Nestlé est la plus grande firme mondiale dont la spécialité est presque exclusivement l’alimentation. En quelques chiffres : 335000 employés, 2000 marques commerciales, 436 usines de fabrication dans 85 pays, 189 des 195 pays du monde achètent des produits Nestlé, enfin la capitalisation de Nestlé est estimée à plus de 240 milliards de dollars. Nestlé vend du sucre, beaucoup de sucre, depuis que le créateur de la compagnie, Henri Nestlé, décida de commercialiser le lait condensé qu’il fabriquait pour un voisin dans la petite ville de Vevey au bord du lac Léman à la fin du XIXe siècle qui était chocolatier de son état. Le premier marché de Nestlé fut en effet des barres chocolatées utilisant ce lait condensé sucré comme ingrédient majeur. Puis Nestlé se lança encore dans le lait, cette fois en poudre, pour l’alimentation des enfants et comme ce marché devint très rapidement porteur, la société eut l’idée géniale de fabriquer du café en poudre instantané dont la fabrication restait secrète et qui fit un véritable malheur durant la seconde guerre mondiale.
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Aujourd’hui Nestlé vend toujours énormément de sucre aussi bien dans les barres Kit-kat que dans les glaces Häagen-Dazs. Il serait fastidieux de citer tous les produits Nestlé riches en sucre. Or une administration comme la FDA américaine envisage de classer le sucre parmi les produits toxiques pour la santé au même titre que le tabac ou l’alcool. Le Mexique vient d’introduire une surtaxe sur les sodas sucrés et a été immédiatement suivi par la Grande-Bretagne en mars dernier. L’Arabie Saoudite, pays où l’épidémie d’obésité est alarmante, envisage très sérieusement de surtaxer tout produit alimentaire industriel, solide ou liquide, trop sucré. Dans le domaine de la malbouffe dont Nestlé est un grand contributeur, les choses commencent à bouger avec le sucre, le sirop enrichi en fructose, les quantités extravagantes de sel, mais aussi avec les acides gras partiellement hydrogénés et divers additifs alimentaires dont l’innocuité pour la santé est de plus en plus contestée.
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C’est ainsi que les parts de marché de Nestlé ont chuté dans le domaine des produits dérivés du lait (condensé et sucré) mais aussi dans le créneau des plats cuisinés et des sodas. Il n’y a d’ailleurs pas que Nestlé qui a choisi une reconversion discrète pour parer à cette diminution de chiffre d’affaire. Mondelez International, le fabricant des biscuits Oreos vendus sous la marque Nabisco, est entré en force dans le marché du « sans gluten » : puisque la mode « sans gluten » existe autant l’exploiter. PepsiCo s’attaque aux snacks bons pour la santé comme l’hummus (voir notes en fin de billet).
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Nestlé n’est pas en reste : puisque cette firme vend du sucre pourquoi ne pas vendre aussi des produits susceptibles de combattre le diabète ! Ce n’est pas une orientation soudainement prise devant la levée de boucliers mondiale contre la malbouffe mais un positionnement stratégique : Nestlé veut se redéfinir comme le leader mondial de la nutrition, de la santé et du bien-être sur des bases dites scientifiques.
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En d’autres termes cette firme vend d’une main ce qui nuit à la santé et de l’autre main ce qu’il faut pour remédier à cette dégradation de la santé. Dans les locaux du siège de Nestlé à Vevey, il existe maintenant un laboratoire de recherche en amont de la biologie de la nutrition employant plus de 160 scientifiques de haute qualification dont les centres d’intérêt vont de la maladie d’Alzheimer aux rhumatismes sans oublier naturellement le diabète. Les matières premières choisies sont les plantes, les légumes comme les tomates et aussi les champignons. Une sorte de librairie a été constituée pour développer de nouveaux produits à usage alimentaire thérapeutique. Elle comporte déjà plus de 40000 composés ! Mais ce n’est pas tout, le centre de recherche Nestlé sur la santé compte plus de 3000 personnes dédiées à la commercialisation des découvertes en amont dirigées par un certain Ed Baetge, biologiste moléculaire diplômé de l’Université Cornell qui a parachevé son expérience dans les biotech en Californie du sud. De nombreux « suppléments » sont déjà sur le marché et sont censés posséder des propriétés thérapeutiques. Jugez par vous-même :
L’ingéniosité de Nestlé est d’arriver à vendre de nouveaux produits susceptibles d’améliorer la santé du consommateur en échappant à toute régulation car il s’agit de compléments alimentaires. Et comme l’image de marque de Nestlé est incontestable, c’est du profit pur jus !
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La gigantissime firme Nestlé a donc mis au point une arnaque tout aussi gigantesque pour la plus grande satisfaction de ses actionnaires, mais qu’en est-il de celle du consommateur final ? Jamais un quelconque de ces compléments alimentaires n’a pu être clairement reconnu comme significativement bénéfique pour la santé … Pour preuve la société Accera, une filiale de Nestlé, a commercialisé une boisson contenant un triglycéride de l’acide caprylique, l’Axona, supposée être bénéfique pour combattre la maladie d’Alzheimer. Le produit en question est issu de l’huile de coprah et est donc « naturel ». La toute puissante FDA a déclaré cette boisson comme une drogue non approuvée et une class-action a été organisée par des consommateurs d’Axona pour le moins déçus par ses effets inexistants.
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L’affaire n’est pas arrivée devant les tribunaux car Nestlé l’a étouffée dans l’oeuf pour ne pas ternir son image de marque. Quand on s’appelle Nestlé …
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Source et illustrations : Bloomberg
Notes :
https://en.wikipedia.org/wiki/Oreo et aussi sur ce blog : https://jacqueshenry.wordpress.com/2013/10/17/oui-lobesite-est-une-maladie/
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L’hummus est une sorte de purée préparée à partir de poix chiche, assaisonnée et pimentée. Ce plat originaire du Moyen-Orient est devenu très populaire aux USA en quelques années.
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Le chômage s'affirme en hausse encore une fois que nous aurons des preuves scientifiques plus la classe moyenne rétrécit
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 12 mai 2016
Comme l'économie américaine ralentit, nous nous attendrions à commencer à voir des preuves de cela dans le nombre d'emplois, et c'est précisément ce qui a commencé à se produire. Pendant la semaine qui précède la dernière, initiales demandes de chômage prestations ont bondi de 17 000, qui a été la plus forte hausse que nous avions vu dans plus d'un an. Eh bien, la semaine dernière, nous avons assisté une pointe encore plus grand. Corrigé des variations saisonnières initial prétend coup jusqu'à 20 000 plus pour un total de 294 000. Bien sûr, il est parfaitement logique que plus d'Américains sont une demande de prestations de chômage, car les entreprises sont licencier personnes à un beaucoup plus rapide rythme ces jours-ci. Il y a quelques jours, j'ai signalé que cet emploi coupe annonces à grandes entreprises fonctionnent 24 % plus élevé cette année, comparativement à des quatre premiers mois de l'année dernière. Donc nous devrions attends que le nombre d’américains qui cherchent des allocations de chômage continuera à accélérer.
Personnellement, je suis un peu surpris par la vitesse à laquelle ces chiffres sont empirer. Ce qui suit provient directement du ministère du travail...
Dans la figure de la semaine s’étant terminée le 7 mai, à l’avance pour les demandes initiales corrigées des variations saisonnières était de 294 000, soit une augmentation de 20 000 de la semaine précédente non révisée niveau de 274 000. C’est la plus élevée pour les créances initiales depuis le 28 février 2015 alors qu’elle était à 310 000. La moyenne mobile de 4 semaines a été de 268 250, soit une augmentation de 10 250 de 258 000 en moyenne non révisée la semaine précédente.
Pendant longtemps, les demandes initiales de prestations de chômage tournaient assez bas, et c’était l’un des rares endroits lumineux pour l’économie américaine.
Malheureusement, qui est en train de changer, et c’est juste plus de confirmation qu’un important ralentissement économique a déjà commencé. Pour les nombreux numéros plus sauvegarder cette réclamation, s’il vous plaît voir mon précédent article intitulé "11 des signes que l’économie américaine se détériore rapidement alors même que le marché boursier s’envole".
Mais si l’économie a fait bon ou mauvais dans ces dernières années, la tendance à long terme du déclin de la classe moyenne en Amérique a continué sans relâche.
Cette semaine, nous avons obtenu des preuves encore plus que la classe moyenne disparaît progressivement du Pew Research Center...
La classe moyenne américaine perd du terrain dans les régions métropolitaines dans tout le pays, qui touchent les collectivités de Boston à Seattle et de Dallas à Milwaukee. De 2000 à 2014, la part des adultes vivant dans des ménages à revenu moyen est tombé en 203 des régions métropolitaines américaines 229 examinées dans une nouvelle analyse de Pew Research Center de données du gouvernement. La diminution de la part de la classe moyenne était souvent considérable, mesurant de 6 pour cent ou plus de 53 régions métropolitaines, comparativement à une baisse de 4 points à l'échelle nationale.
