- ENTREE de SECOURS -



lundi 15 septembre 2014

L'auto-blocus décidé par la Russie

Auran Derien
Metamag
sam., 13 sept. 2014 05:47 CEST
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Il est probable que les membres de la Commission Européenne ont oublié de lire François Crouzet (De la supériorité de l'Angleterre sur la France, Perrin, 1985)) avant de s'aligner sur les positions américaines dans l'affaire ukrainienne. Les conséquences des guerres du premier Empire sont pourtant intéressantes pour comprendre ce qui va se passer en Russie en lui appliquant des sanctions qui n'ont, dans la plupart des cas, jamais été dissuasives.
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Petit rappel historique
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François Crouzet a montré clairement que le blocus était une politique très fructueuse. D'abord, l'économie européenne du XVIIIème siècle était en bonne partie tournée vers l'extérieur. Lorsque, à la fin de 1807, les pays du continent furent soumis par les britanniques à un blocus maritime rigoureux, cela entraîna un déclin accéléré de quelques industries, comme les toiles, mais la dislocation introduite par la mesure aura finalement des effets positifs à long terme sur le développement de l'industrie continentale. Puis Crouzet établit les avantages de l'auto-blocus imposé par Napoléon, mesure que la Russie reprend face aux Européens.
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L'auto-blocus est en pratique un système protectionniste qui a pour effet de favoriser la croissance des activités les plus menacées par la concurrence étrangère. Au début de XIX ème, l'exemple paradigmatique fut le coton. Il y a un lien incontestable, explique Crouzet, entre la prohibition des marchandises anglaises et le boom de la filature mécanique du coton qui commença en 1806. L'auto-blocus sauva aussi l'industrie du coton de la Suisse tout comme celle de la Saxe.
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Vers 1800, la suprématie de l'Angleterre pastoralisait les pays situés dans son orbite. L'Europe était menacée par le sort de l'Inde. A laisser faire le dominant, personne ne pouvait entrer en concurrence. Il en est exactement de même aujourd'hui où la finance anglo-saxonne pastoralise les pays, zones et continents. Avec l'auto-blocus russe, c'est une aide imprévue qui surgit en faveur des nouvelles élites de ce pays.
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Vers un effondrement de l'Europe
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Le blocus anglais de 1807 avait touché les activités portuaires. Aujourd'hui, le blocus européen va réduire la voilure de certaines entreprises russes, par exemple le groupe Rosnef (pétrole) supprime un millier de postes de cadres. Mais le désastre s'abat sur le continent. Le Finlandais Valio commence à diminuer son personnel ; les Espagnols ont signalé que toutes les exportations directes de viandes et de fruits et légumes en particulier affectaient les provinces d'Almería, Murcia, Valencia et Cordoba. Non seulement les ventes directes chutent mais aussi celles destinées à d'autres pays européens qui les transforment en d'autres produits avant de les exporter en Russie. L'embargo d'un an sur les produits alimentaires occidentaux causera aussi un préjudice de centaines de millions d'euros aux fermiers français producteurs de porc et de fromage. Quand au Comité oriental de l'économie allemande (Ost-Ausschuss der Deutschen Wirtschaft - OADW) son service de presse a déclaré que « d'ici la fin de l'année, les exportations vers la Russie pourraient chuter de 20% à 25%. Cela affecterait près de 50.000 emplois en Allemagne ».
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Le premier ministre anglais, a déclaré qu'il convenait d'exclure la Russie du système de paiement Swift. S'il est clair que les perturbations immédiates sont importantes pour la Russie, car elle devrait vendre sans être payée, par exemple pour le gaz qu'elle fournit à l'Europe, il n'est pas douteux que la Russie, comme le fit l'Allemagne après que divers milieux financiers lui eurent déclaré la guerre en 1933, créera d'autres circuits avec d'autres partenaires. Le lien Chine-Russie se renforce. Les deux pays ont créé une commission intergouvernementale pour la coopération d'investissement qui a déjà plus de 30 projets à l'étude. Et la liste des pays qui souhaitent coopérer avec la Russie ne cesse de s'allonger: la Turquie et l'Amérique du Sud, où Poutine est allé rencontrer les principaux dirigeants, mais aussi le Maroc puisque le Roi doit se rendre en Russie à l'automne, sans oublier l'Etat d'Israël.
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Des janissaires placés à la direction de l'Europe
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La géographie économique de l'Europe se trouve à un tournant: elle va se transformer durablement. Des zones industrielles vont décliner, mais par contre en Russie une activité agricole et industrielle va démarrer car l'auto-blocus russe aura un effet positif sur son industrie. Le temps des bolchéviques et de la planification totale a passé. Depuis 1990, une nouvelle élite monte. Une partie de ses membres potentiels pliait sous la tyrannie installée à l'époque de Boris Eltsine entre 1991 et 1999. Poutine a bloqué le processus de pillage. Cette mesure protectionniste permettra le remplacement de beaucoup d'importations par des produits russes, en même temps que, pour les activités difficiles à créer en Russie, de nouveaux circuits d'échange apparaîtront, notamment avec les BRICS et divers pays d'Amérique latine. L'Europe est condamnée. La technologie chinoise ne laissera aucune chance de rattrapage dans les années à venir. La chute peut être définitive.
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L'effondrement européen
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Il est difficile de pronostiquer les délais nécessaires au redéploiement Russe. Il est par contre facile d'observer l'effondrement européen. Tout s'écroule à un rythme croissant, sous les regards vides des membres de la Commission européenne. A la question de savoir pourquoi les membres de la Commission sont si ignobles, Paul Craig Roberts a donné la réponse, très banale : « Lors de mon doctorat, mon directeur de thèse, qui est devenu un haut fonctionnaire du Pentagone assigné à la tâche de mettre un terme à la guerre du Vietnam, en réponse à ma question sur la façon dont Washington a toujours réussi à imposer aux Européens ce que Washington voulait m'a répondu : «l'argent, nous leur donnons de l'argent». «L'aide étrangère» ai-je demandé ? «Non, nous donnons aux dirigeants politiques européens des valises pleines d'argent ("bag fulls of money")". Ils sont à vendre, nous les avons achetés. Et ils viennent rapporter».
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87 commentaires:

  1. Antarctique couverture de glace de mer à des niveaux records...

    Monday, 15 Septembre, 2014

    (Climat antarctique et les écosystèmes CRC)

    Les enregistrements ne vont à 35 ans, mais qui couvre la plupart du temps nous sommes censés avoir eu un réchauffement rapide de gazcarbonique d'origine anthropique.

    Les scientifiques disent que l'étendue de la couverture de glace de l'Antarctique de la mer est à son plus haut niveau depuis le début des relevés. L'imagerie satellitaire révèle une superficie d'environ 20 millions de kilomètres carrés couverte par la glace de mer autour du continent Antarctique.

    Jan Lieser du climat antarctique et les écosystèmes Cooperative Research Centre (CRC) dit que la découverte a été faite il y a deux jours.
    "Il s'agit d'une zone couverte par la glace de mer qui nous n'avons jamais vu depuis l'espace avant, "dit-il.

    «Il ya trente-cinq ans, les premiers satellites ont augmenté qui ont été fiable nous dit ce domaine, deux zones dimensions, de la glace de mer a été couvert et nous n'avons jamais vu que précédemment, qui est la superficie.


    http://www.bluegrasspundit.com/2014/09/antarctic-sea-ice-cover-hits-record.html?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+bluegrasspundit%2FNwhs+%28Bluegrass+Pundit%29

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  2. MH17 : un prétexte pernicieux pour une guerre avec la Russie

    15 septembre 2014
    The French Saker

    « Il n’y a pas d’arguments honnêtes pour expliquer la disparition de MH17 du discours médiatico-politique. Les boites noires de l’avion ont été conservées en Grande-Bretagne pour examen pendant des semaines, tandis que des satellites espions US et Russes scrutaient la zone de l’est de l’Ukraine de manière intensive au moment du crash. L’affirmation suivant laquelle Washington n’a pas une connaissance détaillée des circonstances du crash et des différentes forces impliquées dans celui-ci n’est pas crédible. »

    Niles Williamson,
    « Pourquoi les médias et l’administration Obama se taisent-ils à propos du MH17 ? » [1]

    À voir, cette vidéo de 11 minutes « MH17 – Nous savons qui a abattu MH17 avec 99 % de certitude » (youtube, anglais)

    L’administration Obama n’a pu produire aucune preuve tangible de ce que les séparatistes pro-russes sont responsables de la destruction du vol MH17. La théorie défendue par l’administration (suivant laquelle l’avion de ligne a été abattu par un missile sol-air depuis un territoire tenu par les rebelles dans l’est de l’Ukraine) n’est corroborée par aucune donnée radar, imagerie satellite, témoignage sur site, ou preuve judiciaire. En fait, il n’existe aucune base factuelle à cette hypothèse. Il s’agit principalement de suppositions motivées par des buts politiques, qui ont été répétées encore et encore dans les médias, afin d’influencer l’opinion publique. La plupart des preuves disponibles suggèrent un scénario différent, celui dans lequel le MH17 est abattu par des combattants ukrainiens, dans le but d’accuser les séparatistes pro-russes, et de diaboliser la Russie par répercussion.

    Il est donc nécessaire d’examiner les faits :

    Fait numéro 1 : il y a eu des témoins

    Suivant le dictionnaire Oxford, un témoin est « une personne qui a personnellement vu quelque chose se produire et peut en donner une description de première main ». La raison pour laquelle un témoignage est si important lors d’une enquête criminelle et que ce que les gens voient réellement est important. Lors d’un jugement pour meurtre, un témoignage peut être aussi crucial que les empreintes digitales sur l’arme du crime. Au contraire, les théories n’ont que peu ou pas d’importance. La théorie du missile présentée par l’administration n’est que du bavardage dont l’objet est de calmer le public avec une explication biaisée et sans aucun rapport avec les faits. Les témoignages aident à voir à travers les mensonges du gouvernement, et à découvrir ce qui est réellement arrivé.

    Donc, qu’est-il arrivé au MH17 ? Voir cet extrait d’un reportage de la BBC (youtube, anglais) :

    (suite en dessous:)

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  3. « Les habitants du village voisin sont certains qu’ils ont vu un avion militaires dans le ciel peu avant la catastrophe. Selon eux, il s’agit en fait du chasseur qui a abattu le Boeing ».

    Témoin numéro un : « Il y a eu deux explosions dans le ciel. Et c’est là qu’il est tombé en pièce (il agite les mains pour montrer l’avion en train d’exploser). Et il y avait un autre avion, un militaire, juste en dessous. Tout le monde l’a vu…

    Oui, oui, il volait juste en dessous, on pouvait le voir. Il volait dessous… sous l’avion civil. »

    Beaucoup de gens ont vu ce qui est arrivé. Beaucoup de gens ont vu le chasseur ukrainien voler comme un requin tombant sur un phoque. Beaucoup de gens ont vu l’explosion. S’agit-il de témoins crédibles ? Mentent-ils ? Ont-ils des desseins politiques ?

    Nous ne pouvons le savoir, mais nous savons ce qu’ils disent. Ils disent avoir vu un chasseur (sans doute un SU25 ukrainien) suivre le MH17 juste avant que celui-ci n’explose. C’est important, et cela devrait être examiné durant l’enquête.

    Fait numéro 2 : la Russie a aperçu le chasseur Ukrainien sur ses radars

    D’après les analystes militaires russes :

    « Les systèmes de contrôle russes ont détecté qu’un appareil de l’armée ukrainienne, sans doute un chasseur SU25, approchait l’avion malais. Le SU25 était positionné à une distance de 3 à 5 kilomètres de l’avion malais. Ce type de chasseur est capable d’atteindre une altitude de 10.000 mètres pour de courtes périodes. Son armement standard est composé de missiles air-air R60 qui sont capables de suivre et abattre une cible à une portée de 12 kilomètres, et qui sont certains de toucher leur cible à une distance de 5 kilomètres.

    Que faisait un avion militaire sur une route aérienne réservée au trafic civil, au même moment et à la même altitude qu’un avion transportant des passagers ? Nous souhaiterions une réponse à cette question…

    Pour soutenir cette affirmation, nous avons une photo du contrôle régional du trafic aérien de Rostov… Les officiels ukrainiens ont affirmé qu’il n’y avait aucun avion militaire ukrainien dans la zone du crash ce jour-là. Comme vous pouvez le voir, cette affirmation est fausse » (« MH17 Fully exposed’, The Corbett report, voir à 34’:17’’ sur la vidéo (youtube, anglais))

    Répétons : « Les officiels ukrainiens ont affirmé qu’il n’y avait aucun avion militaire ukrainien dans la zone du crash ce jour-là. Comme vous pouvez le voir, cette affirmation est fausse »

    Kiev a menti. Non seulement, un de leurs chasseurs était dans les environs, mais cet appareil avait les capacités d’abattre un avion de ligne.

    Soyons clair sur l’importance de cette information : nous avons maintenant une preuve (les informations des radars russes et les témoignages sur site) qu’un chasseur ukrainien se trouvait dans le voisinage du MH17 quand il a été abattu. Le chasseur ukrainien pourrait donc avoir joué un rôle dans la destruction du MH17. Cette possibilité ne peut être exclue si l’on se réfère aux faits.

    (suite en dessous:)

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  4. Vient maintenant l’histoire de Carlos qui travaillait au contrôle du trafic aérien de Kiev à Borispol, mais qui a mystérieusement disparu juste après le crash. Le compte twitter de Carlos, le jour de l’accident, est devenu une sorte de légende de l’internet, et nous voudrions attirer votre attention sur quelques-uns de ses tweets.

    Voici les tweets de Carlos le jour du crash du MH17 :

    « Les autorités de Kiev essaient de tout faire passer pour une attaque par des pro-russes »…
    « Attention ! L’avion pourrait avoir été abattu, Malaysia Airlines B777 en Ukraine, 280 passagers »…
    (Des militaires ?) « ont pris le contrôle du Contrôle du Trafic Aérien à Kiev »…
    « Le B777 de Malaysia Airlines a disparu des radars, il n’y a eu aucune communication à propos d’anomalies, c’est confirmé »…
    « L’avion a été abattu, abattu, abattu, ce n’est pas un accident »…
    « Avant qu’ils ne me prennent mon téléphone, ou qu’ils ne m’éclatent la tête, abattu par Kiev »…
    « Le B777 volait escorté par un chasseur ukrainien jusqu’à deux minutes avant de disparaitre des radars »…« Si les autorités de Kiev veulent dire la vérité, elle est connue ici, deux chasseurs volaient très proches de l’avion quelques minutes avant, il n’a pas été abattu par un chasseur »…
    « le B777 de Malaysia Airlines vient de disparaitre, et les autorités de Kiev nous informent qu’il a été abattu. Comment ont-elles pu savoir ? »…
    « Tout est sur les radars, c’est incroyable, abattu par Kiev, nous le savons ici, et le contrôle du trafic aérien militaire le sait aussi »…
    « Maintenant, le contrôle militaire [annonce] officiellement que l’avion a été abattu par un missile »… [2]

    Peu après que ces messages ont été postés sur Twitter, l’armée a investi la tour, le Service de sécurité d’Ukraine (SBU) a confisqué les enregistrements du Contrôle du trafic aérien, et Carlos a disparu, et n’a jamais été revu depuis. Au minimum, les messages de Carlos apportent de la crédibilité à notre thèse, suivant laquelle un ou deux chasseurs SU25 se trouvaient dans les parages du Boeing 777 au moment de l’incident, ce qui veut dire qu’ils étaient en mesure de l’abattre.

    Alors, pourquoi Obama, Kerry et l’ensemble des médias occidentaux ont-ils exclu les SU25 de leurs analyses ? Et pourquoi retiennent-ils les données satellites et radar (qu’ils possèdent, comme tout le monde le sait) de la zone au moment du crash ? Suivant wsws.org (World Socialist Web Site) : « le Defense Support Program de l’US Air Force [le programme de l’Armée de l'air américaine portant sur le développement et l'utilisation de satellites de reconnaissance, NdT] utilise des satellites avec des senseurs infrarouges pour détecter tout départ de missiles, n’importe où sur la planète, et les radars US postés en Europe doivent avoir suivi le missile alors qu’il volait dans le ciel ».

    En effet, les USA ont la possibilité de suivre les missiles lancés de n’importe quel point du globe. Alors où sont les données pour confirmer leur théorie suivant laquelle un missile a abattu le MH17 ? Où est l’imagerie satellite ? Ou sont les données radar ? Qu’est-ce donc qu’Obama veut cacher au peuple américain ?

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  5. Peter Haisenko, pilote allemand et expert en avions de ligne, pense que le Malaysia Flight 17 n’a pas été détruit par un missile, mais abattu par le type de double cannons de 30mm utilisé sur les chasseurs SU25 ukrainiens. Haisenko a présenté cette théorie dans un article posté sur le site Global Research et l’a intitulé « LeLes révélations d’un pilote allemand : une analyse choquante de la « destruction » du MH17 malais. L’avion n’a pas été touché par un missile ». Voici une citation de l’article :

    « Les faits parlent d’eux-mêmes et vont au-delà de tout spéculation : le cockpit présente des traces de canonnade ! On peut voir les trous d’entrée et de sortie des munitions. Le contour d’une partie des trous est replié vers l’intérieur. Il s’agit des plus petits trous, ronds et nets, qui montrent les points d’entrée, probablement de projectiles de calibre 30 millimètres…» [3]

    Haisenko note que les munitions utilisées par les chasseurs ukrainiens (munitions anti-tank, incendiaires et à fragmentation) sont capables d’abattre un avion de ligne, et que le schéma de pénétration de nombreux projectiles dans la carlingue correspond au schéma de tir d’un canon de 30 mm.

    Par ailleurs, Michael Bociukiw, qui a été l’un des premiers inspecteurs de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) à atteindre le lieu du crash, et qui a passé plus d’une semaine à en examiner les débris, semble convaincu que MH17 a été abattu à l’aide d’une mitrailleuse, ce qui correspond avec les nombreux trous de balles visibles sur le fuselage. Voici ce qu’il a affirmé à CBC World News :

    « Il y a eu deux ou trois pièces de fuselage qui ont vraiment été marquées de cratères. Cela ressemble presque à un tir de mitrailleuse ; un tir de mitrailleuse très, très intense, qui a laissé ces marques particulières, que nous n’avons vues nulle part ailleurs.

    On nous a également demandé si nous avons aperçu le moindre signe d’un missile.

    Et bien, non, nous n’en avons pas trouvé. Voici la réponse » [4}

    Maintenant, il est possible d’admettre que les observations de Haisenko et Bociurkiw puissent ne rien vouloir dire ; après tout, il ne s’agit que de leur opinion. Mais pour répondre pleinement à cet argument, comparons ce qu’ils disent avec les commentaires d’Obama et de Kerry.

    Voici une citation d’Obama, le lendemain du crash :

    « Voici ce que nous savons jusqu’à présent. Les indices indiquent que l’avion a été abattu par un missile sol-air qui a été lancé depuis une zone contrôlée par les séparatistes soutenus par la Russie, à l’intérieur de l’Ukraine.

    Nous savons également que ce n’est pas la première fois qu’un avion a été abattu dans l’est de l’Ukraine. Durant les dernières semaines, les séparatistes soutenus par la Russie ont abattu un avion de transport ukrainien et un hélicoptère ukrainien, et ils ont annoncé avoir abattu un avion de chasse ukrainien.

    De plus, nous savons que les séparatistes ont reçu un flot ininterrompu de soutien depuis la Russie.

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  6. Celui-ci comprend des armes et de l’entrainement. Cela comprend des armes lourdes. Et cela comprend des armes anti-aériennes.

    Maintenant, voici ce qui s’est produit. Il s’agit d’une tragédie mondiale. Un avion de ligne asiatique a été détruit dans les cieux européens, avec des citoyens de nombreux pays à son bord. Il doit donc y avoir une enquête internationale crédible pour savoir ce qui s’est passé. Le Conseil de Sécurité de l’ONU a pris en charge cette enquête, et nous tiendrons responsables tous les membres de ce conseil, y compris la Russie, en fonction de ce qu’il dira…

    Aujourd’hui, les États-Unis sont prêts à fournir toute l’assistance nécessaire… »

    Résumons les affirmations d’Obama :
    1/ Le MH17 a été abattu en Ukraine de l’est.
    2/ Les séparatistes ont abattu des avions en Ukraine de l’est auparavant.
    3/ Les séparatistes ont donc abattu MH17.

    Trouvez-vous cet argument convaincant, cher lecteur ? Rappelez-vous qu’Obama ne s’est jamais détourné de cette position originale sur le sujet, pas plus qu’il ne s’est exprimé sur les témoignages au sol, ou sur les données techniques données par Moscou. Quand l’ensemble des média répète mot pour mot la version des événements présentée par le gouvernement, les faits sont sans importance. En d’autres termes, Obama n’a pas revu sa version, car il n’en avait pas besoin. Il savait que les médias l’assisteraient pour cacher les faits. Ce qu’ils ont fait.

    Maintenant, examinons ce que Kerry avait à dire deux jours après le crash, lorsqu’il a été invité aux cinq émissions-débat du dimanche, pour attaquer Poutine et accuser les rebelles d’avoir abattu le MH17. Selon The Guardian :

    « Kerry a affirmé que l’ensemble des indices entourant la destruction du vol Malaysia Airlines MH17 tendent vers les séparatistes pro-russes dans l’est de l’Ukraine…

    « Nous avons de nombreuses données à ce sujet qui vont dans la même direction », Kerry a annoncé lors de l’émission de CNN State of the Union « il est clair qu’il s’agissait d’un système provenant de Russie et transféré aux séparatistes. Nous savons avec certitude que les ukrainiens ne possédaient pas un tel système aux alentours à ce moment. »…

    Kerry a expliqué que des informations provenant des réseaux sociaux et de la surveillance des USA avaient identifié le système en question aux alentours du crash avant la tragédie.

    « Nous savons, car nous avons pu observer sur des imageries satellites, au moment de la destruction, nous avons détecté un départ de missile depuis cette région », a-t-il affirmé. « Nos calculs de trajectoires montrent qu’il a rejoint l’avion de ligne » [5].

    Inutile de le dire, Kerry n’a jamais transmis les « imageries » satellites auxquelles il s’est référé le jour de l’entretien. La plaidoirie de l’administration dépend encore des informations discréditées qui ont été récupérées sur les réseaux sociaux, ainsi que sur sa propre théorie, motivée par des raisons politiques. Il est nécessaire de noter que l’administration a utilisé cette plaidoirie chancelante pour atteindre des effets importants, en convainquant les dirigeants de l’Union européenne d’imposer de nouvelles sanctions économiques contre la Russie, avant sans qu’aucun des faits ne soit présenté, et sans aucun procès ne soit mis en place de manière légal pour que la Russie ait une chance de se défendre. Bien sûr, les sanctions sont toujours effectives à ce jour, bien que les accusations hystériques de l’administration soient examinées avec une attention grandissante.

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  7. Le ministre russe des Affaires étrangères, Serguei Lavrov, a demandé de manière répétée une enquête internationale transparente et rigoureuse, mais Washington semble davantage intéressé à tirer le rideau sur l’ensemble du problème. Moscou souhaite tout particulièrement récupérer les enregistrements du Contrôle du trafic aérien, qui ont été confisqués par les services de sécurité de Kiev, juste après le crash. Il est impératif que ces enregistrements soient transmis à des inspecteurs internationaux pour analyse des communications entre le cockpit et la tour de contrôle. Il ne fait aucun doute que Kiev transmettrait ces communications si Washington le lui demandait. Mais Obama n’en a pas donné l’ordre. Pourquoi donc ?

    Gardons à l’esprit que les enregistrements du Contrôle du trafic aérien (CTA) pourraient être bien plus précieux que les boites noires, car ils enregistrent les deux côtés de toute communication sur toutes les fréquences utilisées par cette installation (notamment les fréquences utilisées pour communiquer avec d’autres installations au sol ou d’autres agences), ainsi que sur toute ligne terrestre utilisée par ces installations.

    Qu’est-ce que cela veut dire ? Cela veut dire que les enregistrements du CTA incluent également les communications entre les opérateurs du CTA et, par exemple, les autorités gouvernementales ou militaires. Il y aurait également l’enregistrement des conversations entre le CTA et tout chasseur qui pourrait avoir été dans le voisinage du vol 17. En d’autres mots, si le MH17 a été abattu par un SU25, il y a une bonne chance pour que les communications avec le chasseur apparaissent sur les cassettes du CTA.

    Est-ce pour cela qu’Obama n’a pas demandé à Kiev de transmettre les enregistrements ? Parce qu’il ne veut pas réellement que la vérité soit faite ? Maintenant jetons un œil à cette citation du World Socialist Web Site :

    « Après un mois durant lequel Washington n’a pu présenter de preuve pour corroborer ses accusations envers Poutine, il est clair que l’offensive politique des gouvernements de l’OTAN, ainsi que la frénésie des médias à l’encontre de Poutine, étaient basées sur des mensonges.

    Si des séparatistes pro-russes avaient lancé un missile sol-air, comme l’affirme le gouvernement des USA, l’Air Force aurait des images en sa possession confirmant ceci sans l’ombre d’un doute…

    Le 9 août, le journal malais New Straits Times a publié un article accusant le régime de Kiev d’avoir abattu le MH17. Il annonçait que les indices trouvés sur le site du crash indiquent que l’avion a été détruit par un chasseur ukrainien avec un missile suivi d’une rafale de mitrailleuse lourde.

