Ce post explique les libertés garanties par la Charte des droits – les 10 premiers amendements à la Constitution des États-Unis – et fournit un tableau de bord sur l'ampleur de la perte de chaque droit.
Premier amendement Le 1er Amendement protège la parole, de religion, de l'Assemblée et de la presse :
Congrès ne fera aucune loi respectant un établissement de religion, ou interdisant le libre exercice de celle-ci ; ni qui restreigne la liberté d'expression, ou de la presse; ou le droit du peuple pacifiquement à assembleret à la pétition le gouvernement pour une demande de redressement de griefs.
La Cour suprême a également interprété le premier amendement comme protégeant la liberté d'association.
Toutefois, le gouvernement s'arrêtant ceux prononçant ... et des réunions pacifiques violemment écrasante qui tentent de pétitionner le gouvernement pour redresser.
Un juge fédéral a conclu que la Loi autorisant la détention illimitée des américains sans procédure légale régulière a un « effet de dissuasion » sur la liberté d'expression. Et voir ce et ce.
Il y a aussi adopté des lois permettant au service secret d'arrêter quelqu'un qui protestaient près du président ou d'autres désignés des gens (cela pourrait expliquer des incidents comme ce).
Masse d'espionnage par la NSA, porte atteinte à notre liberté d'association.
La menace d'être étiqueté comme un terroriste pour exercer nos droits de premier amendement certainement viole le premier amendement. Le gouvernement est à l'aide de lois pour étouffer la contestation, et il est arrivé tellement mauvais que même les juges de la Cour suprême des États-Unis disent que nous sommes descendant dans la tyrannie. (Et les États-Unis fait les mêmes choses que les gouvernements tyranniques ont fait depuis 5 000 ans pour étouffer la contestation.)
Par exemple, les actions suivantes peuvent obtenir un citoyen américain vivant sur le sol américain, étiqueté comme un « terroriste présumé » aujourd'hui :
- Prendre des mesures pour protéger votre vie privée (et voir ce) - Être un hippie - Plaindre tout le goût de votre eau du robinet - Étant jeune (si vous habitez près d'une zone de combat, vous êtes un jeu équitable; et voir cela) - Agissant comme un gamin - Utilisation des médias sociaux - Création de rapports ou de faire du journalisme (et ici et ici) - Avoir des "odeurs étranges" ou "lumineuses colorées taches sur les vêtements" (que se passe-t-il si vous mangez moutarde ou ketchup ?) - Dénonçant les politiques gouvernementales - Pour protester contre quelque chose (par exemple, participer à des mouvements "Occupé" ou "Tea Party" ). Par exemple, des manuels de formation Ministère de la défense classer toute protestation "terrorisme à basse altitude". Voir ce, cet, cette et ce - Interrogatoire de guerre (même si la guerre a réduit notre sécurité nationale; et voir ce) - Critiquant le gouvernement contre des civils innocents avec des drones (bien que tuer des civils innocents avec des drones est l'une des principales choses qui augmente le terrorisme. Et voir ce) - Poser des questions sur la pollution (même lors d'une audition publique au Congrès ?) - Payer en espèces à un cyber-café - Poser des questions sur les manigances de Wall Street - Tenue d'or - Création de monnaies alternatives - S'approvisionner en plus de 7 jours de nourriture (même si tous les Mormons sont enseignées aux stocks alimentaireset la plupart hawaïens stockent vers le haut sur la nourriture supplémentaire) - Avoir des autocollants pour pare-chocs, dire des choses comme « Connaissez vos droits ou les perdre » - Élevage d'instruction - Portant atteinte à un droit d'auteur - Prendre des photos ou des vidéos - Parler aux policiers - Porter un chandail à capuchon - Conduire une camionnette - Écrit sur un morceau de papier - (Ne pas avoir un compte Facebook peuvent bientôt être ajoutées) Et tenant les croyances suivantes peut-être également être considéré des motifs pour terrorisme présumé :
- Être frustré avec des idéologies « grand public » - Étant un libertaire - Aimer les pères fondateurs - Être un chrétien - Fiscale, anti-règlement ou usages pour l'étalon-or - Être "respectueux de la liberté individuelle" - Étant "anti-nucléaire" - « Believe in les théories du complot » - « Une croyance que ses personnels et/ou nationale "way of life" est attaqué » - « Imposer des principes religieux stricts ou lois sur la société (les fondamentalistes) » - « Insérer une religion dans la sphère politique » - « Ceux qui cherchent à politiser la religion » - « Prise en charge des mouvements politiques d'autonomie » - Étant "anti-avortement" - Étant "anti-catholique" - Étant "anti-mondialisation" - « Suspects d'autorité fédérale centralisée » - « Farouchement nationaliste (par opposition à universel et international en orientation) » - « Une croyance en la nécessité de se préparer à une attaque, soit en participant... survivalism » - S'opposant génétiquement machiné alimentaire - S'opposant à surveillance Et voir ceci. (Et bien sûr, musulmans sont plus ou moins soumises à un système distinct de justice en Amérique.)
Et 1er amendement droits sont réfrigérés surtout lorsque le pouvoir est devenu tellement concentré la même agence qui spies sur tous les américains décide également qui devrait être assassiné.
En outre:
Malgré les protections claires trouvées dans le premier amendement, les libertés qui y sont décrites sont sous constante agression. De plus en plus, américains sont arrêtés et chargée de la faux "au mépris de la Conférence des parties" frais comme "perturber la paix" ou "rébellion" pour avoir osé film policiers engagés dans le harcèlement ou les pratiques abusives. Journalistes sont poursuivis pour avoir signalé sur les dénonciateurs. États passant législation au museau signalement selon des pratiques d'entreprise cruels et abusifs. Ministères religieux font l'objet d'une amende pour avoir tenté de se nourrir et loger les sans-abri. Manifestants sont roués, battu, arrêté et forcé en « zones de liberté d'expression ». Et sous le couvert du "discours du gouvernement", les tribunaux ont jugé que le gouvernement peut discriminer librement toute activité de premier amendement qui se déroule au sein d'un forum de gouvernement.
Une milice bien organisée étant nécessaire à la sécurité d'un État libre, le droit du peuple de détenir et de porter les armes, ne doit pas être violée.
Défenseurs des droits de contrôle des armes et armes à feu ont évidemment des opinions très différentes armes à feu sont une force pour la violence ou pour de bon.
Mais même un expert en droit constitutionnel libéral albums avoue à contrecœur que le droit de posséder une arme à feu est aussi important un droit constitutionnel comme la liberté d'expression et de religion:
Comme de nombreux universitaires, j'ai été heureux d'ignorer béatement le deuxième amendement. Il ne correspondait pas parfaitement dans mon programme socialement libéral. *** Il est difficile de lire le deuxième amendement et pas honnêtement conclure que les rédacteurs possession d'armes comme un droit individuel. Il est vrai que la modification commence par une référence aux milices: « une milice bien organisée étant nécessaire à la sécurité d'un État libre, le droit du peuple de détenir et de porter les armes, ne doit pas être violée. » En conséquence, semble-t-il, cet amendement protège le droit de la milice de porter les armes, pas l'individu.
Pourtant, si elle est vraie, le deuxième amendement seraient effectivement déclaré une disposition disparue. La garde nationale n'est pas une véritable milice au sens du deuxième amendement et, depuis le quartier et autres croient gouvernements peuvent interdire les armes à feu entièrement, le deuxième amendement seraient lus hors de l'existence. *** Plus important encore, la simple référence à un objet de la seconde modification n'altère pas le fait qu'un droit individuel est créé. Le droit du peuple de détenir et de porter des armes est déclaré de la même manière que le droit à la liberté d'expression ou la liberté de la presse. L'énoncé d'un objectif visait à réaffirmer la puissance des États et le peuple contre le gouvernement central. Beaucoup craignaient, à l'époque, le gouvernement fédéral et son armée nationale. Possession d'armes a été considérée comme un moyen de dissuasion contre les abus par le gouvernement, qui serait moins susceptible de se salir avec une population bien armée.
Considérant les auteurs et leurs traditions de chasse et d'autodéfense, il est clair qu'ils auraient vu cette propriété comme un droit individuel — conforme au sens ordinaire de l'amendement.
Rien de tout cela n'est facile pour quelqu'un soulevé pour croire que le deuxième amendement était la ligne de démarcation entre l'éveil et l'âge des ténèbres de la culture américaine. Pourtant, il est temps de reconsidérer cet amendement honnêtement et d'admettre que... Voici la partie vraiment dure... la NRA a pu juste. Cela ne signifie pas que Charlton Heston est le nouveau Rosa Parks ou qu'aucune restriction ne peut être placée sur la possession d'armes. Mais il ne semble pas que possession d'armes a été effectuée une protégée à droite par les rédacteurs et, bien que nous ne pourrions pas célébrer, il est temps que nous reconnaissions ce.
Et George Mason University School de droit professeur Nelson Lund et UCLA Law School professeur Adam Winkler Remarque:
Implicite dans le débat entre fédéralistes et antifédéralistes étaient deux hypothèses partagées. Tout d'abord, que le projet de nouvelle Constitution a donné l'autorité légale quasi totale du gouvernement fédéral sur l'armée et les milices. En second lieu, que le gouvernement fédéral ne devrait pas avoir toute autorité pour désarmer les citoyens. Ils étaient en désaccord seulement de savoir si un peuple armé pourrait dissuader adéquatement oppression fédérale. *** L'amendement a été accepté facilement à cause de l'unanimité que le gouvernement fédéral n'ait pas le pouvoir d'enfreindre le droit du peuple de détenir et de porter les armes, pas plus qu'il devrait avoir le pouvoir de restreindre la liberté d'expression ou d'interdire le libre exercice de la religion.
Le débat de contrôle des armes, y compris les armes et les magazines sont interdits, est toujours dans le flux...
Cependant:
Américains restent impuissants à se défendre contre des raids de l'équipe SWAT et armés jusqu'aux dents avec des armes militaires mieux adaptés pour le champ de bataille que pour un pays fondé sur la liberté des agents du gouvernement. Police fusillades des citoyens non armés continuent d'indignation des communautés, alors que peu de choses est vraiment fait pour démilitariser les forces de l'ordre. En effet, tout récemment, Dakota du nord est devenue premier État à légaliser l'utilisation application Loi de drones munis d'armes telles que des gaz lacrymogènes, balles en caoutchouc, poufs, poivre de Cayenne et de pistolets paralysants.
Troisième amendement L'amendement 3 interdit au gouvernement, forçant les gens à des soldats de la maison :
Aucun soldat doit, en temps de paix être cantonné dans une maison, sans le consentement du propriétaire, ni en temps de guerre, mais d'une manière qui sera prévu par la Loi.
Un récent procès par une famille de Nevada – couverts par (Mother Jones, Fox News et Actualités du Palais de justice – allègue la violation de la troisième modification.
L'armée est aussi sans doute de cantonnement des troupes « numérique » au sein de nos maisons.
Gordon S. Wood – Alva O. façon professeur d'université et professeur d'histoire émérite à l'Université Brown – souligne:
Dans sa déclaration et se résout sur 14 octobre 1774, le Congrès a protesté contre la présence en temps de paix, d'une armée permanente et le casernement des troupes dans les colonies sans leur consentement. Puis dans la déclaration d'indépendance de 1776, deux des nombreuses accusations Congrès nivelé contre le roi étaient son maintien "parmi nous, en temps de paix, des armées permanentes, sans le consentement ou nos législatures," et son "cantonnement des grandes masses de troupes armées parmi nous. » *** Certains juristes ont même commencé à faire valoir que la modification pourrait être appliquée à la réponse du gouvernement aux attaques terroristes et de catastrophes naturelles et aux questions qui concernent le domaine éminent et la militarisation de la police.
En effet:
Avec la police formation de plus en plus comme les militaires, agissant comme les militaires, et se présentant comme militaire forces — avec armes de guerre, véhicules d'assaut, etc. — il est clair que nous avons maintenant ce que les fondateurs craignaient le plus —une armée debout sur le sol américain. De plus, en conséquence de SWAT team raids (plus de 80 000 par an) où les policiers envahissent les maisons, souvent sans mandat et blessent et même tuent des citoyens non armés, la barrière entre les biens publics et privés a été abolie, nous laissant avec des agents du gouvernement armés qui agissent comme s'ils possèdent notre propriété.
En effet, les pères fondateurs ont combattu à la guerre d'indépendance en partie pour arrêter le type de police militarisée dont nous avons.
Quatrième amendement L'amendement 4 empêche les perquisitions et saisies illégales :
Le droit du peuple d'être en sécurité dans leurs personnes, les maisons, les papiers et les effets, contre les fouilles, les perquisitions et les saisies, ne doit pas être violé, et aucun mandat ne délivre, mais sur la cause probable, soutenu par serment ou affirmation solennelle et en particulier décrivant l'endroit à perquisitionner et les personnes ou les choses à saisir.
Mais le gouvernement est d'espionner tout ce que nous faisons ... sans aucun avantage réel ou justification (et voir cela).
(Les choses sont empirer, et le gouvernement va étendre considérablement son espionnage dans un proche avenir.)
En effet, les experts disent que le type d'espionnage menées par la NSA et d'autres organismes est exactement le genre de chose dont King George imposée sur les colons américains... qui a conduit à la guerre d'indépendance.
Et de nombreux experts constitutionnels – tels que Jonathan Turley – pensent que la police est allée trop loin à Boston avec verrouillages et recherches porte-à-porte involontaires.
Le quatrième amendement a subi les dommages les plus importants ces dernières années et tous été mais éviscéré par une extension injustifiée des pouvoirs de la police qui incluent les fouilles et recherches même anales et vaginales, des citoyens, la surveillance et les intrusions justifient au nom de la lutte contre le terrorisme, ainsi que l'externalisation des activités autrement illégales à des entrepreneurs privés. Espèce : Texas police forcée une femme de 21 ans à subir une fouille vaginale au bord de la route après qu'elle aurait été "roulé" grâce à un panneau d'arrêt.
L'utilisation de systèmes de confiscation civile actifs à gonfler les caisses des forces de police a également continué de croître en popularité parmi les États à court d'argent. Le gouvernement fédéral continue d'intimider des sociétés en lui fournissant accès aux affaires privées des américains, de courriers électroniques et des transactions en ligne aux banques et surfer sur le web. En venant à la suite de fuites massives sur les rouages de la NSA et l'état de surveillance secrète massive, il a été révélé que le gouvernement a menacé d'une amende Yahoo $ 250 000 tous les jours pour avoir omis de se conformer aux programme de collecte de données de la NSA connu comme prisme. Pendant ce temps, AT & T a bénéficié d'une rentabilité et une relation « extraordinaire, décennies » avec la NSA.
L'avenir technologique semble constituer une menace encore plus grande pour ce qui reste de nos droits de quatrième amendement, grâce aux progrès dans l'identification biométrique et microchip implants à l'horizon ce qui beaucoup plus facile pour le gouvernement suivre non seulement nos mouvements et activités de cyber mais nos êtres très cellulaires. Barclays a déjà commencé à l'aide d'un doigt-scanner comme une forme d'authentification en deux étapes pour donner à certains clients accès à leurs comptes. De même, Motorola a mis au point fine "tatouages numériques" qui fera en sorte que le propriétaire d'un téléphone est la seule personne qui peut le débloquer. Ne pas à négliger sont les espions aériennes —surveillance drones— sur le point de prendre son envol dans les années à venir, ainsi que les programmes Smart Drive qui sera vous espionner (votre vitesse, mouvements, passagers, etc) pendant que vous parcourez routes et les chemins de la nation.
Cinquième amendement Le 5e Amendement traite régulière de la Loi, domaine éminent, double jeopardy et grand jury :
Nul ne peut être tenue de répondre en un capital, ou crime infâme dans le cas contraire, à moins que sur une présentation ou un acte d'accusation d'un Grand Jury, sauf dans des cas surviennent dans la terre ou naval forces, ou dans la milice, en cas de service effectif en temps de guerre ou de danger public ; ni toute personne sera soumise pour la même infraction deux fois mise en danger de la vie ou d'un membre ; ni peut être contraint dans toute affaire criminelle à témoigner contre lui-même, ni être privé vie, la liberté ou propriété, sans l'application régulière de la Loi ; ni propriété privée doit être prise à usage public, sans une juste indemnisation.
Mais le gouvernement américain a déchiqueté le 5e Amendement de soumettre à la détention illimitée et emportant nos droits de procédure régulière.
Le gouvernement fait valoir le droit d'assassiner ou de détenir indéfiniment n'importe quel citoyen américain sur le citoyen américain sans aucune procédure légale régulière. Et voir ceci.
Par exemple, les citoyens américains sont détenus dans des conditions proches Guantanamo à Chicago ... y compris :
Rappelez-vous comment nous sommes sortis du Vietnam
le 7 mai 2016 par WashingtonsBlog Par Jacob Hornberger, avenir de la Fondation de la liberté.
Vous vous rappelez quels fonctionnaires d'état de sécurité nationale américains disaient quand des millions d'américains exigeaient que le gouvernement américain retire ses troupes du Vietnam et ramener chez eux ?
Ils disaient que la « sécurité nationale » était en jeu — c'est-à-dire, la survie même des États-Unis. Si le gouvernement américain a retiré du Vietnam, ils ont dit, les dominos commencerait à tomber entre les mains des communistes, tout d'abord en Asie du sud-est et, en fin de compte, partout dans le monde, avec les États-Unis étant le domino grand final. Le Viêt Nam était notre ligne de défense contre le monde entier va rouge.
C'est tout faux. Comme j'ai dans mon nouvel ebook la CIA, le terrorisme et la guerre froide : le mal de l'état de sécurité nationale (qui vient de frapper #5 en Amazonie top 100 ebooks Best-sellers dans liberté politique), en réalité il n'a pas fait un iota de différence si le Viêt Nam et autres pays dans le monde est allé rouges, au moins pas pour autant que les États-Unis portait. Autrement dit, l'existence des États-Unis fut jamais menacé par le fait que les autres pays avaient régimes communistes.
Comment savons-nous que c'est vrai ?
Parce que le Vietnam a fait tomber entre les mains des communistes, et rien n'est arrivé aux États-Unis. En fait, si fait la Corée du Nord, la Chine et l'Union soviétique. Et à Cuba. Et le Guatemala. Et le Chili. Et au Nicaragua. Et le Venezuela.
Quelle différence il fait, dans la mesure où les États-Unis portait ?
Pas un brin de différence. De plus ces 58 000 soldats américains qui ont été sacrifiés au Vietnam sont mort pour rien.
Il n'est pas différent aujourd'hui en ce qui concerne les ISIS, les terroristes, les musulmans, ou, oui, même les communistes. Un brin peu importe que ISIS prend le contrôle sur la Syrie, Irak, Libye, Yémen, ou ailleurs. Même s'ils le font, ils ne viennent pas à vous aider, vous panier loin et vous forcer à étudier le Coran, toute plus que les communistes sont venus pour vous aider et forcés d'étudier Das Kapital.
Cela ne veut ne pas pour dire, bien sûr, qu'il serait dans l'intérêt des personnes vivant dans ces pays de vivre sous un régime d'ISIS, une plus qu'il est dans l'intérêt du peuple nord coréen, le vietnamien, cubain et chinois à vivre sous des régimes communistes.
Mais le fait est que les souffrances du peuple sous la tyrannie étrangère n'est aucune entreprise du gouvernement américain. C'est certainement pas légal, étant donné que la Constitution n'accorde pas le pouvoir de changement de régime et une intervention étrangère au gouvernement fédéral. Mais il n'est également aucune entreprise morale du gouvernement américain, en particulier compte tenu du fait que lorsque le gouvernement américain intervient contre les régimes étrangers dans le but d'effectuer le changement de régime, il fait juste empirer les choses pour les personnes vivant dans ces sociétés. Après tout, juste regarder la mort, la destruction, la misère et les souffrances que les interventions du gouvernement américain et les opérations de changement de régime ont apporté à l'Afghanistan, Irak, Syrie, Libye, Yémen et le reste du Moyen-Orient.
Le problème est que les fonctionnaires américains ne veulent pas sortir parce qu'ils ont peur de « perdre la face », qui était la même crainte que présidents Lyndon Johnson et Richard Nixon avaient de retirer les troupes du Vietnam.
Ainsi, si les américains veulent rétablir une société fonctionne normalement à notre terre, la responsabilité incombe avec eux pour y parvenir. Ils doivent faire ce que les américains fait avec la guerre du Vietnam. Ils ont besoin pour commencer à exiger, avec des manifestations de masse si nécessaire, que le Président — celui qui il ou elle est — apporte les troupes maison maintenant, sans plus tarder. Mise à mort non plus et aucune destruction plus la part du gouvernement américain. Il suffit de laisser le peuple du Moyen-Orient seul pour résoudre leurs propres problèmes.
Dieu merci des millions d'américains ont commencé exigeant que les troupes être ramené du Vietnam. S'ils n'avaient pas, ils pourraient être bien encore plus se battent aujourd'hui pour empêcher la chute de dominos et de l'Amérique de se rendre rouge. Si seulement le peuple américain avait exigé un retrait du Vietnam beaucoup plus tôt qu'ils ont fait. Pensez combien plus d'américains ne seraient pas mort pour rien.
Aujourd'hui, la presse annonce qu'un autre soldat américain a simplement été tué en Irak. Oui, croyez-le ou non, les troupes américaines sont retour en Irak. Américains ont besoin de faire ce qu'ils ont fait pour nous sortir de la guerre du Vietnam avant de mourir de soldats américains plus pour rien. C'est la seule manière de restaurer une société de liberté, paix, prospérité et harmonie à notre terre.
Cela surprendra peut-être certains, mais il est possible d’être libéral et en faveur de la fracturation hydraulique, nous annonce Gary Sernovitz.
Si l’on se base sur la rhétorique progressiste actuelle, on pourrait penser que la fracturation hydraulique est une horreur environnementale qui ne profite qu’à l’industrie pétrolière. Mais cette méthode d’extraction des gaz – connue formellement sous le nom de fracturation hydraulique – a beaucoup fait pour l’avancement de causes « chères aux cœurs de la plupart des libéraux ».
La fracturation hydraulique a réduit la dépendance des États-Unis au charbon et a permis à la nation « de devenir le leader mondial en réduction des émissions carbone ». Elle a aussi permis de réduire les cours du pétrole et du gaz, ce qui bénéficie principalement aux classes pauvres et moyennes, et a permis d’éviter de verser des centaines de milliards de dollars aux pétro-États autoritaires comme la Russie et l’Iran qui représentent « tout ce que les libéraux détestent ».
Peu d’impact sur l’eau potable
Les opposants nous mettent en garde contre les accidents possibles, mais selon l’agence pour la protection de l’environnement, il n’y aurait que peu d’impact sur l’eau potable. Il est vrai que « la fracturation hydraulique rallonge l’ère des combustibles fossiles à bas prix », mais son interdiction « ne résultera pas en un monde qui soudainement puiserait toute son énergie de l’éolien et du solaire ».
Arrêter la fracturation hydraulique aurait par contre pour conséquence « l’augmentation immédiate du prix du charbon », ce qui entraînerait une montée en flèche des émissions carbone.
« Être libéral ne signifie pas être pour la fracturation hydraulique. Mais vous ne devenez pas complice de l’industrie des combustibles fossiles pour autant si vous la soutenez ».
Primo: (...) La fracturation hydraulique a réduit la dépendance des États-Unis au charbon et a permis à la nation « de devenir le leader mondial en réduction des émissions carbone » (...) !!!
FAUX FAUX ET ARCHI-FAUX ! Le carbone ou 'gazcarbonique N'EST PAS un poison:
et, la journaliste belge à la con ne parle que de deux propositions répugnantes faisant fi du nucléaire qui ne rejettent que de la vapeur d'eau et permet sans pollution d'apporter l'électricité à des dizaines de millions de foyers alors que TOUS les autres n'en sont pas capable !
Secondo: La fracturation hydraulique pollue IRREMEDIABLEMENT les nappes phréatiques pour des milliers d'années !!! (voir Californie) et est à l'origine des effondrements de sols comme des tremblements de terre cause aux destructions souterraines de galeries.
Loi Travail : le recours au 49.3 choque 71% des Français ? Pas bien grave pour la clique politicienne...
L'Express sam., 07 mai 2016 06:49 UTC
-- Comment: Contrairement au reste des travailleurs du monde entier, le politicien réussit le tour de force de ne pas avoir à rendre des comptes à son employeur, le peuple. Et non seulement, il ne lui rend pas de compte, mais il va jusqu' à imposer à celui-ci des mesures, des lois et des décrets qui vont souvent à l'encontre de son intérêt. Tour de force supplémentaire, par un usage calculé de sa parole, il réussit à faire croire que les-dites mesures sont malgré tout bénéfiques, et ce, même lorsque la réalité, à lui et au reste du monde, prouve manifestement le contraire. En utilisant des raccourcis, des amalgames et des mensonges, en vrai professionnel qu'il est, il réalise son troisième tout de force : il fait croire à tout un chacun qu'il est indispensable ; que sans lui rien ne fonctionne, rien ne marche, tout s'écroule.
Une bonne recette qui maintient la créature politicienne dans son univers malade rempli de fantasmes et de projections ; qui lui permet de déblatérer sur les sujets les plus importants, sans sourciller le moins du monde des pires décisions qui sont les siennes, droit dans ses bottes, auto-satisfait, auto-justifié, dangereux.
Fort heureusement pour nous, il y a une explication à tout ceci : - De la démocratie à la pathocratie : l'avènement du psychopathe politique - La relève psychopathe - Luttons contre la tyrannie et la psychopathie - Comprendre la Ponérologie Politique - Andrew M. Lobaczewski --
Le Premier ministre a donné une fin de non-recevoir à une partie de la gauche qui est défavorable à l'emploi de l'article 49.3. Pourtant un sondage souligne la désapprobation des Français.
"Il ne faut jamais renoncer à un moyen constitutionnel." Le Premier ministre a donné le ton, ce vendredi à propos du projet de loi contesté sur le Travail. Sur Public Sénat, Manuel Valls n'a pas écarté l'emploi de l'article 49 alinéa 3 de la Constitution pour faire adopter sans vote la loi dite El Khomri, en engageant la responsabilité du gouvernement.
Pour autant, le Premier ministre ne pourra pas compter sur le soutien es Français s'il finit par faire ce choix. Selon un sondage Odoxa pour Itélé et Paris Match publié vendredi, 71% des personnes consultées pour l'enquête jugent cette mesure "choquante". Une réprobation qui touche autant les sondés de gauche que de droite (70%) et qui monte à 76% quand les Français se disent "sans proximité partisane".
Plusieurs sons de cloche
Le Premier ministre répondait lors de l'interview à une partie de la gauche qui lui demande d'exclure complètement d'avoir recours au 49.3. Le secrétaire d'État chargé des relations avec le Parlement Jean-Marie Le Guen, s'était montré très ambigu, essayant de laisser entendre que le gouvernement n'y aurait pas recours.
La ministre du Travail Myriam El Khomri avait pourtant précisé au Parisien à l'arrivée du texte à l'Assemblée nationale, que ce passage en force n'était pas la solution privilégiée, se gardant bien de dire qu'il était pour autant totalement exclu. Dans une interview de février, elle avait annoncé que le 49.3 était envisageable, mais elle a depuis reconnu à mi-mot que cette déclaration avait été ajoutée à l'interview par Matignon, qui avait court-circuité l'Elysée ce jour-là.
Une nouvelle journée de manifestations et de grèves est prévue le jeudi 12 mai. La cinquième depuis l'annonce de la loi.
Comment votre smartphone transmet en toute innocence pratiquement toute votre vie aux services secrets
Dimitri Tokmetzis De Correspondent via NeoTrouve sam., 07 mai 2016 09:47 UTC
L'article original, paru dans le journal néerlandophone De Correspondent, a été écrit par Dimitri Tokmetzis et illustré par Momkai.
Les services de renseignement collectent les métadonnées des communications de tous les citoyens. Les politiciens voudraient nous faire croire que ces informations ne sont pas si importantes. Un lecteur du De Correspondent a voulu vérifier et a prouvé le contraire : les métadonnées révèlent à votre sujet bien plus que vous ne l'imaginez.
Ton Siedsma est nerveux. Cela fait plusieurs semaines qu'il a pris cette décision, mais il ne cesse de la repousser. Nous sommes le 11 novembre, par une fraîche soirée d'hiver. C'est à vingt heures dix (20:10:48 pour être précis) en passant la gare d'Elst sur le chemin de la maison, qu'il a lancé l'application. Cette dernière va enregistrer la totalité des métadonnées de son téléphone sur une période d'une semaine.
Les métadonnées ne sont pas le contenu des communications, mais les données en rapport avec ces communications, comme les numéros qu'il appelle ou whatsappe, la géolocalisation du téléphone à un instant donné, mais également les destinataires et sujets des mails envoyés et les sites web visités.
Ton ne va rien faire qui sorte de l'ordinaire, il va simplement mener sa vie quotidienne. Les jours de semaine, il prend son vélo pour se rendre de son domicile à Nimègue jusqu'à la gare, d'où il prend le train pour Amsterdam. Le samedi, il se rend en voiture à Den Bosch et passe la nuit près de Zuiderpark avant de rentrer à Nimègue le lendemain par les transports en commun. Plus tard dans la journée, il prendra un verre ou deux dans un café, le St. Anna.
Il met un terme à l'expérience au bout d'une semaine exactement, le lundi 18 novembre. Après coup, il affirme s'être senti soulagé d'en avoir terminé. Sa nervosité s'explique facilement : tout ce qu'il aura fait, là où il aura été et les gens avec qui il aura été en contact, tout cela sera communiqué à des dizaines de milliers de personnes. Aujourd'hui, à vous et moi, et à l'ensemble des lecteurs de cet article.
Ces derniers mois, il est devenu clair que les agences de renseignement, sous l'égide de la National Security Agency (NSA), collectent de gigantesques quantités de métadonnées. Ceci comprend l'enregistrement du trafic des e-mails ainsi que les données de localisation des téléphones mobiles. Dès le début, les politiciens et les agences de renseignement ont défendu cette surveillance en mettant l'accent sur le fait que le contenu des communications n'est pas surveillé, l'idée étant que seules les métadonnées intéressent les agences. Selon le ministre néerlandais de l'Intérieur et la Dutch Intelligence Agency (AIVD), à l'instar du Président Obama et de la NSA, il n'y a pas vraiment de mal à cela. Et encore récemment, sur son site internet, l'AIVD parlait de la collecte de métadonnées comme d'une « violation mineure de la vie privée ».
Mais est-ce bien le cas ? Sûrement pas, comme l'expérience de Ton Siedsma le prouve. Les métadonnées (y compris les vôtres) sont plus révélatrices qu'on pourrait le croire, et bien plus que les autorités voudraient vous le faire croire.
Une semaine en dit déjà long
J'ai soumis les métadonnées de Ton à l'équipe de recherche iMinds de l'université de Gand, ainsi qu'à Mike Moolenaar, le propriétaire de Risk and Security Experts. J'ai aussi conduit mes propres analyses. Avec une semaine de relevés (logs), nous avons pu dater avec précision 15 000 événements. Chaque fois que le téléphone de Ton s'est connecté à une antenne de communication, et chaque fois qu'il a envoyé un e-mail ou consulté un site, nous avons pu voir le moment où cela s'est produit et l'endroit où il se trouvait à quelques mètres près. Nous avons pu cartographier son réseau de relations à partir de son téléphone et de son trafic e-mail. Avec ses données de navigation web, nous avons pu savoir quels sites il avait visités et les recherches qu'il avait effectuées. Et nous avons pu voir l'objet, l'expéditeur et le destinataire de chacun de ses e-mails.
- voir graphique sur site -
Ce graphique montre les habitudes quotidiennes de Ton, en matière d’e-mail, de navigation web et de téléphonie. On peut voir son utilisation intensive de WathsApp chaque jour, juste après le déjeuner, vers 14h00 Qu'avons-nous donc appris à propos de Ton ?