Comprenez-vous ce que c'est à dire ?
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Il dit que la bourgeoisie a obtenu plus petite dans les régions métropolitaines de 203 sur 229 U.S. entre 2000 et 2014. Cela signifie que la mort de la classe moyenne est très répandue et ça se passe partout dans le pays.
RépondreSupprimerMais ce n’est pas seulement la classe moyenne qui souffre. Selon ce même rapport, les revenus des ménages sont en baisse pour les américains dans toutes les tranches de revenu...
Les foyers américains à tous les niveaux de revenu a connu une baisse de leurs revenus de 1999 jusqu’en 2014. Au niveau national, le revenu médian des ménages à revenu moyen a diminué de $ 77 898 en 1999 à $ 72 919 en 2014, une perte de 6 %. Le revenu médian des ménages faible revenu et à revenu supérieur a diminué de 10 % et 7 %, respectivement, au cours de cette période.
L’éviscération systématique de la classe moyenne a été un thème permanent que j’ai écrit au sujet depuis de nombreuses années. Et sans aucun doute, une des principales raisons du déclin de la classe moyenne a été la disparition des emplois de classes moyenne.
Grâce à des "accords de libre échange" qui ont été poussés par Bill Clinton, Bush et Barack Obama, l’économie américaine a été régulièrement fusionnée dans le système économique émergent d’un seul monde. Ainsi, les travailleurs américains sont obligés maintenant en concurrence directe pour l’emploi avec les travailleurs de l’autre côté de la planète qui vivent dans des pays où il est légal de payer les salaires d’esclaves.
Il était inévitable que les emplois bien rémunérés laisserait zones où travail était cher et aller à des endroits étaient labor était très bon marché. Au cours des deux dernières décennies, les États-Unis a vu des dizaines de milliers d’installations de fabrication s’arrête et nous avons perdu des millions d’emplois de classes moyenne.
Un de ces emplois de classes moyenne s’est soldé par un travailleur d’usine nommé Wendell Nolen...
Wendell Nolen, 52, a connu la glissière du statut de classe moyenne première main. Il y a huit ans, il gagnait 28 $ l’heure comme un ouvrier d’usine de Detroit American Axle et exploitations de fabrication, assemblage essieux pour camionnettes et vus.
Mais au début de 2008, la belle vie démêlé. Après une grève de trois mois, Nolen a pris un rachat plutôt qu’une rémunération couper. Moins d’un an plus tard, l’usine a été fermée et American Axle livré une grande partie de son travail au Mexique.
Nolen fait maintenant 17 $ de l’heure dans le service des expéditions d’un manufacturier de Detroit en acier, environ 40 pour cent de moins qu’il a fait à l’usine de l’essieu.
"Amérique est perdre des emplois en raison de l’étoffe de libre-échange", a déclaré Nolen. "Ils vendent l’Amérique dehors".
Je ne pouvais pas dit mieux moi-même.
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Si vous reculez et adopter une vision à plus long terme des choses, ce qui est arrivé à notre classe moyenne est absolument stupéfiante.
RépondreSupprimerPar exemple, une étude a révélé que la classe moyenne en Amérique sont devenus une minorité dernière année pour la première fois dans notre histoire.
Et qu’on remonte à 1970, la bourgeoisie a remporté près de 62 pour cent de tous les revenus, mais aujourd'hui, ce nombre a chuté à seulement 43 %.
Il s’agit d’un problème qui a été criant pour une solution depuis très longtemps, et encore, nos politiciens ont été assis sur leurs mains.
Maintenant la prochaine crise est là, et le sort de la classe moyenne est sur le point d’obtenir un ensemble bien pire.
Pendant des mois, mes lecteurs réguliers écouté moi aller sur et sur la façon de l’économie américaine se détériore, mais maintenant il dit même les médias traditionnels.
Par exemple, un article de Bloomberg qui vient de sortir admet que "le prochain président devra probablement faire face une récession" peu importe qui gagne l’élection...
Parler d’un cadeau empoisonné. Peu importe qui est élu à la maison blanche en novembre, le prochain président sera probablement face à une récession.
Et un article qui vient d’être publié par CNBC est encore plus pessimiste quant à l’économie...
Nous sommes au milieu d’un ralentissement de l’économieet la chaîne de dominos, conduisant à une récession a commencé à tomber. Tout d’abord, c’est une faiblesse de l’économie mondiale. Ensuite, des sociétés multinationales et d’entreprises ont été touchées par le déclin globales commerce et des prix qui en résulte. Maintenant, consommateurs commencent à sentir les conséquences qu’ils tirent vers le bas de leur croissance des dépenses discrétionnaires biens et services, qui nous l’avons vu dans le rapport du PIB au premier trimestre.
C’est la préfiguration d’une récession. Nous avons vu des indicateurs similaires avant la récession en 2001 et 2008. Bien qu’il existe un potentiel pour des indicateurs économiques flip, l’élan actuel et les indicateurs suggèrent que l’économie américaine va s’aggraver avant de s’améliorer.
C’est précisément ce que je dis. Les mêmes indicateurs précis qui nous a dit que les récessions venaient en 2001 et 2008 ont été clignotant rouge vif, mais la plupart des gens ne semblent pas comprendre ce qui se passe.
Peu importe combien foi que vous pourriez avoir à Barack Obama, Hillary Clinton, Bernie Sanders ou Donald Trump. Aucun d’eux ne peut arrêter ce qui est déjà en train de se produire.
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Sans aucun doute, nous sommes vraiment "au milieu d’un ralentissement de l’économie", et il est très certainement vrai que "le prochain président devra probablement faire face une récession".
RépondreSupprimerEn fait, nous serions extrêmement heureux si c’est juste une récession que nous aborderons.
L’économie plus importante sur la planète est vacille au bord du gouffre, et il ne va pas faire beaucoup pour nous pousser dans une véritable catastrophe.
Espérons donc d’une sorte de miracle économique se déroule, car nous pourrions vraiment utiliser un droit environ maintenant.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/unemployment-claims-spike-again-as-we-get-more-scientific-evidence-the-middle-class-is-shrinking
Dying classe moyenne majoritaire ne sont plus en U.S. Revenu moyen $ 5K Less Than en 1999
RépondreSupprimer12 mai 2016
Melissa Dykes
Selon un nouveau rapport du Pew Research Center, la classe moyenne est en train de disparaître rapidement de la surface du pays.
Sur 229 régions métropolitaines examinées dans le États-Unis, le nombre de ménages de la classe moyenne a diminué sensiblement dans un énorme 203 d'entre eux. Alors qu'il y avait quelques villes qui ont bien grâce à boons du pétrole, ils sont rares et espacées.
La tendance générale montre la classe moyenne est morte.
En plus de cela, le ménage moyen fait 8 % de moins que ce qu'ils ont fait en 1999, alors que le coût de la vie a augmenté de façon spectaculaire depuis ce moment-là. Des rapports comme celui-ci ne cessent de dire que nous "avons pas encore totalement récupéré" de la crise de 2008, mais si vous regardez ce qui se passe là-bas, en ajoutant le mot «encore» est tout simplement un vœu pieux.
Ce rapport vient sur les talons d'un rapport Décembre 2015, a constaté que seulement 50% des adultes américains vivaient dans un ménage à revenu intermédiaire en 2015, contre 61% en 1971. L'écart de richesse continue de se creuser à des niveaux astronomiques que l'Américain moyen est renversé dans la pauvreté.
Le rapport Pew a conclu avec "La tendance nationale est-claire: la classe moyenne est de perdre du terrain en tant que part de la population, et sa part du revenu global des ménages américains est également en baisse."
Le plan semble être de retour en Amérique à la féodalité. Pourrait aussi bien appeler le nouveau système néo-féodalisme. Ils veulent que beaucoup de gens en bas que possible afin que l'accès au pouvoir peut être étroitement contrôlée au sommet.
http://www.thedailysheeple.com/dying-middle-class-no-longer-majority-in-u-s-average-income-5k-less-than-in-1999_052016
Mini projecteur offre des vues jusqu'aux tables et murs tableau blanc
RépondreSupprimer13 mai 2016
par Nancy Owano
Toujours un concept à couper le souffle : quelque chose de léger qui transforme les objets nous avons dans le monde réel en écrans tactiles virtuel. Une société basée à Shanghai souhaite rouler avec ce concept, sous la forme de son projecteur mini spécial, le Lazertouch.
La société s’est tourné vers une campagne Indiegogo pour amasser des fonds. Il s’agit d’un mini-projecteur qui peut fonctionner comme un comprimé ou le tableau blanc interactif.
