govt allemand plans pour « tuer » l'industrie éolienne
Sigmar Gabriel, le ministre allemand de l'Economie, a annoncé qu'ils aimeraient en vue de modifier la Loi sur les énergies renouvelables (EEG) dans les prochains mois ou plus. Le plan est pour la quantité totale d'énergie renouvelable sur la grille pour être plafonné à 40 – 45 % d'ici 2025. Il était à 33 % à la fin de 2015 mais continue de grimper rapidement. Découvrez la transition eyewatering envisage maintenant : ’Une étude par des consultants ERA au nom du groupe parlementaire du Parti vert conclut qu'en vertu de ces dispositions le développement de l'énergie éolienne s'effondrera assez rapidement : une cible de 45 % signifierait que seulement 1 500 mégawatts pourraient être installés par an après 2018, selon l'étude. C'est moins de la moitié à la moyenne des éoliennes installées dans les cinq derniers jours. Boom, rencontrer le buste. Ce serait un tel revirement, qui serait non seulement les nouvelles éoliennes ne pas être ajouté, il y aurait moins d'eux : – Un plafond de 40 % pour l'énergie éolienne est d'arrêter complètement la construction de nouveaux parcs éoliens en 2019, selon l'étude de l'époque [consultants]. Dans l'ensemble, cela réduirait l'éolien onshore de presque 6000 mégawatts par rapport à la fin de 2015 – ce qui voudrait dire une récession massive dans la production d'énergie éolienne par 18 térawattheures. La réponse habituelle discrète des verts : « Le marché intérieur pour de nombreux fabricants s'écroule complètement, » dit Julia Verlinden, porte-parole pour la politique énergétique dans le groupe parlementaire du Parti vert. « Avec leur plan, le gouvernement fédéral est tuer les compagnies vent. »
Est ce « vent de crête » ou les plans vont obtenir édulcorés GWPF a la traduction de la allemande reportage.
«C’est ici que nous a amené l’amour de la liberté» 1 Par Oriental Review – Le 25 mars 2016 – Source Oriental Review.
Plus tôt ce mois-ci, en prononçant son discours public à Kiev, Les défis d’un monde en perpétuel changement, l’ancienne secrétaire d’État américaine Condoleezza Rice a fait une remarque inspirante pour quiconque penserait que l’on vit mal en Ukraine : «Vous devriez aller au Liberia, où le niveau de vie est bien plus bas, ensuite vous serez satisfaits.»
Ironiquement, Forbes Ukraine a réagi à cela avec une analyse légèrement perplexe qui a néanmoins conduit à une conclusion d’une parfaite logique : «Bien que le Liberia ait une des économies les plus faibles du monde, il n’a qu’un léger retard par rapport à l’Ukraine en ce qui concerne un certain nombre de paramètres macroéconomiques.» Et le magazine a défendu son argument avec quelques statistiques anémiques (manquant cependant de mentionner que le taux de 85% de chômage du Liberia est bien pire qu’en Ukraine, même aujourd’hui.)
La rapide détérioration de l’économie ukrainienne sur les deux années post-Maïdan n’est plus un sujet tabou dans la presse internationale (l’article de l’éminent académicien américain et ancien diplomate Nicolaï Petro dans le Guardian en est une preuve évidente). Mais, pour faire court, la situation dans son ensemble a l’air encore plus déprimante.
Les gens se bousculent pour quitter l’Ukraine Une agence d’intérim basée à Kiev affirme que, selon ses sondages, 70% de la population ne voit aucun futur en Ukraine. Dix Ukrainiens sur onze sont prêts à quitter le pays si on leur offre un travail à l’étranger. Quarante pour cent des travailleurs en col blanc de Kiev ne voit aucun avenir assuré. Un autre sondage montre que, comparé à la période pré-Maidan, le pessimisme public augmente. Seuls 19% des sondés s’attendent à ce que 2016 amène des changements positifs (ils étaient 42% en 2013).
C’est un sentiment plutôt compréhensible si nous regardons les revenus moyens en Ukraine. Selon les données officielles du ministère des Finances (du 2 mars 2016), le revenu moyen en Ukraine n’est que de 4 362 hryvnias par mois : approximativement 145 euros. Le salaire mensuel minimum est actuellement à 1 378 hryvnias : 46 euros. La grande majorité des travailleurs ukrainiens doit donc s’en sortir avec un salaire de 2000 à 3000 hryvnias (70-100 euros) par mois. Et le nombre de travailleurs décline chaque jour. En septembre 2015, le ministre ukrainien des Politiques sociales Valery Iarochenko reconnaissait que le taux de chômage avait atteint le plus haut point de l’histoire de l’Ukraine en tant que pays indépendant, avec 23% de jeunes Ukrainiens incapables de trouver un emploi (dans les parties de la région de Donetsk contrôlées par Kiev, ce chiffre s’approche de celui du Liberia : 50% !).
Les bas salaires et le chômage de masse ne sont pas les seules épreuves que l’Ukrainien ordinaire doit affronter. Pour satisfaire les exigences du FMI, le gouvernement ukrainien doit augmenter les charges d’habitation et de service public au moins deux fois par an. En conséquence, la facture moyenne par foyer a bondi de 695 hryvnias il y a un an, à 1 250 hryvnias en janvier 2016 – une hausse de 80%. Ainsi, théoriquement (et souvent dans les faits), une famille reposant sur un seul salaire et vivant dans un modeste appartement, pourrait avoir besoin de survivre avec la somme misérable de 128 hryvnias – à peine plus de 4 euros ( !) – qu’il reste chaque mois après que les impôts et factures ont été payés ! En tenant compte de la différence de latitude (et de climat), l’Ukraine actuelle pourrait effectivement être qualifiée de Liberia du Nord !
Dans le même temps, l’indice du prix des marchandises en Ukraine a augmenté de 40,3% en 2015. Étant donné que cette crise coïncide avec une réduction de 15% des pensions pour les retraités qui ont un emploi d’appoint (cette mesure d’austérité a été annoncée par le Premier ministre Iatseniouk en janvier 2015), la majorité des personnes âgées ukrainiennes est maintenant confrontée à une situation catastrophique. Jusqu’à présent elles ont réussi à s’en sortir grâce à leurs économies personnelles, mais ces ressources s’assèchent : selon la National Bank, en 2015 les Ukrainiens ont vendu 2 233 milliards de dollars et en ont acheté seulement 0,684. Les experts locaux estiment que les citoyens ukrainiens épuiseront leurs ressources personnelles d’ici la fin de 2016.
Il n’est donc pas étonnant de voir les Ukrainiens quitter en masse leur pays pour l’Europe, la plupart vers la Pologne (près de 400 000 ont franchi la frontière l’année dernière), tentant désespérément de trouver n’importe quel travail payé. Là-bas ils sont trompés, arnaqués et cyniquement exploités, mais ils préfèrent endurer un tel traitement plutôt qu’essayer de gagner à peine de quoi mener une misérable vie chez eux.
La désindustrialisation de l’Ukraine prend de la vitesse
La soudaine rupture des liens commerciaux entre la Russie et l’Ukraine, due aux mesures suicidaires que Kiev s’est imposées, a donné lieu à une baisse de 10,7% du PIB en 2014, et de 13,4% en 2015. Le commerce extérieur, import et export, s’est réduit d’un tiers. Les espérances naïves du gouvernement en place à Kiev – que les produits ukrainiens puissent pénétrer les marchés européens – ont été mises en lambeaux (selon Nicolaï Petro, la plus grosse exportation de Kiev vers l’Europe, selon les quotas agricoles établis par le traité de l’association UE-Ukraine, est le miel).
Cette situation de dégénérescence économique et sociale, accompagnée de la libre circulation d’armes de contrebande sorties de la zone de l’OAT [Anti Terrorist Operation Zone, le Donbass en langage kievien, NdT], a conduit à un tsunami de crimes, sans précédent en Ukraine. Dans les deux années qui ont suivi Maidan, le nombre d’actes criminels enregistrés a doublé. Concrètement, les groupes de maraudeurs, les vols à main armée et les meurtres en pleine rue deviennent quotidiens, et beaucoup d’incidents ne sont pas signalés. Selon les derniers résultats de l’Institut de La Haye pour des projets innovants en matière de justice, 44% des Ukrainiens ne font confiance ni à leur système judiciaire, ni aux organismes d’application de la loi. Certains gangs nationalistes (des bataillons de volontaires) semblent opérer hors la loi, et ignorent chaque tentative des autorités publiques pour les contenir. Les scandales récents (la contrebande d’ambre dans la région de Rovno, le blocus de la Crimée et les barrières mises en place pour bloquer les camions de transit russes) ne sont que la face visible de l’iceberg des activités criminelles des groupes radicaux en Ukraine, celle qui a attiré l’attention des médias. La plupart des incidents criminels ne fait pas les gros titres. Par exemple, une centaine d’affaires traîne actuellement au sein du système judiciaire contre les membres du bataillon d’Aidar qui ont commis des attaques criminelles, dont de graves accusations de crimes de guerre au Donbass, chacune d’entre elles prenant la poussière dans les tribunaux ukrainiens.
Les fans de football hollandais qui se sont rendus en Ukraine à l’occasion de l’Euro 2012 et qui partagent en ce moment inconsidérément le hashtag #TakIsJa, devraient réaliser que le pays qu’ils ont vu il y a quatre ans n’existe plus.
Il n’y a effectivement plus d’État en Ukraine
Les autorités sont trop occupées à chercher à amadouer chaque détenteur de pouvoir – l’ambassade US, les oligarques locaux, le Secteur droit, et divers groupes mafieux – voyant en eux la seule force de légitimité du gouvernement et de possibilité de rester au pouvoir. Mais une chose qu’ils ne comprennent apparemment pas, est que n’importe quel gouvernement en manque de soutien populaire, et dépendant d’agents extérieurs, est plus vulnérable qu’ils ne pourraient jamais l’imaginer. Le dictateur libérien Samuel Doe, qui a pris le pouvoir suite à un coup d’État appuyé par les USA en 1980, a-t-il jamais rêvé qu’il serait dix ans plus tard forcé de manger sa propre oreille et serait ensuite publiquement exécuté par une tribu rivale ? Les chefs du Liberia du Nord ont peut-être la main sur leurs propres parcours politiques, mais pas sur le sort qui leur est destiné…
Traduit par Ismael, vérifié par Wayan, relu par nadine pour le Saker Francophone.
Serge Garde : « des cadres de sociétés du CAC40, dont Orange, participent à des soirées pédophiles »
YouTube sam., 09 avr. 2016 08:33 UTC
Dans un rare moment de vérité dans les médias mainstream, le journaliste d'investigation Serge Garde, connu pour son documentaire Outreau, l'autre vérité, a déclaré dans l'émission C dans l'air que des cadres de sociétés du CAC40, dont Orange, participaient à des soirées pédophiles.
Pédophilie, espionnage, corruption : les sombres coulisses du Quai d'Orsay dévoilées
10 avr. 2016, 14:57
Vincent Jauvert, journaliste à l'Obs, publie un livre intittulé «La face cachée du Quai d'Orsay». Un récit noir qui révèle après plusieurs mois d'enquête, certaines dérives sous les ors de la République survenues au cours de ces dernières années.
Centre névralgique de la diplomatie française, le Quai d'Orsay est l'un des ministères régaliens les plus prestigieux. De ce monde feutré, le grand public n'en conçoit, sans nul doute, que de vastes pièces accueillant des réunions sensibles dans un cadre pour le moins somptueux. Un livre vient désormais dépeindre un lieu où la loi républicaine est loin d'être reine.
Une affaire de pédophilie mise au placard
Le Quai d'Orsay aurait-il étouffé une affaire de pédophilie mettant en cause un diplomate ? C'est en tout cas ce qu'affirme l'auteur du livre. Bien qu'aucun nom ne soit cité dans cette affaire, les détails s'y afférant sont nombreux. En 2013, le FBI mène une opération anti-pédophilie et parvient à obtenir «les numéros de téléphone des prédateurs». Au sein de cette liste, figure celui d'un diplomate muté du Quai d'Orsay vers le siège des Nations unies. L'homme est cependant congédié sine die par le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-Moon qui aurait eu vent de son passé. Recherché par la justice américaine, il parvient à rejoindre Paris en transitant par Montréal et n'a à ce jour pas été licencié. Son nom est même récemment apparu dans un jury de concours interne du ministère. Un ancien diplomate accusé de détournement de fond
Proche de l'ancien président François Mitterrand, Bruno Delaye est accusé d'avoir, sur base de photocopies de factures, détourné environ 90 000 euros de fonds publics lorsqu'il était ambassadeur à Madrid. Au début de l'été 2012, il aurait reçu cette somme de plusieurs entreprises qui ont loué l'ambassade de France pour y organiser des soirées. Ces prestations devaient logiquement être directement payées à l'ambassade. L'implication de cet énarque est une mauvaise nouvelle pour l’Elysée où officie un ami proche, Paul Jean-Ortiz, conseiller diplomatique de François Hollande.
Très chers ambassadeurs...
Si le salaire des élus de la République fait souvent les choux gras de la presse, celui des ambassadeurs est rarement évoqué. Et pour cause, ces derniers sont plutôt réticents à se confier autour de ce sujet. Néanmoins, le journaliste a réussi à se procurer les salaires perçus par quelques uns d'entre eux.
«Les représentants en Afghanistan, en Irak et au Yémen sont aujourd'hui les mieux rémunérés avec environ 29 000 euros net par mois (...). L'ambassadeur à Pékin gagne 21 000 euros ; à Washington 20 000 ; celui à l'OTAN, 19 000 ; à N'Djamena ou à Londres, 17 000 ; au Gabon ou à Oman 15 000 ; en Afrique du Sud, 14 000 ; au Cap-Vert, 13.000 ; au Canada, 12 000 ; en Lettonie et à la FAO, à Rome, 11 000 ; et à Bruxelles, 10 000», affirme le journaliste. Des revenus bien supérieurs à ceux perçus par de nombreux acteurs de la vie politique et qui sont en partie exonérés d’impôt.
Certaines ambassades françaises abritent des activités d'espionnage
Offusquée par le programme d'espionnage américain de la NSA révélé par Edward Snowden, la France ne serait pas en reste dans ce domaine. Selon l'auteur, les toits de certaines des ambassades françaises sont utilisés pour espionner les communications dans plusieurs pays. «Personne aux Affaires étrangères ne vous le dira, mais il y a des centres d'écoutes dans toutes nos représentations diplomatiques au Sahel et au Maghreb», rapporte un haut responsable.
La couverture diplomatique est également utilisée pour des activités d'espionnage. «Depuis quelques années, il y a au moins un espion sous couverture diplomatique dans la plupart des ambassades de France. Ils sont, par exemple, quatre à Washington, trois à Johannesburg, et à N'Djamena, deux à Riga et à Jérusalem, et une à Ottawa», révèle l'auteur.
Les larges prérogatives de la compagne de Laurent Fabius Marie-France Marchand-Baylet, aurait fait le pluie et le beau temps au ministère en ayant un poids décisionnel important sur les nominations des attachés de presse et des diplomates. Selon le livre, elle aurait refusé la nomination d'une diplomate après un rendez-vous conflictuel. Son mari aurait alors déclaré à ce sujet qu'il s'agissait d'une simple «mésentente entre femmes».
