18:32 23.09.2016
L'injection d'eau dans les puits industriels du Texas, qui permet d'extraire le pétrole de schiste, provoque des séismes dans la région. Ces conclusions d'un groupe de sismologues américains ont été publiées par le magazine Science.
Depuis 2008, l'activité sismique s'est accrue dans la région centrale des États-Unis. Les scientifiques associent ce phénomène à l'injection d'eau dans les puits pétroliers et gaziers, ce qui fait augmenter le niveau de pression hydrodynamique dans les pores du sol. Résultat: un accroissement de l'impact sur les failles dans les roches, qui entraîne également l'élévation de la surface terrestre observable par satellite.
Les sismologues ont étudié méticuleusement le lien entre l'évolution de la pression de couche et l'activité sismique observée à l'Est du Texas. Ils ont évalué les changements en surface de plusieurs puits situés à 15 km les uns des autres. Des observations satellites ont été effectuées en 2007, en 2010 et en 2014.
Les résultats ont confirmé que les séismes tels que le tremblement de terre d'une magnitude de 4,8 sur l'échelle de Richter qui a eu lieu au Texas en 2014 ont été provoqués par l'injection d'eau. D'après les chercheurs, l'utilisation des satellites pour suivre l'impact de l'extraction d'hydrocarbures pourrait améliorer la précision des prévisions de secousses souterraines provoquées par l'homme.
https://fr.sputniknews.com/presse/201609231027894343-petrole-schiste-extraire-tremblements-de-terre/
T. Boone Pickens dit Obama est un perdant pour l'industrie de l'énergie
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
23 septembre 2016 10h07
Soumis par Julianne Geiger via OilPrice.com,
Selon le magnat de l'énergie T. Boone Pickens, Obama a été un perdant pour l'industrie de l'énergie. Et pas seulement un perdant, mais "un perdant complet".
Qu'il est pas un fan des politiques, y compris ses politiques énergétiques du président Obama - est sans surprise. Pickens a dit en 2014 que Obama était «le pire président que nous ayons jamais eu".
"Il n'a jamais promu l'énergie et ne prête attention à ce que je peux voir," a déclaré Pickens dans une interview jeudi avec Yahoo Finance, sans offrir une grande partie à l'élaboration des raisons de cette opinion.
Obama est en désaccord apparemment, comme en témoigne l'acceptation des louanges à un rassemblement Hillary Clinton plus tôt ce mois-ci pour les prix du gaz de 2,00 $ que les Américains sont Basking aujourd'hui (tout le monde sauf pour ceux sur la côte Est, qui est-bien que les conducteurs américains sont prêts à gaspiller $ 2.1 milliards sur l'essence inutile de toute façon, nous ne sommes pas sûr que cela est important).
Pickens basée à Dallas, rincé avec une valeur nette estimée de 3,1 milliards $ (en 2008) sur le dos de l'énergie, a donné régulièrement au parti républicain, et notamment George W. Bush, à qui Pickens a donné 250.000 $ don maximal admissible en vertu des lois de la campagne au cours de l'investiture de Bush en 2005.
Ce cycle d'élection, Pickens a choisi de soutenir un autre Bush-Jeb Bush-jetant une contribution de 100.000 $ son chemin, mais il courtisait plusieurs candidats. Pickens a organisé une collecte de fonds pour le candidat républicain Carly Fiorina fin en 2015, alors que dans le même temps chantant les louanges de Ben Carson, au motif qu'ils partageaient des vues similaires sur la politique énergétique, à savoir l'idée que l'Amérique devrait se sevrer du pétrole de l'OPEP.
Mais venez mai 2016, Pickens avait soutenu encore un autre cheval: cette fois, Donald Trump - malgré la hérissée de Big Oil à l'idée de mur de Trump, qui a le potentiel d'aliéner le Mexique et avec elle, ses opportunités d'investissement pétrolier appétissants. Semblable à Carson, la plate-forme d'énergie de Trump est solidement anti-OPEP, et des centres autour complet "l'indépendance américaine de l'énergie."
Alors que Big Oil peut être sceptique de soutenir un candidat générique, comme Trump, Pickens est solidement dans son coin, et est solidement contre l'adversaire de Trump, Hillary Clinton, qui a été accusé d'avoir des points de vue opposés de fracturation selon que le fracking a lieu à la maison ou à l'étranger.
http://www.zerohedge.com/news/2016-09-23/t-boone-pickens-says-obama-loser-energy-industry
SupprimerFaut dire que le vieux pétrolier texan (reconverti dans... les éoliennes ! HAHAHAHA !) a perdu un peu plus que des gros sous ! et, à même demandé à ce que les contribuables (via Congrès) lui paient les lignes électrique de raccordement aux foyers !... "Mon œil" lui a répliqué l'homme de Casablanca ! "Débrouille-toi !"
http://lebulldozerdanslatete.over-blog.com/article-14000-eoliennes-abandonnees-aux-etats-unis-120464979.html
Le pénible voyage d'un homme renonçant à la citoyenneté américaine
RépondreSupprimerpar Tyler Durden
22 septembre 2016 21h30
Soumis par 'Kevnice' via ForeignByNature.com,
En Avril 2012, je suis retourné en Suisse - mon pays de naissance - pour commencer une nouvelle phase de ma vie d'adulte.
Naturellement, l'une des premières étapes à entreprendre lorsque s'établir dans un nouveau pays est d'ouvrir un compte bancaire.
Je suis descendu à la branche locale de la banque Raiffeisen dans le village de Aesch, Luzern, où mes parents et ancêtres avaient vécu et travaillé comme agriculteurs depuis plus de 10 générations.
À la banque, j'ai reçu les formulaires standard d'application requis pour ouvrir un compte de base de contrôle. La forme m'a interrogé sur ma nationalité. J'ai marqué suisse comme ma nationalité, et les États-Unis comme ma deuxième nationalité.
Le greffier a examiné les formes que j'avais soumis. Après un examen attentif et une discussion interne, elle a dit: «Je suis désolé, nous ne pouvons pas ouvrir un compte bancaire pour vous parce que vous êtes un citoyen américain".
"Mais je suis un citoyen suisse !» Je me suis plaint, en suisse-allemand.
«Je sais, mais vous avez la nationalité américaine. Plus tôt ce mois-ci, nous avons reçu une directive de la direction de ne pas ouvrir d'autres comptes pour les détenteurs de passeports américains, même si elles sont également en Suisse. Je suis vraiment désolé, mais nous ne pouvons rien faire pour vous », dit-elle.
Je quittai la banque en colère et confus.
Je suis arrivé avec plusieurs autres banques. Ce fut la même histoire avec chacun d'eux.
Je racontai l'histoire à mes parents suisses. Ils ont tous eu la même réaction: «Mais tu es suisse!"
Personne ne pouvait comprendre.
(suite en dessous:)
A cette époque, j'ignorais complètement FATCA, l'imposition globale des citoyens des États-Unis, l'obligation de déclarer les soldes des comptes bancaires à l'étranger plus de 10.000 USD au Trésor des États-Unis (FBAR), et tous ces respect importe que - au moins chez les américains expatriés - ont devenir sujets brûlants au cours des dernières années. Je suis parti aux Etats-Unis à l'âge de 22 ans après l'université, après avoir jamais vraiment travaillé là-bas au-delà de l'emploi étudiant à temps partiel, et avait vécu au Japon et à Taiwan pour les 7 années précédentes enseignement de l'anglais avant de passer à la Suisse.
