Si, le 'mystère des calés décalés de Calais' demeure pour certains une expérience constructive, pour la quasi-totalité des français, cette situation évoque bien celle qu'ils vivent présentement comme celle qu'il vivront prochainement !
Vivre en éternel rejeté (pensez-donc: 'patriote' !!), comme en éternel allocataire de la sainte Planche-à-billets ! Telle est la réelle situation où la machine a su 'domestiquer' l'homme au point de le dépasser et de le confronter à l'épreuve tant redoutée comme autant souhaitée du 'rien- à-foutre' !
Oui ! Vous l'avez bien lu ! Du Rien-à-foutre ! Du 'bon-à-rien' qui - depuis des siècles - vit de rentes comme étant (de père en fils) propriétaire de la Terre !
Vous voilà donc esclave de votre savoir d'avoir su concevoir des machines pour vous remplacer !
Et c'est bien là le 'hic' du problème (redouté par les 'Dirigeants'), il ne se passe pas un jour sans que de nouvelles inventions pleuvent en tous pays pour en améliorer le sort de chacun ! Ainsi, les 'pouvoirs publics' ne savent plus où donner de la tête tant en leur nano-groupuscule leurs susceptibles projections d'idées constructive leur font-elles défaut !
C'est pourquoi il y a quelque chose de jamais pris en compte qui s'appelle 'le pouvoir du nombre' qui n'est plus celui de l'homme seul tirant une charette à la vitesse de 5 km/h et qui - serait améliorée à la vitesse de 50 km/h s'ils étaient dix ou... 500 km/h s'ils étaient cent !! (Hahahahaha !) - mais à celui de la marche rapide du 'réflexion-mètre' qui concevrait en un temps record le 'quoi-il-y-en-avoir-pas-pensé-plus-tôt' !!
Et, c'est juste cette particule particulière qui ferait défaut à chacun d'où qu'un nano-groupuscule ne peut avoir d'intelligence comparée à un nombre supérieur !
C'est ce 'cerveau-plus' ou 'neurones ajoutés' (rien à voir avec le 'Lucy' de L. Besson) que représente aujourd'hui le computer devant vous comme emporté dans la poche de votre smartphone, qui, outre sa capabilité de calculer pour vous divers modes opérationnels complexes, est à vous servir de millions de choses autant suggérées que demandées par chacun de nous !
C'est un cerveau extérieur qui vous relaxe des peines d'apprendre-par-cœur des millions d'imbécilités pour vous n'en conserver que celles valables dans une construction présente ou ultérieure ! D'où, l'avertissement du 'réflexion-mètre' du ce qu'il y a dans la balance et du ce qu'il y a de conservé dans le frigo !
Mais (car il y a un 'mais' !!), ce qui échappe aux ordinateurs plus-ultra-complexes, c'est le micro-climat qui différencie autant l'homme déraciné ou pas d'une plante sa semblable !
Et c'est pourtant ce tout qui fait la différence entre un cépage de Bordeaux qui produit en Aquitaine et celui-là-même transporté en Provence ou en Chine qui ne fera JAMAIS DU VIN DE BORDEAUX AILLEURS QU'A BORDEAUX !
D'où, en plus de la réflexion ajoutée aux ordinateurs faudrait-il tenir compte de sa pression atmosphérique subie dans l'évaluation de la qualité de chacun.
La Suisse oblige les élèves musulmans à serrer la main des enseignantes
RépondreSupprimer21 sept. 2016, 13:29
Le canton de Bâle, en Suisse, a rejeté l'appel d'un lycéen musulman qui souhaitait avoir le droit de ne pas serrer la main de ses professeurs de sexe féminin, pour des raisons religieuses. La décision devrait faire jurisprudence dans le pays.
Serrer la main de ses enseignantes est désormais un devoir pour les étudiants suisses : lundi 19 septembre, le canton de Bâle, en Suisse, a confirmé les mesures disciplinaires prises par un lycée à l'encontre d'un élève qui refusait de serrer la main des femmes chargées de son éducation. La justice bâloise a invoqué le fait que serrer la main des professeurs était un usage profondément ancré dans la société et la culture du pays.
L'élève en question, ainsi que son frère, avaient défrayé la chronique en avril dernier, en refusant de toucher la main de leurs enseignantes au nom de leurs convictions religieuses musulmanes. Leur lycée, dans la ville de Therwil, avait voulu couper court à toute polémique en autorisant l'ensemble de ses élèves à ne pas serrer la main de leurs professeurs, s'ils le souhaitaient.
Cette décision, largement médiatisée, avait provoqué un tollé dans le pays, si bien que le canton de Bâle avait décidé de contraindre les deux élèves à se plier à la coutume scolaire suisse, sous peine de mesures disciplinaires incluant notamment une amende pour les parents pouvant atteindre 5 000 francs suisses, soit un peu moins de 5 000 euros. Les parents avaient contesté ces mesures disciplinaires pour l'un de leurs deux fils, l'autre ayant, entre temps, quitté le système scolaire... En vain.
Lire aussi : Suisse : pas de naturalisation pour les ados musulmans n'ayant pas serré la main de leur enseignante
https://francais.rt.com/international/26643-suisse-oblige-eleves-musulmans-serrer
Dieselgate : les investisseurs réclament 8,2 milliards d'euros à Volkswagen devant un tribunal
RépondreSupprimer21 sept. 2016, 10:42 - Avec AFP
Dans le cadre de l'affaire du Dieselgate, 1 400 investisseurs ont réclamé 8,2 milliards d'euros à Volkswagen devant le tribunal allemand de Brunswick. Ils s'estiment lésés par le scandale des moteurs diesels truqués.
Environ 1 400 plaintes d'investisseurs s'estimant lésés par le trucage par le groupe allemand Volkswagen de ses véhicules diesel lui réclament quelque 8,2 milliards d'euros, a annoncé le tribunal de Brunswick.
Sur cette somme, 2 milliards d'euros de demandes de dédommagement concernent des investisseurs institutionnels, le gros des plaintes venant d'investisseurs privés, selon ce tribunal situé en Basse-Saxe, où se trouve le siège de Volkswagen.
Les demandes de dédommagement devant ce tribunal ne cessent de croître depuis des mois mais elles ont connu une accélération le 19 septembre. Ce jour-là, 750 nouvelles plaintes ont été enregistrées, les investisseurs redoutant que leurs réclamations ne tombent sous le coup d'un éventuel délai de prescription d'un an.
Lire aussi
Affaire «DieselGate» : Volkswagen accepte de débourser 14,7 milliards de dollars aux Etats-Unis
Le tribunal de Brunswick avait indiqué il y a quelques semaines avoir reçu près de 400 plaintes d'investisseurs pour un montant d'environ 4 milliards d'euros.
Pour faire face à cet afflux massif de plaintes d'investisseurs contre Volkswagen, qui représentent la moitié de toutes les plaintes au civil que reçoit d'habitude le tribunal en une année, ce dernier a renforcé ses équipes et ses capacités de stockage pour les dossiers, parfois livrés par camions entiers.
Le scandale du diesel a éclaté le 18 septembre 2015, lorsque les autorités américaines ont accusé Volkswagen, numéro un européen de l'automobile avec ses douze marques dont Seat, Audi et Porsche, d'avoir utilisé dans ses voitures un logiciel fraudeur pour les faire passer pour moins polluantes qu'elles n'étaient vraiment lors des tests de contrôle.
Dans les premières séances ayant suivi ces révélations, l'action de Volkswagen avait dévissé de 40% en deux jours à la Bourse de Francfort.
Nombre d'investisseurs, allemands et étrangers, ont été perdants et reprochent à Volkswagen d'avoir tardé à les informer, des accusations rejetées par le mastodonte allemand.
Parmi les investisseurs mécontents figurent notamment le plus grand gestionnaire d'actifs au monde, l'américain Blackrock, allié à d'autres investisseurs dans une même plainte réclamant 1,5 milliard d'euros, ou les Etats régionaux allemands de Bavière, Bade-Wurtemberg et Hesse, qui demandent des indemnisations financières allant de 700 000 à 4 millions d'euros.
Lire aussi : Volkswagen refuse de compenser les conducteurs européens après le scandale de pollution
Dans son communiqué, le tribunal indique qu'il désignera un plaignant «au plus tôt au quatrième trimestre 2016» pour représenter les intérêts de tous les investisseurs souhaitant joindre leurs forces -en réduisant les frais de justice- dans une procédure commune.
Depuis l'éclatement du dieselgate, Volkswagen fait l'objet dans plusieurs pays d'enquêtes et de demandes de dédommagement d'investisseurs mais aussi de clients.
https://francais.rt.com/economie/26633-dieselgate--investisseurs-reclament-82
Ces «technologies nivelantes» qui inquiètent tellement les militaires
RépondreSupprimer14:19 21.09.2016
Pour les militaires, les guerres « classiques » sont un terrain qu’ils connaissent comme leur poche. Mais à l’ère des guerres « hybrides », le monde s’est doté d’outils qui « nivellent » ou placent au même niveau les combattants civils des forces irrégulières et les armées. Et ce territoire n’est pas exploré par les militaires. Les militaires sont angoissés par ce qu’ils appellent les « technologies nivelantes » qui changent la nature même de la guerre. Alexandre Vautravers, expert militaire et professeur de relations internationales à l’Université de Genève, a décortiqué le problème à l’intention de Sputnik.
Selon lui, aujourd’hui, tout le monde dispose d’ordinateurs et de téléphones portables, bientôt on disposera tous de GPS, d’imprimantes 3D et ce sont ces technologies-là qui peuvent faire peur parce que tous les militaires, toutes les armées du monde n’en sont pas nécessairement équipées jusqu’à l’échelon individuel. Qui plus est, toutes ces technologies sont déjà utilisées à des fins militaires. Ainsi, beaucoup de groupes terroristes ou insurrectionnels utilisent régulièrement de tels outils, notamment les téléphones, et les exemples sont très nombreux.
« Évidemment, on se fait du souci avec les autres technologies qui pourraient apparaître. Il y a une chose qui est intéressante dans cette comparaison ou dans cette rivalité entre les nouvelles technologies civiles utilisées par les terroristes et les technologies militaires utilisées par les armées et par les forces de l’ordre, c’est qu’il y a des exemples historiques », signale le professeur. Il cite à titre d’exemple la période de l’entre-deux-guerres pendant laquelle les technologies civiles étaient généralement meilleures que les technologies militaires, plus particulièrement les avions civils, ajoutant qu’on se retrouve dans la même situation encore aujourd’hui, tout simplement parce que beaucoup d’armées n’ont pas investi suffisamment d’argent dans ces technologies.
M. Vautravers reconnaît également que ces technologies changeront la structure des armées, bien qu’on ne puisse pas forcément dire que cela va compliquer leur travail.
« Je donne juste un exemple : on a parlé de smartphones, de téléphones cellulaires. A partir du moment où vous savez ce que vous cherchez, vous pouvez militairement ou à travers la police découvrir les emplacements de ces téléphones, qui a téléphoné à qui, quel est le réseau de personnes contre lequel vous luttez, et donc paradoxalement certaines de ces technologies vont aussi faciliter le travail de la lutte antiterroriste ou de la lutte contre ces groupes insurrectionnels »,se réjouit-il.
M. Vautravers est cependant optimiste. Il dit qu’il est n’est pas utile d’avoir peur. Plus encore, ce n’est pas efficace d’avoir peur de ces technologies et cela n’a pas de sens. L'expert trouve que, par contre, ces technologies transformeront nécessairement la manière dont la police ou d’autres services, tels que les renseignements ou les forces armées, interviennent, tout simplement parce que de nouvelles possibilités sont offertes à la police, aux services de renseignements et aux forces armées qui n’existaient pas il y a encore quelques années.
https://fr.sputniknews.com/defense/201609211027851513-technologies-nivelantes-terroristes-armees/
La gaffe ! Pyongyang dévoile tous ses 28 sites Internet par erreur
RépondreSupprimer14:44 21.09.2016
L’Internet nord-coréen, qui est toujours inaccessible aux internautes du reste du monde, a par erreur ouvert ses portes au monde pour quelques heures. Le spécialiste de la sécurité de l’application de taxi Uber Matthew Bryant a découvert que le 20 septembre la Corée du Nord a par erreur ouvert l’accès à tous ses sites du domaine national de premier niveau « .kp ». Il se trouve qu’il n’y en a en tout et partout que 28. l'agence centrale de presse nord-coréenne Selon M. Bryant, la cause de cette « fuite » est le changement de configuration d’un des serveurs DNS nord-coréens. Le changement a été détecté par le projet TLDR, conçu par Matthew Bryant pour analyser toutes les modifications des réglages DNS toutes les deux heures.
Le mécanisme a détecté la demande au serveur ns2.kptc.kp contrôlé par le consortium national nord-coréen de la Poste et des Télécommunications, le seul opérateur des réseaux 3G en Corée du Nord.
M. Bryant a découvert la liste de tous les sites de la Corée du Nord, au nombre de 28. Selon le spécialiste, seule une partie des sites était accessible. site de l'université Kim Il Sung Parmi les sites accessibles, il y avait celui de la compagnie aérienne nationale Air Koryo, qui ne permet pas d’acheter un billet d’avion depuis Pyongyang sans retour. Le site gnu.rep.kp appartient à la station radio nationale baptisée « La Grande unité nationale ».
Il y a également un site de recettes nord-coréennes, celui de l’université Kim Il-sung à Pyongyang, et le portail de l’agence de presse nationale KCNA. le site Web de la Corée du Nord Selon l’expert en télécommunications nknetobserver, l’Internet nord-coréen compte 1 024 adresses IP. La Corée du Nord a sa propre modification fermée d’Internet, Kwangmyong, qui est basée sur un logiciel illégal de Microsoft.
https://fr.sputniknews.com/insolite/201609211027851726-pyongyang-internet-acces/
Supprimer1 024 adresses IP sur... 25 millions d'habitants !!!!!! HAHAHAHAHAHAHAHA !
