Algérie : après la mort d’une femme brûlée vive, Amnesty International tire la sonnette d’alarme
23 sept. 2016, 17:14
Alors que le meurtrier d’Amira Merabet, brûlée vive fin août en Algérie, est toujours en fuite, l’ONG de défense des droits de l’Homme dénonce «l’impunité» des agresseurs, dans un pays où les violences faites aux femmes sont en augmentation.
C’est arrivé le 29 août, vers 8h du matin. Amira Merabet, 34 ans, se rendait simplement à son travail à pied, dans la ville d’El Khroub, dans l’est du pays, lorsqu'elle aurait été harcelée. «Sans raison aucune», un jeune homme qu’elle ne connaissait pas se serait mis à la frapper avant de l’asperger de liquide inflammable et d’y mettre le feu, a témoigné la sœur de la victime, Fatim-Zohra, dans le magazine d’actualité Jeune Afrique.
Quelques heures plus tard, Amira succombe à ses blessures à l’hôpital. En fuite, son agresseur est toujours recherché par la police.
La goutte d’eau qui fait déborder le vase ?
Pour la directrice du bureau d’Amnesty International à Alger, Hassina Oussedik, l'histoire tragique de la jeune Algérienne doit interpeller les autorités.
«Les associations demandent à l’Etat de protéger les femmes face à des hommes qui s’en prennent à elles en toute impunité», explique-t-elle au magazine, alors que des rassemblements de soutien à Amira Merabet ont eu lieu ces derniers jours dans plusieurs villes du pays.
«L’Etat doit donner une réponse forte face à ce qu'il se passe. Il faut qu’il montre l’exemple !», conclut la militante des droits de l’Homme.
Des chiffres en hausse
Entre 2014 et 2015, les plaintes déposées pour des violences faites aux femmes ont augmenté de 27%, selon les données de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’Homme (CNCPPDH), une institution indépendante créée par le gouvernement algérien en 2001.
La hausse est particulièrement criante dans les plaintes pour violences sexuelles, qui sont elles passées en un an de 208 à 383.
Et pourtant, ces données pourraient sous-représenter le probléme, comme l’indique la CNCPPDH : «Beaucoup de femmes souffrent en silence ou déposent des plaintes et les retirent par la suite de peur des représailles de leurs agresseurs ou de la société.»
Allemagne : un réfugié meurt en tentant de mettre le feu à sa femme
2 sept. 2016, 08:39
Provoquant un incendie, un réfugié a mis le feu à sa femme dans un centre pour migrants dans la ville allemande de Rudesheim. L’homme est mort dans les flammes, tandis que sa femme a été hospitalisée dans un état grave.
Ce drame familial a été à l’origine de l’incendie du centre d’accueil pour migrants de Rudesheim. Le réfugié de 45 ans a déversé du liquide inflammable sur sa femme de 31 ans dont il s’était séparé et l'a mis à feu. La femme a été transportée dans un état grave à l’hôpital par hélicoptère. L’homme, de son côté, est mort dans l’incendie.
Leurs trois enfants ont été témoins de cette horrible scène. L’un d’entre eux, en état de choc, serait suivi. Deux autres personnes ont été blessées dans cet incendie qui a rendu inhabitable l’ensemble de cette immeuble qui servait à loger 14 personnes, selon les autorités.
La police a annoncé qu’une enquête était en cours, soulignant qu’un différent au sein de cet ancien couple était bien à l’origine de l’incendie. Selon de nombreux médias allemand, l’homme serait arrivé de Syrie, mais l’AFP affirme de son côté que sa nationalité n’a pas encore été déterminée.
Lire aussi : Incendie dans un centre pour réfugiés en Allemagne : au moins 19 blessés (VIDEO)
Un million de réfugiés sont arrivés en Allemagne en 2015, et 300 000 autres devraient arriver en 2016. L’afflux migratoire a forcé le pays à loger des migrants dans des auberges, salles de sport et baraquements militaires.
Des journalistes de l'émission «Zone Interdite» sur M6 accusés d'avoir instrumentalisé des migrants
24 sept. 2016, 10:32
Une enquête a été ouverte suite à trois plaintes déposées par des clandestins filmés pour le magazine «Zone interdite» plusieurs mois lors de leur périple pour arriver en France, révèle l'Obs. Les migrants affirment avoir été instrumentalisés.
Selon TéléObs, le Procureur de la république de Paris aurait demandé l’ouverture d’une information judiciaire sur les conditions de tournage du reportage de Zone interdite, intitulé «Clandestins : ils traversent l’enfer pour venir vivre en France». Ce dernier a été diffusé en 2013 sur la chaîne M6.
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A l’époque, l'émission avait filmé le périple de trois Camerounais, Émile Zola Matemb Ba Em, Alain Joseph Ebanga Ndoumou et Elie Mbock qui tentaient d'entrer clandestinement en France.
Une fois en France, ces derniers avaient porté plainte contre X pour «mise en danger de la vie d’autrui», «aide à l’entrée et au séjour irrégulier» et «soumission d’une personne à des conditions de travail ou d’hébergement incompatibles avec la dignité humaine». Ils reprochaient aux journalistes de les avoir instrumentalisés
Il était notamment reproché aux équipes du reportage d’avoir encouragé les clandestins à entreprendre ce voyage qu’elles auraient en partie financé.
Malgré ces plaintes, la chaîne M6 avait malgré tout diffusé le reportage.
Lire aussi : L’équipe de RT filme des migrants menant l’assaut des autoroutes à Calais (VIDEO)
Le Congrès américain fustige le veto d'Obama sur la loi autorisant à poursuivre Riyad pour le 11/09
24 sept. 2016, 09:20
Le président américain Barack Obama a opposé le 23 septembre son veto à une loi qui autoriserait les proches des victimes du 11-Septembre à poursuivre l'Arabie saoudite, engageant sur ce dossier sensible un bras de fer périlleux avec le Congrès.
Si Barack Obama a souhaité exprimé sa «profonde sympathie» pour les victimes en affirmant comprendre leur «désir de justice», le président américain a toutefois souligné que cette loi «aurait un impact néfaste sur la sécurité nationale des Etats-Unis».
Une décision diplomatique
La Maison Blanche estime que le texte affaiblirait le principe d'immunité qui protège les Etats (et leurs diplomates) de poursuites judiciaires et risque d'exposer les Etats-Unis à des poursuites devant divers tribunaux à travers le monde.
Mais les défenseurs du «Justice Against Sponsors of Terrorism Act» (JASTA) insistent sur la nécessité pour les victimes des attentats du 11-Septembre de pouvoir réclamer justice et affirment que l'opposition de l'administration Obama est avant tout liée à la crainte de provoquer la colère de Riyad.
«Les familles [des victimes] sont scandalisées et très déçues» par la décision du président Obama, a déclaré à l'AFP Terry Strada, dont le mari, Tom, a été tué dans le World Trade Center où il travaillait.
Le candidat républicain Donald Trump, qui répète à l'envi que le président démocrate et sa rivale démocrate Hillary Clinton manquent de poigne dans la lutte contre le terrorisme, a immédiatement dénoncé cette décision.
«Que le président Obama puisse empêcher les parents, les épouses et les enfants de ceux que nous avons perdus (...) de refermer ce douloureux chapitre de leurs vies est une honte», a-t-il affirmé.
Si les deux tiers des élus se rassemblent derrière le texte, ils pourront surmonter le veto de Barack Obama et la loi entrera alors en vigueur. Cela représenterait en quelque sorte une défaite pour le président américain, à quelques mois de son départ. Depuis son arrivée au pouvoir en 2009, il n'est jamais arrivé que son veto soit rejeté.
Lire aussi 11-septembre: veto d'Obama à une loi autorisant des poursuites contre Ryad
L'exécutif américain est donc à la manœuvre sur Capitol Hill, en particulier auprès des représentants démocrates, pour s'assurer que le cap fatidique ne soit pas atteint.
Il dénonce les petits calculs politiques des élus qui expriment «en privé» des réserves sur les dangers du texte mais votent pour, les yeux rivés sur les élections du 8 novembre, lors desquelles une partie du Congrès sera renouvelé, en même temps qu'aura lieu le scrutin présidentiel.
«Les saoudiens doivent rendre des comptes»
Chuck Schumer, sénateur démocrate de New York, a immédiatement regretté une décision «décevante» de la part du président, prédisant qu'elle serait rapidement rejetée par le Congrès.
«Si les Saoudiens n'ont rien fait de mal, ils ne devraient pas craindre cette loi. S'ils portent une responsabilité dans les attentats du 11-Septembre, ils devraient rendre des comptes», a-t-il estimé. «La justice pour ces familles ne devrait pas être jetée aux orties pour des raisons diplomatiques».
Hillary Clinton, qui espère bien l'emporter dans l'Etat de New York dont elle fut sénatrice, a fait savoir par son équipe qu'elle aurait signé cette loi.
«[Hillary] Clinton continue de soutenir les efforts déployés par le sénateur [Chuck] Schumer et ses collègues au Congrès pour assurer la capacité des familles des victimes du 11-Septembre et toutes les autres victimes du terrorisme de faire payer les responsables», a déclaré Jesse Lehrich, un porte-parole de la candidate démocrate. «Si la loi parvenait sur son bureau, elle la voterait», a-t-il déclaré.
Le texte a suscité une levée de boucliers dans les monarchies du Golfe qui ont mis en garde contre «un grave précédent». Ces dernières entretiennent des relations déjà tendues avec l'administration Obama, à qui elles reprochent notamment son rapprochement avec L'Iran, le grand rival chiite de Riyad. D'ailleurs, en coulisses, l'Arabie saoudite s'active pour empêcher le passage de cette loi.
La Maison Blanche assure elle, que son inquiétude ne se limite pas à l'impact que cela pourrait avoir sur sa relation avec la monarchie sunnite «mais avec tous les pays du monde». Et met en avant les inquiétudes de nombre de haut responsables américains des deux bords.
Le porte-parole de la Maison Blanche et président de la Chambre des représentants des Etats-Unis, le républicain Paul Ryan, a déclaré le 21 septembre : «Je ne pense que les votes sont là pour le remplacement.» Il a également exprimé ses doutes quant à la législation, affirmant être inquiet au sujet des possibles poursuites contre les Etats-Unis.
«Je m'inquiète des questions juridiques», a déclaré Ryan. «J'ai bien peur que nous soyons dans une situation où certains avocats tentent d'en tirer profit personnellement pour s'enrichir. Dans le même temps, les victimes doivent pouvoir être entendues par le tribunal.»
Dans une lettre adressée aux élus, l'ancien ministre de la Défense William Cohen et l'ancien patron de la CIA Michael Morell, ont ainsi souligné combien une telle loi pourrait placer les Etats-Unis dans une position délicate.
«Nos soldats, nos diplomates et tous les employés du gouvernement américain travaillant à l'étranger pourraient se retrouver visés par des poursuites judiciaires dans d'autres pays», écrivent-ils.
Quinze des 19 auteurs des attentats du 11-Septembre étaient saoudiens mais l'implication de l'Arabie saoudite, alliée des Etats-Unis, n'a jamais été démontrée.
Indignation des «Américains lambda»
La décision présidentielle d'opposer son veto à la loi a également touché les citoyens américains, dont beaucoup ont déploré la démarche de Barack Obama, notamment via les réseaux sociaux. Et ils semblent rejoindre la position des politiques par rapport aux sanctions judiciaires qu’encourraient les Etats-Unis dans d'autres pays si la loi passait.
Un autre utilisateur de Twitter, le sheriff Paul Babeu, se dit persuadé que la décision du président Obama, «montre clairement qu'il est l'allié des Saoudiens». L'homme appelle notamment à signer une pétition revendiquant le droit des familles des victimes de poursuivre l'Arabie saoudite en justice.
«Obama donne son veto sur la loi autorisant les familles des victimes du 11-Septembre à poursuivre l'Arabie saoudite, mais dans le même temps, il offre 38 milliards de dollars à Israël [pour acheter des armes américaines]», s'indigne annaleclaire, rappelant qu'Israël va recevoir la plus grande aide financière américaine de l’histoire des Etats-Unis.
Lire aussi : L'Amérique se dirige-t-elle vers un nouveau 11-Septembre, en ignorant les leçons de l’histoire ?
Le '11 Septembre 2001', 3 tours du WTC s'effondraient sur leurs empreintes suite aux explosifs (thermite) posé précédemment par des experts en démolition. Notons que ce personnel employé n'a pas miné les tours en 1 h ni même en 1 jour (WTC 1 & 2 415 & 417 m !) et ne peut être l'œuvre QUE de spécialistes appelés à cette tâche (qu'ils soient venus d'Israel ou d'Arabie Saoudite).
D'où, la difficulté de poursuivre des travailleurs du bâtiment - comme de poursuivre ceux d'une entreprise de fabrication de voitures pour vice de construction suite à un accident - afin que 15 ans après ils dussent rembourser leurs salaires faute de n'avoir voulu interpeler le commanditaire au poste de la Direction !
Un agriculteur du Bangladesh s'exprime dans la controverse sur l'aubergine Bt
24 Septembre 2016 , par Seppi
Un agriculteur du Bangladesh s'exprime dans la controverse sur l'aubergine Bt
Mohammad Arif Hossain*
L'agriculteur bangladeshi au centre d'une controverse sur les OGM a parlé pour préciser sa récente expérience de la culture du brinjal Bt, l'aubergine résistant à des ravageurs qui est sous les projecteurs des médias internationaux en tant que première espèce de plante génétiquement modifiée produisant des denrées alimentaires à être cultivée dans un pays en développement.
Mohammad Hafizur Rahman, un agriculteur résidant dans le district de Tangail au nord de la capitale du Bangladesh, Dacca, a accordé un entretien face à la caméra au programme Panorama de la BBC en mai 2015. Il a raconté que le nouveau brinjal Bt contrôlait avec succès la mineuse des fruits et des tiges [Leucinodes orbonalis], une chenille qui provoque des dégâts graves et sévit dans toute l'Asie, et contre laquelle les agriculteurs devaient auparavant utiliser des pesticides toxiques parfois jusqu'à deux fois par semaine.