Michel DEBRAY, Pierre PRANCHERE Agoravox sam., 09 avr. 2016 07:27 UTC
À l'initiative du président Hollande, un projet de loi prépare le retour de l'OTAN avec le stationnement sur notre sol de forces militaires étrangères membres, 50 ans après en avoir été exclues par le général de Gaulle ! Le président de la République, bafouant les principes établis au nom de la France, de 1958 à 1966 pour sa sortie de du commandement intégré de l'OTAN, a soumis au conseil des ministres du 4 janvier 2016 un projet de loi qui autoriserait le retour sur notre sol de forces militaires étrangères sur décision des Etats-Unis, véritable maître de l'OTAN.
Le général de Gaulle dès son accession à la présidence de la République en janvier 1959 a multiplié les démarches et pris les décisions afin que la France rétablisse sa souveraineté et son indépendance, ce qui fut réalisé en mars 1966. Le texte prévoit, s'il est adopté par le parlement, l'adhésion de la France à un protocole datant de 1952 qui définissait « le cadre juridique du stationnement des quartiers généraux de l'OTAN et de leurs personnels au sein des pays de l'alliance ».
Ce protocole de 1952 induisait la présence de 28000 militaires américains qui paradaient sur notre sol 21 ans après la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Ils occupaient principalement des bases aériennes, comme à Déols près de Châteauroux, tout en narguant les autorités et la population.
Dans cette période où l'impérialisme américain avait déjà fait de l'OTAN son arme de guerre, le président de Gaulle développa sa politique étrangère selon les principes de souveraineté et d'indépendance qu'il avait mis en œuvre.
Nous avons évoqué en commémorant en 2013 le 70ème anniversaire de la victoire de l'armée soviétique à Stalingrad, qui fut le tournant décisif de la Seconde Guerre Mondiale, la visite du général de Gaulle à Moscou du 20 au 30 juin 1966. Ce dernier, se souvenant de 1944 où il avait vu la grande Russie « ... tendue dans l'esprit guerrier qui allait assurer sa victoire et, pour une très large part, celle de la France et de ses alliés », clôtura sa visite par la signature d'une déclaration bilatérale qui donna une impulsion considérable à une coopération multiforme, le domaine spatial en témoigne encore.
Le 1er septembre 1966, le président de Gaulle prononça un discours à Phnom Penh au Cambodge en présence de 100 000 personnes. L'impérialisme américain installé au Vietnam du sud se distinguait par l'utilisation massive du napalm et les bombardements aériens, c'est ce que mettait en cause le président français en ces termes : l'escalade américaine
« de plus en plus étendue en Asie, de plus en plus proche de la Chine, de plus en plus provocante à l'égard de l'Union Soviétique, de plus en plus réprouvée par nombre de peuples d'Europe, d'Afrique, d'Amérique latine, et, en fin de compte menaçante pour la paix du monde ».
La réintégration en décembre 1995 de la France au comité militaire et au conseil des ministres de l'OTAN fut qualifiée par l'historien Paul-Marie de la Gorce de « retour honteux de la France dans l'OTAN ». La réintégration fut complétée en 2009 sous la présidence de Sarkozy, ramenant la France à la situation antérieure à 1966.
La décision de Hollande de démolir l'œuvre de De Gaulle en ce domaine, tout comme la mission impérative qu'il a donnée à son gouvernement Valls-Macron de déclencher une guerre totale contre ce qu'il reste des conquêtes sociales et démocratiques émanant du Front populaire et des fondamentaux du programme du Conseil National de la Résistance, illustre le caractère ultra réactionnaire d'une politique sociale-impérialiste.
La 4ème conférence nationale du PRCF des 14 et 15 mars 2015 a constaté avec raison que le parti socialiste est bien « irréversiblement enchaîné à la « construction » européenne, à l'OTAN et à la gouvernance capitaliste mondiale (FMI, UE, OMC) ».
Ce projet de loi Hollande, honteux et antinational, nouvelle soumission aux Etats-Unis, mérite la poubelle de l'histoire, il doit être rejeté par les députés et les sénateurs qui en seront bientôt saisis.
Il éclaire l'urgence pour la sécurité de notre pays de sortir de l'OTAN qui réalisa avec le concours de la CIA le coup d'Etat des néo-nazis-fascistes de la place Maïdan à Kiev dont un des leaders fut reçu à l'Elysée. La soi-disant « Europe de la paix » a été transformée par l'OTAN en « Union Européenne militariste » pouvant conduire à une troisième guerre mondiale.
La sortie de l'OTAN devra s'accompagner du retrait de la France de l'Euro, de l'Union Européenne et des organismes déjà cités, FMI et OMC, qui assurent la dictature internationale des marchés financiers et menacent la paix et la démocratie.
-- Commentaire : La France quitte l'OTAN
Date de diffusion : 12 mai 1966
Le général De Gaulle, alors président de la République française, annonce dans une lettre adressée au président américain, Lyndon B. Johnson, le retrait de la France de la structure militaire de l'OTAN. Il reconnaît néanmoins l'Alliance dans son principe et reste fidèle à l'esprit qui inspira sa création. À moins qu'elles ne se replient dans leur pays d'origine, les troupes étrangères installées en France relèveront du commandement français dès 1967.
La décision de l'Élysée s'inscrit dans la volonté de doter la France d'une politique de défense indépendante, lui permettant de s'émanciper de la tutelle de l'OTAN. Attaché à la souveraineté nationale, le général est hostile à l'idée de faire jouer à la France le rôle de satellite de la puissance américaine. Le retrait de la France est officiellement prononcé le 8 juin 1966 lors de la conférence de Bruxelles.
En 1966, les conditions initiales à la signature du traité de l'Atlantique Nord ont changé. Les deux grandes puissances d'hier, l'URSS et les États- Unis, doivent composer avec l'émergence d'autres pays. Les blocs se sont morcelés. Selon le général De Gaulle, la restructuration de l'OTAN est nécessaire, et les nations européennes doivent affirmer leur indépendance et récupérer les attributs de souveraineté qu'elles ont consenti à l'OTAN. Source: Radio-Canada
Lire aussi: - Il faut dissoudre l'Otan - Les « sales » tentacules de l'OTAN - L'Otan : une association de criminels au service de la stratégie du chaos --
Morgan Sportès Comité Valmy dim., 31 jan. 2010 23:03 UTC
« La seule chose que les Américains ne lui ont jamais pardonné, m'a dit Pierre Messmer peu avant sa mort, ça n'est pas sa sortie de la défense intégrée de l'OTAN (où Sarkozy veut nous faire reentrer), ni son fameux discours de Pnom-Penh dénonçant la guerre au Vietnam, mais c'est sa remise en cause du « privilège exorbitant du dollar ». Monnaie de réserve mondiale, encore liée à l'or à l'époque, du moins symboliquement, le dollar permettait aux USA de vivre à crédit sur le dos du monde en faisant marcher à tour de bras la planche à billets (ça continue aujourd'hui en mille fois pire !)...
De Gaulle, Che Guevara de la finance (et autrement dangereux qu'un Che Guevara puisqu'il dirigeait une nation puissante munie de l'arme atomique) a envoyé la marine nationale aux Etats-unis, acte hautement symbolique, pour remporter « son or » en échange de billets verts, monnaie de singe dont il ne voulait plus. Là, il visait juste, il visait où ça fait mal. Et il a essayé d'entrainer avec lui, dans cette aventure (se débarrasser des dollars-papier), l'Afrique du sud, les pays arabes, la Russie, la Chine... Les stocks d'or US fondaient.
La presse d'outre-atlantique poussait des hauts cris, dénonçant « Gaullefinger » ! Par ailleurs, il tentait de construire une Europe « indépendante des deux blocs » qui inclurait des pays de l'est (en plein mai 68, il rendait visite en ce sens en Roumanie à Ceaucescu). Dans le même esprit il avait élaboré une défense « tous azimuts », ses missiles nucléaires devant être tournés vers l'est mais aussi vers l'ouest (le général Ailleret, metteur en œuvre de cette politique, mourrait opportunément dans un accident d'avion en mars 68, à la veille du fameux mois de mai).
Qui sait, disait de Gaulle pour justifier cette politique, qui gouvernera les Etats-unis et la Russie dans quelques décennies. En sus des Américains, de Gaulle avait à dos leurs suiveurs atlantistes, de Mitterrand à Lecanuet, sans compter Jean-Jacques Servan-Schreiber qui, en plein mois de mai, dénonçait « la dictature intellectuelle du Général qui avait tout gelé en France ». Et cela dans un magazine américain : « Life » qui par ailleurs voyait dans l'Elysée un nid d'espions du KGB. Aux USA une campagne de presse antigaulliste d'une violence et d'un bêtise inouïes battait son plein...
Participaient encore à cette curée, le ban et l'arrière ban du vichysme et de l'OAS : « mai » c'était l'occasion de régler son compte à l'homme de la France libre et au décolonisateur de l'Algérie. Sans compter les milieux d'affaire :
« De Gaulle a pour opposants les mêmes gens, haute finance et classe moyenne, qui firent tomber le gouvernement Blum dans les années trente en spéculant contre le franc et en plaçant leur argent à l'étranger (écrit Hannah Arendt dans une lettre à Mary Mc Carty fin 68). Le tout non pas en réaction aux émeutes étudiantes, mais aux idées grandioses de de Gaulle sur la PARTICIPATION des travailleurs dans les entreprises »...
Autre crime impardonnable du vieux baroudeur en effet. Tandis que les pavés volaient, les stocks d'or français s'envolaient. La guerre contre le dollar, ourdie par de Gaulle se retournait en offensive spéculative contre le franc... Le paradoxe du gauchisme, __et sa vérité farcesque__ c'est que prétendant abattre la société bourgeoise, il avait derrière lui tous les notables, tous les nantis qui rêvaient d'abattre la statue du Commandeur gaullienne (car la France est le seul pays où le mouvement mondial de mai a pris un tour directement politique : renverser un gouvernement).
Des « situationnistes » m'ont raconté que, lors de l'occupation de la Sorbonne, des gens « louches », manifestement de l'OAS, leur avaient proposé des armes. Au cours d'une manif, un ancien mao se rappelle que, pris dans la foule, au premier rang, des mains invisibles, par derrière, distribuaient par centaines barres de fer et manches de pioches. Provocateurs ? Qui avait intérêt à mettre de l'huile sur le feu ?
-- Commentaire : Il va sans dire que l'Empire a toujours agi de la même façon et que l'histoire (et ses mensonges et discours) se répètent à satiété. On pourrait en rire mais impossible: ces méthodes sont responsables de milliers de morts, partout dans le monde. --
Les gaullistes, me direz-vous, ont gagné les législatives de juin 1968. Certes. Mais de Gaulle les a perdues. Il a perdu sa guerre : « Notre monnaie était profondément atteinte, écrirait Georges Pompidou. Nos réserves avaient fondu comme neige au soleil...La France du général de Gaulle était ramenée à ses vraies dimensions et on ne s'en réjouissait pas moins. Finie la guerre au dollar. Finies les leçons données aux grands de ce monde. Fini notre leadership en Europe occidentale. Telle était la réaction mondiale et, si je ne le montrais guère, j'éprouvais de tout cela une immense tristesse »(3). Mai 68 ça n'est pas que cela sans doute. Mais c'est AUSSI cela...
Notes : 1-Farkas, Jean Pierre : 1968, le Pavé,Phonurgia nova éditions,1998. 2-Jauvert, Vincent : L'Amérique contre de gaulle, Seuil, 2000. 3- Pompidou, Georges : Pour rétablir une vérité, Plon 1982.
Commentaire : Lire aussi: - Révolutions de couleur et manipulation : analyse des mécanismes - 1965, De Gaulle explique ce qui va se passer avec le dollar - Retour sur mai 68 Écoutons l'ironique De Gaulle pour comprendre aussi pourquoi l'Empire souhaitait sa "disparition":
Les services secrets français étaient au courant pour les attentats de Paris
15:33 10.04.2016
Ces informations cruciales ont été fournies par un homme qui a cotoyé pendant plus d'un les terroristes.
Un ancien djihadiste français a alerté les services secrets sur la préparation des attentats en France et en Belgique en été 2015, soit 141 jours avant les attaques du 13 novembre, rapportent les médias français.
"Le 24 juin 2015, quatre mois et vingt jours avant les attentats de Paris qui ont provoqué la mort de 130 personnes et blessé plusieurs centaines d'autres, un homme avait averti qu'un carnage se préparait. En France et en Belgique", a annoncé Le Journal du Dimanche.
Il s'agit d'un certain Nicolas, 31 ans, qui s'est rendu aux autorités turques après avoir passé seize mois à Raqqa et dans la plaine de Fallouja, dégoûté par ce qu'il avait vu sur les territoires contrôlés par les terroristes de l'EI. La Turquie a remis le jeune homme à la France.
Il a affirmé que la préparation des attentats avait été confiée à Abdelhamid Abaaoud. Ce djihadiste belgo-marocain a été tué lors d'une opération antiterroriste de la police française dans une banlieue de Paris.
Plusieurs fusillades et attentats-suicides quasi simultanés ont visé six points de Paris et sa proche banlieue le 13 novembre 2015. Trois kamikazes ont notamment actionné leurs charges explosives près du Stade de France, à Saint-Denis. L'attaque la plus meurtrière a frappé la salle de concert du Bataclan, où les terroristes ont tiré à bout portant sur la foule. Les attentats ont fait au moins 129 morts et 350 blessés. Suite à cette tragédie, le président Hollande a décrété l'état d'urgence en France.
Le 22 mars 2016, un double attentat-suicide à l'aéroport international de Bruxelles-Zaventem et un kamikaze dans une station du métro au cœur du quartier européen ont fait 32 morts et plus de 300 blessés dans la capitale belge. L'attentat a été revendiqué par Daech.
Infographies Corvettes Bouïan-M: caractéristiques et armement
16:08 30.03.2016
Les corvettes lance-missiles Bouïan-M dernier cri sont destinées à protéger la zone exclusive maritime d'un Etat donné. Les corvettes Bouïan-M dotés de missiles de croisière Kalibr, faisant partie de la Flotte russe de la mer Noire, seront intégrées de façon permanente au groupe de la Marine russe en Méditerranée.
Les entreprises paient 68 impôts, taxes, redevances, charges et frais différents !
7 avril 2016 Michel Kelly-Gagnon www.quebec.huffingtonpost.ca/michel-kellygagnon, p. web
Malgré ce que certaines personnes mal informées colportent, les entreprises sont plus taxées aujourd'hui qu'auparavant, si l'on tient compte de toutes les charges fiscales qu'elles doivent assumer.