    Bien qu’il soit encore trop tôt pour pouvoir dire sans l’ombre d’un doute comment le MH17 a été abattu, la plupart des indices pointent vers le régime Ukrainien et, derrière eux, le gouvernement américain et les nations européennes. Ils ont créé les conditions menant à la destruction du vol MH17, en soutenant le coup d’état mené par des fascistes à Kiev en février dernier, qui a amené le régime pro-occidental actuel au pouvoir. » [6]

    (suite en dessous:)

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  8. Les médias ont joué un rôle crucial dans cette tragédie, en induisant en erreur délibérément le peuple américain concernant des détails critiques du tableau, dans le but de présenter une couverture du sujet qui serve au mieux les intérêts du gouvernement. Les médias principaux ne cherchent pas à identifier les criminels qui ont tué 289 passagers. Leur but est de diaboliser Poutine, et de créer un prétexte pour déclencher une guerre contre la Russie. Et c’est exactement ce qu’ils sont en train de faire.

    Mike Whitney
    Traduit par Etienne pour vineyardsaker.fr

    Notes
    [1] http://www.wsws.org/en/articles/2014/08/18/ukmh-a18.html (wsws.org, anglais, 18-08-2014)
    [2] FINAL – Spanish Air Controller @ Kiev Borispol Airport: Ukraine Military Shot Down Boeing #MH17 (Rebel’s Blog, anglais, 18-07-2014)
    [3] Revelations of German Pilot: Shocking Analysis of the “Shooting Down” of Malaysian MH17. “Aircraft Was Not Hit by a Missile” (Global Research, anglais, 30-07-2014)
    [4] Malaysia Airlines MH17: Michael Bociurkiw talks about being first at the crash site, (CBC News, anglais, 29-07-2014)
    [5] MH17 crash: Kerry lays out evidence of pro-Russia separatists’ responsibility, (theguardian.com, anglais, 20-07-2014)
    [6] Why have the media and Obama administration gone silent on MH17? (wsws.org, anglais, 18-08-2014)

    Source : Sinister Pretext for War with Russia (vineyardsaker, anglais, 09-09-2014)

    Mike Whitney réside dans l’état de Washington. Il est un des contributeurs du livre Hopeless: Barack Obama and the Politics of Illusion (AK Press). Son livre est également disponible au format Kindle (Kindle edition). Il est joignable à fergiewhitney@msn.com

    http://www.vineyardsaker.fr/2014/09/15/mh17-pretexte-pernicieux-guerre-russie/

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  9. Lâcher ou ne pas lâcher ?

    par Alex Roussine
    14 septembre 2014
    The French Saker

    « Si à droite tu vas, une épouse tu trouveras.
    Si à gauche tu vas, fortune tu feras.
    Tout droit, aucune vie ne trouveras. »
    Viktor Vasnetsov

    Ayant abandonné systématiquement Kiev à Washington pendant les dix dernières années, Moscou s’est retrouvé dans une situation extrêmement désagréable. Certes, tout le monde ne veut pas reconnaître la chose.

    D’où partons-nous ?

    D’abord il y a eu le premier Maïdan [N.D.T. en 2004], après quoi Iouchtchenko a fait son apparition à Kiev. Déjà alors on pouvait deviner où tout cela mènerait. Les monuments en l’honneur de Bandera, l’héroïsation des vétérans de l’Organisation des nationalistes ukrainiens, de l’Armée insurrectionnelle ukrainienne, et ainsi de suite…. Mais le gaz se vendait bien et tout cela arrangeait le Kremlin.

    On a survécu à Iouchtchenko. Est alors apparu Ianoukovitch. Nous savons désormais à quel point Ianoukovitch a servi les intérêts russes. Aurions-nous pu comprendre cela un peu plus tôt ? Bien sûr. Ce n’est pas que nous n’avions pas de dossier sur Victor Ianoukovitch, nous en avions un dès le début, tout y était écrit. Mais le gaz se vendait toujours bien. C’est pourquoi on n’a rien entrepris.

    On dit que la Russie avait d’autres problèmes. On dit qu’elle n’y avait pas de ressources… Arrêtez ! On pouvait le dire dans les années 90. Après 2004, elle avait des ressources et pendant les années 2006 et 2007 la croissance économique russe a dépassé celle de toute la période post-soviétique. Il ne restait qu’à donner le ton ! Peu importe les caprices du client, pourvu qu’il paie !

    Il y avait d’autres problèmes, voilà une bien mauvaise excuse, parce qu’il n’y a pas dans l’étranger proche de la Russie d’affaire plus pressante que l’Ukraine. Et cela signifie que s’occuper activement de la direction ukrainienne était tout à fait vital. Tous ceux qui connaissaient vraiment la politique et l’économie, et non au café du commerce, comprenaient cela parfaitement, et écrivaient à ce sujet, et en parlaient, mais… le gaz se vendait et se vendait bien…

    Finalement, les marchands de gaz russes et les oligarques ukrainiens ont traficoté de concert jusqu’à l’irruption du deuxième Maïdan. Après quoi, à Kiev on a commencé à considérer tout à fait ouvertement les Russes [N.D.T. russophones] comme des occupants et l’on s’est juré de limiter leurs droits comme dans la plus pure tradition de certains pays baltes que nous ne montrerons pas du doigt.

    Et voilà l’affaire de Crimée qui explose

    Il fallait s’y attendre, certes. Pour que cela n’arrive pas, Kiev aurait dû jouer très prudemment en s’abstenant de promettre l’envoi de trains de l’amitié, tout en nourrissant activement les Criméens de quelques promesses.

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  10. Mais Kiev s’en est sorti comme un éléphant dans un magasin de porcelaine. À Washington, il n’y avait probablement pas non plus de gens compétents bien au fait de la situation dans la péninsule. Ils ne l’ont pas prise en compte.

    Et la Crimée a explosé. Explosé en direction de la Russie. Et pendant que Kiev et Washington observaient l’événement avec une certaine… surprise, Moscou a vite compris qu’il fallait agir. Et agir d’urgence, sans faire couler le sang dans des combats de rue.

    La rapidité de la décision dans le dossier criméen a été dictée par deux facteurs, l’opinion publique russe et les bases militaires.

    L’opinion publique, cela signifie que face à l’inaction russe en Crimée le peuple aurait pu dire avec raison « nous ne reconnaissons pas Vladimir Vladimirovitch ». « Il s’est noyé » une seconde fois ! [N.D.T. L’auteur fait référence au sous-marin Koursk.] Cela l’opinion publique ne pouvait l’accepter. Mais ce n’est là que demi-mal. Les bases militaires, voilà la seconde moitié de l’équation. Il ne faisait aucun doute que le pouvoir issu de Maïdan les livrerait à l’OTAN. Qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie que les militaires seront mécontents. Et non seulement les militaires, mais aussi les services de sécurité nationale pour lesquels la perte de la Crimée et de Sébastopol sèmera des doutes au sujet du président et du gouvernement. Et tous les vols en hydravion, les visites des navires de guerre n’y auraient rien changé : ils seraient même apparus comme des parodies de puissance. Et mécontenter, à la fois, le peuple et les forces de sécurité c’est friser la révolution. Les traditions en Russie à ce sujet sont riches. Le président est allé à la pêche et, à la télé, on a annoncé que le président était malade du virus Ebola et donc dans l’incapacité d’exercer. De telles choses peuvent-elles se produire ? Oui, facilement !

    Il faut prendre en considération que la Crimée a démontré sa volonté de se séparer de l’Ukraine par la porte ou par la fenêtre. C’est-à-dire de se battre. Et les fusillades dans la proximité directe des bases russes militaires où les contrôles pouvaient dégénérer en batailles rangées, ceci n’était à l’avantage de personne. Là, tu veux ou tu ne veux pas, il faut se battre. Tu ne veux pas tirer, on tirera sur toi. Il n’y a guère de choix.

    Et cette situation, vu la vitesse de la prise de décision à Moscou, a été comprise tout de suite.

    Concordance des intérêts des militaires, du peuple, du pouvoir, du commerce, de tous

    Au peuple la fierté, aux militaires la gloire, au pouvoir le respect, au commerce les nouveaux horizons dans le domaine du tourisme, de l’immobilier élitaire par-ci et par-là. Et même aux fonctionnaires un peu de joie.

    Effet de la prise de décision rapide sur la Crimée, on vit débarquer des gens polis, ils ont organisé un référendum à la hâte. Dès le lendemain de l’annonce des résultats, le Kremlin signa les documents. Champagne ! L’hymne résonne.

    Emporté par l’euphorie de tout ce sans-faute, quand le président aimé, par le paraphe de sa plume, s’est élevé au rang des plus grands rassembleurs de terres russes, quelqu’un au Kremlin a écrit pour le Garant [N.D.T. Poutine] le texte pénétrant que celui-là a lu sans hésitation devant tout le pays.

    La Russie sabrait le champagne et pleurait de bonheur

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  11. À Kiev et Washington, les bouches bées se refermèrent enfin. Des politiciens maussades descendirent un verre de tequila chacun et ont juré sur un zeste de citron qu’on n’en resterait pas là. Obama a annoncé que la Russie paierait cher et les politiques ukrainiens ont promis à qui mieux mieux l’échafaud [N.D.T. pour les « Moscovites »] et le djihad éternel.

    Au matin, alors que le champagne n’était plus que souvenir et la soif apaisée, le Kremlin a compris qu’il avait dans la main l’engrenage ukrainien. Et qu’il était impossible de revenir en arrière.

    Alors le Kremlin s’est trouvé devant un choix complexe : prendre ou ne pas prendre le Donbass après la Crimée ? Et Odessa ? Et Kharkov ? Et toute l’Ukraine ?

    Prendre le Donbass, c’est très cher sur le plan économique. Élever jusqu’au niveau russe les salaires et les retraites des deux millions de personnes en Crimée, c’est une chose. Les sept millions du Donbass en sont une autre. Organiser le référendum en Crimée, où et il est clair que la majorité écrasante est pour la Russie c’est une chose, au Donbass tout à fait autre chose. Assurer la sécurité en Crimée où l’on dispose de bases militaires et où l’on peut se séparer de l’Ukraine en bloquant Perekop [N.D.T. qui commande l’isthme] c’est une chose. Au Donbass, les bases russes sont absentes, les troupes ukrainiennes nombreuses, la mainmise sur la région serait une tout autre affaire.

    En outre, l’émoi en Russie [1] est moins vif au sujet du Donbass qu’au sujet de la Crimée (aucun avantage économique ni militaire).

    Il faut ensuite expliquer à la communauté mondiale que la Russie ne veut pas occuper l’Ukraine. La Crimée est un cas à part, les guerres, l’histoire, Khrouchtchev a commis une bêtise. On n’acceptera pas de tels arguments pour le Donbass, on y verrait une agression militaire classique de grande envergure.

    Et pour ce qui est de Kharkov, Odessa, Zaporojie. On dira que la Russie divise l’Ukraine. Il faudrait braver les cris d’orfraie de toute la communauté mondiale.

    Il serait bien de mettre l’Ukraine entière sous l’aile russe… Pas directement au sein de la Russie, bien sûr, mais par exemple dans l’Union douanière et l’Organisation du traité de sécurité collective (OTSC) ou quelque part ailleurs… mais comment faire ? L’Ukraine après Maïdan s’oppose résolument à la Russie et, après la Crimée, elle montre les dents.

    Au Donbass, le processus s’est mis en marche. Essayez d’expliquer à quelques millions de Russes [N.D.T. russophones] qu’ils doivent rester dans l’Ukraine, que le référendum leur est interdit, que le Donbass et la Crimée sont deux choses différentes, qu’à Donetsk ils n’ont pas la bonne gueule. Comment l’expliquer ?

    Le Kremlin s’est trouvé devant un dilemme. Prendre le Donbass est impossible, l’abandonner également. On ne peut pas le prendre pour une raison, on ne peut pas le laisser pour une autre.

    Le Kremlin sera coupable devant le monde ou devant son peuple. S’il va à droite, il perdra le Donbass, à gauche il perdra sur le plan économique : on va tout droit dans le mur. [2]

    Un certain temps le Kremlin alla tout droit…

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  12. La politique consistant à contenter tout le monde à la fois connaissait des ratés. Cette politique permettait de commercer avec plus ou moins de succès, fournissant du gaz aux uns et des objets d’usage courant à bon marché aux autres, des actions et des dividendes d’entreprises russes aux uns, et des emplois aux autres. Elle a échoué face à la réalité militaire.

    La politique est entrée en contradiction avec l’économie

    Politiquement, le Kremlin devait soutenir les Russes en Ukraine (la protection des intérêts nationaux et ces mots dits dans l’emportement au sujet « du grand peuple divisé », et tout le reste). Il fallait aider les Russes [N.D.T. russophones], les protéger du nationalisme ukrainien, faire cesser les meurtres, ne pas admettre les bombardements de villes, trouver et punir les coupables du 2 mai à Odessa.

    Économiquement le soutien aux Russes [N.D.T. russophones] n’était pas du tout avantageux pour le Kremlin. Parce que cela entraînait l’altération des rapports avec l’Ouest. Et donc des sanctions, le gel des avoirs, la suppression des contrats, le blocage du projet South Stream, la hausse des prix des crédits étrangers, la baisse du change, le reflux du capital étranger, la baisse du cours des actions, des indices de la Bourse, etc.

    La Russie moderne est profondément intégrée au système financier et commercial mondial. Le budget dépend pour moitié des revenus du gaz et du pétrole. Les dettes des entreprises russes atteignent 700 milliards de dollars, soit quatre fois plus que la dette nationale de la Russie du temps d’Eltsine, dont le remboursement est mis unanimement au crédit de Poutine. Le paiement de la dette nationale c’est bien, mais augmenter la dette des entreprises ne vaut pas mieux. Si les entreprises commencent à fermer dans tout le pays à cause de l’impossibilité d’acquitter leurs dettes étrangères. Qu’est-ce que ça change pour les gens que ce soit la dette des entreprises plutôt que celle de l’État ? Quelle différence pour le licencié s’il apparaît dans une ligne ou l’autre des statistiques sur le chômage ? Et si l’État commence à soutenir les entreprises en rachetant leurs dettes alors cette dette s’ajoutera à la dette publique, mais elle sera quatre fois plus importante qu’il y a dix ans.

    En réalité, l’économie de la Russie est l’otage de l’Occident. C’est pourquoi il ne faut pas se réjouir de la façon dont le Président dialogue avec entrain avec les chefs d’État de l’Europe et des États-Unis, alors qu’il les surclasse. C’est surtout pour la galerie. Il n’est pas étonnant que le Président considère les soutiens du nationalisme ukrainien comme des partenaires, ce n’est pas un hasard si la doctrine russe de la sécurité nationale ne connaît pas d’ennemis, ce n’est pas par hasard si Moscou a déclaré à plusieurs reprises que Porochenko « n’a pas de sang sur les mains » et qu’il peut être reconnu comme le président légitime, et qu’on peut le rencontrer et examiner ses initiatives de paix visant à anéantir les Russes [N.D.T. russophones] dans le sud-est de l’Ukraine.

    La Russie n’est guère plus souveraine que l’Ukraine. Elle est plus souveraine, certainement. Mais pas de beaucoup. Et non du fait de l’arme nucléaire. La bombe nucléaire est une arme du passé, on ne peut pas répondre aux sanctions, à la baisse du change, au renchérissement des crédits et au blocage des comptes en lançant une frappe nucléaire sur Washington. L’arme nucléaire n’a pas empêché l’effondrement économique de l’Union soviétique. La souveraineté plus grande de la

    Russie est assurée par ses réserves de pétrole et de gaz. Mais il ne faut pas surestimer leur importance. Le pétrole, on peut le vendre n’importe où, mais pas le gaz. Le gaz est vendu seulement là où sont construits les gazoducs. C’est-à-dire en Europe. Via l’Ukraine.

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  13. C’est pourquoi le Kremlin est confronté à un dilemme : comment soutenir le Donbass et échapper au régime complet des sanctions ?

    Le Kremlin tente de naviguer entre Charybde et Scylla, il cherche un compromis, il marche sur des œufs.

    Mais la terre sous les pieds se dérobe. Le compromis entre le fascisme et l’antifascisme n’existe pas. La tentative de jouer un double jeu n’est pas un compromis, mais quelque chose d’autre.

    Dans la conjoncture présente, le Kremlin fait régulièrement des pauses et tente de désamorcer le conflit. Mais le nombre des victimes grandit, le nœud se resserre et tout équilibre est extrêmement instable.

    La première tentative du Kremlin pour dénouer le conflit a eu lieu à la fin de mars et au début d’avril. Le résultat a été la prise spontanée par les manifestants des bâtiments du SBU [N.D.T. Services de sécurité ukrainiens] à Lougansk et de l’administration à Donetsk. Le Kremlin se taisait dans l’espoir que les groupes des militants seraient arrêtés et qu’ensuite l’Ukraine élirait Porochenko ce qui inaugurerait une nouvelle « ère Iouchtchenko ». Les nationalistes construiraient encore une dizaine de monuments à la gloire de Bandera, se décoreraient mutuellement, feraient d’un million de Russes [N.D.T. russophones] des non-citoyens et l’Ukraine deviendrait un grand pays balte. On achèverait de construire le South Stream et ce qui se passerait en Ukraine n’aurait plus d’importance. D’autant plus que la Crimée est à nous.

    Cependant la tentative échoua. Les militants à Lougansk et à Donetsk n’ont pas cédé, les volontaires russes sont venus à leur secours. Strelkov a surgi comme un diable en boîte, il a organisé à Slaviansk la forteresse de Brest [N.D.T. allusion à Brest-Litovsk où l’armée soviétique se retrancha en 1941]

    La deuxième tentative de désamorcer le conflit a été de choisir Porochenko et de se mettre d’accord avec lui avant que ses mains ne se retrouvent couvertes de sang, au début de mai quand le Garant [N.D.T. Poutine] a proposé de remettre le référendum [N.D.T. du Donbass].

    Mais trois jours avant le référendum il était trop tard pour l’annuler. Le peuple s’était préparé, les bulletins étaient imprimés, les députés de Donetsk et les délégués sur place ne voulaient pas se disperser, ni oublier les offenses, ni attendre la faveur de Kiev. On peut les comprendre. La faveur de Kiev s’était manifestée à Odessa. Et la suite des événements a montré ce qu’on peut attendre des mains non salies par le sang : des lance-roquettes Grad, du phosphore et des bombardements, voilà toute la clémence réservée aux habitants désobéissants du Donbass.

    Après le référendum, l’Ouest a menacé de punir la Russie si elle perturbait les élections présidentielles en Ukraine. Le Kremlin a pris bonne note et a attendu. Les élections ont eu lieu. Porochenko a gagné, clairement. L’Ouest l’a reconnu quelques secondes après la clôture des bureaux de vote et a demandé à Moscou de rencontrer le nouveau seigneur de Kiev.

    La rencontre eut lieu en Normandie, pendant la célébration de l’anniversaire du débarquement des forces alliées. Il était assez étrange de voir Porochenko et Merkel côte à côte pendant la célébration, si l’on considère l’histoire, bien que, apparemment, personne n’y prenait l’histoire en compte.

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  14. Les parties se sont mises d’accord

    En juin a commencé la phase suivante. Slaviansk a lentement mais sûrement été encerclée et systématiquement détruite. Strelkov se décourageait que la Russie n’apportât aucune aide en matériel militaire lourd.

    Le Kremlin se plaignait de l’imperfection du monde, acceptait les réfugiés et engageait des poursuites criminelles contre certains politiques ukrainiens. On avait compté, si on se fie aux faits, sur la chute de Slaviansk et que Porochenko tiendrait sa promesse de rapidement mettre un terme à la guerre, parce que sans les combattants de Strelkov, il n’y aurait presque plus personne pour protéger Donetsk en juin. En outre, la direction de la RPD [N.D.T. République populaire de Donetsk] était aux prises à des dissensions et des atermoiements qui ne contribuaient pas à la création d’une défense fiable et systématique.

    Mais les étoiles n’étaient toujours pas alignées. Strelkov revint sur sa promesse de lutter pour Slaviansk jusqu’à sa dernière cartouche, il rompit l’encerclement ennemi pour aller défendre Donetsk. Au Kremlin, on succomba à une petite crise de nerfs qui aboutit au départ précipité de monsieur Kourguinian pour Donetsk, qui prit à témoin les masses de cette crise de nerfs et accusa Strelkov d’être traîtreusement encore en vie. Mais la visite de Kourguinian n’a pas eu l’effet escompté. Non seulement Strelkov ne s’est pas suicidé, mais il ne démissionna pas plus.

    Au lieu de périr à Slaviansk, la division Strelkov (près de 2 000 combattants), s’est vite unie à la garnison de Donetsk pour former une force militaire tout à fait présentable de 3 000 à 4 000 combattants, sans compter les troupes de la RPL [N.D.T. République populaire de Lougansk].

    Les troupes ukrainiennes près de la frontière russe au sud du Donbass, expédiées pour y rétablir le contrôle des frontières, se sont retrouvées encerclées, prises dans une nasse. La seule explication à cela est que les généraux étaient sûrs, on ne sait pourquoi, que Strelkov ne sortirait pas vivant de Slaviansk. D’où tenaient-ils une telle assurance ? On peut seulement conjecturer.

    Du Kremlin ou de Kiev, je ne sais qui a été le plus étonné par l’apparition de Strelkov à Donetsk. Tous semblent avoir été surpris

    À en juger par la suite des événements, on a fait partir Strelkov pour ne pas subir désormais de nouvelles surprises telles que voir Marioupol brusquement occupé, ou bien Odessa ou encore Kharkov. Et tout peut arriver, à Kiev on pourrait subitement hisser quelque drapeau. Et on ne sera pas loin du Reichstag…

    La condition de la sortie de scène de Strelkov était probablement l’octroi au Donbass d’une aide militaire et financière. Quoi qu’il en soit, l’évincement de Strelkov s’est accompagné par l’augmentation rapide de l’aide matérielle (pas toujours russe, probablement tout simplement acheté directement à l’intérieur de l’Ukraine) à l’armée du Donbass. Peu après, elle a déclenché une offensive de grande envergure.

    Il est intéressant de voir que deux événements se sont produits avant cette offensive : on a abattu le Boeing et la Russie a annulé l’autorisation d’intervention de ses forces armées sur le territoire de l’Ukraine.

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  15. On peut supposer que le Boeing dramatiquement abattu, dont Kiev voulait imputer la responsabilité à la Russie sans y parvenir, a donné la possibilité quelque part de changer la donne. Peut-être s’agit-il d’une simple coïncidence…

    En tous cas, le Kremlin a ouvertement tenté de changer la situation. Il n’a guère eu de choix. On a évincé Strelkov, mais ses combattants sont restés, ils ont reçu du soutien, la nasse au sud (le « chaudron ») s’est refermée, Donetsk ne se rendrait pas. Attendre que la moitié de la ville d’un million d’habitants soit transformée en ruines pourrait avec des conséquences néfastes sur l’opinion publique russe et pour l’évolution de la situation en Ukraine.

    La Russie décide de passer à l’offensive.

    L’offensive a commencé sur le champ de bataille où l’armée du Donbass disposa soudain de réserves, puis sur le plan économique quand la Russie imposa des « sanctions alimentaires » à l’Europe qui ont considérablement perturbé le chœur européen qui chantait à l’unisson jusqu’alors que « Moscou est coupable de tout cela ».

    Cependant l’offensive a vite pris fin. À Minsk eut lieu une rencontre où le Garant [N.D.T. Poutine] a tenté de se mettre d’accord avec la personne dont les mains n’étaient apparemment toujours pas couvertes de sang. On ne sait trop s’ils se sont mis d’accord ou non, mais on a cessé de tirer dans le Donbass. L’armée du Donbass s’est arrêtée sous les murs de Marioupol, laissant sur ses arrières des unités ukrainiennes.

    À la veille du cessez-le-feu, le Garant [N.D.T. Poutine] a annoncé que le but était l’arrêt du bombardement des villes et l’éloignement des troupes à une distance sûre. Kiev a déclaré qu’il est prêt à accorder à Donetsk un statut spécial. On voit qu’au Kremlin et à Kiev on parle de choses différentes. Et à Donetsk aussi, ce qui est assez typique. Cela signifie que la guerre est simplement interrompue. Le Kremlin une fois de plus tente de tâter sous les pieds la terre ferme, cherche le compromis, tente de stabiliser le système, sans se prendre définitivement parti.

    La stabilisation, la recherche du compromis et tenter de satisfaire tout le monde, voilà la politique de Poutine qui l’a rendu si populaire et lui a assuré le soutien de la société russe. Mais dans la conjoncture présente, on ne peut pas contenter tout le monde.

    On ne peut pas contenter Donetsk et les russophones en gardant à Kiev un pouvoir anti-russe. On ne peut pas contenter Kiev sans lâcher la Novorossia. On ne peut pas contenter Washington en défendant les intérêts de la Russie. On ne peut pas défendre les intérêts de la Russie sans entrer dans la confrontation avec Washington.

    La bourse ou la vie

    Il faut choisir : la vie des Russes [N.D.T. russophones] en Ukraine ou le porte-monnaie des entreprises russes qui dépendent de la participation de la Russie au système financier international.