Rahman a déclaré à la BBC qu'après l'adoption du brinjal Bt, il avait été en mesure de réduire considérablement son utilisation de pesticides, qu'il économisait de l'argent et voyait aussi les résultats en termes d'amélioration de la santé. Le même agriculteur a également été présenté dans un article du New York Times soulignant les mêmes questions de réduction de l'utilisation de pesticides et d'amélioration des rendement et des conditions de vie.
Cependant, après la diffusion du documentaire de la BBC, les activistes anti-OGM ont immédiatement affirmé que tant le documentaire de la BBC que l'article du New York Times étaient des fabrications, et que la culture de Rahman avait en fait échoué. Ces allégations ont été étayées par les rapports d'un journaliste des United News of Bangladesh (UNB) qui a dit qu'il avait visité les champs de brinjal Bt de Rahman et avait trouvé « un nombre important de plantes mortes ».
Le même journaliste des UNB avait publié un article auparavant et affirmé que de nombreux agriculteurs produisant du brinjal Bt à travers le pays avaient également subi des mauvaises récoltes. Ce rapport a toutefois été contesté par le directeur général de l'Institut de Recherche Agricole du Bangladesh, Dr. Md. Rafiqul Islam Mondal, qui a déclaré aux médias que « la performance du brinjal Bt était meilleure que celle des non-Bt dans tous les districts ».
Ces récits concurrents ont mené à une confusion internationale sur la réalité du brinjal Bt au Bangladesh. Afin d'établir définitivement la vérité, au moins sur l'expérience personnelle de Rahman de la culture du brinjal Bt, des collaborateurs d'Alliance for Science lui ont rendu visite une deuxième fois en avril 2016. L'entretien a été filmé et peut être consulté intégralement ci-dessous (avec traduction en langue anglaise dans les légendes) .
Rahman a été très clair sur le succès de sa culture de brinjal Bt, et a rejeté les allégations d'échec. « Au cours des 10 dernières années, le rendement que j'ai obtenu l'année dernière, je ne l'ai jamais obtenu de toute ma vie, et mes voisins non plus », a-t-il dit. « Voilà pourquoi mes voisins sont enthousiasmés, et moi aussi. »
Rahman a aussi révélé que le journaliste des UNB avait partagé des documents anti-OGM avec lui dans une tentative de le persuader de critiquer la technologie, une violation grave de l'éthique journalistique.
Il a également nié avoir dit au journaliste des UNB qu'il était mécontent de la performance de sa culture de brinjal Bt. « Je n'ai pas dis cela. Lorsque la plante arrive à la fin de sa vie, elle meurt. Mes plantes de brinjal Bt ont dépéri quand elles ont fini leur fructification. Tout a une fin, non ? Est-ce que les plantes de brinjal persistent toute la année ? Ce n'est pas possible. »
Rahman a souligné avec force que le journaliste des UNB n'avait tout simplement pas compris que son champ avait déjà été récolté à plusieurs reprises et avait atteint la fin de sa saison. « Quand il [le journaliste des UNB] m'a rendu visite, ces plantes avaient commencé à dépérir. Les plantes ne portaient plus de fruits, j'avais déjà commencé à récolter du dhundul (des courges-éponges – Luffa acutangula var. amara) sur ce champ. Je lui ai donc dit que ma récolte de brinjal était déjà terminée. »
L'agriculteur a également raconté qu'il avait reçu la visite de militants anti-OGM de « plusieurs bureaux, pour me raconter des choses négatives à propos du brinjal Bt. Ils m'ont donné un livre et m'ont dit : "Regarde, mon frère, le brinjal Bt a divers problèmes." Ils m'ont aussi dit de ne pas manger ce brinjal. Ils ont dit que si les insectes ne le mangent pas, il ne doit pas être bon pour les humains de le manger. Avec mon esprit pratique pour les contrer, je leur ai demandé pourquoi les gens qui prennent des médicaments contre les vers, – des vers qui meurent – ne mourraient pas. Ils n'ont pas été en mesure de répondre à ma question. »
Cet épisode souligne l'importance d'amplifier la voix des agriculteurs et de la placer à l'avant-garde du débat sur l'alimentation et l'agriculture dans les pays en développement. C'est la motivation fondamentale de l'Alliance for Science.
Comme les collaborateurs de l'Alliance for Science l'ont découvert, la meilleure façon de le faire est de laisser les agriculteurs comme Rahman parler pour eux-mêmes, afin qu'ils puissent partager leurs points de vue avec une audience mondiale sans crainte de voir leurs propos déformés ou mal rapportés.
Pour voir le commentaire de Hafizur Rahman, regardez ci-dessous la vidéo des interviews que l'Alliance a réalisées avec lui dans les champs de brinjal du Bangladesh en mars 2016. ________________
Washington Post : le Pentagone aurait utilisé du phosphore blanc en Irak pour «cacher» les Kurdes
24 sept. 2016, 17:44
Les militaires américains ont confirmé l’utilisation de phosphore blanc en Irak. Ce produit nocif est interdit car il peut causer de graves brûlures. Le Pentagone prétend pourtant l’avoir employé avec des intentions honorables.
Les journalistes du quotidien américain The Washington Post ont examiné les images publiées sur un site internet dépendant du Pentagone et conclu que les soldats américains ont eu recours à des munitions de type M825A1, dotées de phosphore. Leurs conclusions ont été confirmées par le représentant des forces de la coalition de la lutte contre Daesh sous commandement américain, le colonel Joseph Scrocca, qui a ajouté que des bombes de ce type avaient été utilisées «en tenant compte des effets néfastes pour la population et les infrastructures civiles».
«Les forces de la coalition manient ces engins avec précaution et en conformité avec la loi de la guerre américaine dans les régions exemptes de population civile. Ce type d'armement n'est également jamais employé contre les forces ennemies», a-t-il insisté.
Le phosphore blanc a selon lui été utilisé «à des fins de signalement» et pour créer «des écrans de fumée», en expliquant que les photos en question avaient été prises lors d'opérations conjointes avec les Kurdes dans le nord de l'Irak.
Il n’a cependant pas précisé si les bombardements avaient touché des territoires peuplés ou bien seulement occupés par les terroristes.
Le phosphore blanc est un produit nocif auquel les organisations des droits de l’Homme demandent qu'il ne soit pas utilisé car pouvant causer de graves brûlures. De plus, la substance en question peut également provoquer des incendies.
Ce n’est pas la première fois que les Etats-Unis s'en servent. En 2004, le Pentagone a en a également fait l'usage en Irak et en Afghanistan.
200 policiers et 250 manifestants : le bar identitaire «La Citadelle» ouvre ses portes à Lille
24 sept. 2016, 15:58
Alors que «La Citadelle», le nouveau bar lillois du mouvement anti-immigration Génération identitaire a ouvert ses portes, des manifestants bien encadrés par la police ont protesté contre l'inauguration d'un local qu'ils qualifient de «fasciste».
Comme prévu, le 24 septembre à Lille, le café privé du groupe européen anti-immigration Génération identitaire a ouvert ses portes, malgré l’importante polémique qui l’entoure.
Plusieurs dizaines de sympathisants sont venus découvrir le nouvel établissement dès le début de l’après-midi.
200 policiers et un hélicoptère
Alors que plusieurs activistes «antifascistes» avaient indiqué qu'ils protesteraient contre l'ouverture de «La Citadelle», malgré l'interdiction de manifester prononcée par la police, les forces de l'ordre ont pris leurs dispositions pour éviter les affrontements.
Un important dispositif a en effet été déployé et la circulation aux alentours de l'établissement controversé a été coupée.
A plusieurs kilomètres de là, place de la République, quelque 250 personnes se sont rassemblées vers 17h pour protester contre l'ouverture de «La Citadelle», à l'appel du collectif Action Antifasciste NP2C.
Alors que la manifestation avait initialement été interdite, les forces de l'ordre ont été déployées au nombre de 200, de source policière, pour encadrer le cortège.
Le correspondant de RT France a même pu constater la présence d'un hélicoptère.
Après avoir déployé des banderoles «Pas de fachos dans nos quartiers» et scandé des slogans tels que «Tout le monde déteste la Citadelle» ou «Lille debout ! Soulève toi !», les manifestants se sont dispersés dans le calme, sans qu’aucun incident ne soit à déplorer.
«Que veulent-ils ? Que la situation termine en guerre civile ?» Les riverains rencontrés par notre reporter se sont montrés partagés quant à l'ouverture du bar controversé.
A quelques mètres de celui-ci, l'un n'a pas caché sa vive opposition à «La Citadelle» : «C'est scandaleux ! Que veulent-ils ? Que la situation s'aggrave et termine en guerre civile ?»
Un autre, qui a confié ne pas partager les idées identitaires, a indiqué que l'ouverture du café ne le dérangeait pas, tant qu'elle ne provoquait pas d'incidents. «Il faut de tout pour faire un monde», a-t-il conclu.
Interrogé par RT France, le gérant de l'établissement, Aurélien Verhassel, s'est montré particulièrement serein quant à l'avenir.
«Nous avons réalisé 300 adhésions. Cela dépasse, et de loin, nos attentes», indique-t-il, se félicitant par ailleurs que «les casseurs n’ont pas pu commettre leurs méfaits».
Reconnaissant que les manifestants ont «le droit» d’exprimer leur mécontentement, Aurélien Verhassel conclut : «Ce que nous leur demandons, c’est de comprendre aussi que nous sommes dans un Etat de droit et que nous avons le droit, nous aussi, d’ouvrir une maison de l’identité.»
A la base de «La Citadelle», le groupe Génération identitaire se présente comme une organisation qui défend l’identité et la culture européenne face à «la racaille» et «au raz-de-marée de l’immigration massive».
Une pétition publiée sur le site Change.org, réclamant l'interdiction de l’ouverture du local, a recueilli plus de 60 000 signatures.
Lire aussi : Lille : un groupe d’antifascistes veut tagguer un bar identitaire et… se trompe de bâtiment
L’attirance maladive des élites de la Commission Européenne pour l’argent
Audrey Duperron 23 septembre 2016
Mercredi, on a appris que l’ex-commissaire européen à la concurrence, Neelie Kroes, a été entre 2004 et 2009 directeur d’une société offshore aux Bahamas, une société formée pour acheter les restes de la compagnie d’énergie américaine, Enron qui a fait faillite suite à un énorme scandale. Cet emploi est contraire aux règles, parce que les commissaires européens ne peuvent pas exercer des fonctions dans le secteur privé, rémunérées ou non, durant leur mandat (Kroes a travaillé pendant 10 ans en tant que commissaire, de 2004 à 2014). Kroes dit elle-même qu’il s’agit d’un oubli et que la société n’a jamais été opérationnelle.
La règle, plutôt que l’exception
Mais ces révélations, qui impliquent de hauts responsables de l’UE, semble en passe de devenir la règle, plutôt que l’exception. Récemment, c’est le président de la Commission pour laquelle Kroes collaborait, José Manuel Barroso, qui s’est retrouvé au cœur d’une polémique similaire, lorsque l’on a appris qu’il avait été nommé directeur exécutif de la banque d’investissement Goldman Sachs. Une banque qui est soupçonnée d’avoir aidé la Grèce à maquiller ses comptes pour être admise dans l’UE.
La trahison morale des élites et leur attirance maladive pour l’argent
« L’ensemble révèle une régression morale des élites », estime le journal Le Monde dans un éditorial. Il souligne que la Commission ne peut imposer l’honnêteté et l’éthique aux ressortissants de l’UE, alors que les commissaires européens qui l’animent y contreviennent allègrement. Et ce n’est pas nouveau, puisqu’il y a maintenant 20 ans, l’Allemand Martin Bangemann, le commissaire aux Télécommunications, avait accepté un poste au Conseil d’administration de la société espagnole de télécommunications Telefonica.
« Leur attirance pour l’argent est maladive, alors que le contribuable européen verse à chaque commissaire une rémunération que le privé n’offre que rarement : plus de 24 000 euros brut par mois », écrit le journal.
Il fait confiance à Juncker, le président de l’actuelle Commission, pour mener cette nouvelle croisade, et exhorte les lecteurs à le soutenir :
[…]M. Juncker est un président politique d’une Commission politique. Il doit être soutenu. Il doit aller jusqu’au bout et saisir la justice du cas Kroes – afin, au minimum, de faire toute la lumière sur ses activités. S’il ne fait pas le ménage à Bruxelles, ce sont les populistes qui le feront ».
BÉBÉS provoquent le réchauffement climatique, affirme le professeur en état de choc nouveau livre
BÉBÉS provoquent le réchauffement et les familles mondiale devraient envisager d'avoir moins d'enfants pour sauver la planète, un scientifique de premier plan a mis en garde.
Par KATIE MANSFIELD sam, 24 septembre 2016
Dr Travis Rieder prétend réduire le nombre de bébés nés chaque année pourrait sauver le monde
Dr Travis Rieder, professeur de philosophie morale et bioéthicien à l'Université Johns Hopkins, prétend réduire le nombre de bébés nés chaque année pourrait sauver le monde.
Les économistes ont longtemps utilisé quatre facteurs pour déterminer à quel point le dioxyde de carbone est libéré dans l'atmosphère.
Connu comme l'identité Kaya elle implique comment les carburants lourds de carbone sont, combien d'énergie l'économie a besoin pour produire le PIB, le PIB par habitant et la population.
Dr Rieder avertit si les gens refusent de faire des ajustements à leur empreinte carbone alors tout le monde aura besoin de penser à avoir des familles plus petites pour sauver la planète.
Il a dit: "Il y a 19 millions d'orphelins adoptables, et il y a un changement climatique catastrophique à l'horizon.
«Contribuer un enfant au monde à la fois rend le changement climatique aggrave et, si nous ne recevons pas notre acte ensemble, il pourrait en fait ne pas être tout ce grand pour l'enfant non plus."
Dr Rieder a déclaré le contrôle de la population a été négligé pendant des années au cours des discussions sur les changements climatiques
Le professeur a dit les grandes familles doivent faire face à leur responsabilité envers la planète
On estime à 350.000 bébés qui naissent dans le monde entier tous les jours
Dr Rieder, dont le livre sur le sujet devrait être publié plus tard cette année, a déclaré le contrôle de la population a été négligé pendant des années au cours de changements climatiques discussions.