Ex-secrétaire général de l’Otan: seuls les USA peuvent «sauver la planète du chaos»
RépondreSupprimer10:39 21.09.2016
Un ancien secrétaire général de l’Otan, actuellement conseiller du président ukrainien, appelle les États-Unis à devenir le « gendarme du monde » car personne d’autre « n’est capable de sauver la planète du chaos ». N’ajustez pas votre appareil...
Anders Forgh Rasmussen, ex-secrétaire général de l’Otan qui exerce actuellement la fonction de conseiller de Piotr Porochenko, vient de prononcer un discours digne du plus grand concours d’éloquence tant pour son lyrisme que pour sa charge poétique. Dans des tournures tout aussi savantes et glorieuses que bien au fait des préoccupations géopolitiques internationales, il a ainsi prôné la suprématie à l’échelle planétaire – et pourquoi pas galactique – de l’État américain. « Le monde a besoin d'un tel gendarme si la liberté et à la prospérité sont censées triompher des forces de l'oppression.
Le seul candidat fiable et souhaitable, capable d’assumer ce rôle, ce sont les États-Unis », a proclamé le conseiller actuel du président ukrainien. Anders Forgh Rasmussen a poursuivi son discours en comparant le pays d’Obma à un pompier et même à un policier. « Notre maison mondiale est actuellement la proie des flammes. Des voisins sont en train de se faire la guerre entre eux dans les reflets luisants du feu. Pour mettre les choses en ordre, nous avons besoin d’un policier. Nous avons également besoin d’un pompier pour éteindre le feu du conflit.
Ce pompier doit être mûr, intelligent et lucide afin d’être en mesure de prendre en main la restauration (après incendie) », a-t-il expliqué. L’ex-secrétaire général de l’Otan estime toutefois que « parmi toutes les puissances mondiales, seule l'Amérique est capable d’assumer ces rôles car seule l'Amérique jouit d'une crédibilité suffisante pour donner forme aux réponses à long terme à apporter aux défis posés", a-t-il jubilé.
« Le monde sombre dans le chaos » et seuls les États-Unis possèdent la « grandeur morale » suffisante pour arrêter ce processus, a résumé l'ancien secrétaire général de l'Otan cité par The Wall Street Journal.
https://fr.sputniknews.com/international/201609211027848153-usa-ukraine-gendarme-sauver-monde/
La Russie capitulera-t-elle ?
RépondreSupprimerPaul Craig Roberts
Alter Info
lun., 19 sept. 2016 04:23 UTCCarte
-- Commentaire : Dans cette situation de tous les dangers, on peut se demander : jusqu'où les États-Unis sont-ils prêts à aller pour soutenir les terroristes et détruire la Syrie ? Même problématique de l'autre côté : jusqu'où est prête à aller la Russie pour les en empêcher ? Cette dernière présente un front uni alors qu'outre-atlantique, les dissensions internes semblent plus importantes. Et à propos de l'opposition Pentagone - Maison Blanche, quasi-schizophrénique :
« Les divisions sont vraiment inquiétantes car elles dressent les commandants militaires américains en service actif contre la direction politique du pays pour contester le contrôle civil de l'armée. Il remet en question la crédibilité même du gouvernement des États-Unis. Il ne s'agit pas seulement de l'armée. En juin, cinquante-et-un diplomates du Département d'État ont signé une note interne très critique de la politique de l'administration Obama en Syrie, exhortant les États-Unis à mener des frappes militaires contre le gouvernement du président Bachar al-Assad. Ce fut un défi ouvert pour mettre en doute l'autorité et la compétence de l'administration. »
On voit bien que le risque que tout ceci ne dégénère en guerre ouverte est tout à fait réel : la psychologie dérangée de ceux qui sévissent au pentagone ne se tempère ni se raisonne.
Il est sans doute possible de pouvoir tirer des leçons de toutes choses, et particulièrement des plus terribles, aux moments les plus critiques. C'est que l'on pourrait être presque certain que nos épreuves ne serviraient en fait qu'à cela. Et en cela, les temps de perdition ne nous forcent-ils donc pas à nous positionner ? Ne nous forcent-ils pas à prendre conscience qu'il existe de "vrais" mensonges face à une réalité objective ? Une authentique volonté du bien qui se différencie des entreprises de destruction manifestes ?
Ni de Hollande, ni d'Obama, ni Cameron, ni de Merkel, ni de Trudeau mais d'un certain Poutine, en 2014 :
Aux yeux du président (...), l'amour pour son prochain est l'un des principes les plus cruciaux dans la vie. « Il faut aimer son prochain. C'est le plus important, il n'y a rien qui soit plus important », a déclaré le président lors d'un déplacement dans la ville d'Ijevsk. Selon l'homme fort du Kremlin, de ce sentiment dépendent beaucoup de choses dans la vie, y compris le bien-être. Ce n'est pas la première fois que le président russe se prononce au sujet des valeurs éternelles. Ainsi, en novembre 2014, il a déclaré que le sens de la vie résidait dans l'amour.
« C'est dans l'amour que réside le sens de la vie et de l'existence. C'est l'amour pour la famille, pour les enfants, pour la Patrie. C'est un phénomène si multiforme qui est à la base de toute notre action », a alors expliqué le président. Et d'ajouter que le renforcement de l'amour pour la patrie était une des tâches principales du pays.--
Les efforts sincères et diligents du gouvernement russe, visant à éviter le chaos en Syrie et un flux massif de réfugiés supplémentaires en Europe, tout en évitant le conflit avec Washington et ses vassaux, ont été arrêtés par l'attaque intentionnelle de Washington contre une position connue de l'armée syrienne. Cela a ainsi fait échouer l'accord de cessez-le-feu pour lequel la Russie s'est tant sacrifiée pour le mener à bien.
(suite en dessous:)
L'explication de l'attaque fournie par Samantha Power, ambassadrice du régime Obama à l'ONU, révèle que Washington mentira jusqu'au bout pour réaliser son ordre du jour : plonger la Syrie dans le même chaos qu'il a plongé l'Irak et la Libye. Washington, et Washington seul, est responsable de la guerre en Syrie. Quand le Parlement britannique et le gouvernement russe ont bloqué l'invasion que comptait lancer Obama en Syrie, pour envahir la Syrie, le régime Obama a armé et payé des mercenaires djihadistes qu'il a fait passer pour des rebelles syriens en lutte pour la démocratie là-bas. Samantha Power a tripatouillé l'histoire et mis la guerre sur le dos de l'intervention russe, qui a été demandée par le gouvernement syrien contre les djihadistes d'ISIL envoyés par Washington pour déstabiliser la Syrie. Ce que Samantha veut dire, c'est que si la Russie n'était pas venue aider la Syrie, Washington et ISIL auraient déjà détruit la Syrie, et il n'y aurait pas de guerre.
RépondreSupprimerVitaly Churkin, ambassadeur de la Russie à l'ONU, a déclaré qu'en 40 ans de diplomatie, il n'avait jamais vu une performance aussi autoritaire et démagogique que celle de Samantha. Churkin semblait sous-entendre qu'une explication aussi irréaliste et tordue des faits connus que celle donnée par Samantha, le laisse sans espoir de parvenir à une solution diplomatique.
Si le gouvernement russe est enfin arrivé à conclure que Washington est déterminé à anéantir la stabilité politique en Syrie pour la remplacer par le chaos, il aura fallu du temps. Le gouvernement russe s'ingéniait à éviter de conclure cela, car une fois que la diplomatie est reconnue inutile, la force fait face à la force. Dans le contexte actuel, cela signifie la guerre thermonucléaire, la fin de la vie sur Terre. C'est pourquoi, aux provocations coercitives de Washington, le gouvernement russe répondait diplomatiquement, proposait une coopération à Washington au lieu du conflit.
Mais Washington veut le conflit. Les Russes ont prétendu que Washington et eux avaient un intérêt commun dans la lutte contre le terrorisme, mais le terrorisme est l'outil dont se sert Washington pour déstabiliser la Syrie, puis l'Iran, puis les provinces musulmanes de la Fédération de Russie et de la Chine. Washington veut l'hégémonie, pas la coopération. Maintenant que Samantha Power a rendu cela aussi clair, le gouvernement russe ne peut plus prétendre autre chose. Que vont faire la Russie (et la Chine) ?
Si la Russie et la Chine ne sont pas préparées à la guerre dans laquelle Washington les embringue, vont-elles fléchir devant l'agression, sacrifier la Syrie, les provinces russes dissidentes de l'Ukraine, et les diverses questions de litiges insulaires dans l'océan Pacifique, ou vont-elles unir leurs forces ? Décideront-elles de disperser l'OTAN en mettant en évidence ce que coûterait le conflit aux vassaux européens de Washington ? De toute évidence, l'Europe n'a rien à gagner dans l'agression de Washington contre la Russie et la Chine. À moins que la Russie soit incapable de faire quelque chose maintenant que la diplomatie est dans une impasse avérée ?
Peut-être s'agit-il de la question majeure. Ce que peut dire quelqu'un n'appartenant pas au gouvernement russe, c'est que la Russie ne prend pas complètement son destin en main. Les éléments du gouvernement russe connus sous le nom d'" atlantistes intégrationnistes », pensent qu'il est plus important pour la Russie rejoindre l'Ouest, de l'intégrer dans le système occidental, que d'être un pays souverain. Ils plaident que si les grandes puissances de jadis, qu'étaient la Grande-Bretagne, l'Allemagne et la France, peuvent profiter d'être des vassaux des USA, la Russie le pourrait aussi.
(suite en dessous:)
Les atlantistes intégrationnistes affirment qu'avec sa capacité nucléaire stratégique et sa masse de ressources terrestres, la Russie peut garder quelque souveraineté et ne s'astreindre que partiellement à la vassalité. Un problème avec cette position, elle suppose que les néocons se satisferont d'une hégémonie partielle et ne profiteront pas de la position affaiblie de la Russie pour réaliser leur pleine hégémonie.
RépondreSupprimerLe gouvernement russe a probablement toujours l'espoir qu'au moins certains gouvernements européens se reconnaîtront obligés d'éviter la guerre et quitteront l'OTAN, ne cautionneront pas politiquement de cette façon l'agression de Washington. Il est possible qu'il y ait quelque espoir de ce genre, mais les principales personnalités politiques européennes sont soudoyées et payées par Washington. Comme me l'a dit un haut fonctionnaire du gouvernement US, il y a longtemps, dans les années 1970, " nous les tenons ; ils nous appartiennent ».
Aucun espoir ne peut sortir des médias européens. Udo Ulfkotte, ancien rédacteur en chef de Frankfurter Allgemeine Zeitung, a pondu un livre dans lequel il avoue que chaque journaliste européen important a été soudoyé par la CIA.
Avec les politiciens et les médias soudoyés, d'où pourrait sortir un vrai chef européen ? Les Européens se sont accoutumés à leur rôle de vassaux à gages. Comme aucun homme politique ou éditeur de journal européen ne peut supposer qu'un acte de rébellion réussisse, ils préfèrent profiter de leur vie agrémentée de pourboires étasuniens, que prendre un risque pour l'humanité.
La question générale est de savoir si les systèmes socio-politico-économiques existants peuvent être favorables à l'humanité. Il n'est pas évident que les civilisations capitalistes sont capables d'être humaines, car la valeur reposant sur l'argent rend la cupidité et la puissance prépondérantes. Il est possible que l'imperfection et l'incompétence humaines aient détruit non seulement l'environnement de la planète, mais aussi les systèmes sociaux humains. Le mondialisme n'est pas un régime de coopération. C'est le régime de Washington pour asseoir sa domination.
https://fr.sott.net/article/29017-La-Russie-capitulerat-elle
Cash Investigation ? Non, Cash Manipulation – l'exemple des nitrites
RépondreSupprimer20 Septembre 2016 ,
par Seppi
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Observez bien la partie non surlignée !
Comment avoir raison face à un public non averti ? Voici un florilège – non exhaustif – de petits et moins petits trucs, certains minables, que nous terminerons par une citation – très – sélective que nous remettons dans son contexte.
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Un jambon français qui contredit une des affirmations de Cash Investigation
À titre liminaire, notons que la possibilité de faire des commentaires a été désactivée pour le « Cash investigation - Industrie agro-alimentaire : business contre santé/intégrale » sur Youtube... on n'est jamais trop prudent !
Surtout avec Cash Manipulation ou Trash Investigation.
La belle couleur rose plutôt que la santé...
La première partie de ce monument de désinformation est consacrée aux nitrites dans la charcuterie, particulièrement dans le jambon. En résumé, avec nos mots volontairement grossis mais reflétant la triste réalité du « documentaire » : ces pourris d'industriels mettent des nitrites dans le jambon pour qu'il ait une belle couleur rose, celle qui fait vendre, en arguant, de manière mensongère, que c'est en fait pour des raisons sanitaires (à 17:27) :
« Mais les industriels ont un argument massue pour justifier l'utilisation du nitrite : son rôle protecteur contre le botulisme. »
Et pour bien enfoncer le clou, en bons disciples des maîtres de la propagande, on affiche une capture d'écran (à 17:36).
Cash Investigation ? Non, Cash Manipulation – l'exemple des nitrites
- voir clip (en français) sur site -
…avec pour illustration le site d'un producteur de sel
Le problème est que l'auteur de cette page est Zoutman S.A., un producteur de sel belge indépendant spécialisé dans la transformation de différents types de sel, en particulier du sel de mer à des fins alimentaires. On met donc sur la sellette « les industriels » – entendez : de l'agroalimentaire – et on cite le fournisseur de ladite industrie (et aussi producteur de sel de déneigement, de sel pour adoucisseurs d'eau, etc.)...
C'est certes sans importance pour le récit car le téléspectateur n'est pas en mesure de saisir le message subliminal qu'on a voulu insérer dans cette œuvre de formatage d'opinion ,en principe, publique. Mais cela démontre une fois de plus un comportement qui, pour les plus naïf et les plus indulgents, relève de l'amateurisme et de la désinvolture et, pour les plus réalistes et les plus exigeants, de la manipulation et de l'escroquerie intellectuelle.
