- ENTREE de SECOURS -



mercredi 13 avril 2016

Et si on parlait des « biosimilaires »

le 13 avril 2016
par jacqueshenry
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L’un des domaines les plus prometteurs de la pharmacologie moderne est celui des anticorps monoclonaux à usage thérapeutique mais aussi celui de divers facteurs de croissance normalement produits par l’organisme. Il y a là de nombreuses applications pour traiter des maladies réfractaires à tout traitement médicamenteux. Par exemple le Filgrastim (Neupogen de la société Amgen) est un analogue du facteur de stimulation des granulocytes produit par modification génétique de la bactérie Escherichia coli dans le génome de laquelle on a introduit le gène de ce facteur (G-CSF) d’origine humaine. Les applications sont essentiellement orientées vers une stimulation des lignées rouge et blanche de la moelle osseuse lors de chimiothérapies liées à certaines formes de cancers. Le premier « biosimilaire » homologué est un autre G-CSF de la société Sandoz (Novartis) appelé Zarxio. Bien que considéré comme « similaire » il est en tous points identique au Neupogene.
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Lorsqu’un laboratoire pharmaceutique met au point la production d’un tel produit, vendu le plus souvent à un prix exorbitant, il est évident qu’entre la date de dépôt du brevet, l’approbation par les autorités compétentes et la commercialisation (AMM) il peut se passer près d’une dizaine d’années voire plus. Toute copie « générique » du produit est appelée « biosimilaire », un terme peut-être vague mais qui précise pourtant qu’il peut y avoir quelques infimes différences avec le produit initial. En effet, un brevet ne décrit pas nécessairement les secrets de fabrication dans leur détail. La fabrication d’un anticorps monoclonal ou d’un facteur de croissance à partir de cellules humaines en culture ou de bactéries transgéniques est simple sur le papier mais la réussite finale dépend aussi et surtout de la maîtrise par les personnels constituant les équipes de production d’une multitude de détails expérimentaux qui ne peuvent faire l’objet d’une protection industrielle à l’aide d’un brevet. L’automatisation des procédés de production n’est pas non plus brevetable. Le produit similaire fabriqué par un autre laboratoire n’est donc pas totalement identique.
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Devant les coûts monstrueux de ces médicaments d’un nouveau genre aux multiples applications, les autorités compétentes (FDA ou EFSA, pour les USA et l’Europe) sont encouragées par les organismes de protection sociale et de santé publique ou privée pour homologuer de plus en plus de « biosimilaires » afin d’arriver à une diminution des coûts de traitement. C’est ce que vient de faire pour la deuxième fois la FDA avec l’Inflectra un biosimilaire du Remicade, deux anticorps monoclonaux utilisés pour le traitement de maladies auto-immunes comme l’arthrite rhumatoïde ou la maladie de Crohn. Le Remicade (Infliximab, illustration ci-dessus) a été mis au point par des universitaires de l’Université de New-York et développé par Centocor (Janssen) alors que l’Inflectra a été développé par la société de biotechnologie Celltrion et est produit et vendu par Pfizer.
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La bataille est enragée car le traitement coûte environ 20000 dollars par an et il y a très gros à gagner : la maladie de Crohn, un inflammation du gros intestin, l’arthrite rhumatoïde, la spondylite enkylosante et le psoriasis sont loin d’être des maladies orphelines et le marché est particulièrement juteux, de l’ordre de 8 milliards de dollars par an aux USA et 25 milliards dans le monde ! On comprend dès lors que les homologateurs soient stimulés par les compagnies d’assurance-maladie privées ou les organismes publics de protection sociale. Ces deux produits, des anticorps chimères homme-souris, bloquent l’action d’un facteur appelé TNF-alpha, une cytokine impliquée dans les inflammations systémiques caractéristiques des maladies auto-immunes.
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Il reste pourtant clair que le développement d’autres « biosimilaires » est coûteux et demande plusieurs années. Envisager une diminution conséquente du coût des traitements relève encore de l’utopie car par exemple le « biosimilaire » du Neupogen coûte environ 15 % moins cher que le produit authentique. Autant dire qu’il est évident que les laboratoires pharmaceutiques feront tout ce qui est en leur pouvoir pour préserver la manne que représentent ces produits nouveaux quitte à s’entendre en toute illégalité sur les prix à fixer. Encore une fois il est également évident que les profits passent avant l’intérêt des malades … et des contribuables.
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Illustration : Remicade et Inflectra (Wikipedia)
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34 commentaires:

  1. Boots personnel sous pression à traire le NHS pour de l'argent, affirme l'union des pharmaciens
    Clients de pharmacie, compte tenus des commentaires inutiles la médecine facture pour le service de santé, organisme professionnel de revendications

    le mercredi 13 avril 2016 02.24 EDT

    Boots a été accusé d'accroître ses profits en forçant le personnel d'abuser d'un régime de NHS destiné à aider les patients malades.

    Les gestionnaires de la plus grande chaîne de pharmacies de Grande-Bretagne se sont avérées pour être diriger leurs chimistes pour fournir des examens de médecine ou de non-utilisation (MUR) aux clients qui n'ont pas besoin d'eux, afin de réclamer les fonds publics de l'ENM.

    Le NHS paie £28 pour chaque MUR, qui est effectuée par un pharmacien et destiné à donner aux patients des conseils professionnels sur la santé, l'alimentation et la meilleure façon de gérer leurs médicaments.

    Toutefois, une enquête menée par le tuteur a trouvé des preuves que les gestionnaires de bottes dirigent personnel pour réaliser des MURs les uns des autres et sur des patients qui eux n'ont pas besoin ou ne peut pas les utiliser.

    Une pharmacienne dans les Midlands, a déclaré qu'il a été réalisé par ses cadres pour réaliser un MUR sur un homme souffrant de démence et sur lui-même. Son manager a également commencé un MUR mais sortis avant la fin ; le magasin est toujours entré l'examen sur ses dossiers.

    Pour éviter toute traite du système de MUR, le NHS limite chaque pharmacie jusqu'à un maximum de 400. Le tuteur a trouvé des preuves que le personnel de bottes est racontée à prendre ce nombre comme une cible pour les magasins individuels frapper. Un autre pharmacien de Boots dans le nord-ouest de l'Angleterre souvient d'un récent déplacement de personnel au cours de laquelle lui et ses collègues ont dit que, « 400 MURs s'attend maintenant. Nous n'avez pas besoin de vous dire que ".

    Pharmaciens chez Boots sont clairement obligés de traiter les MURs comme un régime de lucratives

    Secrétaire général PDA John Murphy Si une pharmacie réalise les 400 MURs maximales, il gagnera £ 11 200. En supposant que chaque pharmacie bottes débite des 400 MURs par an, qu'un seul programme NHS est une annuelle £30 millions à la société.

    Le gardien a vu un email de 2008 d'un cadre supérieur d'une autre région qui déclare: "personnellement, je ne veux pas ses collègues de se sentir « rabrouer » mais nous devons d'offrir nos cibles de 400 microcontrôleurs [médecine examens – un autre nom pour MURs] par magasin cet exercice pour deux raisons :

    (suite en dessous:)

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  2. 1 Offrant 400 MCU est une mesure de l'excellence des soins Patient
    2 La société peut faire profit de £28 pour chaque MCU, ainsi chacun d'eux que nous ne livrons est une perte de £28. »

    Le Guardian a également vu un récent sondage non publié par le syndicat, défense le Pharmacists' Association (PDA), à laquelle plus de 600 Boots chemists – plus d'un sur 10 des pharmaciens de la société toute entière – a répondu. A demandé « combien de fois vous croyez des coupures budgétaires, imposées par votre employeur principal pu directement influer sur la sécurité des patients », plus 75 % des chimistes de Boots disentt ce qui était vrai « près de la moitié » ou plus du temps. Un certain nombre se sont portés volontaires plaintes d'être « sous pression dans la conduite des MURs si ou non des patients peuvent bénéficier du service » et « Boots me redemande pour MURs plus ».

    « Les pharmaciens chez Boots sont clairement sont obligés de traiter les MURs comme un régime de dégager un bénéfice pour la société, » a déclaré le Secrétaire général PDA John Murphy. « Soit ils s'en tenir à leurs normes éthiques et veiller à ce que les bonnes personnes obtient la fonction quelles que soient leurs objectifs financiers ou elles remplissent leur employeur par la réalisation de leurs objectifs de rentabilité et de garder leur emploi. »

    Un porte-parole pour les bottes, a déclaré: « Nous faire comprendre à nos collègues que ces services ne devraient pas être entrepris de façon inappropriée. »

    Mais dès 2010, le propre du NHS research a averti que les MURs servaient simplement à prendre de l'argent public et pourraient être "des avantages limités et superficiel dans la nature". En 2013, le Journal de la société pharmaceutique royale a noté "certains pharmaciens visage penalties pour ne pas atteindre les objectifs, tels que sans augmentation de salaire ou une éventuelle perte de bonus", mais il ne mentionne pas les bottes.

    Bien qu'il a tordu les critères pour les MURs, le NHS à court d'argent a pas l'intention d'abandonner le système, affirmant « ils aident à soulager la pression sur le GPs et les accidents et les services d'urgence, assurer l'utilisation optimale des médicaments, de meilleure valeur et de meilleurs résultats pour les patients et contribuer à fournir des services de santé et de soins de sept jours ».

    http://www.theguardian.com/business/2016/apr/13/boots-staff-under-pressure-to-milk-the-nhs-says-pharmacists-union

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    1. Regardez:

      Phagothérapie et bactériophages: un remède aux antibiotiques

      mardi 5 avril 2016

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2016/04/phagotherapie-et-bacteriophages-un.html

      et:

      La phagothérapie : une alternative efficace aux antibiotiques

      vendredi 4 mars 2016

      http://huemaurice5.blogspot.fr/2016/03/la-phagotherapie-une-alternative.html

      Il y a des personnes (en France) qui trainent des ulcères pendant... 30 ans !!! alors que dans les pays de l'Est il sont soignés/guéris en 8 jours ! (pour '3 francs 6 sous' !)

