entre les événements du 11-Septembre et le pic pétrolier, mais ce n’est pas quelque-chose que je peux prouver, » énonce déjà Richard Heinberg, spécialiste de la déplétion énergétique, dans le documentaire {Oil, Smoke and Mirrors}{.} Autant dire que la thèse relève de la foi irrationnelle.
À cela il faut répondre, avec James Petras (Zionism, Militarism and the Decline of US Power), Stephen Sniegoski (The Transparent Cabal) ou Jonathan Cook (Israel and the Clash of Civilizations) : « Big Oil non seulement n’a pas encouragé l’invasion, mais n’a même pas réussi à contrôler un seul puits de pétrole, malgré la présence de 160 000 soldats états-uniens, 127 000 mercenaires payés par le Pentagone et le Département d’État, et un gouvernement fantoche corrompu [26] ». Non, le pétrole n’explique pas la guerre en Irak, pas plus qu’il n’explique la guerre en Afghanistan, pas plus qu’il n’explique l’agression de la Syrie par mercenaires interposés, pas plus qu’il n’explique la guerre programmée contre l’Iran. Et ce n’est certainement pas le lobby du pétrole qui a le pouvoir d’imposer le « grand tabou » sur toute la sphère médiatique (de Marianne aux Échos, pour ce qui concerne la France).
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La culture israélienne de la terreur sous fausse bannière
RépondreSupprimerUn petit rappel s’impose ici, pour mieux situer le 11-Septembre dans l’histoire. Les Etats-uniens ont une longue pratique dans la fabrication des faux prétextes de guerre. On pourrait remonter à 1845 avec la guerre expansionniste contre le Mexique, déclenchée par des provocations américaines sur la zone contestée de la frontière avec le Texas (la rivière Nueces selon le Mexique, le Rio Grande selon les Texans) jusqu’à ce que des affrontements donnent au président James Polk (un Texan) l’occasion de déclarer que les Mexicains « ont versé le sang américain sur le sol américain. » Après la guerre, un député du nom d’Abraham Lincoln fit reconnaître par le Congrès le caractère mensonger de ce casus belli. Par la suite, toutes les guerres entreprises par les États-Unis l’ont été sous de faux prétextes : l’explosion du USS Maine pour la guerre contre l’Espagne à Cuba, le torpillage du Lusitania pour l’entrée dans la Première Guerre mondiale, Pearl Harbor pour la seconde, et le Golfe du Tonkin pour l’embrasement du Nord-Vietnam. Cependant, seule l’explosion du USS Maine, qui fit peu de morts,relève à proprement parler du stratagème de fausse bannière ; encore n’est-ce pas certain.
Le paquebot transatlantique {RMS Lusitania} fut torpillé le 7 mai 1915 par les Allemands, alors qu’il naviguait dans une zone de guerre. C’est par le slogan {Remember the Lusitania} que le président Woodrow Wilson mobilisa ensuite l’opinion US en faveur de l’entrée en guerre. Le fait qu’une seule torpille ait suffi à couler le navire en quinze minutes suscite des questions. Dans son journal, le colonel Mendel Edward House, conseiller de Wilson, rapporte une conversation qu’il eut peu avant avec le ministre des Affaires étrangères britannique Edward Grey (qui deviendra en 1919 ambassadeur aux États-Unis). « Que feraient les Américains si les Allemands coulait un transatlantique avec des passagers américains à bord ? » demanda Grey. House lui répondit : « Je pense qu’un feu d’indignation balaierait les États-Unis et que cela suffirait à nous entraîner dans la guerre »
En revanche, c’est un fait qu’Israël a un passé chargé et une grande expertise des attaques et attentats sous faux drapeaux. Une histoire mondiale de ce stratagème devrait sans doute consacrer la moitié de ses pages à Israël, pourtant la plus jeune des nations modernes. Le pli a été pris avant même la création d’Israël, avec l’attentat du King David Hotel, quartier-général des autorités britanniques à Jérusalem. Le 22 juillet 1946 au matin, six terroristes de l’Irgun (la milice terroriste commandée par Menahem Begin, futur premier ministre) habillés en Arabes pénètrent dans le bâtiment et déposent autour du pillier central du bâtiment 225 kg d’explosif TNT cachés dans des bidons de lait, tandis que d’autres miliciens de l’Irgun répandent des explosifs le long des routes d’accès à l’hôtel pour empêcher l’arrivée des secours. Quand un officier britannique se montre suspicieux, une fusillade éclate dans l’hôtel et les membres du commando s’enfuient en allumant les explosifs. L’explosion tua 91 personnes, majoritairement des Britanniques, mais aussi 15 juifs.
