Le chef de la République Populaire de Donetsk, Alexandre Zakhartchenko, répond aux questions des journalistes lors d'une conférence de presse qui s'est tenue le 14 février 2015 à Donetsk : - Les accords de Minsk, le cessez-le-feu, Débaltsevo et l'avenir du Donbass.
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https://www.youtube.com/watch?v=F7qrVYVRWsI
Les États-Unis ont déjà fourni l'Ukraine en armes dès le début du conflit
RépondreSupprimerSputnikview
dim., 15 fév. 2015 12:46 CET
Traduction/Relecture : Jefke/ jj et Diane
Le président Obama envisage toujours d'armer l'Ukraine dans le cas où le dernier cessez-le-feu serait violé et où le conflit s'intensifie; mais l'analyste politique Stephen Lendman a dit à Spoutnik dans une interview exclusive que le dirigeant des États-Unis ment et qu'ils ont fourni des armes à Kiev depuis le début de l'opération militaire.
Le cessez-le-feu entre des forces de Kiev et les partisans de l'indépendance de Donetsk et de Lugansk est, en gros, respecté. Les bombardements du Donbass se sont arrêtés lorsque la trêve est entrée en vigueur à minuit, selon un porte-parole du siège social d'opérations spéciales de Kiev ce dimanche.
Mais le jour précédent, le président ukrainien Petro Porochenko et le président américain Barack Obama, pendant une réunion par téléphone, ont convenu une nouvelle coordination d'efforts dans le cas d'une violation du cessez-le-feu et une intensification du conflit ukrainien. Stephen Lendman, un chercheur associé au le Centre de la recherche sur la mondialisation explique à Spoutnik, dans une interview exclusive sur les développements récents en Ukraine, que Washington à menti tout le temps - des armes ont été fournies à Kiev depuis le début de l'opération militaire.
« Washington a fourni des armes lourdes depuis que le conflit a commencé en avril dernier et peut-être avant qu'il n'ait commencé, dans la préparation de ce qui a été planifié. J'ai écrit plusieurs fois à ce sujet y compris dans un nouvel article ce (samedi) matin », a-t-il déclaré à Spoutnik.
« Ainsi, la clé c'est de comprendre que Washington a armé Kiev durant tout ce temps. Obama déclarant qu'il considère seulement maintenant de fournir ces armes est encore un de ses grand mensonges. a-t-il dit, ajoutant: Les avions de l'OTAN et de l'Ukraine ont transporté des armes et des munitions sur une base régulière. Washington est le coupable principal. »
Les armes fournies par les États-Unis seraient défensives et non offensives.« Encore un autre mensonge », selon l'analyste. « Des armes lourdes sont fournies pour l'offensive, pas la défense bien-sûr, dit-il. Les combats se sont poursuivis après l'accord de Minsk. Kiev a continué de bombarder des territoires civils. »
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« Les médias américains, bien sûr, accusent la Russie et les rebelles. Les rapports et avis dans notre presse sont scandaleux. Les plus scandaleux que j'ai entendus de toute ma vie. Absolument faux, criblés de mensonges énormes du début à la fin », a dit Lendman. « Je m'attends à un répit de courte durée (sauf exceptions) à partir de dimanche ou lundi, suivi quelques jours ou semaines plus tard d'une reprise des hostilités initiée par Kiev et qui s'intensifiera avec l'assistance et l'encouragement américain », prévoit-il.
RépondreSupprimer« Des éléments durs de Kiev, comme Dmitry, du Secteur Droit Yarosh et des extrémistes de la même mouvance [néo-nazie, NdT], rejettent les termes de Minsk. Ils jurent de continuer le combat. Attendez-vous à ce que la Russie et les rebelles soient accusés pour leur agression. Attendez-vous à ce que le vicieux dénigrement de Poutine continue. C'est évident dans les rapports américains que j'ai vus de week-end », a-t-il ajouté. L'analyste politique prévoit que Washington continuera à fournir Kiev en armes lourdes. Des centaines de troupes de combat américaines viennent en Ukraine sous le prétexte de former les militaires ukrainiens, tandis que des centaines de forces spéciales américaines sont déjà présentes.
La grande question est de savoir si Obama autorisera une participation américaine directe dans le conflit. Il l'a déjà fait en Irak en envoyant des boots on the ground (des bottes sur le terrain - expression désignant la présence physique de militaires américaines) de plus en plus nombreuses, malgré les promesses de ne jamais le faire. « Je crois que si les rebelles continuent de dominer les forces de Kiev de manière décisive, ce à quoi je m'attends, Obama déploiera des forces américaines au Donbass - impliquant ainsi directement l'Amérique dans une nouvelle guerre par opposition à la guerre par procuration auquel elle se livre actuellement », a dit Lendman.
Une escalade amènera la guerre aux frontières de la Russie et le risque est que cela peut déborder. Avec des forces américaines de combat en Ukraine et Obama décidé à écraser des combattants pro-indépendance, le danger d'une confrontation Est-Ouest est énorme.
