La Chine exige US « Cesser immédiatement » les missions d’avion espion provocateur près de ses frontières
Soumis par Tyler Durden le 20/05/2016 08:03 -0400
Quelques jours après un rapport que deux avions de chasse chinois J-11 ont buzzé un avion-espion américain au-dessus de la mer de Chine du Sud, Beijing a augmenté officiellement de son mécontentement à la surveillance des Etats-Unis vers le haut de la chaîne de commandement et comme le rapporte Reuters, Beijing a demandé de mettre fin à toute surveillance américains près de la Chine.
Pour rappel, un fonctionnaire de la défense américaine a déclaré que deux avions de chasse chinois J-11 ont volé à moins de 50 pieds (15 mètres) de l’avion américain EP-3, en ce que le Pentagone considérait comme une interception "potentiellement dangereuse". Et, à l’instar de la Russie, la Chine a eu assez et exige la fin des provocations américaines.
« Il convient de souligner que les avions militaires américains ont fréquemment procéder à la reconnaissance dans les eaux côtières chinoises, mettant sérieusement en danger la sécurité maritime chinoise » Porte-parole du ministère des affaires étrangères de la Chine Hong Hong Lei a déclaré aux journalistes, ajoutant « nous exigeons que les États-Unis immédiatement cesser ce type d’activité de reconnaissance étroite pour éviter d’avoir ce genre d’incident ne se reproduise. »
Lors d’un point de presse régulier, il a décrit la déclaration du Pentagone comme « pas vrai » et dit que les actions de l’avion chinoise étaient "complètement conformes à la sécurité et les normes professionnelles". « Elles maintiennent des comportements sécuritaires et n’ont pas un comportement de toute action dangereuse », a déclaré Hong.
La rencontre intervient une semaine après que la Chine brouillés des avions de chasse quand un navire a navigué à proximité d’un récif contesté dans la mer de Chine du sud de la marine américaine. Une autre interception chinoise a eu lieu en 2014 quand un pilote de chasse chinois a volé des manœuvres acrobatiques autour d’un avion-espion américain.
Nous sommes convaincus que la Russie fera écho des inquiétudes de la Chine. Comme nous avons résumé plus tôt cette semaine, juste le mois passé, il y a eu au moins quatre survols au programme qui a étroitement impliqué des avions de chasse russes proches nous suit les incursions :
Tout d’abord un russe Su-24 a « buzzé » le destroyer lance-missiles américain USS Donald Cook dans la mer Baltique aurait été au-dessus des eaux territoriales russes ; puis quelques que jours plus tard, un autre avion de chasse russe a effectué à moins de 50 pieds d’une recon États-Unis avion a également survolé la mer Baltique ; elle a été suivie d’une troisième rencontre quand un peu plus d’une semaine plus tard un russe Mig-31 s a volé moins de 50 pieds d’un avion-espion américain survolant une base navale russe dans la péninsule du Kamtchatka ; la quatrième provocation a eu lieu quelques jours plus tard lorsque dans l’un SU-27 russes a effectué un tonneau sur un U.S. Air Force RC-135 reconnaissance avion survolant la mer Baltique.
L’ordonnée à l’origine chinoise s’est produite jours avant que le président Barack Obama se rend dans certaines régions d’Asie du 21 au 28 mai, y compris un sommet du groupe des sept au Japon et son premier voyage au Vietnam.
Washington a accusé Pékin de militariser la mer de Chine méridionale après la création d’îles artificielles, tandis que Pékin, à son tour, a critiqué une augmentation des patrouilles navales américaines et exercices en Asie. En 2015, les Etats-Unis et la Chine a annoncé des accords sur une ligne d’assistance militaire et les règles de comportement pour régir les rencontres air/air appelées le Code pour imprévus rencontre à la mer (repères).
« C’est exactement le type d’interceptions irresponsables et dangereuses que l’annexe air/air aux indices est censé pour prévenir, » a déclaré Greg Poling, directeur de l’Initiative de transparence Maritime Asie de Washington Center for Strategic and International Studies de la réflexion.
La Chine a tiré en retour qu’il n’y aurait aucun besoin pour les interceptions « irresponsables » si les Etats-Unis n’a pas lancé des missions de reconnaissance en premier lieu.
Cependant Poling pressé et a déclaré qu’une partie de la force aérienne de la Chine "n’avait pas obtenu le message", ou elle a été conçue comme un signal de mécontentement avec la récente liberté américaine des actions de navigation dans la mer de Chine méridionale. « Si ce dernier, il serait très décevant pour trouver la Chine de sacrifier l’annexe repères pour tactique de diversion politique. »
Zhang Baohui, un expert en sécurité à l’Université Lingnan de Hong Kong, a dit la rencontre a mis en évidence de la limitation des indices et montre que les pilotes chinois voleraient encore à proximité d’avions de surveillance américains si nécessaire. « Franchement, nous avons toujours allons voir ce genre d’incidents que la Chine sera toujours mis la priorité sur la sécurité nationale sur quelque chose comme indices chaque fois qu’elle sent que ses intérêts sont directement menacés, » dit-il.
La dernière rencontre a eu lieu dans l’espace aérien international environ 100 milles marins au sud de la Chine continentale et à environ 50 milles à l’est de l’île de Hainan, un porte-parole du Pentagone a déclaré dans un communiqué publié jeudi par la suite.
Pourquoi les Etats-Unis espionne Hainan ? Parce que les bases de sous-marins de la Chine sur Hainan sont abrite une expansion flotte de sous-marins de l’arme nucléaire et une grande cible pour les opérations de surveillance de l’ouest en cours. La côte de Guangdong est également considérée comme abrite quelques-unes de Chine les plus avancés de missiles, y compris l’arme anti-navire de DF - 21d.
Et c’est pourquoi l’espionnage américain dans la région va continuer, alors même que le Pentagone tente de mettre le blâme sur Pékin pour toutes ces futurs « close encounters » jusqu'à ce que finalement il y a un incident « inattendu ».
“Une situation de pré-guerre civile s’installe en France”
Mylène Vandecasteele 20 mai 2016
En France, des agents de police ont manifesté mercredi contre la haine de la police qui s’est manifestée plus intensément que jamais au cours de ces derniers jours. Sur les dernières semaines, 300 policiers ont été blessés dans diverses manifestations contre la réforme du code du travail, qui vise à faciliter l’accès à l’emploi par l’assouplissement et la simplification des lois sur le travail strictes et complexes.
Pendant ce temps, une vidéo qui a circulé sur Internet montre comment des manifestants attaquent une voiture de police, brisant ses vitres, alors que deux policiers s’y trouvent, et lançant un cocktail Molotov. L’un des policiers occupants sort de la voiture en proie aux flammes et se fait attaquer par un manifestant armé d’un bâton. Des manifestations violentes contre le modèle de société occidentale, capitaliste et libérale
Dans le journal Le Figaro, le journaliste Ivan Rioufol estime que son pays sombre lentement mais sûrement dans une guerre civile : “Une situation de pré-guerre civile s’installe en France”, écrit-il, notant que la classe politique et les médias ne semblent pas réagir face à cette réalité.
Auparavant, lorsque les manifestations dégénéraient, on appelait les CRS (Les Compagnies républicaines de sécurité, un corps de la police française) pour réprimer les fauteurs de troubles. Mais désormais, ce ne sont plus les CRS qui portent les premiers coups de matraque et lancent les assauts, mais “les casseurs qui veulent tuer du flic”.
Rioufol rapporte les déclaration d’un policier, selon lequel la police utilise entre 400 et 1000 “grenades de désenclavement” lors de chaque manifestation pour assurer sa propre sécurité, et disperser certains manifestants pour les empêcher de se regrouper pour former des bandes agressives.
“Ce qui se dévoile progressivement est ce que j’annonce dans “La guerre civile qui vient” : la contestation violente du modèle de société occidentale, capitaliste et libérale. Le rejet est porté en commun par la gauche radicalisée et par l’islam politique, qui fait passer le musulman pour le nouveau damné de la terre. Cet islam révolutionnaire s’est déjà introduit dans de nombreux syndicats. Il apporte une force conquérante inédite et potentiellement brutale. Il s’est immiscé également dans les rangs de Nuit debout, à travers la défense de la cause palestinienne et le boycott d’Israël (mouvement BDS : Boycott Désinvestissement Sanctions). […]
Ces individus et leurs complices soi-disant victimes de la police ont pour objectif la guerre civile, affirme Rioufol. Or, “cette même police est applaudie par une majorité de Français, pour sa vaillance lors des derniers attentats islamistes”.
La demande d’armes légères « Protection » en Allemagne explose comme peur monte contre les immigrants
Soumis par Tyler Durden le 20/05/2016 03:00 -0400
Comme l’immigration la crise continue de s’intensifier en Europe, les allemands achètent protection - beaucoup de celle-ci. Rappelons que l’an dernier, suite à une 600 % contre les surtensions en achats de vaporisateur de poivre, le pays a effectivement fini par manquer de produit. Peu après, suite à une vague de nouvel an aux attaques, par la suite monté en flèche de ventes d’armes de petit calibre. Maintenant, nous apprenons que dans les trois premiers mois de 2016, la peur continue d’être à la hausse, comme les licences d’armes légères en Bavière ont déjà doublé l’ensemble total pour 2015. Comme le nombre de réfugiés est passé en 2015 et 2016, a fait ainsi le nombre d’habitants, demande de permis d’armes légères - autorisation d’utiliser des pistolets de tir à blanc les Local rapports. Les pistolets de tir à blanc sont conçus pour éloigner les assaillants, mais peuvent également s’avérer mortels. Les demandes de ces armes n'a cessé d’augmenter au cours des dernières années, avec des applications de 2014 et 2015 étant 2 379 et 5 748 respectivement. Toutefois, les trois premiers mois de 2016 a déjà dépassé le total ensemble pour 2015. Au février seulement, 7 435 licences ont été accordées et mars ont vu un autre 4 677. Il convient de répéter que le paysage politique en Allemagne est déplacée vers un ton plus hostiles aux immigrés, comme nous l’avons montré dans la montée du parti anti-immigration l’AfD dans les sondages (à l’appui manifeste contre l’Islam de l’AfD). La hausse explosive du nombre de licences d’armes légères se distribuaient est inquiétante. Nous n’avez pas besoin du peuple de Bavière s’arme. La possession d’armes et en pratiquant des justiciers ne sont pas un exemple que nous voulons créer. Le danger est que plus et plus de conflits augmenteront si plus de gens s’arment. Nous devons agir contre cela. » a déclaré Katharina Schulze, porte-parole des affaires intérieures pour le Parti vert en Bavière. Schulze a une raison d’être inquiet, car non seulement le sentiment politique change, mais la violence contre les réfugiés est maintenant à la hausse. Il y a quelques jours seulement de rappeler quand nous a signalé que les incendies criminels ont augmenté à l’abris de réfugiés et police ont exprimé des inquiétudes sur le regain de violence. Alors que la situation en Allemagne (et autres pays européens) reste tendue en ce qui concerne la crise de l’immigrant, si la Turquie ne soit pas tout ce qu’il veut et plus de l’Union européenne, le nouveau flot de réfugiés s’intensifiera la situation à un nouveau niveau entier.
L’initiative populaire qui voudrait inscrire dans la Constitution le droit pour tous à un revenu de base inconditionnel (RBI) sera très probablement rejetée le 5 juin, puisque le dernier sondage la donne perdante à 72%.
Cela signale que les Helvètes, adeptes de l’effort et du mérite, ne sont pas prêts à abandonner un système éprouvé pour un projet inabouti, dont le financement est incertain, et qui repose sur une philosophie de vie largement sujette à débat. Notre dossier explore les pistes qu’ouvrent néanmoins ces réflexions et débats essentiels sur l’avenir du marché du travail.
Au-delà de la votation, la question est pourquoi un tel projet, qui propose d’obtenir de l’argent gratuit, c’est-à-dire sans effort en contrepartie, a vu le jour à notre époque. Certes, l’idée du RBI est ancienne; mais l’idée de l’argent gratuit, elle, a opéré une incursion récente dans l’air du temps. Ses promoteurs: les banques centrales. Se pourrait-il que les politiques monétaires aient inspiré, ne serait-ce qu’un peu, l’initiative du revenu de base ?
«La planche à billets au peuple !»
Oui. La réponse se trouve en effet dans un argument fréquent des partisans du RBI. Ces derniers, défendant le projet sur les réseaux sociaux, en viennent souvent à suggérer, lorsqu’on leur objecte son coût élevé pour la société: «De toute façon, les banques centrales impriment déjà de l’argent gratuit, alors autant en faire profiter le plus grand nombre: le RBI n’a qu’à se financer avec la planche à billets de la BNS !» En arrière-plan, il y a l’idée de mettre la main sur cette planche à billets qui pour l’heure ne profite pas au peuple, mais au secteur financier et à la spéculation boursière.
Il devient alors clair que les politiques monétaires, aussi mal avisées qu’inefficaces, de ce début de millénaire, ont influencé la manière dont une partie des citoyens pense son rapport à l’économie, à l’argent et au travail. Le paradigme de la dette gratuite, qui n’est plus l’exception mais la règle, a fait croire au Père Noël et engendré des velléités de quelques-uns de voir des pans plus larges de la population profiter des largesses des banques centrales.
Les abus de la planche à billets ne pouvaient être bénins; ils ont agi directement sur la vision de la société, ont façonné les mentalités. Et, tout comme la robotisation, mais pour des raisons très différentes, les politiques monétaires ont elles aussi contribué à déconnecter l’argent du travail, puisque la Fed, la BCE et la BNS recourent de plus en plus à la création monétaire ex nihilo.
Lorsque, deux décennies durant, la «banque centrale du monde», à savoir la Fed, applique des taux zéro, qui permettent d’obtenir du cash quasi gratuitement, cela dévalue le travail et crée un contexte où l’argent n’est plus affaire de travail salarié, mais affaire de quiconque se présente devant son courtier, son bancomat, son agence auto, son site de crowdfunding, son terminal de carte de crédit ou même son voisin (qui a lui-même emprunté à 0% pour vous prêter à 1%).
Il importe de souligner que la Suisse est largement épargnée par ces dérives, et que même la bulle hypothécaire y a été contenue. Mais depuis 2008, l’opinion publique suisse a elle aussi été exposée à la création massive de liquidités par les banques centrales et à la banalisation de ces politiques.
De plus en plus, travailler et épargner au lieu de s’endetter à 0% pour spéculer deviendra une démarche volontariste, voire paraîtra masochiste. Les Suisses résisteront à cette facilité parce que leur économie reste bâtie sur l’épargne et l’investissement. Et parce qu’ils peinent à voir la contribution du RBI à cette prospérité qu’ils ont bâtie et préservée, ils diront probablement non le 5 juin.
Dans une République, c'est le Peuple qui dirige le chef des fonctionnaires d'Etat, dans une dictature ce sont les banques privées et le 'chef d'Etat' qui dirigent le pays.
Confier un pays à une dictature ne peut le mener qu'à la faillite.
Ça y est ! Le premier jetpack sera bientôt commercialisé
Reeva Verlinden 19 mai 2016 Mylène Vandecasteele
Peter Coker, CEO de Martin Jetpack, s’apprête à transformer la science-fiction en réalité, écrit le Financial Times. En juin, la firme australienne commencera à produire en série son P-14, un jetpack à essence en fibre de carbone pouvant voler à une altitude de presque 1 km et à une vitesse de 74 km/h. Son prix ? Entre $200.000 et $250.000.
La Défense Civile de Dubaï et Avwatch, une société américaine, ont signé des mémorandums que Martin Jetpack espère voir transformés en commandes. Les nouveaux appareils sont destinés aux services d’urgence : pompiers, police et sécurité frontalière.
Martin Jetpack utilisait auparavant un engin à pétrole V4 à deux temps, mais les nouveaux P-14 et P-15 seront équipés d’un engin rotatif plus puissant. Les nouveaux modèles, qui ne possèdent pas de rotors, ont accès à des endroits confinés et peuvent passer entre deux édifices. Leur pilotage est « bien plus amusant et sûr que celui d’un hélicoptère ».
Le marché chinois
Depuis l’arrivée de M. Coker au poste de CEO en 2013, la firme a embauché plus de 70 personnes et elle est entrée dans l’Australian Securities Exchange, soutenue par la société de Hong-Kong, Kuang-Chi Science. Cette collaboration ouvre le marché chinois à l’entreprise australienne.
Martin Jetpack s’adresse principalement au marché des services d’urgence, plus lucratif, alors que son fondateur visait plutôt le secteur des jets personnels. Mais la firme reste ouverte. Les appareils pourraient être vendus à des personnes riches ou célèbres pour « préserver le rêve de Glenn Martin ».
L'oligarchie vénézuélienne et les Etats-Unis mènent une guerre économique contre Maduro
Jean Araud Investig'Action ven., 20 mai 2016 15:28 UTC
Depuis quelques semaines, le Venezuela fait régulièrement la une de l'actualité internationale. Comme au temps d'Hugo Chavez, une importante campagne médiatique de dénigrement et de mensonge est menée contre la Révolution Bolivarienne. Même si en effet le Venezuela traverse une période difficile notamment sur le plan économique, la réalité de la situation décrite par les médias s'avèrent très souvent partial et caricaturale. Journaliste installé depuis quarante au Venezuela, Jean Araud suit de très près l'actualité dans le pays. Son analyse de la situation diffère radicalement de ce qu'on entend généralement dans les médias dominants.
Le 6 décembre dernier, l'opposition vénézuélienne remportait pour la première fois en quinze ans les élections législatives. Quatre mois plus tard, quel bilan pouvons-nous tirer des premières actions de l'opposition à l'Assemblée Nationale?
En réalité aucun bilan ne surprend véritablement. Le nouveau président de l'Assemblée Nationale, Ramos Allup, est un politicien de la vieille école bien connu des Vénézuéliens pour son style provocateur. Le bilan est marqué par des provocations suivies d'autres provocations. La nouvelle Assemblée Nationale a tenté d'ignorer les autres niveaux de pouvoirs, en essayant par exemple d'imposer trois de ses députés qui avaient été élus de manière frauduleuse, ou en essayant de faire passer certaines lois des plus extravagantes. Parmi ces lois, une « loi d'amnistie » a pour objectif de pardonner des personnes condamnées et qui purgent leur peine, ou des hors-la-loi, pour des actes de corruption. Le véritable bilan est un véritable show médiatique, prudemment diffusé par certains grands médias internationaux, et plusieurs protestations populaires contre les prétentions de l'Assemblée Nationale, celles-là avec peu de couverture médiatique. Mais jusqu'à présent, cette Assemblée Nationale n'a pas réussi à imposer ses trois députés, ni aucune de ses lois extravagantes.
Côté économique, le Venezuela a été frappé de plein fouet par la baisse du prix du pétrole. Puis, depuis quelques semaines, le pays fait face à une terrible sécheresse qui affecte sérieusement l'approvisionnement en énergie. Enfin, l'oligarchie économique mène depuis des années une redoutable guerre économique en créant désapprovisionnement, pénuries... Face à ce contexte difficile, quelles sont les principales mesures qu'a prises le gouvernement pour d'un côté affronter ces problèmes et de l'autre conserver les nombreuses conquêtes sociales acquises ces quinze dernières années ?
Cette question et une synthèse parfaite du panorama général actuel au Venezuela. Face aux difficultés d'approvisionnement en électricité, le gouvernement a pris les mêmes mesures que prendrait n'importe quel autre gouvernement face à une telle situation. D'un côté une campagne d'information auprès de la population a été mises en place avec des messages tels que « je suis prudent, je consomme efficacement », et d'un autre côté, il y a eu une réduction des heures de travail dans les organismes publics afin de minimiser la consommation en énergie.
Face au désapprovisionnement, créé par l'opposition afin des déstabiliser ou pour tenter de provoquer une explosion social, des programmes baptisés « motores » ont été développés afin de développer d'autres moteurs économiques que le pétrole. Ces programmes concernent principalement les manufactures, l'agriculture et le tourisme. On a également développé des activités de cultures urbaines afin de palier au désapprovisionnement et à la distribution d'aliments sur le marché noir. En réalité, ce désapprovisionnement est le résultat de l'accaparement des produits.
Par exemple, le peuple n'a pas les moyens de s'approvisionner en sucre, ni en pain, sous le prétexte qu'il n'y a pas de farine. Mais curieusement, si on fait le tour des boulangeries de Caracas, on peut voir dans les vitrines toute sorte d'articles de boulangerie et de pâtisserie, mais bien entendu à des prix astronomiques. Cela est juste un exemple qui en illustre des centaines d'autres.
Les conquêtes sociales continues cependant de se développer et ce malgré la crise économique. Le gouvernement maintient fermement certains programmes d'éducation, de logements et le système de pensions. Le gouvernement a également multiplié les augmentations de salaires afin que la population puisse faire face à l'augmentation démesurée du prix des denrées.