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Le stratagème fut répété en Égypte durant l’été 1954, avec l’Opération Susannah, dont le but était de compromettre le retrait des Britanniques du Canal de Suez exigé par le colonel Abdul Gamal Nasser avec le soutien du président Eisenhower. Cette opération fut également éventée et reste connu comme « l’Affaire Lavon », du nom du ministre israélien qui fut porté responsable. La plus célèbre et la plus calamiteuse des attaques israéliennes sous fausse bannière est celle du navire américain de la NSA USS Liberty, le 8 juin 1967 au large de l’Égypte, deux jours avant la fin de guerre des Six Jours ; on y voit déjà à l’œuvre une collaboration profonde entre Israël et les USA, l’administration Johnson ayant couvert et peut-être même incité ce crime contre ses propres ingénieurs et soldats. J’ai évoqué ces deux affaires dans un précédent article et n’y reviens pas [27].
RépondreSupprimerEn 1986, le Mossad a tenté de faire croire qu’une série d’ordres terroristes était transmise depuis la Libye à diverses ambassades libyennes dans le monde. Selon l’ancien agent Victor Ostrovsky (By Way of Deception, 1990), le Mossad utilisa un système spécial de communication nommé « Cheval de Troie » implanté par des commandos à l’intérieur du territoire ennemi. Le système agit comme station relais pour de fausses transmissions émises depuis un navire israélien et réémises instantanément sur une fréquence utilisée par l’État libyen. Ainsi que le Mossad l’avait espéré, la NSA capta et déchiffra les transmissions, qui furent interprétées comme une preuve que les Libyens soutenaient le terrorisme, ce que des rapports du Mossad venaient opportunément confirmer. Israël comptait sur la promesse de Reagan de représailles contre tout pays surpris en flagrant délit de soutien au terrorisme. Les États-uniens tombèrent dans le piège et entraînèrent avec eux les Britanniques et les Allemands : le 14 avril 1986, cent soixante avions US lâchèrent plus de soixante tonnes de bombes sur la Libye, ciblant principalement les aéroports et les bases militaires. Parmi les victimes civiles du coté libyen se trouvait la fille adoptive de Kadhafi, âgée de quatre ans. La frappe fit capoter un accord pour la libération des otages états-uniens détenus au Liban, ce qui permettait de conserver le Hezbollah comme ennemi numéro un aux yeux de l’Occident.
Isser Harel, fondateur des services secrets israéliens, aurait prédit au chrétien sioniste Michael Evans en 1980 que le terrorisme islamique finirait par frapper les USA. « Dans la théologie islamique, le symbole phallique est très important. Votre plus gros symbole phallique est New York City et le plus haut bâtiment sera le symbole phallique qu’ils frapperont » En rapportant cet entretien dans une interview en 2004, Evans, auteur de "The American Prophecies, Terrorism and Mid-East Conflict Reveal a Nation’s Destiny", espère faire passer Harel pour un prophète. Les esprits rationnels y verront plutôt l’indice que le 11-Septembre mûrissait depuis 30 ans au sein de l’État profond israélien.
