le 28 mai 2016
par jacqueshenry
par jacqueshenry
.
Alors que le gouvernement français pousse EDF à persévérer dans le projet Hinkley Point C en Grande-Bretagne, la mise en chantier d’un nouvel EPR avec on ne sait pas trop quel financement, ce qui a d’ailleurs conduit le Directeur financier d’EDF à proprement claquer la porte, cette monstruosité technologique et financière se trouve laminée par la technologie des réacteurs dits SMR selon la terminologie de l’IAEA, l’agence internationale de l’énergie atomique. Le SMR – acronyme de Small Modular Reactor – est une technologie en kit, fabriquée en série pour atteindre un coût le plus bas possible, et dont la mise en oeuvre ne dépasse pas 3 à 5 ans. Depuis 2011 le Département de l’Énergie américain a fait le choix de privilégier cette technologie au détriment des grands projets de puissance électrique supérieure à 1000 MW électriques. À la suite d’un appel d’offre gouvernemental, des compagnies comme Westinghouse, Holtec, NuScale ou encore General Atomics ont présenté leurs projets. L’affaire a suivi son cours jusqu’à récemment lorsque la TVA, Tennessee Valley Authority, une compagnie d’électricité appartenant à l’Etat fédéral américain, a déposé un projet de SMR qui a été approuvé par la NRC et qui sera développé sur le site d’Oakridge avec l’appui technologique de la société Babcok & Wilcox.
.
Parallèlement, la Grande-Bretagne soutient financièrement le développement de SMRs sur son territoire alors que celui d’Hinkley Point est toujours pendant. On se trouve donc dans une situation où s’opposent les tenants du gigantisme et ceux des petits réacteurs modulaires de 300 MW beaucoup mieux adaptés aux réseaux de transport et de distribution existants. Pour résumer la situation actuelle dans le monde, les SMRs ont le vent en poupe : 11 SMRs sont en cours de construction en Chine, Corée du Sud, Russie et USA et 13 autres en sont encore au stade d’études d’ingénierie au Japon, en Russie, aux USA, en Inde, au Canada et au Pakistan. Mise à part la technologie chinoise, deux configurations sensiblement identiques sont développées aux USA par Babcock & Wilcox, d’une part, et par Westinghouse d’autre part. Quant à la Chine, CNNC propose une gamme de puissances électriques allant de 100 à 350 MW dans une configuration proche de celles choisies aux USA.
.
L’intérêt du SMR est sa structure modulaire, fabriquée en usine puis transportée sur site. Economiquement et à l’évidence, lorsque de grandes séries seront projetées le coût global de telles unités de production électrique pourra atteindre un milliard de dollars par 300 MW électriques prévues pour durer 60 ans avec un rechargement de combustible tous les deux ans et des systèmes de sécurité dits passifs c’est-à-dire ne nécessitant pas de redondance particulièrement coûteuse comme dans le cas de l’EPR. Il serait peut-être urgent qu’EDF revoie sa copie au sujet d’Hinkley Point C quand la tendance pour les nouveaux projets d’énergie nucléaire s’oriente à l’évidence vers les petites unités. Source : World Nuclear Association http://www.world-nuclear.org/information-library/nuclear-fuel-cycle/nuclear-power-reactors/small-nuclear-power-reactors.aspx
.https://jacqueshenry.wordpress.com/2016/05/28/edf-le-gouvernement-persiste-dans-lerreur/
.
Parallèlement, la Grande-Bretagne soutient financièrement le développement de SMRs sur son territoire alors que celui d’Hinkley Point est toujours pendant. On se trouve donc dans une situation où s’opposent les tenants du gigantisme et ceux des petits réacteurs modulaires de 300 MW beaucoup mieux adaptés aux réseaux de transport et de distribution existants. Pour résumer la situation actuelle dans le monde, les SMRs ont le vent en poupe : 11 SMRs sont en cours de construction en Chine, Corée du Sud, Russie et USA et 13 autres en sont encore au stade d’études d’ingénierie au Japon, en Russie, aux USA, en Inde, au Canada et au Pakistan. Mise à part la technologie chinoise, deux configurations sensiblement identiques sont développées aux USA par Babcock & Wilcox, d’une part, et par Westinghouse d’autre part. Quant à la Chine, CNNC propose une gamme de puissances électriques allant de 100 à 350 MW dans une configuration proche de celles choisies aux USA.