Il a dit: "Eh bien, l'argument va comme ceci: D'accord, les humains ont m'a montré qu'ils sont tout simplement pas prêts à renoncer à leurs jouets.
"Et donc nous avons besoin d'une autre option sur la table. Vous voulez continuer à vivre dans votre maison 10 000 pieds carrés ? Vous savez, voler des jets privés autour, et ce genre de chose ? Eh bien, cela voudrait dire beaucoup moins de gens sur la Terre.
«La population est un élément central de l'équation pour les émissions totales, mais ce genre de se regarda parce que les gens ne veulent pas en parler.
"Les émissions totales est par habitant fois les émissions population, moins avancées technologiques.
"Nous avons essayé de vous faire abandonner vos jouets à changer les émissions par habitant.
"Donc, si vous allez vraiment continuer à montrer une certaine réticence, eh bien, voici l'autre option: Nous allons commencer de faire pression sur les familles.
"Si cette pression est vraiment, vraiment, vraiment indésirable, alors, eh bien, peut-être les gens décident de commencer à faire autre chose."
Dr Rieder a contribué un enfant au monde contribue au changement climatique
Le monde est bien sûr de se réchauffer par quatre degrés Celsius d'ici la fin du siècle
On estime 350.000 bébés sont nés dans le monde chaque jour, dépassant le nombre de décès et de contribuer à la vitesse du changement climatique.
Dr Rieder, un père de l'un, a fait face à une réaction majeure sur son argument, mais insiste sur le fait "la plupart des gens ne le trouve pas indésirable».
Il a dit: «Les tendances démographiques dans le monde entier montrent quand vous donnez des femmes choix, vous les éduquer, vous leur donnez le pouvoir au sein du ménage, et vous commencez à lutter contre la société patriarcale, les taux de fécondité baissent."
Les climatologues ont mis en garde sans changement radical dans le monde est en bonne voie pour se réchauffer de quatre degrés Celsius d'ici la fin du siècle.
Une température qui dit Dr Rieder serait «largement inhabitable pour les humains. Il va être temps de film post-apocalyptique. "
Le professeur a dit les grandes familles doivent faire face à leur responsabilité envers la planète.
Il a dit: «La religion, non seulement le catholicisme mais le mormonisme, le judaïsme ultra-orthodoxe, ce genre de chose est probablement une bonne raison de penser à l'aide de la population comme un moyen de faire monter les enchères.
«Si vous êtes catholique, et vous allez vraiment regarder le changement climatique dans le visage, refuser la contraception, et de continuer à avoir des relations sexuelles de toute façon, il y a le résultat prévisible que vous aurez plus d'enfants que la moyenne.
"Eh bien, alors vous avez vraiment mieux d'être à faire votre darnedest dans toutes sortes d'autres façons. Lorsque vous faites ce choix, il y a un coût. Vous devez payer pour cela d'une certaine manière ".
La controverse sur le burkini en France a été mise en place par des activistes musulmans de concert avec la station de télévision
24 septembre 2016151
"Sélective édité" Séquence d'une jeune femme musulmane portant un soi-disant burkini menacée sur une plage française était un set-up délibérée au profit d'une équipe de télévision Channel Seven Australie, selon les révélations dans la presse australienne.
Les journaux du monde entier ont rapporté avec sympathie le sort de 23 ans, étudiant à l'université musulmane australienne Zeynab Alshelh cette semaine après les images ont émergé qui prétendait montrer son être harcelé sur une plage française.
Les titres britanniques dont le Daily Telegraph, Sun, BBC, Mirror, et d'autres ont rapporté Mme Alshelh avait été "chassé" de la plage, alors qu'elle et sa famille ont été «rencontré abus».
Pourtant, pour le jeune activiste musulman appelle à présenter des excuses à la France pour son coup délibérément provocateur sont de plus en plus après les créances que la colère de ceux sur la plage n'a pas été dirigé à la tenue vestimentaire de la femme - mais à la présence de caméras de télévision, en violation flagrante des lois sur la vie privée française.
Le Daily Mail Australie signale les remarques d'un témoin oculaire de la confrontation, qui a dit: "L'homme sur la vidéo qui a dit:« Vous tournez autour et vous laissez ', était mon oncle. Il n'a jamais demandé à ces trois personnes de quitter la plage. Il a parlé à la caméra parce qu'il demandait au caméraman de quitter.
«Il y avait des enfants sur la plage, y compris la nôtre, et nous ne voulions pas qu'ils soient filmés".
Ces allégations sont en contraste frappant avec les prétentions de Alshelh sur son Channel Seven show quand elle racontait par expérience en France, où elle avait voyagé expressément pour protester contre la soi-disant interdiction Burka:
«Nous avons été menacés par les habitants de quitter la plage et si nous ne l'avons pas qu'ils allaient appeler la police. Ils ne sont pas heureux avec nous d'être là, même si elle était sur la plage que l'interdiction burkini a été annulée mais les locaux étaient pas heureux ".
La duplicité apparente de l'activiste a conduit The Australian, le meilleur journal de vente de la nation à indiquer dans un op-ed ce week-end: "Le Seven Network et la famille batailleuse musulmane Aussie il a volé à la Côte d'Azur dans le but de baigneurs provoquant en un réaction "raciste" à la "cossie Aussie" burkini dois les personnes traumatisées de Nice et de la France des excuses rapides ".
Selon le journal, le film avait été sélectivement modifiée et déformée afin d'atteindre "conclusions prédéterminées". Le document appelle l'exercice contraire à l'éthique, et "le dernier exemple de la langue française dénigrement calculée alimentée par la collusion entre les objectifs de l'islam politique et les médias conformes à la recherche de clichés culture clash".
Bien que le rapport de la télévision sur Channel Seven de l'Australie a suggéré un homme téléphonant à la police faisait une plainte au sujet de la présence de femmes portant soi-disant burkinis, il a été fait signale la présence de caméras de télévision.
Le droit français - contrairement à l'Australie - en fait une infraction à photographier ou éléments de film du public sans leur consentement. L'application de ces lois a été récemment testé lorsque le fondateur du populiste de droite parti Front national a été photographié alors qu'il dormait dans un avion, conduisant à une amende symbolique pour le transgresseur.
PAS DE FRAUDE AUX ÉLECTEURS ? Alors comment se fait-il que les morts VOTENT AU COLORADO ?
24 septembre 2016 PAR ROBERT GEHL
Une enquête CBS4 a trouvé plusieurs cas d'hommes et de femmes mortes de voter dans les mois Colorado et, dans certains cas, des années après leur mort, une révélation qui remet en question des garanties de conçues pour prévenir de tels incidents.
«Nous ne croyons qu'il y avait plusieurs cas de fraude électorale potentielle qui se sont produits", a déclaré le secrétaire d'Etat du Colorado Wayne Williams après avoir examiné les conclusions CBS4. "Il montre qu'il y a le risque de fraude."
Les cas d'hommes et de femmes coulée bulletins de vote à distance de El Paso County dans le sud du Colorado à Denver et Jefferson County morts. CBS4 a découvert la fraude électorale en comparant les bases de données des histoires de vote dans le Colorado contre une base de données de mort fédérale, CBS4Denver rapporte.
L'enquête CBS4 a déclenché des enquêtes criminelles dans les comtés de El Paso et Jefferson avec une vaste enquête menée par le bureau du Colorado Secrétaire d'Etat.
«Il est pas un système parfait. Il y a quelques lacunes", a reconnu Williams.
Un des cas les plus frappants est celui de Sara Sosa à Colorado Springs. Elle est morte le 14 octobre 2009. Cependant, CBS4 a découvert des documents de vote qui ont montré les bulletins de vote exprimés pour Sosa en 2010, 2011, 2012 et 2013. Son mari, Miguel, est décédé le 26 septembre 2008. Mais CBS4 déterré des documents montrant qu'une vote a eu lieu en son nom l'année prochaine 2009.
"C'est illégal», a déclaré greffier El Paso County et enregistreur Chuck Broerman, qui a appelé les conclusions CBS4 «très grave».
«Je suis choqué et surpris," dit Broerman. "Cela ne peut pas arriver. Nous ne pouvons pas avoir cette ici ou n'importe où dans notre pays. Notre démocratie en dépend. Les gens ont versé leur sang pour les valeurs et les fondements et les croyances de ce pays ».
Broerman dit après leur mort, le Sosas est resté sur actif listes électorales et le vote par correspondance ont été encore envoyé à leur maison parce qu'ils ne répondaient pas aux critères d'avoir leurs noms supprimés de listes électorales admissibles.
"Quelqu'un a réussi à lancer un vote qui ne leur appartenait pas à jeter», a conclu Broerman.
CBS4 visité du Sosa Colorado Springs maison et contacté leur fille, Sarilu Sosa-Sanchez, qui a refusé de discuter des bulletins de vote frauduleux.
«Allez parler à quelqu'un d'autre», a déclaré Sosa-Sanchez.
Lorsqu'on lui a dit CBS4 enquêtait sur la fraude électorale, la femme dit: «Je ne sais pas ce que cela a à voir avec moi."
fonctionnaires de vote ont demandé au procureur de district du comté de Jefferson de se pencher sur un autre cas de vote mort découvert par CBS4, celle de Nell Cluck.
"Ma" Cluck, comme on l'appelait, est décédée le 1er février 2009. Toutefois, neuf mois plus tard Cluck réussi à voter lors d'une élection.
"Je pense que maman serait vraiment malheureux à ce sujet", a déclaré son fils, Jim Cluck. "Je pense que maman serait vraiment découragé de connaître quelqu'un a utilisé son nom pour faire quelque chose qu'elle n'a pas eu d'entrée dans. Si maman décède et neuf mois plus tard, quelqu'un vote pour elle, ça ne va pas. "
Un porte-parole pour le bureau du procureur du comté de Jefferson a confirmé le secrétaire d'Etat avait récemment demandé une sonde de l'affaire Cluck.
Ensuite, il y a John Grosso de Denver, un père, grand-père et la Seconde Guerre mondiale vétéran qui est décédé le 13 décembre 2004. Les dossiers montrent cependant que Grosso a ensuite voté à un bureau de vote deux ans plus tard, lors d'une élection primaire 2006.
"Je pense que ce une honte", a déclaré son fils, John.
"L'homme est mort. Il ne peut pas voter. Quelqu'un est tricher. "
Administrateurs avec le Bureau du Secrétaire d'Etat croient que le vote de Grosso peut être une erreur par un juge de l'élection.
Mais la question plus large est pourquoi Grosso - et des dizaines d'autres - ont toujours répertorié en tant qu'électrices actives mois et parfois des années après leur mort. fonctionnaires de vote de l'Etat disent qu'ils ne peuvent supprimer des noms à partir de rouleaux de vote si un certain nombre de critères précis à partir des bases de données de la mort sont remplies: Les noms doivent être écrits précisément à droite, les dates de naissance doivent être correctes et adresses doivent correspondre. Ils disent que dans de nombreux cas, des erreurs mineures sur les listes électorales ou des bases de données de décès laissent les fonctionnaires électoraux d'autre choix que de laisser les morts enregistrées, conduisant à une fraude potentielle et votes erronées.
Sur environ 2 millions de votes exprimés dans le dernier cycle de l'élection du Colorado, 8000 bulletins de vote ne sont pas prises en compte lors des signatures ne correspondent pas. L'importance de la recherche et le désherbage des votes frauduleux est soulignée par l'élection de 2002 dans le 7ème arrondissement du Congrès du Colorado. Cette course a été décidé par 121 voix sur plus de 175.000 qui ont été jetés. Dans l'Ohio en 2010, une mesure fiscale adoptée par seulement deux votes.
Suite à l'enquête CBS4, le bureau du Colorado Secrétaire d'Etat a examiné les conclusions CBS4 et confirmé au moins 78 électeurs morts restaient admissibles à voter. Lynn Bartels, porte-parole du bureau du secrétaire d'Etat, a déclaré greffier du comté ont été avisés et ont dit de retirer immédiatement ces 78 noms de listes électorales. Bartels a déclaré: «On ne sait pas pourquoi" les citoyens morts étaient encore répertoriés comme électeurs admissibles.
Chuck Broerman dit ce CBS4 trouvé "mine notre système. Il fait diluer votre vote dans un petit chemin ".
Williams a dit des mesures mises en œuvre en 2015 devrait réduire le nombre d'électeurs morts casting bulletins de vote dans le Colorado, mais il a noté que l'enquête CBS4 indique des mesures supplémentaires pourraient être nécessaires.
«Il est pas un système parfait», a déclaré Williams, «Il est impossible de voter de la tombe légalement."
Étude de Harvard: Plus d'armes en plus de mains, et plus de femmes qui tirent
par Jon Stokes
Il y a une nouvelle étude / nord-est de Harvard qui est sur mon fils de nouvelles, et il confirme à peu près ce que quelqu'un faisant attention sait déjà:
1. L'Amérique a plus d'armes en mains plus que jamais auparavant. 2. Les femmes tireurs sont à la hausse. 3. La grande majorité des propriétaires d'armes à feu sont propriétaires armes de poing et ont seulement un ou deux armes de poing. 4. La plupart des propriétaires d'armes à feu ont des armes pour la protection personnelle, et non pas la chasse.
Je veux profiter de chacun de ces à son tour, car ils sont tous importants.
Plus de Guns, plus de propriétaires
Tout d'abord, le titre original de ce gros morceau Gardien sur l'étude annoncée «plus d'armes en moins de mains» à la suite de l'étude. Je tendis l'auteur sur Twitter à ce sujet parce que cette déclaration est erronée en fait, et ils ont corrigé. Voici ce qui se passe.
L'étude montre une baisse de la possession d'armes de 25% à 22% depuis 1994, de sorte que le taux de possession d'armes a en effet baissé légèrement. Mais «moins de mains» ? Pas quand vous facteur dans la croissance de la population. La population des États-Unis est passé de 263 millions en '94 à un présent d'environ 313 millions, ce qui signifie que le nombre absolu des propriétaires d'armes à feu a augmenté de quelques millions. Donc non, il n'y a pas "plus d'armes en moins de mains», mais «plus d'armes dans plus de mains."
