L'attitude - face à une quelconque bestiole - a toujours été de ne jamais lui tourner le dos (même à un moustique) mais plutôt de comprendre à savoir voire d'anticiper ce qu'il a dans sa tête. Car si on ne sait jamais ce que peut penser l'autre, reste à penser pour lui le 'çà qu'il ferait'.
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Ainsi les dompteurs de zoos en sont-ils de se méfier d'autrui comme d'actes cochons qui seraient prêts à surgir en détournant le regard. Mais, si l'enclume était trop basse pour lui assener un légitime coup fatal restait à changer la longueur du manche du marteau ou... à remonter le billot pour être meilleurement à son aise.
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Donc, à la venue de l'Internet, s'il eu fallut remonter les satellites à 36.000 m afin qu'ils en épousaillent un morceau de viande plus large pour en tirer une moyenne (on ne peut pas toujours se payer la 'star du dimanche'), les rapports en ont conclu que l'on en savait pas plus de chaque individu individuellement. Donc, vint l'ère du rapprochement poussé jusqu'à l'intériorité de leur foutre - via 'vaccination' - une puce d'RFID qui en serait de rapporter les décisions prises en chacun des lieux. Mais, à cela, certains ne seraient d'en pas vouloir voire d'en faire part aux autres !
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Qu'à cela ne tienne, des caméras et micros habitèrent désormais ce dont les individus fréquentaient le plus souvent: télés écrans plats, smartphones et autres engins du modernisme dont jusqu'aux cafetières et frigos ils étaient pourvus. Mais, là encore, ces 'bestiaux sauvages échappés du bocal' d'où ils paissaient, s'étaient rendus compte que l'herbe serait plus verte ailleurs d'où les gesticulations de bonnes aventures que d'entreprendre la main-mise sur tout ce qui pousse ou qui un jour serait susceptible de germer. D'où, les idées dans la tête d'atteindre un jour la liberté.
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Ainsi, ne pouvant satisfaire toutes les exigences préconçues ils optèrent pour en refroidir tous les sujets tendant à leur échapper en les déclarant tous 'terroristes' ! Après tout quoi de mieux que de leur insuffler le mal (pour leur bien !) que de leur dire qu'ils ne sont pas dans le 'droit chemin'!
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'Droit chemin' parsemé de bosses et de trous - qui serait d'après des dépliants touristiques de valoir un vaste détour - mais qui vaille d'être vécu pour celles et ceux qui cherchent à en finir !
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Ainsi, les rétroviseurs nous ont-ils appris les leçons du passé et du s'en être sorti (la preuve: on est là !) et qu'il faut se méfier de la peste même si à l'occasion certains seraient de proposer vaccins alors que nous avons des armes plus redoutables face aux vampires.
Gov Web Moteurs de recherche de parcourir Internet pour le discours de haine
RépondreSupprimerJeudi 1 mai 2014 05:25
Mac Slavo
Cet article a été écrit par Mac Slavo et publié à l'origine à SHTFplan.com
http://www.thedailysheeple.com/gov-web-bots-to-scour-internet-for-hate-speech-could-potentially-criminalize-thoughts-and-expressions_052014
Avec la capacité d'intercepter toute communication numérique envoyé sur Internet ou par téléphone, il n'est pas surprenant que Big Brother pousse à étendre son rôle dans la vie des Américains.
Le sénateur Ed Markey (D-MA) propose un nouveau projet de loi qui enverrait les robots collecteurs de Web du gouvernement à travers l'Internet à la recherche de la parole ou de matériel prétendument déterminés à préconiser ou encourager la haine "actes de violence." Une fois identifié, le Congrès veut rapports à être diffusées au Congrès afin qu'ils puissent surveiller, contrôler et potentiellement criminaliser les pensées et les expressions considérées par un groupe inconnu de bureaucrates du gouvernement d'être haineux.
Vous et moi opérons dans l'arène des mots et des idées ... la liberté d'expression et de la pensée ... c'est la pièce de notre royaume.
Je pense vraiment que c'est le devoir des journalistes et des personnes dans les médias de regarder n'importe quelle instance potentiel du gouvernement entrant et en essayant de contrôler ou potentiellement criminaliser les pensées et les mots.
Le sénateur Markey veut que ce soit l'Agence fédérale obscure à l'affouillement ces sources en ligne ... TV, radio et ainsi de suite ... pour tout discours, ils trouvent en danger. Il veut qu'ils le fassent dans le cadre du ministère de la Justice, la Commission américaine sur les droits civils, puis déposer un rapport avec le Congrès sur ce là est potentiellement haineux et pourrait conduire à des crimes de haine.
Ceci est clairement le grand gouvernement coller son nez dans le discours des gens et leurs pensées.
Il n'y a pas de critères dans le projet de loi ... ce qui est le modèle ? Quand vous passez par et cochez les cases qui compte le discours de haine et qui rend les décisions ? C'est ce groupe abscons que personne n'a jamais entendu parler de enterré dans la bureaucratie du gouvernement fédéral.
Les définitions de ce qui constitue le discours de haine sont larges ou inexistante, ce qui rend un tel projet de loi beaucoup plus dangereux. Selon l'examinateur, "Le projet de loi ne précise pas ce qui, exactement, constitue" la haine ", mais étant donné la source de la proposition, il n'est pas trop difficile à comprendre."
Le projet de loi a suscité des inquiétudes que les individus ou les groupes qui parlent contre le gouvernement ou en désaccord avec certains hommes politiques seront identifiés comme incitation à la haine.
Beaucoup de questions sur la façon dont le processus de trouver des gens haineux aux États-Unis via l'internet travaillerait ont été laissées sans réponse.