    Il faut renoncer à quelque chose.

    Mais le plus difficile dans ce choix, c’est que ce dilemme existe au sein même du Kremlin.

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  16. Toutes ces pauses, ces hésitations et cette absence de stratégie précise au sujet l’Ukraine trouvent leur raison dans les différences qui opposent les décideurs à Moscou. Si les décisions étaient prises par Poutine seul, comme beaucoup de gens le pensent, la décision aurait été prise depuis belle lurette. Poutine comprend parfaitement qu’attendre ne rend pas la solution plus facile, mais la complique. Si Poutine pouvait résoudre ce problème par lui-même, tout serait allé très vite. Comme avec la Crimée. Peut-être pas aussi vite, mais en tout cas sans atermoiements superflus. Et sans ces victimes que nous observons. Et sans un million de réfugiés.

    Mais Poutine ne prend pas les décisions tout seul. Les décisions en Russie sont prises par un groupe de personnes qui contrôle les ressources principales. Le groupe dirigeant de la classe dirigeante. Poutine ne peut pas ignorer l’opinion de certaines personnes. Ce sont les règles du jeu établies en 1999 quand ils l’ont choisi comme président. S’écarter de ces règles signifierait détruire le système en place. Si le système tombe, alors commencera la même chose que ce que nous observons en Ukraine, la lutte des joueurs clés pour le pouvoir par tous les moyens possibles. C’est pourquoi il doit respecter les règles.

    Et cela signifie qu’il faut prendre en considération d’une part l’opinion de ceux qui sont pour la Novorossia et d’autre part l’opinion de ceux qui sont pour Washington. De ceux qui sont pour le lâchage et de ceux qui sont pour le soutien. De ceux qui privilégient le porte-monnaie et de ceux qui privilégient la vie.

    Un compromis est-il malgré tout possible ? Renoncer à une partie des profits d’une part et à une partie des vies de l’autre ? Quelque chose comme ceci : Donetsk russe, Odessa ukrainienne, Lougansk russe, Kharkov ukrainienne, Slaviansk russe, Marioupol ukrainienne ?

    Le compromis est dangereux dans la conjoncture présente vu que l’on peut imposer à n’importe quel moment de nouvelles sanctions, un nouveau Boeing peut s’écraser à n’importe quel moment, un train dérailler ou un navire couler. Et à n’importe quel moment peut apparaître un nouveau Strelkov. Et à Kiev tout peut arriver.

    Dans la situation actuelle, n’importe quel compromis sera un équilibre instable. Seule la victoire d’une des parties peut apporter la stabilité. De l’un ou de l’autre.

    Le Kremlin peut tenter d’éviter un choix difficile, mais il devra s’y résoudre. Choisir et s’y tenir jusqu’au bout.

    Ici, comme dans Shakespeare – Lâcher ou ne pas lâcher.

    Alex Roussine
    Traduit par Olka, révisé par Patrick et Jean-Jacques, pour vineyardsaker.fr

    L’auteur, Alex Roussine, blogueur russe, est l’auteur de petits poèmes, de récits, de notes et d’aphorismes, il a aussi créé une société d’informatique.

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  17. Notes de traduction
    [1] Dans la presse officielle.
    [2] Fait référence à un conte où un brave slave russe, en voyageant, se retrouve devant une pierre sur laquelle est écrit : Si tu vas à droite, la femme tu trouveras ; à gauche, le cheval tu perdras ; tout droit, tu disparaîtras. Ou selon une autre version: Celui qui ira tout droit aura froid et faim ; celui qui prendra à droite restera sain et sauf, mais perdra son cheval ; et celui qui ira à gauche sera tué, mais son cheval vivra. Il existe plusieurs autres contes russes de ce genre. Voir l’illustration au début de l’article.

    Source (amfora.livejournal.com, russe, 08-09-2014)

    http://www.vineyardsaker.fr/2014/09/14/lacher-pas-lacher-alex-roussine/

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  18. Iceberg alerte: Vigilance le mot d'ordre pour la Marine russe sur voyage dans l'Arctique dangereux


    15 Septembre, 2014 10:42

    Flotte du Nord de la Russie est à l'essai dans les conditions extrêmes des eaux glacées de l'Arctique sur une mission pour rééquiper une base navale de l'ère soviétique. A bord du destroyer Admiral Levchenko, Murad Gazdiev RT rapports sur la partie la plus dangereuse du voyage.

    Un dicton dans la Flotte du Nord est, «L'Arctique ne pardonne pas." Aujourd'hui, cette parole est peut-être plus susceptibles que tout autre point dans le voyage, comme le groupe de travail se déplace à travers la mer de Laptev de l'océan Arctique, probablement la partie la plus dangereuse du voyage. Un des brise-glaces nucléaires accompagnant l'escadron est frayant un chemin à travers la glace, comme la zone de l'eau est littéralement grouille de plusieurs centaines d'icebergs.

    Bien que ces formations de glace peuvent sembler minimes à distance, vous ne pouvez jamais dire ce qui est sous les flots, comme la plupart de la masse de glace est caché sous l'eau et chacun d'entre eux présente un danger pour les navires de passage.

    Une égratignure de même un iceberg de taille moyenne peut être synonyme de catastrophe, même pour un navire aussi grand que l'Amiral Levchenko.

    L'ambiance à bord a également changé, comme membres d'équipage sur la montre sont en état d'alerte, laissant peu de place pour des blagues ou des plaisanteries.

    Satellites faisceau vers le bas cartes de débit de glace, divers systèmes de suivre les icebergs et les hélicoptères de tout en éclaireur, appelant à des dangers potentiels.

    «Nous volons dans des conditions difficiles, les nuages ??sont très faibles et nos alarmes gel d'alerte ne cessent d'arrêt," un pilote d'hélicoptère, le lieutenant-colonel Evgeniy Semenov, dit RT. "Il n'y a pas de points de repère ou des caractéristiques d'aller par, si le travail du navigateur est difficile et exigeant ".

    Mais le dernier et le plus fiable ligne de défense, l'expérience a montré, est l'équipage eux-mêmes.

    Les marins prennent leur tour de quart sur le pont, bravant le vent hurlant et le froid glacial de garder les yeux ouverts pour les icebergs.

    Le contre-amiral Viktor Sokolov, qui est à la tête du groupe naval, personnellement volé au-dessus de l'un des brise-glace pour une séance d'information sur les dangers de glace à venir.

    «Personne n'aurait pu prédire que le vent aurait poussé la glace à ce point," Dmitry Lobusov, le capitaine du "50 Let Pobedy" brise-glace dit Sokolov. "Les vies de glace par ses propres lois."

    Le convoi s'est étiré en une seule colonne; les navires sont emballés serrés et dans le sillage des brise-glaces. Mais c'est une erreur de penser que nous sommes en sécurité, que les icebergs peuvent se déplacer à des vitesses folles quand le vent se lève, de sorte que les équipages de tous les navires restent tendus et vigilants - comme demandé par un siècle d'expérience traversant le nord.

    Comme ils le disent: l'Arctique ne pardonne pas.
    Rapporté par Murad Gadziev

    http://rt.com/news/187804-arctic-russian-northern-fleet/

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  19. Sanctions contre la Russie pourraient stimuler $ 150 huile - L'ancien chef BP


    15 Septembre, 2014 08:53



    Les sanctions occidentales contre la Russie, couplées à l'instabilité politique en cours en Libye et de l'avance de militants ISIS en Irak, pourraient quitter la fourniture mondiale de pétrole exposé et faire monter les prix du pétrole à 150 $ le baril, l'ancien chef de BP, Tony Hayward, a mis en garde.

    L'ancien PDG de BP et aujourd'hui président de Glencore Xstrata a déclaré que le récent boom de la production de schiste américain a peint une image réaliste de l'offre mondiale de pétrole au monde, et a créé un faux sentiment de sécurité énergétique.

    "Le monde a été bercé dans un faux sentiment de sécurité en raison de ce qui se passe aux États-Unis," Hayward a déclaré dans une interview avec les Financial Times .

    Le boom de la fracturation hydraulique aux Etats-Unis a commencé en 2008 et des États-Unis a augmenté la production de brut de 60 pour cent, mais Hayward a averti qu'elle pourrait décliner.

    «Quand nous fournir pics, où sera la nouvelle offre vient-il?" dit Hayward.

    Instabilité dans les pays producteurs de pétrole du Moyen-Orient, tels que la Libye et l'Irak , en théorie aurait entraîné une hausse des prix du pétrole à 150 $ le baril, si elle n'avait pas été pour la nouvelle offre de l'Amérique du Nord.

    Jusqu'à présent, le baril de Brent est passé de environ 108 $ le baril au début de l'année à environ 97 $ aujourd'hui.

    Hayward a déclaré l'approvisionnement en pétrole de la mer du Nord et de l'Alaska sont en voie de maturité, et l'offre mondiale de pétrole dépend de nouveaux puits dans des endroits tels que la Russie, l'Irak, et au Canada.

    Le champ Bazhenov de Rosneft peut être encore plus grande que la durée de schiste de Bakken du Dakota du Nord, qui produit actuellement 1 million de barils de pétrole par jour et a provoqué la révolution de schiste en Amérique.

    Les sanctions peuvent contrecarrer sortie

    Russie, deuxième plus grand producteur de pétrole au monde, génère environ 10,5 millions de barils de pétrole par jour, du record de l'ère soviétique.

    Ses commentaires ont suivi les décisions de l'UE et des États-Unis d'élargir les sanctions contre la Russie vendredi, en ciblant l'État et d'entreprises pétrolières et gazières privées, y compris Gazprom, Rosneft, Transneft, et Lukoil. Ils ne peuvent obtenir à long technologie ou l'équipement États-Unis ou de l'UE pour l'extraction de l'eau profonde, de l'Arctique, ou l'huile de schiste.

    Les analystes estiment qu'il n'y aura pas de choc brutal à l'industrie du pétrole et du gaz russe, mais que les projets futurs et le développement à long terme sont à risque.

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  20. «Parce que des sanctions financières, les grands gorilles vont commencer à réduire leurs activités», Hayward a déclaré, en parlant de sociétés russes.

    Les sanctions seront également créer des problèmes pour les entreprises occidentales comme Exxon Mobil, BP, Shell et d'autres, qui ont des coentreprises d'une valeur de plusieurs milliards en Russie.

    ExxonMobil, par exemple, a formé une coentreprise avec Rosneft pour explorer l'Arctique russe, et détient également une participation de 19,75 pour cent dans la société.

    http://rt.com/business/187812-sanctions-russia-bp-oil-hayward/

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  21. Les fermiers européens durement touchés par l’embargo russe

    Tatiana Golovanova
    Par La Voix de la Russie

    Les combats de tomates à Amsterdam et le concours de pommes en Pologne ne figurent pas à l’affiche des manifestations festives en Europe mais font partie des actions de protestation des fermiers qui se sont avérés sans marché d’écoulement avec des tonnes de légumes et de fruits inutiles. Après l’introduction par la Russie de l’embargo sur les produits agricoles européens et vu l’inertie de Bruxelles, ces actions sont l’unique forme de protestation des fournisseurs européens.

    Que faire avec des tonnes de produits non demandés ? Ni les fournisseurs ni les réseaux de distribution de vivres ni les responsables du Parlement européen ne peuvent donner de réponse à cette question. En absence de nouveaux marchés d’écoulement, l’UE évalue les pertes. Selon plusieurs experts, l’économie du Vieux monde perdra suite à l’embargo et à aux sanctions à l’égard de Moscou jusqu’à un trillion d’euros.

    « Il convient de subdiviser les pertes des Etats européens en deux catégories. Premièrement, les pertes directes : les produits fabriqués pour la Russie qui n’ont pas été fournis, sont restés dans les dépôts ou détruits. Deuxièmement, les pertes indirectes : les produits non fournis et la réduction des exportations vers la Russie qui provoquent des baisses des prix », explique le chef du département des Opérations d’investissements de Lenta-bank Oleg Poddymnikov .

    En plus de la brusque chute des prix, l’embargo a failli provoquer une querelle entre les pays de l’UE. Prenant conscience de la responsabilité des eurocrates pour l’embargo introduit par la Russie, les fermiers se montrent mécontents dans les meetings, engagent des actions étranges et sont en quête des moyens de contourner les sanctions, dit le chef de la Commission de la Chambre publique de Russie pour le développement des PME Dmitri Sazonov :

    « Plusieurs initiatives se manifestent. Premièrement, les grèves et les exigences de compensation du préjudice. La Lituanie, la Lettonie, l’Estonie demandent les conditions particulières aux gouvernements. A y ajouter les tentatives d’importation illégale. Les Polonais ont essayé d’importer 40 tonnes de pommes sous forme d’aide humanitaire ».

    Or, le soutien promis par Bruxelles n’atteindra pas prochainement les fermiers européens. La Commission européenne a annoncé l’arrêt provisoire du soutien des fournisseurs de légumes et de fruits à cause des abus. Les fonctionnaires ont promis d’appliquer un nouveau schéma mais sans en préciser les délais.T

    http://french.ruvr.ru/2014_09_15/Les-fermiers-europeens-sont-dans-l-embarras-8574/

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  22. La richesse française passe la frontière belge


    par Audrey Duperron
    15 sept. 2014

    10% des cent plus riches ressortissants français ont un domicile en Belgique, et 20% sont présents d'une manière ou d'une autre dans le pays. C’est ce qui ressort d'une étude du journal L’Echo. Les cinq cents familles françaises les plus riches possédant plus de cinquante holdings ont placé 17 milliards d'euros d’actifs en Belgique.

    Contrairement à la France, il n’y a pas d’impôts sur la fortune en Belgique et la taxation du capital y est inférieure à celle de nos voisins de l’Ouest. Les familles concernées comprennent des noms associés aux grandes marques françaises que sont Décathlon, Damart, Louis Vuitton, Peugeot et Celio. Selon le journal, le recours à la Belgique pour la structuration de leurs entreprises et de leurs capitaux privés est de plus en plus fréquent.

    Parmis les émigrés les plus connus figurent Bernard Arnault, le patron de Louis Vuitton Moët Hennessy (LVMH), Marc Peugeot, du constructeur automobile PSA Peugeot-Citroën et Jean-Sébastien Decaux du groupe publicitaire JC Decaux.

    http://www.express.be/business/fr/economy/la-richesse-franaise-passe-la-frontiere-belge/207820.htm

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  23. Prof Bob Carter met en garde contre le manque de préparation pour le refroidissement global

    Anthony Watts / Septembre 13, 2014
    Eric Worrall écrit:

    Professeur Bob Carter, écrit dans l'édition d'aujourd'hui de The Australian, un quotidien australien majeur, avertit que le monde n'est pas préparé à un refroidissement global imminent, en raison de l'obsession des décideurs politiques avec le réchauffement climatique.

    Selon Bob Carter;

    En route pour l'âge de glace

    "GRAHAM Lloyd a rapporté le Bureau de la capitulation de la météorologie à la critique scientifique qu'il devrait publier une comptabilité des corrections qu'il apporte à des records de température (le« Bureau réchauffe à la transparence sur les dossiers réglés ", 12/9). Corrections qui, par ailleurs, agissent pour renforcer l'engagement de l'agence à un pronostic du réchauffement planétaire dangereux, en tournant de refroidissement tendances de la température dans les réchauffement - une pratique également connue pour se produire aux États-Unis, la Grande-Bretagne et la Nouvelle-Zélande.

    Pendant ce temps, nous avons un rapport de Sue Neales que la taille de notre récolte de céréales reste dans le doute suite de fortes gelées en NSW sud de tuer de grandes zones de cultures de blé au début et aussi endommager les cultures de blé et de canola en Australie du Sud et Victoria («Trifecta de calamités épuiser. la récolte ", 12/9)

    Est-il déraisonnable d'être surpris qu'aucun de vos écrivains, et encore moins le gouvernement, a remarqué que leader astrophysiciens solaires, comme Habibullo Abdussamatov de Pulkovo Observatoire de Saint-Pétersbourg, ont depuis des années des commentaires sur l'activité en déclin du soleil ?

    (suite en dessous:)

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  24. Ces scientifiques prévoient un refroidissement significatif au cours des trois prochaines décennies, et peut-être même l'apparition d'un autre petit âge glaciaire.
    Obsessed comme ils sont avec une tendance au réchauffement global douce qui s'est arrêté fin du dernier siècle, si le eventuate de refroidissement solaire prévu, les décideurs politiques amèrement le jour ils n'ont pas à tenir compte de l'avis des scientifiques indépendants sur les questions du changement climatique ".

    http://www.theaustralian.com.au/opinion/letters/poor-project-management-the-cause-of-subs-debacle/story-fn558imw-1227056963829

    Professeur Abdussamatov, cité par le professeur Carter dans sa lettre, est chef de la section de recherche spatiale de l'Académie des sciences de Russie.

    En 2006, le professeur Abdussamatov a publié un communiqué, avertissant que le monde doit se préparer à un refroidissement global imminent. Abdussamatov prédit que le refroidissement de la planète commencerait en 2012 -. 2015, et serait probablement un sommet vers 2055 http://en.ria.ru/russia/20060825/53143686.html

    Ce prédit un refroidissement global, s'il se produit, signifie que les hivers de vortex polaires et les mauvaises récoltes liées froids, comme la récente catastrophe de gel qui a détruit une partie importante de la récolte de blé de l'Australie, dans l'État de Nouvelle-Galles du Sud, vont devenir une partie normale de la vie, et sera très probablement devenir bien pire.

    Lecteurs WUWT pourraient rappeler un incident honteux de l'année dernière, dans lequel le professeur Carter a été déversé sans ménagement de son poste universitaire . À mon avis, l'enlèvement du professeur Carter faisait partie d'une purge continue des universitaires australiens qui ont des opinions démodés sur le changement climatique.

    =================
    Source du graphique:

    http://www.woodfortrees.org/plot/hadcrut3vgl/from:2001/plot/hadcrut3vgl/from:2001/trend

    http://wattsupwiththat.com/2014/09/13/prof-bob-carter-warns-of-unpreparedness-for-global-cooling/

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    Réponses
    1. (...) Ces scientifiques prévoient un refroidissement significatif au cours des trois prochaines décennies, et peut-être même l'apparition d'un autre petit âge glaciaire. (...) Il est déjà commencé: 2005/2035

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  25. Le US National Debt a augmenté de plus d'un billion de dollars au cours des 12 derniers mois



    Par Michael Snyder,
    le 14 Septembre, 2014


    L'idée que l'administration Obama a le déficit budgétaire sous contrôle est un mensonge complet et total. Selon le Trésor américain, le gouvernement fédéral a officiellement un déficit de 589 000 000 000 dollars pour les 11 premiers mois de l'exercice 2014, mais ce nombre est juste pour la consommation publique et il s'appuie sur des manipulations comptables qui sous-estiment massivement combien la dette est en fait étant accumulé. Si vous voulez savoir ce que le déficit budgétaire réel est, tout ce que vous avez à faire est d'aller vers un site américain du Trésor, qui calcule la dette nationale des États-Unis au centime près. Le 30 Septembre 2013, la dette nationale des États-Unis était assis à 16,738,183,526,697.32 $ . Au moment où j'écris ceci, la dette nationale des États-Unis est assis à 17,742,108,970,073.37 $ . Cela signifie que la dette nationale des États-Unis a en fait augmenté de plus d'un billion de dollars en moins de 12 mois. Nous continuons à rouler à toute vitesse jusqu'à la dette comme s'il n'y avait pas de lendemain, et, ce faisant, nous détruisons l'avenir de cette nation.

    Le tableau que j'ai posté ci-dessous montre la croissance exponentielle de la dette nationale des États-Unis au cours des dernières décennies. Toute personne qui allait caractériser cela comme «sous contrôle» est de vous mentir ...

    - voir graphique sur site -

    C'est la plus grande bulle de la dette publique dans l'histoire du monde, mais très peu de gens semblent avoir aucun désir de faire quelque chose à ce sujet plus. Nous sommes littéralement se gaver sur la dette, et la plupart des Américains semblent penser que c'est très bien et dandy.

    Peut-être que c'est parce que nous n'avons jamais vraiment connu de graves conséquences pour entrer dans la dette tant encore.

    Mais quand il s'agit de d'accumuler des dettes, un jour du jugement est toujours la suite.

    Il suffit de demander à la Grèce.

    Et les politiques de dépenses absolument fous de cette administration et le Congrès se hâtent le jour où notre jour du jugement arrivera.

    Considérons les faits suivants ...

    - Le Dette nationale des États-Unis a augmenté de plus de 7 milliards de dollars depuis que Barack Obama a été à la Maison Blanche. Au moment où le second mandat de Barack Obama est terminée, nous avons accumulé à peu près autant de nouvelles dettes sous sa direction que nous avons fait dans tous les autres présidents américains de toute l'histoire des États-Unis réunis.

    - Le Dette nationale des États-Unis est maintenant plus de 5000 fois plus grande qu'elle ne l'était lorsque la Réserve fédérale a été créé en 1913.

    - Si La dette nationale des États-Unis a été réduite à une pile de billets d'un dollar, il ferait le tour de la terre à l'équateur 45 fois .

    - RIGHT Maintenant, les États-Unis ont déjà plus la dette publique par habitant que la Grèce, le Portugal, l'Italie, l'Irlande ou l'Espagne.

    - En Août, le taux d'intérêt moyen sur la dette négociable du gouvernement était 2.028 pour cent. En Janvier 2000, le taux d'intérêt moyen sur la dette négociable du gouvernement était 6.620 pour cent. Si nous revenons à ce niveau aujourd'hui, nous serions bien payer plus d'un billion de dollars par an juste en intérêts sur la dette nationale.

    (suite en dessous:)

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  26. - Au Ce point, le gouvernement américain a accumulé plus de 200 milliards de dollars de dettes non provisionnées qui devront être payés dans les années à venir. En d'autres termes, nous avons fait plus de 200 milliards de dollars de dollars de promesses que nous n'avons pas d'argent pour l'instant.

    Thomas Jefferson a dit que «le principe de dépenser de l'argent à payer par la postérité sous le nom de fonds, n'est escroquerie futurity sur une grande échelle."

    Ce que nous faisons pour les générations futures est tout à fait inadmissible. Nous sommes en train de voler des milliards sur des milliards de dollars de nos enfants et de nos petits-enfants, et nous sommes volontiers les voue à une vie de servitude pour dettes.

    Je l'ai dit avant, mais il faut le répéter. Si les générations futures la chance, ils vont regarder en arrière et nous maudire pour ce que nous avons fait pour eux.

    Et honte à tous ceux qui oserait suggérer que nous devrions continuer à fonctionner plus de dettes que les générations futures devront rembourser.

    Mais la dette publique est loin d'être la seule bulle de la dette énorme que nous avons affaire à un pays.

    Il y a 40 ans, le montant total de la dette dans notre pays (toutes les dettes du gouvernement ainsi que toutes les dettes de l'entreprise ainsi que toutes les dettes individu) était assis à un total d'environ 2,3 milliards de dollars.

    Aujourd'hui, ce nombre a augmenté à 59,4 milliards de dollars.

    Comme le graphique publié ci-dessous, notre bulle de la dette totale est maintenant plus de 25 fois plus grande qu'elle ne l'était il y a seulement 40 ans ...

    - voir graphique sur site -

    Si vous deviez prendre toutes les formes de la dette dans notre pays et de le diviser en parts égales à chaque personne, la famille moyenne de quatre personnes doit environ $ 735,000 .( 568.327,11 €)

    Ce n'est pas n'importe où près d'être durable, mais la plupart des Américains ne semblent pas s'en soucier. Ils continuent juste à courir témérairement encore plus la dette.

    Cependant, il y a des signes que nous commençons à frapper un mur avec l'ensemble de cette dette.

    Par exemple, un étonnant 35 pour cent de tous les Américains ont des dettes qui sont tellement en retard qu'ils ont été renvoyées à des agences de recouvrement.

    Notre nation est devenue un océan d'encre rouge de la mer à la mer brillante, et la seule façon de garder la bulle d'éclater est pour le montant total de la dette de continuer à croître beaucoup plus vite que l'économie globale est en croissance.

    Évidemment, cela ne peut pas arriver indéfiniment, et quand ce château de cartes s'écroule, il va être absolument horrible. Pour beaucoup plus sur tout cela s'il vous plaît voir mon article précédent intitulé " Les Etats-Unis de la dette: la dette totale en Amérique frappe un nouveau record de près de 60 milliards de dollars ".

    La grande question est combien de temps notre «bulle économique» peut continuer avant qu'il s'effondre enfin.

    (suite en dessous:)

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  27. Il a obtenu au point où même certains des plus grandes banques du monde admettent que ce que nous avons fait est complètement et totalement insoutenable. Il suffit de considérer l'extrait suivant d'un article récent de Joshua Krause ...

    *****

    Récemment, les stratèges de la Deutsche Bank a publié une étude surprenante en ce qui concerne la dette publique. Ils ont décidé d'enquêter ou non sur le marché obligataire est actuellement dans une bulle. Ce qu'ils ont trouvé était, à la différence des époques précédentes, les 20 dernières années ont vu aucun décalage entre booms économiques et bustes:

    Il a longtemps été notre point de vue que, depuis quelques décennies l'économie mondiale a déployé de bulle en bulle avec excès ne jamais être admis pleinement à démêler. Au lieu des réponses politiques agressives les ont encouragés à rouler dans de nouvelles bulles .