« Donbass est la guerre d'Obama. Il ne l'a pas lancée pour y renoncer ensuite. »
« Nous pourrions nous trouver dans la Troisième Guerre mondiale sans que vraiment quelqu'un le désire. Les guerres mondiales commencent comme celle-ci. Avec les néoconservateurs fous furieux qui mènent la politique à Washington, tout est possible. a-t-il ajouté Je crois fortement que les chances pour une paix durable dans le Donbass sont pratiquement nulles malgré les meilleurs efforts de Poutine pour tenter de résoudre la question par la diplomatie. »
Le président Poutine, Sergei Lavrov et d'autres fonctionnaires russes ont œuvré par tous les moyens pour la paix pendant ces mois de conflit. « Obama veut la guerre, pas la paix. Donbass est sa guerre. Il ne l'a pas lancée pour y renoncer ensuite. La CIA, le FBI et des forces spéciales américaines infestent Kiev. Ils sont impliqués dans la planification, la mise en œuvre et la direction des combats. » a conclu l'analyste.
http://fr.sott.net/article/24779-Les-Etats-Unis-ont-deja-fourni-l-Ukraine-en-armes-des-le-debut-du-conflit
Après avoir effectué les exercices marine en Méditerranée orientale, la Russie met ses troupes aéroportées à Volgograd en état d'alerte
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 16/02/2015 10:04-0500
Alors que l'Ukraine dernière « cessez-le-feu » est tout sauf mort après des titres tels que :
... peut-être une meilleure juste question: qu'est-ce que la Russie fait dans la Méditerranée orientale ? (comme dans près de la Grèce et Chypre), où comme Interfax indiqué plus tôt, la marine russe a procédé à des tests. Bloomberg ajoute que les "navires de marine russes tirs d'artillerie en mer, des objectifs de formation dans le cadre d'essais dans la partie orientale de la Méditerranée de l'air, Interfax rapports, citant la déclaration faite par le ministère de la défense."
Cela se produit heures après que Interfax a également rapporté que l'aviation russe menait une pratique perceuse dans le sud de la Russie, auquel participent environ 10 avions de bombardement.
Et enfin, il y a des moments Interfax (et Bloomberg) fait un tiercé gagnant quand il a signalé que
LA RUSSIE MET DES TROUPES AÉROPORTÉES SUR LA RÉGION DE VOLGOGRAD EN ALERTE : IFX
MODULE D'ATTERRISSAGE DE L'AGRESSION DES TROUPES AÉROPORTÉES, ALERTÉ DANS LA RÉGION DE VOLGOGRAD
Pour rappel, Volgograd est environ de 150 milles (241 km) à l'est de l'Ukraine.
Comme un autre rappel, au cours du week-end allemand Der Spiegel a mis en garde, citant l'ancien ministre des affaires étrangères russe Igor Ivanov "la menace d'une guerre est maintenant plus élevée que pendant la guerre froide". Peut-être encore dégénérer en une cascade de contrôle hors tels événements est précisément ce qu'il faisait allusion aux.
http://www.zerohedge.com/news/2015-02-16/after-conducting-navy-drills-east-mediterranean-russia-puts-airborne-troops-volgogra
(...) peut-être une meilleure juste question: qu'est-ce que la Russie fait dans la Méditerranée orientale ? (...) !!? Il serait même contrariant de ne pas la voir là ! Là où est SON devoir de sauver SON peuple n'est pas celui des agresseurs en attente d'attaquer.
SupprimerLe problème de Moscou, c'est qu'il lui faut traiter avec des imbéciles et des vassaux
RépondreSupprimerFinian Cunningham
Strategic Culture
mar., 10 fév. 2015 08:39 CET
Traduction :Dominique Muselet
La Russie a un dilemme. Comment peut-on travailler à un règlement pacifique du conflit ukrainien - et éviter une plus grande, plus terrible guerre - quand on a comme interlocuteurs des imbéciles et des vassaux ? Je veux parler des dirigeants américains et européens, respectivement.
Le problème quand on essaie d'avoir une conversation avec des imbéciles, c'est qu'ils sont tout simplement incapables de voir plus loin que le bout de leur nez. Ils souffrent de dissonance cognitive et ils en sont fiers. En fait, plus ils sont bêtes plus on les félicite de leur force. On ne peut rien apprendre aux imbéciles ; leur regard grossier et obtus sur le monde leur interdit toute perspective différente, même si elle est plus juste. Ils ont d'ailleurs horreur qu'on les corrige, ce qui ne fait qu'aggraver leur bêtise.
Le problème quand on a à faire à des vassaux, c'est qu'ils ne peuvent pas changer de cap - même s'il leur reste encore quelque capacité à penser par eux-mêmes et à se rendre compte que la perspective qu'on leur propose est plus juste ou plus censée.