Voici ce que nous avons pu apprendre, rien qu'en analysant une semaine de métadonnées de la vie de Ton Siedsma. Ton est un jeune diplômé, la vingtaine. Il reçoit des mails qui parlent de logement étudiant et de boulots à temps partiel, ce que nous pouvons déduire de leurs objets et de leurs expéditeurs. Il fait de gros horaires, en partie à cause d'un long temps de trajet en train. Il ne rentre que rarement chez lui avant 20 heures, et même chez lui, il continue à travailler tard.
Sa copine s'appelle Merel. Impossible de savoir avec certitude s'ils vivent ensemble. Ils s'envoient environ une centaine de messages WhatsApp par jour, la plupart du temps lorsque Ton n'est pas chez lui. Merel l'appelle avant qu'il monte dans son train à la gare d'Amsterdam Central. Ton a une sœur qui s'appelle Annemieke. Elle est encore étudiante : un de ses mails parle de sa thèse, à en croire son objet. Il a fêté Sinterklass (Saint Nicolas) cette année, et a tiré au sort à qui il offrirait un cadeau.
Ton aime les actualités sportives, qu'il lit sur nu.nl, nrc.nl et vk.nl. Son centre d'intérêt principal est le cyclisme, qu'il pratique lui-même. Il lit des polars scandinaves, à en croire ses recherches sur Google et Yahoo. Il s'intéresse également à la philosophie et à la religion. On suspecte que Ton est chrétien. Il se renseigne à propos de Karen Armstrong, un écrivain spécialiste du fait religieux, mais également de l'Évangile de Thomas, de « The Messiah book Middle Ages » (« livre du Messie moyen âge »), ainsi que sur le symbolisme dans les églises et cathédrales. Wikipédia lui offre beaucoup d'informations sur ces sujets.
Ton a aussi un côté plus frivole. Il regarde des vidéos sur Youtube, comme « Jerry Seinfeld: Sweatpants » et « Never Gonna Give You Up » de Rick Astley. Il regarde aussi une vidéo de Roy Donders, une vedette de télé-réalité néerlandaise. Sur Internet, il lit aussi des choses à propos de « chats qui portent des collants », « princesses Disney barbues » et « chiens à la place de guitares ». Il cherche aussi à se procurer un snuggie, une certaine « couverture Batman avec manches » retenant son attention. Oh, et il cherche avec ardeur un bon casque audio (avec Bluetooth, si possible).
Si nous examinions le profil de Ton d'un point de vue mercantile, nous le bombarderions de publicité en ligne. Il s'est inscrit à un grand nombre de newsletters d'entreprises telles que Groupon, WE Fashion et plusieurs magasins d'informatique. Il fait visiblement beaucoup d'achats sur internet et n'éprouve pas le besoin de se désinscrire de ces newsletters. Cela pourrait vouloir dire qu'il considérerait favorablement des publicités en ligne.
Il compartimente assez bien ses communications par mail, utilisant trois adresses différentes. Il reçoit toutes les publicités sur son compte Hotmail, qu'il utilise également pour communiquer avec plusieurs de ses connaissances, même s'il envoie rarement des messages depuis ce compte. Il a une deuxième adresse personnelle, qu'il utilise pour le travail, mais aussi avec ses amis les plus proches. Cette seconde adresse est beaucoup plus active. Sa troisième adresse est professionnelle. Ton est technophile (a de vastes connaissances en matière technique). Il s'intéresse aux technologies de l'information, à la sécurité informatique, aux problématiques autour de la vie privée et des libertés sur Internet. Il chiffre souvent ses messages à l'aide de PGP. Il effectue des recherches sur les logiciels de bases de données (SQLite). C'est un habitué des forums techniques et il y cherche des informations relatives à l'enregistrement et à l'analyse de données. Il se tient également au courant de l'actualité du monde des hackers ainsi que des sujets traitant de pédopornographie.
Nous le soupçonnons également d'être un sympathisant du parti politique hollandais « Gauche Verte ». Il est en contact régulier avec plusieurs partis politiques par l'entremise de son travail (nous y reviendrons). Cependant, « Gauche Verte » est le seul dont il reçoit des mails sur son compte Hotmail, ce compte étant plus ancien que son actuelle adresse professionnelle.
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Un jour dans la vie de Ton Siedsma : le mardi 12 novembre 2013. Ce jour-là, il ne prend pas son trajet habituel, qui l’aurait fait rentrer à Nimègue depuis Amsterdam via Utrecht. Il reçoit un coup de fil de Hilversum et fait un détour par le Mediapark avant de rentrer chez lui Quel est exactement le travail de Ton ?
Les données recueillies indiquent clairement que Ton est juriste pour l'organisation de défense des droits « Bits of Freedom ». Il s'occupe principalement d'accords internationaux et entretient des relations suivies avec le ministère des Affaires étrangères et quelques députés sur ces sujets. Il s'intéresse de près aux prises de décision de l'Union Européenne. Il s'intéresse également aux méthodes d'enquête utilisées par la police et les services de renseignement. Ceci explique aussi son intérêt pour les actualités concernant le hacking et le démantèlement de réseaux pédopornographiques.
Durant la semaine analysée, Ton s'implique beaucoup dans une discussion par e-mail avec ses collègues sur le sujet « Van Delden doit partir ». Les e-mails concernent Bert van Delden, le président du Comité de Supervision des Services de Sécurité et du Renseignement (CTIVD), qui est l'organe supervisant les agences de renseignement AIVD et MIVD. Ot van Daalen, un collègue, consacre également une partie de sa semaine à l'élaboration d'une stratégie pour le « Freedom Act », qui est vraisemblablement un projet de Bits of Freedom.
Jeudi, Ton envoie un message à tous les employés intitulé « Nous sommes hors de danger ! » Ils semblent avoir une bonne raison d'être soulagés. Ton examine également une thèse consacrée aux SMS furtifs, et une décision est prise pour savoir qui se rendra à un débat chez les Jeunes Démocrates. Un certain nombre de messages concernent l'organisation d'une évaluation de performances, qui sera probablement conduite par Hans, le director de Bits of Freedom.
Ton met à jour quelques fichiers personnels dans une zone restreinte du site web de Bits of Freedom. On peut retrouver les noms des fichiers à partir des URL qu'il utilise. Ils traitent d'accords commerciaux internationaux, du parlement néerlandais, du WCIII (Loi sur les Crimes Informatiques III) et de lois. Ton met également à jour le site web. Il est facile pour nous de voir quels articles de blog il a édité.
Ton n'a pas l'air de faire grand'chose de son temps libre. Il continue à recevoir et envoyer des mails professionnels tard dans la soirée. Ton se rend sur différents sites d'actualité et discute sur WhatsApp avec des gens inconnus de nous. Il se couche vers minuit la plupart du temps.
Avec qui Ton est-il en relation ?
Le réseau social de Ton Siedsma (basé sur son comportement vis-à-vis des courriels) révèle différents groupes. En analysant les liens sociaux de Ton à partir de ses échanges de mails, il est possible pour nous de dégager différents groupes d'appartenance. Ces groupes sont formés par ces trois comptes courriels. Il serait possible que les groupes apparaissent comme légèrement différents si nous utilisions aussi les métadonnées de son téléphone. Nous avions toutefois accepté de ne pas réaliser d'investigation supplémentaires telles que d'essayer activement de dévoiler l'identité de l'utilisateur d'un numéro particulier afin de protéger la vie privée de ceux présents dans le réseau de Ton.
Via son compte Hotmail, Ton communique avec ses amis et relations. Thomas, Thijs, et Jaap semblent être les principaux contributeurs dans un groupe d'amis plus vaste. À en juger par leurs adresses mail, ce groupe ne compte que des hommes. Il y a aussi un ensemble de liens avec un autre groupe chapeauté par un certain « Bert ». La nature de ce groupe est la seule chose qui ait été censurée par Ton : d'après lui, ce n'est qu'une affaire personnelle.
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Le réseau social de Ton Siedsma d’après son e-mail personnel
Nous pouvons discerner un autre groupe, plus petit, d'amis : Ton, Huru, Tvanel, et Henry. Nous pensons que ce sont des amis, car ils participent tous à la discussion via mail, c'est-à-dire qu'ils se connaissent tous. Qui plus est, certains envoient aussi des e-mails à ton[at]sieds.com, l'adresse de Ton pour les amis et la famille.
Enfin, il y a aussi le groupe de travail de Ton. On peut voir que ses principaux contacts sont Rejo, Hans et Tim. Tim et Janneke sont les seuls qui apparaissent aussi dans des courriels personnels. Le nombre de courriels envoyés entre lui et ses six autres collègues est extrêmement important. Il y a apparemment une vraie mode du « CC » (NDT :copie carbone) chez Bits of Freedom
Ton envoie rarement des courriels à un unique collègue, mais quand c'est le cas, le destinataire est le plus souvent Rejo ou Tim. La plupart des courriels sont envoyés à l'adresse collective de tous les employés.
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Le réseau social de Ton Siedsma basé sur ses courriels professionnels Ton a relativement peu de contact avec des tiers extérieurs. Pendant la semaine, il envoie les courriels nécessaires pour fixer un rendez-vous avec l'assistant de Foort van Oosten, un membre du parlement du « Parti du peuple pour la Liberté et la Démocratie » (People's Party for Freedom and Democracy (VVD)), et à un journaliste du nom de Bart. Il communique également avec un grand nombre de fournisseurs de logiciels antivirus.
En s'appuyant sur ces métadonnées, l'expert en sécurité Mike Moolenaar en conclut que Ton occupe « un bon poste d'observation au sein de Bits of Freedom ». Il semble avoir une bonne idée de la situation, un fait important quand on regarde ce réseau dans une perspective de renseignement.
Mais ce n'est pas tout. Les analystes belges de iMinds ont comparé les données de Ton avec un fichier contenant des mots de passe ayant fuité. Début novembre, Adobe (la société éditrice du lecteur PDF Acrobat, de Photoshop et du lecteur Flash) a annoncé le piratage d'un fichier contenant 150 millions de noms d'utilisateurs et de mots de passe. Les mots de passe eux-mêmes étaient chiffrés, mais ce n'était pas le cas des indices fournis par les utilisateurs pour les retrouver. Les analystes ont pu voir que certains utilisateurs avaient le même mot de passe que Ton et les indications de mot de passe étaient « punk metal », « astrolux » et « another day in paradise », cela nous mène rapidement au groupe préféré de Ton Siedsma, Strung Out, et au mot de passe « strungout ».
Avec ce mot de passe, ils ont pu accéder aux comptes Twitter, Google et Amazon de Ton. Les analystes ont fourni une capture d'écran de messages direct sur Twitter qui sont normalement protégés, ce qui signifie qu'ils pouvaient voir avec qui Ton communiquait secrètement. Ils ont aussi montré quelques paramètres de son compte Google. Ils pouvaient aussi commander des choses via le compte Amazon de Ton — ce qu'ils n'ont pas fait. Les analystes voulaient simplement montrer à quel point il était facile d'accéder à des données très sensibles avec juste quelques informations.
Ce que nous avons fait dans cet article est un jeu d'enfant comparé aux possibilités des agences de renseignement (surveillance). Nous nous sommes surtout concentrés sur les métadonnées, que nous avons analysées avec des logiciels basiques. Nous nous sommes empêché de réaliser des investigations supplémentaires à l'exception de l'utilisation de la base de donnée fuitée d'Adobe.
De plus, cette expérimentation était limitée à une semaine. Une agence de renseignement a des métadonnées sur bien plus de personnes et sur une période bien plus longue avec des outils bien plus avancés à sa disposition. Les fournisseurs d'accès internet et les prestataires de services en ligne sont obligés par la loi Néerlandaise de conserver les métadonnées pendant au moins 6 mois.
La police et les agences de renseignement n'ont aucune difficulté pour demander et recevoir ce type de données.
La prochaine fois que vous entendrez un officiel, un expert en sécurité, un responsable des services de renseignement dire « Oh, mais il s'agit seulement de métadonnées », pensez à Ton Siedsma, l'homme sur qui vous savez tellement, seulement parce qu'il a partagé une semaine de métadonnées avec nous.
Merci aux bénévoles qui ont participé à cette traduction <3
Ayez de plus en plus peur : Daesh aurait des Armes de Destruction Massive (ADM) selon l'ONU
Sputnik mer., 04 mai 2016 20:42 UTC
-- Commentaire : Depuis que la Russie a décidé d'en finir avec Daesh, en actes et pas seulement en paroles, il est encore plus manifeste que les groupes terroristes sont financés, appuyés et dirigés par la coalition (États-Unis, Arabie Saoudite, la Turquie et l'Union Européenne). Cette coalition qui continue a nous faire croire que ces groupes armés agissent seuls... Nous avons été témoins de l'incompétence de l'ONU mais celle-ci persiste aussi à nous faire croire qu'elle lutte pour la paix, qu'elle agit dans le sens d'un règlement des conflits, qu'elle lutte pour éliminer Daesh ainsi que tous les autres groupes terroristes, et bla bla bla, et bla bla bla. Elle agite maintenant l'épouvantail habituel des ADM, non pas pour régler cette situation qui pourrait effectivement devenir catastrophique (plus de ce qu'elle est présentement), mais pour nous resservir les mêmes discours justificateurs, vides et répétitifs. Car bien sûr, on n'entendra pas l'Organisation des Nations (dés-)Unies nous parler des vrais financement du terrorisme et des armes fabriquées par ceux qui se plaignent officiellement des "extrémistes"...
Lire : - Habitants turcs à RT : « Tout le monde est au courant des liens entre Erdogan et Daesh ». - L'Iran est prêt à présenter des preuves du commerce de pétrole entre la Turquie et Daesh, - Le grand retournement saoudien, - Scandaleux ! Le groupe terroriste Jaysh al-Islam, qui utilise des armes chimiques en Syrie, est un ami de Genève
Le Conseil de sécurité des Nations unies prévient que le groupe djihadiste Etat islamique (EI ou Daech) met au point des armes de destruction massive (ADM), ce qui représente une menace réelle. Le président du comité du Conseil de sécurité de l'Onu, établi en vertu de la résolution 1540 (2014), Roman Marchesi, a signalé le problème global que représente de nos jours la mise au point d'armes de destruction massive (ADM) par l'Etat islamique. --
" A ce jour, les extrémistes sont plus proches que jamais de la possession et de la production d'ADM (...) Nous nous sommes confrontés à une menace tout à fait réelle", a déclaré le diplomate espagnol devant les journalistes.
Et d'ajouter qu'un récent rapport d'Interpol l'indiquait explicitement, en indiquant notamment que Daech avait son programme de mise au point d'armes chimiques. "Il y a quelques semaines, le Parlement européen a examiné ce document avant de conclure qu'un risque d'attaque aux ADM de la part de Daech était tout à fait réel", a constaté M.Marchesi. Selon ce dernier, le meilleur moyen d'éviter ce risque consiste à empêcher à tout prix que matériaux et technologies appropriés tombent entre les mains des terroristes.
"Et le meilleur instrument de prévention à la disposition de la communauté internationale est la mise en application intégrale de la résolution 1540 (2014) du Conseil de sécurité de l'Onu", a souligné le président du Comité 1540.
En vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies, le Conseil de sécurité a adopté à l'unanimité le 28 avril 2004 sa résolution 1540, dans laquelle il affirmait que la prolifération des armes nucléaires, chimiques et biologiques et de leurs vecteurs constituait une menace pour la paix et la sécurité internationales.
Ce document engage par ailleurs les Etats à s'abstenir d'apporter un appui, quelle qu'en soit la forme, à des acteurs non étatiques qui tenteraient de mettre au point, de se procurer, de fabriquer, de posséder, de transporter, de transférer ou d'utiliser des armes nucléaires, chimiques ou biologiques ou leurs vecteurs.
-- Commentaire : Vous pouvez lire aussi: - En Haïti, au lieu de fournir de l'eau potable, l'ONU préconise de vacciner contre le choléra - ONU et Guerres de « Libération » : Quand Flambi se rêve en Bush et Sarko réunis ! - ONU : Son dernier souffle - Mali - Syrie - Iran : l'ONU ou le nouveau facteur de désordre dans le monde - Nouvelles accusations d'abus sexuels sur des enfants en Centrafrique par des casques bleus - Viols en Centrafrique : l'ONU « étouffe fréquemment certains crimes » Pourquoi l'ONU se tient bouche cousue concernant les armes de destruction massive qui sont entassées en Europe ? Voulez-vous une bombe nucléaire ? Ou des produits de Monsanto, cette organisation criminelle, qui fabrique elle aussi des ADM d'un tout autre genre ? A propos des « suicides Monsanto » en Inde
Le coup constitutionnel et la révolution colorée en deux étapes au Brésil
Andrew Korybko Oriental Review lun., 25 avr. 2016 12:41 UTC Traduit par Hervé, vérifié par Wayan, relu par nadine pour le Saker Francophone
Le Brésil est au milieu d'une opération prolongée de changement de régime. Elle est documentée étape par étape par Pepe Escobar, dans ses articles pour Sputnik, RT et Strategic Culture Foundation. L'intention de l'auteur, ici, n'est pas d'entrer dans les spécificités de chacune des situations et de tous les détails derrière les techniques de guerre hybride des États-Unis, mais de fournir un aperçu général des stratégies qui sont en jeu et leur contribution à la théorie de la guerre hybride. Le Brésil est un champ de bataille important de la nouvelle guerre froide, et pas seulement en raison de sa multi-polarité institutionnelle, mais surtout en raison de son rôle dans une vision globale One Belt One Road des Routes de la soie chinoises.
Les Chinois ont annoncé l'année dernière qu'ils envisagent de construire le Twin Ocean Railroad, entre la côte Atlantique du Brésil et la côte Pacifique au Pérou, afin de faciliter le commerce trans-océanique entre les deux membres des BRICS et d'améliorer les capacités du commerce transcontinental de Brasília. Parce que ce méga projet est situé dans la sphère d'influence étasunienne, les exceptionnalistes obsédés par la doctrine Monroe ont accéléré leurs plans de changement de régime pour le Brésil, avec l'intention de renverser son gouvernement et de le remplacer par un gouvernement collabo pro-unipolaire.
De nombreux observateurs se grattent la tête en se demandant comment décrire ce dont ils sont témoins au Brésil, et alors que l'on est face aux évidences d'une révolution de couleur, il serait inexact de la décrire uniquement à travers le prisme de cette définition. Dans le même ordre d'idées, alors qu'elle a été assimilée à une guerre hybride, elle ne correspond qu'aux aspects classiques informationnels / économiques de ce terme, et cela ne satisfait pas vraiment les prérequis d'un changement de régime avec une transition progressive d'une révolution de couleur à une guerre non conventionnelle (ou du moins pas encore). De même, alors qu'il y a certainement un coup d'État constitutionnel en cours, ce n'est également pas complètement cette forme de changement de régime non plus. Au contraire, il y a des éléments des trois stratégies en jeu, et ils interagissent dans une dynamique unique, qui pourrait représenter le dévoilement d'une nouvelle approche structurée visant à subvertir les principaux États multipolaires. Ce qu'il est important de souligner, c'est que l'ensemble de l'opération a été mis en mouvement à la suite de renseignements précieux que la NSA avait glanés au sujet des grandes entreprises du Brésil, et plus tard utilisés comme catalyseur pour un changement de régime, ce qui signifie que pratiquement tous les pays dans le monde sont potentiellement vulnérables à cette sorte de déstabilisation asymétrique.
Le véhicule clé exerçant une pression sur la présidente Rousseff n'est pas le mouvement de la Révolution de couleur, lui-même une conséquence de la Révolution de Cachemire, sur le retour de laquelle l'auteur vous avait mis en garde l'été dernier, mais les tentatives de coup d'État constitutionnel qui sont orchestrés pour lui enlever du pouvoir. Il est important de se rappeler que ceux-ci reposent sur une enquête anti-corruption qui, comme Pepe Escobar l'a souligné à plusieurs reprises, est à sens unique et que la cible est le parti au pouvoir. Il a été révélé en septembre 2013, dans le cadre des fuites de Snowden, que la NSA espionnait Petrobras, la société au cœur du scandale du coup d'État constitutionnel, qui soulève à son tour la possibilité que les États-Unis aient obtenu des informations compromettantes sur les activités de corruption présumées des principaux dirigeants du parti au pouvoir et qu'elle attendait le bon moment pour les utiliser.
Cela ne devrait pas être considéré comme une coïncidence que l'enquête anti-corruption Car Wash ait débuté 6 mois après mars 2014, qui correspond au lancement du 6e Sommet des BRICS à Fortaleza au Brésil, cet été là. Au cours de cette grande manifestation internationale, les dirigeants multipolaires se sont engagés à créer une architecture financière alternative, qui sera plus tard connue sous le nom BRICS/New Development Bank et officiellement mise en place un an plus tard à Ufa. A l'époque, Car Wash n'était pas assez grand pour faire dérailler tout cela, mais ce n'était pas non plus censé être une bombe immédiate. Au lieu de quoi, cette opération a peut-être été conçue comme une bombe à retardement qui a été pré-planifiée pour se déclencher à une date ultérieure, que Dilma Rousseff soit restée au pouvoir ou non. Le lecteur doit se rappeler qu'elle n'a remporté que de justesse sa réélection, et si elle ne l'avait pas été, alors on pourrait imaginer que c'est l'opposition qui serait impliquée ou aurait discrètement subi un chantage sous la menace de révélations.
Après tout, Car Wash est un scandale anti-corruption avec des œillères, qui néglige volontairement le ciblage des partis d'opposition et vise uniquement la classe au pouvoir, quel que soit celle qui aurait pu y être. Dans le cas de Rousseff et du Parti des travailleurs, ils sont ciblés par un changement de régime, alors que le Parti social-démocrate brésilien, son rival électoral en 2014, aurait été la cible de chantage afin de garder le pays en ligne avec les préceptes stratégiques américains. D'une façon ou une autre, après avoir lancé l'inquisition Car Wash, les États-Unis allaient l'exploiter selon la situation du moment, en vue d'atteindre et de maintenir son emprise sur le pouvoir de l'establishment politique brésilien. Comme Dilma Rousseff a gagné sa réélection alors que l'enquête était toujours en cours et loin d'être terminée, il apparait inévitable, avec le recul, que cette enquête serait utilisée comme une arme pour renverser son gouvernement et lancer un coup d'État constitutionnel.
Coups d'État constitutionnel et révolutions colorées
Une fois Rousseff impliquée (encore plus face à l'opinion publique) pour son appartenance présumée et son implication dans Car Wash, les éléments pro-américains embarqués en faveur du changement de régime du gouvernement brésilien sont entrés en action pour lancer la procédure de coup d'État constitutionnel contre elle. En lui-même et présenté comme une enquête anti-corruption biaisée, le coup d'État constitutionnel n'avait aucune apparence de légitimité nationale ou internationale, qui aurait nécessité un mouvement dramatique afin de le justifier. Ce fut le rôle que la naissante Révolution colorée devait jouer, puisque sans des dizaines de milliers de personnes dans la rue, ce coup ne pouvait avoir aucune prétention à servir la démocratie dans son acte d'accusation. Au lieu de cela, la main des États-Unis dans cette opération a été encore plus flagrante que lors du dernier coup d'État constitutionnel en Amérique latine, en 2012 au Paraguay. En outre, le Brésil n'est pas le Paraguay - c'est une puissance multipolaire de premier rang et une nation beaucoup plus grande que son voisin enclavé, et pour réaliser un changement de régime, il faut plus de finesse et de manipulation, via des relations publiques au Brésil, qu'il n'en a fallu au Paraguay.
Par conséquent, la révolution de couleur en elle-même n'a pas réussi a faire pression sur le gouvernement Rousseff, ou à obtenir des concessions de son leadership. L'ensemble de l'opération de changement de régime contre elle, reste basé sur le coup d'État constitutionnel, qui est lui-même déguisé derrière la révolution de couleur qui a attiré l'attention normative de la plupart des médias pro-unipolaires du monde. Ceci peut être prouvé par la couverture médiatique abondante donnée aux milliers de personnes qui protestent contre elle et le ralliement autour d'un canard géant gonflable jaune, par rapport au manque considérable d'attention accordée au rôle de la NSA comme catalyseur dans l'enquête sur la corruption liée à Petrobras. De toute évidence, la raison en est que les États-Unis sont engagés dans un effort concerté pour déplacer le dialogue international de la question des origines de la crise politique à la légitimité normative du pouvoir de Rousseff, impliquant fortement que les manifestants de la Révolution de couleur, en quelque sorte, invalident sa réélection démocratique et légitime, et compensent normativement les transactions louches du coup d'État constitutionnel qui sont utilisées contre elle.
Un risque accru de guerre hybride
À l'heure actuelle, il semble que le coup constitutionnel - révolution colorée en deux étapes pourrait réussir à virer Dilma Rousseff et à la remplacer par le vice-président Michel Temer, qui était déjà en train de s'entraîner pour son discours à la nation post-coup d'État, d'après une fuite récente. Si cela se produit, alors il n'y aurait aucune raison pour que les États-Unis n'intensifient pas leur opération de changement de régime après une guerre hybride, en incitant à une guerre non conventionnelle, mais il pourrait involontairement arriver que les partisans de Rousseff prennent les armes dans le cas où elle soit renversée. Si cela devait arriver, le pays serait certainement jeté dans une guerre hybride de basse intensité, bien que ce développement se produise anormalement après que les États-Unis aient obtenu un succès dans leur mission et non à l'avance, ce qui dans ce cas pourrait les prendre de court, mais cela est impossible à prédire avec précision pour le moment.
Cependant, étant donné le point auquel l'aile gauche est aimée par des millions de personnes démunies au Brésil et en prenant comme indicateur leurs camarades armés au Venezuela, des personnes de gauche pourraient former des milices afin de se protéger contre tout coup d'État à venir. Se souvenant du niveau étonnant de criminalité qui existe déjà à l'intérieur du pays, il est prévisible que les militants anti-putschistes ou insurgés, puissent facilement se procurer toutes les armes dont ils auraient besoin pour créer une agitation déstabilisatrice. En outre, l'UNASUR a laissé entendre qu'elle pourrait ne pas reconnaître la mise en accusation de Rousseff, ce qui pourrait accorder un degré supplémentaire de soutien normatif à des milices qui s'agiteraient en son nom.
D'autre part, si le processus de changement de régime n'aboutit pas au moment des Jeux Olympiques d'été à Rio et qu'une chose ou une autre arrive à le faire dérailler (par exemple, le Sénat ne vote pas pour poursuivre le processus de mise en accusation), alors il y a un chance que les États-Unis puissent encourager le terrorisme d'extrême-droite contre le gouvernement. Cela aurait pour objectif de provoquer un incident international qui déstabilise le gouvernement brésilien, encore plus que maintenant, précisément au moment où il aurait besoin de la meilleure couverture médiatique qu'il puisse obtenir, et quand il serait le plus vulnérable à une vague de condamnation médiatique unipolaire contre lui. Vu sous un autre angle, si le complot contre Rousseff réussit avant les Jeux, avec ou sans l'avènement de tout mouvement rebelle anti-changement de régime, alors certains pays pourraient choisir de boycotter les Jeux olympiques, afin de montrer leur solidarité avec le gouvernement légitime qui a été illégalement déchu. Cela ne modifie pas les faits sur le terrain, mais ce serait une déclaration forte et symbolique du soutien qui pourrait encourager la naissance de quelques mouvements armés de résistance.
Pour conclure
En évaluant la stratégie américaine de changement de régime contre Rousseff, il est évident que les découvertes de la NSA ont été utilisées pour déclencher les procédures juridiques liées au coup constitutionnel qui a été justifié normativement par la Révolution de couleur pré-planifiée (une continuation de la soi-disant Révolution de Cachemire de 2014). Les protestations n'ont jusqu'à présent pas abouti à un quelconque degré de pression important sur le gouvernement, malgré leur grande taille, avec la seule force tangible anti-gouvernementale venant de l'enquête légale qui a été lancée contre la présidente brésilienne. Rien à ce niveau n'indique que le gouvernement soit menacé par des activistes dans la rue, bien que tout indique qu'il soit totalement déstabilisé par la conspiration Car Wash dirigée contre Roussef.
Bien qu'il n'y a pas de traces de guerre hybride discernables jusqu'à présent (comme dans la définition du changement de régime par l'auteur de ce concept), cela n'exclut pas qu'elles apparaissent dans un proche avenir, que la guerre hybride soit menée par des terroristes d'extrême-droite anti-gouvernementaux ou par des pro-gouvernementaux qui s'insurgeraient contre le coup d'État. Il n'y a aucune garantie non plus que cela se produira, mais la possibilité ne peut être exclue totalement et cette éventualité doit être préparée par les deux côtés. Peu importe ce qui se passera finalement au Brésil, le scénario de changement de régime est en cours, il est emblématique d'un nouveau type d'interaction subversive entre la NSA, les acteurs du coup d'État constitutionnelet les révolutionnaires colorés, et cela pourrait fâcheusement préfigurer une tendance de déstabilisation à l'échelle des États, qui pourrait bientôt être déployée ailleurs contre d'autres cibles multipolaires.
Ce qui se passe au Brésil (comme au Venezuela) et qui pourrait touché pratiquent tous les pays du monde (!!!) est que ce sont les Centrales d'Achats qui font 'la pluie ou le beau-temps' !!! Multinationales qui achètent à prix sous le plancher et revende... ou pas !! leurs produits !!
Cela prive donc un jour les supermarchés de millions de rouleaux de papiers toilette* ou, un autre jour de bouteilles d'eaux ou de laits ou de viandes ou...etc, etc !!!
C'est ainsi que TOUT UN PAYS sombre momentanément dans la pénurie/peur panique.
* Papier-toilette qui est instantannémnt remplacé par des journaux où les quotidiens au Vénézuela comptent 120 pages en semaine et 150 le W-E ! (hahahaha !)
C'est donc là une forme de guerre 'hybride' comme l'envahissement payé par des pays étrangers pour inonder des pays de terroristes armés en attente d'entrer en action s'ils n'ont pas TOUT DE SUITE ce qu'ils demandent !!!
C'est ainsi que d'une part ils reçoivent chacun (adultes ou enfant) 670 €/mois + allocations diverses + soins gratuits + retraites sans avoir cotisé un seul jour !!!! et, de plus ! la dictature monarchique de Bruxelles entendrait faire payer jusqu'à 250 000 € à un pays qui refuserait de laisser rentrer un terroriste !!!
Le crépuscule du mouvement sur le réchauffement climatique ?
Mario Loyola, commenté par Judith Curry. le 6 mai 2016 dans Environnement
Le mouvement écologiste et politique autour du réchauffement climatique doit radicalement se remettre en cause au plus vite. Voici des extraits du long article intitulé Green Idols : Twilight of the Climate Change Movement écrit pour The National Interest par Mario Loyola :
La face cachée de l’accord de la COP21
Le sommet climatique de l’ONU à Paris fin 2015 s’est achevé par un feu d’artifice. Les gouvernements du monde ont promis des coupes radicales dans les émissions de carbone. Les pays riches ont promis un coup de main aux pays pauvres avec 100 milliards de dollars par an pour les aider. Tout le monde est d’accord pour voir là un résultat historique majeur.
Puis vint le croustillant : l’accord n’est pas contraignant. Le secrétaire d’État John Kerry assura sur Meet the Press de la NBC que la conformité serait imposée par « l’arme puissante » de l’humiliation publique, impliquant apparemment une politique de confrontation verbale avec les États défaillants. Le scientifique danois Bjorn Lomborg qualifia l’accord de Paris comme « le plus coûteux de l’histoire » si appliqué. Selon Lomborg, l’accord « réduirait les températures d’à peine 0,05 degrés Celsius (0,09 degrés Farenheit) d’ici 2100… »* ; c’est tout simplement du théâtre politique, destiné à nous convaincre que nos chefs s’attellent sérieusement à la tâche… un geste incroyablement coûteux mais presque inopérant. Jim Hansen, scientifique de la NASA, ** un des premiers partisans de l’idée que le réchauffement global est d’origine humaine, qualifia l’accord de « foireux, contrefait » et « d’escroquerie ».