    Cela a sans doute gardé le système financier moderne que nous connaissons de la continuité. De toute évidence il ya toujours eu des bulles formées à travers l'histoire, mais y at-il eu une période comme les 20 dernières années où l'éclatement d'une bulle a toujours conduit directement à la formation de la prochaine ?
    Essentiellement, notre système actuel a été en train de mourir d'une mort très lente. C'est s'essouffler .

    *****

    Malheureusement, la plupart des Américains n'ont aucune idée que nous vivons dans une bulle géante alimentée par la dette qui a une durée de vie limitée.

    La plupart des Américains pensent juste que, puisque les politiciens leur disent que tout va bien se passer qu'ils n'ont pas besoin de se préoccuper de tout cela.

    Mais chaque jour nos dettes obtenir encore plus grande et nos problèmes financiers à long terme devenir encore pire.

    Un jour, cette bulle va éclater et tout l'enfer va barder.

    C'est juste une question de temps.

    http://theeconomiccollapseblog.com/archives/the-u-s-national-debt-has-grown-by-more-than-a-trillion-dollars-in-the-last-12-months

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  28. Royaume-Uni fait allusion à la prochaine monnaie de réserve, d'émettre des obligations libellées en yuans chinois.

    Soumis par Tyler Durden sur 15/09/2014 12:41 -0400

    Yuanification continue partout dans le monde. Comme Les Etats-Unis tente de réunir ses alliés dans une «grande coalition», un nombre croissant de personnes - y compris des conseillers de politique économique intérieure - sont en train de passer de l'USD comme monnaie de réserve primaire. Cependant, le passage par le chancelier de l'Échiquier britannique, George Osborne, a annoncé vendredi, est probablement le plus notable encore en dé-dollarisation du monde. Comme le rapporte Xinhua, le gouvernement britannique l'intention d'être la première nation (hors Chine) d'émettre Renminbi libellés en obligations et utiliser le produit pour financer les réserves de devises du gouvernement. Osborne a décrit ce dialogue résultat comme «un moment historique» et une déclaration de confiance britannique dans le potentiel de la RMB pour devenir «la principale monnaie mondiale de réserve".

    Comme le rapporte l'agence Xinhua,

    Chancelier de l'Echiquier britannique George Osborne a annoncé vendredi que le gouvernement britannique envisage d'émettre une obligation libellée en renminbi et à utiliser le produit pour financer les réserves de devises du gouvernement.

    «Je peux maintenant annoncer que le gouvernement du Royaume-Uni a l'intention d'être le premier gouvernement national à l'extérieur de la Chine à émettre un emprunt dans la devise de la Chine. Nous avons émis des obligations en dollar américain avant, maintenant nous allons publier un lien en RMB ", a déclaré Osborne dans le communiqué de presse de la sixième Chine-Royaume-Uni dialogue économique et financier (EFD).

    Vice Premier ministre chinois Ma Kai et Osborne a conclu la réunion de la sixième Chine-Royaume-Uni dialogue économique et financier à Londres.

    Osborne a décrit ce dialogue résultat comme «un moment historique» et une déclaration de confiance britannique dans le potentiel de la RMB pour devenir «la principale monnaie mondiale de réserve".

    "Et laissez-moi être clair, que la Chine devient une place de plus en plus grande de l'économie mondiale, leur monnaie va être utilisé partout dans le monde. Nous ici en Grande-Bretagne comprenons, et nous voulons que nous soyons le premier pays à l'ouest à saisir les opportunités qu'elle apportera ", a déclaré Osborne.

    Pendant ce temps, l'émission d'obligations en monnaie chinoise est synonyme d'emplois et les investissements en Grande-Bretagne, qui plan économique à long terme du gouvernement est tout au sujet, a noté Osborne.

    * * *

    Avec des amis comme ça, ne les États-Unis ont besoin de plus d'ennemis ? Temps pour certaines sanctions Uk ...

    http://www.zerohedge.com/news/2014-09-15/uk-hints-next-reserve-currency-issue-chinese-yuan-denominated-bond

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  29. Juste au cas où : Département d'État ordonne à 160 000 combinaisons contre Ebola Hazmat

    Mac Slavo
    15 septembre 2014
    SHTFplan.com

    Mieux tard que jamais.

    Le gouvernement américain a commencé à commander des dizaines de milliers de Hazmat convient parfaitement aux lutte contre Ebola en Afrique et dans l'attente d'une flambée potentielle dans les frontières des Etats-Unis, selon un nouveau rapport de Paul Joseph Watson de Infowars.

    Le département d'Etat américain a commandé 160 000 combinaisons contre des matières dangereuses pour Ebola, ce qui incite les préoccupations que le gouvernement fédéral anticipe la propagation rapide d'un virus qui a déjà réclamé un nombre sans précédent de la vie.

    Dans un communiqué de presse publié par Market Watch, Lakeland Industries, un fabricant de vêtements de protection industrielle pour les premiers intervenants, a annoncé qu'il avait signalé son intention de "participer à la lutte contre la propagation du virus d'Ebola" en encourageant d'autres fournisseurs pour répondre à l'énorme demande créée par ordre du département d'État américain de 160 000 combinaisons de matières dangereuses.

    « Avec le département d'Etat américain seul éteindre une offre pour 160 000 costumes, nous encourageons toutes les entreprises de vêtements de protection pour augmenter leur capacité de fabrication de vêtements couture scellée afin que notre industrie peut jouer son rôle dans la lutte contre cette menace à la santé mondiale, » affirme le communiqué de presse.

    L'ordre énorme en vrac des combinaisons de matières dangereuses pour Ebola a attisé les préoccupations que le gouvernement américain prévoit que le virus à continuent de ravager le pays en Afrique de l'Ouest et peut également être préoccupé par l'apparition d'une foyer à l'intérieur des États-Unis.

    Bien que le département d'Etat a annoncé qu'il envisage une « poussée » du personnel médical d'urgence en Afrique de l'Ouest, seulement 1400 employés fédéraux sont actuellement dans la région, ce qui laisse supposer que le chiffre de 160 000 est beaucoup plus élevé que ce qui serait nécessaire simplement pour l'envoi de personnel médical à l'étranger.
    Rapport complet : Infowars.com

    Les ordres viennent dans la foulée de nombreux avertissements de chercheurs et de responsables de la santé qui disent que la contagion du virus Ebola peut être tellement répandue qu'il pourrait éventuellement infecter jusqu'à 5 millions de personnes en Afrique.

    Des modèles mathématiques suggèrent que, à sa propagation actuelle, Ebola pourrait infecter jusqu'à 10 000 personnes à la fin de ce mois et jusqu'à 100 000 en décembre si l'échec des efforts visant à contenir le virus. Jusqu'à présent, près de 5.000 personnes ont aurait contracté le virus et toutes les indications sont que ce nombre continue de croître.

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  30. Chercheurs au MIT et l'Institut de systèmes complexes de Nouvelle-Angleterre ont mis au point un modèle qui montre ce qui pourrait arriver que le virus fasse son chemin hors de l'Afrique via les principaux transports en commun comprenant l'Angleterre, correcte de l'Europe, en Asie et aux États-Unis. Les résultats sont effrayants et montrent une éventuelle propagation de toutes les régions peuplées de la terre.

    Les scientifiques disent que la flambée actuelle prendra probablement au moins 12 à 18 mois pour contenir et qui ne tient pas encore compte de la possibilité d'une mutation, tels que le virus étant entièrement aéroporté comme la grippe ou le rhume. Dans un tel cas, nous pourrions être face à une catastrophe généralisée qui serait dépassent de loin la mortalité massive de la population mondiale 5 % survenue pendant la grippe espagnole de 1918.

    Ce qui n'est pas dit publiquement, selon un rapport précédent, c'est que cette épidémie d'Ebola a eu une évolution sans précédent de hyper qui peut conduire à elle finit par être transmissible par la respiration, par opposition aux fluides corporels et les gouttelettes en suspension dans l'air. Selon les experts à la CDC et l'OMS, le virus est hors de contrôle. "nous sommes en terrain totalement inconnu et que Dame Nature est la seule force en charge de la crise à ce temps", selon le New York Times.

    Avec le gouvernement ayant déployé des kits de détection de virus Ebola bio et des laboratoires de confinement mobiles aux unités de la garde nationale dans chacun des 50 États, la toute dernière commande pour 160 000 combinaisons de matières dangereuses suggère que le virus n'est donc plus juste quelque chose qui aura une incidence sur les villes en Afrique.

    Le gouvernement prépare des fournitures à l'éventualité que l'Ebola atteindra les côtes américaines. Hôpitaux à travers les Etats-Unis prendre au sérieux la menace et mettent en place des procédures de contrôle et d'infection pour faire face à une flambée potentielle.

    En dépit des assurances que notre infrastructure médicale est prête à faire face à une crise pandémique, on ne sait ne pas quelle est l'efficacité la réponse sera, surtout si le virus mute et devient capable de propager par voie aérienne.

    Dans ce cas, il est probable que les infections seront aussi élevées parmi la population, notamment dans les grandes régions métropolitaines, que toutes les infrastructures seront comblés. Combinaisons de matières dangereuses peuvent conserver les travailleurs de la santé et les premiers intervenants sans danger, mais le virus se répandent comme une traînée de poudre à travers l'ensemble de la population.

    Si le virus devait commencer la diffusion aux États-Unis, la seule véritable méthode de prévention exigera que chaque individu et chaque famille ont un Plan de préparation pandémique.

    Mike Adams de nouvelles naturel a mis au point un Bio défense comment au cours gratuit pour aider les particuliers à se préparer à Ebola et pandémies en général.

    http://www.shtfplan.com/headline-news/just-in-case-state-department-orders-160000-ebola-hazmat-suits_09152014

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  31. Ebola - temps de l'action

    14 septembre 2014

    Je me suis entraîné en microbiologie donc j'ai regardé la situation Ebola se dérouler avec effroi calme. Lorsque mon professeur préféré a demandé ce qui était le pire des pires épidémies infectieuses, il pourrait imaginer, il a répondu que la somme de toutes les peurs serait un croisement entre le virus Ebola et la maladie de Newcastle. Ce serait une maladie hémorragique hautement mortelle, combiné avec un virus hautement contagieuse qui se transmet par les oiseaux. Il est temps de parler de la possibilité foncé que l'on pourrait apporter mutation - l'aérosol du virus Ebola.

    Tant que ce filovirus reste dans sa forme actuelle, ne se propager par contact direct avec une personne infectée et visiblement malade, nous avons une chance de limiter la propagation. La quarantaine est efficace. Si elle va dans l'air, la tâche devient comme la prévention de la grippe, mais sans testé cliniquement vaccins, dans une population sans aucune protection, et avec un taux de létalité de 60%. C'est l'option nucléaire.

    Le virus Ebola a plusieurs formes différentes, et au moins dans les études animales, il a " disparu en vol "avant. Théoriquement, c'est un jeu de cotes. Le plus de fois que le virus est copié - plus les chances sont que le droit de mutation se produira. Pour être brutalement franc, chaque personne infectée est un autre incubateur, offrant plus de copies, et plus de chances. Pour cette raison, et pour l'intérêt personnel seul, l'Occident devrait être à la vitesse supérieure pour aider les Africains contiennent ce. Les raisons humanitaires vont de soi. Mais notre compassion pour la souffrance horrible se répandre dans les bidonvilles et les villes de l'Afrique de l'Ouest pourrait facilement économiser des milliers, et peut-être des millions de vies, y compris notre propre théorie.

    Sur le plan positif, nous ne sommes pas sans défense. Il y a de bons reportages et des perspectives prometteuses. Plusieurs vaccins sont en cours d'élaboration. Dans l'immédiat, le sang des survivants contient des anticorps qui peuvent aider les victimes. L'Occident a augmenté copies monoclonaux de certains anticorps (c.. ZMapp ) mais ils ne se développer plus vite que les plants de tabac qu'ils ont été génétiquement modifiées pour développer en. Ken Brantly, l'un des survivants début des États-Unis qui a été donné ZMapp donne maintenant son sang à un autre travailleur humanitaire américain affligé. En Afrique, un marché noir a déjà vu le jour le commerce du sang des victimes. C'est risqué et il se répandra d'autres maladies, mais il est probablement une réponse rationnelle compte tenu des probabilités désastreuses. L'OMS organise une méthode plus propre. C'est l'une des rares fois, je pense, un gouvernement - si j'ose dire, même une solution Nations Unies -. Est quelque chose de favoriser et d'espoir pour . Allez grand-gouvernement, à l'exception, la surprise, le marché libre a battu le gouvernement, et maintenant certains à l'OMS sont à essayer d'éradiquer le «commerce illicite». (Savent-ils seulement le bénéfice-risque de ces métiers ?) Ne devraient-ils conseilleront adultes consentants et les soignants sur la meilleure façon de le faire, et les risques, et la collecte de statistiques ?

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  32. Les numéros du 9 Septembre de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) a déclaré qu'il avait enregistré 4293 cas dans cinq pays ouest-africains, dont au moins 2 296 personnes avaient trouvé la mort. Mais les experts de l'OMS estiment même qu'il s'agit d'une sous-estimation que beaucoup de gens sont soupçonnés d'être en train de mourir à la maison. Selon certaines estimations, 12 000 personnes ont été infectées par le virus Ebola à ce jour.

    Au moins 160 libériens travailleurs de la santé ont contracté la maladie et la moitié d'entre eux sont morts. Ebola se propage également en Guinée, en Sierra Leone et au Nigeria, et un cas a été signalé au Sénégal.

    - The Economist

    Tragiquement, le Libéria - qui se classe déjà au quatrième dernier dans le monde pour le nombre de médecins par habitant - a perdu près de 20 médecins à virus Ebola. Ils ne produisent que 10 médecins par an dans une classe médicale. - ABC

    "Ne pas mettre trop insister là-dessus: nous avons une fenêtre de fermeture peut-être des semaines avant que nous ne serons pas en mesure de gérer tous les cas sur le terrain de la manière que nous le feriez normalement." - Dr Ian Norton, chef de équipes médicales étrangères avec l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) - ABC

    Les bonnes nouvelles

    Aide médicale, même de base peut réduire les taux de mortalité de 90% à moins de 50%:

    “Sans soins médicaux, le taux de cette épidémie d'Ebola de mortalité est d'environ 90 pour cent. S'il est une maladie dévastatrice, il n'est pas universellement fatale, même avec un minimum de soins.

    Mais avec de meilleurs soins, et certainement avec les nouveaux centres de traitement d'Ebola et avec le bon nombre de personnel de les traiter, nous pouvons progressivement grimper le niveau de soins et de meilleurs résultats.

    Par exemple, nous avons vu en Guinée depuis plusieurs mois que de bons soins de soutien, nous pouvons ramener le taux de mortalité jusqu'à 30 à 50 pour cent au plus. - ABC

    Nous allons battre le virus Ebola, mais nous avons besoin de temps

    C'est une course entre deux courbes hausse rapide. La propagation exponentielle devient laid si vite. Si nous pouvons retarder la propagation, nous pouvons vaincre.

    En plus de l'anti-sérum et des anticorps monoclonaux, plusieurs vaccins dans la fabrication. Essais petits de sécurité ont déjà commencé. Mais ils sont potentiellement plusieurs mois loin d'être massive "testé sur le terrain" - même cette vitesse casse pratique éthique normale, mais étant donné la situation désastreuse peu se disputent.

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  33. “Le vaccin NIH / GSK est basé sur un virus bénin qui provoque le rhume chez les chimpanzés (un adenovirus). Il est capable d'infecter les cellules et de fournir des fragments de matériel génétique de deux variantes du virus Ebola (dont l'un est la souche Zaïre responsable de l'épidémie actuelle). Lorsque les protéines Ebola sont exprimés par les cellules infectées, une réponse immunitaire est déclenchée. Une version à l'aide d'une seule souche de virus Ebola est également testé.

    Le 7 Septembre, Nature Medicine a rapporté que l'immunité immédiate et durable à virus Ebola pourrait être stimulée chez les singes si un double coup est utilisé. Le premier coup amorce le système immunitaire avec un vaccin à base d'adénovirus; la seconde augmente avec une modification de la vaccine virus (le composant actif du vaccin que d'éradiquer la variole). Johnson & Johnson, une grande entreprise de soins de santé américain, a accéléré les tests de laboratoire d'un vaccin combiné, qui pourrait commencer les essais cliniques l'année prochaine.

    Un autre candidat vaccin a été développé il ya plusieurs années par l'Agence de santé publique du Canada. Il a été récemment autorisé par NewLink génétique de Ames, Iowa, qui a reçu l'approbation pour commencer la phase 1 des essais. Ce coup est basé sur un virus de la stomatite vésiculaire (VSV), une infection du bétail qui ressemble à la fièvre aphteuse, la fièvre aphteuse. VSV a déjà été utilisé pour développer des vaccins. Le nouveau vaccin, VSV-EBOV, est un virus vivant réplication qui infecte les cellules et les protéines virales d'Ebola porte dans l'hôte. Encore une fois, ce qui stimule une réponse immunitaire. - The Economist

    Les antiviraux sont également en développement. Fujifilm au Japon a offert à la boutique Favipravir dès que l'OMS demande.

    La CDC est suivi de la propagation.

    Nous dépensons des millions d'arrêter conflit barbare dans le Moyen-Orient - qui pourrait bien être justifiée. Mais Ebola pourrait être bien pire. Nous avons besoin du même genre d'effort international, et chaque semaine retardée rend plus difficile. Nous ne sommes pas au stade de la panique et de course, mais nous devons être lancer d'importantes ressources, à la fois sur la recherche et d'aider les affligés.

    Le côté humain de l'histoire actuelle est déchirant.

    “Monrovia: "... Jatu Zombo bercé son fils de 5 ans, Foday, sous une bâche mis en place pour bloquer le soleil. A quelques mètres de là, son garçon de 10 ans, Zennah, assis sur un pot de peinture. Les deux enfants étaient apathique et visiblement malade. Ils ont estimé froid et avaient été des vomissements. Leur père était mort quatre jours plus tôt, et Zombo, 36, passé des jours d'appeler une ambulance qui n'est jamais venu. Enfin, son frère payé quelqu'un 20 $ en devise américaine pour les amener à l'aéroport JFK.

    Mais les enfants ne pouvaient pas entrer. "Personne ne nous a parlé», a déclaré le frère de Zombo, Abraham Sesky. "Nous sommes juste assis. Nous ne savons pas. "- Washington Post

    Le risque:

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  34. “Les virologues, comme le Dr Bal à Nottingham, craignent que l'augmentation humain à humain transmission donne Ebola la possibilité de devenir plus transmissible. Chaque fois que le virus se réplique, de nouvelles mutations apparaissent. Il a accumulé et accroché à certaines mutations, comme "cerises sur un bandit manchot", dit-il. Personne ne sait ce qui se passerait si le virus Ebola a touché le jackpot avec une souche qui est encore mieux adapté à l'homme.

    À l'heure actuelle, de la nourriture, des fournitures médicales, les travailleurs de la santé, de la formation et des installations de quarantaine sont un investissement de l'Ouest serait fou de ne pas être de donner librement et rapide. Nous devons battre la courbe.

    Nouvelles sur le virus Ebola au MacLeans .ca

    Tout le pays de la Sierra Leone à mettre sur le verrouillage de 3 jours au milieu des craintes d'Ebola

    Des vaccins expérimentaux Ebola peuvent être prêts d'ici la fin de l'année 2014

    MISE À JOUR: Liberia demande aux États-Unis pour aider à vaincre le virus Ebola le système médical aurait briser sous la pression. Le personnel médical sont rares en Afrique de l'Ouest, et une nation est l'envoi de 165 pour vous aider ... Devinez quel pays envoie le plus grand groupe ?

    “Cuba a annoncé vendredi qu'elle allait déployer 165 membres du personnel médical à la Sierra Leone le mois prochain, le plus gros contingent de médecins étrangers et les infirmières engagées à ce jour. newsdaily

    http://joannenova.com.au/2014/09/time-to-talk-ebola/#more-38226

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  35. Ministère russe des Affaires étrangères: sanctions de l'UE ne laisse pas le choix de la Russie

    15 Septembre 2014 17:13

    Déroulement de l'UE spirale de sanctions réduit considérablement la possibilité pour un dialogue constructif. C'est ce qu'a déclaré aujourd'hui au ministère des Affaires étrangères après une réunion de la Secrétaire d'Etat - vice-ministre des Affaires étrangères de la Fédération de Russie GBKarassine avec le chef de la délégation de l'UE à la Fédération de Russie Vygaudas Usackas, les transfertsITAR-TASS.

    "La partie russe a donné une appréciation négative de l'entrée en vigueur du nouveau paquet de mesures restrictives de l'UE à l'égard de la Russie, - informé par dipvedomstva. - Il a été souligné que la spirale des poursuites du dénouement de sanctions de l'Union européenne, entre autres, réduit considérablement les possibilités d'un dialogue constructif."

    "Les actions des dirigeants de l'UE ne laissez pas la partie russe d'autre choix que de prendre des mesures supplémentaires pour protéger nos intérêts ", - a déclaré le ministère russe des Affaires étrangères.

    http://www.vesti.ru/doc.html?id=1972152

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    1. On sent tous très bien, on l'a tous compris que les 'Dirigeants' (non élus par le peuple) à Bruxelles connaissaient par avance le déroulement des sanctions à mettre en oeuvre sous le haut commandement des Etats-Unis et qui ruineraient tous les pays de l'union. Le seul 'gagnant' dans tout çà et qui s'en sort sans moindre mal est bien sûr la Russie en premier lieu et ses 'nouveaux' partenaires tels que les BRICS.

      C'est une page qui est tournée, des contrats commerciaux visiblement irrattrapables et enfin l'effondrement de cette 'union' qui n'a eu que des désavantages en vis-à-vis des transactions antérieures qui étaient meilleurement vécues.

      Retour donc aux pays avec frontières et monnaie personnelle où l'immigration sera enfin gérée et où chacun pourra y voir où va son argent. Le plus tôt sera le mieux. Seule lutte commune celle de la mafia.

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  36. Le gaz naturel eau potable contaminée au Texas, selon une étude
    Contenu en relation les travailleurs exposés à la fracturation des quantités dangereuses de benzène, selon une étude

    Par Neela Banerjee
    15 septembre 2014, 18:23

    Production de gaz naturel à proximité des habitations dans l'eau de puits de résidents subdivision Texas contaminés, selon une étude publiée lundi. La découverte a été faite dans une communauté où l'Environmental Protection Agency arrêté sa propre enquête il y a deux ans.

    Dans le cadre d'un effort plus large visant à déterminer l'origine de fortes concentrations de méthane dans aquifères d'eau potable à proximité des puits de gaz en Pennsylvanie et au Texas, les scientifiques ont constaté que l'eau dans deux maisons dans le comté de Parker, Texas, a changé plus de neuf mois à compter de contenant des traces de méthane d'avoir des niveaux élevés.
    Les cas nouvellement identifiés "pris cette contamination dans l'acte», a déclaré Robert Jackson, co-auteur et professeur de sciences environnementales à l'Université de Stanford étude.

    La découverte constitue un défi pour une affirmation de longue date par l'industrie du pétrole et du gaz que le boom de l'énergie qui balaie le pays n'a pas endommagé l'approvisionnement en eau. D'autres études ont montré que les puits d'eau près de la production de gaz naturel sont plus à risque de contenir du méthane que ceux plus loin. Mais l'industrie a soutenu que le méthane trouvé dans les puits d'eau est d'origine naturelle et a toujours été là, avant le début de la production de gaz.

    Chacune des 20 maisons testées, dans le comté de Parker a méthane détectable dans son eau de puits en raison de plusieurs couches de pétrole et de gaz dans le sol, les chercheurs ont dit. Le méthane qui entre dans les maisons par l'eau potable pose un risque d'explosion s'il s'accumule dans les locaux.

    Les deux maisons dont l'eau avait des quantités négligeables de méthane en 2012 ont été testés à nouveau en Août et Novembre 2013, quand ils ont montré des niveaux beaucoup plus élevés, indique l'étude. En outre, le méthane dans l'eau des propriétaires n'a plus la composition chimique du gaz de trace d'origine naturelle, d'après l'étude. Au lieu de cela, il avait la même empreinte chimique gisements de gaz naturel loin en dessous des aquifères, les scientifiques ont découvert.

    "Tout le chimie de gaz dans l'eau a changé de sorte que ce n'était pas seulement des niveaux plus élevés de méthane, mais méthane supérieur provenant d'une source totalement différente", a déclaré Thomas Darrah, professeur adjoint de sciences de la terre à l'Ohio State University et auteur principal de l'étude.

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  37. Darrah et ses collègues ont conclu que la contamination de l'eau a eu lieu lorsque le gaz naturel à une profondeur inférieure géologique migré plus en boire sources en raison d'un emploi du ciment défectueux autour du puits d'eau.
    Les chercheurs croient que, dans presque tous les cas, la contamination de l'eau a eu lieu parce que la mauvaise enveloppe ou cimentation autour des puits de gaz autorisés méthane de s'échapper sur les côtés et dans les aquifères. Dit Darrah, "Les bonnes nouvelles sont que la plupart des problèmes que nous avons identifiés peuvent potentiellement être évités par de futures améliorations de l'intégrité bien."