C'est le problème qu'a la Russie dans ses relations avec Washington et ses alliés européens sur le conflit en Ukraine.
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, qui s'exprimait à Munich le week-end dernier, a déploré le manque d'indépendance des Européens sur le sabotage systématique de l'ordre international par Washington. Lavrov a été blâmé pour avoir osé dire la vérité, surtout qu'il a étayé son propos avec des arguments logiques et des preuves historiques.
Les Etats-Uniens stupides, eux, remplacent les arguments rationnels par des slogans et des accusations. Ils sont aveuglés par leur propre propagande qu'ils finissent par croire. Et ils sont contents d'eux... Dieu bénisse l'Amérique !
Le président américain Barack Obama, qui est censé être l'un des politiciens américains les plus réfléchis, n'est pas capable de voir plus loin que les phrases toutes faites de la narrative convenue qui affirme, sans la moindre preuve, que « tout est de la faute de la Russie » dans le conflit en Ukraine.
En présence de la chancelière allemande, Obama a dit cette semaine à la Maison Blanche qu'il envisageait d'envoyer des armes létales au régime de Kiev « pour aider l'Ukraine à renforcer ses défenses face à l'agression séparatiste ». Obama a accusé la Russie d'alimenter le conflit et de vouloir violer l'intégrité territoriale de l'Ukraine « à la pointe du pistolet ».
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Voilà ce qui se passe en réalité : Les Ukrainiens d'origine russe sont tués dans leurs maisons, leurs caves, leurs écoles et leurs rues par le régime de Kiev soutenu par l'Occident, qui a lancé une guerre absurde dans l'est de l'Ukraine il y a dix mois, qui a déjà fait plus de 5500 morts et plus d'un million de personnes déplacées - et pourtant pour Obama la violence est la conséquence de « l'agression séparatiste » et il veut envoyer des armes plus meurtrières aux agresseurs.
RépondreSupprimerSi d'Obama, on descend dans la hiérarchie, les choses ne font qu'empirer. Le vice-président, Joe Biden, a déclaré à la conférence sur la sécurité à Munich la semaine dernière que « les Ukrainiens ont le droit de se défendre » et par conséquent, nous, les Etats-Unis, devrions leur envoyer de l'aide militaire pour faire face à « l'agression russe ».
Alors, M. Biden, qu'en est-il du droit des Ukrainiens d'origine russe à se défendre ? N'ont-ils pas le droit de le faire ? Ne sont-ils pas Ukrainiens ? Ou peut-être que, parce qu'ils sont d'origine russe, vous les considérez comme des êtres inférieurs ?
Le chef de la diplomatie étatsunienne, John Kerry, une personne soi-disant courtoise, multilingue et cosmopolite, répète les mêmes accusations irrationnelles et sans fondement, contre la Russie, affirmant qu'elle est la « plus grande menace pour l'Ukraine ». Kerry veut aussi envoyer des armes à l'Ukraine pour donner une leçon à la Russie.
Idem pour Ashton Carter, le nouveau secrétaire à la Défense. Idem pour Michel Flournoy, qui est pressenti pour être secrétaire à la Défense si Hillary Clinton remporte la présidentielle de 2016. Idem pour Bobby Jindal, un concurrent républicain sérieux à la présidentielle. Idem pour Bob Corker, le chef de la politique étrangère républicaine. Idem pour le général Martin Dempsey, chef d'état-major des armées des États-Unis. Idem pour les membres de l'establishment de la politique étrangère américaine de l'Institut Brookings et du Conseil de l'Atlantique. Idem pour les comités de rédaction des grands médias américains dont le New York Times et le Washington Post. Tous répètent sans sourciller le mantra qui dit que le conflit en Ukraine est dû à l'agression russe et que fournir des armes au régime de Kiev est idéal pour faire la paix. Tous régurgitent la même histoire mensongère et éculée qui dépeint le président russe Vladimir Poutine en « dictateur du milieu du 20e siècle » avec la même veine « expansionniste » qu'Adolf Hitler ou Benito Mussolini. (Sans même se rendre compte que le fascisme du milieu du 20e siècle fut une stratégie secrète élaborée par les puissances capitalistes occidentales pour attaquer l'Union soviétique qui s'est soldée par 30 millions de morts russes. Une politique qui se poursuit aujourd'hui sous forme de soutien américain au régime néo-nazi de Kiev pour déstabiliser la Russie.)
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La chose la plus effrayante à propos des imbéciles américains, c'est qu'ils ne leur vient même pas à l'idée qu'ils pourraient être endoctrinés. Ils sont des clones Orwelliens qui croient que la guerre est la paix, l'esclavage est la liberté, et que la vérité est celle qu'on vous serine.
RépondreSupprimerLes politiciens américains qui ont participé à la Conférence sur la sécurité de Munich ont traité de « conneries » les efforts de la chancelière allemande Merkel et du président français, François Hollande, pour amener Poutine à discuter de la crise en Ukraine.