Le supermarché, oui, mais pour bobos
Or donc, il est possible de produire – et de vendre – de la charcuterie sans nitrites. On nous emmène donc voir dans un supermarché à Copenhague :
« ...allez donc au supermarché... »
(suite en dessous:)
Sauf que Meny est une chaîne qui s'est spécialisée dans « un grand choix de produits frais et/ou de grande qualité, par opposition aux supermarchés discompteurs qui offrent des prix bas. » Ce n'est pas l'enseigne recommandée pour les touristes. C'est une chaîne pour les « foodies », les gourmets dans l'acception première du terme, ou les obsédés de la composition nutritionnelle et de leur petite santé agressée par tous les éléments de la vie moderne dans le sens dérivé.
RépondreSupprimerCash Investigation ? Non, Cash Manipulation – l'exemple des nitrites
Là encore, les téléspectateurs sont, pour tout dire, baladés par la simple évocation d'un « supermarché », surtout ceux qui tirent le diable par la queue dès le milieu du mois sinon avant.
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Chez Meny, on vend donc de la charcuterie sans nitrites. Et donc, avec cet irritant ton gouailleur que l'on n'entend plus sur les foires que des bateleurs qui vendent vraiment des pacotilles (à 18:27) :
« Et pour ceux qui n'ont pas fait danois première langue, c'est "uden nitrit"... Il y en a partout. »
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Cash Investigation ? Non, Cash Manipulation – l'exemple des nitrites
De la charcuterie sans nitrites, « il y en a partout »... voire
On voit défiler les produits dans une armoire réfrigérée... notamment des produits Citterio qui, sauf s'ils ont été spécialement élaborés pour le Danemark et encore plus spécialement Meny, ont été protégés avec des nitrites...
Cash Investigation ? Non, Cash Manipulation – l'exemple des nitrites
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Certes, toujours avec cette impertinente vulgarité (à 18:37),
« Vous la reconnaîtrez facilement [la charcuterie sans nitrites] plus marronasse que rose bonbon. »
S'ils avaient été finauds, ils auraient dit « rose jambon »...
Il faut ensuite avoir l'oreille fine pour comprendre que cette charcuterie à la couleur peu engageante est produite par la plus grande entreprise de charcuterie bio du pays.
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Cash Investigation ? Non, Cash Manipulation – l'exemple des nitrites
Quel prix pour les produits ? Quelle part de marché pour l'entreprise ? Quelles conditions de production et de commercialisation ? Etc., etc. Nous ne le saurons pas. L'essentiel est qu'il soit possible de produire de la charcuterie sans nitrites. M. Ulrich Kern, fondateur et directeur de Hanegal se fait péremptoire, tout comme le « documentaire » :
« Nous n'avons aucune raison d'avoir peur de cette bactérie. En réalité, ça fait 50 ans que cette question est réglée en Europe de l'Ouest. »
Cash Investigation ? Non, Cash Manipulation – l'exemple des nitrites
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M. Kern fait évidemment l'article pour son entreprise qui opère sur le créneau des aliments pour « foodies » obsédés par les additifs, le gluten, le lactose, le sucre ajouté... Mais comment peut-on affirmer que le problème du botulisme a été résolu quand il y a encore des cas... et quand les nitrites ont contribué à la quasi-élimination du problème ?
(suite en dessous:)
On fera une analogie : on installe un garde-fou pour empêcher les chutes... il n'y a plus de chutes... on peut supprimer le garde-fou... irresponsable !
RépondreSupprimerC'est possible... donc il faut répondre aux lubies
Qu'importe ! L'important n'est-il pas que ce soit « possible » de faire sans nitrites? Et c'est quasiment un reproche que ces experts multicartes de Cash Investigation font aux industriels français (à 20:50), avec toujours ce besoin compulsif de dénoncer une marque :
« En France, aucun industriel n'a vraiment franchi le pas du sans nitrites. Même les marques bio ou celles qui visent les plus jeunes... comme Herta, le roi de la saucisse pour enfants »
- voir clip (en français) sur site -
Cash Investigation ? Non, Cash Manipulation – l'exemple des nitrites
C'est manifestement trop compliqué d'essayer de comprendre pourquoi les fabricants de produits alimentaires transformés préfèrent assurer la sécurité alimentaire face à un risque avéré plutôt que satisfaire une lubie alimentaire de gens qui ont oublié la notion du vrai risque.
La théorie du complot... avec les cigarettes
- voir clip (en français) sur site -
La théorie du complot est si belle et si attrayante. Changer de technologie, selon le commissaire européen à la santé et à la sécurité alimentaire Vytenis Andriukaitis, prend du temps. Alors (à 34:25) :
« Du temps. Ça tombe bien ! C'est exactement ce que veulent les industriels. Et c'est la-dessus qu'ils construisent toute leur stratégie. Depuis des années. [Silence] Parce que dans cette affaire de nitrites, ça fait quarante ans que les industriels jouent la montre. Quarante ans qu'à coups de manipulation scientifique et de lobbying intense, l'industrie de la viande défend son bifteck. »
Et que nous montre-t-on comme pièce à l'appui : un document non identifiable sur les... cigarettes.
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Cash Investigation ? Non, Cash Manipulation – l'exemple des nitrites
Une lecture fort sélective
Mais revenons en arrière. Pour M. Kern (à 19:48), il ne faut pas utiliser les additifs s'ils ne sont pas absolument nécessaires. Le commentaire insiste sur l'adverbe. Puis (à 20:07) :
« Alors oui, lui aussi, c'est un industriel, et vous vous dites peut-être qu'il n'est pas très objectif. Sauf que sur le botulisme, les experts sont exactement du même avis. Dans ce rapport sur les nitrites, réalisé pour la Commission européenne, on lit par exemple qu'il est tout à fait possible aujourd'hui de supprimer cet additif sans risque microbiologique, donc de botulisme. »
Cash Investigation ? Non, Cash Manipulation – l'exemple des nitrites
Ces grands experts en désinformation ont simplement passé une incise sous silence (voir l'image en début d'article) :
(suite en dessous:)
« …ce que le groupe d'experts n'appuie pas »,
RépondreSupprimerainsi que la longue conditionnelle.
Le possible n'est pas forcément le souhaitable
Traduisons : oui, il est possible de se passer de nitrites du point de vue de la sécurité alimentaire. Mais il y a des conditions qui s'avèrent exigeantes. In fine, il faut faire une analyse avantages-inconvénients. Et les experts se sont exprimés : ils ne sont pas en faveur.
Oui, il est possible... D'ailleurs, le producteur bio danois le montre avec des produits « marronasses » à la couleur et la saveur peu engageantes, comme l'a montré cette superbe séquence du « documentaire » avec les petits gastronomes . Mais, entièrement dévoués à leur script, et obsédés par leur objectif, les auteurs n'ont pas daigné tirer les conséquences de la dégustation.
En fait, c'est possible à la condition que certains produits ne soient plus ce qu'ils sont aujourd'hui. Traduisons à nouveau : ce n'est pas possible.
Ce que dit le résumé du rapport
Voici donc la partie du résumé du rapport qui nous intéresse et qui étaye les affirmations précédentes :
« 1.2. Les effets du nitrite sur la couleur de la viande, le goût et la conservation
Les résultats de l'étude portant sur la nécessité technologique des nitrites confirment que les nitrites jouent un rôle important dans les processus actuels de production pour atteindre la couleur et la saveur typiques des salaisons et pour assurer la sécurité microbiologique.
À des fins de coloration, les résultats du groupe d'experts suggèrent que des niveaux entre 55 et 70 mg/kg de nitrites ajoutés sont suffisants pour la formation de la couleur dans les produits et préparations carnés non traditionnels, avec 80 mg/kg de nitrite ajouté comme point de référence significatif pour assurer la stabilité de la couleur.
Pour les produits traditionnels, 20 à 30 mg/kg de nitrite résiduel sont selon le groupe d'experts une fourchette appropriée pour assurer la stabilité de la couleur dans la plupart des produits traditionnels à base de viande (avec 40 à 50 mg/kg suggérés pour certains produits traditionnels). De même, une fourchette comprise entre 50 et 80 mg/kg de nitrite ajouté fournit une orientation utile pour la sauvegarde des aspects liés à goût dans les produits et préparations non traditionnels. Pour les produits traditionnels, des valeurs comprises entre 30 et 50 mg/kg de nitrite résiduel sont considérées par le groupe d'experts comme suffisantes pour l'arôme.
En ce qui concerne le niveau minimum de nitrite nécessaire pour assurer la sécurité microbiologique, la plupart des membres du groupe d'experts qui avaient une opinion sur cet aspect sont convenus qu'une fourchette de 80 à 100 mg/kg de nitrite ajouté serait raisonnablement sûre pour une majorité de produits lorsqu'il est utilisé en combinaison avec d'autres obstacles. Toutefois, le groupe a également souligné qu'il n'est pas possible de parvenir à une conclusion ferme pour tous les produits et toutes les situations, en reconnaissant que la sécurité microbiologique dépend d'un grand nombre de facteurs.
(suite en dessous:)
Le groupe a conclu qu'une réduction des niveaux maximaux à 100 mg/kg de nitrite ajouté serait suffisante pour la majorité des produits sans effets significatifs sur la couleur, la saveur et la sécurité microbiologique (ce qui devrait être démontré, par exemple, par référence aux pays dans lesquels ces limites sont ou étaient en place, ou toute autre preuve).
RépondreSupprimerPour certains produits, une plus forte concentration de nitrite serait nécessaire, par exemple pour les produits fermentés. Il est à noter que plusieurs pays ont appliqué dans le passé des teneurs maximales encore plus strictes, et des produits carnés transformés sans nitrite sont sur le marché dans divers pays. Abolir l'utilisation de nitrites dans les produits et les préparations de viande – ce que le groupe d'experts n'appuie pas – serait techniquement réalisable si les process de production ont subi des changements technologiques.
Le groupe a constaté que, sans la présence de nitrites, la sécurité microbiologique peut être assurée si une combinaison correcte de paramètres clés tels que l'activité de l'eau, le pH, la température de conservation et la durée de conservation est mise en oeuvre. Le groupe a également souligné l'importance de l'emballage pour assurer la sécurité microbiologique des produits à base de viande. Abolir les nitrites affecterait principalement les produits traditionnels, pour lesquels les process de production devraient changer de telle sorte que le produit ne serait plus le même. »
Et en guise de conclusion...
…C'est fort de café !
...mais il y a un pousse-café
Il faut lire « De cash investigation à trash investigation ? » de M. Florian Silnicki sur la Tribune.
Petit aperçu :
« Dans cette émission, les méthodes anglo-saxonnes sont importées en France : investigation, fausses identités, recel d'informations volées, caméras cachées, enquêtes diligentées uniquement à charge, questions volontairement excessives posées en dehors de tout rendez-vous avec la volonté affichée de piéger la victime... En clair, un journalisme belliqueux bien loin de toutes considérations déontologiques ou éthiques, qui use de techniques dignes des pires détectives privés, reposant uniquement sur une présomption de culpabilité installée dès le début de l'émission. »
Et aussi :
« De la même manière qu'il y a une antibiorésistance, on peut constater un début de "casho-résistance" dans les directions de la communication des entreprises françaises qui ont une image très dégradée de cette émission. »
C'est curieux, cela déclenche une furieuse envie de changer deux lettres...
http://seppi.over-blog.com/2016/09/cash-investigation-non-cash-manipulation-l-exemple-des-nitrites.html
HYPOCRITE TOTAL: OBAMA TENTE DE SLAM POUTINE, S'incriminent INSTEAD
RépondreSupprimer21 septembre 2016
L'ANTI-MEDIA
THEANTIMEDIA.ORG
Note de l'éditeur: L'hypocrisie ridicule de ceci est assez pour faire son implode de tête. Là encore, cela est un gars qui vient de se faire raconter l'Organisation des Nations Unies que l'Amérique est "une force du bien" dans le monde sans éclater de rire.
par Darius Shahtahmasebi
Barack Obama a récemment critiqué l'admiration de candidat présidentiel Donald Trump de Vladimir Poutine, mais sa plainte a été hypocritement risible. Bien que personne dans leur esprit prétendrait le président russe est toute sorte de sainte figure, le choix d'Obama de mots dans le contrôle de son homologue russe transformé en une description précise en grande partie de lui-même.
Le président américain a attaqué Trump pour louer Poutine comme un "leader fort" en dépit du fait que, selon Obama, Poutine "envahit les petits pays," prisons opposants politiques, contrôle des médias de son pays, et a conduit l'économie russe dans la récession.
Passons en revue ces demandes une par une.
Poutine envahit les petits pays
En 2011, Obama a envahi la Libye, le pays avec le plus haut niveau de vie en Afrique, plongeant la démocratie riche en perpétuel état de guerre civile. les médias américains ont tenté de revendiquer le rôle américain dans ce conflit était secondaire dans un soi-disant capacité »menant de derrière".
Mais la vérité est aux États-Unis a été le deuxième plus grand, sinon le plus gros contributeur à cette guerre (selon le rapport). Il était un drone américain qui a frappé le convoi de Mouammar Kadhafi, scellant efficacement le sort du dirigeant libyen.
Obama a également bombardé activement la Syrie, le Yémen, la Somalie, le Pakistan, l'Afghanistan et l'Irak, pour ne citer que quelques-uns. Aucune de ces sont considérés comme de grands pays, surtout lorsqu'on les compare aux dépenses militaires des États-Unis et le nombre de bases qu'il a dans le monde entier. Si quoi que ce soit, ce sont tous les pays incroyablement pauvres et relativement petits.
D'autre part, Poutine ne bombarde le territoire syrien à la demande formelle du régime syrien, et non pas comme une tentative d'envahir une nation souveraine. En ce qui concerne l'Ukraine, la Russie a également annexé la Crimée suite à un référendum pacifique dans lequel le public a voté massivement en faveur de la sécession de l'Ukraine.