    Les conclusions de l'étude, publiée dans les Actes de l'Académie nationale des sciences, mettent en lumière la décision controversée de l'EPA en 2012 pour mettre fin à son enquête sur la contamination des puits d'eau possible dans le comté de Parker par la société d'énergie Range Resources.

    L'EPA s'est impliqué en 2010 en raison Range Resources et les régulateurs du Texas n'ont pas réussi à agir immédiatement sur les plaintes d'une possible contamination de l'eau potable par le propriétaire, selon un rapport de 2013 par l'inspecteur général de l'EPA. Lorsque l'EPA a mené ses propres tests d'eau de puits dans certaines maisons du comté de Parker, il a trouvé des niveaux élevés de méthane dans l'approvisionnement en eau de deux maisons qu'il posait un risque d'explosion, selon le rapport.

    Le ministère de la Justice a déposé une plainte au nom de l'EPA contre Range en Janvier 2011, mais retiré par Mars 2012 L'EPA et ministère de la Justice changé de cap, car l'EPA préoccupés par les coûts et les risques juridiques de l'affaire, le rapport de l'inspecteur général a dit. Les autorités texanes et Range nient que le développement du gaz de la société avait contaminé l'eau des habitants.

    Matt Pitzarella, un porte-parole de Range Resources, ont indiqué des experts de la société n'avaient pas encore lu l'étude, mais il fait de tests précédents par la société et Texas fonctionnaires qui "prouvent que les deux puits de Gamme n'aurait pas pu être la source de gaz dans toute puits d'eau, pas plus que tous les autres aspects de notre travail. "

    Les deux maisons du comté de Parker qui ont montré une nouvelle contamination sont près des puits forés par Range en 2009 et vendu en 2011 à la légende de gaz naturel.

    La nouvelle contamination a été identifiée dans le cadre d'une étude plus large qui a testé l'eau potable dans 20 puits dans le Barnett Shale au Texas et 113 puits dans la zone de schiste de Marcellus en Pennsylvanie.

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  38. Au Texas, des niveaux extrêmement élevés de méthane ont été trouvés dans cinq maisons, y compris les deux dont la contamination des chercheurs capturés par leurs tests. En Pennsylvanie, des niveaux élevés de méthane ont été trouvés dans 20 maisons.

    Au moins une maison en Pennsylvanie avaient des niveaux élevés de méthane qui était là tout le long, non liées à la production de gaz. Mais pour les autres maisons dans les deux Etats, l'empreinte chimique de méthane à des niveaux élevés dans l'eau potable était le même que le gaz naturel dans les formations plus profondes, selon l'étude. La deuxième ligne de la preuve, l'empreinte chimique des gaz trouvés avec du méthane dans le Texas et en Pennsylvanie, a également indiqué le méthane venu des profondeurs plus faibles, selon l'étude.

    http://touch.latimes.com/#section/1780/article/p2p-81372998/

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  39. Pourquoi s'inquiéter ? Les deux graphiques les plus effrayants Dans Le Monde

    Soumis par Tyler Durden sur 15/09/2014 13:35 -0400
    Soumis par Erico Matia Tavares via Sinclar & Co ,

    Il y a beaucoup de choses à vous soucier de ces jours. Une consultation rapide (13 septembre 14) d'aujourd'hui drudgereport.com donne le ton: le Pape dit la Troisième Guerre Mondiale est en cours; un démocrate supérieur accuse les républicains de la civilisation en danger; drones envahissent la vie privée des citoyens; milices bloquent la circulation dans la frontière mexicaine; Feds courent un $ 589 000 000 000 déficit budgétaire des États-Unis; le Royaume-Uni pourrait s'effondrer; l'épidémie d'Ebola devient sérieux en Afrique; un mystérieux virus se propage à New York et CT (et on ne pouvait pas s'empêcher d'ajouter celui-ci: yoga Hillary Clinton est en train de faire).

    Avec tout cela, dans nos esprits, il est facile d'oublier, ou du moins mettre en contexte, les progrès extraordinaires que l'humanité a accompli au cours des siècles contre chances remarquables. La population mondiale a augmenté de façon constante, prouvant Malthus mal. Les maladies graves comme la poliomyélite et la variole, qui a touché les monarques et même présidents au cours des siècles, ont été éradiquées. Nous pouvons sillonner la planète en moins de 24 heures et mettre des satellites dans l'espace profond. Les baby-boomers et leurs enfants sont les générations les plus prospères du monde a jamais vu.

    Cela montre que d'assez d'intelligence, de volonté politique, le bon sens et la persévérance plupart des défis auxquels nous sommes confrontés en tant qu'espèce peut être surmonté. Cela devrait fournir une quantité décente de l'espoir que nous pouvons aborder tout ce que nous sommes confrontés à l'heure actuelle.

    Alors, pourquoi s'inquiéter ?

    Eh bien, ce qui se passera si nous commençons à perdre ces qualités et valeurs en tant que société mondiale? C'est pourquoi nous pensons que les graphes suivants sont le plus effrayant dans le monde d'aujourd'hui:

    MONDE QI NIVEAU DANS LE TEMPS

    - voir graphique sur site -
    Source: MailOnline, Université de Hartford.


    INDEX DES DÉPENSES MILITAIRES DANS LE TEMPS (1950 = 100) (a)

    - voir graphique sur site -
    Source: SIPRI.

    (A) Sur la base des dépenses de l'OTAN (en dollars constants de 2011), la série de données la plus longue disponible publiquement.

    (suite en dessous:)

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  40. Le citoyen moyen mondial se bête alors que nos moyens de faire du mal sont en augmentation. Cette tendance n'est clairement pas notre ami.

    Considérez ce qui suit.

    Pays à travers le monde d'aujourd'hui dépensent plus de $ 1,7 trillions sur des armes - plus que le total des investissements mondiaux dans la fourniture d'énergie. Au-delà des fabricants et des fournisseurs en aval, ce qui produit zéro avantages économiques (armes deviennent obsolètes très rapidement et ne génèrent pas de rendements, mais au contraire comme, eh bien, ils soufflent trucs) et les coûts associés ajouter à déjà des niveaux de la dette publique pléthorique. Et c'est nous $ 1,7 trillions moins disponibles chaque année pour améliorer l'éducation dans le monde, la nourriture et la disponibilité du carburant, de l'environnement et les changements démographiques mondiaux, toutes les questions critiques de la 21 ème siècle.

    Aussi inquiétant, c'est le fait que le contrôle de ces armes peuvent être rapidement perdus, créant la perspective de blowbacks, jamais la fin des conflits et des tragédies majeures.

    Avant 1991, l'Union soviétique avait plus de 27 000 ogives nucléaires et beaucoup d'uranium de qualité militaire et du plutonium de tripler ce nombre. Bien qu'il y ait eu aucun cas confirmé d'armes nucléaires anciens-soviétique manquantes ou volées (étonnantes étant donné tous les bouleversements politiques et économiques depuis), il est amplement prouvé d'un marché noir important de matières nucléaires. Combien de temps avant que quelqu'un dans cette piscine en pleine expansion des idiots met la main sur une partie de la conjecture pure est.

    Remarque: les accidents peuvent arriver ainsi, en ajoutant à l'inquiétude de la manipulation de ce type de puissance de feu. Par exemple, en 1961, un B-52 transportant deux bombes nucléaires a éclaté à la mi-air, laissant tomber sa charge nucléaire à proximité de Goldsboro, en Caroline du Nord. Cinq des six fusibles destinés à prévenir une détonation a échoué dans l'une des bombes, avec seulement le dernier éviter une explosion nucléaire. C'était un appel à proximité incroyable.

    Et maintenant l'agitation se répand à travers le Moyen-Orient encore une fois. Avec tous les conflits en cours, toute personne faisant du bénévolat et de se battre pour l'une des parties sera donné de la nourriture et des armes gratuitement, gracieuseté des puissances régionales et internationales associées. Ce que ces armes y rester, concernant aussi que peut-être déjà pour les populations locales, ou vont-ils être utilisés ailleurs, même si le conflit est contenue ou résolu ? Comme nous le savons tous fondamentalistes - probablement le plus idiotes de la grappe - sont prêts à faire n'importe quoi.

    L'humanité ne peut pas risquer son avenir tomber dans les mains des bouffons de plus en plus meurtrières. Les enjeux sont tout simplement trop élevé maintenant. Espérons que nos dirigeants sont attentifs, mais cela devrait tous nous préoccuper. Essayons d'être intelligent à ce sujet - alors que la puce est toujours en cours.

    http://www.zerohedge.com/news/2014-09-15/why-worry-two-scariest-charts-world

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    1. Petit rappel que tout est fait pour ruiner celles et ceux qui voudraient devenir riche et les maintenir coute que coute dans la pauvreté via de fausses dettes fabriquées de toutes pièces dont ni la 'majorité' ni 'l'opposition' ne cherche à poursuivre les escrocs qui les ont mises en place !

      Secundo: Si quelqu'un est riche il accède au savoir et achète des armes ! Donc: rivalité avec les 'Dirigeants'

      Rappel également que les Dirigeants sont les citoyens du peuple et, les Exécutants sont ceux qui sont élus à la fonction de gérer les finances et non le contraire !

      Un chef d'Etat doit faire ce que le peuple demande (donc doit tenir ses promesses !) et non faire à ses idées personnelles de dictateur comme il y a encore dans les monarchies.

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  41. Gazprom affirme Kiev Si Blame Varsovie Pour l'alimentation de gaz Cut


    Soumis par Tyler Durden sur 15/09/2014 14:24 -0400

    Soumis par Andy Tully via OilPrice.com ,



    Personne ne conteste que la quantité de gaz russe via l'Ukraine étant courante a été coupée par au moins 20 pour cent. Mais qui est responsable ?

    La Pologne a déclaré le 10 septembre que la quantité de gaz provenant du monopole gazier Gazprom-Kremlin était par au moins un cinquième, alimentant une méfiance croissante dans beaucoup de l'Europe que Moscou utilise l'énergie comme levier dans son différend avec l'Occident continue sur ses actions en Ukraine.

    La compagnie de gaz contrôlé par l'Etat de la Pologne PGNiG dit livraisons de gaz de Gazprom via l'Ukraine et le Bélarus voisin étaient en baisse de 20 pour cent le 8 septembre et de 24 pour cent sur le 9 septembre Il dit que c'est le manque d'instruction.

    Pendant ce temps, Ukrtranzgaz, le monopole de l'oléoduc de l'Ukraine, a déclaré Gazprom a réduit transferts vers la Pologne pour éviter "l'inversion des flux" de gaz, où Varsovie détourne 4 millions de mètres cubes de gaz par jour dirigés pour l'Europe occidentale vers le sud pour desservir les maisons et les entreprises ukrainiennes.

    Uktransgaz PDG Igor Prokopiv déclaré que la Russie tente de "dérailler" cet accord à contre-courant. Ukraine devient pas de gaz directement à partir de la Russie dans un litige sur encours de la dette pour les livraisons de gaz précédents.

    Gazprom affirme que son flux de gaz n'a pas changé et que si il y a une réduction, c'est la faute de la Pologne, pas la Russie.

    "Les rapports des agences de presse sur la réduction des volumes de livraisons de gaz par Gazprom à la PGNiG de la Pologne sont incorrectes", a déclaré le porte-parole de Gazprom Sergueï Kupriyanov, selon RT, citant l'agence Itar-Tass. "Le même volume de gaz que les jours précédents - 23 millions de mètres cubes par jour - est fourni en Pologne maintenant."

    Peu importe qui est responsable de la réduction du débit de gaz, les conséquences du conflit vont bien au-delà de la Pologne et de l'Ukraine. pays de l'UE obtiennent un tiers de leur approvisionnement en gaz en provenance de Russie, et la moitié de ce montant les flux transitant par l'Ukraine. Litiges similaires ont conduit à des interruptions dans la fourniture de gaz à l'Europe à deux reprises, en 2006 et 2009.

    Néanmoins, il n'y avait aucune preuve que la pénurie actuelle nuisait à tous les clients d'Europe occidentale. Slovaquie, un point de transit important pour les exportations de gaz russe vers l'Europe, a déclaré volumes n'avaient pas changé, et les opérateurs en Hongrie, la Bosnie et la Serbie ont dit la même chose.

    Et en Autriche, un porte-parole de la société d'énergie OMV a déclaré à Reuters : «La situation de l'approvisionnement en Autriche est normal. Les livraisons de notre partenaire russe entrent dans la gamme des fluctuations normales ".

    http://www.zerohedge.com/news/2014-09-15/gazprom-says-kiev-should-blame-warsaw-gas-supply-cut

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  42. Qu'est-ce qui a tant effrayé l'USS Donald Cook en Mer Noire ?

    Réseau Voltaire
    dim., 14 sept. 2014 12:00 CEST

    Le Département d'État a reconnu que l'équipage du destroyer USS Donald Cook est gravement démoralisé depuis qu'il a été survolé en Mer Noire par un avion russe de combat Sukhoï-24 (Su-24) qui ne portait ni bombes ni missiles mais uniquement un dispositif de guerre électronique.

    Sur cette vidéo, le destroyer USS Donald Cook arrive en Mer Noire pour prendre position à proximité des eaux territoriales de la Russie

    - voir clip sur site -
    Le 10 avril 2014, le destroyer USS Donald Cook arrivait en Mer Noire et le 12 avril un bombardier tactique russe Su-24 survolait ce vaisseau au cours de l'incident qui, d'après plusieurs medias, aurait totalement démoralisé l'équipage du navire US, à tel point que le Pentagone a émis une protestation [1].

    L'USS Donald Cook (DDG-75) est un destroyer lanceur de missiles de quatrième génération dont l'arme fondamentale sont les missiles de croisière Tomahawk, ayant une portée maximale de 2 500 kilomètres et étant capables de porter des ogives nucléaires. Dans le cadre d'une mission de routine, l'USS Donald Cook est porteur de 56 Tomahawk mais en configuration d'attaque il est muni de 96 de ces missiles de croisière.

    Ce destroyer US est équipé du système de combat de dernière génération Aegis. Il s'agit d'un système intégré capable de relier entre eux les moyens de défense antimissile de tous les navires où il est embarqué créant ainsi un grand réseau qui garantirait la détection, la poursuite et la destruction de centaines de cibles en même temps. L'USS Donald Cook est muni aussi de 4 énormes radars, dont la puissance est comparable à celle de plusieurs stations. Pour assurer sa protection, il est porteur en plus d'une cinquantaine de missiles antiaériens de divers types.

    Or, le Su-24 russe qui survola l'USS Donald Cook ne portait ni bombes ni missiles mais uniquement une nacelle, installée sous son fuselage, qui, selon la publication russe Rossíyskaya Gazeta [2], contenait un dispositif russe de guerre électronique dénommé Jibiny.

    Quand l'avion russe a entamé la phase d'approche, ce dispositif de guerre électronique aurait inutilisé tous les radars, circuits de contrôle, systèmes de transmission d'information, etc. embarqués à bord du destroyer US. Autrement dit, le tout-puissant système Aegis, aujourd'hui incorporé - ou en phase d'installation - aux systèmes embarqués de défense des navires les plus modernes de la OTAN, a été tout simplement déconnecté comme un poste de télé qu'on éteint avec une télécommande.

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  43. Le Su-24 russe a ensuite simulé une attaque au missile contre l'USS Donald Cook, déjà rendu littéralement sourd et aveugle. Comme s'il réalisait un exercice d'entraînement, l'appareil russe - non armé - a répété la même manœuvre d'attaque au missile à 12 reprises avant de s'éloigner du destroyer US de quatrième génération.

    Après cela, l'USS Donald Cook a tout de suite mis le cap sur un port en Roumanie.

    Depuis cet incident, qui reste soigneusement occulté par la presse atlantiste malgré le foisonnement de commentaires parmi les spécialistes du secteur de la défense, le navire US n'a plus approché les eaux territoriales russes.

    Selon quelques media spécialisés, 27 marins de l'USS Donald Cook auraient demandé à être relevés du service actif.

    Le directeur du centre de recherches sur la guerre électronique et d'évaluation des moyens dits de « réduction de la visibilité » de l'Académie de l'aviation militaire russe, Vladimir Balybine, a émis le commentaire suivant :

    « Plus un système radio-électronique est complexe, plus simple il devient d'interrompre son fonctionnement par l'utilisation de moyens de guerre électronique. »

    Vidéo de présentation du système états-unien Aegis. Actuellement embarqué sur les navires de guerre les plus sophistiqués de l'US Navy et en cours d'incorporation à la panoplie des forces navales de l'OTAN, ce système de défense antimissile aurait été totalement neutralisé en Mer Noire par un système russe de guerre électronique.
    Notes :

    [1] Pentagon Protests Russian Jet Buzzing Antimissile Ship in Black Sea, Global Security Newswire, 15 avril 2014.

    [2] Rossíyskaya Gazeta, édition du 30 avril 2014.

    http://fr.sott.net/article/23145-Qu-est-ce-qui-a-tant-effraye-l-USS-Donald-Cook-en-Mer-Noire

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    Réponses
    1. Il s'agirait donc d'un système embarqué d'IEM sur le Sukhoi qui procéderait à la manière d'un scanner rayonnant qui le protège lui-même de toutes attaques de missiles téléguidés !

      D'où l'impossibilité de s'opposer à l'attaquant qui avance vers sa cible et la 'grille' sur place !

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  44. Les conséquences de la fracturation: Deux Vues s'affrontent


    Soumis par Tyler Durden sur 15/09/2014 19:00 -0400
    Soumis par Andy Tully via OilPrice.com ,


    Deux études académiques sur les dangers sanitaires de la fracturation hydraulique, ou fracking, ont abouti à des conclusions différentes.

    Étude, menée par l'Université de Yale, a déclaré personnes vivant à proximité de sites de fracturation font état d'une augmentation des problèmes de santé. L'autre, par l'Université Penn State, dit eau de fracturation reste sous la terre, bien en deçà des réserves d'eau souterraine que les gens utilisent pour boire, et ne pose pas de menace.

    Les deux études ont été menées en Pennsylvanie, une partie de la formation Marcellus Shale dans le bassin des Appalaches tentaculaire dans l'est des Etats-Unis. Il détient d'énormes réserves de gaz et a été au centre de l'activité de fracturation et des protestations.

    Dans l'étude de Yale, ancien professeur de médecine de Yale Dr Peter Rabinowitz publiée dans la revue Environmental Health Perspectives que les résidents vivant à proximité d'un site de fracturation dans le sud-ouest de Pennsylvanie étaient deux fois plus susceptibles de signaler des problèmes de peau et de maladies respiratoires que ceux qui vivent plus loin.

    Rabinowitz, maintenant à l'Université de Pennsylvanie de Washington, interrogé 492 personnes dans 180 ménages dans le comté de Washington, PA - au cœur de la Marcellus Shale. Trente-neuf pour cent des répondants vivant à moins de 0,6 d'un mile d'un puits de gaz rapporté des infections des sinus et des saignements de nez, contre 18 pour cent qui dit la même chose et a vécu plus de deux fois plus loin.

    La différence était encore plus marquée pour ceux qui déclarent des problèmes de peau: 13 % ont rapporté des éruptions cutanées, alors que seulement 3 % des personnes qui vivaient plus loin avait les mêmes plaintes.

    Rabinowitz a déclaré que c'est "la plus grande étude à ce jour" de ce genre. Mais il a averti qu'il ne relie directement la fracturation hydraulique pour les problèmes de santé. Pour déterminer qui aura besoin de plus de recherche, dit-il, parce que «c'est plus d'une association d'un lien de causalité."

    L'étude de Penn State a conclu que l'eau et les produits chimiques qui sont injectés dans le schiste en profondeur pour aider gaz extrait des séjours loin de la surface et par conséquent, ne constitue pas une menace sérieuse pour l'eau potable.

    (suite en dessous:)

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  45. L'étude, dont les résultats ont été publiés dans le Journal of Unconventional ressources pétrolières et gazières, a été réalisée par Terry Engelder, professeur de géosciences à Penn State; Laurent Cathles, professeur de la terre et sciences de l'atmosphère à l'Université Cornell; et Taras Bryndzia, géologue à Shell International Exploration et Production, Inc.

    Les opposants à la fracturation disent l'eau contaminée utilisée pour aider à extraire le gaz pourrait s'infiltrer vers la surface et des eaux souterraines faute propre. L'étude de Penn State dit que ce n'est probablement pas parce que l'eau ne s'infiltre trop lentement, si elle s'est infiltrée à tous.

    En outre, il est dit, la migration vers le haut de l'eau contaminée n'est pas plausible en raison des forces utilisées pour injecter l'eau dans le schiste. "Comme l'eau est méchant en gaz de schiste, le gaz naturel dans le schiste est poussé, dit Engelder. "Les forces capillaires qui sucent le [l'eau] dans le gaz de schiste y maintenir."

    Le débat se poursuit.

    http://www.zerohedge.com/news/2014-09-15/consequences-fracking-two-clashing-views

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  46. Ron Paul demande «Est-ce que le vote suisse pour obtenir leur or retour ?"


    Soumis par Tyler Durden sur 15/09/2014 18:00 -0400
    Soumis par Ron Paul par Le Institut Paul Ron pour la paix et la prospérité ,



    Le 30 Novembre, les électeurs de la Suisse se rendre aux urnes pour voter lors d'un référendum sur l'or. Sur le bulletin de vote est une mesure visant à interdire à la Banque nationale suisse (BNS) de nouvelles ventes d'or, de rapatrier l'or suisse appartenant à la Suisse, et à exiger que l'or représentent au moins 20 pour cent des actifs de la BNS. Résultant du sentiment populaire similaire à l'évolution des Etats-Unis, l'Allemagne et les Pays-Bas, ce référendum est une tentative d'apporter plus de supervision et de responsabilisation à la BNS, banque centrale de la Suisse. Le référendum suisse est entraîné par un courant d'insatisfaction à l'égard de la conduite non seulement de la politique monétaire suisse, mais aussi de la politique de la banque suisse.

    La Suisse est peut être un petit pays, mais elle est une nation fière de son indépendance et de son histoire de tenir tête à la tyrannie. La célèbre légende de Guillaume Tell incarne l'essence du caractère national suisse. Mais aucun régime tyrannique de l'histoire a intimidé Suisse autant que le gouvernement des Etats-Unis a, ces dernières années. La tradition suisse du secret bancaire est légendaire. La réalité, cependant, est que le secret bancaire suisse est mort. Des pays tels que les États-Unis ont pas voulu maintenir les dépenses du gouvernement en échec, mais ils sont à court de moyens pour financer ces dépenses. De plus la taxation de leurs populations est politiquement difficile, l'émission massive de la dette publique a saturé les marchés obligataires, et donc la cible facile est de petits pays comme la Suisse, qui ont acquis la réputation d'être des «paradis fiscaux». Rappelez-vous que paradis fiscal est juste un terme pour un pays qui permet aux gens de conserver une plus grande part de leur argent que les Etats-Unis ou de l'UE fait, et ne cherchent pas à piller ni ses citoyens ou de ses titulaires de comptes étrangers.

    Mais les dernières années ont vu une tentative concertée par les Etats-Unis et l'UE à sévir contre ces petits pays, en utilisant leur énorme pouvoir financier pour les obliger à remettre les détails du compte afin qu'ils puissent extraire plus de recettes fiscales. Les États-Unis ont utilisé son système judiciaire pour extorquer de l'argent à partir de la Suisse, collage les filiales américaines des banques suisses pour avoir abriter les contribuables américains et en leur permettant de garder leurs comptes et les revenus cachés des autorités fiscales américaines. pays de l'UE comme l'Allemagne sont même allés jusqu'à acheter des informations de compte volé des banques suisses par les employés de banque peu scrupuleux. Et avec la mise en œuvre récente de la loi Foreign Account Tax Compliance (de FATCA), les banques suisses vont maintenant être obligés de divulguer à l'IRS toutes les informations qu'ils ont sur les clients susceptibles de verser des impôts.

    (suite en dessous:)

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  47. Sur le front de la politique monétaire, la BNS vendus sur 60 pour cent des réserves d'or de la Suisse dans les années 2000. La BNS a également mis en place ces dernières années un taux de change fixe, avec 1,2 francs suisses pour un euro. Les effets de la cheville se sont déjà manifestés sous la forme d'une bulle immobilière croissante, les prix des logements ont augmenté dangereusement. Compte tenu de l'action de la Banque centrale européenne (BCE) de se livrer à un nouvel assouplissement quantitatif, la continuation de la BNS de cette dangereuse et téméraire signifie la politique qu'il continuera lier sa politique monétaire à celle de l'UE et être forcé d'importer plus d'inflation en Suisse.

    Tout comme les États-Unis et l'UE, la Suisse au niveau fédéral est dirigé par un groupe d'élites qui sont plus préoccupés par leur propre statut, bien-être, et la réputation internationale de la bien du pays. Le référendum d'or, si elle est réussie, seront une claque dans le visage de ces élites. Les Suisses apprécient le travail de leurs ancêtres mises en bâtiment d'importantes réserves d'or, une monnaie respecté, et un système bancaire solide, indépendant. Ils ne veulent pas voir des siècles de lutte gaspillé par une banque centrale. Les résultats du référendum Novembre peut être un baromètre, indiquant à quel point les mouvements populaires forts peuvent être en établir les responsabilités de la banque centrale et le retour de l'or à un rôle monétaire.

    http://www.zerohedge.com/news/2014-09-15/ron-paul-asks-will-swiss-vote-get-their-gold-back

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    1. Souvenez-vous quand la Bundesbank a voulu rapatrier son or de New-York... et que, quelques temps plus tard la Suisse avouait qu'elle avait placé son or... à New-York !!!