Les trois dirigeants se proposent de poursuivre cette semaine les longues discussions qu'ils ont entreprises à Moscou le week-end dernier, lors d'une seconde réunion à Minsk, la capitale du Bélarus. Il n'est pas sûr du tout que Poutine, Merkel et Hollande parviennent à obtenir du régime de Kiev qu'il s'assoie à la même table que les séparatistes pro-russes d'Ukraine orientale. Les brutes étatsuniennes vont certainement faire de leur mieux pour faire capoter le dialogue avant même qu'il ait commencé à porter ses fruits.
Contrairement aux Américains Gung-Ho*, les Européens commencent à se rendre compte que fournir plus d'armes en Ukraine n'est pas la solution, qu'il faut même éviter ça à tout prix, et que les aspirations à l'autonomie des séparatistes sont raisonnables et méritent d'être prises en compte.
Les Européens, au moins publiquement, n'ont sans doute pas renoncé à la narrative éculée selon laquelle c'est la Russie qui déstabilise l'Ukraine avec ses troupes ou son soutien militaire clandestin aux séparatistes. Moscou nie catégoriquement ces allégations. Mais au moins, les Européens semblent avoir assez de subtilité intellectuelle pour réaliser que montrer hystériquement Poutine du doigt est contre-productif et qu'il n'y a peut-être pas qu'une seule version des faits.
Il faut reconnaître qu'Angela Merkel a résisté à la pression américaine pour augmenter l'implication militaire en Ukraine. A Washington cette semaine, elle a catégoriquement nié partager l'idée d'envoyer plus d'armes en Ukraine. L'opposition de Merkel aux propositions américaines a été dénoncée par les principaux sénateurs républicains qui l'ont accusée de vouloir « apaiser » Poutine, en la comparant stupidement avec Chamberlain et Hitler à la conférence de Munich de 1938.
Traiter avec ces imbéciles d'Américains est donc impossible. Ils vivent dans un monde mental différent de la plupart des autres. Leur monde est un mélange de propagande qui ne tient aucun compte des faits historiques, et de comportements brutaux qui rendent le dialogue, la réciprocité ou la réflexion socratique tout à fait improbables. Leur arrogance et leur vanité obtuse font obstacles à la vraie communication et à la compréhension mutuelle. Et tout ça c'est la faute de Poutine ; tout cela vient de ces affreuses hordes russes ; c'est le retour de l'empire soviétique du mal. Une opération illégale de changement de régime à Kiev contre un gouvernement élu soutenu par les Etats-Unis ? Un régime soutenu par les Américains qui mène une guerre contre les russophones de l'est de l'Ukraine ? Êtes-vous fou, espèce de crétin d'apologiste de Poutine ?
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Comment peut-on traiter avec des gens pareils ? On ne peut pas, c'est impossible.
RépondreSupprimerA cela s'ajoute un autre problème. Les Européens ne sont pas libres d'agir en fonction de ce qu'ils pensent réellement. Il est clair que Merkel, Hollande et de nombreux autres dirigeants européens se rendent compte que le projet étatsunien d'inonder l'Ukraine d'armes encore plus meurtrières est une idée catastrophique qui pourrait déclencher une Troisième Guerre mondiale. Il est clair que de nombreux Européens pensent que les sanctions US contre la Russie ne sont pas seulement contre-productives, mais que c'est, en fait, une politique bêtement hostile qui nuit aux travailleurs, aux agriculteurs et aux économies européennes autant qu'à la Russie.
Le problème c'est que les Etats européens sont des vassaux des Etats-Unis. Ils sont obligés de suivre la ligne dictée par Washington, aussi stupide soit-elle. L'Allemagne est considérée comme le moteur de l'Europe et la quatrième plus grande économie du monde. Pourtant, comme le politologue allemand Christof Lehmann nous le rappelle, l'Allemagne n'a jamais eu une politique véritablement indépendante depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Elle n'a pas de constitution digne d'un Etat moderne, et elle continue d'être occupée par les forces militaires des alliés américains et britanniques « victorieux ». Selon Lehmann, « l'Allemagne est une colonie de facto des États-Unis. À tout moment, en vertu de la loi fondamentale d'après-guerre**, les troupes américaines peuvent prendre les manettes de l'Allemagne qui est techniquement et juridiquement un état occupé, un état vassal ».
L'espionnage américain de la chancelière Merkel par la NSA, révélé en 2013 par Edward Snowden, en est un exemple. Plus révélateur encore est le fait que Merkel n'ait pas répondu à cette violation flagrante de la « souveraineté » allemande avec toute la force requise. Elle a docilement accepté l'intrusion comme une manifestation de l'hégémonie américaine d'après-guerre.