Il est également intéressant de noter à quel point cette enquête diffère de l'Enquête sociale générale qui est cité par le Violence Policy Center pour montrer une baisse à deux chiffres en pourcentage arme de propriété au cours des dernières décennies. L'Enquête sociale générale est une valeur aberrante, et l'enquête Gallup des propriétaires d'armes à feu est beaucoup plus proche des numéros d'étude du Nord-Est de Harvard /.
En général, chaque fois que vous voyez quelqu'un prétend qu'il y a moins de propriétaires d'armes en Amérique aujourd'hui qu'il n'y en avait à un moment donné dans le passé, cette personne ne va pas. À un certain point les médias comprendre que vous devez prendre en compte la croissance de la population, et nous allons cesser de voir ces «moins de propriétaires d'armes à feu", titre.
Shooters femmes
La NRA et NSSF ont été réclament depuis un certain temps maintenant que les femmes sont les plus forte croissance démographique des propriétaires d'armes à feu, et les médias ont essayé de repousser sur cette réclamation. Malheureusement pour les médias, la nouvelle étude soutient la NRA.
Le pourcentage de femmes qui disent posséder des armes a légèrement augmenté, passant de 9% dans une étude 1994 à 12% aujourd'hui, mais les chercheurs dit l'augmentation n'a pas été significative. Depuis les années 1980, la propriété des armes à feu femelle a fluctué entre 9% et 14% dans les enquêtes annuelles.
Encore une fois, quand on tient compte de la croissance de la population, vous obtenez une augmentation très importante du nombre absolu des femmes propriétaires d'armes à feu. L'étude met cette augmentation à 10 millions. Cela fait beaucoup de nouveaux tireurs, et clairement si elle était pas pour les femmes d'acheter des armes que nous serions de voir une baisse beaucoup plus importante dans les taux pistolet de propriété.
Plus précisément, l'étude constate que le nombre d'hommes qui possèdent des armes a chuté de 42% à 32%, un plein dix points de pourcentage, depuis 1994, de sorte que l'industrie des armes à feu a des femmes à remercier pour la plupart de l'augmentation absolue de la détention d'armes.
super propriétaires
La plupart des gros titres autour de cette étude portent sur les «propriétaires de super," 3% des propriétaires d'armes à feu qui possèdent près de la moitié des canons:
Ensuite, il y a une arme à feu super-propriétaires de l'Amérique - on estime que 7,7 millions d'Américains qui possèdent entre huit et 140 canons.
Ce type de propriété concentrée est pas unique aux armes à feu, les chercheurs ont noté des armes à feu. Les experts en marketing suggèrent que les plus dévoués 20% des consommateurs les typiquement représentent 80% des ventes d'un produit.
Je savais que j'étais super. Je parie que vous avez fait, aussi.
Sur une note plus sérieuse, cependant, ma théorie est que nous pouvons remercier la montée du fantastique pistolet attaquant-feu en plastique et la baisse concomitante du prix de ce qui compte comme un «pistolet de qualité" pour une grande partie de la "super propriété" là-bas.
En termes corrigés de l'inflation, il est moins cher d'acheter un Glock 19 aujourd'hui qu'il était d'acheter un Smith & Wesson en 1970. Bien sûr, certaines armes conservent leur valeur assez bien, mais dans de nombreux secteurs du marché, l'accès aux armes à feu de qualité est devenu une proposition moins cher.
Cibles à deux pattes contre des cibles à quatre pattes
La nouvelle étude est en ligne avec les autres enquêtes récemment qui montrent l'importance décroissante de la chasse dans les achats d'armes à feu et de l'importance croissante de la légitime défense.
Il y a tellement que je pourrais écrire à ce sujet. Il n'y a pas que le virage vers le «tactique» dans la culture d'engrenage américain ou post-11.09 peur alimenté les médias, bien que ces choses sont un facteur. Mais la véritable force derrière le déclin de la chasse comme la principale raison de la possession d'armes est celui que je continue à référencer dans cet article: la croissance de la population.
La croissance démographique a vidé la chasse dans la plupart des régions du pays. Je sais que quand je vais revenir à la superficie de ma famille dans la Louisiane middle-of-nulle part, il y a des voisins des deux côtés de notre lot de 40 acres. Tout cela utilisé comme bois, et nous chassaient en elle, mais maintenant il est claire et il y a des maisons avec de beaux camions garés devant.
J'y ai pensé obtenir un bail de chasse ici au Texas, mais l'idée de passer des années à étudier et apprendre les tenants et les aboutissants du comportement de la faune sur un morceau de propriété que je ne possède pas et ne peut pas transmettre à mes enfants juste n'a pas autant d'attrait pour moi, et je sais que je ne suis pas seul.
Une grande partie de la raison pour laquelle je chassais était parce que j'aimé passer du temps de près et personnelle avec notre terre familiale, où mon père et oncles et grand-père et grands-oncles ont tous chassés. La connaissance de la façon de chasser cette propriété (et les propriétés voisines avec permission) a été transmis à mes cousins et moi, et utiliser ces connaissances et en y ajoutant était tout aussi grand une affaire comme apportant de la viande de retour dans le camp.
Tout cela est parti pour moi maintenant, et actuellement mon «chasse» consiste à sortir pour le bail de quelqu'un d'autre et de tirer sur les créatures qui, la plupart du temps, ont été appâtés avec des mangeoires et des parcelles.
Je ne suis pas frapper les baux, bien sûr. Merci Dieu pour ceux, ou la plupart d'entre nous aurait pas de place pour la chasse à tous. Je dis simplement que ce n'est pas la même chose que ce fut, et les chiffres refléter cette réalité.
La fumée de tabac neutralise les odeurs désagréables: une idée née aux Pays-Bas (agence)
La société hollandaise Rwin Showtechniek vend des diffuseurs de fumée artificielle de tabac pour lutter contre les odeurs désagréables dans les cafés et les restaurants, rapporte l'agence néerlandaise ANP. Selon Raymond Bolt, représentant de la société sise à Groningue, l'odeur de la fumée neutralise les relents de bière et de transpiration.
Après l'interdiction de fumer dans les lieux publics, entrée en vigueur le 1er juillet, les clients des bars et des restaurants ont commencé à se plaindre de nouvelles odeurs. A l'aide de ce nouvel appareil qui ressemble à un ventilateur, on pourra diffuser des odeurs de cigares de la Havane, disent les producteurs.
"L'odeur de tabac diffusée par notre appareil ne nuit pas à la santé et n'imprègne pas les vêtements comme le fait la véritable fumée", a-t-il dit.
Harcèlement par l'odeur: le Japon part en guerre contre les employés qui sentent mauvais
21:06 12.09.2016
La chaleur estivale a poussé les salariés nippons à inventer une nouvelle expression: "insulte par l'odeur" ou "harcèlement odorant". Qui plus est, plusieurs sociétés pensent même mettre en place des normes de conduite en public destinées aux employés qui sentent mauvais.
Certaines sociétés nippones ont d'ores et déjà introduit des limitations qui concernent non seulement la mauvaise odeur corporelle, mais la mauvaise haleine et même l'odeur de parfum, rapporte le journal Mainichi. Ainsi, une quarantaine d'employés de la compagnie des télécommunications japonaise SoftBank ont assisté en août à un séminaire organisé par le fabriquant de cosmétique pour hommes Mandom Corp.
Le but était d'expliquer les raisons pour lesquelles une mauvaise odeur peut apparaître et de montrer comment se servir correctement de déodorants. "Sentez l'odeur d'une peau grasse mélangé à celui du vieillissement", proposait l'animateur.
L'employé de SoftBank Yasuko Okabe note à l'issue du séminaire que l'odeur est un thème très sensible. "Il n'est pas facile de dire directement aux collègues qu'ils sentent mauvais. Mais si le contenu de ce séminaire est développé sur nos lieux de travail, on pourra résoudre les problèmes liés à l'odeur corporelle", affirme-t-il.
Outre la sueur et la peau grasse, l'odeur de tabac et celle de parfum peuvent gêner l'entourage et même faire fuir des clients potentiels. Ainsi, le fabricant de lunettes Owndays Co a inclus la rubrique "odeur" au code vestimentaire après qu'un client s’est plaint de l'odeur de tabac émanant des employés.
Désormais, les restrictions concernent l'ensemble du personnel, même les parfums sont interdits ainsi que la consommation d'aliments pouvant provoquer de fortes odeurs. Tsuneaki Gomi, chef d'une clinique de Tokyo, fait noter pour sa part que la plupart des gens sont extrêmement sensibles aux odeurs. Mais, selon lui, une inquiétude excessive au sujet de l'odeur du corps peut affecter la personnalité et engendrer un manque de confiance en soi.
Pour conclure, il rappelle qu'avant tout il ne faut pas oublier que l'odeur est un indicateur de l'état de santé de l'homme et il faut y prêter attention.
Les Japonais ne peuvent plus faire des heures supplémentaires
19:55 24.09.2016
La nouvelle gouverneure de Tokyo, Yuriko Koike, a interdit aux employés municipaux de rester au bureau après huit heures du soir. C’est ainsi que la première femme à gouverner la capitale nippone se propose de lutter contre le «karôshi», la mort par excès de travail. Au Japon, travailler plus n'est généralement pas synonyme de revenus supplémentaires, les Japonais ne comptant pas leurs heures de travail et ce, souvent au risque de négliger l'éducation de leurs enfants. La gouverneure de Tokyo a décidé d'en finir avec cette pratique.
« Les heures supplémentaires régulières constituent un problème très grave pour la société nippone, en exerçant un impact extrêmement négatif sur la vie privée et la santé des Japonais », a déclaré Yuriko Koike, cité par le Telegraph. Face à la propagation du « karôshi », mort par épuisement professionnel, elle a interdit aux 170 000 employés municipaux de la capitale japonaise de rester au bureau après huit heures du soir, une équipe spéciale étant chargée de veiller au respect de cette consigne.
Les cas de mort par excès de travail, « karôshi »en japonais, sont fréquents dans le pays. Faut-il vivre pour travailler ou travailler pour vivre ? La question est pertinente au Japon où la vie professionnelle passe généralement avant la famille. Le temps de travail légal y est de 40 heures par semaine, mais les estimations sur le temps passé au travail varient. La presse internationale rappelle qu'en avril 2008, une compagnie japonaise a été obligée par la justice à verser 200 millions de yens (1,7 million d'euros) à l'un de ses employés qui était tombé dans le coma à cause du « karôshi ».
Terrorisme : arrestation de deux jeunes Niçoises soupçonnées de vouloir commettre un attentat
25 sept. 2016, 15:10
Deux adolescentes de 17 et 19 ans ont été écrouées à l'issu d'une enquête ouverte par la section antiterroriste du parquet de Paris. Sous l'influence de Rachid Kassim, un djihadiste français de Daesh, elles auraient souhaité commettre un attentat.
Nouvelle arrestation dans le cadre de la lutte contre la menace djihadiste en France : dimanche 25 septembre, l'AFP a confirmé l'information du journal Le Parisien, selon laquelle la Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI) avait récemment interpellé puis placé en détention provisoire deux jeunes Niçoises radicalisées.
Lire aussi La mairie de Mairie de Boussy-Saint-Antoine. Affaire des bonbonnes de gaz : Boussy-Saint-Antoine demande réparation aux terroristes présumés
L'arrestation des deux jeunes femmes, âgées de 17 et 19 ans, se base sur une enquête ouverte le 9 septembre par la section antiterroriste du parquet de Paris. Celle-ci a notamment permis d'établir que les deux adolescentes étaient en contact avec le djihadiste français Rachid Kassim, membre du groupe terroriste Etat islamique se trouvant en Irak ou en Syrie, qui appelle à l'organisation d'attentats en France via la messagerie cryptée Telegram.
D'après une source proche de l'enquête citée par l'AFP, les deux islamistes niçoises ont reconnu à la DGSI avoir envisagé une «action violente», à l'instigation de Rachid Kassim, avant d'y renoncer. En outre, aucune arme n'a été retrouvée par les enquêteurs à leur domicile de Nice.
L'adolescente de 17 ans, inconnue des services de renseignement, a avoué en garde à vue «en vouloir beaucoup aux militaires» français. Sa comparse, de deux ans son aînée, avait quant à elle été repérée par les autorités pour avoir envisagé de rejoindre les terres du djihad lorsqu'elle avait 17 ans.
Cette double interpellation s'inscrit dans une série d'arrestations de jeunes individus projetant de réaliser des attentats en France. Mercredi 21 septembre, notamment, le parquet de Paris avait fait savoir que deux hommes soupçonnés de liens avec Rachid Kassim avaient été mis en examen et écroués. Quelques jours plus tôt, le 16 septembre, un jeune homme de 20 ans qui souhaitait «mourir en martyr» avait été arrêté à Besançon.
Lire aussi : Fausse alerte à Paris : deux adolescents mis en examen et placés dans un foyer éducatif
Algérie : après la mort d’une femme brûlée vive, Amnesty International tire la sonnette d’alarme
RépondreSupprimer23 sept. 2016, 17:14
Alors que le meurtrier d’Amira Merabet, brûlée vive fin août en Algérie, est toujours en fuite, l’ONG de défense des droits de l’Homme dénonce «l’impunité» des agresseurs, dans un pays où les violences faites aux femmes sont en augmentation.
C’est arrivé le 29 août, vers 8h du matin. Amira Merabet, 34 ans, se rendait simplement à son travail à pied, dans la ville d’El Khroub, dans l’est du pays, lorsqu'elle aurait été harcelée. «Sans raison aucune», un jeune homme qu’elle ne connaissait pas se serait mis à la frapper avant de l’asperger de liquide inflammable et d’y mettre le feu, a témoigné la sœur de la victime, Fatim-Zohra, dans le magazine d’actualité Jeune Afrique.
Quelques heures plus tard, Amira succombe à ses blessures à l’hôpital. En fuite, son agresseur est toujours recherché par la police.
La goutte d’eau qui fait déborder le vase ?
Pour la directrice du bureau d’Amnesty International à Alger, Hassina Oussedik, l'histoire tragique de la jeune Algérienne doit interpeller les autorités.
«Les associations demandent à l’Etat de protéger les femmes face à des hommes qui s’en prennent à elles en toute impunité», explique-t-elle au magazine, alors que des rassemblements de soutien à Amira Merabet ont eu lieu ces derniers jours dans plusieurs villes du pays.