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  3. Pour la première fois en neuf mois : Des rapports de Chine ainsi que pour les exportations

    Les données économiques positives de la Chine étaient moins rares. La République populaire inscrit pour la première fois depuis neuf mois à nouveau un "plus" pour les exportations. Grandi en mars à 11,5 %.

    Encore une fois la Chine a signalé une augmentation de ses exportations pour la première fois depuis juin 2015. Exportations ont grimpé en mars par rapport au même mois l'an dernier à 11,5 %, tel que rapporté par l'administration des douanes. En février, environ un quart, les exportations ont été cambriolées. Les importations étaient moins 13,8 pour cent selon en mars qu'un an auparavant. L'excédent commercial s'élève à mars à partir de 29,86 milliards de dollars.

    Malgré les chiffres d'importation médiocre, experts mettent en garde contre l'euphorie : le résultat positif à l'exportation est aussi résultent d'effets spéciaux comme la faible valeur de la comparaison dans le même mois l'an dernier, et donc pas nécessairement un signal pour une demande croissante sur les marchés mondiaux, il a dit. En outre, l'évolution de la situation dans les principaux marchés n'était pas très bonne.

    La faiblesse de l'économie chinoise fait de nombreux exportateurs allemands s'inquiétent. L'an dernier, la République populaire a signalé une hausse de 6,9 % – C'était le plus bas depuis un quart de siècle.

    Les nouveaux chiffres du premier trimestre sont attendus vendredi. Experts s'attendent à augmenter de 6,7 %.

    A les autorités chinoises réagissent à la crise et adapté à ses objectifs de croissance ambitieuse. Le premier ministre Li Keqiang a donné un simple objectif de croissance de 6,5 à 7 % pour 2016.

    Selon le nouveau plan quinquennal, adopté au début du mois de mars, la deuxième plus grande économie mondiale devrait augmenter annuellement d'ici à 2020 d'au moins 6,5 % par an.

    Économie de la Chine souffre de plusieurs problèmes : l'économie mondiale faible est diminue la demande pour les produits chinois. Notamment dans les industries de l'acier et du charbon, il est donc énorme surcapacité. Sont également de nombreuses entreprises chinoises profondément dans la dette, parce qu'ils sont artificiellement avec des prêts à la vie.

    http://www.spiegel.de/wirtschaft/unternehmen/china-meldet-erstmals-seit-neun-monaten-anstieg-der-exporte-a-1086881.html

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    1. Il est évident que 'la souffrance de la Chine a exporter' ne pouvait que pas durer ! La Chine compte chez elle sur un marché national de plus de 1 milliard 300 millions de personnes face à une médiocre moitié (USA + Europe) d'acheteurs ! (à côté de l'Inde 1 milliard 200 millions de personnes !).

      Ainsi, les pays du 'soleil levant' n'ont que faire de pays pauvres sans le sou qui demandent crédit et ne paient... jamais !

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  4. Bientôt l’argent hélicoptère ?

    Miret Zaki
    11 Avril 2016

    La politique monétaire a été assurément le facteur le plus déterminant pour l’économie depuis la crise de 2008. Ce sont les banques centrales qui, depuis la Grande Récession, se sont substituées aux gouvernements pour assurer la relance. Tout a reposé sur leurs outils, les Etats surendettés n’ayant pas de marge de manœuvre pour baisser les impôts et engager des dépenses.

    Or, que s’est-il passé ? Une fuite en avant incessante. Les politiques monétaires ont déjà épuisé les outils des taux 0%, des assouplissements quantitatifs (QE), et bientôt des taux négatifs, pour s’orienter à présent vers ce qu’on appelle «l’argent hélicoptère».

    L’helicopter money, expression de Milton Friedman (1912-2006), désigne un type de politique monétaire extrême où une banque centrale, pour lutter contre la déflation, pourrait en théorie imprimer de l’argent pour le distribuer directement aux ménages et aux consommateurs (en le faisant tomber du ciel par hélicoptère, par exemple, ou plus prosaïquement en le distribuant par chèques). L’ultime manière de forcer la population à dépenser. La BCE l’envisage ouvertement, disant ne pas l’exclure de sa «caisse à outils», à l’heure où 16 économies sur 28 dans l’UE sont en déflation.

    Pour l’heure, quand les banques commerciales en Europe et au Japon empruntent de l’argent à des taux négatifs, on est déjà dans le paradigme de l’hélicoptère. En outre, les banques nippones sont dispensées de payer des taux négatifs sur une partie de leurs réserves déposées auprès de la Banque centrale. Autrement dit, elles sont d’un côté payées pour emprunter de l’argent, et de l’autre dispensées des coûts du capital. Cela, afin qu’elles prêtent davantage aux entreprises.

    La BCE, de son côté, va aussi payer les banques pour qu’elles empruntent des fonds auprès d’elle et offrira les meilleurs taux à celles qui prêteront le meilleur marché à leur clientèle. Pour la première fois dans l’histoire, le secteur privé pourra emprunter à une banque centrale et rembourser moins que ce qu’il a emprunté.

    Si nous en sommes là, c’est parce que, faute de politiques fiscales de relance, la politique monétaire apparaît comme l’ultime planche de salut, quand bien même ses remèdes précédents n’ont pas été satisfaisants. Selon les défenseurs de l’argent hélicoptère, cette politique, hautement inflationniste en d’autres temps, serait bénigne en période de déflation.

    Par ailleurs, on limite les dégâts si les comptes épargne ne subissent pas directement les taux négatifs, tandis que les banques centrales se limitent à faire usage des taux négatifs pour rémunérer les acteurs du privé lorsqu’ils s’endettent.

    L’inflation profite aux débiteurs

    Mais une telle politique n’est possible que si l’on admet qu’il n’y aura pas, dans un avenir proche, de remontée des taux d’intérêt. On continuera donc à vivre sans loyer de l’argent. Or, cette politique de crédit gratuit va encore enfler l’endettement des entreprises, des ménages et des gouvernements, qui a déjà explosé à plus de 200 000 milliards de dollars depuis la crise, soit 290% du PIB mondial.

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  5. L’ultime question est celle-ci: pourquoi veut-on à tout prix augmenter l’inflation, alors que la déflation accroît le pouvoir d’achat ? Pourquoi s’acharner à déprécier la monnaie, l’épargne, et à faire perdre du pouvoir d’achat à la population ? Parce que, ne l’oublions pas, l’inflation profite aux débiteurs. Les Etats du G7 étant les plus gros débiteurs, il s’avère dans leur intérêt de créer de l’inflation plutôt que de faire défaut, l’inflation permettant de rembourser les créanciers avec de l’argent de moindre valeur. A présent que les entreprises et les ménages sont aussi endettés que les Etats, personne n’objectera.

    http://www.bilan.ch/myret-zaki/redaction-bilan/bientot-largent-helicoptere

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  6. George Soros met en garde l'Europe : Absorber 500 réfugiés k des coûts 34Bn $, ou risquer de « Menace existentielle »

    Soumis par Tyler Durden le 13/04/2016 06:00 -0400
    Rédigé par George Soros, posté à NYBooks.com,

    La politique d'asile qui ont émergé des négociations UE-Turquie du mois dernier - et qui a déjà permis la déportation de centaines de demandeurs d'asile de la Grèce à la Turquie - a quatre défauts fondamentaux.

    Tout d'abord, la politique n'est pas véritablement européen; Il a été négocié avec la Turquie et imposée à l'UE par la chancelière allemande Angela Merkel.

    Deuxièmement, il est gravement sous-financés.

    Troisièmement, c'est pas volontaire. Elle impose des quotas qui s'opposent à nombreux États membres et exige des réfugiés à s'établir dans le pays où ils ne veulent pas vivre, tout en forçant les autres personnes qui ont atteint l'Europe à renvoyer au.

    Enfin, il transforme la Grèce dans un facto tenant crayon sans suffisamment d'installations pour le nombre de demandeurs d'asile déjà là.

    Toutes ces irrégularités peuvent être corrigées. La Commission européenne a implicitement reconnu certains d'entre eux cette semaine quand il a annoncé un nouveau plan de réforme du régime d'asile européen. Mais les propositions de la Commission dépendent encore des quotas obligatoires qui servent ni réfugiés ni les États membres. Cela ne fonctionnera jamais.

    Vice-Président de la Commission européenne Frans Timmermans invite un débat ouvert. Voici ma contribution.

    Une catastrophe humanitaire est en gestation dans Grèce. Les demandeurs d'asile sont désespérés. Les réfugiés légitimes doivent être offert une chance raisonnable d'atteindre leurs destinations en Europe. Il est clair que l'UE doit subir un changement de paradigme. Les dirigeants européens doivent embrasser l'idée qu'effectivement faire face à la crise exigera « surge » financement, plutôt que de gratter ensemble sans provisions année après année. Dépenser une grande quantité d'emblée permettrait à l'UE de répondre plus efficacement à certains des plus dangereuses conséquences de la crise des réfugiés, y compris les sentiments anti-immigrés dans ses Etats membres qui a alimenté la prise en charge des partis politiques autoritaires et découragement parmi ceux cherchant refuge en Europe, qui maintenant se retrouvent marginalisés dans le pays hôte du Moyen-Orient ou coincé en transit en Grèce.