Lehmann souligne que, depuis la guerre, les Etats-Unis et son allié britannique ont opposé leur veto à toutes les velléités allemandes de se créer une politique étrangère indépendante, en particulier une politique qui impliquerait un rapprochement avec la Russie. « Nous avons pu constater que tous les efforts des chanceliers Willy Brandt et Gerhard Schroeder pour améliorer les relations avec la Russie ont été sabotés à chaque fois par Washington et Londres », note Lehmann.
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C'est pourquoi la résistance héroïque de Merkel cette semaine contre le militarisme américain en Ukraine est méritoire. Son opposition ouvre peut-être une brèche dans les relations américano-européennes. Elle a, en effet, contesté une ligne rouge fondamentale de Washington : à savoir que les Etats européens, et en particulier l'Allemagne, ne peuvent pas et ne doivent pas se permettre de remettre en cause l'hégémonie américaine et sa politique d'hostilité à long terme contre la Russie.
RépondreSupprimerMerkel et Hollande ont peut-être enfin entendu le message des millions de citoyens ordinaires de l'UE qui s'opposent de tout leur cœur à la politique belliciste que les Etats-Unis mènent contre la Russie aux dépens de l'Europe. Mais étant donné que les vassaux Européens de ces crétins d'Etatsuniens auront bien du mal à secouer leur joug traditionnel, il est difficile de savoir s'il y aura ou non une percée en faveur de la paix. Le leadership européen est encore prisonnier des griffes de Washington. Mais les masses européennes sont si dégoûtées qu'elles pourraient bien forcer leurs leaders à briser ce joug absurde.
http://fr.sott.net/article/24776-Le-probleme-de-Moscou-c-est-qu-il-lui-faut-traiter-avec-des-imbeciles-et-des-vassaux
La Chine en préparation de guerre ?
RépondreSupprimerSputnik News
ven., 13 fév. 2015 11:10 CET
La modernisation à grande échelle de l'armée de la RPC résulte de la croissance économique du pays, pense-t-on dans la communauté des experts. Mais ce point de vue est loin de faire l'unanimité.
Selon les médias américains, Pékin se préparerait à un conflit militaire en Asie. Au début de février, dans un entretien accordé au site d'investigation conservateur The Washington Free Beacon, le chef des renseignements de la flotte du Pacifique des Etats-Unis, le capitaine de la Marine américaine James E. Farnell indiquait que le parti communiste chinois a entamé un rajeunissement de ses effectifs non seulement pour assurer la stabilité à l'intérieur du pays, mais aussi pour pouvoir utiliser sa force militaire.
« Il ne faut pas se mentir », a mis en garde Farnell dans son dernier discours avant le départ à la retraite. « Nous avons pu relever au cours de ces dernières 15 années des preuves du fait que Pékin se prépare à utiliser ses forces armées ».
Le fonctionnaire militaire s'est dit en outre convaincu par le fait que la Chine envisage de violer la stabilité dans la région, notamment suite aux tensions autour des îles Diaoyu (Senkaku) en mer de Chine Orientale. Farnell a appelé les services de renseignement à fournir des informations « objectives » sur la croissance de la puissance militaire de la Chine pour que les pays de la région puissent mieux s'y préparer.
Ces déclarations ont suscité un certain scepticisme auprès d'un grand nombre d'experts.
« La doctrine militaire de la Chine répond aux menaces, mais elle n'incite pas à attaquer », rappelle dans un entretien accordé à Sputnik Andreï Ostrovski, le vice-directeur de l'Institut de l'Extrême-Orient sous l'égide de l'Académie russe des sciences. « Cela est contraire à la politique de la RPC qui est réaffirmée chaque année lors des Congrès du Parti communiste chinois. La Chine modernise son armement pour mieux répondre aux menaces potentielles ».
Triple objectif de modernisation pour l'armée chinoise
Dans un discours prononcé en décembre dernier lors de la conférence de l'Armée populaire de libération, le chef d'État chinois Xi Jinping a souligné qu'une modernisation de l'armée est nécessaire pour avoir que les forces militaires soient capables de mieux faire face à des menaces extérieures.
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C'est pourquoi il a ordonné une augmentation des dépenses pour l'armement de 12,2% jusqu'à 808,2 milliards de yuans (soit près de 131,3 milliards de dollars) en 2014.
RépondreSupprimerCette modernisation poursuit un triple objectif. D'abord, la Chine veut préserver ainsi son intégrité territoriale. Pour ce faire, il faut développer des forces de projection qui pourraient intervenir en cas de déclaration d'indépendance dans les régions périphériques (le Tibet, le Xinjiang ou Taiwan, « une province de la RPC » selon Pékin) et permettraient de contenir l' « encerclement » américain. Deuxièmement, une armée plus moderne permettrait à la Chine d'assurer la stabilité régionale, préserver ses frontières et sécuriser ses approvisionnements en énergie. Enfin, une armée moderne pourrait permettre à la Chine d'assurer sa sécurité économique.