RépondreSupprimerIl est pas comme si le gouvernement américain vous donne une interview de sortie lorsque vous quittez le pays, vous expliquant comment se conformer à l'ensemble de leurs lois lourdes. Le fardeau est sur vous - le contribuable - pour vous informer, ou faire face à de lourdes peines - jusqu'à 10 000 $ pour chaque année de non-conformité.
Vous êtes coupable jusqu'à preuve du contraire.
Tout à coup, je me suis aperçu que j'avais été techniquement non conforme aux États-Unis depuis des années, bien que je ne faisais beaucoup d'argent.
J'étais furieux. De quel droit le gouvernement américain a t-il dû essayer de me taxer ou de me faire déclarer quoi que ce soit pour eux, pas pour y avoir vécu pendant près de 10 ans ? Aucun autre pays développé dans le monde exige. Je ne suis pas à faire assez d'argent pour avoir réellement US payer l'impôt (vous pouvez exclure autour de 100K $ comme revenu étranger), mais le principe même de devoir se conformer me enragée.
Ce fut quand je considérais renoncer à ma citoyenneté américaine.
J'ai contacté l'ambassade à Berne, qui m'a rapidement envoyé une trousse d'information. Tout ce que je devais faire était de retour fichier cinq années de rendements (je pouvais exclure tous mes revenus de l'impôt américain), prendre rendez-vous à l'ambassade américaine à Berne, et de payer des frais d'administration de 450 $. Comme je l'ai déjà été un citoyen de la Suisse à la naissance, je ne voudrais pas payer une taxe de sortie. Il n'a fallu que 2-3 semaines pour recevoir un rendez-vous. Il semblait rapide et facile.
Cependant, j'ai hésité.
Qu'en est-il ma mère ? Elle vivait encore aux États-Unis. Que faire si elle est tombée malade ou quelque chose ? Que faire si la Suisse ou l'Europe devient un lieu terrible d'être dans l'avenir ? Que faire si l'UE se brise ?
Je pensais que ce serait peut-être sage de garder ma citoyenneté américaine, juste au cas où. Une deuxième nationalité est comme une police d'assurance contre le déclin économique et social dans le pays de votre première nationalité.
Mais ce qu'il faut faire, exactement ? Dois-je aller à travers le reste de ma vie à l'extérieur des États-Unis menti à ce sujet, soutenant que je ne suis suisse ?
J'avais été non conforme depuis des années déjà, et ne l'avais jamais entendu quoi que ce soit par les autorités américaines. Peut-être que je pourrais continuer sous le radar pour toujours ?
Ou devrais-je simplement avaler ma dignité et se conformer à toutes leurs règles ? Je ne devais déposer une déclaration de revenus simple et la forme FBAR. Comme mentionné, j'ai fait trop peu d'argent pour devoir de l'impôt de toute façon.
(suite en dessous:)
Comment a fait cette préoccupation ma femme ? Qu'est-ce qui se passe quand nous avons des enfants, et si je meurs - seraient-ils pas avoir à payer US droits de succession sur tout ce que je possédais ? Quel serait le point de garder la citoyenneté américaine si je ne prévoyais pas le transmettre à mes enfants?
RépondreSupprimerJe suis allé en arrière comme cela dans mon esprit pour un couple d'années. Je ne pouvais pas prendre une décision. Je ne voulais pas mentir pour le reste de ma vie, mais ne fait que je veux respecter.
Puis, en Septembre 2014 est venu le point de basculement pour moi: Le département d'Etat américain a soulevé les frais d'administration pour les renonciations de 522%, passant de 450 $ à 2350 $!
Je compris alors que je traitais avec une institution criminelle. Ils étaient la mafia - soit payer l'argent de protection toute votre vie, ou de payer une somme forfaitaire pour sortir.
Qu'est-ce que les empêchait de décider d'augmenter les frais de 5000 $ ou même 10 000 $ ?
Rien ne les empêche. Ils pouvaient faire ce qu'ils voulaient. Il y avait eu un nombre record de renonciations au cours des dernières années. Il était une bonne affaire. Il est pas comme il existait un puissant lobby expatriés à Washington les contraindre à modifier leurs politiques sur le renoncement.
Rage me prit à nouveau. J'étais aussi en colère contre moi-même pour hésiter sur mon premier instinct et que mon hésitation me coûterait 2000 $.
Je laisse ma rage ragoût pendant quelques mois. Je l'ai étudié les diverses formes de renonciation, pour voir si je pouvais trouver un moyen de sortir de payer les frais (Renonciation est un type de renonciation, et certains types de renonciation ne nécessitent pas de paiement de la taxe).
Cependant je ne suis pas prêt à prêter serment d'allégeance à Al-Qaïda et aucun des autres situations ou critères appliqués pour moi, alors je me suis finalement mordu la balle et pris rendez-vous pour le renoncement.
Le processus administratif commence
Mon rendez-vous a été fixé à l'ambassade à Berne pour le 20 Février 2015.
J'avais été informé par l'ambassade à l'avance qu'il a fallu généralement 2-3 mois pour traiter le certificat de perte de la nationalité (CLN), le document qui stipule officiellement que vous n'êtes plus un citoyen américain.
Quelques jours avant ma nomination, je suis allé à un événement de réseautage où je parlais avec deux professionnels de l'assurance qui ont servi des clients étrangers. Ils ont tous deux histoires liées à moi de citoyens américains en Suisse qui avaient renoncé à leur citoyenneté. Pour un client, il a pris le gouvernement 1 an à traiter sa CLN. L'autre client avait renoncé à 18 mois plus tôt et n'a toujours pas reçu son CLN.
(suite en dessous:)
Qu'est-ce qui se passait ?
RépondreSupprimer20 février est arrivé. Mon rendez-vous était à 15 heures, donc je pris l'après-midi de congé et dirigé vers Berne.
Ce fut une journée chaude et ensoleillée anormalement. Les gens détendus sur des bancs et des parcs dans toute la ville que je marchais. Le ciel bleu saphir était complètement hors des nuages et il n'y avait pas de brume. Vous pouvez voir les Alpes grandioses dans la distance avec une clarté totale, les sommets enneigés scintillants fournissant une superbe toile de fond à l'architecture magnifique de Berne.
J'étais tôt pour mon rendez-vous donc je détendu dans l'un des parcs près de certains adolescents. J'aurais voulu se soucier de la musique et des filles et qui était cool à l'école au lieu de fretting sur la nationalité et la conformité fiscale. Je collectionnais mes pensées.
Je suis allé à entrer dans l'ambassade environ 15 minutes avant ma nomination. Il y avait plusieurs drapeaux américains volant à l'extérieur. Je me suis senti aucune émotion quand je les regardais.
L'entrée était gardée par une sorte de gars militaire africaine portant un gilet pare-balles qui a ouvert la porte après avoir sonné une cloche.
J'ai eu mon travail portable avec moi. Il fit un geste vers mon sac d'ordinateur portable.