De nombreux historiens, analystes, voient dans cette guerre économique menée contre la Révolution bolivarienne un remake de la guerre menée par les secteurs oligarchiques chiliens contre le président Salvador Allende dans les années 1970. Selon vous, cette comparaison est-elle justifiée ?
L'époque n'est pas la même, mais oui, il existe des similitudes, et la principale est que ces deux cas sont des guerres économiques menées depuis Washington. Au Chili, se fut de manière couverte, mais aujourd'hui au Venezuela cela est fait à la lumière du jour. La grande différence est qu'au Chili, les militaires ont utilisé la manière forte, et qu'ici au Venezuela, les militaires se présentent comme des citoyens armés.
Nous assistons depuis quelques semaines à une croisade médiatique contre le président Maduro, accusé de tous les maux dont souffre le pays. Cela rappelle étrangement les campagnes de manipulation et de diffamation dont était victime le président Chavez. Comment expliquez-vous cet acharnement médiatique à l'heure ou le Venezuela fait face à d'importants problèmes économiques ?
La croisade médiatique est exactement la même car elle est réalisée par de grands médias internationaux qui dépendent du « grand capital », des corporations et qui sont transnationaux. Chavez ou Maduro ne sont attaqués que pour ce qu'ils représentent. Il s'agit en fait d'une croisade du capitalisme contre un nouveau modèle de socialisme qui, dans le cas du Venezuela, a été adopté par une grande majorité du peuple dans l'espoir d'un nouveau monde possible, plus juste et plus humain. Pour les grandes puissances occidentales, cela est un exemple dangereux qu'il ne faudrait pas que ses propres peuples suivent, d'où une grande motivation pour neutraliser, par tous les moyens possibles, les leaders de ce modèle. Plus le temps passe, plus des informations laissent à penser, à travers des indices mais également certaines preuves, que le président Chavez a été assassiné, victime, en un mot d'un assassinat.
L'opposition vénézuélienne rassemblée autour de la « Mesa de la Unidad Democratica » (MUD) vient de lancer une stratégie globale dans le but de renverser le plus rapidement le président Maduro. Face à cette offensive, quel rôle peuvent jouer les bases chavistes que l'on sait puissantes et bien ancrées au sein de la population ?
Avant de répondre à votre question, je me permets une parenthèse. L'appellation « Mesa de la Unidad Democrática » n'est qu'une appellation. N'allez pas imaginer que l'opposition vénézuélienne est unie autour d'une supposée table. L'opposition est menée par des personnalités politiques de la vieille école du bipartisme pratiqué lors de l'ancienne république, c'est-à-dire AD (pour « Acción Democrática ») et COPEI pour les socialistes chrétiens. De fait, l'actuel président de l'Assemblée Nationale est un membre historique d'AD et nombreux sont les incidents qui démontrent qu'entre les partis d'opposition, l'harmonie n'est tout simplement pas à l'ordre du jour.
Cette situation est diamétralement opposée à celle des dirigeants chavistes dont l'immense majorité est fidèle à l'héritage de Chávez, c'est-à-dire fidèle au président Maduro. En réalité, l'opposition n'a aucune stratégie globale pour sortir Maduro dans le sens d'actions stratégiques planifiées et coordonnées. Ce qu'a l'opposition c'est l'obsession de sortir Maduro, la même obsession que contre Chávez. De fait, l'opposition ne fait aucune proposition, ne présente aucun programme concret pour solutionner les problèmes du pays, mais oriente ouvertement ses actions sur une prise de pouvoir coûte que coûte, par la voie démocratique ou non, dans le respect des lois ou non. Actuellement, l'opposition tente de recourir à une révocation afin de destituer Maduro. Ce processus demande une mise en contexte et une observation attentive, et ce pour plusieurs motifs.
C'est Chávez, que certains médias présentaient comme un dictateur, qui a introduit dans la nouvelle constitution vénézuélienne le principe de révocation, symbole démocratique par excellence dont peut de prétendues démocraties peuvent se vanter. La révocation permet au peuple, en ne réunissant qu'un pour-cent de signatures parmi les électeurs, de solliciter un référendum visant à révoquer à mi-mandat les autorités élues, en ce inclus le président de la république.
L'opposition qui, bien entendu, s'est opposé à la nouvelle constitution, y fait pourtant appel afin de provoquer un référendum pour révocation et n'en est d'ailleurs pas à son coup d'essai. En 2014 déjà, l'opposition a tenté la même action contre Chávez. Malgré des preuves que la liste des signatures présentées par l'opposition à l'époque était plus que douteuse, le président Chávez accepta d'organiser le référendum et d'en accepter le résultat. Et le résultat fut que Chávez remporta le référendum et la prétendue révocation de l'opposition se transforma en réalité en ratification de la présidence de Chávez.
Actuellement, dans le cas de Maduro, les chavistes ne sont pas disposés à accepter que l'opposition fraude afin de réunir les signatures nécessaires. Pour cela, un référendum révocatoire à l'encontre de Maduro n'est pour le moment qu'une prétention de l'opposition. Mais, si ce référendum devait avoir lieu, il n'est pas dit que l'opposition puisse gagner cette révocation et ce pour différentes raisons :
Primo, les manifestations observées dernièrement indiquent le pouvoir de rassemblement du peuple en faveur de Maduro et la faible capacité de convocation de l'opposition. Secundo, comme mentionné dans votre première question, l'opposition a remporté des élections législatives pour la premières fois en quinze ans, mais il faut se rappeler le contexte. L'opposition a gagné en grande partie grâce à une stratégie peu démocratique et grâce à l'abstention de nombreux électeurs chavistes, ou encore d'électeurs qui ont voté dans une situation de mécontentement, des multiples déstabilisations. Enfin, aujourd'hui ces mêmes électeurs observent le comportement de l'opposition face à son Assemblée Nationale et observent également avec attention ce qu'il se passe en Argentine avec un nouveau président néo-libéral.
Dans ce contexte, le rôle des bases chavistes est tout simplement de diffuser la réalité et de continuer le chemin tracé par Chávez avec son « Plan pour la Patrie » et les programmes sociaux qui ont permis au peuple de voter en son âme et conscience, sans se laisser manipuler par les punitions que l'opposition continue de lui infliger afin de le déstabiliser.
Le président Maduro a accusé à de nombreuses reprises le gouvernement des Etats-Unis de vouloir en finir avec la Révolution Bolivarienne. Il a notamment accusé le président Obama d'avoir renouvelé le décret faisant du Venezuela une « menace inhabituelle et rare pour la sécurité des Etats-Unis ». Face à ces accusations de la part du gouvernement vénézuélien, les médias internationaux accusent Maduro de vouloir détourner l'attention de son peuple. Alors ces menaces du gouvernement US, fantasme ou réalité ?
Le décret d'Obama ressemble à une blague. Quant aux accusations, qui a accusé qui ? C'est en réalité les Etats-Unis qui ont été les premiers à accuser le Venezuela avec ce décret. On se demande qui peut vraiment croire qu'un si petit pays comme le Venezuela puisse représenter une menace pour la grande puissance que sont les Etats-Unis. Les menaces du gouvernement américain ne sont pas des simples menaces mais se traduisent dans les faits. L'opposition vénézuélienne est en grande partie financée par les Etats-Unis et la campagne médiatique contre la révolution bolivarienne se prépare dans des laboratoires basés aux Etats-Unis. Dernièrement, ce même Obama a déclaré publiquement que le Venezuela devrait changer de président.
Il est impossible de comprendre la contre-offensive nationale et internationale contre le gouvernement vénézuélien sans prendre en compte le contexte régional : retour de la droite en Argentine, coup d'Etat parlementaire au Brésil... Selon vous, comment expliquer et interpréter ce retour en grâce du néolibéralisme dans la région et quel rôle le Venezuela peut-il jouer pour freiner ce processus ?
C'est là un point crucial. Le néolibéralisme n'attaque pas seulement le Venezuela mais coordonne une attaque globale contre les peuples progressistes d'Amérique Latine comme l'Argentine, la Bolivie, l'Equateur et le Venezuela. Pour assurer le retour du néolibéralisme, tous les moyens sont possibles, la voie médiatique, d'une part, mais également les déstabilisations à travers comme au Venezuela le désapprovisionnement provoquée des produits de première nécessité, et jusqu'à l'infiltration de paramilitaires avec des assassinats bien ciblés. La stratégie est de déstabiliser ces peuples et de provoquer des troubles afin de justifier l'intervention classique au nom de la liberté et de la démocratie.
C'est le même scénario que pour toutes les interventions réalisées par les Etats-Unis tout au long de leur histoire, dans le but d'occuper des territoires. Mais dans ce cas précis, il existe différents paramètres additionnels et tout aussi importants. Il s'agit ici d'un continent qui depuis des décennies est vue par les Etats-Unis comme sa « basse-cour ». Après Fidel Castro a Cuba, des leaders emblématiques tels que Chávez, Morales, Lula, Correa et Kirchner sont apparus et ont insufflé un progressisme pour lequel les peuples les ont suivis en masse. Les Russes et les Chinois sont également présents en Amérique Latine. Par ailleurs, les peuples des Etats-Unis et d'autres puissances occidentales, font actuellement face à des conjonctures sociales qui peuvent devenir dangereuses pour leurs gouvernements.
Le Venezuela peut continuer à jouer un rôle pour freiner la tentative actuelle de retour du néolibéralisme, mais seule l'union des peuples progressistes sud-américains pourra résister à cette attaque globale. C'est le chemin tracé par les libérateurs sud-américains lorsqu'ils ont obtenu l'indépendance de leur pays qui s'est transformé par après en un autre type de colonisation par le capitalisme. D'une certaine façon il s'agit pour ces pays de s'émanciper et de gagner une seconde indépendance.
Signalons tout de même que la non réussite des kolkhozes en URSS n'était pas due au manque de terres fertiles (le double des Etats-Unis - 17m en Russie/10m au Canada et 9,6m aux USA) pour nourrir une population de 140m (USA 310m), mais seulement dû au fait que la géographie à cette époque (sans satellite/internet) se prêtait plus à la corruption qu'au rendement. C'est ainsi que sont apparues dans l'univers économique mondial des pays qui - vivant du pétrole - n'ont fait d'effort intellectuels de multiplier les cordes à leur arc !
C'est aussi pourquoi, les 30m de vénézuéliens (sur 916 000 km²/France 643 000 km²) ont pourtant du mal à se nourrir au pays 'où tout pousse' en climat tropical.
Accord ou pas, Angela Merkel a sacrifié l'Europe pour satisfaire le capricieux Erdogan
Danielle Ryan RT jeu., 19 mai 2016 17:17 UTC
Ce n'est pas une bonne année pour Angela Merkel. En essayant de gérer la crise des réfugiés et de contenter tout le monde, la chancelière allemande a sacrifié l'Europe pour assouvir les caprices d'un dirigeant turc toujours plus despotique.
Le flux de migrants et de réfugiés entrants en Europe
Il n'a pas fallu longtemps pour que la politique d'Angela Merkel dans cette crise revienne la hanter. Un accord qui devait faciliter le flux de migrants et de réfugiés entrants en Europe est désormais sur le point d'échouer à cause des exigences de la Turquie, et les critiques affluent de toutes parts.
Cela fait des mois que Bruxelles et Ankara reviennent sur les détails de cet accord. En renvoyant des réfugiés en Turquie depuis la Grèce, l'accord est supposé réduire la motivation des gens à se rendre illégalement en Europe - et réduire la pression sur Berlin et Angela Merkel. Le projet fonctionnait. Logiquement cela signifie que tous les obstacles à cet accord seraient surmontés pour le maintenir. Désormais Bruxelles exige qu'Ankara précise sa définition du terrorisme. C'est essentiel car, ces derniers temps, le gouvernement de Recep Tayyip Erdogan s'est servi des termes «terroriste» et «sympathisant des terroristes» pour s'en prendre à ceux qui critiquent le régime, y compris les journalistes.
Chantage ou fiasco
Si Ankara se conforme à la liste des 72 exigences de Bruxelles, elle recevra trois milliards d'euros pour faire face à la crise des réfugiés, une reprise des négociations pour l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne et l'exemption de visas pour les citoyens turcs se rendant dans l'espace Schengen. Cependant Recep Tayyip Erdogan ne semble pas vouloir se conformer [aux exigences de Bruxelles]. En réalité, il ne cache pas qu'il est prêt et désireux d'exploiter la détresse de l'Europe. Si Bruxelles ne revoit pas à la baisse ses exigences, il a menacé d'«ouvrir le robinet migratoire».
Les politiciens allemands de tous les partis critiquent vivement Angela Merkel pour exposer leur pays et toute l'Union européenne au chantage du président turc. Sahra Wagenknecht, membre du Parti d'extrême gauche, a accusé la chancelière de laisser l'Europe devenir «vulnérable au chantage» et Recep Tayyip Erdogan croire qu'il peut «écraser les droits de l'homme» à sa guise et ce, avec ce qui ressemble à un soutien tacite de Bruxelles.
Cependant, quand même vos alliés se demandent si vous n'avez pas perdu la tête, il serait peut-être temps de réévaluer vos priorités. Le chef du parti frère de l'Union Chrétienne-Démocrate (le parti d'Angela Merkel), Horst Seehofer, a prévenu que bien qu'il ne soit pas contre des discussions avec la Turquie, il est «dangereux d'en devenir aussi dépendant».
Difficile de ne pas être d'accord avec ceux qui critiquent Angela Merkel quand on regarde sa gestion - ou son absence de gestion - de la crise.
Malheureusement pour Angela Merkel, ces critiques sont plus présentes que jamais. Ceux qui étaient contre sa première politique de portes ouvertes pensent que les dégâts ont été faits et que Recep Tayyip Erdogan profite pleinement du désespoir de Bruxelles d'endiguer le flux de migrants, alors que ceux qui soutenaient cette politique pensent qu'elle a fait volte-face en négociant un tel accord avec la Turquie.
Mais là où elle a vraiment perdu les pédales, c'est quand elle n'a pas défendu un comédien allemand que Recep Tayyip Erdogan réclamait qu'on poursuive en justice pour l'avoir insulté dans un poème. L'humoriste, Jan Böhmermann, a lu un poème satirique à la télévision, provoquant la colère du président turc et touchant légèrement son égo délicat. Angela Merkel a scandalisé des millions d'Allemands et d'Européens en n'émettant aucune objection à ce que Jan Böhmermann soit poursuivi en justice, conformément à une loi allemande qui interdit les insultes envers les dirigeants étrangers. Au lieu de défendre Jan Böhmermann au nom de la liberté d'expression, Angela Merkel a déclaré par l'intermédiaire de son porte-parole que ce poème était «délibérément insultant» - comme si cela rendait la demande du président turc de poursuivre en justice quelqu'un pour l'avoir insulté normale. La décision sensationnelle d'Angela Merkel a clairement montré l'ampleur de l'influence turque sur Berlin.
Le comédien a déclaré plus tard qu'Angela Merkel l'avait «servi sur un plateau» à un despote. Là encore, difficile de ne pas être d'accord. La débâcle a prouvé l'égo fragile de Recep Tayyip Erdogan et la volonté d'Angela Merkel de l'épargner, coûte que coûte. Heureusement, la cour allemande a jusqu'ici plus défendu le droit du comédien à la liberté d'expression que le droit de Recep Tayyip Erdogan à empêcher qu'on dise du mal de lui.
Pourquoi tout cela ?
Essayez, autant que possible, d'imaginer ce que l'Europe peut bien retirer de tout ça ? Soit Bruxelles échoue dans ses négociations avec la Turquie et la crise des réfugiés reprend de plus belle, soit les négociations se poursuivent et la Turquie est sur le chemin de l'exemption de visa pour l'Europe. Faites un petit sondage auprès des Européens et vous verrez qu'ils ne souhaitent ni l'un ni l'autre. En réalité, proposer une exemption de visa à un pays qui a systématiquement été accusé d'accueillir et de financer les combattants de l'Etat islamique est tout à fait incompréhensible pour beaucoup [d'Européens]. Pour ne pas mentionner les flagrantes violations des droits de l'homme et l'emprisonnement des journalistes. -- Commentaire : Seulement les Etats-Unis qui sont derrière Erdogan ont quelque chose à en retirer : - Une cabale de think tanks liés à l'OTAN orchestre la crise des réfugiés --
L'Union européenne n'apprécie guère les disputes entre ses nations. Lorsque l'une d'entre elles menace de sortir des rangs, on commence à nous parler d'«unité» et à nous dire qu'on est mieux ensemble. Si on regarde la relation actuelle entre Ankara et Bruxelles, on voit mal comment la Turquie pourrait faire partie de cette équation. Angela Merkel aurait pu essayer d'arrêter Recep Tayyip Erdogan dans son élan en le prévenant que ses exigences et son chantage permanents ne feraient pas plier Bruxelles mais bloqueraient toute discussion sur l'adhésion à l'Union européenne et l'exemption de visa avec Bruxelles. Mais, là encore, cela fonctionnerait si Erdogan avait un quelconque intérêt à l'adhésion de son pays à l'Union européenne. Quelque chose me dit qu'il n'apprécierait pas beaucoup cette façon de faire. N'oubliez pas que cet homme a déclaré que «la démocratie, la liberté et l'Etat de droit» n'avaient plus «aucune valeur» en Turquie.
Angela Merkel était dans l'obligation de faire des concessions et des sacrifices parce qu'il n'y a désormais pas d'autre choix et pourtant, l'accord est sur le point d'échouer parce que, peu importe ses efforts, le dirigeant turc n'est jamais satisfait.
Pour Recep Tayyop Erdogan, c'est tout ou rien. Il obtient ce qu'il veut ou il envoie balader Bruxelles. Il peut ouvrir «le robinet migratoire» à sa guise et contrôle une base de l'OTAN essentielle aux intérêts stratégiques des Etats-Unis au Moyen-Orient. Avec une telle main, les autres joueurs n'ont aucune chance.
La NSA a participé dans les pires exactions de la guerre en Irak
Soumis par George Washington le 20/05/2016 01:49 -0400
Vous savez que la CIA a participé à certains des aspects moins salés de la guerre en Irak.
Mais la NSA a obtenu ses mains sales, aussi bien.
L’ordonnée à l’origine de rapports:
Dans les premiers mois de la guerre en Irak, SIDtoday [un bulletin interne de NSA] articles se vantait de la part de la NSA à la veille de l’invasion et reflète la confiance de l’administration Bush que Saddam Hussein avait caché des armes de destruction massive.
Aux Nations Unies, les lecteurs ont dit, "SIGINT en temps opportun [signaux intelligence – c'est-à-dire d’espionnage des communications électroniques et connexes, ce que fait NSA] a joué un rôle essentiel" en remportant l’adoption de résolutions relies à l’Iraq, y compris en fournissant des « insights into les nuances des divisions internes entre les cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies. »
Plus précisément:
Soutien SIGINT [par NSA] à la Mission américaine aux Nations Unies [c.-à-d. américains diplomates] a permis et continue permettre à la campagne diplomatique contre l’Irak. Vos efforts ont été essentiels aux plans du Représentant Permanent américain auprès des Nations Unies, l’ambassadeur John D. Negroponte [un beau gentilhomme], comme bien sur du Royaume-Uni Représentant Permanent, HMA Sir Jeremy Greenstock.
(S / / TR) L’Ambassadeur Negroponte a pris en février 2003 pour fournir des commentaires non sollicités sur la qualité, rapidité et la quantité des rapports de la NSA. Il a dit qu’il ne pouvait pas imaginer meilleur soutien du renseignement pour activité diplomatique qu’il reçoit de la NSA quotidienne de déclaration sur l’Irak et l’ONU. Il est particulièrement reconnaissant de l’actualité de cette information et a demandé à notre représentant à la Mission américaine auprès des Nations Unies,... pour passer son grâce à nombreuses personnes impliquées dans sa production et de livraison. Sa seule plainte qui a été "il y a juste tellement de bonnes choses à lire et si peu de temps pour le faire!" L’Ambassadeur Negroponte a été un fervent utilisateur de SIGINT pendant de nombreuses années et visité la NSA en février 2002, s’écriant qu’il n’a jamais reçu de meilleure prise en charge dans ses 40 ans de carrière diplomatique. C’est notre espoir que l’Ambassadeur se rendra NSA à nouveau quand la frénésie de la crise irakienne s’apaise.
Pour sa part, l’Ambassadeur Greenstock, le jour même en février qu’il déposa l’US-UK-Espagne « deuxième résolution » sur l’Irak, intrigué par l’étroite collaboration du Royaume-Uni-États-Unis intelligence, dit que SIGINT, mieux comprendre les nuances des divisions internes entre les cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies (le "P5") ont été très utiles, ce qui lui permet de décider quelle ligne prendre avec P5 homologues à New York et Washington et à tempérer la langue de ses incursions diplomatiques. Le 5 février, le jour où le Secrétaire d’Etat Powell a fait sa présentation au Conseil de sécurité de l’ONU et, en conséquence directe de la déclaration de SIGINT, un amendement de dernière minute a été fait au discours de la ministre des affaires étrangères britannique, faisant la remarque que la COCOVINU inspections avaient déjà été considérablement renforcées.
