par Philippe Herlin
26 sept. 2014
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La croissance moyenne en Europe, au Japon et aux États-Unis ne cesse de ralentir par rapport aux décennies précédentes, et elle tend autour de zéro, désormais, pour les deux premiers, et de 2% pour le troisième. Pourtant, dans ces pays, l’innovation demeure foisonnante, quantité de nouveaux services apparaissent, de nombreuses startups se lancent et lèvent des fonds, et la recherche scientifique continue de faire des découvertes. Alors pourquoi cette inventivité (qui permet de faire plus et mieux avec moins) ne se traduit-elle pas par de la croissance économique ?
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Il existe, bien sûr, une raison purement économique : le poids croissant de l’État dans l’économie, le montant des impôts et l’accumulation des réglementations qui découragent l’entrepreneur et étouffent l’initiative. Mais poursuivons sur le terrain de l’innovation…
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C’est que l’innovation comporte un inconvénient, formulé par l’économiste Joseph Schumpeter : la "destruction créatrice". Au début, elle rend obsolète des produits qui se vendaient bien, pousse à la faillite des entreprises trop sûres d’elles-mêmes, et détruit de l’emploi. C’est le processus normal du capitalisme, d’une société où règnent les libertés économiques. Seule cette voie permet l’enrichissement d’un pays, la hausse du niveau de vie et le plein emploi, par delà des crises de croissance.
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Cependant, de plus en plus, l’État est tenté d’intervenir pour protéger les entreprises existantes. On l’a vu avec les banques lors de la crise de 2008, et cela continue aujourd’hui avec l’action des banques centrales qui maintiennent leurs taux au plus bas, de façon à faciliter le refinancement du système bancaire. L’État fédéral américain a également aidé General Motors et d’autres grandes entreprises. On le voit aussi avec des innovations de rupture qui font face à la puissance étatique et aux corporatismes comme, par exemple, Uber, qui voit son développement entravé dans de nombreux pays sous la pression des taxis, ou Airbnb, qui voit se dresser devant lui de nombreuses municipalités. Ce type d’alliance entre les grandes entreprises, les corporations et les pouvoirs publics afin de maintenir le statu quo, c’est ce qu’on appelle le "capitalisme de connivence" ("crony capitalism"), qui prend, malheureusement, de plus en plus d’ampleur.
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Mais il y a pire : l’État prétend parfois indiquer le sens du progrès et y consacre des sommes gigantesques, au point de déformer complètement les logiques de marché (effet d’aubaine, course à la subvention, satisfaire l’appel d’offre plutôt que s’interroger sur les besoins du consommateur). C’est le cas du réchauffement climatique et des dépenses astronomiques engagées dans l’éolien, le photovoltaïque, la lutte contre le gazcarbonique. Nous n’aborderons pas le problème de fond ici, mais nous remarquerons tout de même qu’un organisme international a été créé spécifiquement pour prouver ce réchauffement (Intergovernmental Panel on Climate Change, GIEC en France) et que, s’il en venait à invalider cette tendance, il perdrait toutes ses subventions… voilà qui n’encourage pas forcément à l’objectivité scientifique.
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Au final l’État se mêle de plus en plus de l’innovation, de ses applications dans la société comme des directions qu’elle doit prendre, à coup de réglementations et de subventions. Le marché, c’est-à-dire la rencontre des entrepreneurs et des consommateurs, a de moins en moins son mot à dire. Comment s’étonner ensuite que le flux d’innovation n’irrigue plus suffisamment l’économie ?
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RépondreSupprimerQu'en bien même nous bassinerait-on tous les jours que 'pour réussir faut la croissance' (comme pour un enfant de manger de la soupe pour être adulte), dans un monde qui a tout ou presque tout pour presque tout le monde (chômage, déficit, guerre, angoisse), comment peut-on oser de regarder encore l'avenir ?