"Est-ce un ordinateur portable ? Désolé, aucun des ordinateurs portables autorisés ici ", a t-il dit en anglais accentué.
Bien sûr, ils étaient préoccupés par les terroristes. Je l'avais entendu dire que la branche suisse de la CIA avait son siège dans le même bâtiment.
Mais ce que l'enfer ? Il n'a jamais été question d'une politique Pas d'ordinateur portable dans la trousse d'information que j'avais reçu de Berne. Je pensais que ce pourrait être assez fréquent que les gens ont un ordinateur portable avec eux.
Je regardai autour. Il n'y avait nulle part où le mettre.
"Euh ... je fais quoi alors ? Où puis-je dire ? "Je lui ai demandé.
«Allez voir la dame à l'extérieur par la boîte de sécurité", a t-il répondu.
Je lui ai demandé et elle m'a dit en suisse-allemand qu'il y avait un poste de police, un couple de blocs courts vers le bas le chemin où je pouvais laisser.
Je me suis dirigé dans la rue et regardé autour. Je suis allé à gauche, puis à droite. Je ne vois pas de poste de police.
Je demandai un gars dans la rue. Il ne savait pas quoi que ce soit au sujet d'un poste de police voisin.
Je suis arrivé le temps sur mon mobile. J'ai eu moins de 10 minutes. Je ne voulais pas être en retard pour ce rendez-vous. Je pensais qu'ils pourraient annuler sur moi si j'étais une minute de retard - on ne sait jamais avec les bureaucrates.
(suite en dessous:)
Je fait du jogging retour à la dame à la boîte de sécurité.
RépondreSupprimer"Désolé", je dis: «Je regardais autour, mais ne voit pas de poste de police. Pouvez-vous indiquer à nouveau s'il vous plaît ? "
«Il est de ce bâtiment avec l'auvent rouge", me dit-elle en désignant la fin de la rue.
Je suis retourné à ce bâtiment. Il y avait quelque chose qui ressemblait à une boulangerie avec un auvent rouge, mais il était certainement pas un poste de police.
Je suis arrivé à nouveau mon mobile. 5 minutes jusqu'à ce que mon rendez-vous. Je commençais à transpirer.
A côté de la boulangerie il y avait un immeuble d'appartements. Je suis arrivé à l'entrée et il a été ouvert. Je courus là, rapidement planqué mon sac d'ordinateur portable derrière quelques plantes dans un espace commun / fumer au premier étage, et fait du jogging jusqu'à l'entrée avec 2 minutes à perdre.
Une fois à l'intérieur du bâtiment, je suis allé à travers le détecteur de métal et vérifié mon téléphone mobile avec la sécurité. Ils me dirigés vers le bas des escaliers à un niveau de sous-sol.
Comme je suis entré dans cette zone un garde de sécurité femme m'a accueilli.
"Bonne après-midi. Je dois vous demander d'enlever vos lunettes de soleil ", dit-elle.
"Ils ne sont pas des lunettes de soleil", dis-je. Ils sont des verres correcteurs réguliers qui teinte lorsqu'ils sont exposés aux rayons UV.
"Que voulez-vous en avez besoin pour ?» Demanda-t-elle.
"Pour se déplacer dans l'espace", je l'ai informé.
"Eh bien, nous ne permettons pas des lunettes de soleil ici. Donc, s'il vous plaît prendre jusqu'à ce que vous atteigniez le coin salon ".
J'ai enlevé mes lunettes et utilisé un sonar pour trouver un siège, puis mettre mes lunettes sur.
Une fois que je reprenais ma vision, je vis qu'il y avait 3 autres renonçants attente devant moi, avec des expressions de démission sur leurs visages.
Je me sentais trop sombre et impliqué dans mes propres pensées pour faire chit chat. Je me suis assis en silence.
Pendant que j'attendais, j'avais dropped sur une femme britannique accentués parler avec l'un des autres renonçants. Elle avait également apporté un ordinateur portable avec elle et dans le cours de la conversation a confirmé que le bâtiment avec l'auvent rouge était en effet une boulangerie. Ils lui ont permis de stocker son ordinateur portable là-bas pour 3 francs suisses.
Quel genre d'ambassade est-ce ? Exécution d'une escroquerie cash-for-laptop-stockage ? Est-ce l'ambassade du leader du monde libre ou celle d'une république bananière ?
(suite en dessous:)
Je ne devais attendre environ 5 minutes. Tout d'abord, vous allez à une fenêtre et répondre à quelques questions de base. Ils vous donnent un bulletin de paie que vous prenez ensuite à une autre fenêtre pour effectuer le paiement du $ 2,350. Je suis arrivé à la fenêtre de paiement qui vous nécessaire pour sonner une cloche pour ouvrir. J'ai sonné et attendu environ 2 minutes complètes avant que quelqu'un a répondu.
RépondreSupprimerJe fis le paiement et on m'a donné un reçu. Je pris mon reçu avec moi à la zone d'attente.
Pendant que j'attendais, je l'ai regardé et entendu deux autres personnes passent par le processus de renoncement entier, qui prend moins de 5 minutes. Il était donc anti-climax quand il a finalement été mon tour que je venais d'entendre tout deux fois.
Mon tour. J'ai rencontré le consul, un grand homme corpulent amicale derrière une fenêtre pare-balles. Je devais confirmer certaines informations par écrit. Puis il a récité le serment de renonciation; Je ne l'ai même pas besoin de le dire moi-même. Quand il a fini, je l'ai signé une déclaration qui comprend le texte du serment.
Je remis mon passeport américain dont il a ensuite pris un coup de poing et quelques trous dans, l'invalider.
Le consul m'a alors informé que cela prendrait 3-5 mois avant que je recevrais ma CLN. Il serait envoyé de Washington à l'ambassade à Berne, et ils me contacter quand ils l'ont reçu.
Il m'a alors demandé si j'avais prévu de voyager aux États-Unis durant cette période. J'ai dit non.
Il m'a expliqué que jusqu'à ce que je reçois mon CLN, je ne serais pas encore officiellement non-américain. la loi américaine sur l'immigration stipule toutefois que les citoyens américains doivent entrer aux États-Unis sur leur passeport américain, que l'ambassade venait confisqué. Cela signifiait qu'il était très probable que je serais interdit d'entrée si je tentais d'entrer aux États-Unis, à moins que ce fut une urgence, comme un enterrement, auquel cas ils pourraient me laisser autant que je pouvais documenter autant que possible ( à savoir fournir un certificat de décès).
Je lui ai dit qui était très bien. Je n'ai pas besoin d'entrer aux États-Unis dans les 3-5 prochains mois.
Cela conclut mon renoncement. Le tout était fini en 30 minutes environ. Je saisis une canette de bière sur le chemin de la gare et dirigé la maison, sentant toute l'expérience d'être surréaliste.
Ping Pong administratif
Il était Août 2015. Six mois se sont écoulés et je n'avaient pas entendu quoi que ce soit de Berne.
Ma mère a suggéré que j'ai appelé l'ambassade. Bien sûr, les services consulaires des États-Unis ne sont disponibles que pour les appels au cours d'une fenêtre de 2 heures chaque jour.