La capacité de manipulation du Mossad à cette époque peut encore être illustrée par deux histoires analysées par Thomas Gordon. Le 17 avril 1986, une jeune irlandaise du nom d’Ann-Marie Murphy embarque, à son insue, 1,5 kilos de Semtex dans un vol Londres-Tel-Aviv. Son fiancé, un Pakistanais du nom de Nezar Hindaoui, est arrêté alors qu’il tente de se réfugier à l’ambassade de Syrie. Tous deux ont en fait été manipulés par le Mossad, qui obtient ainsi le résultat souhaité : le gouvernement Thatcher rompt ses relations diplomatiques avec la Syrie. Mais la manipulation est éventée en haut lieu (comme Jacques Chirac le confiera au Washington Times) [28].
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En janvier 1987, le Palestinien Ismaïl Sowan, une taupe du Mossad ayant infiltré l’OLP à Londres, se voit confier, par un inconnu soit-disant envoyé par son chef à l’OLP, deux valises bourrées d’armes et d’explosifs. Ismaïl en fait part à ses contacts au Mossad, qui lui font faire un aller-retour à Tel-Aviv, puis le dénonce à Scotland Yard comme suspect dans un projet d’attentat islamiste à Londres. Ismaïl est cueilli à son retour à l’aéroport d’Heathrow et inculpé sur la base des armes trouvées chez lui. Résultat : le Mossad rentre dans les faveurs du gouvernement Thatcher [29]. Après l’attentat du 26 février 1993 contre le WTC, le FBI arrêta le Palestinien Ahmed Ajaj et l’identifia comme un terroriste lié au Hamas, mais le journal israélien Kol Ha’ir démontra qu’Ajaj n’avait jamais été mêlé au Hamas ou à l’OLP. Selon le journaliste Robert Friedman, auteur d’un article dans The Village Voice le 3 août 1993, Ajaj n’était en réalité qu’un petit escroc arrêté en 1988 pour fabrication de faux dollars, condamné à deux ans et demi de prison et libéré au bout d’un an après un marché avec le Mossad, pour le compte duquel il devait infiltrer les groupes palestiniens. À sa libération, Ajaj subit un sheep-dipping classique en étant à nouveau brièvement emprisonné, cette fois pour avoir tenté de passer des armes en Cisjordanie pour le Fatah. On a donc, avec l’attentat de 1993 contre le WTC, un précédent et prototype du 11-Septembre, dans lequel sont démontrées la responsabilité d’Israël dans le terrorisme et sa volonté de faire accuser les Palestiniens.
RépondreSupprimerL’attentat contre l’ambassade d’Israël à Buenos Aires en 1992, qui fit 29 morts et 242 blessés, fut instantanément mis sur le compte de kamikazes du Hezbollah ayant utilisé un camion piégé. Mais le juge chargé de l’instruction révéla des pressions exercées par des délégués états-uniens et israéliens, ainsi que des manipulations de preuves et un faux témoignage destinés à orienter l’enquête vers l’hypothèse d’un camion piégé, alors que les faits indiquaient que l’explosion provenait de l’intérieur du bâtiment. Lorsque la Cour Suprême argentine confirma cette thèse, le porte-parole de l’ambassade d’Israël accusa les juges d’antisémitisme.
Il est intéressant de rappeler ce qu’écrivit Philip Zelikow avec John Deutch en décembre 1998 dans un article de Foreign Affairs intitulé « Catastrophic Terrorism », imaginant à propos de cet attentat de 1993 que la bombe fût nucléaire, et évoquant déjà un nouveau Pearl Harbor : « Un tel acte de ‘terrorisme catastrophique’ qui tuerait des milliers ou des dizaines de milliers et affecteraient les nécessités vitales de centaines de milliers, peut-être de millions, serait un point de non-retour dans l’histoire des États-Unis. Il pourrait provoquer des pertes humaines et matérielles sans précédent en temps de paix et réduirait à néant le sentiment de sécurité de l’Amérique à l’intérieur de ses frontières, d’une manière similaire au test atomique des Soviétique en 1949, ou peut-être pire. […]. Comme Pearl Harbor, cet événement diviserait notre histoire entre un avant et un après. Les États-Unis pourraient répondre par des mesures draconniennes, en réduisant les libertés individuelles, en autorisant une surveillance plus étroite des citoyens, l’arrestation des suspects et l’emploi de la force létale [30]. »
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Le 12 janvier 2000, selon l’hebdomadaire indien The Week,des officiers des Renseignements indiens ont arrêté à l’aéroport de Calcutta onze prêcheurs islamistes qui s’apprêtaient à embarquer sur un vol à destination du Bengladesh. Ils étaient soupçonnés d’appartenir à Al-Qaïda et de vouloir détourner l’avion. Ils se présentèrent comme des Afghans ayant séjourné en Iran avant de passer deux mois en Inde pour prêcher l’islam. Mais on découvrit qu’ils possédaient tous des passeports israéliens. L’officier des services de Renseignement indien déclara à The Week que Tel Aviv « exerted considerable pressure » sur New Delhi pour les faire libérer.