    La plupart des éléments constitutifs d'un système d'asile efficace sont disponibles, ils doivent seulement être assemblés dans une politique globale et cohérente. Critique, des réfugiés et les pays qui les contiennent au Moyen-Orient doivent recevoir des assez subside permettant de rentabiliser leur vie, leur permettant de travailler et d'envoyer leurs enfants à l'école. Cela contribuerait à maintenir l'afflux de réfugiés à un niveau que l'Europe peut absorber. Ceci peut être accompli en établissant une cible solide et fiable pour le nombre d'arrivées de réfugiés : entre 300 000 et 500 000 par an. Ce nombre est suffisant pour donner l'assurance que beaucoup d'entre eux peuvent éventuellement chercher refuge en Europe, mais assez petit pour être logés par les gouvernements européens, même dans le climat politique actuel défavorable à réfugiés.

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  7. Il y a des techniques établies pour l'équilibrage volontaire de l'offre et la demande dans d'autres domaines, tels qu'avec des étudiants aux écoles et aux médecins en formation aux hôpitaux. Dans ce cas, les gens déterminés à aller à une destination particulière devra attendre plus longtemps que ceux qui acceptent la destination qui leur est impartie. Les demandeurs d'asile pourraient alors tenus d'attendre leur tour où ils se trouvent actuellement. Ce serait beaucoup moins cher et moins douloureuse que le chaos actuel, dans lequel les migrants sont les principales victimes. Ceux qui sautent la ligne perdraient leur place et devoir tout recommencer. Cela devrait être une incitation suffisante à obéir aux règles.

    Au moins € 30 milliards ($ 34 milliards) par an est nécessaires pour l'UE de procéder à un tel plan exhaustif. Cela comprend le Turquie et autres pays « frontline » avec des fonds suffisants pour maintenir leurs populations très importantes de réfugiés, création de la commune EU asile Agence et la sécurité des frontières extérieures de l'Union européenne, s'adressant le chaos humanitaire en Grèce et l'établissement de normes communes dans toute l'Union pour la réception et l'intégration des réfugiés.

    30 milliards d'euros pourrait ressembler à une somme énorme, mais c'est ne pas vue en perspective. Tout d'abord, nous devons reconnaître qu'une omission de fournir les fonds nécessaires coûterait l'UE encore plus. Il y a une réelle menace que la crise des réfugiés pourrait entraîner l'effondrement du système européen de Schengen d'ouverture des frontières internes entre les vingt-six États européens. La Fondation Bertelsmann a estimé que l'abandon de Schengen coûterait l'UE entre € 47 milliards ($ 53,5 millions) et € 140 milliards ($ 160 millions) dans le PIB perdu chaque année ; le commissaire Français pour la planification des politiques a estimé les pertes à € 100 milliards ($ 114 milliards) par an.

    En outre, il n'y a aucun doute que l'Europe a la capacité financière et économique pour élever € 30 milliards par an. Ce montant est inférieur à un quart d'un pour cent du PIB annuel combiné de l'UE € 14,9 billions et moins de la moitié d'un pour cent des dépenses totales par ses gouvernements des vingt-huit membres.

    C'est la capacité politique de l'Europe qui manque, au moins pour le moment, sa capacité à prendre des décisions efficaces unifiées sur une telle question urgente. La plupart des États membres sont limités par les règles budgétaires de l'Union européenne de plus grands déficits et leur financement par l'émission de nouveaux titres d'emprunt sur les marchés financiers. Même si le ministre allemand des finances Wolfgang Schäuble levé espoirs à Davos en janvier quand il a parlé d'un européen Marshall Plan pour faire face à la crise de la migration, il a également insisté pour que toute dépense devrait être financé sur des revenus plutôt qu'en ajoutant à la dette publique existante.

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  8. Prise sur la nouvelle dette européenne commune, soutenue par l'articulation et la garantie de plusieurs des membres de l'UE, soulèverait des fortes objections, en particulier en Allemagne. Même si la dette était limité à résoudre la crise de la migration, l'Allemagne et autres seraient voyez-le comme un dangereux précédent en vue de la création soutenue par les membres de l'UE collectivement, avec l'Allemagne responsable d'intervenir si les autres pays ne parviennent pas à rembourser leur part de la dette de la dette. Berlin a évité avec diligence fournissant un tel précédent tout au long de la crise de l'euro. C'est pourquoi la question a même pas été soulevée, et encore moins sérieusement envisagée. Mais il y a d'autres façons de recueillir les fonds nécessaires à l'aide de structures existantes de l'UE.

    États membres pourraient soulever de nouvelles recettes fiscales afin de financer ce qui est nécessaire. Toutefois, l'Europe n'a pas la capacité politique d'augmenter les sommes nécessaires pour contenir la crise dans le temps. Pour une nouvelle taxe perçue comme juste, il faudrait imposer équitablement au sein de l'UE. La voie appropriée pour une telle hausse d'impôt serait pour la Commission européenne de proposer de nouvelles dispositions législatives à adopter avec l'appui unanime de tous les membres. Cela manquerait probablement, car il donnerait à chaque pays le droit de veto sur l'impôt. Si une « coalition des volontaires » d'au moins neuf pays puisse être Assemblée, la Commission pourrait opter pour « une coopération renforcée, » l'approche utilisée pour la taxe sur les transactions financières européenne proposée (FTT). Si l'expérience récente avec la TOF est un guide, ce processus prendrait des mois pour conclure.

    Une alternative plus prometteuse serait de ré-ouvrir le cadre financier pluriannuel de la Commission européenne, qui établit les grands paramètres budgétaires de l'UE, y compris les montants maximaux de l'UE peut-être passer dans différents domaines. La prochaine révision à mi-parcours de ce budget de l'UE offre une occasion d' accroître la contribution de TVA des États membres, et désigner que certains des nouveaux fonds levés devraient aller à un fonds de crise des réfugiés. Cela serait également difficile mais offre les perspectives d'avenir plus réalistes.

    Il sera cruciale, toutefois, pour faire une grande partie du financement disponible très rapidement. Faire des investissements initiaux importants aidera à basculer la dynamique économique, politique et sociale de la xénophobie et la désaffection vers des résultats constructifs qui profitent des réfugiés et des pays. À long terme, cela permettra de réduire le montant d'argent que l'Europe devra dépenser pour contenir et récupérer de la crise des réfugiés. C'est pourquoi je l'appelle « surge » financement.

    D'où proviendra des fonds nécessaires? Il y a des arguments solides à prévoir à l'aide de la clôture de l'exercice de l'Union européenne elle-même. L'UE jouit actuellement d'une cote de crédit triple A qui est sous-utilisé et qui lui permet d'emprunter sur les marchés financiers sur des conditions très avantageuses. Et globales taux d'intérêt à proximité de niveaux historiquement bas, est un moment particulièrement favorable pour prendre sur cette dette.

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  9. Puisant dans le crédit triple A de l'UE a l'avantage supplémentaire d'offrir un stimulant économique indispensable pour l'Europe. Les montants en cause sont suffisamment grandes pour être d'importance macroéconomique, en particulier puisqu'ils seraient dépensés presque immédiatement et exercent un effet multiplicateur. Une économie croissante rendrait beaucoup plus facile à absorber des immigrés, qu'ils soient réfugiés ou migrants économiques — une initiative de gagnant-gagnant.

    La question est : comment utiliser le crédit triple A de l'UE sans éveiller l'opposition, en particulier en Allemagne? La première réaction est de reconnaître que l'UE est déjà un triple A l'emprunteur sur les marchés obligataires mondiaux, grâce aux facilités créées pour faire face à la crise de la zone euro. En effet, c'est au cours de la crise financière que l'Union européenne à plusieurs reprises mettre sa capacité d'emprunt sur l'écran, établissant des instruments financiers (par exemple, le mécanisme européen de stabilisation financière, ou MESF et le mécanisme européen de stabilité ou ESM) capables d'emprunter des dizaines de milliards d'euros à des conditions avantageuses à très brève échéance. Une fois que les dirigeants européens a pris une décision politique d'agir, ils étaient capables de le faire très rapidement.

    Certaines de ces entités financières européennes, qui ont encore la capacité d'emprunt considérable, peuvent être redirigées vers la crise des réfugiés. Ce serait beaucoup plus efficace et plus rapide que la création d'un nouveau mécanisme d'emprunt à cet effet. Et telle une redirection nécessiterait seulement une décision politique — qui peuvent être prises à court terme, si la politique sera peut être généré.

    Deux sources d'argent en particulier — le MESF et le mécanisme de soutien de Balance des paiements — devrait être mis à la tâche. Ces sources complètent mutuellement : la MESF a été conçu pour les prêts consentis aux membres de la zone euro, alors que l'établissement de la balance des paiements est pour les membres de l'UE qui n'appartiennent pas à la zone euro. Les deux types de prêts sera nécessaires pour une approche globale à la crise. Tous deux ont également des structures institutionnelles très similaires, et ils sont tous deux couverts entièrement par le budget de l'UE — et par conséquent ne nécessitent pas de garanties nationales ou l'approbation du Parlement nationale.

    La capacité d'emprunt brut combiné de la MESF et la facilité de la Balance des paiements est € 110 milliards ($ 125 milliards), un nombre censé coïncider avec le plafond de revenu annuel du budget de l'UE. Les montants de chaque installation ont été mis pour que l'UE n'a jamais plus que son budget annuel à l'encours de la dette. € 50 milliards du mécanisme de soutien de la Balance des paiements de pouvoir d'emprunt est presque complètement inutilisé. Le MESF a fait quelques € 46,8 milliards d'une valeur de prêts au Portugal et en Irlande mais a les capacités de production inutilisées considérables. Ils ont conjointement plus de € 60 milliards de capacité, et cette capacité augmente chaque année, comme les prêts pour le Portugal et l'Irlande sont remboursés.

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  10. Le MESF, l'ESM et son précurseur, le FESF, toutes créées en réponse à la crise de l'euro. La tâche de retour devait alors fournir du crédit bon marché vers des pays comme l'Irlande, Portugal, Espagne et la Grèce qui avait autrement été gelée sur les marchés du crédit. L'attente était que ces pays auraient rembourser les prêts de l'UE une fois qu'elles ont été rétablies à la santé financière.