Une fois que je suis à travers et identifié moi-même, je l'ai expliqué que j'avais dit que ce serait prendre 3-5 mois pour traiter mon CLN et que maintenant 6 mois passèrent sans nouvelles.
(suite en dessous:)
"Ouais", a commencé le conseiller, «il a pris beaucoup plus de temps ces derniers temps en raison de problèmes informatiques. Je vois que votre demande est toujours ouverte, mais il est en quelque sorte suspendu dans le système à Washington. Je crains qu'il n'y ait rien que nous puissions faire à ce sujet à partir d'ici ".
RépondreSupprimer"OK, ça va, je vais juste attendre un peu plus longtemps."
J'ai attendu plus longtemps. La température refroidi et les feuilles a changé de couleur.
Puis ce fut Octobre. Ma mère commençait à paniquer un peu et a suggéré que je l'appelle à nouveau. Je lui ai expliqué qu'ils avaient dit qu'il n'y avait rien qu'ils puissent faire. Elle a insisté pour que je tente à nouveau.
Alors j'ai appelé à nouveau.
"Ouais", a commencé le conseiller, «il a pris beaucoup plus de temps ces derniers temps en raison de problèmes informatiques. Je vois que votre demande est toujours ouverte, mais il est en quelque sorte suspendu dans le système à Washington. Je crains qu'il n'y ait rien que nous puissions faire à ce sujet à partir d'ici ".
"OK, ça va, je vais juste attendre un peu plus longtemps."
Je pratiquement abandonné à ce stade. Ma mère a commencé à écrire des lettres à son député local.
Les feuilles sont tombées des arbres et ont été remplacés par la neige. Noël et Nouvel An allaient et venaient.
Pendant les vacances, j'ai eu une idée. Je me suis rappelé qu'un copain de collège de la mine était dans le Corps de la Paix et avait ensuite été placé au Département américain du Trésor. Alors j'ai appelé dans une faveur. Je lui ai demandé s'il connaissait quelqu'un dans le Département d'Etat, en particulier des États-Unis Citoyens Services.
Il se trouve qu'il a fait. Il m'a mis en contact avec quelqu'un à l'État nommé Eric, qui connaissait quelqu'un qui a traité renonciations.
J'ai écrit un e-mail au contact. Elle a répondu, en disant que mon cas avait déjà été résolu en Avril 2015 et que Berne devrait avoir mes papiers.
Incrédule, j'ai appelé Berne quelques jours plus tard au début de Janvier ici 2016.
"Hey Berne, Washington m'a dit que mon cas avait déjà été résolu il y a 9 mois et que vous devriez avoir mes papiers", Je me suis plaint.
"C'est incorrect", a répondu Berne. "Il était avec Washington jusqu'à il y a seulement quelques jours quand il a été renvoyé vers nous".
(suite en dessous:)
"Je vois. Pensez-vous que Washington a oublié de cliquer sur un bouton ou quelque chose dans le système ? Et qu'il est revenu à vous parce que je les ai contactés et ils ont finalement déménagé vers l'avant ? "Demandai-je.
RépondreSupprimer"Nous ne pouvons pas être sûr, mais qui sonne à peu près juste», répondirent-ils.
Effectivement, une semaine plus tard je me suis finalement reçu mon certificat de perte de la nationalité.
Pensées finales
Mon expérience avec les retards et les expériences des autres je l'ai mentionné (ainsi que d'autres expériences similaires que je lis à propos de divers panneaux de message) a quitté mon picotement Araignée Sense. Bien que je ne peux jamais être sûr, le théoricien de la conspiration me demande si certains administrateurs à Washington ne retardent pas intentionnellement la finalisation des cas de renonciation comme une forme de sanction administrative. Ils savent que vous êtes dans l'incertitude administrative et ne peut pas visiter les États-Unis durant cette période. Pourrait-il être une finale, rancunier, doigt du milieu séparation dans votre visage du gouvernement américain ?
Voilà le genre de service de haut niveau que vous obtenez pour payer les frais gouvernementaux exorbitants. On pourrait penser que, avec une telle étiquette de prix que vous obtenez au moins un service rapide. En fin de compte que je devais utiliser les contacts du gouvernement et tirer les ficelles administratives pour finalement recevoir le service pour lequel je payé si généreusement.
Il n'a pas fait beaucoup pour diminuer l'impression que je devais de faire face à une république bananière, plutôt que la plus grande superpuissance du monde ait jamais connu.
Cela dit, je suis vraiment reconnaissant. Je me considère comme très chanceux.
Je suis reconnaissant d'avoir été un citoyen à la naissance de l'une des sociétés les plus prospères, les plus développés et les plus démocratiques du monde. Sans nationalité suisse, il aurait été une décision beaucoup plus difficile.
Je suis reconnaissant que je ne dispose pas d'actifs ou beaucoup d'argent quand je renonçais, ce qui a rendu plus facile et le respect costless virtuellement.
Je suis reconnaissant que je ne suis pas soumis à l'exit tax. Pour ceux qui sont soumis à l'exit tax, sur le renoncement aux taxes IRS comme si vous aviez vendu tous vos biens.
Enfin, je suis reconnaissant que je ne dois pas voter en 2016 l'élection présidentielle américaine.
http://www.zerohedge.com/news/2016-09-22/un-becoming-american-one-mans-painful-journey-renouncing-citizenship
Algérie : après la mort d’une femme brûlée vive, Amnesty International tire la sonnette d’alarme
RépondreSupprimer23 sept. 2016, 17:14
Alors que le meurtrier d’Amira Merabet, brûlée vive fin août en Algérie, est toujours en fuite, l’ONG de défense des droits de l’Homme dénonce «l’impunité» des agresseurs, dans un pays où les violences faites aux femmes sont en augmentation.
C’est arrivé le 29 août, vers 8h du matin. Amira Merabet, 34 ans, se rendait simplement à son travail à pied, dans la ville d’El Khroub, dans l’est du pays, lorsqu'elle aurait été harcelée. «Sans raison aucune», un jeune homme qu’elle ne connaissait pas se serait mis à la frapper avant de l’asperger de liquide inflammable et d’y mettre le feu, a témoigné la sœur de la victime, Fatim-Zohra, dans le magazine d’actualité Jeune Afrique.
Quelques heures plus tard, Amira succombe à ses blessures à l’hôpital. En fuite, son agresseur est toujours recherché par la police.
La goutte d’eau qui fait déborder le vase ?
Pour la directrice du bureau d’Amnesty International à Alger, Hassina Oussedik, l'histoire tragique de la jeune Algérienne doit interpeller les autorités.
«Les associations demandent à l’Etat de protéger les femmes face à des hommes qui s’en prennent à elles en toute impunité», explique-t-elle au magazine, alors que des rassemblements de soutien à Amira Merabet ont eu lieu ces derniers jours dans plusieurs villes du pays.
«L’Etat doit donner une réponse forte face à ce qu'il se passe. Il faut qu’il montre l’exemple !», conclut la militante des droits de l’Homme.
Des chiffres en hausse
Lire aussi
Une course 100% féminine à Alger, le jour de la grande prière
Entre 2014 et 2015, les plaintes déposées pour des violences faites aux femmes ont augmenté de 27%, selon les données de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’Homme (CNCPPDH), une institution indépendante créée par le gouvernement algérien en 2001.