Utiliser la surface de votre table à la maison, par exemple, de jouer un jeu interactif avec votre enfant ; Utilisez le mur de votre prochain lieu de rencontre des partenaires de Show-Business qui a parcouru votre projet.
L’appareil possède un système d’exploitation Android. Shanghai Easi Computer Technology Co (Easitech) est la compagnie offrant ce ; Il a été établi en 2002 ; sa spécialité est les technologies de l’image analyse et lasertouch.
Lazertouch projette un écran 15 pouces environ sur un bureau ou une table ; vous utilisez ce que vous voyez avec votre doigt ou le stylet. En ce qui concerne un affichage mural, peut devenir un mur un touchscreen activés par le doigt de 150 pouces pour les présentations.
À la maison vous pouvez l’utiliser pour les films et les jeux. Selon le communiqué de la société, il est sans danger pour les enfants s' et s adult' acuité visuelle.
Comment ça marche : le projecteur émet un faisceau laser invisible parallèle à l’écran de projection. Quand un doigt ou le stylet touche le faisceau laser, le capteur détecte et interprète la touch pour ajouter vos commentaires, double clic sur une icône, arrêter ou démarrer un film, ou autre chose, que vous le faites avec un appareil à écran tactile.
La vidéo se charge sous peu. Caractéristiques comprennent des applications téléchargeables, haut-parleurs, 32 Go de stockage, Bluetooth, Wi-Fi, a 13, batterie rechargeable 600mAh et les ports HDMI, USB, casque et Micro SD.
Démarrer une réunion avec elle ou l’utiliser pour appui au divertissement 200 pouces HD films et immersive VR gaming et projetant des instruments de musique, comme un tambour ou un piano
Le prix varie selon le forfait, mais une telle offre était à l’époque de cette écriture répertoriés comme earlybird super prix de 475 $ avec livraison estimé en juillet.
Le projecteur est livré avec un stylet de e-pen IR.
L’entreprise cherche à soulever $ 30 000 à un mois et ils ont soulevé $7382 au moment d’écrire ces lignes.
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Une version dit: « Lazertouch est le seul mini projecteur qui vous permet d’utiliser un doigt pour effectuer rapidement des opérations sur l’écran sans besoin de s’inquiéter d’un stylet perdu. Utilisateurs peuvent également écrire en douceur en avec le stylet inclus e-pen, pour vous aider à faire une présentation interactive whiteboard puissant avec des notes et commentaires. Il inclut même un pointeur pour la clarification et l’accent le dispositif portatif essentiel pour les enseignants, les haut-parleurs et les dirigeants d’entreprises. Lors d’une réunion du groupe, de la Lazertouch projets un environ 15 pouces écran sur un bureau ou une table qui peut être actionné par le doigt ou le stylet comme vous le feriez pour une tablette. Sa permet d’exploitation polyvalent que vous passer en plein écran sur un mur de 150 pouces jusqu'à quand plus de gens viennent à la réunion et il fonctionne même avec les panneaux publicitaires interactifs. »
RépondreSupprimerhttp://techxplore.com/news/2016-05-mini-projector-tablet-wall-whiteboard-views.html
Sergueï Lavrov à propos des négociations sur l'Ukraine,
RépondreSupprimerle 11 Mai 2016
Allocution et réponses aux journalistes de Sergueï Lavrov, Ministre russe des Affaires étrangères, en conférence de presse après un nouveau cycle de négociations entre les ministres des Affaires étrangères du Format Normandie, Berlin, 11 mai 2016 :
- voir clip sur site -
Transcription :
Les ministres des Affaires étrangères du Format Normandie (Russie, Allemagne, France, Ukraine) viennent de terminer leurs pourparlers. Ils ont été longs, très concrets et assez complexes. Nous voulons tous que les accords conclus entre les dirigeants de nos quatre pays à Minsk le 12 février 2015 soient remplis, et ce dans tous les domaines: la sécurité, le retrait des armements, l'aide humanitaire, le rétablissement économique et la reprise des contacts sur la plus importante des questions – le règlement politique du conflit. Nous disposons d'un ensemble d'accords qui concernent la sécurité, le respect du cessez-le-feu, le retrait des armements, ainsi que le renforcement du contrôle des armes stockées dans les entrepôts - pour qu'elles n'en disparaissent pas. Nous demandons avant tout au Groupe de contact de s'en charger, car le Format Normandie, je le rappelle, a pour mission de surveiller comment le Groupe de contact étudie et règle les questions soulevées dans les Accords de Minsk. Le Groupe de contact dispose également d'un sous-groupe dédié aux questions de sécurité, qui examinera les idées concrètes que nous avons proposées en collaboration avec la Mission spéciale d'observation (MSO) de l'OSCE.
Une décision très importante a été prise aujourd'hui: nous avons réaffirmé la nécessité de faire adhérer à ce processus le Centre conjoint de coordination et de contrôle chargé de veiller au respect du cessez-le-feu. Créé il y a longtemps à la demande du Président ukrainien Petro Porochenko, il a mené à un travail commun des officiers russes et ukrainiens dans la zone du conflit pour consolider les processus qui contribuent à la désescalade de la situation.
Nous avons aussi accordé beaucoup de temps aux aspects politiques des Accords de Minsk. Le principal résultat de ces discussions est la confirmation que tous ces problèmes sont interdépendants et ne pourront être réglés qu'en tenant compte de ce facteur. Cela concerne les élections locales dans le Donbass, la nécessité d'adopter en Ukraine la loi sur le statut particulier du Donbass, le reflet de ce statut dans la Constitution ukrainienne et, évidemment, l'amnistie - car il est impossible d'organiser les élections et de régler le conflit sans assurer une réconciliation nationale. Nous n'avons pas réussi à avancer concrètement sur ces problèmes car conformément aux Accords de Minsk, ils doivent être tous réglés dans le cadre d'un dialogue direct entre Kiev, Donetsk et Lougansk. Néanmoins, je pense que la confirmation de l'interdépendance entre tous les éléments du processus de paix est un résultat très important, comme je viens de le dire.
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Nous avons également évoqué le blocus économique du Donbass, les problèmes liés au versement des prestations sociales et des retraites, ainsi que celui de la mise à disposition des services bancaires dans les régions de Donetsk et de Lougansk. Nous nous souvenons que la France et l'Allemagne s'étaient engagées, à Minsk, à aider à régler ce problème concret des services bancaires. J'espère que nos partenaires vont être plus actifs en la matière.
RépondreSupprimerAu sujet de l'aide humanitaire, hormis les problèmes d'acheminement et de prise en compte des besoins de la population, nous avons également évoqué la question de l'échange de prisonniers. Le principe de "tous contre tous" est fixé dans les Accords de Minsk. Nous y sommes attachés. Mais les relations sont très tendues, comme on l'a vu ces derniers temps quand la "trêve de Pâques" a été enfreinte: nous devons donc régler cette question dans un contexte très émotionnel. Néanmoins, nous y sommes attachés. Nous avons convenu de poursuivre les efforts pour mettre en œuvre tous les aspects des Accords de Minsk à part entière. Nous avons demandé à nos collègues ukrainiens, via le Ministre ukrainien des Affaires étrangères Pavel Klimkine, que la partie ukrainienne ne se dérobe pas à ses engagements. La partie russe fera en sorte que notre influence sur Donetsk et Lougansk contribue à ce qu'ils tiennent leurs engagements.
Pour l'instant, malheureusement, ma conclusion est la suivante: la partie ukrainienne avance périodiquement de nouveaux prétextes pour reporter la mise en œuvre des plus importants accords avant la mise au point de tous les aspects politiques du processus de paix.
Aujourd'hui, nous avons beaucoup parlé du fait que les élections ne pouvaient pas être organisées tant qu'une sécurité totale n'était pas assurée dans cette région. Nous avons échangé des avis intéressants. Je pense que la France et l'Allemagne ont conscience de la nécessité de ne pas transformer le thème de la sécurité pendant les élections en histoire insurmontable. Il me semble que nous avons réussi à faire entendre notre point de vue auprès de nos partenaires.
Bien sûr, nous avons également attiré l'attention sur les propositions faites par Donetsk et Lougansk au sein du Groupe de contact, ainsi que sur celles des participants russes à ce Groupe. Les réunions des sous-groupes de travail devraient reprendre prochainement à Minsk. Je pense que les signaux que nous enverrons aujourd'hui de Berlin contribueront à aller de l'avant.
Nous rendrons compte aujourd'hui à nos dirigeants des résultats de la réunion – aux présidents de la Russie, de la France, de l'Ukraine et à la Chancelière allemande – car nous nous sommes rencontrés à leur demande. Ils décideront ensuite quelles démarches supplémentaires devront être entreprises.
Question: Avez-vous évoqué l'envoi d'une mission policière de l'OSCE dans le Donbass ?