RépondreSupprimerLe 12 octobre 2000, dans les dernières semaines du mandat de Clinton, le destroyer USS Cole, en route vers le Golfe persique, reçoit l’ordre depuis son port d’attache de Norfolk de faire le plein dans le port d’Aden au Yémen, une procédure inhabituelle puisque ces destroyers sont généralement approvisionnés en mer par un pétrolier de la Navy. Le commandant du navire exprima sa surprise et son inquiétude : leUSS Cole avait fait récemment le plein à l’entrée du Canal de Suez, et le Yémen est une zone hostile. Le USS Cole était en manœuvre d’amarrage lorsqu’il fut abordé par un dinghy destiné apparemment à l’évacuation des poubelles, qui explosa contre sa coque, tuant 17 marins et en blessant 50. Les deux « kamikazes » pilotant l’embarcation périrent aussi dans cet « attentat-suicide ». L’attaque fut aussitôt attribuée à Al-Qaïda, bien que Ben Laden ne l’ait pas revendiquée et que les Talibans nièrent que leur « hôte » ait pu être impliqué. L’accusation donna aux États-Unis un prétexte pour forcer le président yéménite Ali Abdullah Saleh à coopérer à la lutte contre l’islamisme anti-impérialiste, en fermant pour commencer treize camps paramilitaires sur son territoire. En plus de cela, quelques semaines avant les élections, l’attentat fut l’October Surprise qui porta Bush au pouvoir.
John O’Neill fut chargé de l’enquête. Au FBI depuis vingt ans, spécialiste expérimenté du contre-terrorisme, il avait déjà enquêté en 1993 sur l’attentat à la bombe au WTC. Son équipe en vint à soupçonner Israël d’avoir tiré un missile depuis un sous-marin : le trou était en effet indicatif d’une charge perforante et inexplicable par la seule explosion du dinghy. Les soupçons étaient partagés par le président Saleh, qui évoqua dans une interview à Newsweek la possibilité que l’attaque soit due à Israël, « essayant de nuire aux relations USA-Yémen [31]. » O’Neill et son équipe subirent l’hostilité de l’ambassadrice US, Barbara Bodine. Ils se virent interdire de plonger pour inspecter les dégâts. Finalement, profitant de leur retour à New York pour Thanksgiving, Bodine leur refusa l’entrée au Yémen. Les membres de l’équipage du Cole se virent ordonner de ne parler de l’attentat qu’au Naval Criminal Investigative Service (NCIS). En juillet 2001, O’Neill démissionna du FBI. Il se vit peu après offrir un poste de responsable de la sécurité au WTC, qu’il devait assurer à partir du 11 septembre 2001. Son corps fut retrouvé dans les décombres du WTC, après qu’il ait disparu depuis deux jours. Quant à Barbara Bodine, elle intégrera en 2003 l’équipe corrompue de la Coalition Provisional Authority (CPA) de Baghdad.
