- ENTREE de SECOURS -



samedi 24 mai 2014

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le pétrole (abiotique)…

Biotique ou abiotique: La vraie-fausse crise pétrolière ou la pseudo-science au service du contrôle énergétique par scarcité induite

– 1ère partie –
Par Résistance 71
.
"Dans un monde de mensonge universel, dire la vérité est un acte révolutionnaire."
– George Orwell –
.
"La suggestion que le pétrole puisse être dérivé d’une sorte de transformation de poisson compressé ou de détritus biologique est certainement la notion la plus idiote qui a été entretenue par un nombre substantiel de personnes pendant un laps de temps étendu."
– Fred Hoyle (1982) –
.
"Il n’y a jamais eu d’observations faites d’une génération spontanée de pétrole naturel (pétrole brut) à partir de matière biologique à basse pression dans quelque laboratoire que ce soit, où que ce soit, jamais."
– J.F. Kenney –
.
Une fois de plus, le pétrole et ses aléas viennent troubler la vie quotidienne des citoyens de France et d’ailleurs. Le pétrole est de fait la véritable monnaie d’échange du monde, bien au-delà des valeurs aléatoires des monnaies de singe utilisées pour les transactions globales. Qu’est-ce donc que cet or noir ? D’où provient-il ? Quelles conséquences a t-il sur nos vies et le monde ? La science sur laquelle est basée notre concept économique et d’exploitation du produit est-elle correcte ?
.
Le but de cet article est de montrer qu’il y a plus à penser que ce qu’on nous demande de croire et que la thèse consensuelle de la science sur l’origine biologique du pétrole est scientifiquement invalidée, que cela n’est pas dû à une "erreur", mais bien volontaire et ce à des fins de contrôle des ressources énergétiques et de ses prix.
.
A quoi pense t-on lorsque l’on prononce le mot "pétrole" ? Le plus souvent au prix qu’il nous coûte à la pompe ou en fuel domestique de chauffage. Nous avons un rapport personnel au produit car nous en sommes les esclaves pour nous déplacer et enventuellement nous chauffer l’hiver. Peut-on réduire le pétrole à sa seule valeur énergétique ?… C’est ce qu’on voudrait nous faire croire, mais il n’en est rien. En effet, il suffit de regarder autours de nous, dans nos vie quotidiennes, à quel point les produits dérivés du pétrole occupent une place prépondérante dans la société et son fonctionnement, pour comprendre que le pétrole et ses dérivés sont omniprésents.
.
Nous sommes également devenus complètement dépendants de la pétrochimie. Sans elle, un nombre incalculable d’objets qui ont envahis nos vies ne pourraient plus être produits en l’état actuel des choses: plastiques de toute sorte, matières synthétiques, PVC, engrais industriels, caoutchouc synthétique (croyez-vous que les pneus de vos voitures proviennent toujours des hévéas ?..) etc, etc.
.
Nous ne disons pas que ceci est une bonne chose, bien au contraire, nous disons simplement que supposer que le pétrole ne soit qu’une source d’énergie que l’on peut remplacer est un peu trop simpliste et réducteur. Doit-on remplacer le pétrole comme source d’énergie ? Oui indéniablement, nous nous éviterions bien des conflits, guerres, et sources de pollution (attention pas le CO2 et autres fadaises liée au "réchauffement climatique anthropique" qui ne sont là encore que des dogmes issus de la science détournée se conformant à un agenda de contrôle bien spécifique, ici n’est pas le sujet, mais nous nous devions de le dire) qui minent à des fins oligarchiques le développement de l’humanité.
.
Sortir complètement du pétrole n’est pas possible même si l’on trouvait une source d’énergie alternative fiable et durable, car nous en dépendons trop par ses produits de synthèse. S’il faut trouver une énergie de remplacement, il faut également trouver une technologie de remplacement concernant la pétrochimie envahissante, ou jamais nous ne verrons les produits pétroliers disparaître de notre vie et de celles des générations futures.
.
Qu’est-ce que le pétrole ? C’est un hydrocarbone lourd, source à la fois d’énergie et de produits de synthèse une fois chimiquement manipulé. Le "consensus" scientifique (toujours se méfier de ce mot) dit que le pétrole est une source "d’énergie fossile". C’est à dire que son origine provient de la décomposition d’éléments organiques comme des plantes et animaux morts, dans des conditions de temps, de chaleur et de pression propices à la croûte terrestre (c’est à dire peu profond et à des pressions peu importantes, ceci a une importance capitale comme vous le constaterez par la suite…). Ceci a pris des millions d’années à se transformer et que donc en conséquence, le pétrole et les hydrocarbures sont des produits géographiquement localisés et finis dans le temps puisque émanant de la décomposition d’un volume de détritus organiques finis et donc épuisable.
.
Cette hypothèse a été émise en 1757 par le savant russe Mikhailo Lomonosov. Nous avons donc cherché une littérature scientifique concernant cette hypothèse, ainsi qu’une littérature scientifique prouvant l’origine biologique (ou biotique) du pétrole. Nous pourrions penser que comme cette théorie est la théorie avancée de nos jours par l’ensemble de la science spécialisée dans le sujet de la recherche et de la production pétrolière, nous ne devrions pas éprouver en conséquence une quelconque difficulté à trouver une littérature scientifique riche et abondante corroborant ce fait…
.
Quelle ne fut pas notre surprise de constater que non seulement il était difficile de trouver des articles scientifiques prouvant l’origine biotique du pétrole, mais encore que ceux-ci n’existaient pas ! Nous avons cherché sur un nombre important de moteurs de recherche en anglais et en français, nous avons épluché "google scholar", en vain. Chose même anectotiquement extraordinaire, mais qui mérite néanmoins d’être mentionné, lorsque nous avons tapé à plusieurs reprises les mots de recherche suivants sur Google: "scientific articles biotic origin oil", Google lista à plusieurs reprises une liste d’articles n’ayant rien à voir avec le sujet demandé ou des articles connectant l’origine "biotique" à des domaines économiques et en haut de page figurait la question suivante: "did you mean scientific articles abiotic origin oil" à savoir: "vouliez-vous dire articles scientifiques sur l’origine abiotique (donc non organique) du pétrole" ? Ce qui peut-être interprêté de deux façons à notre sens: soit "nous n’avons rien sur l’origine biologique du pétrole mais nous avons sur son origine abiologique / abiotique" ou encore "de quoi voulez-vous parler?.. il est évident que le pétrole est biotique, vouliez-vous des preuves concernant l’origine abiotique ?" Donnons à Google le bénéfice du doute…