Pourquoi d'abord de plus en plus de citoyens se désengagent-ils de la politique, sinon qu'ils l'a trouvent merdique. Chacun est présenté comme étant un orphelin placé en famille d'accueil auquel il doit sourire, répondre poliment et faire son travail sans ouvrir sa gueule !
C'est un monde a crétinisme dominant. Des dictateurs qui partent en guerre contre les enfants, les femmes et les hommes au terme de les suprimer en les bombardant, laissant des milliards de fragments d'UA au sol pour tuer tout le monde jusqu'à l'extinction complète !
Alors, après çà, parler de croissance...
Lavrov: bloc occidental dirigé par Washington rejette principe des Nations Unies que tous les Etats sont égaux
RépondreSupprimer27 Septembre, 2014 18:53
Le bloc de l'Ouest dirigé par les États-Unis rejette le principe de l'égalité des Etats souverains garantis par la Charte des Nations Unies, tout en défendant la démocratie sur la scène internationale, a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov aborder l'Assemblée générale.
"Les États-Unis dirigée par alliance occidentale, tout en agissant en tant que défenseur de la démocratie, la primauté du droit et droits de l'homme dans les différents pays, agit sur la scène internationale de la position opposée, en rejetant le principe démocratique du droit souverain des Etats consacré par la Charte des Nations Unies et d'essayer de décider pour les autres ce qui est bon et ce qui est mauvais, "a déclaré M. Lavrov lors de la 69e session de l'Assemblée générale des Nations Unies à New York le samedi.
Le ministre russe des Affaires étrangères a précisé que il y avait une " contradiction de plus en plus évidente entre la nécessité d'une action collective par les partenaires pour produire des réponses appropriées aux défis communs et la route de certains pays pour la domination et de la relance de la mentalité de bloc archaïque basé sur la discipline de caserne et imparfait "nous et eux" logique ".
Lavrov a ajouté que la Russie était prête à faire des compromis et prêt à équilibrer les intérêts seulement fondées sur le respect mutuel et si le dialogue est «honnête, respectueux et égal".
Selon le ministre de la "politique d'ultimatums, la philosophie de la supériorité et de domination" vont à l'encontre des besoins du 21e siècle, y compris la formation d'un "ordre polycentrique et démocratique monde ».
Lavrov a souligné que la création de nouvelles lignes de division en Europe est inacceptable de dire que « personne n'a le monopole de la vérité »et personne ne peut personnaliser les processus mondiaux et régionaux pour "répondre à leurs besoins."
Les efforts conjoints ne peuvent être construits sur les principes de respect mutuel et de considération mutuelle des intérêts, comme cela se fait dans le cadre du BRICS et l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS), du G20 ou le Conseil de sécurité de l'ONU, a déclaré M. Lavrov.
Les résultats de ces efforts peuvent être vus dans l'évolution positive du programme nucléaire iranien et la réussite de la destruction du stock d'armes chimiques syrien.
Selon M. Lavrov, les exemples " à suivre " sont les accords de Minsk du 5 Septembre et 19 qui ont présenté une feuille de route sur les moyens de sortir de la crise ukrainienne et établissent un compromis sur la date de l'accord d'association UE de l'Ukraine entrée en vigueur.
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Il dit que la Russie avait toujours appelé à " harmonisation des projets d'intégration »en Europe et en Eurasie.
RépondreSupprimer"L'accord sur les critères et les délais d'une telle «convergence des intégrations" politiques deviendrait une véritable contribution aux travaux de l'OSCE sur le thème de «Helsinki + 40 '."