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Où s’arrête la liste du faux terrorisme islamique de conception sioniste ? Le « New York Times » et d’autres journaux rapportèrent que le 19 septembre 2005, deux agents des forces spéciales britanniques (SAS) furent arrêtés après avoir forcé un barrage à bord d’une voiture remplie d’armes, munitions, explosifs et détonateurs, qu’ils conduisaient déguisés en Arabes. On soupçonne qu’ils planifiaient de commettre des attentats meurtriers dans le centre de Bassora durant un événement religieux, pour attiser les conflits entre shiites et sunnites. Le soir même, une unité du SAS libéra les deux agents en détruisant la prison à l’aide d’une dizaine de tanks assistés par des hélicoptères. Le capitaine Masters, chargé de l’enquête sur cette affaire embarrassante, mourut à Bassora le 15 octobre.
RépondreSupprimerLaurent Guyénot
[1] Article original en italien : « Demystifying 9/11 : Israel and the Tactics of Mistake »,
[2] “Wildcard. Ruthless and cunning. Has capability to target U.S. forces and make it look like a Palestinian/Arab act” (Rowan Scarborough, « U.S. troops would enforce peace Under Army study », The Washington Times,10 septembre 2001, ).
[3] Outre le livre de Hicham Hamza et celui de Christopher Bollyn, on consultera sur ce dossier : Justin Raimondo, The Terror Enigma : 9/11 and the Israeli Connection, iUniversal, 2003 ainsi qu’à un article de Christopher Ketcham, « What Did Israel Know in Advance of the 9/11 Attacks ? »CounterPunch, 2007, vol. 14, p. 1-10, ).
[4] « Vehicle possibly related to New York terrorist attack. White, 2000 Chevrolet van with New Jersey registration with ’Urban Moving Systems’ sign on back seen at Liberty State Park, Jersey City, NJ, at the time of first impact of jetliner into World Trade Center. Three individuals with van were seen celebrating after initial impact and subsequent explosion »(Raimondo, The Terror Enigma, p. xi).
[5] « We are Israelis. We are not your problem. Your problems are our problems. The Palestinians are your problem » (Hicham Hamza, Le Grand Tabou, ch. 2).
[6] « There are maps of the city in the car with certain places highlighted. It looked like they’re hooked in with this. It looked like they knew what was going to happen when they were at Liberty State Park » (Raimondo, The Terror Enigma, p. xi).
[7] « I was in tears. These guys were joking and that bothered me »(Raimondo, The Terror Enigma, p. 19 ). Hamza, Le Grand Tabou, ch. 2.
[8] « They smiled, they hugged each other and they appeared to ‘high five’ one another » ; « the United States will take steps to stop terrorism in the world » ; « Give us twenty years and we’ll take over your media and destroy your country » ; « an individual in South America with authentic ties to Islamic militants in the middle east » ; « The vehicule was also searched by a trained bomb-sniffing dog which yielded a positive result for the presence of explosive traces » (Hamza, Le Grand Tabou, ch. 2).
[9] « that the FBI no longer has any investigative interests in the detainees and they should proceed with the appropriate immigration proceedings »(Hamza, Le Grand Tabou, ch. 2).
[10] “Our purpose was to document the event” (voir sur Youtube, « Dancing Israelis Our purpose was to document the event »).
[11] « Yes, we have a white van, 2 or 3 guys in there, they look like Palestinians and going around a building. […] I see the guy by Newark Airport mixing some junk and he has those sheikh uniforms. […] He’s dressed like an Arab » (Bollyn, Solving 9-11, p. 278-80).
[12] « Yes, we have a white van, 2 or 3 guys in there, they look like Palestinians and going around a building. […] I see the guy by Newark Airport mixing some junk and he has those sheikh uniforms. […] He’s dressed like an Arab » (Bollyn, Solving 9-11, p. 278-80).
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[13] “In the past six weeks, employees in federal office buildings located throughout the United States have reported suspicious activities connected with individuals representing themselves as foreign students selling or delivering artwork.” “these individuals have also gone to the private residences of senior federal officials under the guise of selling art.” Le rapport comlet de la DEA est sur
RépondreSupprimer[14] “The nature of the individuals’ conducts […] leads us to believe the incidents may well be an organized intelligence gathering activity”(Raimondo, The Terror Enigma, p. x).