    Maintenant la tâche est fondamentalement différente. Comme avec la crise de l'euro, la situation des réfugiés est à un point critique et nécessite une réponse très rapide. Mais elle diffère de la crise de l'euro en ce que les pays auquel les fonds seraient destinés, comme Jordan, le Liban, la Turquie et la Grèce — sont simplement sur la ligne de front de ce que doit être une entreprise collective européenne ; ils ont droit à des subventions, plutôt que des prêts et ne devrait pas être obligé de rembourser les sommes qu'ils reçoivent.

    Si nous acceptons cette réalité, alors, comment sera le financement de surtension obtenir remboursé ? La réponse est l'Union européenne et ses États membres doivent trouver de nouvelles sources de recettes fiscales et le faire d'une manière qui s'étend de l'obligation de remboursement aussi largement que possible. Cela pourrait se faire en percevant des taxes spéciales d'échelle de l'UE. Les nouvelles recettes fiscales pourraient provenir de diverses sources, y compris la TVA communautaire, qui prévoit déjà des recettes à l'Union européenne ; une taxe spéciale sur l'essence, que le ministre Schäuble a suggéré ; ou une nouvelle taxe sur les voyages dans l'Union européenne et sur les demandes de visa, qui pourraient transférer une partie du fardeau à des citoyens non-UE qui souhaitent se rendre dans l'UE.

    Il est mentionné plus haut que le processus de la perception de nouvelles taxes à l'intérieur de l'Union européenne est celui qui prendra beaucoup de temps pour terminer. Toutefois, ceux qui cherchent après les finances de la MESF et l'établissement de la Balance des paiements voudra savoir que les prêts qu'ils font ont une source sûre de remboursement. C'est pourquoi l'UE doit garantir qu'il trouvera cette nouvelles recettes fiscales au moment où elle est nécessaire, même si la source exacte de la nouvelle source de revenu doit encore être déterminée.

    La question demeure : Comment peut la politique nécessaire sera généré? L'Union européenne repose sur des principes démocratiques. Selon moi, il y a une majorité silencieuse qui veut préserver l'Union européenne, même si elle n'est actuellement pas une institution qui fonctionne bien. Les dirigeants écoutera si cette majorité silencieuse fait entendre sa voix.

    La crise des réfugiés représente une menace existentielle pour l'Europe. Il serait irresponsable d'autoriser l'UE à se désintégrer sans utiliser toutes les ressources dont elle dispose à sa disposition. Le manque de financement adéquat est le principal obstacle dans la voie de programmes réussis dans les pays en première ligne. Tout au long de l'histoire, les gouvernements ont émis des obligations en réponse aux situations d'urgence nationales. C'est le cas en Europe aujourd'hui. Quand il le crédit triple A de l'UE se mobiliser si pas à un moment où l'Union européenne est en danger de mort?

    http://www.zerohedge.com/news/2016-04-12/george-soros-warns-europe-absorb-500k-refugees-costing-34bn-or-risk-existential-thre

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    1. Il est évident que par 'mort de l'Europe' n'est pas entendu l'existentialisme tel quel qui sera que l'Europe existera toujours dans 10 000 ans, mais seulement ce trou du cul de 'Dirigeants' (non élus je vous rassure) qui ne peut donc produire que ce qui lui est destiné !

      Ainsi, l'arrivée malheureuse de millions de 'réfugiés' - qui préféreraient rester dans leurs pays de merde gouvernés par d'autres dictateurs - peut effectivement envahir d'inculture ou 'herbes folles' cet immense terrain où tout pousse afin d'asphyxier l'économie (fabriquée - je vous rassure - seulement par la planche-à-billets), comme l'intelligence des écoles, mais, heureusement, Internet est là pour rectifier le tir et subvenir aux malheureux écoliers/étudiants qui s'heurtent encore aux mensonges historiques comme politique/économique, en en faisant des êtres supérieurs qui n'en ont RIEN A FOUTRE des 'manifs' à-dormir-debout où l'exceptionnalisme (comme dirait l'autre singe) n'est pas d'aller brûler des voitures ou casser des vitrines en dévalisant les magasins sous l'ordre syndical, mais bien de connaître cette phagothérapie qui se répand dans les rues comme dans les ministères où chaque cellule dévore celles d'à-côté pour finir par s'éliminer d'elle-même pour en être sortie vainqueur !! Hahahaha !

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  11. Pourquoi les billets d’avion sont toujours aussi chers

    12 avril 2016

    « Il existe une niche dans l’économie du pays où la baisse des cours du pétrole ne s’est toujours pas faite sentir : les billets d’avion », nous rappelle Joe Pinsker de The Atlantic.

    Historiquement, environ un tiers des coûts d’exploitation des compagnies aériennes était dévolu au carburant ; une estimation récente nous annonce que cette part serait actuellement de 15%. Mais le coût des billets d’avion n’a presque pas bougé – il a seulement chuté de 3% par trimestre durant l’année passée – alors que les quatre plus grandes compagnies américaines ont enregistré des bénéfices records de 22 milliards de dollars.

    Baisser les prix des billets d’avion serait une façon naturelle pour ces entreprises de « commencer à essayer d’attirer les clients de leurs concurrents ». Au lieu de cela, les compagnies ont dépensé cette rentrée d’argent en nouveaux avions ou en gestes pour leurs actionnaires, comme, par exemple, des rachats d’actions.

    Après une dizaine d’années de consolidation, la concurrence dans beaucoup de marchés a été grandement réduite. Ainsi, les grandes entreprises ne subissent pas la pression de devoir proposer de meilleures offres que leurs concurrents.

    De plus en plus, ces entreprises dépendent des mêmes investisseurs. Les cinq plus importants gestionnaires de fonds américains possèdent collectivement environ 17% des compagnies American et Delta. Ces participations équivalentes dans des sociétés du même secteur « font que les billets sont environ 10% plus chers qu’ils ne le seraient autrement », montre une étude.

    Les régulateurs qui auparavant autorisaient facilement les fusions entre compagnies aériennes veulent maintenant savoir si elles se sont entendues sur les tarifs. Ils peuvent mener l’enquête, mais tout ce qu’ils trouveront c’est « une industrie non-compétitive et satisfaite, dans laquelle aucune coordination formelle n’est nécessaire ».

    https://site où la publicité interdit l'accès à l'information

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    1. Comme il est bien entendu/soutenu, les 'voyages' hors du pays sont réservés aux riches et non à ceux qui iraient chercher fortune ailleurs !

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  12. Allemagne : les épargnants auraient perdu 2450 € en moyenne en 5 ans

    12 avril 2016

    En Allemagne, les taux d’intérêt ont maintenant atteint un niveau très faible, sans précédent depuis 6 ans. Selon une analyse de la DZ Bank réalisée pour le journal Welt am Sonntag, cette faiblesse des taux aurait coûté un manque à gagner moyen de 2.450 euros d’intérêts non perçus aux épargnants allemands entre 2010 et 2015. Au total, les Allemands auraient perdu environ 200 milliards d’euros.

    Mais ces faibles taux d’intérêt ne sont pas nuisibles pour tous. Les personnes ayant souscrit un prêt ont pu bénéficier de conditions plus favorables ces dernières années. Selon la même étude, le gain global de ces intérêts plus faibles sur emprunts se monte à 144 milliards. Mais il ne permet donc pas de compenser les pertes d’intérêt sur les comptes d’épargne, estimée par DZ Bank à 343 milliards.

    Wolfgang Schäuble

    Wolfgang Schäuble, le ministre allemand des Finances, appelle les gouvernements des pays européens et des États-Unis à négocier un changement de stratégie avec les banques centrales. Selon le Wall Street Journal, le gouvernement allemand est de plus en plus agacé par la politique de taux d’inétrêt bas, voire négatifs de la Banque centrale européenne (BCE).

    Selon Schäuble, la politique de la BCE, qui suscite le mécontentement des épargnants confrontés à l’érosion de leurs économies, serait à l’origine de la débâcle de la coalition fédérale des démocrates chrétiens (CDU) et des sociaux-démocrates (CSU) au pouvoir lors des dernières élections régionales du mois de mars, et de l’ascension du parti populiste Alternative für Deutschland.

    Cependant, le blog américain ZeroHedge a publié la photo d’un panneau publicitaire d’un détaillant de meubles allemand, “Who’s Perfect”, proposant un crédit à la consommation au taux de -1% (financé par la Santander Bank). Les clients qui choisiront cette option devront rembourser in fine moins qu’ils n’ont emprunté.

    https://site où la publicité interdit l'accès à l'information

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    1. HAHAHAHAHAHAHAHAHA ! Vive les centrales électrique au charbon-bien-noir-qui-tue de chez Merkel ! Vive le prix des panneaux solaires et rapports au pays où le soleil n'existe pas ! HAHAHAHAHA ! Vive les éoliennes qui se cassent et ne sont pas remboursées ! HAHAHAHAHA !

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  13. Le Venezuela a vu naître le coup d’État médiatique (Prensa Latina)

    13 avril 2016
    Nicholas Valdés

    Le célèbre journaliste espagnol Ignacio Ramonet a déclaré aujourd'hui qu'il était au Venezuela le jour du 1er coup d’État médiatique de l'histoire, ce qui oblige à réfléchir sur la façon d'utiliser les moyens de communication. Caracas, le 11 avril (PL)

    "Il y a 14 ans, jour pour jour, on a tenté de destituer le président de l’époque, Hugo Chavez[1], mais cela a surtout été possible par le rôle qu’ont joué les médias dans cet événement," a déclaré Ramonet à Prensa Latina, dans le cadre de l’événement "Le Venezuela à la Croisée des chemins," organisé par le Réseau des intellectuels et artistes en Défense de l’humanité[2].