      Souhaitons-lui d'avoir plus de chance d'en rapatrier plus d'1 kilo par décennie !

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  48. Blowback des salaires minima; La déshumanisation de Fast-Food est commencé


    Soumis par Tyler Durden sur 15/09/2014 19:40 -0400



    En Janvier, nous avons noté "Smart Restaurant" - le robot de hamburger-renversant - et le mois dernier, nous avons signalé sur la robotification de la Chine de l'entreprise de restauration rapide; mais, comme Le Washington Post rapporte, le plus grand ennemi de l'ouvrier du fast-food au salaire minimum exigeant est arrivé: vous pouvez maintenant commander votre propre quart de livre cheeseburger bacon d'un accueil, une machine non-jugement. Avec des ventes de McDonalds le pire en près d'une décennie, il semble que leur nécessité de maintenir les bénéfices a alimenté un mouvement vers la déshumanisation. Un étonnant combien de temps avant cette action est également déclaré «antipatriotique».

    Comme le rapporte WaPo ,

    Si vous avez déjà senti coupable commande chez McDonald, le fast-food méga-chaîne a juste le correctif: Vous pouvez maintenant commander votre propre quart de livre cheeseburger bacon de, une machine non-jugement accueillant.

    ...

    Le mouvement de McDonald vers la déshumanisation, lancé comme un hiver dernier pilote et étendu à l'ensemble de San Diego la semaine dernière, fait partie d'une tendance plus large de restaurants de la chaîne tournant tablettes dans votre temps plein restaurant de copain : parties égales menu, serveur et chèque de paie. Applebee, Panera Bread et même des bars de l'aéroport ont installé des tablettes pour permettre aux convives de commander de la nourriture ou l'alcool sans attendre.

    Le Chili est devenu le roi de US de la commande humaine moins cet été quand il a installé plus de 45 000 tablettes de table à l'échelle nationale.

    Alors que le contrôle des coûts est un facteur, la commande de la tablette avait un autre argent doublure ...

    Le passage à la tablette est un pari de marketing sur une bizarrerie de la psychologie de l'acheteur: Que les clients commandent plus de nourriture si ils peuvent le faire sur un écran. Lors de la commande d'une personne peut vous amener à freiner votre appétit, une tablette est assis en silence et sans danger, couvert de publicités colorées. Rabattre sur une tablette peut aussi conduire les clients à essayer quelque chose de nouveau, ce qui pourrait les rendre plus heureux et plus susceptibles de revenir.

    Avec la commande de la tablette, "vous pouvez servir plus de repas à l'heure, et les clients, car si beaucoup utilisent leur smartphone pour à peu près tout, le voir comme plus pratique."

    Bien sûr, dans un monde de coûts en capital De minimis (de courtoisie d'une Fed semble créer mandatée emploi) comme une stratégie, pourquoi ne pas le McDonalds du monde à adopter. Le résultat, comme nous l'avons expliqué précédemment, est trop évident ...

    Qu'est-ce qui se passe après que devrait être clair pour tout le monde : plus de chômage, baisse des salaires des employés restants, pire moral des travailleurs, mais les bénéfices encore plus élevés pour les détenteurs de capitaux. Et ainsi de suite. Parce que dans un monde où la technologie rend le travailleur non qualifié utterely pertinent, c'est ce qui est connu comme «progrès».

    * *
    Voilà pour 15 demandes au salaire minimum $ ... On peut se demander combien de temps avant «tablettes» sont également déclarée «antipatriotique».

    http://www.zerohedge.com/news/2014-09-15/minimum-wage-blowback-de-humanization-fast-food-has-begun

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  49. 20% de chance d'Ebola aux Etats-Unis en Octobre; 277 124 cas dans le monde en fin d'année, le modèle prédit


    Soumis par Tyler Durden sur 15/09/2014 15:11 -0400


    "Il n'y a rien d'être optimiste sur," avertit le professeur qui a développé l'épidémie mondiale et de la mobilité modèle pour évaluer les épidémies, "si le nombre de cas augmente et nous ne sommes pas en mesure de commencer à apprivoiser l'épidémie, alors il sera trop tard. Et alors il nécessite un effort qui sera impossible à apporter sur le terrain." Comme le rapporte FredHutch, l'épidémie Ebola qui sévit dans toute l'Afrique de l'Ouest obtiendra probablement bien pire avant de s'améliorer, a plus que doublé le nombre de cas connus d'ici la fin de ce mois-ci, prédisant plus de 10.000 cas de maladie à virus Ebola pourrait être détecté par le 24 septembre - et des milliers d'autres après que. "Le chat est déjà hors de la boîte - chemin, sortir», comme l'analyse de la mobilité mondiale et les tendances de l'épidémie montre un peu prés 25% de chances de détection d'Ebola au Royaume-Uni d'ici la fin de Septembre et 18%, il se retrouvera dans la Etats-Unis. "J'espère avoir tort, conclut-il, mais" les points de données sont toujours alignés avec le pire des cas. "

    Via FredHutch,

    Les trois prochaines semaines seront cruciales pour déterminer si l'épidémie d'Ebola est apprivoisé ou fait rage hors de contrôle, les experts ont convenu.

    ...

    Des responsables de l'OMS ont prédit jusqu'à 20 000 cas du virus Ebola et présenté une «feuille de route» pour la riposte qui appelle à l'arrêt de l'épidémie dans les six à neuf mois. Mais c'est seulement si une réponse mondiale "massif" est mis en œuvre.

    Le scénario modélisé dans le nouveau document suggère que le nombre réel de cas pourrait dépasser de loin l'estimation de l'OMS - et beaucoup plus tôt. Vespignani dit que lui et ses collègues sont calibrer le modèle toutes les deux semaines pour voir si il n'y a aucun changement. Jusqu'à présent, la réponse est non.

    "Les points de données sont toujours alignés avec le pire des cas," dit Vespignani. «C'est un mauvais pressentiment. j'espère avoir tort. "

    C'est un sentiment partagé par Longini, qui a dit que lui et d'autres modeleurs de la maladie sont consternés par ce qu'ils voient.

    "Il n'y a rien d'être optimiste sur," a t-il dit. «C'est frustrant. Il se sent comme il devrait y avoir un effort international plus concentré pour aider ces pays ".

    Les derniers comptages lundi des Centers for Disease Control and Prevention, qui comprennent l'OMS et le Ministère de la Santé rapports, mis la totale à 4 061 cas et 2107 décès.

    L'épidémie Ebola qui sévit dans toute l'Afrique de l'Ouest obtiendra probablement bien pire avant de s'améliorer, a plus que doublé le nombre de cas connus d'ici la fin de ce mois.

    C'est le mot de modélisateurs de la maladie à la Northeastern University et Hutchinson Cancer Research Center Fred, qui prédisent plus de 10.000 cas de maladie à virus Ebola pourraient être détectés par le 24 septembre - et des milliers d'autres par la suite.

    (suite en dessous:)

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  50. "L'épidémie continue de se propager tout sans aucune fin en vue," a déclaré le Dr Ira Longini, un biostatisticien à l'Université de Floride et un membre affilié des divisions vaccins et des maladies infectieuses et des sciences de la santé publique de Fred Hutch. "Le chat est déjà hors de la boîte - chemin, voie de sortie."

    C'est seulement une question de temps, ajoutent-ils, avant que le virus pourrait commencer à répandre à d'autres endroits, y compris les pays non affectés précédemment en Afrique et dans les pays développés comme le Royaume-Uni - et aux États-Unis, selon un article publié le 2 septembre à la revue PLOS Currents flambées.

    Il y a une chance à peu près 25 pour cent Ebola sera détecté au Royaume-Uni- et autant que de 18 pour cent de probabilité, il se retrouvera dans les Etats-Unis - d'ici la fin de Septembre, l'analyse des schémas de mobilité et d'épidémie mondiale montre. Le nouveau document contient les 16 premiers pays où le virus Ebola est le plus susceptible de se propager.

    Bien que préoccupant, une propagation aux pays occidentaux n'est pas la plus grande menace. Tout au plus, il y aurait un groupe de quelques cas importés aux États-Unis, probablement grâce à Voyage de l'air.

    ...

    «Nous sommes à un moment crucial", a déclaré Vespiginani. "Si le nombre de cas augmente et nous ne sommes pas en mesure de commencer à apprivoiser l'épidémie, alors il sera trop tard. Et puis il faut un effort qui sera impossible à apporter sur le terrain ".

    * *
    Comme nous l'avons noté précédemment, ce n'est rien, mais «contenue»

    * * *

    Comme autre epidemiolgist (et conseiller fédéral) - Dr. Michael T. Osterholm de l'Université de Minnesotta - met en garde:

    J'ai passé assez de temps avec les gens de la santé publique, aux États-Unis et dans le domaine, de comprendre qu'ils préfèrent s'exprimer de façon conservatrice. Alors, quand ils se livrent à langage apocalyptique, il est rare, et remarquable.

    Lorsque l'un des détectives de la maladie les plus élevés aux États-Unis commence à parler de «peste», de savoir comment émotive ce mot peut être, et un autre suggère d'appeler le militaire, il est temps de commencer à faire attention.

    (suite en dessous:)

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  51. Il y a deux chapitres futurs possibles à cette histoire qui devrait nous empêcher de dormir .

    La première possibilité est que le virus Ebola se transmet d'Afrique de l'Ouest à mégapoles dans d'autres régions du monde en développement. Cette épidémie est très différente de la 19 qui ont eu lieu en Afrique au cours des 40 dernières années. Il est beaucoup plus facile de contrôler les infections à virus Ebola dans des villages isolés. Mais il ya eu une augmentation de 300 pour cent de la population de l'Afrique au cours des quatre dernières décennies, en grande partie dans les grands bidonvilles de la ville ...

    La deuxième possibilité est celle qui virologues sont réticents à discuter ouvertement, mais sont certainement envisagent en privé: qu'un virus Ebola pourrait muter pour devenir transmissible par l'air ... virus Ebola comme sont notoirement dans la reproduction, ce qui signifie que le virus d'entrer une personne peut être génétiquement différent du virus entrant dans l'autre. Hyper-évolution du virus Ebola actuelle est sans précédent; il ya eu plus d'humain à humain transmission dans les quatre derniers mois que la plupart probablement produite dans les 500 à 1.000 dernières années. Chaque nouvelle infection représente des milliards de lancers de dés génétiques.

    Et enfin, que les rapports filaire, le professeur extrapole:

    Dans un scénario hypothétique pire des cas, si l'épidémie continuera avec les tendances récentes, la charge de cas pourrait gagner un 77 181 à 277 124 cas supplémentaires d'ici la fin de l'année 2014.

    http://www.zerohedge.com/news/2014-09-15/20-chance-ebola-usa-october-277124-global-cases-year-end-model-predicts

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  52. De la capacité opérationnelle totale »du visage succès du programme de reconnaissance de FBI


    15 Septembre, 2014 18:30


    Le Bureau fédéral du système d'identification de prochaine génération de l'enquête, une base de données biométriques dépendant sur des dizaines de millions d'enregistrements de reconnaissance faciale, est désormais pleinement opérationnel, l'agence a annoncé lundi.

    Le système NGI, après trois ans de développement, est facturé par le FBI comme une nouvelle percée pour l'identification criminelle et le partage des données entre les organismes d'application de la loi.

    "Cet effort est une étape importante pour la communauté de la justice pénale dans l'utilisation de la biométrie comme un catalyseur d'enquête," a déclaré le FBI dans un communiqué .

    La base de données IGN contient plus de 100 millions des dossiers individuels qui pointent les empreintes digitales d'une personne, les empreintes palmaires, lecture de l'iris et des données de reconnaissance faciale des informations personnelles comme leur adresse de domicile, l'âge, le statut juridique et d'autres détails potentiellement compromettants.

    Peut-être l'aspect le plus controversé de l'IGN est l'information de reconnaissance faciale, qui défenseurs des libertés civiles ont dit pendant des années est parmi les plus graves menaces futures à la vie privée des Américains. On prévoit que la base de données IGN pour contenir 52 millions d'images de reconnaissance faciale seulement en 2015.

    Le FBI a déclaré lundi que deux nouvelles fonctionnalités de la base de données sont maintenant terminées, couronnant de l'IGN "capacité opérationnelle".

    Une caractéristique, le Rap Retour, permettra aux responsables de "recevoir des notifications d'état en cours de toute l'histoire criminelle signalée sur les personnes occupant des postes de confiance, tels que les enseignants de l'école."

    En outre, le système Photo Interstate (IPS) service de reconnaissance faciale "fournira les organismes d'application de la loi de la nation avec un outil d'enquête qui fournit une capacité d'image recherche de photographies associées à des identités criminelles."

    Mais les Américains ne sont pas soupçonnées d'activité criminelle pourrait facilement être balayé vers le haut dans l'IGN, selon l'Electronic Frontier Foundation (EFF), dans un certain nombre de façons. Un individu qui passe par un contrôle d'empreintes digitales de fond pour une opportunité d'emploi, par exemple, pourrait bientôt être tenu de présenter une photo d'elle ainsi.

    Cette image peut être stocké à côté des images des suspects, les empreintes digitales, la différence où une différenciation claire entre les citoyens respectueux de la loi et ceux qui ont eu des démêlés avec la loi avant.

    Selon EFF premier substitut du personnel Jennifer Lynch, il est une source de préoccupation, car "le FBI et le Congrès ont jusqu'à présent échoué à adopter des restrictions significatives sur les types de données peuvent être soumises au système, qui peut accéder aux données et la façon dont les données peuvent être utilisée. "

    "Par exemple, bien que le FBI a dit dans ces documents qui ne permettra pas non tasse de photos de tir tels que des images de sites de réseaux sociaux pour être sauvé du système, il n'y a pas de restrictions en matière de politique du FBI juridiques ou même écrites en place pour prévenir que cela se produise ", a déclaré Lynch.

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  53. En Juin, les défenseurs de la vie privée du FEP et d'autres ont mis en garde que la base de données faciale de reconnaissance du FBI a désespérément besoin de plus de surveillance.

    "L'un des risques ici, sans évaluer les considérations de confidentialité, c'est la perspective d'une dérive de la mission avec l'utilisation d'identificateurs biométriques," Jeramie Scott de l'Electronic Privacy Information Center a déclaré au National Journal. "Cela fait presque deux ans que le FBI dit qu'ils allaient faire une évaluation de confidentialité mise à jour, et rien ne s'est produit ».

    Un rapport de la technologie de reconnaissance de visage du FBI de 2010 a relevé qu'il pourrait échouer une personne sur cinq cas, il a été utilisé, un taux plus élevé que les empreintes digitales ou de l'iris.

    Pourtant, le directeur du FBI James Comey a dit au Congrès que la base de données ne serait pas amasser des photos de personnes innocentes, et qu'il est destiné uniquement à "trouver les méchants en faisant correspondre les images pour mugshots."

    Dans une annonce très importante, le FBI a déclaré en Août qu'il avait traqué un fugitif de 14 ans soupçonné de maltraitance des enfants en utilisant la technologie de reconnaissance faciale.

    Pendant ce temps, les chercheurs de renseignement du gouvernement des États-Unis sont le développement du programme Janus , qui «élargir radicalement l'éventail des conditions de la reconnaissance de visage automatique peut établir l'identité."

    Il n'y a aucune restrictions fédérales sur l'utilisation d'un logiciel de reconnaissance faciale.

    http://rt.com/usa/187968-fbi-facial-recognition-biometrics/

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    1. Reconnaissancve faciale sur certificat de naissance ? Hahaha !

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  54. Euronews face à l'interdiction de la diffusion en Russie sur le rapport de haine présumée


    15 Septembre, 2014 09:54


    A parti au pouvoir demandes MP Euronews être arrêté de diffuser sur le territoire russe après un rapport de l'Ukraine où forces de l'ordre locales ont utilisé les portraits du président Poutine en tant que cibles de tir.

    MP Mikhaïl Markelov du caucus Russie unie a déjà abordé l'état de masse surveillance des médias Roskomnadzor et le Bureau du Procureur général, une demande pour interdire officiellement la diffusion de la chaîne Euronews et engager une procédure pénale contre lui.

    Il cite un rapport de nouvelles publié le 12 Septembre et répété tout au long de la journée dans laquelle un groupe de militaires ukrainiens utilisé les portraits de Vladimir Poutine modifié pour qu'elles ressemblent à des photos de Adolph Hitler comme cibles dans la formation de leurs armes à feu.

    Le législateur dit que le film a été Euronews incitation à la haine et aussi insulté la dignité de Vladimir Poutine et la dignité de toutes les personnes russes. Il a également dit Echo de radio de Moscou que l'histoire était une provocation évidente.

    "C'est tout simplement inacceptable et insultant, non seulement pour le chef de notre pays, la personne soutenue par la majorité des électeurs russes, mais aussi pour le peuple russe qui avaient choisi leur président", a déclaré Markelov.

    " Ce fut une preuve supplémentaire de la politique de double standard de l'Europe. Le but de ce truc, c'était de disposer l'Europe contre la Russie qui ne seraient jamais montrer des images de gens en costumes du Ku Klux Klan souillure portrait de [le président américain] Barack Obama », a déclaré dans une interview Markelov séparée avec populaire quotidien Izvestia.

    Le porte-parole de Roskomnadzor Vadim Ampelonskiy déclaré à l'agence de nouvelles Interfax lundi que l'agence n'avait pas encore reçu de demande officielle de Markelov, mais a promis que, dès qu'il arrive, il allait vérifier tous les faits et prendre toutes les mesures nécessaires si la violation de la loi s'avère être vrai. Le porte-parole a également déclaré que l'interdiction sera appliquée seulement après la vidéo en question est étudiée par des spécialistes et des experts juridiques Roskomnadzor.

    Cependant, chef adjoint de la Commission de la Douma d'Etat à la politique d'information, député Leonid Levin (Russie Juste) s'oppose à l'idée. "la Russie ne doit pas se comporter comme l'Ukraine, où les chaînes de télévision russes sont fermées et bloquée de la radiodiffusion", a déclaré ITAR TASS. À la fin Août autorités ukrainiennes ont ordonné d'interdire 14 chaînes de télévision russes de la diffusion dans les réseaux câblés du pays au cours prétendue " informations agression "et de la discorde semer parmi les citoyens ukrainiens.

    (suite en dessous:)

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  55. À la mi-Août, Euronews est venu sous le feu du ministère russe des Affaires étrangères, qui s'est opposé à la couverture de la chaîne de l'acheminement de l'aide humanitaire russe pour les régions de l'Est guerre frappé de l'Ukraine. Selon le communiqué officiel, Euronews attribué au ministre des Affaires étrangères Sergueï Lavrov la suggestion d'utiliser des camions de la Croix-Rouge internationale à l'opération et a ensuite indiqué que Moscou avait changé d'avis. Le ministère russe a noté que les suggestions décrites n'avaient jamais été fait et a exigé que Euronews réfute le rapport et présenter des excuses.

    Avant cet incident, le directeur adjoint du département de l'information du ministère des Affaires étrangères, Maria Zakharova, a souligné l'extrême biasness d'Euronews rapports sur l'Ukraine dans un post Facebook.

    " Bias fantastique et la partialité de la Euronews rapports est tout simplement incroyable , "a écrit Zakharova.

    Euronews est une chaîne de nouvelles multilingue créé au début des années 1990 par un groupe de grands diffuseurs européens avec le soutien des instances dirigeantes de l'Union européenne. La télévision d'Etat et de radio de la société russe VGTRK est un détenteur important d'Euronews de stock (16 pour cent), ainsi que les sociétés de télévision d'Etat de la France, l'Italie, l'Espagne et la Suisse.

    http://rt.com/politics/187808-euronews-russia-hate-ban/

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  56. La démocratie à l’européenne : tout excepté la critique

    16 septembre, 2014
    Oleg Severguine
    Par La Voix de la Russie

    Les médias européens commentent ces derniers jours le refus de la Commission européenne d’enregistrer l’action contre la conclusion de l’accord sur la zone de libre-échange entre l’UE et les Etats-Unis : officiellement – le Partenariat commercial et d’investissements transatlantique et contre un accord analogue avec le Canada : SETA. Près de 250 ONG et associations politiques européennes participent au mouvement contre le futur accord avec les Etats-Unis sous le mot d’ordre « Stopp-TTIP ! »
    Ayant fait part d’intention d’aménager une zone de libre-échange entre les continents, le leader de la superpuissance d’outre Océan a promis de préparer une transaction globale dans l’esprit d’« honnêteté et d’ouverture ». Cependant, les Européens mettent en doute dès le début du marathon des pourparlers la sincérité de leur partenaire aîné. Premièrement, tous les pourparlers se sont déroulés à huis clos. Cela n’aurait rien d’extraordinaire si le texte de l’accord dissimulé aux signataires européens n’était pas élaboré par l’allié atlantiste.
    Les doutes des Européens se sont accentués au fur et à mesure qu’ils se familiarisaient avec certaines clauses du futur accord. Il y a eu, en particulier, des craintes d’afflux de viande d’animaux clonés ou élevés avec emploi d’hormones ainsi de produits génétiquement modifiés. Les critères de ces produits aux Etats-Unis sont sensiblement inférieurs aux standards européens. Le projet de Règlement sur la protection des investissements réserve des avantages aux consortiums américains.
    Le mouvement de 250 ONG et associations politiques a proclamé récemment l’action sous le mot d’ordre « Stopp-TTIP ! » pour initier l’élaboration par la Commission du projet de loi approprié. Ce droit, élément de la « démocratie directe », a été garanti aux citoyens européens par le Traité de Lisbonne sur les réformes de l’UE qui est entré en vigueur en 2009. Pour enregistrer l’initiative il est nécessaire de recueillir au moins un million de signatures dans sept pays au minimum. Selon le portail «EurActiv», les représentants de 21 pays participent à l’action. Plus de 700 mille signatures sont déjà recueillies ne fut-ce qu’en Allemagne. Or, la Commission européenne a refusé, malgré tout, d’enregistrer l’initiative/ Cela est dû, entre autres, à certaines lacunes juridiques formelles, en particulier à l’impossibilité d’enregistrer les initiatives « négatives ».
    Certains experts, par exemple le vice-directeur de l’Institut d’analyse politique et militaire Alexandre Khramtchikhine, n’estiment pas l’UE une institution entièrement démocratique.
    « Les organes dont la légitimité n’est pas confirmée au plan de la démocratie dirigent l’UE, dit l’expert. C’est là la contradiction globale qui s’accentue. Bien que le Parlement européen soit élu par les habitants, la participation électorale est le plus souvent très basse. Les origines de l’Exécutif sont imprécises. De ce fait, le Législatif et l’Exécutif sont séparés tant des habitants que des intérêts des pays membres. »
    En ce qui concerne l’UE, il suffit d’évoquer les sanctions introduites à l’égard de la Russie qui portent préjudice aux pays membres. Sans parler de la tactique des pays de l’UE qui marchent dans le sillage de la politique des Etats-Unis.

    http://french.ruvr.ru/2014_09_15/La-democratie-a-l-europeenne-tout-excepte-la-critique-7567/

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  57. Seule une «bombe nucléaire» monétaire peut sauver l'Italie maintenant, dit Mediobanca


    Par Ambrose Evans-Pritchard
    le 15 Septembre, 2014


    L'OCDE a drastiquement réduit ses prévisions de croissance pour l'Italie. La dépression va traîner si la plupart de 2015.

    L'économie devrait se contracter de 0.4pc cette année. Il restera coincé dans le marasme année prochaine avec une croissance de seulement 0.1pc.

    Si c'est le cas, la dette publique de l'Italie sera en spirale à des niveaux dangereux année prochaine, toujours plus loin au-delà du point de non-retour pour un pays sans sa propre monnaie souveraine et la banque centrale.

    «C'est catastrophique pour les finances du pays. Nous nous dirigeons vers un ratio d'endettement de 145pc l'année prochaine ", a déclaré Antonio Guglielmi, stratège mondial pour Mediobanca.

    "Qui sait le nombre maximum que le marché peut tolérer ? Le numéro est déjà effrayant, mais pour le moment le jeu de poker de Draghi est un succès, et il est maintenant l'odeur de QE garder le jeu va un peu plus longtemps. "

    "Il va prendre une bombe nucléaire à inverser cette tendance. Si Draghi finit par faire presque rien - et il y a beaucoup de scepticisme sur les plans de la BCE - L'Italie est morte ", a t-il dit.

    Il a été un quelques jours abominables pour l'économie italienne. ISTAT a déclaré aujourd'hui que la production industrielle a reculé de 1pc en Juillet (m / m), et 1.8pc il y a un an. Il est en baisse d'un cinquième depuis 2008.

    Les exportations des régions a chuté 2.5pc au deuxième trimestre (q / q). Les chiffres pour le Sud n'étaient rien moins que catastrophique: Sicilia (-11,1), Sardaigne (-11,2), Basilicate (-24,6). Il semble que le Mezzogiorno est en baisse vers le bas de l'économie italienne.

    L'OCDE a également réduit la croissance de la France par un demi-point de pourcentage à 0.4pc cette année. Il a coupé le Brésil par 1.5pc à 0.3pc. Le miracle brésilien est maintenant une épave structurelle.