La plus récente édition du sondage PwC sur la taxation des grandes entreprises canadiennes est d'ailleurs fort révélatrice à ce sujet. Cette étude a décortiqué les comptes de 89 des plus grandes entreprises du pays selon une méthodologie qui visait à identifier non seulement les impôts et taxes qu'elles doivent payer directement, mais aussi celles qu'elles doivent percevoir ou payer indirectement. En voici les faits saillants :
• Pour chaque dollar que les entreprises paient en impôt sur le revenu, elles paient un autre 1,09 $ en taxes diverses, 70 cents en frais gouvernementaux, redevances et autres charges, et doivent percevoir 3,15 $ pour les différents paliers de gouvernement en taxes sur la masse salariale de leurs employés, taxes de vente, de propriété et d'accise.
• Les grandes entreprises envoient plus d'argent aux gouvernements en taxes et autres paiements que ce qu'elles génèrent comme profits après impôt. En moyenne, 42 % de la valeur ajoutée annuelle créée par les entreprises est allée aux divers gouvernements, comparé à 28 % qui est allée aux travailleurs sous forme de salaires. Le 30 % restant constituait le profit après impôt, et a été réinvesti dans les entreprises et/ou distribué aux actionnaires.
Ces chiffres sont basés sur des données de 2014 et proviennent d'entreprises œuvrant dans diverses industries : bancaire, de l'assurance, secteur manufacturier, détaillants, firmes de télécommunication, ressources naturelles, etc.
Comme je l'ai déjà écrit, même notre plus illustre économiste social-démocrate, Pierre Fortin, dit la même chose : « la seule conclusion qui s'impose est que nos entreprises sont plus taxées aujourd'hui qu'il y a 15 ou 25 ans ».
Ceci contredit les jérémiades habituelles que l'on continue d'entendre à droite et à gauche, selon lesquelles l'impôt sur le revenu des entreprises est très bas. Pourquoi? Tout simplement parce qu'il faut ajouter à l'impôt toutes les taxes et frais que ces entreprises paient et doivent percevoir. Le rapport indique qu'il y en aurait en tout 68 !
Notons enfin que lorsqu'on oblige les entreprises à devenir des collecteurs d'impôts pour le compte du gouvernement, cela implique divers frais administratifs. La paperasse est si complexe qu'elle coûte 4 millions $ annuellement, en moyenne, aux entreprises incluses dans le sondage, et nécessite de chacune d'elles l'embauche de 19 comptables à temps plein...
Michel Kelly-Gagnon est président et directeur général de l'Institut économique de Montréal. Il signe ce texte à titre personnel.
26 mars 2014 Michel Kelly-Gagnon www.blogues.journaldemontreal.com/iedm, p. Web
Le temps de lire ce texte, nous serons collectivement endettés d’un autre 100 000$ ou presque.
La dette du Québec, quasi-inexistante il y a une cinquantaine d’années, s’élève à plus de 265 milliards de dollars aujourd’hui. Et elle augmente à un rythme effarant.
Je parle ici de la dette du secteur public québécois. Il y a plusieurs définitions de la dette (nette, brute, du secteur public, etc.), et en cette période électorale, alors qu’on vous bombarde de chiffres à droite et à gauche, c’est particulièrement important de garder en tête que la dette qui devrait nous préoccuper, c’est celle qu’on appelle « dette du secteur public ».
Pourquoi? Tout simplement parce ce que cette définition donne le portrait le plus englobant de la dette supportée directement ou indirectement par le gouvernement du Québec, comme l’a d’ailleurs déjà souligné le vérificateur général. Elle inclut non seulement ce que le gouvernement gère directement, mais aussi la dette des universités, des municipalités et des autres entreprises sous la responsabilité finale du gouvernement. Celui-ci s’est engagé à honorer ces dettes, donc la facture pourrait revenir aux contribuables québécois.
Oui, mais nous avons des actifs…
Certaines personnes ont tendance à minimiser l’importance de notre dette collective en faisant valoir que nous possédons des « actifs » qui réduiraient de beaucoup notre dette. Un peu comme la valeur d’une maison compense votre dette hypothécaire. C’est vrai en (petite) partie, mais cela ne change pas le problème fondamental.
Nous avons beau avoir des écoles, des hôpitaux, des ponts ou des parcs nationaux, on ne vendra pas ces actifs pour rembourser la dette. D’ailleurs, les immobilisations et infrastructures que possède le gouvernement peuvent difficilement être évaluées à leur valeur marchande, étant donné l’absence de marchés comparables. C’est pourquoi ni le gouvernement, ni le vérificateur général ne tiennent compte de ces actifs lorsqu’ils tentent de peindre un portrait réaliste de la dette que la population québécoise devra un jour rembourser.
Aussi, il faut comprendre que ces actifs — souvent financés par endettement — ne réduisent aucunement le total des intérêts croissants que les contribuables québécois doivent payer. D’ailleurs nous payons les intérêts sur la dette brute, et non sur la dette nette.
En fait, les seuls actifs « liquides » du gouvernement, soit ceux qu’il pourrait vendre rapidement pour payer la dette, sont les actifs financiers nets. Et ils se chiffrent à 16,3 milliards $ au 31 mars 2014, soit seulement 6 % de la dette du secteur public.
D’autres font remarquer que nous possédons un actif qui a une valeur bien mesurable, soit Hydro-Québec. Pour assainir ses finances publiques, le gouvernement pourrait effectivement vendre une société d’État comme Hydro-Québec. Une telle vente, partielle ou totale, pourrait diminuer tangiblement la dette du Québec. Le problème, c’est que ceux-là mêmes qui répètent que l’on doit considérer nos actifs dans le calcul de la dette sont en général les mêmes qui s’opposeraient farouchement à une privatisation d’Hydro-Québec… http://www.hydroquebec.com/fr/index.html
Peu importe la mesure de la dette que l’on utilise, le Québec est la province la plus endettée du Canada. Et nous paierons, cette année, 11 milliards $ pour le service de la dette. C’est environ 40 % de tous les impôts sur le revenu des Québécois pendant l’année.
Si on ne s’attaque pas au problème, cette facture collective va continuer à grimper, et ce, même si les taux d’intérêt demeuraient bas (ce qui ne sera pas le cas éternellement). Ce chiffre, même s’il semble abstrait, a des conséquences bien réelles. Tous ces milliards alloués à la dette ne peuvent servir à d’autres projets louables, que ce soit d’améliorer l’accès à des soins de santé pour tous, l’entretien des routes, ou réparer nos viaducs et nos écoles.
Ou, si on se permet de rêver un peu, servir à baisser un jour nos impôts et nos taxes.
Michel Kelly-Gagnon est président et directeur général de l'Institut économique de Montréal. Il signe ce texte à titre personnel.
– Le visage humain de la fracturation hydraulique dans le Dakota du Nord – en images
En 2006, Eli Reichman a commencé à photographier un élevage communautaire dans les domaines de la fracturation hydraulique du Dakota du Nord. Pour la dernière décennie, il a documenté la rupture culturelle et sociale d'une communauté agricole, l'objet de pressions à faire des compromis afin de rester sur les terres attribuées à l'origine de leurs ancêtres dans les années 1900. Pour en savoir plus sur son travail et les Hinterlands, prochain documentaire, consultez page de Kickstarter de Reichman: https://www.kickstarter.com/projects/elireichman/hinterlands
Expériences dans voitures électriques : Plus jamais de carburant
Michael Specht
Bas de gamme, des coûts élevés et cette bizarre des matériaux recyclés à l'intérieur. La BMW i3 a presque seuls inconvénients par rapport à une golf. Toutefois, aucune autre voiture ne serait entrer dans l'i3 propriétaire Michael Specht .
Trop court une gamme, pas assez des stations de recharge et un prix élevé de la nouvelle voiture. Il y a toujours les mêmes préoccupations que j'entends des discussions sur la question de la voiture électrique. Et en vérité, il n'y a aucun problème, mais la vérité. Mais puis-je m'attendre au début d'un nouveau type de mobilité ? N'était-il pas semblables, 130 ans lorsque Bertha Benz a entrepris sa première tournée et dû acheter le carburant encore dans la pharmacie ?
En Allemagne, diffusion homéopathique des voitures électriques est inférieur à l'infrastructure de stations de recharge mince (le plus "ravitailler" en tout cas à la maison), mais plutôt sur le bas de gamme et le prix élevé des véhicules proposés. Ma BMW acheté il y a deux ans i3 coûtait 34.950 € nu. Avec quelques extras (garniture "Lounge", siège chauffant, phares à del et roues fancier) étaient tout aussi 44,250 euros. Une somme princière pour une voiture de quatre mètres. Il se pose la question de contrôler l'utilisation avec l'i3 peut-être inférieure à celle des autres voitures électriques. Vous l'achetez pour des raisons émotives, simplement parce que vous voulez avoir de lui.
C'était de toute façon, avec moi quand je m'ai donné il y a deux ans, l'i3. Maintenant, deux ans plus tard et expérience beaucoup plus riche, la question est : je veux lui avoir encore ?
J'ai m'a informé à ce moment-là abondamment avant l'achat. Vous vous demandez a qui un E-golf dans les coûts de base beaucoup ainsi que l'i3 conçu exclusivement comme une voiture électrique. La décision a été clairement pour la BMW. C'est le frisson de la nouvelle. Il est la voiture beaucoup plus moderne par rapport au Golfe, sa structure est faite de fibre de carbone légère composite, le châssis est réalisé entièrement en aluminium, le corps en plastique. Avec le recul, on doit tirer toujours le chapeau avant que quelque chose comme conceptuel a appelé BMW sur les roues, la conception, les matériaux, dans la production. Plus haute technologie à l'intérieur de n'importe quelle autre voiture dans ce segment.
Timidité avec les matériaux respectueux de l'environnement
À l'intérieur, l'i3 rompt avec les conventions. L'habitacle des voitures plus suivre la typique en forme de T avec la console de centre plus épais. L'i3 dispose d'un intérieur spacieux et réduit avec pied continue chambre. Au début, que j'ai trouvé ça bizarre. Aujourd'hui, je me sens dans le caniche i3. Espace, clarté, opération cette place assise supérieure plus léger et les associés pour entrer et sortir rendre la vie quotidienne avec la BMW électrique plus confortable que dans les autres voitures de la catégorie compacte. J'étais sceptique au tout d'abord le recyclage eco-matériaux comme le feutre, de laine et d'un tissu composé d'anciennes bouteilles en plastique, qui sont également utilisés à l'intérieur. Mais tout a été très bien et ressemble encore aujourd'hui à nouveau.
J'étais au courant, de perdre beaucoup d'argent, je dois vendre l'i3 après deux ou trois ans. Personne ne peuvent rencontre actuellement graves déclarations de perte réelle dans la valeur de la voiture électrique sera plus élevées. Le facteur décisif est la batterie. Alors que BMW est de huit ans de garantie sur la durée de vie des cellules. C'est peut-être vrai sur le plan technique, est mais en termes de déficience non pertinent.
Plus tôt, il sera nouveau, beaucoup plus puissantes batteries. Au moins les experts disent que. Il est similaire à l'iPhone. Personne ne veut avoir les premiers modèles. Personne ne voudra acheter aussi l'i3 de la première génération, si électrique voitures bientôt plusieurs centaines de kilomètres. « First Movers » ou « Early Adopters », que les gens du marketing BMW veux appelé i3 premiers clients, besoin de saigner financièrement ici.
Gamme, consommation de carburant - un conte de fées
L'usine promet une portée maximale de 190 kilomètres et en même temps une consommation standard de 12,9 kWh / 100 km pour l'i3. Bienvenue dans l'univers de Bruxelles de contes de fées. Bien qu'il soit possible de saper les 12,9 kWh (il y a assez un style de conduite sobre sans climatisation activée) en été. Toutefois, la batterie était vide après 145 kilomètres, pour la plupart après 130. BMW dit que se bloquer avec les pertes de charge et l'autre s'attendrait la consommation d'énergie dans la zone compteur,. Curieusement, vous vous sentez encore plus veräppelt qu'une voiture Nitro avec voitures électriques par la différence énorme entre la norme et la réalité.
En hiver le chauffage et la gestion de la chaleur des cellules au lithium-ion à affaiblissent la capacité de la batterie aussi massivement. Moyens : la gamme s'affaisse à moins de 100 kilomètres. Pas de coussin apaisant de la conduite. BMW veut faire quelque chose à la fin de l'année. L'acheteur i3 peut ensuite s'il veut avoir une batterie d'une capacité de plus de 50 pour cent. La gamme quotidienne pourrait s'élever en fait à plus de 200 kilomètres. Devrait être donné la possibilité soi-disant propriétaires de vieux-i3, pour échanger la batterie. À quelles conditions, trahir la Munich encore.
Aussi en termes de coût théorique et pratique à l'e-mobilité s'écarter largement. Il a été dit par BMW lors de la présentation de l'i3, frais d'électricité correspondant à une consommation de diesel de 2,5 litres, mon i3 n'a jamais atteint cette valeur dans ses deux ans. Une mélange de vrai été-hiver consommation de 14 kWh/100 km est d'environ 17 kWh, qui apparaissent sous forme de consommation d'électricité sur le compteur de la maison (à cause de la perte de charge). Cette quantité de puissance coûte actuellement cinq euros. Un diesel de golf continue ainsi moins cher - et, bien sûr.
Certainement pas, mais mieux. Parce que l'i3 reste inégalée en termes de plaisir de conduite. En particulier, la combinaison de détente et arrivée spontanée fascine encore et encore sur le nouveau. C'est la voiture idéale et moderne pour la ville, détendue, calme, non polluante localement. Également dans les points de la connectivité et le tronc de confort, rien à critiquer. L'i3 est bien conçu et facile à utiliser, son rayon de braquage est incroyablement petit, ce qu'on se sent surtout dans les parkings à étages. Seul le concept de l'ouverture des portes opposées est gênant dans la vie quotidienne. Dans les espaces restreints, il a seulement des inconvénients. Ensuite vous pouvez même prendre un sac des sièges arrière, sans à se coincer entre l'avant et la porte arrière.
Je me réjouissais à l'âge mûr après deux ans d'inspections. Ce qui devrait être ? L'i3 est une voiture sans un moteur à combustion, sans huile, sans courroie, sans carburant, sans réservoir, transmission et d'échappement. Il est en acier inoxydable et son E-machine (170 PS) inusable. Même les freins doivent garder presque jamais, parce que vous retardée jusqu'à ce que des situations d'urgence seulement avec la pédale d'accélérateur. Pied des moyens gaz : le moteur électrique ralentit la voiture en mode de Poussée, puis fonctionne comme une Dynamo sur votre vélo et charge la batterie. Plaquettes et disques de frein sont conservés. Poussière de frein que laid sale les roues des voitures classiques déjà après quelques semaines, ne sait pas l'i3.
L'inspection de Bill était néanmoins près de 400 euros. Changé le liquide de frein et le filtre d'habitacle ont été tournant (tous les deux ans). Le reste a été l'inspection visuelle et une mise à jour logicielle à retenir à la batterie et la ventilation. L'ancien maintenant environ cinq pour cent montre plus large.