    Le directeur de publication du Monde Diplomatique, dans sa version en espagnol, a ajouté que c’est précisément à cause de ce constat que le Venezuela est aussi le pays où on a le plus réfléchi sur la façon dont les médias dominants ont manipulé la population.

    "La communication de masse a une importance indéniable, mais à condition que le message soit bien travaillé ; il ne suffit pas d’avoir de nombreux médias pour être efficace parce que, quand un système répète trop la même chose, il peut produire l’effet inverse de celui recherché, à savoir, le rejet du public," a-t-il expliqué.

    Ignacio Ramonet a illustré son propos avec le cas de l’Argentine, où Néstor Kirchner est parvenu à la présidence, malgré que les médias dominants soient du secteur privé, avec le groupe Clarin en première ligne.

    "Depuis lors, au cours de la dernière décennie, il y a eu dans ce pays des médias publics très importants, des réseaux communautaires significatifs ont été créés, et malgré tout cela, paradoxalement, la droite a été imposée lors des dernières élections présidentielles," a-t-il précisé.

    L’analyste a expliqué que la raison réside probablement dans le traitement du message : "on se reposait sur l’idée qu’avec de nombreux médias nous obtiendrons quelque chose. Mais ce n’est pas la bonne formule, car il est surtout nécessaire de délivrer un discours bien élaboré," a-t-il ajouté

    Le journaliste a averti que ce qu’a fait la droite au cours des derniers mois pour revenir, c’est tirer parti de la crise économique mondiale, avec des méthodes différentes.

    "Nous l’observons au Brésil, où l’on essaie de porter un coup d’État judiciaire contre le gouvernement de Dilma Rousseff ; ou encore ici au Venezuela, où la majorité de l’opposition à l’Assemblée nationale cherche à imposer des lois qui en réalité ne sont pas prévues par la Constitution," estime Ignacio Ramonet.

    (suite en dessous:)

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  14. "Autrement dit, ils essayent de créer des débats qui ne sont déjà plus aussi que frontaux que ceux du 11 avril 2002, mais en réalité ils cherchent la même chose : arrêter l’expérience progressiste, car elle va à l’encontre des grands intérêts des oligarchies," a-t-il ajouté.

    L’auteur de "Cent heures avec Fidel (Castro)" a rappelé que le chef de la Révolution cubaine, à son avis, avait conscience de l’importance de travailler correctement les messages à l’intention des masses.

    Il y a quelques années à La Havane, Fidel avait averti un groupe d’intellectuels : « l’importante est de faire connaître notre vérité » et à l’heure actuelle, il nous faut reprendre cette réflexion avec beaucoup de force, les médias ne constituent qu’une partie [des moyens de communication], la différence se fait au niveau de leur contenu, conclut-il.

    Nicholas Valdés

    http://www.legrandsoir.info/le-venezuela-a-vu-naitre-le-coup-d-etat-mediatique-prensa-latina.html

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    1. Article complètement vide de sens où la publicité s'adresse à la presse merdiatique tandis que en démocratie l'on échange des idée. D'où le monologue du connard sur scène face aux dialogues des gens intelligents qui utilisent donc internet.

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  15. Sommes nous vraiment libres ? Economiquement ? Socialement ? Relations amoureuses ? Personnellement ?

    mardi, 12 avril 2016 21:18

    Cette question m'obsède depuis deux décennies désormais. J'ai échangé de manière très poussée avec certains d'entre vous. Les débats ont fait rage depuis trois trimestres.

    Nous sommes parvenus à un certain consensus.


    Oui, nous sommes libres... de choisir notre allocation géographique.

    C'est à peu près la seule forme de liberté dont on dispose quand on y réfléchit à fond.

    C'est aussi la forme de liberté à laquelle les humains accordent le moins d'importance alors que c'est la structure même de la liberté.

    Je suis resté fasciné le jour où j'ai découvert que la majorité de mes copains de jeunesse après 10 ans bossaient dans le même secteur que celui où il avait trouvé par hasard un stage pendant leur école après le bac.

    Ils n'y avaient pas réfléchi sur l'instant présent, cherchant juste à solutionner un problème, celui du stage d'entreprise. Et boom, dix ans de liberté professionnelle foutue en l'air. Je vous laisse deviner les écarts visibles entre ceux qui avaient atteri dans l'industrie française et ceux qui avaient choisi par exemple l'activité de négrier dans les SSII ou la téléphonie mobile... Du simple au double pour juste une histoire de stage.


    Autant jouer sa vie à la roulette... cela revient au même !

    Je n'ai pas de stats, mais si cela se trouve, certains se retrouvent coincés 20 ou 30 ans à partir d'un simple stage choisi à 19 ans !

    Et ensuite, on nous parle de liberté... mais bien sûr...


    La forme de prison la plus élaborée est l'environnement.

    J'ai découvert cela en vivant dans 3 pays différents pendant plus de 5 ans pour chacun.

    L'environnement est constitué des médias, de la norme sociale, des gens autour de nous qu'on apprécie, des familles, des lois et interdits, des bénéfices sociaux qu'on tire quand on fait des choses précises (ce qui est fou étant que d'un pays à un autre, on peut obtenir un résultat inverse selon les lubies locales).

    On subit une énorme pression, une énorme manipulation qui nous fabrique à notre insu, prenant le pas sur toutes nos aspirations, goûts, rêves.

    Cela me rend dingue de voir autant de gens renoncer à ce qu'ils veulent être, juste pour respecter les codes sociaux, et cela me rend encore plus dingue de les entendre ensuite me parler de liberté.

    J'en ai tiré une règle.

    (suite en dessous:)

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  16. NE JAMAIS PARLER LA LANGUE DU PAYS OU JE RESIDE

    Cela évite d'écouter les conneries locales de la norme sociale. Cela rend imperméable, un firewall de première catégorie qui protège mieux que toute autre solution.

    On ne subit plus la pression de la prison, toujours contrôlée par les oligarches du coin qui se gavent du blé invariablement par le biais de leur manipulation d'humains à grande échelle.

    Ha ça en surface, y a toujours un mec, un président, un leader à la con, un réformateur, un dictateur, un éclairé plus menteur qu'un arracheur de dents dans les parages pour nous expliquer ce que sont les piliers de notre pays et qu'on doit les respecter pour notre bien et le bien de tous nos compatriotes.

    Le souci, c'est quand on change de pays. Les piliers ne sont plus les mêmes. Du coup, on commence à s'interroger sur les piliers en question, les fondamentaux qu'on nous a vendu.

    Et invariablement, on s'aperçoit que respecter les piliers est surtout pour le bien de l'oligarche du coin et de tous les parasites qui gravitent autour !

    Et quand on croise les piliers du coin à la mode avec les piliers de la religion du coin et qu'on les enlève, effet whaouhh garanti !


    On commence enfin à sniffer le parfum de la vraie liberté.

    Je jouis donc d'une incroyable liberté dans ma vie.

    Il est amusant de constater que mon pilier à moi est de mettre un point d'honneur à ne rien comprendre du pays où je vis. J'en ai d'autres...

    J'ai l'immense privilège de pouvoir définir beaucoup de paramètres.


    En même temps, définir ses propres paramètres apporte beaucoup de conflits et de difficultés.

    Pouvoir choisir ce qu'on veut est paradoxalement plus dur que d'être en prison, car savoir ce qui compte vraiment est parfois bien compliqué à cerner en soi. En ce moment, je patauge dans l'univers des relations amoureuses avec mes 3 femmes depuis 2014, incapable de modéliser à long terme et de choisir. Je constate juste que le choix et la liberté ne font que me neutraliser au lieu de me faire bouger dans ce domaine. Je peux donc projeter cette situation sur de nombreux français que j'ai rencontré qui étaient confrontés aux mêmes difficultés de choix dans leur univers professionnel.

    Comme je l'ai expliqué dans ma formation sur l'expatriation que je vous propose avec un code promo de 30% au bas de cette article, la prison et l'absence de choix que tous ou presque appellent "liberté" en France, a du bon également.

    (suite en dessous:)

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  17. La vraie liberté n'est pas pour tout le monde.

    Vous êtes vraiment nombreux à rêver de vous enfuir de France. Je reçois presque chaque jour des emails et des témoignages. Quand je lis les arguments qui motivent ces envies de départ, je ne peux que frémir. C'est impossible que cela marche.

    Un parfait exemple très récent : William Finck s'est expatrié 9 mois en Irlande à Dublin. Après seulement deux mois il en peut plus et veut déjà s'enfuir. Il a raisonné rationnellement dans son choix. Perfectionner son anglais, rester proche de la France... perdu William ! L'environnement ne correspond pas à tes aspirations comme tu viens de me l'expliquer. Un ticket d'avion et il faut filer ailleurs tester une autre combinaison.

    Cédric Froment s'est lui installé avec succès à l'Ile Maurice comme il l'a raconté dans sa formation ici

    Une allocation géographique offre la possibilité de choisir un climat, des impôts ou une organisation mondiale de profits (un pays peut être chiant en interne et offrir beaucoup de liberté pour les revenus mondiaux), des relations amoureuses abondantes ou rares, des contacts humains, des modes de vie et un confort, un profil particulier d'activités professionnelles. Surtout, l'allocation géographique détermine ce qu'on mange.


    Le point central à piger

    L'allocation géographique va générer l'environnement qui fait qu'au bout de quelques années, on devient cet environnement.

    C'est le truc qui m'effare le plus. On a beau avoir les meilleures convictions les plus profondes. Au delà de 5 ans, combien d'entre nous résistent à un environnement différent ? On finit tous par subir et s'adapter à notre insu.

