Selon un député turc, Daech se serait approvisionné en gaz sarin grâce à la Turquie
RT lun., 14 déc. 2015 18:09 UTC
Selon les confessions d'un parlementaire turc à RT, la Turquie aurait permis à l'Etat islamique en Syrie de se procurer les matériaux nécessaires à la fabrication de gaz sarin.
«Des données vont dans ce sens», confie à RT Eren Erdem, principale figure de l'opposition en Turquie et membre du parti Républicain du Peuple (CHP). «Des matériaux bio chimiques sont importés de Turquie et sont assemblés dans les camps de Daech, autrefois connus en tant qu'Al Qaida Irak».
Eren Erdem ne mâche pas ses mots. Selon lui, il y aurait même matière à croire qu'Ankara tenterait de dissimuler les preuves d'un tel traffic, car elle aurait refusé d'enquêter sur les voies d'approvisionnement turques utilisées pour fournir aux terroristes les ingrédients nécessaires à la fabrication de gaz sarin.
Le gaz sarin est un agent chimique de qualité militaire, devenu tristement célèbre après avoir été utilisé dans l'attaque de la Ghouta et de plusieurs autres quartiers proches de Damas en 2013.
S'adressant aux parlementaires jeudi dernier, Erdem a exhibé la copie de l'affaire pénale numéro 2013/120 ouverte par le bureau du procureur général de la ville d'Adana dans le sud de la Turquie.
L'enquête a révélé que des citoyens turcs ont pris part à des négociations avec des représentants de l'Etat islamique concernant l'approvisionnement en gaz sarin. Se référant à des éléments de preuve citées dans l'affaire, Erdem a démontré que des conversations téléphoniques enregistrées prouvent que Hayyam Kasap, un militant d'Al-Qaida, a acquis du gaz sarin.
«Les conversations téléphoniques ont révélé tous les détails concernant la façon dont le transfert allait être effectué» explique Erdem. «On savait comment il allait être préparé, du contenu des laboratoires jusqu'aux sources des matériaux. On savait les dates mais aussi quels camions allaient être utilisés. De A à Z, tout était discuté et enregistré, et malgré tout ça, les suspects ont été relâchés !» s'emporte Erdem.
«Tout cela a été détecté» continue Erdem. Il y a même des conversations dans lesquelles on peu clairement entendre «ne vous inquiétez pas pour la frontière, on s'en charge», et nous nous assurons aussi que la bureaucratie suit».
Se basant sur ces preuves, les autorités d'Adana ont conduit des perquisitions et arrêté 13 suspects. Mais une semaine plus tard, l'affaire était mystérieusement fermée et les suspects ont immédiatement traversé la frontière entre la Turquie et la Syrie poursuit Erdem.
«Le transfert a eu lieu», se désole Erdem. «Et il a eu lieu parce que personne ne s'est interposé».
Mais le témoignage d'Erdem a RT ne se limite pas à ces accusations. Selon lui, certains éléments tendent à laisser penser que la Corporation Méchanique et Chimique industrielle turque pourrait être impliquée, ce qui sous entendrait que le gouvernement tenterait de dissimuler les preuves, grâce à l'implication du ministre de la Justice, Bekir Bozdag.
«Quand j'ai lu l'acte d'accusation, j'ai vu très clairement que ces gens avaient des relations avec la Corporation Méchanique et Chimique industrielle turque et qu'ils n'ont aucun souci à se faire concernant le passage de la frontière. Par exemple, dans le cas des enregistrements des conversations de Hayyam Kasap, on l'entend faire mention du gaz sarin à plusieurs reprises et expliquer que les ateliers sont prêts pour la production ou encore que les matériaux sont disposés dans des camions supposés transporter des boissons Club Soda» s'insurge Erdem.
Pour avoir soulevé ces points inquiétants et pour avoir confronté Bozdag, le parlementaire se dit désormais victime d'une chasse aux sorcières.
Ses allégations font effectivement l'effet d'un pavé dans la mare : si elle était avérée, l'affaire Adana serait la preuve selon lui que l'Etat islamique est responsable de l'attaque de 2013, ce qui disculperait Bachar el Assad et montrerait que les Etats-Unis ont délibérément cherché à l'accuser afin de justifier une éventuelle intervention en Syrie.
-- Commentaire : Ses allégation sont avérées :
-Selon les Nations-unies, c'est l'opposition soutenue par les États-Unis et non le régime syrien qui a utilisé du gaz sarin -Piccinin persiste et signe : « Al-Assad n'est pas derrière » l'attaque au gaz --
«On a toujours prétendu que l'attaque de la Ghouta était le fait de Damas», poursuit-il. «Or cette attaque a été perpétrée à seulement quelques jours de l'opération pour le gaz sarin en Turquie. Il est donc très probable que cette attaque ait été effectuée à partir de ces mêmes matériaux en provenance de Turquie. Et on a beau prétendre que c'est l'oeuvre de Damas, tout dans l'acte d'accusation prouve que c'est en réalité l'oeuvre de l'Etat islamique. Même les Nations Unies qui sont venues inspecter le site n'ont rien trouvé ! En revanche, avec l'acte d'accusation nous avons des preuves. Nous savons qui a utilisé le gaz sarin et notre gouvernement aussi est parfaitement au courant».
L'Occident et l'Europe en particulier ne sont pas épargnés par le courroux d'Erdem.
«Tous les matériaux de base viennent d'Europe. Les institutions européennes devraient se remettre en question concernant ces relations. Les sources occidentales savent parfaitement qui a réellement commis l'attaque au gaz sarin en Syrie. Ils connaissent ces gens, ils savent avec qui ils travaillent et ils savent qu'ils oeuvrent pour Al-Qaida. Je pense que les occidentaux sont hypocrites», conclut-il.
« Hillary Clinton a tué des centaines de milliers de personnes », accuse Donald Trump
lundi 14 décembre 2015
* Je ne fais pas confiance à Trump parce qu'il m'apparaît être un personnage narcissique et contrôlant qui frôle les critères de la maladie mentale. Même si je reconnais qu'il sort du "politiquement correct" et qu'il semble donner un ton de révolution depuis le début de sa campagne, je ne lui donnerais pas mon vote (si je croyais encore à la démocratie). Jamais il n'entrera au pouvoir, ils vont l'assassiner ou bien, lui accoler un scandale sexuel juste avant les élections.
"Elle est celle qui a causé tout ce problème avec ses politiques stupides. Regardez ce qu’elle a fait avec la Libye, ce qu’elle a fait avec la Syrie. Regardez l’Egypte, ce qui est arrivé avec l’Egypte, un désordre total ", a déclaré Donald Trump à la télévision.
"Elle était vraiment une des pires – si pas la pire – secrétaires d’Etat dans l’histoire du pays", a-t-il ajouté. "Elle dit que je suis dangereux. Mais c’est elle qui a tué des centaines de milliers de personnes avec sa stupidité".
Trump répondait ainsi aux nouvelles attaques de Hillary Clinton qui affirme "qu'il a largement dépassé la ligne rouge" en disant qu’il devrait y avoir une interdiction temporaire pour les musulmans d’entrer aux États-Unis.
L’accusation de Donald Trump est certainement fondée. En plus de superviser l’invasion illégale de la Libye, Hillary Clinton a soutenu les djihadistes qui se battent pour renverser Bachar al-Assad. Elle était un des premiers responsables politiques à soutenir et armer les rebelles syriens « modérés » qui sont à l’origine du Front al-Nosra et de l’État islamique. Hillary Clinton ne respecte pas le droit international et « pourrait être dangereuse en tant que présidente des États-Unis», a écrit Rick Sterling, fondateur de Syria Solidarity Movement.
Clinton, cependant, n'est pas la seule responsable. Comme son patron à l’époque, Barack Obama, elle suivait les ordres transmis par l’élite mondialiste et ses architectes géopolitiques de la Commission Trilatérale et du Council on Foreign Relations (CFR). En 2009, Clinton a rendu hommage au CFR:
(...) * Je ne fais pas confiance à Trump parce qu'il m'apparaît être un personnage narcissique et contrôlant qui frôle les critères de la maladie mentale. (...)
Commentaires fait sans aucune preuve du contraire de ce que dit Trump !
La France et la Grande-Bretagne s'apprêtent à nouveau à intervenir militairement en Libye
Resistanz lun., 14 déc. 2015 18:35 UTC
Au prétexte de lutter contre l'Etat islamique en Libye ( alors que la France et la Grande-Bretagne le soutiennent au Yémen en combattant au côté de la coalition saoudo-étatsuno-israélienne et que la France prétend ne plus avoir de bombes pour bombarder l'EI en Syrie) les autorités franco-britanniques s'apprêtent à finir le sale boulot colonial commencé par Sarkozy et Cameron en Libye en 2011.
Dans une interview sur France inter avec Léa Salamé, le Premier ministre français, Manuel Valls a déclaré être prêt à intervenir militairement en Libye pour lutter contre l'EI.
Ainsi il a déclaré sur France inter : il faudra « Combattre Daech demain sans doute en Libye« .
C'est à présent au tour des autorités britanniques de se dire prêtes à intervenir militairement en Libye en bombardant les régions conquises par l'EI. Selon Middle East Eye, « le Royaume-Uni pourrait bientôt commencer à bombarder l'État islamique en Libye, suite à la récente décision de procéder à des frappes aériennes contre le groupe en Syrie« .
Une source gouvernementale a déclaré au Daily Telegraph vendredi que le Royaume-Uni « allait dans la direction » de lancer une action militaire en Libye.
-- Commentaire : Comme d'habitude, la seule réponse de l'Occident est toujours plus d'impérialisme et d'interventions militaires. Sur l'anéantissement et le génocide du peuple libyen que l'OTAN a perpétré lors de son intervention en 2011, voyez le témoignage de James et Joanne Moriarty, un couple d'entrepreneurs américains, qui ont vécu cette "guerre humanitaire" :--
(voir clip ci-dessus dans " Selon un député turc, Daech se serait approvisionné en gaz sarin grâce à la Turquie"
Soumis par Tyler Durden sur 14/12/2015 22:30 -0500 Rédigé par Alastair Crooke, posté au départ ConsortiumNews.com,
Washington officiel est inondé avec des discours musclé sur la Russie et de la nécessité de sanctionner le président Poutine pour son rôle dans l'Ukraine et la Syrie. Mais cette bravade ignore véritables intérêts nationaux de la Russie, ses «lignes rouges», et le risque que «tough-guy-isme» peut conduire à une guerre nucléaire, comme Alastair Crooke explique.
Nous savons tous que le récit dans lequel nous (l'Occident) est saisi. Il est le récit de la guerre froide: ". Empire du Mal" l'Amérique par rapport à l'Et, comme le professeur Ira Chernus a écrit, puisque nous sommes «humain» et de toute façon ils (l'URSS ou, maintenant, ISIS) manifestement ne sont pas, nous devons être leur opposé dans tous les sens.
"Si elles sont mal absolu, nous devons être le contraire absolu. Il est le vieux conte apocalyptique: le peuple de Dieu contre Satan. Il assure que nous ne devons admettre à tout lien significatif avec l'ennemi. "Il est à la base de l'allégation de l'Amérique et de l'Europe à l'exceptionnalisme et de leadership.
Et "enterré dans l'hypothèse que l'ennemi est dans aucun sens humain comme nous, est [un] absolution pour quelque part, nous avons peut-être eu des étincelles ou de contribuer à la montée et la propagation de mal. Comment aurions-nous pu fécondé le sol de mal absolu ou supporter aucune responsabilité pour ses succès? Il est un postulat de base de la guerre contre le mal: le peuple de Dieu doivent être innocent ", (et que le mal ne peut pas être médiatisée, car comment la médiation avec le mal).
Occidentaux peuvent généralement pensent que nous sommes des rationaliste et (surtout) laïque, mais les modes chrétiennes de conceptualiser le monde imprègnent encore la politique étrangère contemporaine.
Il est ce récit de la guerre froide de l'ère Reagan, avec ses corrélats que l'Amérique se contentait de regarder vers le bas à travers l'empire soviétique militaire et - tout aussi important - «pressions financières», tout en ne faisant aucune concession à l'ennemi.
Ce qui est parfois oublié, est la façon dont les Bush néo-conservateurs ont donné leur «spin» de ce récit pour le Moyen-Orient par coulée laïcs et baasistes nationales arabes comme le rejeton de "Satan": David Wurmser prônait en 1996, "accélérer l'effondrement chaotique »du nationalisme laïque arabe en général, et en particulier baasisme. Il a souscrit à roi Hussein de Jordanie que «le phénomène du baasisme" était, dès le début, "un agent de la politique étrangère, à savoir soviétique."
En outre, en plus d'être des agents du socialisme, ces Etats se sont opposés à Israël, aussi. Donc, sur le principe que si elles étaient l'ennemi, alors l'ennemi de mon ennemi (les rois, émirs et rois du Moyen-Orient) sont devenus les Bush néo-cons amis. Et ils restent tels aujourd'hui - cependant beaucoup leurs intérêts divergent désormais de ceux des États-Unis
Le problème, comme le professeur Steve Cohen, le savant Russie avant tout aux États-Unis, se lamente, est qu'il est ce récit qui a empêché l'Amérique de jamais mener à bien toute possibilité réelle de trouver un modus mutuellement acceptable vivendi avec la Russie - qui lui fait cruellement défaut, si il est déjà sérieusement à lutter contre le phénomène de djihadisme wahhabite (ou résoudre le conflit syrien).
Qui plus est, le «récit de la guerre froide" ne reflète tout simplement pas l'histoire, mais plutôt le récit efface l'histoire: Il perd pour nous la capacité de comprendre vraiment l'diabolisé "tyran Calous" - que ce soit (en russe) le président Vladimir Poutine ou (Ba 'athist) le président Bachar al-Assad - tout simplement parce que nous ignorons l'histoire réelle de la façon dont cet état est venu à être ce qu'elle est, et notre part dans ce train de devenir ce qu'il est.
En effet, l'Etat, ou de ses dirigeants, ne sont souvent pas ce que nous pensons qu'ils sont - à tous. Cohen explique: "La chance pour un partenariat stratégique durable Washington-Moscou a été perdu dans les années 1990 après l'Union soviétique a pris fin. En fait, il a commencé à être perdu plus tôt, car il était [président Ronald] Reagan et [le dirigeant soviétique Mikhaïl] Gorbatchev qui nous a donné l'occasion d'un partenariat stratégique entre 1985-89.
"Et il a certainement pris fin sous l'administration Clinton, et il n'a pas pris fin à Moscou. Il a fini à Washington - il a été gaspillé et perdu à Washington. Et il a été perdu si mal que, aujourd'hui, et pour au moins les dernières années (et je dirais depuis la guerre en Géorgie en 2008), nous avons été littéralement dans une nouvelle guerre froide avec la Russie.
"Beaucoup de gens dans la politique et dans les médias ne veulent pas appeler cela, parce que si elles admettent:« Oui, nous sommes dans une guerre froide, «ils doivent expliquer ce qu'ils faisaient au cours des 20 dernières années. Alors ils disent plutôt: «Non, il est pas un guerre froide.»
"Voici mon prochain point. Cette nouvelle guerre froide a tout le potentiel pour être encore plus dangereux que le précédent de 40 ans de la guerre froide, pour plusieurs raisons. Tout d'abord, pensez-y. L'épicentre de la première guerre froide était à Berlin, ne fermera pas à la Russie. Il y avait une vaste zone tampon entre la Russie et l'Occident en Europe de l'Est.
"Aujourd'hui, l'épicentre se trouve en Ukraine, littéralement sur les frontières de la Russie. Il était le conflit ukrainien qui a déclenché ce off, et politiquement Ukraine reste une bombe à retardement. La confrontation d'aujourd'hui est non seulement sur les frontières de la Russie, mais il est au cœur de la Russie et l'Ukraine «civilisation slave." Ceci est une guerre civile aussi profond à certains égards, comme ce fut la guerre civile de l'Amérique. "Cohen a continué: "Mon prochain point: et pire encore - Vous souvenez-vous que, après la crise des missiles cubains, Washington et Moscou ont développé certaines règles d'mutuelle conduite. Ils ont vu comment dangereusement près qu'ils étaient venus à une guerre nucléaire, de sorte qu'ils ont adopté "no-nos, 'si elles ont été codées dans les traités ou accords non officiels. Chaque côté savait où de l'autre ligne rouge était. Les deux parties ont trébuché sur eux à l'occasion, mais a immédiatement tiré vers l'arrière parce qu'il y avait une compréhension mutuelle qu'il y avait des lignes rouges.
"Aujourd'hui, il y a pas de ligne rouge. Une des choses que Poutine et son prédécesseur le président Medvedev continue à dire à Washington est: Vous traversez nos lignes rouges! Et Washington a déclaré, et continue à dire: «Vous ne disposez pas de toutes les lignes rouges. Nous avons des lignes rouges et nous pouvons avoir toutes les bases que nous voulons autour de vos frontières, mais vous ne pouvez pas avoir des bases au Canada ou au Mexique. Vos lignes rouges ne existent pas. »Cela illustre clairement que aujourd'hui il n'y a pas de règles réciproques de conduite.
"Un autre point important: Aujourd'hui il n'y a absolument pas organisée anti-guerre froide ou Pro-Detente force politique ou d'un mouvement aux États-Unis à tous - pas dans nos partis politiques, et non pas à la Maison Blanche, et non dans le Département d'Etat, pas dans les médias grand public, pas dans les universités ou les think tanks. ... Rien de tout cela existe aujourd'hui. ...
"Mon prochain point est une question: Qui est responsable de cette nouvelle guerre froide ? Je ne demande pas à cette question parce que je veux pointer du doigt quiconque. La position de l'American création des médias politique actuelle est que cette nouvelle guerre froide est la faute de Poutine - tout cela, tout. Nous, en Amérique n'a rien fait de mal. À chaque étape, nous étions vertueuse et sage et Poutine était agressif et un mauvais homme. Et donc, ce qui est à repenser ? Poutine doit faire tout repenser, pas nous ".