En dépit des rapports réguliers des médias occidentaux que Poutine a envahi l'Ukraine, le défi du ministre des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, à l'Ouest de présenter toute preuve d'une invasion russe en Ukraine est restée sans réponse. En fait, les appels téléphoniques précédemment divulgués semblaient indiquer qu'il était l'administration Obama que la première atteinte à la politique ukrainienne, évinçant efficacement pro-russe Viktor Ianoukovitch du pouvoir.
(suite en dessous:)
RépondreSupprimerPoutine emprisonne les opposants politiques
Obama a adopté la NDAA 2016 (National Defense Authorization Act), qui autorise l'armée américaine à détenir des citoyens américains indéfiniment sans procès. Une telle loi serait l'envie de tout ce qu'on appelle le dictateur en lice pour le contrôle autoritaire de leur pays, mais Obama semble avoir adopté une loi ses homologues ne pouvaient que rêver.
En outre, l'administration Obama a mené une attaque à grande échelle sur les dénonciateurs, comme en témoignent les plights de Chelsea Manning, Edward Snowden, Julian Assange, et Jeffrey Sterling. Assange pourrait même avoir été victime d'une tentative d'assassinat en Août de cette année, bien que les détails de cet incident sont encore peu claires.
En 2009, un journaliste yéménite nommé Abdulelah Haider Shaye a rapporté sur une frappe de drone au Yémen qui a frappé un village, tuant les femmes, les enfants et les personnes âgées. Shaye ouvertement publié un article montrant les restes de l'attaque a indiqué la grève a été menée par l'armement américaine l'arsenal yéménite ne possédait pas.
Dans une affaire complètement indépendante - si l'on est assez naïf pour croire que - le journaliste a ensuite été arrêté et placé en prison yéménite. Après le public a commencé à exiger sa libération, la direction yéménite au moment accepté de le libérer. Cependant, avant qu'il a été libéré, le leader yéménite Ali Abdullah Saleh, a reçu un appel téléphonique de nul autre que Obama lui-même, qui a exprimé son inquiétude sur le plan pour libérer le journaliste. sortie prévue de Shaye a été annulée
la capacité d'Obama à la prison opposition partout dans le monde en se contentant de ramasser son téléphone fait quoi que ce soit Poutine n'a jamais fait - au moins que nous connaissons - pâle en comparaison.
Poutine contrôle les médias de son pays
Que ce soit ou non Obama peut personnellement contrôler les médias, on ne peut pas contester le fait des œuvres des médias occidentaux en tandem avec la mise en place, devenant souvent le porte-parole du gouvernement des États-Unis.
Les médias occidentaux citent régulièrement des fonctionnaires anonymes sans question; colportent l'ordre du jour pro-guerre, l'administration Obama a préconisé à plusieurs reprises; se réfèrent à des sources peu fiables, sans autre enquête; et les incendies écrivains qui remettent en question les motifs des alliés américains. Les médias occidentaux ont assisté toutes les guerres américaines dirigées et associés à ce jour, aider Obama faire son sale boulot.
L'expérience de Shaye au Yémen devrait être suffisant que Obama ait la capacité de contrôler les médias à travers le monde, ainsi que à la maison des preuves - quelque chose de Poutine ne pouvait que rêver.
En outre, le président et son administration ont des liens avec des personnalités influentes à travers les médias d'entreprise.
Poutine a conduit son économie dans la récession
(suite en dessous:)
Obama peut avoir hérité d'une économie en déclin sous George W. Bush, mais il a décidé de poursuivre un certain nombre de politiques corrompus qui ont plongé l'économie des Etats-Unis - sans parler de l'économie mondiale - dans une récession que la plupart d'entre nous ont toujours pas remis de. Comme l'a reconnu Oliver Stone et historien Peter Kuznick dans "The Untold Histoire des Etats-Unis":
RépondreSupprimer"Le plus grand gagnant sous Obama était Wall Street. Après démolition de l'économie avec des innovations spéculatives, y compris des swaps et des obligations adossées au crédit par défaut, les banquiers sont venus mendier pour les sauvetages. Sans surprise, les conseillers économiques d'Obama - presque tous les disciples du secrétaire du Trésor de Bill Clinton Robert Rubin - étaient plus heureux de contribuer à un programme de 700 milliards $ de sauvetage financier "Qu'est-ce que le miroir est Obama regarde à travers.?
L'hypocrisie en dit long
Même si Vladimir Poutine était aussi terriblement mal que les tentatives des médias occidentaux pour le dépeignent être, il ne pouvait rien au fait Obama incarne pleinement ce qui est venu à être connu comme le "pot se moque du chaudron." Ceci est également connu sous le nom les "gens qui vivent dans les serres ne devraient pas jeter des pierres" boutade.
Il est tout à fait révélateur de la façon dont le discours politique américain désastreux est devenu que quelqu'un d'aussi ouvertement raciste, intolérant, imprévisible et peu fiable que Donald Trump est la seule personne qui parle de sens diplomatique en ce qui concerne la Russie - même par rapport à un président primé paix.
Comment Obama a pu dire ces mots avec un visage impassible donne un aperçu de l'illusion de la doctrine de «l'exceptionnalisme américain" a créé tout au long de la vie politique américaine.
http://www.thedailysheeple.com/total-hypocrite-obama-attempts-to-slam-putin-incriminates-himself-instead_092016
«Les attaques récentes aux Etats-Unis sont conséquence de l'irrationnalité post-11 septembre»
RépondreSupprimer21 sept. 2016
La guerre arrive dans nos maisons, conséquence des guerres que les Etats-Unis ont menées contre des pays n'ayant aucun rapport avec les événements du 11 septembre et tout en courtisant les vrais coupables, selon l'ancien agent de FBI, Coleen Rowley.
En l'espace de quelques jours, les Etats-Unis ont connu une multiplication d'attaques : New York, le New Jersey et le Minnesota ont été ciblés.
La bombe qui a explosé à New York avait été déposée dans une benne à ordures dans le quartier de Chelsea le 17 septembre ; 29 personnes ont été blessées dans l’explosion. Quelques heures plus tard, un autre appareil qui n'avait pas explosé a été découvert à proximité. Selon plusieurs rapports, les deux dispositifs ont été fabriqués à l'aide d'autocuiseurs.
Le 19 septembre, un robot de la police a fait exploser un autre engin dans le New Jersey. Deux hommes avaient retrouvé un sac à dos dans lequel étaient des bombes était dissimulées, trahi par les fils et le tuyau qui en sortaient.
Un homme a essayé de poignarder plusieurs personnes lors d'une autre attaque qui a eu lieu dans un centre commercial du Minnesota, le 17 septembre. La police, qui était sur les lieux, l'a abattu. Neuf personnes ont été blessées. Cette attaque a été revendiquée par l’Etat islamique (EI). Selon les témoins, avant d'attaquer, l'homme a appelé Allah et a demandé au moins à une personne si elle était musulmane.
Le suspect responsable des attentats de New York et dans le New Jersey, est un citoyen américain d’origine afghane de 28 ans, qui vient d'être mis en garde à vue. Celui qui a effectué l'attentat au couteau à Minnesota avait 22 ans et venait de Somalie.
Coleen Rowley est une militante politique et ancien agent de FBI et lanceur d'alerte, ancien membre du Minnesota Democratic-Farmer-Labor Party.
Un simple discours ne peut pas apaiser les craintes
RT : Plusieurs attentats ont eu lieu aux Etats-Unis en 24 heures. Le président Obama a promis que tout serait fait pour prévenir d’autres incidents. Pensez-vous qu'il rassure suffisamment les Américains et que les autorités sont en capacité de garantir leur sécurité ?
Coleen Rowley (C.R.) : Je ne pense pas qu'un discours, peu importe lequel, soit en mesure d'atténuer les peurs quand on voit que les attaques se suivent... La guerre arrive dans nos maisons. C’est quelque chose que j’avais prédit il y a des années : ce que les Etats-Unis ont fait après l'attentat du 11 septembre a aggravé le terrorisme dans le monde entier. Au début, j’étais la seule à le dire, mais maintenant un certain nombre de personnes commencent à voir que c’est vrai. Je ne pense pas qu’un simple discours puisse apaiser les craintes. Ce qui pourrait aider réellement, c'est de faire baisser le niveau du terrorisme dans le monde. On peut s'y mettre en changeant de politique.
Quand il y a un tel niveau d’incitations à la violence dans le monde, les imitations sont inévitables
(suite en dessous:)
RT : Quelle piste est, à votre avis, privilégiée par l'enquête, celle du terrorisme intérieur ou en lien avec l'étranger ?
RépondreSupprimerC.R. : L'enquête le déterminera. Beaucoup d'attentats «terroristes» ne sont même pas véritablement préparés à l'intérieur du pays, reproduisant les fusillades insensées comme celle de Omar Mateen [qui a fait plusieurs morts par balles dans un bar gay d'Orlando] ou à Navy Yard et bien d'autres encore. Quand il y a un tel niveau d’incitation à la violence dans le monde, les imitations sont inévitables. Cela ne dépend que du territoire. Ce que Barack Obama n'a pas dit, et je trouve qu'il a bien fait, c'est la même chose que Georges Bush a dit après le 11 septembre. C'était : «Il faut les combattre là-bas, pour ne pas avoir besoin de lutter contre eux ici.»
Certains journalistes devraient poser à Georges Bush et à Dick Cheney des questions au sujet de cette déclaration qui s'est avérée atrocement erronée. Il faut du temps pour en voir les conséquences et le résultat. Maintenant nous sommes face aux conséquences de certaines actions extrêmement irrationnelles effectuées après le 11 septembre. L'une d'elle était de déclencher la guerre aux pays qui n'avaient rien à faire avec la tragédie et de flirter avec ceux qui était derrière l'attentat.
Ce qui pourrait nous aider, c'est inviter davantage de personnes à participer
Lire aussi
L'Amérique se dirige-t-elle vers un nouveau 11 septembre, en ignorant les leçons de l’histoire ?
RT : Les dispositifs retrouvés à New York qui était tous les deux fabriqués à l'aide d'autocuiseur sont relativement faciles à faire. Comment peut-on prévenir de tels attentats ?
C.R. : Les agresseurs à Boston avaient utilisé des autocuiseurs, il y a des instructions expliquant comment les transformer en bombes sur internet. Si c'est vrai, on a eu de la chance qu'ils n'aient pas tous explosés. Heureusement que les forces de sécurité ont fait du bon travail et que des gens ordinaires les ont vu dans la rue. Une telle situation à New York, c'est presque un sujet de film. Les gens ont pris la bombe, l'ont déactivée, ont pris le conteneur et laissé la bombe. C'est l'aide du public qui vient souvent contrecarrer le terrorisme... Ce qui pourrait nous aider, c'est inviter davantage de personnes à y participer. Mais cela ne permettra certainement pas de prévenir tous les actes de terrorisme, ce qui n’est pas possible.
RT : L'attentat a été décrit comme «mal planifié». Qu'en pensez-vous ?
C.R. : Les attentats n’ont pas à être bien planifiés. Regardez le cas d'Omar Mateen ; celui des tireurs d’élite du district de Columbia. Il n’est pas difficile de faire du terroriste, même à l'aide d'une ou de deux personnes, tant qu'ils ont une arme quelconque. Dans le centre commercial de St. Cloud, ce n'était rien d’autre qu’un couteau. C’est la nature même du terrorisme : il n'a pas besoin d'un Etat-nation avec une planification d'attentats à la bombe nucléaire pour avoir du succès, pour semer la peur et faire mal à beaucoup de personnes...
Lire aussi : Obama aux Nations unies : les occidentaux doivent aussi cultiver la démocratie chez eux
https://francais.rt.com/opinions/26665-attaques-etats-unis-irrationnalite-11-septembre
RépondreSupprimerMoscou : un drone américain se trouvait dans la zone où un convoi de l'ONU a été attaqué
21 sept. 2016, 17:48
L'armée russe a affirmé qu'un drone de la coalition commandée par les Etats-Unis se trouvait dans le secteur près d'Alep, en Syrie, où un convoi humanitaire a subi une attaque meurtrière le 19 septembre, mettant à mal le cessez-le feu.
Un drone Predator de la coalition internationale en Syrie, emmenée par Washington, «a pénétré dans le secteur d'Orum al-Koubra, où se trouvait la colonne de véhicules, quelques minutes avant qu'ils s'embrasent [et] en est ressorti 30 minutes plus tard», a déclaré le porte-parole du ministère russe de la Défense, le général Igor Konachenkov, le 21 septembre, rapporte l'agence AFP. «Seuls les propriétaires du drone savent ce que celui-ci faisait dans cette zone précise à ce moment exact», a-t-il ajouté.
L'officier russe a également expliqué que «ce genre de drone [pouvait] observer la situation, mais également servir à indiquer des cibles et mener lui-même des frappes précises sur des objectifs au sol».
Le convoi humanitaire en question, composé de 31 véhicules, a été attaqué le 19 septembre alors qu'il se dirigeait vers la ville d'Alep. 20 civils et un travailleur humanitaire sont morts dans ce drame, avait rapporté le Croissant Rouge syrien. Le porte-parole du Bureau de coordination des affaires humanitaires des Nations unies avait fait savoir, le lendemain, que l'ONU n'était pas en mesure de déterminer s'il s'agissait d'une attaque aérienne, thèse avancée par l'organisation dans un premier temps.
Des rebelles syriens repérés à proximité du convoi humanitaire lors du drame, selon Moscou
De son côté, le ministère russe de la Défense avait indiqué le 20 septembre que l'examen des dommages constatés sur les véhicules excluait la possibilité de frappes aériennes et laissait vraisemblablement envisager un incendie de la cargaison.