Échec de la COP21 : la faute à qui ?
L’évaluation de Hansen est probablement proche de la vérité ; et lui et ses amis n’ont qu’à s’en prendre à eux-mêmes. Bien que ceux qui remettent en cause l’existence même d’un réchauffement global puissent être directement mis de côté, les alarmistes ont été bien trop prompts à écarter les questions légitimes sur l’importance du réchauffement climatique. En fait, ils ont fréquemment qualifié de telles questions d’hérésies à persécuter, adoptant une mentalité encore plus agressivement anti-scientifique que ce dont ils accusent les autres.
En même temps, du côté politique, la demande des alarmistes pour un contrôle économique mondial, y compris un plafonnement des carburants fossiles, est largement recyclée des précédentes modes scientifiques catastrophiques, comme la peur de la pénurie de pétrole de la fin des années 70. En dépit des énormes coûts qu’imposeraient ces politiques, particulièrement sur les pays pauvres, elles ne feraient pratiquement rien pour stopper le changement climatique d’origine humaine, et encore moins protéger quiconque de l’incessant changement climatique naturel qui est l’une des principales et inévitables caractéristiques de notre planète. Elles détournent aussi l’attention des investissements qui rendraient la société moins vulnérable au changement climatique.
Ne vous laissez pas avoir par la fanfare parisienne : le mouvement du changement climatique va se voir confronté à de gros problèmes. Ses propositions principales contiennent deux erreurs majeures qui ne deviendront que davantage voyantes avec le temps. D’abord, dans un contraste saisissant avec la croyance populaire et les déclarations publiques des officiels gouvernementaux et de nombreux scientifiques, la science sur laquelle sont basées les terribles prédictions de changement climatique anthropique est très loin du niveau de compréhension ou de certitude que le discours populaire lui attribue. Ensuite, et concomitamment, l’adoption par le mouvement d’une forme absolue de principe de précaution dénature l’analyse rationnelle coût-avantage, ou l’évacue totalement par la fenêtre.
La bonne stratégie pour faire face aux défis environnementaux devra être basée sur des incentives et des mécanismes de marché, une analyse coûts-avantages rationnelle, et un large consensus sur l’importance vitale d’une économie efficace. Les stratégies qui faussent l’analyse coûts-avantages rationnelle (ou la science sur laquelle elle est basée) pour arranger un agenda anti-économique ne marcheront pas et peuvent seulement maintenir l’illusion d’une légitimité jusqu’à ce qu’elles soient discréditées.
Le changement climatique est réel ***
Dans le discours politique, il est souvent nécessaire de simplifier des sujets politiques pour les rendre accessibles au débat public. Mais trop de simplification peut avoir pour effet de troubler le débat public, comme cette malencontreuse déclaration lors du discours sur l’État de l’Union du Président Obama : « Le débat est clos. Le changement climatique est réel. » Bien sûr, le changement climatique est réel. Le climat change perpétuellement. Seul le plus stupide des détracteurs du Président pense autrement, et cela n’aide pas sa cause de démontrer qu’il peut être aussi idiot.
Il est parfaitement évident que la planète s’est refroidie et réchauffée au long des siècles. Il est aussi irréfutable qu’au moins une part significative de ce réchauffement est attribuable au dioxyde de carbone issu de la combustion des carburants fossiles depuis le milieu du XX° siècle.**** Il y a une bonne raison scientifique de croire que cet accroissement de la concentration de gaz à effet de serre constitue presque certainement une contribution nette au réchauffement global. Mais des questions cruciales demeurent à propos de l’importance relative des facteurs naturels qui influencent le climat. Le Président a cependant tort en ce sens que pour ce qui est des questions scientifiques les plus importantes, le débat ne fait que commencer.
Le débat public est dominé par des déclarations simplistes affirmant que le « changement climatique est d’origine humaine » ce qui amène chacun à penser que toute la tendance actuelle au réchauffement est due à l’homme. Mais presque tous les scientifiques du climat s’accordent pour dire que de nombreux facteurs influencent les températures, y compris des variations majeures dans la circulation océanique, des variations de l’orbite de la Terre, de l’activité solaire et de l’activité volcanique. La « déclaration d’attribution » dans le dernier rapport d’évaluation du GIEC est prudemment formulée : « Il est très probable que plus de la moitié de l’augmentation observée de la température moyenne globale de 1951 à 2010 a été causée par l’augmentation des GES et autres forçages anthropiques. »
La différence entre « plus de la moitié » (le résumé de la littérature scientifique du GIEC) et « tout » ou « presque tout » est cruciale du point de vue de la politique publique. Si seulement la moitié environ du réchauffement observé est due à l’activité humaine, l’analyse coûts-avantages des politiques actuellement proposées est plus que douteuse, et révèle un autre problème : si pratiquement la moitié de la tendance actuelle (quelle qu’elle soit) au réchauffement est due à des causes naturelles, les politiques actuelles seront sans effet.
Ceci met en lumière une fonctionnalité auto-corrective importante dans le développement de la science du climat. Oui, il est vrai que nombre de journaux rejettent les articles critiquant le consensus ambiant, et que des priorités de financement renforcent lourdement ce consensus. Mais même le puissant biais en faveur de conclusions pressantes, qui a été introduit dans la recherche scientifique par la politisation persuasive du problème, ne peut inventer facilement de fausses données. Chaque année apporte plus de données brutes que l’année précédente, et l’écart entre les nouvelles données et les simples modèles climatiques augmente.
Les alarmistes disent qu’on doit s’attendre à des écarts, et que les modèles peuvent être affinés. Mais ils se sont eux-mêmes enfermés à tort dans des certitudes alors que des incertitudes considérables demeurent. L’incertitude sur les risques n’est pas nécessairement fatale à une politique de précaution, mais revendiquer de fausses certitudes finit par l’être tôt ou tard. Rappelons-nous la guerre d’Irak et la non-existence des armes de destruction massives de Saddam.
Il y a une grande différence entre admettre que le gazcarbonique anthropique est une cause du réchauffement global actuel, et affirmer qu’il est responsable de pratiquement tout le réchauffement global en cours. Nombre de scientifiques du climat qui admettent que l’homme contribue au réchauffement global sont sceptiques quant aux pronostics de changement climatique catastrophique.
Ce flou des limites entre recherche et plaidoyer trouble le public et laissent les scientifiques désarmés face à des accusations de malhonnêteté professionnelle. Le fait que la vision apocalyptique d’une catastrophe imminente fasse partie de l’orthodoxie obligatoire donne au mouvement une tonalité quasi religieuse, et amène à la persécution des « sceptiques » comme hérétiques.
Des politiques révolutionnaires contre le changement climatique […] Les Américains de l’ensemble du spectre politique pourraient admettre que les preuves scientifiques du changement climatique justifient certaines mesures de précaution, et que la nature est une valeur importante. Mais avec tant d’alarmistes, de Bill McKIbben à Naomi Klein appelant à la fin du capitalisme comme nous le savons, le débat tend à dérailler dès le départ.
Les alarmistes du climat veulent-ils éliminer l’impact humain sur le climat, quel que soit ce que ferait le climat autrement ? Ou essayent-ils d’éliminer le changement climatique lui-même quelle qu’en soit la cause ? Les paroles confuses d’Obama pour sauver la planète semblent éluder plutôt que clarifier si c’est réellement la planète qui a besoin d’être sauvée de l’humanité, ou l’humanité qui a besoin de se sauver d’elle-même.
La question n’est pas passée inaperçue. Sur Slate, Joseph Romm concède que la planète se portera bien quoi que nous fassions, donc nous devrions être plus inquiets pour nous-mêmes. Nous vivons sur une planète où l‘adaptation est une compétence nécessaire.
Imaginons que c’est parfaitement possible – qu’une seule percée technologique nous permette de contrôler la température moyenne globale. Pourrions-nous nous mettre d’accord sur ce que devrait être la température idéale ? La température moyenne globale actuelle est-elle idéale ? Beaucoup voudraient considérer cela comme admis, et les alarmistes du climat semblent le présupposer, mais la proposition ne va pas du tout de soi.
En lisant les rapports du GIEC, les alarmistes trouvent l’idée de s’adapter au changement climatique bien moins satisfaisante que celle de le prévenir. Mais leur fixation sur un contrôle économique mondial se ramène à une sorte d’ingénierie climatique parce que cela présuppose que l’humanité n’apprendrait pas à vivre avec une planète en changement. Ainsi nous devons croire que l’espèce la plus adaptative qui ait jamais existé, une espèce si sophistiquée qu’elle peut survivre dans l’espace, exige une température moyenne et un niveau marin absolument stable pour survivre. C’est un défi au sens commun.
La civilisation humaine fait face à de nombreux défis. Nous sommes face à un risque toujours présent de changement climatique dangereux du à des causes naturelles. Nous faisons face à une crise immédiate de perte rapide de l’habitat le plus précieux et essentiel, principalement en raison de l’agriculture et de l’abattage. Le futur nous apportera des défis supplémentaires pour lesquels nous nous trouverons bien moins préparés que nous n’aurions pu l’être. Ce qui est terrible c’est que nous n’accordons que très peu d’attention à ces risques, pour la simple raison qu’ils ne rentrent pas confortablement dans l’agenda essentiellement anti industriel des environnementalistes.
La conférence de Paris est parvenue à un accord sur un Fonds Climatique Global de $100 milliards pour aider les pays en développement à réduire leur empreinte carbone. L’argent serait bien mieux dépensé dans une assistance à l’adaptation, pour s’assurer que les sociétés pauvres préservent leur habitat essentiel tout en améliorant leur accès à ce dont elles auront besoin en cas d’événement climatique vraiment catastrophique : nourriture, eau, et carburants fossiles.
J’ai sélectionné environ le tiers de l’article de Loyola, surlignant les parties que j’ai trouvé les plus pertinentes. Cet article démontre une compréhension remarquable du débat public sur le changement climatique.
Je n’ai pas sélectionné les parties scientifiques. Loyola a mis en lumière la plupart des problèmes importants qui contribuent à l’incertitude majeure de la compréhension du changement climatique. Il a bien vu l’ensemble du tableau, sinon tous les détails.
J’ai mis en gras les remarques que j’ai trouvées les plus pertinentes, voici mes favorites.
L’incertitude sur les risques n’est pas nécessairement fatale à une politique de précaution, mais déclarer de fausses certitudes finit par l’être tôt ou tard.
La différence entre « plus de la moitié » (le résumé de la littérature scientifique du GIEC) et « tout » ou « presque tout » est cruciale du point de vue de la politique publique.
Ce sont deux points extrêmement importants que j’ai aussi essayé de faire, mais hélas pas aussi succinctement ou élégamment.
Il est bon de voir des autorités telles que Mario Loyola donner un point de vue sur le débat du changement climatique.
*(...) Selon Lomborg, l’accord « réduirait les températures d’à peine 0,05 degrés Celsius (0,09 degrés Farenheit) d’ici 2100… » (...) !!! L'ESCROQUERIE ! Parler de modification de température au centième comparativement au siècles précédents ou à ces dernières décennies où les centièmes n'étaient même pas pris en compte !!!
** (...) Jim Hansen, scientifique de la NASA, (...) Jim Hansen N'EST PLUS SCIENTIFIQUE DEPUIS BELLE LURETTE ! Car, pour l'être, il faut l'accord de ses pairs, et lui: ne l'a jamais eu !
*** (...) Le changement climatique est réel (...) Ce changement s'appelle saisons (depuis toujours !)
**** (...) Il est aussi irréfutable qu’au moins une part significative de ce réchauffement est attribuable au dioxyde de carbone issu de la combustion des carburants fossiles depuis le milieu du XX° siècle. (...) !!! 'au moins une part significative' n'a AUCUN SENS car le gazcarbonique ne peut pas être un gazui réchauffe ou même décrit comme 'gaz à effet de serre' alors que le gazcarbonique est le plus lourd de tous les gaz et se trouve au niveau du sol !
- Le dioxyde de carbone, aussi appelé gaz carbonique ou anhydride carbonique, ou CO² !
Vous pouvez dissoudre 1,7gr de gazcarbonique dans un litre d'eau (à 20 degrés). Ce n'est pas beaucoup, par contre en volume ça fait quand même 0,88 litre de gazcarbonique.
Rappelons qu'au 'COP21' de Paris AUCUN scientifique n'était admis et même... interdit de manifester à l'extérieur ! Le 'GIEC' n'est pas un comité scientifique (puisqu'il n'en regroupe aucun !! hahahaha !) et est une association de malfrats, d'escrocs en tous genres qui définissent entr'eux... le temps qu'il va faire !!! sans avoir fait la moindre étude ! Idem pour les politiciens de merde et journalistes de mes deux qui parlent de science sans avoir fait la moindre étude en ce sens !
Le Kenya s’apprête à fermer le camp de réfugiés le plus grand du monde
International 16:21 07.05.2016
Le gouvernement kenyan a rendu publique sa décision de fermer tous les camps de réfugiés du pays, en particulier, le complexe géant Dadaab hébergeant près de 300.000 personnes.
L'intention du gouvernement est annoncée par Karanja Kibicho, représentant du ministère kenyan de l'Intérieur. Une fois cette décision appliquée, près de 600.000 personnes seront laissées dans les rues, indique la chaîne américaine CNN. La plupart de ces migrants sont arrivés de Somalie qui est en proie à une guerre civile.
Les autorités kenyanes soulignent que leur décision a été prise car la présence des réfugiés dans le pays devient un grave problème économique. Par ailleurs, selon la déclaration de M.Kibicho, les camps de réfugiés renforcent la menace terroriste dans le pays.
Selon le représentant du ministère kenyan, cité par la chaîne CNN, le pays en est arrivé à cette décision en prenant en compte la sécurité nationale. Le gouvernement kenyan a appelé la communauté internationale à s'engager dans une responsabilité collective afin de suivre les besoins de centaines de milliers de personnes qui seront touchées par la fermeture des camps.
Les autorités du pays avaient déjà annoncé la fermeture de Dadaab en 2015, mais à l'époque cela n'était qu'une déclaration. Actuellement, elles partent en guerre contre ce camp de réfugiés dont la population est comparable à celle d'Helsinki ou de Wellington. Les autorités ont déjà dissout le département pour la migration. Cependant, le jour exact où les réfugiés devront quitter les camps n'est pas encore fixé.
Donc, il n'y a pas deux cas pour la patrie d'ObamasquéÔhéÔhé, car, le Kenya se verrait mal d'accorder 670 € par mois à chaque terroristes , ni 250 000 € par prisonnier non-accepté ! mais attend donc une main charitable capable de les envoyer vite-fait en Europe !
El Chapo utilisation or afin de transférer de l'argent hors des USA
Soumis par Tyler Durden le 06/05/2016 22:05 -0400
Avec les feux bleus clignotants et une équipe SWAT en face de l'entrepôt, une berline noire tiré vers le haut. Un homme est sorti, sauté le tronc, a attrapé une mallette et se dirigea vers Natalie Jewelry. Une fois là, l'homme a entendu pour dire "j'ai juste besoin de déposer cet or et obtenir un reçu. J'ai besoin d'un reçu."
C'est un récit de première main comment or a été livré à un magasin de bijoux de Miami par les cartels de la drogue, pour ensuite être fondu et vendu pour de l'argent.
Comme Bloomberg, rapports, documents judiciaires d'un procès fédéral à Chicago allèguent que le cartel de drogue de El Chapo Sinaloa blanchis des dizaines de millions hors des USA, pas par le biais de sociétés-écran secret câblage fonds de rive, mais de simplement acheter de l'or et de le vendre.
Voici comment la processus de blanchiment aurait travaillé. Quand le cartel de Sinaloa, nécessaire pour récupérer le produit de ses activités de drogue aux États-Unis au Mexique, il serait tout d'abord aller acheter des lingots d'or et d'autres morceaux de ferraille or (parfois plus d'argent) de magasins de bijoux et d'autres entreprises dans la région de Chicago. Ensuite, l'or serait mis dans des boîtes, et sous le nom de « Chicago Gold » ou parfois « Shopping Silver », embarquerions les boites par FedEx à une société près de Miami, appelé Natalie Jewelry.
Une fois que l'or est arrivé chez Natalie Jewelry, la deuxième étape de l'opération a été mises en branle. L'or serait ensuite vendu aux entreprises dénommés raffineries, qui ont fondu de l'or. La raffinerie se prennent une commission et renvoyer le reste du produit à Natalie Jewelry.
Maintenant est venu la partie difficile, qui devenait l'argent hors du pays et au Mexique. Cette partie de l'opération appelée pour un peu plus de créativité, le cartel de créer une entreprise au Mexique appelée De Mexique Metal Britannique. De Mexique Metal britannique serait une facture Natalie Jewelry, faisant apparaître qu'elle avait vendu l'or pour eux. Natalie Jewelry seraient à leur tour prennent leur commission et envoyer le produit final à De Mexique Metal Britannique.
Les factures fait l'ensemble de la transaction semble légitime, et cela a fonctionné pendant une période de temps, comme le cartel a réussi à blanchir un estimatif $ 98 millions à l'aide de ce processus. Toutefois, le Department of Homeland Security a finalement pris sur au régime. "Il y avait juste beaucoup trop d'or en passant par Miami" dudit agent retraité de DHS Lou Bock. Le fait que les dossiers des douanes américaines ont montré une grande quantité d'or qui est traitée par une compagnie à Miami, couplé avec le fait que pratiquement aucun bijoux ne sont faits à Miami, fait l'Agence très suspectes.
En janvier 2014, selon les rapports de douane montrant les différences entre le volume et la valeur de l'or traité par Natalie Jewelry, les agents fédéraux ont convergé sur le bureau situé dans un parc industriel au nord de Miami. Ils ont saisi en espèces et plusieurs centaines de kilos d'or et d'argent, ainsi que les documents liant la société pour le cartel de Sinaloa. * * * Ce régime incroyable a nous demander, avec le passage à bannir les liquidités du système afin de "rendre plus difficile pour les méchants", combien de temps jusqu'à ce que l'or est également interdite? Quelle excuse incroyablement pratique pour obtenir or hors circuit et sous le contrôle direct des planificateurs centraux.
« Si j'avais beaucoup d'argent pour blanchir, je choisirais or, » dit John Cassara, un ancien agent spécial du Trésor américain et auteur de livres sur le blanchiment d'argent. « Il n'est pas vraiment n'importe quoi d'autre comme elle là-bas. » Une fois qu'il est fondu, origines des marchandises sont difficiles à retracer. Il peut être rapidement converti en espèces. Beaucoup de compagnies qui s'occupent en or ne sont pas tenues selon les mêmes normes de conformité que les banques.
HAHAHAHA ! Fini les billets PQ de $500 ! Maintenant c'est du vrai, de l'or pur qui remplace !
Nota: L'or n'a JAMAIS été une valeur refuge ni ne le sera un jour. C'est pourquoi, discrètement, anonymement et SANS perte ni de confiscation vous pouvez échanger vos billets de banque qui n'ont aucune valeur contre des valeurs étrangères telles que la monnaie CFA (par exemple).
Le coup constitutionnel et la révolution colorée en deux étapes au Brésil
Par Andrew Korybko (USA) – Le 25 avril 2016 – Source Oriental Review
Le Brésil est au milieu d’une opération prolongée de changement de régime. Elle est documentée étape par étape par Pepe Escobar, dans ses articles pour Sputnik, RT et Strategic Culture Foundation. L’intention de l’auteur, ici, n’est pas d’entrer dans les spécificités de chacune des situations et de tous les détails derrière les techniques de guerre hybride des États-Unis, mais de fournir un aperçu général des stratégies qui sont en jeu et leur contribution à la théorie de la guerre hybride. Le Brésil est un champ de bataille important de la nouvelle guerre froide, et pas seulement en raison de sa multi-polarité institutionnelle, mais surtout en raison de son rôle dans une vision globale One Belt One Road des Routes de la soie chinoises.
Les Chinois ont annoncé l’année dernière qu’ils envisagent de construire le Twin Ocean Railroad, entre la côte Atlantique du Brésil et la côte Pacifique au Pérou, afin de faciliter le commerce trans-océanique entre les deux membres des BRICS et d’améliorer les capacités du commerce transcontinental de Brasília. Parce que ce méga projet est situé dans la sphère d’influence étasunienne, les exceptionnalistes obsédés par la doctrine Monroe ont accéléré leurs plans de changement de régime pour le Brésil, avec l’intention de renverser son gouvernement et de le remplacer par un gouvernement collabo pro-unipolaire.
De nombreux observateurs se grattent la tête en se demandant comment décrire ce dont ils sont témoins au Brésil, et alors que l’on est face aux évidences d’une révolution de couleur, il serait inexact de la décrire uniquement à travers le prisme de cette définition. Dans le même ordre d’idées, alors qu’elle a été assimilée à une guerre hybride, elle ne correspond qu’aux aspects classiques informationnels / économiques de ce terme, et cela ne satisfait pas vraiment les prérequis d’un changement de régime avec une transition progressive d’une révolution de couleur à une guerre non conventionnelle (ou du moins pas encore). De même, alors qu’il y a certainement un coup d’État constitutionnel en cours, ce n’est également pas complètement cette forme de changement de régime non plus. Au contraire, il y a des éléments des trois stratégies en jeu, et ils interagissent dans une dynamique unique, qui pourrait représenter le dévoilement d’une nouvelle approche structurée visant à subvertir les principaux États multipolaires. Ce qu’il est important de souligner, c’est que l’ensemble de l’opération a été mis en mouvement à la suite de renseignements précieux que la NSA avait glanés au sujet des grandes entreprises du Brésil, et plus tard utilisés comme catalyseur pour un changement de régime, ce qui signifie que pratiquement tous les pays dans le monde sont potentiellement vulnérables à cette sorte de déstabilisation asymétrique.
Le véhicule clé exerçant une pression sur la présidente Rousseff n’est pas le mouvement de la Révolution de couleur, lui-même une conséquence de la Révolution de Cachemire, sur le retour de laquelle l’auteur vous avait mis en garde l’été dernier, mais les tentatives de coup d’État constitutionnel qui sont orchestrés pour lui enlever du pouvoir. Il est important de se rappeler que ceux-ci reposent sur une enquête anti-corruption qui, comme Pepe Escobar l’a souligné à plusieurs reprises, est à sens unique et que la cible est le parti au pouvoir. Il a été révélé en septembre 2013, dans le cadre des fuites de Snowden, que la NSA espionnait Petrobras, la société au cœur du scandale du coup d’État constitutionnel, qui soulève à son tour la possibilité que les États-Unis aient obtenu des informations compromettantes sur les activités de corruption présumées des principaux dirigeants du parti au pouvoir et qu’elle attendait le bon moment pour les utiliser.
Cela ne devrait pas être considéré comme une coïncidence que l’enquête anti-corruption Car Wash ait débuté 6 mois après mars 2014, qui correspond au lancement du 6e Sommet des BRICS à Fortaleza au Brésil, cet été là. Au cours de cette grande manifestation internationale, les dirigeants multipolaires se sont engagés à créer une architecture financière alternative, qui sera plus tard connue sous le nom BRICS/New Development Bank et officiellement mise en place un an plus tard à Ufa. A l’époque, Car Wash n’était pas assez grand pour faire dérailler tout cela, mais ce n’était pas non plus censé être une bombe immédiate. Au lieu de quoi, cette opération a peut-être été conçue comme une bombe à retardement qui a été pré-planifiée pour se déclencher à une date ultérieure, que Dilma Rousseff soit restée au pouvoir ou non. Le lecteur doit se rappeler qu’elle n’a remporté que de justesse sa réélection, et si elle ne l’avait pas été, alors on pourrait imaginer que c’est l’opposition qui serait impliquée ou aurait discrètement subi un chantage sous la menace de révélations.
Après tout, Car Wash est un scandale anti-corruption avec des œillères, qui néglige volontairement le ciblage des partis d’opposition et vise uniquement la classe au pouvoir, quel que soit celle qui aurait pu y être. Dans le cas de Rousseff et du Parti des travailleurs, ils sont ciblés par un changement de régime, alors que le Parti social-démocrate brésilien, son rival électoral en 2014, aurait été la cible de chantage afin de garder le pays en ligne avec les préceptes stratégiques américains. D’une façon ou une autre, après avoir lancé l’inquisition Car Wash, les États-Unis allaient l’exploiter selon la situation du moment, en vue d’atteindre et de maintenir son emprise sur le pouvoir de l’establishment politique brésilien. Comme Dilma Rousseff a gagné sa réélection alors que l’enquête était toujours en cours et loin d’être terminée, il apparait inévitable, avec le recul, que cette enquête serait utilisée comme une arme pour renverser son gouvernement et lancer un coup d’État constitutionnel.
Coups d’État constitutionnel et révolutions colorées
Une fois Rousseff impliquée (encore plus face à l’opinion publique) pour son appartenance présumée et son implication dans Car Wash, les éléments pro-américains embarqués en faveur du changement de régime du gouvernement brésilien sont entrés en action pour lancer la procédure de coup d’État constitutionnel contre elle. En lui-même et présenté comme une enquête anti-corruption biaisée, le coup d’État constitutionnel n’avait aucune apparence de légitimité nationale ou internationale, qui aurait nécessité un mouvement dramatique afin de le justifier. Ce fut le rôle que la naissante Révolution colorée devait jouer, puisque sans des dizaines de milliers de personnes dans la rue, ce coup ne pouvait avoir aucune prétention à servir la démocratie dans son acte d’accusation. Au lieu de cela, la main des États-Unis dans cette opération a été encore plus flagrante que lors du dernier coup d’État constitutionnel en Amérique latine, en 2012 au Paraguay. En outre, le Brésil n’est pas le Paraguay – c’est une puissance multipolaire de premier rang et une nation beaucoup plus grande que son voisin enclavé, et pour réaliser un changement de régime, il faut plus de finesse et de manipulation, via des relations publiques au Brésil, qu’il n’en a fallu au Paraguay.
Par conséquent, la révolution de couleur en elle-même n’a pas réussi a faire pression sur le gouvernement Rousseff, ou à obtenir des concessions de son leadership. L’ensemble de l’opération de changement de régime contre elle, reste basé sur le coup d’État constitutionnel, qui est lui-même déguisé derrière la révolution de couleur qui a attiré l’attention normative de la plupart des médias pro-unipolaires du monde. Ceci peut être prouvé par la couverture médiatique abondante donnée aux milliers de personnes qui protestent contre elle et le ralliement autour d’un canard géant gonflable jaune, par rapport au manque considérable d’attention accordée au rôle de la NSA comme catalyseur dans l’enquête sur la corruption liée à Petrobras. De toute évidence, la raison en est que les États-Unis sont engagés dans un effort concerté pour déplacer le dialogue international de la question des origines de la crise politique à la légitimité normative du pouvoir de Rousseff, impliquant fortement que les manifestants de la Révolution de couleur, en quelque sorte, invalident sa réélection démocratique et légitime, et compensent normativement les transactions louches du coup d’État constitutionnel qui sont utilisées contre elle.
Un risque accru de guerre hybride
À l’heure actuelle, il semble que le coup constitutionnel – révolution colorée en deux étapes pourrait réussir à virer Dilma Rousseff et à la remplacer par le vice-président Michel Temer, qui était déjà en train de s’entraîner pour son discours à la nation post-coup d’État, d’après une fuite récente. Si cela se produit, alors il n’y aurait aucune raison pour que les États-Unis n’intensifient pas leur opération de changement de régime après une guerre hybride, en incitant à une guerre non conventionnelle, mais il pourrait involontairement arriver que les partisans de Rousseff prennent les armes dans le cas où elle soit renversée. Si cela devait arriver, le pays serait certainement jeté dans une guerre hybride de basse intensité, bien que ce développement se produise anormalement après que les États-Unis aient obtenu un succès dans leur mission et non à l’avance, ce qui dans ce cas pourrait les prendre de court, mais cela est impossible à prédire avec précision pour le moment.
Cependant, étant donné le point auquel l’aile gauche est aimée par des millions de personnes démunies au Brésil et en prenant comme indicateur leurs camarades armés au Venezuela, des personnes de gauche pourraient former des milices afin de se protéger contre tout coup d’État à venir. Se souvenant du niveau étonnant de criminalité qui existe déjà à l’intérieur du pays, il est prévisible que les militants anti-putschistes ou insurgés, puissent facilement se procurer toutes les armes dont ils auraient besoin pour créer une agitation déstabilisatrice. En outre, l’UNASUR a laissé entendre qu’elle pourrait ne pas reconnaître la mise en accusation de Rousseff, ce qui pourrait accorder un degré supplémentaire de soutien normatif à des milices qui s’agiteraient en son nom.
D’autre part, si le processus de changement de régime n’aboutit pas au moment des Jeux Olympiques d’été à Rio et qu’une chose ou une autre arrive à le faire dérailler (par exemple, le Sénat ne vote pas pour poursuivre le processus de mise en accusation), alors il y a un chance que les États-Unis puissent encourager le terrorisme d’extrême-droite contre le gouvernement. Cela aurait pour objectif de provoquer un incident international qui déstabilise le gouvernement brésilien, encore plus que maintenant, précisément au moment où il aurait besoin de la meilleure couverture médiatique qu’il puisse obtenir, et quand il serait le plus vulnérable à une vague de condamnation médiatique unipolaire contre lui. Vu sous un autre angle, si le complot contre Rousseff réussit avant les Jeux, avec ou sans l’avènement de tout mouvement rebelle anti-changement de régime, alors certains pays pourraient choisir de boycotter les Jeux olympiques, afin de montrer leur solidarité avec le gouvernement légitime qui a été illégalement déchu. Cela ne modifie pas les faits sur le terrain, mais ce serait une déclaration forte et symbolique du soutien qui pourrait encourager la naissance de quelques mouvements armés de résistance.
Pour conclure
En évaluant la stratégie américaine de changement de régime contre Rousseff, il est évident que les découvertes de la NSA ont été utilisées pour déclencher les procédures juridiques liées au coup constitutionnel qui a été justifié normativement par la Révolution de couleur pré-planifiée (une continuation de la soi-disant Révolution de Cachemire de 2014). Les protestations n’ont jusqu’à présent pas abouti à un quelconque degré de pression important sur le gouvernement, malgré leur grande taille, avec la seule force tangible anti-gouvernementale venant de l’enquête légale qui a été lancée contre la présidente brésilienne. Rien à ce niveau n’indique que le gouvernement soit menacé par des activistes dans la rue, bien que tout indique qu’il soit totalement déstabilisé par la conspiration Car Wash dirigée contre Roussef.
Bien qu’il n’y a pas de traces de guerre hybride discernables jusqu’à présent (comme dans la définition du changement de régime par l’auteur de ce concept), cela n’exclut pas qu’elles apparaissent dans un proche avenir, que la guerre hybride soit menée par des terroristes d’extrême-droite anti-gouvernementaux ou par des pro-gouvernementaux qui s’insurgeraient contre le coup d’État. Il n’y a aucune garantie non plus que cela se produira, mais la possibilité ne peut être exclue totalement et cette éventualité doit être préparée par les deux côtés. Peu importe ce qui se passera finalement au Brésil, le scénario de changement de régime est en cours, il est emblématique d’un nouveau type d’interaction subversive entre la NSA, les acteurs du coup d’État constitutionnel et les révolutionnaires colorés, et cela pourrait fâcheusement préfigurer une tendance de déstabilisation à l’échelle des États, qui pourrait bientôt être déployée ailleurs contre d’autres cibles multipolaires.
Andrew Korybko est un commentateur politique américain qui travaille actuellement pour l’agence Sputnik. Il est en troisième cycle de l’Université MGIMO et auteur de la monographie Guerres hybrides: l’approche adaptative indirecte pour un changement de régime (2015). Ce texte sera inclus dans son prochain livre sur la théorie de la guerre hybride.