Tu es comme ça ? Chaque batterie au lithium-ion dans la voiture jamais exploité sa pleine charge. Elle aurait par ailleurs vite fatigué de l'âge. Alors vous pouvez être, par exemple, 20 pour cent restant inutilisées, l'indicateur dans la voiture est si vide, bien qu'il est encore courant dans la batterie est en réalité. Tout comme c'est le chargement. Il n'est jamais 100 %, mais par exemple, que 95 % remplie. La fenêtre de la capacité, le hub de charge dit est de 20 à 95 pour cent. Et cette fenêtre a augmenté quelque peu BMW via mise à jour logicielle - Hé hop, il y ont quelques kilomètres une couverture plus large.
Aussi la climatisation ou le chauffage doit être activée après la mise à jour manuellement. Auparavant, elle était automatiquement activée, qui n'est pas toujours immédiatement remarqué, mais coût d'électricité inutile.
Juste au cas où l'atelier échangées (coûtait BMW) encore un raccord sur le moteur monte. Vous aurait enregistré à certains i3 boulons courbés, dit de Munich et laine commerciales de cette composante dans le cadre du premier service du tout. Mais ces choses que lorsque quelques voitures du lecteur-flotte maintenant ont été tordues. Les visiteurs avaient occasionnellement prêter i3, qui sont, après tout, déjà 20 pour cent de la flotte, à violemment frappé sur les ralentisseurs et bent si les boulons.
Les 25 000 kilomètres et deux ans d'expérience avec l'i3 ont se déforment facilement me too - à l'avenir. Voitures avec des moteurs à combustion interne me semblent tout d'un coup en arrière, ne correspondent plus à la mobilité de demain. J'avoue que longtemps il y a rien de mieux. Mais il le fait maintenant.
L'effondrement économique est en éruption partout sur la planète comme chefs de file mondiaux Begin à la panique
Par Michael Snyder, le 10 avril 2016
Les médias grand public commencent déjà à utiliser l'expression « effondrement économique » pour décrire ce qui se passe dans certaines régions de notre monde dès maintenant. Pour beaucoup d'américains, cela peut paraître un peu étrange, mais la vérité est que le ralentissement économique mondial qui a débuté au cours de la seconde moitié de l'année dernière commence à devenir bien pire. Dans cet article, nous allons examiner la preuve de l'Amérique du Sud, Europe, Asie et Amérique du Nord. Une fois que nous avons terminé, il devrait être évident qu'il n'y a absolument aucune raison d'être optimiste quant à la direction de l'économie mondiale dès maintenant. Les avertissements de tant de personnalités de renom sont maintenant devenir une réalité, et nous avons assisté jusqu'ici seulement les premiers chapitres d'une crise économique écrasante qui affecteront chaque homme, femme et enfant dans le monde entier.
Commençons avec le Brésil. C'est la 7ème plus grande économie sur l'ensemble de la planète, et il connaît déjà sa pire récession en 25 ans. En effet, à la fin de l'année dernière, Goldman Sachs a déclaré que ce qui se passait là-bas était en fait une "dépression".
Mais maintenant la crise au Brésil s'est considérablement intensifiée.
Je veux partager avec vous un extrait d'un article récent intitulé "Brésil : effondrement économique pire que craint". Je sais, que titre sonne comme il s'agit directement depuis Le Blog d'effondrement économique, mais je ne l'écris.
Il s'agit en fait de CNN...
Au milieu du chaos politique, l'effondrement économique du Brésil est pire que son gouvernement croyait.
Au milieu de la montée des appels pour attaquer la Présidente Dilma Rousseff, la Banque centrale du Brésil a annoncé jeudi qu'elle attend maintenant l'économie du pays de réduire de 3,5 % cette année.
C'est pire que l'estimation précédente de la Banque centrale pour une contraction de 1,9 %. Les prévisions plus sombre correspond à ce que le Fonds monétaire International prévoit pour le Brésil, plus grand pays d'Amérique latine — et ce que beaucoup d'économistes indépendants ont suspecté.
C'est une chose pour Michael Snyder pour vous dire que le Brésil est au milieu de "l'effondrement économique", mais c'est une autre chose entièrement pour CNN pour le dire.
Et bien sûr j'ai été mise en garde concernant la crise vers le bas au Brésil depuis un certain temps maintenant. Pour beaucoup plus à ce sujet, voir mon précédent article intitulé «The économique effondrement de l'Amérique du sud est bien en cours».
Pendant ce temps, les choses sont en fait bien pires au Venezuela, qu'ils sont au Brésil. Alimentaires et fournitures de base se font rares, le taux d'inflation a frappé 720 % et la criminalité est complètement hors de contrôle.
Ce qui suit est tiré d'un article dans l'indépendant intitulé "Venezuela est au bord de la complète économique s'effondrer"...
La seule question maintenant est de savoir si économie ou le gouvernement du Venezuela va complètement s'effondrer tout d'abord.
Le mot clé, il n'y a « complètement ». Les deux sont bien dans leur agonie. En effet, parti au pouvoir au Venezuela vient de perdre les élections au Congrès qui a donné l'opposition la majorité à l'épreuve du droit de veto et il est dur de voir que l'obtention de mieux pour eux n'importe quand bientôt, ou jamais.
Titulaires, après tout, n'ont pas tendance à faire trop bien lorsque, selon le Fonds monétaire International, leur économie réduit à 10 pour cent un an, 6 % supplémentaires le suivant et l'inflation explose à 720 p. Il n'est pas étonnant, alors, que les marchés attendent Venezuela à défaut sur sa dette dans un avenir très proche. Le pays est pratiquement en failli.
Une fois encore, nous voyons une publication grand public très respectée à l'aide de l'expression « effondrement économique » pour décrire ce qui se passe en Amérique du Sud.
Vous pouvez trouver quelques superbes vidéo de l'Armageddon « économique » qui se déroule au Venezuela droit ici. Je vous encourage à regarder cette vidéo, parce que ce qui se passe là-bas qui va finalement se passer ici.
En attendant, pendant en Europe système bancaire de l'effondrement de l'italien a signé un nouveau chapitre troublant. Le ministre des finances de l'Italie a convoqué une réunion à Rome pour lundi qui se concentrera sur le plan d'un plan de sauvetage de « dernier recours » pour les banques troublées...
Le ministre des Finances Pier Carlo Padoan a convoqué une réunion à Rome lundi avec des cadres auprès des institutions financières les plus grandes de l'Italie, pour convenir des derniers détails d'un plan de sauvetage de « dernier recours ».
Encore à la veille de cette rencontre, des préoccupations demeurent quant à savoir si le plan sera suffisant pour encadrer les plus faibles des grandes banques italiennes, Monte dei Paschi di Siena, de la contagion, selon les personnes impliquées dans les pourparlers.
Actions de la banque italienne ont perdu presque la moitié de leur valeur jusqu'à présent cette année au milieu des soucis d'investisseur sur un tas de 360bn €d'improductifs prêts — équivalent à environ un cinquième du PIB. Rentabilité des prêteurs a été frappée par une récession de trois ans paralysante. Comme Italie descend dans le chaos financier, le reste du continent être mieux faire attention.
Tu te rappelles combien il était difficile pour le reste de l'Europe pour sauver la Grèce ?
Eh bien, la Grèce a la plus grande économie 44e sur la planète.
L'Italie a la 8e.
Il serait difficile d'exagérer la gravité de ce qui se passe sur plus en Europe, et il n'est pas seulement l'Italie dont nous parlons. Partout les continents grandes banques sont en grande difficulté et le Président de deuxième détail Banque a récemment déclaré aux journalistes que "que je suis beaucoup plus inquiet que j'étais en 2009" France.
Et il n'y a bonne raison de s'inquiéter. Le dimanche, nous avons appris qu'un majeur « sous caution-in » avait vient d'être annoncé pour une des banques plus éminents de l'Autriche. Ce qui suit provient de Zero Hedge...
Et puis aujourd'hui, suite à une décision par le régulateur bancaire autrichien, le Finanzmarktaufsicht ou l'autorité des marchés financiers, officiellement, l'Autriche est devenue le premier pays européen à utiliser une nouvelle loi dans le cadre imposé par la banque la relance européenne et Directive de résolution de partager les pertes d'une banque ayant échouée avec les principaux créanciers car il réduit la valeur de la dette de Heta Asset résolution AG.
Les faits saillants de l' annonce:
L'autorité de marché financier autrichien (AMF) dans sa fonction sous l'autorité de résolution au titre de la reprise de la Banque et résolution Act (BaSAG – Bundesgesetz über die Sanierung und Abwicklung von Banken) a publié aujourd'hui, les principales caractéristiques des étapes supplémentaires pour la résolution de HETA ASSET sa résolution. Mesures les plus importantes sont :
• un caution-à 100 % pour tous les passifs subordonnés, • un 53,98 % caution composant logiciel enfichable, résultant en un quota de 46,02 %, pour toutes les dettes préférentiels admissibles, • l'annulation de tous les paiements d'intérêts de 01.03.2015, lorsque HETA a été placé dans la résolution, déposée BaSAG, • ainsi qu'une harmonisation entre les échéances de toutes les dettes admissibles à 31.12.2023. Selon le plan actuel de résolution pour HETA, le processus de réduction progressive devrait être conclu d'ici à 2020, bien que le remboursement de toutes les demandes aussi bien comme juridiquement contraignants, conclusion de tous les différends juridiques actuellement en suspens sera réaliste seulement être conclu avant la fin de 2023. Seulement à ce moment-là qu'il sera possible pour enfin distribuer les actifs et de liquider la société. Les dominos commencent à baisser en Europe, et je m'attends annonces encore plus grands dans les semaines et les mois à venir.
Plus en Asie, chaos économique commence à l'emporter ainsi.
En Chine, le marché boursier est déjà à plus de 40 % par rapport au pic, les exportations chinoises ont diminué 25,4 % sur un an sur la base de l'année en Février, et chinois numéros économiques globales n'ont pas été ce pauvres depuis les profondeurs de la dernière récession mondiale.
Dans le même temps, l'économie japonaise est vraiment mal maintenant. Comme je parlais l'autre jour, PIB japonais a diminué pour deux sur les trois derniers trimestres, nous avons juste vu la production industrielle japonaise la plus forte baisse d'un mois que nous avons assisté depuis le tsunami de 2011et affaires sentiment est tombé à un bas de trois ansd'expérience. L'indice Nikkei a chuté d'environ 5 000 points d'où c'était l'été dernier, et certains analystes estiment que les marchés japonais "sont détruits" en raison de l'intervention massive de la Banque du Japon.
Ici aux Etats-Unis, nous n'avons pas été frappés aussi durement que le reste du monde tout de suite, mais il y a beaucoup de signes très inquiétant tout autour de nous.
À la fin de la semaine dernière, nous avons appris qu'elle est projetée que le PIB américain comptera par juste 0,1 ou 0,2 % au cours du premier trimestre de 2016. Et le lundi de bénéfices des entreprises déclaration saison commence, et il devrait être un très, très mauvais. Ce qui suit provient de Business Insider...
Nous sommes sur le point d'obtenir la confirmation que la croissance de la rémunération pour les plus grandes sociétés de l'Amérique a été négative au premier trimestre, comparativement à la même période un an auparavant.
Quand en aluminium Alcoa géant communique ses résultats au lundi, il marquera le début officieux de la saison considérée plus lourd pour les entreprises de S & P 500.
Le tableau de bord final devrait montrer un 9,1 %, baisse de revenus pour le trimestre, selon l'analyste de hauts revenus FactSet John Butters. Si ces prévisions s'avèrent exactes, il sera le quatrième trimestre d'affilée de baisse de revenus. C'est quelque chose que nous ne voyons jamais en dehors d'une récession.
Et pour tout un tas plus de chiffres qui indiquent que l'économie américaine est en très grande difficulté, s'il vous plaît voir mon précédent article intitulé "19 faits qui prouvent choses en Amérique sont pire qu'ils ont été Six mois il y a».
Bien sûr, je suis juste une autre voix dans la foule quand il s'agit de prédire que l'économie américaine est dirigé pour les moments difficiles. Par exemple, juste vérifier quelle Societe Generale économiste Albert Edwards dit...
Un raz de marée est à venir pour l'économie américaine, selon Albert Edwards, et quand il bloque il va jeter l'économie dans la récession.
.. .la récession de profit face à des sociétés américaines va conduire à un effondrement du crédit aux entreprises.
"Malgré les actifs à risque profiter quelques semaines au soleil notre indicateur infaillible récession a arrêté clignotant orange et se tourna vers rouge" … Il a ajouté :
Bénéfices de l'ensemble de l'économie jamais normalement tombent cela profondément sans une récession qui se déroulent. Et avec le secteur privé américain, jusqu'à ses yeux dans la dette, de l'actif d'une classe à éviter, même plus encore que l'équité ridiculement surévaluée du marché — est l'endettement des sociétés américaines. L'économie sera sûrement balayée par un raz de marée de défaut entreprise. Comme vous pouvez le voir, ce n'est pas qu'une nation ou une région du monde dont nous avons besoin de s'inquiéter.
Chaos économique éclate littéralement partout sur la planète, et les chefs de file mondiaux commencent à paniquer.
Malheureusement, ils ont eu sept ans pour tenter d'arranger les choses depuis la dernière récession mondiale, et ils n'ont pas le travail. Toute personne qui croit que par miracle, ils pourront nous tirer hors de l'incendie, cette fois, et que tout sera en quelque sorte acceptable est simplement engagé dans un vœu pieux.
Bizarre qu'il n'y ait qu'au Venezuela où le gouvernement aide les vénézuéliens et non le contraire comme ailleurs ! Faut dire que le Venezuela est LA démocratie où les entreprises étrangères peuvent LIBREMENT s'implanter ! Avoir des journaux imprimés au Venezuela ! avoir des chaînes de télés diffusées depuis le Venezuela !! C'est pourquoi aussi, quand ces entreprises étrangères ont des supermarchés et qu'elles refusent de les remplir sous ordre de la dictature extérieure venue d'autres pays...
govt allemand plans pour « tuer » l'industrie éolienne
RépondreSupprimerSigmar Gabriel, le ministre allemand de l'Economie, a annoncé qu'ils aimeraient en vue de modifier la Loi sur les énergies renouvelables (EEG) dans les prochains mois ou plus. Le plan est pour la quantité totale d'énergie renouvelable sur la grille pour être plafonné à 40 – 45 % d'ici 2025. Il était à 33 % à la fin de 2015 mais continue de grimper rapidement. Découvrez la transition eyewatering envisage maintenant :
’Une étude par des consultants ERA au nom du groupe parlementaire du Parti vert conclut qu'en vertu de ces dispositions le développement de l'énergie éolienne s'effondrera assez rapidement : une cible de 45 % signifierait que seulement 1 500 mégawatts pourraient être installés par an après 2018, selon l'étude. C'est moins de la moitié à la moyenne des éoliennes installées dans les cinq derniers jours.
Boom, rencontrer le buste.
Ce serait un tel revirement, qui serait non seulement les nouvelles éoliennes ne pas être ajouté, il y aurait moins d'eux :
– Un plafond de 40 % pour l'énergie éolienne est d'arrêter complètement la construction de nouveaux parcs éoliens en 2019, selon l'étude de l'époque [consultants]. Dans l'ensemble, cela réduirait l'éolien onshore de presque 6000 mégawatts par rapport à la fin de 2015 – ce qui voudrait dire une récession massive dans la production d'énergie éolienne par 18 térawattheures.