.
En revanche, la littérature scientifique concernant une origine abiotique, non biologique donc, du pétrole était abondante et cela nous a intrigué. En tapant les termes suivants sur Google: "biotic origin oil" simple recherche sur une "origine biotique (ou biologique) du pétrole", six sur les 10 premiers articles sortant sont à propos de l’origine abiotique du pétrole (non-biologique), les quatre restant etant à propos de la "controverse sur l’origine biotique ou abiotique du pétrole". Rien sur ce que nous demandions: des articles sur l’origine biotique du pétrole… De plus en plus troublant.
.
Wikipedia est de plus assez prolixe sur le sujet de l’origine abiotique du pétrole en déclarant d’entrée de jeu que "la théorie abiotique de l’origine du pétrole a été discréditée", tiens donc… Donc, nous tapons dans la fenêtre de recherche interne de Wikipedia les termes "biotic origin petroleum" (puisque la terminologie de Wikipedia concernant le pétrole en anglais est "petroleum" et non pas "oil" ce qui est plus spécifique convenons-en), or que découvrons-nous avec stupeur?
.
Qu’il n’y a pas de page sur Wikipedia concernant une origine biologique / biotique du pétrole. Intrigant non lorsqu’il s’agit de fait de la théorie du "consensus scientifique" à cet égard ?
.
La théorie officielle prévalente sur l’origine du pétrole n’ayant apparemment aucun soutien de la science, nous nous sommes donc penchés sur l’autre théorie de l’origine du pétrole, celle de l’origine abiotique, non biologique donc, qui elle semble avoir un soutien scientifique tout autre, loin d’une hypothèse érigée en dogme, comme cela semble être de plus en plus le cas lorsqu’on prend la peine de rechercher et de creuser le contenu de certaines "théories scientifiques".
.
Récapitulons donc ce que nous savons jusqu’ici: le pétrole n’est pas une découverte récente, "l’huile de roches" était déjà utilisée dans l’antiquité et était connue déjà au XVIIIème Siècle lorsque Lomonosov énonça son hypothèse biotique. Celle-ci fut réfutée rapidement par le scientifique allemand Alexander Von Humbolt et le Français Gay-Lussac, puis au XIXème siècle les chimistes français et russe Marcelin Berthelot et Dimitri Mendeleev (le même Mendeleev qui laissa son nom à la table périodique des éléments chimiques) démentirent également l’hypothèse de Lomonosov. Comme vous le verrez dans les articles subséquemment présentés, Berthelot constata et prouva que l’on pouvait obtenir du pétrole à partir d’élements non organiques, mais ne prît pas position quant à l’origine du pétrole. Mendeleev quant à lui, fît clairement état que le pétrole était d’origine abiotique (non-organique) et profonde, qu’il était généré dans le manteau terrestre comme élément primordial et émît l’hypothèse que sa remontée vers des profondeurs moins importantes était dûe à un "système de failles" sous-terrain.
.
Les choses en restèrent plus ou moins là jusqu’à l’après seconde guerre mondiale. Celle-ci laissa l’URSS sans ressources et comme un pays ne produisant qu’une infime portion du pétrole nécessaire à son développement énergétique, industriel et commercial. Dès 1946, l’URSS lança un projet pour le pétrole comparable à ce que fut le "Manhattan Project" pour le développement nucléaire aux Etats-Unis.
.
Le pays lança ses forces vives scientifiques spécialisées et survivantes à la guerre et aux purges staliniennes dans l’étude, la compréhension géologique et chimique du pétrole et de ses origines afin de mieux en maitriser la recherche et la production.
.
En 1951, le Professeur Nikolaï Kudryavtsev annonça les résultats des recherches soviétiques par son académie des sciences en énonçant la "théorie russo-ukrainienne de l’origine profonde et abiotique du pétrole". Trés vite, d’autres professeurs à la pointe des sciences concernées tels les professeurs Kropotkin, Dolenko, Shakhvarstova, Linetskii, Porfir’yev et Anikiev rejoignirent les conclusions du professeur Kudryavtsev. Depuis cette période, l’URSS et maintenant la Russie, est devenue progressivement le plus gros producteur et exportateur de pétrole au monde.
.
La théorie russo-ukrainienne de l’origine abiotique profonde du pétrole a fait l’objet de plus de 4 000 articles scientifiques publiés en Russie et en Ukraine par leurs académies scientifiques respectives et instituts de recherches géologiques et pétroliers. De vastes champs d’exploitation pétrolière ont été découverts et exploités utilisant la théorie abiotique et a permis aux Russes de développer et d’affiner leur technique de forage profond, dont ils sont les maîtres absolus aujourd’hui et de faire moins d’erreur de localisation des gisements qu’avec l’application de la théorie biotique qui elle donne statistiquement un puit commercialement exploitable tous les 28 forages en moyenne ce qui revient à laisser une très grande part de l’exploitation à la chance.
.
Plus proche de nous, deux professeurs américains ont expliqués la théorie russo-ukrainienne de l’origine abiotique du pétrole en occident, les professeurs J.F. Kenney (M.I.T alumni) et membre de l’académie des sciences de Russie, qui travailla avec les Russes dès 1975 et dont certains des articles scientifiques écrits avec d’éminents chercheurs russes et ukraniens, ont été traduits de l’anglais par nos soins et seront publiés ici-même pour que le lectorat puisse se faire une idée informée et non déformée de la question. En effet, ces articles souvent cités, parfois hors contexte, n’ont jamais été traduits en français à notre connaissance. Nous les référençons également ci-après en anglais ainsi que le site internet du Professeur Kenney.
.
Egalement le professeur Thomas Gold, astrophysicien, professeur à l’université de Cornell et membre de l’Académie Nationale des Sciences des Etats-Unis, fut un adepte de la théorie abiotique du pétrole. Le professeur Gold écrivit un livre en 1999 intitulé: "The Deep Hot Biosphere, the myth of fossil fuel" (La biosphère chaude profonde, le mythe du carburant fossile). Ce livre n’a pas été traduit en français à notre connaissance.
.