Et:
Appuyer SIGINT [les ambassadeurs des États-Unis auprès des Nations Unies] efforts diplomatiques de USUN concernant l’Iraq a été exceptionnelle. En temps opportun
SIGINT a joué un rôle essentiel dans l’adoption à l’unanimité des résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU 1441 (renforcement du régime d’inspection et l’Irak a exigé désarment ou faire face à des conséquences graves) et 1472 (révisé le programme d’aide humanitaire pour l’Iraq).
N’oubliez pas, la NSA dirige espionnage industriel très répandue sur nos alliés, comme la Banque mondiale, Fonds monétaire International, Organisation des Nations Unies, le Vatican et le pape, France, les dirigeants de l’Allemagne, Brésil et Mexique, l' Union européenne, le Parlement européen, le sommet du G20et au moins 35 chefs de file mondiaux.
Et la représentante au commerce des États-Unis est l’un des « clients » des données de la NSA.
Comme Edward Snowden a écrit sur la surveillance de masse par la NSA :
Ces programmes ont été jamais sur le terrorisme : ils sont sur l’espionnage économique, le contrôle social et manipulation diplomatique. Ils ont tout pouvoir.
Tant pis la guerre en Irak a été un fiasco total...
Dans un article distinct, l’ordonnée à l’origine de notes que la NSA a participé à la torture :
Le personnel de l’Agence de sécurité nationale a travaillé aux côtés de l’armée, CIA et d’autres organismes sur les interrogatoires à Guantanamo dans les premiers jours de la guerre contre le terrorisme, montrent de nouveaux documents.
*** Liaison avec la NSA ou NSA LNO, serait « coordonner » avec les interrogateurs "pour recueillir des renseignements de valeur à l’entreprise de la NSA et Extended Enterprise" et "responsable de l’interfaçage avec les DoD, CIA et du FBI qui l’interrogeaient sur une base quotidienne afin d’évaluer et d’exploiter les informations provenance de détenus". Dans certains cas, la relation irait l’autre sens, avec la NSA fournissant « des données techniques sensibles Collector NSA et produits de soutenir les efforts d’interrogatoire JTF-GTMO [Joint Task Force Guantánamo]. »
Une liaison de la NSA a fait rapport sur son voyage. « Sur une semaine donnée », écrit-il, il serait « ressaisir intelligence pour supporter un interrogatoire à venir, de formuler les questions et stratégies pour l’interrogatoire et d’observer ou de participer à l’interrogatoire. »
En dehors du travail, « plaisir attend, » il a enthousiasmé. "Sports nautiques sont remarquables : nautique, canotage, pêche, ski nautique et embarquement, voile, natation, plongée en apnée et plongée." Si les sports nautiques étaient "pas votre tasse de thé", il y avait aussi films, poterie, paintball et sorties au Bar Tiki. « Relaxant est facile », a-t-il conclu.
*** Analystes de NSA sont aussi intimement impliqués lors d’interrogatoires en Irak ; un décembre 2003 appel aux volontaires à déployer à Bagdad comme analystes de lutte contre le terrorisme avec l' Iraq Survey Group, qui dirigeait la recherche pour les armes de destruction massive de Saddam Hussein, a déclaré que "le choisi, selon toute vraisemblance, sera impliqué dans l’interrogatoire/interrogatoire des prospects potentiels," ainsi que "l’évaluation et l’analyse des rapports d’interrogatoire et d’autres rapports axée sur le renseignement humain."
Tant pis torture diminue notre sécurité nationale ...
En 2014, l’ordonnée à l’origine a souligné que NSA a également joué un rôle clé ciblant les personnes pour assassinat par drone. Tant pis on ne sais pas qui sont la plupart des gens nous allons tuer...
Aujourd'hui, à l'heure d'internet, (que connaît presque le monde entier), et en connaissance des données véritables de chaque pays, il est parfaitement anormal qu'un pays puisse encore faire la guerre à un autre. C'est pourquoi, afin de provoquer une guerre - en premier lieu civile - ont-ils obligé des millions de personnes à quitter leur pays pour envahir des pays dits riches (qui ne le sont qu'en rêve).
Cette invasion religieuse (ne nous trompons pas) à l'heure où justement elle disparaît de tous les lieux de culte, va forcer les peuples à se révolter.
C'est à cette fin qu'à été mis en place la NSA (entr'autres) afin de surveiller chacune des personnes qui a un téléphone ou/et ordi & carte bancaire. Mise en place de pylônes d'accompagnement (dits de relais mais qui en réalité espionnent uniquement !) ainsi que de drones.
Quelque chose d’étonnant se déroule au large de la côte de Singapour
Soumis par Tyler Durden le 20/05/2016 17:58 -0400
« Je viens à Singapour une fois par an pour les 15 dernières années, et voler dans je n’ont jamais vu les eaux si pleins de tankers au ralenti »
-Senior European oil commerçant un jour après son arrivée dans la cité.
En novembre, alors que la surabondance de l’inventaire brut record du monde était encore à ses premiers tours de batte, nous avons montré ce que nous pensions alors une image inquiétante de dizaines de pétroliers sur l’ancre près du moyeu de pétrole américaine de Galveston, TX, réticents à décharger leur cargaison à ce que les propriétaires du pétrole pensait était trop bas prix.
* * *
Nous ne savais pas que quelques mois plus tard cette vue apparemment sans précédent des superpétroliers cluster serait une pratique quotidienne comme producteurs de pétrole, concernés par Cushing frapper sa capacité d’exploitation, tirerait profit d’huile courbe contango pour stocker leur pétrole au large des côtes indéfiniment.
Cependant, alors que le « stationnement » au large de Galveston a depuis été normalisée, quelque chose de choquant est apparue et a continué de croître à mi-chemin dans le monde entier, juste à côté de la couche de Singapour. Ce.
- voir carte sur site -
Les points rouges montrent les navires soit au mouillage ou à peine bouger, pétroliers ou marchandises, qui ont fait du détroit de Malacca, l’un du monde les plus importants d’expédition de voies qui transporte environ un quart du pétrole tout maritime principalement du golfe Persique dirigé vers la Chine, dans un stationnement de "bumper to bumper" des navires avec des dizaines de millions de barils dans les soutes de combustible.
C’est aussi le sujet de la dernière Reuters exposent sur la surabondance de pétrole physique historique qui continue de construire dans les coulisses, et qui, jusqu'à présent, s’est révélée totalement immunisés contre la dissipation en raison de la forte augmentation des prix du pétrole au cours des trois mois.
En effet, comme le souligne Reuters, prix à terme du pétrole ont bondi de près d’un quart depuis avril, soulevée par des perturbations causées par les déclencheurs tels que des incendies de forêt canadiennes, aux approvisionnements graves actes de sabotage au Nigeria et la guerre civile en Libye. Et encore voler dans Singapour, l’huile trading hub pour la région du monde plus grande consommateur, Asie, révèle une autre image : qu’une surabondance mondiale qui a baissé les prix de plus de 70 % entre 2014 et début 2016 est nulle part près terminée, et que commerçants financiers pari à terme du pétrole brut plus élevé peuvent être dedans pour une surprise du marché physique.
"Je viens à Singapour une fois par an pour les dernières 15 années et voler dans je n’ai jamais vu les eaux si pleins de ralenti tankers," a déclaré un trader senior pétrolières européennes un jour après son arrivée dans la cité.
Comme physique huile principale de l’Asie trading hub, le nombre des navires stationnés assis au large de la côte de Singapour ou dans les eaux malaisiennes à proximité est considéré par beaucoup comme une jauge de santé de l’industrie. A en juger par la présente, les marchés pétroliers sont encore maladifs : une flotte de 40 superpétroliers est actuellement ancrée dans les eaux côtières de la région pour servir de flottant des installations de stockage.
La surabondance n’est pas constante mais augmente avec chaque semaine qui passe : les pétroliers sont remplis de 47,7 millions de barils de pétrole, essentiellement brut, 10 pour cent de la semaine précédente, selon les données de fret nouvellement recueillies dans Thomson Reuters Eikon.
Ce qui est curieux, c’est que l’engorgement persiste malgré la demande apparemment sans relâche par la Chine. Plus tôt aujourd'hui Bloomberg calculé que 74 superpétroliers sont à destination de la Chine, le plus haut en 3 semaines et plus de 69 une semaine plus tôt. La surabondance inerte au large de Singapour est toujours suffisamment d’huile pour satisfaire les cinq jours ouvrables de la demande chinoise, ce qui suggère des récentes perturbations de l’approvisionnement - qui ont eu lieu principalement dans les Amériques, l’Afrique et l’Europe - ont peu fait pour serrer l’approvisionnement en Asie Moyen-Orient producteurs gardent la sortie près de volumes Records pour tenter de gagner des parts de marché.
"Les volumes de pétrole stockées en mer en Asie du sud-est - principalement, Singapour et la Malaisie - semblent avoir augmenté de façon significative," a déclaré Erik Broekhuizen, responsable mondial du pétrolier recherche et de Conseil au courtage maritime basée à New York Poten & Partners. "Les volumes actuels sont les plus élevées pour les cinq dernières années au moins."
Ce qui se passe dans le marché du pétrole semble être que le tout dernier manque de concordance entre le papier et les marchés physiques, quelque chose de tout à fait familier aux négociants de métaux précieux en ces dernières années. Comme le souligne Reuters, plusieurs participants dans les notes récentes de différend marché physique des acteurs financiers comme Goldman Sachs qui prévoit une nouvelle augmentation en brut à terme. « Il est un peu d’engouement des hedge fonds ces derniers mois, pariant sur le renchérissement du pétrole et même que les analystes de Goldman Sachs ont récemment tourné plus haussiers sur les prix du pétrole, » a dit Ralph Leszczynski, directeur de recherche à navire courtiers Banchero Costa.
"Prix risquent d’augmenter aussi autant que le spectre de la sursaturation est toujours là," at-il dit. Cependant, les Leszczynski peut-être à quel puissant élan axée sur l’algo d’escompte peut être si, ou surtout quand, il est complètement déconnecté de principes fondamentaux.
* * *
Alors que la vue des navires à l’ancre n’est pas nouveau, cette fois quelque chose a changé.
Contrairement à avant, lorsque le report de la courbe de l’huile fait le stockage de pétrole au large des côtes rentables, ce n’est plus le cas car financés par le contago des bénéfices offshore ont presque tous disparu.
Pour rappel, stockage de pétrole à bord des navires peut être rentable quand pour la future livraison de pétrole brut, les prix sont plus élevés que dans le marché au comptant, une structure de terme appelée contango, tant que les prix futurs sont suffisamment élevées pour compenser les frais d’affrètement pétrolier. Cependant, avec le report d’un an pour les contrats à terme de Brent s’effondrer de 7,60 $ le baril en janvier, à juste 4 $, bien en dessous des 10 $ que les commerçants disent est actuellement tenu d’effectuer le stockage flottant financièrement attractif, stationnement soudainement pétrolière au large des côtes aboutit à des pertes de stockage. Il en va de même pour le WTI.
Pour un coût de Charte de plus de 40 000 $ par jour pour un très grand Crude Carrier (VLCC) pouvant stocker 2 millions de barils, le report est loin assez raide à rendre rentable pour stocker l’huile sur camions-citernes pour la vente à une date ultérieure.
Cela a conduit à une évolution dramatique sur le marché pétrolier : stockage financée par la dette. Reuters a écrit que la nécessité de stocker le pétrole est si forte que commerçants appellent des banques pour financer les chartes de stockage malgré qu’il n’y ait aucun profit en gardant carburant en camion-citerne aux taux courants.
"Nous recevons des montants inhabituellement élevés de requêtes pour financer les chartes de stockage," dit un financier de commerce principal de l’huile avec une grande banque en Asie. "Ces requêtes proviennent de commerçants pleinement conscients qu’ils ne feront pas un bénéfice de stocker l’huile. Ce n’est pas un jeu de commerce, c’est le marché du pétrole à la recherche d’endroits pour stocker le carburant invendu, » , a-t-il ajouté.
Alors pourquoi les commerçants font cela ?
Simple : ils espèrent que les prix du pétrole vont augmenter rapidement et bientôt assez où l’appréciation du capital en brut sera plus que compenser pour l’accroissement des nouveaux titres d’emprunt qui sera remboursé avec un produit de « vendre plus élevé ». Le risque, bien sûr, est que l’huile ne monte pas et devraient faire culbuter prix, commerçants auront non seulement une perte en capital sur les mains, mais être obligés de faire face à l’effet de levier excessif qu’ils avaient espéré disparaîtrait rapidement.
Pour être sûr, alors que nous avons averti dans le passé sur le danger de stockage offshore devenir non rentables et d’être ramené sur le marché foncier, dans le processus de lancement d’une ruée de dumping de liquidation, il n’a jamais été aussi mauvaise. Un financier de commerce auprès d’une Banque européenne, a déclaré il y a eu un "spike dans l’intérêt des commerçants de pétrole pour financer leurs besoins de stockage" depuis le début de l’année comme des installations côtières étaient presque pleins.
Pourtant, avec des quantités record de pétrole stocké au large et le bénéfice sur cet entreposage aujourd'hui réattribution sur une perte, beaucoup sont se gratter la tête combien de temps encore ce déséquilibré, et financé par la Banque, la situation peut persister.
"Floating storage est sans attrait sur le plan économique, étant donné la structure de la présente période d’application dans l’avenir de brut" Recherche de BMI a déclaré cette semaine. Malgré cela, le BMI a dit que "le volume de pétrole brut en floating storage a considérablement augmenté ces derniers mois," ajoutant que ce phénomène est mondial, avec flottantes de stockage jusqu'à 19,5 % entre les premiers trimestres de 2015 et 2016.
"Il y a clairement encore beaucoup trop brut physique qui circulent à la surabondance d’être terminée," a déclaré le trader de pétrole européen après un vol à Singapour.
Conclusion du commerçant: « Et le marché du papier semble parfaitement inconscient de celui-ci. »
Il est vrai... pour l’instant. Parce que tout ce qui aura pour même les algos de renoncer à poursuivre sur leur lancée vers le haut sans relâche, est pour certains de ces dizaines de millions de barils à venir enfin sur terre, qui maintenant que le report n’est plus rentable, est juste une question de temps.
En attendant, juste garder une trace du stationnement sans précédent des navires au large de la côte de Singapour : il obtient le plus grand, plus violent la chute des prix sera une fois que les banques dites "pas plus" au financement des chartes de perdre l’argent.
Alors que les stocks sont pleins archi-pleins (cause à la chute du prix du baril inconnu chez la pompe) et, que les stocks ont un coût (fabrication/gestion), le pétrole devrait être vendu à moins de 10 centimes d'euro du litre mais ne l'est pas afin d'empêcher les pays de se redresser économiqument et être hors dette en 1 mois ! (baisse du prix à la pompe = baisse des coûts de transports marchandises/passagers ouvertures et créations d'emplois en magasins).
Rendez-vous compte que le stockage du pétrole ... abiotique est similaire à ce que pourrait être le stockage de l'air ou de l'eau ! comme s'ils allaient manquer alors qu'ils sont éternels !!!
Guerre de parcelles des Nations Unies sur la liberté d’expression pour arrêter « L’extrémisme » en ligne
Soumis par Tyler Durden le 20/05/2016 22:30 -0400
Présenté par Alex Newman via la nouvelle Amérique (h/t Brandon Smith),
Le Conseil de sécurité de l’ONU veut un « cadre » mondial pour censurer Internet, aussi bien en ce qui concerne l’utilisation de la propagande gouvernementale pour « contrer » ses apparatchiks disent « propagande en ligne », « idéologies haineuses » et "terrorisme numérique." À cette fin, le Conseil de sécurité de l’ONU cette semaine a ordonné l’ONU « Comité contre le terrorisme » — Oui, c’est une véritable bureaucratie — à établir un plan de l’année prochaine. De l’administration Obama à la Chine communiste brutal régime, tout le monde a convenu qu’il était temps pour une menée par l’ONU de répression de la liberté de parole et pensée en ligne — tout sous le couvert de la lutte contre la guerre de terreur transparente faux
Les Nations Unies, ridiculisé par la critique américaine comme le « club de dictateurs », sera apparemment en partenariat avec Internet plus grand du monde et compagnies de technologie de l’intrigue. Parmi les entreprises impliquées dans le régime est Microsoft, qui, dans un discours prononcé devant le Conseil de sécurité le 11 mai, appelé pour « les partenariats public-privé » entre grandes entreprises et gouvernement Big à la propagande en ligne de bataille. Comme l’a établi ce magazine, Google, Microsoft, Yahoo et autres géants de la technologie supérieure ont embrassé tout publiquement l’ONU et son ordre du jour pour l’humanité. Bon nombre des plus de 70 intervenants aussi dit qu’il est grand temps de censurer l’Internet, avec l’aide du "secteur privé".
À la réunion de l’ONU cette semaine, les 15 membres du Conseil de sécurité de l’ONU, y compris certains des dictatures plus extrêmes et violents de la planète, a affirmé qu’ils voulaient arrêter l’extrémisme et la violence de se propager sur l’Internet. En particulier, les gouvernements font semblant comme si l’effort visait à des groupes terroristes islamistes comme ISIS et al-Qaïda,qui ont reçu le soutien crucial des principaux membres du Conseil de sécurité de l’ONU elle-même. Le terrorisme n’était pas défini. Tout le monde d’accord, cependant, que la terreur ne devrait pas être associée à aucune religion particulière, nationalité, ethnie et ainsi de suite, même si au moins une délégation doigter le gouvernement israélien.
Dans sa « déclaration présidentielle » après la session, le Conseil de sécurité de l’ONU a affirmé que le « terrorisme » pourrait être vaincu qu’avec « droit international » et grâce à la collaboration entre l’ONU et les gouvernements régionaux émergents tels que les différents "syndicats" s’imposés sur l’Europe, Afrique, Eurasie, Amérique du Sud et au-delà. "Le Conseil de sécurité souligne que le terrorisme peut seulement être vaincu par une approche globale et soutenue impliquant la participation active et la collaboration de tous les États, organisations internationales et régionales... conforme à la stratégie de la lutte antiterroriste mondiale des Nations Unies," il a dit. Bien sûr, l’ONU n’a toujours aucun réelle définition du terrorisme, mais il est en train d’usurper ses pouvoirs nouveaux sous le couvert de la lutte contre cet ennemi non défini.
Cependant, les Nations Unies, dans sa guerre contre la liberté d’expression et des droits de l’homme réels dans le monde entier, a offert quelques astuces forts sur son ordre du jour. Selon les responsables de l’ONU, le plan de réglementer l’expression sur l’Internet viendra compléter une autre parcelle connexe UN connu officiellement comme le "Plan d’action visant à prévenir l’extrémisme Violent". Selon The New American l’an dernier, le planappelle à une guerre mondiale contre les "idéologies". Cette croisade comprendra, entre autres composants, des efforts planétaires pour éradiquer tous les "sectarisme anti-musulman," sentiments anti-immigrés, et bien plus encore, l’ONU et Obama a expliqué. Ce que l'on appelle « extrémisme non violente » est également dans le collimateur de l’ONU, comme c’est la liberté d’expression en général.
Il n’était pas immédiatement clair combien une guerre menée par l’ONU contre le "sectarisme anti-musulman" arrêterait ISIS. Le groupe de terreur sauvage, qui selon américaine haut fonctionnaires a été créée et financée par la coalition anti-ISIS de Obama, a été la justification essentielle pour le plan des Nations Unies. Toutefois, selon les grandes lignes du système des Nations Unies l’extrémisme sorti jusqu'à présent, il est clair qu’il n’y aura aucun effort sérieux pour répondre à l’extrémisme croissant des Nations Unies ou l’extrémisme violent d’un grand nombre de ses régimes autocratiques pour la plupart membres. Au lieu de cela, le plan de « l’extrémisme » servira de prétexte pour imposer un large éventail de politiques réellement extrémistes au niveau national, régional et international.
Apparemment inconscients de l’absurdité totalitaire des observations, haut fonctionnaires de l’ONU appelé des sauvegardes contre la « punition excessive » exercé contre ceux qui expriment leurs points de vue sur l’Internet. "La protection de la liberté de la presse peut être une défense contre les terroristes récits" Vice-Secrétaire générale des Nations Unies Jan Eliasson a dit le Conseil de sécurité lors de la réunion cette semaine à un merveilleux exemple de situation. « Il ne doit y avoir aucune punition arbitraire ou excessive contre les gens qui sont simplement exprimer leurs opinions ». Il n’était pas immédiatement clair quelles peines spécifiques gratuite discours serait considérée comme non excessif. , Mais aux États-Unis, en dépit des affirmations des Nations Unies sur la pseudo-« droits de l’homme » exigeant la censure, toute "punition" pour exprimer son point de vue est strictement interdite.