    A titre personnel, j'ai choisi la Thaïlande, car c'est le seul pays au monde où je ne me sens pas seul. J'ai mis longtemps à piger pourquoi ce pays m'aimantait. Partout ailleurs, j'ai échoué à cause de cela. Les rues vides le soir me font frémir. Je me souviens d'un de mes derniers passages en France au printemps 2014, avec les rues d'un quartier dortoir comme le 12eme arrondissement à Paris. Pas un mec à 22h sur les trottoirs. Tous devant leur TV. Je me souviens de mon meeting avec Sacha Pouget, Claude Mathy et David Renan dans les quartiers qui sont censés bouger. La loose totale. Refoulés de partout. On n'a même pas pu faire ce qu'on souhaitait, avec les poches pleines de billets de banque. Plus jamais. Sans moi. Hier soir, lundi, je suis sorti à Bangkok. De la musique partout comme chaque jour. Les rues remplies. U2 With ou without you massacré par un concert live local qui fait pourtant son effet, un petit 28 degrés tranquille et caressant, chemise ouverte. Bangkok quartier sukhumvit grouille de vie 7 jours sur 7. Et pas de connards pour refouler selon des critères de normes sociales pour le moins suspectes...


    Ha bon, mais ce n'est pas dangereux ? C'est quand même une dictature militaire chez toi la thaïlande...

    Cela ne manque pas de piquant, quand on sait que la France est proche de la dictature socialiste...

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  18. C'est certain qu'un français qui vote aux présidentielles méthodiquement depuis 45 ans, qui signe un contrat de mariage totalement vérrolé avec sa dinde castratrice et qui paye 100% des impôts qu'il doit, est un français parvenu hahahahahaaha dans le monde libre et heureux qu'est la France. Je ne parle même pas de l'emprunt immobilier à 25 ans qu'il souscrira pour obtenir 70m² dans le quartier complètement vide de vie, ni du job à la con qui va lui péter les nuts pendant 40 ans dans une participation éclairée à la rat race...

    Donc si on choisit pas au départ l'allocation géographique avec soin, ses possibilités et ce qu'elle génère, c'est juste même pas la peine de parler de liberté humaine ensuite...


    A titre perso, c'est assez simple

    Je n'ai pas envie de voter pour une marionnette ni de voter tout court en fait

    Je n'ai pas envie d'un emprunt immobilier

    Je n'ai pas envie de rues vides le soir

    Je n'ai pas envie de payer des impôts au delà de 33%

    Je n'ai pas envie de manger des fruits de merde 6 mois de l'année ou de choisir entre 10 légumes pendant l'hiver élevés en batterie sous serre avec de l'agrochimie

    Je n'ai pas envie de faire un job à la con

    Je n'ai pas envie d'une dinde castratrice qui arrête de baiser dès qu'elle a son môme et son mariage et de passer comme 90% des français mon temps sur des sites de cul (source GOOGLE...)

    Enfin, comme William, l'hiver permanent pendant 6 mois de l'année à me cailler sans lumière dans le ciel ne me branche pas des masses...


    DESTIN ET ALLOCATION GEOGRAPHIQUE

    Etre libre, c'est aussi gérer son destin. On a longtemps débattu. Des traders dans le team obsédés par les patterns faisaient remarquer et j'approuve que le seul moyen de manipuler son DESTIN consiste à choisir son allocation géographique. Imaginez que vous ayez un destin de salariés français. Si vous vous expatriez au Costa Rica, vous n'êtes pas prêt de devenir salarié... ou alors ce sera une boucherie, une hérésie car vous serez alignés sur les salaires locaux. Votre allocation va vous forcer à choisir un autre chemin, à trouver d'autres solutions au delà de la trajectoire normale (on peut arguer qu'un destin efficace vous empêchera de choisir de vous expatrier pour vous obliger à réaliser votre chemin et donc que vous ne lirez jamais cet édito...).

    (suite en dessous:)

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  19. Autre exemple, si votre destin est de vivre avec une blonde aux yeux verts et que vous choisissez de contrer cela en allant vous installant en Asie, votre destin va devoir massivement ramer pour vous reconnecter avec le chemin prévu.

    De nombreuses personnes avec qui j'ai discuté ont constaté un certain niveau de conflit entre ce qu'on apprécie et là où les patterns de la vie, du hasard ou du destin nous pousse. On a analysé en profondeur les manipulations du hasard qui influence et on a constaté que le hasard (ou le destin, libre à vous d'appeler cela comme vous le voulez) se nourrit de l'environnement. Changez l'environnement et les manipulations sont coincées. Dans le cas contraire, on subit notre destin, donc notre absence de liberté.


    En revanche, changer son destin dans son univers d'origine, est presque impossible. On part perdant sur toute la ligne.

    Je pense aux centaines d'emails reçus de gens me disant

    Charles, il est hors de question que je quitte la France, mais as tu un plan pour payer moins d'impôts ?

    Invariablement, je réponds la même chose : vivre en France a ses exigences...

    Je ne compte plus tous ceux qui ne prennent pas en compte la variable CHOIX d'une ALLOCATION GEOGRAPHIQUE, qui n'ont pas compris son importance.

    Choisir son allocation géographique est le plus grand conseil que je puisse vous donner. S'il y a bien un sujet de réflexion dont on ne peut pas faire l'économie, c'est de décider sur terre où on va vivre.

    Charles Dereeper

    http://www.objectifeco.com/expatriation/mode-demploi/pour-expatries-confirmes/sommes-nous-vraiment-libres-economiquement-socialement-relations-amoureuses-personnellement.html

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    1. Comme toutes plantes ou graines transportées ailleurs, chacun de ces êtres vivant s'adapte (ici par la force des choses et non d'un choix personnel), mais, lorsque je vois des pauvres crétins sans culture immigrer vers 'des pays riches' .... HAHAHAHAHAHAHA ! Plus con que çà y a pas non y a pas ! Car, le sans culture demeurera le con qu'il était chez lui et, de plus, nombre de ces cons (touristes compris !) demande à manger un cassoulet toulousain en Australie comme une choucroute à Dakar !

      Ceci dit, les affaires comme celles de Monsanto ne sont pas prêtes à mettre la clé sous la porte ! Le Roundup est désormais hors brevet ? HAHAHAHA ! Ainsi, d'autres marques (fabriquées par Monsanto) s'alignent-elles en concurrence sur les rayons des supermarchés (Auchan par exemple) ! Hahahaha ! Comme quoi, le glyphosate tant décrié chez les cons qui n'auraient pas accepté de trouver des graines d'herbes dans la farine de leur pain, n'ont pas pris une sarclette pour aller retirer - entre les milliards de tiges de blés présentes dans un champs - les mauvaises herbes qui y poussent suite à l'arrosage et engrais. HAHAHAHAHA !

      Et, des comme çà il y en a tout plein ! Prenons le cas de la phagothérapie qui consiste à vaincre, éliminer définitivement des ulcères qui peuvent persister durant des décennies et coûter aux contribuables des dizaines de millions entre les visites chez les docteurs, pharmaciens, hôpitaux, cliniques, scanners, analyse du sang, caissons hyperbare d'oxygène pur, etc, etc alors qu'il peut être guéri en 8 jours ! (dans les pays de l'Est où la médecine est libre).

      C'est pourquoi, il est plus intelligent de se tourner vers les pays humainement responsables que chez les excisés qui ne le sont depuis leur naissance.

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  20. Suède accablée par les «tsiganes» Comme «la mendicité est devenu une profession"

    Par Tyler Durden
    zéro Hedge
    12 avril 2016


    Alors que la crise des réfugiés apparemment auto-imposée de la Suède continue à déstabiliser la population de la nation, il semble différent et des troubles sociaux potentiellement tout aussi problématique métiers. Comme le rapporte Gatestone, au cours des dernières années, l'immigration accueillant la Suède a été submergée par des mendiants roms roumains et bulgares qui ont tourné "la mendicité dans une occupation."

    Personne ne sait exactement combien d'entre eux il y a, mais les rapports Ingrid Carlqvist de l'Institut Gatestone, la Suède a été submergé par des mendiants roms de Roumanie et de Bulgarie. En 2014, le journal Sydsvenskan a rapporté que quelque 600 mendiants roms vivaient dans le pays; il y a quelques mois, le «coordonnateur national pour vulnérables citoyens de l'UE," nommé par le gouvernement Martin Valfridsson, a constaté qu'il y a maintenant environ 4.000.

    • «Nous ne trompera personne. Nous venons de bénéficier de l'occasion. "- Mendiant bulgare en Suède qui a dit qu'il« «cinq coins de rue appartenant.

    • «Si la mendicité est rentable, ils restent misérables .... [Argent Donner] améliore la situation aiguë. Dans le même temps, elle contribue à faire le plus gros problème permanent - la misère .... Il ne va pas aider les Roms, mais il vous donne une chance de se sentir comme une bonne personne. ... Le concept de base du racisme est précis que nous, les Occidentaux et les Suédois sont de loin supérieurs (plus intelligents) et que les Roms sont inférieurs (bête). Si ce ... est pas raciste alors je ne sais pas ce qui est. ... On pourrait ajouter que l'image est inversée chez les Roms. Ils se considèrent comme supérieurs et intelligent alors que le gadjo (non-gitans) sont stupides, naïfs et crédules. »- Karl-Olov Arnstberg, ethnologue suédois

    • «Il est de notre très forte recommandation de ne pas donner de l'argent aux mendiants. Il tourne la mendicité dans une occupation ... Pour donner [l'argent] encourage une vie sans avenir; le déplacement d'un pays à ne résout pas leurs problèmes. »- Florin Ivanovici, directeur de la vie et Light Foundation, Bucarest, Roumanie.

    Vous voyez des mendiants assis dehors presque tous les magasins, pas seulement dans les grandes villes, mais aussi dans les petits villages ruraux. Dans l'extrême nord de la Suède, dans les stations de gaz dans le milieu de nulle part, les clients sont accueillis par des mendiants en disant "Bonjour, bonjour!" Tout en maintenant leurs gobelets en papier.