Nous n’allons pas entrer ici dans les détails de la théorie, car nous avons traduit de l’anglais des articles clefs afin que tout à chacun puisse lire et comprendre de quoi il retourne par ceux-là même qui l’on étudié de très près. Dû au volume d’information, ces articles seront publiés ici-même dans les semaines à venir en plusieurs parties. Nous vous laisserons seuls juges du bienfondé de la chose.
.
Si la théorie russo-ukrainienne abiotique profonde du pétrole est juste (comme la solide science qui l’étaye semble le confirmer), quelles sont donc les implications directes et indirectes de la chose ?
.
Si la théorie est juste, le pétrole n’a donc aucune origine biotique. Il est un produit primordial dont la génèse a lieu dans le manteau terrestre à de grandes profondeurs et dans des conditions de chaleur et de pression très élevées (minimum 25Kbar). Ce qui veut dire que la quantité de pétrole générée par la Terre n’est fonction que de la quantité de matériaux primordiaux impliqués à la formation originelle de la planète.
.
Cette source n’est pas "épuisable" à l’échelle humaine et la génèse en est constante.
.
La théorie de l’ingénieur Hubbert sur le "pic de production pétrolier" (ingénieur de la Shell qui émit sa théorie en 1956) est fausse, ce qui a été coroborré à maintes reprises dans la mesure où des gisements pétroliers sont constamment découverts en Russie et ailleurs dans le monde et ce dans des endroits qui seraient improbables à la découverte et l’exploitation pétrolières en suivant les canons de la théorie biotique de l’origine du pétrole.
.
Ceci a donc des répercussions économiques et géopolitiques: les prix du pétrole sont essentiellement spéculatifs en induisant un facteur de scarcité qui a été créé de toute pièce à des fins commerciales (profit) et de contrôle géopolitiques (des prix et de la recherche/exploitation ainsi que des zones géographiques par ingérence, guerres ouvertes directes ou guerres par proxy).
.
Michael Lynch, un chercheur au Centre des Etudes Internationales au MIT, écrit en conclusion de son article "The New Pessimism about Oil Resources: Debunking the Hubbert Model (and Hubbert Modelers)"
.
– "Le nombre d’inconsistances et d’erreurs couplé avec l’ignorance de la plupart des recherches antérieures, indiquent que l’école du modèle de Hubbert n’a pas découvert de nouveaux résultats dévastateurs, mais a plutôt rejoint un groupe qui a trouvé qu’un grand corps de données mène souvent à une forme particulière de laquelle ils essaient de deviner des lois physiques. Le travail des adeptes de la théorie de Hubbert a été prouvé incorrect en théorie et basé lourdement sur des hypothèses que les preuves factuelles démontrent comme étant fausses. Ils ont de manière répétée mal interprété les effets politiques et économiques comme étant le reflet des contraintes géologiques et mal compris la causalité de l’exploration inhérente, de la découverte et de la production.
.
Le problème majeur des modèles de type Hubbert est une dépendance à une variable URR (Ultimate Revoverable Resources) comme un chiffre statistique plutôt qu’à une variable dynamique, qui change avec la technologie, la connaissance, l’infrastructure et d’autres facteurs, mais qui croît en premier chef. Campbell et Laherrere ont clâmé avoir développé de meilleures méthodes analytiques pour résoudre ce problème, mais leurs propres estimations ont augmenté et vraiment rapidement.
.
Le résultat a été exactement comme prédit par Lynch (1996) pour cette méthode: une série de prédictions de pic de production pétrolière à terme et un déclin, qui doit être révisée à la hausse répétitivement dans le futur. Ceci de manière suffisamment conséquente de façon à suggérer que les auteurs eux-mêmes fournissent les preuves que les ressources pétrolières ne sont pas sous stress, mais augmentent de fait plus vite que la consommation ! " –
.
Le modèle de pic pétrolier d’Hubbert est donc déjà mis en question sans même aborder la question de l’origine du pétrole.
.
Qu’en dire donc à la lumière de la théorie russo-ukrainienne de l’origine abiotique profonde du pétrole ?
.
Est-ce déjà une coïncidence que la théorie d’Hubbert fut énoncée en 1956, soit environ 5 ans après que la théorie abiotique fut énoncée par le professeur Kudryavtsev ? Un évènement isolé peut paraître souvent anodin, mais replacé dans son contexte, cela peut prêter parfois à d’autres interprétations. La théorie du "pic de production pétrolier" et les modèles qui s’en suivirent ne furent-ils pas produits pour surenchérir la thèse biotique et donc ainsi garantir aux compagnies pétrolières une nouvelle base de régulation des prix du pétrole à long terme en jouant en permanence sur la rareté induite et non réelle du produit ? Possible, probable… En tous les cas la question se doit d’être posée.
.
Ainsi donc, à la lumière de la théorie abiotique du pétrole, celui-ci ne serait pas un produit fini dans le sens où la théorie biotique l’entend. Il ne serait sujet dans sa formation profonde qu’à la quantité de matières carbonée et minérale inclues dans le manteau terrestre à la formation de la terre il y a plus de 4 milliards d’années.
.
Si le pétrole n’est pas rare et des gisements sont régulièrement découverts, il n’y a donc aucune raison que les prix augmentent si ce n’est de manière spéculative et artificielle. D’aucuns diront que le pétrole profond coûte plus cher à l’exploitation. Certes, mais que dire du coût d’une production "hasardeuse" basée sur une théorie biotique du pétrole qui laisse 27 forages sur 28 secs ou non commercialement exploitable ? Tandis que les forages profonds abiotiques russes et ukrainiens (comme les champs pétroliers de la région du Dniepr-Donetsk et certaines exploitations vietnamiennes entr’autres) produisent commercialement à un bien meilleur ratio et donc réduisent les coûts par une augmentation de la fiabilité des découvertes.
.
Alors le pétrole doit-il ètre remplacé comme source d’énergie ?
.
La réponse à notre sens est oui car son obsolescence est évidente. Il y a certainement des sources énergétiques plus efficaces, moins polluantes et plus économiques que la source énergétique pétrolière. L’énergie à base de pétrole continue parce que le prix et les profits réalisés par un cartel de compagnies pétrolières transnational (lié aux banques ne l’oublions pas) sont énormes et que profit et la puissance économico-politique entretenue sont les deux motivateurs essentiels.