Séparément, la dictature communiste chinoise, quidomine aujourd'hui différentes bureaucraties des Nations Unies, accueilli avec enthousiasme les efforts de l’ONU. S’exprimant au nom de ce régime brutal, Liu Jieyi, représentant permanent de Pékin à l’ONU, a déclaré que les institutions à promouvoir "des idéologies extrémistes" devaient être "fermés". Apparemment, il ne faisait pas référence à le « idéologie extrémiste » du parti communiste chinois ou son régime brutal, qui aassassiné des êtres humains plus innocents que tout autre dans l’histoire. Beijing seul a tué plus de 60 millions de personnes, sans compter ceux massacrés dans les avortements forcés. Autres gouvernements communistes alliés à Beijing ont assassiné des dizaines de millions de plus, juste au siècle dernier.
Alors que l’ONU a un rôle majeur à jouer, les gouvernements doivent également aider à censurer l’Internet et en abolissant la liberté d’expression, le régime communiste a déclaré. "Les États doivent arrêter de certains réseaux de médias sociaux" Liu a continué, appelant l’ONU et ses membres à « couper les canaux pour la diffusion des idéologies terroristes. » Il a également vantéterreur décrets adoptés récemment par Pékin qui ciblent l’Internet et vise à autoriser le déploiement de forces armées de la dictature communiste partout dans le monde. Comme The New American a établi précédemment, la dictature chinoise jouera un rôle majeur dans l’anti-liberté de l’ONU de croisade de discours. En fait, le régime actuellement a ses agents intégrés tout au long de l’ONUet même au sommet de l’Agence Onusienne qui mondialistes oeuvrent pour renforcer comme le régulateur de Internet global. Il prétend que la censure est tout dans l’oeil du spectateur.
Alors même que la Chine communiste et autres membres de l’ONU ouvertement dictatoriaux a souligné censure et règlement à arrêter des idéologies et « propagande » ils n’aiment pas, l' administration Obama, l’Union européenne, et certains de ses États membres souverains autrefois vanté au contraire propagande gouvernementale de la propagande extrémiste compteur. Toutefois, au nom de l’Union européenne, Alain Le Roy également célébré les efforts irresponsable super-état propre pour censurer l’Internet comme quelque chose de faire des émules. Comme ce magazine l’année dernière, la soi-disant force de police de l’Union européenne, Europol, a même lancé une unité entière vise à censurer les "extrémistes" contenu sur Internet. Le porte-parole de l’EU a souligné, entre autres régimes, les efforts de l’UE en cours pour supprimer le « matériel de propagande » d’Internet, ainsi que les efforts de propagande de l’UE à "diffuser des messages alternatifs".
Le représentant de la dictature brutale de la Syrie, Bashar Jaafari, a montré à planter le parti. Il a souligné que plusieurs États membres avaient utilisé des combattants terroristes et mercenaires dans leur quête pour détruire la Syrie. Et il a raison. En effet, dès 2012, US Defense Intelligence Agency des documents montrent que l’administration Obama savait que les "rebelles syriens modérés" il appuyait étaient dirigées par al-Qaïda et des frères musulmans. L’administration et ses alliés travaillaient également pour créer ce qu’ils ont décrit comme une « salafiste Principauté en Syrie orientale » — aujourd'hui la Principauté est connue comme l’État islamique, ou ISIS — pour déstabiliser le régime d’Assad. Même de hauts responsables américains ont ouvertement admis que coalition "anti-ISIS" de Obama était responsable de la création, d’armement et ISIS financement. Quel rôle l’Internet et la « propagande » pourraient avoir joué en ce que, s’il en est, ne faisait pas clairement à la réunion de l’ONU.
En Libye, une situation similaire s’est produite. L’administration Obama, sous couvert de faire respecter une résolution des Nations Unies illégitime, ouvertement, en partenariat avec les dirigeants autoproclamés al-Qaïda pour renverser l’ancien allié de terreur de la guerre des États-Unis Moammar Kadhafi. Le Congrès a été jamais consulté, faire la guerre d’Obama illégal et inconstitutionnel, en plus de la criminalité d’octroyer une aide aux organisations terroristes désignés. Aujourd'hui, grâce à que l’extrémisme, la Libye est un État en déliquescence inondé en armements militaires lourds et de camps d’entraînement terroristes. Une grande partie de l’aide de fourni par l’administration Obama pour les groupes terroristes en Libye a été transférée à soutenir des groupes terroristes en Syrie après la chute du régime de Kadhafi.
Mis à part les gouvernements, les dictateurs et les bureaucrates internationaux, grande technologie a également été représentée à la réunion de l’ONU. Microsoft au vice-président et avocat général adjoint Steve Crown a dit les assemblées représentants des gouvernements et des tyrans qu’il n’existe aucune « solution miracle » pour empêcher les terroristes et les extrémistes d’utiliser Internet. « S’il y a une solution élégante, l’industrie aurait adopté il, » il a affirmé, ajoutant que Google, Facebook et Twitter ont été qui se réunissent pour empêcher l’abus Internet. Facebook a étéexposée cette semaine encore censurer les médias conservateurs de sa section de nouvelles "tendances". Et plus tôt cette année, Google a étéexposés pour avoir aider le gouvernement des États-Unis à fomenter la révolution djihadiste conduite en Syrie.
Reprenant la rhétorique de l’ONU, Couronne a prétendu « droit international » et style fasciste « partenariats public-privé, » dans laquelle les gouvernements et les grandes entreprises unissent leurs forces, ont été la réponse appropriée. Il a également déclaré que la « communauté internationale », un terme trompeur, généralement utilisé pour désigner les Nations Unies et les gouvernements de ses membres, devaient « travailler ensemble de façon coordonnée et transparente ». Le Conseil de sécurité de l’ONU est d’accord, affirmant dans sa déclaration finale qu’il fallait « des moyens plus efficaces pour les gouvernements de s’associer à... partenaires de l’industrie du secteur privé ». C’est presque un nouvel ordre du jour.
Comme The New American indiqué précédemment, les géants de la technologie — tous sont régulièrement représentés lors des sommets de Bilderberg mondialiste — ont égalementémergé comme des partisans enthousiastes de radical "Agenda 2030." l’ONU Selon l’accord, l’objectif est "transformer notre monde" redistribution des richesses au niveau international, en habilitant les institutions de gouvernance mondiale et plus encore. Parmi les méga-corporations fièrement soutenant le régime est les moteurs de recherche des trois meilleurs du monde : Google, Bing de Microsoft et Yahoo. Il n’était pas immédiatement clair si le soutien de ces sociétés à l’ordre du jour des Nations Unies profondément controversé affecterait l’impartialité supposée de leurs résultats de recherche. Mais les critiques du plan des Nations Unies s’est déclaré alarmé néanmoins.
Bien sûr, une poignée des plus de 70 personnes qui s’est exprimé lors du Conseil de sécurité confab lip service rémunéré à la liberté d’expression et la liberté de pensée. Délégation du gouvernement irakien, a souligné par exemple, distinguer la "liberté de pensée." idéologies extrémistes D’autres, a déclaré que la guerre contre l’extrémisme ne pourrait pas servir à justifier la persécuter les critiques des gouvernements. Certains des intervenants avaient sans doute de bonnes intentions, trop.
Cependant, mettre l’ONU en charge de la lutte contre l’extrémisme et idéologies dangereuses serait comme mettre un chef mafieux en charge de la lutte contre la criminalité — c’est évidemment absurde, même grotesque. La plupart des régimes membres de l’ONU est antidémocratique, d’être généreux, et beaucoup d'entre eux sont dirigées par des psychopathes génocidaires qui assassinent en toute impunité. Parmi les autres États membres des Nations Unies, ceux asservir la Corée du Nord, le Zimbabwe, Cuba, Soudan, Chine et beaucoup plus sont menées par les criminels et les meurtriers de masse qui incarnent le terrorisme et l’extrémisme violent. De plus, pratiquement chaque groupe terroriste sur terre aujourd'hui a ses racines dans l’état de parrainage,y compris ISIS etal-Qaeda.
La véritable solution à la terreur, est alors, ni une ONU plus forte, ni une guerre mondiale contre les idéologies, les extrêmes ou autres. Habiliter l’ONU à mener une guerre mondiale contre les idées, idéologies, la propagande et discours est en soi une proposition extrémiste criblée de dangers extrêmes. Une réponse beaucoup plus simple pour le fléau du terrorisme serait de defund l’ONU, arrêter ceux qui soutiennent des groupes terroristeset arrêter l’étayage des dictateurs et les terroristes avec l’argent des contribuables. Tout le reste est une fraude dangereuse.
Regardez comme se mettent en place des gardiens de la dictature afin de contrer toutes oppositions !
Après la lamentable opposition aux présence de scientifiques lors du COP21 en décembre dernier à Paris où, jusqu'aux manifestations extérieures des scientifiques étaient interdites !!! désormais, les manifestations en ligne sur Internet seront également interdites !!!
Interdit de dire que si un glaçon font il PERD du volume et non en gagne (quand on sait que les pôles sont plats comme une feuille de papiers sur des millions de km² avec seulement qq élévations à 50 ou 80 m pour les plus hautes en bordure de banquise cause aux tremblements de terre qui ont fait des rencontres). Interdit de dire la vérité et donc de soutenir les vrais scientifiques qui osent encore dire que la planète se refroidit face aux faux scientifiques (météorologues, cartomanciens, etc) qui parlent aux télés.
Headline WTF du jour : Sénateur dit « U.S. est sous-incarcérés, » devrait enfermer plus de personnes
Soumis par Tyler Durden le 20/05/2016 20:00 -0400
Personne au monde aime verrouillage autant que les américains font les gens derrière les barreaux Comme nous le mentionnions précédemment, nous avons plus de gens en prison que toute autre nation sur la planète. Nous avons également un pourcentage plus élevé de notre population enfermée que personne d’autre ne le fait par une très grande marge. Mais tous de cette prison en fait nous a rendus plus sûrs ? Eh bien, la dernière fois que j’ai vérifié, crime restait sauvagement hors de contrôle en Amérique et pour l’année la plus récente que nous avons des chiffres pour les crimes violents a augmenté de 15 %. Le nombre de personnes que nous avons enfermé a quadruplé depuis 1980, mais ce n'est pas de résoudre tous nos problèmes. De toute évidence, ce que nous faisons ne fonctionne pas.
Voici les taux d’incarcération américain pour 100 000 personnes depuis 1880 :
Terre de la liberté en effet...
Donc, juste au cas où quelqu'un avait besoin d’un peu plus fou à la fin de la semaine, le sénateur Tom Cotton (R -AR) est là pour aider.
Rappelons que l’an dernier, le sénateur de l’Arkansas a dit qu’il y avait trop de lits vides à Guantanamo...
- voir graphique sur site -
"À mon avis le seul problème avec Guantanamo Bay est qu'il y a trop de lits vides et cellules là dès maintenant. Nous devons envoyer davantage de terroristes là pour interrogatoire plus loin pour assurer la sécurité de ce pays. Pour autant que je suis concerné chaque dernier d'entre elles peut pourrir en enfer."
Profitez de...
- voir clip sur site -
Il semble que la seule chose sur esprit du coton se remplit de cellules de la prison, parce que maintenant le sénateur veut agrandir des prisons américaines, donc ils peuvent être remplis jusqu’encore. Lors d’un discours à l’Hudson Institute, coton a déclaré que si quoi que ce soit, les Etats-Unis ont un problème d’incarcération sous.
"Il y a un projet de loi au Congrès maintenant qui réduirait fortement les peines minimales obligatoires pour un grand nombre de crimes fédéraux. Les défenseurs du projet de loi affirment que nous sommes enfermer trop de délinquants, pour trop long, pour trop peu et nous ne pouvons pas le permettre en tout cas, et nous devrions montrer plus d’empathie envers ces pris dans le système de justice pénale. Ces arguments mis sont tout simplement sans fondement. Jetez un oeil à des faits. Tout d’abord, la réclamation que trop de criminels sont emprisonnés, qu’il n’y a suremprisonnement, ignore un fait malheureux. Pour la grande majorité des crimes, l’auteur est jamais identifié, ou arrêté, et encore moins poursuivi, condamnés et emprisonnés. Application de la Loi est capable d’arrêter ou d’identifier un auteur probable que 19 pour cent des crimes contre les biens et 47 % des crimes violents. Si quoi que ce soit, nous avons un problème d’incarcération sous."
Il n’y a 2,3 millions d’américains dans la prison ou la prison. The US a 5 pour cent de la population mondiale, mais 25 % de ses prisonniers. Une personne sur trois noir hommes peuvent s’attendre à passer du temps en prison. Il y a 2,7 millions de mineurs avec un parent incarcéré. Le taux d’incarcération a augmenté de plus de 400 % depuis 1970.
Des recherches récentes suggèrent que l’incarcération a perdu sa puissance. Un rapport publié cette semaine du centre Brennan pour la Justice à la New York University School of Law constate que accrue d’incarcération a eu un effet très limité sur la criminalité depuis deux ans et demi ans.
– De l’article cinq-trente-huit : le Imprisoner de dilemme
Malheureusement pour Monsieur Cotton, si prisons pourraient s’élargir et devenir plus pleinement qu’ils le sont déjà, tous les problèmes du monde ne seraient pas tout simplement disparaître. Peut-être coton devrait rejoindre une banque centrale, ainsi il peut être entre collègues "peuple magique" et de vivre dans le déni d’anecdotes, l’histoire et faits.
Perhap suivantes sont 21 faits étonnants sur l’obsession de l’Amérique avec la prison pourraient aider M. Cotton...
#1 Il n’y a plus de 2,4 millions de personnes derrière les barreaux en Amérique que vous avez lu cet article.
#2 Depuis 1980, le nombre de personnes incarcérées aux États-Unis prisons a quadruplé.
#3 Le taux d’incarcération aux Etats-Unis est 4 fois plus élevé que le taux d’incarcération au Royaume-Uni et plus de 6 fois plus élevé que le taux d’incarcération au Canada.
#4 Enregist rement environ 12 millions de personnes dans les prisons locales aux États-Unis chaque année.
#5 Dans l’ensemble, les États-Unis ont la plus importante population carcérale et le taux d’incarcération plus élevé dans le monde entier.
#6 Environ un sur chaque quatre prisonniers sur l’ensemble de la planète sont dans les prisons américaines, mais les États-Unis ne représente environ 5 % de la population mondiale totale.
#7 L’état du Maryland (population totale de 5,9 millions) a plus de gens en prison que l’Iraq (31,9 millions de la population totale).
#8 L’état de l’Ohio (population totale de 11,6 millions) a plus de gens en prison que Pakistan (192,1 millions de la population totale).
#9 Incroyablement, 41 % de tous les jeunes gens en Amérique ont été arrêtés au moment où ils tournent le 23.
#10 Entre 1990 et 2009, le nombre d’américains dans les prisons privées a augmenté d’environ 1600 %.
#11 À ce stade, prison privée sociétés exploitent plus de 50 pour cent de tous les "jeunes établissements pénitentiaires" dans ce pays.
#12 Il y a plus les Afro-américains sous « surveillance correctionnelle » dès maintenant qu’étaient dans l’esclavage aux États-Unis en 1850.
#13 Environ 90 % de ces détenus dans les prisons aux Etats-Unis sont des hommes.
#14 Le taux d’incarcération des hommes afro-américains est 6 fois plus élevé qu’il ne l’est pour les hommes blancs.
#15 Une étonnante 37,2 % des hommes afro-américains de 20 ans d’âge 34 avec moins d’un diplôme d’études secondaires ont été incarcérés en 2008.
#16 Police dans la ville de New York a réalisé presque 700 000 « arrêt-et-palpation" seulement en 2011.
#17 Le "SWATification" de l’Amérique a obtenu complètement et totalement hors de contrôle. En 1980, il y seulement environ 3 000 SWAT raids aux États-Unis pendant toute l’année. Aujourd'hui, il y a plus de 80 000 raids SWAT aux États-Unis chaque année.
#18 Immigrés clandestins représentent environ 30 % de la population totale dans nos prisons fédérales, nationales et locales.
#19 Le détenu de sécurité moyenne « minimale » dans la prison fédérale de contribuables coûts U.S. $ 21 000 par an.
#20 Détenu dans la prison fédérale de contribuables coûts U.S. $ 33 000 par an moyenne « haute sécurité ».
#21 Dans l’ensemble, il en coûte plus de 60 milliards de dollars par an pour garder tous ces gens enfermés.
* * *
Enfin, on se demande à quel point M. Cotton obtient des prisons privées de l’état profond de financement ?
« Hillary Clinton est un Danger pour la paix mondiale », avertit favori présidentiel française Le Pen
Soumis par Tyler Durden le 20/05/2016 15:44 -0400
Médias américains a comparé à plusieurs reprises candidat présomptif de GOP Donald Trump au chef du parti Front National extrême-droite française et leader dans les bureaux de vote pour l’élection présidentielle de 2017 Français, Marine Le Pen et alors que le franc politicien Français n’a pas explicitement nommé un candidat « préférable » pour les USA Président, ses observations suggèrent aujourd'hui que ce n’est pas Hillary Clinton. Affirmant que le "Union européenne est au bord du gouffre," comme deux de ses principaux « piliers » "s’effritent" malgré les milliards d’euros dépensés sur le maintien de la structure de la chute, craint plus graves Hillary Clinton de gagner la maison blanche parce que cela constituerait « un danger pour la paix dans le monde, » qu’elle continuerait à faire glisser l’Europe dans sa politique « destructrice » des conflits Le Pen. Tout en refusant d’approuver des États-Unis présidentielle favorisLe Pen a dit RT qu’elle estime qu’il est celui qui ne profiterait certainement pas la France. “Il y a un candidat qui semble beaucoup plus dangereux pour la France que les autres – que les de Hillary Clinton," le chef du Front National, France RT a dit dans une interview exclusive. "Je ne suis pas américain donc je n’ai besoin de faire un choix. Mais... dans l’intérêt de la France, Hillary Clinton est sans doute le pire choix là-bas. » Le Pen voit le leader démocratique comme si « dangereux » en raison de la carrière de Mme Clinton comme Secrétaire d’État américain, dans lequel elle travaillait "main dans la main avec l’éventail complet des décisions américaines" qui finit par "plongé le monde objectivement dans le chaos." « Je pense que si elle est élue elle continuerait cette politique, une politique destructrice, une politique du conflit, une politique d’emprisonnement de l’Europe dans l’atlantisme aveugle », a déclaré Le Pen. « Je pense que c’est un danger pour la paix mondiale ». En décembre, Le Pen, qui elle-même espère gagner de France élections présidentielles 2017, critiqué favori républicain Donald Trump pour proposant d’interdire presque tous les musulmans d’entrer aux États-Unis. « Sérieusement, ont déjà entendu me dire quelque chose comme ça ? » Le Pen a déclaré dans l’une de ses interviews, probablement en réponse à comparé avec Trump. « Je défends tout le peuple Français en France, quelle que soit leur origine, quelle que soit leur religion. » En outre, le chef du parti Front National de droite dure de la France estime que l' effondrement n’est pas une question de "si" mais "quand", dit l’UE "brille de la lumière d’une étoile morte" alors que ses dirigeants ont du mal à jouer pendant un temps « au prix de milliards essayant de tenir cette structure vers le haut. » “Je crois que l’Union européenne est en train de s’effondrer sur lui-même pour une raison simple. Les deux piliers sur lesquels il repose – Schengen et l’euro, sont en train de s’effriter," Le Pen dit à Marie De Douhet de RT France dans une interview exclusive. « Alors ils sont dans une sorte de spirale folle dans laquelle ils sont capables de tout aujourd'hui pour essayer de garder ce bâtiment debout. »
Intégralité de l’interview ci-dessous : - voir sur site:
La Chine exige US « Cesser immédiatement » les missions d’avion espion provocateur près de ses frontières
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 20/05/2016 08:03 -0400
Quelques jours après un rapport que deux avions de chasse chinois J-11 ont buzzé un avion-espion américain au-dessus de la mer de Chine du Sud, Beijing a augmenté officiellement de son mécontentement à la surveillance des Etats-Unis vers le haut de la chaîne de commandement et comme le rapporte Reuters, Beijing a demandé de mettre fin à toute surveillance américains près de la Chine.
Pour rappel, un fonctionnaire de la défense américaine a déclaré que deux avions de chasse chinois J-11 ont volé à moins de 50 pieds (15 mètres) de l’avion américain EP-3, en ce que le Pentagone considérait comme une interception "potentiellement dangereuse". Et, à l’instar de la Russie, la Chine a eu assez et exige la fin des provocations américaines.
« Il convient de souligner que les avions militaires américains ont fréquemment procéder à la reconnaissance dans les eaux côtières chinoises, mettant sérieusement en danger la sécurité maritime chinoise » Porte-parole du ministère des affaires étrangères de la Chine Hong Hong Lei a déclaré aux journalistes, ajoutant « nous exigeons que les États-Unis immédiatement cesser ce type d’activité de reconnaissance étroite pour éviter d’avoir ce genre d’incident ne se reproduise. »
Lors d’un point de presse régulier, il a décrit la déclaration du Pentagone comme « pas vrai » et dit que les actions de l’avion chinoise étaient "complètement conformes à la sécurité et les normes professionnelles". « Elles maintiennent des comportements sécuritaires et n’ont pas un comportement de toute action dangereuse », a déclaré Hong.