Le livre est disponible en PDF gratuitement et à télécharger ici Note du Saker Francophone
Dans tous les cas de figure, on pourrait même voir le public brésilien et mondial siffler les sportifs américains à un niveau tel que la politique s'inviterait dans l'espace sportif. On pourrait aussi voir des marques de soutien plus ou moins explicites de sportifs à Dilma pour s'attirer les faveurs du public.
Traduit par Hervé, vérifié par Wayan, relu par nadine pour le Saker Francophone
Un premier cas de microcéphalie, une malformation de la boite crânienne affectant les nouveaux nés, liée au virus Zika, a été diagnostiqué en Espagne. Il s'agirait du deuxième cas détecté en Europe. L'Organisation mondiale de la santé craint une infection de plus grande ampleur avec l'arrivée de l'été et le retour des moustiques.
La crainte d'une épidémie se renforce. Un premier cas de microcéphalie associé au virus Zika a été diagnostiqué chez une femme enceinte en Catalogne, dans le nord-est de l'Espagne. Le deuxième en Europe, après celui diagnostiqué en Slovénie en février dernier.
"Le fœtus présente plusieurs malformations", a indiqué l'agence régionale de la Santé dans un communiqué. "La malformation a été identifiée entre les dix-neuvième et vingtième semaines de grossesse", et inclut "plusieurs malformations, dont la microcéphalie". Selon la presse locale, la patiente aurait décidé de ne pas interrompre sa grossesse.
"Ces symptômes provoquent de grandes difficultés, mais n'induisent habituellement pas la mort du fœtus", a précisé la gynécologue Elena Carreras. Les autorités n'ont donné aucune indication sur l'identité de la patiente, afin de protéger sa vie privée.
Des cas de malformations liés à Zika dans sept pays du monde
Le ministère espagnol de la Santé avait recensé, au 3 mai, 105 cas en Espagne dont 13 sur des femmes enceintes, tous importés d'un pays touché par l'épidémie. Environ 21,8% de la population étrangère résidant en Espagne est originaire d'Amérique latine et des Caraïbes, où sévit l'épidémie. Selon l'Organisation mondiale de la Santé, (OMS) sept pays dans le monde ont rapporté des cas de malformations liées au virus sur leur territoire, la majorité au Brésil.
La microcéphalie est une malformation grave et irréversible qui se caractérise chez les nouveaux-nés par une taille anormalement réduite du crâne et des déficiences neurologiques. L'épidémie de Zika, un virus transmis par le moustique Aedes aegypti, s'est déclarée en Amérique latine en 2015 et s'est rapidement étendue dans la région. Le pays le plus affecté est le Brésil, avec quelque 1,5 million de personnes touchées et près de 1300 cas de microcéphalie.
L'OMS a déclaré l'état d'urgence sanitaire à cause du lien entre le virus et l'augmentation des cas de microcéphalie chez les nouveaux-nés. Tous les cas déclarés en Europe sont pour l'heure importés de régions à risque, mais l'arrivée de l'été et l'apparition de moustiques pourrait provoquer une infection locale.
Commentaire : Concernant le virus : Zika, moustique OGM : petites expérimentations entre amis ? Virus Zika : les moustiques génétiquement modifiés à la base de l'épidémie ? Zika : cui bono ?
Pour la Russie et la Chine, c'est « accepter hégémonie américaine » ou « Aller à la guerre »
Soumis par Tyler Durden le 07/05/2016 22:15 -0400 Rédigé par Paul Craig Roberts, Somnolente Europe, Russie et Chine - Le monde peut réveiller ?
Le 19 septembre 2000, va sur ses 16 ans, Ambrose Evans-Pritchard du London Telegraph a rapporté:
"Les documents déclassifiés du gouvernement américain montrent que la communauté américaine du renseignement a mené une campagne dans les années cinquante et soixante d'élan pour une Europe unie. Il financé et dirigé le mouvement fédéraliste européen.
"Les documents confirment les soupçons ont exprimé au moment où l'Amérique travaille agressivement dans les coulisses pour pousser la Grande-Bretagne dans un État européen. Une note, datée du 26 juillet 1950, donne des instructions pour une campagne visant à promouvoir un véritable Parlement européen. Il est signé par le général William J. Donovan, chef de l'Office américaine pendant la guerre des Services stratégiques, précurseur de la CIA."
Les documents montrent que l'Union européenne était une créature de la CIA.
Comme je l'ai déjà écrit, Washington estime qu'il est plus facile de contrôler un gouvernement, l'Union européenne, que de contrôler plusieurs séparent les gouvernements européens. Comme un investissement à long terme dans l'orchestration de l'Union européenne a Washington, Washington est totalement opposé à n'importe quel pays sortant de l'arrangement. C'est pourquoi le président Obama s'est rendu récemment à Londres pour dire ses toutous, le premier ministre britannique, qu'il ne pourrait y avoir aucune sortie Britannique.
Comme d'autres pays européens, les Britanniques n'avaient jamais droit de vote si elles étaient en faveur de leur pays qui cesse d'exister et les européens devenant. Histoire de la Grande-Bretagne deviendrait l'histoire d'un peuple autrefois comme les Romains et les Babyloniens.
La nature oppressive des irresponsables lois européennes, de règlements et de l'exigence de l'UE d'accepter un nombre massif d'immigrants du tiers monde ont créé une demande populaire pour un vote britannique sur l'opportunité de rester un pays souverain ou de dissoudre et de soumettre à Bruxelles et ses décrets dictatoriaux. Le vote est prévu pour le 23 juin.
La position de Washington est que le peuple britannique ne doit pas être autorisé de décider contre l'UE, parce qu'une telle décision n'est pas dans l'intérêt de Washington.
Le travail du premier ministre consiste à effrayer le peuple britannique, avec des conséquences désastreuses présumées de « faire cavalier seul. » La réclamation est que « petite Angleterre » ne peut tenir seul. Les britanniques sont racontées qu'isolement sort leur fin et leur pays deviendra un remous contourné par le progrès. Tout grand va arriver ailleurs, et il seront laissés de côté.
Si la campagne de peur ne réussit pas et que le vote britannique pour quitter l'UE, la question ouverte est Washington permettra de savoir si le gouvernement britannique à accepter l'issue démocratique.
Par ailleurs, le gouvernement britannique trompera le peuple britannique, comme il fait régulièrement et déclarer que la Grande-Bretagne a négocié des concessions de Bruxelles qui dispose des problèmes qui préoccupent les citoyens britanniques.
Position de Washington montre que Washington croit fermement que les intérêts de Washington seuls comptent. Si d'autres peuples désirent conserver la souveraineté nationale, ils sont tout simplement être égoïstes. De plus, ils sont en situation de non-conformité avec Washington, ce qui signifie qu'ils peuvent être déclarés "une menace pour la sécurité nationale américaine". Les britanniques ne doivent ne pas être autorisés à prendre des décisions qui ne sont pas conformes aux intérêts de Washington. Ma prédiction est que le peuple britannique va être trompé ou substitué.
C'est l'égocentrisme de Washington l'auto-absorption, extraordinaire orgueil et l'arrogance, qui explique la « menace russe » orchestrée. La Russie n'a présenté elle-même à l'ouest comme une menace militaire. Pourtant, Washington fait face à la Russie avec un US / accumulation navale de l'OTAN en mer Noire, une accumulation de troupes et réservoir navale, dans les pays baltes et la Pologne, missile se fonde sur les frontières de la Russie et prévoit d'intégrer les anciennes provinces russes de Géorgie et l'Ukraine en nous la défense pactes contre la Russie.
Quand Washington, ses généraux et les vassaux européens déclare la Russie comme une menace, ils veulent dire que la Russie a une politique étrangère indépendante et agit dans son propre intérêt plutôt que dans l'intérêt de Washington. La Russie est une menace, parce que la Russie a démontré la capacité de bloquer l'invasion prévue de Washington de la Syrie et le bombardement de l'Iran. La Russie émoussé un des buts de coup d'état de Washington en Ukraine par pacifiquement et démocratiquement se réunissant avec Crimera, le site de la base navale de la mer noire de la Russie et une province russe pendant plusieurs siècles.
Peut-être vous vous êtes demandé comment il était possible pour les petits pays comme l'Irak, Libye, Syrie, Yémen, et le Venezuela d'être des menaces à la superpuissance américaine. À première vue la demande de Washington est absurde. Les États-Unis Présidents, Pentagone fonctionnaires, conseillers de sécurité nationale et Président du Joint Chiefs of Staff considère vraiment pays de si peu de capacité comme une menace militaire pour les Etats-Unis et l'OTAN pays ?
Non, ils n'ont pas. Les pays ont été déclarées des menaces, parce qu'ils ont ou avaient avant leur destruction, les politiques étrangères et économiques indépendantes. Leur indépendance politique signifie qu'ils ne le font pas ou n'acceptent pas l'hégémonie américaine. Ils ont été attaqués afin de les adapter sous l'hégémonie US.
En vue de Washington, n'importe quel pays avec une politique indépendante est en dehors de parapluie de Washington et, donc, est une menace.
Le Venezuela est devenu, selon les termes des États-Unis le président Obama, "une menace inhabituelle et extraordinaire pour la sécurité nationale et de la politique étrangère des Etats-Unis," nécessitant une "urgence nationale" pour contenir la "menace vénézuélienne" quand le gouvernement vénézuélien a mis les intérêts du peuple vénézuélien au-dessus de ceux des sociétés américaines.
La Russie est devenue une menace lorsque le gouvernement russe a démontré la capacité de bloquer les attaques militaires prévues de Washington sur la Syrie et l'Iran et quelle coup d'état de Washington en Ukraine n'a pas pu livrer, à Washington, la base navale russe de la mer Noire.
Clairement Venezuela ne peut-être menace militaire aux États-Unis, donc le Venezuela ne peut éventuellement poser une « menace inhabituelle et extraordinaire pour la sécurité nationale des Etats-Unis ». Parce que le gouvernement vénézuélien ne satisfait pas aux ordres de Washington, le Venezuela est une « menace ».
Il est absolument certain que la Russie n'a fait aucune menace que ce soit contre les pays baltes, Pologne, Roumanie, Europe ou aux Etats-Unis. Il est absolument certain que la Russie n'a pas envahi l'Ukraine. Comment savons-nous ? Si la Russie avait envahi l'Ukraine, l'Ukraine ne serait plus là. Il serait à nouveau une province russe où jusqu'à ce qu'il y a environ 20 ans l'Ukraine a résidé pendant des siècles, pendant plus de les Etats-Unis a existé. En effet, l'Ukraine appartient en Russie plus de Hawaii et les États du Sud déboussolés et conquis appartiennent aux États-Unis.
Pourtant, ces mensonges fantastiques depuis les plus hauts rangs du gouvernement américain, de l'OTAN, de laquais britannique de Washington, de l'acheté-et-payé-pour les médias occidentaux et de l'UE ont acheté-et-payé-pour sont répètent sans cesse, comme s'ils étaient la vérité révélée de Dieu.
La Syrie existe toujours parce qu'il est sous protection russe. C'est la seule raison la Syrie existe toujours, et c'est aussi une autre raison que Washington veut que la Russie à l'écart.
Do la Russie et la Chine se rendent compte de leur extrême danger ? Je ne pense pas que même l'Iran réalise son danger continue malgré son appel de close.
Si la Russie et la Chine réalisent leur danger, le gouvernement russe permettrait à un cinquième de ses médias d'être étrangers appartenant ? La Russie comprend-il cela signifie « foreign owned » CIA appartenant ? Si non, pourquoi ? Dans l'affirmative, pourquoi le gouvernement russe autorise son propre déstabilisation aux mains du service de renseignement de Washington par l'intermédiaire de médias étrangers ?
La Chine est encore plus insouciante. Il y a 7 000 financés par les États-Unis ONG (organisations non gouvernementales) présentes en Chine. Seulement le mois dernier le gouvernement chinois enfin bougea, très tardivement, à mettre des restrictions sur ces agents étrangers qui travaillent pour déstabiliser la Chine. Les membres de ces organisations de trahison n'ont pas été arrêtés. Ils ont simplement été mis sous surveillance de la police, une restriction presque inutile car Washington peut fournir sans fin argent à corrompre la police chinoise.
Russie et la Chine, pourquoi que leur police est moins sensible aux pots-de-vin que police du Mexique ou d'Amérique? Malgré la "guerre contre la drogue" pendant plusieurs décennies, le flux de drogue du Mexique aux États-Unis est sans entrave. En effet, les forces de police des deux pays ont un intérêt énorme dans la « guerre contre la drogue » car la guerre apporte leur richesse sous forme de pots de vin. En effet, comme le crucifié reporter pour le journal San Jose Mercury a prouvé il y a de nombreuses années la CIA elle-même est dans les affaires de trafic de drogue.
Aux États-Unis, vérité-scrutateurs sont persécutés et emprisonnés, ou ils sont rejetés comme « conspirationnistes », « antisémites » et « extrémistes nationaux ». L'ensemble du monde occidental se compose d'une dystopie bien pire que celle décrite par George Orwell dans son livre célèbre, 1984.
Que la Russie et la Chine autorisent Washington à exploiter dans leurs médias, dans leurs universités, dans leurs systèmes financiers et à des ONG « bienfaisance » qui s'infiltrent tous les aspects de leurs sociétés montre que les deux gouvernements n'ont aucun intérêt leur survie en tant qu'Etats indépendants. Ils ont trop peur d'être appelé « autoritaire » par les médias occidentaux presstitute pour protéger leur propre indépendance.
Ma prédiction est que la Russie et la Chine sera bientôt confrontée à une décision malvenue : accepter l'hégémonie américaine ou aller à la guerre.
Remarque : Le sacre prendre sur la transparence des médias russes à la propagande occidentale contre la Russie.
Guerre médiatique: les USA versent des millions pour dénigrer les succès russes en Syrie
21:19 07.05.2016
Le cessez-le-feu n'a pas réellement changé la donne en Syrie. Actuellement, le conflit a pris la tournure d'une guerre médiatique sans précédent, considère Patrick Henningsen, analyste géopolitique.
Sous la médiation de la Russie et des Etats-Unis, le cessez-le-feu partiel en vigueur en Syrie a été étendu mercredi à Alep, théâtre de combats entre les forces gouvernementales et des groupes armés.
Cependant, selon Patrick Henningsen, les chances sont minces pour que la trêve puisse changer la situation dans cette ville syrienne: les groupes extrémistes vont en profiter pour gagner du temps, obtenir des renforts et établir de nouvelles voies d'approvisionnement en remplacement de celles coupées par les raids de l'aviation russe, estime-t-il.
"Le problème réside dans le fait que peu importe que ce soit le Front al-Nosra, Ahrar al-Sham ou d'autres groupes terroristes sévissant en Syrie dans les zones contrôlées par les rebelles, ils sont omniprésents au sein de ladite opposition. Vous ne pouvez pas les séparer, c'est juste un jeu qui est en train de se faire", a indiqué l'expert dans un entretien à RT.
Bien qu'un processus diplomatique destiné à apporter une solution à la crise soit en cours, un tout autre jeu se passe "dans les coulisses" et les États-Unis le savent très bien, a pointé M. Henningsen.
Pour Patrick Henningsen, ce que les Etats-Unis sont en train de faire doit être qualifié de "stratégie de la confusion".
"Au fond, c'est fait pour dissimuler et couvrir la salle guerre qui se déroule actuellement en Syrie", a-t-il dit.
L'expert a également commenté les raisons possibles de Washington contestant les actions et les propositions de la Russie sur la Syrie.
"Je crois que la raison c'est la frustration. En octobre 2015, la Russie est arrivée avec un objectif clair et, selon les estimations de beaucoup de gens, cet objectif a été atteint. (…) Ceci a déçu tout le monde, car les Etats-Unis disaient que la Russie s'enliserait dans un bourbier, donc les histoires que crée le département d'Etat sont réduites en miettes", dit-il.
Et d'ajouter que les Etats-Unis avaient versé des millions de dollars dans ce qu'il appelle "Alep est en feu", une campagne médiatique dont le but est d'y arrêter les bombardements, comme c'était le cas avant avec la zone d'exclusion aérienne.
Une guerre médiatique sans précèdent est en train de se dérouler.
Mauvais tour du subconscient: le libre arbitre remis en cause
21:02 07.05.2016
Les scientifiques américains de l’Université de Princeton ont effectué une recherche qui a mis en cause l’existence du libre arbitre. Cette capacité qui est souvent considérée comme un des éléments essentiels de la vie humaine n’est peut-être qu’une illusion.
Adam Bear et Paul Bloom, auteurs de l'étude concernée, ont publié leurs résultats dans la revue Psychological Science. M.Bear a également expliqué les particularités de leur recherche dans son blog sur le site Scientific American.
Selon la déclaration des chercheurs dans un commentaire sur leur étude, ils s'étaient concentrés sur la possibilité qu'un choix apparaisse dans le subconscient humain bien avant qu'il soit pris en réalité.
Selon M.Bear, il est probable qu'au moment de faire un choix, le cerveau humain réécrive l'histoire afin de tromper son porteur: ce dernier se met à penser que ce choix a été pris dès le début, bien qu'en réalité, il a été sélectionné après analyse de ses conséquences au niveau du subconscient.
Les chercheurs avaient la possibilité de vérifier leur hypothèse avec une expérience qui était concentrée autour du choix des images fait par les participants. Les scientifiques ont finalement conclu qu'une partie des participants considéraient leur choix incorrectement. Les chercheurs estiment qu'il s'agit d'un exemple d'une illusion courte qui fait croire au libre arbitre.
Tout çà pour dire que l'on serait incapable de penser, d'avoir son propre-avis et donc: qu'il faut écouter les merdias qui sont des bons dictateurs de merde (avec du sucre par dessus ?)
Proche-orient et Afrique du nord: vers une catastrophe climatique ?
18:56 07.05.2016
Les changements climatiques menacent une partie importante du proche-orient et de l’Afrique du nord. Selon une étude des scientifiques allemands et chypriotes, ces changements sont capables de provoquer des migrations de masse vers le milieu du XXIe siècle. La crise migratoire actuelle qui a des origines politiques pourrait prendre une autre dimension dans plusieurs décennies. Bien que 175 pays ont signé, fin avril dernier, un accord sur la réduction d'émissions dans l'atmosphère, les auteurs de l'étude estiment que les engagements pris ne sont pas suffisants pour éviter une vraie catastrophe climatique, annonce la société allemande Max Plank.
La recherche effectuée montre qu'au proche-orient et en Afrique du nord, vers 2050, en été, les températures moyennes pourraient atteindre 46°C le jour et au moins 30°C la nuit ce qui représente d'ailleurs un scénario optimiste.
Les chercheurs estiment que les jours marqués par des températures extrêmement élevées seront cinq fois plus nombreux dans ces régions qu'aujourd'hui. Vers la fin du XXIe siècle, la température lors des jours les plus chauds pourrait atteindre 50°C. Le nombre de ces journées pourrait considérablement augmenter.
Les conditions de vie au Proche-Orient et en Afrique du nord pourraient également se détériorer à cause de la baisse de la qualité de l'air. La poussière, en provenance des déserts, apportée par les vents serait capable d'inonder ces régions.
Des prévisions formulées dans 26 modèles climatiques, s'appuyant sur des informations recueillies de 1986 à 2005, ont été comparées par les chercheurs. Bien que le scénario correspondant aux buts fixés lors du sommet climatique soit également possible, le destin des régions menacées pose encore des questions.
Des changements climatiques négatifs ont déjà marqué la vie quotidienne au Proche-Orient et en Afrique du nord. En particulier, ces régions avaient été confrontées à une augmentation du nombre des jours chauds. Des centaines de millions de personnes habitent dans ces zones. Une vague migratoire potentielle liée à une catastrophe climatique pourrait être énorme.
Après les faux réfugiés de guerre, voici arriver les faux réfugiés du climat !!!
Avec des mots comme 'menace' ! 'les températures moyennes pourraient atteindre', etc l'emploi du supositif de l'imparfait au conditionnel présent est toujours la menace appliquée de faire croire aux idiots que la mer monte !
Google a accès aux dossiers médicaux de millions de patients britanniques
Reeva Verlinden 6 mai 2016
Un document obtenu par New Scientist révèle que le Service National de Santé de Grande-Bretagne (NHS) a donné accès à Google aux dossiers médicaux d’un nombre conséquent de patients. Le document, un accord de partage de données entre DeepMind, le département d’intelligence artificielle de Google et le Royal Free NHS Trust, stipule que Google a accès à 5 ans de données de santé des 1,6 million de patients passant annuellement par trois hôpitaux gérés par le NHS. On y trouve notamment les noms de patients HIV positifs, victimes d’overdoses ou ayant avorté.
DeepMind conçoit une application destinée au suivi médical des patients souffrant des reins mais, comme ces données ne sont pas séparées des autres, un accès total lui a été donné, pour autant que la firme n’utilise les informations dans aucun autre but et qu’elle détruise l’ensemble des copies.
La base SUS
DeepMind a aussi accès à SUS, la base de données centralisée de tous les traitements réalisés dans les hôpitaux britanniques, car elle développe également une plateforme destinée à conduire des analyses en temps réel d’aide aux diagnostics.
L’idée est de construire un algorithme générique de prédictions de santé basé sur les tests existants, ce qui donnerait un grand contrôle de l’analytique médicale à Google.
Bien que les données soient protégées et même si les copies de DeepMind seront détruites, ces informations ont une énorme valeur marchande et Google a tout le temps de les analyser avant de les détruire…
J'ai pu (tout-à-l'heure) visionner une émission de FR3 (présentée par Élise Lucet) sur... "La montée des eaux " ! (en France). Et donc, des océanographes avaient été invités à se camper au bord de la Méditerranée et Atlantique pour voir (à marée basse)à si l'eau avait monté.
Or, les caméramens de la télé... ne se sont contenté que de filmer les niveaux des pieux (où l'un affiché 7 m de profondeur) sans dire lors du dit-reportage... si la mer avait monté !!! (sur quoi ? hahahaha !). Et (alors là accccccccrochez-vous bien !!:) ils révèleront les résultats... qu'en fin d'années !!! HAHAHAHAHAHAHAHHAHAHA !
Ben oui quoi ! Faut dire qu'ils ont même parlé d'îles dans le Pacifique qui avaient disparu (sans citer leurs noms et endroits ! cause à l'érosion et non 'à la montée des eaux) et, s'ils avaient révélé que la mer était pareille qu'il y a un siècle... çà aurait donc mal foutu la reporter sur place en bottes en plastique et secouristes cachés, et, s'ils avaient dit qu'elle avait montée (la mer, pas la journaliste) des océanographes privés se seraient précipité pour voir et comparer leur données avec les escrocs officiels invités !
Hahahahaha ! C'est pourquoi, il faut du temps pour lisser les données, les corriger et AFFIRMER que OUI ELLE A MONTÉ ! d'un milliardième de millimètre ! Hahahaha !).
Soumis par Tyler Durden le 07/05/2016 19:45 -0400 Via le blog d'Eric Peters Autos,
Si les différents projets de Elon Musk sont tellement fabuleux, Iron Man, pourquoi ont-ils tous besoin tellement gouvernement « aider » ? Ne devrait pas Tesla – et Solar City et SpaceX – être capable de se tenir debout sur leurs mérites... s'ils ont vraiment du mérite ?
Tesla fanbois – et musc lui-même – vous dira tout sur les vertus de ses voitures électriques. Ils sont lisse et rapide. C'est vrai. Mais ils sont aussi chers (le modèle le moins cher, le modèle X en attente, sera apparemment commencer autour de $35 k, environ le même prix comme une berline de luxe comme la Lexus ES350) et sont livrés en standard avec un certain nombre d'importants déficits fonctionnels telle qu'une plage plus optimiste environ la moitié celle des voitures plus classiques et recharge fois au moins 4 - 5 fois aussi longtemps qu'il faudra à ravitailler une voiture conventionnelle.
Voilà si vous pouvez trouver une Tesla station « compresseur ».
Si ce n'est pas le cas, alors le temps de recharge devient heures plutôt qu'une demi-heure.
Mais le vrai problème avec les voitures de Tesla est que personne ne les achète en fait.
Eh bien, pas directement.
Leur fabrication est fortement subventionnée – et leur vente est fortement subventionnée
Quoi qu'il en soit, le contribuable (plutôt que "l'acquéreur") est celui qui obtient le projet de loi.
Sur la fin de fabrication, Tesla a obtenu $ 1,3 milliard dans spécial copinage capitaliste- « incitations » de l'état du Nevada pour construire son usine de batterie il. Cela inclut une exemption de l'obligation de payer des impôts fonciers (à la différence de toi et moi) pour les 20 prochaines années. Une autre incitation était $ 195 millions en crédits d'impôt transférables – que Tesla pouvait vendre pour de l'argent.
Californie fournit des incitatifs semblables – y compris $ 15 millions de l'Etat de Californie pour "créer des emplois" dans l'État.
Tesla n'a aucun argent en vendant des voitures, non plus.
Il gagne de l'argent en vendant des « crédits carbone » de vrais constructeurs automobiles qui font des véhicules fonctionnellement et économiquement viables qui peut et se vendent sur le fond – mais qui ne sont pas des véhicules "zéro émission", comme la Tesla électrique est prétendu être (mais n'est pas, en fait, à moins que vous ne comptez pas les émissions produites par les centrales qui fournissent l'électricité qu'ils courent sur ou les émissions produites minière les matériaux nécessaires pour faire des centaines de kilos de batteries requises par chaque voiture).
Lois dans neuf États (dont la Californie) exigent de chaque constructeur vendant des voitures dans l'état de vendre un certain nombre de véhicules « zéro émission », une autre amende. Depuis, seuls les voitures électriques sont admissibles en vertu de la Loi comme des véhicules « zéro émission » – et la majorité des voitures faites par les constructeurs automobiles réels n'est pas des voitures électriques – ils finissent par avoir à « acheter » (citations de l'air pour la même raison que vous êtes un « client » de l'IRS) ces « crédits carbone » de Tesla, subventionnement des opérations de Tesla et en ajoutant les frais de fabrication de leurs propres voitures fonctionnellement et économiquement viables.
Le montant de Tesla a « gagné » de cette façon est dans le quartier de $ 517 millions.
Tesla est un dernier cri sur la Reine bien-être. Ou plus exactement, la carte EBT – qui vise à chercher à une carte de crédit. Pour avoir l' apparence d'une opération légitime... par opposition à un paiement d'aide sociale.
Sous les paillettes et le sens du spectacle, c'est ce que tous les "Entreprises" de musc sont les propos. Ils sont tous dépendent entièrement sur le gouvernement – c'est-à-dire, contribuable "aide" – pour survivre.
Sans cette « aide », aucun de Tesla de musc ne pourrait survivre.
On estime que Tesla diverses entreprises – dont sa nouvelle opération de panneau solaire SolarCity et SpaceX – ont les contribuables de coût au moins $ 4,9 milliards, avec Tesla représentant environ la moitié de cette dole.
Et il a toujours perd de l'argent.
Musc fanbois va contrecarrer en soulignant que les autres entreprises, y compris l'industrie automobile, également obtenir « aide » du gouvernement (c'est-à-dire par les contribuables) qui est parfaitement vrai. Mais qui n'est pas vraiment une défense – beaucoup moins une réfutation de l'accusation, ce musc est un copinage capitaliste.
Qui est tous qu'il est.
La vraie différence entre les opérations de musc et ceux de General Motors dire est que les produits de General Motors sont fondamentalement viable étant de Tesla pas. GM est heureux d'accepter le gouvernement « aide » lors de l'offre, mais il n'est pas nécessaire pour les contribuables de financer la production de Corvettes – ni fournir des milliers de dollars en incitations en espèces à chaque acheteur éventuel afin de "stimuler" les ventes.
La straight dope est que Tesla ne pouvait pas construire une voiture seule sans l'aide du gouvernement. À emporter que « aider » et le coût réel serait si prohibitifs que pratiquement personne sauf peut-être camarades milliardaires comme musc avec argent à brûler sur les jouets achèterait une Tesla.
Comme il est – même avec des subventions massives au niveau de la fabrication et puis de nouveau au niveau du détail – chaque Tesla encore « vend » à une perte de plusieurs milliers de dollars par voiture... ajoutant jusqu'à presque $ 400 millions cette année (la compagnie vient d'annoncer cela ; voir ici).
La Tesla typique « acheteur, » en attendant, a un revenu annuel de plus de 250 000 $.
Pourquoi les contribuables – la majorité d'entre eux ne gagnent 250k $ – être taxés afin d'appuyer le « achat » de voitures exotiques électriques par des gens extrêmement riches ?
Pourquoi les contribuables devraient être apportées pour subventionner des "Entreprises" de musc ?
Il est un milliardaire.
Et – on nous dit constamment – un gars vraiment intelligent.
Sûrement il pourrait financer (ou trouver) les capitaux privés nécessaires pour financer ses différents projets. Le fait qu'il pourrait pas trouver privé – c'est-à-dire disposés – investisseurs, mais au contraire doit se fonder sur le pouvoir coercitif du gouvernement pour financer ses projets en dit long sur la valeur fondamentale de ses projets.
Il « réussit » uniquement en raison de sa capacité à jouer avec le système, ne pas en offrant des produits que les gens sont prêts à payer pour (à l'aide de leur propre argent, autrement dit).
L'image de Tony Stark vraie vie héroïque Nonobstant, musc est un opérateur – pas un créateur de valeur.
Il a plus en commun avec les oligarques capitalistes de vautour de l'ex-Union soviétique qu'avec l'homonyme de sa compagnie de voiture électrique.
Combien de liberté reste-t-il aux américains ?
RépondreSupprimerle 6 mai 2016
par WashingtonsBlog
Ce post explique les libertés garanties par la Charte des droits – les 10 premiers amendements à la Constitution des États-Unis – et fournit un tableau de bord sur l'ampleur de la perte de chaque droit.
Premier amendement
Le 1er Amendement protège la parole, de religion, de l'Assemblée et de la presse :
Congrès ne fera aucune loi respectant un établissement de religion, ou interdisant le libre exercice de celle-ci ; ni qui restreigne la liberté d'expression, ou de la presse; ou le droit du peuple pacifiquement à assembleret à la pétition le gouvernement pour une demande de redressement de griefs.
La Cour suprême a également interprété le premier amendement comme protégeant la liberté d'association.
Toutefois, le gouvernement s'arrêtant ceux prononçant ... et des réunions pacifiques violemment écrasante qui tentent de pétitionner le gouvernement pour redresser.
Un juge fédéral a conclu que la Loi autorisant la détention illimitée des américains sans procédure légale régulière a un « effet de dissuasion » sur la liberté d'expression. Et voir ce et ce.
Il y a aussi adopté des lois permettant au service secret d'arrêter quelqu'un qui protestaient près du président ou d'autres désignés des gens (cela pourrait expliquer des incidents comme ce).
Masse d'espionnage par la NSA, porte atteinte à notre liberté d'association.
La menace d'être étiqueté comme un terroriste pour exercer nos droits de premier amendement certainement viole le premier amendement. Le gouvernement est à l'aide de lois pour étouffer la contestation, et il est arrivé tellement mauvais que même les juges de la Cour suprême des États-Unis disent que nous sommes descendant dans la tyrannie. (Et les États-Unis fait les mêmes choses que les gouvernements tyranniques ont fait depuis 5 000 ans pour étouffer la contestation.)
Par exemple, les actions suivantes peuvent obtenir un citoyen américain vivant sur le sol américain, étiqueté comme un « terroriste présumé » aujourd'hui :
(suite en dessous:)
- Prendre des mesures pour protéger votre vie privée (et voir ce)
RépondreSupprimer- Être un hippie
- Plaindre tout le goût de votre eau du robinet
- Étant jeune (si vous habitez près d'une zone de combat, vous êtes un jeu équitable; et voir cela)
- Agissant comme un gamin
- Utilisation des médias sociaux
- Création de rapports ou de faire du journalisme (et ici et ici)
- Avoir des "odeurs étranges" ou "lumineuses colorées taches sur les vêtements" (que se passe-t-il si vous mangez moutarde ou ketchup ?)