Ces deux récits, le récit de la guerre froide, et la suite «spin» des néocons sur elle:-à-dire la formulation de Bill Kristol (en 2002) que, précisément en raison de sa guerre froide "victoire", l'Amérique pourrait, et doit, devenir le «bienveillante mondiale hégémonique, «garantir et de maintenir le nouvel ordre mondial américano-auteur - une" omelette qui ne peut être faite sans casser des œufs »- convergent et se confondre en Syrie, dans les personnes du président Assad et le président Poutine.
Le président Obama a pas néocon, mais il est contraint par l'héritage hégémonie mondiale, dont il doit soit soutenir, ou être étiquetés en tant que facilitateur de voûte du déclin de l'Amérique. Et le président est également entouré par R2P («responsabilité à protection") prosélytes, tels que Samantha Power, qui semblent avoir convaincu le président que «le tyran» l'éviction d'Assad serait percer et réduire le ballon djihadiste wahhabite, permettant "modérée "djihadistes tels que Ahrar al-Sham pour finir les fragments dégonflés du ballon crevé ISIS.
Dans la pratique, l'éviction du président Assad imposée sera précisément responsabiliser ISIS, plutôt que imploser, et les conséquences se répercuter à travers le Moyen-Orient - et au-delà. Le président Obama privé peut comprendre la nature et les dangers de la révolution culturelle wahhabite, mais semble adhérer à la conviction que tout va changer, si seulement le président Assad se retire. Les Etats du Golfe a dit la même chose sur le Premier ministre Nouri al-Maliki en Irak. Il est allé (pour l'instant), mais ce qui a changé ? ISIS est devenu plus fort.
Bien sûr, si nous pensons que le mal de l'ISIS, pour l'amour du mal, plié sur aveugle, l'abattage lunatique, "ce une tâche insensée il est évident qu'elle [serait] de penser à motifs réels de l'ennemi. Après tout, de le faire serait de les traiter comme des êtres humains, avec des fins humaines découlant de l'histoire. Il serait smack de sympathie pour le diable. Bien sûr, "le professeur Chernus continue," ce qui signifie que, tout ce que nous pourrions penser de leurs actions, nous ignorons généralement une abondance de preuves que les combattants de l'État islamique ne pouvaient pas être plus humaine ou avoir des motivations plus compréhensibles. "
En effet, ISIS et les autres forces califat ont motivations humaines très claires et des objectifs politiques clairement définis, et aucun de ceux-ci est de toute manière compatible avec le type d'Etat syrienne que l'Amérique dit qu'elle veut pour la Syrie. Cela reflète précisément le danger de devenir l'otage d'un certain récit, plutôt que d'être disposé à examiner le cadre conceptuel qui prévaut plus critique.
Amérique se trouve loin de la Syrie et du Moyen-Orient, et comme le fait remarquer le professeur Stephen Cohen, "malheureusement, les rapports d'aujourd'hui semblent indiquer que la Maison Blanche et du Département d'État pensent surtout comment contrer les actions de la Russie en Syrie. Ils sont inquiets, il a été signalé que la Russie diminue le leadership de l'Amérique dans le monde ".
Il est un mème de l'insécurité nationale perpétuelle, des craintes perpétuelles environ réputation de l'Amérique et de défis à sa position, le professeur Chernus suggère.
Mais l'Europe ne sont pas "loin"; il se trouve aux portes de la Syrie. Il est également voisin de la Russie. Et à cet égard, il mérite d'être méditée dernier point du professeur Cohen: la réticence de Washington à permettre la Russie toute amélioration de sa position en Europe, ou dans le non-Occident, à travers son initiative stratégique pour vaincre le djihadisme wahhabite en Syrie, est non seulement à jouer avec le feu au Moyen-Orient. Il joue avec un feu de danger encore plus grand: de faire les deux en même temps semble extraordinairement irresponsable.
Cohen à nouveau: [root a pris] "La fausse idée que la menace nucléaire a pris fin avec l'Union soviétique: En fait, la menace est devenue plus diversifiée et plus difficile. Ceci est quelque chose de l'élite politique oublié. Ce fut un autre mauvais de l'administration Clinton (et dans une certaine mesure le premier président Bush dans sa campagne de réélection) disant que les dangers nucléaires de la guerre froide qui précède ne existaient après 1991. La réalité est que la menace a augmenté, que ce soit par inattention ou d'accident, et il est maintenant plus dangereux que jamais ".
Alors que l'Europe devient complice de lever les diverses pressions sur la Russie en Syrie - économiquement par des sanctions et d'autres mesures financières, en Ukraine et en Crimée, et en montrant du doigt le Monténégro, la Géorgie et la Baltique vers l'OTAN - nous devrions peut-être envisager le paradoxe que la détermination de la Russie à essayer pour éviter la guerre mène à la guerre.
L'appel de la Russie à coopérer avec les pays occidentaux contre le fléau de l'ISIS; ses réponses à faible clés et soigneusement conçues pour de telles provocations que l'embuscade de son SU-24 bombardiers en Syrie; et la rhétorique calme du président Poutine, sont tous utilisés par Washington et Londres pour peindre la Russie comme un «tigre de papier», dont personne n'a besoin de la peur.
En bref, la Russie est offert seulement le choix binaire: pour approuver à l'hégémonie «bienveillante», ou pour se préparer à la guerre.
* * *
Alastair Crooke (né en 1950) est un diplomate britannique. Auparavant, il était une figure dans le classement de renseignement britanniques (MI6).
Soumis par Tyler Durden sur 14/12/2015 18:00 -0500 Submitted par Richard Ebeling via EpicTimes.com,
Nous vivons à une époque qui ne peut être considéré comme le chaos monétaire. La Réserve fédérale américaine a manipulé les taux d'intérêt directeurs bas à pratiquement zéro pour les six dernières années, et élargi l'offre de l'argent dans le système bancaire de 4 billions de dollars pendant cette période. Et avec la vraie mentalité du planificateur central monétaire, le Conseil des gouverneurs de la Fed prévoient maintenant de manipuler les taux d'intérêt directeurs dans une direction ascendante qu'ils jugent souhaitable.
La Banque centrale européenne (BCE) a mis en place une politique délibérée de taux d'intérêt "négatives" et planifié une expansion monétaire supplémentaire de bien plus d'un billion d'euros sur l'année suivante. De plus, la tête de la BCE a assuré les marchés publics et financiers qu'il n'y a "pas de limite" à la quantité de papier-monnaie qui sera produite à pousser les économies européennes dans la directe que ces planificateurs centraux monétaires estiment meilleur.
Nous ne devons pas oublier que ce fut la Réserve fédérale que, plus tôt dans le XXIe siècle a entrepris une expansion monétaire et de la politique de la manipulation des taux d'intérêt qui a ouvert la voie pour la «grande récession» grave et prolongée qui a commencé en 2008-2009, conjointement avec un gouvernement qui faussent le subventionnement fédéral du marché américain du logement.
Les médias et les experts politiques peuvent se concentrer sur les zigs et des zags de la politique monétaire et de taux d'intérêt de la Banque centrale au jour le jour, mais ce qui a vraiment besoin d'être posée est de savoir si nous devons ou non continuer à laisser la politique monétaire et bancaire dans le discrétionnaire les mains des banques centrales et les planificateurs centraux monétaires qui les gèrent.
Banque centrale que monétaire de la planification centrale
Et ne vous méprenez pas à ce sujet. La banque centrale est la planification centrale monétaire. Les États-Unis et, en effet, pratiquement le monde entier fonctionne sous un régime du socialisme monétaire. Historiquement, le socialisme a signifié un système économique dans lequel la propriété du gouvernement, géré et planifié l'utilisation des facteurs de production.
Banque centrale moderne est un système dans lequel le gouvernement, soit directement, soit par quelque organisme désigné comme la Réserve fédérale aux États-Unis, possède la propriété et le contrôle du moyen d'échange monopole. Grâce à ce contrôle le gouvernement et son agence a une influence prédominante sur la valeur, ou pouvoir d'achat, de l'unité monétaire, et peuvent influencer de manière significative une variété de relations de marché. Ceux-ci comprennent les taux d'intérêt en tant que prêts et emprunts se passe dans les secteurs bancaire et financier de l'économie, et donc les habitudes d'épargne et d'investissement dans le marché.
Si il ya une leçon à tirer de l'histoire des cent dernières années - au cours de laquelle le monde et aux États-Unis déplacés de l'étalon or et sur une Fiat gérée par le gouvernement, ou le papier, le système de l'argent - est la catastrophe fondamental de placer le contrôle de la masse monétaire dans les mains des gouvernements.
Si convient de rappeler que l'argent ne provient pas les lois ou décrets des rois et des princes. L'argent, comme le moyen le plus largement utilisé et généralement acceptée de change, a émergé sur les transactions d'un nombre croissant d'acheteurs et les vendeurs sur le marché dans une arène expansion du commerce.
Matières premières comme l'or et l'argent ont été sélectionnés au fil des générations de participants du marché que les fonds de libre choix, en raison de leurs caractéristiques utiles pour mieux faciliter l'échange des marchandises dans le marché.
Pour la quasi-totalité de l'histoire enregistrée, les gouvernements ont tenté de prendre le contrôle de la production et la manipulation de l'argent pour servir leur appétit apparemment insatiable pour extraire de plus en plus de la richesse produite par les membres ordinaires de la société. Anciens dirigeants seraient couper et de rabaisser l'or et d'argent de leurs sujets.
Plus dirigeants modernes - si despotiquement auto-désigné par la force ou élus démocratiquement par les majorités de vote - ont profité de l'imprimerie monétaire pour le taux de désabonnement du papier-monnaie pour financer leurs dépenses et largesses de redistribution au-delà des taxes qu'ils imposent à l'ensemble des citoyens.
Aujourd'hui, le processus est devenu encore plus facile grâce à la simple clic d'une "souris" sur un écran d'ordinateur, ce qui en un clin d'œil peut créer des dizaines de milliards de dollars de l'air mince.
Ainsi, l'avilissement monétaire et l'inflation des prix qui accompagne normalement ont servi en tant que méthode pour imposer une «imposition cachée» sur la richesse de l'ensemble des citoyens. Comme John Maynard Keynes perspicacité observé en 1919 (avant qu'il ne devienne un «keynésienne»!):
"Par un processus continu de l'inflation, les gouvernements peuvent confisquer, secrètement et non observée, une partie importante de la richesse de leurs citoyens. Par cette méthode, non seulement ils confisquent, mais ils confisquent arbitrairement; et alors que le processus appauvrit beaucoup, il enrichit effectivement certains. Le processus engage toutes les forces cachées de droit économique sur le côté de la destruction, et il le fait d'une manière que pas un homme sur un million peut diagnostiquer ".
Ce sont les effets corrosifs, de distorsion, et destructrices de la manipulation monétaire par les gouvernements qui ont mené la quasi-totalité des principaux économistes du XIXe siècle à approuver la "ancrage" du système monétaire dans une marchandise comme l'or, d'empêcher les gouvernements d'utiliser leur pouvoirs sur la création des fonds de papier pour couvrir leur extravagance budgétaire. Les mots de John Stuart Mill à partir du milieu du XIXe siècle méritent d'être rappelés:
"Aucune doctrine en économie politique repose sur des motifs les plus évidents que le mal d'une monnaie de papier pas maintenu à la même valeur avec un métallique, soit par la convertibilité, ou par un principe de limitation équivalente. . . Toutes les variations de la valeur de la monnaie en circulation sont espiègle; ils perturbent les contrats et les attentes actuelles, et de la responsabilité à ces changements rend tout engagement pécuniaire de date longue entièrement précaire. . .
"Grand comme ce mal serait si elle [l'offre de monnaie] dépendait de [la] accident [de la production d'or], il est encore plus grande lorsqu'il est placé à la disposition arbitraire d'un individu ou d'un groupe d'individus; qui peut avoir toute nature ou degré d'intérêt pour être servi par une fluctuation artificielle dans les fortunes; et qui ont en tout cas un vif intérêt dans l'émission autant [de papier-monnaie inconvertible] que possible, chaque numéro étant elle-même une source de profit.
"Non à ajouter, que les émetteurs ont, et dans le cas de papier du gouvernement, ont toujours un intérêt direct dans la réduction de la valeur de la monnaie, car il est le milieu dans lequel leurs propres dettes sont calculés. . . Un tel pouvoir, dans quel qu'en soit investi, est un mal intolérable. "
Les avantages sociaux d'un Gold Standard
En vertu d'un étalon-or, il est de l'or qui est de l'argent réel. Le papier-monnaie et de diverses formes de contrôle et d'autres comptes de dépôt qui peuvent être utilisés dans les opérations de marché en échange de biens et de services sont des substituts de l'argent, ce qui représente une quantité fixe de l'or-argent en dépôt dans une banque ou une autre institution financière qui sont rachetables demande.
Toute augmentation nette de la quantité de monnaie et de vérifier et de dépôts connexes dépendent augmentation de la quantité d'or que les déposants avec des institutions bancaires et financières ajoutent à leurs comptes individuels. Et tout retrait de l'or à partir de leurs comptes par la rédemption exige que la quantité de billets de banque et les comptes chèques et connexes en circulation sera réduite du même montant. En vertu d'un étalon-or, une banque centrale est dégagé de toute autorité et pouvoir de façon arbitraire "gérer" l'ordre monétaire.
Beaucoup de critiques de l'étalon-or considèrent cela comme une «règle» rigide et inflexible sur la façon dont le système monétaire et la quantité de l'argent dans la société doit être déterminé et contraint. Pourtant, les partisans de l'étalon-or ont longtemps soutenu que cette rigidité relative est essentielle pour discipliner les gouvernements dans les limites d'un «budget dur."
A Gold Standard peuvent limiter abus monétaire gouvernement
Sans la "trappe d'évacuation" de la presse d'impression monétaire, les gouvernements doivent soit taxer les citoyens ou d'emprunter une partie de l'épargne du secteur privé pour couvrir ses dépenses. Ceux dépenses du gouvernement proposant doit soit justifier en expliquant où les impôts viendront et sur qui les impôts vont baisser; ou faire l'affaire pour l'emprunt d'une partie de l'épargne de la société pour couvrir ces dépenses - mais à des taux d'intérêt du marché qui racontent la vérité sur ce qu'il en coûtera pour attirer les prêteurs à prêter cette somme au gouvernement plutôt que pour les emprunteurs du secteur privé et, par conséquent, au coût social de l'investissement du secteur privé et la croissance future qui devra être renoncé.
En d'autres termes, il empêche le gouvernement de "monétiser la dette" pour couvrir tout ou partie de ses déficits budgétaires. Les sommes empruntées ne peuvent être créés à partir de rien par la banque centrale expansion monétaire. Le gouvernement, en vertu d'une règle d'or, ne peut plus créer l'illusion que quelque chose peut être fait pour rien.
Comme économiste autrichien Ludwig von Mises, a exprimé:
«Pourquoi avoir un système monétaire basé sur l'or ? Parce que, comme les conditions sont aujourd'hui et pour le temps qui peut être prévu aujourd'hui, l'étalon-or seul rend la détermination du pouvoir d'achat de l'indépendant de l'argent des ambitions et des machinations des gouvernements, des dictateurs et des partis politiques et des groupes de pression. La seule norme d'or est ce que les dirigeants épris de liberté du XIXe siècle (qui a défendu le gouvernement représentatif, les libertés civiles, et de la prospérité pour tous) appelés «monnaie saine».
Milton Friedman "Second Thoughts" sur les avantages du papier-monnaie
Il faut admettre que même certains défenseurs de la liberté économique et un gouvernement limité ont été partisans de la monnaie de papier. Le plus notable une dans la seconde moitié du XXe siècle a été l'économiste prix Nobel, Milton Friedman. Pendant la plus grande partie de sa carrière professionnelle, il a fait valoir que le maintien d'un étalon-or était un gaspillage de ressources de la société.
Pourquoi gaspiller les hommes, le matériel et les machines à creuser de l'or sur le sol pour ensuite tout simplement le ranger dans les coffres des banques ? Il est préférable d'utiliser ces ressources limitées pour produire plus de biens et services ordinaires qui peuvent améliorer le niveau et la qualité de la vie des gens. Contrôler l'insouciance arbitraire potentielle des banques centrales, Friedman a proposé, en mettant en place une «règle» monétaire qui dit: Accroître l'offre de la monnaie de papier par un petit pour cent par an, sans marge d'appréciation laissée dans les mains des gestionnaires monétaires.
Mais il est moins connu que dans les années après Friedman a remporté le prix Nobel d'économie en 1976, il avait des doutes quant à cette prescription monétaire. Dans un article de 1986, «le coût des ressources de Irredeemable Paper Money", il a soutenu que lors de la recherche sur la mauvaise gestion monétaire et de méfait causé par les gouvernements et les banques centrales au cours du XXe siècle, il était "clair" que les coûts de l'exploitation minière, la frappe et le stockage de l'or comme base d'un système monétaire aurait été beaucoup moins que les coûts perturbateurs et déstabilisateurs imposés à la société en raison de papier argent inflations et les hauts et les bas du cycle économique provoquée par des manipulations des banques centrales de l'argent et des taux d'intérêt .
Dans son discours présidentiel 1,985 avant la Western Economic Association sur "Les économistes et les politiques publiques», Friedman dit que la théorie des choix publics - l'utilisation de l'économie pour analyser le fonctionnement du processus politique - l'avait persuadé qu'il ne serait jamais dans le long exécuter l'intérêt des gouvernements ou des banques centrales pour gérer le système monétaire selon certains hypothétique «intérêt public».