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Sergueï Lavrov: En ce qui concerne la sécurité pendant les élections, j'ai déjà dit que nous avions accordé beaucoup de temps à ce sujet pendant notre entretien. Nos collègues ukrainiens veulent envoyer dans la région une sorte de mission militarisée et se justifient en disant qu'il serait impossible, sinon, de mener une campagne électorale libre. Je trouve que c'est un problème artificiel. Nous sommes persuadés qu'il est parfaitement possible d'assurer la sécurité pendant les élections sans l'intervention d'une structure militarisée. Les observateurs de l'OSCE seront présents – cela fait partie des Accords de Minsk et a été confirmé par Donetsk et Lougansk. Le plus important aujourd'hui est d'aborder directement toutes les questions relatives aux élections au sein du sous-groupe politique du Groupe de contact. Je rappelle que le paragraphe 12 des Accords de Minsk stipule clairement que tout ce qui concerne les élections doit être évoqué et convenu entre Kiev, Donetsk et Lougansk directement.
RépondreSupprimerQuestion: Le Vice-ministre russe des Affaires étrangères Grigori Karassine disait que la Russie avait proposé un ensemble de propositions pour cette réunion. Certaines ont été exprimées. Reste-t-il des propositions sur lesquelles il a été impossible de s'entendre ?
Sergueï Lavrov: Pour des raisons évidentes, je ne vais pas expliquer en détail ce que nous proposons car les négociations sont en cours et que nous ne sommes pas une partie du conflit. Par l'intermédiaire du processus de Normandie et du Groupe de contact de Minsk nous cherchons à aider Kiev, Donetsk et Lougansk à trouver des accords mutuellement acceptables, car c'est précisément ce que stipulent les Accords de Minsk. Je le répète: pour l'instant, malheureusement, nous ne constatons pas de la part de Kiev la volonté d'entrer dans un tel dialogue direct. Nos collègues ukrainiens cherchent à sortir de nombreuses questions du cadre du Groupe de contact, or ce dernier est l'unique structure où sont représentés le gouvernement ukrainien, Donetsk et Lougansk. C'est dans ce groupe qu'il faut régler toutes les questions. C'est pourquoi nos idées concernant les élections, la réforme constitutionnelle, l'amnistie ou le statut spécial du Donbass sont seulement notre contribution au processus, qui, in fine, doit se dérouler directement entre les parties en conflit.
Question: D'après vous, est-il encore possible que des élections soient organisées dans le Donbass avant le second semestre 2016 ?
Sergueï Lavrov: Je ne vais pas me perdre en conjectures. Quand le Format Normandie s'est réuni au niveau ministériel à Paris début mars, nous avons dit que ce délai nous semblait préférable. A l'époque, nos collègues ukrainiens n'étaient pas d'accord.
Tout dépendra du règlement des questions prescrites dans les Accords de Minsk par le Groupe de contact. Il faut adopter une loi sur les élections en concertation avec Donetsk et Lougansk; dans le même temps il faut prendre une décision sur le statut particulier du Donbass, aussi bien sous la forme d'une loi à part que d'un amendement à la Constitution; et, bien sûr, aucune élection n'est possible avant l'amnistie. Nous avons souligné aujourd'hui qu'après le Maïdan, l'amnistie avait été adoptée sans aucun débat, sans aucune tentative de bureaucratiser ce processus. Je suis certain que la même approche peut s'appliquer dans la situation actuelle.
Tous ces aspects – les élections, le statut, la réforme constitutionnelle et l'amnistie – sont interdépendants. Nous sommes certains qu'il sera pratiquement impossible d'organiser des élections tant que tous ces processus ne seront pas convenus puis approuvés par le Parlement ukrainien. Nous travaillons sur la question.
http://gaideclin.blogspot.fr/2016/05/serguei-lavrov-propos-des-negociations.html
Poutine : la Russie est forcée de parer à la menace posée par le bouclier antimissile de l’OTAN
RépondreSupprimer13 mai 2016, 15:06
Suite au déploiement du système de défense antimissile américain en Europe, le président russe a annoncé que la Russie se voit contrainte d’étudier les moyens de neutraliser ces menaces à la sécurité nationale.
La présence du bouclier antimissile en Europe représente une évidente violation des traités russo-américains, a fait savoir Vladimir Poutine lors d’une réunion avec des responsables militaires du pays, ajoutant que les installations antimissile pouvaient facilement être converties en bases pouvant tirer des missiles de courte et moyenne portée.
L'inquiétude de #Moscou quant à l'ouverture d’une base de l'#OTAN en #Roumaniehttps://t.co/P3bXW2HDXSpic.twitter.com/MetogrHTCf
— RT France (@RTenfrancais) 12 mai 2016
Le bouclier américain antimissile en Europe n’est qu’un pas de plus dans la hausse des tensions internationales et le lancement d’une nouvelle course aux armements, a-t-il signalé.
«Nous n’allons pas être entraînés dans cette course. Nous poursuivons notre propre voie. Nous travaillerons de façon très précise sans dépasser les plans visant à financer le rééquipement de notre armée et de la marine, ce qui était déjà prévu pour les prochaines années. Mais nous allons faire des corrections à ces plans afin de neutraliser les menaces croissantes posées à la sécurité de la Russie», a noté le dirigeant russe.
«Des développements récents indiquent que la situation n’évolue pas dans le bon sens. Malheureusement cela empire. Je parle du lancement d’une station radar en Roumanie comme un des éléments de l'imminent programme de défense antimissile», a-t-il conclu.
Le président Poutine a rappelé que la Russie faisait beaucoup d’efforts pour maintenir un équilibre des pouvoirs, afin d’éviter l’éclatement de conflits à grande échelle.
L’annonce intervient un jour après l’inauguration par l’OTAN de la base de défense antimissile de Deveselu, en Roumanie, menant à bien le projet de construction d’un bouclier en Europe de l’Est, annoncé en premier par le président George W. Bush en 2007.
https://francais.rt.com/international/20544-poutine-russie-otan-bouclier-forcee
Poutine: le bouclier US, un maillon du potentiel nucléaire US implanté en Europe
RépondreSupprimer14:57 13.05.2016
Le bouclier antimissile américain n'est pas un système de défense, mais une partie du potentiel nucléaire américain implanté en Europe de l'est, a déclaré le président russe Vladimir Poutine.
Selon le président russe, le déploiement unilatéral d'éléments du système antimissile américain en Roumanie ne prend pas en compte les préoccupations de la Russie.
M. Poutine a souligné qu'il n'y avait aucune menace nucléaire émanant d'Iran actuellement. Moscou a proposé à Washington de coopérer sur cette question, mais les Etats-Unis s'y sont toujours refusés, a-t-il indiqué lors d'une réunion du complexe militaro-industriel.
Le déploiement du système antimissile représente une mesure supplémentaire visant à déséquilibrer la sécurité internationale, ainsi qu'à lancer une nouvelle course aux armements, estime Vladimir Poutine.
C'est pourquoi "Moscou sera contraint d'envisager des moyens de gérer les menaces liées à l'apparition des systèmes américains aux frontières russes", a poursuivi M. Poutine.
La Russie ne se laissera pas entraîner dans une course aux armements, a indiqué M. Poutine, ajoutant que Moscou faisait de son mieux pour maintenir l'équilibre stratégique et éviter des conflits militaires grande ampleur.
Jeudi 12 mai, les Etats-Unis ont activé leur système de défense antimissile construit en Roumanie, en dépit des protestations de Moscou qui estime que le dispositif est dirigé contre son arsenal militaire.
Le site, équipé d'un radar, d'intercepteurs de missiles et de systèmes de communication, est le premier élément d'un bouclier censé protéger l'Europe des "Etats voyous".
Lors de la cérémonie d'inauguration du site, le vice-secrétaire américain à la Défense Robert Work a nié que le système visait à protéger l'Europe de toute menace russe.
Le système antimissile installé en Roumanie s'inspire du système américain Aegis. Il s'appuie sur les radars qui détectent le lancement d'un missile balistique.
La Russie a auparavant annoncé son intention de renforcer ses frontières ouest et sud à l'aide de trois nouvelles divisions face au projet de l'Otan de déployer quatre bataillons supplémentaires en Pologne et dans les pays baltes.
https://fr.sputniknews.com/international/201605131024972760-russie-bouclier-us-poutine/
L’ancien majordome de Trump veut «pendre» Obama et Clinton
RépondreSupprimer13 mai 2016, 17:57
Les services secrets américains prévoient de mener une enquête sur des propos tenus par l’ex-majordome de Donald Trump. Il a appelé plusieurs fois à s'en prendre physiquement au président Obama. Un crime fédéral.