La rencontre intervient une semaine après que la Chine brouillés des avions de chasse quand un navire a navigué à proximité d’un récif contesté dans la mer de Chine du sud de la marine américaine. Une autre interception chinoise a eu lieu en 2014 quand un pilote de chasse chinois a volé des manœuvres acrobatiques autour d’un avion-espion américain.
Nous sommes convaincus que la Russie fera écho des inquiétudes de la Chine. Comme nous avons résumé plus tôt cette semaine, juste le mois passé, il y a eu au moins quatre survols au programme qui a étroitement impliqué des avions de chasse russes proches nous suit les incursions :
(suite en dessous:)
Tout d’abord un russe Su-24 a « buzzé » le destroyer lance-missiles américain USS Donald Cook dans la mer Baltique aurait été au-dessus des eaux territoriales russes ; puis quelques que jours plus tard, un autre avion de chasse russe a effectué à moins de 50 pieds d’une recon États-Unis avion a également survolé la mer Baltique ; elle a été suivie d’une troisième rencontre quand un peu plus d’une semaine plus tard un russe Mig-31 s a volé moins de 50 pieds d’un avion-espion américain survolant une base navale russe dans la péninsule du Kamtchatka ; la quatrième provocation a eu lieu quelques jours plus tard lorsque dans l’un SU-27 russes a effectué un tonneau sur un U.S. Air Force RC-135 reconnaissance avion survolant la mer Baltique.
RépondreSupprimerL’ordonnée à l’origine chinoise s’est produite jours avant que le président Barack Obama se rend dans certaines régions d’Asie du 21 au 28 mai, y compris un sommet du groupe des sept au Japon et son premier voyage au Vietnam.
Washington a accusé Pékin de militariser la mer de Chine méridionale après la création d’îles artificielles, tandis que Pékin, à son tour, a critiqué une augmentation des patrouilles navales américaines et exercices en Asie. En 2015, les Etats-Unis et la Chine a annoncé des accords sur une ligne d’assistance militaire et les règles de comportement pour régir les rencontres air/air appelées le Code pour imprévus rencontre à la mer (repères).
« C’est exactement le type d’interceptions irresponsables et dangereuses que l’annexe air/air aux indices est censé pour prévenir, » a déclaré Greg Poling, directeur de l’Initiative de transparence Maritime Asie de Washington Center for Strategic and International Studies de la réflexion.
La Chine a tiré en retour qu’il n’y aurait aucun besoin pour les interceptions « irresponsables » si les Etats-Unis n’a pas lancé des missions de reconnaissance en premier lieu.
Cependant Poling pressé et a déclaré qu’une partie de la force aérienne de la Chine "n’avait pas obtenu le message", ou elle a été conçue comme un signal de mécontentement avec la récente liberté américaine des actions de navigation dans la mer de Chine méridionale. « Si ce dernier, il serait très décevant pour trouver la Chine de sacrifier l’annexe repères pour tactique de diversion politique. »
Zhang Baohui, un expert en sécurité à l’Université Lingnan de Hong Kong, a dit la rencontre a mis en évidence de la limitation des indices et montre que les pilotes chinois voleraient encore à proximité d’avions de surveillance américains si nécessaire. « Franchement, nous avons toujours allons voir ce genre d’incidents que la Chine sera toujours mis la priorité sur la sécurité nationale sur quelque chose comme indices chaque fois qu’elle sent que ses intérêts sont directement menacés, » dit-il.
La dernière rencontre a eu lieu dans l’espace aérien international environ 100 milles marins au sud de la Chine continentale et à environ 50 milles à l’est de l’île de Hainan, un porte-parole du Pentagone a déclaré dans un communiqué publié jeudi par la suite.
(suite en dessous:)
Pourquoi les Etats-Unis espionne Hainan ? Parce que les bases de sous-marins de la Chine sur Hainan sont abrite une expansion flotte de sous-marins de l’arme nucléaire et une grande cible pour les opérations de surveillance de l’ouest en cours. La côte de Guangdong est également considérée comme abrite quelques-unes de Chine les plus avancés de missiles, y compris l’arme anti-navire de DF - 21d.
RépondreSupprimerEt c’est pourquoi l’espionnage américain dans la région va continuer, alors même que le Pentagone tente de mettre le blâme sur Pékin pour toutes ces futurs « close encounters » jusqu'à ce que finalement il y a un incident « inattendu ».
http://www.zerohedge.com/news/2016-05-20/china-demands-us-cease-immediately-provocative-spy-plane-missions-near-its-borders
“Une situation de pré-guerre civile s’installe en France”
RépondreSupprimerMylène Vandecasteele
20 mai 2016
En France, des agents de police ont manifesté mercredi contre la haine de la police qui s’est manifestée plus intensément que jamais au cours de ces derniers jours. Sur les dernières semaines, 300 policiers ont été blessés dans diverses manifestations contre la réforme du code du travail, qui vise à faciliter l’accès à l’emploi par l’assouplissement et la simplification des lois sur le travail strictes et complexes.
Pendant ce temps, une vidéo qui a circulé sur Internet montre comment des manifestants attaquent une voiture de police, brisant ses vitres, alors que deux policiers s’y trouvent, et lançant un cocktail Molotov. L’un des policiers occupants sort de la voiture en proie aux flammes et se fait attaquer par un manifestant armé d’un bâton.
Des manifestations violentes contre le modèle de société occidentale, capitaliste et libérale
Dans le journal Le Figaro, le journaliste Ivan Rioufol estime que son pays sombre lentement mais sûrement dans une guerre civile : “Une situation de pré-guerre civile s’installe en France”, écrit-il, notant que la classe politique et les médias ne semblent pas réagir face à cette réalité.
Auparavant, lorsque les manifestations dégénéraient, on appelait les CRS (Les Compagnies républicaines de sécurité, un corps de la police française) pour réprimer les fauteurs de troubles. Mais désormais, ce ne sont plus les CRS qui portent les premiers coups de matraque et lancent les assauts, mais “les casseurs qui veulent tuer du flic”.
Rioufol rapporte les déclaration d’un policier, selon lequel la police utilise entre 400 et 1000 “grenades de désenclavement” lors de chaque manifestation pour assurer sa propre sécurité, et disperser certains manifestants pour les empêcher de se regrouper pour former des bandes agressives.
“Ce qui se dévoile progressivement est ce que j’annonce dans “La guerre civile qui vient” : la contestation violente du modèle de société occidentale, capitaliste et libérale. Le rejet est porté en commun par la gauche radicalisée et par l’islam politique, qui fait passer le musulman pour le nouveau damné de la terre. Cet islam révolutionnaire s’est déjà introduit dans de nombreux syndicats. Il apporte une force conquérante inédite et potentiellement brutale. Il s’est immiscé également dans les rangs de Nuit debout, à travers la défense de la cause palestinienne et le boycott d’Israël (mouvement BDS : Boycott Désinvestissement Sanctions). […]
Ces individus et leurs complices soi-disant victimes de la police ont pour objectif la guerre civile, affirme Rioufol. Or, “cette même police est applaudie par une majorité de Français, pour sa vaillance lors des derniers attentats islamistes”.
https://fr.express.live/2016/05/20/france-climat-guerre-civile/
La demande d’armes légères « Protection » en Allemagne explose comme peur monte contre les immigrants
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 20/05/2016 03:00 -0400
Comme l’immigration la crise continue de s’intensifier en Europe, les allemands achètent protection - beaucoup de celle-ci.
Rappelons que l’an dernier, suite à une 600 % contre les surtensions en achats de vaporisateur de poivre, le pays a effectivement fini par manquer de produit. Peu après, suite à une vague de nouvel an aux attaques, par la suite monté en flèche de ventes d’armes de petit calibre.
Maintenant, nous apprenons que dans les trois premiers mois de 2016, la peur continue d’être à la hausse, comme les licences d’armes légères en Bavière ont déjà doublé l’ensemble total pour 2015. Comme le nombre de réfugiés est passé en 2015 et 2016, a fait ainsi le nombre d’habitants, demande de permis d’armes légères - autorisation d’utiliser des pistolets de tir à blanc les Local rapports. Les pistolets de tir à blanc sont conçus pour éloigner les assaillants, mais peuvent également s’avérer mortels.
Les demandes de ces armes n'a cessé d’augmenter au cours des dernières années, avec des applications de 2014 et 2015 étant 2 379 et 5 748 respectivement. Toutefois, les trois premiers mois de 2016 a déjà dépassé le total ensemble pour 2015. Au février seulement, 7 435 licences ont été accordées et mars ont vu un autre 4 677.
Il convient de répéter que le paysage politique en Allemagne est déplacée vers un ton plus hostiles aux immigrés, comme nous l’avons montré dans la montée du parti anti-immigration l’AfD dans les sondages (à l’appui manifeste contre l’Islam de l’AfD).
La hausse explosive du nombre de licences d’armes légères se distribuaient est inquiétante. Nous n’avez pas besoin du peuple de Bavière s’arme. La possession d’armes et en pratiquant des justiciers ne sont pas un exemple que nous voulons créer. Le danger est que plus et plus de conflits augmenteront si plus de gens s’arment. Nous devons agir contre cela. » a déclaré Katharina Schulze, porte-parole des affaires intérieures pour le Parti vert en Bavière.
Schulze a une raison d’être inquiet, car non seulement le sentiment politique change, mais la violence contre les réfugiés est maintenant à la hausse. Il y a quelques jours seulement de rappeler quand nous a signalé que les incendies criminels ont augmenté à l’abris de réfugiés et police ont exprimé des inquiétudes sur le regain de violence.
Alors que la situation en Allemagne (et autres pays européens) reste tendue en ce qui concerne la crise de l’immigrant, si la Turquie ne soit pas tout ce qu’il veut et plus de l’Union européenne, le nouveau flot de réfugiés s’intensifiera la situation à un nouveau niveau entier.
http://www.zerohedge.com/news/2016-05-19/demand-small-arms-protection-germany-explodes-immigrant-fear-rises
RBI et rêves d’argent gratuit
RépondreSupprimerMyret Zaki
17 Mai 2016
L’initiative populaire qui voudrait inscrire dans la Constitution le droit pour tous à un revenu de base inconditionnel (RBI) sera très probablement rejetée le 5 juin, puisque le dernier sondage la donne perdante à 72%.
Cela signale que les Helvètes, adeptes de l’effort et du mérite, ne sont pas prêts à abandonner un système éprouvé pour un projet inabouti, dont le financement est incertain, et qui repose sur une philosophie de vie largement sujette à débat. Notre dossier explore les pistes qu’ouvrent néanmoins ces réflexions et débats essentiels sur l’avenir du marché du travail.
Au-delà de la votation, la question est pourquoi un tel projet, qui propose d’obtenir de l’argent gratuit, c’est-à-dire sans effort en contrepartie, a vu le jour à notre époque. Certes, l’idée du RBI est ancienne; mais l’idée de l’argent gratuit, elle, a opéré une incursion récente dans l’air du temps. Ses promoteurs: les banques centrales. Se pourrait-il que les politiques monétaires aient inspiré, ne serait-ce qu’un peu, l’initiative du revenu de base ?
«La planche à billets au peuple !»
Oui. La réponse se trouve en effet dans un argument fréquent des partisans du RBI. Ces derniers, défendant le projet sur les réseaux sociaux, en viennent souvent à suggérer, lorsqu’on leur objecte son coût élevé pour la société: «De toute façon, les banques centrales impriment déjà de l’argent gratuit, alors autant en faire profiter le plus grand nombre: le RBI n’a qu’à se financer avec la planche à billets de la BNS !» En arrière-plan, il y a l’idée de mettre la main sur cette planche à billets qui pour l’heure ne profite pas au peuple, mais au secteur financier et à la spéculation boursière.
Il devient alors clair que les politiques monétaires, aussi mal avisées qu’inefficaces, de ce début de millénaire, ont influencé la manière dont une partie des citoyens pense son rapport à l’économie, à l’argent et au travail. Le paradigme de la dette gratuite, qui n’est plus l’exception mais la règle, a fait croire au Père Noël et engendré des velléités de quelques-uns de voir des pans plus larges de la population profiter des largesses des banques centrales.
Les abus de la planche à billets ne pouvaient être bénins; ils ont agi directement sur la vision de la société, ont façonné les mentalités. Et, tout comme la robotisation, mais pour des raisons très différentes, les politiques monétaires ont elles aussi contribué à déconnecter l’argent du travail, puisque la Fed, la BCE et la BNS recourent de plus en plus à la création monétaire ex nihilo.
Lorsque, deux décennies durant, la «banque centrale du monde», à savoir la Fed, applique des taux zéro, qui permettent d’obtenir du cash quasi gratuitement, cela dévalue le travail et crée un contexte où l’argent n’est plus affaire de travail salarié, mais affaire de quiconque se présente devant son courtier, son bancomat, son agence auto, son site de crowdfunding, son terminal de carte de crédit ou même son voisin (qui a lui-même emprunté à 0% pour vous prêter à 1%).
(suite en dessous:)
Il importe de souligner que la Suisse est largement épargnée par ces dérives, et que même la bulle hypothécaire y a été contenue. Mais depuis 2008, l’opinion publique suisse a elle aussi été exposée à la création massive de liquidités par les banques centrales et à la banalisation de ces politiques.
RépondreSupprimerDe plus en plus, travailler et épargner au lieu de s’endetter à 0% pour spéculer deviendra une démarche volontariste, voire paraîtra masochiste. Les Suisses résisteront à cette facilité parce que leur économie reste bâtie sur l’épargne et l’investissement. Et parce qu’ils peinent à voir la contribution du RBI à cette prospérité qu’ils ont bâtie et préservée, ils diront probablement non le 5 juin.
http://www.bilan.ch/myret-zaki/redaction-bilan/rbi-reves-dargent-gratuit
Dans une République, c'est le Peuple qui dirige le chef des fonctionnaires d'Etat, dans une dictature ce sont les banques privées et le 'chef d'Etat' qui dirigent le pays.
SupprimerConfier un pays à une dictature ne peut le mener qu'à la faillite.
Ça y est ! Le premier jetpack sera bientôt commercialisé
RépondreSupprimerReeva Verlinden
19 mai 2016
Mylène Vandecasteele
Peter Coker, CEO de Martin Jetpack, s’apprête à transformer la science-fiction en réalité, écrit le Financial Times. En juin, la firme australienne commencera à produire en série son P-14, un jetpack à essence en fibre de carbone pouvant voler à une altitude de presque 1 km et à une vitesse de 74 km/h. Son prix ? Entre $200.000 et $250.000.
La Défense Civile de Dubaï et Avwatch, une société américaine, ont signé des mémorandums que Martin Jetpack espère voir transformés en commandes. Les nouveaux appareils sont destinés aux services d’urgence : pompiers, police et sécurité frontalière.
Martin Jetpack utilisait auparavant un engin à pétrole V4 à deux temps, mais les nouveaux P-14 et P-15 seront équipés d’un engin rotatif plus puissant. Les nouveaux modèles, qui ne possèdent pas de rotors, ont accès à des endroits confinés et peuvent passer entre deux édifices. Leur pilotage est « bien plus amusant et sûr que celui d’un hélicoptère ».
Le marché chinois
Depuis l’arrivée de M. Coker au poste de CEO en 2013, la firme a embauché plus de 70 personnes et elle est entrée dans l’Australian Securities Exchange, soutenue par la société de Hong-Kong, Kuang-Chi Science. Cette collaboration ouvre le marché chinois à l’entreprise australienne.
Martin Jetpack s’adresse principalement au marché des services d’urgence, plus lucratif, alors que son fondateur visait plutôt le secteur des jets personnels. Mais la firme reste ouverte. Les appareils pourraient être vendus à des personnes riches ou célèbres pour « préserver le rêve de Glenn Martin ».
https://fr.express.live/2016/05/19/le-premier-jetpack-commercialise/
L'oligarchie vénézuélienne et les Etats-Unis mènent une guerre économique contre Maduro
RépondreSupprimerJean Araud
Investig'Action
ven., 20 mai 2016 15:28 UTC
Depuis quelques semaines, le Venezuela fait régulièrement la une de l'actualité internationale. Comme au temps d'Hugo Chavez, une importante campagne médiatique de dénigrement et de mensonge est menée contre la Révolution Bolivarienne. Même si en effet le Venezuela traverse une période difficile notamment sur le plan économique, la réalité de la situation décrite par les médias s'avèrent très souvent partial et caricaturale. Journaliste installé depuis quarante au Venezuela, Jean Araud suit de très près l'actualité dans le pays. Son analyse de la situation diffère radicalement de ce qu'on entend généralement dans les médias dominants.
Le 6 décembre dernier, l'opposition vénézuélienne remportait pour la première fois en quinze ans les élections législatives. Quatre mois plus tard, quel bilan pouvons-nous tirer des premières actions de l'opposition à l'Assemblée Nationale?
En réalité aucun bilan ne surprend véritablement. Le nouveau président de l'Assemblée Nationale, Ramos Allup, est un politicien de la vieille école bien connu des Vénézuéliens pour son style provocateur. Le bilan est marqué par des provocations suivies d'autres provocations. La nouvelle Assemblée Nationale a tenté d'ignorer les autres niveaux de pouvoirs, en essayant par exemple d'imposer trois de ses députés qui avaient été élus de manière frauduleuse, ou en essayant de faire passer certaines lois des plus extravagantes. Parmi ces lois, une « loi d'amnistie » a pour objectif de pardonner des personnes condamnées et qui purgent leur peine, ou des hors-la-loi, pour des actes de corruption. Le véritable bilan est un véritable show médiatique, prudemment diffusé par certains grands médias internationaux, et plusieurs protestations populaires contre les prétentions de l'Assemblée Nationale, celles-là avec peu de couverture médiatique. Mais jusqu'à présent, cette Assemblée Nationale n'a pas réussi à imposer ses trois députés, ni aucune de ses lois extravagantes.
Côté économique, le Venezuela a été frappé de plein fouet par la baisse du prix du pétrole. Puis, depuis quelques semaines, le pays fait face à une terrible sécheresse qui affecte sérieusement l'approvisionnement en énergie. Enfin, l'oligarchie économique mène depuis des années une redoutable guerre économique en créant désapprovisionnement, pénuries... Face à ce contexte difficile, quelles sont les principales mesures qu'a prises le gouvernement pour d'un côté affronter ces problèmes et de l'autre conserver les nombreuses conquêtes sociales acquises ces quinze dernières années ?
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Cette question et une synthèse parfaite du panorama général actuel au Venezuela. Face aux difficultés d'approvisionnement en électricité, le gouvernement a pris les mêmes mesures que prendrait n'importe quel autre gouvernement face à une telle situation. D'un côté une campagne d'information auprès de la population a été mises en place avec des messages tels que « je suis prudent, je consomme efficacement », et d'un autre côté, il y a eu une réduction des heures de travail dans les organismes publics afin de minimiser la consommation en énergie.
RépondreSupprimerFace au désapprovisionnement, créé par l'opposition afin des déstabiliser ou pour tenter de provoquer une explosion social, des programmes baptisés « motores » ont été développés afin de développer d'autres moteurs économiques que le pétrole. Ces programmes concernent principalement les manufactures, l'agriculture et le tourisme. On a également développé des activités de cultures urbaines afin de palier au désapprovisionnement et à la distribution d'aliments sur le marché noir. En réalité, ce désapprovisionnement est le résultat de l'accaparement des produits.
Par exemple, le peuple n'a pas les moyens de s'approvisionner en sucre, ni en pain, sous le prétexte qu'il n'y a pas de farine. Mais curieusement, si on fait le tour des boulangeries de Caracas, on peut voir dans les vitrines toute sorte d'articles de boulangerie et de pâtisserie, mais bien entendu à des prix astronomiques. Cela est juste un exemple qui en illustre des centaines d'autres.
Les conquêtes sociales continues cependant de se développer et ce malgré la crise économique. Le gouvernement maintient fermement certains programmes d'éducation, de logements et le système de pensions. Le gouvernement a également multiplié les augmentations de salaires afin que la population puisse faire face à l'augmentation démesurée du prix des denrées.
De nombreux historiens, analystes, voient dans cette guerre économique menée contre la Révolution bolivarienne un remake de la guerre menée par les secteurs oligarchiques chiliens contre le président Salvador Allende dans les années 1970. Selon vous, cette comparaison est-elle justifiée ?
L'époque n'est pas la même, mais oui, il existe des similitudes, et la principale est que ces deux cas sont des guerres économiques menées depuis Washington. Au Chili, se fut de manière couverte, mais aujourd'hui au Venezuela cela est fait à la lumière du jour. La grande différence est qu'au Chili, les militaires ont utilisé la manière forte, et qu'ici au Venezuela, les militaires se présentent comme des citoyens armés.