Les membres du gouvernement ou de détenir les leviers de la presse d'impression monétaire aura toujours sensibles aux tentations et pressions de gains politiques à court terme que l'expansion monétaire peut financer. Il a admis que cela avait été une «perte de temps» de sa part pour essayer d'amener les gouvernements et les banques centrales de suivre son idée d'une règle monétaire.
Et dans un autre article en 1986 (co-écrit avec Anna Schwartz) sur: «Est-gouvernement un rôle quelconque dans l'argent?" Friedman dit que tandis qu'il était pas prêt à l'époque à préconiser un retour à l'étalon-or, il ne conclure que " que «laissant arrangements monétaires et bancaires sur le marché aurait produit un résultat plus satisfaisant que ce qui était effectivement réalisé grâce à la participation du gouvernement.
La mauvaise gestion monétaire par rapport aux marchés et Or
Mais ce ne sont pas seulement les dangers politiques résultant de la mauvaise gestion du gouvernement du papier-monnaie qui justifie la mise en place d'un étalon-or. Il est aussi et également le fait que la planification centrale monétaire est inutilisable comme un moyen de maintenir la stabilité de l'économie, le plein emploi et la croissance.
Surtout depuis les années 1930, de nombreux économistes et décideurs politiques influencés par Keynes et la révolution keynésienne ont cru marchés sont potentiellement instables et sensibles à des fluctuations importantes et prolongées de l'emploi et de la production qui ne peuvent être prévenues ou de moindre gravité à travers «activiste» monétaire et budgétaire politique.
Mais en réalité, la causalité fonctionne dans le sens inverse. Il est manipulations des banques centrales des taux monétaires, de crédit et d'intérêt qui ont généré l'instabilité et les sautes périodiques dans la production d'ensemble de l'économie et de l'emploi.
Le fait est des institutions financières et des taux d'intérêt ont un travail important à faire dans l'économie de marché. Les banques et autres intermédiaires financiers sont censés servir les «intermédiaires» qui rassemblent ceux qui souhaitent économiser une partie de leur revenu gagné avec d'autres qui cherchent à emprunter et à investir que les économies de façon productive à but lucratif qui génèrent la formation de capital, des améliorations technologiques , et la production rentable de nouvelles, de meilleure qualité et plus de biens et services pour satisfaire la demande des consommateurs à l'avenir.
Des taux d'intérêt déterminés par le marché sont destinés à mettre ces régimes d'épargne et d'investissement en coordination les uns avec les autres, de sorte que le montant du capital investi et le temps-forme des horizons d'investissement prises sont compatibles avec les économies réelles disponibles pour les soutenir à l'achèvement maintenable.
L'expansion monétaire par les banques centrales crée l'illusion qu'il n'y a plus d'économies à investir dans l'économie réelle que celle qui existe vraiment. Et les signaux de taux d'intérêt fausse générés dans le système bancaire par l'expansion monétaire non seulement désinforme emprunteurs potentiels d'investissement au sujet de la quantité de réelles économies disponibles pour des projets d'immobilisations, mais crée une base erronée pour déterminer les calculs de valeur qui influencent les horizons de temps pour le les investissements réalisés.
Ce sont ces signaux monétaires et de taux d'intérêt de faux qui induit la mauvaise orientation des ressources, le mal-investissement de capitaux, et l'attribution incorrecte du travail entre emplois dans l'économie qui ouvre la voie à une "correction" inévitable et inéluctable et le réajustement qui représente la phase de récession du cycle économique qui suit l'effondrement du boom artificiel.
Les planificateurs centraux monétaires ne peuvent jamais être plus de succès dans la détermination d'une quantité «optimale» de l'argent ou les «bons» des taux d'intérêt pour assurer la coordination épargne-investissement que tous les autres planificateurs socialistes étaient quand ils ont essayé de planifier centralement la production agricole ou la sortie de l'investissement pour un société tout entière.
Toutes ces tentatives de planification et de gestion monétaire par les banques centrales sont des instances de ce que Friedrich A. Hayek a appelé dans son discours du prix Nobel un "prétexte de la connaissance", qu'ils peuvent mieux connaître et faire mieux que les résultats générés par des interactions concurrentielles du marché participants, eux-mêmes. Et comme Adam Smith a mis en garde, est nulle part un tel pouvoir réglementaire "aussi dangereux que dans les mains d'un homme qui avait la folie et assez présomption de se croire capable de l'exercer."
Il n'y a pas moyen de savoir la quantité optimale de l'argent dans l'économie autre que de permettre aux participants de marché dans le processus d'échange concurrentiel de décider ce qu'ils veulent utiliser comme monnaie - qui a toujours été un produit tel que l'or ou l'argent. Et il n'y a aucun moyen de savoir ce que les taux d'intérêt devraient être autre que de laisser les forces du marché de l'offre et de la demande pour les prêts et les emprunts pour déterminer les taux d'intérêt à travers le processus d'intermédiation financière du secteur privé, sans gouvernement ni ingérence de la banque centrale ou de manipulation.
Le retour à l'étalon-or comme une Constitution monétaire
Enfin, comment pouvons-nous revenir à un fonctionnement et l'étalon-or est réalisable? Sous le gouvernement actuel système monétaire et la banque centrale contrôlée par la méthode la plus simple pourrait être pour l'autorité monétaire de cesser de créer et d'imprimer de l'argent et du crédit. Sur une courte période de temps une estimation assez raisonnable pourrait être faite sur la quantité réelle de la monnaie et le contrôle d'une nation et de dépôts qui sont dans l'existence et dans la circulation liée. Un nouveau rapport légal de rachat pourrait être établi en divisant la quantité totale estimée de toutes les formes de ces substituts de monnaie dans la quantité d'or possédé par le gouvernement et la banque centrale.
Un pays à la suite de cette procédure serait alors, une fois de plus, être à l'étalon-or. Son long terme de maintenabilité, bien sûr, exigerait que le gouvernement et la banque centrale pour suivre les «règles du jeu» qu'aucune augmentation de la quantité de substituts de monnaie peut être créé et mis en circulation, sauf si il y a eu des dépôts nets de or dans les comptes de personnes avec d'autres institutions bancaires et financières.
Pouvons-nous faire confiance aux gouvernements et les banques centrales de se conformer à ces règles du jeu? Les tentations de violer leur restera toujours forte dans un environnement politique dominé par des idéologies de la redistribution des richesses, le favoritisme d'intérêt spécial, et de nombreuses demandes de «droit».
Il est pourquoi le véritable objectif à long terme de la réforme monétaire devrait être la dénationalisation de l'argent. Autrement dit, la séparation de l'argent de l'Etat en mettant fin à des banques centrales, tout à fait. Dans sa place émergerait, la banque libre privé compétitif - de l'argent et de la banque système véritablement axé sur le marché.
Mais néanmoins, dans l'intervalle, un étalon-or peut servir comme une forme de «constitution monétaire" fixer des limites formelles et d'imposer des restrictions sur les membres du gouvernement qui voudrait abuser de la presse d'impression monétaire, similaire à la façon dont les constitutions politiques, même imparfaitement, sont destinés à limiter les abus des monarques de puissance-convoiter et les majorités de pillage dans le fonctionnement des démocraties.
Si elle échoue, elle ne devrait pas être faute d'avoir essayé. Et un étalon-or peut être l'une des réformes institutionnelles positives dans la tentative et sur la voie à un système monétaire de marché totalement libre.
Soumis par Tyler Durden sur 14/12/2015 13:50 -0500 Submitted par Raul Ilargi Meijer via le blog automatique de la Terre,
Beaucoup de gens acclament maintenant plus que hier Marine Le Pen et son (FN), le parti du Front national n'a pas obtenu de prendre le pouvoir en toutes régions dans les élections régionales en France. Ils devraient réfléchir à nouveau. FN ne obtenir beaucoup plus de voix que la dernière fois, et, si elle sera un peu déçu après les résultats de week-end dernier, il est exactement comme Le Pen dit elle-même: «Rien ne peut nous arrêter."
Et au lieu de se lamenter sur cela, ou même ne pas croire, il pourrait être beaucoup mieux pour essayer de comprendre pourquoi elle est droite. Et cela n'a rien à voir avec des comparaisons à Donald Trump. Ou peut-être qu'il fait, en ce que dans la même façon que les profits Trump de la perception - Les gens of- the défaillances systémiques de Washington, Le Pen est aidé en selle par Bruxelles.
Les seuls politiciens - remaining- en Europe qui sont critiques de l'UE sont sur l'aile droite - extreme -. Le spectre entier de la politique autres que eux ne remet pas en cause même plus Bruxelles. Qui est au moins un peu étrange, parce que le soutien de l'UE dans la rue est loin d'être aussi forte que chez les politiciens, comme référendum après référendum continue à montrer.
Certains d'entre eux ont rejeté (plus de puissance à) l'UE pure et simple, comme celui au Danemark la semaine dernière, tandis que d'autres le font indirectement, en votant pour les partis anti-UE - Voir France, cette dernière et weekend -. Il y a une longue liste de ces votes remontant à travers les années, avec par exemple la France et la Hollande dire non à la Constitution européenne en 2005, qui a conduit à de nombreux pays de reporter leurs propres votes sur le sujet.
Bruxelles avait une réponse, cependant: en 2007, la proposition de Constitution a été converti en un traité (de Lisbonne), qui dit essentiellement la même, mais dans un ordre différent, et seulement par des amendements aux traités existants. Il était toujours de nouveau rejeté dans un référendum en Irlande, mais dans un deuxième vote en 2009 a accepté.
Surtout, le passage de la Constitution au traité signifiait l'unanimité parmi les pays de l'UE a été plus nécessaires; la majorité était assez bon. Et le tout a été poussé à travers indépendamment de ce que les gens pensaient - et voté.
Le tableau d'ensemble est clair: les Européens en général sont très bien avec l'UE, mais quand il essaie d'attraper plus de pouvoirs souverains, ils disent non, maintes et maintes fois. Seulement être annulée par leurs propres politiques nationales ainsi que Bruxelles. Leurs soucis, les frictions et les arguments ont un seul chemin à parcourir: l'extrême droite. Tous les autres courants politiques sont unis dans un soutien sans faille pour l'UE, essentiellement, peu importe quoi.
Mais les gens voient ce qui se passe en Grèce, et avec les réfugiés, ils voient la façon dont l'Union traite la question la Russie et l'Ukraine, ils voient les nouveau genre plans impies avec la force de la frontière de l'UE, et ils ne veulent pas Bruxelles pour marcher sur leur la souveraineté de la nation respective plus que ce qu'il a déjà.
Ils ne trouvent aucune résonance pour leurs soucis à la maison, cependant, autre que des gens comme Le Pen, Nigel Farage et les «parias politiques» similaires. Et donc voilà où ils vont tourner. Toutes les Le Pen doit faire est d'attendre pour l'économie d'empirer, et il sera, et elle peut récolter ce que l'UE a semé.
Dès que Bruxelles menace de se transformer en un organisme autoritaire, quelque chose qu'il a déjà fait bien évidemment, les gens vont résister.
L'Union européenne aurait pu être une organisation très utile et apprécié, avec de nombreux avantages évidents pour les peuples d'Europe. Mais dès qu'il outrepasse ses limites, il est destiné à s'auto-imploser. Ce processus et le résultat est devenu inévitable, parce que l'Union a de facto se nommé l'arbitre de ces limites.
Les hauts seigneurs non élus de Bruxelles sont devenus trop gourmand, et trop irresponsable, et ils finiront par atteindre exactement le contraire de ce qu'ils prétendent l'UE signifie: ils mèneront le continent en conflit, armé et autrement.
Le nouveau concept de la force de la frontière est le parfait exemple de ce qui va mal en Europe. Un groupe de la plus grande, et donc plus puissantes nations de l'UE, ont convenu d'un lundi pluvieux après-midi qu'ils vont mettre en place une sorte de force de la police militaire qui «protéger» les frontières des pays membres, même si ces pays n ' t demander cette protection et / ou carrément résister.
Ceci est évidemment dirigée principalement vers la Grèce pour l'instant, et l'Union européenne pense qu'il peut faire avec la Grèce comme il lui plaît. Mais demander à un citoyen allemand, français ou britanniques si elles veulent entrée de leur pays contrôlées et décidées par un groupe para-militaire des étrangers, et ils vont penser que vous avez perdu. Mais cela est l'idée derrière la force de la frontière: enlever la souveraineté des nations. Commencez par le plus petit et plus faible et votre façon de travailler.
Que cela a des implications juridiques intéressantes, comme je l'ai écrit récemment en Grèce est un pays sous occupation, que peu de gens semblent même contempler, va ajouter à l'animation.
Il y a 28 constitutions séparées dans l'UE. En vertu de laquelle d'entre elles est-il légal pour un gouvernement de renoncer à la maîtrise de ses propres frontières ? Dans combien de ces pays ce que ce sera fait appel à leur propre version de la Cour suprême ? Et combien de ces tribunaux diront: bien sûr, la souveraineté est bien surfaite toute façon !?
L'UE aurait pu être une union utile. Pas tous les contrôles aux frontières, pour une chose, pas tous ces formulaires à remplir tout le temps. Mais avec l'avènement de l'euro, les choses sorti de la main. Vous pouvez avoir une union de fonctionnement entre des entités très différentes. Mais aussi longtemps que ces différences sont reconnues et respectées.
L'euro est une idée qui cherche à nier les différences entre les personnes (s) de l'Europe, il cherche à prétendre que l'Allemagne est la Grèce. À cette fin, il doit alors enlever la souveraineté de toutes les nations. L'euro ne peut pas exister sans cela. Pour fonctionner correctement en tant que monnaie, il a besoin d'une union bancaire, une union fiscale. Et puis à partir de là.
Ce sont toutes des choses que personne bien pensé ou parlé avant qu'il ne soit introduit. Peut-être parce que tout le monde savait que ces choses seraient inacceptables pour les peuples européens. Et maintenant, l'euro est ici, et toutes ces choses devra être poussé à travers toute façon. Bruxelles pense qu'il a l'expérience de beaucoup pousser les choses à travers dépit de la volonté du peuple, alors celui-ci sera trop de travail.
Mais tout ce qu'il faut est pour quelqu'un de le souligner dans un langage clair aux gens. Malheureusement, les seuls qui font aujourd'hui le raccorder avec la résistance aux réfugiés, aux sociétés ouvertes, à toutes sortes de choses qui ont rien à voir avec la raison pour laquelle l'euro est un échec.
Pendant ce temps, comme je l'ai écrit à maintes reprises, l'UE est ce corps que les auto-sélectionne pour sociopathes dans sa hiérarchie, son auto étant antidémocratique. Ce que peu de gens reconnaissent que Il a également auto-sélectionne pour les goûts de Marine Le Pen.
Et nous avons encore rien vu. Comme je l'ai déjà dit, tous les Le Pen a à faire est de l'économie de pin pour les fjords. Et en regardant les produits actuels abattage, cela pourrait se produire avant que quiconque puisse le chercher dans le dictionnaire.
Et Angela Merkel, après avoir poussé de côté l'accord de Dublin sur les réfugiés et les portes ouvertes allemands, veut maintenant les refermer. Comme si cela fonctionne. L'UE veut maintenant remettre Grèce des dizaines de millions d'euros juste pour garder les réfugiés dans le pays.
Mais ce qui arrive quand la projection récente d'un autre 3 millions d'arriver en Europe en 2016 se concrétise? Qu'advient-il lorsque les réfugiés ne les écoutent pas les diktats de Berlin / Bruxelles ? On peut seulement imaginer le chaos. L'UE a offert à la Turquie € 3 + milliards de les y maintenir, mais le président Erdogan ne ressemble pas le genre de gars que vous pouvez faire une affaire avec et attendre de lui de vivre à la hauteur.
L'Europe risque sérieusement d'être inondé avec les gens, alors que son économie se contracte comme un jersey de coton dans une tempête de pluie d'automne. Et qui va se pencher sur les dictateurs en herbe à Bruxelles de l'aide alors ? Nations finiront par décider de décider pour eux-mêmes. Et parce que tous les politiciens, mais l'extrême droite ont soutenu sans équivoque l'Union depuis de nombreuses années, devinez qui va venir à dîner ?
Aujourd'hui, les victimes sont les Grecs et les réfugiés. Et tous ceux dont les gouvernements de réduire leurs prestations à «équilibrer leurs budgets». Demain, ces budgets doit être équilibrée dans toute l'Europe, dans cette ligne de pensée.
Comme nous assistons les produits plongent, et le krach qui doivent nécessairement suivre, il devient difficile de voir comment des pays comme l'Italie, l'Espagne, même la France, pourraient échapper ressemblant à la Grèce un ensemble beaucoup plus en 2016. Et puis, l'Europe sera de retour là où il l'avait laissé il y a 70 ans.
Si le choix d'un pays de dictature-monarchique a été choisi, ce n'est pas pour rien ! Car, ce qui a été pondu de ce cloaque n'est rien d'autre qu'une dictature où PERSONNE du peuple n'a élu qui que ce soit et ni PERSONNE du peuple n'est appelé à donner son avis !
Seulement au sein de ces derniers jours, trois grands haut rendement fonds ont complètement implosé et panique se répand rapidement à Wall Street. Fonds gérés par la troisième Avenue gestion Pierre Lion Capital Partners ont suspendu le versement aux investisseurs, et un fonds géré par Lucidus Capital Partners a liquidé la totalité de son portefeuille. Nous assistons à une course pour les sorties ne ressemble à rien que nous avons vu depuis le grand krach financier de 2008, et beaucoup de ceux qui choisissent d'hésiter vont finir par faire totalement anéanti. Dans le cas où vous vous demandez, c'est ce qui ressemble à une crise financière. En 2008, les autres marchés boursiers mondiaux a commencé à s'écrouler, puis obligations pourries ont commencé à se bloqueret enfin des actions américaines suivirent. Le modèle exact même joue encore une fois, et le carnage que nous avons vu jusqu'à présent est que la pointe de l'iceberg.