Quand ce n’est pas Donald Trump qui crée la polémique, c’est son entourage. Cette fois, c’est Anthony Senecal qui se retrouve dans la tourmente. Il a officié en tant que maître d’hôtel du candidat républicain de 1992 à 2009. Et dire que l’homme ne porte pas Barack Obama dans son cœur tient de l’euphémisme. Sur sa page Facebook, il a appelé plusieurs fois à s’en prendre au locataire de la Maison Blanche. Aux Etats-Unis, c’est un crime fédéral très grave. Une enquête des services secrets va être diligentée.
Un ancien majordome de Donald Trump menace Barack Obama https://t.co/lDt6yOEfjYpic.twitter.com/91EtWJt1AN
— PolitiqueFrance.fr (@PolitiqueTWT) 13 mai 2016
Persuadé qu’Obama n’est pas né aux Etats-Unis
Partisan d’une révolution violente, Anthony Senecal est aussi un adepte du «birther movement». Il regroupe les citoyens convaincus que Barack Obama n’a pas vu le jour sur le sol américain. La loi étasunienne exige que seul un individu né aux Etats-Unis puisse se présenter aux présidentielles. Son élection serait alors illégitime. CQFD.
Mais c’est bien les messages postés par Senecal sur Facebook qui intéressent les services secrets. Le magazine américain d'actualité Mother Jones rapporte qu’à plusieurs reprises, ils ont pris pour cible le président ainsi que d’autres élus démocrates et libéraux appelant à les pendre pour haute trahison.
Certains des messages étaient publics, d’autres seulement visibles de ses amis. «A tous mes amis sur Facebook, juste une petite note pour vous sur la tête pleine de pus qui nous sert de président !!!! Ce personnage auquel je me réfère en tant que "zéro" aurait dû être arrêté et fusillé par nos militaires pour intelligence avec l’ennemi lors de son premier mandat !!!! Au lieu de cela, il est toujours en poste et fait tout ce qu’il peut pour détruire l’Amérique que nous connaissons et aimons !!!!»
Anthony Senecal assume
Les autorités prennent l’affaire très au sérieux. De l’autre côté de l’Atlantique, ce genre de message est considéré comme une menace pour la sécurité nationale. «Les services secrets américains sont au fait de cette affaire et mèneront les investigations appropriées», a déclaré leur porte-parole, Robert Hoback.
Majordome de #Trump pendant 17 ans, il parle de tuer #Obama ! via https://t.co/1VXh1tlta0#sénilitédangereusepic.twitter.com/Rjw1EYzfd7
— Olivier Biffaud (@bif_o) 13 mai 2016
(suite en dessous:)
Le principal intéressé ne se démonte pas. A Mother Jones, il a confessé que les publications étaient bien les siennes. Rajoutant qu’il «ne peut pas sentir le bâtard». «Je ne pense pas qu’il soit un citoyen américain. Pour moi, c’est une frauduleuse merde qui a été amenée par les démocrates», a-t-il rajouté.
RépondreSupprimerClinton, Jay-Z et… Beyoncé
Hillary Clinton en prend aussi pour son grade. Anthony Senecal juge qu’elle «devrait être en prison en attendant d’être pendue». Les superstars Jay-Z et sa femme Beyoncé soutiendraient eux le terrorisme et seraient mieux en prison. C’est le sens d’une pétition que l’ancien majordome a signé.
Du côté des proches de Trump, on est visiblement embarrassé. Un des porte-paroles de sa campagne s’est exprimé auprès du New York Times : «Nous désavouons totalement ces horribles déclarations.» Le contraire aurait été étonnant.
https://francais.rt.com/international/20550-lancien-majordome-trump-veut-pendre-obama-clinton
Les Polonais protestent contre le bouclier antimissile US
RépondreSupprimer17:00 13.05.2016
Les habitants de la région où doit être déployée une base antimissile américaine refusent d'"être assis sur un tonneau de poudre".
Des habitants du village polonais de Redzikowo et des localités voisines protestent contre l'implantation d'une base antimissile américaine près de leur foyer.
"Nous ne voulons pas être assis sur un tonneau de poudre", "Une menace réelle pèse sur la sécurité de la région", lit-on sur les pancartes que brandissent les manifestants rassemblés à l'endroit où doit se tenir vendredi la cérémonie de lancement du chantier du site.
Les autorités de la commune (région) du Slupsk, où est déployée la base américaine, sont également mécontentes d'un tel voisinage. Elles ont déjà demandé à des experts de calculer les pertes de la région qui a perdu un territoire de 500 hectares qui devait au départ être utilisé pour en tirer des bénéfices. Slupsk réclame des indemnisations au gouvernement.
L'accord entre la Pologne et les Etats-Unis sur le déploiement de missiles intercepteurs américains a été signé en 2008 et est entré en vigueur trois ans plus tard. Après la mise en service, la base de Redzikowo constituera un maillon du bouclier antimissile américain en Europe.
Jeudi, les Etats-Unis ont activé leur système de défense antimissile Aegis Ashore construit en Roumanie, en dépit des protestations de Moscou qui estime que le dispositif est dirigé contre son arsenal militaire. Il s'appuie sur les radars qui détectent le lancement d'un missile balistique.
En cas de conflit, la Pologne et la Roumanie pourraient s'exposer à une éventuelle frappe dirigée contre ces sites militaires, avertissent des experts russes.
https://fr.sputniknews.com/international/201605131024979527-pologne-usa-abm-protestations/
Pensées hérétiques et faire l’impensable
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 13/05/2016 14:50 -0400
Soumis par Bill Bonner de Bonner & Partners (annoté par intérim-Man Pater Tenebrarum),
Hérésie !
Le Dow Jones a augmenté de 222 points mardi – ou un peu plus de 1 % - et tout le monde était exubérant... mais choses ne sont pas révélées bien depuis. Nous sommes d’accord avec le gérant de hedge-fund Stanley Druckenmiller : ce n'est pas le bon moment pour être un bull. du marché boursier américain
Légendaire ancien hedge fund manager Stanley Druckenmiller lors de la Conférence Ira Sohn – pas un optimiste à l’heure actuelle, c’est un euphémisme.
Lors d’une conférence sur l’investissement à New York la semaine dernière, ancien partenaire de George Soros a averti que...
«.. .higher valorisations, comportement corporatif improductif, les trois années limites d’assouplissement supplémentaire et emprunt excessif du futur suggèrent que le marché haussier est épuisant lui-même. »
Mais nous avons promis de revenir à la scène de notre crime aujourd'hui. Dans ces pages, nous nous sommes engagés récemment hétérodoxie... même hérésie ! Nous ne savons pas ce qui a obtenu en nous et nous sommes profondément désolés pour nos fautes, le souvenir de qui est douloureux pour nous...
... mais dans un moment de faiblesse (Ah, grands dieux de la démocratie, pourquoi nous as-tu abandonné?) nous avons osé à la question de savoir si le vote n’a aucun sens de damnés. Nous avons conclu qu’il didn't.
Nous ignorons les candidats assez bien de savoir qui est vraiment mieux. Nous n’avons aucune idée quels défis que le prochain président devra faire face, ni quel candidat pourrait être mieux équipés pour traiter avec eux. Nous ne savons pas si les candidats croient ce qu’ils disent qu’ils croient ou qu’ils feront ce qu’ils promettent de le faire.
Nous ne savons que notre vote, statistiquement, ne fera pas un peu de différence. Et que nous ne voulons pas le « moindre de deux maux. » Et que nous ne vous sentez pas obligé de jouer à ce jeu ! Chers lecteurs annulèrent leur abonnement... et réchauffé leurs fers.
« Qu’en est-il du « contrat social »? » un lecteur voulu savoir. Nous reviendrons à celle en une minute. Tout d’abord, nous voulons aborder une déclaration remarquable, par un candidat remarquable, dans un choix remarquable.
Dette de Donald « Discount »
Donald Trump laissez-le être connu la semaine dernière que si la dette fédérale américaine commence à peser trop lourdement sur ses épaules, il fera ce qu’il fait le mieux – renégocier. Il recevra un « rabais ».
"QUOI ??!!!"
(suite en dessous:)
La question s’est envolé vers le bas de Wall Street et dans les ruelles de lower Manhattan... travers la City de Londres... et autres grands centres financiers du monde entier.
RépondreSupprimerGénéral Trump a une idée. Le plus drôle, c’est une grande partie de ce qu’il dit au sujet de la dette publique n’est pas tout ce que tiré par les cheveux. C’est tout simplement partie d’un jeu de confiance énorme, qui pourrait facilement être bouleversé si trop grande vérité est dite.
"Qu’a-t-il dit ? Il n’a juste dit qu’il allait par défaut sur la dette américaine ? Je ne peux pas croire!"
« Renégocier » les termes de la dette... obtenir un rabais... est ce que vous faites quand vous ne pouvez pas payer. C’est ce que l’Argentine viens, après des années de bataille devant les tribunaux, dans lequel ses créanciers ont saisi un de ses navires de guerre dans un port étranger.