C'est l'avis de Pierre Picquart, expert de la Chine et auteur du libre « La Chine: une menace militaire? », publié en 2013. Selon l'expert, assumant son rôle de la grande puissance, la RPC n'a plus peur de s'imposer. « La Chine défend ses intérêts, tout en rappelant qu'elle n'a jamais mené de guerre ni passé d'alliance militaire avec l'Occident », expliquait-il l'année dernière à l'occasion d'une conférence sur la puissance militaire chinoise.
Dans un article, publié à la fin de janvier dans le magazine japonais The Diplomat, Wang Zheng, directeur du Centre de recherche sur les conflits à l'Université Seton Hall explique que le nouveau concept de la « Ceinture économique de la Route de la Soie », développée par la Chine, est en effet une réaction officielle de Pékin à la réorientation des forces militaires de Washington sur la région Asie-Pacifique. Ce concept, avant tout économique, basé sur le partenariat de la Chine avec les pays de l'Asie Centrale et de la région Asie-Pacifique, l'aide à mieux faire face à l'influence des États-Unis, et d'exprimer plus clairement son point de vue sur des questions de géopolitique et de diplomatie globale.
http://fr.sott.net/article/24777-La-Chine-en-preparation-de-guerre
C'est vrai que s'il était effectué un sondage mondial, 99% des citoyens se réfugieraient sous le couvert de la Chine/Russie plutôt qu'ailleurs ! Hahahaha !
Supprimer« Il n’y a aucune pénurie dans l’immobilier… et les prix baissent ! »
RépondreSupprimerMes chères contrariennes, mes chers contrariens !
Je serai ce matin l’invité d’Ecorama à partir de midi où l’on abordera également le marché immobilier, ses difficultés et ses mythes ! Pour ceux qui ne pourront pas suivre cette émission en direct sur le site Boursorama, je vous donnerai dans l’édition de demain le podcast vidéo.
Alors que la baisse des prix de l’immobilier est bien engagée y compris dans les grandes villes, certaines idées reçues comme la fameuse pénurie de logements en France ont la vie dure.
Tout d’abord cette histoire du million de logements manquant avait été lancée par la Fondation Abbé Pierre et dont la réalité économique est inversement proportionnel à la générosité de cette association prônant pour sa paroisse (sans mauvais jeux de mots de bien sûr !!). D’ailleurs la Fondation ne disait pas qu’il manquait 1 million de logements mais que 800 000 personnes étaient dans une situation de précarité en termes de logement. Il n’y a évidemment pas 1 000 000 de sans-abri en France. Car si nous faisions un raccourci, nous pourrions dire que s’il manque vraiment 1 million de logements en France et que chaque logement permet de loger 2,04 personnes (nombre moyen de personnes par logement en France), alors nous aurions plus de 2 millions de personnes dans les rues…
La réalité des SDF est dramatique comme nous le montre cet article de L’Express mais cela n’a rien à voir avec 2 millions de SDF bien que cela soit déjà trop : « Selon une étude de l’Insee rendue publique ce mercredi, en 2012 la France comptait 112 000 SDF, dont 31 000 enfants. Un chiffre glaçant et en augmentation de 44 % depuis 2001. »
Source INSEE ici pour réussir à voir ce tableau en vrai qui détaille les 33 millions de logements en France
2,6 millions de logement vacants et plus de 3 millions de résidences secondaires !
La France compte 33,8 millions de logements dont 2,6 sont vacants. La population est de 64,6 millions, soit 2,08 habitants par logement en moyenne. La population augmente chaque année de 464 000 personnes, ce qui génère un besoin naturel de 223 000 logements. Le taux de décohabitation dû aux divorces et séparations est, selon l’Insee, de 0,74 %, créant un besoin de 229 000 logements supplémentaires. Au total, il faut donc construire chaque année 452 000 logements nouveaux pour seulement satisfaire l’accroissement naturel de la demande tel que constaté depuis dix ans.
Disons donc qu’il faut que notre pays construise au pire 500 000 logements par an. Ces 10 dernières années, nous n’en avons pas été très loin !! Mais surtout la réalité c’est que nous avons un stock de plus de 5,6 millions de logements soit vacants, soit sous-utilisés (résidences secondaires). Cela signifie qu’il n’y a globalement aucune tension sur le marché immobilier, ce qui évidemment n’exclut pas des tensions locales comme dans certaines grandes villes ou évidemment en Île-de-France !
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Si l’immobilier rapportait beaucoup et avec peu de risque, alors les logements vacants seraient mis massivement sur le marché et des seniors massivement occuperaient à l’année leur résidences secondaires et loueraient leurs « résidences principales » en ville par exemple.
RépondreSupprimerOn voit bien que l’essentiel du patrimoine est détenu par les plus de 50 ans. Dès lors, en se reportant à la pyramide des âges, on peut en conclure que les générations suivantes (dont la taille est réduite) n’auront pas les fonds suffisants pour racheter de l’immobilier très cher à des seniors très nombreux…
Conséquence assez logique, on peut imaginer que le départ de nos anciens laissera un marché immobilier en France dans de réelles difficultés, et que le besoin de logements va aller plutôt en déclinant, et d’une pénurie théorique déjà infondée nous risquons de nous retrouver face à un excédent de logements qui pèsera très fortement sur les prix d’achat.