.
Si le pétrole du jour au lendemain était accepté de manière "consensuelle" comme étant abiotique et donc abondant, non tarissable à l’échelle humaine, les prix chuteraient immanquablement car la thèse de la scarcité (mensongère) du produit s’effondrerait comme un château de cartes. L’exploitation deviendrait moins rentable, les profits s’amoindriraient pour devenir plus anodins et ceci ouvrirait immanquablement les portes à des recherches pour des sources d’énergies nouvelles fiables, comme la géothermie par exemple voire la reprise de travaux sur la fusion froide, bloquées depuis des décennies par le cartel pétrolier aux abois, qui n’a aucun intérêt à laisser la théorie scientifique du pétrole abiotique prendre le dessus sur son hypothètique rivale qui rapporte tant en escroquant le monde. Le pétrole cher est une garantie de sécurité et de puissance pour le cartel et les politiques. L’utilisation du pétrole deviendra t-elle inutile ? Non, tant que nous n’aurons pas trouvé de substitution à la gigantesque industrie pétrochimique de transformation, qui elle génère la véritable pollution planétaire ainsi que de substantiels profits bien évidemment. Le dogme pseudo-scientifique du réchauffement climatique anthropique et du "CO2 polluant" est une autre diversion sur les véritables problèmes de pollution. Le CO2 n’est pas un facteur majeur de réchauffement, en fait son augmentation dans l’atmosphère suit naturellement un réchauffement de la planète et non pas l’inverse. C’est parce qu’il fait plus chaud (pour un tas de raisons bien plus naturelles qu’anthropiques) qu’il y a plus de CO2 atmosphérique (relâché hors de solution par les océans notemment) et non pas plus chaud parce qu’il y a plus de CO2… Encore une fois, la pseudo-science a trompé et trompe encore le public.
.
Une fois de plus, les politiques ont récupérés une hypothèse et l’ont fait ériger en dogme par des scientifiques complaisant et essentiellement financés pour ce faire.
.
Les promoteurs de la théorie de l’origine biotique du pétrole en occident affirme que la théorie abiotique russo-ukrainienne est "marginale" et peu suivie, mais reconnaissent néanmoins l’existence de pétrole abiotique, mais pas en "quantité suffisante pour être commercialement exploitable". Plus de 4 000 articles scientifiques publiés en langue russe en 60 ans, n’est pas exactement ce que l’on pourrait appeler "marginal". D’aucuns disent alors: "pourquoi les Russes ne promeuvent ils pas plus leur théorie si elle est vraie ?" Le problème est qu’ils le font. Ils l’ont fait dans bien des conférences internationales sur le sujet, dans l’indifférence et l’oprobe générales. Quelques articles ont été publiés après traduction en anglais. Un article de Kenney et al. fut publié en 2002 dans la revue "Proceedings of the National Academy of Science" aux Etats-Unis. Nous l’avons traduit en français et nous le publierons ici avec d’autres.
.
Cet article fut l’objet d’un compte-rendu éhonté et tronqué dans la revue "Nature", réputée être la "bible de la publication scientifique" de langue anglaise et basée à Londres.
.
Cet article déclancha la colère des auteurs, tous professeurs de haut niveau théorique et expérimental de l’académie des sciences de Russie et institutions affiliées. Une lettre de blâme et de demande de rectification fut envoyée à la direction de la revue "Nature". Nous publierons également cette lettre, que nous avons traduite en français.
.
Dans toute cette affaire d’origine du pétrole, ce qui nous choque le plus est de constater qu’une fois de plus, la science semble aboir été détournée à des fins politico-économiques pour toujours servir les intérêts du petit nombre et jamais l’intérêt des peuples.
.
Notre désir ici n’est que d’essayer apporter un autre angle sur un débat qui ne cesse de pourrir la vie de la Terre entière.
.
Des guerres, des massacres, des mensonges, des trahisons sont perpétrés au nom du sacro-saint pétrole, de son contrôle, de la spéculation sur les prix et la production et des profits gargantuesques qu’ils générent. Tout cela semble t’il par le truchement d’une science bidouillée, comme l’est celle du soi-disant "réchauffement climatique anthropique" et son hypothèse non vérifiée érigée en dogme, comme l’est celle de la sociologie et les thèses malthusiennes et social-darwinistes érigées en dogme, comme le sont les hypothèses des économistes encore érigées en dogme pour justifier du pillage du monde , de la concentration des richesses en le moins de mains possibles et l’hégémonie perpétuelle d’une caste de parasites qui exploitent l’humanité entière pour leur profit et le contrôle toujours plus avant des personnes et des biens…
.
Le modus operandi semble être établi: prendre une hypothèse qui correspond aux intérêts du petit nombre, l’ériger en dogme en inondant la recherche de fonds afin de faire ressortir la "science" derrière le dogme et en même temps torpiller et anihiler toute velléité de dire le contraire aussi scientifiquement valide soit la thèse opposée, tenir la ligne du dogme selon le principe fondamental et vital propagandiste qui dit que plus un mensonge est gros, plus il a de chances de passer et plus il est répété, plus il a de chances de devenir "vérité" axiomatique non discutable.
.
L’hégémonie culturelle de la classe dominante et sa propension à manipuler la science pour son profit oligarchique est aujourd’hui le véritable danger planétaire. Il faut en sortir au plus tôt. Il en va de notre survie, purement et simplement. Nous vivons de facto dans une ère de dictature scientifique dont l’efficacité oppressive est dévastatrice.
.
Il nous faut douter de tout et rechercher la vérité souvent présente dans le fatras ambiant à porté de main et d’esprit, mais enfouie à dessein afin que les dogmes pseudo-scientifiques prévalent.
.
En complément de cet article de présentation, nous publierons quatre articles que le professeur Kenney a écrit avec ses collègues russes et ukrainiens, que nous avons traduits en français ce qui n’a jamais été fait auparavant aussi loin que nous le sachions. Ces articles seront publiés un par un dans les semaines à venir et constitueront autant de parties à cet article initial de Résistance 71. Nous publions ci-dessous l’adresse du site internet du professeur Kenney où les articles (en anglais) concernés et d’autres sont répertoriés.
.
Bonne lecture et à suivre donc…
.