L’idée de l’escompte des bons du Trésor US – crédits plus sûres du monde – a été au-delà de remarquable... Il était impensable. Le New York Times a été sur le cas immédiatement, revendiquant la proposition Trump créerait « fissures dans la confiance des investisseurs » et a coûté « beaucoup d’argent » (en frais d’intérêts plus élevés).
Le Washington Post suivi, soulignant que la confiance dans la dette américaine a été la « colle qui cimente la finance mondiale ». Tout doute sur la colle, il dit, « instantanément déstabiliserait » l’économie du monde entier.
Il n’y a qu’un seul petit problème avec cette debtberg – il ne peut jamais être remboursé, et tout le monde le sait. Du moins pas dans les termes du contrat initial – l’argent pour payer il peut (et sera) bien sûr être imprimé – cliquez pour agrandir.
Pauvre Donald. Il avait brisé un autre tabou. Il a dû faire marche arrière et de s’expliquer. Trump ne semble pas comprendre le fonctionne de l’arnaque, mais il avait raison sur ce que cela signifie.
Le gouvernement fédéral des États-Unis est l’émetteur du monopole de la monnaie de réserve mondiale. Il n’a pas à renégocier. Il ne doit pas demander une remise. Et il influence encore – au moyen de sa banque centrale, la Fed – la valeur de la monnaie dans laquelle sa dette est libellée. Cela signifie qu’il arrive à arracher les investisseurs du monde sans dire un mot.
Pour l’instant, le dollar est au plus haut... et acheteurs en ligne pour obtenir plus de dette du Trésor américain. Plus tard, la chaussure sera mis sur l’autre pied. Mais les Etats-Unis ne seront pas debout sur un pied, la mendicité des escomptes sur sa dette. Au lieu de cela, les propriétaires d’obligations du Trésor américain – retraités, pour la plupart – seront en priant dans la rue.
Le véritable « contrat Social »
Mais revenons à la sauvage et merveilleux monde des élections présidentielles américaines. Pourquoi ne pas juste pincer le nez... et avançons avec élégance et avec bonne humeur... avec le gag ? Pourquoi ne pas simplement « faites votre devoir, » comme un lecteur de mettre dans le sac postal d’hier ?
(suite en dessous:)
Selon la théorie du contrat social"," nous avons tous nos rôles et nos responsabilités. En tant que citoyens, nous avons le devoir de nous informer, payons nos impôts, rat sur nos voisins, vote, bénévolat pour military service, être fouillés par la TSA... et nous laisse avoir volé et malmené par chaque jackass dans une position de pouvoir.
RépondreSupprimerLa définition exacte du mythique « contrat social ». C’est certainement une façon politiquement incorrecte de le mettre. Le problème avec la vérité est qu’il est généralement aussi bien rire à haute voix drôle et totalement déprimant – et est certain d’offenser un grand beaucoup de gens.
Nos dirigeants ont des responsabilités, trop. Ils sont censés pour respecter la constitution, sauf s’il est gênant pour eux. Ils sont censés faire respecter la loi du pays, ou passer de nouvelles lois, comme ça les arrange.
Ils sont censés protéger le pays et fournir pour le commonwealth en général – et ensuite de recueillir des millions en parlant des honoraires de Goldman Sachs et General Dynamics.
C’est le vrai « contrat social ». Nous ne n’oubliez pas de signer un tel contrat. Vous souvenez-vous de signer ? Si il ont été mis en face de vous, vous signez ?
Nous avons regardé autour et notre copie semble avoir disparu trop. En outre, nous devons été ivres lorsque nous avons signé, parce que nous ne pouvons pas n’oubliez pas de faire alors, soit.
Nos "dirigeants" – aka l’état profond – peuvent changer les termes de n’importe quel moment qu’ils veulent. Quel genre de contrat est-il où une partie peut modifier l’accord et l’autre ne peut pas ? Et où l’autre partie n’a jamais eu l’occasion à négocier, ou encore l’approuver ?
Il n’est pas du tout un contrat. C'est juste une partie de la mythologie de la démocratie moderne. Il impose des "devoirs", mais ils n’ont de sens si vous avalez toute l’enchilada d’insultes mineures et de grandes illusions qui maintiennent l’état profond en affaires.
Quels sont nos devoirs réels ? Ne devrait pas votre éditeur, sous la torture, bien sûr, confesser ses péchés, renoncer à son apostasie et s’inscrire pour voter avant qu’il soit trop tard ? N’est pas la démocratie – pour tous ses défauts – toujours le meilleur jeu en ville ?
http://www.zerohedge.com/news/2016-05-13/heretical-thoughts-and-doing-unthinkable
Loi travail : Un nouveau policier accuse le gouvernement d’avoir laissé faire les casseurs
RépondreSupprimer13 mai 2016, 21:26
Scènes d’affrontements, cocktails molotov, pavés et gaz lacrymogène : la violence des mobilisations contre la Loi Travail aurait été délibérément manipulée par l’exécutif pour détourner l’attention du fond du débat, accuse un CRS.
Alors que la contestation gronde partout en France depuis plusieurs mois contre le projet de réforme du Code du travail, les forces de l’ordre sont mises à rude pour encadrer des manifestations souvent émaillées d’incidents.
Mais selon un CRS, qui a décidé de se confier à l’hebdomadaire français Le Journal Du Dimanche, le gouvernement ferait preuve d’une étrange bienveillance à l’égard des casseurs.
Il prend l’exemple de la manifestation du 9 avril à Paris, qui avait dégénéré en jets de projectiles contre la police, transformant la place de la Nation en un véritable champ de bataille, comme l’avait constaté notre correspondant sur place.
«On avait un signalement précis» d’un groupe hostile de jeunes cagoulés, «des ultras connus des services de renseignement», explique le policier, sous couvert d’anonymat. «On s'est dit qu'on n'allait pas les laisser passer… On n'a jamais reçu l'ordre. Au lieu de ça, on les a laissés progresser tranquillement. Ce jour-là, un collègue officier a été blessé gravement à la jambe par un tir de mortier.»
J’ai l’impression d’être devenu un pion politique
Pour le CRS, cette passivité des autorités n’est pas anodine. En effet, il s’agirait pour le gouvernement d’utiliser les casseurs afin d’éloigner les projecteurs du fond du débat, le projet de Loi Travail : «Une manifestation qui se passe bien, on parle du fond. Quand vous avez des casseurs, on se focalise sur les violences et les vitres cassées.»
Auteur: RT France
Or, poursuit-il, «ces gars-là sont entre 200 et 300 maximum (…) il suffirait de les interpeller avant le départ des cortèges, pas la peine d’être un grand tacticien pour comprendre ça», avant de confier : «J’ai l’impression d’être devenu un pion politique.»
#Rennes
Jour après jour, la tension monte à Rennes #LoiTravail#ViolencesPoliciereshttps://t.co/f10oqsFyt2pic.twitter.com/gt2QOlnt9w
— Rennes MULTIMEDIA (@ren_multimedia) 13 mai 2016
Et parmi les victimes de cette manœuvre politicienne dénoncée par le policier, on retrouve en première ligne les CRS, régulièrement pris à partie dans les manifestations. Si le slogan «CRS avec nous !» était en vogue après les attentats, il s’est aujourd’hui mué en «Tout le monde déteste la police !», conclut tristement l’homme.
(suite en dessous:)
Ce nouveau témoignage intervient quelques jours après que le secrétaire général du syndicat Alliance Police nationale, Jean-Claude Delage, a lui aussi accusé l’Etat de laxisme envers les casseurs.
RépondreSupprimer«L’Etat doit prendre ses responsabilités, ne pas nous laisser attendre des heures face à des casseurs identifiés, qu’on pourrait même peut-être préventivement assigner à résidence dans le cadre de l’état d’urgence ou interpeller», avait-il expliqué sur les ondes de Radio France.
Interrogé sur les raisons de ce manque de fermeté, il avait précisé : «Je pense que ça vise aussi à discréditer le mouvement social et syndical parce qu’évidemment, lorsque des syndicalistes manifestent contre un texte et qu’il y a des casseurs qui cassent tout dans le quartier, que les riverains sont exaspérés et que la police ne peut pas rapidement intervenir, et bien ça discrédite aussi quelque part le mouvement social».
https://francais.rt.com/france/20563-crs-accuse-gouvernement-servir-casseurs
Un autre Coup parrainé par les U.S.A. ? Nouveau président du Brésil a été un informateur de l’ambassade pour les services de renseignement américains
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 13/05/2016 14:26 -0400
Lorsque nous a expliqué hier la prochaine étapes dans le processus de mise en accusation de Dilma Rousseff, nous avons prédit que "les problèmes du Brésil commencent tout juste" pour plusieurs raisons, parmis eux étant que l’homme qui est maintenant Président du Brésil suivant actif, Michel Temer, est presque aussi impopulaire Président il remplace et est souillé par les scandales de la sienne.