Il y a quelques semaines le sénateur Harry Reid du Nevada appelé les manifestants à Bundy Ranch comme des «terroristes domestiques». Étant donné que ces personnes ont défié les directives officielles et déteste l'idée de overreach du gouvernement, seraient-ils maintenant relèvent également de nouvelles lignes directrices sur le discours haineux étant proposés par le sénateur Markey ? Vont-ils être ajoutés à une autre liste rouge et marquées comme des personnes d'intérêt pour simplement afficher leurs pensées dans un forum sur internet ?
(sute en dessous:)
Les psychiatres sont à cerner ceux qui expriment leurs frustrations avec le gouvernement comme une maladie mentale appelée trouble oppositionnel avec Defiance (ODD) selon le Manuel diagnostique et statistique officielle (DSM-V). Selon la nouvelle proposition du sénateur Markey pensées ou des idées provocatrices pourriez potentiellement non seulement vous laisser diagnostiqués comme malades mentaux, mais aussi un «ennemi».
RépondreSupprimerSera la «haine» maintenant être considéré comme une activité terroriste comme faisant un geste de canon avec la main, l'achat de munitions, ou payer comptant des articles à l'épicerie ?
Comme nous l'avons noté précédemment, il existe déjà des systèmes de pré-crime surveiller activement l'Internet à la recherche de discussions et de comportements qui peuvent être utilisés pour identifier les criminels potentiels avant tout crime se produit. Combiné avec de nouveaux outils de parole Bot Web de la haine, le gouvernement pourrait alors anticiper les détentions et les arrestations en vertu du Patriot Act ou National Defense Authorization Act, les deux permettant que des mesures soient prises contre ceux qui menacent la sécurité nationale, une autre de définir globalement terme ?
Le projet de loi est pleine de trous de boucle et les grandes hypothèses, comme c'est généralement le cas avec les mandats du gouvernement. Et, avec le ministère de la Justice inclus dans les nouveaux mandats «discours de haine», il devrait être clair que l'objectif final est la criminalisation des pensées et des expressions qui vont à l'encontre l'ordre du jour en vigueur.
Tout cela de côté, peut-être nous devrions juste passer le premier projet de loi avant de savoir ce qu'il y a dedans.
- voir clips sur site :
http://www.alt-market.com/articles/2117-gov-web-bots-to-scour-internet-for-hate-speech
Ukraine : Le FMI ou l’asphyxie du choix unique
RépondreSupprimerJérôme DUVAL
1er mai 2014
Le FMI poursuit sa route en Ukraine (partie 3) Au cours de cette série, l’histoire tumultueuse du FMI en Ukraine est décryptée depuis le déclenchement de la crise de 2007/2008 jusqu’à aujourd’hui, avec une attention particulière sur la période post-insurrectionnelle de 2014. Le plan d’endettement approuvé au forceps par le gouvernement non élu à l’issue du mouvement révolutionnaire est une aubaine pour l’institution et lui permet de renforcer ses recettes capitalistes dans l’ancienne Union soviétique.
Le nouveau gouvernement de Iatseniouk, une aubaine pour le FMI
Les événements insurrectionnels survenus en Ukraine en février 2014, offrent une opportunité rêvée pour le FMI de reprendre la mainmise sur la politique ukrainienne, afin d’imposer à la population ses politiques directement issues du « consensus de Washington » (qui désigne la thérapie de choc appliquée à l’ensemble des pays du Sud au lendemain de la crise de la dette du tiers-monde de 1982).
Pour l’actuel Premier ministre Arseni Iatseniouk, il n’existerait aucune autre possibilité face aux diktats du FMI. Déjà en octobre 2008, lorsqu’il était alors président du Parlement, Iatseniouk déclarait à propos du programme du FMI : « Nous n’avons pas le choix. Ce n’est pas une question de politique, c’est une question vitale pour l’activité du pays ». |1| Cinq ans et demi plus tard, en mars 2014, Iatseniouk, devenu Premier ministre du gouvernement transitoire, affirme à propos d’un imminent programme d’austérité du FMI : « Le gouvernement répondra à toutes les conditions fixées par le FMI, parce que nous n’avons pas d’autre choix. » |2|
Pressions diplomatiques et empressement du FMI pour de nouveaux prêts en échange de contre-réformes
Le 21 février 2014, au lendemain des violents affrontements entre les manifestants et la police qui ont fait au moins soixante morts à Kiev, Standard & Poor’s abaisse à "CCC" (ultra spéculatif et proche du défaut de paiement) la note de la dette souveraine ukrainienne. L’agence de notation étasunienne craint que le pays ne puisse rembourser ses créanciers : le soutien financier de la Russie a été suspendu en janvier et l’Ukraine doit encore rembourser d’anciens crédits arrivant à échéance, dont ceux du FMI. Le 23 février, Christine Lagarde confirme, depuis Sydney où elle participe à une réunion des gouverneurs des banques centrales du G20, que l’organisation qu’elle préside est disposée à aider l’Ukraine si le pays en formule la demande. Dans la foulée, elle publie un communiqué commun avec le secrétaire au Trésor des États-Unis, Jack Lew, dans lequel ils estiment que « l’Ukraine a besoin d’un soutien à la fois multilatéral et bilatéral pour un programme de réformes ». Une fois de plus, le FMI unit sa voix à celle de son actionnaire majoritaire et montre à nouveau son déficit démocratique. Les 25 et 26 février, à la veille de l’installation du nouveau gouvernement, des délégués du département du Trésor étasunien et des conseillers économiques de la Maison blanche accompagnent le secrétaire d’État adjoint, William Burns, en Ukraine |3|. Compte tenu du fait que le président Viktor Ianoukovitch est en fuite (il quitte la capitale dans la nuit du 21 au 22 février) et que le nouveau gouvernement n’est pas encore formé, cet empressement du FMI et l’incessant ballet diplomatique étasunien constituent dès lors une ingérence flagrante dans les affaires d’État.