.
L’intérêt du SMR est sa structure modulaire, fabriquée en usine puis transportée sur site. Economiquement et à l’évidence, lorsque de grandes séries seront projetées le coût global de telles unités de production électrique pourra atteindre un milliard de dollars par 300 MW électriques prévues pour durer 60 ans avec un rechargement de combustible tous les deux ans et des systèmes de sécurité dits passifs c’est-à-dire ne nécessitant pas de redondance particulièrement coûteuse comme dans le cas de l’EPR. Il serait peut-être urgent qu’EDF revoie sa copie au sujet d’Hinkley Point C quand la tendance pour les nouveaux projets d’énergie nucléaire s’oriente à l’évidence vers les petites unités. Source : World Nuclear Association http://www.world-nuclear.org/information-library/nuclear-fuel-cycle/nuclear-power-reactors/small-nuclear-power-reactors.aspx
.https://jacqueshenry.wordpress.com/2016/05/28/edf-le-gouvernement-persiste-dans-lerreur/
Effectivement, toute centrale électrique butte contre le même mur quelle que soit la provenance de l'énergie: la distance !
RépondreSupprimerEt oui, l'électricité se transporte mal et même... très mal. 1/3 de l'énergie produite en centrale (nucléaire, gaz, pétrole, charbon, bois, vent, soleil, etc) sert uniquement à pousser l'électricité sur les fils ! le 2ème tiers lui, se barre en cours de route !! (Ne jamais s'approcher de lignes à haute tension) et, seulement le 3ème tiers arrive chez lez consommateur.
C'est pourquoi, lorsque des constructeurs de centrales n'ayant fait d'étude parlent d'énergie développée - outre le fait qu'il s'agit généralement seulement de pics !! - ils omettent de diviser le chiffre par 3 pour parler de la réalité !
Poutine vœux représailles au-dessus du bouclier antimissiles américain ; Met en garde la Pologne, la Roumanie maintenant dans le « réticule »
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 28/05/2016 12:38 -0400
Alors qu’Obama était à Hiroshima dans un voyage historique comme le premier président permanent de la seule nation à avoir jamais utilisé une arme nucléaire au cours de la guerre et la mise en garde contre les dangers du nucléaire sans offrir d’excuses au Japon, le Président russe Poutine a été en Grèce qui cherchent à reprendre où il avait laissé l’an dernier, devant la Grèce turbulente "référendum" et les contrôles de capitaux, suite à laquelle le peuple grec est retourné plus en plus contre restant dans l’Eurogroupe, un changement dont Poutine certainement espère tirer profit.
Tsipras a commenté sur twitter :
Grec-russe des relations constituent un élément important de notre politique étrangère active, multidimensionnel. Nous avons amélioré notre dialogue politique 1/2
— Alexis Tsipras (@tsipras_eu) 27 mai 2016
Sa présence à Athènes marque le renforcement de nos relations au cours de l’année écoulée. 2/2
— Alexis Tsipras (@tsipras_eu) 27 mai 2016
Mais ce n’était pas le dernier pivot grec envers la Russie qui a été le point culminant du voyage de m. Poutine : c’était son dernier avertissement que la réponse russe à la dernière provocation de l’OTAN en Europe seront importante.
Rappelons que le 12 mai, dans une évolution dramatique pour l’équilibre nucléaire mondial, que les Etats-Unis ont lancé son système de défense antimissile européenne surnommé égide à terre à une base aérienne de distance dans la ville de Deveselu, Roumanie, presque une décennie après que Washington a proposé protégeant l’OTAN de missiles iraniens et malgré les avertissements répétés de russes que l’Occident menace la paix en Europe centrale.