Depuis la fin de 2009, un high yield bond ETF que j'ai regarder très étroitement connu comme JNK a été la négociation dans une fourchette comprise entre 36 et 42. J'ai attendu tout ce temps pour qu'il puisse plonger au-dessous de 35, parce que je savais que ce serait un signe que la prochaine crise financière majeure était imminente.
En septembre, il a clôturé aussi bas que 35,33 à un moment donné, mais ce n'était pas le signal que je cherchais. Enfin, début de la semaine dernière JNK éclaté en dessous 35 pour la première fois depuis la dernière crise financière et puis il a juste gardé en baisse. J'écris ceci, JNK a chuté tout le chemin à 33,42 et Bloomberg rapporte que de nombreux gestionnaires de liaison "prédisent plus carnage pour les investisseurs à haut rendement"...
Gestionnaires de liaison haut prédisent plus carnage pour les investisseurs de rendement élevé au milieu d'une déroute du marché qui a forcé au moins trois crédits la semaine dernière à ralentir.
Lucidus Capital Partners, un fonds de rendement élevé, fondé en 2009 par d'anciens employés de Caxton Associates de Bruce Kovner, a déclaré lundi qu'il a liquidé son ensemble du portefeuille et les plans pour retourner le $ 900 millions qu'il a sous gestion aux investisseurs le mois prochain. Fonds gérés par la troisième Avenue Management et Pierre Lion Capital Partners n'ont cessé de retour comptant pour les investisseurs, après que les clients a cherché à tirer trop d'argent.
Quand il dit que les entreprises « ont cessé de retour comptant pour les investisseurs », ce qui signifie que beaucoup de ces investisseurs seront chanceux pour obtenir quelques cents sur le dollar, quand tout est dit et fait.
Comme je l'ai dit, maintenant que la crise a commencé, ceux qui vont perdre le plus sont ceux qui hésitent.
Et il suffit de cocher quelques-unes des très grands noms que sont "l'avertissement de plus de mal à haut rendement à venir"...
Scott Minerd, chef des placements mondiaux officier au Guggenheim Partners, prédit 10 à 15 pour cent des fonds de "junk bond" peuvent faire face à des retraits élevés comme des investisseurs plus soucier de récupérer leur argent. Il se joint à des gestionnaires de fonds Jeffrey Gundlach, Carl Icahn, Bill Gross et Wilbur Ross en avertissement de plus de mal à haut rendement à venir. Dans ce type d'environnement, la réserve fédérale devra être complètement fou pour relever les taux d'intérêt.
Malheureusement, cela semble être exactement ce qui va se passer.
Si la Fed augmente les taux, qui va rendre la dette entreprise par défaut encore plus susceptibles et fera certainement baisser les obligations à rendement élevé encore plus loin...
Des taux plus élevés pourraient faire défaut d'obligations de sociétés plus susceptibles et les investisseurs sont déjà écoper hors du secteur, en tirant de $ 3,8 milliards sur les fonds à haut rendement dans la semaine s'est terminée le 9 décembre, le plus grand déplacement dans 15 semaines. Le rendement effectif sur les obligations à haut risque aux États-Unis est maintenant de 17 pour cent, le plus haut niveau en cinq ans, selon les données de la Bank of America Merrill Lynch. Une pléiade de grands noms mettent en garde que la Fed s'apprête à faire une erreur tragique. L'un d'eux est James Rickards...
"La Fed aurait dû soulever des taux d'intérêt en 2010 et 2011, et si ils l'ont fait, en fait, ils seraient en mesure de les couper aujourd'hui, a déclaré James Rickards, un porte-parole de la Banque centrale et le Chef stratégiste global à West Shore fonds. "La Fed deest sur le point de commettre une erreur historique qui peut-être être inclus avec les erreurs, qu'il a fait en 1927 et 1929. En soulevant en faiblesse, qui en résultera vraisemblablement une récession. »
En 2015, nous avons déjà vu la chute des stocks partout dans le monde entier. Entrée en décembre, plus de la moitié des 93 index plus grands marché boursier au monde ont diminué de plus de 10 pour cent l'année à ce jour, et certains d'entre eux étaient en baisse par autant que 30 ou 40 pour cent. À ce stade, les conditions sont absolument parfaites pour un effrayant effondrement des marchés américains, et la réserve fédérale s'apprête à verser de l'essence sur le feu.
N'importe qui qui dit que « rien ne se passe » est soit complètement désinformé ou est totalement fou.
J'aime comment James Howard Kunstler a résumé ce que nous sommes actuellement confrontés...
Actions barfed près de 4 % la semaine dernière, le crédit est en ruine (personne ne veut prêter), obligations à haut risque sont Tank (comme valeurs par défaut à tisser), monnaies du monde entier sont brisent, fonds spéculatifs ne peut pas donner aux investisseurs leur dos d'argent, est de « liquidité » AWOL (pas d'acheteurs pour janky securities), matières premières sont en chute libre, huile va si profondément dans le sous-sol de valeur que l'industrie ne peut jamais récupérer, l'évaporation de commerce international, le Président fait tout son possible en Syrie pour commencer la troisième guerre mondiale, et le monstre appelé mondialisme est couché dans son cercueil avec un pieu pointé sur son cœur.
Les marchés financiers maintenus ensemble beaucoup plus longtemps que beaucoup de gens pense qu'ils le feraient, mais maintenant ils sont enfin venir dehors à craquer.
Aller de l'avant, les « gagnants » vont être les personnes qui tirent leur argent sur le plus rapide. Cela est particulièrement vrai pour les fonds de risque élevé comme les trois qui vient a implosé. Si vous hésitez, vous pourriez finir par tout perdre.
Et comme cette ruée vers les sorties s'accélère, les vendeurs vont considérablement plus nombreux que les acheteurs, et cela va pousser les prix vers le bas à un rythme très rapide. Nous allons entendre beaucoup sur un « manque de liquidité » dans les jours à venir, mais la vérité est que ce que nous allons vraiment regarder est un bon panique démodé.
Ce tapage de 'crise' serait que des investisseurs y perdraient des billes tandis que d'autres les ramasseraient. C'est pourquoi que cette merde soit peinte en bleue ou en rose ne va pas changer grand chose pour le peuple consommateur-travailleur-contribuable. Voir par exemple le prix (147$ en 2008) du baril à 35$ aujourd'hui (prix d'y a 11 ans), mais... qu'en est-il du prix à la pompe ?
Plusieurs témoignages vidéo d'attaque sous fausse bannière San Bernardino:. 01 % plan pour plusieurs indicateurs fausses pour « justifier » la loi martiale, arrêt « truthers » ???
le 13 décembre 2015 par Carl Herman
chapeau de conseils : tous les militants faisant et en communiquant les vidéos suivantes !
Mettez-vous à la place du mal. 01 % pendant quelques instants. Comment vous roulez, c'est avec Les habits neufs de l'empereur crimes évidents :
- Guerres illicites et mensonge-a commencé . - Crimes contre l'humanité pour une politique permanente de la pauvreté qui a tué des êtres humains plus 400 millions seulement depuis 1995 (~ 75 % des enfants ; plus de décès que de toutes les guerres dans l'histoire de la terre). - Ce que l'on appelle « l'argent » qui est en fait la dette qui crée l'accélération et impossible à rembourser la dette totale. Le. 01 % masquer ~ $ 30 billions dans des paradis fiscaux. - Destruction de presque tous les droits légalement garanti dans la déclaration des droits américaine dans la Constitution des États-Unis, ainsi que dans l'inversion orwellienne du gouvernement limité. - « Couvrant les crimes » avec des mensonges de la presse corporative. - Ces crimes coûts chaque année tué des millions, milliards lésés et billions pillées, ayant des antécédents récents continuant de mensonge littérales siècles d'US - commença guerres d'agression impliquant presque toutes les familles de deux horribles guerres mondiales pour l'empire colonial. A l'image de la façon dont le. 01 % rouleau ?
OK, maintenant embrasser le présent que les entreprises médiatiques n'est plus peut « couvrir » vos crimes:
- Selon un sondage de 2007 par le Pew Research Center, la majorité du public américain voit les grands médias nouvelles organisations américaines comme politiquement biaisées, inexactes et insensibles. Parmi ceux qui utilisent l'Internet, le rapport de deux-tiers que les nouvelles grands médias n'aime pas les gens, sur qu'ils signalent, 59 % disent que la nouvelle est inexacte, 64 % Voir biais et 53 % résumer leur point de vue sur l'actualité de grands médias comme, « ne pas se lever pour l'Amérique ».
- Dans leur sondage de 2009, "seulement 29 % des Américains disent qu'organismes de presse généralement informez-vous directement, tandis que 63 % indiquent que les nouvelles sont souvent inexactes." - Sondage de Gallup 2014 a enregistré la plus faible jamais nous la confiance du public dans les reportages exacts du journal télévisé de la presse corporative : 18 %. - A juin 2010 sondage Rasmussen trouvé 66 % des électeurs « en colère » dans les médias, avec 33 % « très en colère. » Rasmussen a également trouvé 70 % « en colère » aux politiques actuelles du gouvernement fédéral. - La plus récente sondage Gallup en 2012 montre la méfiance des américains à un niveau record en matière de communication de « médias de masse — tels que journaux, TV et radio ": 60 % ont"pas beaucoup"confiance et confiance ou"pas du tout"aux « de la nouvelle déclaration totalement, exactement et assez. »
Vous avez cette image, ainsi que comment vous .01%-ers roll ?
- voir clip sur site -
Si vous demandez vos conseillers quoi faire. Vous recevez quelque chose comme ceci :
- voir clip sur site -
"Votre spécialisation : la chute des médias corporatifs et resituer des médias indépendants, rapports complets faits signifie que votre deception Les habits neufs de l'empereur est vouée à finir. Orientée données de médias que votre propagande est remplacée par la vérité rend ce résultat tout à fait certain. Ce qui n'est pas certain, mes seigneurs, est lorsque le point de basculement se produira ; mais quand cela arrive, votre règne du mal belle prendra fin dès que quoi que ce soit d'autre qui claquent au sol quand à bout-over. En résumé respectueuse, mes maîtres, vous êtes baisé. La seule façon d'éviter votre disparition est de gagner une fin de partie rapide de plusieurs attaques de terroristes sous fausse bannière à mettre en œuvre la loi martiale, que vous avez toujours rêvé pour justement contrôler votre sheeple. Cette ouverture pourrait gagner assez de soutien parmi les ignorants à diaboliser "truthers" (n'en déplaise à votre magnificence démoniaque avec ce terme, vos Seigneuries), jettent leurs ânes des camps de la FEMAet mettre fin à leur vie à votre plaisir sadique. La grêle Hydra. Salut Satan."
Vous allez avec les conseils et accélérer les attentats sous fausse bannière. Vous embauchez "acteurs de la crise" de transmettre votre ordre du jour ; payé des personnes étant donné les scripts pour lire les médias à s'assurer que le message que vous avez l'intention est livré. Malheureusement pour vous, duper délice s'avère au cours des entrevues : sourires cachés et apparents cette répression professionnelle reconnaissent instantanément comme tromperie.
Votre dernière tentative est San Bernardino. Vous espérez que le public ne peut pas voir les défauts évidents suivants dans votre sous fausse bannière. Vous initier des chiens d'attaque pour faire dérailler ce qui vous insulte comme "truthers".
vidéo de 5 minutes: trois témoins de la San Bernardino tir tout témoignage il y avait trois tireurs habillés en équipement militaire:
- voir clip sur site -
vidéo de 30 secondes: apparemment même acteur de crise apparaissant quatre fois:
- voir clip sur site -
vidéo de 1 minute: entreprises médiatiques "témoins experts" se tireurs comme des « acteurs » quatre fois :
- voir clip sur site -
vidéo de 3 minutes: crise apparente acteur sans tristesse et montrant duper délice après aurait été sa mère a été tuée dans la fusillade !
- voir clip sur site -
vidéo de 3 minutes de We Are Change nous rappelant que Anderson Cooper (donnant l'interview ci-dessus) a été "formé" par la CIA dans le journalisme et avec zéro cursus universitaire en journalisme :
- voir clip sur site - vidéo de 11 minutes: deux acteurs de la crise apparente souriant presque instantanément en delight duper lors d'un entretien :
vidéo de 5 minutes: maire de San Bernardino montrant des dizaines de sourires brefs dans le plaisir évident de duper : ** Remarque : je fais toutes les affirmations factuelles comme un Office national de professeur certifié gouvernement américain, économique, et l'histoire, avec toutes les revendications factuelles économie, réception nulle réfutation puisque j'ai commencé à écrire en 2008 chez les Advanced Placement macroéconomie enseignants sur notre forum de discussion des audiences publiques de ces articles, et conférences internationales. J'invite les lecteurs à donner leur voix civique avec les faits complets plus forts plus importants pour bâtir un avenir meilleur. Je mets au défi les professionnels, des universitaires et des citoyens d'ajouter leur voix au profit des habitants de la terre tous les. ** Carl Herman est un National Board certifié enseignant du gouvernement américain, l'économie et l'histoire ; aussi accrédités en mathématiques. Il a travaillé avec les deux partis politiques américains plus de 18 ans et les deux sommets des Nations Unies avec Hall d'entrée du citoyen, résultats, pour les États-Unis intérieure et de politique étrangère mettre fin à la pauvreté. Il peut être contacté à Carl_Herman@post.harvard.edu
Remarque : Examiner.com a bloqué l'accès du public à mes articles sur leur site (et d'autres dénonciateurs), donc certains liens dans mes travaux antérieurs sont bloqués. Si vous souhaitez chercher ces articles de qu'autres sites peuvent avoir republié, utiliser des mots dans le titre de l'article dans le lien bloqué. Ou, allez sur
http://archive.org/web/paste le lien a expiré dans la zone, cliquez sur "Parcourir l'histoire", puis cliquez sur les captures d'écran de cette page pour chaque fois qu'elle a été capture d'écran et transféré à webarchive. Je vais mettre à jour comme « hobby temps » le permet ; y compris mes premiers travaux de 2009 à 2011 (bloqué les pages de l'auteur : ici, ici ).
Twitter a dû avertir ses utilisateurs qu'ils pourraient ont été attaqués par des « Hackers parrainés par l'État »
14 décembre 2015 Le quotidien Sheeple | www.TheDailySheeple.com
Pourquoi se soucier des pirates typiques lorsque le gouvernement est piratage tout le monde ? C'est au point que Twitter est d'avoir avertir ses utilisateurs que "parrainé par l'état des hackers" peut-être" J'ai essayé d'obtenir des données sensibles sur leurs comptes, » rapporte Reuters.
“Une organisation qui dit qu'il a reçu l'avis, un Coldhak appelé à but non lucratif établie à Winnipeg, a déclaré que l'avertissement de Twitter est venu le vendredi. L'avis dit que les attaquants peuvent ont tenté d'obtenir des informations telles que « adresses e-mail, les adresses IP et/ou numéros de téléphone ».
Compte Twitter de Coldhak, @coldhakca, retweeted rapports d'un certain nombre d'autres utilisateurs qui ont dit qu'ils ont reçu l'avis. Coldhak et les autres utilisateurs n'a pas indiqué pourquoi ils peuvent avoir été épinglées.
C'est la première fois que le site a eu pour avertir les gens que du gouvernement pourrait être piratage de leurs comptes.
Les Facebook et Google ont dû émettre des avertissements similaires à leurs utilisateurs dans le passé.
Bien sûr, si vous faites quoi que ce soit en ligne, ne sont pas vous déjà être piraté par le gouvernement ?
Idem pour les faux sites d'entraides au bricolage, jardinage, 'forums' auto/moto, etc qui n'ont rien à voir avec le titre qu'ils se donnent mais sont là pour désinformer, désorienter, donner de mauvais conseils sous 50 pseudonymes différents pour faire croire à l'abondance de lectrices et lecteurs !
Attention aussi (lors de l'inscription) à l'obligation de se présenter !! Nom, prénom, adresse, n° Tel, marié ? des enfants ? noms, âges, écoles, religion, vote, etc, etc !!
Selon un député turc, Daech se serait approvisionné en gaz sarin grâce à la Turquie
RépondreSupprimerRT
lun., 14 déc. 2015 18:09 UTC
Selon les confessions d'un parlementaire turc à RT, la Turquie aurait permis à l'Etat islamique en Syrie de se procurer les matériaux nécessaires à la fabrication de gaz sarin.
«Des données vont dans ce sens», confie à RT Eren Erdem, principale figure de l'opposition en Turquie et membre du parti Républicain du Peuple (CHP). «Des matériaux bio chimiques sont importés de Turquie et sont assemblés dans les camps de Daech, autrefois connus en tant qu'Al Qaida Irak».
Eren Erdem ne mâche pas ses mots. Selon lui, il y aurait même matière à croire qu'Ankara tenterait de dissimuler les preuves d'un tel traffic, car elle aurait refusé d'enquêter sur les voies d'approvisionnement turques utilisées pour fournir aux terroristes les ingrédients nécessaires à la fabrication de gaz sarin.
Le gaz sarin est un agent chimique de qualité militaire, devenu tristement célèbre après avoir été utilisé dans l'attaque de la Ghouta et de plusieurs autres quartiers proches de Damas en 2013.
S'adressant aux parlementaires jeudi dernier, Erdem a exhibé la copie de l'affaire pénale numéro 2013/120 ouverte par le bureau du procureur général de la ville d'Adana dans le sud de la Turquie.
L'enquête a révélé que des citoyens turcs ont pris part à des négociations avec des représentants de l'Etat islamique concernant l'approvisionnement en gaz sarin. Se référant à des éléments de preuve citées dans l'affaire, Erdem a démontré que des conversations téléphoniques enregistrées prouvent que Hayyam Kasap, un militant d'Al-Qaida, a acquis du gaz sarin.