(suite en dessous:)
Le 27 février, le FMI indique avoir reçu, suite au vote du Parlement instituant un gouvernement de transition, une demande d’aide officielle de l’Ukraine. "Nous sommes prêts à y répondre", s’est empressé sa directrice générale Christine Lagarde, avant de dépêcher une mission du Fonds conduite sur place dès le 4 mars par Nikolay Gueorguiev. |4| Le FMI répond ainsi à l’appel d’Arseni Iatseniouk, qui trois jour auparavant, avant même qu’il soit nommé premier ministre par intérim, avait déclaré, le 24 février : « Nous avons besoin d’une aide financière urgente de la part de nos partenaires européens et il faut reprendre immédiatement le programme de coopération avec le FMI ». |5| Iatseniouk estimait alors à 35 milliards de dollars (quelques 25 milliards d’euros) pour les deux prochaines années, les besoins de Kiev pour rembourser sa dette |6| et faire face à la crise profonde du pays au bord de la cessation de paiement |7|. Mais la somme nécessaire pourrait encore augmenter si on prend en compte les milliards de dollars que Iatseniouk soupçonne avoir été dérobés par l’ancien régime pour être mis sur des comptes off-shore. "Le trésor national a été pillé", accuse t-il. Si tel est le cas, les Ukrainiens sont en droit de réclamer à la Suisse et aux autres pays complices (comme la City de Londres ou la France) qu’ils restituent à l’Ukraine les avoirs soi-disant gelés de l’ancien président en fuite et ceux d’autres hauts fonctionnaires responsables de détournements de fonds publics |8|.
RépondreSupprimerNouvellement investi Premier ministre, Arseni Iatseniouk se dit prêt à mettre en place des "mesures extraordinairement impopulaires" pour arriver à stabiliser les finances. « Les comptes publics sont vides, tout a été volé. Je ne promets pas d’amélioration, ni aujourd’hui ni demain ». |9| Nous voilà averti. Sa détermination est telle que, de retour de Kiev, le directeur du département Europe du FMI Reza Moghadam, affirmera après l’avoir rencontré : "Je suis positivement impressionné par la détermination des autorités, leur sens des responsabilités et leur engagement à un programme de réformes économiques et à la transparence". |10| Le terrain serait-il mûr pour un plan d’austérité à la grecque ?
Jérôme Duval
Partie 1
http://www.legrandsoir.info/le-fmi-activement-present-en-ukraine-depuis-1994-ne-veut-pas-entendre-parler-de-hausse-de-salaire.html
Partie 2
http://www.legrandsoir.info/apres-avoir-bloque-son-programme-en-novembre-2009-suite-a-la-decision-du-gouvernement-d-augmenter-le-salaire-minimum-le-fmi.html
http://www.legrandsoir.info/ukraine-le-fmi-ou-l-asphyxie-du-choix-unique.html
Japon : 9 enfants sur 10 retirés aux parents finissent en foyer (HRW)
RépondreSupprimer01 mai, 2014
Par La Voix de la Russie
Près de 90% des jeunes Japonais enlevés à leurs familles ne sont pas placés dans des familles d'accueil mais dans des institutions, le taux le plus élevé de toute l'OCDE, a annoncé jeudi Human Rights Watch (HRW).
A titre de comparaison, HRW relève qu'en Australie, c'est pratiquement l'inverse, avec 93,5% des enfants enlevés à leurs géniteurs par voie de justice qui sont placés dans des familles d'accueil, informe l'AFP.
« Ça fend le coeur de voir tous ces gosses dans des institutions et foyers, qui n'ont pas cette chance d'être dans une famille qui s'occuperait d'eux », a commenté Kanae Doi, responsable au Japon de Human Rights Watch.
Selon le volumineux rapport de l'ONG (119 pages), environ 39.000 enfants ont été retirés à leurs familles sur une période de trois ans au Japon, au motif que les parents ne voulaient pas ou étaient incapables de s'en occuper.
« Au Japon, l'intérêt des parents passe avant celui des enfants », déclare un travailleur social cité dans le rapport de HRW.
L'ONG souligne par ailleurs que les institutions et foyers qui accueillent ces enfants auraient un intérêt à ce que cette situation ne change pas pour d'évidentes raisons financières, car ils reçoivent des fonds proportionnels au nombre d'enfants qu'ils hébergent. N
http://french.ruvr.ru/news/2014_05_01/Japon-9-enfants-sur-10-retires-aux-parents-finissent-en-foyer-HRW-4209/
Hollande et la désindustrialisation
RépondreSupprimerLaura Raim
Regards
mar., 29 avr. 2014 09:09 CDT
Les visites très médiatisées d'usines en souffrance et les discours volontaristes d'Arnaud Montebourg n'auront pas empêché les faillites, fermetures de site et rachats de se succéder depuis le début du quinquennat de François Hollande. Inventaire.
Ce n'est pas le tout d'avoir un ministre du "Redressement productif" qui pose en marinière Armor Lux pour chanter les louanges du "made in France", un robot Moulinex en main. Encore faut-il se donner les moyens de s'attaquer aux lois et aux structures économiques qui enfoncent depuis vingt ans la France dans la désindustrialisation, dont l'imminent rachat d'Alstom, convoité par l'Américain General Electric et l'Allemand Siemens, n'est que le dernier épisode en date.
Des fleurons français qui changent de nationalité
Depuis 2012, de nombreuses icônes de l'économie française ont en partie ou intégralement changé de nationalité. La liste donne le tournis. En juillet 2013, une fusion est annoncée entre Publicis, troisième agence mondiale, et son homologue américain, Omnicom. Si le siège social du futur géant mondial de la pub doit être transféré aux Pays-Bas, sa "résidence fiscale" devrait revenir au Royaume-Uni, optimisation fiscale oblige. Dans le cas de PSA Peugeot Citroën, il était initialement prévu que le Chinois Dongfeng prenne 30% du capital, à parité avec l'État français, avant que l'amélioration des conditions de marché, fin 2013, ne permette de réduire ces parts respectives à 14%.