Comme nous avons noté à l’époque, le déménagement des États-Unis était une dissociation claire de l’équilibre soigneusement établi de la théorie des jeux à la suite de la course aux armements nucléaires, qui a supprimé explicitement un russe « menace de first strike », ainsi faire pression sur la Russie d’appliquer des mesures nucléaires offensives et défensives: « le précaire équilibre des forces nucléaires en Europe a changé tout à coup et de façon assez spectaculaire : malgré les assurances américaines, le Kremlin a dit but réel du bouclier antimissile est de neutraliser l’arsenal nucléaire de Moscou assez longtemps pour les Etats-Unis de faire une première frappe sur la Russie en cas de guerre"
Et bien sûr, ce qui en fait très clairement que cette plus grande encore de provocation par les Etats-Unis et l’OTAN n’est pas oubliée, lors d’une conférence de presse conjointe avec Tsipras en Grèce, Poutine a mis en garde de la Roumanie et la Pologne, ils pourraient se retrouvent dans le collimateur des fusées russes parce qu’ils organisent des éléments d’un missile américain bouclier que Moscou considère comme une menace à sa sécurité.
(suite en dessous:)
Poutine, cité par Reuters, publié son AVERTISSEMENT pires encore sur le bouclier antimissile, affirmant que Moscou avait déclaré à plusieurs reprises qu’elle devra prendre des mesures de rétorsion mais que Washington et ses alliés avaient ignoré les avertissements.
RépondreSupprimer« Si hier dans les régions de Roumanie tout simplement, les gens ne savaient pas ce que veut dire être dans la Croix, alors aujourd'hui nous serons contraints d’effectuer certaines mesures afin d’assurer notre sécurité » Poutine a dit à une conférence de presse conjointe à Athènes avec le premier ministre grec Alexis Tsipras. « Ce sera le cas même avec la Pologne », dit-il.
« Au moment où les missiles intercepteurs installés ont une portée de 500 kilomètres, bientôt cela va aller jusqu'à 1000 kilomètres et pire que cela, ils peuvent réarmées avec missiles offensifs de 2400 km-gamme encore aujourd'hui et il peut être fait en changeant simplement le logiciel, afin que même les Roumains eux-mêmes ne sauront. »
Poutine n’a pas précisé ce que prendrait la Russie des actions, mais il a insisté sur le fait qu’il ne faisait pas de la première étape, seulement répondre à déplace par Washington. «Nous ne prendra aucune mesure jusqu'à ce que nous voyons des fusées dans des domaines qui nous voisin."
"Nous avons la capacité de réagir. Tout le monde a vu ce que nos missiles à moyenne portée en mer sont capables de [en Syrie]. Mais nous ne violer aucun accord. Et nos missiles Iskander terrestres ont aussi fait leurs preuves comme superbe," a continué de Poutine.
Outre saper récit provocateur du Pentagone, le Président russe a déclaré l’argument que le projet était nécessaire pour se défendre contre l’Iran n’avait aucun sens car un accord international est intervenu pour freiner le programme nucléaire de Téhéran. Les missiles qui formeront le bouclier peuvent atteindre facilement les villes russes, dit-il.
« Comment pouvez que pas créer une menace pour nous? » Poutine a demandé.
Il a exprimé la frustration que les plaintes de la Russie sur le bouclier antimissile n’avaient pas été entendus. "Nous avons répété comme un mantra que nous serons contraints de réagir... Personne ne veut nous entendre. Personne ne veut mener des négociations avec nous."
Et puisque personne ne va négocier avec la Russie, le Kremlin devra prendre des mesures offensives dans ses propres mains : nous savons déjà ce qui sera le premier. Rappeler quel Président Dmitiry Medvedev a déclaré en novembre 2008: "Russie déploiera des missiles Iskander dans son enclave de Kaliningrad à neutraliser, si nécessaire, le système antimissile balistique en Europe."
Une fois que des systèmes de missiles tactiques russes SS-26 sont encore introuvable sur les frontières de l’Europe qui tout à coup en face non seulement a un adversaire de l’arme nucléaire sur ses frontières, mais un en cours - et souvent malveillant - afflux d’immigrants au sein, alors tous les Paris sur l’avenir pacifique du continent européen, la principale raison derrière la création de l’Union européenne et la zone euro, sera une fois de plus au large.
(suite en dessous:)
- voir tableau sur site -
RépondreSupprimerMais pas avant l’OTAN et le Pentagone répondent de façon symétrique et déploiement plus d’armes nucléaires de leurs propres aux frontières orientales de l’Europe et elles visent carrément à Moscou, comme le jeu de guerre froid précaire équilibre théorique est complètement détruite. A ce moment la nouvelle course aux armements nucléaire seront rentrés complètement.
http://www.zerohedge.com/news/2016-05-28/putin-vows-retaliation-over-us-missile-shield-warns-poland-romania-now-cross-hairs
Effectivement, tous pays accueillant des missiles americains de l'OTAN est explicitement ennemi de la Russie et, au cas où la Russie est attaquée, elle dirigera ses canons vers les pays qui accueillent leur déchéance.