"Un autre domaine crucial de ce travail serait de lancer des discussions pragmatiques libres de l'idéologie sur l'architecture politico-militaire dans la région euro-atlantique, de sorte que non seulement les membres de l'OTAN et l'OTSC, mais tous les pays de la région y compris l'Ukraine, la Moldavie et la Géorgie bénéficient de l'égalité et de la sécurité indivisible et ne pas avoir à faire un faux choix: «avec nous ou contre nous», « Lavrov ajouté.
http://rt.com/news/191216-lavrov-us-rejects-principle/
Le double jeu américain avec le Calife
RépondreSupprimer27 septembre 2014
The French Saker
Thierry Meyssan, qui est pour beaucoup le diable, mais pour d’autres, dont nous sommes, un consultant politique généralement bien informé (d’autant mieux informé qu’il refuse de s’informer exclusivement auprès des sources mainstream américano-américaines), confirme dans un article publié par le Réseau Voltaire ce que beaucoup soupçonnaient sans en avoir de preuves précises : les États-Unis, qui se considèrent plus que jamais en guerre contre la Russie, et plus récemment en guerre contre la Chine, s’efforcent d’utiliser les djihadistes présents dans certaines parties de la Russie et de la Chine pour déstabiliser ces deux pays, en les engageant dans des guerres civiles internes épuisantes.
Concernant la Russie, la manœuvre a été entreprise en appuyant les indépendantistes musulmans tchétchènes, lesquels ont multiplié les attentats au cœur de la Russie. Vladimir Poutine ayant rétabli la situation, Washington s’efforce maintenant d’allumer d’autres foyers de guerre civile dans les républiques à forte composante musulmane composant la ceinture occidentale de la Russie.
Concernant la Chine, ce sont les minorités indépendantistes ouïghours, sunnites et turcophones, que l’Amérique s’efforce de dresser contre Pékin. Il ne s’agit de populations très peu nombreuses en regard du milliard et plus constituant l’Empire du Milieu, mais les instrumentaliser pour en faire des éléments insurrectionnels, recourant de façon régulière à des attentats sanglants, ne peut que gêner le gouvernement central. Non seulement la Chine doit dépenser des moyens de protection qui auraient mieux à faire dans les circuits économiques, mais elle passe aussi aux yeux de l’opinion internationale comme une dictature tyrannique vis-à-vis de son peuple.
Dans les deux cas, Washington ne se met pas directement en avant. Il agit en finançant des combattants rattachés à la mouvance du prétendu Califat islamique, qui sont et seront envoyées dans les régions sensibles de la Russie et de la Chine pour y prêcher la guerre sainte. C’est de cette façon d’ailleurs, mais plus discrètement, que les services secrets américains et leurs alliés les États pétroliers du Golfe s’efforcent de déstabiliser les États européens, en suscitant notamment dans la jeunesse des volontaires qui iront se former dans les conflits au Moyen-Orient, puis reviendront en Europe détruire de l’intérieur la civilisation européenne.
Pour recruter ces combattants, les services secrets US n’hésitent pas à faire intervenir les mêmes prétendus Califes, à qui Obama a officiellement déclaré la guerre le 15 septembre, et qu’il est censé combattre. Les bombardements américains ne compromettent pas vraiment la puissance économique acquise au cours des années précédentes par les Califes, par l’entremise de l’Amérique et de l’Arabie Saoudite (il s’agissait alors de leur donner les moyens de subvertir les États et organisations de la région refusant de se mettre au service des intérêts américains : Syrie de Bashar al Assad, Iran et Hezbollah).
Si l’Europe récupérait un minimum d’autonomie diplomatique, elle comprendrait que ses intérêts, tant d’une façon générale que dans la lutte contre les djihadistes, lui commandent de conjuguer ses forces avec celles de la Russie et le cas échéant, de la Chine. Ainsi pourrait commencer à se concrétiser l’axe euroBRICS qui serait, en cas de succès, un nouveau pôle extrêmement puissant, autour duquel pourraient se réorganiser les grands équilibres du monde. Mais dans l’état actuel d’« atlantisation » de l’Europe, cela ne se produira malheureusement pas.
http://www.vineyardsaker.fr/2014/09/27/double-jeu-americain-calife/
Sick Man de l'Europe est l'Europe; C'est la faute des socialistes, progressistes, les Verts et l'euro lui-même
RépondreSupprimerSaturday, 27 Septembre, 2014 19:48
Joel Kotkin écriture de la nouvelle géographie met le doigt en plein sur la tête avec son évaluation Sick Man de l'Europe est l'Europe .