AP a noté, « Michel Temer, qui n’a pas gagné une élection sur le sien en une décennie, est célèbre comme un magouilleur backstage et ses critiques disent qu’il dirige le complot visant à remplacer son patron, crénelée Présidente Dilma Rousseff ». Et avec Temer maintenant le Président par intérim, l’AP encadre la grande question comme suit : il peut éviter d’éviction lui-même.
Parmi ses transgressions documentées, il a signé sur certaines des mesures budgétaires prétendument illégale qui a conduit à l’unité de mise en accusation contre Rousseff et a été mis en cause, mais jamais inculpés, dans plusieurs enquêtes de corruption.
Meilleur était plus sarcastique de l’AP que "le fils d’immigrants libanais, Temer est l’un des politiciens moins populaires du pays mais a réussi à monter son chemin vers le haut, en grande partie en construisant des relations étroites avec les collègues politiciens comme leader de la grand mais fracturé brésilien parti du mouvement démocratique."
Toutefois, autant que nous aimerions croire que Temer est simplement la version de monde réel de Frank Underwood, il y a une explication beaucoup plus simple pour ascension dramatique des 75 ans à l’élite au pouvoir de la pointe du Brésil.
Il s’avère que la présidence de Temer peut être rien de plus que le dernier avatar de la mise en œuvre du département d’État américain d’un autre gouvernement fantoche. Nous le savons parce que plus tôt aujourd'hui, preuve de Wikileaks publié via un câble déclassifié que nouveau Président par intérim du Brésil était un informateur de l’ambassade pour nous renseignement et militaires.
Nouveau président #Temer du Brésil était un informateur de l’ambassade pour les services de renseignement américains, militaires https://t.co/3l2eUdiqvy pic.twitter.com/IUuUgHYd1e
— WikiLeaks (@wikileaks) 13 mai 2016
Selon le site de dénonciation, Temer a communiqué avec l’ambassade des Etats-Unis au Brésil et ce contenu serait classé comme "sensibles" et "pour usage officiel seulement" (lien).
(suite en dessous:)
Wikileaks a attiré l’attention de deux câbles, un daté du 11 janvier 2006, les autres 21 juin 2006. Une montre qu'un document envoyé de Sao Paolo, au Brésil, au - parmi les autres bénéficiaires - la US Southern Command à Miami. Dans ce document, Temer discute de la situation politique au Brésil sous la présidence de Luiz Inácio Lula da Silva.
RépondreSupprimerConcernant les élections de 2006, lorsque Lula a été réélue, Temer partagé des scénarios dans lequel son parti (PMDB) allait gagner les élections. Il a refusé de prédire la course, mais a dit il y aurait un second tour et que « tout peut arriver ».
Temer dit le PMDB choisiraient de rester entre 10 et 15 gouverneurs cette année-là, et que le parti aurait le plus de représentants au Sénat et donc à la Chambre des représentants. Cela signifierait que le Président élu devrait faire rapport à la règle PMDB. « Celui qui gagne l’élection présidentielle devront venir à nous de faire quoi que ce soit » Temer aurait dit.
Pour rappel, la dernière fois que les États-Unis mis en place un gouvernement fantoche, étant en 2014 lorsque dans encore un autre « coup d’Etat sans effusion de sang », le Président de l’Ukraine est renversé et remplacé par un oligarque milliardaire, un scénario comparable à celui du Brésil.
Nous n’avons à rappeler aux lecteurs qu’à la suite du coup d’état de l’Ukraine, les relations entre les Etats-Unis et la Russie sont bas depuis plusieurs décennies, la guerre froide est de retour et - depuis hier, est donc la course aux armements nucléaires. Nous sommes curieux de ce que la conséquence d’un autre coup d’état d’US sera, cette fois dans le plus grand pays d’Amérique latine.
http://www.zerohedge.com/news/2016-05-13/another-us-sponsored-spnosred-coup-brazils-new-president-was-embassy-informant-us-in
WikiLeaks: le président brésilien par intérim était un informateur des USA
RépondreSupprimer21:12 13.05.2016
Le site WikiLeaks a annoncé avoir publié un document, selon lequel le président brésilien par intérim Michel Temer collaborait avec les services de renseignement américains.
Le document, disponible sur le site officiel, est daté du 11 janvier 2006. Il s'agit d’une information "délicate, mais pas secrète". Le document porte sur la situation politique au Brésil après la réélection de Luiz Inacio Lula da Silva en 2006.
Par 55 voix contre 22 le Sénat a voté pour l'ouverture du procès en destitution de la présidente Dilma Rousseff. En vertu de la loi, une simple majorité de 41 voix était suffisante pour sa suspension. Les débats au Sénat ont duré environ 20 heures. Il a été annoncé que la présidente avait ordonné de transporter ses effets personnels du palais présidentiel Planalto dans sa résidence privée sans attendre les résultats du vote.
Accusée de maquillage des comptes publics en 2014, année de sa réélection, et en 2015 pour masquer l'ampleur de la crise économique, Mme Rousseff nie avoir commis un crime dit "de responsabilité" et dénonce une tentative de "coup d'Etat" institutionnel. Elle avait annoncé qu'elle "lutterait jusqu'à la dernière minute de la seconde mi-temps".
Dilma Rousseff occupait le poste de président brésilien depuis le 1er janvier 2011. Héritière politique de l'ex-président Luiz Inacio Lula da Silva, Mme Rousseff est entrée dans l'histoire en 2011, en devenant la première femme présidente du Brésil.
Elle risque à présent d'y rejoindre Fernando Collor de Mello, seul président brésilien à avoir été à ce jour destitué, pour corruption, en 1992.
https://fr.sputniknews.com/international/201605131024989397-wikileaks-bresil-informateur-usa/
Les prix des médicaments s’envolent plus au XXIe siècle
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 13/05/2016 12:55 -0400
En 1998, lorsque Pfizer lance sur le Viagra il chargé tant pour la nouveauté, indispensable médicaments (dont des millions d’hommes littéralement paierait quoi que ce soit pour) qu’il a envoyé l’indice des prix pharma/drogue toute flambée de près de 15 %, pour environ un an. Ceci peut être vu, judicieusement, à la pointe sur le graphique ci-dessous.
Mais, qui plus est troublant pour les américains ces jours-ci est alors que le Viagra de 1998 « spike » allaient et venaient, ces dernières années, la préparation pharmaceutique, c.-à-d., les prix des médicaments ont été planer plus haut avec chaque année qui passe, et selon le rapport d’aujourd'hui PPI, au niveau du gros, les prix des médicaments en avril a bondi de 9,6 % l’an dernier, la plus forte augmentation depuis 1982 en excluant la valeur aberrante de Viagra et certainement le plus au 21e siècle.
- voir graphique sur site -
Il s’agit d’un problème, parce que pendant une grande partie de ces prix sont transmis aux consommateurs à l’échelle individuelle, pas en témoigne dans l’inflation de base plus large. En effet, en comparant l’indice de référence avec les prix des médicaments, on voit que tandis que dans les années 1980, que les deux séries étaient à la fois astronomiquement élevé, depuis puis - selon le BLS - l’inflation de base a été cultivé et modérée même en tant que drogue prix ont augmenté, au départ lentement et ces derniers mois, exponentiellement.
- voir graphique sur site -
Et alors qu’on peut débattre combien de PPI a ou devrait se refléter dans l’IPC - dans ce cas, pratiquement aucune des il - malgré l’explosion des primes Obamacare (qui aussi magiquement ne sont jamais comptabilisés dans le CPI rapport, même si ils certainement Poussée du PIB), on me demande : combien de temps avant le BLS admet au moins que ses données d’inflation logement/loyer soient terriblement imprécises, parce que le recensement Ministère lui-même connu, ces derniers mois, l'augmentation des loyers moyens de demander est environ 4 fois plus élevé que l’indice de référence colportée par le BLS.
- voir graphique sur site -
Alors oui, si l'on excepte la flambée des loyers et des prix des médicaments astronomique (aliments non transformés et le coût du Collège, etc.) l’inflation de base est bien sûr assez bas - Merci à plongeants prix des téléviseurs à écran plat et iPads - désespérément exiger beaucoup plus d’années de près de 0 % - taux.
http://www.zerohedge.com/news/2016-05-13/drug-prices-soar-most-21st-century
Les conséquences déstabilisatrices de la mondialisation
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 13/05/2016 10:55 -0400
Soumis par Charles Hugh-Smith du blog OfTwoMinds,
Ce n'est pas possible de discuter de façon cohérente l’économie de la « nouvelle normalité » sans discuter la financiarisation - la substitution d’expansion du crédit et la spéculation pour des investissements productifs dans l’économie réelle - et ses frères et soeurs : mondialisation.