SupprimerPoutine : la Roumanie est «en ligne de mire» après l’ouverture du site antimissile de l’OTAN
RépondreSupprimer28 mai 2016, 07:17
Avec l’intention de renouer des liens avec l’UE lors de sa visite en Grèce, Vladimir Poutine a noté que la Russie n’avait pas d’autre choix que de cibler la Roumanie, qui a ouvert récemment un site faisant partie du bouclier antimissile de l’OTAN.
«Si hier les gens ne savaient simplement pas ce que veut dire se trouver en ligne de mire dans ces régions de Roumanie, aujourd’hui nous serons obligés de prendre certaines mesures pour assurer notre sécurité. Et il en ira de même pour la Pologne», a fait savoir vendredi le président russe lors d'une conférence de presse en compagnie du Premier ministre grec Alexis Tsipras, vendredi 27 mai à Athènes.
Lire aussi Jeux de guerre en Roumanie : les Etats-Unis se rapprochent de la frontière russe (VIDEO)
Ainsi, le chef du Kremlin a fait référence au système de défense antimissile de Deveselu, dans le sud de la Roumanie, qui est devenu opérationnel en mai. Insistant sur le fait que de telles installations pouvaient facilement être converties en bases capables de tirer des missiles de courte et moyenne portée, il a souligné être en mesure de répondre à cette menace.
«Tout le monde a vu de quoi nos missiles de moyenne portée basés en mer sont capables [en Syrie]. Mais nous ne violons aucun accord», a-t-il précisé.
Lire aussi : la France craint que le bouclier antimissile de l’OTAN ne cache la main du Pentagone
#Bouclier antimissile #Europe "Un pas de + dans la hausse tensions internationales" #Poutinehttps://t.co/l19brNf4Ocpic.twitter.com/jJyJAjjqGn
— RT France (@RTenfrancais) 13 mai 2016
Alexis Tsipras a à son tour rappelé que la Russie était un acteur au théâtre de la sécurité européenne et que les tentatives actuelles d’aliéner Moscou à l’aide des mesures de sanctions, lui fait penser au temps de la guerre froide.
«La sécurité européenne ne peut pas être atteinte sans coopération ou dialogue avec la Russie», a expliqué Tsipras dans une interview à Sputnik. «Je ne crois pas que nous pouvons progresser ou nous conformer au droit international alors nous nous trouvons dans un cercle vicieux de sanctions, de militarisation et de rhétorique de la guerre froide.»
Le président russe est arrivé en Grèce le vendredi 27 mai pour deux jours. Son séjour dans le pays prévoit les rencontres avec son homologue grec Prokopis Pavlopoulos et le Premier ministre Alexis Tsipras, ainsi que la visite du mont sacré Athos samedi, à l’occasion du millénaire de la présence de moines russes en ce lieu.
https://francais.rt.com/international/21283-poutine-roumanie-securite-missile-tsipras
La Chine met en garde le monde : L’Amérique est « La plus grande menace à la paix et la stabilité »
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 27/05/2016 21:00 -0400
Ce n’est aucun un secret que les relations entre les Etats-Unis et la Chine ont été tendues depuis un certain temps. Plus tôt ce mois-ci quand aux États-Unis navigué son destroyer lance-missiles, l’USS William P. Lawrence à 12 milles marins du récif de croix ardente occupée par les chinois, il a fini en Chine de brouillage des deux avions de combat et trois navires de guerre à occulter le destructeur et le convaincre de quitter la zone.
Aux Etats-Unis, a admis qu’il a navigué le USS William P. Laurent de l’île contestée afin de "contester les créances maritimes excessives" faite par la Chine. À son tour, la Chine avait ceci à dire au sujet de l’effort américain: «cette action par le côté américain a menacé la souveraineté de la Chine et la sécurité intéresse, mis en danger le personnel et les installations sur le récif et endommagé la paix et stabilité."
Comme les États-Unis se mêle dans les litiges de la mer de Chine méridionale, Chine a été de plus en plus vocale sur son mécontentement, et qui est sorti très directement dans les récentes observations formulées jeudi.