La réponse habituelle discrète des verts :
« Le marché intérieur pour de nombreux fabricants s'écroule complètement, » dit Julia Verlinden, porte-parole pour la politique énergétique dans le groupe parlementaire du Parti vert. « Avec leur plan, le gouvernement fédéral est tuer les compagnies vent. »
Est ce « vent de crête » ou les plans vont obtenir édulcorés GWPF a la traduction de la allemande reportage.
http://joannenova.com.au/2016/04/german-govt-plans-will-kill-wind-industry/
L’Ukraine se transforme en Liberia
RépondreSupprimer«C’est ici que nous a amené l’amour de la liberté» 1
Par Oriental Review – Le 25 mars 2016 – Source Oriental Review.
Plus tôt ce mois-ci, en prononçant son discours public à Kiev, Les défis d’un monde en perpétuel changement, l’ancienne secrétaire d’État américaine Condoleezza Rice a fait une remarque inspirante pour quiconque penserait que l’on vit mal en Ukraine : «Vous devriez aller au Liberia, où le niveau de vie est bien plus bas, ensuite vous serez satisfaits.»
Ironiquement, Forbes Ukraine a réagi à cela avec une analyse légèrement perplexe qui a néanmoins conduit à une conclusion d’une parfaite logique : «Bien que le Liberia ait une des économies les plus faibles du monde, il n’a qu’un léger retard par rapport à l’Ukraine en ce qui concerne un certain nombre de paramètres macroéconomiques.» Et le magazine a défendu son argument avec quelques statistiques anémiques (manquant cependant de mentionner que le taux de 85% de chômage du Liberia est bien pire qu’en Ukraine, même aujourd’hui.)
La rapide détérioration de l’économie ukrainienne sur les deux années post-Maïdan n’est plus un sujet tabou dans la presse internationale (l’article de l’éminent académicien américain et ancien diplomate Nicolaï Petro dans le Guardian en est une preuve évidente). Mais, pour faire court, la situation dans son ensemble a l’air encore plus déprimante.
Les gens se bousculent pour quitter l’Ukraine
Une agence d’intérim basée à Kiev affirme que, selon ses sondages, 70% de la population ne voit aucun futur en Ukraine. Dix Ukrainiens sur onze sont prêts à quitter le pays si on leur offre un travail à l’étranger. Quarante pour cent des travailleurs en col blanc de Kiev ne voit aucun avenir assuré. Un autre sondage montre que, comparé à la période pré-Maidan, le pessimisme public augmente. Seuls 19% des sondés s’attendent à ce que 2016 amène des changements positifs (ils étaient 42% en 2013).
C’est un sentiment plutôt compréhensible si nous regardons les revenus moyens en Ukraine. Selon les données officielles du ministère des Finances (du 2 mars 2016), le revenu moyen en Ukraine n’est que de 4 362 hryvnias par mois : approximativement 145 euros. Le salaire mensuel minimum est actuellement à 1 378 hryvnias : 46 euros. La grande majorité des travailleurs ukrainiens doit donc s’en sortir avec un salaire de 2000 à 3000 hryvnias (70-100 euros) par mois. Et le nombre de travailleurs décline chaque jour. En septembre 2015, le ministre ukrainien des Politiques sociales Valery Iarochenko reconnaissait que le taux de chômage avait atteint le plus haut point de l’histoire de l’Ukraine en tant que pays indépendant, avec 23% de jeunes Ukrainiens incapables de trouver un emploi (dans les parties de la région de Donetsk contrôlées par Kiev, ce chiffre s’approche de celui du Liberia : 50% !).
(suite en dessous:)
Les bas salaires et le chômage de masse ne sont pas les seules épreuves que l’Ukrainien ordinaire doit affronter. Pour satisfaire les exigences du FMI, le gouvernement ukrainien doit augmenter les charges d’habitation et de service public au moins deux fois par an. En conséquence, la facture moyenne par foyer a bondi de 695 hryvnias il y a un an, à 1 250 hryvnias en janvier 2016 – une hausse de 80%. Ainsi, théoriquement (et souvent dans les faits), une famille reposant sur un seul salaire et vivant dans un modeste appartement, pourrait avoir besoin de survivre avec la somme misérable de 128 hryvnias – à peine plus de 4 euros ( !) – qu’il reste chaque mois après que les impôts et factures ont été payés ! En tenant compte de la différence de latitude (et de climat), l’Ukraine actuelle pourrait effectivement être qualifiée de Liberia du Nord !
RépondreSupprimerDans le même temps, l’indice du prix des marchandises en Ukraine a augmenté de 40,3% en 2015. Étant donné que cette crise coïncide avec une réduction de 15% des pensions pour les retraités qui ont un emploi d’appoint (cette mesure d’austérité a été annoncée par le Premier ministre Iatseniouk en janvier 2015), la majorité des personnes âgées ukrainiennes est maintenant confrontée à une situation catastrophique. Jusqu’à présent elles ont réussi à s’en sortir grâce à leurs économies personnelles, mais ces ressources s’assèchent : selon la National Bank, en 2015 les Ukrainiens ont vendu 2 233 milliards de dollars et en ont acheté seulement 0,684. Les experts locaux estiment que les citoyens ukrainiens épuiseront leurs ressources personnelles d’ici la fin de 2016.
Il n’est donc pas étonnant de voir les Ukrainiens quitter en masse leur pays pour l’Europe, la plupart vers la Pologne (près de 400 000 ont franchi la frontière l’année dernière), tentant désespérément de trouver n’importe quel travail payé. Là-bas ils sont trompés, arnaqués et cyniquement exploités, mais ils préfèrent endurer un tel traitement plutôt qu’essayer de gagner à peine de quoi mener une misérable vie chez eux.
La désindustrialisation de l’Ukraine prend de la vitesse
La soudaine rupture des liens commerciaux entre la Russie et l’Ukraine, due aux mesures suicidaires que Kiev s’est imposées, a donné lieu à une baisse de 10,7% du PIB en 2014, et de 13,4% en 2015. Le commerce extérieur, import et export, s’est réduit d’un tiers. Les espérances naïves du gouvernement en place à Kiev – que les produits ukrainiens puissent pénétrer les marchés européens – ont été mises en lambeaux (selon Nicolaï Petro, la plus grosse exportation de Kiev vers l’Europe, selon les quotas agricoles établis par le traité de l’association UE-Ukraine, est le miel).
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Cette situation de dégénérescence économique et sociale, accompagnée de la libre circulation d’armes de contrebande sorties de la zone de l’OAT [Anti Terrorist Operation Zone, le Donbass en langage kievien, NdT], a conduit à un tsunami de crimes, sans précédent en Ukraine. Dans les deux années qui ont suivi Maidan, le nombre d’actes criminels enregistrés a doublé. Concrètement, les groupes de maraudeurs, les vols à main armée et les meurtres en pleine rue deviennent quotidiens, et beaucoup d’incidents ne sont pas signalés. Selon les derniers résultats de l’Institut de La Haye pour des projets innovants en matière de justice, 44% des Ukrainiens ne font confiance ni à leur système judiciaire, ni aux organismes d’application de la loi. Certains gangs nationalistes (des bataillons de volontaires) semblent opérer hors la loi, et ignorent chaque tentative des autorités publiques pour les contenir. Les scandales récents (la contrebande d’ambre dans la région de Rovno, le blocus de la Crimée et les barrières mises en place pour bloquer les camions de transit russes) ne sont que la face visible de l’iceberg des activités criminelles des groupes radicaux en Ukraine, celle qui a attiré l’attention des médias. La plupart des incidents criminels ne fait pas les gros titres. Par exemple, une centaine d’affaires traîne actuellement au sein du système judiciaire contre les membres du bataillon d’Aidar qui ont commis des attaques criminelles, dont de graves accusations de crimes de guerre au Donbass, chacune d’entre elles prenant la poussière dans les tribunaux ukrainiens.
RépondreSupprimerLes fans de football hollandais qui se sont rendus en Ukraine à l’occasion de l’Euro 2012 et qui partagent en ce moment inconsidérément le hashtag #TakIsJa, devraient réaliser que le pays qu’ils ont vu il y a quatre ans n’existe plus.
Il n’y a effectivement plus d’État en Ukraine
Les autorités sont trop occupées à chercher à amadouer chaque détenteur de pouvoir – l’ambassade US, les oligarques locaux, le Secteur droit, et divers groupes mafieux – voyant en eux la seule force de légitimité du gouvernement et de possibilité de rester au pouvoir. Mais une chose qu’ils ne comprennent apparemment pas, est que n’importe quel gouvernement en manque de soutien populaire, et dépendant d’agents extérieurs, est plus vulnérable qu’ils ne pourraient jamais l’imaginer. Le dictateur libérien Samuel Doe, qui a pris le pouvoir suite à un coup d’État appuyé par les USA en 1980, a-t-il jamais rêvé qu’il serait dix ans plus tard forcé de manger sa propre oreille et serait ensuite publiquement exécuté par une tribu rivale ? Les chefs du Liberia du Nord ont peut-être la main sur leurs propres parcours politiques, mais pas sur le sort qui leur est destiné…
Traduit par Ismael, vérifié par Wayan, relu par nadine pour le Saker Francophone.
Notes
1 - Devise nationale du Libéria ?
http://fr.sott.net/article/28039-Merci-l-OTAN-l-Ukraine-a-le-niveau-de-vie-du-Liberia
Serge Garde : « des cadres de sociétés du CAC40, dont Orange, participent à des soirées pédophiles »
RépondreSupprimerYouTube
sam., 09 avr. 2016 08:33 UTC
Dans un rare moment de vérité dans les médias mainstream, le journaliste d'investigation Serge Garde, connu pour son documentaire Outreau, l'autre vérité, a déclaré dans l'émission C dans l'air que des cadres de sociétés du CAC40, dont Orange, participaient à des soirées pédophiles.
- voir clip sur site :
http://fr.sott.net/article/28037-Serge-Garde-des-cadres-de-societes-du-CAC40-dont-Orange-participent-a-des-soirees-pedophiles
Pédophilie, espionnage, corruption : les sombres coulisses du Quai d'Orsay dévoilées
RépondreSupprimer10 avr. 2016, 14:57
Vincent Jauvert, journaliste à l'Obs, publie un livre intittulé «La face cachée du Quai d'Orsay». Un récit noir qui révèle après plusieurs mois d'enquête, certaines dérives sous les ors de la République survenues au cours de ces dernières années.
Centre névralgique de la diplomatie française, le Quai d'Orsay est l'un des ministères régaliens les plus prestigieux. De ce monde feutré, le grand public n'en conçoit, sans nul doute, que de vastes pièces accueillant des réunions sensibles dans un cadre pour le moins somptueux. Un livre vient désormais dépeindre un lieu où la loi républicaine est loin d'être reine.
Une affaire de pédophilie mise au placard
Le Quai d'Orsay aurait-il étouffé une affaire de pédophilie mettant en cause un diplomate ? C'est en tout cas ce qu'affirme l'auteur du livre. Bien qu'aucun nom ne soit cité dans cette affaire, les détails s'y afférant sont nombreux. En 2013, le FBI mène une opération anti-pédophilie et parvient à obtenir «les numéros de téléphone des prédateurs». Au sein de cette liste, figure celui d'un diplomate muté du Quai d'Orsay vers le siège des Nations unies. L'homme est cependant congédié sine die par le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-Moon qui aurait eu vent de son passé. Recherché par la justice américaine, il parvient à rejoindre Paris en transitant par Montréal et n'a à ce jour pas été licencié. Son nom est même récemment apparu dans un jury de concours interne du ministère.
Un ancien diplomate accusé de détournement de fond
Proche de l'ancien président François Mitterrand, Bruno Delaye est accusé d'avoir, sur base de photocopies de factures, détourné environ 90 000 euros de fonds publics lorsqu'il était ambassadeur à Madrid. Au début de l'été 2012, il aurait reçu cette somme de plusieurs entreprises qui ont loué l'ambassade de France pour y organiser des soirées. Ces prestations devaient logiquement être directement payées à l'ambassade. L'implication de cet énarque est une mauvaise nouvelle pour l’Elysée où officie un ami proche, Paul Jean-Ortiz, conseiller diplomatique de François Hollande.
Très chers ambassadeurs...
Si le salaire des élus de la République fait souvent les choux gras de la presse, celui des ambassadeurs est rarement évoqué. Et pour cause, ces derniers sont plutôt réticents à se confier autour de ce sujet. Néanmoins, le journaliste a réussi à se procurer les salaires perçus par quelques uns d'entre eux.
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«Les représentants en Afghanistan, en Irak et au Yémen sont aujourd'hui les mieux rémunérés avec environ 29 000 euros net par mois (...). L'ambassadeur à Pékin gagne 21 000 euros ; à Washington 20 000 ; celui à l'OTAN, 19 000 ; à N'Djamena ou à Londres, 17 000 ; au Gabon ou à Oman 15 000 ; en Afrique du Sud, 14 000 ; au Cap-Vert, 13.000 ; au Canada, 12 000 ; en Lettonie et à la FAO, à Rome, 11 000 ; et à Bruxelles, 10 000», affirme le journaliste. Des revenus bien supérieurs à ceux perçus par de nombreux acteurs de la vie politique et qui sont en partie exonérés d’impôt.
RépondreSupprimerCertaines ambassades françaises abritent des activités d'espionnage
Offusquée par le programme d'espionnage américain de la NSA révélé par Edward Snowden, la France ne serait pas en reste dans ce domaine. Selon l'auteur, les toits de certaines des ambassades françaises sont utilisés pour espionner les communications dans plusieurs pays. «Personne aux Affaires étrangères ne vous le dira, mais il y a des centres d'écoutes dans toutes nos représentations diplomatiques au Sahel et au Maghreb», rapporte un haut responsable.
La couverture diplomatique est également utilisée pour des activités d'espionnage. «Depuis quelques années, il y a au moins un espion sous couverture diplomatique dans la plupart des ambassades de France. Ils sont, par exemple, quatre à Washington, trois à Johannesburg, et à N'Djamena, deux à Riga et à Jérusalem, et une à Ottawa», révèle l'auteur.
Les larges prérogatives de la compagne de Laurent Fabius Marie-France Marchand-Baylet, aurait fait le pluie et le beau temps au ministère en ayant un poids décisionnel important sur les nominations des attachés de presse et des diplomates. Selon le livre, elle aurait refusé la nomination d'une diplomate après un rendez-vous conflictuel. Son mari aurait alors déclaré à ce sujet qu'il s'agissait d'une simple «mésentente entre femmes».
https://francais.rt.com/france/18861-pedophilie-espionnage-corruption-sombres-coulisses-quai-orsay-devoilees
OTAN et France
RépondreSupprimerMichel DEBRAY, Pierre PRANCHERE
Agoravox
sam., 09 avr. 2016 07:27 UTC
À l'initiative du président Hollande, un projet de loi prépare le retour de l'OTAN avec le stationnement sur notre sol de forces militaires étrangères membres, 50 ans après en avoir été exclues par le général de Gaulle ! Le président de la République, bafouant les principes établis au nom de la France, de 1958 à 1966 pour sa sortie de du commandement intégré de l'OTAN, a soumis au conseil des ministres du 4 janvier 2016 un projet de loi qui autoriserait le retour sur notre sol de forces militaires étrangères sur décision des Etats-Unis, véritable maître de l'OTAN.