La hausse est particulièrement criante dans les plaintes pour violences sexuelles, qui sont elles passées en un an de 208 à 383.
Et pourtant, ces données pourraient sous-représenter le probléme, comme l’indique la CNCPPDH : «Beaucoup de femmes souffrent en silence ou déposent des plaintes et les retirent par la suite de peur des représailles de leurs agresseurs ou de la société.»
https://francais.rt.com/france/26762-algerie-femme-brulee-vive
Les arsenaux nucléaires russes et US réduits au niveau des années 1950
RépondreSupprimerMoscou et Washington ont réduit leurs arsenaux nucléaires. La Russie promet en outre de ne pas déployer ses armes nucléaires à l’étranger, contrairement aux États-Unis. La Russie et les États-Unis ont réduit leurs arsenaux nucléaires jusqu'au niveau des années 1950, a annoncé Mikhaïl Oulianov, directeur du département pour la non-prolifération et le contrôle des armements auprès du ministère russe des Affaires étrangères.
« Nous remplissons progressivement nos engagements dans le cadre du Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires (TNP). La Russie et les États-Unis réduisent continuellement leurs arsenaux. Nos armements nucléaires sont cinq fois moins importants que pendant la phase la plus tendue de la Guerre froide, nous avons stoppé la course aux armements nucléaires et aujourd'hui les arsenaux russes et américains se trouvent au niveau de la fin des années 1950 ou du début des années 1960 », a indiqué M.Oulianov. Des occasions manquées
Selon le diplomate, les États-Unis ont du mal à formuler de manière précise leurs revendications concernant le Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire (FNI), contrairement à la Russie. « Nous sommes d'accord avec nos partenaires américains sur le fait que les contacts dans le cadre du Traité FNI doivent être confidentiels. Mais ce dialogue me laisse une étrange impression: les États-Unis sont incapables d'expliquer et d'argumenter leurs réclamations par rapport au Traité FNI », a noté M. Oulianov. « À chaque fois ils disent: "Nous savons que vous êtes coupables et vous savez que vous l'êtes et que vous devez vous repentir". Mais la discussion n'avance pas sans faits concrets. Nos réclamations, au contraire, sont parfaitement fondées, nous pouvons les présenter par écrit sur des dizaines de pages. Toutes les revendications russes sont appuyées par des faits concrets et sérieux », a poursuivi le diplomate.
D'après ce dernier, la Russie a l'intention de poursuivre ces contacts dans la mesure du nécessaire. « De notre point de vue, les drones d'attaque sont une violation du Traité mais les USA ne cessent de les mettre en service », a ajouté M. Oulianov. Selon lui, Moscou espère parvenir à un consensus avec la future administration américaine en matière de désarmement. « Nos propositions restent sur la table des négociations. Nous espérons que la nouvelle administration américaine, qu'elle soit républicaine ou démocrate, réussira à analyser de manière impartiale l'essence de nos propositions (en termes de désarmement) et à revoir son approche", a-t-il noté. "Si cela se produisait, je pense que nous parviendrions à un consensus total en seulement quelques semaines et que le dialogue pourrait démarrer", souligne le diplomate.
La dernière session de la Conférence sur le désarmement de 2016 s'est terminée le 16 septembre et la prochaine session s'ouvrira en janvier 2017. « Les Américains pourraient continuer de formuler des objections sans explications en bloquant les initiatives russes.
(suite en dessous:)
Mais les règles de la conférence sur le désarmement permettent d'entamer les négociations sans leur accord. Honnêtement, ce serait tout de même une occasion manquée », a estimé M. Oulianov. L'ABM américain en Corée du Sud, une "atteinte aux intérêts de Moscou" Le déploiement du bouclier antimissile américain (ABM) en Corée du Sud porte atteinte aux intérêts de la Russie et Moscou le prendra en compte dans sa planification militaire. « Nous voyons que les autorités sud-coréennes et les États-Unis accroissent leurs activités militaires dans la région de la péninsule de Corée. Cela pousse Pyongyang à engager de nouvelles démarches déraisonnables. Le projet de déploiement de l'ABM américain en Corée du Sud se concrétise", affirme le diplomate.
RépondreSupprimer« Au final nous assistons à un regain de tension. Les agissements d'un pays provoquent la réaction d'un autre, et on peut continuer ainsi indéfiniment jusqu'à la survenue d'un cataclysme. C'est très dangereux », a souligné le diplomate.
"Le déploiement de ces systèmes antimissiles porte atteinte non seulement aux intérêts de Pyongyang mais également à ceux de la Chine et, dans une certaine mesure, de la Russie. Bien évidemment, la Chine, la Russie et la Corée du Nord en tiendront compte dans leur planification militaire », a constaté M. Oulianov. Les bombes polyvalentes américaines Selon le diplomate, les bombes polyvalentes américaines à puissance variable réduisent le seuil d'utilisation de l'arme nucléaire. Cela est loin de contribuer au renforcement de la sécurité européenne. « Fait paradoxal: le président américain Barack Obama a promis d'assurer un progrès important en matière de désarmement nucléaire au début de son mandat présidentiel. Mais il a finalement procédé à la modernisation de ces forces. Cette modernisation n'a pas pour but d'éliminer les armes et de construire un monde dénucléarisé. Ces armes arriveront en fin de vie au début des années 2080 », indique Mikhaïl Oulianov.
D'après ce dernier, les bombes nucléaires polyvalentes réduisent le seuil d'utilisation et augmentent la tentation. « Certains disaient même que ces bombes seraient "plus éthiques". Cette thèse est très originale (…).
Les nouvelles bombes universelles entreront en service en 2020, ce qui ne renforcera pas la sécurité européenne », a souligné le diplomate. Le désarmement nucléaire La Russie juge impossible de poursuivre le désarmement nucléaire de manière unilatérale. « Il n'est plus possible de poursuivre le désarmement nucléaire unilatéralement — la Russie a réduit son potentiel nucléaire stratégique d'environ 85%. Le fait que nous l'avons fait jusqu'à présent […] est un geste de bonne volonté. Mais maintenant que nous avons réduit notre arsenal jusqu'à un niveau très bas, on ne peut plus continuer », a déclaré le diplomate.
(suite en dessous:)
Les USA testent leurs missiles « La France prend ses distances, au moins partiellement, avec le potentiel nucléaire de l'Otan. Par contre, le Royaume-Uni fait partie du groupe de planification nucléaire de l'Alliance. La Russie ne peut plus fermer les yeux là-dessus", a expliqué M. Oulianov. Le déploiement d'armes nucléaires à l'étranger Selon le diplomate, la Russie ne déploiera pas ses armes nucléaires à l'étranger, tous ses arsenaux se trouvent sur le territoire russe. « La Russie a retiré ses armements nucléaires des territoires étrangers en 1989 et 1990. Toutes nos armes nucléaires, tactiques y compris, se trouvent uniquement sur notre territoire national. Nous n'envisageons pas de les déployer dans d'autres régions », a-t-il dit.
RépondreSupprimer« Ce n'est pas du tout le cas des États-Unis qui ont déployé leurs bombes de ce côté du Pacifique. De plus, plusieurs pays non nucléaires, qui ont accueilli ces bombes, se joignent au potentiel nucléaire des États-Unis et de l'Otan. C'est le cas des Pays-Bas, de l'Allemagne, de la Belgique, de l'Italie et de la Turquie.