9 commentaires:

  1. 2ème Partie
    Bibliographie:
    http://www.gasresources.net/ Professeur J.F. Kenney
    http://www.csun.edu/~vcgeo005/Energy.html
    “The Deep Hot Biosphere, the myth of fossil fuels”, Professeur Thomas Gold, Copernicus Books, 1999.
    http://www.xplora.org/ww/fr/pub/xperimania/news/world_of_materials/living_without_petrochemicals.htm
    http://blogs.mediapart.fr/blog/vincent-verschoore/020710/bp-le-golfe-et-le-petrole-abiotique
    http://physicsworld.com/cws/article/news/20222
    http://www.gasresources.net/ThrmcCnstrnts.htm
    http://www.nytimes.com/gwire/2009/07/31/31greenwire-fossil-fuels-without-the-fossils-new-research-sa-796.html
    http://www.gasresources.net/Lynch(Hubbert-Deffeyes).htm
    http://www.digitaljournal.com/article/266424?tp=1
    Articles originaux qui ont été traduits en français et qui seront publiés sur Résistance 71:
    2ème partie:
    http://www.gasresources.net/introduction.htm
    3ème partie:
    http://www.gasresources.net/DisposalBioClaims.htm
    4ème partie:
    http://www.gasresources.net/alkaneGenesis.htm
    5ème partie:
    http://www.gasresources.net/Nature(Editor01).htm
    6ème partie:
    http://www.gasresources.net/OnSpontaneiousRenewalVasyl.htm