Le général de Gaulle dès son accession à la présidence de la République en janvier 1959 a multiplié les démarches et pris les décisions afin que la France rétablisse sa souveraineté et son indépendance, ce qui fut réalisé en mars 1966. Le texte prévoit, s'il est adopté par le parlement, l'adhésion de la France à un protocole datant de 1952 qui définissait « le cadre juridique du stationnement des quartiers généraux de l'OTAN et de leurs personnels au sein des pays de l'alliance ».
Ce protocole de 1952 induisait la présence de 28000 militaires américains qui paradaient sur notre sol 21 ans après la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Ils occupaient principalement des bases aériennes, comme à Déols près de Châteauroux, tout en narguant les autorités et la population.
Dans cette période où l'impérialisme américain avait déjà fait de l'OTAN son arme de guerre, le président de Gaulle développa sa politique étrangère selon les principes de souveraineté et d'indépendance qu'il avait mis en œuvre.
Nous avons évoqué en commémorant en 2013 le 70ème anniversaire de la victoire de l'armée soviétique à Stalingrad, qui fut le tournant décisif de la Seconde Guerre Mondiale, la visite du général de Gaulle à Moscou du 20 au 30 juin 1966. Ce dernier, se souvenant de 1944 où il avait vu la grande Russie « ... tendue dans l'esprit guerrier qui allait assurer sa victoire et, pour une très large part, celle de la France et de ses alliés », clôtura sa visite par la signature d'une déclaration bilatérale qui donna une impulsion considérable à une coopération multiforme, le domaine spatial en témoigne encore.
Le 1er septembre 1966, le président de Gaulle prononça un discours à Phnom Penh au Cambodge en présence de 100 000 personnes. L'impérialisme américain installé au Vietnam du sud se distinguait par l'utilisation massive du napalm et les bombardements aériens, c'est ce que mettait en cause le président français en ces termes : l'escalade américaine
« de plus en plus étendue en Asie, de plus en plus proche de la Chine, de plus en plus provocante à l'égard de l'Union Soviétique, de plus en plus réprouvée par nombre de peuples d'Europe, d'Afrique, d'Amérique latine, et, en fin de compte menaçante pour la paix du monde ».
La réintégration en décembre 1995 de la France au comité militaire et au conseil des ministres de l'OTAN fut qualifiée par l'historien Paul-Marie de la Gorce de « retour honteux de la France dans l'OTAN ». La réintégration fut complétée en 2009 sous la présidence de Sarkozy, ramenant la France à la situation antérieure à 1966.
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La décision de Hollande de démolir l'œuvre de De Gaulle en ce domaine, tout comme la mission impérative qu'il a donnée à son gouvernement Valls-Macron de déclencher une guerre totale contre ce qu'il reste des conquêtes sociales et démocratiques émanant du Front populaire et des fondamentaux du programme du Conseil National de la Résistance, illustre le caractère ultra réactionnaire d'une politique sociale-impérialiste.
RépondreSupprimerLa 4ème conférence nationale du PRCF des 14 et 15 mars 2015 a constaté avec raison que le parti socialiste est bien « irréversiblement enchaîné à la « construction » européenne, à l'OTAN et à la gouvernance capitaliste mondiale (FMI, UE, OMC) ».
Ce projet de loi Hollande, honteux et antinational, nouvelle soumission aux Etats-Unis, mérite la poubelle de l'histoire, il doit être rejeté par les députés et les sénateurs qui en seront bientôt saisis.
Il éclaire l'urgence pour la sécurité de notre pays de sortir de l'OTAN qui réalisa avec le concours de la CIA le coup d'Etat des néo-nazis-fascistes de la place Maïdan à Kiev dont un des leaders fut reçu à l'Elysée. La soi-disant « Europe de la paix » a été transformée par l'OTAN en « Union Européenne militariste » pouvant conduire à une troisième guerre mondiale.
La sortie de l'OTAN devra s'accompagner du retrait de la France de l'Euro, de l'Union Européenne et des organismes déjà cités, FMI et OMC, qui assurent la dictature internationale des marchés financiers et menacent la paix et la démocratie.
-- Commentaire :
La France quitte l'OTAN
Date de diffusion : 12 mai 1966
Le général De Gaulle, alors président de la République française, annonce dans une lettre adressée au président américain, Lyndon B. Johnson, le retrait de la France de la structure militaire de l'OTAN. Il reconnaît néanmoins l'Alliance dans son principe et reste fidèle à l'esprit qui inspira sa création. À moins qu'elles ne se replient dans leur pays d'origine, les troupes étrangères installées en France relèveront du commandement français dès 1967.
La décision de l'Élysée s'inscrit dans la volonté de doter la France d'une politique de défense indépendante, lui permettant de s'émanciper de la tutelle de l'OTAN. Attaché à la souveraineté nationale, le général est hostile à l'idée de faire jouer à la France le rôle de satellite de la puissance américaine. Le retrait de la France est officiellement prononcé le 8 juin 1966 lors de la conférence de Bruxelles.
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En 1966, les conditions initiales à la signature du traité de l'Atlantique Nord ont changé. Les deux grandes puissances d'hier, l'URSS et les États- Unis, doivent composer avec l'émergence d'autres pays. Les blocs se sont morcelés. Selon le général De Gaulle, la restructuration de l'OTAN est nécessaire, et les nations européennes doivent affirmer leur indépendance et récupérer les attributs de souveraineté qu'elles ont consenti à l'OTAN.
RépondreSupprimerSource: Radio-Canada
Lire aussi:
- Il faut dissoudre l'Otan
- Les « sales » tentacules de l'OTAN
- L'Otan : une association de criminels au service de la stratégie du chaos --
http://fr.sott.net/article/28040-OTAN-et-France
Les Américains, le dollar, Mai 68 et De Gaulle
RépondreSupprimerMorgan Sportès
Comité Valmy
dim., 31 jan. 2010 23:03 UTC
« La seule chose que les Américains ne lui ont jamais pardonné, m'a dit Pierre Messmer peu avant sa mort, ça n'est pas sa sortie de la défense intégrée de l'OTAN (où Sarkozy veut nous faire reentrer), ni son fameux discours de Pnom-Penh dénonçant la guerre au Vietnam, mais c'est sa remise en cause du « privilège exorbitant du dollar ». Monnaie de réserve mondiale, encore liée à l'or à l'époque, du moins symboliquement, le dollar permettait aux USA de vivre à crédit sur le dos du monde en faisant marcher à tour de bras la planche à billets (ça continue aujourd'hui en mille fois pire !)...
De Gaulle, Che Guevara de la finance (et autrement dangereux qu'un Che Guevara puisqu'il dirigeait une nation puissante munie de l'arme atomique) a envoyé la marine nationale aux Etats-unis, acte hautement symbolique, pour remporter « son or » en échange de billets verts, monnaie de singe dont il ne voulait plus. Là, il visait juste, il visait où ça fait mal. Et il a essayé d'entrainer avec lui, dans cette aventure (se débarrasser des dollars-papier), l'Afrique du sud, les pays arabes, la Russie, la Chine... Les stocks d'or US fondaient.
La presse d'outre-atlantique poussait des hauts cris, dénonçant « Gaullefinger » ! Par ailleurs, il tentait de construire une Europe « indépendante des deux blocs » qui inclurait des pays de l'est (en plein mai 68, il rendait visite en ce sens en Roumanie à Ceaucescu). Dans le même esprit il avait élaboré une défense « tous azimuts », ses missiles nucléaires devant être tournés vers l'est mais aussi vers l'ouest (le général Ailleret, metteur en œuvre de cette politique, mourrait opportunément dans un accident d'avion en mars 68, à la veille du fameux mois de mai).
Qui sait, disait de Gaulle pour justifier cette politique, qui gouvernera les Etats-unis et la Russie dans quelques décennies. En sus des Américains, de Gaulle avait à dos leurs suiveurs atlantistes, de Mitterrand à Lecanuet, sans compter Jean-Jacques Servan-Schreiber qui, en plein mois de mai, dénonçait « la dictature intellectuelle du Général qui avait tout gelé en France ». Et cela dans un magazine américain : « Life » qui par ailleurs voyait dans l'Elysée un nid d'espions du KGB. Aux USA une campagne de presse antigaulliste d'une violence et d'un bêtise inouïes battait son plein...
Participaient encore à cette curée, le ban et l'arrière ban du vichysme et de l'OAS : « mai » c'était l'occasion de régler son compte à l'homme de la France libre et au décolonisateur de l'Algérie. Sans compter les milieux d'affaire :
« De Gaulle a pour opposants les mêmes gens, haute finance et classe moyenne, qui firent tomber le gouvernement Blum dans les années trente en spéculant contre le franc et en plaçant leur argent à l'étranger (écrit Hannah Arendt dans une lettre à Mary Mc Carty fin 68). Le tout non pas en réaction aux émeutes étudiantes, mais aux idées grandioses de de Gaulle sur la PARTICIPATION des travailleurs dans les entreprises »...
(suite en dessous:)
Autre crime impardonnable du vieux baroudeur en effet. Tandis que les pavés volaient, les stocks d'or français s'envolaient. La guerre contre le dollar, ourdie par de Gaulle se retournait en offensive spéculative contre le franc... Le paradoxe du gauchisme, __et sa vérité farcesque__ c'est que prétendant abattre la société bourgeoise, il avait derrière lui tous les notables, tous les nantis qui rêvaient d'abattre la statue du Commandeur gaullienne (car la France est le seul pays où le mouvement mondial de mai a pris un tour directement politique : renverser un gouvernement).
RépondreSupprimerDes « situationnistes » m'ont raconté que, lors de l'occupation de la Sorbonne, des gens « louches », manifestement de l'OAS, leur avaient proposé des armes. Au cours d'une manif, un ancien mao se rappelle que, pris dans la foule, au premier rang, des mains invisibles, par derrière, distribuaient par centaines barres de fer et manches de pioches. Provocateurs ? Qui avait intérêt à mettre de l'huile sur le feu ?
-- Commentaire : Il va sans dire que l'Empire a toujours agi de la même façon et que l'histoire (et ses mensonges et discours) se répètent à satiété. On pourrait en rire mais impossible: ces méthodes sont responsables de milliers de morts, partout dans le monde. --
Les gaullistes, me direz-vous, ont gagné les législatives de juin 1968. Certes. Mais de Gaulle les a perdues. Il a perdu sa guerre :
« Notre monnaie était profondément atteinte, écrirait Georges Pompidou. Nos réserves avaient fondu comme neige au soleil...La France du général de Gaulle était ramenée à ses vraies dimensions et on ne s'en réjouissait pas moins. Finie la guerre au dollar. Finies les leçons données aux grands de ce monde. Fini notre leadership en Europe occidentale. Telle était la réaction mondiale et, si je ne le montrais guère, j'éprouvais de tout cela une immense tristesse »(3).
Mai 68 ça n'est pas que cela sans doute. Mais c'est AUSSI cela...
Notes : 1-Farkas, Jean Pierre : 1968, le Pavé,Phonurgia nova éditions,1998. 2-Jauvert, Vincent : L'Amérique contre de gaulle, Seuil, 2000. 3- Pompidou, Georges : Pour rétablir une vérité, Plon 1982.
Commentaire : Lire aussi:
- Révolutions de couleur et manipulation : analyse des mécanismes
- 1965, De Gaulle explique ce qui va se passer avec le dollar
- Retour sur mai 68
Écoutons l'ironique De Gaulle pour comprendre aussi pourquoi l'Empire souhaitait sa "disparition":
- voir sur site :
http://fr.sott.net/article/28041-Les-Americains-le-dollar-Mai-68-et-De-Gaulle
Les services secrets français étaient au courant pour les attentats de Paris
RépondreSupprimer15:33 10.04.2016
Ces informations cruciales ont été fournies par un homme qui a cotoyé pendant plus d'un les terroristes.
Un ancien djihadiste français a alerté les services secrets sur la préparation des attentats en France et en Belgique en été 2015, soit 141 jours avant les attaques du 13 novembre, rapportent les médias français.
"Le 24 juin 2015, quatre mois et vingt jours avant les attentats de Paris qui ont provoqué la mort de 130 personnes et blessé plusieurs centaines d'autres, un homme avait averti qu'un carnage se préparait. En France et en Belgique", a annoncé Le Journal du Dimanche.
Il s'agit d'un certain Nicolas, 31 ans, qui s'est rendu aux autorités turques après avoir passé seize mois à Raqqa et dans la plaine de Fallouja, dégoûté par ce qu'il avait vu sur les territoires contrôlés par les terroristes de l'EI. La Turquie a remis le jeune homme à la France.
Il a affirmé que la préparation des attentats avait été confiée à Abdelhamid Abaaoud. Ce djihadiste belgo-marocain a été tué lors d'une opération antiterroriste de la police française dans une banlieue de Paris.
Plusieurs fusillades et attentats-suicides quasi simultanés ont visé six points de Paris et sa proche banlieue le 13 novembre 2015. Trois kamikazes ont notamment actionné leurs charges explosives près du Stade de France, à Saint-Denis. L'attaque la plus meurtrière a frappé la salle de concert du Bataclan, où les terroristes ont tiré à bout portant sur la foule. Les attentats ont fait au moins 129 morts et 350 blessés. Suite à cette tragédie, le président Hollande a décrété l'état d'urgence en France.
Le 22 mars 2016, un double attentat-suicide à l'aéroport international de Bruxelles-Zaventem et un kamikaze dans une station du métro au cœur du quartier européen ont fait 32 morts et plus de 300 blessés dans la capitale belge. L'attentat a été revendiqué par Daech.
https://fr.sputniknews.com/france/201604101024104827-france-attentats-paris-services-secrets/
Infographies Corvettes Bouïan-M: caractéristiques et armement
RépondreSupprimer16:08 30.03.2016
Les corvettes lance-missiles Bouïan-M dernier cri sont destinées à protéger la zone exclusive maritime d'un Etat donné. Les corvettes Bouïan-M dotés de missiles de croisière Kalibr, faisant partie de la Flotte russe de la mer Noire, seront intégrées de façon permanente au groupe de la Marine russe en Méditerranée.
- voir descriptions sur site:
https://fr.sputniknews.com/infographies/201603301023796703-corvettes-lance-missiles-bouian-m/
Les entreprises paient 68 impôts, taxes, redevances, charges et frais différents !
RépondreSupprimer7 avril 2016
Michel Kelly-Gagnon
www.quebec.huffingtonpost.ca/michel-kellygagnon, p. web
Malgré ce que certaines personnes mal informées colportent, les entreprises sont plus taxées aujourd'hui qu'auparavant, si l'on tient compte de toutes les charges fiscales qu'elles doivent assumer.