«Les conversations téléphoniques ont révélé tous les détails concernant la façon dont le transfert allait être effectué» explique Erdem. «On savait comment il allait être préparé, du contenu des laboratoires jusqu'aux sources des matériaux. On savait les dates mais aussi quels camions allaient être utilisés. De A à Z, tout était discuté et enregistré, et malgré tout ça, les suspects ont été relâchés !» s'emporte Erdem.
«Tout cela a été détecté» continue Erdem. Il y a même des conversations dans lesquelles on peu clairement entendre «ne vous inquiétez pas pour la frontière, on s'en charge», et nous nous assurons aussi que la bureaucratie suit».
Se basant sur ces preuves, les autorités d'Adana ont conduit des perquisitions et arrêté 13 suspects. Mais une semaine plus tard, l'affaire était mystérieusement fermée et les suspects ont immédiatement traversé la frontière entre la Turquie et la Syrie poursuit Erdem.
«Le transfert a eu lieu», se désole Erdem. «Et il a eu lieu parce que personne ne s'est interposé».
(suite en dessous:)
Le gouvernement turc et l'Europe en ligne de mire
RépondreSupprimerMais le témoignage d'Erdem a RT ne se limite pas à ces accusations. Selon lui, certains éléments tendent à laisser penser que la Corporation Méchanique et Chimique industrielle turque pourrait être impliquée, ce qui sous entendrait que le gouvernement tenterait de dissimuler les preuves, grâce à l'implication du ministre de la Justice, Bekir Bozdag.
«Quand j'ai lu l'acte d'accusation, j'ai vu très clairement que ces gens avaient des relations avec la Corporation Méchanique et Chimique industrielle turque et qu'ils n'ont aucun souci à se faire concernant le passage de la frontière. Par exemple, dans le cas des enregistrements des conversations de Hayyam Kasap, on l'entend faire mention du gaz sarin à plusieurs reprises et expliquer que les ateliers sont prêts pour la production ou encore que les matériaux sont disposés dans des camions supposés transporter des boissons Club Soda» s'insurge Erdem.
Pour avoir soulevé ces points inquiétants et pour avoir confronté Bozdag, le parlementaire se dit désormais victime d'une chasse aux sorcières.
Ses allégations font effectivement l'effet d'un pavé dans la mare : si elle était avérée, l'affaire Adana serait la preuve selon lui que l'Etat islamique est responsable de l'attaque de 2013, ce qui disculperait Bachar el Assad et montrerait que les Etats-Unis ont délibérément cherché à l'accuser afin de justifier une éventuelle intervention en Syrie.
-- Commentaire : Ses allégation sont avérées :
-Selon les Nations-unies, c'est l'opposition soutenue par les États-Unis et non le régime syrien qui a utilisé du gaz sarin
-Piccinin persiste et signe : « Al-Assad n'est pas derrière » l'attaque au gaz --
«On a toujours prétendu que l'attaque de la Ghouta était le fait de Damas», poursuit-il. «Or cette attaque a été perpétrée à seulement quelques jours de l'opération pour le gaz sarin en Turquie. Il est donc très probable que cette attaque ait été effectuée à partir de ces mêmes matériaux en provenance de Turquie. Et on a beau prétendre que c'est l'oeuvre de Damas, tout dans l'acte d'accusation prouve que c'est en réalité l'oeuvre de l'Etat islamique. Même les Nations Unies qui sont venues inspecter le site n'ont rien trouvé ! En revanche, avec l'acte d'accusation nous avons des preuves. Nous savons qui a utilisé le gaz sarin et notre gouvernement aussi est parfaitement au courant».
L'Occident et l'Europe en particulier ne sont pas épargnés par le courroux d'Erdem.
«Tous les matériaux de base viennent d'Europe. Les institutions européennes devraient se remettre en question concernant ces relations. Les sources occidentales savent parfaitement qui a réellement commis l'attaque au gaz sarin en Syrie. Ils connaissent ces gens, ils savent avec qui ils travaillent et ils savent qu'ils oeuvrent pour Al-Qaida. Je pense que les occidentaux sont hypocrites», conclut-il.
http://fr.sott.net/article/27108-Selon-un-depute-turc-Daech-se-serait-approvisionne-en-gaz-sarin-grace-a-la-Turquie
La majorité des mercenaires/terroristes capturés en Syrie ont une carte d'identité turque càd de l'OTAN
Supprimer« Hillary Clinton a tué des centaines de milliers de personnes », accuse Donald Trump
RépondreSupprimerlundi 14 décembre 2015
* Je ne fais pas confiance à Trump parce qu'il m'apparaît être un personnage narcissique et contrôlant qui frôle les critères de la maladie mentale. Même si je reconnais qu'il sort du "politiquement correct" et qu'il semble donner un ton de révolution depuis le début de sa campagne, je ne lui donnerais pas mon vote (si je croyais encore à la démocratie). Jamais il n'entrera au pouvoir, ils vont l'assassiner ou bien, lui accoler un scandale sexuel juste avant les élections.
"Elle est celle qui a causé tout ce problème avec ses politiques stupides. Regardez ce qu’elle a fait avec la Libye, ce qu’elle a fait avec la Syrie. Regardez l’Egypte, ce qui est arrivé avec l’Egypte, un désordre total ", a déclaré Donald Trump à la télévision.
"Elle était vraiment une des pires – si pas la pire – secrétaires d’Etat dans l’histoire du pays", a-t-il ajouté. "Elle dit que je suis dangereux. Mais c’est elle qui a tué des centaines de milliers de personnes avec sa stupidité".
Trump répondait ainsi aux nouvelles attaques de Hillary Clinton qui affirme "qu'il a largement dépassé la ligne rouge" en disant qu’il devrait y avoir une interdiction temporaire pour les musulmans d’entrer aux États-Unis.
L’accusation de Donald Trump est certainement fondée. En plus de superviser l’invasion illégale de la Libye, Hillary Clinton a soutenu les djihadistes qui se battent pour renverser Bachar al-Assad. Elle était un des premiers responsables politiques à soutenir et armer les rebelles syriens « modérés » qui sont à l’origine du Front al-Nosra et de l’État islamique.
Hillary Clinton ne respecte pas le droit international et « pourrait être dangereuse en tant que présidente des États-Unis», a écrit Rick Sterling, fondateur de Syria Solidarity Movement.
Clinton, cependant, n'est pas la seule responsable. Comme son patron à l’époque, Barack Obama, elle suivait les ordres transmis par l’élite mondialiste et ses architectes géopolitiques de la Commission Trilatérale et du Council on Foreign Relations (CFR).
En 2009, Clinton a rendu hommage au CFR:
- voir clip sur site:
http://conscience-du-peuple.blogspot.fr/2015/12/hillary-clinton-tue-des-centaines-de.html
(...) * Je ne fais pas confiance à Trump parce qu'il m'apparaît être un personnage narcissique et contrôlant qui frôle les critères de la maladie mentale. (...)
SupprimerCommentaires fait sans aucune preuve du contraire de ce que dit Trump !
La France et la Grande-Bretagne s'apprêtent à nouveau à intervenir militairement en Libye
RépondreSupprimerResistanz
lun., 14 déc. 2015 18:35 UTC
Au prétexte de lutter contre l'Etat islamique en Libye ( alors que la France et la Grande-Bretagne le soutiennent au Yémen en combattant au côté de la coalition saoudo-étatsuno-israélienne et que la France prétend ne plus avoir de bombes pour bombarder l'EI en Syrie) les autorités franco-britanniques s'apprêtent à finir le sale boulot colonial commencé par Sarkozy et Cameron en Libye en 2011.
Dans une interview sur France inter avec Léa Salamé, le Premier ministre français, Manuel Valls a déclaré être prêt à intervenir militairement en Libye pour lutter contre l'EI.
Ainsi il a déclaré sur France inter : il faudra « Combattre Daech demain sans doute en Libye« .
C'est à présent au tour des autorités britanniques de se dire prêtes à intervenir militairement en Libye en bombardant les régions conquises par l'EI. Selon Middle East Eye, « le Royaume-Uni pourrait bientôt commencer à bombarder l'État islamique en Libye, suite à la récente décision de procéder à des frappes aériennes contre le groupe en Syrie« .
Une source gouvernementale a déclaré au Daily Telegraph vendredi que le Royaume-Uni « allait dans la direction » de lancer une action militaire en Libye.
-- Commentaire : Comme d'habitude, la seule réponse de l'Occident est toujours plus d'impérialisme et d'interventions militaires. Sur l'anéantissement et le génocide du peuple libyen que l'OTAN a perpétré lors de son intervention en 2011, voyez le témoignage de James et Joanne Moriarty, un couple d'entrepreneurs américains, qui ont vécu cette "guerre humanitaire" :--
(voir clip ci-dessus dans " Selon un député turc, Daech se serait approvisionné en gaz sarin grâce à la Turquie"
http://fr.sott.net/article/27110-La-France-et-la-Grande-Bretagnes-appretent-a-nouveau-a-intervenir-militairement-en-Libye
Virages Russie - Risquent Guerre mondiale III
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden sur 14/12/2015 22:30 -0500
Rédigé par Alastair Crooke, posté au départ ConsortiumNews.com,
Washington officiel est inondé avec des discours musclé sur la Russie et de la nécessité de sanctionner le président Poutine pour son rôle dans l'Ukraine et la Syrie. Mais cette bravade ignore véritables intérêts nationaux de la Russie, ses «lignes rouges», et le risque que «tough-guy-isme» peut conduire à une guerre nucléaire, comme Alastair Crooke explique.
Nous savons tous que le récit dans lequel nous (l'Occident) est saisi. Il est le récit de la guerre froide: ". Empire du Mal" l'Amérique par rapport à l'Et, comme le professeur Ira Chernus a écrit, puisque nous sommes «humain» et de toute façon ils (l'URSS ou, maintenant, ISIS) manifestement ne sont pas, nous devons être leur opposé dans tous les sens.
"Si elles sont mal absolu, nous devons être le contraire absolu. Il est le vieux conte apocalyptique: le peuple de Dieu contre Satan. Il assure que nous ne devons admettre à tout lien significatif avec l'ennemi. "Il est à la base de l'allégation de l'Amérique et de l'Europe à l'exceptionnalisme et de leadership.
Et "enterré dans l'hypothèse que l'ennemi est dans aucun sens humain comme nous, est [un] absolution pour quelque part, nous avons peut-être eu des étincelles ou de contribuer à la montée et la propagation de mal. Comment aurions-nous pu fécondé le sol de mal absolu ou supporter aucune responsabilité pour ses succès? Il est un postulat de base de la guerre contre le mal: le peuple de Dieu doivent être innocent ", (et que le mal ne peut pas être médiatisée, car comment la médiation avec le mal).
Occidentaux peuvent généralement pensent que nous sommes des rationaliste et (surtout) laïque, mais les modes chrétiennes de conceptualiser le monde imprègnent encore la politique étrangère contemporaine.
Il est ce récit de la guerre froide de l'ère Reagan, avec ses corrélats que l'Amérique se contentait de regarder vers le bas à travers l'empire soviétique militaire et - tout aussi important - «pressions financières», tout en ne faisant aucune concession à l'ennemi.
Ce qui est parfois oublié, est la façon dont les Bush néo-conservateurs ont donné leur «spin» de ce récit pour le Moyen-Orient par coulée laïcs et baasistes nationales arabes comme le rejeton de "Satan": David Wurmser prônait en 1996, "accélérer l'effondrement chaotique »du nationalisme laïque arabe en général, et en particulier baasisme. Il a souscrit à roi Hussein de Jordanie que «le phénomène du baasisme" était, dès le début, "un agent de la politique étrangère, à savoir soviétique."
En outre, en plus d'être des agents du socialisme, ces Etats se sont opposés à Israël, aussi. Donc, sur le principe que si elles étaient l'ennemi, alors l'ennemi de mon ennemi (les rois, émirs et rois du Moyen-Orient) sont devenus les Bush néo-cons amis. Et ils restent tels aujourd'hui - cependant beaucoup leurs intérêts divergent désormais de ceux des États-Unis
(suite en dessous:)
Le problème, comme le professeur Steve Cohen, le savant Russie avant tout aux États-Unis, se lamente, est qu'il est ce récit qui a empêché l'Amérique de jamais mener à bien toute possibilité réelle de trouver un modus mutuellement acceptable vivendi avec la Russie - qui lui fait cruellement défaut, si il est déjà sérieusement à lutter contre le phénomène de djihadisme wahhabite (ou résoudre le conflit syrien).
RépondreSupprimerQui plus est, le «récit de la guerre froide" ne reflète tout simplement pas l'histoire, mais plutôt le récit efface l'histoire: Il perd pour nous la capacité de comprendre vraiment l'diabolisé "tyran Calous" - que ce soit (en russe) le président Vladimir Poutine ou (Ba 'athist) le président Bachar al-Assad - tout simplement parce que nous ignorons l'histoire réelle de la façon dont cet état est venu à être ce qu'elle est, et notre part dans ce train de devenir ce qu'il est.
En effet, l'Etat, ou de ses dirigeants, ne sont souvent pas ce que nous pensons qu'ils sont - à tous. Cohen explique: "La chance pour un partenariat stratégique durable Washington-Moscou a été perdu dans les années 1990 après l'Union soviétique a pris fin. En fait, il a commencé à être perdu plus tôt, car il était [président Ronald] Reagan et [le dirigeant soviétique Mikhaïl] Gorbatchev qui nous a donné l'occasion d'un partenariat stratégique entre 1985-89.
"Et il a certainement pris fin sous l'administration Clinton, et il n'a pas pris fin à Moscou. Il a fini à Washington - il a été gaspillé et perdu à Washington. Et il a été perdu si mal que, aujourd'hui, et pour au moins les dernières années (et je dirais depuis la guerre en Géorgie en 2008), nous avons été littéralement dans une nouvelle guerre froide avec la Russie.
"Beaucoup de gens dans la politique et dans les médias ne veulent pas appeler cela, parce que si elles admettent:« Oui, nous sommes dans une guerre froide, «ils doivent expliquer ce qu'ils faisaient au cours des 20 dernières années. Alors ils disent plutôt: «Non, il est pas un guerre froide.»
"Voici mon prochain point. Cette nouvelle guerre froide a tout le potentiel pour être encore plus dangereux que le précédent de 40 ans de la guerre froide, pour plusieurs raisons. Tout d'abord, pensez-y. L'épicentre de la première guerre froide était à Berlin, ne fermera pas à la Russie. Il y avait une vaste zone tampon entre la Russie et l'Occident en Europe de l'Est.
"Aujourd'hui, l'épicentre se trouve en Ukraine, littéralement sur les frontières de la Russie. Il était le conflit ukrainien qui a déclenché ce off, et politiquement Ukraine reste une bombe à retardement. La confrontation d'aujourd'hui est non seulement sur les frontières de la Russie, mais il est au cœur de la Russie et l'Ukraine «civilisation slave." Ceci est une guerre civile aussi profond à certains égards, comme ce fut la guerre civile de l'Amérique. "Cohen a continué: "Mon prochain point: et pire encore - Vous souvenez-vous que, après la crise des missiles cubains, Washington et Moscou ont développé certaines règles d'mutuelle conduite. Ils ont vu comment dangereusement près qu'ils étaient venus à une guerre nucléaire, de sorte qu'ils ont adopté "no-nos, 'si elles ont été codées dans les traités ou accords non officiels. Chaque côté savait où de l'autre ligne rouge était. Les deux parties ont trébuché sur eux à l'occasion, mais a immédiatement tiré vers l'arrière parce qu'il y avait une compréhension mutuelle qu'il y avait des lignes rouges.
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"Aujourd'hui, il y a pas de ligne rouge. Une des choses que Poutine et son prédécesseur le président Medvedev continue à dire à Washington est: Vous traversez nos lignes rouges! Et Washington a déclaré, et continue à dire: «Vous ne disposez pas de toutes les lignes rouges. Nous avons des lignes rouges et nous pouvons avoir toutes les bases que nous voulons autour de vos frontières, mais vous ne pouvez pas avoir des bases au Canada ou au Mexique. Vos lignes rouges ne existent pas. »Cela illustre clairement que aujourd'hui il n'y a pas de règles réciproques de conduite.
RépondreSupprimer"Un autre point important: Aujourd'hui il n'y a absolument pas organisée anti-guerre froide ou Pro-Detente force politique ou d'un mouvement aux États-Unis à tous - pas dans nos partis politiques, et non pas à la Maison Blanche, et non dans le Département d'Etat, pas dans les médias grand public, pas dans les universités ou les think tanks. ... Rien de tout cela existe aujourd'hui. ...
"Mon prochain point est une question: Qui est responsable de cette nouvelle guerre froide ? Je ne demande pas à cette question parce que je veux pointer du doigt quiconque. La position de l'American création des médias politique actuelle est que cette nouvelle guerre froide est la faute de Poutine - tout cela, tout. Nous, en Amérique n'a rien fait de mal. À chaque étape, nous étions vertueuse et sage et Poutine était agressif et un mauvais homme. Et donc, ce qui est à repenser ? Poutine doit faire tout repenser, pas nous ".
Ces deux récits, le récit de la guerre froide, et la suite «spin» des néocons sur elle:-à-dire la formulation de Bill Kristol (en 2002) que, précisément en raison de sa guerre froide "victoire", l'Amérique pourrait, et doit, devenir le «bienveillante mondiale hégémonique, «garantir et de maintenir le nouvel ordre mondial américano-auteur - une" omelette qui ne peut être faite sans casser des œufs »- convergent et se confondre en Syrie, dans les personnes du président Assad et le président Poutine.