Lire aussi
Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov. Syrie : la Russie appelle à une enquête impartiale sur l'attaque d'un convoi humanitaire
Le général Igor Konachenkov, porte-parole du ministère russe de la Défense, avait par ailleurs démenti toute implication des armées russe et syrienne dans la destruction des véhicules : «Les aviations russe et syrienne n'ont mené aucune frappe aérienne sur un convoi humanitaire de l'ONU au sud-ouest d'Alep», avait-il déclaré dans un communiqué.
Le haut responsable russe, enfin, avait relevé que des rebelles syriens avaient effectué une offensive d'ampleur en direction d'Alep, au même moment.
Lors de la conférence du Conseil des sécurité des Nations unies du 21 septembre, à New York, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a appelé à ce qu'une enquête impartiale soit conduite au sujet de cette attaque.
Lire aussi : Cessez-le-feu encore possible après une réunion rassurante du Groupe de soutien à la Syrie à l’ONU
https://francais.rt.com/international/26662-syrie--selon-moscou-drone
Philippines : maintenant Duterte fait des doigts d'honneur à l'Union européenne
RépondreSupprimer21 sept. 2016, 14:30
Le président philippin n'est jamais fatigué. Vivement critiqué pour ses méthodes et les exécutions «extrajudicaires» perpétrées dans sa «guerre contre la drogue» qui a fait plus de 3 500 morts, Rodrigo Duterte a agoni l'Union européenne d'injures.
Excédé par les critiques de la communauté internationale, Rodrigo Dutertre s'est lancé dans une diatribe virulente contre ses détracteurs. «J'ai lu les condamnations de l'Union européenne. Et, moi, je leur dit : Allez vous faire foutre !», a tonné le président philippin, ponctuant même sa sortie d'un doigt d'honneur appuyé.
Le bouillonnant chef d'Etat n'a donc visiblement pas apprécié les appels de l'Union européenne à mettre les Philippines sous surveillance en raison des violations des droits de l'Homme qui y sont perpétrées. Bruxelles a notamment condamné «la vague actuelle d'exécutions extrajudiciaires et de meurtres».
Plus de 3 500 exécutions dans la «guerre contre la drogue»
Depuis sa prise de fonction le 30 juin dernier, plus de 3 500 personnes ont été exécutées, une partie par la police, une autre par des citoyens «vigilants», constitués en quasi-milices, et des «justiciers». La mafia locale est également suspectée de profiter de l'occasion pour régler ses comptes en interne.
Ne serait-ce que le nombre de personnes exécutées sans autre forme de procès et dont les cadavres sont parfois retrouvés dans la rue, Rodrigo Duterte, pourrait presque paraître pittoresque. Le chef d'Etat de 71 ans n'a pas sa langue dans sa poche et assume de s'exprimer comme un «dur».
Lire aussi
Le président philippin Rodrigo Duterte est réputé pour son langage... fleuri. Le président philippin traite l’ambassadeur américain de «fils de p*** gay», les USA enragent
Aussi a-t-il, dans une longue série de déclarations tonitruantes, déjà traité le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-moon, d'«imbécile». Le président américain Barack Obama n'a pas non plus échappé à la vindicte tous azimuts, Rodrigo Duterte le qualifiant de «fils de p**e»...
Au cours de son mandat, le président philippin s'est assigné deux «guerres» : la première contre le trafic de drogue, endémique aux Philipines, afin, selon ses termes, que le pays ne devienne pas un «narco-Etat», et la seconde, contre les djihadistes de l'organisation terroriste Abou Sayyaf, apparentée à Daesh, qui sévit dans les îles du Sud de l'archipel.
Lire aussi : «Je vais vous dévorer vivant» menace le président philippin à l'attention de Daesh
https://francais.rt.com/international/26644-philippines-duterte-doigt-honneur
Un journal Orwellien par excellence : le Financial Times
RépondreSupprimerProf. James Petras
Mondialisation Canada
mar., 20 sept. 2016 08:49 UTCCarte
La une du Financial Times porte un logo qui proclame :«Sans crainte et sans complaisance». En effet, les rédacteurs ne manifestent aucune crainte quand il s'agit de... fabriquer des mensonges, promouvoir des guerres impériales décimant des pays et appauvrissant des millions de gens, que ce soit en Libye, en Syrie, en Irak, en Afghanistan, au Yémen et maintenant au Venezuela. Les courageux de Lies of Our Times 1 ont été à l'avant-garde pour forger des prétextes visant à inciter les armées impériales à écraser des gouvernements indépendants.
L'empire Financial Times
Malgré ses plumitifs prétentieux et ses revendications prestigieuses, le FT est vu par la classe financière anglo-américaine, comme un pourvoyeur belliqueux de politiques militaristes conçues pour les secteurs les plus rétrogrades de l'élite dirigeante. Ce qui est le plus frappant, dans les inventions courageuses du FT au nom du militarisme impérial, est le nombre de fois où leurs pronostics politiques et économiques ont été incompétents et totalement faux.
Ces dix dernières années, les pages éditoriales du FT ont décrit la Chine en crise économique et courant à sa perte, alors qu'en réalité, l'économie chinoise a connu une croissance de 6% à 8% par an.
Depuis plus de quinze ans, les rédacteurs du FT ont affirmé que la Russie, sous le président Vladimir Poutine, constituait une menace existentielle internationale pour «l'Occident». En fait, ce sont les armées occidentales de l'OTAN, qui ont déployé des opérations militaires aux frontières de la Russie, les États-Unis qui ont financé un groupe néo-fasciste à Kiev, et les États-Unis et l'Union européenne qui ont encouragé un soulèvement islamiste en Syrie, destiné à ruiner totalement l'influence et les relations de la Russie au Proche-Orient.
Les gourous économiques du FT et ses principaux chroniqueurs ont prescrit les formules dérégulatrices catastrophiques qui ont précipité la crise financière de 2008-2009, après quoi ils ont joué le rôle clownesque de Mickey the Dunce[bouffon, NdT] - blâmant les autres pour les politiques ratées.
Les intrépides scribes du FT mènent actuellement une virulente campagne de propagande, pour promouvoir le renversement violent du gouvernement démocratiquement élu du président Nicolas Maduro.
Cet article identifiera le dernier paquet de mensonges et d'inventions audacieux du FT, puis se conclura par l'analyse des conséquences politiques pour le Venezuela et d'autres régimes indépendants.
Le Financial Times et le Venezuela : de la guerre dans les salons à la terreur dans les rues
Dans sa couverture de la crise au Venezuela, le FT a systématiquement ignoré la campagne en cours, d'agressions et d'assassinats contre des responsables élus, des agents de sécurité, militaires et policiers qui ont été assassinés par «l'opposition» que le FT privilégie.
(suite en dessous:)
Le FT n'a pas couvert les meurtres épouvantables d'une membre chaviste élue au Congrès et de ses deux jeunes enfants, qui ont été exécutés (d'une balle dans la tête), en plein jour, par des tueurs payés par l'opposition.
RépondreSupprimerCes campagnes de terreur de l'opposition contre le gouvernement élu et le grand public sont systématiquement ignorées dans les «rapports» du FT et dans ses pages éditoriales, qui se concentrent davantage sur la pénurie de biens de consommation.
La dissimulation par le FT de la terreur de droite a été jusqu'à inventer un«possible» plan de l'armée ou de la Garde nationale pour ouvrir le feu sur les manifestants de l'opposition. Dans ce cas, le FT a anticipé la violence de droite en rejetant par avance le blâme sur le gouvernement.
Le FT dissimule la campagne de l'opposition de l'élite d'affaires, qui thésaurise les biens de première nécessité pour provoquer des pénuries artificielles et les achats de panique. Ils nient les prix abusifs et pointent exclusivement la«mauvaise gestion du régime» pour les pénuries et les longues queues devant les magasins.
Le FT omet commodément de mentionner que la baisse des prix mondiaux du pétrole a affecté non seulement l'économie du Venezuela, mais de tous les pays qui dépendent des exportations des produits de base, y compris les régimes néolibéraux favoris du Financial Times au Brésil et en Argentine.
Le Financial Times cite des sondages d'«opinion» bidon, qui exagèrent dramatiquement la baisse de popularité du gouvernement : lors des dernières élections, les partisans de Maduro ont obtenu 40% du vote populaire, alors que le FT affirme que le soutien était de 7% !
Les régimes clients des États-Unis (le Mexique, le Pérou et la Colombie) sont les plus grands producteurs de drogues illégales et les banques sont les plus grands blanchisseurs de l'argent de la drogue. Pourtant le FT parle du «rôle du Venezuela comme canal pour la contrebande de drogues illégales, au nord vers les États-Unis et à l'est par le Brésil, l'Afrique et de là vers l'Europe». Les experts de la lutte contre la drogue sont tous d'accord pour dire que la Colombie, qui héberge sept bases militaires américaines et qui est dotée d'un régime étroitement lié aux narco-gangs paramilitaires, est la source des drogues passées en contrebande au Venezuela. Le fait que le Venezuela soit devenu une victime du violent commerce de drogue colombien n'est jamais reconnu par les élégants prostitués de la plume de la City de Londres.
Le FT accuse le gouvernement de gauche de Maduro pour la réapparition de «la malaria et d'autres maladies possibles». En fait, la récente «épidémie de paludisme»(également citée par les propagandistes du New York Times) se fonde sur une seule mine d'or illégale.
Le FT ignore comment les régimes néolibéraux soutenus par les États-Unis, en Argentine et au Brésil, ont réduit les programmes publics de santé, ouvrant la voie à beaucoup plus de crises sanitaires pour la population.
Le Financial Times : de gros mensonges pour l'assassinat de masse
Le Financial Times mène une guerre de propagande tous azimuts avec un but : inciter à la prise du pouvoir violente au Venezuela, par les clients politiques des États-Unis.
(suite en dessous:)
En accord avec la politique «changement de régime par tous les moyens» des Obama-Clinton, le FT dépeint de manière trompeuse le Venezuela affrontant«des crises multiples», représentant une menace «déstabilisante» pour l'hémisphère, et au bord d'une «crise humanitaire» globale.
RépondreSupprimerArmées de ces clichés mortels, les pages éditoriales du FT demandent «un nouveau gouvernement bientôt et certainement avant les élections de 2018».
Récemment, le FT a proposé un gadget juridique bidon - un référendum révocatoire. Cependant, comme l'opposition ne peut pas convoquer le vote à temps pour éjecter le président Maduro, le FT appelle à «des événements qui précipitent les changements plus tôt» - un coup d'État violent !
Les scénarios du FT visent à précipiter une «marche» violente de l'extrême-droite, provoquant finalement une effusion de sang parmi la population civile, au début de septembre de cette année.
Le FT escompte que «le sang à Caracas exige une réponse latino-américaine active»[sic]. Autrement dit, le FT espère qu'une invasion militaire soutenue par les États-Unis via la Colombie voisine contribuera à éliminer les chavistes et à installer un régime de droite.
Le Financial Times, qui a activement soutenu la destruction du gouvernement en Libye conduite par l'OTAN, appelle maintenant à une invasion du Venezuela dirigée par les États-Unis. Sans jamais remettre en cause sa promotion du changement de régime, le FT appelle maintenant à un coup d'État violent au Venezuela, qui dépassera celui provoqué en Libye en termes de perte de milliers de vies vénézuéliennes et de renversement brutal d'une décennie d'importants progrès économiques et sociaux.
«Sans crainte et sans complaisance», le FT parle en faveur des guerres impériales dans le monde entier.
Conclusion
Les élections présidentielles américaines ont lieu au moment où le régime Obama-Clinton se prépare à intervenir au Venezuela. Recourant à des rapports humanitaires bidon sur la famine généralisée, les maladies, la violence et l'instabilité, le plan d'Obama aura pourtant besoin de voyous vénézuéliens pour provoquer suffisamment de violence de rue et inciter à une «invitation» à Washington, de la part de ses partenaires militaires latino-américains, pour intervenir sous les auspices de l'ONU ou de l'OAS (Organization of American States).
S'il «réussit», un renversement rapide du gouvernement élu de Caracas pourrait être présenté comme une victoire pour la campagne d'Hillary Clinton et un exemple de sa politique d' «interventions militaires humanitaires» dans le monde entier.
Cependant, si l'invasion alliée d'Obama ne débouche pas sur une victoire rapide et facile, si le peuple vénézuélien et son armée organisent une défense prolongée et courageuse de leur gouvernement et si des vies étasuniennes sont perdues dans ce qui pourrait se transformer en une guerre de résistance populaire, alors l'intervention de Washington pourrait finalement discréditer la campagne de Clinton et sa politique étrangère musclée. L'électorat américain pourrait finalement décider de voter contre quatre ans de plus de guerres perdues et de vies perdues. Ce ne sera pas grâce au courageux Financial Times.
(suite en dessous:)
1. Magazine politique publié au début des années 1990, voué à l'analyse critique du discours public et à la surveillance du New York Times.
RépondreSupprimerLe Financial Times (FT) est un quotidien économique et financier britannique, mais dont la majorité des lecteurs résident dans d'autres pays depuis 1998.
Commentaire : Lire aussi :
La grande coalition des médias contre les informations non approuvées qui circulent sur Internet
https://fr.sott.net/article/29020-Un-journal-Orwellien-par-excellence-le-Financial-Times
Que seraient certains chefs d'Etats sans leurs presses personnelle, leurs radios personnelles, leurs télés personnelles ?
SupprimerLes trois étapes de l'Empire
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
21 septembre 2016 12h48
Soumis par Charles Hugh-Smith via OfTwoMinds blog,
Je considère qu'il est évident que nous sommes dans la troisième et dernière étape de l'auto-service de désintégration impériale.
Bien que Edward Luttwak Le Grand Strategy de l'Empire romain: De la CE First Century à la troisième est pas spécifiquement sur la montée et la chute des empires, il esquisse les trois étapes de l'Empire.
