- ENTREE de SECOURS -



vendredi 2 septembre 2016

Allemagne : un réfugié meurt en tentant de mettre le feu à sa femme

2 sept. 2016, 08:39


Provoquant un incendie, un réfugié a mis le feu à sa femme dans un centre pour migrants dans la ville allemande de Rudesheim. L’homme est mort dans les flammes, tandis que sa femme a été hospitalisée dans un état grave.

Ce drame familial a été à l’origine de l’incendie du centre d’accueil pour migrants de Rudesheim. Le réfugié de 45 ans a déversé du liquide inflammable sur sa femme de 31 ans dont il s’était séparé et l'a mis à feu. La femme a été transportée dans un état grave à l’hôpital par hélicoptère. L’homme, de son côté, est mort dans l’incendie.

Leurs trois enfants ont été témoins de cette horrible scène. L’un d’entre eux, en état de choc, serait suivi. Deux autres personnes ont été blessées dans cet incendie qui a rendu inhabitable l’ensemble de cette immeuble qui servait à loger 14 personnes, selon les autorités.

La police a annoncé qu’une enquête était en cours, soulignant qu’un différent au sein de cet ancien couple était bien à l’origine de l’incendie. Selon de nombreux médias allemand, l’homme serait arrivé de Syrie, mais l’AFP affirme de son côté que sa nationalité n’a pas encore été déterminée.

Lire aussi : Incendie dans un centre pour réfugiés en Allemagne : au moins 19 blessés (VIDEO)

Un million de réfugiés sont arrivés en Allemagne en 2015, et 300 000 autres devraient arriver en 2016. L’afflux migratoire a forcé le pays à loger des migrants dans des auberges, salles de sport et baraquements militaires.

https://francais.rt.com/international/25799-allemagne--refugie-meurt-tentant

7 commentaires:

  1. Poutine à Bloomberg : la Russie n’a pas besoin de l’effondrement de la zone euro


    2 sept. 2016, 11:45


    Avant le Forum économique oriental se tenant à Vladivostok les 2 et 3 septembre, Vladimir Poutine a accordé une interview à Bloomberg, lors de laquelle il a répondu à un éventail de questions. RT France revient sur ses passages les plus intéressants.

    Le président russe a expliqué aux journalistes de Bloomberg pourquoi la Russie n’avait pas besoin de l’effondrement de la zone euro. Il a rappelé que la Russie gardait 40% de ses réserves de devises en euros, ce qui peut être considéré comme la preuve qu'un tel effondrement n’était pas dans les intérêts russes.

    Vladimir Poutine n’a néanmoins pas exclu la possibilité que la zone euro se retrouve réduite : «Je n’exclus pas qu’il y puisse y avoir quelques décisions pouvant consolider un groupe de pays aux niveaux de développement similaires et cela, dans mon opinion, renforcerait l’euro.»

    Voici les autres thèmes que Vladimir Poutine a passés en revue :

    Il vaut mieux pour le G20 ne pas intervenir en politique extérieure

    «Je pense qu’il vaut mieux que le G20 n’intervienne pas dans la politique extérieure [des différents pays]. Il existe d’autres plateformes pour cela. Le G20 a été créé comme une plateforme pour discuter avant tout des problématiques de l’économie mondiale», a déclaré Vladimir Poutine.

    Selon lui, la politique influence les processus économiques, mais si l’on ajoute au G20 les questions de politique mondiale, on surchargerait l’ordre du jour du G20. Cela mènerait à des discussions infinies sur la Syrie, estime le président russe.

    Le gel de l’extraction de pétrole serait une bonne décision pour l’énergie mondiale

    Concernant les problématiques énergétiques mondiales, le gel des volumes d’extraction pétrolière serait une bonne décision pour soutenir des prix équitables sur le marché mondial, selon Vladimir Poutine. «Je pense qu’au regard des intérêts économiques et de la logique, il serait bon de trouver un compromis. Nous pensons que c’est une bonne décision pour l’énergie mondiale», a-t-il indiqué.

    Le chef d’Etat a déploré que, dans ce cas précis, la question était plus politique qu’économique, l’Arabie saoudite ayant refusé au dernier moment de geler son extraction pétrolière en avril dernier lors d’un sommet de l’OPEP à Doha.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  2. La Russie ne vend pas ses territoires

    Le journaliste lui ayant demandé s’il était prêt à considérer la cession de l’une des îles Kouriles au Japon pour atteindre une résolution politique de ce différend territorial et une plus grande coopération économique avec Tokyo, le président russe a déclaré : «Nous ne vendons pas nos territoires». Il a néanmoins ajouté que la Russie voulait trouver avec le Japon une solution à cette problématique.