Début avril, le cimentier Lafarge fusionne avec son rival suisse Holcim et transfère son siege à Zurich. Quant à FagorBrandt, lâché par son ex-actionnaire basque Mondragon, le groupe d'électroménager sera algérien, le tribunal de commerce de Nanterre ayant validé en avril sa reprise par le congomérat Cevital. Enfin, SFR est en train de se faire racheter par Numericable, détenu à 60% par Altice, immatriculée au Luxembourg, et elle-même détenue à 62% par Next LP, la holding personnelle de Patrick Drahi, résident fiscal suisse et citoyen israélien ayant abandonné la nationalité française.
La France voit ainsi disparaître un à un ses champions nationaux, parfois avec la complicité active du gouvernement français, comme dans le cas de PSA. Une tendance qui s'est accélérée ces derniers mois : selon le cabinet Dealogic, le pays a concentré un tiers des fusions-acquisitions en Europe au premier trimestre 2014.
(suite en dessous:)
Des sites qui ferment
RépondreSupprimerPlus graves encore que les changements de pavillon, les fermetures d'usines s'accélèrent également. Là encore, la liste paraît interminable. À peine deux mois après l'élection de Hollande, la direction de PSA annonce la fermeture de son usine d'Aulnay en Seine-Saint-Denis ainsi que la suppression de 8.000 postes en France. Après que Montebourg a menacé la direction d'ArcelorMittal de nationaliser le site de Florange, fleuron de la sidérurgie française, l'ex-Premier ministre Jean-Marc Ayrault accepte, fin novembre 2012, le plan de fermeture des deux derniers hauts fourneaux lorrains. Le candidat Hollande s'était pourtant engagé à faire adopter une loi qui obligerait les groupes souhaitant céder des sites rentables à les proposer à un éventuel repreneur... Ce sera, de l'aveu de Montebourg, son « échec le plus cuisant ».
En janvier 2013, la direction de l'équipementier automobile Goodyear annonce à son tour la fin du site d'Amiens-Nord et la mise à la porte de ses 1.200 salariés. En avril 2013, le tribunal de commerce de Rouen rejette les offres de reprise du panaméen Netoil et du libyen Murzuk Oil, en lesquelles les 448 employés de la raffinerie de Pétroplus à Petit-Couronne fondaient leurs derniers espoirs. L'État peut beaucoup, « mais il ne fait pas des miracles », commente Arnaud Montebourg.
Des emplois qui partent en fumée
Le géant Alcatel-Lucent annonce début octobre son intention de supprimer 900 emplois en France et de fermer deux sites dans l'Hexagone, à Rennes et à Colomiers. À Docelles dans les Vosges, la plus vieille usine de France, une papeterie ouverte au XVe siècle a cessé sa production le 24 janvier. Et ce sera bientôt le tour des légumes Lunor à Chaulnes en Picardie ou encore des équipements automobiles Wimetal à Iwuy dans le Nord.
En 2013, 263 fermetures de sites industriels ont ainsi été annoncées, presque autant que l'année précédente, contre 124 créations. Au total, la France compte environ 520 sites industriels de moins qu'au début de 2009.
Ces fermetures de site se traduisent inévitablement par des destructions d'emplois importantes : d'après le dernier rapport du Conseil national de l'industrie (CNI), l'industrie tricolore a perdu 70.000 emplois en 2012 et 61.900 en 2013, les secteurs les plus touchés étant l'automobile, la métallurgie, le bois-papier-imprimerie et la fabrication de produits en caoutchouc et en plastique. Le ministre du Travail François Rebsamen peut déclarer solennellement vouloir « que tous les emplois soient sauvegardés » chez Alstom, mais il est peu probable que ses paroles suffisent à rassurer les salariés.
http://fr.sott.net/article/20968-Hollande-et-la-desindustrialisation
Le Vénézuéla et le droit de manifester
RépondreSupprimer1er mai 2014
Salim LAMRANI
Les médias occidentaux présentent la décision du Tribunal Suprême de Justice de soumettre le droit à manifester à l’obtention d’une autorisation préalable comme une atteinte aux libertés fondamentales. Or, ce principe est en vigueur dans la plupart des démocraties occidentales.
Sollicité par l’une des cinq municipalités de Caracas, le Tribunal Suprême de Justice s’est prononcé le 24 avril 2014 sur le droit à manifester. Selon la plus haute entité judiciaire du pays, « les citoyens ont le droit de manifester pacifiquement et sans armes, sans autres contraintes que ce qu’exige la loi […].Les organisations politiques ainsi que tous les citoyens ont l’obligation de déposer une demande d’autorisation auprès des autorités civiles de la juridiction correspondante, pour pouvoir exercer entièrement leur droit constitutionnel à manifester pacifiquement [1] ».
Le pays est en effet frappé depuis plus de deux mois par des violences, orchestrées par l’opposition. Le bilan est lourd : 41 personnes ont perdu la vie, dont cinq gendarmes et un procureur de la République, 700 personnes ont été blessées et les dégâts matériels dépassent les 10 milliards de dollars [2].
Les médias occidentaux se sont immédiatement fait porte-paroles de la droite vénézuélienne et ont dénoncé une décision liberticide. Ainsi, selon Associated Press, qui cite l’opposition, le Vénézuéla se trouve désormais « dans un Etat d’Exception permanent et [les citoyens ne peuvent] exercer le droit de manifestation que lorsque l’Etat le permettra ». Selon l’agence étasunienne, la décision du Tribunal suprême « détruit les droits de l’homme [3] » et constitue « la dernière tentative du gouvernement de museler la dissidence [4] ». Pour le quotidien espagnol El País, « le Tribunal suprême vénézuélien limite le droit à la manifestation pacifique » et porte atteinte aux « droits des citoyens et aux libertés démocratiques [5] ». Pour l’Agence France Presse, « cette décision est contraire aux principes démocratiques [6] ». Quant au journal Le Monde, cette décision vise « à limiter le droit à manifester [7] ».