Voici le contexte actuel de la discussion sur les cycles de vie impériaux: le budget de la défense des Etats-Unis est à peu près la même taille que le reste des dépenses de défense du monde combiné:
- voir tableau sur site -
Luttwak décrit la première étape d'expansion ainsi:
"Avec une simplicité brutale, on peut dire que le premier système des Romains de la république ont conquis beaucoup à servir les intérêts de quelques-uns, ceux qui vivent dans la ville - et en fait encore moins, ceux qui le mieux placé pour contrôler la politique."
La deuxième étape à répartir les avantages de l'Empire beaucoup plus large:
"Au cours du premier siècle de notre ère, les idées romaines ont évolué vers une conception beaucoup plus large et tout à fait plus bienveillante de l'empire ... les hommes nés dans les terres loin de Rome pourraient s'appeler romains et que leur demande entièrement permise, et les frontières ont été efficacement défendu de défendre la prospérité croissante de tous, et non pas seulement les privilégiés. "
La troisième étape est l'une inégalité croissante:
"Dans le sillage de la grande crise du troisième siècle, la fourniture de la sécurité est devenue une charge de plus en plus lourde sur la société, une charge inégalement répartie, ce qui pourrait enrichir les riches et ruiner les pauvres. La machinerie de l'empire est devenu de plus en plus égoïste, avec ses collecteurs d'impôts, les administrateurs et les soldats de beaucoup plus recours à l'autre que la société en général. "
Cette ligne décrit parfaitement l'état américain et la banque centrale. Les charges d'une hiérarchie d'auto-service de plus en plus sont en baisse plus lourdement sur la classe moyenne et moyenne supérieure, tandis que le pain et les cirques (opiacés ie Medicaid-payés) sont distribués gratuitement aux masses agitées pour les distraire de l'immense concentration de la richesse et pouvoir au sommet de la pyramide:
- voir tableau sur site -
À un certain point, Collapse est moins cher et plus efficace que la réforme (Novembre 5, 2015). La troisième étape Luttwak décrit peut être décomposé en un diagramme du cycle de vie de Bureaucratie, pour chaque projet Imperial est finalement la combinaison d'une grande concentration de la richesse / puissance et de la sclérose des bueaucracies égoïstes qui se servent plutôt que de la société en général :
- voir tableau sur site -
Je considère qu'il est évident que nous sommes dans la troisième et dernière étape de l'auto-service de désintégration impériale. Cela dit, nous ne devons pas suivre cette trajectoire; nous pouvons façonner un avenir beaucoup mieux en dehors du statu quo, comme je décris dans un Radicalement bénéfique mondial.
* * *
Si vous trouvez la valeur ici, s'il vous plaît envisager de devenir / mois, un patron de mon travail 1 $ par patreon.com. Mon nouveau livre est n ° 5 sur Kindle court lit -> politique et sciences sociales: Pourquoi Notre Status Quo a échoué et est la réforme Au-delà (3,95 $ ebook Kindle, $ 8.95 édition imprimée) Pour en savoir plus, s'il vous plaît visitez le site web du livre.
Empire romain
http://www.zerohedge.com/news/2016-09-21/three-stages-empire
La constatation est que l'Etat (qui n'est PAS créateur d'emploi/'ce n'est pas son rôle' !) fait tout ce qu'il peut pour ruiner son peuple pour l'empêcher d'être riche. Ainsi, après la dette qu'il a volontairement créé et qui est tellement énorme qu'elle est devenue ... inremboursable ! (d'où l'idiotie de la continuer !), sont arrivés des notes de frais quotidiennes autant qu'injustifiées !
SupprimerDes amendes pour n'importe quoi ! Un véhicule stoppé 10 secondes 'là où ne faut pas' (et malgré que cet arrêt ne relève d'AUCUN danger pour qui que ce soit) il y a verbalisation par caméras de surveillance !
Des hackers parviennent à contrôler une Tesla à partir à une distance de 19 km
RépondreSupprimerArnaud Lefebvre
21 septembre 2016
Des chercheurs de l’entreprise chinoise Tencent sont parvenus à contrôler à distance le modèle S du constructeur automobile Tesla, écrit Lucian Constantin, spécialiste de la sécurité auprès du magazine PC World.
« Tesla Motors est considéré comme l’un des constructeurs automobiles qui se préoccupe le plus de la cybersécurité », souligne Lucian Constantin. « Cela ne signifie cependant pas que les logiciels de ses voitures sont exempts de failles de sécurité ».
Des chercheurs du Keen Security Lab de Tencent ont profité de certaines lacunes dans la sécurité pour capter à distance le modèle S de Tesla.
Les hackers chinois auraient réussi à pénétrer dans le système central qui permet aux ordinateurs du véhicule de communiquer entre eux. Les chercheurs disent supposer que d’autres modèles du constructeur sont vulnérables face à des attaques éventuelles.
Les freins
Alors que la voiture était stationnée, les hackers auraient réussi à ouvrir à distance le toit ouvrant, à déplacer les sièges et à déverrouiller les portes.
Une autre série d’interventions a eu lieu alors que la voiture se déplaçait à basse vitesse. Dans ce cas, il a été possible d’activer les essuie-glaces, de modifier la position du rétroviseur arrière et d’ouvrir le coffre du véhicule.
Toutefois, la chose la plus dangereuse que les scientifiques sont parvenus à réaliser est d’activer les freins du véhicule à une distance de 19 km, explique Constantin. « Cela peut mener à de graves accidents. »
Selon les chercheurs, la liste des problèmes constatés a été transmise à Tesla.
https://fr.express.live/2016/09/21/hackers-parviennent-a-controler-tesla-a-partir-a-distance-de-19-km/
SupprimerAprès les compteurs dits 'intelligents' (pour pas dire complètement cons !) modifiables à distance par n'importe qui, les comptes bancaires piratés comme les systèmes d'alarme appelés à 'protéger' son propriétaire, voici venir les voitures autonomes qui vont directos dans le fossé ou contre un arbre !
Pour résumer: Tout appareil ayant des composants électronique EST piratable par n'importe qui. Exemple: votre voiture peut 'tomber en panne' par satellite grâce au système de contrôle monté en série sur TOUTES les voitures d'aujourd'hui. C'est pourquoi, bientôt TOUTES les 'vieilles' voitures seront interdites de circuler !
60 ans après les Américains : Les Russes sur la Lune
RépondreSupprimer21 septembre 2016
L’agence spatiale russe Roscosmos vient de révéler les projets de la Russie pour établir une base lunaire entre 2025 et 2045.
Selon Roscosmos, la Russie souhaite utiliser cette base lunaire pour la recherche scientifique et l’exploitation des matières premières. Elle compterait initialement deux occupants, mais devrait se développer à terme pour devenir la résidence permanente de douze cosmonautes.
Les scientifiques russes ont ressorti une machine de gravité de l’ère soviétique pour entraîner les cosmonautes à marcher sur la Lune et à utiliser un véhicule lunaire. Sur la Lune, la gravité est en effet plus faible que celle de la Terre.
L’agence spatiale a également indiqué que RSC Energia travaillait sur de nouvelles combinaisons lunaires pour faciliter les déplacements sur le satellite naturel de la Terre.
Des expériences sont actuellement menées, et ce n’est que lorsque elles seront couronnées de succès que les travaux de conception d’une base lunaire et des autres infrastructures nécessaires pourront débuter.
Le programme Apollo
L’agence spatiale américaine, la Nasa, a mis fin au programme lunaire Apollo en 1975. Celui-ci avait permis d’envoyer pour la première fois deux hommes sur la Lune, Neil Armstrong et Edwin Aldrin. Les Etats-Unis avaient ainsi distancé l’ex-Union soviétique dans la course à la Lune.
“Dans les années soixante, l’Union Soviétique était au coude à coude avec les Etats-Unis. Mais il est difficile de trouver un meilleur moyen de heurter le prestige soviétique et de souligner le retard technologique russe que d’envoyer des cosmonautes sur la Lune pour 2030, c’est à dire, 60 ans après Appolo”, commente Youri Karash, un membre de l’Académie cosmonautique russe.
https://fr.express.live/2016/09/21/russe-etablir-base-lunaire/
Supprimer(...) 60 ans après les Américains (...) ??!! A bon !
Depuis la date mémorable du '21 Juillet 1969' où un drapeau aurait été planté sur la lune... personne (même avec un télescope super-puissant ni même un satellite) n'a pu voir le 'drapeau americain sur la lune' ! Hahahahaha !
Deux millions de comptes factices à l'insu de ses clients : le président de Wells Fargo s'excuse
RépondreSupprimer21 sept. 2016, 22:25
Le scandale grossit après la révélation des pratiques frauduleuses de Wells Fargo, la quatrième banque américaine. Afin d'atteindre leurs objectifs, les commerciaux de l'établissement ont ouvert le chiffre faramineux de deux millions de comptes.
«Vous devez démissionner, vous devez rendre l'argent que vous avez gagné, vous devez faire l'objet d'une enquête pénale !». John Stumpf, président de Wells Fargo, a passé un sale quart d'heure devant des sénateurs américains à bout de patience. La banque a ouvert quelque 2 millions de comptes – pas moins – en utilisant les noms de clients sans leur autorisation, parfois avec de fausses signatures.
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John Stumpf a fait valoir que Wells Fargo avait procédé au licenciement de plus de 5 300 salariés qui avaient créé les comptes fictifs afin d'atteindre leurs objectifs.
Lire aussi
Deutsche Bank Crise des «subprimes» : les Etats-Unis demandent 14 milliards de dollars à Deutsche Bank
Mais la commission bancaire du Sénat américain ne compte pas en rester là. «Une caissière qui vole un poignée de dollars est tenue pour responsable, mais les patrons de Wall Stret ne le sont jamais, même lorsque, comme en 2008, ils mettent l'économie à terre», a ainsi dénoncé Elizabeth Warren, sénatrice démocrate connue pour ses prises de positions critiques envers le monde de la finance.
Accablant John Stumpf, la sénatrice a qualifié les pratiques de Wells Fargo de «gigantesque fraude» et l'a exhorté à démissionner. «Je suis terriblement désolé», s'est excusé l'intéressé. «Nous avons failli à nos obligations vis-à-vis de nos clients, de nos employés et du peuple américain», a humblement déclaré le dirigeant de la quatrième banque américaine en termes d'actifs.
Mais John Stumpf a la solution : les comptes bancaires seront recensés et ceux des clients qui ne souhaitent pas conserver ces comptes ouverts en leur nom pourront les clôturer.
Lire aussi : Barroso déplore des mesures «discriminatoires» de l'UE après son embauche par Goldman Sachs
https://francais.rt.com/economie/26676-deux-millions-comptes-factices-well-fargo
Le sénat américain autorise des ventes d'armes d'1 milliard de dollars à l'Arabie saoudite
RépondreSupprimer21 sept. 2016, 21:36
La chambre haute du Parlement américain a rejeté un projet de loi proposé par deux sénateurs qui aurait bloqué la vente d'armes à l'Arabie saoudite. Le rôle de Ryad dans la guerre au Yémen est pointée du doigt par certains parlementaires américains.
Lire aussi
L'hôpital soutenu par MSF après la frappe saoudienne au Yémen Yémen : une bombe américaine a été utilisée pour la frappe sur l'hôpital de MSF en août
Les Etats-Unis pourront bel et bien vendre des armes à l'Arabie saoudite : c'est la décision qu'ont prise les sénateurs américains mercredi 21 septembre, en rejetant par 71 voix contre 27 le projet de loi porté par le sénateurs Rand Paul (républicain) et Christ Murphy (démocrate). Cette loi prévoyait d'interdire la vente d'armes à la monarchie wahhabite, invoquant le risque de diffusion de ces armes dans la région et le rôle de Ryad dans le conflit meurtrier qui déchire le Yémen.
Le 9 août dernier, le Pentagone avait annoncé que le département d'Etat des Etats-Unis avait autorisé la vente de 1,15 milliard de dollars d'équipements militaires à l'Arabie saoudite, parmi lesquels plus de 130 chars Abrams et 20 véhicules blindés de dépannage.
L'intervention de l'Arabie saoudite au Yémen décriée par certains sénateurs
Les élus soutenant le projet de loi rejeté par le Sénat avaient souligné les ravages causés par l'engagement de Ryad au Yémen. Le monarchie du Golfe, en mars 2015, a pris les rênes d'une coalition de pays arabes, dans le but de rétablir le pouvoir du président yéménite en exil Abd-Rabbo Mansour Hadi. L’intervention, selon les estimations de l'ONU, a déjà provoqué la mort d’au moins 10 000 personnes, dont 4 000 civils.
Une étude réalisée par The Guardian, publiée mi-septembre, affirme qu'au moins un tiers des frappes de la coalition menée par l'Arabie saoudite ont ciblé des sites civils.
Lire aussi : Une alliance en or : Barack Obama aurait vendu des armes à Riyad pour 115 milliards de dollars
https://francais.rt.com/international/26673-senat-americain-autorise-vente-d
Theresa May meurt d’envie d'utiliser l'arme nucléaire contre la Russie
RépondreSupprimer21:14 28.07.2016
C'est la deuxième fois en 10 jours que la nouvelle première ministre britannique Theresa May s'est dite prête à utiliser des armes nucléaires contre la Russie. Cette fois, en tant que force de dissuasion. Alors, que la force de dissuasion soit avec vous, Mme May! Lors d'une conférence de presse à Bratislava (Slovaquie), en réponse à la question d'un journaliste au sujet de la volonté du gouvernement britannique d'utiliser l'arme nucléaire contre la Russie, Theresa May s'est déclarée prête à l'utiliser en tant que force de dissuasion. "La semaine dernière, le parlement a adopté un vote très important pour poursuivre notre programme nucléaire. Au cours du débat, la question a été posée de savoir si je serais prête à utiliser des armes nucléaires comme force de dissuasion. Et ma réponse a été +Oui !+", a-t-elle indiqué.