Vers la poursuite de la baisse des prix
Les taux ! Les taux, et les taux !! Voilà ce qu’il faut regarder lorsque l’on parle du prix de l’immobilier. 95 % des transactions immobilières donnent lieu à un crédit. Autant dire que le crédit est ce qui permet l’achat immobilier. Lorsque les taux sont hauts, les prix sont bas ; lorsque les taux sont bas, les prix sont hauts… Cette relation économique est incontestable.
Or aujourd’hui, les prix baissent dans un contexte de taux d’intérêt historiquement au plus bas. La raison est simple : les prix ont monté ces 15 dernières années beaucoup plus rapidement que le pouvoir d’achat des ménages. Le pouvoir d’achat immobilier des gens s’est effondré et les prix vont devoir se réajuster.
N’oublions pas non plus la fiscalité particulièrement pénalisante sur l’immobilier avec la dernière annonce de notre gouvernement de surtaxer de 20 % les résidences secondaires sur leurs taxes d’habitation… Tout cela ne peut que pénaliser le marché immobilier qui n’a besoin que d’une chose : de laisser faire les gens et de l’absence de l’intervention toujours nuisible de l’État !!
Il est déjà trop tard, préparez-vous.
Charles SANNAT
http://www.lecontrarien.com/il-ny-a-aucune-penurie-dans-limmobilieret-les-prix-baissent-16-02-2015-edito?utm_source=Le+Contrarien+Matin&utm_campaign=5183d7a731-daily_newsletter_2015_02_16&utm_medium=email&utm_term=0_b6dd3f3e5f-5183d7a731-45320805
1 milliard $ hack le Zoute : Kaspersky Lab expose les attaques massives de la Banque, décrit le régime a RT
RépondreSupprimer16 février 2015 08:03
Un réseau pirate est derrière une attaque sans précédent d'$ 1 milliard sur les banques et a pris le contrôle des systèmes financiers en premier en envoyant des courriels avec fichiers Word de malware, RT a découvert par un expert du Cabinet de cybersécurité russe qui a révélé le crime.
Tandis que la majorité des banques volées (une centaine est en Russie), les institutions financières ont été également visées au Japon, Pays-Bas, Suisse et aux États-Unis.
Les cas de piratage déjà confirmés ont coûté aux banques environ $ 300 millions, selon Kaspersky Lab.
"Les dommages globaux pourraient être près de $ 1 milliard," Kapersky Lab expert Sergey Lozhkin dit RT par téléphone. "Chacune des organisations [attaquées] aurait pu perdre un estimatif $ 10 millions".
Parmi les différents moyens de pénétrer dans les systèmes de banques, les auteurs ont utilisé de faux emails de véritables institutions financières, y compris la Banque centrale, avec pièces jointes Microsoft Word.
"Si une victime qui a reçu la lettre, un employé de la Banque, avait ancien logiciel, puis les vulnérabilité du système autorisée pour les logiciels malveillants d'infecter le calcul," Lozhkin dit.
Après cela, un certain nombre de moyens sophistiqués laisserait les hackers d'abord d'apprendre comment cet employé travaillait avec des programmes internes de la Banque, que le déplacement d'un ordinateur à l'autre et finit par obtenir un accès complet à l'ensemble du système de la Banque.
«Puis, à distance, faisaient aux banques transférer de l'argent aux guichets automatiques, alors que certaines personnes pourraient alors venir à ces guichets automatiques et les choix de l'argent. Quelqu'un attendait par un guichet automatique pour l'argent à être embroché sur [sic],« Lozhkin dit.
Quelque chose n'allait pas avec le régime en Ukraine. Personne ne viendrait pour les espèces qui sortait tout à coup un guichet automatique. C'est exactement alors que Kaspersky Lab a été invité à étudier la question. Que peu d'indices donnèrent finalement l'ensemble de l'attaque, qui a été pour la première fois par le New York Times.
Les noms des banques concernées n'ont pas été divulgués. Lozhkin croit qu'ils sont largement à blâmer pour ce qui est arrivé.
«Quand il s'agit de cyber-infrastructure, puis même les plus grandes banques ne sont pas toujours assez attention pour simplement mettre à jour le logiciel leur utilisation employés, » dit-il. «Parfois, ils juste oublient ou ne pense pas que [ses] important et donc le malware peut utiliser une vulnérabilité du système d'y pénétrer. C'est ainsi que nous voyons it."
Kaspersky Lab poursuit son enquête sur l'attaque.
http://rt.com/news/232627-banks-hacked-russian-expert/
SupprimerLe vol, l'escroquerie s'est mise aux goûts du jour ! Après vidage de 'trésorerie-en-banques' (ce qui relève déjà de l'exploit) et, de la distribution gratis de billets craquants aux distributeurs à n'importe qui même sans carte ni code !!, voici venir 'l'inquiètude' des banquiers de voir du vent s'échapper !