Néanmoins, la presse occidentale oublie de rappeler que dans la plupart des pays démocratiques, obtenir l’autorisation des autorités pour toute manifestation est la norme générale. Ainsi, en France, aucune manifestation ne peut avoir lieu sans l’autorisation expresse de la Préfecture de police. Par exemple, la préfecture de Paris exige que la demande d’autorisation soit effectuée « au moins un mois avant la date de manifestation ». De plus, « ce délai est porté au minimum à trois mois si l’événement projeté rassemble une foule importante [8] ».
(suite en dessous:)
Par ailleurs, « chaque demande doit comporter tous renseignements utiles sur l’organisateur (personne physique ou morale) et sur la manifestation (nature, date, lieu, horaire, nombre de participants…) ». Les organisateurs sont dans l’obligation de « souscrire une police d’assurance garantissant au plan de la responsabilité civile tous les risques relatifs à la manifestation projetée (participants, public, et ouvrages publics. La police d’assurance doit comporter la garantie maximale […] calculée en fonction de l’événement assuré, à l’égard des risques suivants : dommages corporels, matériels et immatériels ».
RépondreSupprimerEn France, les organisateurs de manifestations sont pénalement responsables de tous les dégâts susceptibles d’être causés lors de l’événement. La Préfecture de police insiste sur ce point : « L’organisateur doit assumer la charge de la sécurité générale sur le site affecté à la manifestation. En cas de dommages ayant pour cause l’imprudence ou la négligence, la responsabilité civile, voire pénale, de l’organisateur peut être engagée sur le fondement des articles 1382 et suivants du code civil et des articles 121-1, 121-2, 223-1 et 223-2 du code pénal [9] ».
Ainsi, la Préfecture de Police de Paris refuse des dizaines de demandes chaque semaine. Elle en rappelle les principales raisons : « non-respect du délai de dépôt de la demande ; animation posant des problèmes de sécurité, d’ordre public ou de circulation ; refus de l’organisateur d’accepter les obligations ou prescriptions présentées par la préfecture de police ; dossier modifié en cours d’instruction et aggravant les sujétions des services de police ; avis défavorable de la Mairie de Paris ou d’un service consulté ; incompatibilité entre l’animation envisagée et le lieu choisi ; organisateur n’ayant pas respecté ses obligations lors d’une demande antérieure ou ayant méconnu les prescriptions de la préfecture de police, etc. [10]) ».
Loin d’être liberticide, la décision du Tribunal Suprême de Justice du Vénézuéla s’apparente à ce qui existe dans la plupart des démocraties occidentales. Ainsi, au vu des derniers événements violents survenus lors des rassemblements, l’opposition vénézuélienne n’aurait absolument aucune chance d’obtenir une autorisation de manifester dans la Patrie des droits de l’homme qu’est la France.
http://www.legrandsoir.info/le-venezuela-et-le-droit-de-manifester.html
Où l’on voit que Valls n’a aucun pouvoir au Vénézuéla
RépondreSupprimer30 avril 2014
Maduro annonce une nouvelle augmentation de 30% du salaire minimum et des pensions
Vénézuéla info
Fidèle aux engagements de protéger le pouvoir d’achat et de maintenir continuellement le salaire plusieurs points au-dessus de l’inflation, le Président de la République Nicolas Maduro a annoncé ce mardi 29 avril une nouvelle hausse de 30 pour cent du salaire minimum des travailleurs et des revenus des retraités et pensionnés.
Le salaire minimum s’établit donc au premier mai 2014 à 4251,78 bolivars (487,23 €). Si l’on y ajoute les chèques d’alimentation il s’élève à 5.602 bolivars (642 €). Avec la hausse décidée en début d’année, le salaire minimum a donc augmenté de 43 % en 2014 : ¨En 15 ans de révolution, nous avons décidé, fidèles à notre politique socialiste et à notre mandat constitutionnel, 25 augmentations salariales et 25 augmentations des pensions. C’est un record, aucun autre pays ne l’a fait" a déclaré le président du Vénézuéla. (1)
Ces annonces ont été faites lors de la Conférence nationale avec le monde du travail. ¨Sans les travailleurs nous n’aurions pas de pays, pas de patrie" a ajouté Nicolas Maduro, lui-même ex-syndicaliste du transport, qui a par ailleurs annoncé la création d’une commission présidentielle pour proposer de nouvelles améliorations à la Loi du Travail (2012) d’inspiration anti-néo-libérale. (2)
En plus du renforcement des services publics gratuits (santé, éducation, etc..), cette politique de hausse continue des salaires des travailleurs et de lutte contre l’inflation fonctionne grâce à une contrôle sur le terrain du prix des produits de première nécessité. Rien que dans la dernière semaine d’avril, 19 personnes ont été arrêtées pour accaparement de produits destinés à la contrebande vers la Colombie ou pour infraction à la nouvelle Loi des Prix Justes qui établit un bénéfice maximum de 30 %. Cette politique qui affecte les intérêts de la mafia vénézolano-colombienne est un des facteurs d’explication de la récente campagne de violences organisée par l’extrême-droite locale en lien avec le paramilitarisme colombien (déguisée par les médias internationaux en ¨révolte étudiante contre la vie chère¨).
http://www.legrandsoir.info/maduro-annonce-une-nouvelle-augmentation-de-30-du-salaire-minimum-et-des-pensions.html
Prix du litre d'essence à la pompe:
SupprimerUn centime d'euro le litre !
http://en.wikipedia.org/wiki/Gasoline_and_diesel_usage_and_pricing
Dallas estime qu'il faut en finir avec les 50 ans de la fluoration de l'eau
RépondreSupprimerJeudi 1 mai 2014
par: Julie Wilson
Balises: Dallas , la fluoration de l'eau , de la santé publique
(NaturalNews) Dallas, la neuvième plus grande ville du pays, est au bord d'une grande victoire pour la santé publique en attendant quatre autres membres du conseil municipal ont convenu de mettre fin à la fluoration de l'eau. Jusqu'à présent, trois membres du conseil, y compris Sheffie Kadane, Scott Griggs et Jennifer Staubach Gates, ont résisté à la pratique, en reconnaissant que c'est malsain et coûteux. NSNBC internationale rapporte que la fin de la fluoration de l'eau à Dallas serait immédiatement libérer environ 1 million de dollars. Dallas conseiller municipal Sheffie Kadane dit: «Nous n'avons pas besoin et nous venions de sauver un million de dollars que nous pouvons utiliser pour autre chose .... Nous recherchons en voyant ce que nous pouvons faire immédiatement afin que nous puissions obtenir ces fonds jusqu'à maintenant avant."