L’ONU s’apprête à statuer sur un litige maritime entre la Chine et les Philippines, et en discutant de ce potentiel arrêt Yang Fawzi, porte-parole pour le ministère de la défense nationale (MDN) a déclaré lors d’une conférence que l’implication américaine dans ces types de conflits est la plus grande menace pour la région.
De la Russie d’aujourd'hui
Jeudi, la Chine a déclaré qu’elle ne reconnaîtrait pas le verdict des Nations Unies sur la question, à moins que les revendications de la Chine sont à l’honneur.
N’importe quel type de décision de la Cour rend, Chine n’est pas accepter ni reconnaître l’arbitrage," Yang Fawzi, porte-parole pour le ministère de la défense nationale (MDN) a déclaré lors d’un briefing. "C’est le droit de la Chine conféré par les lois internationales. En ce faisant, nous sommes effectivement en suivant et en observant les lois internationales".
La tension est étant aggravée encore par une sans cesse croissante de la présence américaine dans la région de, dont plusieurs alliés également exposer les réclamations aux îles. La Chine a appelé l’implication américaine dans le conflit la « plus grande » menace pour la région.
Certains pays en dehors de la région montrent fréquemment que ses effectifs militaires dans la région de la mer de Chine méridionale et c’est en fait la plus grande menace à la paix et la stabilité dans la région. Que nous leur demandons instamment d’attiser une tempête dans un verre d’eau et butée de semer les germes de la discorde afin de maintenir la paix et la stabilité dans la mer de Chine méridionale, qui est conforme à l’intérêt commun de toutes les parties, "a déclaré Yang.
(suite en dessous:)
Yang a continué pour dire que "la cause des risques de sécurité et des accidents potentiels dans les airs et en mer entre la Chine et les Etats-Unis est essentiellement les activités à grande échelle et plus fréquentes près dans la reconnaissance à la Chine par les aéronefs et les navires militaires américains à long terme,."
RépondreSupprimerLa déclaration faite par résume de Yang parfaitement ce que nous disons depuis un certain temps maintenant. Plus les États-Unis provoquent la Chine et la Russie d’ailleurs, la probabilité d’augmentation incidente internationale. Bien sûr, c’est peut-être ce qui aux États-Unis a été après tout le long.
http://www.zerohedge.com/news/2016-05-27/china-warns-world-america-greatest-threat-peace-stability
SupprimerPas plus que n'est admissible l'incursion étrangère en Libye, Syrie, Irank ou autres Afghanistans, la Chine a parfaitement raison de défendre son pays et, ces immigrés terroristes qui font la honte du monde entier vont bientôt connaître un "US GO HOMME" les pieds devants !
La Russie et la Chine lancent leur premier exercice de défense antimissile
RépondreSupprimer17:07 28.05.2016
Il s'agit du premier exercice informatique sino-russe de défense antimissile baptisé "Sécurité Aérospatiale - 2016".
Selon un porte-parole du ministère russe de la Défense, les militaires chinois et russes ont mis au point des actions coordonnées visant la protection du territoire contre les missiles balistiques et de croisière.
"Conformément à la décision des ministres de la Défense de la Fédération de Russie et de la République populaire de Chine, l'exercice conjoint informatique russo-chinois de défense antimissile +Sécurité Aérospatiale-2016+ a eu lieu pour la première fois du 23 au 28 mai à Moscou", rapporte le communiqué.
Selon la source, les objectifs ont été atteints dans leur totalité. L'exercice ne visait aucun pays tiers.
https://fr.sputniknews.com/defense/201605281025384147-russie-chine-exercices-abm/
Manifestation anti-réfugiés à Paris (VIDEOS)
RépondreSupprimer17:55 28.05.2016
Une manifestation contre l'immigration massive "On est chez nous!" s'est tenue dans la capitale française. Les manifestants, rassemblés sur la place Monge à Paris sous la pluie battante, ont déclaré qu'ils souhaitaient vivre selon les traditions et les valeurs françaises et ont critiqué le système d'intégration des immigrés en France.
Selon un correspondant de Sputnik présent sur place, les protestataires portant des drapeaux français ont scandé "Non à l'islamisation!", "Français en colère" et "Ici c'est chez nous!" et ont chanté La Marseillaise.