C'est absolument contraire aux deux premiers articles du TNP concernant le non-transfert des armes nucléaires sous le contrôle d'États non nucléaires », a souligné le diplomate. Vers une interdiction totale de l'arme nucléaire ? Selon M. Oulianov, l'Assemblée générale des Nations unies a adopté, lors de sa 71e session, un rapport « contenant la recommandation de convoquer en 2017 une conférence qui permettra de négocier une convention internationale pour l'interdiction totale de l'arme nucléaire ». Un projet de résolution conjointe sera probablement soumis pendant cette session. Selon Mikhaïl Oulianov, Moscou qualifie cette initiative de non réaliste et appelle à respecter plutôt le TNP.
« Nous partageons l'objectif de construction d'un monde sans armes nucléaires, mais la question est de savoir comment avancer vers ce but. La solution consistant à prendre une décision pour interdire l'arme nucléaire est audacieuse. Il est évident que ni la Russie ni d'autres puissances nucléaires ne participeront aux négociations pour interdire l'arme nucléaire", dit-il. Le TNP prévoit « une évolution par étapes vers la construction d'un monde non nucléaire, qui permettrait de garantir la stabilité stratégique et une sécurité égale pour tous. Nous sommes entièrement attachés à cette idée. L'oublier ou la modifier est contre-productif », a conclu Mikhaïl Oulianov.
https://fr.sputniknews.com/international/201609231027894963-russie-usa-desarmement-nucleaire-reduction-des-arsenaux/
N'oublions pas les milliards de fragments UA répandus en Libye pour des siècles !
SupprimerPour déstabiliser l’Asie, les USA ressortent le même scénario qu’en Ukraine
RépondreSupprimer22:07 23.09.2016
La tension monte entre les États-Unis et la Chine dans la région Pacifique, particulièrement en mer de Chine méridionale et autour de l'archipel des Spratleys - objet d'un litige territorial de longue date. Plusieurs pays de la région, qui revendiquent l'archipel des Spratleys, en mer de Chine méridionale, seraient appuyés en coulisses par les États-Unis, estiment les experts.
Selon les observateurs, la mer de Chine méridionale et l'archipel des Spratleys deviennent le terrain principal de la confrontation entre les États-Unis et la Chine. Washington souhaite créer une large coalition commerciale, puis politique contre la Chine et mettre en œuvre son projet de Partenariat Transpacifique (TPP).
Le TPP signifie l'accès à des marchés richissimes et des opportunités d'expansion dans la zone Pacifique et surtout en Asie du Sud-Est pour les compagnies américaines. Toutefois, hormis chez les satellites évidents des États-Unis que sont l'Australie, les Philippines et les entités géopolitiques dépendantes de Polynésie, le projet TPP, fait du surplace après des débuts prometteurs. Le Vietnam, qui entretient historiquement des relations très difficiles avec la Chine et sur lequel misait Washington, vient de refuser de ratifier cet accord. Un camouflet pour les États-Unis.
L'opposition au projet monte également dans les pays limitrophes, dont les gouvernements et les milieux d'affaires commencent à comprendre que la Maison blanche promeut l'idée d'un asservissement néocolonial de ces pays sous couvert de la protection contre « l'agression chinoise ». La Russie et la Chine intensifient aussi leurs activités dans les eaux de l'archipel des Spratleys. La Marine et les fusiliers marins des deux pays y ont récemment tenu des exercices conjoints. Préoccupé par les activités chinoises, les problèmes du TPP et la coopération militaire russo-chinoise dans la région, Washington a organisé un concours de bourses destinées à soutenir des scénarios à l'instar de celui du Maïdan ukrainien.
Le Bureau de la démocratie, des droits de l'homme et du travail du département d'État a publié un cahier des charges détaillé pour les ONG qui seront choisies pour apporter la « démocratie » et les « droits de l'homme fondamentaux » dans les pays d'Asie du Sud-Est. Washington compte commencer par débloquer près de 740 000 dollars à ces fins (658 000 euros). Selon ce texte, les États-Unis soutiendront les projets encourageant les militants locaux à « renforcer les réseaux civils existants (…) et à évoquer le progrès des questions relatives aux droits de l'homme dans la région ».
(suite en dessous:)
Les projets sélectionnés seront ceux où les militants locaux et les ONG « partageront stratégie et tactique d'influence et de communication pour une meilleure compréhension des forces motrices du transit démocratique et économique dans la région ». Ensuite, le département d'État formule les critères selon lesquels les ONG financées par les États-Unis devront travailler en Asie du Sud-Est. Cela concerne notamment les « droits fondamentaux de réunion, d'expression et d'autogestion », ainsi que « l'ouverture du débat sur la responsabilité des autorités dans les exécutions sommaires et les disparitions, ainsi que le renforcement du suivi des violations des droits de l'homme ».
RépondreSupprimerIl est à noter que le gouvernement américain entend allouer des fonds pour renforcer dans les pays d'Asie du Sud-Est le « suivi des investissements dans l'infrastructure, les secteurs de production minière et des matières premières, les zones économiques spéciales et les projets de développement des territoires, y compris en matière de logement ». Enfin, le cahier des charges inclut des tâches plus traditionnelles comme la liberté sur internet, la tolérance et « l'ouverture des communautés locales ».
Ce projet concerne une aire géographique très large qui inclut Brunei, le Myanmar (Birmanie), le Cambodge, le Timor oriental, l'Indonésie, le Laos, la Malaisie, les Philippines, Singapour, la Thaïlande et le Vietnam. On trouve également une remarque spéciale pour les militants de Mongolie, de Taïwan et de Hong Kong qui seront « surveillés de plus près ». Un accent sera enfin mis sur les minorités ethniques et religieuses, les jeunes, ainsi que la communauté LGBT.
Selon Vladimir Sotnikov, directeur du centre Russie-Orient-Occident, les autorités américaines sont préoccupées par le renforcement de la Chine et la formation d'une ceinture d'États amis autour d'elle, ce qui réduit à néant la théorie de contrôle de la Chine par la "puissance douce" professée par les stratèges de Washington. « Washington est très préoccupé par ce bras de fer avec Pékin. Ils ont de profondes contradictions en Asie du Sud-Est.
L'influence chinoise dans la région est assez importante et beaucoup d'expatriés chinois influent considérablement sur la politique des pays asiatiques. L'un des objectifs de la diplomatie américaine est donc de renforcer son empreinte dans ces pays. Qui plus est, les États-Unis tentent de promouvoir l'idée du Partenariat transpacifique, un méga-projet de longue date dont la mise en œuvre ne correspond pas aux attentes de nos partenaires. Les États-Unis portent une attention démesurée aux questions humaines. Ce programme visant à soutenir les droits de l'homme pourrait rendre la région plus loyale aux Américains, rendre ainsi les rapports de force en Asie du Sud-Est plus favorables aux USA et encourager au final la création du Partenariat transpacifique », estime l'expert.