«L’Etat doit donner une réponse forte face à ce qu'il se passe. Il faut qu’il montre l’exemple !», conclut la militante des droits de l’Homme.
Des chiffres en hausse
Entre 2014 et 2015, les plaintes déposées pour des violences faites aux femmes ont augmenté de 27%, selon les données de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’Homme (CNCPPDH), une institution indépendante créée par le gouvernement algérien en 2001.
La hausse est particulièrement criante dans les plaintes pour violences sexuelles, qui sont elles passées en un an de 208 à 383.
Et pourtant, ces données pourraient sous-représenter le probléme, comme l’indique la CNCPPDH : «Beaucoup de femmes souffrent en silence ou déposent des plaintes et les retirent par la suite de peur des représailles de leurs agresseurs ou de la société.»
https://francais.rt.com/france/26762-algerie-femme-brulee-vive
Allemagne : un réfugié meurt en tentant de mettre le feu à sa femme
RépondreSupprimer2 sept. 2016, 08:39
Provoquant un incendie, un réfugié a mis le feu à sa femme dans un centre pour migrants dans la ville allemande de Rudesheim. L’homme est mort dans les flammes, tandis que sa femme a été hospitalisée dans un état grave.
Ce drame familial a été à l’origine de l’incendie du centre d’accueil pour migrants de Rudesheim. Le réfugié de 45 ans a déversé du liquide inflammable sur sa femme de 31 ans dont il s’était séparé et l'a mis à feu. La femme a été transportée dans un état grave à l’hôpital par hélicoptère. L’homme, de son côté, est mort dans l’incendie.
Leurs trois enfants ont été témoins de cette horrible scène. L’un d’entre eux, en état de choc, serait suivi. Deux autres personnes ont été blessées dans cet incendie qui a rendu inhabitable l’ensemble de cette immeuble qui servait à loger 14 personnes, selon les autorités.
La police a annoncé qu’une enquête était en cours, soulignant qu’un différent au sein de cet ancien couple était bien à l’origine de l’incendie. Selon de nombreux médias allemand, l’homme serait arrivé de Syrie, mais l’AFP affirme de son côté que sa nationalité n’a pas encore été déterminée.
Lire aussi : Incendie dans un centre pour réfugiés en Allemagne : au moins 19 blessés (VIDEO)
Un million de réfugiés sont arrivés en Allemagne en 2015, et 300 000 autres devraient arriver en 2016. L’afflux migratoire a forcé le pays à loger des migrants dans des auberges, salles de sport et baraquements militaires.
https://francais.rt.com/international/25799-allemagne--refugie-meurt-tentant
Des journalistes de l'émission «Zone Interdite» sur M6 accusés d'avoir instrumentalisé des migrants
RépondreSupprimer24 sept. 2016, 10:32
Une enquête a été ouverte suite à trois plaintes déposées par des clandestins filmés pour le magazine «Zone interdite» plusieurs mois lors de leur périple pour arriver en France, révèle l'Obs. Les migrants affirment avoir été instrumentalisés.
Selon TéléObs, le Procureur de la république de Paris aurait demandé l’ouverture d’une information judiciaire sur les conditions de tournage du reportage de Zone interdite, intitulé «Clandestins : ils traversent l’enfer pour venir vivre en France». Ce dernier a été diffusé en 2013 sur la chaîne M6.
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A l’époque, l'émission avait filmé le périple de trois Camerounais, Émile Zola Matemb Ba Em, Alain Joseph Ebanga Ndoumou et Elie Mbock qui tentaient d'entrer clandestinement en France.
Une fois en France, ces derniers avaient porté plainte contre X pour «mise en danger de la vie d’autrui», «aide à l’entrée et au séjour irrégulier» et «soumission d’une personne à des conditions de travail ou d’hébergement incompatibles avec la dignité humaine». Ils reprochaient aux journalistes de les avoir instrumentalisés
Il était notamment reproché aux équipes du reportage d’avoir encouragé les clandestins à entreprendre ce voyage qu’elles auraient en partie financé.
Malgré ces plaintes, la chaîne M6 avait malgré tout diffusé le reportage.
Lire aussi : L’équipe de RT filme des migrants menant l’assaut des autoroutes à Calais (VIDEO)
https://francais.rt.com/france/26791-justice-ouvre-enquete-sur-reportage-m6-migrants
Le Congrès américain fustige le veto d'Obama sur la loi autorisant à poursuivre Riyad pour le 11/09
RépondreSupprimer24 sept. 2016, 09:20
Le président américain Barack Obama a opposé le 23 septembre son veto à une loi qui autoriserait les proches des victimes du 11-Septembre à poursuivre l'Arabie saoudite, engageant sur ce dossier sensible un bras de fer périlleux avec le Congrès.
Si Barack Obama a souhaité exprimé sa «profonde sympathie» pour les victimes en affirmant comprendre leur «désir de justice», le président américain a toutefois souligné que cette loi «aurait un impact néfaste sur la sécurité nationale des Etats-Unis».
Une décision diplomatique
La Maison Blanche estime que le texte affaiblirait le principe d'immunité qui protège les Etats (et leurs diplomates) de poursuites judiciaires et risque d'exposer les Etats-Unis à des poursuites devant divers tribunaux à travers le monde.
Mais les défenseurs du «Justice Against Sponsors of Terrorism Act» (JASTA) insistent sur la nécessité pour les victimes des attentats du 11-Septembre de pouvoir réclamer justice et affirment que l'opposition de l'administration Obama est avant tout liée à la crainte de provoquer la colère de Riyad.
«Les familles [des victimes] sont scandalisées et très déçues» par la décision du président Obama, a déclaré à l'AFP Terry Strada, dont le mari, Tom, a été tué dans le World Trade Center où il travaillait.
Le candidat républicain Donald Trump, qui répète à l'envi que le président démocrate et sa rivale démocrate Hillary Clinton manquent de poigne dans la lutte contre le terrorisme, a immédiatement dénoncé cette décision.
«Que le président Obama puisse empêcher les parents, les épouses et les enfants de ceux que nous avons perdus (...) de refermer ce douloureux chapitre de leurs vies est une honte», a-t-il affirmé.
Si les deux tiers des élus se rassemblent derrière le texte, ils pourront surmonter le veto de Barack Obama et la loi entrera alors en vigueur. Cela représenterait en quelque sorte une défaite pour le président américain, à quelques mois de son départ. Depuis son arrivée au pouvoir en 2009, il n'est jamais arrivé que son veto soit rejeté.
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L'exécutif américain est donc à la manœuvre sur Capitol Hill, en particulier auprès des représentants démocrates, pour s'assurer que le cap fatidique ne soit pas atteint.
(suite en dessous:)
Il dénonce les petits calculs politiques des élus qui expriment «en privé» des réserves sur les dangers du texte mais votent pour, les yeux rivés sur les élections du 8 novembre, lors desquelles une partie du Congrès sera renouvelé, en même temps qu'aura lieu le scrutin présidentiel.
RépondreSupprimer«Les saoudiens doivent rendre des comptes»
Chuck Schumer, sénateur démocrate de New York, a immédiatement regretté une décision «décevante» de la part du président, prédisant qu'elle serait rapidement rejetée par le Congrès.
«Si les Saoudiens n'ont rien fait de mal, ils ne devraient pas craindre cette loi. S'ils portent une responsabilité dans les attentats du 11-Septembre, ils devraient rendre des comptes», a-t-il estimé. «La justice pour ces familles ne devrait pas être jetée aux orties pour des raisons diplomatiques».
Hillary Clinton, qui espère bien l'emporter dans l'Etat de New York dont elle fut sénatrice, a fait savoir par son équipe qu'elle aurait signé cette loi.
«[Hillary] Clinton continue de soutenir les efforts déployés par le sénateur [Chuck] Schumer et ses collègues au Congrès pour assurer la capacité des familles des victimes du 11-Septembre et toutes les autres victimes du terrorisme de faire payer les responsables», a déclaré Jesse Lehrich, un porte-parole de la candidate démocrate. «Si la loi parvenait sur son bureau, elle la voterait», a-t-il déclaré.
Le texte a suscité une levée de boucliers dans les monarchies du Golfe qui ont mis en garde contre «un grave précédent». Ces dernières entretiennent des relations déjà tendues avec l'administration Obama, à qui elles reprochent notamment son rapprochement avec L'Iran, le grand rival chiite de Riyad. D'ailleurs, en coulisses, l'Arabie saoudite s'active pour empêcher le passage de cette loi.
La Maison Blanche assure elle, que son inquiétude ne se limite pas à l'impact que cela pourrait avoir sur sa relation avec la monarchie sunnite «mais avec tous les pays du monde». Et met en avant les inquiétudes de nombre de haut responsables américains des deux bords.
Le porte-parole de la Maison Blanche et président de la Chambre des représentants des Etats-Unis, le républicain Paul Ryan, a déclaré le 21 septembre : «Je ne pense que les votes sont là pour le remplacement.» Il a également exprimé ses doutes quant à la législation, affirmant être inquiet au sujet des possibles poursuites contre les Etats-Unis.
«Je m'inquiète des questions juridiques», a déclaré Ryan. «J'ai bien peur que nous soyons dans une situation où certains avocats tentent d'en tirer profit personnellement pour s'enrichir. Dans le même temps, les victimes doivent pouvoir être entendues par le tribunal.»
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Dans une lettre adressée aux élus, l'ancien ministre de la Défense William Cohen et l'ancien patron de la CIA Michael Morell, ont ainsi souligné combien une telle loi pourrait placer les Etats-Unis dans une position délicate.
RépondreSupprimer«Nos soldats, nos diplomates et tous les employés du gouvernement américain travaillant à l'étranger pourraient se retrouver visés par des poursuites judiciaires dans d'autres pays», écrivent-ils.
Quinze des 19 auteurs des attentats du 11-Septembre étaient saoudiens mais l'implication de l'Arabie saoudite, alliée des Etats-Unis, n'a jamais été démontrée.
Indignation des «Américains lambda»
La décision présidentielle d'opposer son veto à la loi a également touché les citoyens américains, dont beaucoup ont déploré la démarche de Barack Obama, notamment via les réseaux sociaux. Et ils semblent rejoindre la position des politiques par rapport aux sanctions judiciaires qu’encourraient les Etats-Unis dans d'autres pays si la loi passait.
Un autre utilisateur de Twitter, le sheriff Paul Babeu, se dit persuadé que la décision du président Obama, «montre clairement qu'il est l'allié des Saoudiens». L'homme appelle notamment à signer une pétition revendiquant le droit des familles des victimes de poursuivre l'Arabie saoudite en justice.
«Obama donne son veto sur la loi autorisant les familles des victimes du 11-Septembre à poursuivre l'Arabie saoudite, mais dans le même temps, il offre 38 milliards de dollars à Israël [pour acheter des armes américaines]», s'indigne annaleclaire, rappelant qu'Israël va recevoir la plus grande aide financière américaine de l’histoire des Etats-Unis.
Lire aussi : L'Amérique se dirige-t-elle vers un nouveau 11-Septembre, en ignorant les leçons de l’histoire ?
https://francais.rt.com/international/26788-congres-americain-fustige-veto-obama-11-sptembre-arabie-saoudite
SupprimerNe prenons pas les gens pour des cons !
Le '11 Septembre 2001', 3 tours du WTC s'effondraient sur leurs empreintes suite aux explosifs (thermite) posé précédemment par des experts en démolition. Notons que ce personnel employé n'a pas miné les tours en 1 h ni même en 1 jour (WTC 1 & 2 415 & 417 m !) et ne peut être l'œuvre QUE de spécialistes appelés à cette tâche (qu'ils soient venus d'Israel ou d'Arabie Saoudite).
D'où, la difficulté de poursuivre des travailleurs du bâtiment - comme de poursuivre ceux d'une entreprise de fabrication de voitures pour vice de construction suite à un accident - afin que 15 ans après ils dussent rembourser leurs salaires faute de n'avoir voulu interpeler le commanditaire au poste de la Direction !
Un agriculteur du Bangladesh s'exprime dans la controverse sur l'aubergine Bt
RépondreSupprimer24 Septembre 2016 ,
par Seppi
Un agriculteur du Bangladesh s'exprime dans la controverse sur l'aubergine Bt
Mohammad Arif Hossain*
L'agriculteur bangladeshi au centre d'une controverse sur les OGM a parlé pour préciser sa récente expérience de la culture du brinjal Bt, l'aubergine résistant à des ravageurs qui est sous les projecteurs des médias internationaux en tant que première espèce de plante génétiquement modifiée produisant des denrées alimentaires à être cultivée dans un pays en développement.
Mohammad Hafizur Rahman, un agriculteur résidant dans le district de Tangail au nord de la capitale du Bangladesh, Dacca, a accordé un entretien face à la caméra au programme Panorama de la BBC en mai 2015. Il a raconté que le nouveau brinjal Bt contrôlait avec succès la mineuse des fruits et des tiges [Leucinodes orbonalis], une chenille qui provoque des dégâts graves et sévit dans toute l'Asie, et contre laquelle les agriculteurs devaient auparavant utiliser des pesticides toxiques parfois jusqu'à deux fois par semaine.
Rahman a déclaré à la BBC qu'après l'adoption du brinjal Bt, il avait été en mesure de réduire considérablement son utilisation de pesticides, qu'il économisait de l'argent et voyait aussi les résultats en termes d'amélioration de la santé. Le même agriculteur a également été présenté dans un article du New York Times soulignant les mêmes questions de réduction de l'utilisation de pesticides et d'amélioration des rendement et des conditions de vie.
Cependant, après la diffusion du documentaire de la BBC, les activistes anti-OGM ont immédiatement affirmé que tant le documentaire de la BBC que l'article du New York Times étaient des fabrications, et que la culture de Rahman avait en fait échoué. Ces allégations ont été étayées par les rapports d'un journaliste des United News of Bangladesh (UNB) qui a dit qu'il avait visité les champs de brinjal Bt de Rahman et avait trouvé « un nombre important de plantes mortes ».