    La question des îles Kouriles assombrit les relations entre Moscou et Tokyo depuis plus de 60 ans. Le Japon revendique ces territoires en se référant au Traité commercial et frontalier de 1855, document qui reconnaît ces îles comme japonaises. Moscou estime pour sa part que ces territoires ont été rattachés à l'Union soviétique à la fin de la Seconde Guerre mondiale et que la Russie en a hérités après la chute de l'URSS. Ce différend empêche la signature d'un traité de paix entre les deux pays depuis la fin de la guerre.

    La Russie n’est pas impliquée dans le piratage des serveurs du parti démocrate américain

    Lire aussi
    Fuite des emails du DNC : «C’est la pire campagne anti-russe depuis l’époque de la Guerre froide»

    Qui a pu procéder à ce piratage ? «Je n’en sais rien, mais, au niveau gouvernemental, la Russie n’a rien à voir avec cela», a déclaré Vladimir Poutine. Il a appelé à ne pas détourner l’attention de l’opinion publique du cœur du problème en faisant diversion grâce à des questions secondaires concernant le responsable du piratage.

    En juillet dernier, WikiLeaks avait publié 19 000 emails du Comité national démocrate qui révélaient la collusion entre Hillary Clinton et les dirigeants du parti dans sa lutte contre Bernie Sanders. Washington avait immédiatement accusé les services de sécurité russes du piratage de ces courriers.

    La Russie dispose d'assez de réserves pour assurer sa stabilité économique

    «Du point de vue de la stabilité économique et des chiffres du commerce extérieur, nous disposons d'un niveau suffisant de réserves de change», a indiqué le chef de l’Etat russe.

    Il a rappelé que la Russie disposait de deux fonds de réserves : le Fonds de réserve et le Fonds de la richesse nationale, qui s’élèvent tous deux à 100 milliards de dollars.

    La révision du bilan de la Seconde guerre mondiale est la boîte de Pandore

    Face au journaliste facétieux lui demandant pour rire si la Russie était prête à négocier la souveraineté de la région de Kaliningrad, Vladimir Poutine a mis en garde contre toute tentative d’ouvrir «la boîte de Pandore».

    «Si quelqu’un veut commencer à réviser les résultats de la Seconde guerre mondiale, on peut essayer d’en discuter. Mais, dans ce cas, nous devrons discuter non seulement de Kaliningrad mais aussi des territoires de l’est de l’Allemagne, de la ville de Lvov [en Ukraine] qui avait fait partie de la Pologne, etc. Et il y a aussi la Hongrie et la Roumanie», a indiqué le président russe.

    https://francais.rt.com/international/25807-poutine-bloomberg--g20-ne

    RépondreSupprimer
  3. L’extension des sanctions contre la Russie par les Etats-Unis «ne change rien», selon Moscou


    2 sept. 2016, 08:09


    La Russie a réagi sereinement à l’extension des sanctions par les Etats-Unis à des entités responsables de la construction du pont entre la Crimée et le continent. Les sociétés russes assurent que le travail ne cessera pas pour autant.

    Le Bureau du contrôle des avoirs étrangers du département du Trésor des Etats-Unis a ajouté ce 1er septembre 37 individus et entités à la liste de sanctions «liée à la Russie et l’Ukraine». La liste, introduite en 2014, comporte désormais 11 responsables criméens supplémentaires, des entreprises de l’industrie de la défense et sept sociétés participant à la construction du pont de 19 kilomètres entre la péninsule et le continent, à travers le détroit de Kertch.

    Lire aussi
    Crimée : en dépit des sanctions, les échanges maritimes se poursuivraient avec des membres de l'UE

    Face à cette nouvelle initiative des Etats-Unis, le Kremlin reste calme. «Nous devons analyser cette expansion, mais habituellement, dans de tels cas, un principe de réciprocité est utilisé», a déclaré le secrétaire de presse du président russe, Dmitri Peskov. Il a par ailleurs souligné que la politique de sanctions ne mènerait les Etats-Unis nulle part : «Nous pensons qu’une telle rhétorique n’est pas constructive [...] pour la résolution de problèmes.»

    La société russe Gazprom, dont des filiales figurent également dans la liste, affirme pour sa part que les nouvelles sanctions n’affecteront pas son travail. «Tous les sociétés répertoriées appartenant au groupe Gazprombank étaient déjà de facto placées sous sanctions américaines… De ce fait, l’annonce du Trésor des Etats-Unis ne change rien dans l’état actuel de choses, ni pour Gazprombank ni pour les entreprises mentionnées», indique un communiqué de la société.

    Les sanctions touchent également des entreprises impliquées dans la construction du pont entre la Crimée et le continent, infrastructure vitale pour la région. La construction du pont doit être achevée d’ici la fin 2018 et le centre d’informations du pont affirme que ces sanctions ne perturberont pas le projet. «Le contracteur a toutes les ressources nécessaires pour la mise en œuvre du projet», lit-on dans son communiqué.