Nous assistons depuis quelques semaines à une croisade médiatique contre le président Maduro, accusé de tous les maux dont souffre le pays. Cela rappelle étrangement les campagnes de manipulation et de diffamation dont était victime le président Chavez. Comment expliquez-vous cet acharnement médiatique à l'heure ou le Venezuela fait face à d'importants problèmes économiques ?
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La croisade médiatique est exactement la même car elle est réalisée par de grands médias internationaux qui dépendent du « grand capital », des corporations et qui sont transnationaux. Chavez ou Maduro ne sont attaqués que pour ce qu'ils représentent. Il s'agit en fait d'une croisade du capitalisme contre un nouveau modèle de socialisme qui, dans le cas du Venezuela, a été adopté par une grande majorité du peuple dans l'espoir d'un nouveau monde possible, plus juste et plus humain. Pour les grandes puissances occidentales, cela est un exemple dangereux qu'il ne faudrait pas que ses propres peuples suivent, d'où une grande motivation pour neutraliser, par tous les moyens possibles, les leaders de ce modèle. Plus le temps passe, plus des informations laissent à penser, à travers des indices mais également certaines preuves, que le président Chavez a été assassiné, victime, en un mot d'un assassinat.
RépondreSupprimerL'opposition vénézuélienne rassemblée autour de la « Mesa de la Unidad Democratica » (MUD) vient de lancer une stratégie globale dans le but de renverser le plus rapidement le président Maduro. Face à cette offensive, quel rôle peuvent jouer les bases chavistes que l'on sait puissantes et bien ancrées au sein de la population ?
Avant de répondre à votre question, je me permets une parenthèse. L'appellation « Mesa de la Unidad Democrática » n'est qu'une appellation. N'allez pas imaginer que l'opposition vénézuélienne est unie autour d'une supposée table. L'opposition est menée par des personnalités politiques de la vieille école du bipartisme pratiqué lors de l'ancienne république, c'est-à-dire AD (pour « Acción Democrática ») et COPEI pour les socialistes chrétiens. De fait, l'actuel président de l'Assemblée Nationale est un membre historique d'AD et nombreux sont les incidents qui démontrent qu'entre les partis d'opposition, l'harmonie n'est tout simplement pas à l'ordre du jour.
Cette situation est diamétralement opposée à celle des dirigeants chavistes dont l'immense majorité est fidèle à l'héritage de Chávez, c'est-à-dire fidèle au président Maduro. En réalité, l'opposition n'a aucune stratégie globale pour sortir Maduro dans le sens d'actions stratégiques planifiées et coordonnées. Ce qu'a l'opposition c'est l'obsession de sortir Maduro, la même obsession que contre Chávez. De fait, l'opposition ne fait aucune proposition, ne présente aucun programme concret pour solutionner les problèmes du pays, mais oriente ouvertement ses actions sur une prise de pouvoir coûte que coûte, par la voie démocratique ou non, dans le respect des lois ou non. Actuellement, l'opposition tente de recourir à une révocation afin de destituer Maduro. Ce processus demande une mise en contexte et une observation attentive, et ce pour plusieurs motifs.
C'est Chávez, que certains médias présentaient comme un dictateur, qui a introduit dans la nouvelle constitution vénézuélienne le principe de révocation, symbole démocratique par excellence dont peut de prétendues démocraties peuvent se vanter. La révocation permet au peuple, en ne réunissant qu'un pour-cent de signatures parmi les électeurs, de solliciter un référendum visant à révoquer à mi-mandat les autorités élues, en ce inclus le président de la république.
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L'opposition qui, bien entendu, s'est opposé à la nouvelle constitution, y fait pourtant appel afin de provoquer un référendum pour révocation et n'en est d'ailleurs pas à son coup d'essai. En 2014 déjà, l'opposition a tenté la même action contre Chávez. Malgré des preuves que la liste des signatures présentées par l'opposition à l'époque était plus que douteuse, le président Chávez accepta d'organiser le référendum et d'en accepter le résultat. Et le résultat fut que Chávez remporta le référendum et la prétendue révocation de l'opposition se transforma en réalité en ratification de la présidence de Chávez.
RépondreSupprimerActuellement, dans le cas de Maduro, les chavistes ne sont pas disposés à accepter que l'opposition fraude afin de réunir les signatures nécessaires. Pour cela, un référendum révocatoire à l'encontre de Maduro n'est pour le moment qu'une prétention de l'opposition. Mais, si ce référendum devait avoir lieu, il n'est pas dit que l'opposition puisse gagner cette révocation et ce pour différentes raisons :
Primo, les manifestations observées dernièrement indiquent le pouvoir de rassemblement du peuple en faveur de Maduro et la faible capacité de convocation de l'opposition. Secundo, comme mentionné dans votre première question, l'opposition a remporté des élections législatives pour la premières fois en quinze ans, mais il faut se rappeler le contexte. L'opposition a gagné en grande partie grâce à une stratégie peu démocratique et grâce à l'abstention de nombreux électeurs chavistes, ou encore d'électeurs qui ont voté dans une situation de mécontentement, des multiples déstabilisations. Enfin, aujourd'hui ces mêmes électeurs observent le comportement de l'opposition face à son Assemblée Nationale et observent également avec attention ce qu'il se passe en Argentine avec un nouveau président néo-libéral.
Dans ce contexte, le rôle des bases chavistes est tout simplement de diffuser la réalité et de continuer le chemin tracé par Chávez avec son « Plan pour la Patrie » et les programmes sociaux qui ont permis au peuple de voter en son âme et conscience, sans se laisser manipuler par les punitions que l'opposition continue de lui infliger afin de le déstabiliser.
Le président Maduro a accusé à de nombreuses reprises le gouvernement des Etats-Unis de vouloir en finir avec la Révolution Bolivarienne. Il a notamment accusé le président Obama d'avoir renouvelé le décret faisant du Venezuela une « menace inhabituelle et rare pour la sécurité des Etats-Unis ». Face à ces accusations de la part du gouvernement vénézuélien, les médias internationaux accusent Maduro de vouloir détourner l'attention de son peuple. Alors ces menaces du gouvernement US, fantasme ou réalité ?
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Le décret d'Obama ressemble à une blague. Quant aux accusations, qui a accusé qui ? C'est en réalité les Etats-Unis qui ont été les premiers à accuser le Venezuela avec ce décret. On se demande qui peut vraiment croire qu'un si petit pays comme le Venezuela puisse représenter une menace pour la grande puissance que sont les Etats-Unis. Les menaces du gouvernement américain ne sont pas des simples menaces mais se traduisent dans les faits. L'opposition vénézuélienne est en grande partie financée par les Etats-Unis et la campagne médiatique contre la révolution bolivarienne se prépare dans des laboratoires basés aux Etats-Unis. Dernièrement, ce même Obama a déclaré publiquement que le Venezuela devrait changer de président.
RépondreSupprimerIl est impossible de comprendre la contre-offensive nationale et internationale contre le gouvernement vénézuélien sans prendre en compte le contexte régional : retour de la droite en Argentine, coup d'Etat parlementaire au Brésil... Selon vous, comment expliquer et interpréter ce retour en grâce du néolibéralisme dans la région et quel rôle le Venezuela peut-il jouer pour freiner ce processus ?
C'est là un point crucial. Le néolibéralisme n'attaque pas seulement le Venezuela mais coordonne une attaque globale contre les peuples progressistes d'Amérique Latine comme l'Argentine, la Bolivie, l'Equateur et le Venezuela. Pour assurer le retour du néolibéralisme, tous les moyens sont possibles, la voie médiatique, d'une part, mais également les déstabilisations à travers comme au Venezuela le désapprovisionnement provoquée des produits de première nécessité, et jusqu'à l'infiltration de paramilitaires avec des assassinats bien ciblés. La stratégie est de déstabiliser ces peuples et de provoquer des troubles afin de justifier l'intervention classique au nom de la liberté et de la démocratie.
C'est le même scénario que pour toutes les interventions réalisées par les Etats-Unis tout au long de leur histoire, dans le but d'occuper des territoires. Mais dans ce cas précis, il existe différents paramètres additionnels et tout aussi importants. Il s'agit ici d'un continent qui depuis des décennies est vue par les Etats-Unis comme sa « basse-cour ». Après Fidel Castro a Cuba, des leaders emblématiques tels que Chávez, Morales, Lula, Correa et Kirchner sont apparus et ont insufflé un progressisme pour lequel les peuples les ont suivis en masse. Les Russes et les Chinois sont également présents en Amérique Latine. Par ailleurs, les peuples des Etats-Unis et d'autres puissances occidentales, font actuellement face à des conjonctures sociales qui peuvent devenir dangereuses pour leurs gouvernements.
Le Venezuela peut continuer à jouer un rôle pour freiner la tentative actuelle de retour du néolibéralisme, mais seule l'union des peuples progressistes sud-américains pourra résister à cette attaque globale. C'est le chemin tracé par les libérateurs sud-américains lorsqu'ils ont obtenu l'indépendance de leur pays qui s'est transformé par après en un autre type de colonisation par le capitalisme. D'une certaine façon il s'agit pour ces pays de s'émanciper et de gagner une seconde indépendance.
https://fr.sott.net/article/28243-L-oligarchie-venezuelienne-et-les-Etats-Unis-menent-une-guerre-economique-contre-Maduro
Signalons tout de même que la non réussite des kolkhozes en URSS n'était pas due au manque de terres fertiles (le double des Etats-Unis - 17m en Russie/10m au Canada et 9,6m aux USA) pour nourrir une population de 140m (USA 310m), mais seulement dû au fait que la géographie à cette époque (sans satellite/internet) se prêtait plus à la corruption qu'au rendement. C'est ainsi que sont apparues dans l'univers économique mondial des pays qui - vivant du pétrole - n'ont fait d'effort intellectuels de multiplier les cordes à leur arc !
SupprimerC'est aussi pourquoi, les 30m de vénézuéliens (sur 916 000 km²/France 643 000 km²) ont pourtant du mal à se nourrir au pays 'où tout pousse' en climat tropical.
Accord ou pas, Angela Merkel a sacrifié l'Europe pour satisfaire le capricieux Erdogan
RépondreSupprimerDanielle Ryan
RT
jeu., 19 mai 2016 17:17 UTC
Ce n'est pas une bonne année pour Angela Merkel. En essayant de gérer la crise des réfugiés et de contenter tout le monde, la chancelière allemande a sacrifié l'Europe pour assouvir les caprices d'un dirigeant turc toujours plus despotique.
Le flux de migrants et de réfugiés entrants en Europe
Il n'a pas fallu longtemps pour que la politique d'Angela Merkel dans cette crise revienne la hanter. Un accord qui devait faciliter le flux de migrants et de réfugiés entrants en Europe est désormais sur le point d'échouer à cause des exigences de la Turquie, et les critiques affluent de toutes parts.
Cela fait des mois que Bruxelles et Ankara reviennent sur les détails de cet accord. En renvoyant des réfugiés en Turquie depuis la Grèce, l'accord est supposé réduire la motivation des gens à se rendre illégalement en Europe - et réduire la pression sur Berlin et Angela Merkel. Le projet fonctionnait. Logiquement cela signifie que tous les obstacles à cet accord seraient surmontés pour le maintenir. Désormais Bruxelles exige qu'Ankara précise sa définition du terrorisme. C'est essentiel car, ces derniers temps, le gouvernement de Recep Tayyip Erdogan s'est servi des termes «terroriste» et «sympathisant des terroristes» pour s'en prendre à ceux qui critiquent le régime, y compris les journalistes.
Chantage ou fiasco
Si Ankara se conforme à la liste des 72 exigences de Bruxelles, elle recevra trois milliards d'euros pour faire face à la crise des réfugiés, une reprise des négociations pour l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne et l'exemption de visas pour les citoyens turcs se rendant dans l'espace Schengen. Cependant Recep Tayyip Erdogan ne semble pas vouloir se conformer [aux exigences de Bruxelles]. En réalité, il ne cache pas qu'il est prêt et désireux d'exploiter la détresse de l'Europe. Si Bruxelles ne revoit pas à la baisse ses exigences, il a menacé d'«ouvrir le robinet migratoire».
Les politiciens allemands de tous les partis critiquent vivement Angela Merkel pour exposer leur pays et toute l'Union européenne au chantage du président turc. Sahra Wagenknecht, membre du Parti d'extrême gauche, a accusé la chancelière de laisser l'Europe devenir «vulnérable au chantage» et Recep Tayyip Erdogan croire qu'il peut «écraser les droits de l'homme» à sa guise et ce, avec ce qui ressemble à un soutien tacite de Bruxelles.
Cependant, quand même vos alliés se demandent si vous n'avez pas perdu la tête, il serait peut-être temps de réévaluer vos priorités. Le chef du parti frère de l'Union Chrétienne-Démocrate (le parti d'Angela Merkel), Horst Seehofer, a prévenu que bien qu'il ne soit pas contre des discussions avec la Turquie, il est «dangereux d'en devenir aussi dépendant».
Difficile de ne pas être d'accord avec ceux qui critiquent Angela Merkel quand on regarde sa gestion - ou son absence de gestion - de la crise.
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La popularité d'Angela Merkel en baisse
RépondreSupprimerMalheureusement pour Angela Merkel, ces critiques sont plus présentes que jamais. Ceux qui étaient contre sa première politique de portes ouvertes pensent que les dégâts ont été faits et que Recep Tayyip Erdogan profite pleinement du désespoir de Bruxelles d'endiguer le flux de migrants, alors que ceux qui soutenaient cette politique pensent qu'elle a fait volte-face en négociant un tel accord avec la Turquie.
Mais là où elle a vraiment perdu les pédales, c'est quand elle n'a pas défendu un comédien allemand que Recep Tayyip Erdogan réclamait qu'on poursuive en justice pour l'avoir insulté dans un poème. L'humoriste, Jan Böhmermann, a lu un poème satirique à la télévision, provoquant la colère du président turc et touchant légèrement son égo délicat. Angela Merkel a scandalisé des millions d'Allemands et d'Européens en n'émettant aucune objection à ce que Jan Böhmermann soit poursuivi en justice, conformément à une loi allemande qui interdit les insultes envers les dirigeants étrangers. Au lieu de défendre Jan Böhmermann au nom de la liberté d'expression, Angela Merkel a déclaré par l'intermédiaire de son porte-parole que ce poème était «délibérément insultant» - comme si cela rendait la demande du président turc de poursuivre en justice quelqu'un pour l'avoir insulté normale. La décision sensationnelle d'Angela Merkel a clairement montré l'ampleur de l'influence turque sur Berlin.
Le comédien a déclaré plus tard qu'Angela Merkel l'avait «servi sur un plateau» à un despote. Là encore, difficile de ne pas être d'accord. La débâcle a prouvé l'égo fragile de Recep Tayyip Erdogan et la volonté d'Angela Merkel de l'épargner, coûte que coûte. Heureusement, la cour allemande a jusqu'ici plus défendu le droit du comédien à la liberté d'expression que le droit de Recep Tayyip Erdogan à empêcher qu'on dise du mal de lui.
Pourquoi tout cela ?
Essayez, autant que possible, d'imaginer ce que l'Europe peut bien retirer de tout ça ? Soit Bruxelles échoue dans ses négociations avec la Turquie et la crise des réfugiés reprend de plus belle, soit les négociations se poursuivent et la Turquie est sur le chemin de l'exemption de visa pour l'Europe. Faites un petit sondage auprès des Européens et vous verrez qu'ils ne souhaitent ni l'un ni l'autre. En réalité, proposer une exemption de visa à un pays qui a systématiquement été accusé d'accueillir et de financer les combattants de l'Etat islamique est tout à fait incompréhensible pour beaucoup [d'Européens]. Pour ne pas mentionner les flagrantes violations des droits de l'homme et l'emprisonnement des journalistes.
-- Commentaire : Seulement les Etats-Unis qui sont derrière Erdogan ont quelque chose à en retirer :
- Une cabale de think tanks liés à l'OTAN orchestre la crise des réfugiés --
L'Union européenne n'apprécie guère les disputes entre ses nations. Lorsque l'une d'entre elles menace de sortir des rangs, on commence à nous parler d'«unité» et à nous dire qu'on est mieux ensemble. Si on regarde la relation actuelle entre Ankara et Bruxelles, on voit mal comment la Turquie pourrait faire partie de cette équation. Angela Merkel aurait pu essayer d'arrêter Recep Tayyip Erdogan dans son élan en le prévenant que ses exigences et son chantage permanents ne feraient pas plier Bruxelles mais bloqueraient toute discussion sur l'adhésion à l'Union européenne et l'exemption de visa avec Bruxelles. Mais, là encore, cela fonctionnerait si Erdogan avait un quelconque intérêt à l'adhésion de son pays à l'Union européenne. Quelque chose me dit qu'il n'apprécierait pas beaucoup cette façon de faire. N'oubliez pas que cet homme a déclaré que «la démocratie, la liberté et l'Etat de droit» n'avaient plus «aucune valeur» en Turquie.
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Angela Merkel était dans l'obligation de faire des concessions et des sacrifices parce qu'il n'y a désormais pas d'autre choix et pourtant, l'accord est sur le point d'échouer parce que, peu importe ses efforts, le dirigeant turc n'est jamais satisfait.
RépondreSupprimerPour Recep Tayyop Erdogan, c'est tout ou rien. Il obtient ce qu'il veut ou il envoie balader Bruxelles. Il peut ouvrir «le robinet migratoire» à sa guise et contrôle une base de l'OTAN essentielle aux intérêts stratégiques des Etats-Unis au Moyen-Orient. Avec une telle main, les autres joueurs n'ont aucune chance.
https://fr.sott.net/article/28246-Accord-ou-pas-Angela-Merkel-a-sacrifie-l-Europe-pour-satisfaire-le-capricieux-Erdogan
La NSA a participé dans les pires exactions de la guerre en Irak
RépondreSupprimerSoumis par George Washington le 20/05/2016 01:49 -0400
Vous savez que la CIA a participé à certains des aspects moins salés de la guerre en Irak.
Mais la NSA a obtenu ses mains sales, aussi bien.
L’ordonnée à l’origine de rapports:
Dans les premiers mois de la guerre en Irak, SIDtoday [un bulletin interne de NSA] articles se vantait de la part de la NSA à la veille de l’invasion et reflète la confiance de l’administration Bush que Saddam Hussein avait caché des armes de destruction massive.
Aux Nations Unies, les lecteurs ont dit, "SIGINT en temps opportun [signaux intelligence – c'est-à-dire d’espionnage des communications électroniques et connexes, ce que fait NSA] a joué un rôle essentiel" en remportant l’adoption de résolutions relies à l’Iraq, y compris en fournissant des « insights into les nuances des divisions internes entre les cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies. »
Plus précisément:
Soutien SIGINT [par NSA] à la Mission américaine aux Nations Unies [c.-à-d. américains diplomates] a permis et continue permettre à la campagne diplomatique contre l’Irak. Vos efforts ont été essentiels aux plans du Représentant Permanent américain auprès des Nations Unies, l’ambassadeur John D. Negroponte [un beau gentilhomme], comme bien sur du Royaume-Uni Représentant Permanent, HMA Sir Jeremy Greenstock.
(S / / TR) L’Ambassadeur Negroponte a pris en février 2003 pour fournir des commentaires non sollicités sur la qualité, rapidité et la quantité des rapports de la NSA. Il a dit qu’il ne pouvait pas imaginer meilleur soutien du renseignement pour activité diplomatique qu’il reçoit de la NSA quotidienne de déclaration sur l’Irak et l’ONU. Il est particulièrement reconnaissant de l’actualité de cette information et a demandé à notre représentant à la Mission américaine auprès des Nations Unies,... pour passer son grâce à nombreuses personnes impliquées dans sa production et de livraison. Sa seule plainte qui a été "il y a juste tellement de bonnes choses à lire et si peu de temps pour le faire!" L’Ambassadeur Negroponte a été un fervent utilisateur de SIGINT pendant de nombreuses années et visité la NSA en février 2002, s’écriant qu’il n’a jamais reçu de meilleure prise en charge dans ses 40 ans de carrière diplomatique. C’est notre espoir que l’Ambassadeur se rendra NSA à nouveau quand la frénésie de la crise irakienne s’apaise.
(suite en dessous:)
Pour sa part, l’Ambassadeur Greenstock, le jour même en février qu’il déposa l’US-UK-Espagne « deuxième résolution » sur l’Irak, intrigué par l’étroite collaboration du Royaume-Uni-États-Unis intelligence, dit que SIGINT, mieux comprendre les nuances des divisions internes entre les cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies (le "P5") ont été très utiles, ce qui lui permet de décider quelle ligne prendre avec P5 homologues à New York et Washington et à tempérer la langue de ses incursions diplomatiques. Le 5 février, le jour où le Secrétaire d’Etat Powell a fait sa présentation au Conseil de sécurité de l’ONU et, en conséquence directe de la déclaration de SIGINT, un amendement de dernière minute a été fait au discours de la ministre des affaires étrangères britannique, faisant la remarque que la COCOVINU inspections avaient déjà été considérablement renforcées.