Le même journaliste des UNB avait publié un article auparavant et affirmé que de nombreux agriculteurs produisant du brinjal Bt à travers le pays avaient également subi des mauvaises récoltes. Ce rapport a toutefois été contesté par le directeur général de l'Institut de Recherche Agricole du Bangladesh, Dr. Md. Rafiqul Islam Mondal, qui a déclaré aux médias que « la performance du brinjal Bt était meilleure que celle des non-Bt dans tous les districts ».
Ces récits concurrents ont mené à une confusion internationale sur la réalité du brinjal Bt au Bangladesh. Afin d'établir définitivement la vérité, au moins sur l'expérience personnelle de Rahman de la culture du brinjal Bt, des collaborateurs d'Alliance for Science lui ont rendu visite une deuxième fois en avril 2016. L'entretien a été filmé et peut être consulté intégralement ci-dessous (avec traduction en langue anglaise dans les légendes) .
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Rahman a été très clair sur le succès de sa culture de brinjal Bt, et a rejeté les allégations d'échec. « Au cours des 10 dernières années, le rendement que j'ai obtenu l'année dernière, je ne l'ai jamais obtenu de toute ma vie, et mes voisins non plus », a-t-il dit. « Voilà pourquoi mes voisins sont enthousiasmés, et moi aussi. »
RépondreSupprimerRahman a aussi révélé que le journaliste des UNB avait partagé des documents anti-OGM avec lui dans une tentative de le persuader de critiquer la technologie, une violation grave de l'éthique journalistique.
Il a également nié avoir dit au journaliste des UNB qu'il était mécontent de la performance de sa culture de brinjal Bt. « Je n'ai pas dis cela. Lorsque la plante arrive à la fin de sa vie, elle meurt. Mes plantes de brinjal Bt ont dépéri quand elles ont fini leur fructification. Tout a une fin, non ? Est-ce que les plantes de brinjal persistent toute la année ? Ce n'est pas possible. »
Rahman a souligné avec force que le journaliste des UNB n'avait tout simplement pas compris que son champ avait déjà été récolté à plusieurs reprises et avait atteint la fin de sa saison. « Quand il [le journaliste des UNB] m'a rendu visite, ces plantes avaient commencé à dépérir. Les plantes ne portaient plus de fruits, j'avais déjà commencé à récolter du dhundul (des courges-éponges – Luffa acutangula var. amara) sur ce champ. Je lui ai donc dit que ma récolte de brinjal était déjà terminée. »
L'agriculteur a également raconté qu'il avait reçu la visite de militants anti-OGM de « plusieurs bureaux, pour me raconter des choses négatives à propos du brinjal Bt. Ils m'ont donné un livre et m'ont dit : "Regarde, mon frère, le brinjal Bt a divers problèmes." Ils m'ont aussi dit de ne pas manger ce brinjal. Ils ont dit que si les insectes ne le mangent pas, il ne doit pas être bon pour les humains de le manger. Avec mon esprit pratique pour les contrer, je leur ai demandé pourquoi les gens qui prennent des médicaments contre les vers, – des vers qui meurent – ne mourraient pas. Ils n'ont pas été en mesure de répondre à ma question. »
Cet épisode souligne l'importance d'amplifier la voix des agriculteurs et de la placer à l'avant-garde du débat sur l'alimentation et l'agriculture dans les pays en développement. C'est la motivation fondamentale de l'Alliance for Science.
Comme les collaborateurs de l'Alliance for Science l'ont découvert, la meilleure façon de le faire est de laisser les agriculteurs comme Rahman parler pour eux-mêmes, afin qu'ils puissent partager leurs points de vue avec une audience mondiale sans crainte de voir leurs propos déformés ou mal rapportés.
Pour voir le commentaire de Hafizur Rahman, regardez ci-dessous la vidéo des interviews que l'Alliance a réalisées avec lui dans les champs de brinjal du Bangladesh en mars 2016.
________________
Source : http://allianceforscience.cornell.edu/blog/bangladeshi-bt-brinjal-farmer-speaks-out-gmo-controversy
- voir clip sur site:
http://seppi.over-blog.com/2016/09/un-agriculteur-du-bangladesh-s-exprime-dans-la-controverse-sur-l-aubergine-bt.html
Washington Post : le Pentagone aurait utilisé du phosphore blanc en Irak pour «cacher» les Kurdes
RépondreSupprimer24 sept. 2016, 17:44
Les militaires américains ont confirmé l’utilisation de phosphore blanc en Irak. Ce produit nocif est interdit car il peut causer de graves brûlures. Le Pentagone prétend pourtant l’avoir employé avec des intentions honorables.
Les journalistes du quotidien américain The Washington Post ont examiné les images publiées sur un site internet dépendant du Pentagone et conclu que les soldats américains ont eu recours à des munitions de type M825A1, dotées de phosphore. Leurs conclusions ont été confirmées par le représentant des forces de la coalition de la lutte contre Daesh sous commandement américain, le colonel Joseph Scrocca, qui a ajouté que des bombes de ce type avaient été utilisées «en tenant compte des effets néfastes pour la population et les infrastructures civiles».
«Les forces de la coalition manient ces engins avec précaution et en conformité avec la loi de la guerre américaine dans les régions exemptes de population civile. Ce type d'armement n'est également jamais employé contre les forces ennemies», a-t-il insisté.
Le phosphore blanc a selon lui été utilisé «à des fins de signalement» et pour créer «des écrans de fumée», en expliquant que les photos en question avaient été prises lors d'opérations conjointes avec les Kurdes dans le nord de l'Irak.
Il n’a cependant pas précisé si les bombardements avaient touché des territoires peuplés ou bien seulement occupés par les terroristes.
Le phosphore blanc est un produit nocif auquel les organisations des droits de l’Homme demandent qu'il ne soit pas utilisé car pouvant causer de graves brûlures. De plus, la substance en question peut également provoquer des incendies.
Ce n’est pas la première fois que les Etats-Unis s'en servent. En 2004, le Pentagone a en a également fait l'usage en Irak et en Afghanistan.
https://francais.rt.com/international/26805-washington-post--pentagone-aurait-utilise-phosphore-blanc-irak
200 policiers et 250 manifestants : le bar identitaire «La Citadelle» ouvre ses portes à Lille
RépondreSupprimer24 sept. 2016, 15:58
Alors que «La Citadelle», le nouveau bar lillois du mouvement anti-immigration Génération identitaire a ouvert ses portes, des manifestants bien encadrés par la police ont protesté contre l'inauguration d'un local qu'ils qualifient de «fasciste».
Comme prévu, le 24 septembre à Lille, le café privé du groupe européen anti-immigration Génération identitaire a ouvert ses portes, malgré l’importante polémique qui l’entoure.
Plusieurs dizaines de sympathisants sont venus découvrir le nouvel établissement dès le début de l’après-midi.
200 policiers et un hélicoptère
Alors que plusieurs activistes «antifascistes» avaient indiqué qu'ils protesteraient contre l'ouverture de «La Citadelle», malgré l'interdiction de manifester prononcée par la police, les forces de l'ordre ont pris leurs dispositions pour éviter les affrontements.
Un important dispositif a en effet été déployé et la circulation aux alentours de l'établissement controversé a été coupée.
A plusieurs kilomètres de là, place de la République, quelque 250 personnes se sont rassemblées vers 17h pour protester contre l'ouverture de «La Citadelle», à l'appel du collectif Action Antifasciste NP2C.
Alors que la manifestation avait initialement été interdite, les forces de l'ordre ont été déployées au nombre de 200, de source policière, pour encadrer le cortège.
Le correspondant de RT France a même pu constater la présence d'un hélicoptère.
Après avoir déployé des banderoles «Pas de fachos dans nos quartiers» et scandé des slogans tels que «Tout le monde déteste la Citadelle» ou «Lille debout ! Soulève toi !», les manifestants se sont dispersés dans le calme, sans qu’aucun incident ne soit à déplorer.
«Que veulent-ils ? Que la situation termine en guerre civile ?»
Les riverains rencontrés par notre reporter se sont montrés partagés quant à l'ouverture du bar controversé.
A quelques mètres de celui-ci, l'un n'a pas caché sa vive opposition à «La Citadelle» : «C'est scandaleux ! Que veulent-ils ? Que la situation s'aggrave et termine en guerre civile ?»
Un autre, qui a confié ne pas partager les idées identitaires, a indiqué que l'ouverture du café ne le dérangeait pas, tant qu'elle ne provoquait pas d'incidents. «Il faut de tout pour faire un monde», a-t-il conclu.
(suite en dessous:)
Le gérant se dit serein
RépondreSupprimerInterrogé par RT France, le gérant de l'établissement, Aurélien Verhassel, s'est montré particulièrement serein quant à l'avenir.
«Nous avons réalisé 300 adhésions. Cela dépasse, et de loin, nos attentes», indique-t-il, se félicitant par ailleurs que «les casseurs n’ont pas pu commettre leurs méfaits».
Reconnaissant que les manifestants ont «le droit» d’exprimer leur mécontentement, Aurélien Verhassel conclut : «Ce que nous leur demandons, c’est de comprendre aussi que nous sommes dans un Etat de droit et que nous avons le droit, nous aussi, d’ouvrir une maison de l’identité.»
A la base de «La Citadelle», le groupe Génération identitaire se présente comme une organisation qui défend l’identité et la culture européenne face à «la racaille» et «au raz-de-marée de l’immigration massive».
Une pétition publiée sur le site Change.org, réclamant l'interdiction de l’ouverture du local, a recueilli plus de 60 000 signatures.
Lire aussi : Lille : un groupe d’antifascistes veut tagguer un bar identitaire et… se trompe de bâtiment
https://francais.rt.com/france/26800-ouverture-bar-identitaire-citadelle-tension
Les membres de daesch (campés seulement à Calais ?) luttent contre les français qui ouvrent des bars pour eux.
SupprimerL’attirance maladive des élites de la Commission Européenne pour l’argent
RépondreSupprimerAudrey Duperron
23 septembre 2016
Mercredi, on a appris que l’ex-commissaire européen à la concurrence, Neelie Kroes, a été entre 2004 et 2009 directeur d’une société offshore aux Bahamas, une société formée pour acheter les restes de la compagnie d’énergie américaine, Enron qui a fait faillite suite à un énorme scandale.
Cet emploi est contraire aux règles, parce que les commissaires européens ne peuvent pas exercer des fonctions dans le secteur privé, rémunérées ou non, durant leur mandat (Kroes a travaillé pendant 10 ans en tant que commissaire, de 2004 à 2014). Kroes dit elle-même qu’il s’agit d’un oubli et que la société n’a jamais été opérationnelle.
La règle, plutôt que l’exception
Mais ces révélations, qui impliquent de hauts responsables de l’UE, semble en passe de devenir la règle, plutôt que l’exception. Récemment, c’est le président de la Commission pour laquelle Kroes collaborait, José Manuel Barroso, qui s’est retrouvé au cœur d’une polémique similaire, lorsque l’on a appris qu’il avait été nommé directeur exécutif de la banque d’investissement Goldman Sachs. Une banque qui est soupçonnée d’avoir aidé la Grèce à maquiller ses comptes pour être admise dans l’UE.
La trahison morale des élites et leur attirance maladive pour l’argent
« L’ensemble révèle une régression morale des élites », estime le journal Le Monde dans un éditorial. Il souligne que la Commission ne peut imposer l’honnêteté et l’éthique aux ressortissants de l’UE, alors que les commissaires européens qui l’animent y contreviennent allègrement. Et ce n’est pas nouveau, puisqu’il y a maintenant 20 ans, l’Allemand Martin Bangemann, le commissaire aux Télécommunications, avait accepté un poste au Conseil d’administration de la société espagnole de télécommunications Telefonica.
« Leur attirance pour l’argent est maladive, alors que le contribuable européen verse à chaque commissaire une rémunération que le privé n’offre que rarement : plus de 24 000 euros brut par mois », écrit le journal.
Il fait confiance à Juncker, le président de l’actuelle Commission, pour mener cette nouvelle croisade, et exhorte les lecteurs à le soutenir :
[…]M. Juncker est un président politique d’une Commission politique. Il doit être soutenu. Il doit aller jusqu’au bout et saisir la justice du cas Kroes – afin, au minimum, de faire toute la lumière sur ses activités. S’il ne fait pas le ménage à Bruxelles, ce sont les populistes qui le feront ».
https://fr.express.live/2016/09/23/cupidite-commissaires-europeens/
BÉBÉS provoquent le réchauffement climatique, affirme le professeur en état de choc nouveau livre
RépondreSupprimerBÉBÉS provoquent le réchauffement et les familles mondiale devraient envisager d'avoir moins d'enfants pour sauver la planète, un scientifique de premier plan a mis en garde.
Par KATIE MANSFIELD
sam, 24 septembre 2016
Dr Travis Rieder prétend réduire le nombre de bébés nés chaque année pourrait sauver le monde
Dr Travis Rieder, professeur de philosophie morale et bioéthicien à l'Université Johns Hopkins, prétend réduire le nombre de bébés nés chaque année pourrait sauver le monde.
Les économistes ont longtemps utilisé quatre facteurs pour déterminer à quel point le dioxyde de carbone est libéré dans l'atmosphère.
Connu comme l'identité Kaya elle implique comment les carburants lourds de carbone sont, combien d'énergie l'économie a besoin pour produire le PIB, le PIB par habitant et la population.
Dr Rieder avertit si les gens refusent de faire des ajustements à leur empreinte carbone alors tout le monde aura besoin de penser à avoir des familles plus petites pour sauver la planète.
Il a dit: "Il y a 19 millions d'orphelins adoptables, et il y a un changement climatique catastrophique à l'horizon.
«Contribuer un enfant au monde à la fois rend le changement climatique aggrave et, si nous ne recevons pas notre acte ensemble, il pourrait en fait ne pas être tout ce grand pour l'enfant non plus."
Dr Rieder a déclaré le contrôle de la population a été négligé pendant des années au cours des discussions sur les changements climatiques
Le professeur a dit les grandes familles doivent faire face à leur responsabilité envers la planète
On estime à 350.000 bébés qui naissent dans le monde entier tous les jours
Dr Rieder, dont le livre sur le sujet devrait être publié plus tard cette année, a déclaré le contrôle de la population a été négligé pendant des années au cours de changements climatiques discussions.