Auparavant, lors d'une intervention devant le parlement, la première ministre britannique Theresa May avait annoncé qu'elle était prête à donner son feu vert à une attaque nucléaire capable de tuer des centaines de milliers de personnes, si cela garantissait la sécurité du Royaume-Uni, pointant la "menace" que la Russie représentait pour Londres. Le 19 juillet, les députés britanniques ont approuvé le renouvellement de la force de dissuasion sous-marine du Royaume-Uni, dans le cadre d'un projet coûtant plusieurs dizaines de milliards de livres. Aucun livre ne sera épargné lorsqu’on parle de la sécurité du pays, n’est-ce pas? Même si la menace est un peu exagérée…
Le renouvellement du programme Trident est estimé à 31 milliards de livres (37,1 milliards d'euros) par le ministère de la Défense, sans compter les coûts de conception. A l'heure actuelle, la structure du Trident compte quatre sous-marins nucléaires lanceurs d'engins de classe Vanguard. Le parlement britannique est déterminé à les remplacer par ceux de classe Successor à l'horizon 2030.
https://fr.sputniknews.com/international/201607281027058254-theresa-may-arme-nucleaire-dissuader-russie/
SupprimerElle ne vaut pas plus que son prédécesseur.
Kerry veut interdire à l’aviation d’Assad de survoler l’opposition
RépondreSupprimer21:25 21.09.2016
Moins d’une semaine après la « bavure » qui a coûté la vie à une soixantaine de militaires syriens, Kerry dénonce les attaques aléatoires du régime d’Assad et a rappelé la nécessité d’interdire aux avions syriens de survoler les territoires contrôlés par l’opposition. Il faut juste interdire l'aviation d'Assad de survoler l'opposition, tels sont les propos livrés mercredi par le secrétaire d'État américain John Kerry depuis la tribune de l'Assemblée générale de l'Onu.
« Nous devons obtenir l'interdiction des vols, mes amis. Ceci empêchera la Syrie de faire ce qu'elle a fait si souvent auparavant — attaquer les cibles civiles en justifiant que ses attaques ne visent qu'al-Nosra », a indiqué le chef de la diplomatie US. M. Kerry a exhorté à mettre fin « aux affreuses attaques aléatoires qui sont à l'origine de la peur, de la souffrance et de la fuite (de la population locale, ndlr) ».
Rappelons que le 9 septembre dernier les chefs de la diplomatie russe et américain, Sergueï Lavrov et John Kerry, se sont entendus sur les régions dans lesquelles les deux pays effectueront des frappes aériennes. Il a été en outre décidé que les Forces armées syriennes ne pourront pas effectuer de survol des zones contrôlées par l'opposition. Le vice-ministre des Affaires étrangères Mikhaïl Bogdanov a par la suite explicité qu'il ne s'agissait pas d'une zone d'exclusion aérienne, mais qu'il y avait une coordination « qui vole où » et quand.
https://fr.sputniknews.com/international/201609211027862217-syrie-aviation-opposition/
Kerry veut interdire à l’aviation d’Assad de défendre son propre-pays !!!
SupprimerConfirmation du doute sur l'âge mental du secrétaire americain.
«C’est une honte»: les bases militaires allemandes au service des USA
RépondreSupprimer23:03 21.09.2016
Les forces américaines sont présentes en nombre sur le territoire allemand. La base militaire de Ramstein en est un exemple frappant. Alors que cette situation interroge, le pays possède la force juridique nécessaire pour en finir d’ici deux ans. La forte présence militaire américaine en Allemagne a déjà fait écouler beaucoup d'encre. Pourtant, la situation ne s'améliore pas. Le cas de la base militaire de Ramstein, point important de coordination des activités américaines, est peut-être le plus symptomatique de cette situation.
Par ailleurs, le ministère allemand de la Défense pourrait contrôler les activités de cette base et les fondements juridiques permettant au gouvernement du pays de rompre l'accord concerné avec les États-Unis dans deux ans existent, indique l'ex-secrétaire du ministère allemand de la Défense et ex-vice-président de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) Willy Wimmer dans une interview accordée à Sputnik.
« La base légale de la présence des troupes américaines sur le territoire allemand, c'est toujours l'Otan (l'Organisation du Traité de l'Atlantique nord, ndlr). Cependant, après la réunification de l'Allemagne, la nécessité même de l'existence de l'Otan a été remise en cause, en absence de menace du côté oriental », explique l'ex-vice-président de l'OSCE.
Il est d'autant plus important que les accords concernés ont été signés alors que l'Otan se situait à un millier de kilomètres de la frontière russe, indique l'homme politique. « Dès lors, l'Otan a changé son principe d'une alliance défensive, intentionnellement et sans accord des parlements des pays membres, de telle sorte que cette organisation est devenue une machine agressive qui s'appuie sur sa nouvelle doctrine militaire datant de 1999 », souligne l'expert. Les particularités de la présence militaire américaine sur le sol allemand ont ainsi été clairement dévoilées par les Américains eux-mêmes.
Il ne s'agit pas d'une fonction défensive de l'Otan, mais des intentions américaines pour s'imposer de manière plus globale, souligne l'ex-secrétaire allemand. « Cela signifie que les structures américaines sont utilisées en dehors de tout lien avec l'Allemagne pour réaliser et appuyer des missions meurtrières des troupes américaines à travers le monde. Ainsi, nous n'avons pas affaire à des forces armées qui nous défendent d'après les accords, mais nous sommes plutôt confrontés à la capacité d'agression internationale des États-Unis », explique l'expert.
Les militaires allemands sont présents sur la base de Ramstein, ils devraient être au courant de ce qui s'y passe, indique l'ex-vice-président de l'OSCE. Ainsi, le gouvernement allemand devrait savoir. « Des missions meurtrières des drones américains à travers le monde sont aussi menées depuis la base de Ramstein. Le gouvernement fédéral le sait, mais il le cache à son peuple. C'est une honte », déclare l'homme politique. Dans cette situation, l'Allemagne pourrait utiliser son droit de renoncer à la présence des forces militaires étrangères sur son territoire dans un délai de deux ans, conclut l'ex-vice-président de l'OSCE.
https://fr.sputniknews.com/international/201609211027864586-bases-militaires-allemandes-service-usa/
RépondreSupprimerCompter le coût de la guerre de la Terreur
Nous devons faire attention à ne pas tomber dans le piège des psychopathes. Les coûts réels de la guerre de terreur ne peuvent pas être mesurés en dollars et en cents. Ils ne sont pas comptabilisés dans un registre. Ils ne sont pas d'argent du tout.
21 septembre 2016,
par James Corbett
Nous savons tous maintenant que les vrais terroristes (les politiciens dans les costumes et cravates et les banksters qui tirent leurs cordes) mènent leur guerre de terreur sur plusieurs fronts pour de multiples raisons.
Sur le plan intérieur, il rallie la population autour du drapeau, en gardant le troupeau en échec. Dans le même temps, il justifie l'accumulation de la grille de police de contrôle de l'Etat pour attraper les criminels de pensée qui résistent.
Il a également écrit un chèque en blanc pour les guerres illégales d'agression à l'étranger. Il suffit de placer votre boogeyman terroriste dans la case de l'échiquier vous cherchez à occuper et - hop ! - Vous avez vous-même une excuse pour envahir. (Même si vous "accidentellement" finissent les soutenir, à droite Oncle Sam ?)
Mais bien sûr, les politiciens, leurs manigances et leurs compagnons de voyage bénéficient de la guerre de terreur dans un sens plus simple. Ils apprennent à utiliser la terreur fait peur qu'ils créent eux-mêmes pour battre des milliards et des milliards au nom de la lutte contre la Boogeymen.
Nous avons tous entendu du siège 640 $ de toilette et d'autres exemples ridicules de Pentagone "dépassements", mais ces histoires ont tendance à banaliser les exactions commises par les entrepreneurs militaires de défense dont l'industrie entière est construite sur la fourniture de solutions à des problèmes trop chers constitués. Après tout, le Pentagone lui-même vient d'admettre qu'il pourrait réduire de 2 milliards $ de son budget en fermant certaines des bases inutiles et des installations de défense qui ont été construits dans le monde entier au nom de l'empire américain.
Mais 2 milliards $ est menue monnaie.
Au cours des 15 années depuis 9/11, 1 billion de $ été dépensés l'édification de l'Etat de la police dans la «patrie» américaine elle-même.
Pendant ce temps, le ministère de la Défense a dépensé plus de 600 milliards $ par année en maintenant l'armée américaine dans le / 11 ère post-9. 4 $ à 6 milliards de dollars de $ qui ont été dépensés pour les guerres en Irak et en Afghanistan, seules les guerres les plus chères de l'histoire des États-Unis.
(suite en dessous:)
les dépenses de défense combinée, y compris la sécurité intérieure, DoD, Département d'Etat, liée à la défense des intérêts de la dette et d'autres coûts de la défense, a atteint les niveaux les plus élevés de l'histoire moderne au cours de la dernière décennie. A partir d'une époque de la guerre froide élevée dans les années 1980 de 3500 $ pour chaque homme, femme et enfant aux États-Unis à un bas 1990 de 2500 $, ce chiffre a depuis manqué 4000 $. Il suffit de regarder la carte; il est difficile de voir exactement quand la tendance inversée et les bons moments ont commencé à circuler pour les entrepreneurs militaro-industriels: Il était 9/11, l'anniversaire de la guerre de terreur et de la nouvelle ère de la sécurité intérieure.
RépondreSupprimerIl y a d'autres chiffres que nous pourrions jeter ici:
Les milliards et des milliards d'aide militaire envoyée aux co-auteurs de la guerre de la terreur, y compris les 38 milliards $ qui a été promis à Israël au cours des 10 prochaines années.
La plaisanterie $ 1.5 trillions connu comme l'avion de combat F-35.
Le $ 6'500'000'000'000 des «ajustements de fin d'année" en cours, la saga sans fin de milliards manquants du Pentagone.
Mais nous devons faire attention à ne pas tomber dans le piège des psychopathes. Les coûts réels de la guerre de terreur ne peuvent pas être mesurés en dollars et en cents. Ils ne sont pas comptabilisés dans un registre. Ils ne sont pas d'argent du tout.
Le coût réel est payé dans le sang. Le sang d'un million de morts irakiens. Le sang des centaines de milliers assassinés hommes, des femmes et des enfants en Afghanistan et au Pakistan. Le sang qui est répandu à l'heure actuelle en Syrie, en Libye, au Yémen, et dans tous les pays qui ont traversé par la ligne de mire de l'OTAN, américains et terroristes israéliens.
Il est mesuré dans la dévastation des villes qu'une fois affaira avec la vie. Dans les familles déchirées par les bombardements de drones. Dans le chaos des centaines de milliers contraints de fuir leurs foyers, quitter leur famille et leur patrie et leur ancienne vie derrière que tout ce qu'ils savaient est déchiré en lambeaux.
Il est mesuré dans le sang des militaires et les femmes elles-mêmes. Lied pour, la propagande et endoctrinés toute leur vie, étant donné un billet de misère par les militaires, prises avec des vaccins expérimentaux et poussé dans le hachoir à viande pour la tournée de travail après tour de service. Et puis, à son retour à la maison, de gauche à pourrir dans les hôpitaux délabrés et ignoré par les politiciens glad-handing et leurs copains militaro-industriels comme une épidémie de suicide fluidifie progressivement leurs rangs.
(suite en dessous:)
Ceci est le véritable coût de la guerre de la terreur, et il est incalculable. Et rien de tout cela, absolument rien de tout cela, viendra à une fin jusqu'à ce que les arrêts publics croire le faux récit de la guerre de la terreur et les mensonges qui ont amené ce sujet.
RépondreSupprimerTout comme le Père Noël et le lapin de Pâques, les vrais terroristes ne peuvent survivre que si vous croyez en eux.
http://theinternationalforecaster.com/International_Forecaster_Weekly/Counting_the_Cost_of_the_War_of_Terror
Guerre hybride des Etats- Unis contre les Philippines pendant que Duterte oriente son pays hors de la mainmise unipolaire
RépondreSupprimerThe Duran
mer., 21 sept. 2016 19:22 UTCCarte
Traduit par Lawrence Desforges
Alors que les Philippines entament sous la direction du nouveau Président Rodrigo Duterte un pivot qui les éloignent des USA, ceux-ci intensifient leur campagne médiatique dépeignant fallacieusement sa politique de lutte contre la drogue dans le but de l'affubler tout aussi trompeusement de l'image d'un « dictateur ». Cela ressemble à la mise en place d'un scénario de guerre hybride ayant pour objectif le renversement du gouvernement de Duterte, et qui comme en Syrie pourrait impliquer l'emploi de terroristes « djihadistes ».
Rodrigo Duterte s'était engagé à mener une Guerre contre les Drogues et à rendre aux Philippines leur fierté si son peuple l'élisait Président, et moins de trois mois après avoir pris ses fonctions il réalise déjà des progrès impressionnants sur ces deux fronts interconnectés. Plus de 70 000 toxicomanes et dealers se sont rendus aux autorités, et autour de 3 000 d'entre eux ont été tués du fait d'avoir résisté et mis en danger la vie des officiers de police venus les arrêter.
Ce n'est donc évidemment pas pour rien que Duterte a acquis le surnom de « The Punisher » [le « Punisseur », NdT] au cours de ses deux décennies de service en tant que Maire de la ville de Davao, période pendant laquelle il transforma la ville qui était l'un des lieux les plus dangereux d'Asie et qui en est aujourd'hui l'un des plus sûrs.
Sur le registre de la politique étrangère, Duterte a résisté aux USA sous les applaudissements mondiaux, traitant Obama de « fils de chienne » et l'Ambassadeur US de « fils de pute pédé« .
En outre, son Ministre des Affaires Étrangères a puissamment rappelé aux USA que les Philippines ne sont pas le « petit frère brun » des États-Unis, dans une émouvante déclaration évocatrice de l'anti-impérialisme de la Guerre Froide.