Le président Obama a pas néocon, mais il est contraint par l'héritage hégémonie mondiale, dont il doit soit soutenir, ou être étiquetés en tant que facilitateur de voûte du déclin de l'Amérique. Et le président est également entouré par R2P («responsabilité à protection") prosélytes, tels que Samantha Power, qui semblent avoir convaincu le président que «le tyran» l'éviction d'Assad serait percer et réduire le ballon djihadiste wahhabite, permettant "modérée "djihadistes tels que Ahrar al-Sham pour finir les fragments dégonflés du ballon crevé ISIS.
Dans la pratique, l'éviction du président Assad imposée sera précisément responsabiliser ISIS, plutôt que imploser, et les conséquences se répercuter à travers le Moyen-Orient - et au-delà. Le président Obama privé peut comprendre la nature et les dangers de la révolution culturelle wahhabite, mais semble adhérer à la conviction que tout va changer, si seulement le président Assad se retire. Les Etats du Golfe a dit la même chose sur le Premier ministre Nouri al-Maliki en Irak. Il est allé (pour l'instant), mais ce qui a changé ? ISIS est devenu plus fort.
Bien sûr, si nous pensons que le mal de l'ISIS, pour l'amour du mal, plié sur aveugle, l'abattage lunatique, "ce une tâche insensée il est évident qu'elle [serait] de penser à motifs réels de l'ennemi. Après tout, de le faire serait de les traiter comme des êtres humains, avec des fins humaines découlant de l'histoire. Il serait smack de sympathie pour le diable. Bien sûr, "le professeur Chernus continue," ce qui signifie que, tout ce que nous pourrions penser de leurs actions, nous ignorons généralement une abondance de preuves que les combattants de l'État islamique ne pouvaient pas être plus humaine ou avoir des motivations plus compréhensibles. "
(suite en dessous:)
En effet, ISIS et les autres forces califat ont motivations humaines très claires et des objectifs politiques clairement définis, et aucun de ceux-ci est de toute manière compatible avec le type d'Etat syrienne que l'Amérique dit qu'elle veut pour la Syrie. Cela reflète précisément le danger de devenir l'otage d'un certain récit, plutôt que d'être disposé à examiner le cadre conceptuel qui prévaut plus critique.
RépondreSupprimerAmérique se trouve loin de la Syrie et du Moyen-Orient, et comme le fait remarquer le professeur Stephen Cohen, "malheureusement, les rapports d'aujourd'hui semblent indiquer que la Maison Blanche et du Département d'État pensent surtout comment contrer les actions de la Russie en Syrie. Ils sont inquiets, il a été signalé que la Russie diminue le leadership de l'Amérique dans le monde ".
Il est un mème de l'insécurité nationale perpétuelle, des craintes perpétuelles environ réputation de l'Amérique et de défis à sa position, le professeur Chernus suggère.
Mais l'Europe ne sont pas "loin"; il se trouve aux portes de la Syrie. Il est également voisin de la Russie. Et à cet égard, il mérite d'être méditée dernier point du professeur Cohen: la réticence de Washington à permettre la Russie toute amélioration de sa position en Europe, ou dans le non-Occident, à travers son initiative stratégique pour vaincre le djihadisme wahhabite en Syrie, est non seulement à jouer avec le feu au Moyen-Orient. Il joue avec un feu de danger encore plus grand: de faire les deux en même temps semble extraordinairement irresponsable.
Cohen à nouveau: [root a pris] "La fausse idée que la menace nucléaire a pris fin avec l'Union soviétique: En fait, la menace est devenue plus diversifiée et plus difficile. Ceci est quelque chose de l'élite politique oublié. Ce fut un autre mauvais de l'administration Clinton (et dans une certaine mesure le premier président Bush dans sa campagne de réélection) disant que les dangers nucléaires de la guerre froide qui précède ne existaient après 1991. La réalité est que la menace a augmenté, que ce soit par inattention ou d'accident, et il est maintenant plus dangereux que jamais ".
Alors que l'Europe devient complice de lever les diverses pressions sur la Russie en Syrie - économiquement par des sanctions et d'autres mesures financières, en Ukraine et en Crimée, et en montrant du doigt le Monténégro, la Géorgie et la Baltique vers l'OTAN - nous devrions peut-être envisager le paradoxe que la détermination de la Russie à essayer pour éviter la guerre mène à la guerre.
L'appel de la Russie à coopérer avec les pays occidentaux contre le fléau de l'ISIS; ses réponses à faible clés et soigneusement conçues pour de telles provocations que l'embuscade de son SU-24 bombardiers en Syrie; et la rhétorique calme du président Poutine, sont tous utilisés par Washington et Londres pour peindre la Russie comme un «tigre de papier», dont personne n'a besoin de la peur.
En bref, la Russie est offert seulement le choix binaire: pour approuver à l'hégémonie «bienveillante», ou pour se préparer à la guerre.
* * *
Alastair Crooke (né en 1950) est un diplomate britannique. Auparavant, il était une figure dans le classement de renseignement britanniques (MI6).
http://www.zerohedge.com/news/2015-12-14/cornering-russia-risking-world-war-iii
Billets Versus The Gold Standard
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden sur 14/12/2015 18:00 -0500
Submitted par Richard Ebeling via EpicTimes.com,
Nous vivons à une époque qui ne peut être considéré comme le chaos monétaire. La Réserve fédérale américaine a manipulé les taux d'intérêt directeurs bas à pratiquement zéro pour les six dernières années, et élargi l'offre de l'argent dans le système bancaire de 4 billions de dollars pendant cette période. Et avec la vraie mentalité du planificateur central monétaire, le Conseil des gouverneurs de la Fed prévoient maintenant de manipuler les taux d'intérêt directeurs dans une direction ascendante qu'ils jugent souhaitable.
La Banque centrale européenne (BCE) a mis en place une politique délibérée de taux d'intérêt "négatives" et planifié une expansion monétaire supplémentaire de bien plus d'un billion d'euros sur l'année suivante. De plus, la tête de la BCE a assuré les marchés publics et financiers qu'il n'y a "pas de limite" à la quantité de papier-monnaie qui sera produite à pousser les économies européennes dans la directe que ces planificateurs centraux monétaires estiment meilleur.
Nous ne devons pas oublier que ce fut la Réserve fédérale que, plus tôt dans le XXIe siècle a entrepris une expansion monétaire et de la politique de la manipulation des taux d'intérêt qui a ouvert la voie pour la «grande récession» grave et prolongée qui a commencé en 2008-2009, conjointement avec un gouvernement qui faussent le subventionnement fédéral du marché américain du logement.
Les médias et les experts politiques peuvent se concentrer sur les zigs et des zags de la politique monétaire et de taux d'intérêt de la Banque centrale au jour le jour, mais ce qui a vraiment besoin d'être posée est de savoir si nous devons ou non continuer à laisser la politique monétaire et bancaire dans le discrétionnaire les mains des banques centrales et les planificateurs centraux monétaires qui les gèrent.
Banque centrale que monétaire de la planification centrale
Et ne vous méprenez pas à ce sujet. La banque centrale est la planification centrale monétaire. Les États-Unis et, en effet, pratiquement le monde entier fonctionne sous un régime du socialisme monétaire. Historiquement, le socialisme a signifié un système économique dans lequel la propriété du gouvernement, géré et planifié l'utilisation des facteurs de production.
Banque centrale moderne est un système dans lequel le gouvernement, soit directement, soit par quelque organisme désigné comme la Réserve fédérale aux États-Unis, possède la propriété et le contrôle du moyen d'échange monopole. Grâce à ce contrôle le gouvernement et son agence a une influence prédominante sur la valeur, ou pouvoir d'achat, de l'unité monétaire, et peuvent influencer de manière significative une variété de relations de marché. Ceux-ci comprennent les taux d'intérêt en tant que prêts et emprunts se passe dans les secteurs bancaire et financier de l'économie, et donc les habitudes d'épargne et d'investissement dans le marché.
Si il ya une leçon à tirer de l'histoire des cent dernières années - au cours de laquelle le monde et aux États-Unis déplacés de l'étalon or et sur une Fiat gérée par le gouvernement, ou le papier, le système de l'argent - est la catastrophe fondamental de placer le contrôle de la masse monétaire dans les mains des gouvernements.
(suite en dessous:)
Continue abus de Gouvernement de l'argent
RépondreSupprimerSi convient de rappeler que l'argent ne provient pas les lois ou décrets des rois et des princes. L'argent, comme le moyen le plus largement utilisé et généralement acceptée de change, a émergé sur les transactions d'un nombre croissant d'acheteurs et les vendeurs sur le marché dans une arène expansion du commerce.
Matières premières comme l'or et l'argent ont été sélectionnés au fil des générations de participants du marché que les fonds de libre choix, en raison de leurs caractéristiques utiles pour mieux faciliter l'échange des marchandises dans le marché.
Pour la quasi-totalité de l'histoire enregistrée, les gouvernements ont tenté de prendre le contrôle de la production et la manipulation de l'argent pour servir leur appétit apparemment insatiable pour extraire de plus en plus de la richesse produite par les membres ordinaires de la société. Anciens dirigeants seraient couper et de rabaisser l'or et d'argent de leurs sujets.
Plus dirigeants modernes - si despotiquement auto-désigné par la force ou élus démocratiquement par les majorités de vote - ont profité de l'imprimerie monétaire pour le taux de désabonnement du papier-monnaie pour financer leurs dépenses et largesses de redistribution au-delà des taxes qu'ils imposent à l'ensemble des citoyens.
Aujourd'hui, le processus est devenu encore plus facile grâce à la simple clic d'une "souris" sur un écran d'ordinateur, ce qui en un clin d'œil peut créer des dizaines de milliards de dollars de l'air mince.
Ainsi, l'avilissement monétaire et l'inflation des prix qui accompagne normalement ont servi en tant que méthode pour imposer une «imposition cachée» sur la richesse de l'ensemble des citoyens. Comme John Maynard Keynes perspicacité observé en 1919 (avant qu'il ne devienne un «keynésienne»!):
"Par un processus continu de l'inflation, les gouvernements peuvent confisquer, secrètement et non observée, une partie importante de la richesse de leurs citoyens. Par cette méthode, non seulement ils confisquent, mais ils confisquent arbitrairement; et alors que le processus appauvrit beaucoup, il enrichit effectivement certains. Le processus engage toutes les forces cachées de droit économique sur le côté de la destruction, et il le fait d'une manière que pas un homme sur un million peut diagnostiquer ".
Ce sont les effets corrosifs, de distorsion, et destructrices de la manipulation monétaire par les gouvernements qui ont mené la quasi-totalité des principaux économistes du XIXe siècle à approuver la "ancrage" du système monétaire dans une marchandise comme l'or, d'empêcher les gouvernements d'utiliser leur pouvoirs sur la création des fonds de papier pour couvrir leur extravagance budgétaire. Les mots de John Stuart Mill à partir du milieu du XIXe siècle méritent d'être rappelés:
"Aucune doctrine en économie politique repose sur des motifs les plus évidents que le mal d'une monnaie de papier pas maintenu à la même valeur avec un métallique, soit par la convertibilité, ou par un principe de limitation équivalente. . . Toutes les variations de la valeur de la monnaie en circulation sont espiègle; ils perturbent les contrats et les attentes actuelles, et de la responsabilité à ces changements rend tout engagement pécuniaire de date longue entièrement précaire. . .
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"Grand comme ce mal serait si elle [l'offre de monnaie] dépendait de [la] accident [de la production d'or], il est encore plus grande lorsqu'il est placé à la disposition arbitraire d'un individu ou d'un groupe d'individus; qui peut avoir toute nature ou degré d'intérêt pour être servi par une fluctuation artificielle dans les fortunes; et qui ont en tout cas un vif intérêt dans l'émission autant [de papier-monnaie inconvertible] que possible, chaque numéro étant elle-même une source de profit.
RépondreSupprimer"Non à ajouter, que les émetteurs ont, et dans le cas de papier du gouvernement, ont toujours un intérêt direct dans la réduction de la valeur de la monnaie, car il est le milieu dans lequel leurs propres dettes sont calculés. . . Un tel pouvoir, dans quel qu'en soit investi, est un mal intolérable. "
Les avantages sociaux d'un Gold Standard
En vertu d'un étalon-or, il est de l'or qui est de l'argent réel. Le papier-monnaie et de diverses formes de contrôle et d'autres comptes de dépôt qui peuvent être utilisés dans les opérations de marché en échange de biens et de services sont des substituts de l'argent, ce qui représente une quantité fixe de l'or-argent en dépôt dans une banque ou une autre institution financière qui sont rachetables demande.
Toute augmentation nette de la quantité de monnaie et de vérifier et de dépôts connexes dépendent augmentation de la quantité d'or que les déposants avec des institutions bancaires et financières ajoutent à leurs comptes individuels. Et tout retrait de l'or à partir de leurs comptes par la rédemption exige que la quantité de billets de banque et les comptes chèques et connexes en circulation sera réduite du même montant. En vertu d'un étalon-or, une banque centrale est dégagé de toute autorité et pouvoir de façon arbitraire "gérer" l'ordre monétaire.
Beaucoup de critiques de l'étalon-or considèrent cela comme une «règle» rigide et inflexible sur la façon dont le système monétaire et la quantité de l'argent dans la société doit être déterminé et contraint. Pourtant, les partisans de l'étalon-or ont longtemps soutenu que cette rigidité relative est essentielle pour discipliner les gouvernements dans les limites d'un «budget dur."
A Gold Standard peuvent limiter abus monétaire gouvernement
Sans la "trappe d'évacuation" de la presse d'impression monétaire, les gouvernements doivent soit taxer les citoyens ou d'emprunter une partie de l'épargne du secteur privé pour couvrir ses dépenses. Ceux dépenses du gouvernement proposant doit soit justifier en expliquant où les impôts viendront et sur qui les impôts vont baisser; ou faire l'affaire pour l'emprunt d'une partie de l'épargne de la société pour couvrir ces dépenses - mais à des taux d'intérêt du marché qui racontent la vérité sur ce qu'il en coûtera pour attirer les prêteurs à prêter cette somme au gouvernement plutôt que pour les emprunteurs du secteur privé et, par conséquent, au coût social de l'investissement du secteur privé et la croissance future qui devra être renoncé.
En d'autres termes, il empêche le gouvernement de "monétiser la dette" pour couvrir tout ou partie de ses déficits budgétaires. Les sommes empruntées ne peuvent être créés à partir de rien par la banque centrale expansion monétaire. Le gouvernement, en vertu d'une règle d'or, ne peut plus créer l'illusion que quelque chose peut être fait pour rien.
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Comme économiste autrichien Ludwig von Mises, a exprimé:
RépondreSupprimer«Pourquoi avoir un système monétaire basé sur l'or ? Parce que, comme les conditions sont aujourd'hui et pour le temps qui peut être prévu aujourd'hui, l'étalon-or seul rend la détermination du pouvoir d'achat de l'indépendant de l'argent des ambitions et des machinations des gouvernements, des dictateurs et des partis politiques et des groupes de pression. La seule norme d'or est ce que les dirigeants épris de liberté du XIXe siècle (qui a défendu le gouvernement représentatif, les libertés civiles, et de la prospérité pour tous) appelés «monnaie saine».
Milton Friedman "Second Thoughts" sur les avantages du papier-monnaie
Il faut admettre que même certains défenseurs de la liberté économique et un gouvernement limité ont été partisans de la monnaie de papier. Le plus notable une dans la seconde moitié du XXe siècle a été l'économiste prix Nobel, Milton Friedman. Pendant la plus grande partie de sa carrière professionnelle, il a fait valoir que le maintien d'un étalon-or était un gaspillage de ressources de la société.
Pourquoi gaspiller les hommes, le matériel et les machines à creuser de l'or sur le sol pour ensuite tout simplement le ranger dans les coffres des banques ? Il est préférable d'utiliser ces ressources limitées pour produire plus de biens et services ordinaires qui peuvent améliorer le niveau et la qualité de la vie des gens. Contrôler l'insouciance arbitraire potentielle des banques centrales, Friedman a proposé, en mettant en place une «règle» monétaire qui dit: Accroître l'offre de la monnaie de papier par un petit pour cent par an, sans marge d'appréciation laissée dans les mains des gestionnaires monétaires.
Mais il est moins connu que dans les années après Friedman a remporté le prix Nobel d'économie en 1976, il avait des doutes quant à cette prescription monétaire. Dans un article de 1986, «le coût des ressources de Irredeemable Paper Money", il a soutenu que lors de la recherche sur la mauvaise gestion monétaire et de méfait causé par les gouvernements et les banques centrales au cours du XXe siècle, il était "clair" que les coûts de l'exploitation minière, la frappe et le stockage de l'or comme base d'un système monétaire aurait été beaucoup moins que les coûts perturbateurs et déstabilisateurs imposés à la société en raison de papier argent inflations et les hauts et les bas du cycle économique provoquée par des manipulations des banques centrales de l'argent et des taux d'intérêt .
Dans son discours présidentiel 1,985 avant la Western Economic Association sur "Les économistes et les politiques publiques», Friedman dit que la théorie des choix publics - l'utilisation de l'économie pour analyser le fonctionnement du processus politique - l'avait persuadé qu'il ne serait jamais dans le long exécuter l'intérêt des gouvernements ou des banques centrales pour gérer le système monétaire selon certains hypothétique «intérêt public».
Les membres du gouvernement ou de détenir les leviers de la presse d'impression monétaire aura toujours sensibles aux tentations et pressions de gains politiques à court terme que l'expansion monétaire peut financer. Il a admis que cela avait été une «perte de temps» de sa part pour essayer d'amener les gouvernements et les banques centrales de suivre son idée d'une règle monétaire.
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Et dans un autre article en 1986 (co-écrit avec Anna Schwartz) sur: «Est-gouvernement un rôle quelconque dans l'argent?" Friedman dit que tandis qu'il était pas prêt à l'époque à préconiser un retour à l'étalon-or, il ne conclure que " que «laissant arrangements monétaires et bancaires sur le marché aurait produit un résultat plus satisfaisant que ce qui était effectivement réalisé grâce à la participation du gouvernement.