    Il n'y a pas longtemps, la mendicité a été considérée comme éradiquée en Suède. En 1964, la loi de 1847 contre la mendicité pour l'argent a été aboli - l'État-providence a été jugé si englobante qu'il n'y avait plus de gens tout pauvres; par conséquent, la loi était obsolète. Personne ne jamais avoir à mendier plus. Les personnes qui, pour une raison quelconque, ne pouvait pas travailler et subvenir à leurs besoins ont été pris en charge par le biais de divers programmes de protection sociale. Suédois qui ont grandi dans les années 1960, 1970 et 1980 avaient jamais vu une rue mendiant en Suède.

    (suite en dessous:)

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  21. Puis, tout à coup, tout a changé. Aujourd'hui, Stockholm, Malmö et Göteborg sont parmi les villes les plus mendiants par habitant en Europe. De plus en plus de gens se sentent mal à l'aise sur les mendiants, qui sont parfois même agressif.

    Les choses ont commencé à changer en 1995 quand une réforme du système de soins psychiatriques a conduit à la fermeture des hôpitaux psychiatriques et l'évacuation des patients. Les gens qui avaient été institutionnalisés pendant de nombreuses années devaient soudainement se débrouiller par eux-mêmes, avec un peu d'aide du gouvernement sur une base ambulatoire. L'idée était qu'il était indigne de garder les gens enfermés dans les hôpitaux, année après année, mais dans de nombreux cas, l'alternative avéré être encore pire. Beaucoup d'anciens patients psychiatriques ne pouvaient pas réussir à faire face à la vie quotidienne en dehors des hôpitaux, et a fini par les utilisateurs de drogues, sans-abri et qui mendient dans la rue.

    Dix ans plus tard, le véritable afflux de mendiants est venu - les Roms roumains et bulgares ont afflué vers la Suède. Roumanie et la Bulgarie avaient été accordées l'adhésion à l'Union européenne, et leurs citoyens peuvent désormais séjourner dans un autre pays de l'UE pendant trois mois. Selon les règles, si au bout de trois mois, ils ont pas été en mesure de se procurer travail ou aux études commencé, ils sont censés rentrer chez eux. Cependant, comme il n'y a pas des contrôles aux frontières entre la Suède et ses voisins immédiats, il n'y a aucun moyen de savoir qui reste plus de trois mois.

    L'un des plus ardents défenseurs d'octroi du pays d'Europe de l'Est membres de l'UE était alors Premier ministre Göran Persson en Suède. Lorsque la Suède a assuré la présidence du Conseil de l'Union européenne pour la première fois (Janvier-Juin 2001), M. Persson a fait pression dur pour une expansion de l'UE. La Suède avait trois objectifs: l'élargissement, l'emploi, l'environnement. Ces trois E guider la présidence suédoise.

    En 2004, Chypre, l'Estonie, la Lettonie, la Lituanie, Malte, la Pologne, la Slovaquie, la Slovénie, la République tchèque et la Hongrie ont rejoint l'UE. Trois ans plus tard, il en a la Bulgarie et de la Roumanie.

    Cependant, en 2003, il semblait Persson avait obtenu les pieds froids, quand il a réalisé la libre circulation pourrait également conduire à ce que l'on appelle les «avantages tourisme» - la circulation des personnes de nouveau, les plus pauvres, les Etats membres de l'UE aux Etats membres existants, tirer parti de leurs systèmes de protection sociale plutôt que de travailler. Persson, par conséquent, suggéré des règles transitoires, avant que les pays moins riches comme la Bulgarie et la Roumanie ont été autorisés à prendre part au régime de libre circulation. Dans une interview 2003 avec Dagens Eko radio publique, Persson a déclaré: «Nous voulons la libre circulation du travail, mais pas bénéficier du tourisme. Nous ne devons pas être naïfs là ».

    M. Persson a été fortement critiquée pour cette déclaration, et plus ou moins marqué un raciste. Lors d'un débat au Parlement suédois au début de 2004, Agne Hansson du Parti Center (Centerpartiet) a dit: "est-il pas le temps ... de présenter des excuses pour le discours sur les avantages du tourisme et de la représentation des peuples des nouveaux Etats membres comme resquilleurs ? "

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  22. Lars Ohly, alors chef du parti du Parti de gauche (Vänsterpartiet), a déclaré: «On ne va pas parler des avantages du tourisme. On ne va pas parler des gens d'une manière qui les discrimine par rapport aux citoyens des Etats actuels de l'UE. C'est en fait un moyen d'attiser les flammes de la xénophobie et du racisme ".

    Un peu plus d'une décennie plus tard, la prédiction de Göran Persson est devenu réalité. mendiants roumains et bulgares exigent maintenant que leurs enfants devraient être autorisés à aller à l'école en Suède. Ils profitent également de la gratuité des soins de la Suède, et certains dentistes même leur offrir des soins dentaires gratuits. En 2014, un tribunal administratif a jugé que les mendiants de la Roumanie ont droit à des prestations sociales en Suède.

    Pourtant, il est non seulement l'absence de lois anti-mendicité et l'abondance des avantages sociaux qui ont fait de la Suède si populaire parmi les mendiants roms - ou «citoyens vulnérables de l'UE" comme on les appelle dans le politiquement correct suédois. La Roma est vite rendu compte que les Suédois se sentent mal à l'aise quand ils voient les pauvres et sont donc très disposés à mettre de l'argent dans les coupes des mendiants. Une attitude suédoise typique est: «Bien sûr, personne ne pourrait jamais se dégrader volontairement par la mendicité d'autres personnes, tout le monde veut travailler et subvenir à leurs besoins. Il est injuste que nous l'avons si bien quand ils souffrent tellement ".

    Le problème est que cela est tout simplement pas vrai. Mendicité a été pendant des siècles une manière complètement acceptée de "gagner sa vie" parmi les Roms, et que les Suédois sont si généreux, mendiants peut faire beaucoup plus d'argent en Suède que de travailler dans leur pays d'origine.

    L'ethnologue suédois Karl-Olov Arnstberg a fait des recherches approfondies sur la culture rom. Dans un billet de blog en Août 2014, il a écrit sur la façon dont les Suédois ont tendance à considérer les Roms comme des victimes:

    "Le« filtre de compréhension »ci-dessus est très répandue en Suède, en particulier au sein du pouvoir et les élites culturelles. Comme un ethnologue et scientifique qui ont étudié les Roms, je fais objection. Si vous me demandez, c'est une vue très ethnocentrique des choses, basée non seulement sur l'ignorance, mais aussi sur l'hostilité envers la connaissance. Si je devais utiliser la puissance et la langue moralisatrice élites culturelles - il est aussi profondément raciste. La raison en est, qu'il dresse un tableau des Roms comme des victimes. Et s'il y a des victimes, il doit y avoir les coupables et les auteurs sont, bien sûr, nous.

    "Peut-être pas précisément vous et moi, et non pas nous les Suédois, mais nous faisons partie d'une civilisation occidentale qui opprime et discrimination à l'égard des Roms. Ainsi, on nous sert une image où nous (les gagnants) sont bien au-dessus des Roms vers le bas ci-dessous (les perdants). Nous sommes mieux et ils sont inférieurs. Le concept de base du racisme est précisément que nous, les Occidentaux et les Suédois sont de loin supérieurs (plus intelligents) et que les Roms sont inférieurs (bête). Si ce train de pensée, impliquant les auteurs et les victimes, n'est pas raciste alors je ne sais pas ce qui est. On pourrait ajouter que l'image est inversée chez les Roms. Ils se considèrent comme supérieurs et intelligent, tandis que le gadjo (non-gitans) sont stupides, naïfs et crédules. »

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  23. L'analyse de Arnstberg est à peu près ce que les Roumains disent, aussi bien. En Avril 2015, la chaîne de télévision publique Sveriges Television a interviewé Florin Ivanovici, directeur de la Fondation Vie et Lumière organisation de secours, dans la capitale roumaine de Bucarest. Il a dit:

    "Il est de notre très forte recommandation de ne pas donner de l'argent aux mendiants. Il tourne la mendicité dans une occupation; les enfants à la maison en Roumanie sont abandonnés et souvent manquent l'école quand les parents sont absents. Pour donner [l'argent] encourage une vie sans avenir; le déplacement d'un pays à ne résout pas leurs problèmes ".

    L'année précédente, Ivanovici avait visité Stockholm et interrogé ses compatriotes roms:

    «Nous avons interviewé des mendiants, et presque tous d'entre eux nous ont dit qu'ils préfèrent rester en Roumanie si elles le pouvaient. Pourtant, beaucoup d'entre eux ont affirmé qu'ils ont fait environ € 1.000 (environ 1100 $) par personne et par mois [de la mendicité en Suède]. Comme le salaire moyen en Roumanie est 450-570 $ par mois, la mendicité en Suède est plus rentable que de faire un séjour en Roumanie ".

    Beaucoup prétendent que la mendicité est organisée, que les gangs recrutent des mendiants en Roumanie, les envoyer à la Suède, leur attribuer un coin de rue, puis prendre la majeure partie de leur argent. Mais Ivanovici ne croit pas ce qui est commun: "Les Roms vivent très proches; si quelqu'un réussit à obtenir 1000 € par mois à Stockholm par la mendicité, les nouvelles vont vite à leur village natal. Et qui incite plus de gens à aller ".

    plus gros problème de la Suède avec les Roms la mendicité est l'endroit où ils se déposent. Les Roms garer leurs remorques et de mettre en place des tentes dans les parcs, les zones boisées, et les terrains vacants, où ils vivent dans la misère totale - au moins par les normes suédoises.