    http://resistance71.wordpress.com/2011/06/12/tout-ce-que-vous-avez-toujours-voulu-savoir-sur-le-petrole-abiotique/

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Effectivement là, comme des scientifiques ont depuis les 'débuts du pétrole' rétorqué et prouvé que l'on ne peut faire du pétrole avec du jus de plantes (supercompressé durant des milliers d'années), et, comme les médias gouvernementaux ne sont pas libres ils ne l'ont pas dit, il a dû donc fallu attendre l'arrivée de l'Internet pour que les choses cachées se sachent et que des vidéos de professeurs en valident les informations.

      Notez tout de même que malgré que les secrets se savent, la presse n'en a jamais parlé ! Hahaha !

      Lorsque des puits ne sont plus en exploitation, 'normalement', les derricks sont démontés pour servir ailleurs. Or, même s'il est dit que 'le puits est à sec'... les colonnes demeurent en place ! Cà alors ??! Ainsi, après 5 ou 10 ans d'abandon et alors que le pétrole mettrait des milliers (millions ?) d'années pour se reconstituer, la surprise arrive: il y en a encore ! Cà alors ! De nouveaux, les veines sont remplies ! Cà alors ?!

      Ainsi, comme 'les cheveux d'Eléonore' (quand il y en a plus il y en a encore !), voila que les derricks sont remis en marche ! (sans explications bien-sûr ni commentaire dans la presse !) Hahaha ! Sacré pétrole ! dans 1000 ans il y en aura encore !

      Supprimer
  2. Il n'y a pas de gaz qui se trouve dans le bassin Weald: Est-ce la fin du rêve du gouvernement d'une révolution de la fracturation hydraulique ?


    L'enquête met en doute exactement combien d'huile de schiste et du gaz au Royaume-Uni peut produire - le cas échéant

    Tom Bawden ENVIRONNEMENT EDITOR
    Vendredi 23 mai 2014


    Le rêve du gouvernement du kickstart une révolution de la fracturation hydraulique a subi un revers majeur après qu'une enquête de l'un des grands espoirs de gaz de schiste du Royaume-Uni n'ait trouvé aucune preuve de gaz dans la zone.

    Et tandis que la même enquête - du bassin Weald, qui s'étend de Wiltshire à Kent - a trouvé environ 4,4 milliards de barils de pétrole, le scientifique qui a supervisé le projet a admis que ce serait si difficile à extraire que le bassin est peu probable pour donner encore 0,5 pour cent de l'huile extraite à partir de la mesure de la Mer du Nord.

    Robert Gatliff, directeur de l'énergie et géosciences marines à la British Geological Survey, qui a produit le rapport, a déclaré: "Ce n'est pas un énorme pactole. Mais nous devons voir ce qui se passe »Il a ajouté:". Cela va être un défi pour l'industrie de le sortir ".

    La mer du Nord a produit environ 40 milliards de barils de pétrole depuis les années 1970 et est susceptible de produire entre trois milliards et 24 milliards de plus, selon les estimations de l'industrie. Mais M. Gatliff attend le bassin Weald pour donner pas plus de 220 barils de pétrole, basé sur un taux d'extraction généreux d'environ 5 pour cent de la "ressource" total estimé. C'est moins d'huile que la Grande-Bretagne consomme en six mois.

    Prié de dire si les résultats étaient une let-down pour le gouvernement, le ministre de l'énergie Michael Fallon a dit: "Ce n'est pas une déception ou un laisser-up. Il est ce qu'il est. "Il a insisté sur l'huile de schiste pourrait encore être un" ajout important à nos approvisionnements en énergie de chez nous ".

    Toutefois, les experts de l'industrie a déclaré l'enquête a agi comme un rappel que malgré la fracturation de la publicité, a reçu, il est loin d'être certain que l'huile de schiste et de gaz seront produits au Royaume-Uni en quantités importantes, voire pas du tout.

    Dr Robert Gross, directeur du Centre pour la politique de l'énergie et de la technologie à l'Imperial College de Londres, a déclaré: «Cette étude souligne la nécessité de maintenir un sens de la perspective sur les perspectives de la production de carburant à base de terres fossiles au Royaume-Uni. Il est hautement improbable que le Royaume-Uni reproduise l'expérience des États-Unis dans un avenir prévisible ".