RépondreSupprimerEt:
Appuyer SIGINT [les ambassadeurs des États-Unis auprès des Nations Unies] efforts diplomatiques de USUN concernant l’Iraq a été exceptionnelle. En temps opportun
SIGINT a joué un rôle essentiel dans l’adoption à l’unanimité des résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU 1441 (renforcement du régime d’inspection et l’Irak a exigé désarment ou faire face à des conséquences graves) et 1472 (révisé le programme d’aide humanitaire pour l’Iraq).
N’oubliez pas, la NSA dirige espionnage industriel très répandue sur nos alliés, comme la Banque mondiale, Fonds monétaire International, Organisation des Nations Unies, le Vatican et le pape, France, les dirigeants de l’Allemagne, Brésil et Mexique, l' Union européenne, le Parlement européen, le sommet du G20et au moins 35 chefs de file mondiaux.
Et la représentante au commerce des États-Unis est l’un des « clients » des données de la NSA.
Comme Edward Snowden a écrit sur la surveillance de masse par la NSA :
Ces programmes ont été jamais sur le terrorisme : ils sont sur l’espionnage économique, le contrôle social et manipulation diplomatique. Ils ont tout pouvoir.
Tant pis la guerre en Irak a été un fiasco total...
Dans un article distinct, l’ordonnée à l’origine de notes que la NSA a participé à la torture :
Le personnel de l’Agence de sécurité nationale a travaillé aux côtés de l’armée, CIA et d’autres organismes sur les interrogatoires à Guantanamo dans les premiers jours de la guerre contre le terrorisme, montrent de nouveaux documents.
***
Liaison avec la NSA ou NSA LNO, serait « coordonner » avec les interrogateurs "pour recueillir des renseignements de valeur à l’entreprise de la NSA et Extended Enterprise" et "responsable de l’interfaçage avec les DoD, CIA et du FBI qui l’interrogeaient sur une base quotidienne afin d’évaluer et d’exploiter les informations provenance de détenus". Dans certains cas, la relation irait l’autre sens, avec la NSA fournissant « des données techniques sensibles Collector NSA et produits de soutenir les efforts d’interrogatoire JTF-GTMO [Joint Task Force Guantánamo]. »
(suite en dessous:)
Une liaison de la NSA a fait rapport sur son voyage. « Sur une semaine donnée », écrit-il, il serait « ressaisir intelligence pour supporter un interrogatoire à venir, de formuler les questions et stratégies pour l’interrogatoire et d’observer ou de participer à l’interrogatoire. »
RépondreSupprimerEn dehors du travail, « plaisir attend, » il a enthousiasmé. "Sports nautiques sont remarquables : nautique, canotage, pêche, ski nautique et embarquement, voile, natation, plongée en apnée et plongée." Si les sports nautiques étaient "pas votre tasse de thé", il y avait aussi films, poterie, paintball et sorties au Bar Tiki. « Relaxant est facile », a-t-il conclu.
***
Analystes de NSA sont aussi intimement impliqués lors d’interrogatoires en Irak ; un décembre 2003 appel aux volontaires à déployer à Bagdad comme analystes de lutte contre le terrorisme avec l' Iraq Survey Group, qui dirigeait la recherche pour les armes de destruction massive de Saddam Hussein, a déclaré que "le choisi, selon toute vraisemblance, sera impliqué dans l’interrogatoire/interrogatoire des prospects potentiels," ainsi que "l’évaluation et l’analyse des rapports d’interrogatoire et d’autres rapports axée sur le renseignement humain."
Tant pis torture diminue notre sécurité nationale ...
En 2014, l’ordonnée à l’origine a souligné que NSA a également joué un rôle clé ciblant les personnes pour assassinat par drone. Tant pis on ne sais pas qui sont la plupart des gens nous allons tuer...
http://www.zerohedge.com/news/2016-05-20/nsa-participated-worst-abuses-iraq-war
Aujourd'hui, à l'heure d'internet, (que connaît presque le monde entier), et en connaissance des données véritables de chaque pays, il est parfaitement anormal qu'un pays puisse encore faire la guerre à un autre. C'est pourquoi, afin de provoquer une guerre - en premier lieu civile - ont-ils obligé des millions de personnes à quitter leur pays pour envahir des pays dits riches (qui ne le sont qu'en rêve).
SupprimerCette invasion religieuse (ne nous trompons pas) à l'heure où justement elle disparaît de tous les lieux de culte, va forcer les peuples à se révolter.
C'est à cette fin qu'à été mis en place la NSA (entr'autres) afin de surveiller chacune des personnes qui a un téléphone ou/et ordi & carte bancaire. Mise en place de pylônes d'accompagnement (dits de relais mais qui en réalité espionnent uniquement !) ainsi que de drones.
Quelque chose d’étonnant se déroule au large de la côte de Singapour
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 20/05/2016 17:58 -0400
« Je viens à Singapour une fois par an pour les 15 dernières années, et voler dans je n’ont jamais vu les eaux si pleins de tankers au ralenti »
-Senior European oil commerçant un jour après son arrivée dans la cité.
En novembre, alors que la surabondance de l’inventaire brut record du monde était encore à ses premiers tours de batte, nous avons montré ce que nous pensions alors une image inquiétante de dizaines de pétroliers sur l’ancre près du moyeu de pétrole américaine de Galveston, TX, réticents à décharger leur cargaison à ce que les propriétaires du pétrole pensait était trop bas prix.
* * *
Nous ne savais pas que quelques mois plus tard cette vue apparemment sans précédent des superpétroliers cluster serait une pratique quotidienne comme producteurs de pétrole, concernés par Cushing frapper sa capacité d’exploitation, tirerait profit d’huile courbe contango pour stocker leur pétrole au large des côtes indéfiniment.
Cependant, alors que le « stationnement » au large de Galveston a depuis été normalisée, quelque chose de choquant est apparue et a continué de croître à mi-chemin dans le monde entier, juste à côté de la couche de Singapour. Ce.
- voir carte sur site -
Les points rouges montrent les navires soit au mouillage ou à peine bouger, pétroliers ou marchandises, qui ont fait du détroit de Malacca, l’un du monde les plus importants d’expédition de voies qui transporte environ un quart du pétrole tout maritime principalement du golfe Persique dirigé vers la Chine, dans un stationnement de "bumper to bumper" des navires avec des dizaines de millions de barils dans les soutes de combustible.
C’est aussi le sujet de la dernière Reuters exposent sur la surabondance de pétrole physique historique qui continue de construire dans les coulisses, et qui, jusqu'à présent, s’est révélée totalement immunisés contre la dissipation en raison de la forte augmentation des prix du pétrole au cours des trois mois.
En effet, comme le souligne Reuters, prix à terme du pétrole ont bondi de près d’un quart depuis avril, soulevée par des perturbations causées par les déclencheurs tels que des incendies de forêt canadiennes, aux approvisionnements graves actes de sabotage au Nigeria et la guerre civile en Libye. Et encore voler dans Singapour, l’huile trading hub pour la région du monde plus grande consommateur, Asie, révèle une autre image : qu’une surabondance mondiale qui a baissé les prix de plus de 70 % entre 2014 et début 2016 est nulle part près terminée, et que commerçants financiers pari à terme du pétrole brut plus élevé peuvent être dedans pour une surprise du marché physique.
"Je viens à Singapour une fois par an pour les dernières 15 années et voler dans je n’ai jamais vu les eaux si pleins de ralenti tankers," a déclaré un trader senior pétrolières européennes un jour après son arrivée dans la cité.
(suite en dessous:)
Comme physique huile principale de l’Asie trading hub, le nombre des navires stationnés assis au large de la côte de Singapour ou dans les eaux malaisiennes à proximité est considéré par beaucoup comme une jauge de santé de l’industrie. A en juger par la présente, les marchés pétroliers sont encore maladifs : une flotte de 40 superpétroliers est actuellement ancrée dans les eaux côtières de la région pour servir de flottant des installations de stockage.
RépondreSupprimerLa surabondance n’est pas constante mais augmente avec chaque semaine qui passe : les pétroliers sont remplis de 47,7 millions de barils de pétrole, essentiellement brut, 10 pour cent de la semaine précédente, selon les données de fret nouvellement recueillies dans Thomson Reuters Eikon.
Ce qui est curieux, c’est que l’engorgement persiste malgré la demande apparemment sans relâche par la Chine. Plus tôt aujourd'hui Bloomberg calculé que 74 superpétroliers sont à destination de la Chine, le plus haut en 3 semaines et plus de 69 une semaine plus tôt. La surabondance inerte au large de Singapour est toujours suffisamment d’huile pour satisfaire les cinq jours ouvrables de la demande chinoise, ce qui suggère des récentes perturbations de l’approvisionnement - qui ont eu lieu principalement dans les Amériques, l’Afrique et l’Europe - ont peu fait pour serrer l’approvisionnement en Asie Moyen-Orient producteurs gardent la sortie près de volumes Records pour tenter de gagner des parts de marché.
"Les volumes de pétrole stockées en mer en Asie du sud-est - principalement, Singapour et la Malaisie - semblent avoir augmenté de façon significative," a déclaré Erik Broekhuizen, responsable mondial du pétrolier recherche et de Conseil au courtage maritime basée à New York Poten & Partners. "Les volumes actuels sont les plus élevées pour les cinq dernières années au moins."
Ce qui se passe dans le marché du pétrole semble être que le tout dernier manque de concordance entre le papier et les marchés physiques, quelque chose de tout à fait familier aux négociants de métaux précieux en ces dernières années. Comme le souligne Reuters, plusieurs participants dans les notes récentes de différend marché physique des acteurs financiers comme Goldman Sachs qui prévoit une nouvelle augmentation en brut à terme. « Il est un peu d’engouement des hedge fonds ces derniers mois, pariant sur le renchérissement du pétrole et même que les analystes de Goldman Sachs ont récemment tourné plus haussiers sur les prix du pétrole, » a dit Ralph Leszczynski, directeur de recherche à navire courtiers Banchero Costa.
"Prix risquent d’augmenter aussi autant que le spectre de la sursaturation est toujours là," at-il dit. Cependant, les Leszczynski peut-être à quel puissant élan axée sur l’algo d’escompte peut être si, ou surtout quand, il est complètement déconnecté de principes fondamentaux.
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Alors que la vue des navires à l’ancre n’est pas nouveau, cette fois quelque chose a changé.
Contrairement à avant, lorsque le report de la courbe de l’huile fait le stockage de pétrole au large des côtes rentables, ce n’est plus le cas car financés par le contago des bénéfices offshore ont presque tous disparu.
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Pour rappel, stockage de pétrole à bord des navires peut être rentable quand pour la future livraison de pétrole brut, les prix sont plus élevés que dans le marché au comptant, une structure de terme appelée contango, tant que les prix futurs sont suffisamment élevées pour compenser les frais d’affrètement pétrolier. Cependant, avec le report d’un an pour les contrats à terme de Brent s’effondrer de 7,60 $ le baril en janvier, à juste 4 $, bien en dessous des 10 $ que les commerçants disent est actuellement tenu d’effectuer le stockage flottant financièrement attractif, stationnement soudainement pétrolière au large des côtes aboutit à des pertes de stockage. Il en va de même pour le WTI.
RépondreSupprimerPour un coût de Charte de plus de 40 000 $ par jour pour un très grand Crude Carrier (VLCC) pouvant stocker 2 millions de barils, le report est loin assez raide à rendre rentable pour stocker l’huile sur camions-citernes pour la vente à une date ultérieure.
Cela a conduit à une évolution dramatique sur le marché pétrolier : stockage financée par la dette. Reuters a écrit que la nécessité de stocker le pétrole est si forte que commerçants appellent des banques pour financer les chartes de stockage malgré qu’il n’y ait aucun profit en gardant carburant en camion-citerne aux taux courants.
"Nous recevons des montants inhabituellement élevés de requêtes pour financer les chartes de stockage," dit un financier de commerce principal de l’huile avec une grande banque en Asie. "Ces requêtes proviennent de commerçants pleinement conscients qu’ils ne feront pas un bénéfice de stocker l’huile. Ce n’est pas un jeu de commerce, c’est le marché du pétrole à la recherche d’endroits pour stocker le carburant invendu, » , a-t-il ajouté.
Alors pourquoi les commerçants font cela ?
Simple : ils espèrent que les prix du pétrole vont augmenter rapidement et bientôt assez où l’appréciation du capital en brut sera plus que compenser pour l’accroissement des nouveaux titres d’emprunt qui sera remboursé avec un produit de « vendre plus élevé ». Le risque, bien sûr, est que l’huile ne monte pas et devraient faire culbuter prix, commerçants auront non seulement une perte en capital sur les mains, mais être obligés de faire face à l’effet de levier excessif qu’ils avaient espéré disparaîtrait rapidement.
Pour être sûr, alors que nous avons averti dans le passé sur le danger de stockage offshore devenir non rentables et d’être ramené sur le marché foncier, dans le processus de lancement d’une ruée de dumping de liquidation, il n’a jamais été aussi mauvaise. Un financier de commerce auprès d’une Banque européenne, a déclaré il y a eu un "spike dans l’intérêt des commerçants de pétrole pour financer leurs besoins de stockage" depuis le début de l’année comme des installations côtières étaient presque pleins.
Pourtant, avec des quantités record de pétrole stocké au large et le bénéfice sur cet entreposage aujourd'hui réattribution sur une perte, beaucoup sont se gratter la tête combien de temps encore ce déséquilibré, et financé par la Banque, la situation peut persister.
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"Floating storage est sans attrait sur le plan économique, étant donné la structure de la présente période d’application dans l’avenir de brut" Recherche de BMI a déclaré cette semaine. Malgré cela, le BMI a dit que "le volume de pétrole brut en floating storage a considérablement augmenté ces derniers mois," ajoutant que ce phénomène est mondial, avec flottantes de stockage jusqu'à 19,5 % entre les premiers trimestres de 2015 et 2016.
RépondreSupprimer"Il y a clairement encore beaucoup trop brut physique qui circulent à la surabondance d’être terminée," a déclaré le trader de pétrole européen après un vol à Singapour.
Conclusion du commerçant: « Et le marché du papier semble parfaitement inconscient de celui-ci. »
Il est vrai... pour l’instant. Parce que tout ce qui aura pour même les algos de renoncer à poursuivre sur leur lancée vers le haut sans relâche, est pour certains de ces dizaines de millions de barils à venir enfin sur terre, qui maintenant que le report n’est plus rentable, est juste une question de temps.
En attendant, juste garder une trace du stationnement sans précédent des navires au large de la côte de Singapour : il obtient le plus grand, plus violent la chute des prix sera une fois que les banques dites "pas plus" au financement des chartes de perdre l’argent.
http://www.zerohedge.com/news/2016-05-20/something-stunning-taking-place-coast-singapore
SupprimerAlors que les stocks sont pleins archi-pleins (cause à la chute du prix du baril inconnu chez la pompe) et, que les stocks ont un coût (fabrication/gestion), le pétrole devrait être vendu à moins de 10 centimes d'euro du litre mais ne l'est pas afin d'empêcher les pays de se redresser économiqument et être hors dette en 1 mois ! (baisse du prix à la pompe = baisse des coûts de transports marchandises/passagers ouvertures et créations d'emplois en magasins).
Rendez-vous compte que le stockage du pétrole ... abiotique est similaire à ce que pourrait être le stockage de l'air ou de l'eau ! comme s'ils allaient manquer alors qu'ils sont éternels !!!
http://huemaurice5.blogspot.fr/2012/11/si-demain-le-petrole-abiotique-devenait.html
Guerre de parcelles des Nations Unies sur la liberté d’expression pour arrêter « L’extrémisme » en ligne
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 20/05/2016 22:30 -0400
Présenté par Alex Newman via la nouvelle Amérique (h/t Brandon Smith),
Le Conseil de sécurité de l’ONU veut un « cadre » mondial pour censurer Internet, aussi bien en ce qui concerne l’utilisation de la propagande gouvernementale pour « contrer » ses apparatchiks disent « propagande en ligne », « idéologies haineuses » et "terrorisme numérique." À cette fin, le Conseil de sécurité de l’ONU cette semaine a ordonné l’ONU « Comité contre le terrorisme » — Oui, c’est une véritable bureaucratie — à établir un plan de l’année prochaine. De l’administration Obama à la Chine communiste brutal régime, tout le monde a convenu qu’il était temps pour une menée par l’ONU de répression de la liberté de parole et pensée en ligne — tout sous le couvert de la lutte contre la guerre de terreur transparente faux
Les Nations Unies, ridiculisé par la critique américaine comme le « club de dictateurs », sera apparemment en partenariat avec Internet plus grand du monde et compagnies de technologie de l’intrigue. Parmi les entreprises impliquées dans le régime est Microsoft, qui, dans un discours prononcé devant le Conseil de sécurité le 11 mai, appelé pour « les partenariats public-privé » entre grandes entreprises et gouvernement Big à la propagande en ligne de bataille. Comme l’a établi ce magazine, Google, Microsoft, Yahoo et autres géants de la technologie supérieure ont embrassé tout publiquement l’ONU et son ordre du jour pour l’humanité. Bon nombre des plus de 70 intervenants aussi dit qu’il est grand temps de censurer l’Internet, avec l’aide du "secteur privé".
À la réunion de l’ONU cette semaine, les 15 membres du Conseil de sécurité de l’ONU, y compris certains des dictatures plus extrêmes et violents de la planète, a affirmé qu’ils voulaient arrêter l’extrémisme et la violence de se propager sur l’Internet. En particulier, les gouvernements font semblant comme si l’effort visait à des groupes terroristes islamistes comme ISIS et al-Qaïda,qui ont reçu le soutien crucial des principaux membres du Conseil de sécurité de l’ONU elle-même. Le terrorisme n’était pas défini. Tout le monde d’accord, cependant, que la terreur ne devrait pas être associée à aucune religion particulière, nationalité, ethnie et ainsi de suite, même si au moins une délégation doigter le gouvernement israélien.
Dans sa « déclaration présidentielle » après la session, le Conseil de sécurité de l’ONU a affirmé que le « terrorisme » pourrait être vaincu qu’avec « droit international » et grâce à la collaboration entre l’ONU et les gouvernements régionaux émergents tels que les différents "syndicats" s’imposés sur l’Europe, Afrique, Eurasie, Amérique du Sud et au-delà. "Le Conseil de sécurité souligne que le terrorisme peut seulement être vaincu par une approche globale et soutenue impliquant la participation active et la collaboration de tous les États, organisations internationales et régionales... conforme à la stratégie de la lutte antiterroriste mondiale des Nations Unies," il a dit. Bien sûr, l’ONU n’a toujours aucun réelle définition du terrorisme, mais il est en train d’usurper ses pouvoirs nouveaux sous le couvert de la lutte contre cet ennemi non défini.
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Cependant, les Nations Unies, dans sa guerre contre la liberté d’expression et des droits de l’homme réels dans le monde entier, a offert quelques astuces forts sur son ordre du jour. Selon les responsables de l’ONU, le plan de réglementer l’expression sur l’Internet viendra compléter une autre parcelle connexe UN connu officiellement comme le "Plan d’action visant à prévenir l’extrémisme Violent". Selon The New American l’an dernier, le planappelle à une guerre mondiale contre les "idéologies". Cette croisade comprendra, entre autres composants, des efforts planétaires pour éradiquer tous les "sectarisme anti-musulman," sentiments anti-immigrés, et bien plus encore, l’ONU et Obama a expliqué. Ce que l'on appelle « extrémisme non violente » est également dans le collimateur de l’ONU, comme c’est la liberté d’expression en général.
RépondreSupprimerIl n’était pas immédiatement clair combien une guerre menée par l’ONU contre le "sectarisme anti-musulman" arrêterait ISIS. Le groupe de terreur sauvage, qui selon américaine haut fonctionnaires a été créée et financée par la coalition anti-ISIS de Obama, a été la justification essentielle pour le plan des Nations Unies. Toutefois, selon les grandes lignes du système des Nations Unies l’extrémisme sorti jusqu'à présent, il est clair qu’il n’y aura aucun effort sérieux pour répondre à l’extrémisme croissant des Nations Unies ou l’extrémisme violent d’un grand nombre de ses régimes autocratiques pour la plupart membres. Au lieu de cela, le plan de « l’extrémisme » servira de prétexte pour imposer un large éventail de politiques réellement extrémistes au niveau national, régional et international.
Apparemment inconscients de l’absurdité totalitaire des observations, haut fonctionnaires de l’ONU appelé des sauvegardes contre la « punition excessive » exercé contre ceux qui expriment leurs points de vue sur l’Internet. "La protection de la liberté de la presse peut être une défense contre les terroristes récits" Vice-Secrétaire générale des Nations Unies Jan Eliasson a dit le Conseil de sécurité lors de la réunion cette semaine à un merveilleux exemple de situation. « Il ne doit y avoir aucune punition arbitraire ou excessive contre les gens qui sont simplement exprimer leurs opinions ». Il n’était pas immédiatement clair quelles peines spécifiques gratuite discours serait considérée comme non excessif. , Mais aux États-Unis, en dépit des affirmations des Nations Unies sur la pseudo-« droits de l’homme » exigeant la censure, toute "punition" pour exprimer son point de vue est strictement interdite.