"Le message qu'on passe aujourd'hui est qu'on est chez nous. Ce message est assez simple, mais qui est chargé de sens pour la jeunesse de notre pays. Aujourd'hui, on est confronté à une immigration massive (…), et particulièrement avec la vague des migrants", a déclaré à Sputnik Arnaud Delrieux, président du mouvement Génération identitaire, un des organisateurs de la manifestation.
Selon lui, le système politique actuel a rendu possible les attentats du Bataclan et d'autres attentats commis par des terroristes nés en France.
"On a une autre menace que nos politiciens n'avaient pas envisagé, la menace de Daech. Et le plus grave est que tous les enfants qui ont tué pour Daech, tous ces militants, extrémistes et terroristes de Daech sont des gens qui sont nés en France (…). Cela signifie que notre système d'intégration est mauvais", a conclu M.Delrieux.
https://fr.sputniknews.com/france/201605281025385858-manifestation-anti-islamisation-anti-refugies-paris/
Le sénateur de l’Oregon avertit - gouvernement élargit considérablement son piratage & l’autorité de Surveillance
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 27/05/2016 21:30 -0400
Soumis par Mike Krieger via blog Liberty Blitzkrieg
Le Patriot Act continue de faire des ses ravages sur les libertés civiles. L’article 213 figurait dans le Patriot Act, malgré les protestations des défenseurs de la vie privée et de la répression accordé le pouvoir de mener une recherche tout en retardant l’avis au suspect de la recherche. Connu comme un « sneak and peek » justifient, application de la loi était catégorique l’article 213 était nécessaire pour protéger contre le terrorisme. Mais le dernier rapport de gouvernement détaillant le nombre de « se faufiler et peek » justifie la demande révèle que, sur un total de plus de 11 000 furtivement et peek, 51 seulement ont été utilisés pour le terrorisme. Encore une fois, les préoccupations de terrorisme semblent être piétiner nos libertés civiles.
– De la poste : abus plus « guerre au terrorisme » – espionnage pouvoirs sont utilisés pour le terrorisme seulement 0,5 % du temps
Ron Wyden, sénateur de l’Oregon, a été l’un des plus influents et champions significatives des américains-crénelé 4ème amendement droits à l’ère numérique. Rappelons que c’était le sénateur Wyden qui a attrapé le directeur du renseignement National, James Clapper, mentir sous serment au sujet de la surveillance gouvernementale de citoyens américains.
M. Wyden continue d’être une des voix courageuse pour le public lorsqu’il s’agit de repousser contre Big Brother espionnage. Son dernier poste au milieu est un parfait exemple.
La Voici dans son intégralité :
Secouant la tête
Le gouvernement va augmenter considérablement les pouvoirs de surveillance à moins que les actes de congrès
Le mois dernier, à la demande du ministère de la Justice, les tribunaux ont approuvé des modifications à la règle 41 obscure du code de procédure pénale fédérale, qui régit les perquisitions et les saisies. Par la nature de cette obscure processus bureaucratique, ces règles deviennent Loi à moins que le Congrès rejette les modifications avant le 1er décembre 2016.
Aujourd'hui j’ai, avec mes collègues sénateurs Paul du Kentucky, Baldwin du Wisconsin et Daines et testeur de Montana, introduis la Loi sur le piratage de masse s’arrêtant (SMH) (projet de loi, Sommaire), un projet de loi pour protéger des millions d’américains respectueux de la Loi d’une expansion massive du gouvernement de piratage et de la surveillance. Participez à la conversation avec #SMHact .
Quel est le problème ici ?
Pour l’application de la loi à procéder à une fouille électronique distante, dont ils ont besoin généralement de planter malware in — i.e. hack — un dispositif. Ces changements permettront au gouvernement de rechercher des millions d’ordinateurs avec le mandat d’un juge unique. Pour moi, c’est clairement un changement de politique qui est extérieur à que la portée d’un « changement administratif » et c’est quelque chose que le Congrès devrait envisager. Une agence avec le dossier du ministère de la Justice ne devrait pas être en mesure d’agiter ses bras et lui accorder des pouvoirs entièrement nouveau.