La Chine, la Russie et la Corée du Nord sont pour créer des zones de tourisme international
RépondreSupprimer13 février 2015 12:07
’Les autorités dans la Province de Jilin du nord-est de la Chine envisagent de créer un visa international et la zone touristique en franchise dans la région frontalière avec la Russie et la Corée du Nord.
Le territoire se situera le long du fleuve Tumen et comprendra la ville chinoise de Hunchun et une zone de dix kilomètres carrés en Russie et en Corée du Nord, l'Agence de presse Xinhua rapporte vendredi. L'infrastructure sera construite conjointement par les trois pays participant au projet, rapporte l'Agence de presse.
Chine, Russie et Corée du Nord à mettre en place la zone touristique « sans visa » sur le delta de la rivière Tumen sur la frontière de trois pays pic.twitter.com/JP5JNUmEqJ
— China Xinhua News (@XHNews) 13 février 2015
L'initiative a été proposée par le gouvernement de Hunchun en 2013. La Corée du nord est particulièrement intéressée par la création d'une zone touristique, car il veut obtenir l'avantage économique.
Corée du Sud, le Japon et la Mongolie devraient rejoindre la zone touristique à long terme, avec des routes, des chemins de fer et des routes aériennes, a dit Zhao Xiaojun, directeur de l'Administration provinciale de tourisme de Jilin, cité par Xinhua.
http://rt.com/business/232031-china-russia-north-korea/
Malgré que subsiste toujours des adeptes de ruines et de l'égyptologie, les touristes sont donc aujourd'hui attirés par 'ce qui marche'.
SupprimerPatrons de banques disent qu'une cyberattaque est parmi leurs plus grandes peurs
RépondreSupprimerUn jour après que les pirates se sont avéré avoir volé £650m de banques mondiales, chefs d'entreprise soulèvent des préoccupations de sécurité
Par Marion Dakers, éditeur de services financiers
4:11 PM GMT 16 février 2015
Cyber-attaques sont l'une des préoccupations plus pressantes des bancaires des chefs d'entreprise, selon un nouveau sondage.
Un jour après qu'un vol de cyber a été révélé avoir pris environ £650 millions de sociétés financières dans le monde entier, une enquête mondiale auprès des patrons de marchés bancaires et financiers a trouvé que les menaces en ligne est arrivé second seulement à une réglementation excessive comme le plus grand danger perçu à l'industrie.
Des 175 patrons sondés par PwC, 79 % ont dit qu'ils étaient préoccupés ou extrêmement préoccupés par les cyber-menaces qui affectent les perspectives de croissance de leur entreprise. Cela se compare à 61 % des chefs d'entreprise dans toutes les industries qui se sont déclarés préoccupés par les attaques en ligne.
"Nul ne peut être complaisant sujet du vol d'identité et de la cybersécurité, comme nous avons regardé les violations de données l'an dernier. Ils sont répandus, les statistiques sont effrayantes, » Beth E Mooney, Président du chef de la direction de KeyCorp, dit dans le rapport de PwC.
« Ce que nous faisons pour protéger les données et nos clients, en collaboration avec les autres institutions financières et le gouvernement, est une des choses plus importantes, parce que nous sommes dans un nouveau territoire qui a des conséquences importantes. »
Kaspersky Lab, la firme de cybersécurité qui d'abord signalé le vol de 650 millions de livres, a déclaré que la bande criminelle de Carbanak avait pris pour cibles des institutions financières aux États-Unis, en Chine et dans toute l'Europe.
La firme a déclaré : les hackers étaient brisée en réseaux virtuels des banques avant de passer les mois installation de programmes et de recueillir des données afin de tranquillement retirent de l'argent.
"Ces Hold-up de la Banque ont été surprenant car il ne faisait aucune différence pour les criminels Quels logiciels utilisent les banques. Donc, même si son logiciel est unique, une banque ne peut pas obtenir complaisante," a déclaré Sergey Golovanov, chercheur principal de sécurité de Kaspersky Lab recherche mondiale et équipe d'analyse.
En dehors de la menace croissante des cyberattaques, chefs d'entreprise bancaires sont overwhemingly positif au sujet de leurs perspectives au cours des trois prochaines années, avec la croissance tout en attendant 92 %. Pendant ce temps, 53 % dit qu'ils étaient préoccupés par la menace de nouveaux entrants sur le marché, jusqu'à de 32 % il y a un an.
http://www.telegraph.co.uk/finance/newsbysector/banksandfinance/11416073/Banking-bosses-say-a-cyber-attack-is-among-their-biggest-fears.html
SupprimerC'est peut-être aussi un faux-drapeau afin de 'justifier l'espionnage/voyeurisme et vol sur internet'.