La mondialisation est le résultat de la pression néolibérale pour abaisser les barrières réglementaires au commerce et du crédit sur les marchés étrangers. L’idée de base est que le commerce mondial diminue les coûts et offre plus de possibilités de capitaux pour réaliser des profits. Cette expansion du crédit dans les marchés émergents crée plus d’emplois pour les personnes déjà contourné par l’économie mondiale.
Bien que le libre-échange est souvent présentée comme intrinsèquement positif pour les acheteurs et les vendeurs, en réalité le commerce est rarement gratuit, dans le sens de tout aussi puissants participants choisissant au commerce dans l’intérêt mutuel. Au contraire, « libre-échange » est la bannière de relations publiques pour la mondialisation des marchés qui profitent de la puissante et riche, pas les pauvres et de crédit.
Financiarisation et capitaux mobiles aggravent les déséquilibres mondiaux du pouvoir et des richesses.
Commerce est généralement considéré comme biens expédiés d’une nation à l’autre pour tirer parti de ce XVIIIe siècle économiste David Ricardo appelé avantage comparatif: des Nations Unies bénéficieraient en exportant tout ce qu’ils ont produit efficace et important qu’elles ne produisaient pas efficacement.
Alors que la notion de Ricardo du libre-échange est intuitivement intéressante parce qu’il est gagnant-gagnant pour l’importateur et l’exportateur, il n’est pas décrit les conséquences de la financiarisation et la mobilité des capitaux. Dans un monde dominé par les capitaux mobiles, le mobile capital est l’avantage comparatif.
La mobilité du capital modifie radicalement la vue simpliste du XVIIIe siècle du libre-échange.
Qu’entendons-nous par capitaux mobiles? Capital--comptant, crédit et le capital immatériel d’expertise--se déplace librement dans le monde entier qui cherchent le plus haut possible retour. La mondialisation est l’expression ultime de la directive principale de la capitale : étendre les bénéfices en cherchant le meilleur rendement disponible sur capital investi n’importe où sur la planète.
Dans le monde actuel, commerce ne peut être mesurée avec cohérence comme marchandises circulant entre les nations, comme capitale de la nation importateur possède souvent les moyens de production dans le pays exportateur. Si Apple est propriétaire d’une usine (ou joint-venture) en Chine et recueille presque tous les profits de l’iGadgets produit là, cette réalité ne peut pas être capturée par le modèle de commerce simple décrit par Ricardo.
(suite en dessous:)
Essayant d’expliquer pour le commerce de la manière du XVIIIe siècle des marchandises expédiées entre nations est absurde quand les composants proviennent d’un certain nombre de nations et bénéfices coulent pas à la nation d’origine, mais aux propriétaires du capital.
RépondreSupprimerBasé sur le modèle archaïque de l’échange entre les nations, l’iGadget Apple crée un déficit commercial de 200 $ entre les Etats-Unis et la Chine quand il atterrit sur une station d’accueil américaine. Mais cela ne tient pas compte du fait que les composants de l’appareil ont été fabriquées dans cinq pays différents, ou que la majorité de la valeur de l’appareil est dans le capital intellectuel : le logiciel, l’interface et le design.
Une fois que ces facteurs sont pris en considération, il a été calculé qu’aussi peu que 10 $ de la valeur de chaque produit Apple se retrouve effectivement dans l’économie chinoise. Pratiquement tout le bénéfice découle d’Apple à Cupertino, en Californie, et pas aux partenaires de joint-venture en Chine ou les travailleurs qui ont assemblé les composants en Chine.
Étendre les bénéfices en déplaçant la production à locales une réduction des coûts de main de œuvre est connu comme l’arbitrage du travail. Arbitrage est le processus de l’exploitation de la différence de prix de labor, devises, produits, services, biens, taux d’intérêt ou crédit.
En version mondialisée d’aujourd'hui de « libre-échange », capitaux mobiles peut arbitrage les coûts variables du travail, devises, taux d’intérêt, taxes, règlements environnementaux et des faveurs politiques en déplaçant la capitale entre les nations.
Dans l’économie mondiale, commerce n’est pas menée entre égaux ; ceux qui ont accès au crédit illimité de financiarisation peuvent surenchérir les capitaux nationaux pour les actifs, du travail et des faveurs politiques.
La mobilité et l’échelle des capitaux donnent influence it hors normes petites, privées de crédit sur les marchés locaux.
Les capitaux mobiles, avec sa ligne de crédit essentiellement illimité, peuvent submerger le système politique local, acheter les faveurs et la découpe des aubaines pour limiter les coûts et la concurrence. Les élites locales sont cooptés bientôt, et les gens affamés de revenus monétaires sont facilement recrutés comme du travail.
Les actifs--un prix pour l’économie locale où crédit et en espèces sont à la fois limitée--sont happés sur le bon marché de capitaux mondiaux et vendus pour les immenses bénéfices.
Credit--rare dans les économies traditionnelles autosuffisants--offre un financement maximum de capital global, qui peut emprunter de l’argent dans les marchés éloignés à faibles coûts et utiliser l’argent pour enchérir sur les acheteurs locaux pour happer les ressources locales qui sont encore bon marchés par rapport aux ressources sur d’autres marchés mondialisés.
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L’afflux de crédit alimente aussi une explosion déstabilisateur de consommation axée sur le crédit dans l’économie locale, provoquant des personnes ayant peu d’expérience avec un crédit de devenir surendetté.
RépondreSupprimerSurendettées par défaut, leurs terres et autres biens sont confisqués par les prêteurs offshore, encore appauvrir la population locale et enrichir le capital mondial.
Où est le « libre-échange » dans un monde où l’avantage comparatif est détenu par capitaux mobiles ? Et ce qui donne des capitaux mobiles son effet de levier essentiellement illimité?
Les banques centrales, qui émettent presque sans l’argent aux banques qui l’argent aux sociétés et aux financiers, qui peuvent ensuite parcourir le monde arrachent actifs et arbitraging des déséquilibres mondiaux avec l’argent de faible taux d’intérêt de l’entonnoir.
Il n’y a rien à distance « libre » sur un commerce basé sur les flux de capitaux générés par la liquidité de banque centrale.
Cette mobilité des capitaux est un énorme avantage pour les propriétaires de la capitale, mais il crée l’instabilité extraordinaire pour ceux qui ne sont pas mobiles. Lorsque capitaux mobiles rencontre tout ce qui réduit les bénéfices--des impôts plus élevés et hausse des coûts de main-d'œuvre, la concurrence ou les réglementations restrictives--il ferme des usines et déclenche des travailleurs dans les paramètres régionaux et se déplace vers une autre locale avec plus de possibilités pour des rendements élevés.
Les travailleurs laissés pour compte ont peu de moyens pour remplacer la perte de salaire, et l’état local a souvent peu de ressources pour réparer les dommages laissés par l’exploitation des ressources. L’avantage de la mobilité est réservée pour la capitale et à la cohorte relativement limitée de travailleurs qui peuvent immigrer vers d’autres pays pour trouver du travail.
Cet exemple illustre deux caractéristiques clés de la mondialisation financiarisée : perpétuelle instabilité et un interminable cycle de perche et buste comme capital développement rapide dans un lieu d’étincelles et puis déplace ailleurs dès que la baisse des bénéfices.
La balance des capitaux mondiaux est difficile à saisir ; milliers de milliards de la Banque centrale a publié dollars, euros, yens et renminbi sont ballottement autour de l’économie mondiale, recherchant le profit de faible risque.
Capital n’a aucune loyauté envers tout sauf sa propre expansion, et les dégâts, qu'il laisse dans son sillage sont d’aucun intérêt pour les détenteurs de capitaux.
Il y a des conséquences encore moins visibles à la mondialisation des marchés, des capitaux et du travail. Une fois que les biens et services sont des prix à l’échelle mondiale, offre et la demande locale n’est plus définie au prix local. En conséquence, mesure de l’inflation et la déflation localement est vide de sens dans une économie mondialisée.
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Cette globalisation du prix--pour les biens et services, crédit, devises--continuellement crée des déséquilibres qui alimentent une perpétuelle instabilité qui appauvrit progressivement tous les secteurs autres que de capital mondial, qui étant mobiles, peuvent exploiter les déséquilibres pour son propre bénéfice.
RépondreSupprimerQui profite à plus long terme de l’instabilité permanente et les cycles d’expansion-récession de cet arrangement ? Que ceux près des robinets de crédit des banques centrales.
Cet essai a été tiré de mon nouveau livre, pourquoi notre échec de statu Quo et est au-delà de la réforme, dont Gordon T. Long et j’ai discuter dans un nouveau programme de YouTube de 34 minutes.
http://www.zerohedge.com/news/2016-05-13/destabilizing-consequences-globalization