Partout sur le continent, le soutien du public pour une Europe unie a chuté l'an dernier. L'opposition à une plus grande intégration a vu le jour, avec les parties anti-UE obtenir le soutien des pays aussi divers que le Royaume-Uni, la Grèce, l'Allemagne et la France. La nouvelle réalité est incarnée par ascendant extrême-droite politique chiffre de la France, Marine Le Pen, qui est maintenant de premier plan dans de nombreux sondages pour gagner la prochaine élection présidentielle. Ces attitudes suggèrent que l'UE pourrait être délèguée à partir d'un super-État naissant à quelque chose qui ressemble de plus en plus le Saint-Empire romain, un paysage fragmenté de petits Etats sans importance enveloppés dans un Etat unitaire, mais crêpe éphémère. Cela remet en question l'avis de certains Américains, en particulier mais pas seulement sur la gauche, qui voient l'Europe comme un modèle de rôle pour les Etats-Unis Certains experts, comme Paul Krugman, régulièrement décrire l'approche de l'Europe à l'économie, l'environnement et la politique sociale plus éclairé que l'Amérique. La mesure du possible, les progressistes poussent à l'action de style européen dans des domaines tels que la réduction des émissions de carbone et rapidement convertir à l'énergie «verte».
Il y a plusieurs années, l'Allemagne et les Pays-Bas étaient exemplaires par opposition aux PIGS beaucoup-dédaigné (Portugal, Italie, Grèce et Espagne). Mais les taux de croissance allemands ont chuté, passant négative au dernier trimestre, avec la France et l'Italie. Plus stagnation est probable que les coûts de l'énergie contre les surtensions et les principaux marchés d'exportation, notamment en Russie et en Chine, commence à se contracter. Aujourd'hui, «l'homme malade» de l'Europe n'est pas un pays, ou d'une collection de pays; «l'homme malade de l'Europe» est l'Europe. faiblesse de l'économie de l'Europe provient en grande partie de la politique.
L'État-providence fort tant admiré par les progressistes ici a aussi fait de l'Europe un endroit très cher pour faire des affaires. Les taxes et les coûts élevés de bien-être, à long tolérables dans une économie efficace, comme l'Allemagne, ont un moyen de rattrapage avec les entreprises et les pays. Cela a été particulièrement notable après la crise financière; depuis 2008, le taux de chômage a grimpé de 5 points de pourcentage malgré une diminution constante dans les États-Unis. Tout cela suggère que les Américains feraient mieux de se tourner vers l'Europe pour les futures solutions à nos propres problèmes. Cependant attrayant le modèle européen peut sembler à notre classe expert, la réalité sur le terrain montre quelque chose de plus à éviter que embrassé.
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C'est la faute des socialistes, progressistes, les Verts et l'euro
RépondreSupprimerLes socialistes ont ruiné la France et l'Italie. Et l'euro qui était censé être un rassembleur a été tout le contraire. Il est plus que jamais les querelles sur ce qui constitue une politique budgétaire saine. L'Allemagne veut une chose, la France et l'Italie un autre. Certains pays veulent quelque chose entre les deux et d'autres oscillent d'avant en arrière. Plus important encore, ce que les gens veulent, c'est pas ce que les politiciens veulent. Le résultat a été la montée de Marine Le Pen en France, Beppe Grillo en Italie, et la Golden Dawn en Grèce. Les gouvernements instables et des alliances existent dans plusieurs pays. coûts de l'énergie ont monté en flèche en Allemagne grâce à des politiques vertes.