    Après le coup d’Etat en Ukraine en 2014 et le rattachement de la Crimée à la Russie, les relations entre la Russie, les Etats-Unis et l’Union européenne se sont tendues. L’Occident a imposé des sanctions contre la Russie, l’accusant de déstabiliser l'Ukraine. Moscou a répondu en introduisant des contre-mesures.

    https://francais.rt.com/economie/25798-lexpansion-sanctions-contre-russie-par

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Quels pourraient être les problèmes pour le pays le plus grand du monde (2 fois les États-Unis et plus de 4 fois 'l'union européenne') ??! HAHAHAHA !

      Supprimer
  4. Les Britanniques opposés à la burqa et au burkini


    12:29 02.09.2016


    Une majorité de Britanniques se prononcent pour l'interdiction de la burqa et près de la moitié ne sont pas favorables à celle du burkini. Selon un sondage effectué par YouGov, 57% des Britanniques se disent favorables à l'interdiction du port de la burqa contre 25% opposés à une telle interdiction.

    Le sondage a été mené auprès de 1.668 personnes. En ce qui concerne le burkini, ce maillot de bain islamique couvrant le corps et la tête qui défraie la chronique en France, 46% des Britanniques veulent que ce dernier soit interdit alors que 30% le voient d’un bon œil.

    Il est à noter que 78% des 65 ans sont favorables à une interdiction de la burqa contre seulement 34% chez les 18-24 ans. La même tendance est constatée pour le burkini (63% contre 26%). Hommes et femmes possèdent en revanche un avis similaire sur la question puisque 56% des femmes et 58% des hommes soutiennent une interdiction de la burqa. Aucune loi n'interdit le port du voile intégral au Royaume-Uni. En 2007, le ministère de l'Éducation a toutefois publié des directives permettant aux directeurs des établissements scolaires d'interdire le niqab, voile intégral ne laissant apparaître que les yeux.

    La liste des pays européens opposés au port de la burqa s’élargit Le 26 août, le Conseil d'Etat français a suspendu un arrêté interdisant le port du burkini aux baigneurs sur les plages de Villeneuve-Loubet (Alpes-Maritimes). Il est prévu que la décision du Conseil serait prise en considération par les tribunaux dans l'examen de plaintes pareilles dans d'autres villes françaises qui ont adopté l'interdiction. Il y en a environ 30. Cependant, en dépit de la décision du Conseil d'Etat, le maire de la ville corse de Sisco Ange-Pierre Vivoni a déjà déclaré qu'il n'allait pas lever l'interdiction du burkini sur les plages locales. Entre autres, trois femmes ont dû payer une amende de 38 euros "pour non-respect des règles en vigueur".

    https://fr.sputniknews.com/societe/201609021027574439-burqa-burkini-britanniques/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. La remise en cause récemment de la présence des chiens sur la plage et du pourquoi les fermiers n'y amènent-ils pas leurs cochons pour s'y baigner a permis aux industriels à se plaindre des voix qui s'élèvent contre parfois leurs rejets en mer ainsi qu'à des amendes qui dépassent les '38 €' !

      Supprimer
  5. "Les intérêts défendus par l'Otan sont illégaux"


    10:10 02.09.2016

    Le ministre russe des Affaires étrangères estime que les intérêts de l'Otan et de l'Europe sont souvent contraires à ceux des pays concernés et aux principes que l'Occident a toujours professés.

    La Russie ne peut pas reconnaître les intérêts défendus par l'Otan sous l'influence des Etats-Unis comme légaux, car ils violent les intérêts nationaux de nombreux pays, a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov dans une interview à l’édition russe Conseil russe de politique étrangère et de défense.

    "On observe des tentatives de nous diaboliser. Il y a des raisons de nous critiquer, comme tout autre pays du monde. Auparavant, nous avions des mécanismes de dialogue avec les Etats-Unis et l'UE et l'on échangeait nos préoccupations relatives à ce qui se passait aux Etats-Unis, en Russie et en Europe. Aussi imparfaits que fussent ces dialogues, ils se déroulaient d’égal à égal et ont permis de résoudre bon nombre de questions de manière normale, ou du moins de discuter de ces questions", a indiqué le ministre.

    Moscou ne menace aucun pays de l'Otan, assène un ministre hongrois Selon lui, actuellement, tous ces canaux de dialogue sont fermés. Evoquant les relations Moscou-Bruxelles, le chef de la diplomatie russe a souligné que l'Europe voulait elle-même rompre les relations avec Moscou sous le diktat des Etats-Unis. Selon lui, un certain nombre de pays d’Europe déclarent ouvertement que la politique devait primer l'économie, notamment dans le cas des sanctions contre la Russie. "Ceci est contraire à ce que l'Occident a toujours professé", a poursuivi le ministre.

    https://fr.sputniknews.com/international/201609021027571622-usa-europe-russie-interets-illegaux/

    RépondreSupprimer