- Dénonçant les politiques gouvernementales
- Pour protester contre quelque chose (par exemple, participer à des mouvements "Occupé" ou "Tea Party" ). Par exemple, des manuels de formation Ministère de la défense classer toute protestation "terrorisme à basse altitude". Voir ce, cet, cette et ce
- Interrogatoire de guerre (même si la guerre a réduit notre sécurité nationale; et voir ce)
- Critiquant le gouvernement contre des civils innocents avec des drones (bien que tuer des civils innocents avec des drones est l'une des principales choses qui augmente le terrorisme. Et voir ce)
- Poser des questions sur la pollution (même lors d'une audition publique au Congrès ?)
- Payer en espèces à un cyber-café
- Poser des questions sur les manigances de Wall Street
- Tenue d'or
- Création de monnaies alternatives
- S'approvisionner en plus de 7 jours de nourriture (même si tous les Mormons sont enseignées aux stocks alimentaireset la plupart hawaïens stockent vers le haut sur la nourriture supplémentaire)
- Avoir des autocollants pour pare-chocs, dire des choses comme « Connaissez vos droits ou les perdre »
- Élevage d'instruction
- Portant atteinte à un droit d'auteur
- Prendre des photos ou des vidéos
- Parler aux policiers
- Porter un chandail à capuchon
- Conduire une camionnette
- Écrit sur un morceau de papier
- (Ne pas avoir un compte Facebook peuvent bientôt être ajoutées)
Et tenant les croyances suivantes peut-être également être considéré des motifs pour terrorisme présumé :
(suite en dessous:)
- Être frustré avec des idéologies « grand public »
RépondreSupprimer- Étant un libertaire
- Aimer les pères fondateurs
- Être un chrétien
- Fiscale, anti-règlement ou usages pour l'étalon-or
- Être "respectueux de la liberté individuelle"
- Étant "anti-nucléaire"
- « Believe in les théories du complot »
- « Une croyance que ses personnels et/ou nationale "way of life" est attaqué »
- « Imposer des principes religieux stricts ou lois sur la société (les fondamentalistes) »
- « Insérer une religion dans la sphère politique »
- « Ceux qui cherchent à politiser la religion »
- « Prise en charge des mouvements politiques d'autonomie »
- Étant "anti-avortement"
- Étant "anti-catholique"
- Étant "anti-mondialisation"
- « Suspects d'autorité fédérale centralisée »
- « Farouchement nationaliste (par opposition à universel et international en orientation) »
- « Une croyance en la nécessité de se préparer à une attaque, soit en participant... survivalism »
- S'opposant génétiquement machiné alimentaire
- S'opposant à surveillance
Et voir ceci. (Et bien sûr, musulmans sont plus ou moins soumises à un système distinct de justice en Amérique.)
Et 1er amendement droits sont réfrigérés surtout lorsque le pouvoir est devenu tellement concentré la même agence qui spies sur tous les américains décide également qui devrait être assassiné.
En outre:
Malgré les protections claires trouvées dans le premier amendement, les libertés qui y sont décrites sont sous constante agression. De plus en plus, américains sont arrêtés et chargée de la faux "au mépris de la Conférence des parties" frais comme "perturber la paix" ou "rébellion" pour avoir osé film policiers engagés dans le harcèlement ou les pratiques abusives. Journalistes sont poursuivis pour avoir signalé sur les dénonciateurs. États passant législation au museau signalement selon des pratiques d'entreprise cruels et abusifs. Ministères religieux font l'objet d'une amende pour avoir tenté de se nourrir et loger les sans-abri. Manifestants sont roués, battu, arrêté et forcé en « zones de liberté d'expression ». Et sous le couvert du "discours du gouvernement", les tribunaux ont jugé que le gouvernement peut discriminer librement toute activité de premier amendement qui se déroule au sein d'un forum de gouvernement.
(suite en dessous:)
Deuxième amendement
RépondreSupprimerLe 2e amendement précise :
Une milice bien organisée étant nécessaire à la sécurité d'un État libre, le droit du peuple de détenir et de porter les armes, ne doit pas être violée.
Défenseurs des droits de contrôle des armes et armes à feu ont évidemment des opinions très différentes armes à feu sont une force pour la violence ou pour de bon.
Mais même un expert en droit constitutionnel libéral albums avoue à contrecœur que le droit de posséder une arme à feu est aussi important un droit constitutionnel comme la liberté d'expression et de religion:
Comme de nombreux universitaires, j'ai été heureux d'ignorer béatement le deuxième amendement. Il ne correspondait pas parfaitement dans mon programme socialement libéral.
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Il est difficile de lire le deuxième amendement et pas honnêtement conclure que les rédacteurs possession d'armes comme un droit individuel. Il est vrai que la modification commence par une référence aux milices: « une milice bien organisée étant nécessaire à la sécurité d'un État libre, le droit du peuple de détenir et de porter les armes, ne doit pas être violée. » En conséquence, semble-t-il, cet amendement protège le droit de la milice de porter les armes, pas l'individu.
Pourtant, si elle est vraie, le deuxième amendement seraient effectivement déclaré une disposition disparue. La garde nationale n'est pas une véritable milice au sens du deuxième amendement et, depuis le quartier et autres croient gouvernements peuvent interdire les armes à feu entièrement, le deuxième amendement seraient lus hors de l'existence.
***
Plus important encore, la simple référence à un objet de la seconde modification n'altère pas le fait qu'un droit individuel est créé. Le droit du peuple de détenir et de porter des armes est déclaré de la même manière que le droit à la liberté d'expression ou la liberté de la presse. L'énoncé d'un objectif visait à réaffirmer la puissance des États et le peuple contre le gouvernement central. Beaucoup craignaient, à l'époque, le gouvernement fédéral et son armée nationale. Possession d'armes a été considérée comme un moyen de dissuasion contre les abus par le gouvernement, qui serait moins susceptible de se salir avec une population bien armée.
Considérant les auteurs et leurs traditions de chasse et d'autodéfense, il est clair qu'ils auraient vu cette propriété comme un droit individuel — conforme au sens ordinaire de l'amendement.
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Rien de tout cela n'est facile pour quelqu'un soulevé pour croire que le deuxième amendement était la ligne de démarcation entre l'éveil et l'âge des ténèbres de la culture américaine. Pourtant, il est temps de reconsidérer cet amendement honnêtement et d'admettre que... Voici la partie vraiment dure... la NRA a pu juste. Cela ne signifie pas que Charlton Heston est le nouveau Rosa Parks ou qu'aucune restriction ne peut être placée sur la possession d'armes. Mais il ne semble pas que possession d'armes a été effectuée une protégée à droite par les rédacteurs et, bien que nous ne pourrions pas célébrer, il est temps que nous reconnaissions ce.
RépondreSupprimerEt George Mason University School de droit professeur Nelson Lund et UCLA Law School professeur Adam Winkler Remarque:
Implicite dans le débat entre fédéralistes et antifédéralistes étaient deux hypothèses partagées. Tout d'abord, que le projet de nouvelle Constitution a donné l'autorité légale quasi totale du gouvernement fédéral sur l'armée et les milices. En second lieu, que le gouvernement fédéral ne devrait pas avoir toute autorité pour désarmer les citoyens. Ils étaient en désaccord seulement de savoir si un peuple armé pourrait dissuader adéquatement oppression fédérale.
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L'amendement a été accepté facilement à cause de l'unanimité que le gouvernement fédéral n'ait pas le pouvoir d'enfreindre le droit du peuple de détenir et de porter les armes, pas plus qu'il devrait avoir le pouvoir de restreindre la liberté d'expression ou d'interdire le libre exercice de la religion.
Le débat de contrôle des armes, y compris les armes et les magazines sont interdits, est toujours dans le flux...
Cependant:
Américains restent impuissants à se défendre contre des raids de l'équipe SWAT et armés jusqu'aux dents avec des armes militaires mieux adaptés pour le champ de bataille que pour un pays fondé sur la liberté des agents du gouvernement. Police fusillades des citoyens non armés continuent d'indignation des communautés, alors que peu de choses est vraiment fait pour démilitariser les forces de l'ordre. En effet, tout récemment, Dakota du nord est devenue premier État à légaliser l'utilisation application Loi de drones munis d'armes telles que des gaz lacrymogènes, balles en caoutchouc, poufs, poivre de Cayenne et de pistolets paralysants.
Troisième amendement
L'amendement 3 interdit au gouvernement, forçant les gens à des soldats de la maison :
Aucun soldat doit, en temps de paix être cantonné dans une maison, sans le consentement du propriétaire, ni en temps de guerre, mais d'une manière qui sera prévu par la Loi.
Un récent procès par une famille de Nevada – couverts par (Mother Jones, Fox News et Actualités du Palais de justice – allègue la violation de la troisième modification.
L'armée est aussi sans doute de cantonnement des troupes « numérique » au sein de nos maisons.
Gordon S. Wood – Alva O. façon professeur d'université et professeur d'histoire émérite à l'Université Brown – souligne:
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Dans sa déclaration et se résout sur 14 octobre 1774, le Congrès a protesté contre la présence en temps de paix, d'une armée permanente et le casernement des troupes dans les colonies sans leur consentement. Puis dans la déclaration d'indépendance de 1776, deux des nombreuses accusations Congrès nivelé contre le roi étaient son maintien "parmi nous, en temps de paix, des armées permanentes, sans le consentement ou nos législatures," et son "cantonnement des grandes masses de troupes armées parmi nous. »
RépondreSupprimer***
Certains juristes ont même commencé à faire valoir que la modification pourrait être appliquée à la réponse du gouvernement aux attaques terroristes et de catastrophes naturelles et aux questions qui concernent le domaine éminent et la militarisation de la police.
En effet:
Avec la police formation de plus en plus comme les militaires, agissant comme les militaires, et se présentant comme militaire forces — avec armes de guerre, véhicules d'assaut, etc. — il est clair que nous avons maintenant ce que les fondateurs craignaient le plus —une armée debout sur le sol américain. De plus, en conséquence de SWAT team raids (plus de 80 000 par an) où les policiers envahissent les maisons, souvent sans mandat et blessent et même tuent des citoyens non armés, la barrière entre les biens publics et privés a été abolie, nous laissant avec des agents du gouvernement armés qui agissent comme s'ils possèdent notre propriété.
En effet, les pères fondateurs ont combattu à la guerre d'indépendance en partie pour arrêter le type de police militarisée dont nous avons.
Quatrième amendement
L'amendement 4 empêche les perquisitions et saisies illégales :
Le droit du peuple d'être en sécurité dans leurs personnes, les maisons, les papiers et les effets, contre les fouilles, les perquisitions et les saisies, ne doit pas être violé, et aucun mandat ne délivre, mais sur la cause probable, soutenu par serment ou affirmation solennelle et en particulier décrivant l'endroit à perquisitionner et les personnes ou les choses à saisir.
Mais le gouvernement est d'espionner tout ce que nous faisons ... sans aucun avantage réel ou justification (et voir cela).
(Les choses sont empirer, et le gouvernement va étendre considérablement son espionnage dans un proche avenir.)
En effet, les experts disent que le type d'espionnage menées par la NSA et d'autres organismes est exactement le genre de chose dont King George imposée sur les colons américains... qui a conduit à la guerre d'indépendance.
Et de nombreux experts constitutionnels – tels que Jonathan Turley – pensent que la police est allée trop loin à Boston avec verrouillages et recherches porte-à-porte involontaires.
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Dans la réalité:
RépondreSupprimerLe quatrième amendement a subi les dommages les plus importants ces dernières années et tous été mais éviscéré par une extension injustifiée des pouvoirs de la police qui incluent les fouilles et recherches même anales et vaginales, des citoyens, la surveillance et les intrusions justifient au nom de la lutte contre le terrorisme, ainsi que l'externalisation des activités autrement illégales à des entrepreneurs privés. Espèce : Texas police forcée une femme de 21 ans à subir une fouille vaginale au bord de la route après qu'elle aurait été "roulé" grâce à un panneau d'arrêt.
L'utilisation de systèmes de confiscation civile actifs à gonfler les caisses des forces de police a également continué de croître en popularité parmi les États à court d'argent. Le gouvernement fédéral continue d'intimider des sociétés en lui fournissant accès aux affaires privées des américains, de courriers électroniques et des transactions en ligne aux banques et surfer sur le web. En venant à la suite de fuites massives sur les rouages de la NSA et l'état de surveillance secrète massive, il a été révélé que le gouvernement a menacé d'une amende Yahoo $ 250 000 tous les jours pour avoir omis de se conformer aux programme de collecte de données de la NSA connu comme prisme. Pendant ce temps, AT & T a bénéficié d'une rentabilité et une relation « extraordinaire, décennies » avec la NSA.
L'avenir technologique semble constituer une menace encore plus grande pour ce qui reste de nos droits de quatrième amendement, grâce aux progrès dans l'identification biométrique et microchip implants à l'horizon ce qui beaucoup plus facile pour le gouvernement suivre non seulement nos mouvements et activités de cyber mais nos êtres très cellulaires. Barclays a déjà commencé à l'aide d'un doigt-scanner comme une forme d'authentification en deux étapes pour donner à certains clients accès à leurs comptes. De même, Motorola a mis au point fine "tatouages numériques" qui fera en sorte que le propriétaire d'un téléphone est la seule personne qui peut le débloquer. Ne pas à négliger sont les espions aériennes —surveillance drones— sur le point de prendre son envol dans les années à venir, ainsi que les programmes Smart Drive qui sera vous espionner (votre vitesse, mouvements, passagers, etc) pendant que vous parcourez routes et les chemins de la nation.
Cinquième amendement
Le 5e Amendement traite régulière de la Loi, domaine éminent, double jeopardy et grand jury :
Nul ne peut être tenue de répondre en un capital, ou crime infâme dans le cas contraire, à moins que sur une présentation ou un acte d'accusation d'un Grand Jury, sauf dans des cas surviennent dans la terre ou naval forces, ou dans la milice, en cas de service effectif en temps de guerre ou de danger public ; ni toute personne sera soumise pour la même infraction deux fois mise en danger de la vie ou d'un membre ; ni peut être contraint dans toute affaire criminelle à témoigner contre lui-même, ni être privé vie, la liberté ou propriété, sans l'application régulière de la Loi ; ni propriété privée doit être prise à usage public, sans une juste indemnisation.
Mais le gouvernement américain a déchiqueté le 5e Amendement de soumettre à la détention illimitée et emportant nos droits de procédure régulière.
Le gouvernement fait valoir le droit d'assassiner ou de détenir indéfiniment n'importe quel citoyen américain sur le citoyen américain sans aucune procédure légale régulière. Et voir ceci.
Par exemple, les citoyens américains sont détenus dans des conditions proches Guantanamo à Chicago ... y compris :
- Brutalité
- Détenu au secret
http://www.washingtonsblog.com/2016/05/much-liberty-americans-left.html
Rappelez-vous comment nous sommes sortis du Vietnam
RépondreSupprimerle 7 mai 2016
par WashingtonsBlog
Par Jacob Hornberger, avenir de la Fondation de la liberté.
Vous vous rappelez quels fonctionnaires d'état de sécurité nationale américains disaient quand des millions d'américains exigeaient que le gouvernement américain retire ses troupes du Vietnam et ramener chez eux ?
Ils disaient que la « sécurité nationale » était en jeu — c'est-à-dire, la survie même des États-Unis. Si le gouvernement américain a retiré du Vietnam, ils ont dit, les dominos commencerait à tomber entre les mains des communistes, tout d'abord en Asie du sud-est et, en fin de compte, partout dans le monde, avec les États-Unis étant le domino grand final. Le Viêt Nam était notre ligne de défense contre le monde entier va rouge.
C'est tout faux. Comme j'ai dans mon nouvel ebook la CIA, le terrorisme et la guerre froide : le mal de l'état de sécurité nationale (qui vient de frapper #5 en Amazonie top 100 ebooks Best-sellers dans liberté politique), en réalité il n'a pas fait un iota de différence si le Viêt Nam et autres pays dans le monde est allé rouges, au moins pas pour autant que les États-Unis portait. Autrement dit, l'existence des États-Unis fut jamais menacé par le fait que les autres pays avaient régimes communistes.
Comment savons-nous que c'est vrai ?
Parce que le Vietnam a fait tomber entre les mains des communistes, et rien n'est arrivé aux États-Unis. En fait, si fait la Corée du Nord, la Chine et l'Union soviétique. Et à Cuba. Et le Guatemala. Et le Chili. Et au Nicaragua. Et le Venezuela.
Quelle différence il fait, dans la mesure où les États-Unis portait ?
Pas un brin de différence. De plus ces 58 000 soldats américains qui ont été sacrifiés au Vietnam sont mort pour rien.
Il n'est pas différent aujourd'hui en ce qui concerne les ISIS, les terroristes, les musulmans, ou, oui, même les communistes. Un brin peu importe que ISIS prend le contrôle sur la Syrie, Irak, Libye, Yémen, ou ailleurs. Même s'ils le font, ils ne viennent pas à vous aider, vous panier loin et vous forcer à étudier le Coran, toute plus que les communistes sont venus pour vous aider et forcés d'étudier Das Kapital.
Cela ne veut ne pas pour dire, bien sûr, qu'il serait dans l'intérêt des personnes vivant dans ces pays de vivre sous un régime d'ISIS, une plus qu'il est dans l'intérêt du peuple nord coréen, le vietnamien, cubain et chinois à vivre sous des régimes communistes.
Mais le fait est que les souffrances du peuple sous la tyrannie étrangère n'est aucune entreprise du gouvernement américain. C'est certainement pas légal, étant donné que la Constitution n'accorde pas le pouvoir de changement de régime et une intervention étrangère au gouvernement fédéral. Mais il n'est également aucune entreprise morale du gouvernement américain, en particulier compte tenu du fait que lorsque le gouvernement américain intervient contre les régimes étrangers dans le but d'effectuer le changement de régime, il fait juste empirer les choses pour les personnes vivant dans ces sociétés. Après tout, juste regarder la mort, la destruction, la misère et les souffrances que les interventions du gouvernement américain et les opérations de changement de régime ont apporté à l'Afghanistan, Irak, Syrie, Libye, Yémen et le reste du Moyen-Orient.
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Le problème est que les fonctionnaires américains ne veulent pas sortir parce qu'ils ont peur de « perdre la face », qui était la même crainte que présidents Lyndon Johnson et Richard Nixon avaient de retirer les troupes du Vietnam.
RépondreSupprimerAinsi, si les américains veulent rétablir une société fonctionne normalement à notre terre, la responsabilité incombe avec eux pour y parvenir. Ils doivent faire ce que les américains fait avec la guerre du Vietnam. Ils ont besoin pour commencer à exiger, avec des manifestations de masse si nécessaire, que le Président — celui qui il ou elle est — apporte les troupes maison maintenant, sans plus tarder. Mise à mort non plus et aucune destruction plus la part du gouvernement américain. Il suffit de laisser le peuple du Moyen-Orient seul pour résoudre leurs propres problèmes.
Dieu merci des millions d'américains ont commencé exigeant que les troupes être ramené du Vietnam. S'ils n'avaient pas, ils pourraient être bien encore plus se battent aujourd'hui pour empêcher la chute de dominos et de l'Amérique de se rendre rouge. Si seulement le peuple américain avait exigé un retrait du Vietnam beaucoup plus tôt qu'ils ont fait. Pensez combien plus d'américains ne seraient pas mort pour rien.
Aujourd'hui, la presse annonce qu'un autre soldat américain a simplement été tué en Irak. Oui, croyez-le ou non, les troupes américaines sont retour en Irak. Américains ont besoin de faire ce qu'ils ont fait pour nous sortir de la guerre du Vietnam avant de mourir de soldats américains plus pour rien. C'est la seule manière de restaurer une société de liberté, paix, prospérité et harmonie à notre terre.
http://www.washingtonsblog.com/2016/05/remember-got-vietnam.html#more-56573
La fracturation hydraulique… et ses bienfaits
RépondreSupprimerSarah Liénart
7 mai 2016
Cela surprendra peut-être certains, mais il est possible d’être libéral et en faveur de la fracturation hydraulique, nous annonce Gary Sernovitz.
Si l’on se base sur la rhétorique progressiste actuelle, on pourrait penser que la fracturation hydraulique est une horreur environnementale qui ne profite qu’à l’industrie pétrolière. Mais cette méthode d’extraction des gaz – connue formellement sous le nom de fracturation hydraulique – a beaucoup fait pour l’avancement de causes « chères aux cœurs de la plupart des libéraux ».
La fracturation hydraulique a réduit la dépendance des États-Unis au charbon et a permis à la nation « de devenir le leader mondial en réduction des émissions carbone ». Elle a aussi permis de réduire les cours du pétrole et du gaz, ce qui bénéficie principalement aux classes pauvres et moyennes, et a permis d’éviter de verser des centaines de milliards de dollars aux pétro-États autoritaires comme la Russie et l’Iran qui représentent « tout ce que les libéraux détestent ».
Peu d’impact sur l’eau potable
Les opposants nous mettent en garde contre les accidents possibles, mais selon l’agence pour la protection de l’environnement, il n’y aurait que peu d’impact sur l’eau potable. Il est vrai que « la fracturation hydraulique rallonge l’ère des combustibles fossiles à bas prix », mais son interdiction « ne résultera pas en un monde qui soudainement puiserait toute son énergie de l’éolien et du solaire ».
Arrêter la fracturation hydraulique aurait par contre pour conséquence « l’augmentation immédiate du prix du charbon », ce qui entraînerait une montée en flèche des émissions carbone.
« Être libéral ne signifie pas être pour la fracturation hydraulique. Mais vous ne devenez pas complice de l’industrie des combustibles fossiles pour autant si vous la soutenez ».
https://fr.express.live/2016/05/07/la-fracturation-hydraulique-et-ses-bienfaits/
Primo: (...) La fracturation hydraulique a réduit la dépendance des États-Unis au charbon et a permis à la nation « de devenir le leader mondial en réduction des émissions carbone » (...) !!!
SupprimerFAUX FAUX ET ARCHI-FAUX ! Le carbone ou 'gazcarbonique N'EST PAS un poison:
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/04/le-co2-nest-pas-un-poison.html
et, la journaliste belge à la con ne parle que de deux propositions répugnantes faisant fi du nucléaire qui ne rejettent que de la vapeur d'eau et permet sans pollution d'apporter l'électricité à des dizaines de millions de foyers alors que TOUS les autres n'en sont pas capable !
- CAPACITÉ CALORIFIQUE DES COMBUSTIBLES -
FEU de BOIS: 16 MJ/kg
CHARBON: 13-30 MJ/kg
GAZ NATUREL: 39 MJ/m3
PÉTROLE BRUT: 45-46 MJ/kg
URANIUM (réacteur REP): 500 000 MJ/kg
Secondo: La fracturation hydraulique pollue IRREMEDIABLEMENT les nappes phréatiques pour des milliers d'années !!! (voir Californie) et est à l'origine des effondrements de sols comme des tremblements de terre cause aux destructions souterraines de galeries.
Loi Travail : le recours au 49.3 choque 71% des Français ? Pas bien grave pour la clique politicienne...
RépondreSupprimerL'Express
sam., 07 mai 2016 06:49 UTC
-- Comment: Contrairement au reste des travailleurs du monde entier, le politicien réussit le tour de force de ne pas avoir à rendre des comptes à son employeur, le peuple. Et non seulement, il ne lui rend pas de compte, mais il va jusqu' à imposer à celui-ci des mesures, des lois et des décrets qui vont souvent à l'encontre de son intérêt. Tour de force supplémentaire, par un usage calculé de sa parole, il réussit à faire croire que les-dites mesures sont malgré tout bénéfiques, et ce, même lorsque la réalité, à lui et au reste du monde, prouve manifestement le contraire. En utilisant des raccourcis, des amalgames et des mensonges, en vrai professionnel qu'il est, il réalise son troisième tout de force : il fait croire à tout un chacun qu'il est indispensable ; que sans lui rien ne fonctionne, rien ne marche, tout s'écroule.
Une bonne recette qui maintient la créature politicienne dans son univers malade rempli de fantasmes et de projections ; qui lui permet de déblatérer sur les sujets les plus importants, sans sourciller le moins du monde des pires décisions qui sont les siennes, droit dans ses bottes, auto-satisfait, auto-justifié, dangereux.
Fort heureusement pour nous, il y a une explication à tout ceci :
- De la démocratie à la pathocratie : l'avènement du psychopathe politique
- La relève psychopathe
- Luttons contre la tyrannie et la psychopathie
- Comprendre la Ponérologie Politique - Andrew M. Lobaczewski --
Le Premier ministre a donné une fin de non-recevoir à une partie de la gauche qui est défavorable à l'emploi de l'article 49.3. Pourtant un sondage souligne la désapprobation des Français.
"Il ne faut jamais renoncer à un moyen constitutionnel." Le Premier ministre a donné le ton, ce vendredi à propos du projet de loi contesté sur le Travail. Sur Public Sénat, Manuel Valls n'a pas écarté l'emploi de l'article 49 alinéa 3 de la Constitution pour faire adopter sans vote la loi dite El Khomri, en engageant la responsabilité du gouvernement.
Pour autant, le Premier ministre ne pourra pas compter sur le soutien es Français s'il finit par faire ce choix. Selon un sondage Odoxa pour Itélé et Paris Match publié vendredi, 71% des personnes consultées pour l'enquête jugent cette mesure "choquante". Une réprobation qui touche autant les sondés de gauche que de droite (70%) et qui monte à 76% quand les Français se disent "sans proximité partisane".
Plusieurs sons de cloche
Le Premier ministre répondait lors de l'interview à une partie de la gauche qui lui demande d'exclure complètement d'avoir recours au 49.3. Le secrétaire d'État chargé des relations avec le Parlement Jean-Marie Le Guen, s'était montré très ambigu, essayant de laisser entendre que le gouvernement n'y aurait pas recours.
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La ministre du Travail Myriam El Khomri avait pourtant précisé au Parisien à l'arrivée du texte à l'Assemblée nationale, que ce passage en force n'était pas la solution privilégiée, se gardant bien de dire qu'il était pour autant totalement exclu. Dans une interview de février, elle avait annoncé que le 49.3 était envisageable, mais elle a depuis reconnu à mi-mot que cette déclaration avait été ajoutée à l'interview par Matignon, qui avait court-circuité l'Elysée ce jour-là.
RépondreSupprimerUne nouvelle journée de manifestations et de grèves est prévue le jeudi 12 mai. La cinquième depuis l'annonce de la loi.
https://fr.sott.net/article/28166-Loi-Travail-le-recours-au-49-3-choque-71-des-Francais-Pas-bien-grave-pour-la-clique-politicienne
Comment votre smartphone transmet en toute innocence pratiquement toute votre vie aux services secrets
RépondreSupprimerDimitri Tokmetzis
De Correspondent via NeoTrouve
sam., 07 mai 2016 09:47 UTC
L'article original, paru dans le journal néerlandophone De Correspondent, a été écrit par Dimitri Tokmetzis et illustré par Momkai.
Les services de renseignement collectent les métadonnées des communications de tous les citoyens. Les politiciens voudraient nous faire croire que ces informations ne sont pas si importantes. Un lecteur du De Correspondent a voulu vérifier et a prouvé le contraire : les métadonnées révèlent à votre sujet bien plus que vous ne l'imaginez.
Ton Siedsma est nerveux. Cela fait plusieurs semaines qu'il a pris cette décision, mais il ne cesse de la repousser. Nous sommes le 11 novembre, par une fraîche soirée d'hiver. C'est à vingt heures dix (20:10:48 pour être précis) en passant la gare d'Elst sur le chemin de la maison, qu'il a lancé l'application. Cette dernière va enregistrer la totalité des métadonnées de son téléphone sur une période d'une semaine.
Les métadonnées ne sont pas le contenu des communications, mais les données en rapport avec ces communications, comme les numéros qu'il appelle ou whatsappe, la géolocalisation du téléphone à un instant donné, mais également les destinataires et sujets des mails envoyés et les sites web visités.
Ton ne va rien faire qui sorte de l'ordinaire, il va simplement mener sa vie quotidienne. Les jours de semaine, il prend son vélo pour se rendre de son domicile à Nimègue jusqu'à la gare, d'où il prend le train pour Amsterdam. Le samedi, il se rend en voiture à Den Bosch et passe la nuit près de Zuiderpark avant de rentrer à Nimègue le lendemain par les transports en commun. Plus tard dans la journée, il prendra un verre ou deux dans un café, le St. Anna.
Il met un terme à l'expérience au bout d'une semaine exactement, le lundi 18 novembre. Après coup, il affirme s'être senti soulagé d'en avoir terminé. Sa nervosité s'explique facilement : tout ce qu'il aura fait, là où il aura été et les gens avec qui il aura été en contact, tout cela sera communiqué à des dizaines de milliers de personnes. Aujourd'hui, à vous et moi, et à l'ensemble des lecteurs de cet article.
Ces derniers mois, il est devenu clair que les agences de renseignement, sous l'égide de la National Security Agency (NSA), collectent de gigantesques quantités de métadonnées. Ceci comprend l'enregistrement du trafic des e-mails ainsi que les données de localisation des téléphones mobiles. Dès le début, les politiciens et les agences de renseignement ont défendu cette surveillance en mettant l'accent sur le fait que le contenu des communications n'est pas surveillé, l'idée étant que seules les métadonnées intéressent les agences. Selon le ministre néerlandais de l'Intérieur et la Dutch Intelligence Agency (AIVD), à l'instar du Président Obama et de la NSA, il n'y a pas vraiment de mal à cela. Et encore récemment, sur son site internet, l'AIVD parlait de la collecte de métadonnées comme d'une « violation mineure de la vie privée ».
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Mais est-ce bien le cas ? Sûrement pas, comme l'expérience de Ton Siedsma le prouve. Les métadonnées (y compris les vôtres) sont plus révélatrices qu'on pourrait le croire, et bien plus que les autorités voudraient vous le faire croire.
RépondreSupprimerUne semaine en dit déjà long
J'ai soumis les métadonnées de Ton à l'équipe de recherche iMinds de l'université de Gand, ainsi qu'à Mike Moolenaar, le propriétaire de Risk and Security Experts. J'ai aussi conduit mes propres analyses. Avec une semaine de relevés (logs), nous avons pu dater avec précision 15 000 événements. Chaque fois que le téléphone de Ton s'est connecté à une antenne de communication, et chaque fois qu'il a envoyé un e-mail ou consulté un site, nous avons pu voir le moment où cela s'est produit et l'endroit où il se trouvait à quelques mètres près. Nous avons pu cartographier son réseau de relations à partir de son téléphone et de son trafic e-mail. Avec ses données de navigation web, nous avons pu savoir quels sites il avait visités et les recherches qu'il avait effectuées. Et nous avons pu voir l'objet, l'expéditeur et le destinataire de chacun de ses e-mails.
- voir graphique sur site -
Ce graphique montre les habitudes quotidiennes de Ton, en matière d’e-mail, de navigation web et de téléphonie. On peut voir son utilisation intensive de WathsApp chaque jour, juste après le déjeuner, vers 14h00
Qu'avons-nous donc appris à propos de Ton ?
Voici ce que nous avons pu apprendre, rien qu'en analysant une semaine de métadonnées de la vie de Ton Siedsma. Ton est un jeune diplômé, la vingtaine. Il reçoit des mails qui parlent de logement étudiant et de boulots à temps partiel, ce que nous pouvons déduire de leurs objets et de leurs expéditeurs. Il fait de gros horaires, en partie à cause d'un long temps de trajet en train. Il ne rentre que rarement chez lui avant 20 heures, et même chez lui, il continue à travailler tard.