Pendant des décennies, les militants autour de la nation, y compris la maison de l'État du Texas, Capitale Austin, ont combattu sans relâche pour mettre fin à la fluoration de l'approvisionnement en eau de la population. Malgré la présentation de preuves scientifiques actuelles au conseil municipal d'Austin flagrante qui montre que les dangers de la fluoration de l'eau dépassent de loin les avantages, le conseil municipal a ignoré les préoccupations du public et ont renouvelé leur contrat avec la mosaïque, le fournisseur de produits chimiques, pour 500K $. Dans la plupart des villes, les silicofluorures utilisé pour la fluoration de l'eau sont des sous-produits industriels non traités de l'industrie des engrais phosphatés. partisans de fluorure (principalement l'American Dental Association) comptent sur la science à jour à faire des réclamations que la fluoration de l'eau aide à prévenir la carie dentaire.
Cependant, d'autres recherches ont montré que cela est faux. Les critiques qui font référence à des adversaires de la fluoration de l'eau comme les théoriciens du complot ou de «manivelles anti-fluoration», comme Dallas Morning Nouvelles chroniqueuse Jacquielynn Floyd, devrait prendre un long regard dur sur les faits avant de calomnier si négligemment des citoyens militants. Dans Floyd article récent, elle ignorante commence sa pièce en décrivant le droit des citoyens de prendre la parole devant le conseil de la ville un «privilège», et non un droit. Selon Floyd, si nous allons éliminer le fluorure de l'eau, "Pourquoi ne pas simplement laisser les gens vont l'obtenir dans des seaux dans les lacs et les réservoirs de stockage et des puits à l'arrière ?"
(suite en dessous:)
En dépit d'une très bonne réputation étude menée par Harvard montre que le fluorure abaisse le QI des enfants, Floyd soutient que la fluoration de l'eau est «l'un des moins chers moyens les plus sûrs et les plus efficaces d'améliorer la santé publique." Tout d'abord, l'étude de Harvard démontre que fait mal, et d'autre part, combien d'entre vous pense que 1 million $ pas cher ? Floyd poursuit ses commentaires désobligeants quand elle appelle les militants dévoués "charlatans auto-promotion et les amateurs crédules qui échangisme fou sur Internet." lutte désespérément pour conduire son point d'accueil, Floyd référence à un New York Times article dans lequel Adam Frank, un professeur de physique et d'astronomie à l'Université de Rochester, fait valoir que le public a perdu confiance dans la science depuis de la nation "post-Seconde Guerre mondiale technologiques réalisations et la prospérité." Beaucoup auraient contrer que c'est le gouvernement que les citoyens ont perdu confiance dans, pas de la science. La science est très de notre côté quand il s'agit de savoir si ou non la fluoration de l'eau est sans danger.
RépondreSupprimerL'Université de Harvard a mené non seulement un mais une série d'expériences visant à analyser les effets du fluorure. Les chercheurs ont constaté fluorure d'être dangereux pour les femmes enceintes à qui il peut causer des dommages irréversibles au cerveau en développement du fœtus. Les chercheurs ont également récemment ajouté fluorure à une liste de produits chimiques industriels connus pour provoquer d'autres troubles du développement dont l'autisme, le trouble d'hyperactivité avec déficit de l'attention et de dyslexie.
Retour à Dallas: Une fois que les trois membres du Conseil de Dallas est allé public leurs plans, la Société dentaire du comté de Dallas renchérit, soulignant que l'utilisation de la substance chimique est soutenue par "plus de 125 organisations et des années de recherche scientifique évaluée par les pairs en matière de santé professionnels." Cela n'est pas surprenant, cependant, compte tenu de la relation «incestueuse» que les associations dentaires ont avec l'industrie de fluorure. De plus, les études révisées par "des pairs" ils se référant à avoir été menée par des scientifiques à la solde de l'industrie. L'eau fluoration est très commune aux Etats-Unis, mais moins fréquemment trouvée dans d'autres parties du monde. Nous sommes en fait le plus grand pays développé à utiliser le produit chimique dans notre approvisionnement en eau potable. Le fait que trois membres du Conseil municipal de Dallas sont ouvertement expriment leur soutien pour mettre fin à l'eau fluoration est majorly progressive, pas seulement pour Dallas, ou l'État, mais pour la nation entière.
Jusqu'à présent, aucune métropole n'a jamais réussi à inverser la fluoration de l'eau. Des villes comme Portland ont réussi à empêcher la fluoration de l'eau d'être mis en œuvre, mais aucune ville n'a jamais renversé une telle mesure. Si Dallas est capable de faire cela, il y a une bonne possibilité qu'il jettera les bases pour d'autres grandes villes à suivre. En Pour la fluoration de l'eau à la fin à Dallas, quatre membres du conseil municipal plus besoin de sauter à bord. Veillez à garder le contrôle de NaturalNews.com mises à jour sur ce développement
http://www.naturalnews.com/044946_Dallas_water_fluoridation_public_health.html
Portland draine 38.000.000 gallons d'eau après pipi de l'adolescence dans le réservoir
RépondreSupprimerWednesday, 30 Avril, 2014
LJ Devon, Staff Writer Balises: réservoir d'eau , l'urine , Portland
(NaturalNews) Comme une grave sécheresse étouffe beaucoup de Californie, suçant l'approvisionnement en eau à sec; jusqu'à plus au nord, à Portland, Oregon, fonctionnaires drainent environ 38 millions de litres d'eau potable, il va tout perdre.