Il a dit: "Eh bien, l'argument va comme ceci: D'accord, les humains ont m'a montré qu'ils sont tout simplement pas prêts à renoncer à leurs jouets.
"Et donc nous avons besoin d'une autre option sur la table. Vous voulez continuer à vivre dans votre maison 10 000 pieds carrés ? Vous savez, voler des jets privés autour, et ce genre de chose ? Eh bien, cela voudrait dire beaucoup moins de gens sur la Terre.
«La population est un élément central de l'équation pour les émissions totales, mais ce genre de se regarda parce que les gens ne veulent pas en parler.
"Les émissions totales est par habitant fois les émissions population, moins avancées technologiques.
(suite en dessous:)
"Nous avons essayé de vous faire abandonner vos jouets à changer les émissions par habitant.
RépondreSupprimer"Donc, si vous allez vraiment continuer à montrer une certaine réticence, eh bien, voici l'autre option: Nous allons commencer de faire pression sur les familles.
"Si cette pression est vraiment, vraiment, vraiment indésirable, alors, eh bien, peut-être les gens décident de commencer à faire autre chose."
Dr Rieder a contribué un enfant au monde contribue au changement climatique
Le monde est bien sûr de se réchauffer par quatre degrés Celsius d'ici la fin du siècle
On estime 350.000 bébés sont nés dans le monde chaque jour, dépassant le nombre de décès et de contribuer à la vitesse du changement climatique.
Dr Rieder, un père de l'un, a fait face à une réaction majeure sur son argument, mais insiste sur le fait "la plupart des gens ne le trouve pas indésirable».
Il a dit: «Les tendances démographiques dans le monde entier montrent quand vous donnez des femmes choix, vous les éduquer, vous leur donnez le pouvoir au sein du ménage, et vous commencez à lutter contre la société patriarcale, les taux de fécondité baissent."
Les climatologues ont mis en garde sans changement radical dans le monde est en bonne voie pour se réchauffer de quatre degrés Celsius d'ici la fin du siècle.
Une température qui dit Dr Rieder serait «largement inhabitable pour les humains. Il va être temps de film post-apocalyptique. "
Le professeur a dit les grandes familles doivent faire face à leur responsabilité envers la planète.
Il a dit: «La religion, non seulement le catholicisme mais le mormonisme, le judaïsme ultra-orthodoxe, ce genre de chose est probablement une bonne raison de penser à l'aide de la population comme un moyen de faire monter les enchères.
«Si vous êtes catholique, et vous allez vraiment regarder le changement climatique dans le visage, refuser la contraception, et de continuer à avoir des relations sexuelles de toute façon, il y a le résultat prévisible que vous aurez plus d'enfants que la moyenne.
"Eh bien, alors vous avez vraiment mieux d'être à faire votre darnedest dans toutes sortes d'autres façons. Lorsque vous faites ce choix, il y a un coût. Vous devez payer pour cela d'une certaine manière ".
http://www.express.co.uk/news/world/714082/babies-cause-global-warming-climate-change-claims-professor
C'est le type-même de débile qui représente des chefs d'États.
SupprimerLa controverse sur le burkini en France a été mise en place par des activistes musulmans de concert avec la station de télévision
RépondreSupprimer24 septembre 2016151
"Sélective édité" Séquence d'une jeune femme musulmane portant un soi-disant burkini menacée sur une plage française était un set-up délibérée au profit d'une équipe de télévision Channel Seven Australie, selon les révélations dans la presse australienne.
Les journaux du monde entier ont rapporté avec sympathie le sort de 23 ans, étudiant à l'université musulmane australienne Zeynab Alshelh cette semaine après les images ont émergé qui prétendait montrer son être harcelé sur une plage française.
Les titres britanniques dont le Daily Telegraph, Sun, BBC, Mirror, et d'autres ont rapporté Mme Alshelh avait été "chassé" de la plage, alors qu'elle et sa famille ont été «rencontré abus».
Pourtant, pour le jeune activiste musulman appelle à présenter des excuses à la France pour son coup délibérément provocateur sont de plus en plus après les créances que la colère de ceux sur la plage n'a pas été dirigé à la tenue vestimentaire de la femme - mais à la présence de caméras de télévision, en violation flagrante des lois sur la vie privée française.
Le Daily Mail Australie signale les remarques d'un témoin oculaire de la confrontation, qui a dit: "L'homme sur la vidéo qui a dit:« Vous tournez autour et vous laissez ', était mon oncle. Il n'a jamais demandé à ces trois personnes de quitter la plage. Il a parlé à la caméra parce qu'il demandait au caméraman de quitter.
«Il y avait des enfants sur la plage, y compris la nôtre, et nous ne voulions pas qu'ils soient filmés".
Ces allégations sont en contraste frappant avec les prétentions de Alshelh sur son Channel Seven show quand elle racontait par expérience en France, où elle avait voyagé expressément pour protester contre la soi-disant interdiction Burka:
«Nous avons été menacés par les habitants de quitter la plage et si nous ne l'avons pas qu'ils allaient appeler la police. Ils ne sont pas heureux avec nous d'être là, même si elle était sur la plage que l'interdiction burkini a été annulée mais les locaux étaient pas heureux ".
La duplicité apparente de l'activiste a conduit The Australian, le meilleur journal de vente de la nation à indiquer dans un op-ed ce week-end: "Le Seven Network et la famille batailleuse musulmane Aussie il a volé à la Côte d'Azur dans le but de baigneurs provoquant en un réaction "raciste" à la "cossie Aussie" burkini dois les personnes traumatisées de Nice et de la France des excuses rapides ".
Selon le journal, le film avait été sélectivement modifiée et déformée afin d'atteindre "conclusions prédéterminées". Le document appelle l'exercice contraire à l'éthique, et "le dernier exemple de la langue française dénigrement calculée alimentée par la collusion entre les objectifs de l'islam politique et les médias conformes à la recherche de clichés culture clash".
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Bien que le rapport de la télévision sur Channel Seven de l'Australie a suggéré un homme téléphonant à la police faisait une plainte au sujet de la présence de femmes portant soi-disant burkinis, il a été fait signale la présence de caméras de télévision.
RépondreSupprimerLe droit français - contrairement à l'Australie - en fait une infraction à photographier ou éléments de film du public sans leur consentement. L'application de ces lois a été récemment testé lorsque le fondateur du populiste de droite parti Front national a été photographié alors qu'il dormait dans un avion, conduisant à une amende symbolique pour le transgresseur.
http://www.breitbart.com/london/2016/09/24/french-burkini-controversy-was-set-up-by-muslim-activist-family-in-concert-with-television-station/
PAS DE FRAUDE AUX ÉLECTEURS ? Alors comment se fait-il que les morts VOTENT AU COLORADO ?
RépondreSupprimer24 septembre 2016
PAR ROBERT GEHL
Une enquête CBS4 a trouvé plusieurs cas d'hommes et de femmes mortes de voter dans les mois Colorado et, dans certains cas, des années après leur mort, une révélation qui remet en question des garanties de conçues pour prévenir de tels incidents.
«Nous ne croyons qu'il y avait plusieurs cas de fraude électorale potentielle qui se sont produits", a déclaré le secrétaire d'Etat du Colorado Wayne Williams après avoir examiné les conclusions CBS4. "Il montre qu'il y a le risque de fraude."
Les cas d'hommes et de femmes coulée bulletins de vote à distance de El Paso County dans le sud du Colorado à Denver et Jefferson County morts. CBS4 a découvert la fraude électorale en comparant les bases de données des histoires de vote dans le Colorado contre une base de données de mort fédérale, CBS4Denver rapporte.
L'enquête CBS4 a déclenché des enquêtes criminelles dans les comtés de El Paso et Jefferson avec une vaste enquête menée par le bureau du Colorado Secrétaire d'Etat.
«Il est pas un système parfait. Il y a quelques lacunes", a reconnu Williams.
Un des cas les plus frappants est celui de Sara Sosa à Colorado Springs. Elle est morte le 14 octobre 2009. Cependant, CBS4 a découvert des documents de vote qui ont montré les bulletins de vote exprimés pour Sosa en 2010, 2011, 2012 et 2013. Son mari, Miguel, est décédé le 26 septembre 2008. Mais CBS4 déterré des documents montrant qu'une vote a eu lieu en son nom l'année prochaine 2009.
"C'est illégal», a déclaré greffier El Paso County et enregistreur Chuck Broerman, qui a appelé les conclusions CBS4 «très grave».
«Je suis choqué et surpris," dit Broerman. "Cela ne peut pas arriver. Nous ne pouvons pas avoir cette ici ou n'importe où dans notre pays. Notre démocratie en dépend. Les gens ont versé leur sang pour les valeurs et les fondements et les croyances de ce pays ».
Broerman dit après leur mort, le Sosas est resté sur actif listes électorales et le vote par correspondance ont été encore envoyé à leur maison parce qu'ils ne répondaient pas aux critères d'avoir leurs noms supprimés de listes électorales admissibles.
"Quelqu'un a réussi à lancer un vote qui ne leur appartenait pas à jeter», a conclu Broerman.
CBS4 visité du Sosa Colorado Springs maison et contacté leur fille, Sarilu Sosa-Sanchez, qui a refusé de discuter des bulletins de vote frauduleux.
«Allez parler à quelqu'un d'autre», a déclaré Sosa-Sanchez.
Lorsqu'on lui a dit CBS4 enquêtait sur la fraude électorale, la femme dit: «Je ne sais pas ce que cela a à voir avec moi."
fonctionnaires de vote ont demandé au procureur de district du comté de Jefferson de se pencher sur un autre cas de vote mort découvert par CBS4, celle de Nell Cluck.
(suite en dessous:)
"Ma" Cluck, comme on l'appelait, est décédée le 1er février 2009. Toutefois, neuf mois plus tard Cluck réussi à voter lors d'une élection.
RépondreSupprimer"Je pense que maman serait vraiment malheureux à ce sujet", a déclaré son fils, Jim Cluck. "Je pense que maman serait vraiment découragé de connaître quelqu'un a utilisé son nom pour faire quelque chose qu'elle n'a pas eu d'entrée dans. Si maman décède et neuf mois plus tard, quelqu'un vote pour elle, ça ne va pas. "
Un porte-parole pour le bureau du procureur du comté de Jefferson a confirmé le secrétaire d'Etat avait récemment demandé une sonde de l'affaire Cluck.
Ensuite, il y a John Grosso de Denver, un père, grand-père et la Seconde Guerre mondiale vétéran qui est décédé le 13 décembre 2004. Les dossiers montrent cependant que Grosso a ensuite voté à un bureau de vote deux ans plus tard, lors d'une élection primaire 2006.
"Je pense que ce une honte", a déclaré son fils, John.
"L'homme est mort. Il ne peut pas voter. Quelqu'un est tricher. "
Administrateurs avec le Bureau du Secrétaire d'Etat croient que le vote de Grosso peut être une erreur par un juge de l'élection.
Mais la question plus large est pourquoi Grosso - et des dizaines d'autres - ont toujours répertorié en tant qu'électrices actives mois et parfois des années après leur mort. fonctionnaires de vote de l'Etat disent qu'ils ne peuvent supprimer des noms à partir de rouleaux de vote si un certain nombre de critères précis à partir des bases de données de la mort sont remplies: Les noms doivent être écrits précisément à droite, les dates de naissance doivent être correctes et adresses doivent correspondre. Ils disent que dans de nombreux cas, des erreurs mineures sur les listes électorales ou des bases de données de décès laissent les fonctionnaires électoraux d'autre choix que de laisser les morts enregistrées, conduisant à une fraude potentielle et votes erronées.
Sur environ 2 millions de votes exprimés dans le dernier cycle de l'élection du Colorado, 8000 bulletins de vote ne sont pas prises en compte lors des signatures ne correspondent pas. L'importance de la recherche et le désherbage des votes frauduleux est soulignée par l'élection de 2002 dans le 7ème arrondissement du Congrès du Colorado. Cette course a été décidé par 121 voix sur plus de 175.000 qui ont été jetés. Dans l'Ohio en 2010, une mesure fiscale adoptée par seulement deux votes.
Suite à l'enquête CBS4, le bureau du Colorado Secrétaire d'Etat a examiné les conclusions CBS4 et confirmé au moins 78 électeurs morts restaient admissibles à voter. Lynn Bartels, porte-parole du bureau du secrétaire d'Etat, a déclaré greffier du comté ont été avisés et ont dit de retirer immédiatement ces 78 noms de listes électorales. Bartels a déclaré: «On ne sait pas pourquoi" les citoyens morts étaient encore répertoriés comme électeurs admissibles.
Chuck Broerman dit ce CBS4 trouvé "mine notre système. Il fait diluer votre vote dans un petit chemin ".
Williams a dit des mesures mises en œuvre en 2015 devrait réduire le nombre d'électeurs morts casting bulletins de vote dans le Colorado, mais il a noté que l'enquête CBS4 indique des mesures supplémentaires pourraient être nécessaires.
«Il est pas un système parfait», a déclaré Williams, «Il est impossible de voter de la tombe légalement."
http://downtrend.com/robertgehl/no-voter-fraud-then-how-come-the-dead-are-voting-in-colorado?utm_source=not3&utm_medium=facebook
Étude de Harvard: Plus d'armes en plus de mains, et plus de femmes qui tirent
RépondreSupprimerpar Jon Stokes
Il y a une nouvelle étude / nord-est de Harvard qui est sur mon fils de nouvelles, et il confirme à peu près ce que quelqu'un faisant attention sait déjà:
1. L'Amérique a plus d'armes en mains plus que jamais auparavant.
2. Les femmes tireurs sont à la hausse.
3. La grande majorité des propriétaires d'armes à feu sont propriétaires armes de poing et ont seulement un ou deux armes de poing.
4. La plupart des propriétaires d'armes à feu ont des armes pour la protection personnelle, et non pas la chasse.
Je veux profiter de chacun de ces à son tour, car ils sont tous importants.
Plus de Guns, plus de propriétaires
Tout d'abord, le titre original de ce gros morceau Gardien sur l'étude annoncée «plus d'armes en moins de mains» à la suite de l'étude. Je tendis l'auteur sur Twitter à ce sujet parce que cette déclaration est erronée en fait, et ils ont corrigé. Voici ce qui se passe.