RépondreSupprimerLa mauvaise gestion monétaire par rapport aux marchés et Or
Mais ce ne sont pas seulement les dangers politiques résultant de la mauvaise gestion du gouvernement du papier-monnaie qui justifie la mise en place d'un étalon-or. Il est aussi et également le fait que la planification centrale monétaire est inutilisable comme un moyen de maintenir la stabilité de l'économie, le plein emploi et la croissance.
Surtout depuis les années 1930, de nombreux économistes et décideurs politiques influencés par Keynes et la révolution keynésienne ont cru marchés sont potentiellement instables et sensibles à des fluctuations importantes et prolongées de l'emploi et de la production qui ne peuvent être prévenues ou de moindre gravité à travers «activiste» monétaire et budgétaire politique.
Mais en réalité, la causalité fonctionne dans le sens inverse. Il est manipulations des banques centrales des taux monétaires, de crédit et d'intérêt qui ont généré l'instabilité et les sautes périodiques dans la production d'ensemble de l'économie et de l'emploi.
Le fait est des institutions financières et des taux d'intérêt ont un travail important à faire dans l'économie de marché. Les banques et autres intermédiaires financiers sont censés servir les «intermédiaires» qui rassemblent ceux qui souhaitent économiser une partie de leur revenu gagné avec d'autres qui cherchent à emprunter et à investir que les économies de façon productive à but lucratif qui génèrent la formation de capital, des améliorations technologiques , et la production rentable de nouvelles, de meilleure qualité et plus de biens et services pour satisfaire la demande des consommateurs à l'avenir.
Des taux d'intérêt déterminés par le marché sont destinés à mettre ces régimes d'épargne et d'investissement en coordination les uns avec les autres, de sorte que le montant du capital investi et le temps-forme des horizons d'investissement prises sont compatibles avec les économies réelles disponibles pour les soutenir à l'achèvement maintenable.
L'expansion monétaire par les banques centrales crée l'illusion qu'il n'y a plus d'économies à investir dans l'économie réelle que celle qui existe vraiment. Et les signaux de taux d'intérêt fausse générés dans le système bancaire par l'expansion monétaire non seulement désinforme emprunteurs potentiels d'investissement au sujet de la quantité de réelles économies disponibles pour des projets d'immobilisations, mais crée une base erronée pour déterminer les calculs de valeur qui influencent les horizons de temps pour le les investissements réalisés.
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Ce sont ces signaux monétaires et de taux d'intérêt de faux qui induit la mauvaise orientation des ressources, le mal-investissement de capitaux, et l'attribution incorrecte du travail entre emplois dans l'économie qui ouvre la voie à une "correction" inévitable et inéluctable et le réajustement qui représente la phase de récession du cycle économique qui suit l'effondrement du boom artificiel.
RépondreSupprimerLes planificateurs centraux monétaires ne peuvent jamais être plus de succès dans la détermination d'une quantité «optimale» de l'argent ou les «bons» des taux d'intérêt pour assurer la coordination épargne-investissement que tous les autres planificateurs socialistes étaient quand ils ont essayé de planifier centralement la production agricole ou la sortie de l'investissement pour un société tout entière.
Toutes ces tentatives de planification et de gestion monétaire par les banques centrales sont des instances de ce que Friedrich A. Hayek a appelé dans son discours du prix Nobel un "prétexte de la connaissance", qu'ils peuvent mieux connaître et faire mieux que les résultats générés par des interactions concurrentielles du marché participants, eux-mêmes. Et comme Adam Smith a mis en garde, est nulle part un tel pouvoir réglementaire "aussi dangereux que dans les mains d'un homme qui avait la folie et assez présomption de se croire capable de l'exercer."
Il n'y a pas moyen de savoir la quantité optimale de l'argent dans l'économie autre que de permettre aux participants de marché dans le processus d'échange concurrentiel de décider ce qu'ils veulent utiliser comme monnaie - qui a toujours été un produit tel que l'or ou l'argent. Et il n'y a aucun moyen de savoir ce que les taux d'intérêt devraient être autre que de laisser les forces du marché de l'offre et de la demande pour les prêts et les emprunts pour déterminer les taux d'intérêt à travers le processus d'intermédiation financière du secteur privé, sans gouvernement ni ingérence de la banque centrale ou de manipulation.
Le retour à l'étalon-or comme une Constitution monétaire
Enfin, comment pouvons-nous revenir à un fonctionnement et l'étalon-or est réalisable? Sous le gouvernement actuel système monétaire et la banque centrale contrôlée par la méthode la plus simple pourrait être pour l'autorité monétaire de cesser de créer et d'imprimer de l'argent et du crédit. Sur une courte période de temps une estimation assez raisonnable pourrait être faite sur la quantité réelle de la monnaie et le contrôle d'une nation et de dépôts qui sont dans l'existence et dans la circulation liée. Un nouveau rapport légal de rachat pourrait être établi en divisant la quantité totale estimée de toutes les formes de ces substituts de monnaie dans la quantité d'or possédé par le gouvernement et la banque centrale.
Un pays à la suite de cette procédure serait alors, une fois de plus, être à l'étalon-or. Son long terme de maintenabilité, bien sûr, exigerait que le gouvernement et la banque centrale pour suivre les «règles du jeu» qu'aucune augmentation de la quantité de substituts de monnaie peut être créé et mis en circulation, sauf si il y a eu des dépôts nets de or dans les comptes de personnes avec d'autres institutions bancaires et financières.
Pouvons-nous faire confiance aux gouvernements et les banques centrales de se conformer à ces règles du jeu? Les tentations de violer leur restera toujours forte dans un environnement politique dominé par des idéologies de la redistribution des richesses, le favoritisme d'intérêt spécial, et de nombreuses demandes de «droit».
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Il est pourquoi le véritable objectif à long terme de la réforme monétaire devrait être la dénationalisation de l'argent. Autrement dit, la séparation de l'argent de l'Etat en mettant fin à des banques centrales, tout à fait. Dans sa place émergerait, la banque libre privé compétitif - de l'argent et de la banque système véritablement axé sur le marché.
RépondreSupprimerMais néanmoins, dans l'intervalle, un étalon-or peut servir comme une forme de «constitution monétaire" fixer des limites formelles et d'imposer des restrictions sur les membres du gouvernement qui voudrait abuser de la presse d'impression monétaire, similaire à la façon dont les constitutions politiques, même imparfaitement, sont destinés à limiter les abus des monarques de puissance-convoiter et les majorités de pillage dans le fonctionnement des démocraties.
Si elle échoue, elle ne devrait pas être faute d'avoir essayé. Et un étalon-or peut être l'une des réformes institutionnelles positives dans la tentative et sur la voie à un système monétaire de marché totalement libre.
http://www.zerohedge.com/news/2015-12-14/paper-money-versus-gold-standard
Pourquoi le diamant a t-il moins d'attrait que l'or qui est pourtant moins cher ?
SupprimerLa laine de bison: 1,26 €/gr
Palladium: 20 €/gr
Rhodium: 29 €/gr
Or: 30 €/gr
Platine: 36 €/gr
Héroïne: 40 €/gr
Safran: 50 €/gr
Cocaïne: 70/80 €/gr
Méthamphétamine: 71 €/gr
Corne de rhinocéros: 79 €/gr
LSD: 2177 €/gr
Plutonium: 29,02 €/gr
Painite: 6530 €/gr
Taaffeite: 1814/14512 €/gr
Trtium: 21768 €/gr
Médicament ILARIS: 79640 €/gr
Diamant: 35000/355000 €/gr
Diamant rouge: 5 millions €/gr
Californium 252 : 19590 millions €/gr
Antimatière: 45300 milliards €/gr
parce que le diamant se voit moins et fait 'toc' alors que même le plaqué-or fait 'riche' !
Marine Le Pen va récolter ce que l'UE a semé
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden sur 14/12/2015 13:50 -0500
Submitted par Raul Ilargi Meijer via le blog automatique de la Terre,
Beaucoup de gens acclament maintenant plus que hier Marine Le Pen et son (FN), le parti du Front national n'a pas obtenu de prendre le pouvoir en toutes régions dans les élections régionales en France. Ils devraient réfléchir à nouveau. FN ne obtenir beaucoup plus de voix que la dernière fois, et, si elle sera un peu déçu après les résultats de week-end dernier, il est exactement comme Le Pen dit elle-même: «Rien ne peut nous arrêter."
Et au lieu de se lamenter sur cela, ou même ne pas croire, il pourrait être beaucoup mieux pour essayer de comprendre pourquoi elle est droite. Et cela n'a rien à voir avec des comparaisons à Donald Trump. Ou peut-être qu'il fait, en ce que dans la même façon que les profits Trump de la perception - Les gens of- the défaillances systémiques de Washington, Le Pen est aidé en selle par Bruxelles.
Les seuls politiciens - remaining- en Europe qui sont critiques de l'UE sont sur l'aile droite - extreme -. Le spectre entier de la politique autres que eux ne remet pas en cause même plus Bruxelles. Qui est au moins un peu étrange, parce que le soutien de l'UE dans la rue est loin d'être aussi forte que chez les politiciens, comme référendum après référendum continue à montrer.
Certains d'entre eux ont rejeté (plus de puissance à) l'UE pure et simple, comme celui au Danemark la semaine dernière, tandis que d'autres le font indirectement, en votant pour les partis anti-UE - Voir France, cette dernière et weekend -. Il y a une longue liste de ces votes remontant à travers les années, avec par exemple la France et la Hollande dire non à la Constitution européenne en 2005, qui a conduit à de nombreux pays de reporter leurs propres votes sur le sujet.
Bruxelles avait une réponse, cependant: en 2007, la proposition de Constitution a été converti en un traité (de Lisbonne), qui dit essentiellement la même, mais dans un ordre différent, et seulement par des amendements aux traités existants. Il était toujours de nouveau rejeté dans un référendum en Irlande, mais dans un deuxième vote en 2009 a accepté.
Surtout, le passage de la Constitution au traité signifiait l'unanimité parmi les pays de l'UE a été plus nécessaires; la majorité était assez bon. Et le tout a été poussé à travers indépendamment de ce que les gens pensaient - et voté.
Le tableau d'ensemble est clair: les Européens en général sont très bien avec l'UE, mais quand il essaie d'attraper plus de pouvoirs souverains, ils disent non, maintes et maintes fois. Seulement être annulée par leurs propres politiques nationales ainsi que Bruxelles. Leurs soucis, les frictions et les arguments ont un seul chemin à parcourir: l'extrême droite. Tous les autres courants politiques sont unis dans un soutien sans faille pour l'UE, essentiellement, peu importe quoi.
Mais les gens voient ce qui se passe en Grèce, et avec les réfugiés, ils voient la façon dont l'Union traite la question la Russie et l'Ukraine, ils voient les nouveau genre plans impies avec la force de la frontière de l'UE, et ils ne veulent pas Bruxelles pour marcher sur leur la souveraineté de la nation respective plus que ce qu'il a déjà.
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Ils ne trouvent aucune résonance pour leurs soucis à la maison, cependant, autre que des gens comme Le Pen, Nigel Farage et les «parias politiques» similaires. Et donc voilà où ils vont tourner. Toutes les Le Pen doit faire est d'attendre pour l'économie d'empirer, et il sera, et elle peut récolter ce que l'UE a semé.
RépondreSupprimerDès que Bruxelles menace de se transformer en un organisme autoritaire, quelque chose qu'il a déjà fait bien évidemment, les gens vont résister.
L'Union européenne aurait pu être une organisation très utile et apprécié, avec de nombreux avantages évidents pour les peuples d'Europe. Mais dès qu'il outrepasse ses limites, il est destiné à s'auto-imploser. Ce processus et le résultat est devenu inévitable, parce que l'Union a de facto se nommé l'arbitre de ces limites.
Les hauts seigneurs non élus de Bruxelles sont devenus trop gourmand, et trop irresponsable, et ils finiront par atteindre exactement le contraire de ce qu'ils prétendent l'UE signifie: ils mèneront le continent en conflit, armé et autrement.
Le nouveau concept de la force de la frontière est le parfait exemple de ce qui va mal en Europe. Un groupe de la plus grande, et donc plus puissantes nations de l'UE, ont convenu d'un lundi pluvieux après-midi qu'ils vont mettre en place une sorte de force de la police militaire qui «protéger» les frontières des pays membres, même si ces pays n ' t demander cette protection et / ou carrément résister.
Ceci est évidemment dirigée principalement vers la Grèce pour l'instant, et l'Union européenne pense qu'il peut faire avec la Grèce comme il lui plaît. Mais demander à un citoyen allemand, français ou britanniques si elles veulent entrée de leur pays contrôlées et décidées par un groupe para-militaire des étrangers, et ils vont penser que vous avez perdu. Mais cela est l'idée derrière la force de la frontière: enlever la souveraineté des nations. Commencez par le plus petit et plus faible et votre façon de travailler.
Que cela a des implications juridiques intéressantes, comme je l'ai écrit récemment en Grèce est un pays sous occupation, que peu de gens semblent même contempler, va ajouter à l'animation.
Il y a 28 constitutions séparées dans l'UE. En vertu de laquelle d'entre elles est-il légal pour un gouvernement de renoncer à la maîtrise de ses propres frontières ? Dans combien de ces pays ce que ce sera fait appel à leur propre version de la Cour suprême ? Et combien de ces tribunaux diront: bien sûr, la souveraineté est bien surfaite toute façon !?
L'UE aurait pu être une union utile. Pas tous les contrôles aux frontières, pour une chose, pas tous ces formulaires à remplir tout le temps. Mais avec l'avènement de l'euro, les choses sorti de la main. Vous pouvez avoir une union de fonctionnement entre des entités très différentes. Mais aussi longtemps que ces différences sont reconnues et respectées.
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L'euro est une idée qui cherche à nier les différences entre les personnes (s) de l'Europe, il cherche à prétendre que l'Allemagne est la Grèce. À cette fin, il doit alors enlever la souveraineté de toutes les nations. L'euro ne peut pas exister sans cela. Pour fonctionner correctement en tant que monnaie, il a besoin d'une union bancaire, une union fiscale. Et puis à partir de là.
RépondreSupprimerCe sont toutes des choses que personne bien pensé ou parlé avant qu'il ne soit introduit. Peut-être parce que tout le monde savait que ces choses seraient inacceptables pour les peuples européens. Et maintenant, l'euro est ici, et toutes ces choses devra être poussé à travers toute façon. Bruxelles pense qu'il a l'expérience de beaucoup pousser les choses à travers dépit de la volonté du peuple, alors celui-ci sera trop de travail.
Mais tout ce qu'il faut est pour quelqu'un de le souligner dans un langage clair aux gens. Malheureusement, les seuls qui font aujourd'hui le raccorder avec la résistance aux réfugiés, aux sociétés ouvertes, à toutes sortes de choses qui ont rien à voir avec la raison pour laquelle l'euro est un échec.
Pendant ce temps, comme je l'ai écrit à maintes reprises, l'UE est ce corps que les auto-sélectionne pour sociopathes dans sa hiérarchie, son auto étant antidémocratique. Ce que peu de gens reconnaissent que Il a également auto-sélectionne pour les goûts de Marine Le Pen.
Et nous avons encore rien vu. Comme je l'ai déjà dit, tous les Le Pen a à faire est de l'économie de pin pour les fjords. Et en regardant les produits actuels abattage, cela pourrait se produire avant que quiconque puisse le chercher dans le dictionnaire.
Et Angela Merkel, après avoir poussé de côté l'accord de Dublin sur les réfugiés et les portes ouvertes allemands, veut maintenant les refermer. Comme si cela fonctionne. L'UE veut maintenant remettre Grèce des dizaines de millions d'euros juste pour garder les réfugiés dans le pays.
Mais ce qui arrive quand la projection récente d'un autre 3 millions d'arriver en Europe en 2016 se concrétise? Qu'advient-il lorsque les réfugiés ne les écoutent pas les diktats de Berlin / Bruxelles ? On peut seulement imaginer le chaos. L'UE a offert à la Turquie € 3 + milliards de les y maintenir, mais le président Erdogan ne ressemble pas le genre de gars que vous pouvez faire une affaire avec et attendre de lui de vivre à la hauteur.
L'Europe risque sérieusement d'être inondé avec les gens, alors que son économie se contracte comme un jersey de coton dans une tempête de pluie d'automne. Et qui va se pencher sur les dictateurs en herbe à Bruxelles de l'aide alors ? Nations finiront par décider de décider pour eux-mêmes. Et parce que tous les politiciens, mais l'extrême droite ont soutenu sans équivoque l'Union depuis de nombreuses années, devinez qui va venir à dîner ?
Aujourd'hui, les victimes sont les Grecs et les réfugiés. Et tous ceux dont les gouvernements de réduire leurs prestations à «équilibrer leurs budgets». Demain, ces budgets doit être équilibrée dans toute l'Europe, dans cette ligne de pensée.
Comme nous assistons les produits plongent, et le krach qui doivent nécessairement suivre, il devient difficile de voir comment des pays comme l'Italie, l'Espagne, même la France, pourraient échapper ressemblant à la Grèce un ensemble beaucoup plus en 2016. Et puis, l'Europe sera de retour là où il l'avait laissé il y a 70 ans.
http://www.zerohedge.com/news/2015-12-14/marine-le-pen-will-reap-what-eu-has-sown
Si le choix d'un pays de dictature-monarchique a été choisi, ce n'est pas pour rien ! Car, ce qui a été pondu de ce cloaque n'est rien d'autre qu'une dictature où PERSONNE du peuple n'a élu qui que ce soit et ni PERSONNE du peuple n'est appelé à donner son avis !