(suite en dessous:)
Nous allons entrer dans les détails
RépondreSupprimerCes changements dire que si l’application de la loi ne sait pas où se trouve un dispositif électronique, un magistrat auront désormais le pouvoir de délivrer un mandat de perquisition à distance l’appareil, n’importe où dans le monde. S’il peut être approprié d’aborder la question d’autoriser une perquisition électronique distante pour un appareil dans un endroit inconnu, besoins du Congrès d’examiner quelles protections doivent être en place pour protéger la sécurité numérique et la vie privée des américains. Il s’agit d’un domaine nouveau et incertain du droit, donc il doit y avoir un débat complet et minutieux. L' ACLU a une discussion approfondie sur les ramifications du quatrième amendement et les questions technologiques avec ces sortes de recherches.
La deuxième partie de la modification de la règle 41 donnerait un magistrat le pouvoir d’émettre un mandat unique qui autoriserait la recherche d’un nombre illimité — potentiellement des milliers ou des millions, des dispositifs, situés n’importe où dans le monde. Ces modifications permettraient d’élargir considérablement l’autorité du gouvernement de piratage et de la surveillance. De the American public doit comprendre que ces changements n’affectent seulement les criminels : ordinateur sécurité experts et libertés avocats disent les modifications élargiraient considérablement la capacité du gouvernement à pirater les appareils électroniques d’américains respectueux de la Loi si leurs appareils ont été touchés par une attaque informatique. Appareils seront fouillés si leurs propriétaires ont été victimes d’une attaque botnet — alors le gouvernement sera victimes traitants de la même façon qu’elles traitent les auteurs de piratage.
Comme l’a noté le Centre sur la démocratie et de la technologie, il y a environ 500 millions ordinateurs qui relèvent de cette règle. Le public ne connaît pas assez comment l’application de la Loi s’exécute ces hacks, et quels risques ces types de recherches posera. Par compromettre le système de l’ordinateur, la recherche pourrait laisser ouverte aux autres attaquants ou endommager l’ordinateur qu'ils sont à la recherche.
Ne le prenez pas de moi que cela affectera votre sécurité, lire la suite de chercheurs en sécurité Steven Bellovin, Matt Blaze et Susan Landau.
Enfin, ces modifications apportées à la règle 41 donnerait également certains types de recherches électroniques des exigences de notification différente, plus faibles que des fouilles physiques. Selon cette nouvelle règle, ils sont seulement tenus de faire des « efforts raisonnables » pour avertir les gens que leurs ordinateurs ont été perquisitionnés. Cela soulève la possibilité du FBI piratage de l’ordinateur de la victime une cyber attaque et ne pas en leur disant à ce sujet jusqu'à ce que par la suite, voire pas du tout.
Un travail pour le Congrès — pas le ministère de la Justice
Ces changements sont un changement de politique majeur qui impact sécurité numérique des américains, étendre les pouvoirs de surveillance du gouvernement et poser des questions sérieuses de quatrième amendement. Une partie du problème est le simple fait que les deux les public et la sécurité des experts américains savent très peu sur la façon dont le gouvernement va sur le piratage d’un ordinateur pour effectuer une recherche. Cas de violation des droits du quatrième amendement de la victime, il ne serait pas évident étant donné la nature hautement technique des méthodes utilisées pour exécuter le mandat.
(suite en dessous:)
C’est le travail du Congrès pour s’assurer que nous ne laissons pas le pouvoir exécutif maladroitement sur les droits de nos mandants. C’est pourquoi l’action est si importante : il s’agit d’une question politique qui doit être débattue par le Congrès. Bien que le ministère de la Justice a tenté de qualifier cette règle, remplacez simplement une question de lieu de rendez-vous judiciaire, parfois une différence d’échelle est vraiment une différence en nature. En permettant des recherches autant avec l’ordre de seulement un seul juge, échec du Congrès à agir sur cette question serait un désastre pour les américains respectueux de la Loi.
RépondreSupprimerQuand le public se rend compte ce qui est en jeu, je pense qu’il va être un énorme tollé : américains seront penchera sur les congrès et dire: « quoi pensiez-vous »
En omettant d’agir, Congrès démontre une fois de plus que ce n’est pas seulement inutile, c’est également dangereusement corrompu et incompétent.
http://www.zerohedge.com/news/2016-05-27/oregon-senator-warns-government-dramatically-expanding-its-hacking-surveillance-auth