La plus récente édition du sondage PwC sur la taxation des grandes entreprises canadiennes est d'ailleurs fort révélatrice à ce sujet. Cette étude a décortiqué les comptes de 89 des plus grandes entreprises du pays selon une méthodologie qui visait à identifier non seulement les impôts et taxes qu'elles doivent payer directement, mais aussi celles qu'elles doivent percevoir ou payer indirectement. En voici les faits saillants :
• Pour chaque dollar que les entreprises paient en impôt sur le revenu, elles paient un autre 1,09 $ en taxes diverses, 70 cents en frais gouvernementaux, redevances et autres charges, et doivent percevoir 3,15 $ pour les différents paliers de gouvernement en taxes sur la masse salariale de leurs employés, taxes de vente, de propriété et d'accise.
• Les grandes entreprises envoient plus d'argent aux gouvernements en taxes et autres paiements que ce qu'elles génèrent comme profits après impôt. En moyenne, 42 % de la valeur ajoutée annuelle créée par les entreprises est allée aux divers gouvernements, comparé à 28 % qui est allée aux travailleurs sous forme de salaires. Le 30 % restant constituait le profit après impôt, et a été réinvesti dans les entreprises et/ou distribué aux actionnaires.
Ces chiffres sont basés sur des données de 2014 et proviennent d'entreprises œuvrant dans diverses industries : bancaire, de l'assurance, secteur manufacturier, détaillants, firmes de télécommunication, ressources naturelles, etc.
Comme je l'ai déjà écrit, même notre plus illustre économiste social-démocrate, Pierre Fortin, dit la même chose : « la seule conclusion qui s'impose est que nos entreprises sont plus taxées aujourd'hui qu'il y a 15 ou 25 ans ».
Ceci contredit les jérémiades habituelles que l'on continue d'entendre à droite et à gauche, selon lesquelles l'impôt sur le revenu des entreprises est très bas. Pourquoi? Tout simplement parce qu'il faut ajouter à l'impôt toutes les taxes et frais que ces entreprises paient et doivent percevoir. Le rapport indique qu'il y en aurait en tout 68 !
(suite en dessous:)
Notons enfin que lorsqu'on oblige les entreprises à devenir des collecteurs d'impôts pour le compte du gouvernement, cela implique divers frais administratifs. La paperasse est si complexe qu'elle coûte 4 millions $ annuellement, en moyenne, aux entreprises incluses dans le sondage, et nécessite de chacune d'elles l'embauche de 19 comptables à temps plein...
RépondreSupprimerMichel Kelly-Gagnon est président et directeur général de l'Institut économique de Montréal. Il signe ce texte à titre personnel.
http://www.iedm.org/fr/59751-les-entreprises-paient-68-impots-taxes-redevances-charges-et-frais-differents
La dette du secteur public, notre « vraie » dette
RépondreSupprimer26 mars 2014
Michel Kelly-Gagnon
www.blogues.journaldemontreal.com/iedm, p. Web
Le temps de lire ce texte, nous serons collectivement endettés d’un autre 100 000$ ou presque.
La dette du Québec, quasi-inexistante il y a une cinquantaine d’années, s’élève à plus de 265 milliards de dollars aujourd’hui. Et elle augmente à un rythme effarant.
Je parle ici de la dette du secteur public québécois. Il y a plusieurs définitions de la dette (nette, brute, du secteur public, etc.), et en cette période électorale, alors qu’on vous bombarde de chiffres à droite et à gauche, c’est particulièrement important de garder en tête que la dette qui devrait nous préoccuper, c’est celle qu’on appelle « dette du secteur public ».
Pourquoi? Tout simplement parce ce que cette définition donne le portrait le plus englobant de la dette supportée directement ou indirectement par le gouvernement du Québec, comme l’a d’ailleurs déjà souligné le vérificateur général. Elle inclut non seulement ce que le gouvernement gère directement, mais aussi la dette des universités, des municipalités et des autres entreprises sous la responsabilité finale du gouvernement. Celui-ci s’est engagé à honorer ces dettes, donc la facture pourrait revenir aux contribuables québécois.
Oui, mais nous avons des actifs…
Certaines personnes ont tendance à minimiser l’importance de notre dette collective en faisant valoir que nous possédons des « actifs » qui réduiraient de beaucoup notre dette. Un peu comme la valeur d’une maison compense votre dette hypothécaire. C’est vrai en (petite) partie, mais cela ne change pas le problème fondamental.
Nous avons beau avoir des écoles, des hôpitaux, des ponts ou des parcs nationaux, on ne vendra pas ces actifs pour rembourser la dette. D’ailleurs, les immobilisations et infrastructures que possède le gouvernement peuvent difficilement être évaluées à leur valeur marchande, étant donné l’absence de marchés comparables. C’est pourquoi ni le gouvernement, ni le vérificateur général ne tiennent compte de ces actifs lorsqu’ils tentent de peindre un portrait réaliste de la dette que la population québécoise devra un jour rembourser.
Aussi, il faut comprendre que ces actifs — souvent financés par endettement — ne réduisent aucunement le total des intérêts croissants que les contribuables québécois doivent payer. D’ailleurs nous payons les intérêts sur la dette brute, et non sur la dette nette.
En fait, les seuls actifs « liquides » du gouvernement, soit ceux qu’il pourrait vendre rapidement pour payer la dette, sont les actifs financiers nets. Et ils se chiffrent à 16,3 milliards $ au 31 mars 2014, soit seulement 6 % de la dette du secteur public.
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Vendre Hydro-Québec ?
RépondreSupprimerD’autres font remarquer que nous possédons un actif qui a une valeur bien mesurable, soit Hydro-Québec. Pour assainir ses finances publiques, le gouvernement pourrait effectivement vendre une société d’État comme Hydro-Québec. Une telle vente, partielle ou totale, pourrait diminuer tangiblement la dette du Québec. Le problème, c’est que ceux-là mêmes qui répètent que l’on doit considérer nos actifs dans le calcul de la dette sont en général les mêmes qui s’opposeraient farouchement à une privatisation d’Hydro-Québec…
http://www.hydroquebec.com/fr/index.html
Peu importe la mesure de la dette que l’on utilise, le Québec est la province la plus endettée du Canada. Et nous paierons, cette année, 11 milliards $ pour le service de la dette. C’est environ 40 % de tous les impôts sur le revenu des Québécois pendant l’année.
Si on ne s’attaque pas au problème, cette facture collective va continuer à grimper, et ce, même si les taux d’intérêt demeuraient bas (ce qui ne sera pas le cas éternellement). Ce chiffre, même s’il semble abstrait, a des conséquences bien réelles. Tous ces milliards alloués à la dette ne peuvent servir à d’autres projets louables, que ce soit d’améliorer l’accès à des soins de santé pour tous, l’entretien des routes, ou réparer nos viaducs et nos écoles.
Ou, si on se permet de rêver un peu, servir à baisser un jour nos impôts et nos taxes.
Michel Kelly-Gagnon est président et directeur général de l'Institut économique de Montréal. Il signe ce texte à titre personnel.
http://www.iedm.org/fr/48048-la-dette-du-secteur-public-notre-vraie-dette
– Le visage humain de la fracturation hydraulique dans le Dakota du Nord – en images
RépondreSupprimerEn 2006, Eli Reichman a commencé à photographier un élevage communautaire dans les domaines de la fracturation hydraulique du Dakota du Nord. Pour la dernière décennie, il a documenté la rupture culturelle et sociale d'une communauté agricole, l'objet de pressions à faire des compromis afin de rester sur les terres attribuées à l'origine de leurs ancêtres dans les années 1900.
Pour en savoir plus sur son travail et les Hinterlands, prochain documentaire, consultez page de Kickstarter de Reichman:
https://www.kickstarter.com/projects/elireichman/hinterlands
http://www.theguardian.com/environment/gallery/2016/apr/10/fracking-north-dakota-energy-photography-environment
Expériences dans voitures électriques : Plus jamais de carburant
RépondreSupprimerMichael Specht
Bas de gamme, des coûts élevés et cette bizarre des matériaux recyclés à l'intérieur. La BMW i3 a presque seuls inconvénients par rapport à une golf. Toutefois, aucune autre voiture ne serait entrer dans l'i3 propriétaire Michael Specht .
Trop court une gamme, pas assez des stations de recharge et un prix élevé de la nouvelle voiture. Il y a toujours les mêmes préoccupations que j'entends des discussions sur la question de la voiture électrique. Et en vérité, il n'y a aucun problème, mais la vérité. Mais puis-je m'attendre au début d'un nouveau type de mobilité ? N'était-il pas semblables, 130 ans lorsque Bertha Benz a entrepris sa première tournée et dû acheter le carburant encore dans la pharmacie ?
En Allemagne, diffusion homéopathique des voitures électriques est inférieur à l'infrastructure de stations de recharge mince (le plus "ravitailler" en tout cas à la maison), mais plutôt sur le bas de gamme et le prix élevé des véhicules proposés. Ma BMW acheté il y a deux ans i3 coûtait 34.950 € nu. Avec quelques extras (garniture "Lounge", siège chauffant, phares à del et roues fancier) étaient tout aussi 44,250 euros. Une somme princière pour une voiture de quatre mètres. Il se pose la question de contrôler l'utilisation avec l'i3 peut-être inférieure à celle des autres voitures électriques. Vous l'achetez pour des raisons émotives, simplement parce que vous voulez avoir de lui.
C'était de toute façon, avec moi quand je m'ai donné il y a deux ans, l'i3. Maintenant, deux ans plus tard et expérience beaucoup plus riche, la question est : je veux lui avoir encore ?
J'ai m'a informé à ce moment-là abondamment avant l'achat. Vous vous demandez a qui un E-golf dans les coûts de base beaucoup ainsi que l'i3 conçu exclusivement comme une voiture électrique. La décision a été clairement pour la BMW. C'est le frisson de la nouvelle. Il est la voiture beaucoup plus moderne par rapport au Golfe, sa structure est faite de fibre de carbone légère composite, le châssis est réalisé entièrement en aluminium, le corps en plastique. Avec le recul, on doit tirer toujours le chapeau avant que quelque chose comme conceptuel a appelé BMW sur les roues, la conception, les matériaux, dans la production. Plus haute technologie à l'intérieur de n'importe quelle autre voiture dans ce segment.
Timidité avec les matériaux respectueux de l'environnement
À l'intérieur, l'i3 rompt avec les conventions. L'habitacle des voitures plus suivre la typique en forme de T avec la console de centre plus épais. L'i3 dispose d'un intérieur spacieux et réduit avec pied continue chambre. Au début, que j'ai trouvé ça bizarre. Aujourd'hui, je me sens dans le caniche i3. Espace, clarté, opération cette place assise supérieure plus léger et les associés pour entrer et sortir rendre la vie quotidienne avec la BMW électrique plus confortable que dans les autres voitures de la catégorie compacte. J'étais sceptique au tout d'abord le recyclage eco-matériaux comme le feutre, de laine et d'un tissu composé d'anciennes bouteilles en plastique, qui sont également utilisés à l'intérieur. Mais tout a été très bien et ressemble encore aujourd'hui à nouveau.
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J'étais au courant, de perdre beaucoup d'argent, je dois vendre l'i3 après deux ou trois ans. Personne ne peuvent rencontre actuellement graves déclarations de perte réelle dans la valeur de la voiture électrique sera plus élevées. Le facteur décisif est la batterie. Alors que BMW est de huit ans de garantie sur la durée de vie des cellules. C'est peut-être vrai sur le plan technique, est mais en termes de déficience non pertinent.
RépondreSupprimerPlus tôt, il sera nouveau, beaucoup plus puissantes batteries. Au moins les experts disent que. Il est similaire à l'iPhone. Personne ne veut avoir les premiers modèles. Personne ne voudra acheter aussi l'i3 de la première génération, si électrique voitures bientôt plusieurs centaines de kilomètres. « First Movers » ou « Early Adopters », que les gens du marketing BMW veux appelé i3 premiers clients, besoin de saigner financièrement ici.
Gamme, consommation de carburant - un conte de fées
L'usine promet une portée maximale de 190 kilomètres et en même temps une consommation standard de 12,9 kWh / 100 km pour l'i3. Bienvenue dans l'univers de Bruxelles de contes de fées. Bien qu'il soit possible de saper les 12,9 kWh (il y a assez un style de conduite sobre sans climatisation activée) en été. Toutefois, la batterie était vide après 145 kilomètres, pour la plupart après 130. BMW dit que se bloquer avec les pertes de charge et l'autre s'attendrait la consommation d'énergie dans la zone compteur,. Curieusement, vous vous sentez encore plus veräppelt qu'une voiture Nitro avec voitures électriques par la différence énorme entre la norme et la réalité.
En hiver le chauffage et la gestion de la chaleur des cellules au lithium-ion à affaiblissent la capacité de la batterie aussi massivement. Moyens : la gamme s'affaisse à moins de 100 kilomètres. Pas de coussin apaisant de la conduite. BMW veut faire quelque chose à la fin de l'année. L'acheteur i3 peut ensuite s'il veut avoir une batterie d'une capacité de plus de 50 pour cent. La gamme quotidienne pourrait s'élever en fait à plus de 200 kilomètres. Devrait être donné la possibilité soi-disant propriétaires de vieux-i3, pour échanger la batterie. À quelles conditions, trahir la Munich encore.
Aussi en termes de coût théorique et pratique à l'e-mobilité s'écarter largement. Il a été dit par BMW lors de la présentation de l'i3, frais d'électricité correspondant à une consommation de diesel de 2,5 litres, mon i3 n'a jamais atteint cette valeur dans ses deux ans. Une mélange de vrai été-hiver consommation de 14 kWh/100 km est d'environ 17 kWh, qui apparaissent sous forme de consommation d'électricité sur le compteur de la maison (à cause de la perte de charge). Cette quantité de puissance coûte actuellement cinq euros. Un diesel de golf continue ainsi moins cher - et, bien sûr.
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Inspection surprise
RépondreSupprimerCertainement pas, mais mieux. Parce que l'i3 reste inégalée en termes de plaisir de conduite. En particulier, la combinaison de détente et arrivée spontanée fascine encore et encore sur le nouveau. C'est la voiture idéale et moderne pour la ville, détendue, calme, non polluante localement. Également dans les points de la connectivité et le tronc de confort, rien à critiquer. L'i3 est bien conçu et facile à utiliser, son rayon de braquage est incroyablement petit, ce qu'on se sent surtout dans les parkings à étages. Seul le concept de l'ouverture des portes opposées est gênant dans la vie quotidienne. Dans les espaces restreints, il a seulement des inconvénients. Ensuite vous pouvez même prendre un sac des sièges arrière, sans à se coincer entre l'avant et la porte arrière.
Je me réjouissais à l'âge mûr après deux ans d'inspections. Ce qui devrait être ? L'i3 est une voiture sans un moteur à combustion, sans huile, sans courroie, sans carburant, sans réservoir, transmission et d'échappement. Il est en acier inoxydable et son E-machine (170 PS) inusable. Même les freins doivent garder presque jamais, parce que vous retardée jusqu'à ce que des situations d'urgence seulement avec la pédale d'accélérateur. Pied des moyens gaz : le moteur électrique ralentit la voiture en mode de Poussée, puis fonctionne comme une Dynamo sur votre vélo et charge la batterie. Plaquettes et disques de frein sont conservés. Poussière de frein que laid sale les roues des voitures classiques déjà après quelques semaines, ne sait pas l'i3.