Sa copine s'appelle Merel. Impossible de savoir avec certitude s'ils vivent ensemble. Ils s'envoient environ une centaine de messages WhatsApp par jour, la plupart du temps lorsque Ton n'est pas chez lui. Merel l'appelle avant qu'il monte dans son train à la gare d'Amsterdam Central. Ton a une sœur qui s'appelle Annemieke. Elle est encore étudiante : un de ses mails parle de sa thèse, à en croire son objet. Il a fêté Sinterklass (Saint Nicolas) cette année, et a tiré au sort à qui il offrirait un cadeau.
Ton aime les actualités sportives, qu'il lit sur nu.nl, nrc.nl et vk.nl. Son centre d'intérêt principal est le cyclisme, qu'il pratique lui-même. Il lit des polars scandinaves, à en croire ses recherches sur Google et Yahoo. Il s'intéresse également à la philosophie et à la religion. On suspecte que Ton est chrétien. Il se renseigne à propos de Karen Armstrong, un écrivain spécialiste du fait religieux, mais également de l'Évangile de Thomas, de « The Messiah book Middle Ages » (« livre du Messie moyen âge »), ainsi que sur le symbolisme dans les églises et cathédrales. Wikipédia lui offre beaucoup d'informations sur ces sujets.
(suite en dessous:)
Ton a aussi un côté plus frivole. Il regarde des vidéos sur Youtube, comme « Jerry Seinfeld: Sweatpants » et « Never Gonna Give You Up » de Rick Astley. Il regarde aussi une vidéo de Roy Donders, une vedette de télé-réalité néerlandaise. Sur Internet, il lit aussi des choses à propos de « chats qui portent des collants », « princesses Disney barbues » et « chiens à la place de guitares ». Il cherche aussi à se procurer un snuggie, une certaine « couverture Batman avec manches » retenant son attention. Oh, et il cherche avec ardeur un bon casque audio (avec Bluetooth, si possible).
RépondreSupprimerSi nous examinions le profil de Ton d'un point de vue mercantile, nous le bombarderions de publicité en ligne. Il s'est inscrit à un grand nombre de newsletters d'entreprises telles que Groupon, WE Fashion et plusieurs magasins d'informatique. Il fait visiblement beaucoup d'achats sur internet et n'éprouve pas le besoin de se désinscrire de ces newsletters. Cela pourrait vouloir dire qu'il considérerait favorablement des publicités en ligne.
Il compartimente assez bien ses communications par mail, utilisant trois adresses différentes. Il reçoit toutes les publicités sur son compte Hotmail, qu'il utilise également pour communiquer avec plusieurs de ses connaissances, même s'il envoie rarement des messages depuis ce compte. Il a une deuxième adresse personnelle, qu'il utilise pour le travail, mais aussi avec ses amis les plus proches. Cette seconde adresse est beaucoup plus active. Sa troisième adresse est professionnelle. Ton est technophile (a de vastes connaissances en matière technique). Il s'intéresse aux technologies de l'information, à la sécurité informatique, aux problématiques autour de la vie privée et des libertés sur Internet. Il chiffre souvent ses messages à l'aide de PGP. Il effectue des recherches sur les logiciels de bases de données (SQLite). C'est un habitué des forums techniques et il y cherche des informations relatives à l'enregistrement et à l'analyse de données. Il se tient également au courant de l'actualité du monde des hackers ainsi que des sujets traitant de pédopornographie.
Nous le soupçonnons également d'être un sympathisant du parti politique hollandais « Gauche Verte ». Il est en contact régulier avec plusieurs partis politiques par l'entremise de son travail (nous y reviendrons). Cependant, « Gauche Verte » est le seul dont il reçoit des mails sur son compte Hotmail, ce compte étant plus ancien que son actuelle adresse professionnelle.
- voir graphique sur site -
Un jour dans la vie de Ton Siedsma : le mardi 12 novembre 2013. Ce jour-là, il ne prend pas son trajet habituel, qui l’aurait fait rentrer à Nimègue depuis Amsterdam via Utrecht. Il reçoit un coup de fil de Hilversum et fait un détour par le Mediapark avant de rentrer chez lui
Quel est exactement le travail de Ton ?
Les données recueillies indiquent clairement que Ton est juriste pour l'organisation de défense des droits « Bits of Freedom ». Il s'occupe principalement d'accords internationaux et entretient des relations suivies avec le ministère des Affaires étrangères et quelques députés sur ces sujets. Il s'intéresse de près aux prises de décision de l'Union Européenne. Il s'intéresse également aux méthodes d'enquête utilisées par la police et les services de renseignement. Ceci explique aussi son intérêt pour les actualités concernant le hacking et le démantèlement de réseaux pédopornographiques.
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Durant la semaine analysée, Ton s'implique beaucoup dans une discussion par e-mail avec ses collègues sur le sujet « Van Delden doit partir ». Les e-mails concernent Bert van Delden, le président du Comité de Supervision des Services de Sécurité et du Renseignement (CTIVD), qui est l'organe supervisant les agences de renseignement AIVD et MIVD. Ot van Daalen, un collègue, consacre également une partie de sa semaine à l'élaboration d'une stratégie pour le « Freedom Act », qui est vraisemblablement un projet de Bits of Freedom.
RépondreSupprimerJeudi, Ton envoie un message à tous les employés intitulé « Nous sommes hors de danger ! » Ils semblent avoir une bonne raison d'être soulagés. Ton examine également une thèse consacrée aux SMS furtifs, et une décision est prise pour savoir qui se rendra à un débat chez les Jeunes Démocrates. Un certain nombre de messages concernent l'organisation d'une évaluation de performances, qui sera probablement conduite par Hans, le director de Bits of Freedom.
Ton met à jour quelques fichiers personnels dans une zone restreinte du site web de Bits of Freedom. On peut retrouver les noms des fichiers à partir des URL qu'il utilise. Ils traitent d'accords commerciaux internationaux, du parlement néerlandais, du WCIII (Loi sur les Crimes Informatiques III) et de lois. Ton met également à jour le site web. Il est facile pour nous de voir quels articles de blog il a édité.
Ton n'a pas l'air de faire grand'chose de son temps libre. Il continue à recevoir et envoyer des mails professionnels tard dans la soirée. Ton se rend sur différents sites d'actualité et discute sur WhatsApp avec des gens inconnus de nous. Il se couche vers minuit la plupart du temps.
Avec qui Ton est-il en relation ?
Le réseau social de Ton Siedsma (basé sur son comportement vis-à-vis des courriels) révèle différents groupes.
En analysant les liens sociaux de Ton à partir de ses échanges de mails, il est possible pour nous de dégager différents groupes d'appartenance. Ces groupes sont formés par ces trois comptes courriels. Il serait possible que les groupes apparaissent comme légèrement différents si nous utilisions aussi les métadonnées de son téléphone. Nous avions toutefois accepté de ne pas réaliser d'investigation supplémentaires telles que d'essayer activement de dévoiler l'identité de l'utilisateur d'un numéro particulier afin de protéger la vie privée de ceux présents dans le réseau de Ton.
Via son compte Hotmail, Ton communique avec ses amis et relations. Thomas, Thijs, et Jaap semblent être les principaux contributeurs dans un groupe d'amis plus vaste. À en juger par leurs adresses mail, ce groupe ne compte que des hommes. Il y a aussi un ensemble de liens avec un autre groupe chapeauté par un certain « Bert ». La nature de ce groupe est la seule chose qui ait été censurée par Ton : d'après lui, ce n'est qu'une affaire personnelle.
- voir graphique sur site -
Le réseau social de Ton Siedsma d’après son e-mail personnel
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Nous pouvons discerner un autre groupe, plus petit, d'amis : Ton, Huru, Tvanel, et Henry. Nous pensons que ce sont des amis, car ils participent tous à la discussion via mail, c'est-à-dire qu'ils se connaissent tous. Qui plus est, certains envoient aussi des e-mails à ton[at]sieds.com, l'adresse de Ton pour les amis et la famille.
RépondreSupprimerEnfin, il y a aussi le groupe de travail de Ton. On peut voir que ses principaux contacts sont Rejo, Hans et Tim. Tim et Janneke sont les seuls qui apparaissent aussi dans des courriels personnels. Le nombre de courriels envoyés entre lui et ses six autres collègues est extrêmement important. Il y a apparemment une vraie mode du « CC » (NDT :copie carbone) chez Bits of Freedom
Ton envoie rarement des courriels à un unique collègue, mais quand c'est le cas, le destinataire est le plus souvent Rejo ou Tim. La plupart des courriels sont envoyés à l'adresse collective de tous les employés.
- voir graphique sur site -
Le réseau social de Ton Siedsma basé sur ses courriels professionnels
Ton a relativement peu de contact avec des tiers extérieurs. Pendant la semaine, il envoie les courriels nécessaires pour fixer un rendez-vous avec l'assistant de Foort van Oosten, un membre du parlement du « Parti du peuple pour la Liberté et la Démocratie » (People's Party for Freedom and Democracy (VVD)), et à un journaliste du nom de Bart. Il communique également avec un grand nombre de fournisseurs de logiciels antivirus.
En s'appuyant sur ces métadonnées, l'expert en sécurité Mike Moolenaar en conclut que Ton occupe « un bon poste d'observation au sein de Bits of Freedom ». Il semble avoir une bonne idée de la situation, un fait important quand on regarde ce réseau dans une perspective de renseignement.
Mais ce n'est pas tout. Les analystes belges de iMinds ont comparé les données de Ton avec un fichier contenant des mots de passe ayant fuité. Début novembre, Adobe (la société éditrice du lecteur PDF Acrobat, de Photoshop et du lecteur Flash) a annoncé le piratage d'un fichier contenant 150 millions de noms d'utilisateurs et de mots de passe. Les mots de passe eux-mêmes étaient chiffrés, mais ce n'était pas le cas des indices fournis par les utilisateurs pour les retrouver. Les analystes ont pu voir que certains utilisateurs avaient le même mot de passe que Ton et les indications de mot de passe étaient « punk metal », « astrolux » et « another day in paradise », cela nous mène rapidement au groupe préféré de Ton Siedsma, Strung Out, et au mot de passe « strungout ».
Avec ce mot de passe, ils ont pu accéder aux comptes Twitter, Google et Amazon de Ton. Les analystes ont fourni une capture d'écran de messages direct sur Twitter qui sont normalement protégés, ce qui signifie qu'ils pouvaient voir avec qui Ton communiquait secrètement. Ils ont aussi montré quelques paramètres de son compte Google. Ils pouvaient aussi commander des choses via le compte Amazon de Ton — ce qu'ils n'ont pas fait. Les analystes voulaient simplement montrer à quel point il était facile d'accéder à des données très sensibles avec juste quelques informations.
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Ce que nous avons fait dans cet article est un jeu d'enfant comparé aux possibilités des agences de renseignement (surveillance). Nous nous sommes surtout concentrés sur les métadonnées, que nous avons analysées avec des logiciels basiques. Nous nous sommes empêché de réaliser des investigations supplémentaires à l'exception de l'utilisation de la base de donnée fuitée d'Adobe.
RépondreSupprimerDe plus, cette expérimentation était limitée à une semaine. Une agence de renseignement a des métadonnées sur bien plus de personnes et sur une période bien plus longue avec des outils bien plus avancés à sa disposition. Les fournisseurs d'accès internet et les prestataires de services en ligne sont obligés par la loi Néerlandaise de conserver les métadonnées pendant au moins 6 mois.
La police et les agences de renseignement n'ont aucune difficulté pour demander et recevoir ce type de données.
La prochaine fois que vous entendrez un officiel, un expert en sécurité, un responsable des services de renseignement dire « Oh, mais il s'agit seulement de métadonnées », pensez à Ton Siedsma, l'homme sur qui vous savez tellement, seulement parce qu'il a partagé une semaine de métadonnées avec nous.
Merci aux bénévoles qui ont participé à cette traduction <3
https://fr.sott.net/article/28165-Comment-votre-smartphone-transmet-en-toute-innocence-pratiquement-toute-votre-vie-aux-services-secrets
Ayez de plus en plus peur : Daesh aurait des Armes de Destruction Massive (ADM) selon l'ONU
RépondreSupprimerSputnik
mer., 04 mai 2016 20:42 UTC
-- Commentaire : Depuis que la Russie a décidé d'en finir avec Daesh, en actes et pas seulement en paroles, il est encore plus manifeste que les groupes terroristes sont financés, appuyés et dirigés par la coalition (États-Unis, Arabie Saoudite, la Turquie et l'Union Européenne). Cette coalition qui continue a nous faire croire que ces groupes armés agissent seuls... Nous avons été témoins de l'incompétence de l'ONU mais celle-ci persiste aussi à nous faire croire qu'elle lutte pour la paix, qu'elle agit dans le sens d'un règlement des conflits, qu'elle lutte pour éliminer Daesh ainsi que tous les autres groupes terroristes, et bla bla bla, et bla bla bla. Elle agite maintenant l'épouvantail habituel des ADM, non pas pour régler cette situation qui pourrait effectivement devenir catastrophique (plus de ce qu'elle est présentement), mais pour nous resservir les mêmes discours justificateurs, vides et répétitifs. Car bien sûr, on n'entendra pas l'Organisation des Nations (dés-)Unies nous parler des vrais financement du terrorisme et des armes fabriquées par ceux qui se plaignent officiellement des "extrémistes"...
Lire :
- Habitants turcs à RT : « Tout le monde est au courant des liens entre Erdogan et Daesh ».
- L'Iran est prêt à présenter des preuves du commerce de pétrole entre la Turquie et Daesh,
- Le grand retournement saoudien,
- Scandaleux ! Le groupe terroriste Jaysh al-Islam, qui utilise des armes chimiques en Syrie, est un ami de Genève
Le Conseil de sécurité des Nations unies prévient que le groupe djihadiste Etat islamique (EI ou Daech) met au point des armes de destruction massive (ADM), ce qui représente une menace réelle. Le président du comité du Conseil de sécurité de l'Onu, établi en vertu de la résolution 1540 (2014), Roman Marchesi, a signalé le problème global que représente de nos jours la mise au point d'armes de destruction massive (ADM) par l'Etat islamique. --
" A ce jour, les extrémistes sont plus proches que jamais de la possession et de la production d'ADM (...) Nous nous sommes confrontés à une menace tout à fait réelle", a déclaré le diplomate espagnol devant les journalistes.
Et d'ajouter qu'un récent rapport d'Interpol l'indiquait explicitement, en indiquant notamment que Daech avait son programme de mise au point d'armes chimiques.
"Il y a quelques semaines, le Parlement européen a examiné ce document avant de conclure qu'un risque d'attaque aux ADM de la part de Daech était tout à fait réel", a constaté M.Marchesi.
Selon ce dernier, le meilleur moyen d'éviter ce risque consiste à empêcher à tout prix que matériaux et technologies appropriés tombent entre les mains des terroristes.
"Et le meilleur instrument de prévention à la disposition de la communauté internationale est la mise en application intégrale de la résolution 1540 (2014) du Conseil de sécurité de l'Onu", a souligné le président du Comité 1540.
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En vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies, le Conseil de sécurité a adopté à l'unanimité le 28 avril 2004 sa résolution 1540, dans laquelle il affirmait que la prolifération des armes nucléaires, chimiques et biologiques et de leurs vecteurs constituait une menace pour la paix et la sécurité internationales.
RépondreSupprimerCe document engage par ailleurs les Etats à s'abstenir d'apporter un appui, quelle qu'en soit la forme, à des acteurs non étatiques qui tenteraient de mettre au point, de se procurer, de fabriquer, de posséder, de transporter, de transférer ou d'utiliser des armes nucléaires, chimiques ou biologiques ou leurs vecteurs.
-- Commentaire : Vous pouvez lire aussi:
- En Haïti, au lieu de fournir de l'eau potable, l'ONU préconise de vacciner contre le choléra
- ONU et Guerres de « Libération » : Quand Flambi se rêve en Bush et Sarko réunis !
- ONU : Son dernier souffle
- Mali - Syrie - Iran : l'ONU ou le nouveau facteur de désordre dans le monde
- Nouvelles accusations d'abus sexuels sur des enfants en Centrafrique par des casques bleus
- Viols en Centrafrique : l'ONU « étouffe fréquemment certains crimes »
Pourquoi l'ONU se tient bouche cousue concernant les armes de destruction massive qui sont entassées en Europe ?
Voulez-vous une bombe nucléaire ?
Ou des produits de Monsanto, cette organisation criminelle, qui fabrique elle aussi des ADM d'un tout autre genre ?
A propos des « suicides Monsanto » en Inde
https://fr.sott.net/article/28163-Ayez-de-plus-en-plus-peur-Daesh-aurait-des-Armes-de-Destruction-Massive-ADM-selon-l-ONU
Le coup constitutionnel et la révolution colorée en deux étapes au Brésil
RépondreSupprimerAndrew Korybko
Oriental Review
lun., 25 avr. 2016 12:41 UTC
Traduit par Hervé, vérifié par Wayan, relu par nadine pour le Saker Francophone
Le Brésil est au milieu d'une opération prolongée de changement de régime. Elle est documentée étape par étape par Pepe Escobar, dans ses articles pour Sputnik, RT et Strategic Culture Foundation. L'intention de l'auteur, ici, n'est pas d'entrer dans les spécificités de chacune des situations et de tous les détails derrière les techniques de guerre hybride des États-Unis, mais de fournir un aperçu général des stratégies qui sont en jeu et leur contribution à la théorie de la guerre hybride. Le Brésil est un champ de bataille important de la nouvelle guerre froide, et pas seulement en raison de sa multi-polarité institutionnelle, mais surtout en raison de son rôle dans une vision globale One Belt One Road des Routes de la soie chinoises.
Les Chinois ont annoncé l'année dernière qu'ils envisagent de construire le Twin Ocean Railroad, entre la côte Atlantique du Brésil et la côte Pacifique au Pérou, afin de faciliter le commerce trans-océanique entre les deux membres des BRICS et d'améliorer les capacités du commerce transcontinental de Brasília. Parce que ce méga projet est situé dans la sphère d'influence étasunienne, les exceptionnalistes obsédés par la doctrine Monroe ont accéléré leurs plans de changement de régime pour le Brésil, avec l'intention de renverser son gouvernement et de le remplacer par un gouvernement collabo pro-unipolaire.
De nombreux observateurs se grattent la tête en se demandant comment décrire ce dont ils sont témoins au Brésil, et alors que l'on est face aux évidences d'une révolution de couleur, il serait inexact de la décrire uniquement à travers le prisme de cette définition. Dans le même ordre d'idées, alors qu'elle a été assimilée à une guerre hybride, elle ne correspond qu'aux aspects classiques informationnels / économiques de ce terme, et cela ne satisfait pas vraiment les prérequis d'un changement de régime avec une transition progressive d'une révolution de couleur à une guerre non conventionnelle (ou du moins pas encore). De même, alors qu'il y a certainement un coup d'État constitutionnel en cours, ce n'est également pas complètement cette forme de changement de régime non plus. Au contraire, il y a des éléments des trois stratégies en jeu, et ils interagissent dans une dynamique unique, qui pourrait représenter le dévoilement d'une nouvelle approche structurée visant à subvertir les principaux États multipolaires. Ce qu'il est important de souligner, c'est que l'ensemble de l'opération a été mis en mouvement à la suite de renseignements précieux que la NSA avait glanés au sujet des grandes entreprises du Brésil, et plus tard utilisés comme catalyseur pour un changement de régime, ce qui signifie que pratiquement tous les pays dans le monde sont potentiellement vulnérables à cette sorte de déstabilisation asymétrique.
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L'inquisition anti-corruption
RépondreSupprimerLe véhicule clé exerçant une pression sur la présidente Rousseff n'est pas le mouvement de la Révolution de couleur, lui-même une conséquence de la Révolution de Cachemire, sur le retour de laquelle l'auteur vous avait mis en garde l'été dernier, mais les tentatives de coup d'État constitutionnel qui sont orchestrés pour lui enlever du pouvoir. Il est important de se rappeler que ceux-ci reposent sur une enquête anti-corruption qui, comme Pepe Escobar l'a souligné à plusieurs reprises, est à sens unique et que la cible est le parti au pouvoir. Il a été révélé en septembre 2013, dans le cadre des fuites de Snowden, que la NSA espionnait Petrobras, la société au cœur du scandale du coup d'État constitutionnel, qui soulève à son tour la possibilité que les États-Unis aient obtenu des informations compromettantes sur les activités de corruption présumées des principaux dirigeants du parti au pouvoir et qu'elle attendait le bon moment pour les utiliser.
Cela ne devrait pas être considéré comme une coïncidence que l'enquête anti-corruption Car Wash ait débuté 6 mois après mars 2014, qui correspond au lancement du 6e Sommet des BRICS à Fortaleza au Brésil, cet été là. Au cours de cette grande manifestation internationale, les dirigeants multipolaires se sont engagés à créer une architecture financière alternative, qui sera plus tard connue sous le nom BRICS/New Development Bank et officiellement mise en place un an plus tard à Ufa. A l'époque, Car Wash n'était pas assez grand pour faire dérailler tout cela, mais ce n'était pas non plus censé être une bombe immédiate. Au lieu de quoi, cette opération a peut-être été conçue comme une bombe à retardement qui a été pré-planifiée pour se déclencher à une date ultérieure, que Dilma Rousseff soit restée au pouvoir ou non. Le lecteur doit se rappeler qu'elle n'a remporté que de justesse sa réélection, et si elle ne l'avait pas été, alors on pourrait imaginer que c'est l'opposition qui serait impliquée ou aurait discrètement subi un chantage sous la menace de révélations.
Après tout, Car Wash est un scandale anti-corruption avec des œillères, qui néglige volontairement le ciblage des partis d'opposition et vise uniquement la classe au pouvoir, quel que soit celle qui aurait pu y être. Dans le cas de Rousseff et du Parti des travailleurs, ils sont ciblés par un changement de régime, alors que le Parti social-démocrate brésilien, son rival électoral en 2014, aurait été la cible de chantage afin de garder le pays en ligne avec les préceptes stratégiques américains. D'une façon ou une autre, après avoir lancé l'inquisition Car Wash, les États-Unis allaient l'exploiter selon la situation du moment, en vue d'atteindre et de maintenir son emprise sur le pouvoir de l'establishment politique brésilien. Comme Dilma Rousseff a gagné sa réélection alors que l'enquête était toujours en cours et loin d'être terminée, il apparait inévitable, avec le recul, que cette enquête serait utilisée comme une arme pour renverser son gouvernement et lancer un coup d'État constitutionnel.
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Coups d'État constitutionnel et révolutions colorées
RépondreSupprimerUne fois Rousseff impliquée (encore plus face à l'opinion publique) pour son appartenance présumée et son implication dans Car Wash, les éléments pro-américains embarqués en faveur du changement de régime du gouvernement brésilien sont entrés en action pour lancer la procédure de coup d'État constitutionnel contre elle. En lui-même et présenté comme une enquête anti-corruption biaisée, le coup d'État constitutionnel n'avait aucune apparence de légitimité nationale ou internationale, qui aurait nécessité un mouvement dramatique afin de le justifier. Ce fut le rôle que la naissante Révolution colorée devait jouer, puisque sans des dizaines de milliers de personnes dans la rue, ce coup ne pouvait avoir aucune prétention à servir la démocratie dans son acte d'accusation. Au lieu de cela, la main des États-Unis dans cette opération a été encore plus flagrante que lors du dernier coup d'État constitutionnel en Amérique latine, en 2012 au Paraguay. En outre, le Brésil n'est pas le Paraguay - c'est une puissance multipolaire de premier rang et une nation beaucoup plus grande que son voisin enclavé, et pour réaliser un changement de régime, il faut plus de finesse et de manipulation, via des relations publiques au Brésil, qu'il n'en a fallu au Paraguay.
Par conséquent, la révolution de couleur en elle-même n'a pas réussi a faire pression sur le gouvernement Rousseff, ou à obtenir des concessions de son leadership. L'ensemble de l'opération de changement de régime contre elle, reste basé sur le coup d'État constitutionnel, qui est lui-même déguisé derrière la révolution de couleur qui a attiré l'attention normative de la plupart des médias pro-unipolaires du monde. Ceci peut être prouvé par la couverture médiatique abondante donnée aux milliers de personnes qui protestent contre elle et le ralliement autour d'un canard géant gonflable jaune, par rapport au manque considérable d'attention accordée au rôle de la NSA comme catalyseur dans l'enquête sur la corruption liée à Petrobras. De toute évidence, la raison en est que les États-Unis sont engagés dans un effort concerté pour déplacer le dialogue international de la question des origines de la crise politique à la légitimité normative du pouvoir de Rousseff, impliquant fortement que les manifestants de la Révolution de couleur, en quelque sorte, invalident sa réélection démocratique et légitime, et compensent normativement les transactions louches du coup d'État constitutionnel qui sont utilisées contre elle.
Un risque accru de guerre hybride
À l'heure actuelle, il semble que le coup constitutionnel - révolution colorée en deux étapes pourrait réussir à virer Dilma Rousseff et à la remplacer par le vice-président Michel Temer, qui était déjà en train de s'entraîner pour son discours à la nation post-coup d'État, d'après une fuite récente. Si cela se produit, alors il n'y aurait aucune raison pour que les États-Unis n'intensifient pas leur opération de changement de régime après une guerre hybride, en incitant à une guerre non conventionnelle, mais il pourrait involontairement arriver que les partisans de Rousseff prennent les armes dans le cas où elle soit renversée. Si cela devait arriver, le pays serait certainement jeté dans une guerre hybride de basse intensité, bien que ce développement se produise anormalement après que les États-Unis aient obtenu un succès dans leur mission et non à l'avance, ce qui dans ce cas pourrait les prendre de court, mais cela est impossible à prédire avec précision pour le moment.
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Cependant, étant donné le point auquel l'aile gauche est aimée par des millions de personnes démunies au Brésil et en prenant comme indicateur leurs camarades armés au Venezuela, des personnes de gauche pourraient former des milices afin de se protéger contre tout coup d'État à venir. Se souvenant du niveau étonnant de criminalité qui existe déjà à l'intérieur du pays, il est prévisible que les militants anti-putschistes ou insurgés, puissent facilement se procurer toutes les armes dont ils auraient besoin pour créer une agitation déstabilisatrice. En outre, l'UNASUR a laissé entendre qu'elle pourrait ne pas reconnaître la mise en accusation de Rousseff, ce qui pourrait accorder un degré supplémentaire de soutien normatif à des milices qui s'agiteraient en son nom.
RépondreSupprimerD'autre part, si le processus de changement de régime n'aboutit pas au moment des Jeux Olympiques d'été à Rio et qu'une chose ou une autre arrive à le faire dérailler (par exemple, le Sénat ne vote pas pour poursuivre le processus de mise en accusation), alors il y a un chance que les États-Unis puissent encourager le terrorisme d'extrême-droite contre le gouvernement. Cela aurait pour objectif de provoquer un incident international qui déstabilise le gouvernement brésilien, encore plus que maintenant, précisément au moment où il aurait besoin de la meilleure couverture médiatique qu'il puisse obtenir, et quand il serait le plus vulnérable à une vague de condamnation médiatique unipolaire contre lui. Vu sous un autre angle, si le complot contre Rousseff réussit avant les Jeux, avec ou sans l'avènement de tout mouvement rebelle anti-changement de régime, alors certains pays pourraient choisir de boycotter les Jeux olympiques, afin de montrer leur solidarité avec le gouvernement légitime qui a été illégalement déchu. Cela ne modifie pas les faits sur le terrain, mais ce serait une déclaration forte et symbolique du soutien qui pourrait encourager la naissance de quelques mouvements armés de résistance.
Pour conclure
En évaluant la stratégie américaine de changement de régime contre Rousseff, il est évident que les découvertes de la NSA ont été utilisées pour déclencher les procédures juridiques liées au coup constitutionnel qui a été justifié normativement par la Révolution de couleur pré-planifiée (une continuation de la soi-disant Révolution de Cachemire de 2014). Les protestations n'ont jusqu'à présent pas abouti à un quelconque degré de pression important sur le gouvernement, malgré leur grande taille, avec la seule force tangible anti-gouvernementale venant de l'enquête légale qui a été lancée contre la présidente brésilienne. Rien à ce niveau n'indique que le gouvernement soit menacé par des activistes dans la rue, bien que tout indique qu'il soit totalement déstabilisé par la conspiration Car Wash dirigée contre Roussef.
Bien qu'il n'y a pas de traces de guerre hybride discernables jusqu'à présent (comme dans la définition du changement de régime par l'auteur de ce concept), cela n'exclut pas qu'elles apparaissent dans un proche avenir, que la guerre hybride soit menée par des terroristes d'extrême-droite anti-gouvernementaux ou par des pro-gouvernementaux qui s'insurgeraient contre le coup d'État. Il n'y a aucune garantie non plus que cela se produira, mais la possibilité ne peut être exclue totalement et cette éventualité doit être préparée par les deux côtés. Peu importe ce qui se passera finalement au Brésil, le scénario de changement de régime est en cours, il est emblématique d'un nouveau type d'interaction subversive entre la NSA, les acteurs du coup d'État constitutionnelet les révolutionnaires colorés, et cela pourrait fâcheusement préfigurer une tendance de déstabilisation à l'échelle des États, qui pourrait bientôt être déployée ailleurs contre d'autres cibles multipolaires.
https://fr.sott.net/article/28167-Le-coup-constitutionnel-et-la-revolution-coloree-en-deux-etapes-au-Bresil
Ce qui se passe au Brésil (comme au Venezuela) et qui pourrait touché pratiquent tous les pays du monde (!!!) est que ce sont les Centrales d'Achats qui font 'la pluie ou le beau-temps' !!! Multinationales qui achètent à prix sous le plancher et revende... ou pas !! leurs produits !!
SupprimerCela prive donc un jour les supermarchés de millions de rouleaux de papiers toilette* ou, un autre jour de bouteilles d'eaux ou de laits ou de viandes ou...etc, etc !!!
C'est ainsi que TOUT UN PAYS sombre momentanément dans la pénurie/peur panique.
* Papier-toilette qui est instantannémnt remplacé par des journaux où les quotidiens au Vénézuela comptent 120 pages en semaine et 150 le W-E ! (hahahaha !)
C'est donc là une forme de guerre 'hybride' comme l'envahissement payé par des pays étrangers pour inonder des pays de terroristes armés en attente d'entrer en action s'ils n'ont pas TOUT DE SUITE ce qu'ils demandent !!!
C'est ainsi que d'une part ils reçoivent chacun (adultes ou enfant) 670 €/mois + allocations diverses + soins gratuits + retraites sans avoir cotisé un seul jour !!!! et, de plus ! la dictature monarchique de Bruxelles entendrait faire payer jusqu'à 250 000 € à un pays qui refuserait de laisser rentrer un terroriste !!!
Le crépuscule du mouvement sur le réchauffement climatique ?
RépondreSupprimerMario Loyola, commenté par Judith Curry.
le 6 mai 2016 dans Environnement
Le mouvement écologiste et politique autour du réchauffement climatique doit radicalement se remettre en cause au plus vite.
Voici des extraits du long article intitulé Green Idols : Twilight of the Climate Change Movement écrit pour The National Interest par Mario Loyola :
La face cachée de l’accord de la COP21
Le sommet climatique de l’ONU à Paris fin 2015 s’est achevé par un feu d’artifice. Les gouvernements du monde ont promis des coupes radicales dans les émissions de carbone. Les pays riches ont promis un coup de main aux pays pauvres avec 100 milliards de dollars par an pour les aider. Tout le monde est d’accord pour voir là un résultat historique majeur.
Puis vint le croustillant : l’accord n’est pas contraignant. Le secrétaire d’État John Kerry assura sur Meet the Press de la NBC que la conformité serait imposée par « l’arme puissante » de l’humiliation publique, impliquant apparemment une politique de confrontation verbale avec les États défaillants. Le scientifique danois Bjorn Lomborg qualifia l’accord de Paris comme « le plus coûteux de l’histoire » si appliqué. Selon Lomborg, l’accord « réduirait les températures d’à peine 0,05 degrés Celsius (0,09 degrés Farenheit) d’ici 2100… »* ; c’est tout simplement du théâtre politique, destiné à nous convaincre que nos chefs s’attellent sérieusement à la tâche… un geste incroyablement coûteux mais presque inopérant. Jim Hansen, scientifique de la NASA, ** un des premiers partisans de l’idée que le réchauffement global est d’origine humaine, qualifia l’accord de « foireux, contrefait » et « d’escroquerie ».