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  3. Bob Ward, directeur de la politique à la London School of Economics Grantham Research Institute, a déclaré que les conclusions "ne corroborent pas le battage médiatique entourant la poursuite gaz et de pétrole des schistes du Royaume-Uni".

    Les ministres ont souligné à plusieurs reprises le succès de la fracturation dans les États-Unis, où il a entraîné une baisse des prix du gaz.

    Le gouvernement britannique encourage l'industrie, qui n'a pas encore produit tous les hydrocarbures de schiste à l'échelle commerciale, en offrant des allégements fiscaux aux producteurs et des incitations financières pour les collectivités locales. Aujourd'hui, il a proposé de modifier les lois d'intrusion pour permettre frackers de forer sous les ménages sans leur permission et un supplément de £ 20 000 de compensation aux communautés affectées par puits horizontal.

    http://www.independent.co.uk/news/uk/politics/no-gas-found-in-the-weald-basin-does-this-spell-the-end-of-the-governments-dream-of-a-fracking-revolution-9428918.html

    RépondreSupprimer
  4. Des militants russes sont de mener des études indépendantes prouvant que les OGM pourraient être l'arme génétique


    Christina Sarich Société Naturel
    24 mai 2014


    Un projet de loi est sur la table en Russie qui criminaliserait la production et des OGM distribution. Maintenant, les militants anti-OGM, qui cherchent à créer une équipe de chercheurs «très en retard» indépendants et internationaux qui peuvent enfin prouver sans équivoque que les OGM sont des outils de poison créés par Monsanto et la machine biotech entreprise.

    Lorsque vous allez à tergiverser production d'OGM avec le terrorisme, une étiquette, il mérite vraiment car il tue les gens par l'échec des organes reproducteurs et la réorganisation radicale de la flore intestinale, l'immunité, et même l'ADN - essentiellement comme une arme biologique - alors vous voudrez peut-être avoir une, la preuve solide dur qui peut contrecarrer la propagande qui a été distribué par les compères de Monsanto.

    Selon Elena Sharoykina, directeur de l'Association pour la sécurité publique génétique (GSPA), une ONG de 10 ans à Moscou, ce n'est pas la première fois que le terme «terrorisme» a été utilisé pour décrire ce que les OGM ont fait pour notre peuple et écosystèmes, y compris tous les pollinisateurs, qui nous permettent un approvisionnement alimentaire suffisant.

    Sharoykina souligné dans une interview à Russia Today que la Commission OTAN sur les défis de la société moderne qui s'est réuni dans la ville belge de Liège, en 2004 a déclaré que les OGM pourrait être utilisé comme une arme génétique.
    "Si les experts internationaux les plus graves en matière de sécurité qui ont des liens étroits avec la communauté scientifique disent que c'est possible, alors il n'y a pas de fumée sans feu», dit Sharoykina .

    Sharoykina n'est pas sûr de savoir comment le projet de loi pour criminaliser la production d'OGM serait appliquée à jour à la pratique de la journée, car il serait difficile de prouver des liens vers des OGM et des problèmes de santé et d'environnement, mais beaucoup ont souligné qu'il existe déjà plusieurs études qui ont prouvé ce fait très.

    Exemple Foe, avec l'aide de l'AN Institut Severtsev d'écologie et évolution, le GSPA a mené une étude en 2010 qui se sont révélées les hamsters nourris GM pourrait pas avoir une troisième génération de descendants .

    Néanmoins, même si les fonctionnaires russes ont essayé une fois de pousser les produits GM sur les gens, heureusement, mais en changeant seulement récemment leur position. Un inspecteur en chef de Rospotrebnadzor (le Service fédéral de surveillance de la protection des droits des consommateurs et le bien-être), Guennadi Onichtchenko, a parlé des OGM au Congrès international Nevsky écologique le 21 mai 2013.

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  5. Il a dit que la biotechnologie, y compris la modification génétique, est nécessaire pour assurer la population de la planète a de la nourriture de qualité en quantité suffisante. Les cultures GM sont souvent faites pour résister aux nuisibles, les intempéries, et d'autres facteurs que la récolte de l'impact santé.

    Un mois plus tard, lors d'une réunion du Conseil de la Fédération, Onishchenko dit qu'il considère les produits génétiquement modifiés a de succès scientifique, mais il reconnaît les risques liés à leur utilisation. Ce même inspecteur tard a quitté son poste controversé .

    Bien que l'étude d'un institut Severtsev originale est utile de montrer que les aliments génétiquement modifiés causent des problèmes de reproduction en seulement trois générations, c'était une expérience sous-financés qui nécessite une analyse plus complète. Cette étude va maintenant être menée en Russie.

    Comme le rapporte RT, "L'ONG a déjà recruté une équipe de chercheurs des États-Unis, la France, le Royaume-Uni, la Chine et la Russie et fera en sorte que l'expérience sera conforme à toutes les normes internationales. Il va aussi être disponible pour tout le monde de suivre en ligne ".

    Le GSPA recueille des fonds à partir de plusieurs sources comme un moyen de mener - la recherche internationale première indépendante sur les OGM.