    Le plus grand et le plus parlé de règlement a été situé à Malmö. En 2013, un groupe de Roms tout simplement commencé accroupi sur un terrain vacant 99,000 pieds carrés dans une ancienne zone industrielle dans le centre de la ville. Ce fut le début d'un processus qui traîner pendant près de deux ans, dans lequel la ville de Malmö a essayé toutes sortes de mesures en vue de fermer la soi-disant camp de Sorgenfri.
    Le lot est détenu par un citoyen, qui avait des plans pour les bâtiments résidentiels sur la propriété. Lorsque les Roms ont fait irruption dans le lot, garé leurs voitures et les remorques et les hangars construits là, le propriétaire a déposé une plainte auprès de la police au sujet de l'intrusion. Dans de nombreux pays, cela aurait été la fin de l'histoire - la police aurait simplement enlevé les squatters, et cela aurait été que. Non en Suède.

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  24. Peu importe la façon illégale un règlement est, afin que les gens soient expulsés, l'autorité de contrôle (Kronofogden) a besoin de connaître l'identité de chaque personne vivant sur la propriété. Comme aucun des Roms avait, ou voulu montrer une pièce d'identité, rien ne pouvait être fait. Au grand dam de nombreux habitants de Malmö, le camp a grandi dans une grande colonie où plus de 200 personnes vivaient. Il n'y avait pas de système d'eau ou des eaux usées en cours d'exécution sur la propriété; montagnes d'ordures et d'excréments humains ont augmenté de jour en jour. Enfin, ces risques pour la santé scellé le sort du camp. Conseil de l'environnement de Malmö, dans la décision qui a finalement conduit à la démolition du camp, a écrit en Novembre 2015:

    «Le ministère de l'Environnement a déjà interdit la vie sur le terrain privé. La situation sanitaire à l'emplacement entraîne de graves risques sanitaires pour les personnes qui y vivent, et affecte l'environnement par les ordures et la fumée des feux ouverts, entre autres choses ".

    A 4 heures, le 3 Novembre 2015, les policiers sont entrés dans le camp et, en utilisant des excavatrices et des camions-grues, déchira le bas.

    D'ici là, beaucoup de Roms étaient déjà partis, mais ceux qui sont restés marché vers Malmö City Hall pour protester contre la décision. Ils se sont assis dehors pendant des jours, le camping en face du bâtiment pour montrer leur mécontentement. Les manifestants roms ont été fort soutenus par des militants de gauche, qui ont demandé que la Ville de Malmö organiser un logement gratuit pour eux. Désinfection le camp a commencé le jour après qu'il a été démoli - par le personnel municipal de porter des vêtements de protection et des masques chirurgicaux.

    "Les conditions sanitaires sont très pauvres. Il est difficile de croire que les gens réellement vécu ici, "Jeanette Silow, le chef du Département de Malmö de la santé et de la sécurité de l'environnement, a déclaré au quotidien, Kvällsposten.

    Martin Valfridsson, de la Suède "Coordonnateur national pour vulnérables citoyens de l'UE," a présenté un rapport sur la saga Sorgenfri Camp, le 1er Février 2016. Parmi les conclusions de Valfridsson: la Suède ne devrait pas affecter des emplacements spéciaux où les Roms peuvent régler:

    "Si l'on fait la propriété municipale ou privée disponible, à la fin, de nouveaux problèmes se posent. La société contribue à rétablir les bidonvilles, nous avons travaillé avec diligence pour extirper. Si quelqu'un choisit de venir en Suède, ils doivent vivre ici d'une manière qui est légal ".

    Valfridsson a également dit qu'il ne voulait pas offrir la scolarité pour les enfants des mendiants roms et a exhorté les Suédois de ne pas mettre de l'argent dans leurs tasses: «Je ne crois pas que ce soit ce qui aide les individus à sortir de la pauvreté à long terme. Je crois vraiment que l'argent est mieux utilisé si vous donnez aux organismes de secours dans les pays d'origine ".

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  25. Cela peut sembler cruel de ne pas donner aux gens qui vivent dans la misère apparemment carrément de l'argent, mais selon Karl ethnologue-Olov Arnstberg:

    "Lorsque vous quittez une contribution en papier tasses de la Roma, ce que vous faites en réalité est le maintien d'une situation que nous ne trouvons pas en forme pour les êtres humains. Il porte une forte ressemblance avec urinant votre pantalon parce que vous êtes froid. Il vous réchauffe un peu, mais ne résout le problème pour un moment. En outre, si vous urinez dans votre pantalon assez souvent, cela devient une façon «normale» de la lutte contre le froid. Oui, je sais que je traversais la ligne avec cette métaphore, mais cela est à peu près comment cela fonctionne avec les Roms. Ils vont changer leur modèle de revenus économiques que si elle devient absolument nécessaire. De toute évidence mis: Si la mendicité est rentable, ils restent misérables. En leur donnant quelques pièces de monnaie résout le plus petit problème - il améliore la situation aiguë. Dans le même temps, elle contribue à faire le plus gros problème permanent - la misère. Si vous voulez perpétuer la vie des Roms dans la misère, vous leur donnez nickels et dimes. Il ne va pas aider les Roms, mais il vous donne une chance de se sentir comme une bonne personne ".

    Que Valfridsson, le «coordinateur national» veut réellement faire à propos de la situation est tout à fait clair. Il a mentionné l'attribution du gouvernement du comté de Stockholm la responsabilité de la collecte des données régionales sur la situation dans le pays et la mise en place d'un conseil consultatif. La Suède et la Roumanie effectivement signé un accord de coopération en Juin 2015, stipulant que la Suède aidera la Roumanie financièrement, de sorte que la Roma peut avoir une meilleure vie là-bas, et donc ne pas se rendre en Suède pour mendier. Un accord similaire a été frappé avec la Bulgarie le 5 Février, ici 2016.

    Il y a quelques années, les médias suédois transmis le message que les Roms sont manifestement victimes de discrimination dans leur pays d'origine et donc sont obligés de venir en Suède et beg. Est-il vrai que la Roumanie et la Bulgarie discrimination à l'égard de leurs minorités roms ?

    La vérité est qu'en Roumanie, les Roms ont le même droit à des prestations de bien-être que tous les autres citoyens, mais les autorités de ce pays post-communiste tiennent fermement au principe selon lequel les prestations sociales devraient être une aide temporaire et non un moyen de subsistance à vie, et par conséquent, faire des demandes sur les bénéficiaires de l'aide sociale.

    Beaucoup prétendent également que l'Union européenne a fait le problème des Roms pire. Tant que le rideau de fer divisait l'Europe, ni les Roms, ni les autres citoyens pourraient se déplacer vers l'Ouest. Pendant l'ère communiste, en fait, la Roma a fait quelques progrès. Leurs enfants ont été contraints d'aller à l'école par les gouvernements, ils ont reçu des logements modernes et nécessaires pour travailler. Quand l'Europe de l'Est se débarrasser du communisme, de nombreux pays ont maintenu des programmes de lutte contre la criminalité et le vagabondage parmi les Roms. Les familles ont reçu l'ordre d'envoyer leurs enfants à l'école. La Police a patrouillé les zones romaines et serrés vers le bas sur le mariage des enfants, un phénomène courant dans la culture rom.

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  26. Puis vint l'UE avec ses puissants représentants, qui a dit: Honte à vous; vous ne pouvez pas traiter les gens différemment - que l'on appelle le racisme. Donc, la Roumanie a dû abandonner ses programmes pour les Roms, et depuis lors, le mariage des enfants a grimpé en flèche - de seulement trois enfants mariés en 2006 (un plus bas niveau) à plus de 600 enfants roms mariés au cours des dernières années.

    L'UE a également contraint la Roumanie à mettre en œuvre une sorte de «discrimination positive», qui donne la priorité Roma pour les emplois, les écoles, le logement et ainsi de suite. Mais en dépit de marketing agressif, le programme n'a pas été efficace, probablement en raison de la réticence des Roms à se joindre à Gadjo (non-Roms) activités.
    L'an dernier, une équipe de nouvelles bulgare a visité la Suède pour filmer un documentaire sur les mendiants. Les images ont montré qu'il ya des gens qui ont effectivement organisent la mendicité; l'un d'entre eux a parlé ouvertement à la caméra d'être poursuivi pour chantage un mendiant qui ne lui a pas gagner assez d'argent. L'homme a également parlé de la façon dont il "appartient" cinq coins de rue dans le centre de Göteborg, et a dit que le meilleur endroit était en dehors de Systembolaget (le magasin d'alcool appartenant au gouvernement) - où il a affiché sa femme.

    L'an dernier, une équipe de nouvelles bulgare a visité la Suède pour filmer un documentaire sur les mendiants roms de Bulgarie et de la Roumanie.

    L'homme a nié que les mendiants eux-mêmes travaillaient pour lui - il affirmé qu'ils faisaient partie d'une équipe bulgare, et de diviser le revenu entre eux. Son rôle était de «protéger» des mendiants roumains, qui, dit-il, serait autrement "battre et chasser les Bulgares loin." Il a dit que les mendiants font environ 400-500 couronnes (50-60 $) par jour, et utiliser l'argent pour acheter de la nourriture, de la bière et des cigarettes.

    "Est-ce pas la fraude», a demandé le journaliste, "de faire semblant que vous êtes démunis, tout en utilisant l'argent pour la bière et des cigarettes ?"

    "Non," dit l'homme, "nous ne trompera personne. Nous venons de profiter de cette opportunité ".

    Les charges retenues contre lui ont été abandonnées.

    Reproduit avec la permission de Hedge Zero.

    https://www.lewrockwell.com/2016/04/tyler-durden/panhandling-occupation/

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    1. Pensez vous vraiment que de foutre 3 millions de porcs dans le château de Versailles aurait une incidence sur leur culture d'origine ? Hahahahahaha !

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