Échec de la COP21 : la faute à qui ?
L’évaluation de Hansen est probablement proche de la vérité ; et lui et ses amis n’ont qu’à s’en prendre à eux-mêmes. Bien que ceux qui remettent en cause l’existence même d’un réchauffement global puissent être directement mis de côté, les alarmistes ont été bien trop prompts à écarter les questions légitimes sur l’importance du réchauffement climatique. En fait, ils ont fréquemment qualifié de telles questions d’hérésies à persécuter, adoptant une mentalité encore plus agressivement anti-scientifique que ce dont ils accusent les autres.
En même temps, du côté politique, la demande des alarmistes pour un contrôle économique mondial, y compris un plafonnement des carburants fossiles, est largement recyclée des précédentes modes scientifiques catastrophiques, comme la peur de la pénurie de pétrole de la fin des années 70. En dépit des énormes coûts qu’imposeraient ces politiques, particulièrement sur les pays pauvres, elles ne feraient pratiquement rien pour stopper le changement climatique d’origine humaine, et encore moins protéger quiconque de l’incessant changement climatique naturel qui est l’une des principales et inévitables caractéristiques de notre planète. Elles détournent aussi l’attention des investissements qui rendraient la société moins vulnérable au changement climatique.
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Ne vous laissez pas avoir par la fanfare parisienne : le mouvement du changement climatique va se voir confronté à de gros problèmes. Ses propositions principales contiennent deux erreurs majeures qui ne deviendront que davantage voyantes avec le temps. D’abord, dans un contraste saisissant avec la croyance populaire et les déclarations publiques des officiels gouvernementaux et de nombreux scientifiques, la science sur laquelle sont basées les terribles prédictions de changement climatique anthropique est très loin du niveau de compréhension ou de certitude que le discours populaire lui attribue. Ensuite, et concomitamment, l’adoption par le mouvement d’une forme absolue de principe de précaution dénature l’analyse rationnelle coût-avantage, ou l’évacue totalement par la fenêtre.
RépondreSupprimerLa bonne stratégie pour faire face aux défis environnementaux devra être basée sur des incentives et des mécanismes de marché, une analyse coûts-avantages rationnelle, et un large consensus sur l’importance vitale d’une économie efficace. Les stratégies qui faussent l’analyse coûts-avantages rationnelle (ou la science sur laquelle elle est basée) pour arranger un agenda anti-économique ne marcheront pas et peuvent seulement maintenir l’illusion d’une légitimité jusqu’à ce qu’elles soient discréditées.
Le changement climatique est réel ***
Dans le discours politique, il est souvent nécessaire de simplifier des sujets politiques pour les rendre accessibles au débat public. Mais trop de simplification peut avoir pour effet de troubler le débat public, comme cette malencontreuse déclaration lors du discours sur l’État de l’Union du Président Obama : « Le débat est clos. Le changement climatique est réel. » Bien sûr, le changement climatique est réel. Le climat change perpétuellement. Seul le plus stupide des détracteurs du Président pense autrement, et cela n’aide pas sa cause de démontrer qu’il peut être aussi idiot.
Il est parfaitement évident que la planète s’est refroidie et réchauffée au long des siècles. Il est aussi irréfutable qu’au moins une part significative de ce réchauffement est attribuable au dioxyde de carbone issu de la combustion des carburants fossiles depuis le milieu du XX° siècle.**** Il y a une bonne raison scientifique de croire que cet accroissement de la concentration de gaz à effet de serre constitue presque certainement une contribution nette au réchauffement global. Mais des questions cruciales demeurent à propos de l’importance relative des facteurs naturels qui influencent le climat. Le Président a cependant tort en ce sens que pour ce qui est des questions scientifiques les plus importantes, le débat ne fait que commencer.
Le débat public est dominé par des déclarations simplistes affirmant que le « changement climatique est d’origine humaine » ce qui amène chacun à penser que toute la tendance actuelle au réchauffement est due à l’homme. Mais presque tous les scientifiques du climat s’accordent pour dire que de nombreux facteurs influencent les températures, y compris des variations majeures dans la circulation océanique, des variations de l’orbite de la Terre, de l’activité solaire et de l’activité volcanique. La « déclaration d’attribution » dans le dernier rapport d’évaluation du GIEC est prudemment formulée : « Il est très probable que plus de la moitié de l’augmentation observée de la température moyenne globale de 1951 à 2010 a été causée par l’augmentation des GES et autres forçages anthropiques. »
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La différence entre « plus de la moitié » (le résumé de la littérature scientifique du GIEC) et « tout » ou « presque tout » est cruciale du point de vue de la politique publique. Si seulement la moitié environ du réchauffement observé est due à l’activité humaine, l’analyse coûts-avantages des politiques actuellement proposées est plus que douteuse, et révèle un autre problème : si pratiquement la moitié de la tendance actuelle (quelle qu’elle soit) au réchauffement est due à des causes naturelles, les politiques actuelles seront sans effet.
RépondreSupprimerCeci met en lumière une fonctionnalité auto-corrective importante dans le développement de la science du climat. Oui, il est vrai que nombre de journaux rejettent les articles critiquant le consensus ambiant, et que des priorités de financement renforcent lourdement ce consensus. Mais même le puissant biais en faveur de conclusions pressantes, qui a été introduit dans la recherche scientifique par la politisation persuasive du problème, ne peut inventer facilement de fausses données. Chaque année apporte plus de données brutes que l’année précédente, et l’écart entre les nouvelles données et les simples modèles climatiques augmente.
Les alarmistes disent qu’on doit s’attendre à des écarts, et que les modèles peuvent être affinés. Mais ils se sont eux-mêmes enfermés à tort dans des certitudes alors que des incertitudes considérables demeurent. L’incertitude sur les risques n’est pas nécessairement fatale à une politique de précaution, mais revendiquer de fausses certitudes finit par l’être tôt ou tard. Rappelons-nous la guerre d’Irak et la non-existence des armes de destruction massives de Saddam.
Il y a une grande différence entre admettre que le gazcarbonique anthropique est une cause du réchauffement global actuel, et affirmer qu’il est responsable de pratiquement tout le réchauffement global en cours. Nombre de scientifiques du climat qui admettent que l’homme contribue au réchauffement global sont sceptiques quant aux pronostics de changement climatique catastrophique.
Ce flou des limites entre recherche et plaidoyer trouble le public et laissent les scientifiques désarmés face à des accusations de malhonnêteté professionnelle. Le fait que la vision apocalyptique d’une catastrophe imminente fasse partie de l’orthodoxie obligatoire donne au mouvement une tonalité quasi religieuse, et amène à la persécution des « sceptiques » comme hérétiques.
Des politiques révolutionnaires contre le changement climatique
[…]
Les Américains de l’ensemble du spectre politique pourraient admettre que les preuves scientifiques du changement climatique justifient certaines mesures de précaution, et que la nature est une valeur importante. Mais avec tant d’alarmistes, de Bill McKIbben à Naomi Klein appelant à la fin du capitalisme comme nous le savons, le débat tend à dérailler dès le départ.
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Les alarmistes du climat veulent-ils éliminer l’impact humain sur le climat, quel que soit ce que ferait le climat autrement ? Ou essayent-ils d’éliminer le changement climatique lui-même quelle qu’en soit la cause ? Les paroles confuses d’Obama pour sauver la planète semblent éluder plutôt que clarifier si c’est réellement la planète qui a besoin d’être sauvée de l’humanité, ou l’humanité qui a besoin de se sauver d’elle-même.
RépondreSupprimerLa question n’est pas passée inaperçue. Sur Slate, Joseph Romm concède que la planète se portera bien quoi que nous fassions, donc nous devrions être plus inquiets pour nous-mêmes. Nous vivons sur une planète où l‘adaptation est une compétence nécessaire.
Imaginons que c’est parfaitement possible – qu’une seule percée technologique nous permette de contrôler la température moyenne globale. Pourrions-nous nous mettre d’accord sur ce que devrait être la température idéale ? La température moyenne globale actuelle est-elle idéale ? Beaucoup voudraient considérer cela comme admis, et les alarmistes du climat semblent le présupposer, mais la proposition ne va pas du tout de soi.
En lisant les rapports du GIEC, les alarmistes trouvent l’idée de s’adapter au changement climatique bien moins satisfaisante que celle de le prévenir. Mais leur fixation sur un contrôle économique mondial se ramène à une sorte d’ingénierie climatique parce que cela présuppose que l’humanité n’apprendrait pas à vivre avec une planète en changement. Ainsi nous devons croire que l’espèce la plus adaptative qui ait jamais existé, une espèce si sophistiquée qu’elle peut survivre dans l’espace, exige une température moyenne et un niveau marin absolument stable pour survivre. C’est un défi au sens commun.
La civilisation humaine fait face à de nombreux défis. Nous sommes face à un risque toujours présent de changement climatique dangereux du à des causes naturelles. Nous faisons face à une crise immédiate de perte rapide de l’habitat le plus précieux et essentiel, principalement en raison de l’agriculture et de l’abattage. Le futur nous apportera des défis supplémentaires pour lesquels nous nous trouverons bien moins préparés que nous n’aurions pu l’être. Ce qui est terrible c’est que nous n’accordons que très peu d’attention à ces risques, pour la simple raison qu’ils ne rentrent pas confortablement dans l’agenda essentiellement anti industriel des environnementalistes.
La conférence de Paris est parvenue à un accord sur un Fonds Climatique Global de $100 milliards pour aider les pays en développement à réduire leur empreinte carbone. L’argent serait bien mieux dépensé dans une assistance à l’adaptation, pour s’assurer que les sociétés pauvres préservent leur habitat essentiel tout en améliorant leur accès à ce dont elles auront besoin en cas d’événement climatique vraiment catastrophique : nourriture, eau, et carburants fossiles.
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Commentaires de Judith Curry
RépondreSupprimerJ’ai sélectionné environ le tiers de l’article de Loyola, surlignant les parties que j’ai trouvé les plus pertinentes. Cet article démontre une compréhension remarquable du débat public sur le changement climatique.
Je n’ai pas sélectionné les parties scientifiques. Loyola a mis en lumière la plupart des problèmes importants qui contribuent à l’incertitude majeure de la compréhension du changement climatique. Il a bien vu l’ensemble du tableau, sinon tous les détails.
J’ai mis en gras les remarques que j’ai trouvées les plus pertinentes, voici mes favorites.
L’incertitude sur les risques n’est pas nécessairement fatale à une politique de précaution, mais déclarer de fausses certitudes finit par l’être tôt ou tard.
La différence entre « plus de la moitié » (le résumé de la littérature scientifique du GIEC) et « tout » ou « presque tout » est cruciale du point de vue de la politique publique.
Ce sont deux points extrêmement importants que j’ai aussi essayé de faire, mais hélas pas aussi succinctement ou élégamment.
Il est bon de voir des autorités telles que Mario Loyola donner un point de vue sur le débat du changement climatique.
http://www.contrepoints.org/2016/05/06/251754-le-crepuscule-du-mouvement-sur-le-rechauffement-climatique
*(...) Selon Lomborg, l’accord « réduirait les températures d’à peine 0,05 degrés Celsius (0,09 degrés Farenheit) d’ici 2100… » (...) !!! L'ESCROQUERIE ! Parler de modification de température au centième comparativement au siècles précédents ou à ces dernières décennies où les centièmes n'étaient même pas pris en compte !!!
Supprimer** (...) Jim Hansen, scientifique de la NASA, (...) Jim Hansen N'EST PLUS SCIENTIFIQUE DEPUIS BELLE LURETTE ! Car, pour l'être, il faut l'accord de ses pairs, et lui: ne l'a jamais eu !
*** (...) Le changement climatique est réel (...) Ce changement s'appelle saisons (depuis toujours !)
**** (...) Il est aussi irréfutable qu’au moins une part significative de ce réchauffement est attribuable au dioxyde de carbone issu de la combustion des carburants fossiles depuis le milieu du XX° siècle. (...) !!! 'au moins une part significative' n'a AUCUN SENS car le gazcarbonique ne peut pas être un gazui réchauffe ou même décrit comme 'gaz à effet de serre' alors que le gazcarbonique est le plus lourd de tous les gaz et se trouve au niveau du sol !
- Le dioxyde de carbone, aussi appelé gaz carbonique ou anhydride carbonique, ou CO² !
L'air pèse: 1,2 gr/litre
Gazcarbonique: 1,8 gr/l.
Oxygène (O2): 1,42 gr/l.
Vous pouvez dissoudre 1,7gr de gazcarbonique dans un litre d'eau (à 20 degrés). Ce n'est pas beaucoup, par contre en volume ça fait quand même 0,88 litre de gazcarbonique.
Rappelons qu'au 'COP21' de Paris AUCUN scientifique n'était admis et même... interdit de manifester à l'extérieur ! Le 'GIEC' n'est pas un comité scientifique (puisqu'il n'en regroupe aucun !! hahahaha !) et est une association de malfrats, d'escrocs en tous genres qui définissent entr'eux... le temps qu'il va faire !!! sans avoir fait la moindre étude ! Idem pour les politiciens de merde et journalistes de mes deux qui parlent de science sans avoir fait la moindre étude en ce sens !
Le Kenya s’apprête à fermer le camp de réfugiés le plus grand du monde
RépondreSupprimerInternational
16:21 07.05.2016
Le gouvernement kenyan a rendu publique sa décision de fermer tous les camps de réfugiés du pays, en particulier, le complexe géant Dadaab hébergeant près de 300.000 personnes.
L'intention du gouvernement est annoncée par Karanja Kibicho, représentant du ministère kenyan de l'Intérieur. Une fois cette décision appliquée, près de 600.000 personnes seront laissées dans les rues, indique la chaîne américaine CNN. La plupart de ces migrants sont arrivés de Somalie qui est en proie à une guerre civile.
Les autorités kenyanes soulignent que leur décision a été prise car la présence des réfugiés dans le pays devient un grave problème économique. Par ailleurs, selon la déclaration de M.Kibicho, les camps de réfugiés renforcent la menace terroriste dans le pays.
Selon le représentant du ministère kenyan, cité par la chaîne CNN, le pays en est arrivé à cette décision en prenant en compte la sécurité nationale. Le gouvernement kenyan a appelé la communauté internationale à s'engager dans une responsabilité collective afin de suivre les besoins de centaines de milliers de personnes qui seront touchées par la fermeture des camps.
Les autorités du pays avaient déjà annoncé la fermeture de Dadaab en 2015, mais à l'époque cela n'était qu'une déclaration. Actuellement, elles partent en guerre contre ce camp de réfugiés dont la population est comparable à celle d'Helsinki ou de Wellington. Les autorités ont déjà dissout le département pour la migration. Cependant, le jour exact où les réfugiés devront quitter les camps n'est pas encore fixé.
https://fr.sputniknews.com/international/201605071024813257-kenya-fermeture-camps-refugies/
SupprimerDonc, il n'y a pas deux cas pour la patrie d'ObamasquéÔhéÔhé, car, le Kenya se verrait mal d'accorder 670 € par mois à chaque terroristes , ni 250 000 € par prisonnier non-accepté ! mais attend donc une main charitable capable de les envoyer vite-fait en Europe !
El Chapo utilisation or afin de transférer de l'argent hors des USA
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 06/05/2016 22:05 -0400
Avec les feux bleus clignotants et une équipe SWAT en face de l'entrepôt, une berline noire tiré vers le haut. Un homme est sorti, sauté le tronc, a attrapé une mallette et se dirigea vers Natalie Jewelry. Une fois là, l'homme a entendu pour dire "j'ai juste besoin de déposer cet or et obtenir un reçu. J'ai besoin d'un reçu."
C'est un récit de première main comment or a été livré à un magasin de bijoux de Miami par les cartels de la drogue, pour ensuite être fondu et vendu pour de l'argent.
Comme Bloomberg, rapports, documents judiciaires d'un procès fédéral à Chicago allèguent que le cartel de drogue de El Chapo Sinaloa blanchis des dizaines de millions hors des USA, pas par le biais de sociétés-écran secret câblage fonds de rive, mais de simplement acheter de l'or et de le vendre.
Voici comment la processus de blanchiment aurait travaillé. Quand le cartel de Sinaloa, nécessaire pour récupérer le produit de ses activités de drogue aux États-Unis au Mexique, il serait tout d'abord aller acheter des lingots d'or et d'autres morceaux de ferraille or (parfois plus d'argent) de magasins de bijoux et d'autres entreprises dans la région de Chicago. Ensuite, l'or serait mis dans des boîtes, et sous le nom de « Chicago Gold » ou parfois « Shopping Silver », embarquerions les boites par FedEx à une société près de Miami, appelé Natalie Jewelry.
Une fois que l'or est arrivé chez Natalie Jewelry, la deuxième étape de l'opération a été mises en branle. L'or serait ensuite vendu aux entreprises dénommés raffineries, qui ont fondu de l'or. La raffinerie se prennent une commission et renvoyer le reste du produit à Natalie Jewelry.
Maintenant est venu la partie difficile, qui devenait l'argent hors du pays et au Mexique. Cette partie de l'opération appelée pour un peu plus de créativité, le cartel de créer une entreprise au Mexique appelée De Mexique Metal Britannique. De Mexique Metal britannique serait une facture Natalie Jewelry, faisant apparaître qu'elle avait vendu l'or pour eux. Natalie Jewelry seraient à leur tour prennent leur commission et envoyer le produit final à De Mexique Metal Britannique.
Les factures fait l'ensemble de la transaction semble légitime, et cela a fonctionné pendant une période de temps, comme le cartel a réussi à blanchir un estimatif $ 98 millions à l'aide de ce processus. Toutefois, le Department of Homeland Security a finalement pris sur au régime. "Il y avait juste beaucoup trop d'or en passant par Miami" dudit agent retraité de DHS Lou Bock. Le fait que les dossiers des douanes américaines ont montré une grande quantité d'or qui est traitée par une compagnie à Miami, couplé avec le fait que pratiquement aucun bijoux ne sont faits à Miami, fait l'Agence très suspectes.
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En janvier 2014, selon les rapports de douane montrant les différences entre le volume et la valeur de l'or traité par Natalie Jewelry, les agents fédéraux ont convergé sur le bureau situé dans un parc industriel au nord de Miami. Ils ont saisi en espèces et plusieurs centaines de kilos d'or et d'argent, ainsi que les documents liant la société pour le cartel de Sinaloa.
RépondreSupprimer* * *
Ce régime incroyable a nous demander, avec le passage à bannir les liquidités du système afin de "rendre plus difficile pour les méchants", combien de temps jusqu'à ce que l'or est également interdite? Quelle excuse incroyablement pratique pour obtenir or hors circuit et sous le contrôle direct des planificateurs centraux.
« Si j'avais beaucoup d'argent pour blanchir, je choisirais or, » dit John Cassara, un ancien agent spécial du Trésor américain et auteur de livres sur le blanchiment d'argent. « Il n'est pas vraiment n'importe quoi d'autre comme elle là-bas. » Une fois qu'il est fondu, origines des marchandises sont difficiles à retracer. Il peut être rapidement converti en espèces. Beaucoup de compagnies qui s'occupent en or ne sont pas tenues selon les mêmes normes de conformité que les banques.
http://www.zeroedge.com/news/2016-05-06/how-el-chapo-used-gold-move-money-out-us
HAHAHAHA ! Fini les billets PQ de $500 ! Maintenant c'est du vrai, de l'or pur qui remplace !
SupprimerNota: L'or n'a JAMAIS été une valeur refuge ni ne le sera un jour. C'est pourquoi, discrètement, anonymement et SANS perte ni de confiscation vous pouvez échanger vos billets de banque qui n'ont aucune valeur contre des valeurs étrangères telles que la monnaie CFA (par exemple).
Le coup constitutionnel et la révolution colorée en deux étapes au Brésil
RépondreSupprimerPar Andrew Korybko (USA) –
Le 25 avril 2016 – Source Oriental Review
Le Brésil est au milieu d’une opération prolongée de changement de régime. Elle est documentée étape par étape par Pepe Escobar, dans ses articles pour Sputnik, RT et Strategic Culture Foundation. L’intention de l’auteur, ici, n’est pas d’entrer dans les spécificités de chacune des situations et de tous les détails derrière les techniques de guerre hybride des États-Unis, mais de fournir un aperçu général des stratégies qui sont en jeu et leur contribution à la théorie de la guerre hybride. Le Brésil est un champ de bataille important de la nouvelle guerre froide, et pas seulement en raison de sa multi-polarité institutionnelle, mais surtout en raison de son rôle dans une vision globale One Belt One Road des Routes de la soie chinoises.
Les Chinois ont annoncé l’année dernière qu’ils envisagent de construire le Twin Ocean Railroad, entre la côte Atlantique du Brésil et la côte Pacifique au Pérou, afin de faciliter le commerce trans-océanique entre les deux membres des BRICS et d’améliorer les capacités du commerce transcontinental de Brasília. Parce que ce méga projet est situé dans la sphère d’influence étasunienne, les exceptionnalistes obsédés par la doctrine Monroe ont accéléré leurs plans de changement de régime pour le Brésil, avec l’intention de renverser son gouvernement et de le remplacer par un gouvernement collabo pro-unipolaire.
De nombreux observateurs se grattent la tête en se demandant comment décrire ce dont ils sont témoins au Brésil, et alors que l’on est face aux évidences d’une révolution de couleur, il serait inexact de la décrire uniquement à travers le prisme de cette définition. Dans le même ordre d’idées, alors qu’elle a été assimilée à une guerre hybride, elle ne correspond qu’aux aspects classiques informationnels / économiques de ce terme, et cela ne satisfait pas vraiment les prérequis d’un changement de régime avec une transition progressive d’une révolution de couleur à une guerre non conventionnelle (ou du moins pas encore). De même, alors qu’il y a certainement un coup d’État constitutionnel en cours, ce n’est également pas complètement cette forme de changement de régime non plus. Au contraire, il y a des éléments des trois stratégies en jeu, et ils interagissent dans une dynamique unique, qui pourrait représenter le dévoilement d’une nouvelle approche structurée visant à subvertir les principaux États multipolaires. Ce qu’il est important de souligner, c’est que l’ensemble de l’opération a été mis en mouvement à la suite de renseignements précieux que la NSA avait glanés au sujet des grandes entreprises du Brésil, et plus tard utilisés comme catalyseur pour un changement de régime, ce qui signifie que pratiquement tous les pays dans le monde sont potentiellement vulnérables à cette sorte de déstabilisation asymétrique.
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L’inquisition anti-corruption
RépondreSupprimerLe véhicule clé exerçant une pression sur la présidente Rousseff n’est pas le mouvement de la Révolution de couleur, lui-même une conséquence de la Révolution de Cachemire, sur le retour de laquelle l’auteur vous avait mis en garde l’été dernier, mais les tentatives de coup d’État constitutionnel qui sont orchestrés pour lui enlever du pouvoir. Il est important de se rappeler que ceux-ci reposent sur une enquête anti-corruption qui, comme Pepe Escobar l’a souligné à plusieurs reprises, est à sens unique et que la cible est le parti au pouvoir. Il a été révélé en septembre 2013, dans le cadre des fuites de Snowden, que la NSA espionnait Petrobras, la société au cœur du scandale du coup d’État constitutionnel, qui soulève à son tour la possibilité que les États-Unis aient obtenu des informations compromettantes sur les activités de corruption présumées des principaux dirigeants du parti au pouvoir et qu’elle attendait le bon moment pour les utiliser.
Cela ne devrait pas être considéré comme une coïncidence que l’enquête anti-corruption Car Wash ait débuté 6 mois après mars 2014, qui correspond au lancement du 6e Sommet des BRICS à Fortaleza au Brésil, cet été là. Au cours de cette grande manifestation internationale, les dirigeants multipolaires se sont engagés à créer une architecture financière alternative, qui sera plus tard connue sous le nom BRICS/New Development Bank et officiellement mise en place un an plus tard à Ufa. A l’époque, Car Wash n’était pas assez grand pour faire dérailler tout cela, mais ce n’était pas non plus censé être une bombe immédiate. Au lieu de quoi, cette opération a peut-être été conçue comme une bombe à retardement qui a été pré-planifiée pour se déclencher à une date ultérieure, que Dilma Rousseff soit restée au pouvoir ou non. Le lecteur doit se rappeler qu’elle n’a remporté que de justesse sa réélection, et si elle ne l’avait pas été, alors on pourrait imaginer que c’est l’opposition qui serait impliquée ou aurait discrètement subi un chantage sous la menace de révélations.
Après tout, Car Wash est un scandale anti-corruption avec des œillères, qui néglige volontairement le ciblage des partis d’opposition et vise uniquement la classe au pouvoir, quel que soit celle qui aurait pu y être. Dans le cas de Rousseff et du Parti des travailleurs, ils sont ciblés par un changement de régime, alors que le Parti social-démocrate brésilien, son rival électoral en 2014, aurait été la cible de chantage afin de garder le pays en ligne avec les préceptes stratégiques américains. D’une façon ou une autre, après avoir lancé l’inquisition Car Wash, les États-Unis allaient l’exploiter selon la situation du moment, en vue d’atteindre et de maintenir son emprise sur le pouvoir de l’establishment politique brésilien. Comme Dilma Rousseff a gagné sa réélection alors que l’enquête était toujours en cours et loin d’être terminée, il apparait inévitable, avec le recul, que cette enquête serait utilisée comme une arme pour renverser son gouvernement et lancer un coup d’État constitutionnel.
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Coups d’État constitutionnel et révolutions colorées
RépondreSupprimerUne fois Rousseff impliquée (encore plus face à l’opinion publique) pour son appartenance présumée et son implication dans Car Wash, les éléments pro-américains embarqués en faveur du changement de régime du gouvernement brésilien sont entrés en action pour lancer la procédure de coup d’État constitutionnel contre elle. En lui-même et présenté comme une enquête anti-corruption biaisée, le coup d’État constitutionnel n’avait aucune apparence de légitimité nationale ou internationale, qui aurait nécessité un mouvement dramatique afin de le justifier. Ce fut le rôle que la naissante Révolution colorée devait jouer, puisque sans des dizaines de milliers de personnes dans la rue, ce coup ne pouvait avoir aucune prétention à servir la démocratie dans son acte d’accusation. Au lieu de cela, la main des États-Unis dans cette opération a été encore plus flagrante que lors du dernier coup d’État constitutionnel en Amérique latine, en 2012 au Paraguay. En outre, le Brésil n’est pas le Paraguay – c’est une puissance multipolaire de premier rang et une nation beaucoup plus grande que son voisin enclavé, et pour réaliser un changement de régime, il faut plus de finesse et de manipulation, via des relations publiques au Brésil, qu’il n’en a fallu au Paraguay.
Par conséquent, la révolution de couleur en elle-même n’a pas réussi a faire pression sur le gouvernement Rousseff, ou à obtenir des concessions de son leadership. L’ensemble de l’opération de changement de régime contre elle, reste basé sur le coup d’État constitutionnel, qui est lui-même déguisé derrière la révolution de couleur qui a attiré l’attention normative de la plupart des médias pro-unipolaires du monde. Ceci peut être prouvé par la couverture médiatique abondante donnée aux milliers de personnes qui protestent contre elle et le ralliement autour d’un canard géant gonflable jaune, par rapport au manque considérable d’attention accordée au rôle de la NSA comme catalyseur dans l’enquête sur la corruption liée à Petrobras. De toute évidence, la raison en est que les États-Unis sont engagés dans un effort concerté pour déplacer le dialogue international de la question des origines de la crise politique à la légitimité normative du pouvoir de Rousseff, impliquant fortement que les manifestants de la Révolution de couleur, en quelque sorte, invalident sa réélection démocratique et légitime, et compensent normativement les transactions louches du coup d’État constitutionnel qui sont utilisées contre elle.
Un risque accru de guerre hybride
À l’heure actuelle, il semble que le coup constitutionnel – révolution colorée en deux étapes pourrait réussir à virer Dilma Rousseff et à la remplacer par le vice-président Michel Temer, qui était déjà en train de s’entraîner pour son discours à la nation post-coup d’État, d’après une fuite récente. Si cela se produit, alors il n’y aurait aucune raison pour que les États-Unis n’intensifient pas leur opération de changement de régime après une guerre hybride, en incitant à une guerre non conventionnelle, mais il pourrait involontairement arriver que les partisans de Rousseff prennent les armes dans le cas où elle soit renversée. Si cela devait arriver, le pays serait certainement jeté dans une guerre hybride de basse intensité, bien que ce développement se produise anormalement après que les États-Unis aient obtenu un succès dans leur mission et non à l’avance, ce qui dans ce cas pourrait les prendre de court, mais cela est impossible à prédire avec précision pour le moment.
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Cependant, étant donné le point auquel l’aile gauche est aimée par des millions de personnes démunies au Brésil et en prenant comme indicateur leurs camarades armés au Venezuela, des personnes de gauche pourraient former des milices afin de se protéger contre tout coup d’État à venir. Se souvenant du niveau étonnant de criminalité qui existe déjà à l’intérieur du pays, il est prévisible que les militants anti-putschistes ou insurgés, puissent facilement se procurer toutes les armes dont ils auraient besoin pour créer une agitation déstabilisatrice. En outre, l’UNASUR a laissé entendre qu’elle pourrait ne pas reconnaître la mise en accusation de Rousseff, ce qui pourrait accorder un degré supplémentaire de soutien normatif à des milices qui s’agiteraient en son nom.
RépondreSupprimerD’autre part, si le processus de changement de régime n’aboutit pas au moment des Jeux Olympiques d’été à Rio et qu’une chose ou une autre arrive à le faire dérailler (par exemple, le Sénat ne vote pas pour poursuivre le processus de mise en accusation), alors il y a un chance que les États-Unis puissent encourager le terrorisme d’extrême-droite contre le gouvernement. Cela aurait pour objectif de provoquer un incident international qui déstabilise le gouvernement brésilien, encore plus que maintenant, précisément au moment où il aurait besoin de la meilleure couverture médiatique qu’il puisse obtenir, et quand il serait le plus vulnérable à une vague de condamnation médiatique unipolaire contre lui. Vu sous un autre angle, si le complot contre Rousseff réussit avant les Jeux, avec ou sans l’avènement de tout mouvement rebelle anti-changement de régime, alors certains pays pourraient choisir de boycotter les Jeux olympiques, afin de montrer leur solidarité avec le gouvernement légitime qui a été illégalement déchu. Cela ne modifie pas les faits sur le terrain, mais ce serait une déclaration forte et symbolique du soutien qui pourrait encourager la naissance de quelques mouvements armés de résistance.
Pour conclure
En évaluant la stratégie américaine de changement de régime contre Rousseff, il est évident que les découvertes de la NSA ont été utilisées pour déclencher les procédures juridiques liées au coup constitutionnel qui a été justifié normativement par la Révolution de couleur pré-planifiée (une continuation de la soi-disant Révolution de Cachemire de 2014). Les protestations n’ont jusqu’à présent pas abouti à un quelconque degré de pression important sur le gouvernement, malgré leur grande taille, avec la seule force tangible anti-gouvernementale venant de l’enquête légale qui a été lancée contre la présidente brésilienne. Rien à ce niveau n’indique que le gouvernement soit menacé par des activistes dans la rue, bien que tout indique qu’il soit totalement déstabilisé par la conspiration Car Wash dirigée contre Roussef.