L'inspection de Bill était néanmoins près de 400 euros. Changé le liquide de frein et le filtre d'habitacle ont été tournant (tous les deux ans). Le reste a été l'inspection visuelle et une mise à jour logicielle à retenir à la batterie et la ventilation. L'ancien maintenant environ cinq pour cent montre plus large.
Tu es comme ça ? Chaque batterie au lithium-ion dans la voiture jamais exploité sa pleine charge. Elle aurait par ailleurs vite fatigué de l'âge. Alors vous pouvez être, par exemple, 20 pour cent restant inutilisées, l'indicateur dans la voiture est si vide, bien qu'il est encore courant dans la batterie est en réalité. Tout comme c'est le chargement. Il n'est jamais 100 %, mais par exemple, que 95 % remplie. La fenêtre de la capacité, le hub de charge dit est de 20 à 95 pour cent. Et cette fenêtre a augmenté quelque peu BMW via mise à jour logicielle - Hé hop, il y ont quelques kilomètres une couverture plus large.
Aussi la climatisation ou le chauffage doit être activée après la mise à jour manuellement. Auparavant, elle était automatiquement activée, qui n'est pas toujours immédiatement remarqué, mais coût d'électricité inutile.
Juste au cas où l'atelier échangées (coûtait BMW) encore un raccord sur le moteur monte. Vous aurait enregistré à certains i3 boulons courbés, dit de Munich et laine commerciales de cette composante dans le cadre du premier service du tout. Mais ces choses que lorsque quelques voitures du lecteur-flotte maintenant ont été tordues. Les visiteurs avaient occasionnellement prêter i3, qui sont, après tout, déjà 20 pour cent de la flotte, à violemment frappé sur les ralentisseurs et bent si les boulons.
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Les 25 000 kilomètres et deux ans d'expérience avec l'i3 ont se déforment facilement me too - à l'avenir. Voitures avec des moteurs à combustion interne me semblent tout d'un coup en arrière, ne correspondent plus à la mobilité de demain. J'avoue que longtemps il y a rien de mieux. Mais il le fait maintenant.
RépondreSupprimerhttp://www.spiegel.de/auto/fahrberichte/bmw-i3-im-dauertest-nie-wieder-ein-normales-auto-a-1084793.html
Dites vous bien que si la voiture électrique avait pu marcher ils ne l'auraient JAMAIS fabriqué ! (concurrente du pétrole).
Supprimerhttp://huemaurice5.blogspot.fr/2014/10/a-propos-denergie-gratuite.html
L'effondrement économique est en éruption partout sur la planète comme chefs de file mondiaux Begin à la panique
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 10 avril 2016
Les médias grand public commencent déjà à utiliser l'expression « effondrement économique » pour décrire ce qui se passe dans certaines régions de notre monde dès maintenant. Pour beaucoup d'américains, cela peut paraître un peu étrange, mais la vérité est que le ralentissement économique mondial qui a débuté au cours de la seconde moitié de l'année dernière commence à devenir bien pire. Dans cet article, nous allons examiner la preuve de l'Amérique du Sud, Europe, Asie et Amérique du Nord. Une fois que nous avons terminé, il devrait être évident qu'il n'y a absolument aucune raison d'être optimiste quant à la direction de l'économie mondiale dès maintenant. Les avertissements de tant de personnalités de renom sont maintenant devenir une réalité, et nous avons assisté jusqu'ici seulement les premiers chapitres d'une crise économique écrasante qui affecteront chaque homme, femme et enfant dans le monde entier.
Commençons avec le Brésil. C'est la 7ème plus grande économie sur l'ensemble de la planète, et il connaît déjà sa pire récession en 25 ans. En effet, à la fin de l'année dernière, Goldman Sachs a déclaré que ce qui se passait là-bas était en fait une "dépression".
Mais maintenant la crise au Brésil s'est considérablement intensifiée.
Je veux partager avec vous un extrait d'un article récent intitulé "Brésil : effondrement économique pire que craint". Je sais, que titre sonne comme il s'agit directement depuis Le Blog d'effondrement économique, mais je ne l'écris.
Il s'agit en fait de CNN...
Au milieu du chaos politique, l'effondrement économique du Brésil est pire que son gouvernement croyait.
Au milieu de la montée des appels pour attaquer la Présidente Dilma Rousseff, la Banque centrale du Brésil a annoncé jeudi qu'elle attend maintenant l'économie du pays de réduire de 3,5 % cette année.
C'est pire que l'estimation précédente de la Banque centrale pour une contraction de 1,9 %. Les prévisions plus sombre correspond à ce que le Fonds monétaire International prévoit pour le Brésil, plus grand pays d'Amérique latine — et ce que beaucoup d'économistes indépendants ont suspecté.
C'est une chose pour Michael Snyder pour vous dire que le Brésil est au milieu de "l'effondrement économique", mais c'est une autre chose entièrement pour CNN pour le dire.
Et bien sûr j'ai été mise en garde concernant la crise vers le bas au Brésil depuis un certain temps maintenant. Pour beaucoup plus à ce sujet, voir mon précédent article intitulé «The économique effondrement de l'Amérique du sud est bien en cours».
Pendant ce temps, les choses sont en fait bien pires au Venezuela, qu'ils sont au Brésil. Alimentaires et fournitures de base se font rares, le taux d'inflation a frappé 720 % et la criminalité est complètement hors de contrôle.
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Ce qui suit est tiré d'un article dans l'indépendant intitulé "Venezuela est au bord de la complète économique s'effondrer"...
RépondreSupprimerLa seule question maintenant est de savoir si économie ou le gouvernement du Venezuela va complètement s'effondrer tout d'abord.
Le mot clé, il n'y a « complètement ». Les deux sont bien dans leur agonie. En effet, parti au pouvoir au Venezuela vient de perdre les élections au Congrès qui a donné l'opposition la majorité à l'épreuve du droit de veto et il est dur de voir que l'obtention de mieux pour eux n'importe quand bientôt, ou jamais.
Titulaires, après tout, n'ont pas tendance à faire trop bien lorsque, selon le Fonds monétaire International, leur économie réduit à 10 pour cent un an, 6 % supplémentaires le suivant et l'inflation explose à 720 p. Il n'est pas étonnant, alors, que les marchés attendent Venezuela à défaut sur sa dette dans un avenir très proche. Le pays est pratiquement en failli.
Une fois encore, nous voyons une publication grand public très respectée à l'aide de l'expression « effondrement économique » pour décrire ce qui se passe en Amérique du Sud.
Vous pouvez trouver quelques superbes vidéo de l'Armageddon « économique » qui se déroule au Venezuela droit ici. Je vous encourage à regarder cette vidéo, parce que ce qui se passe là-bas qui va finalement se passer ici.
En attendant, pendant en Europe système bancaire de l'effondrement de l'italien a signé un nouveau chapitre troublant. Le ministre des finances de l'Italie a convoqué une réunion à Rome pour lundi qui se concentrera sur le plan d'un plan de sauvetage de « dernier recours » pour les banques troublées...
Le ministre des Finances Pier Carlo Padoan a convoqué une réunion à Rome lundi avec des cadres auprès des institutions financières les plus grandes de l'Italie, pour convenir des derniers détails d'un plan de sauvetage de « dernier recours ».
Encore à la veille de cette rencontre, des préoccupations demeurent quant à savoir si le plan sera suffisant pour encadrer les plus faibles des grandes banques italiennes, Monte dei Paschi di Siena, de la contagion, selon les personnes impliquées dans les pourparlers.
Actions de la banque italienne ont perdu presque la moitié de leur valeur jusqu'à présent cette année au milieu des soucis d'investisseur sur un tas de 360bn €d'improductifs prêts — équivalent à environ un cinquième du PIB. Rentabilité des prêteurs a été frappée par une récession de trois ans paralysante.
Comme Italie descend dans le chaos financier, le reste du continent être mieux faire attention.
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Tu te rappelles combien il était difficile pour le reste de l'Europe pour sauver la Grèce ?
RépondreSupprimerEh bien, la Grèce a la plus grande économie 44e sur la planète.
L'Italie a la 8e.
Il serait difficile d'exagérer la gravité de ce qui se passe sur plus en Europe, et il n'est pas seulement l'Italie dont nous parlons. Partout les continents grandes banques sont en grande difficulté et le Président de deuxième détail Banque a récemment déclaré aux journalistes que "que je suis beaucoup plus inquiet que j'étais en 2009" France.
Et il n'y a bonne raison de s'inquiéter. Le dimanche, nous avons appris qu'un majeur « sous caution-in » avait vient d'être annoncé pour une des banques plus éminents de l'Autriche. Ce qui suit provient de Zero Hedge...
Et puis aujourd'hui, suite à une décision par le régulateur bancaire autrichien, le Finanzmarktaufsicht ou l'autorité des marchés financiers, officiellement, l'Autriche est devenue le premier pays européen à utiliser une nouvelle loi dans le cadre imposé par la banque la relance européenne et Directive de résolution de partager les pertes d'une banque ayant échouée avec les principaux créanciers car il réduit la valeur de la dette de Heta Asset résolution AG.
Les faits saillants de l' annonce:
L'autorité de marché financier autrichien (AMF) dans sa fonction sous l'autorité de résolution au titre de la reprise de la Banque et résolution Act (BaSAG – Bundesgesetz über die Sanierung und Abwicklung von Banken) a publié aujourd'hui, les principales caractéristiques des étapes supplémentaires pour la résolution de HETA ASSET sa résolution. Mesures les plus importantes sont :
• un caution-à 100 % pour tous les passifs subordonnés,
• un 53,98 % caution composant logiciel enfichable, résultant en un quota de 46,02 %, pour toutes les dettes préférentiels admissibles,
• l'annulation de tous les paiements d'intérêts de 01.03.2015, lorsque HETA a été placé dans la résolution, déposée BaSAG,
• ainsi qu'une harmonisation entre les échéances de toutes les dettes admissibles à 31.12.2023.
Selon le plan actuel de résolution pour HETA, le processus de réduction progressive devrait être conclu d'ici à 2020, bien que le remboursement de toutes les demandes aussi bien comme juridiquement contraignants, conclusion de tous les différends juridiques actuellement en suspens sera réaliste seulement être conclu avant la fin de 2023. Seulement à ce moment-là qu'il sera possible pour enfin distribuer les actifs et de liquider la société.
Les dominos commencent à baisser en Europe, et je m'attends annonces encore plus grands dans les semaines et les mois à venir.
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Plus en Asie, chaos économique commence à l'emporter ainsi.
RépondreSupprimerEn Chine, le marché boursier est déjà à plus de 40 % par rapport au pic, les exportations chinoises ont diminué 25,4 % sur un an sur la base de l'année en Février, et chinois numéros économiques globales n'ont pas été ce pauvres depuis les profondeurs de la dernière récession mondiale.
Dans le même temps, l'économie japonaise est vraiment mal maintenant. Comme je parlais l'autre jour, PIB japonais a diminué pour deux sur les trois derniers trimestres, nous avons juste vu la production industrielle japonaise la plus forte baisse d'un mois que nous avons assisté depuis le tsunami de 2011et affaires sentiment est tombé à un bas de trois ansd'expérience. L'indice Nikkei a chuté d'environ 5 000 points d'où c'était l'été dernier, et certains analystes estiment que les marchés japonais "sont détruits" en raison de l'intervention massive de la Banque du Japon.
Ici aux Etats-Unis, nous n'avons pas été frappés aussi durement que le reste du monde tout de suite, mais il y a beaucoup de signes très inquiétant tout autour de nous.
À la fin de la semaine dernière, nous avons appris qu'elle est projetée que le PIB américain comptera par juste 0,1 ou 0,2 % au cours du premier trimestre de 2016. Et le lundi de bénéfices des entreprises déclaration saison commence, et il devrait être un très, très mauvais. Ce qui suit provient de Business Insider...
Nous sommes sur le point d'obtenir la confirmation que la croissance de la rémunération pour les plus grandes sociétés de l'Amérique a été négative au premier trimestre, comparativement à la même période un an auparavant.
Quand en aluminium Alcoa géant communique ses résultats au lundi, il marquera le début officieux de la saison considérée plus lourd pour les entreprises de S & P 500.
Le tableau de bord final devrait montrer un 9,1 %, baisse de revenus pour le trimestre, selon l'analyste de hauts revenus FactSet John Butters.
Si ces prévisions s'avèrent exactes, il sera le quatrième trimestre d'affilée de baisse de revenus. C'est quelque chose que nous ne voyons jamais en dehors d'une récession.
Et pour tout un tas plus de chiffres qui indiquent que l'économie américaine est en très grande difficulté, s'il vous plaît voir mon précédent article intitulé "19 faits qui prouvent choses en Amérique sont pire qu'ils ont été Six mois il y a».
Bien sûr, je suis juste une autre voix dans la foule quand il s'agit de prédire que l'économie américaine est dirigé pour les moments difficiles. Par exemple, juste vérifier quelle Societe Generale économiste Albert Edwards dit...
Un raz de marée est à venir pour l'économie américaine, selon Albert Edwards, et quand il bloque il va jeter l'économie dans la récession.
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.. .la récession de profit face à des sociétés américaines va conduire à un effondrement du crédit aux entreprises.
RépondreSupprimer"Malgré les actifs à risque profiter quelques semaines au soleil notre indicateur infaillible récession a arrêté clignotant orange et se tourna vers rouge"
…
Il a ajouté :
Bénéfices de l'ensemble de l'économie jamais normalement tombent cela profondément sans une récession qui se déroulent. Et avec le secteur privé américain, jusqu'à ses yeux dans la dette, de l'actif d'une classe à éviter, même plus encore que l'équité ridiculement surévaluée du marché — est l'endettement des sociétés américaines. L'économie sera sûrement balayée par un raz de marée de défaut entreprise.
Comme vous pouvez le voir, ce n'est pas qu'une nation ou une région du monde dont nous avons besoin de s'inquiéter.
Chaos économique éclate littéralement partout sur la planète, et les chefs de file mondiaux commencent à paniquer.
Malheureusement, ils ont eu sept ans pour tenter d'arranger les choses depuis la dernière récession mondiale, et ils n'ont pas le travail. Toute personne qui croit que par miracle, ils pourront nous tirer hors de l'incendie, cette fois, et que tout sera en quelque sorte acceptable est simplement engagé dans un vœu pieux.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/economic-collapse-is-erupting-all-over-the-planet-as-global-leaders-begin-to-panic
Bizarre qu'il n'y ait qu'au Venezuela où le gouvernement aide les vénézuéliens et non le contraire comme ailleurs !
SupprimerFaut dire que le Venezuela est LA démocratie où les entreprises étrangères peuvent LIBREMENT s'implanter ! Avoir des journaux imprimés au Venezuela ! avoir des chaînes de télés diffusées depuis le Venezuela !!
C'est pourquoi aussi, quand ces entreprises étrangères ont des supermarchés et qu'elles refusent de les remplir sous ordre de la dictature extérieure venue d'autres pays...