38000000 gallons d'eau drainés après que l'adolescent pisse dans le réservoir
L'administration au Bureau de l'eau Portland a décidé de vider le réservoir après avoir attrapé un adolescent pipi dans l'eau sur une caméra de sécurité. L'athlète de 18 ans, l'homme, Dallas Delynn, a uriné par la clôture en fer du réservoir, altération de l'eau au Mont. Tabor Reservoir Number Five. administrateur Bureau David Shaff a examiné les enregistrements, avait l'eau testé et a décidé de vider l'ensemble 38.000.000 gallons (143.845,64 m3) au lieu de nettoyer le fluide corporel. "Voulez-vous boire pipi ? Non, vous ne le faites pas, », a déclaré Shaff. Le montant total de l'eau sous-évaluées est équivalent à 2,5 millions de chasses d'eau qui détiennent 1,5 gallons chacun !
Adolescents pris intrusion, escalade clôture, contamination de l'eau potable
Après une caméra de sécurité a alerté les responsables du mouvement, "Un agent du Bureau de police de Portland et Bureau de l'eau Portland ranger rapidement répondu», a déclaré la porte-parole du bureau Jaymee Cuti. «Ces actions ont forcé le bureau de l'eau de prendre immédiatement les 50 millions de gallons Mt. Tabor réservoir. 5 déconnecté et le test de contamination possible " Comme ils ont été l'imbécile, le 18-year-old farceur et ses amis, McDaniel McDonald et Trey, ont tenté d'escalader la clôture; l'un des adolescents sont entrés dans le réservoir. Lorsque les policiers sont arrivés, les trois délinquants ont été capturés et cité pour intrusion; Delynn a également reçu un billet pour la miction publique. Par conséquent, tous les jokers ont été interdits de Mt. Tabor Park pendant 30 jours. Lorsque la police a commencé l'examen de la vidéo surveillance, ils malaxé s'ils pouvaient donner des frais supplémentaires. Aucun n'a été déposée.
Vidange du réservoir coûte $ 175 000
Après avoir évalué des échantillons de qualité de l'eau, l'administrateur du bureau Shaff décidé de drainer l'ensemble du réservoir. une tasse d'urine peut vraiment contaminer 38.000.000 gallons d'eau ? administrateur Bureau Shaff croyait si et voulait s'assurer de la communauté qu'il n'y a pas de contaminants dans l'eau potable. "Nos clients s'attendent à ce que leur eau n'est pas délibérément contaminé. Nous avons la capacité de répondre à cette attente tout en minimisant les problèmes de santé publique», a déclaré Shaff. «La réalité est que nos clients ne s'attendent pas à de l'eau potable qui a été contaminé par certains yahoo qui a décidé de faire pipi dans un réservoir." Bien que l'esprit du public est mis au repos, nombreux dans la région, voir la décharge 38 millions de gallons en gaspillage important, d'autant plus que les animaux contaminent généralement l'eau de toute façon. "Cela ressemble à un grand prix à payer pour tout le monde", a déclaré un résident de la zone. Le coût total de la perte de l'eau va au-delà 175.000 $, puisque les habitants paient environ 1 cent pour chaque deux gallons qu'ils consomment. Pour défendre sa décision de vider l'eau, Shaff dit: «Je pense qu'une partie de celui-ci est juste que facteur beurk général de:« Oui, nous avons des oiseaux sur tout le temps, mais nous n'avons pas les gens pipi en elle tout le temps. "
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Pas le premier incident de pipi
RépondreSupprimerIl est difficile de dire ce que tout se passe dans l'eau du réservoir. Les animaux peuvent ramper et mourir. Les oiseaux peuvent laisser hors des excréments dans l'eau. Pourquoi un peu responsables invite pipi pour vider la cuve entière ?
Ce n'était pas la première fois que des agents jetés ensemble dans un réservoir de Portland. Huit millions de gallons d'eau du Mont. Nombre réservoir de Tabor Un été sous-évaluées en 2011, après un homme de 22 ans a avoué pipi dedans. Le coût de la décharge a été plus de 32.000 dollars, ce qui n'est rien en comparaison de la récente, coûteux $ 175,000 décharge. Bien qu'il n'y ait pas de sécheresse à Portland, beaucoup plus au sud de la Californie aurait apprécier les 38 millions de gallons d'eau potable. Il est probable que des lois plus strictes seront bientôt être mis en œuvre pour protéger l'eau du réservoir de contaminateurs futures.
sources de cet article sont: http://www.kgw.com http://www.sfgate.com
http://www.naturalnews.com/044927_water_reservoir_urine_Portland.html
Ce n'est pas la Russie qui a poussé l'Ukraine au bord de la guerre
RépondreSupprimerLa tentative de levier Kiev dans le camp occidental en évinçant un dirigeant élu fait certain conflit. Ce pourrait être une menace pour nous tous
Seumas Milne
The Guardian, Mercredi 30 Avril 2014 21.01
La menace de guerre a augmenté en Ukraine. Comme le gouvernement non élu à Kiev se déclare incapable de contrôler la rébellion dans l'est, John Kerry du pays marques Russie un État voyou. Les États-Unis et l'Union européenne sont d'intensifier les sanctions contre le Kremlin, l'accusant de déstabiliser l'Ukraine. La Maison Blanche est signalé à être mis sur une nouvelle politique de la guerre froide avec l'objectif de transformer la Russie en un «Etat paria».