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Bien qu’il n’y a pas de traces de guerre hybride discernables jusqu’à présent (comme dans la définition du changement de régime par l’auteur de ce concept), cela n’exclut pas qu’elles apparaissent dans un proche avenir, que la guerre hybride soit menée par des terroristes d’extrême-droite anti-gouvernementaux ou par des pro-gouvernementaux qui s’insurgeraient contre le coup d’État. Il n’y a aucune garantie non plus que cela se produira, mais la possibilité ne peut être exclue totalement et cette éventualité doit être préparée par les deux côtés. Peu importe ce qui se passera finalement au Brésil, le scénario de changement de régime est en cours, il est emblématique d’un nouveau type d’interaction subversive entre la NSA, les acteurs du coup d’État constitutionnel et les révolutionnaires colorés, et cela pourrait fâcheusement préfigurer une tendance de déstabilisation à l’échelle des États, qui pourrait bientôt être déployée ailleurs contre d’autres cibles multipolaires.
RépondreSupprimerAndrew Korybko est un commentateur politique américain qui travaille actuellement pour l’agence Sputnik. Il est en troisième cycle de l’Université MGIMO et auteur de la monographie Guerres hybrides: l’approche adaptative indirecte pour un changement de régime (2015). Ce texte sera inclus dans son prochain livre sur la théorie de la guerre hybride.
Le livre est disponible en PDF gratuitement et à télécharger ici
Note du Saker Francophone
Dans tous les cas de figure, on pourrait même voir le public brésilien et mondial siffler les sportifs américains à un niveau tel que la politique s'inviterait dans l'espace sportif. On pourrait aussi voir des marques de soutien plus ou moins explicites de sportifs à Dilma pour s'attirer les faveurs du public.
Traduit par Hervé, vérifié par Wayan, relu par nadine pour le Saker Francophone
http://lesakerfrancophone.fr/le-coup-constitutionnel-et-la-revolution-coloree-en-2-etapes-au-bresil
Zika : premier cas de microcéphalie en Espagne
RépondreSupprimerL'Express
sam., 07 mai 2016 04:25 UTC
Un premier cas de microcéphalie, une malformation de la boite crânienne affectant les nouveaux nés, liée au virus Zika, a été diagnostiqué en Espagne. Il s'agirait du deuxième cas détecté en Europe. L'Organisation mondiale de la santé craint une infection de plus grande ampleur avec l'arrivée de l'été et le retour des moustiques.
La crainte d'une épidémie se renforce. Un premier cas de microcéphalie associé au virus Zika a été diagnostiqué chez une femme enceinte en Catalogne, dans le nord-est de l'Espagne. Le deuxième en Europe, après celui diagnostiqué en Slovénie en février dernier.
"Le fœtus présente plusieurs malformations", a indiqué l'agence régionale de la Santé dans un communiqué. "La malformation a été identifiée entre les dix-neuvième et vingtième semaines de grossesse", et inclut "plusieurs malformations, dont la microcéphalie". Selon la presse locale, la patiente aurait décidé de ne pas interrompre sa grossesse.
"Ces symptômes provoquent de grandes difficultés, mais n'induisent habituellement pas la mort du fœtus", a précisé la gynécologue Elena Carreras. Les autorités n'ont donné aucune indication sur l'identité de la patiente, afin de protéger sa vie privée.
Des cas de malformations liés à Zika dans sept pays du monde
Le ministère espagnol de la Santé avait recensé, au 3 mai, 105 cas en Espagne dont 13 sur des femmes enceintes, tous importés d'un pays touché par l'épidémie. Environ 21,8% de la population étrangère résidant en Espagne est originaire d'Amérique latine et des Caraïbes, où sévit l'épidémie. Selon l'Organisation mondiale de la Santé, (OMS) sept pays dans le monde ont rapporté des cas de malformations liées au virus sur leur territoire, la majorité au Brésil.
La microcéphalie est une malformation grave et irréversible qui se caractérise chez les nouveaux-nés par une taille anormalement réduite du crâne et des déficiences neurologiques. L'épidémie de Zika, un virus transmis par le moustique Aedes aegypti, s'est déclarée en Amérique latine en 2015 et s'est rapidement étendue dans la région. Le pays le plus affecté est le Brésil, avec quelque 1,5 million de personnes touchées et près de 1300 cas de microcéphalie.
L'OMS a déclaré l'état d'urgence sanitaire à cause du lien entre le virus et l'augmentation des cas de microcéphalie chez les nouveaux-nés. Tous les cas déclarés en Europe sont pour l'heure importés de régions à risque, mais l'arrivée de l'été et l'apparition de moustiques pourrait provoquer une infection locale.
Commentaire : Concernant le virus :
Zika, moustique OGM : petites expérimentations entre amis ?
Virus Zika : les moustiques génétiquement modifiés à la base de l'épidémie ?
Zika : cui bono ?
https://fr.sott.net/article/28169-Zika-premier-cas-de-microcephalie-en-Espagne
Pour la Russie et la Chine, c'est « accepter hégémonie américaine » ou « Aller à la guerre »
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 07/05/2016 22:15 -0400
Rédigé par Paul Craig Roberts,
Somnolente Europe, Russie et Chine - Le monde peut réveiller ?
Le 19 septembre 2000, va sur ses 16 ans, Ambrose Evans-Pritchard du London Telegraph a rapporté:
"Les documents déclassifiés du gouvernement américain montrent que la communauté américaine du renseignement a mené une campagne dans les années cinquante et soixante d'élan pour une Europe unie. Il financé et dirigé le mouvement fédéraliste européen.
"Les documents confirment les soupçons ont exprimé au moment où l'Amérique travaille agressivement dans les coulisses pour pousser la Grande-Bretagne dans un État européen. Une note, datée du 26 juillet 1950, donne des instructions pour une campagne visant à promouvoir un véritable Parlement européen. Il est signé par le général William J. Donovan, chef de l'Office américaine pendant la guerre des Services stratégiques, précurseur de la CIA."
Les documents montrent que l'Union européenne était une créature de la CIA.
Comme je l'ai déjà écrit, Washington estime qu'il est plus facile de contrôler un gouvernement, l'Union européenne, que de contrôler plusieurs séparent les gouvernements européens. Comme un investissement à long terme dans l'orchestration de l'Union européenne a Washington, Washington est totalement opposé à n'importe quel pays sortant de l'arrangement. C'est pourquoi le président Obama s'est rendu récemment à Londres pour dire ses toutous, le premier ministre britannique, qu'il ne pourrait y avoir aucune sortie Britannique.
Comme d'autres pays européens, les Britanniques n'avaient jamais droit de vote si elles étaient en faveur de leur pays qui cesse d'exister et les européens devenant. Histoire de la Grande-Bretagne deviendrait l'histoire d'un peuple autrefois comme les Romains et les Babyloniens.
La nature oppressive des irresponsables lois européennes, de règlements et de l'exigence de l'UE d'accepter un nombre massif d'immigrants du tiers monde ont créé une demande populaire pour un vote britannique sur l'opportunité de rester un pays souverain ou de dissoudre et de soumettre à Bruxelles et ses décrets dictatoriaux. Le vote est prévu pour le 23 juin.
La position de Washington est que le peuple britannique ne doit pas être autorisé de décider contre l'UE, parce qu'une telle décision n'est pas dans l'intérêt de Washington.
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Le travail du premier ministre consiste à effrayer le peuple britannique, avec des conséquences désastreuses présumées de « faire cavalier seul. » La réclamation est que « petite Angleterre » ne peut tenir seul. Les britanniques sont racontées qu'isolement sort leur fin et leur pays deviendra un remous contourné par le progrès. Tout grand va arriver ailleurs, et il seront laissés de côté.
RépondreSupprimerSi la campagne de peur ne réussit pas et que le vote britannique pour quitter l'UE, la question ouverte est Washington permettra de savoir si le gouvernement britannique à accepter l'issue démocratique.
Par ailleurs, le gouvernement britannique trompera le peuple britannique, comme il fait régulièrement et déclarer que la Grande-Bretagne a négocié des concessions de Bruxelles qui dispose des problèmes qui préoccupent les citoyens britanniques.
Position de Washington montre que Washington croit fermement que les intérêts de Washington seuls comptent. Si d'autres peuples désirent conserver la souveraineté nationale, ils sont tout simplement être égoïstes. De plus, ils sont en situation de non-conformité avec Washington, ce qui signifie qu'ils peuvent être déclarés "une menace pour la sécurité nationale américaine". Les britanniques ne doivent ne pas être autorisés à prendre des décisions qui ne sont pas conformes aux intérêts de Washington. Ma prédiction est que le peuple britannique va être trompé ou substitué.
C'est l'égocentrisme de Washington l'auto-absorption, extraordinaire orgueil et l'arrogance, qui explique la « menace russe » orchestrée. La Russie n'a présenté elle-même à l'ouest comme une menace militaire. Pourtant, Washington fait face à la Russie avec un US / accumulation navale de l'OTAN en mer Noire, une accumulation de troupes et réservoir navale, dans les pays baltes et la Pologne, missile se fonde sur les frontières de la Russie et prévoit d'intégrer les anciennes provinces russes de Géorgie et l'Ukraine en nous la défense pactes contre la Russie.
Quand Washington, ses généraux et les vassaux européens déclare la Russie comme une menace, ils veulent dire que la Russie a une politique étrangère indépendante et agit dans son propre intérêt plutôt que dans l'intérêt de Washington. La Russie est une menace, parce que la Russie a démontré la capacité de bloquer l'invasion prévue de Washington de la Syrie et le bombardement de l'Iran. La Russie émoussé un des buts de coup d'état de Washington en Ukraine par pacifiquement et démocratiquement se réunissant avec Crimera, le site de la base navale de la mer noire de la Russie et une province russe pendant plusieurs siècles.
Peut-être vous vous êtes demandé comment il était possible pour les petits pays comme l'Irak, Libye, Syrie, Yémen, et le Venezuela d'être des menaces à la superpuissance américaine. À première vue la demande de Washington est absurde. Les États-Unis Présidents, Pentagone fonctionnaires, conseillers de sécurité nationale et Président du Joint Chiefs of Staff considère vraiment pays de si peu de capacité comme une menace militaire pour les Etats-Unis et l'OTAN pays ?
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Non, ils n'ont pas. Les pays ont été déclarées des menaces, parce qu'ils ont ou avaient avant leur destruction, les politiques étrangères et économiques indépendantes. Leur indépendance politique signifie qu'ils ne le font pas ou n'acceptent pas l'hégémonie américaine. Ils ont été attaqués afin de les adapter sous l'hégémonie US.
RépondreSupprimerEn vue de Washington, n'importe quel pays avec une politique indépendante est en dehors de parapluie de Washington et, donc, est une menace.
Le Venezuela est devenu, selon les termes des États-Unis le président Obama, "une menace inhabituelle et extraordinaire pour la sécurité nationale et de la politique étrangère des Etats-Unis," nécessitant une "urgence nationale" pour contenir la "menace vénézuélienne" quand le gouvernement vénézuélien a mis les intérêts du peuple vénézuélien au-dessus de ceux des sociétés américaines.
La Russie est devenue une menace lorsque le gouvernement russe a démontré la capacité de bloquer les attaques militaires prévues de Washington sur la Syrie et l'Iran et quelle coup d'état de Washington en Ukraine n'a pas pu livrer, à Washington, la base navale russe de la mer Noire.
Clairement Venezuela ne peut-être menace militaire aux États-Unis, donc le Venezuela ne peut éventuellement poser une « menace inhabituelle et extraordinaire pour la sécurité nationale des Etats-Unis ». Parce que le gouvernement vénézuélien ne satisfait pas aux ordres de Washington, le Venezuela est une « menace ».
Il est absolument certain que la Russie n'a fait aucune menace que ce soit contre les pays baltes, Pologne, Roumanie, Europe ou aux Etats-Unis. Il est absolument certain que la Russie n'a pas envahi l'Ukraine. Comment savons-nous ? Si la Russie avait envahi l'Ukraine, l'Ukraine ne serait plus là. Il serait à nouveau une province russe où jusqu'à ce qu'il y a environ 20 ans l'Ukraine a résidé pendant des siècles, pendant plus de les Etats-Unis a existé. En effet, l'Ukraine appartient en Russie plus de Hawaii et les États du Sud déboussolés et conquis appartiennent aux États-Unis.
Pourtant, ces mensonges fantastiques depuis les plus hauts rangs du gouvernement américain, de l'OTAN, de laquais britannique de Washington, de l'acheté-et-payé-pour les médias occidentaux et de l'UE ont acheté-et-payé-pour sont répètent sans cesse, comme s'ils étaient la vérité révélée de Dieu.
La Syrie existe toujours parce qu'il est sous protection russe. C'est la seule raison la Syrie existe toujours, et c'est aussi une autre raison que Washington veut que la Russie à l'écart.
Do la Russie et la Chine se rendent compte de leur extrême danger ? Je ne pense pas que même l'Iran réalise son danger continue malgré son appel de close.
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Si la Russie et la Chine réalisent leur danger, le gouvernement russe permettrait à un cinquième de ses médias d'être étrangers appartenant ? La Russie comprend-il cela signifie « foreign owned » CIA appartenant ? Si non, pourquoi ? Dans l'affirmative, pourquoi le gouvernement russe autorise son propre déstabilisation aux mains du service de renseignement de Washington par l'intermédiaire de médias étrangers ?
RépondreSupprimerLa Chine est encore plus insouciante. Il y a 7 000 financés par les États-Unis ONG (organisations non gouvernementales) présentes en Chine. Seulement le mois dernier le gouvernement chinois enfin bougea, très tardivement, à mettre des restrictions sur ces agents étrangers qui travaillent pour déstabiliser la Chine. Les membres de ces organisations de trahison n'ont pas été arrêtés. Ils ont simplement été mis sous surveillance de la police, une restriction presque inutile car Washington peut fournir sans fin argent à corrompre la police chinoise.
Russie et la Chine, pourquoi que leur police est moins sensible aux pots-de-vin que police du Mexique ou d'Amérique? Malgré la "guerre contre la drogue" pendant plusieurs décennies, le flux de drogue du Mexique aux États-Unis est sans entrave. En effet, les forces de police des deux pays ont un intérêt énorme dans la « guerre contre la drogue » car la guerre apporte leur richesse sous forme de pots de vin. En effet, comme le crucifié reporter pour le journal San Jose Mercury a prouvé il y a de nombreuses années la CIA elle-même est dans les affaires de trafic de drogue.
Aux États-Unis, vérité-scrutateurs sont persécutés et emprisonnés, ou ils sont rejetés comme « conspirationnistes », « antisémites » et « extrémistes nationaux ». L'ensemble du monde occidental se compose d'une dystopie bien pire que celle décrite par George Orwell dans son livre célèbre, 1984.
Que la Russie et la Chine autorisent Washington à exploiter dans leurs médias, dans leurs universités, dans leurs systèmes financiers et à des ONG « bienfaisance » qui s'infiltrent tous les aspects de leurs sociétés montre que les deux gouvernements n'ont aucun intérêt leur survie en tant qu'Etats indépendants. Ils ont trop peur d'être appelé « autoritaire » par les médias occidentaux presstitute pour protéger leur propre indépendance.
Ma prédiction est que la Russie et la Chine sera bientôt confrontée à une décision malvenue : accepter l'hégémonie américaine ou aller à la guerre.
Remarque : Le sacre prendre sur la transparence des médias russes à la propagande occidentale contre la Russie.
http://www.zerohedge.com/news/2016-05-07/russia-china-its-accept-american-hegemony-or-go-war
Guerre médiatique: les USA versent des millions pour dénigrer les succès russes en Syrie
RépondreSupprimer21:19 07.05.2016
Le cessez-le-feu n'a pas réellement changé la donne en Syrie. Actuellement, le conflit a pris la tournure d'une guerre médiatique sans précédent, considère Patrick Henningsen, analyste géopolitique.
Sous la médiation de la Russie et des Etats-Unis, le cessez-le-feu partiel en vigueur en Syrie a été étendu mercredi à Alep, théâtre de combats entre les forces gouvernementales et des groupes armés.
Cependant, selon Patrick Henningsen, les chances sont minces pour que la trêve puisse changer la situation dans cette ville syrienne: les groupes extrémistes vont en profiter pour gagner du temps, obtenir des renforts et établir de nouvelles voies d'approvisionnement en remplacement de celles coupées par les raids de l'aviation russe, estime-t-il.
"Le problème réside dans le fait que peu importe que ce soit le Front al-Nosra, Ahrar al-Sham ou d'autres groupes terroristes sévissant en Syrie dans les zones contrôlées par les rebelles, ils sont omniprésents au sein de ladite opposition. Vous ne pouvez pas les séparer, c'est juste un jeu qui est en train de se faire", a indiqué l'expert dans un entretien à RT.
Bien qu'un processus diplomatique destiné à apporter une solution à la crise soit en cours, un tout autre jeu se passe "dans les coulisses" et les États-Unis le savent très bien, a pointé M. Henningsen.
Pour Patrick Henningsen, ce que les Etats-Unis sont en train de faire doit être qualifié de "stratégie de la confusion".
"Au fond, c'est fait pour dissimuler et couvrir la salle guerre qui se déroule actuellement en Syrie", a-t-il dit.
L'expert a également commenté les raisons possibles de Washington contestant les actions et les propositions de la Russie sur la Syrie.
"Je crois que la raison c'est la frustration. En octobre 2015, la Russie est arrivée avec un objectif clair et, selon les estimations de beaucoup de gens, cet objectif a été atteint. (…) Ceci a déçu tout le monde, car les Etats-Unis disaient que la Russie s'enliserait dans un bourbier, donc les histoires que crée le département d'Etat sont réduites en miettes", dit-il.
Et d'ajouter que les Etats-Unis avaient versé des millions de dollars dans ce qu'il appelle "Alep est en feu", une campagne médiatique dont le but est d'y arrêter les bombardements, comme c'était le cas avant avec la zone d'exclusion aérienne.
Une guerre médiatique sans précèdent est en train de se dérouler.
https://fr.sputniknews.com/international/201605071024817570-syrie-etats-unis-russie-guerre-mediatique/
Mauvais tour du subconscient: le libre arbitre remis en cause
RépondreSupprimer21:02 07.05.2016
Les scientifiques américains de l’Université de Princeton ont effectué une recherche qui a mis en cause l’existence du libre arbitre. Cette capacité qui est souvent considérée comme un des éléments essentiels de la vie humaine n’est peut-être qu’une illusion.
Adam Bear et Paul Bloom, auteurs de l'étude concernée, ont publié leurs résultats dans la revue Psychological Science. M.Bear a également expliqué les particularités de leur recherche dans son blog sur le site Scientific American.
Selon la déclaration des chercheurs dans un commentaire sur leur étude, ils s'étaient concentrés sur la possibilité qu'un choix apparaisse dans le subconscient humain bien avant qu'il soit pris en réalité.
Selon M.Bear, il est probable qu'au moment de faire un choix, le cerveau humain réécrive l'histoire afin de tromper son porteur: ce dernier se met à penser que ce choix a été pris dès le début, bien qu'en réalité, il a été sélectionné après analyse de ses conséquences au niveau du subconscient.
Les chercheurs avaient la possibilité de vérifier leur hypothèse avec une expérience qui était concentrée autour du choix des images fait par les participants. Les scientifiques ont finalement conclu qu'une partie des participants considéraient leur choix incorrectement. Les chercheurs estiment qu'il s'agit d'un exemple d'une illusion courte qui fait croire au libre arbitre.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201605071024817399-subconscient-libre-arbitre/
Tout çà pour dire que l'on serait incapable de penser, d'avoir son propre-avis et donc: qu'il faut écouter les merdias qui sont des bons dictateurs de merde (avec du sucre par dessus ?)
SupprimerProche-orient et Afrique du nord: vers une catastrophe climatique ?
RépondreSupprimer18:56 07.05.2016
Les changements climatiques menacent une partie importante du proche-orient et de l’Afrique du nord. Selon une étude des scientifiques allemands et chypriotes, ces changements sont capables de provoquer des migrations de masse vers le milieu du XXIe siècle. La crise migratoire actuelle qui a des origines politiques pourrait prendre une autre dimension dans plusieurs décennies. Bien que 175 pays ont signé, fin avril dernier, un accord sur la réduction d'émissions dans l'atmosphère, les auteurs de l'étude estiment que les engagements pris ne sont pas suffisants pour éviter une vraie catastrophe climatique, annonce la société allemande Max Plank.
La recherche effectuée montre qu'au proche-orient et en Afrique du nord, vers 2050, en été, les températures moyennes pourraient atteindre 46°C le jour et au moins 30°C la nuit ce qui représente d'ailleurs un scénario optimiste.
Les chercheurs estiment que les jours marqués par des températures extrêmement élevées seront cinq fois plus nombreux dans ces régions qu'aujourd'hui. Vers la fin du XXIe siècle, la température lors des jours les plus chauds pourrait atteindre 50°C. Le nombre de ces journées pourrait considérablement augmenter.
Les conditions de vie au Proche-Orient et en Afrique du nord pourraient également se détériorer à cause de la baisse de la qualité de l'air. La poussière, en provenance des déserts, apportée par les vents serait capable d'inonder ces régions.
Des prévisions formulées dans 26 modèles climatiques, s'appuyant sur des informations recueillies de 1986 à 2005, ont été comparées par les chercheurs. Bien que le scénario correspondant aux buts fixés lors du sommet climatique soit également possible, le destin des régions menacées pose encore des questions.
Des changements climatiques négatifs ont déjà marqué la vie quotidienne au Proche-Orient et en Afrique du nord. En particulier, ces régions avaient été confrontées à une augmentation du nombre des jours chauds. Des centaines de millions de personnes habitent dans ces zones. Une vague migratoire potentielle liée à une catastrophe climatique pourrait être énorme.
https://fr.sputniknews.com/international/201605071024815302-proche-orient-afrique-nord-climat/
Après les faux réfugiés de guerre, voici arriver les faux réfugiés du climat !!!
SupprimerAvec des mots comme 'menace' ! 'les températures moyennes pourraient atteindre', etc l'emploi du supositif de l'imparfait au conditionnel présent est toujours la menace appliquée de faire croire aux idiots que la mer monte !
Google a accès aux dossiers médicaux de millions de patients britanniques
RépondreSupprimerReeva Verlinden
6 mai 2016
Un document obtenu par New Scientist révèle que le Service National de Santé de Grande-Bretagne (NHS) a donné accès à Google aux dossiers médicaux d’un nombre conséquent de patients.
Le document, un accord de partage de données entre DeepMind, le département d’intelligence artificielle de Google et le Royal Free NHS Trust, stipule que Google a accès à 5 ans de données de santé des 1,6 million de patients passant annuellement par trois hôpitaux gérés par le NHS. On y trouve notamment les noms de patients HIV positifs, victimes d’overdoses ou ayant avorté.
DeepMind conçoit une application destinée au suivi médical des patients souffrant des reins mais, comme ces données ne sont pas séparées des autres, un accès total lui a été donné, pour autant que la firme n’utilise les informations dans aucun autre but et qu’elle détruise l’ensemble des copies.
La base SUS
DeepMind a aussi accès à SUS, la base de données centralisée de tous les traitements réalisés dans les hôpitaux britanniques, car elle développe également une plateforme destinée à conduire des analyses en temps réel d’aide aux diagnostics.
L’idée est de construire un algorithme générique de prédictions de santé basé sur les tests existants, ce qui donnerait un grand contrôle de l’analytique médicale à Google.
Bien que les données soient protégées et même si les copies de DeepMind seront détruites, ces informations ont une énorme valeur marchande et Google a tout le temps de les analyser avant de les détruire…
https://fr.express.live/2016/05/06/google-a-acces-a-une-enorme-banque-de-donnees-de-patients-britanniques/
J'ai pu (tout-à-l'heure) visionner une émission de FR3 (présentée par Élise Lucet) sur... "La montée des eaux " ! (en France). Et donc, des océanographes avaient été invités à se camper au bord de la Méditerranée et Atlantique pour voir (à marée basse)à si l'eau avait monté.
RépondreSupprimerOr, les caméramens de la télé... ne se sont contenté que de filmer les niveaux des pieux (où l'un affiché 7 m de profondeur) sans dire lors du dit-reportage... si la mer avait monté !!! (sur quoi ? hahahaha !). Et (alors là accccccccrochez-vous bien !!:) ils révèleront les résultats... qu'en fin d'années !!! HAHAHAHAHAHAHAHHAHAHA !
Ben oui quoi ! Faut dire qu'ils ont même parlé d'îles dans le Pacifique qui avaient disparu (sans citer leurs noms et endroits ! cause à l'érosion et non 'à la montée des eaux) et, s'ils avaient révélé que la mer était pareille qu'il y a un siècle... çà aurait donc mal foutu la reporter sur place en bottes en plastique et secouristes cachés, et, s'ils avaient dit qu'elle avait montée (la mer, pas la journaliste) des océanographes privés se seraient précipité pour voir et comparer leur données avec les escrocs officiels invités !
Hahahahaha ! C'est pourquoi, il faut du temps pour lisser les données, les corriger et AFFIRMER que OUI ELLE A MONTÉ ! d'un milliardième de millimètre ! Hahahaha !).
Le roi du capitalisme de copinage
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 07/05/2016 19:45 -0400
Via le blog d'Eric Peters Autos,
Si les différents projets de Elon Musk sont tellement fabuleux, Iron Man, pourquoi ont-ils tous besoin tellement gouvernement « aider » ? Ne devrait pas Tesla – et Solar City et SpaceX – être capable de se tenir debout sur leurs mérites... s'ils ont vraiment du mérite ?
Tesla fanbois – et musc lui-même – vous dira tout sur les vertus de ses voitures électriques. Ils sont lisse et rapide. C'est vrai. Mais ils sont aussi chers (le modèle le moins cher, le modèle X en attente, sera apparemment commencer autour de $35 k, environ le même prix comme une berline de luxe comme la Lexus ES350) et sont livrés en standard avec un certain nombre d'importants déficits fonctionnels telle qu'une plage plus optimiste environ la moitié celle des voitures plus classiques et recharge fois au moins 4 - 5 fois aussi longtemps qu'il faudra à ravitailler une voiture conventionnelle.
Voilà si vous pouvez trouver une Tesla station « compresseur ».
Si ce n'est pas le cas, alors le temps de recharge devient heures plutôt qu'une demi-heure.
Mais le vrai problème avec les voitures de Tesla est que personne ne les achète en fait.
Eh bien, pas directement.
Leur fabrication est fortement subventionnée – et leur vente est fortement subventionnée
Quoi qu'il en soit, le contribuable (plutôt que "l'acquéreur") est celui qui obtient le projet de loi.
Sur la fin de fabrication, Tesla a obtenu $ 1,3 milliard dans spécial copinage capitaliste- « incitations » de l'état du Nevada pour construire son usine de batterie il. Cela inclut une exemption de l'obligation de payer des impôts fonciers (à la différence de toi et moi) pour les 20 prochaines années. Une autre incitation était $ 195 millions en crédits d'impôt transférables – que Tesla pouvait vendre pour de l'argent.
Californie fournit des incitatifs semblables – y compris $ 15 millions de l'Etat de Californie pour "créer des emplois" dans l'État.
Tesla n'a aucun argent en vendant des voitures, non plus.
Il gagne de l'argent en vendant des « crédits carbone » de vrais constructeurs automobiles qui font des véhicules fonctionnellement et économiquement viables qui peut et se vendent sur le fond – mais qui ne sont pas des véhicules "zéro émission", comme la Tesla électrique est prétendu être (mais n'est pas, en fait, à moins que vous ne comptez pas les émissions produites par les centrales qui fournissent l'électricité qu'ils courent sur ou les émissions produites minière les matériaux nécessaires pour faire des centaines de kilos de batteries requises par chaque voiture).
(suite en dessous:)
Lois dans neuf États (dont la Californie) exigent de chaque constructeur vendant des voitures dans l'état de vendre un certain nombre de véhicules « zéro émission », une autre amende. Depuis, seuls les voitures électriques sont admissibles en vertu de la Loi comme des véhicules « zéro émission » – et la majorité des voitures faites par les constructeurs automobiles réels n'est pas des voitures électriques – ils finissent par avoir à « acheter » (citations de l'air pour la même raison que vous êtes un « client » de l'IRS) ces « crédits carbone » de Tesla, subventionnement des opérations de Tesla et en ajoutant les frais de fabrication de leurs propres voitures fonctionnellement et économiquement viables.
RépondreSupprimerLe montant de Tesla a « gagné » de cette façon est dans le quartier de $ 517 millions.
Tesla est un dernier cri sur la Reine bien-être. Ou plus exactement, la carte EBT – qui vise à chercher à une carte de crédit. Pour avoir l' apparence d'une opération légitime... par opposition à un paiement d'aide sociale.
Sous les paillettes et le sens du spectacle, c'est ce que tous les "Entreprises" de musc sont les propos. Ils sont tous dépendent entièrement sur le gouvernement – c'est-à-dire, contribuable "aide" – pour survivre.
Sans cette « aide », aucun de Tesla de musc ne pourrait survivre.
On estime que Tesla diverses entreprises – dont sa nouvelle opération de panneau solaire SolarCity et SpaceX – ont les contribuables de coût au moins $ 4,9 milliards, avec Tesla représentant environ la moitié de cette dole.
Et il a toujours perd de l'argent.
Musc fanbois va contrecarrer en soulignant que les autres entreprises, y compris l'industrie automobile, également obtenir « aide » du gouvernement (c'est-à-dire par les contribuables) qui est parfaitement vrai. Mais qui n'est pas vraiment une défense – beaucoup moins une réfutation de l'accusation, ce musc est un copinage capitaliste.
Qui est tous qu'il est.
La vraie différence entre les opérations de musc et ceux de General Motors dire est que les produits de General Motors sont fondamentalement viable étant de Tesla pas. GM est heureux d'accepter le gouvernement « aide » lors de l'offre, mais il n'est pas nécessaire pour les contribuables de financer la production de Corvettes – ni fournir des milliers de dollars en incitations en espèces à chaque acheteur éventuel afin de "stimuler" les ventes.
La straight dope est que Tesla ne pouvait pas construire une voiture seule sans l'aide du gouvernement. À emporter que « aider » et le coût réel serait si prohibitifs que pratiquement personne sauf peut-être camarades milliardaires comme musc avec argent à brûler sur les jouets achèterait une Tesla.
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Comme il est – même avec des subventions massives au niveau de la fabrication et puis de nouveau au niveau du détail – chaque Tesla encore « vend » à une perte de plusieurs milliers de dollars par voiture... ajoutant jusqu'à presque $ 400 millions cette année (la compagnie vient d'annoncer cela ; voir ici).
RépondreSupprimerLa Tesla typique « acheteur, » en attendant, a un revenu annuel de plus de 250 000 $.
Pourquoi les contribuables – la majorité d'entre eux ne gagnent 250k $ – être taxés afin d'appuyer le « achat » de voitures exotiques électriques par des gens extrêmement riches ?
Pourquoi les contribuables devraient être apportées pour subventionner des "Entreprises" de musc ?
Il est un milliardaire.
Et – on nous dit constamment – un gars vraiment intelligent.
Sûrement il pourrait financer (ou trouver) les capitaux privés nécessaires pour financer ses différents projets. Le fait qu'il pourrait pas trouver privé – c'est-à-dire disposés – investisseurs, mais au contraire doit se fonder sur le pouvoir coercitif du gouvernement pour financer ses projets en dit long sur la valeur fondamentale de ses projets.
Il « réussit » uniquement en raison de sa capacité à jouer avec le système, ne pas en offrant des produits que les gens sont prêts à payer pour (à l'aide de leur propre argent, autrement dit).
L'image de Tony Stark vraie vie héroïque Nonobstant, musc est un opérateur – pas un créateur de valeur.
Il a plus en commun avec les oligarques capitalistes de vautour de l'ex-Union soviétique qu'avec l'homonyme de sa compagnie de voiture électrique.
http://www.zerohedge.com/news/2016-05-07/king-crony-capitalism
SupprimerPuisqu'on vous dit que c'est de l'ÉNERGIE GRAAAAATUITE ! (a condition de payer !) Hahahaha !