    Pourtant, c'est la zone euro qui reste l'épicentre de désespoir. "La reprise dans la zone euro est resté décevant, notamment dans les plus grands pays: l'Allemagne, la France et l'Italie. La confiance est de nouveau s'affaiblit, et l'état anémique de la demande se reflète dans la baisse de l'inflation, qui est proche de zéro dans la zone dans son ensemble et négatif dans plusieurs pays. "

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  58. Il a appelé à QE, encore une fois, mais ces moyens ne sont rien sans un nombre concret.

    La dette de l'Italie atteint 135.6pc du PIB au premier trimestre, au galop vers le haut à une vitesse de 5pc du PIB chaque année. Ce qui se passe en dépit - ou à cause - une série de mesures d'austérité, et même si le pays est en cours d'exécution d'un important excédent budgétaire primaire de 2pc-3pc du PIB. Les plans visant à stabiliser la dette ont été mis en pièces.

    Notez que le gouvernement Monti a déclaré il ya trois ans que le rapport mettrait fin 2014 au 115pc. Cette estimation Pangloss est susceptible d'être mauvais par 25 points de pourcentage du PIB. C'est une erreur énorme en si peu de temps. Était-ce la malchance, ou étaient ceux de promulguer des politiques dans le déni de la nature fondamentale de la crise de l'UEM racines de l'Italie ?

    Zolt Darvas du think tank Bruegel à Bruxelles a déclaré le PIB nominal de l'Italie est à plat ou en contraction, ce qui signifie qu'il doit supporter une charge de la dette s'élevant sur une base statique. Il s'agit d'un piège de la dette composé classique.

    "Les prévisions de l'OCDE pour l'Italie est un choc négatif. Tout dépend maintenant de la dynamique de croissance, et qui dépend de la BCE. Je ne pense pas que la BCE est encore fait assez ", a déclaré M. Darvas.

    Il a dit les marchés se trompent s'ils pensent que la prochaine explosion des prêts de la BCE (TLTROs) agira en tant que super-stimulus simplement parce qu'elle stimule la fiche de la BCE de l'équilibre (peut-être de 1 € milliards de dollars sur le temps). "Le bilan n'est pas un indicateur significatif. Il a très peu de répercussions sur la politique monétaire. Seuls les achats d'actifs vont vraiment faire une différence », at-il dit.

    Exactement, et nous ne savons pas encore si ce sera un geste symbolique - comme ses achats antérieurs de 60 milliards € d'obligations sécurisées -. Ou à une échelle pertinente de la BCE Yves Mersch a déclaré dans un discours la semaine dernière que ce ne serait rien comme QE anglo-saxonne, et il n'est pas destiné à être. Il mérite d'être lu pour une douche froide salutaire.

    Le chef de file rock star de l'Italie Matteo Renzi doit maintenant se rendre compte que son premier pari a échoué. Il pensait pouvoir surfer sur une vague de reprise après avoir arraché le pouvoir en Février dans un mouvement remarquablement audacieux en Février, seulement pour découvrir que l'Europe n'est pas en fait la récupération, et que son pays est pris au piège, sans issue dans le cadre du déflationniste actuel / contraction politiques du régime de l'UEM.

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  59. Si l'Italie slash salaires et dégonfle davantage l'économie à retrouver la compétitivité perdue sein de l'UEM, l'effet «dénominateur» entraînera automatiquement les ratios d'endettement à la hausse. Il n'existe aucun remède à moins plausible à cette UEM passe amure de relance massif, dont la BCE n'est pas en fait sur le point de le faire.

    M. Renzi devra bientôt faire un deuxième pari, si pour aller doucement avec davantage d'austérité et de coupes budgétaires - chassant sa queue dans un cercle vicieux perpétuel - et subir le sort funeste de leader français François Hollande. Ou penser à une meilleure idée.

    De céder la parole aux lecteurs italiens à proposer qui des deux il peut choisir donné son caractère impétueux.

    http://blogs.telegraph.co.uk/finance/ambroseevans-pritchard/100028145/only-a-monetary-nuclear-bomb-can-save-italy-now-says-mediobanca/

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    1. Et ce ne sont pas les sanctions prises à l'encontre et afin de provoquer Poutine qui vont arranger les choses !

      Il faut savoir que les pauvres ne peuvent pas toujours se payer des mesuures de rétortion adéquate à venger telle ou tel évènement, et que c'est déjà plus qu'un luxe quand on vit à crédit. Mais, les choses sont comme elles sont. Les cons s'en tirent du pognon plein les poches et, s'ils sont vidés 'à la prochaine révolution', ce sont d'autres gros cons qui les remplaceront !

      L'Italie, c'est comme Marine le Pen en France, "il faut demander la permission de sortir" [de l'euro et de l'UE] !! alors que chaque pays est souverain et n'a de conseil à demander à personne !

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  60. Cinq raisons d'adopter l'heure avancée tout au long de l'année

    Un «oui» à l'indépendance du référendum de l'Ecosse pourrait rouvrir le débat sur l'adoption en permanence l'heure d'été. Voici pourquoi c'est une bonne idée


    Par Lauren Davidson
    05:30 BST le 16 septembre 2014


    Dans un peu moins de six semaines, les horloges seront de revenir en arrière d'une heure, ce qui rend le matin léger et les soirées plus courtes. Les lobbyistes ont été de décrier cette malédiction chronologique depuis des années maintenant, exhortant les décideurs à adopter l'heure d'été - aussi appelée heure d'été britannique - sur une base permanente, la priorité soirées ensoleillées sur matin lumineux. Ce serait essentiellement d'aligner ses montres au Royaume-Uni avec des horloges sur le continent.

    Les propositions n'ont pas été respectées chaleureusement par la population écossaise; Alex Salmond a appelé la campagne une tentative de "plonger l'Ecosse dans l'obscurité du matin."

    Les plaintes sont fondées; le soleil ne se lèverait pas avant 10 heures dans certaines parties de l'Ecosse. Agriculteurs de 1000 ou-si laitiers du pays, qui se réveillent avant 5 heures, devront travailler pendant des heures dans l'obscurité. D'autres agriculteurs et travailleurs de la construction, qui ont besoin de la lumière du soleil pour effectuer leur travail, ne finissent par travailler plus tard dans la soirée.

    «Le soutien du gouvernement tout dépend des Ecossais, "Boris Johnson a écrit dans le Telegraph en 2011, lorsque le député conservateur Rebecca Harris flottait un projet de loi appelant à l'heure d'été toute l'année. Un sondage YouGov la même année, un tiers des Ecossais soutenu déplacement horloges transmettre une heure en permanence tandis que 52pc s'est opposé à la modification - par rapport à une moyenne de 55pc et 30pc respectivement dans le reste du Royaume-Uni.

    Bien sûr, nous pourrions tous simplement se lever une heure plus tôt le matin, peu importe l'heure. Mais comme l'économie Milton Friedman a souligné, dans une analogie pour les taux de change, il est plus facile de changer une seule chose - le temps, en l'occurrence - que des dizaines d'habitudes de milliers de personnes. Et si les électeurs écossais optent pour l'indépendance lors du référendum de jeudi, le reste du Royaume-Uni pourrait être plus facile de prendre ce saut permanente retour vers le futur .


    1 Pensez aux économies d'énergie


    Conservation de l'énergie est l'un des principales raisons horloges d'été ont été déplacés vers l'avant en premier lieu; La Grande-Bretagne a changé ses horloges pendant la Seconde Guerre mondiale pour aider à économiser de l'électricité et d'augmenter les heures de travail. Un rapport de l'Institut d'études politique estime que les consommateurs pourraient économiser £ 260.000.000 par an sur les factures d'électricité - et qui était au milieu des années 1990. Plus récemment, des chercheurs de l'Université de Cambridge ont découvert que une heure supplémentaire par jour de soleil en hiver pourrait économiser £ 485 000 000 chaque année , que les gens consomment moins d'électricité et de chauffage. Cela a le même effet que l'élimination des émissions de carbone de 70 000 personnes. Elizabeth Garnsey, l'universitaire derrière le rapport, estime que 0.5pc de la production d'énergie de la Grande-Bretagne est actuellement gaspillée pendant les mois d'hiver. "C'est parce qu'il tend à obtenir de la lumière le matin avant la plupart des gens sont éveillés pour une partie assez importante de la période GMT, alors que tout le monde est debout et en début de soirée , "dit-elle.

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  61. 2. Pensez aux avantages commerciaux


    Le déménagement des horloges d'une heure avant porterait le Royaume-Uni en ligne avec heure d'Europe centrale, ce qui signifie que Londres serait de travailler les mêmes heures d'ouverture que Bruxelles, Paris, Francfort et Milan. Pour les entreprises qui opèrent à l'échelle internationale, ce qui pourrait réduire les coûts du personnel supplémentaires - pour ne pas mentionner toute confusion sur la planification, de conférences téléphoniques pour les livraisons. Il donnerait également au Royaume-Uni une heure supplémentaire de chevauchement avec Pékin, Tokyo et d'autres grands marchés d'importation et d'exportation en Asie. Pour cette même raison, le Dr Mayer Hillman, qui a écrit le rapport politique de l'Institut des études ci-dessus, s'attend à ce que l'Ecosse suivront si le Royaume-Uni adopte l'heure européenne. "Dans le cas de l'indépendance écossaise, le reste du Royaume-Uni verrait la justification et faire le changement. Puis je soupçonne Ecosse serait jeter l'éponge et aller avec elle ", a t-il dit.


    3 Pensez aux améliorations de la sécurité


    Bien que certains parents ont exprimé des préoccupations au sujet des enfants à l'école dans l'obscurité, hiver heure d'été pourraient améliorer la sécurité sur les routes et réduire la criminalité. Une expérience de trois ans à garder British Summer Time année, a eu lieu entre 1968 et 1971, a constaté une réduction de 11 % du nombre de victimes de la route en Angleterre et au Pays de Galles pendant les heures affectées par le changement d'heure - et une réduction de 17 % en Ecosse. Il y a environ 50 % des blessures plus graves et mortels chez les adultes voyageant pendant soir heure de pointe de la pointe du matin et trois fois plus de blessures chez les enfants. Une heure de clarté supplémentaire en soirée pourrait sauver le NHS £ 200.000.000 par an en coûts associés à l'accident. En outre, le ministère de l'Intérieur estime que la criminalité verrait une baisse de 3pc , que la criminalité est plus susceptible d'être commises dans le soir que le matin.


    4 Pensez à l'impulsion du tourisme


    Soirées d'hiver plus légères et plus pourraient fournir un coup de pouce annuel de £ 3,5 milliards pour l'industrie du tourisme, selon l'Alliance de tourisme. Le coup de pouce de revenu annuel des 60-80,000 emplois supplémentaires cela créerait pourrait s'élever à 720 millions de livres. Affaires serait enclin à rester ouvert plus longtemps, tandis que les touristes et les habitants du quartier auraient plus de temps dans la journée pour passer sur les activités récréatives de plein air. Un rapport de 2010 selon les gens gagneraient 235 heures de l'après-travail le jour chaque année. "L'industrie du tourisme a été criant pour l'heure d'été supplémentaire pour les années », a déclaré le député conservateur Rebecca Harris.

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  62. 5 Et si cela ne vous a pas convaincu, pensez sport britannique


    L'Association de football, La Lawn Tennis Association et l'Angleterre et au Pays de Galles Cricket Board ont tous soutenu l'heure d'été toute l'année, et avec raison. L'heure supplémentaire de jour augmente le temps disponible pour l'exercice, rend les gens plus susceptibles de participer à des manifestations sportives du soir et des moyens athlètes professionnels peuvent s'entraîner plus longtemps. Dans les années 1980, l'industrie du golf estime qu'un mois supplémentaire de l'heure d'été pourrait générer jusqu'à 400 millions de dollars (£ 246,6 millions) par an dans la vente et des frais supplémentaires.

    Heure d'été "affecte tout, de terrorisme du Moyen-Orient à la participation à Londres music-halls, le taux de participation à la criminalité de rue, le jardinage sur les bénéfices des stations de radio», a déclaré David Prerau, auteur de Sauvegarde de la lumière du jour: pourquoi nous mettons l'Horloge de l'avant .

    Ce débat s'étend ans dans le passé, et l'avenir de la Colombie-temps n'est pas encore clair. Avec cette discussion - comme avec le plus grand résultat de référendum sur l'indépendance - seul le temps nous le dira.

    http://www.telegraph.co.uk/finance/economics/11097517/Five-reasons-to-adopt-Daylight-Savings-all-year-round.html

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    1. (...) Un rapport de l'Institut d'études politique estime que les consommateurs pourraient économiser £ 260.000.000 par an sur les factures d'électricité (...)

      (...) Soirées d'hiver plus légères et plus pourraient fournir un coup de pouce annuel de £ 3,5 milliards pour l'industrie du tourisme, selon l'Alliance de tourisme. (...)

      Et si on restait couché jusqu'à midi on économiserait 100 fois plus ! Hahahaha !

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  63. Sécession de l'Écosse : un pas vers une plus grande liberté et un exemple à suivre ?

    Bertrand Lemennicier
    Lemennicier
    mar., 16 sept. 2014 06:05 CEST

    Le 18 septembre prochain, les écossais vont décider, par référendum, de quitter ou non le Royaume Uni pour redevenir un État souverain. La question posée est simple : "Souhaitez-vous que l'Écosse devienne un pays indépendant ?" Oui/Non.
    Les écossais, partisans du oui, supposent que, séparé du Royaume Uni, leur destin sera meilleur que de rester dans l'union. Les partisans du non pensent le contraire[1].

    Le problème soulevé par ce référendum est intéressant à plus d'un titre et peut être généralisé à n'importe quelle union, y compris l'Union Européenne, mais aussi à n'importe quelle région d'un État. Le gouvernement britannique, qui menace souvent les gouvernements européens de quitter l'Union Européenne, expérimente, sur son propre sol, ce que signifie la menace de quitter le Royaume Uni qui, comme son nom l'indique, est une union. Le Front National, un parti politique français nationaliste, propose aussi de quitter l'Union Européenne. Si ce parti arrive au pouvoir, il proposera un référendum à la population pour savoir si elle souhaite quitter l'UE . D'où l'intérêt pour ce parti et l'ensemble des français d'être attentif à cette expérience écossaise. Si le oui l'emporte, le 18 septembre 2014 deviendra une date mémorable et la transition à l'indépendance une leçon pour les futurs imitateurs. Est-ce que les Écossais doivent conserver la livre anglaise comme monnaie en circulation, faut-il recréer une armée et une défense écossaise, quid des bases sous marines de la force de frappe atomique de la Grande Bretagne situées en Écosse, à quel domaine étatique appartiendra les champs de pétrole à proximité de l'Écosse, est-ce que la souveraineté territoriale de l'Écosse s'étendra aux plateformes en haute mer ? Un divorce fut-il unilatéral pose le problème du partage des investissements réalisés dans l'union par l'un et l'autre des partenaires.

    Que l'Écosse redevienne un État souverain indépendant n'est pas anodin. Cet événement peut bouleverser l'Europe par un effet d'imitation. En effet, ce qui vaut pour les Écossais peut valoir pour les Bretons, les Alsaciens, les Basques, les Normands, les Gens du Nord, les habitants de la Provence Côte d'Azur, les Corses les Franciliens ou les habitants de l'ex république des Escartons. Eux aussi pourraient demander la séparation et l'indépendance de leur région à l'égard du pouvoir central parisien. Ce qui est vrai des régions françaises le serait aussi pour les allemands, les espagnols et les italiens. Mais aussi du Royaume Uni lui-même, réduit à la terre l'Angleterre. L'Europe éclaterait en une multitude de petits pays indépendants[2] associés ou non dans une confédération. Pourquoi s'arrêter aux régions ou provinces. Les sécessions territoriales peuvent concerner les villes qui deviennent villes libres et/ou États Cités : Paris enfin libéré... de la tutelle étatique française.

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  64. La fragmentation des États n'est pas une nouveauté, c'est même la caractéristique fondamentale de la fin du siècle dernier et du début du siècle dans lequel nous vivons. La majorité des États dans le monde ont une petite taille depuis que les grands empires ont implosé soit naturellement soit suite à des guerres d'indépendances. Le nombre d'États en 1950, membres de l'ONU, était de 51. En 2012, cette organisation reconnaissait 197 États souverains ! Parmi les 27 États de l'Union Européenne, 16 ont une superficie inférieure à 100 000 km2. 22 ont une population moyenne de 7,2 millions d'habitants. L'Europe a déjà connu une sécession, la Slovaquie s'est séparée de la République Tchèque. La Flandre et la Wallonie sont proches de la sécession, la Catalogne en prend le chemin en ce moment même et l'Écosse risque de reprendre sa souveraineté abandonnée par l'acte d'union de 1707. N'oublions pas le référendum sur l'indépendance de la Nouvelle Calédonie qui touche les français, ni la dissolution de l'Union des Républiques Socialistes Soviétiques (URSS) le 26 décembre 1991. L'éclatement de celle-ci en une multitude d'États souverains laisse encore des traces, aujourd'hui, avec des annexions et des mouvements séparatistes en Ukraine. Les guerres de sécessions des années 1990 dans les Balkans avec le Kosovo, la Slovénie, la Croatie, le Monténégro sont encore dans les mémoires, la sécession de la Transnistrie en Moldavie, de l'Ossétie du Sud en Géorgie aussi. Le gouvernement Chinois fait face lui-même a de tels mouvements en Mongolie intérieure sans compter la Birmanie, et le moyen orient avec le Kurdistan turc ou irakien et en Syrie avec le retour de formes étatiques d'autrefois : le califat islamique. Que dire de l'Afrique avec le Mali, le sud du Maroc, la Mauritanie, la Kabylie en Algérie, le Somalie land, le Soudan du sud, l'Érythrée. S'il y a un phénomène politique majeur qui menace les États Nations, c'est bien celui de la sécession.

    L'avenir politique des États Nations ne semble pas résider dans la construction de grands États en dépit du contre sens, au sens littéral de l'expression, de la construction européenne comme futur grand État fut-il fédéral. Le sens de l'histoire, contrairement aux désirs des hommes politiques ou des partisans de l'État nation, va dans la direction de la fragmentation des grands États contemporains en plus petits États. Et pour beaucoup d'entre nous cette fragmentation et sécession en entités politiques plus petites est un grand pas vers les libertés individuelles dans une société ouverte au reste du monde. C'est une force de progrès. Pour bien comprendre pourquoi il en est ainsi, il faut revenir sur la question de la taille « optimale » d'un État nation.

    Les économistes, dont on connaît la curiosité légendaire, se sont intéressés à la sécession et/ou à la taille des États, à la structure de leur gouvernance, à leurs unions ou cartellisations et dissolutions ou séparations. Plusieurs auteurs s'y sont essayés dont D. Friedman (1977)[3], J.Buchanan et R. Faith (1987) [4] ;Withman D (1991)[5], J.J. Rosa (2000)[6], A.Alesina et E. Spolaore (2003)[7] pour ne mentionner que les plus connus sur ce sujet. Leurs arguments peuvent nous aider à comprendre ce phénomène politique qu'est la sécession.

    Une première idée, celle de Withman et Rosa, consiste. à faire l'analogie entre les États , les entreprises ou les individus. Ces derniers s'unissent, se marient, se séparent, divorcent, font faillite, se rachètent entre eux ou se remarient. La thèse des économistes est d'une simplicité désarmante : les chefs d'entreprises, les individus et les hommes d'État décident de mettre en commun les ressources et les talents dont ils disposent lorsque, pris ensemble, la combinaison de ces facteurs de production génèrent plus de satisfactions et de richesses que pris séparément. Ils se séparent dès qu'il n'en est plus ainsi.

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  65. Les gains attendus d'une union de deux États proviennent essentiellement des économies d'échelle ou d'envergure dans la production de biens ou services dits « publics » qu'ils offrent aux citoyens et des économies de coûts de transaction que permet la suppression des barrières étatiques entre les pays de l'union. Les coûts de produire pris ensemble plutôt que pris séparément prennent racines dans la gouvernance (la structure de contrôle, pour les États il s'agira de la forme du régime politique ; démocratie parlementaire ou présidentielle, autocratie, royaume), le partage des gains de l'union (transferts entre membres de l'union) et la congruence des préférences sur les buts poursuivis par l'union (homogénéité ou hétérogénéité des préférences des partenaires à cette union).

    L'autre idée, celle de Friedman, Buchanan/Flair, et Alesina/ Spolaore, est de regarder l'autre face de l'État celle du monopole de la coercition. Il y a une différence fondamentale entre un État et une firme. Les échanges entre une firme et les consommateurs reposent sur un consentement révélé par l'achat ou une vente d'un bien ou service. Les échanges entre un État et les habitants qui vivent sous son autorité reposent sur l'extraction d'une rente (un impôt) par l'usage de la force ou de sa menace par une faction politique, disposant temporairement[8] de son monopole. L'extraction de cette rente sur des richesses acquises légitimement par le travail des habitants peut être plus ou moins consentie en fonction de la structure de gouvernance de l'État. Les gains attendus de l'extraction de l'impôt dépendent de la taille du pays et de la productivité de ses habitants. Ces gains sont limités par le coût d'entretien du monopole de la coercition et le coût du prélèvement de l'impôt lui-même. Ces deux visions permettent d'organiser le débat sur l'indépendance de l'Écosse ou de toute autre région qui voudrait faire sécession d'un État Nation.

    Commençons par la première interprétation. Pris ensemble l'Écosse, l'Angleterre, le Pays de Galles et l'Irlande du Nord produisent-ils plus de richesses pris ensemble que pris séparément ? Du coté des gains nos auteurs notent les économies d'échelle ou d'envergure[9] liées à la production de certains types de biens dits publics comme la défense, les réseaux routiers ou ferroviaires, les communications, l'éducation, la protection sociale ou la santé. Plus la taille du territoire de l'union est grand en superficie, plus la production de ces biens profiterait des économies d'échelle et d'envergure. Le mariage de territoires adjacents peut permettre de saisir ces économies en partageant, entre les membres de l'union, les coûts fixes de production dont le coût variable diminue avec la distance. Pourquoi s'arrêter à l'Écosse ? L'union pourrait s'étendre à d'autres pays successivement adjacents aux nouveaux entrants[10] et pourrait englober le monde entier.

    La taille de l'union est vite limitée par les déséconomies d'échelle et d'envergure qui peuvent apparaître et/ou les coûts d'administration de l'union, de contrôle d'opportunisme des pays membres, des conflits dans le partage des gains de l'union entre les membres et hétérogénéité des préférences sur les buts poursuivis par l'union qui augment avec l'admission de nouveaux entrants. Les coûts d'administration de l'union et les difficultés de sa gouvernance seront d'autant plus élevés que le nombre des participants à l'union augmente et que les préférences des partenaires sont hétérogènes.

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  66. Une union entre États tendra à se développer jusqu'à ce que l'admission d'un État adjacent supplémentaire ne permette plus de saisir des économies d'envergure ou augmente les coûts d'administration, de gouvernance et d'hétérogénéité des préférences au-delà des gains attendus.

    Dans cette vision, les partisans du non au référendum, vont faire miroiter aux partisans du oui tous les gains dans la production des biens présentant des économies d'envergure dont les écossais vont être privés mais aussi dont les autres membres de l'union seront privés[11] puisque la sécession est unilatérale[12].

    En défense de la sécession, les écossais partisans du oui, devraient rappeler les arguments suivants. Tous les biens ou services à forte économies d'échelle ou d'envergure peuvent être obtenus, aujourd'hui, à un coût plus faible sur le marché mondial parce que les firmes privées qui produisent ces biens et services sont en compétition entre elles et réalisent ces économies d'échelle et d'envergure à une taille bien supérieure à celle que peut offrir l'espace restreint de ces entités locales et ce grâce à la libéralisation des échanges internationaux[13].

    Cette évolution est générale. De plus en plus les États sont concurrencés dans la production des biens dits publics par le marché lui-même. L'externalisation rend obsolète les gains attendus de l'union puisque pris séparément on peut obtenir les mêmes services, et moins chers, avec des entreprises privées en compétition sur le marché mondial. Les coûts d'administration, de partage des gains et de préférences hétérogènes ont simultanément augmenté. L'immigration massive de personnes de culture différente sur le marché du travail a modifié la congruence des préférences de l'ensemble de l'union, les transferts liés à la protection sociale modifie le partage des gains dans l'union elle-même et la structure de gouvernance, sous la logique de l'extension du pouvoir et sa concentration dans les mains de quelques uns, a éloigné les électeurs des pays adjacents des décisions centrales du gouvernement de l'union. Les gains de l'union ne sont plus compétitifs vis-à-vis du marché mondial et les transferts opérés vers les autres membres de l'union de la rente pétrolière qui appartient au domaine public écossais prive les habitants de ce territoire d'une richesse qui devrait revenir en premier aux écossais.
    Cette évolution, qui frappe tous les États nations, pousse au divorce et à la sécession des entités politiques qui les composent. L'Écosse en est un exemple qui peut faire tâche d'huile. Les hommes politiques anglais en sont conscients. Si le gouvernement de Londres ne veut pas de la sécession, c'est qu'il pense que la contribution de l'Écosse au Royaume Uni est profitable pour l'ensemble de l'union. Si Londres tient à l'Écosse, il suffit au gouvernement d'acheter le maintien de l'Écosse dans l'union par des transferts d'argent et de souveraineté jusqu'au point où un abandon de souveraineté ou un transfert supplémentaire réduit à néant l'intérêt de prolonger l'union avec l'Écosse. Cette politique de transferts est menée depuis longtemps par le gouvernement britannique avec la création du parlement écossais en 1999. Au fil du temps le parlement écossais a obtenu presque tous les pouvoirs exceptés les affaires étrangères, la monnaie, l'énergie, la fiscalité et la défense qui restent du ressort de Londres. Mais la limite est atteinte.