    En Avril, le Premier ministre Dmitri Medvedev a dit aux députés russes qu'ils ne seraient pas planter les graines plus GM pour au moins trois ans. C'est amplement le temps de mener des études qui prouvent, une fois pour toutes, que les OGM n'est rien de plus qu'une arme biologique.

    http://www.thedailysheeple.com/russian-activists-to-conduct-independent-studies-proving-gmos-could-be-genetic-weapon_052014

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Petite rectification: Ce ne sont pas les 'OGM' qui sont interdits en Russie mais seulement les 'OGM nocifs'. C'est-à-dire qu'ils n'ont pas fait de test d'endurance et de développement en univers clos et qui - le plus souvent - sont relachés dans la nature un peu trop tôt. Car, sinon, il serait impossible d'interdire les organismes génétiquement modifié vu que tout ce qui nous entoure est 100% OGM !

      Supprimer
  6. ISDS : Une disposition scandaleuse approuvée en douce par le parlement Européen avant les élections

    Soumis par zitouni MetaTV
    le dim, 25/05/2014 - 02:01

    Que vous votiez ou non, prenez 10 minutes de votre temps pour lire ce qui suit. C'est important, ce sont des faits référencés. Consultez les liens et faites vous une opinion. Demain nous en reprenons pour 5 ans avec l'Europe. Et en 5 ans, on peut en voter des lois proposées par la Commission de Bruxelles et qui nous révolteront...

    L'ISDS (Investor-State Dispute Settlement) est autrement dit une disposition juridique qui a pour but de donner du pouvoir aux investisseurs privés face aux États, en permettant par exemple à une multinationale américaine d'attaquer la France ou l'Union européenne devant un tribunal arbitral international, plutôt que devant la justice française ou européenne (définition Le Monde). Cette disposition est une des plus scandaleuses (connues) du TAFTA !

    Hier 23 mai 2014 le parlement que nous pouvons remodeler demain dans les urnes, a voté à 81 % vite fait le texte amendé (1). Une première proposition était passé aux urnes le 16 avril dernier dans le silence assourdissant des médias (2). Il s'est dépêché de faire passer cette proposition scélérate par 535 voix pour et 119 voix contre.

    Grâce au lien ci-dessous (3), nous ne saurions trop vous recommander de vérifier qui a voté en faveur de ce texte, et ainsi savoir quels actes se cachent derrière les discours lénifiant du candidat député européen de votre circonscription. Tous les députés européens français UMP, centriste, radicaux, divers droite, la presque intégralité des députés socialistes et radicaux de gauche à l'exception d'un ou deux ont voté ensemble pour.

    Ont voté contre : Tout le groupe vert européen, la gauche dite radicale, les députés frontistes, (bien que certains membres de partis européens populistes avec lesquels le FN projette de s'associer aient voté pour) et quelques députés des autres partis qui ne se sont pas alignés... Si vous faites les comptes, vous verrez que les députés d'opposition étaient présents et ont fait le plein de voix.

    Nous essayons de vous alerter, article après article, en vous expliquant les effets néfastes du Libre Échange Transatlantique pour notre vie quotidienne. Un résumé simple de ce que vote le Parlement en ce moment :

    (suite en dessous:)

    RépondreSupprimer
  7. • Porte ouverte aux multinationales américaines.
    • Perte de la souveraineté des États face au traité.
    • Déferlante de produits américains qui ne répondent pas aux mêmes critères de sécurité alimentaire et de protection de l'environnement que les nôtres (porte ouverte à Monsanto et cie, etc.)
    • Porte ouverte également au gaz de schiste, puisque le Traité aura force de loi sur l'État.

    Pour quel bénéfice ? Soit disant nous ouvrir un immense marché qui rapporterait à chaque foyer européen : 50 euros par mois... dans 10 ans. Nous gagnerons dans l'histoire moins d'un plein d'essence par mois. De qui se moque-t-on ? De plus, rien de garantit que nous en voyons jamais la couleur...

    Où iraient donc les milliards de bénéfices escomptés de ce marché ? Mais... aux multi-nationales. Autre remarque : L'euro constamment fort par rapport au dollar ne joue pas en faveur de l'Europe. Ont voté OUI au Traité quasiment tous les groupes politiques sauf les verts, les bordeaux et une partie des gris...

    Ces politiques, consciemment ou non, installent et verrouillent ce que nous dénonçons à longueur de page : ultra-capitalisme, domination de la finance, épuisement de la planète, mondialisation, manipulations du vivant, lois anti-démocratiques, ingérences et guerres... Le Nouvel Ordre Mondial est déjà en marche, nous avons là un moyen de le freiner... Agissons en nombre !

    Par Galadriel - les brindherbes(link is external)

    Notes

    (1) Projet de résolution législative du parlement européen(link is external)

    (2) Comment le parlement européen, en douce, a anticipé Tafta(link is external)

    (3) Financial responsibility linked to investor-state dispute settlement tribunals established by...

    http://metatv.org/isds-une-disposition-scandaleuse-approuvee-en-douce-par-le-parlement-europeen-avant-les-elections

    RépondreSupprimer