(suite en dessous:)
Les médias américains publient régulièrement des articles dans lesquels ils font état d'une dégradation toujours plus inquiétante de l'image des États-Unis comme défenseur global des droits de l'homme. Les auteurs du programme de soutien aux ONG en Asie envisageraient visiblement de redonner une seconde jeunesse à cette image positive de Washington. « Les tentatives de l'administration américaine de mettre en place un partenariat humanitaire entre les États-Unis et les organisations régionales visent à obtenir un soutien approprié aux projets américains d'affrontement avec la Chine. Cette dernière considère historiquement l'Asie du Sud-Est comme sa sphère d'influence », fait remarquer M. Sotnikov.
RépondreSupprimerAlexandre Chatilov, doyen de la faculté de sociologie et de psychologie de l'Université des finances du gouvernement russe, souligne le danger lié à la création de tensions sociales et d'un territoire d'instabilité autour de la Chine à l'aide de « scénarios de type Maïdan » déjà testés dans de nombreux pays. « Cette région est dans le viseur des États-Unis depuis longtemps. Ils ont plus d'une fois tenté d'y déstabiliser la situation. La "révolution des parapluies" à Hong Kong en est un exemple. Après le moyen-orient, l'Amérique latine et l'espace postsoviétique, les États-Unis visent désormais l'Asie du Sud-Est.
Outre leur bras de fer avec la Chine, les États-Unis veulent faire chuter les régimes indésirables hostiles aux idéaux de la démocratie libérale. Il s'agit notamment de la République socialiste du Vietnam — seul pays qui a de fait réussi à vaincre les Américains. Washington veut visiblement sa revanche en faisant exploser ce pays de l'intérieur. Les États-Unis voudraient bien attirer le Vietnam dans leur camp mais l'influence chinoise y est pour le moment plus importante. Les pays de la région constituent le ventre mou de la Chine, où les États-Unis veulent utiliser les technologies des "révolutions de couleur" (…) : mobiliser les militants, soutenir les associations civiles, l'opposition et les ONG, promouvoir les valeurs libérales, etc.", explique M. Chatilov.
D'après lui, il s'agit d'un schéma classique pour les Américains, déjà testé dans de nombreux pays. Ce scénario vise les territoires que les USA ont décidé de soumettre à leur « expérience de couleur ». « Les USA font un coup double avec ces programmes : ils affrontent la Chine et promeuvent leur projet économique de Partenariat transpacifique. Le TPP nécessite une certaine ambiance politique, c'est-à-dire l'existence de gouvernements proaméricains dans la région. Les États-Unis tenteront de reconstruire la région selon leur propre modèle », a conclu l'expert.
https://fr.sputniknews.com/international/201609231027898387-asie-du-sud-est-usa-revolutions-de-couleur/
Les États-Unis, en mode « accuser la Russie de tout »
RépondreSupprimerRt
jeu., 22 sept. 2016 11:47 UTCCarte
-- Commentaire : Accuser les autres de ce dont on se rend soi-même coupable ou de ce l'on a commis : plus la dénonciation calomnieuse est rapide et tonitruante, plus elle marque les esprits et détourne les attentions. Une technique de propagande simple mais toujours efficace, puisqu'il en restera toujours quelques impressions dans l'esprit des populations.
Le pouvoir des mythes : propagande et désinformation de la narrative américaine
Désinformation
Washington et sa guerre de la désinformation
Petit cours de décryptage de techniques de propagande
La propagande, en 12 principes
Et puis comme ça, en passant...
Le truc du psychopathe : nous faire croire que le Mal vient des autres --
Après la destruction du convoi humanitaire de l'ONU à Alep, les États-Unis ont tout de suite trouvé le coupable : la Russie. Karen Kwiatkowski, ex-officier des forces aériennes américaines, explique pourquoi ils peuvent le savoir sans enquêter.
RT : Personne ne sait qui était derrière l'attaque du convoi humanitaire, mais nous avons déjà entendu les médias occidentaux dire que cela pourrait être l'armée russe. Pourquoi, à votre avis, accuse-t-on la Russie ?
Karen Kwiatkowski (K. K.) : Je pense que ce que font le gouvernement américain, le Pentagone et le département d'État, c'est accuser toujours de tout la Russie en premier lieu. C'est ainsi depuis quelques années déjà et concernant différents territoires. Une chose qui nous pousse à remettre cette accusation en question est qu'un convoi, en tant que cible, c'est un peu trop évident. Il est donc peu probable que ce soit un accident. Celui qui le ciblait, en avait l'intention.
RT : Les accusations sont venues un jour avant la session de l'Assemblée générale de l'ONU. Est-ce une coïncidence ?
C'est vrai que les accusations contre la Russie sont la continuation de ce que nous avons vu pendant plusieurs semaines. Ce qui s'est passé à l'ONU en est le dernier exemple. L'administration de Barack Obama sait évidemment ce qu'elle fait dans le cadre de la guerre rhétorique qu'elle mène. Mais ils n'ont aucune idée de ce qui se passe sur le terrain en Syrie.
RT : Pourquoi quelqu'un aurait l'intérêt à cibler un véhicule apportant de l'aide ?
Quelqu'un qui détient des otages à Alep peut ne pas vouloir les laisser passer. C'est une question d'aide d'un côté, et de visibilité de ce qui se passe dans le pays de l'autre. Il a pu y avoir des soupçons que le convoi emmenait des espions, etc. Ce n'est pas clair pour le moment, et je doute que ce soit clair même pour nos agences de renseignement. Parce qu'on ne comprend apparemment pas vraiment en quoi consiste la politique américaine en Syrie.
(suite en dessous:)
RT : Comment l'opinion publique devrait-elle réagir ?
RépondreSupprimerC'est un incident extrêmement tragique et triste. Il est susceptible d'attirer l'attention de l'Amérique et du monde entier sur cette horrible crise humanitaire que la Syrie est en train de vivre, en partie parce que les grandes puissances y mènent des combats, des guerres par procuration. Selon moi, et suivant mon expérience de la guerre froide, cela ressemble aux guerres par procuration de l'époque. Pourtant, la guerre froide est révolue. Pourquoi sommes nous face à une telle situation ? J'espère que tout le monde se posera cette question en voyant cette nouvelle tragique qui nous rappelle le sort atroce des gens d'Alep, en Syrie.
https://fr.sott.net/article/29036-Les-Etats-Unis-en-mode-accuser-la-Russie-de-tout
L'ONU sonne l'alerte : les superbactéries nous menacent
RépondreSupprimerL'Express
jeu., 22 sept. 2016 04:26 UTCCarte
Les super-bactéries pourraient tuer jusque 10 millions de personnes dans le monde par an
Devant la menace que représente l'apparition de bactéries résistantes aux antibiotiques, l'ONU sonne la mobilisation générale lors d'une première réunion spécialement dédiée à ce sujet.
Les dirigeants du monde entier ont appelé mercredi gouvernements, médecins, laboratoires et consommateurs à se mobiliser pour endiguer la menace croissante des superbactéries résistantes aux antibiotiques, qui rendent de nombreuses maladies de plus en plus difficiles à soigner. "La résistance antimicrobienne pose une menace fondamentale sur le long terme à la santé humaine, la production durable de nourriture et au développement", a déclaré le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, en ouvrant la première réunion jamais convoquée sur ce sujet à l'Assemblée générale de l'ONU.