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  67. On voit tout de suite où le bât blesse : pour rester dans l'Union les écossais peuvent demander aux anglais la pleine restitution de la rente pétrolière[14]. Le gouvernement de Londres s'y refuse, car les autres membres devront payer l'énergie au prix du marché mondial dicté par les cartels des pays pétroliers[15].
    Si l'Écosse quitte l'union, le gouvernement central ne peut plus prélever d'impôts sur les écossais, la base fiscale de du Royaume Uni se réduit drastiquement et la rente fiscale ne pourra plus être aussi facilement détournée pour satisfaire les intérêts privés de l'oligarchie qui gouverne le Royaume Uni.

    La base fiscale est le pouvoir suprême de tous les États modernes. Sans le prélèvement de l'impôt les hommes d'État ne sont rien. On comprend mieux la panique du gouvernement anglais si l'on se tourne vers la face noire de l'État : celle de la prédation.

    Cela nous renvoie à la conception de l'État Léviathan. Cette analogie éclaire le débat sur la sécession. Il s'agit d'une lutte entre deux factions politiques, l'une écossaise (de gauche)[16] et l'autre anglaise (de droite) qui cherchent à extorquer une rente fiscale optimale sur les habitants qui sont sous leur juridiction. L'enjeu est celui de la rente pétrolière que chacun veut s'accaparer et de la base fiscale écossaise dont seront privés les autres membres de l'union.

    Le chiffre d'affaires de l'État moderne, c'est le volume des recettes fiscales (qui est le produit d'une base taxable et du taux d'imposition) et des autres revenus obtenus des activités domaniales (produits des capitaux et rente pétrolière) ou des monopoles qu'il contrôle (celui du monopole d'émission de la monnaie offrant l'opportunité de pratiquer l'illusion fiscale par l'impôt d'inflation pour annuler les dettes publiques). La stratégie retenue par les hommes politiques est celle d'extraire une rente maximale des monopoles fiscaux, monétaires et du domaine (les ressources pétrolière par exemple) dont ils disposent temporairement ou non au profit de ceux qui les ont portés au pouvoir. La dimension des États va dépendre non seulement du rendement attendu de la rente net des coûts à extorquer ces revenus mais aussi de la structure de contrôle. L'État est-il contrôlé par les hommes politiques (les managers), les citoyens -électeurs contribuables (les actionnaires) ou encore un Roi (propriétaire).

    Revenons à la dimension optimale d'un État Léviathan dans un régime politique donné. Le comportement du Léviathan consiste à étendre la base taxable le plus loin possible jusqu'au point où le coût d'étendre ce pouvoir de coercition à une unité géographique supplémentaire excède le gain tiré de la rente fiscale de cette unité. Il y a donc une limite à la taille du Léviathan parce que les coûts d'extorsion sont croissants et les rendements attendus décroissants en fonction de la distance où le Léviathan a localisé le centre de ses décisions.

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  68. C'est la raison fondamentale pour laquelle, il y a, géographiquement, de la place pour plusieurs Léviathans qui se partageant la taxation sur des territoires adjacents et non pas un seul Léviathan dominant l'ensemble du monde. Chacun marque, par des frontières, l'aire de son pouvoir de taxation vis-à-vis des autres prédateurs locaux. Les revenus de la taxation comme des réglementations édictées par le pouvoir central du Léviathan sont investis dans la productivité des habitants afin d'augmenter le niveau de leur production et accroître les recettes fiscales futures. Une autre partie est consacrée aux dépenses pour réduire l'hétérogénéité de la population qu'il a sous son contrôle via une éducation nationale[17]. Par ailleurs, la faction au pouvoir doit composer avec ses sujets pour les empêcher de se révolter ou de s'évader ou de se détourner des activités productives intensives en recettes fiscales. Une autre fraction des recettes fiscales est consacrée au maintien d'une obéissance civile minimale (police, renseignements généraux, gendarmes mobiles, compagnie républicaine de sécurité) et à un niveau d'emploi générateur d'impôts [18] pour enrichir la les groupes de pression qui ont soutenu les factions au pouvoir.
    L'extension de la base taxable à d'autres territoires, par les élites politiques qui les gouvernent, peut se faire par la conquête militaire, l'union de territoires et l'entente entre les prédateurs locaux pour mettre des taux d'imposition plus élevés. Chaque prédateur cherche à accroître sa base fiscale[19] en diminuant ses taux d'imposition pour attirer sur son territoire des firmes et des individus aptes à développer des activités génératrices de richesses taxables. Mettons de côté la conquête militaire et l'entente sur les taux d'imposition, pour nous intéresser à l'union.

    Du point de vue du Léviathan, les gains d'une union réside dans la capacité à saisir des économies d'échelle ou d'envergure dans la technologie civile et militaire de lutte contre les insurrections pour contrôler un territoire plus vaste à un coût plus faible qu'auparavant. Ainsi un investissement de 20 milliards d'euros dans ce contrôle de la population coûte 100 000 d'euros par tête dans un pays de 200 000 habitants, 1000 euros par tête dans un pays de 20 millions d'habitants et seulement de 100 euros par tête dans un pays de 200 millions d'habitants. Ce contrôle peut alors être développé sans que le contribuable s'y oppose car le coût de se rebeller contre le Léviathan excède les 100 euros.

    Le coût de l'union est tributaire des coûts administratifs du prélèvement fiscal et de l'hétérogénéité des populations quant à leur degré de résistance à l'impôt. Là aussi la mondialisation et les progrès des nouvelles technologies d'information et de communication ont sérieusement limité les économies d'envergure et ou d'échelle réalisé dans la lutte contre l'insurrection, la désobéissance civile, l'évasion fiscale ou l'homogénéisation des préférences via l'école.

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  69. Les contemporains sont frappés par le fait que les synergies entre la téléphonie mobile et internet, permettent de maintenir des liens étroits entre les membres de différentes communautés familiales, religieuses ou doctrinales même si leurs membres sont éclatés dans différents territoires parfois distants de milliers de kilomètres. Le contrôle des croyances par le Léviathan est devenu particulièrement difficile dans ce contexte. L'individualisation et l'hétérogénéité des préférences se développent au sein des territoires suite aux mouvements de populations et aux nouvelles technologies d'information qui font échec à la politique d'homogénéisation[20] voulu par le Léviathan. L'extension de la base taxable par l'intermédiaire d'une union n'est donc plus aussi intéressante qu'autrefois. Le Léviathan, renonce à l'union et substitue à l'extension de la base taxable la hausse des taux d'imposition. C'est la raison pour laquelle les Léviathans préfèrent constituer des ententes entre eux pour limiter la concurrence fiscale que de créer des unions visant l'intégration dans un État plus grand.

    Si l'avenir semble plutôt favorable aux mouvements sécessionnistes, cela ne veut pas dire que les choses se passeront à l'amiable. Quand l'autonomie par la dévolution des pouvoirs et les transferts compensatoires, pour maintenir les États dans l'union, ont été réalisés, aller plus loin devient rapidement un casus belli, car on frappe au cœur même le pouvoir du Léviathan. La guerre de sécession ou d'indépendance devient l'ultime recours pour les séparatistes. Il n'est pas certains que les écossais soient prêts à franchir le cap de la résistance armée, comme les irlandais ou les séparatistes ukrainiens.

    Cette fragmentation des grands États en micros États est-elle favorable à la croissance et au bien-être des populations ?
    « La meilleure chose à faire pour la liberté serait de diviser l'Europe en plein de petits États. Cela vaut également pour l'Allemagne. Plus l'expansion territoriale de l'État est petite, plus il est facile d'émigrer et plus l'État doit se montrer conciliant envers ses citoyens, afin de garder ceux qui sont productifs [21]» Nous dit H. H. Hoppe.
    A défaut de copropriétés multiples en compétition[22], la petite taille des États est garante d'une imposition modérée et du respect des droits de propriété comme des droits individuels parce qu'un petit État a beaucoup de concurrents proches et que le vote avec ses pieds est plus facile à mettre en œuvre pour sanctionner les dirigeants de cette entité politique. Dans un État central (même fédéral) dominant de vastes territoires, le pouvoir d'imposer des taxes et réglementations est plus facile à mettre en œuvre car le coût d'émigrer est plus élevé. Un petit État ne peut mettre en œuvre une telle politique d'expropriation. Les individus émigrent et, par ailleurs, les entreprises quittent le petit État sans qu'il puisse en attirer de nouvelles, car celles-ci sont toujours à la recherche de la fiscalité la plus faible et des réglementations les moins contraignantes.

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  70. Les micros États qui offrent de tels avantages, faible taxation et réglementations, se développeront mieux que les autres. On explique ainsi l'origine du capitalisme par le fait même que celui-ci émerge dans un monde politique composé d'innombrables entités politiques : Cités-États de l'Italie du nord, Allemagne du Sud et Pays Bas sécessionnistes. C'est aussi une des raisons de la mondialisation du capitalisme. On peut rappeler qu'au XVII siècles, l'Allemagne était composée de 234 comtés, 51 villes libres et de 1500 manoirs de chevaliers indépendants !

    Les micros États, non seulement sont contraints de pratiquer une prédation modérée mais aussi sont contraints de s'intégrer dans l'économie du reste du monde. L'intégration économique est le contraire de l'intégration politique. L'un est le développement pacifique des échanges et des marchés, l'autre est l'expansion territoriale du pouvoir de taxer, d'exproprier et de réglementer. L'intégration économique de micros États dans l'économie de marché pacifie les relations. En revanche, l'expansion des États vers des dimensions territoriales plus grandes comme la tentative d'un État européen (ou Mondial) est une source permanentes de conflits et de guerres. Quand ce phénomène de concentration et de centralisation des États s'accompagne d'une nationalisation des États (disparition des Monarchies) il n'existe plus aucun frein à la croissance des impôts et des expropriations réglementaires autre que le libre échange international ou l'implosion interne par la sécession.

    L'ouverture des économies et la mobilité des capitaux comme du travail ont en fait amoindri la capacité de taxation et de redistribution des États contemporains. Il est naturel que les régions ou les territoires les moins centraux comme les territoires potentiellement les plus riches remettent en cause les dépenses et les prélèvements étatiques. La réduction des dépenses de l'État affecte aussi les dépenses de police et de maintien de l'ordre, et cela favorise les mouvements indépendantistes ou séparatistes. C'est ce que l'on observe dans ce XXIe siècle

    C'est la raison pour laquelle le retour à des micros États via la sécession est un facteur de progrès. La séparation volontaire remplace la cohabitation forcée par des relations (internationales) contractuelles mutuellement avantageuses, si on laisse les individus de la nouvelle entité politique commercer librement avec autrui y compris les gens vivants à l'extérieur du nouvel État. Cette sécession en micros États accroît la diversité ethnique, linguistique, religieuse et culturelle alors que la centralisation et l'extension de l'État (vers l'État Européen ou mondial) veut mettre fin à cette diversité par la violence politique. Une Europe consistant en des centaines de pays, de cantons, régions distincts, de milliers de villes indépendantes préfigure l'avenir contrairement au TGE (Très Grand État) que cherchent à mettre en place, en Europe, les hommes de l'État dont on devine bien qu'ils poursuivent leurs intérêts personnels dans cette entreprise et non pas ceux des habitants qu'ils maintiennent sous leur autorité.

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  71. C'est pour cela qu'il faut encourager la sécession de l'Écosse à l'égard du Royaume Uni. Non pas tant pour les écossais eux-mêmes, qui seront contraints de supporter un gouvernement nationaliste et en plus travailliste, ce qui n'est pas la joie[23], mais parce que cette sécession montrera, par l'exemple, qu'il est possible aux citoyens des autres territoires européens (et du reste du monde) de s'affranchir, pacifiquement, par la voie d'un référendum dont le résultat est respecté par les membres de l'union, ce qui n'est pas certain, connaissant la duplicité des hommes politiques, de leurs États nationaux respectifs.

    http://fr.sott.net/article/23146-Secession-de-l-Ecosse-un-pas-vers-une-plus-grande-liberte-et-un-exemple-a-suivre

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    1. La liberté d'un pays n'appartient pas à ses 'Dirigeants' (qui ne doivent être que les Exécutants) mais au peuple tout entier qui a parfaitement le droit de dire ce qu'il pense. La liberté n'est pas une question de prix mais seulement de volonté.

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  72. L'émissaire américain à l'Ukraine pris affichant de fausses images sur Twitter


    16 Septembre, 2014 02:22


    L'ambassadeur américain en Ukraine Geoffrey Pyatt a été pris de publication d'images non vérifiées sur son compte Twitter lundi, comme il essayait de faire les exercices militaires américano-Kiev en cours en Ukraine.

    Ambassadeur Pyatt a d'abord téléchargé une photo de soldats américains et ukrainiens, qu'il a dit a été pris le matin dans les exercices militaires dans l'ouest de l'Ukraine. Les utilisateurs de l'Internet ont rapidement fait remarquer que la photo avait déjà été publié dès le 31 Juillet.

    L'ambassadeur a alors posté une photo d'un char allemand qui aurait participé à des exercices. Son tweet dit que le char Leopard 2 participe à Rapid Trident exercices près de Lvov.

    Toutefois, les utilisateurs de Twitter ont découvert que l'image affichée a été effectivement prise à partir d'un YouTube vidéo téléchargé il y a près d'un an - en Octobre 2013.

    Journaliste au Royaume-Uni et RT contributeur Graham Phillips appelé Pyatt sur Twitter, appelant l'ambassadeur un «menteur» pour avoir publié des photographies anciennes.

    Ce n'est pas le premier ambassadeur de temps Pyatt a été pris dans une controverse sur les affaires intérieures de l'Ukraine.

    Plus tôt cette année, une conversation fuite entre Pyatt et le secrétaire d'Etat adjoint américain pour l'Europe, Mme Victoria Nuland a révélé les deux d'entre eux de discuter les rôles des dirigeants de l'opposition ukrainiens dans le futur gouvernement du pays.

    «F ** k l'UE," Nuland aurait dit dans la conversation téléphonique avec Pyatt, qui a été enregistrée et postée sur YouTube en Février.


    La vidéo de quatre minutes - intitulé «marionnettes Maidan,» faisant référence à Place de l'Indépendance dans la capitale de l'Ukraine - a été transféré par un utilisateur anonyme. L'origine de l'enregistrement est restée incertaine.

    - voir clip sur site:

    http://rt.com/news/187992-ukraine-drills-pyatt-fail/

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  73. Violent tremblement de terre à Tokyo

    16 septembre, 2014
    Moscou 10:17
    Par La Voix de la Russie

    Un violent tremblement de terre s'est produit lundi à la mi-journée au nord de Tokyo, secouant les gratte-ciel et maisons de la capitale, ont constaté des journalistes de l'AFP.
    Selon l'Agence nationale de météo, l'épicentre de ce séisme, de magnitude 5,6, se trouvait dans la partie sud de la préfecture d'Ibaraki. Le centre de Tokyo est une des zones où il a été le plus ressenti.Il n'y a pas de risque de tsunami et aucun dégât n'a été rapporté dans l'immédiat.
    "Nous procédons à des vérifications", ont déclaré les autorités locales, jointes par l'AFP. Un premier choc violent a d'abord été perçu vers midi et demi (03H30 GMT) avant une série de secousses très fortes pendant une dizaine de secondes.
    Les opérateurs des installations nucléaires où les trépidations ont été ressenties ont indiqué ne pas avoir constaté d'anomalie dans un premier temps. Plusieurs lignes de train, dont les Shinkansen (rames à grande vitesse) reliant Tokyo à la préfecture de Fukushima, ont immédiatement été stoppées pour contrôler les voies, mais le trafic a rapidement repris.
    Des habitants de la région la plus proche de l'épicentre ont indiqué avoir été prévenus quasi simultanément par le dispositif d'alerte précoce de l'agence de météo. Cette dernière a prévu une conférence de presse un peu plus tard dans la journée pour expliquer le mécanisme de ce séisme.
    Situé à la jonction de quatre plaques tectoniques, le Japon subit chaque année plus de 20% des tremblements de terre les plus violents recensés sur la planète.

    http://french.ruvr.ru/news/2014_09_16/Violent-tremblement-de-terre-a-Tokyo-4259/

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    1. Le Japon subit presque 20.000 tremblements de terre par an ! 20.000 !

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  74. Russie : le budget excédentaire de 18,6 mds EUR entre janvier et août 2014

    MOSCOU, 16 septembre
    RIA Novosti/La Voix de la Russie

    L'excédent du budget fédéral russe s'est chiffré à 905,5 milliards de roubles (près de 18,7 milliards EUR) au cours des huit premiers mois de 2014, ce qui représente 2 % du PIB, a annoncé lundi le ministère russe des Finances.

    D'après les estimations préliminaires du ministère des Finances, les recettes du budget fédéral ont atteint 9.439 milliards de roubles (194 milliards EUR) sur janvier-août 2014, ce qui représente 66,3% du niveau prévu pour 2014.

    Les dépenses budgétaires se sont quant à elles établies à 8.533 milliards de roubles (175,3 milliards d'euros), soit 61,1% du niveau prévu.

    RIA Novosti

    http://french.ruvr.ru/news/2014_09_16/Russie-le-budget-excedentaire-de-18-6-mds-EUR-entre-janvier-et-aout-2014-8824/

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  75. La nouvelle entourloupe titrisée de la Banque publique d’investissement

    15 septembre 2014
    Marie-Caroline Porteu

    Contrairement à ce qui est avancé par François Hollande, la titrisation des crédits aux PME, par le biais de la Banque publique d’investissement (BPI France), n’est en aucun cas une aide aux PME, puisque ces crédits ont déjà été octroyés par définition. C’est au contraire une aide dissimulée aux banquiers et à leurs actionnaires.

    En effet, grâce à ce tour de passe passe, les besoins de recapitalisation des banques françaises viennent de s’évanouir comme par enchantement, puisqu’elles ont le droit de sortir de leurs bilans des risques sur lesquels elles continueront néammoins à toucher une rémunération par les marges dégagées grâce aux taux pratiqués sur ces crédits.

    Les actionnaires de ces mêmes banques auraient dû être appelés pour des recapitalisations urgentes et de nouveaux besoins en fonds propres. En fait, ils ne subiront aucune pression, puisque, par le biais de cette titrisation, le transfert de risques se fait sur le contribuable et sur l’État français. Et ces transferts vont préserver leurs dividendes.

    C’est l’application du TARP américain [1] à la France, grâce à un tour de magie et à une sémantique adaptés, par un Président, dont l’ennemi était peut-être jadis (il y a deux ans et demi) la Finance, mais qui aujourd’hui sert les intérêts des actionnaires privés des banques françaises, au détriment de l’intérêt général des Français. Il suffit de regarder la composition et les lieux de détention de l’actionnariat des banques cotées au CAC 40 pour comprendre quels seront les intérêts les premiers servis.

    Marie-Caroline Porteu

    Note

    [1] Le Troubled Asset Relief Program (TARP) est le nom initialement donné au plan Paulson. Malgré le montant en jeu, le document ne comptait que trois pages. Pour que le plan soit accepté par le Congrès des États-Unis, il a fallu modifier substantiellement le document : il comptait environ 110 pages au moment de son acception. (wikipedia, français)

    Source : France : La BPI propose la « titrisation » des crédits aux PME (lesechos.fr, 15-09-2014)

    http://www.vineyardsaker.fr/2014/09/15/nouvelle-entourloupe-titrisee-banque-publique-dinvestissement/

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  76. Dieter Spethmann, l’ex-patron du groupe industriel allemand Thyssen, met en garde contre la guerre

    15 septembre 2014
    Jefke

    L’Ukraine n’est pas dans l’Union européenne, et dépenser de l’argent des impôts allemands « pour qu’à Kiev des nazis puissent continuer à gouverner [...] transgresse notre constitution », commente l’ex-patron de Thyssen, Dieter Spethmann. [1]

    Cet automne n’en est pas un comme les autres. La guerre est dans l’air [2]. Cet automne me rappelle celui de 1939, que je garde vivement en mémoire. J’avais treize ans à l’époque. Mon père avait prédit la guerre depuis des années, cette guerre qui nous a apporté sept millions de morts, qui a détruit tout le pays et qui nous a réduits à la moitié de notre territoire impérial.

    C’est pareil maintenant. Quand Madame Merkel est devenue présidente, elle a d’abord augmenté la TVA à 19 %. Des millions de petites entreprises « ont passé le Wupper » (c’est-à-dire se sont éteintes ou ont fait faillite, NdT [3]). Elle nous console aujourd’hui à travers Madame Nahles [4]. Il existe tout de même de plus en plus d’emplois. Mais ça n’aide qu’en apparence. Car le pouvoir d’achat de chacun de nous diminue. C’est pourquoi Schäuble [5], qui a dû avoir honte d’une affaire d’argent en liquide, est devenu notre deuxième consolateur. Il essaye aujourd’hui de nous faire oublier que nous avons travaillé jusqu’au 8 juillet pour son État, décidément trop longtemps. Il nous console avec le fait que son État ne fait plus de dettes. C’est faux aussi. Car, par sa politique à taux d’intérêt à zéro, l’État épargne au moins 60 milliards d’intérêts par an, mais cet argent se perd dans notre épargne. Non, on ne peut plus continuer ainsi.

    Mais il y a maintenant à nouveau des milliards et des milliards disponibles, pour « aider l’Ukraine ». Pour justifier cela, il n’existe aucun texte d’application du droit, ni aucune raison politique. L’Ukraine ne fait pas parti de l’Union européenne, et dépenser de l’argent des impôts allemands, pour qu’a Kiev des nazis puissent continuer à gouverner, transgresse notre constitution.

    Non, nous devons faire comprendre à Merkel, Gabriel & Co qu’il doivent se dissocier, eux et nous tous, des actions bellicistes des Américains. Depuis une dizaine d’années, ils attaquent d’autres États. C’est leur affaire. Le citoyen moyen des États-Unis n’a plus de vie digne.

    L’année dernière, on a consommé pour nos voitures seulement un tiers de l’essence consommée en 1998, tout en payant pour cette essence 14 fois plus. C’est l’affaire des Américains, si leurs citoyens doivent payer les guerres innombrables de leur gouvernement par des pertes personnelles. Nous, par contre, ne devons et ne voulons pas intervenir dans de telles escapades. Nous voulons la paix et surtout pas de guerre avec la Russie [6], qui signifierait certainement la fin de l’Allemagne, puis celle des Allemands. C’est inexplicable pour moi comment Merkel, Gabriel & Co en sont arrivés là.

    Dieter Spethmann
    Traduit par Jefke pour vineyardsaker.fr, revu par Patrick

    (suite en dessous:)

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  77. *Notes (d’origine et de traduction)
    [1] Dieter Spethmann, née le 27 mars 1926 à Essen, est l’ancien patron de Thyssen AG. Il a modernisé cette entreprise et a découvert la technique Trans-rapid dans l’ancienne usine traditionelle Henschel à Kassel, qui avait été reprise par Thyssen. Spethmann travaille aujourd’hui comme avocat à Düsseldorf. (wikipedia, allemand)

    [2] “Gauck ruft zu den Waffen” (geolitico.de, allemand, 02-09-2014)

    [3] Was heißt denn, « über die Wupper gehen »? (fragdienachbarn.org, allemand)

    [4] Andrea Maria Nahles, née le 20 juin 1970 à Mendig, est une femme politique allemande, membre du Parti social-démocrate d’Allemagne (SPD). Elle est secrétaire générale du SPD depuis le 13 novembre 2009 et ministre fédérale du Travail depuis le 17 décembre 2013. (wikipedia, français)

    [5] Wolfgang Schäuble, né le 18 septembre 1942 à Fribourg-en-Brisgau, est un homme politique allemand membre de l’Union chrétienne-démocrate d’Allemagne (CDU). Il a été directeur de la chancellerie fédérale, puis ministre fédéral de l’Intérieur d’Allemagne sous Helmut Kohl, avant de présider le groupe CDU/CSU au Bundestag durant les années 1990, puis la CDU de 1998 à 2000. Dauphin désigné de Kohl, sa défaite aux élections de 1998 et sa démission de la présidence du parti en 2000, suite au « scandale des caisses noires », lui ont barré la route de la présidence fédérale, qu’il convoitait. Il a ensuite retrouvé le ministère fédéral de l’Intérieur lors de la grande coalition d’Angela Merkel, entre 2005 et 2009, et est actuellement ministre fédéral des Finances. (wikipedia, français).

    [6] Die Gefahr eines großen Krieges (geolitico.de, allemand, 13-08-2014)

    Source : Ex-Thyssen-Chef warnt vor Krieg (Geo Litico, allemand, 15/9/2014)

    http://www.vineyardsaker.fr/2014/09/15/dieter-spethmann-lex-patron-du-groupe-industriel-allemand-thyssen-met-en-garde-contre-guerre/

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