Séparément, la dictature communiste chinoise, quidomine aujourd'hui différentes bureaucraties des Nations Unies, accueilli avec enthousiasme les efforts de l’ONU. S’exprimant au nom de ce régime brutal, Liu Jieyi, représentant permanent de Pékin à l’ONU, a déclaré que les institutions à promouvoir "des idéologies extrémistes" devaient être "fermés". Apparemment, il ne faisait pas référence à le « idéologie extrémiste » du parti communiste chinois ou son régime brutal, qui aassassiné des êtres humains plus innocents que tout autre dans l’histoire. Beijing seul a tué plus de 60 millions de personnes, sans compter ceux massacrés dans les avortements forcés. Autres gouvernements communistes alliés à Beijing ont assassiné des dizaines de millions de plus, juste au siècle dernier.
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Alors que l’ONU a un rôle majeur à jouer, les gouvernements doivent également aider à censurer l’Internet et en abolissant la liberté d’expression, le régime communiste a déclaré. "Les États doivent arrêter de certains réseaux de médias sociaux" Liu a continué, appelant l’ONU et ses membres à « couper les canaux pour la diffusion des idéologies terroristes. » Il a également vantéterreur décrets adoptés récemment par Pékin qui ciblent l’Internet et vise à autoriser le déploiement de forces armées de la dictature communiste partout dans le monde. Comme The New American a établi précédemment, la dictature chinoise jouera un rôle majeur dans l’anti-liberté de l’ONU de croisade de discours. En fait, le régime actuellement a ses agents intégrés tout au long de l’ONUet même au sommet de l’Agence Onusienne qui mondialistes oeuvrent pour renforcer comme le régulateur de Internet global. Il prétend que la censure est tout dans l’oeil du spectateur.
RépondreSupprimerAlors même que la Chine communiste et autres membres de l’ONU ouvertement dictatoriaux a souligné censure et règlement à arrêter des idéologies et « propagande » ils n’aiment pas, l' administration Obama, l’Union européenne, et certains de ses États membres souverains autrefois vanté au contraire propagande gouvernementale de la propagande extrémiste compteur. Toutefois, au nom de l’Union européenne, Alain Le Roy également célébré les efforts irresponsable super-état propre pour censurer l’Internet comme quelque chose de faire des émules. Comme ce magazine l’année dernière, la soi-disant force de police de l’Union européenne, Europol, a même lancé une unité entière vise à censurer les "extrémistes" contenu sur Internet. Le porte-parole de l’EU a souligné, entre autres régimes, les efforts de l’UE en cours pour supprimer le « matériel de propagande » d’Internet, ainsi que les efforts de propagande de l’UE à "diffuser des messages alternatifs".
Le représentant de la dictature brutale de la Syrie, Bashar Jaafari, a montré à planter le parti. Il a souligné que plusieurs États membres avaient utilisé des combattants terroristes et mercenaires dans leur quête pour détruire la Syrie. Et il a raison. En effet, dès 2012, US Defense Intelligence Agency des documents montrent que l’administration Obama savait que les "rebelles syriens modérés" il appuyait étaient dirigées par al-Qaïda et des frères musulmans. L’administration et ses alliés travaillaient également pour créer ce qu’ils ont décrit comme une « salafiste Principauté en Syrie orientale » — aujourd'hui la Principauté est connue comme l’État islamique, ou ISIS — pour déstabiliser le régime d’Assad. Même de hauts responsables américains ont ouvertement admis que coalition "anti-ISIS" de Obama était responsable de la création, d’armement et ISIS financement. Quel rôle l’Internet et la « propagande » pourraient avoir joué en ce que, s’il en est, ne faisait pas clairement à la réunion de l’ONU.
En Libye, une situation similaire s’est produite. L’administration Obama, sous couvert de faire respecter une résolution des Nations Unies illégitime, ouvertement, en partenariat avec les dirigeants autoproclamés al-Qaïda pour renverser l’ancien allié de terreur de la guerre des États-Unis Moammar Kadhafi. Le Congrès a été jamais consulté, faire la guerre d’Obama illégal et inconstitutionnel, en plus de la criminalité d’octroyer une aide aux organisations terroristes désignés. Aujourd'hui, grâce à que l’extrémisme, la Libye est un État en déliquescence inondé en armements militaires lourds et de camps d’entraînement terroristes. Une grande partie de l’aide de fourni par l’administration Obama pour les groupes terroristes en Libye a été transférée à soutenir des groupes terroristes en Syrie après la chute du régime de Kadhafi.
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Mis à part les gouvernements, les dictateurs et les bureaucrates internationaux, grande technologie a également été représentée à la réunion de l’ONU. Microsoft au vice-président et avocat général adjoint Steve Crown a dit les assemblées représentants des gouvernements et des tyrans qu’il n’existe aucune « solution miracle » pour empêcher les terroristes et les extrémistes d’utiliser Internet. « S’il y a une solution élégante, l’industrie aurait adopté il, » il a affirmé, ajoutant que Google, Facebook et Twitter ont été qui se réunissent pour empêcher l’abus Internet. Facebook a étéexposée cette semaine encore censurer les médias conservateurs de sa section de nouvelles "tendances". Et plus tôt cette année, Google a étéexposés pour avoir aider le gouvernement des États-Unis à fomenter la révolution djihadiste conduite en Syrie.
RépondreSupprimerReprenant la rhétorique de l’ONU, Couronne a prétendu « droit international » et style fasciste « partenariats public-privé, » dans laquelle les gouvernements et les grandes entreprises unissent leurs forces, ont été la réponse appropriée. Il a également déclaré que la « communauté internationale », un terme trompeur, généralement utilisé pour désigner les Nations Unies et les gouvernements de ses membres, devaient « travailler ensemble de façon coordonnée et transparente ». Le Conseil de sécurité de l’ONU est d’accord, affirmant dans sa déclaration finale qu’il fallait « des moyens plus efficaces pour les gouvernements de s’associer à... partenaires de l’industrie du secteur privé ». C’est presque un nouvel ordre du jour.
Comme The New American indiqué précédemment, les géants de la technologie — tous sont régulièrement représentés lors des sommets de Bilderberg mondialiste — ont égalementémergé comme des partisans enthousiastes de radical "Agenda 2030." l’ONU Selon l’accord, l’objectif est "transformer notre monde" redistribution des richesses au niveau international, en habilitant les institutions de gouvernance mondiale et plus encore. Parmi les méga-corporations fièrement soutenant le régime est les moteurs de recherche des trois meilleurs du monde : Google, Bing de Microsoft et Yahoo. Il n’était pas immédiatement clair si le soutien de ces sociétés à l’ordre du jour des Nations Unies profondément controversé affecterait l’impartialité supposée de leurs résultats de recherche. Mais les critiques du plan des Nations Unies s’est déclaré alarmé néanmoins.
Bien sûr, une poignée des plus de 70 personnes qui s’est exprimé lors du Conseil de sécurité confab lip service rémunéré à la liberté d’expression et la liberté de pensée. Délégation du gouvernement irakien, a souligné par exemple, distinguer la "liberté de pensée." idéologies extrémistes D’autres, a déclaré que la guerre contre l’extrémisme ne pourrait pas servir à justifier la persécuter les critiques des gouvernements. Certains des intervenants avaient sans doute de bonnes intentions, trop.
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Cependant, mettre l’ONU en charge de la lutte contre l’extrémisme et idéologies dangereuses serait comme mettre un chef mafieux en charge de la lutte contre la criminalité — c’est évidemment absurde, même grotesque. La plupart des régimes membres de l’ONU est antidémocratique, d’être généreux, et beaucoup d'entre eux sont dirigées par des psychopathes génocidaires qui assassinent en toute impunité. Parmi les autres États membres des Nations Unies, ceux asservir la Corée du Nord, le Zimbabwe, Cuba, Soudan, Chine et beaucoup plus sont menées par les criminels et les meurtriers de masse qui incarnent le terrorisme et l’extrémisme violent. De plus, pratiquement chaque groupe terroriste sur terre aujourd'hui a ses racines dans l’état de parrainage,y compris ISIS etal-Qaeda.
RépondreSupprimerLa véritable solution à la terreur, est alors, ni une ONU plus forte, ni une guerre mondiale contre les idéologies, les extrêmes ou autres. Habiliter l’ONU à mener une guerre mondiale contre les idées, idéologies, la propagande et discours est en soi une proposition extrémiste criblée de dangers extrêmes. Une réponse beaucoup plus simple pour le fléau du terrorisme serait de defund l’ONU, arrêter ceux qui soutiennent des groupes terroristeset arrêter l’étayage des dictateurs et les terroristes avec l’argent des contribuables. Tout le reste est une fraude dangereuse.
http://www.zerohedge.com/news/2016-05-20/un-plots-war-free-speech-stop-extremism-online
Regardez comme se mettent en place des gardiens de la dictature afin de contrer toutes oppositions !
SupprimerAprès la lamentable opposition aux présence de scientifiques lors du COP21 en décembre dernier à Paris où, jusqu'aux manifestations extérieures des scientifiques étaient interdites !!! désormais, les manifestations en ligne sur Internet seront également interdites !!!
Interdit de dire que si un glaçon font il PERD du volume et non en gagne (quand on sait que les pôles sont plats comme une feuille de papiers sur des millions de km² avec seulement qq élévations à 50 ou 80 m pour les plus hautes en bordure de banquise cause aux tremblements de terre qui ont fait des rencontres). Interdit de dire la vérité et donc de soutenir les vrais scientifiques qui osent encore dire que la planète se refroidit face aux faux scientifiques (météorologues, cartomanciens, etc) qui parlent aux télés.
http://huemaurice5.blogspot.fr/2013/07/jirai-pisser-sur-vos-tombes.html
Headline WTF du jour : Sénateur dit « U.S. est sous-incarcérés, » devrait enfermer plus de personnes
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 20/05/2016 20:00 -0400
Personne au monde aime verrouillage autant que les américains font les gens derrière les barreaux Comme nous le mentionnions précédemment, nous avons plus de gens en prison que toute autre nation sur la planète. Nous avons également un pourcentage plus élevé de notre population enfermée que personne d’autre ne le fait par une très grande marge. Mais tous de cette prison en fait nous a rendus plus sûrs ? Eh bien, la dernière fois que j’ai vérifié, crime restait sauvagement hors de contrôle en Amérique et pour l’année la plus récente que nous avons des chiffres pour les crimes violents a augmenté de 15 %. Le nombre de personnes que nous avons enfermé a quadruplé depuis 1980, mais ce n'est pas de résoudre tous nos problèmes. De toute évidence, ce que nous faisons ne fonctionne pas.
Voici les taux d’incarcération américain pour 100 000 personnes depuis 1880 :
Terre de la liberté en effet...
Donc, juste au cas où quelqu'un avait besoin d’un peu plus fou à la fin de la semaine, le sénateur Tom Cotton (R -AR) est là pour aider.
Rappelons que l’an dernier, le sénateur de l’Arkansas a dit qu’il y avait trop de lits vides à Guantanamo...
- voir graphique sur site -
"À mon avis le seul problème avec Guantanamo Bay est qu'il y a trop de lits vides et cellules là dès maintenant. Nous devons envoyer davantage de terroristes là pour interrogatoire plus loin pour assurer la sécurité de ce pays. Pour autant que je suis concerné chaque dernier d'entre elles peut pourrir en enfer."
Profitez de...
- voir clip sur site -
Il semble que la seule chose sur esprit du coton se remplit de cellules de la prison, parce que maintenant le sénateur veut agrandir des prisons américaines, donc ils peuvent être remplis jusqu’encore. Lors d’un discours à l’Hudson Institute, coton a déclaré que si quoi que ce soit, les Etats-Unis ont un problème d’incarcération sous.
"Il y a un projet de loi au Congrès maintenant qui réduirait fortement les peines minimales obligatoires pour un grand nombre de crimes fédéraux. Les défenseurs du projet de loi affirment que nous sommes enfermer trop de délinquants, pour trop long, pour trop peu et nous ne pouvons pas le permettre en tout cas, et nous devrions montrer plus d’empathie envers ces pris dans le système de justice pénale. Ces arguments mis sont tout simplement sans fondement. Jetez un oeil à des faits. Tout d’abord, la réclamation que trop de criminels sont emprisonnés, qu’il n’y a suremprisonnement, ignore un fait malheureux. Pour la grande majorité des crimes, l’auteur est jamais identifié, ou arrêté, et encore moins poursuivi, condamnés et emprisonnés. Application de la Loi est capable d’arrêter ou d’identifier un auteur probable que 19 pour cent des crimes contre les biens et 47 % des crimes violents. Si quoi que ce soit, nous avons un problème d’incarcération sous."
Texte du passage visé commence à 09:20
(suite en dessous:)
- voir clip sur site -
RépondreSupprimerQuelques bombes de fait...
Il n’y a 2,3 millions d’américains dans la prison ou la prison. The US a 5 pour cent de la population mondiale, mais 25 % de ses prisonniers. Une personne sur trois noir hommes peuvent s’attendre à passer du temps en prison. Il y a 2,7 millions de mineurs avec un parent incarcéré. Le taux d’incarcération a augmenté de plus de 400 % depuis 1970.
Des recherches récentes suggèrent que l’incarcération a perdu sa puissance. Un rapport publié cette semaine du centre Brennan pour la Justice à la New York University School of Law constate que accrue d’incarcération a eu un effet très limité sur la criminalité depuis deux ans et demi ans.
– De l’article cinq-trente-huit : le Imprisoner de dilemme
Malheureusement pour Monsieur Cotton, si prisons pourraient s’élargir et devenir plus pleinement qu’ils le sont déjà, tous les problèmes du monde ne seraient pas tout simplement disparaître. Peut-être coton devrait rejoindre une banque centrale, ainsi il peut être entre collègues "peuple magique" et de vivre dans le déni d’anecdotes, l’histoire et faits.
Perhap suivantes sont 21 faits étonnants sur l’obsession de l’Amérique avec la prison pourraient aider M. Cotton...
#1 Il n’y a plus de 2,4 millions de personnes derrière les barreaux en Amérique que vous avez lu cet article.
#2 Depuis 1980, le nombre de personnes incarcérées aux États-Unis prisons a quadruplé.
#3 Le taux d’incarcération aux Etats-Unis est 4 fois plus élevé que le taux d’incarcération au Royaume-Uni et plus de 6 fois plus élevé que le taux d’incarcération au Canada.
#4 Enregist rement environ 12 millions de personnes dans les prisons locales aux États-Unis chaque année.
#5 Dans l’ensemble, les États-Unis ont la plus importante population carcérale et le taux d’incarcération plus élevé dans le monde entier.
#6 Environ un sur chaque quatre prisonniers sur l’ensemble de la planète sont dans les prisons américaines, mais les États-Unis ne représente environ 5 % de la population mondiale totale.
#7 L’état du Maryland (population totale de 5,9 millions) a plus de gens en prison que l’Iraq (31,9 millions de la population totale).
#8 L’état de l’Ohio (population totale de 11,6 millions) a plus de gens en prison que Pakistan (192,1 millions de la population totale).
#9 Incroyablement, 41 % de tous les jeunes gens en Amérique ont été arrêtés au moment où ils tournent le 23.
#10 Entre 1990 et 2009, le nombre d’américains dans les prisons privées a augmenté d’environ 1600 %.
#11 À ce stade, prison privée sociétés exploitent plus de 50 pour cent de tous les "jeunes établissements pénitentiaires" dans ce pays.
#12 Il y a plus les Afro-américains sous « surveillance correctionnelle » dès maintenant qu’étaient dans l’esclavage aux États-Unis en 1850.
#13 Environ 90 % de ces détenus dans les prisons aux Etats-Unis sont des hommes.
#14 Le taux d’incarcération des hommes afro-américains est 6 fois plus élevé qu’il ne l’est pour les hommes blancs.
#15 Une étonnante 37,2 % des hommes afro-américains de 20 ans d’âge 34 avec moins d’un diplôme d’études secondaires ont été incarcérés en 2008.
(suite en dessous:)
#16 Police dans la ville de New York a réalisé presque 700 000 « arrêt-et-palpation" seulement en 2011.
RépondreSupprimer#17 Le "SWATification" de l’Amérique a obtenu complètement et totalement hors de contrôle. En 1980, il y seulement environ 3 000 SWAT raids aux États-Unis pendant toute l’année. Aujourd'hui, il y a plus de 80 000 raids SWAT aux États-Unis chaque année.
#18 Immigrés clandestins représentent environ 30 % de la population totale dans nos prisons fédérales, nationales et locales.
#19 Le détenu de sécurité moyenne « minimale » dans la prison fédérale de contribuables coûts U.S. $ 21 000 par an.
#20 Détenu dans la prison fédérale de contribuables coûts U.S. $ 33 000 par an moyenne « haute sécurité ».
#21 Dans l’ensemble, il en coûte plus de 60 milliards de dollars par an pour garder tous ces gens enfermés.
* * *
Enfin, on se demande à quel point M. Cotton obtient des prisons privées de l’état profond de financement ?
http://www.zerohedge.com/news/2016-05-20/wtf-headline-day-gop-senator-says-us-under-incarcerated-should-lock-more-people
PS: Et, 95 % des personnes exécutées... étaient innocentes !
SupprimerAccueil pour personnes pauvres, non vaccinées, non armées et non musulmanes.
« Hillary Clinton est un Danger pour la paix mondiale », avertit favori présidentiel française Le Pen
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 20/05/2016 15:44 -0400
Médias américains a comparé à plusieurs reprises candidat présomptif de GOP Donald Trump au chef du parti Front National extrême-droite française et leader dans les bureaux de vote pour l’élection présidentielle de 2017 Français, Marine Le Pen et alors que le franc politicien Français n’a pas explicitement nommé un candidat « préférable » pour les USA Président, ses observations suggèrent aujourd'hui que ce n’est pas Hillary Clinton. Affirmant que le "Union européenne est au bord du gouffre," comme deux de ses principaux « piliers » "s’effritent" malgré les milliards d’euros dépensés sur le maintien de la structure de la chute, craint plus graves Hillary Clinton de gagner la maison blanche parce que cela constituerait « un danger pour la paix dans le monde, » qu’elle continuerait à faire glisser l’Europe dans sa politique « destructrice » des conflits Le Pen.
Tout en refusant d’approuver des États-Unis présidentielle favorisLe Pen a dit RT qu’elle estime qu’il est celui qui ne profiterait certainement pas la France.
“Il y a un candidat qui semble beaucoup plus dangereux pour la France que les autres – que les de Hillary Clinton," le chef du Front National, France RT a dit dans une interview exclusive. "Je ne suis pas américain donc je n’ai besoin de faire un choix. Mais... dans l’intérêt de la France, Hillary Clinton est sans doute le pire choix là-bas. »
Le Pen voit le leader démocratique comme si « dangereux » en raison de la carrière de Mme Clinton comme Secrétaire d’État américain, dans lequel elle travaillait "main dans la main avec l’éventail complet des décisions américaines" qui finit par "plongé le monde objectivement dans le chaos."
« Je pense que si elle est élue elle continuerait cette politique, une politique destructrice, une politique du conflit, une politique d’emprisonnement de l’Europe dans l’atlantisme aveugle », a déclaré Le Pen. « Je pense que c’est un danger pour la paix mondiale ».
En décembre, Le Pen, qui elle-même espère gagner de France élections présidentielles 2017, critiqué favori républicain Donald Trump pour proposant d’interdire presque tous les musulmans d’entrer aux États-Unis.
« Sérieusement, ont déjà entendu me dire quelque chose comme ça ? » Le Pen a déclaré dans l’une de ses interviews, probablement en réponse à comparé avec Trump. « Je défends tout le peuple Français en France, quelle que soit leur origine, quelle que soit leur religion. »
En outre, le chef du parti Front National de droite dure de la France estime que l' effondrement n’est pas une question de "si" mais "quand", dit l’UE "brille de la lumière d’une étoile morte" alors que ses dirigeants ont du mal à jouer pendant un temps « au prix de milliards essayant de tenir cette structure vers le haut. »
“Je crois que l’Union européenne est en train de s’effondrer sur lui-même pour une raison simple. Les deux piliers sur lesquels il repose – Schengen et l’euro, sont en train de s’effriter," Le Pen dit à Marie De Douhet de RT France dans une interview exclusive. « Alors ils sont dans une sorte de spirale folle dans laquelle ils sont capables de tout aujourd'hui pour essayer de garder ce bâtiment debout. »
Intégralité de l’interview ci-dessous :
- voir sur site:
http://www.zerohedge.com/news/2016-05-20/frances-le-pen-warns-clinton-danger-world-peace
Supprimerhttp://huemaurice5.blogspot.fr/2015/04/la-ruine-des-elections.html