Les entreprises allemandes paient deux fois plus d'énergie que leurs homologues américains. Par exemple, une entreprise industrielle allemande typique de taille moyenne paie 9,14 centimes d'euro par kilowatt-heure par rapport à 4,82 cents / kWh au Texas, selon une étude réalisée par Ecofys, un cabinet de conseil, et l'Institut Fraunhofer pour les systèmes et l'innovation. Les fondateurs du projet Euro pensaient questions fiscales seraient unifier au fil du temps. Lieu de cela, la politique et les politiques ont divergé. Le fait demeure: Aucune union monétaire dans l'histoire qui n'a pas eu aussi une union budgétaire n'a survécu Avec la démographie horribles dans la plupart de l'Europe, impossible de démêler promesses socialistes dans les pays "du Club-Med» et France, et aucun espoir pour une union budgétaire sensible, la situation est sombre. Mon point de vue: Une débâcle zone euro Disruptive attend . Mike "Mish" Shedlock
http://globaleconomicanalysis.blogspot.com
Sénatoriales, mode d'emploi (5/6) : combien coûte le Sénat ?
RépondreSupprimerle 27.09.2014 à 11h02 |
Par Matthieu Jublin
Les critiques sur le coût du Sénat sont-elles fondées ? A quelques jours des élections sénatoriales, le cinquième épisode de notre série de décryptages sur la chambre haute du Parlement s'attaque aux finances de cette institution. Coûte-t-elle plus cher que l'Assemblée nationale ? Combien gagne un sénateur ?
1. Le budget annuel du Sénat, équivalent au coût de 20 kilomètres de voies TGV ?
335 millions d'euros C'est le budget annuel du Sénat pour sa mission institutionnelle ; 95 % de ce budget (316 millions d'euros) sont dédiés au fonctionnement quotidien du Sénat, donc essentiellement aux indemnités et aux frais des sénateurs et de leurs collaborateurs. Ce qui représente environ 920 000 euros par sénateur et par an. L'Assemblée nationale dépense un peu moins : 904 000 euros par an et par député (pour un budget de fonctionnement de 521 millions d'euros).
Ce chiffre n'inclut pas les 12 millions d'euros nécessaires à l'entretien du Jardin du Luxembourg, ni les 18,5 millions d'euros de budget de la chaîne Public Sénat.
2. Les revenus des sénateurs
11 425 € C'est le montant net que touche, tous les mois, un sénateur. Ce revenu se décompose ainsi : 5 388 euros net en indemnités parlementaires et 6 037 euros net en indemnités représentatives de frais de mandat (IRFM). A titre de comparaison, un député perçoit 5 382,40 euros net d'indemnités parlementaires et une IRFM à peu près équivalente à celle des sénateurs (6 412 euros brut).
2 757 € C'est le plafond des revenus (net) qu'un sénateur peut tirer de ses autres mandats électifs.
A ces revenus personnels s'ajoutent :
7 548 euros brut pour l'embauche d'un à trois assistants (convertibles en dons au groupe politique du sénateur) ;
1 330 euros à distribuer au groupe politique ;
Des avantages en nature : un accès gratuit à tout le réseau SNCF en première classe, 40 allers-retours en avion par an jusqu'à leur circonscription et le remboursement de trajets en taxi.
3. Un problème de coût ou de transparence ?
D'autres, plutôt que le coût du Sénat, préfèrent dénoncer son manque de transparence. Pourtant, chaque année, ses comptes sont examinés par la Commission spéciale chargée du contrôle des comptes et de l'évaluation interne (composée de dix sénateurs). Qui plus est, depuis 2013, le budget est certifié par la Cour des comptes, dont le président, Didier Migaud, s'est « réjoui de l'accueil [...] et de la collaboration » du Sénat.
(suite en dessous:)
Des députés avaient pourtant déploré que le Sénat tarde à publier le détail de sa réserve parlementaire de 53,9 millions d'euros. Finalement, ce fut chose faite le 20 septembre. Le Sénat, jusqu'ici, renvoyait la faute sur le ministère de l'économie.
RépondreSupprimerCette réserve parlementaire est une somme versée par l'Etat à chaque parlementaire, pour que celui-ci finance des projets dans sa circonscription. Chaque groupe parlementaire reçoit ainsi 130 000 à 150 000 euros par sénateur. L'Assemblée nationale dispose aussi de sa réserve parlementaire qui, en 2013, représentait plus de 80 millions d'euros. Le détail de son utilisation a été publié en janvier 2014.