L'étude montre une baisse de la possession d'armes de 25% à 22% depuis 1994, de sorte que le taux de possession d'armes a en effet baissé légèrement. Mais «moins de mains» ? Pas quand vous facteur dans la croissance de la population. La population des États-Unis est passé de 263 millions en '94 à un présent d'environ 313 millions, ce qui signifie que le nombre absolu des propriétaires d'armes à feu a augmenté de quelques millions. Donc non, il n'y a pas "plus d'armes en moins de mains», mais «plus d'armes dans plus de mains."
Il est également intéressant de noter à quel point cette enquête diffère de l'Enquête sociale générale qui est cité par le Violence Policy Center pour montrer une baisse à deux chiffres en pourcentage arme de propriété au cours des dernières décennies. L'Enquête sociale générale est une valeur aberrante, et l'enquête Gallup des propriétaires d'armes à feu est beaucoup plus proche des numéros d'étude du Nord-Est de Harvard /.
En général, chaque fois que vous voyez quelqu'un prétend qu'il y a moins de propriétaires d'armes en Amérique aujourd'hui qu'il n'y en avait à un moment donné dans le passé, cette personne ne va pas. À un certain point les médias comprendre que vous devez prendre en compte la croissance de la population, et nous allons cesser de voir ces «moins de propriétaires d'armes à feu", titre.
Shooters femmes
La NRA et NSSF ont été réclament depuis un certain temps maintenant que les femmes sont les plus forte croissance démographique des propriétaires d'armes à feu, et les médias ont essayé de repousser sur cette réclamation. Malheureusement pour les médias, la nouvelle étude soutient la NRA.
Le pourcentage de femmes qui disent posséder des armes a légèrement augmenté, passant de 9% dans une étude 1994 à 12% aujourd'hui, mais les chercheurs dit l'augmentation n'a pas été significative. Depuis les années 1980, la propriété des armes à feu femelle a fluctué entre 9% et 14% dans les enquêtes annuelles.
(suite en dessous:)
Encore une fois, quand on tient compte de la croissance de la population, vous obtenez une augmentation très importante du nombre absolu des femmes propriétaires d'armes à feu. L'étude met cette augmentation à 10 millions. Cela fait beaucoup de nouveaux tireurs, et clairement si elle était pas pour les femmes d'acheter des armes que nous serions de voir une baisse beaucoup plus importante dans les taux pistolet de propriété.
RépondreSupprimerPlus précisément, l'étude constate que le nombre d'hommes qui possèdent des armes a chuté de 42% à 32%, un plein dix points de pourcentage, depuis 1994, de sorte que l'industrie des armes à feu a des femmes à remercier pour la plupart de l'augmentation absolue de la détention d'armes.
super propriétaires
La plupart des gros titres autour de cette étude portent sur les «propriétaires de super," 3% des propriétaires d'armes à feu qui possèdent près de la moitié des canons:
Ensuite, il y a une arme à feu super-propriétaires de l'Amérique - on estime que 7,7 millions d'Américains qui possèdent entre huit et 140 canons.
Ce type de propriété concentrée est pas unique aux armes à feu, les chercheurs ont noté des armes à feu. Les experts en marketing suggèrent que les plus dévoués 20% des consommateurs les typiquement représentent 80% des ventes d'un produit.
Je savais que j'étais super. Je parie que vous avez fait, aussi.
Sur une note plus sérieuse, cependant, ma théorie est que nous pouvons remercier la montée du fantastique pistolet attaquant-feu en plastique et la baisse concomitante du prix de ce qui compte comme un «pistolet de qualité" pour une grande partie de la "super propriété" là-bas.
En termes corrigés de l'inflation, il est moins cher d'acheter un Glock 19 aujourd'hui qu'il était d'acheter un Smith & Wesson en 1970. Bien sûr, certaines armes conservent leur valeur assez bien, mais dans de nombreux secteurs du marché, l'accès aux armes à feu de qualité est devenu une proposition moins cher.
Cibles à deux pattes contre des cibles à quatre pattes
La nouvelle étude est en ligne avec les autres enquêtes récemment qui montrent l'importance décroissante de la chasse dans les achats d'armes à feu et de l'importance croissante de la légitime défense.
Il y a tellement que je pourrais écrire à ce sujet. Il n'y a pas que le virage vers le «tactique» dans la culture d'engrenage américain ou post-11.09 peur alimenté les médias, bien que ces choses sont un facteur. Mais la véritable force derrière le déclin de la chasse comme la principale raison de la possession d'armes est celui que je continue à référencer dans cet article: la croissance de la population.
La croissance démographique a vidé la chasse dans la plupart des régions du pays. Je sais que quand je vais revenir à la superficie de ma famille dans la Louisiane middle-of-nulle part, il y a des voisins des deux côtés de notre lot de 40 acres. Tout cela utilisé comme bois, et nous chassaient en elle, mais maintenant il est claire et il y a des maisons avec de beaux camions garés devant.
(suite en dessous:)
J'y ai pensé obtenir un bail de chasse ici au Texas, mais l'idée de passer des années à étudier et apprendre les tenants et les aboutissants du comportement de la faune sur un morceau de propriété que je ne possède pas et ne peut pas transmettre à mes enfants juste n'a pas autant d'attrait pour moi, et je sais que je ne suis pas seul.
RépondreSupprimerUne grande partie de la raison pour laquelle je chassais était parce que j'aimé passer du temps de près et personnelle avec notre terre familiale, où mon père et oncles et grand-père et grands-oncles ont tous chassés. La connaissance de la façon de chasser cette propriété (et les propriétés voisines avec permission) a été transmis à mes cousins et moi, et utiliser ces connaissances et en y ajoutant était tout aussi grand une affaire comme apportant de la viande de retour dans le camp.
Tout cela est parti pour moi maintenant, et actuellement mon «chasse» consiste à sortir pour le bail de quelqu'un d'autre et de tirer sur les créatures qui, la plupart du temps, ont été appâtés avec des mangeoires et des parcelles.
Je ne suis pas frapper les baux, bien sûr. Merci Dieu pour ceux, ou la plupart d'entre nous aurait pas de place pour la chasse à tous. Je dis simplement que ce n'est pas la même chose que ce fut, et les chiffres refléter cette réalité.
http://www.alloutdoor.com/2016/09/20/harvard-study-guns-hands-women-shooters/?utm_source=Newsletter&utm_medium=Email&utm_content=2016-09-24&utm_campaign=Weekly+Newsletter
La fumée de tabac neutralise les odeurs désagréables: une idée née aux Pays-Bas (agence)
RépondreSupprimerLa société hollandaise Rwin Showtechniek vend des diffuseurs de fumée artificielle de tabac pour lutter contre les odeurs désagréables dans les cafés et les restaurants, rapporte l'agence néerlandaise ANP. Selon Raymond Bolt, représentant de la société sise à Groningue, l'odeur de la fumée neutralise les relents de bière et de transpiration.
Après l'interdiction de fumer dans les lieux publics, entrée en vigueur le 1er juillet, les clients des bars et des restaurants ont commencé à se plaindre de nouvelles odeurs. A l'aide de ce nouvel appareil qui ressemble à un ventilateur, on pourra diffuser des odeurs de cigares de la Havane, disent les producteurs.
"L'odeur de tabac diffusée par notre appareil ne nuit pas à la santé et n'imprègne pas les vêtements comme le fait la véritable fumée", a-t-il dit.
https://fr.sputniknews.com/societe/20080716114120118/
Harcèlement par l'odeur: le Japon part en guerre contre les employés qui sentent mauvais
RépondreSupprimer21:06 12.09.2016
La chaleur estivale a poussé les salariés nippons à inventer une nouvelle expression: "insulte par l'odeur" ou "harcèlement odorant". Qui plus est, plusieurs sociétés pensent même mettre en place des normes de conduite en public destinées aux employés qui sentent mauvais.
Certaines sociétés nippones ont d'ores et déjà introduit des limitations qui concernent non seulement la mauvaise odeur corporelle, mais la mauvaise haleine et même l'odeur de parfum, rapporte le journal Mainichi. Ainsi, une quarantaine d'employés de la compagnie des télécommunications japonaise SoftBank ont assisté en août à un séminaire organisé par le fabriquant de cosmétique pour hommes Mandom Corp.
Le but était d'expliquer les raisons pour lesquelles une mauvaise odeur peut apparaître et de montrer comment se servir correctement de déodorants. "Sentez l'odeur d'une peau grasse mélangé à celui du vieillissement", proposait l'animateur.
L'employé de SoftBank Yasuko Okabe note à l'issue du séminaire que l'odeur est un thème très sensible. "Il n'est pas facile de dire directement aux collègues qu'ils sentent mauvais. Mais si le contenu de ce séminaire est développé sur nos lieux de travail, on pourra résoudre les problèmes liés à l'odeur corporelle", affirme-t-il.
Outre la sueur et la peau grasse, l'odeur de tabac et celle de parfum peuvent gêner l'entourage et même faire fuir des clients potentiels. Ainsi, le fabricant de lunettes Owndays Co a inclus la rubrique "odeur" au code vestimentaire après qu'un client s’est plaint de l'odeur de tabac émanant des employés.
Désormais, les restrictions concernent l'ensemble du personnel, même les parfums sont interdits ainsi que la consommation d'aliments pouvant provoquer de fortes odeurs. Tsuneaki Gomi, chef d'une clinique de Tokyo, fait noter pour sa part que la plupart des gens sont extrêmement sensibles aux odeurs. Mais, selon lui, une inquiétude excessive au sujet de l'odeur du corps peut affecter la personnalité et engendrer un manque de confiance en soi.
Pour conclure, il rappelle qu'avant tout il ne faut pas oublier que l'odeur est un indicateur de l'état de santé de l'homme et il faut y prêter attention.
https://fr.sputniknews.com/international/201609121027721448-odeurs-japon-entreprises/
Les Japonais ne peuvent plus faire des heures supplémentaires
RépondreSupprimer19:55 24.09.2016
La nouvelle gouverneure de Tokyo, Yuriko Koike, a interdit aux employés municipaux de rester au bureau après huit heures du soir. C’est ainsi que la première femme à gouverner la capitale nippone se propose de lutter contre le «karôshi», la mort par excès de travail. Au Japon, travailler plus n'est généralement pas synonyme de revenus supplémentaires, les Japonais ne comptant pas leurs heures de travail et ce, souvent au risque de négliger l'éducation de leurs enfants. La gouverneure de Tokyo a décidé d'en finir avec cette pratique.
« Les heures supplémentaires régulières constituent un problème très grave pour la société nippone, en exerçant un impact extrêmement négatif sur la vie privée et la santé des Japonais », a déclaré Yuriko Koike, cité par le Telegraph. Face à la propagation du « karôshi », mort par épuisement professionnel, elle a interdit aux 170 000 employés municipaux de la capitale japonaise de rester au bureau après huit heures du soir, une équipe spéciale étant chargée de veiller au respect de cette consigne.
Les cas de mort par excès de travail, « karôshi »en japonais, sont fréquents dans le pays. Faut-il vivre pour travailler ou travailler pour vivre ? La question est pertinente au Japon où la vie professionnelle passe généralement avant la famille. Le temps de travail légal y est de 40 heures par semaine, mais les estimations sur le temps passé au travail varient. La presse internationale rappelle qu'en avril 2008, une compagnie japonaise a été obligée par la justice à verser 200 millions de yens (1,7 million d'euros) à l'un de ses employés qui était tombé dans le coma à cause du « karôshi ».
https://fr.sputniknews.com/insolite/201609241027907304-japon-tokyo-gouverneure-karoshi-epuisement-travail/
Terrorisme : arrestation de deux jeunes Niçoises soupçonnées de vouloir commettre un attentat
RépondreSupprimer25 sept. 2016, 15:10
Deux adolescentes de 17 et 19 ans ont été écrouées à l'issu d'une enquête ouverte par la section antiterroriste du parquet de Paris. Sous l'influence de Rachid Kassim, un djihadiste français de Daesh, elles auraient souhaité commettre un attentat.
Nouvelle arrestation dans le cadre de la lutte contre la menace djihadiste en France : dimanche 25 septembre, l'AFP a confirmé l'information du journal Le Parisien, selon laquelle la Direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI) avait récemment interpellé puis placé en détention provisoire deux jeunes Niçoises radicalisées.
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L'arrestation des deux jeunes femmes, âgées de 17 et 19 ans, se base sur une enquête ouverte le 9 septembre par la section antiterroriste du parquet de Paris. Celle-ci a notamment permis d'établir que les deux adolescentes étaient en contact avec le djihadiste français Rachid Kassim, membre du groupe terroriste Etat islamique se trouvant en Irak ou en Syrie, qui appelle à l'organisation d'attentats en France via la messagerie cryptée Telegram.
D'après une source proche de l'enquête citée par l'AFP, les deux islamistes niçoises ont reconnu à la DGSI avoir envisagé une «action violente», à l'instigation de Rachid Kassim, avant d'y renoncer. En outre, aucune arme n'a été retrouvée par les enquêteurs à leur domicile de Nice.
L'adolescente de 17 ans, inconnue des services de renseignement, a avoué en garde à vue «en vouloir beaucoup aux militaires» français. Sa comparse, de deux ans son aînée, avait quant à elle été repérée par les autorités pour avoir envisagé de rejoindre les terres du djihad lorsqu'elle avait 17 ans.
Cette double interpellation s'inscrit dans une série d'arrestations de jeunes individus projetant de réaliser des attentats en France. Mercredi 21 septembre, notamment, le parquet de Paris avait fait savoir que deux hommes soupçonnés de liens avec Rachid Kassim avaient été mis en examen et écroués. Quelques jours plus tôt, le 16 septembre, un jeune homme de 20 ans qui souhaitait «mourir en martyr» avait été arrêté à Besançon.
Lire aussi : Fausse alerte à Paris : deux adolescents mis en examen et placés dans un foyer éducatif
https://francais.rt.com/france/26826-deux-jeunes-nicoises-soupconnees-vouloir
Remarquez bien que lorsque il s'agit d'un ennemi, son nom est cité: Snowden; tandis que lorsqu'il s'agit d'ami(e)s, sont nom est 'oublié' ! Hahahaha !
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