"Nous sommes en train de perdre notre capacité à protéger tant les humains que les animaux d'infections mortelles", a-t-il ajouté.
Un "tsunami au ralenti"
Parmi les exemples de la progression de ce fléau, il a cité pêle-mêle une épidémie de typhoïde résistante aux antibiotiques qui se répand actuellement en Afrique, la résistance croissance aux traitements contre le sida, ou encore la progression d'une forme de tuberculose résistante aux antibiotiques enregistrée désormais dans 105 pays.
Les superbactéries pourraient tuer jusqu'à 10 millions de personnes par an d'ici 2050, soit autant que le cancer, selon une récente étude britannique "La situation est mauvaise et elle est en train d'empirer", "certains scientifiques parlent de tsunami au ralenti", a prévenu de son côté la directrice générale de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Margaret Chan.
"Si on continue comme ça, une banale maladie comme la gonorrhée (maladie sexuellement transmissible, Ndlr) deviendra incurable. Vous irez chez le médecin et le docteur sera obligé de vous dire, 'désolé, je ne peux rien faire pour vous''".
Encourager les traitements alternatifs
Elle a souligné qu'aucune classe nouvelle d'antibiotiques n'avait été mise au point depuis des années, le retour sur investissement pour ce type de médicaments étant insuffisant pour l'industrie pharmaceutique. Elle a appelé à une action coordonnée de tous les secteurs, public et privé, gouvernements, professionnels de santé, laboratoires mais aussi consommateurs.
Ces derniers "doivent pouvoir obtenir de manger de la viande sans antibiotiques", a-t-elle souligné, alors que la transmission d'infections résistantes aux antibiotiques depuis les animaux à viande jusqu'aux consommateurs a été largement documentée.
(suite en dessous:)
Pour pousser tous les acteurs publics et privés à s'engager dans la bataille, les responsables réunis à New York ont adopté une déclaration par laquelle ils s'engagent à renforcer l'encadrement des antibiotiques, à mieux diffuser la connaissance sur ce phénomène, à favoriser la recherche de nouvelles classes d'antibiotiques et à encourager les traitements alternatifs.
RépondreSupprimer-- Commentaire : Pour comprendre l'ampleur d'un phénomène qui menaçe l'humanité toute entière :
Résistance aux antibiotiques : une menace grave d'ampleur mondiale
Selon des experts, le problème des germes résistants aux antibiotiques pose « une menace apocalyptique »
Un peu plus techniquement :
Antibiorésistance : comprendre la menace, de visu
Les "traitements alternatifs" existent et ils sont nombreux. Au niveau préventif , on pourra veiller à adopter une alimentation qui augmente l'efficacité de nos défenses naturelles. On pourra, pour la qualité intrinsèque de la nourriture que nous ingérons, opter pour une alimentation bio, exempte d'antibiotiques. On peut prendre des compléments qui "soutiennent" l'immunité : magnésium, vitamine C, iode, vitamine D, mélatonine, probiotiques.
On peut veiller à dormir suffisamment et correctement, et, pourquoi pas, pratiquer des jeûnes régulierement, intermittents ou prolongés.
Quelques stratégies à mettre en place, donc, à la portée de tout un chacun. --
https://fr.sott.net/article/29032-L-ONU-sonne-l-alerte-les-superbacteries-nous-menacent
L’aberration du crédit
RépondreSupprimerMYRET ZAKI
21 Septembre 2016
Lorsqu’il s’agit de trouver du crédit, l’écart devient inquiétant entre les grandes et les petites entreprises. Les premières se financent gratuitement sur les marchés des capitaux. Les secondes ont toutes les peines à obtenir des prêts; elles n’ont pas la taille critique pour emprunter auprès des banques à des conditions favorables. Sachant que ce sont les petites entreprises qui forment l’essentiel du tissu économique suisse – et c’est identique dans tous les pays d’Europe – cette évolution est à déplorer, et on peut se demander s’il est si surprenant, dans ces conditions, que l’on assiste à une anémie, devenue chronique, de la croissance dans les économies de l’OCDE.
Les petites et moyennes entreprises qui ne sont pas cotées en bourse éprouvent, partout en Europe, des difficultés à emprunter auprès des banques. En cause: des pratiques bancaires plus exigeantes, impliquant une analyse approfondie des risques de défaut et de la rentabilité de l’entreprise, et ce, quels que soient le montant du crédit demandé et la taille de l’entreprise candidate au prêt.
Cela implique des frais de dossier élevés, qui se répercutent sous forme de taux d’intérêt élevés pour les PME. En Suisse romande, même pour les PME qui sont cautionnées par l’Etat, les taux d’intérêt s’élèvent en moyenne à 4,5% pour les crédits bancaires. On peut s’interroger sur les risques réels que des crédits de 200 000 fr. impliquent pour des banques qui risquent plusieurs milliards dans leurs activités de marché.
A la cherté du crédit pour les petites entreprises s’oppose l’invraisemblable facilité qu’ont les grandes entreprises à accéder aux liquidités. Non seulement elles empruntent gratuitement (à des taux proches de 0%), mais plus récemment, des groupes comme Henkel en Allemagne ou Sanofi en France se sont mis à émettre pour la première fois des emprunts à taux négatifs; en d’autres termes, ils sont rémunérés pour s’endetter !
D’autres vont rapidement suivre et placer des obligations à coupons inférieurs à zéro. Bienvenu à l’ère des pertes garanties à l’échéance pour l’investisseur, et de l’argent hélicoptère pour les entreprises. En effet, ces placements sont possibles parce que la Banque centrale européenne rachète les obligations d’entreprises. Cela fait des années que la BCE essaie de stimuler la croissance en rachetant des milliards d’euros de dette souveraine européenne; quand cette politique a échoué, l’institut a commencé cette année à racheter des obligations d’entreprises, faisant monter leur prix et chuter massivement leurs rendements, jusqu’en territoire négatif. Plus de 700 milliards d’euros de dette obligataire européenne de qualité d’investissement, soit 30% du marché, se traitent déjà à des taux d’intérêt négatifs.
Dès lors, quel intérêt ont des entreprises, payées pour s’endetter, à développer leurs marchés, leur innovation, leur efficience ? Elles peuvent se contenter d’emprunter de l’argent à vide, au lieu d’être des agents de croissance, de production et d’emplois. Lorsqu’il existait des taux d’intérêt positifs, la fonction de ces derniers était d’inciter l’entreprise qui emprunte à faire travailler ce crédit de manière productive afin de pouvoir rembourser à ses créanciers le principal et les intérêts, en plus de se constituer un profit pour ce travail. A présent, cette contrainte est éliminée.
(suite en dessous:)
Ainsi, d’un côté, les PME, poumon de l’économie, paient des taux élevés, lorsqu’elles ont la chance de remplir les critères sélectifs des banques; de l’autre, les grandes entreprises ayant accès au marché des capitaux gagnent de l’argent en s’endettant. On comprend mieux pourquoi la productivité est au point mort en Europe, alors qu’elle est le facteur essentiel pour améliorer le niveau de vie.
RépondreSupprimerhttp://www.bilan.ch/myret-zaki/redaction-bilan/laberration-credit