La bonne volonté affichée des sénateurs n'a pas non plus empêché le site Mediapart de révéler, le 15 septembre, l'existence d'une enquête sur de possibles « détournements de fonds publics », « abus de confiance » et actes de « blanchiment » au sein du groupe UMP, au profit de sénateurs comme Jean-Claude Gaudin, Gérard Longuet ou Hubert Falco.
http://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2014/09/26/senatoriales-mode-d-emploi-5-6-combien-coute-le-senat_4493579_4355770.html
FBI Says No One Killed à Sandy Hook
RépondreSupprimerAgence publie un rapport de crime montrant "0" meurtres ont eu lieu à Newtown en 2012
par Adan Salazar | Infowars.com
24 Septembre, 2014
A récemment publié les statistiques de la criminalité du FBI semblent curieusement à montrer qu'aucun meurtres ont eu lieu à Newtown, Connecticut, en 2012, malgré les rapports que de nombreux écoliers et membres du corps professoral ont été abattus lors d'une fusillade en Décembre de cette année.
Les données d'un récent rapport du FBI indique zéro meurtres ont eu lieu à Newtown en 2012 /Le 14 Décembre 2012, le monde a regardé avec horreur que les grands médias ont rapporté la mort de 20 étudiants et 6 membres du personnel de la Sandy Hook Elementary School, à Newtown aux mains d'un déséquilibré de 20 ans.
limiers Internet a immédiatement pris à le Web pour assembler des indices indiquant la fusillade pourrait être un événement sous fausse bannière soigneusement scénarisée, semblable aux attaques terroristes 9/11, le principe central est que l'événement serait utilisé pour galvaniser le soutien futur de la législation sur le contrôle des armes à feu. Deux ans plus tard, et des dizaines d'hommes politiques et les groupes de contrôle des armes à feu ont cité l'incident de Sandy Hook comme un prétexte pour restreindre des droits en deuxième amendement des Américains.
L'enquête a pris une tournure bizarre tôt cette année lorsque consultant en sécurité à l'école nationale Wolfgang Halbig a été visité et menacée son domicile par des détectives après il a commencé à présenter sur les incohérences supplémentaires dans le récit de Sandy Hook, qui, selon lui prouver le tir à fabriquer. Parmi 16 questions qui Halbig dit sont clé pour débloquer le mystère de Sandy Hook , Halbig demande: «Pourquoi et pour quelle raison serait le FBI classer les ESES tir quand ils n'ont pas qualifié la fusillade de Columbine qui était également un actif incidents Shooter Mass Casualty (AS / MCI)? " En outre, Halbig a demandé pourquoi aucun hélicoptère de traumatismes n'ont jamais été convoqués à l'école, et pourquoi paramédicaux et les ambulanciers n'ont pas été autorisés à entrer dans le bâtiment pour tenter de sauver des vies. Contrairement au rapport Connecticut, le rapport de la criminalité 2012 FBI pour l'État du Colorado montre que 29 meurtres ont eu lieu dans la ville d'Aurora cette année, un chiffre qui prend en compte le nombre de personnes décédées dans le Théâtre siècle lors de la première du film The Dark Knight de Christopher Nolan.
Rapport de la criminalité 2012 FBI pour l'État du Colorado montre 29 meurtres ont eu lieu cette année. Alors que ceux qui remettent en question la version officielle de Sandy Hook ont été largement marginalisés, propres données du FBI est maintenant étayer leurs théories en apparence.
Que pensez-vous sur les dernières données sur la criminalité du FBI ? Laissez vos commentaires ci-dessous. Consultez dernière interview Alex Jones (25 septembre 2014) avec Wolfgang Halbig, couvrant la dernière dans son enquête de Sandy Hook et les statistiques sur la criminalité du FBI.
http://nmaria9.blogspot.fr/2014/09/fbi-says-no-one-killed-at-sandy-hook.html