[15] “acknowledged he could blow up buildings, bridges, cars, and anything else that he needed to” (Bollyn, Solving 9/11, p. 159).
[16] The Hollywood, Florida, area seems to be a central point for these individuals” (Raimondo, The Terror Enigma, p. 3).
[17] David Ray Griffin, 9/11 Contradictions, Arris Books, 2008, p. 142-156, citant le Daily Mail, le Boston Herald, le San Francisco Chronicle et le Wall Street Journal.
[18] « The aircraft cut a gash that was over half the width of the building and extended from the 93rd floor to the 99th floor. All but the lowest of these floors were occupied by Marsh & McLennan, a worldwide insurance company, which also occupied the 100th floor » (p. 20). Ces éléments ont été analysés par Lalo Vespera dans La Parenthèse enchantée, chapitre 10.
[19] « Like an act of God, we moved » (USA Today, 17 septembre 2001).
[20] “evidence that there were foreign governments involved in facilitating the activities of at least some of the terrorists in the United States”(Raimondo, The Terror Enigma, p. 64).
[21] « the threat of civil unrest against the monarchy, led by al Qaeda » »(« Saudi Arabia : Friend or Foe ? », The Daily Beast, 11 juillet 2011).
[22] The Keys to the Kingdom, Vanguard Press, 2011.
[23] Résumé d’Amazon.ca
[24] « Le contrôle des dégâts : Noam Chomsky et le conflit israélo-israélien » et « Contrairement aux théories de Chomsky, les États-Unis n’ont aucun intérêt à soutenir Israël », par Jeffrey Blankfort, Traduction Marcel Charbonnier, Réseau Voltaire, 30 juillet et 21 août 2006,
[25] “Of course it was Iraq’s energy resources. It’s not even a question” (cité dans Stephen Sniegoski, The Transparent Cabal : The Neoconservative Agenda, War in the Middle East, and the National Interest of Israel, Enigma Edition, 2008, p. 333).
[26] « ‘Big Oil’ not only did not promote the invasion, but has failed to secure a single oil field, despite the presence of 160,000 US troops, 127,000 Pentagon/State Department paid mercenaries and a corrupt puppet régime » (James Petras, Zionism, Militarism and the Decline of US Power, Clarity Press, 2008, p. 18).
[27] http://www.voltairenet.org/article1...
[28] Gordon Thomas, Histoire secrète du Mossad : de 1951 à nos jours, Nouveau Monde éditions, 2006, p. 384-5.
[29] Thomas, Histoire secrète du Mossad, p. 410-41.
[30] “An act of catastrophic terrorism that killed thousands or tens of thousands of people and/or disrupted the necessities of life for hundreds of thousands, or even millions, would be a watershed event in America’s history. It could involve loss of life and property unprecedented for peacetime and undermine Americans’ fundamental sense of security within their own borders in a manner akin to the 1949 Soviet atomic bomb test, or perhaps even worse. […] Like Pearl Harbor, the event would divide our past and future into a before and after. The United States might respond with draconian measures scaling back civil liberties, allowing wider surveillance of citizens, detention of suspects and use of deadly force” (Griffin, 9/11 Contradictions, p. 295-6).
[31] “trying to spoil the U.S.-Yemeni Relationship”
Source: Réseau Voltaire (Laurent Guyénot)
http://fawkes-news.blogspot.fr/2016/05/11-septembre-inside-job-ou-mossad-job.html
Inside job identique à la voiture de police qui - bizarrement - s'embrase de partout comme si tout le véhicule était imbibé d'essence ! Cà alors ! De plus, les pompiers professionnels arrivent en n'empêchent pas les piètons de passer à côté du véhicule qui risque d'exploser ! et même s'y mettent à deux à côté (du réservoir vide) pour prouver l'absence de danger !! Hahahaha !
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