SupprimerVoir aussi:
http://huemaurice5.blogspot.fr/2015/04/la-ruine-des-elections.html
Ceci est à quoi une crise financière resssemble
RépondreSupprimerPar Michael Snyder,
le 14 décembre 2015
Seulement au sein de ces derniers jours, trois grands haut rendement fonds ont complètement implosé et panique se répand rapidement à Wall Street. Fonds gérés par la troisième Avenue gestion Pierre Lion Capital Partners ont suspendu le versement aux investisseurs, et un fonds géré par Lucidus Capital Partners a liquidé la totalité de son portefeuille. Nous assistons à une course pour les sorties ne ressemble à rien que nous avons vu depuis le grand krach financier de 2008, et beaucoup de ceux qui choisissent d'hésiter vont finir par faire totalement anéanti. Dans le cas où vous vous demandez, c'est ce qui ressemble à une crise financière. En 2008, les autres marchés boursiers mondiaux a commencé à s'écrouler, puis obligations pourries ont commencé à se bloqueret enfin des actions américaines suivirent. Le modèle exact même joue encore une fois, et le carnage que nous avons vu jusqu'à présent est que la pointe de l'iceberg.
Depuis la fin de 2009, un high yield bond ETF que j'ai regarder très étroitement connu comme JNK a été la négociation dans une fourchette comprise entre 36 et 42. J'ai attendu tout ce temps pour qu'il puisse plonger au-dessous de 35, parce que je savais que ce serait un signe que la prochaine crise financière majeure était imminente.
En septembre, il a clôturé aussi bas que 35,33 à un moment donné, mais ce n'était pas le signal que je cherchais. Enfin, début de la semaine dernière JNK éclaté en dessous 35 pour la première fois depuis la dernière crise financière et puis il a juste gardé en baisse. J'écris ceci, JNK a chuté tout le chemin à 33,42 et Bloomberg rapporte que de nombreux gestionnaires de liaison "prédisent plus carnage pour les investisseurs à haut rendement"...
Gestionnaires de liaison haut prédisent plus carnage pour les investisseurs de rendement élevé au milieu d'une déroute du marché qui a forcé au moins trois crédits la semaine dernière à ralentir.
Lucidus Capital Partners, un fonds de rendement élevé, fondé en 2009 par d'anciens employés de Caxton Associates de Bruce Kovner, a déclaré lundi qu'il a liquidé son ensemble du portefeuille et les plans pour retourner le $ 900 millions qu'il a sous gestion aux investisseurs le mois prochain. Fonds gérés par la troisième Avenue Management et Pierre Lion Capital Partners n'ont cessé de retour comptant pour les investisseurs, après que les clients a cherché à tirer trop d'argent.
Quand il dit que les entreprises « ont cessé de retour comptant pour les investisseurs », ce qui signifie que beaucoup de ces investisseurs seront chanceux pour obtenir quelques cents sur le dollar, quand tout est dit et fait.
Comme je l'ai dit, maintenant que la crise a commencé, ceux qui vont perdre le plus sont ceux qui hésitent.
Et il suffit de cocher quelques-unes des très grands noms que sont "l'avertissement de plus de mal à haut rendement à venir"...
Scott Minerd, chef des placements mondiaux officier au Guggenheim Partners, prédit 10 à 15 pour cent des fonds de "junk bond" peuvent faire face à des retraits élevés comme des investisseurs plus soucier de récupérer leur argent. Il se joint à des gestionnaires de fonds Jeffrey Gundlach, Carl Icahn, Bill Gross et Wilbur Ross en avertissement de plus de mal à haut rendement à venir.
Dans ce type d'environnement, la réserve fédérale devra être complètement fou pour relever les taux d'intérêt.
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Malheureusement, cela semble être exactement ce qui va se passer.
RépondreSupprimerSi la Fed augmente les taux, qui va rendre la dette entreprise par défaut encore plus susceptibles et fera certainement baisser les obligations à rendement élevé encore plus loin...
Des taux plus élevés pourraient faire défaut d'obligations de sociétés plus susceptibles et les investisseurs sont déjà écoper hors du secteur, en tirant de $ 3,8 milliards sur les fonds à haut rendement dans la semaine s'est terminée le 9 décembre, le plus grand déplacement dans 15 semaines. Le rendement effectif sur les obligations à haut risque aux États-Unis est maintenant de 17 pour cent, le plus haut niveau en cinq ans, selon les données de la Bank of America Merrill Lynch.
Une pléiade de grands noms mettent en garde que la Fed s'apprête à faire une erreur tragique. L'un d'eux est James Rickards...
"La Fed aurait dû soulever des taux d'intérêt en 2010 et 2011, et si ils l'ont fait, en fait, ils seraient en mesure de les couper aujourd'hui, a déclaré James Rickards, un porte-parole de la Banque centrale et le Chef stratégiste global à West Shore fonds. "La Fed deest sur le point de commettre une erreur historique qui peut-être être inclus avec les erreurs, qu'il a fait en 1927 et 1929. En soulevant en faiblesse, qui en résultera vraisemblablement une récession. »
En 2015, nous avons déjà vu la chute des stocks partout dans le monde entier. Entrée en décembre, plus de la moitié des 93 index plus grands marché boursier au monde ont diminué de plus de 10 pour cent l'année à ce jour, et certains d'entre eux étaient en baisse par autant que 30 ou 40 pour cent. À ce stade, les conditions sont absolument parfaites pour un effrayant effondrement des marchés américains, et la réserve fédérale s'apprête à verser de l'essence sur le feu.
N'importe qui qui dit que « rien ne se passe » est soit complètement désinformé ou est totalement fou.
J'aime comment James Howard Kunstler a résumé ce que nous sommes actuellement confrontés...
Actions barfed près de 4 % la semaine dernière, le crédit est en ruine (personne ne veut prêter), obligations à haut risque sont Tank (comme valeurs par défaut à tisser), monnaies du monde entier sont brisent, fonds spéculatifs ne peut pas donner aux investisseurs leur dos d'argent, est de « liquidité » AWOL (pas d'acheteurs pour janky securities), matières premières sont en chute libre, huile va si profondément dans le sous-sol de valeur que l'industrie ne peut jamais récupérer, l'évaporation de commerce international, le Président fait tout son possible en Syrie pour commencer la troisième guerre mondiale, et le monstre appelé mondialisme est couché dans son cercueil avec un pieu pointé sur son cœur.
Les marchés financiers maintenus ensemble beaucoup plus longtemps que beaucoup de gens pense qu'ils le feraient, mais maintenant ils sont enfin venir dehors à craquer.
(suite en dessous:)
Aller de l'avant, les « gagnants » vont être les personnes qui tirent leur argent sur le plus rapide. Cela est particulièrement vrai pour les fonds de risque élevé comme les trois qui vient a implosé. Si vous hésitez, vous pourriez finir par tout perdre.
RépondreSupprimerEt comme cette ruée vers les sorties s'accélère, les vendeurs vont considérablement plus nombreux que les acheteurs, et cela va pousser les prix vers le bas à un rythme très rapide. Nous allons entendre beaucoup sur un « manque de liquidité » dans les jours à venir, mais la vérité est que ce que nous allons vraiment regarder est un bon panique démodé.
http://theeconomiccollapseblog.com/archives/this-is-what-a-financial-crisis-looks-like
Ce tapage de 'crise' serait que des investisseurs y perdraient des billes tandis que d'autres les ramasseraient. C'est pourquoi que cette merde soit peinte en bleue ou en rose ne va pas changer grand chose pour le peuple consommateur-travailleur-contribuable. Voir par exemple le prix (147$ en 2008) du baril à 35$ aujourd'hui (prix d'y a 11 ans), mais... qu'en est-il du prix à la pompe ?
SupprimerLe peuple est escroqué de tous les côtés !
Plusieurs témoignages vidéo d'attaque sous fausse bannière San Bernardino:. 01 % plan pour plusieurs indicateurs fausses pour « justifier » la loi martiale, arrêt « truthers » ???
RépondreSupprimerle 13 décembre 2015
par Carl Herman
chapeau de conseils : tous les militants faisant et en communiquant les vidéos suivantes !
Mettez-vous à la place du mal. 01 % pendant quelques instants. Comment vous roulez, c'est avec Les habits neufs de l'empereur crimes évidents :
- Guerres illicites et mensonge-a commencé .
- Crimes contre l'humanité pour une politique permanente de la pauvreté qui a tué des êtres humains plus 400 millions seulement depuis 1995 (~ 75 % des enfants ; plus de décès que de toutes les guerres dans l'histoire de la terre).
- Ce que l'on appelle « l'argent » qui est en fait la dette qui crée l'accélération et impossible à rembourser la dette totale. Le. 01 % masquer ~ $ 30 billions dans des paradis fiscaux.
- Destruction de presque tous les droits légalement garanti dans la déclaration des droits américaine dans la Constitution des États-Unis, ainsi que dans l'inversion orwellienne du gouvernement limité.
- « Couvrant les crimes » avec des mensonges de la presse corporative.
- Ces crimes coûts chaque année tué des millions, milliards lésés et billions pillées, ayant des antécédents récents continuant de mensonge littérales siècles d'US - commença guerres d'agression impliquant presque toutes les familles de deux horribles guerres mondiales pour l'empire colonial.
A l'image de la façon dont le. 01 % rouleau ?
OK, maintenant embrasser le présent que les entreprises médiatiques n'est plus peut « couvrir » vos crimes:
- Selon un sondage de 2007 par le Pew Research Center, la majorité du public américain voit les grands médias nouvelles organisations américaines comme politiquement biaisées, inexactes et insensibles. Parmi ceux qui utilisent l'Internet, le rapport de deux-tiers que les nouvelles grands médias n'aime pas les gens, sur qu'ils signalent, 59 % disent que la nouvelle est inexacte, 64 % Voir biais et 53 % résumer leur point de vue sur l'actualité de grands médias comme, « ne pas se lever pour l'Amérique ».
- Dans leur sondage de 2009, "seulement 29 % des Américains disent qu'organismes de presse généralement informez-vous directement, tandis que 63 % indiquent que les nouvelles sont souvent inexactes."
- Sondage de Gallup 2014 a enregistré la plus faible jamais nous la confiance du public dans les reportages exacts du journal télévisé de la presse corporative : 18 %.
- A juin 2010 sondage Rasmussen trouvé 66 % des électeurs « en colère » dans les médias, avec 33 % « très en colère. » Rasmussen a également trouvé 70 % « en colère » aux politiques actuelles du gouvernement fédéral.
- La plus récente sondage Gallup en 2012 montre la méfiance des américains à un niveau record en matière de communication de « médias de masse — tels que journaux, TV et radio ": 60 % ont"pas beaucoup"confiance et confiance ou"pas du tout"aux « de la nouvelle déclaration totalement, exactement et assez. »
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Vous avez cette image, ainsi que comment vous .01%-ers roll ?
RépondreSupprimer- voir clip sur site -
Si vous demandez vos conseillers quoi faire. Vous recevez quelque chose comme ceci :
- voir clip sur site -
"Votre spécialisation : la chute des médias corporatifs et resituer des médias indépendants, rapports complets faits signifie que votre deception Les habits neufs de l'empereur est vouée à finir. Orientée données de médias que votre propagande est remplacée par la vérité rend ce résultat tout à fait certain. Ce qui n'est pas certain, mes seigneurs, est lorsque le point de basculement se produira ; mais quand cela arrive, votre règne du mal belle prendra fin dès que quoi que ce soit d'autre qui claquent au sol quand à bout-over. En résumé respectueuse, mes maîtres, vous êtes baisé. La seule façon d'éviter votre disparition est de gagner une fin de partie rapide de plusieurs attaques de terroristes sous fausse bannière à mettre en œuvre la loi martiale, que vous avez toujours rêvé pour justement contrôler votre sheeple. Cette ouverture pourrait gagner assez de soutien parmi les ignorants à diaboliser "truthers" (n'en déplaise à votre magnificence démoniaque avec ce terme, vos Seigneuries), jettent leurs ânes des camps de la FEMAet mettre fin à leur vie à votre plaisir sadique. La grêle Hydra. Salut Satan."
Vous allez avec les conseils et accélérer les attentats sous fausse bannière. Vous embauchez "acteurs de la crise" de transmettre votre ordre du jour ; payé des personnes étant donné les scripts pour lire les médias à s'assurer que le message que vous avez l'intention est livré. Malheureusement pour vous, duper délice s'avère au cours des entrevues : sourires cachés et apparents cette répression professionnelle reconnaissent instantanément comme tromperie.
Votre dernière tentative est San Bernardino. Vous espérez que le public ne peut pas voir les défauts évidents suivants dans votre sous fausse bannière. Vous initier des chiens d'attaque pour faire dérailler ce qui vous insulte comme "truthers".
vidéo de 5 minutes: trois témoins de la San Bernardino tir tout témoignage il y avait trois tireurs habillés en équipement militaire:
- voir clip sur site -
vidéo de 30 secondes: apparemment même acteur de crise apparaissant quatre fois:
- voir clip sur site -
vidéo de 1 minute: entreprises médiatiques "témoins experts" se tireurs comme des « acteurs » quatre fois :
- voir clip sur site -
vidéo de 3 minutes: crise apparente acteur sans tristesse et montrant duper délice après aurait été sa mère a été tuée dans la fusillade !
- voir clip sur site -
vidéo de 3 minutes de We Are Change nous rappelant que Anderson Cooper (donnant l'interview ci-dessus) a été "formé" par la CIA dans le journalisme et avec zéro cursus universitaire en journalisme :
- voir clip sur site -
vidéo de 11 minutes: deux acteurs de la crise apparente souriant presque instantanément en delight duper lors d'un entretien :
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- voir clip sur site -
RépondreSupprimervidéo de 5 minutes: maire de San Bernardino montrant des dizaines de sourires brefs dans le plaisir évident de duper :
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Remarque : je fais toutes les affirmations factuelles comme un Office national de professeur certifié gouvernement américain, économique, et l'histoire, avec toutes les revendications factuelles économie, réception nulle réfutation puisque j'ai commencé à écrire en 2008 chez les Advanced Placement macroéconomie enseignants sur notre forum de discussion des audiences publiques de ces articles, et conférences internationales. J'invite les lecteurs à donner leur voix civique avec les faits complets plus forts plus importants pour bâtir un avenir meilleur. Je mets au défi les professionnels, des universitaires et des citoyens d'ajouter leur voix au profit des habitants de la terre tous les.
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Carl Herman est un National Board certifié enseignant du gouvernement américain, l'économie et l'histoire ; aussi accrédités en mathématiques. Il a travaillé avec les deux partis politiques américains plus de 18 ans et les deux sommets des Nations Unies avec Hall d'entrée du citoyen, résultats, pour les États-Unis intérieure et de politique étrangère mettre fin à la pauvreté. Il peut être contacté à Carl_Herman@post.harvard.edu
Remarque : Examiner.com a bloqué l'accès du public à mes articles sur leur site (et d'autres dénonciateurs), donc certains liens dans mes travaux antérieurs sont bloqués. Si vous souhaitez chercher ces articles de qu'autres sites peuvent avoir republié, utiliser des mots dans le titre de l'article dans le lien bloqué. Ou, allez sur
http://archive.org/web/paste le lien a expiré dans la zone, cliquez sur "Parcourir l'histoire", puis cliquez sur les captures d'écran de cette page pour chaque fois qu'elle a été capture d'écran et transféré à webarchive. Je vais mettre à jour comme « hobby temps » le permet ; y compris mes premiers travaux de 2009 à 2011 (bloqué les pages de l'auteur : ici, ici ).
http://www.washingtonsblog.com/2015/12/multiple-video-evidence-san-bernardino-false-flag-attack-01-plan-multiple-false-flags-justify-martial-law-arrest-truthers.html#more-52514
Twitter a dû avertir ses utilisateurs qu'ils pourraient ont été attaqués par des « Hackers parrainés par l'État »
RépondreSupprimer14 décembre 2015
Le quotidien Sheeple | www.TheDailySheeple.com
Pourquoi se soucier des pirates typiques lorsque le gouvernement est piratage tout le monde ? C'est au point que Twitter est d'avoir avertir ses utilisateurs que "parrainé par l'état des hackers" peut-être" J'ai essayé d'obtenir des données sensibles sur leurs comptes, » rapporte Reuters.
“Une organisation qui dit qu'il a reçu l'avis, un Coldhak appelé à but non lucratif établie à Winnipeg, a déclaré que l'avertissement de Twitter est venu le vendredi. L'avis dit que les attaquants peuvent ont tenté d'obtenir des informations telles que « adresses e-mail, les adresses IP et/ou numéros de téléphone ».
Compte Twitter de Coldhak, @coldhakca, retweeted rapports d'un certain nombre d'autres utilisateurs qui ont dit qu'ils ont reçu l'avis. Coldhak et les autres utilisateurs n'a pas indiqué pourquoi ils peuvent avoir été épinglées.
C'est la première fois que le site a eu pour avertir les gens que du gouvernement pourrait être piratage de leurs comptes.
Les Facebook et Google ont dû émettre des avertissements similaires à leurs utilisateurs dans le passé.
Bien sûr, si vous faites quoi que ce soit en ligne, ne sont pas vous déjà être piraté par le gouvernement ?
http://www.thedailysheeple.com/twitter-had-to-warn-its-users-they-might-have-been-attacked-by-state-sponsored-hackers_122015
Voir aussi:
Supprimerhttp://lejournaldusiecle.com/2013/02/14/lue-va-financer-des-agents-pour-contrer-les-eurosceptiques-sur-interne
Idem pour les faux sites d'entraides au bricolage, jardinage, 'forums' auto/moto, etc qui n'ont rien à voir avec le titre qu'ils se donnent mais sont là pour désinformer, désorienter, donner de mauvais conseils sous 50 pseudonymes différents pour faire croire à l'abondance de lectrices et lecteurs !
Attention aussi (lors de l'inscription) à l'obligation de se présenter !! Nom, prénom, adresse, n° Tel, marié ? des enfants ? noms, âges, écoles, religion, vote, etc, etc !!