D'eux-mêmes et en eux-mêmes, ces mots n'auraient guère d'importance pour les USA et pourraient facilement être ignorés tant que l'hégémonie de Washington était laissée intacte. Cependant, le fait est que Duterte accompagne ses paroles d'actes concrets, et oriente rapidement les Philippines hors de la mainmise unipolaire des USA vers les bras ouverts et accueillants du monde multipolaire.
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En l'espace d'une seule semaine le gouvernement de Duterte a courageusement annoncé sa volonté que les USA retirent leurs Forces Spéciales de l'île méridionale de Mindanao, que les Philippines n'allaient plus conduire de patrouilles conjointes avec les USA dans la Mer de Chine Méridionale, et que Manille tourne désormais les yeux vers Beijing et vers Moscou pour l'acquisition future de ses équipements militaires.
RépondreSupprimerPendant tout ce temps-là, les Philippines ont « officiellement » rassuré les USA qu'ils n'étaient pas en train de « rompre leurs liens » et que les autorités allaient respecter l'accord de l'EDCA [Enhanced Defense Cooperation Agreement, Accord de Coopération de Défense Renforcée, NdT], qui avait été signé par le prédécesseur de Duterte.
Ce que désire vraiment le pays est un « changement de paradigme » dans ses relations avec Washington. En fait les Philippines s'éloignent des USA à un rythme encore plus rapide que je l'avais anticipé dans un article antérieur pour The Duran en mai dernier, et le soi-disant « Pivot vers l'Asie » des USA s'en trouve gravement menacé.
Pour leur part, les USA ont avancé dans leurs plans de Guerre Hybride contre les Philippines, initiant une sale guerre de l'information qui cherche à dépeindre Duterte comme un dictateur à cause de la manière dont son pays résiste aux narco-terroristes.
J'ai parlé de tout cela dans une récente édition de mon émission de radio Context Countdown qui a été retranscrite en véritable article par GPolit.
Seulement l'autre jour un prétendu « informateur » a même allégué que le Président avait ordonné et pris part en personne à des assassinats pendant l'époque où il était Maire. Cet individu a depuis été dévoilé comme fraude mais l'intention est évidente - les USA cherchent par tous les moyens à salir Duterte, en tant que « dictateur renégat du Tiers-Monde », comme première étape de conditionnement du public à l'idée de son éviction soutenue par les USA, par n'importe quel moyen.
Toutefois, le « problème » est que Duterte est immensément populaire au sein de son propre pays, et a pu afficher avec fierté un taux d'approbation stratosphérique de 91% dans le dernier sondage national conduit en juillet - dépassant même le Président Vladimir Poutine pour devenir le dirigeant le mieux et le plus aimé de son peuple.
De toute évidence, les USA ne vont pas réussir à provoquer une Révolution de Couleur aux Philippines.
Cependant, les USA n'ont jamais laissé la « démocratie » et le « choix populaire » empêcher leurs changements de régime jusqu'ici, et par conséquent ils dépassent actuellement le seuil de la simple Révolution de Couleur pour atteindre celui de la Guerre Non-Conventionnelle.
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Le groupe terroriste affilié à Da'esh Abou Sayyaf s'est livré à un attentat à petite échelle dans la ville de Davao au même moment où Duterte y effectuait une visite, avec l'intention évidente de lui envoyer le message qu'il figure sur leur liste de cibles. Cet acte audacieux poussa le Président à déclarer un état d'urgence pour permettre aux militaires de travailler plus étroitement avec les organes locaux des forces de l'ordre afin de protéger le pays du terrorisme.
RépondreSupprimerCela l'amena également à déclarer, avec sa gouaille habituelle, qu'il allait les « manger tout crus ».
À ce stade, il faut relever que des rumeurs persistantes existent de liens entre les services militaires et de renseignements US et Abou Sayyaf, des rapports ayant commencé à émerger au début du millénaire.
L'expérience de Duterte, dans la gouvernance de la plus grande ville de l'île infestée de violence et riche en minéraux de Mindanao, a pu l'exposer à des informations confidentielles qui sont venues confirmer ces allégations, ce qui expliquerait pourquoi il a accusé avec tant d'aplomb les USA d'avoir « exporté le terrorisme » au Moyen-Orient, et pourquoi il veut que les forces armées US quittent incessamment les régions du Sud infestées par Abou Sayyaf.
Les craintes de Duterte au sujet d'une explosion du terrorisme dans cette zone périphérique au pays ne sont pas sans fondement. Un expert des Philippines a parlé, au cours du forum sur la sécurité du Dialogue de Shangri-La à Singapour en 2015, des dangers de l'initiation par Da'esh d'une crise régionale par la formation d'un califat franchisé dans l'Arc de Mindanao-Sulawesi.
J'ai élaboré sur ce scénario dans mes « prévisions de tendances pour 2016 » [2016 Trends Forecast] pour le site de The Saker à la fin de l'année dernière, dans une évaluation des vulnérabilités face aux Guerres Hybrides détaillée que j'ai écrite pour Oriental Review cet été, et dans l'un des derniers épisodes de Context Countdown dans lequel j'ai expliqué qu'il existe un risque réel que les Philippines, la Malaisie et l'Indonésie puissent être attirées dans un complexe conflit maritime et terrestre si les terroristes ne sont pas éradiqués assez rapidement.
C'est exactement le genre de scénario qu'espèrent engendrer les USA, projetant qu'il fournisse au Pentagone une « justification » « anti-terroriste » convenable pour donner un soubassement idéologique à son « Pivot vers l'Asie ».
En cherchant à rentabiliser au maximum cette éventualité, les médias grand public en Occident commencent déjà à tisser un récit séducteur au reste du monde, insinuant que toute montée future du terrorisme pourrait être attribuée à des « démocrates désespérés » luttant contre un « dictateur irrécupérable ». Ainsi, les terroristes salafistes sont dépeints comme des « combattants de la liberté » contre Duterte tout comme ils l'avaient été contre le Président Bachar al-Assad en Syrie, en 2011.
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À l'intérieur des Philippines elles-mêmes, la guerre de l'information en vue d'une Révolution de Couleur a échoué. Mais la raison pour laquelle elle est encore vicieusement menée dans les médias mondiaux est de convaincre l'audience publique internationale que la Guerre contre les Drogues « despotique » de Duterte engendre une résistance « démocratique » armée, « légitimant » ainsi l'usage de la terreur et leurrant délibérément l'audience étrangère ciblée vers un soutien à la Guerre Hybride en préparation.
RépondreSupprimerLes USA déchaînent Abou Sayyaf comme punition contre « The Punisher« , mais une Guerre de Terreur menée contre les Philippines ne suffira pas à défaire Duterte, s'il continue à conserver le soutien de son peuple exactement comme le Président Assad a pu le faire en Syrie.
En dépit de l'échec abyssal de la campagne US de changement de régime en Syrie, la zizanie et la destruction qu'elle a déclenchées pourraient, cyniquement, expliquer pourquoi certains stratèges endoctrinés par Brzezinski flirtent avec l'idée de l'importer aux Philippines.
Tout comme avec le « terrorisme exporté » par les USA au Moyen-Orient ils pourraient chercher à faire la même chose en Asie du Sud-Est, et c'est pourquoi Duterte doit être prêt à briser ce schéma et à défendre son pays de l'assaut qui s'annonce tant qu'il en a encore le temps.
À l'heure actuelle les patrouilles anti-piraterie conjointes des Philippines, de la Malaisie et de l'Indonésie sont un premier pas ferme pour empêcher la maturation de l'Arc de Mindanao-Sulawesi en brûlant terreau transnational de terreur, tel qu'il fut présenté pour la première fois au cours du Dialogue Shangri-La en 2015. Cette initiative multilatérale sert aussi le double objectif de protection contre les infiltrations terroristes transfrontalières, dans l'une des zones d'Asie jusqu'ici les plus vides de présence policière.
Le tout récent état d'urgence est aussi un geste qui aide à augmenter les capacités de Duterte pour combattre cette menace.
Enfin, il est inévitable que la prochaine étape doive être à terme l'expulsion de l'ensemble des forces militaires US des Philippines et la révocation de l'EDCA pour toute raison plausiblement réaliste - comme par exemple le comportement singulièrement excessif du personnel militaire US, ou un autre scandale de ce genre.
Les USA ont vu l'écriture sur le mur et redoutent sa réalisation plus tôt que plus tard. D'où les quantités de boue jetées sur Duterte par les médias grand public. Cependant, leurs auteurs ne s'aperçoivent pas que c'est précisément cette activité de Guerre Hybride qui accélère incidemment le scénario qu'il essayent si désespérément d'éviter.
https://fr.sott.net/article/29024-Guerre-hybride-des-Etats-Unis-contre-les-Philippines-pendant-que-Duterte-oriente-son-pays-hors-de-la-mainmise-unipolaire
Le Washington Post tancé pour avoir lâché Edward Snowden
RépondreSupprimer21 sept. 2016, 23:03 - Avec AFP
Un éditorial du Washington Post appelant à refuser à Edward Snowden la grâce qu'il demande au gouvernement américain, lui vaut un déluge de critiques, y compris au sein même de sa rédaction.
Lire aussi
Des journalistes du Washington Post lors de la remise du Prix Pulitzer Le Washington Post contre la grâce de Snowden malgré un prix Pulitzer décerné grâce à ses fuites
L'éditorial, titré «Pas de grâce pour Edward Snowden», a été publié alors que plusieurs associations de défense des libertés ont lancé une campagne pour pousser le président Barack Obama à gracier l'informaticien.
La Maison Blanche a opposé une fin de non recevoir à cette demande et réclamé le retour d'Edward Snowden aux Etats-Unis, afin qu'il y soit jugé. Le jeune homme de 33 ans est actuellement réfugié en Russie.
L'éditorial, publié samedi, fait valoir que si certaines révélations de l'ancien consultant de l'agence du renseignement NSA ont été utiles, d'autres étaient injustifiées, voire dangereuses.
En savoir plus : Edward Snowden, lanceur d’alerte ou criminel ? Les législateurs américains veulent son exil à vie
Révélations d'utilité publique
Cette prise de position a déclenché un déluge de critiques, à commencer par celle de Barton Gellman, l'un des journalistes du Washington Post auteur d'articles sur les révélations d'Edward Snowden.
«La page opinion n'a pas d'influence sur la couverture et vient de montrer pourquoi. Les révélations de Snowden ont été d'utilité publique», a-t-il tweeté.
Le Washington Post avait obtenu le prix Pulitzer en 2014, conjointement avec le quotidien britannique The Guardian, pour ses articles sur les informations transmises par l'informaticien.
«Ce qu'a fait Snowden a rendu service aux citoyens américains et le président des Etats-Unis devrait le gracier», a abondé Margaret Sullivan, éditorialiste du Washington Post.
La journaliste a écrit un éditorial, publié mardi, qui appelle à pardonner celui auquel le réalisateur américain Oliver Stone a consacré un film, sorti la semaine passée aux Etats-Unis (le 1er novembre en France).
«Il me semble qu'un organe de presse qui s'appuie sur une source, au risque de la mettre en danger, doit la soutenir», a dit, à l'AFP, Jane Kirtley, professeur de droit et d'éthique des médias à l'université du Minnesota.
«Pour moi, Snowden devrait rentrer et se présenter à la justice, mais je n'ai pas pris les fuites de Snowden pour en tapisser mon journal», a-t-elle ajouté.
Pour elle, «s'en prendre aux sources pour des fuites en s'appuyant sur la loi sur l'espionnage est un premier pas avant d'en faire de même avec les journalistes qui ont reçu cette information».
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Le Washington Post vient de devenir «le premier journal (américain) à demander dans ses colonnes que des poursuites soient engagées contre l'une de ses sources, sur le dos de laquelle elle a gagné et accepté le prix Pulitzer pour oeuvre d'intérêt général», s'est indigné Glenn Greenwald, ancien du Guardian aujourd'hui journaliste pour le site The Intercept.
RépondreSupprimerPour le spécialiste des médias du magazine Forbes, Matthew Ingram, l'éditorial du Washington Post va «pousser les futurs Snowden à réfléchir à deux fois à l'idée de contacter ce journal avec une fuite ou un tuyau, c'est quasiment certain».
https://francais.rt.com/international/26679-washington-post-tance-pour-avoir-lache-snowden
Edward Snowden déconseille fermement Allo, la messagerie de Google
RépondreSupprimer22:59 21.09.2016
L’application Google Allo, qui enregistre tous les messages que vous avez envoyés et les rend accessibles à la police sur demande, ne doit jamais être utilisé, assure Edward Snowden.
Edward Snowden a mis en garde contre toute utilisation de la nouvelle application de messagerie de Google, Allo, car elle sauvegarde tous les messages des utilisateurs.
L'entreprise Google a finalement sorti sa messagerie. Il s'avère qu'elle est dotée d'un algorithme qui observe tous les messages des utilisateurs et les stocke pour une analyse ultérieure visant à améliorer le fonctionnement de l'application. Mais cela signifie aussi que les messages sont stockés sur les serveurs de Google indéfiniment et pourront être lus par le géant américain. La société avait d'abord indiqué que les messages ne seraient stockés que temporairement, ce qui limite l'impact possible de toute violation de données personnelles et permet de préserver la vie privée des utilisateurs. Cependant, il semble maintenant que Google en ait terminé avec cette politique. L'entreprise a désormais l'intention de collecter et de stocker toutes les conversations.
Google va utiliser ces données pour améliorer l'application, notamment les « réponses intelligentes », qui pourraient suggérer des types de réponse aux utilisateurs. Dans le même temps, Google sera probablement aussi en mesure d'utiliser ces données à l'avenir pour cibler la publicité en fonction des utilisateurs. Tenant compte du fait que leurs conversations personnelles peuvent inclure certaines données sensibles, cela peut avoir des conséquences fâcheuses. C'est pourquoi Edward Snowden a publié un message sur son Twitter dans lequel il déconseille aux internautes de télécharger cette application mobile.
https://fr.sputniknews.com/sci_tech/201609211027864704-snowden-google-allo/