C'est peut-être plus explicable si ce qui se passe dans l'est de l'Ukraine maintenant n'était pas le reflet de ce qui s'est passé à Kiev il ya quelques mois. Ensuite, il était manifestants armés dans Maidan place saisissant bâtiments gouvernementaux et exigeants un changement de gouvernement et de la constitution. Les dirigeants américains et européens ont défendu les "militants masqués" et dénoncé le gouvernement élu pour sa répression, tout comme ils en arrière maintenant l'utilisation par le gouvernement non élu de la force contre les rebelles qui occupent des postes de police et les mairies dans des villes comme Slavyansk et Donetsk.
«L'Amérique est avec vous", a dit le sénateur John McCain manifestants alors, coude à coude avec le leader du parti d'extrême-droite Svoboda que l'ambassadeur américain a marchandé avec le service de l'Etat sur qui composeront le nouveau gouvernement ukrainien.
Lorsque le président ukrainien a été remplacé par une administration US-sélectionné, dans une prise de contrôle entièrement inconstitutionnelle, des hommes politiques comme William Hague ont effrontément trompé le Parlement à propos de la légalité de ce qui s'était passé: l'imposition d'un gouvernement pro-occidental de la Russie le plus névralgique et politiquement voisin divisé.
Poutine bit dos, en prenant une feuille hors des États-Unis la rue protestation Playbook - même si, comme à Kiev, les manifestations qui se propagent de la Crimée à l'Ukraine orientale ont évidemment un soutien de masse. Mais ce qui avait été un cri pour la liberté glorieuse à Kiev est devenu l'infiltration et de l'agression insatiable à Sébastopol et de Luhansk.
Après que la Crimée ait voté massivement pour rejoindre la Russie, la majeure partie des médias occidentaux ont abandonné toute velléité de couverture, même en solitaire. Donc, Poutine est désormais systématiquement comparé à Hitler, tandis que le rôle du droit fasciste dans les rues et dans le nouveau régime ukrainien a été peint à l'aérosol de la plupart des rapports de propagande Poutiniste.
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Donc, vous n'avez pas beaucoup entendu parler du gouvernement ukrainien la vénération des collaborateurs de guerre nazis et pogroms, ou les incendies criminels sur les maisons et les bureaux de dirigeants communistes élus, ou l'intégration de la Secteur d'extrême droite dans la garde nationale, tandis que l'antisémitisme et le suprématisme blanc d'ultra-nationalistes du gouvernement est assidûment minimisé, et fausses identifications des forces spéciales russes sont relayées comme un fait.
RépondreSupprimerLa réalité est que, après deux décennies d'expansion de l'OTAN vers l'est, cette crise a été déclenchée par la tentative de l'ouest de l'Ukraine tirer décisive dans la structure de son orbite et de la défense, par l'intermédiaire d'un accord explicite de l'association anti-Moscou de l'UE. Son rejet a entraîné des protestations de Maidan et l'installation d'une administration anti-russe - rejeté par la moitié du pays - qui se sont déroulées à signer les accords de l'UE et du Fonds monétaire international indépendamment.
Aucun gouvernement russe aurait acquiescé à une telle menace du territoire qui était au cœur de la Russie et de l'Union soviétique. L'absorption de Poutine de Crimée et le soutien à la rébellion dans l'est de l'Ukraine est clairement défensive, et la ligne rouge maintenant établi: l'est de l'Ukraine, au moins, ne va pas être englouti par l'OTAN ou de l'UE.
Mais les dangers sont également multiplient. Ukraine s'est montré pour être à peine un état de fonctionnement: l'ancien gouvernement a été incapable de dégager Maidan, et le régime soutenu par l'Occident est "impuissant" contre les manifestations dans l'est industriel soviétique nostalgique. Pour tous les discours sur les paramilitaires "hommes verts" (qui se révèlent être extrêmement ukrainien), la rébellion a également des revendications sociales et démocratiques fortes: qui ne s'opposerait à un référendum sur l'autonomie et les gouverneurs élus ?
Pendant ce temps, les États-Unis et ses alliés européens imposent des sanctions et de dicter les termes de la Russie et de ses protégés à Kiev, en encourageant la répression militaire contre les manifestants après la visite de Joe Biden et le directeur de la CIA, John Brennan. Mais de quel droit est les États-Unis participent à tous, en intégrant sous son parapluie stratégique, un état qui n'a jamais été membre de l'OTAN, et dont le dernier gouvernement élu est arrivé au pouvoir sur une plate-forme de neutralité explicite ? Il n'en a pas, bien sûr - ce qui explique pourquoi la crise en Ukraine est considérée sous un jour différent dans la plupart du monde. Il peut y avoir peu de preneurs mondial pour le conservatisme et le nationalisme oligarchique de Poutine, mais le contrepoids de la Russie à l'expansion impériale des États-Unis est accueilli, de la Chine au Brésil.
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En fait, une issue de la crise est susceptible d'être une alliance plus étroite entre la Chine et la Russie, les Etats-Unis poursuit son anti-chinois "pivot" de l'Asie. Et malgré la violence de plus en plus, le coût en vies de la participation bras de longueur de la Russie en Ukraine a jusqu'à présent été minime par rapport à toute intervention significative de l'Ouest vous vous souciez de penser pendant des décennies.
RépondreSupprimerLe risque de guerre civile est néanmoins de plus en plus, et avec lui les chances de puissances extérieures en cours d'élaboration dans le conflit. Barack Obama a déjà envoyé des forces symboliques de l'Europe de l'Est et est sous pression, à la fois des Républicains et des faucons de l'OTAN tels que la Pologne, d'envoyer beaucoup plus. Les troupes américaines et britanniques sont dues à prendre part à des exercices militaires de l'OTAN en Ukraine cet été.
Les États-Unis et l'UE ont déjà surestimé leur main en Ukraine. Ni la Russie ni les puissances occidentales peuvent vouloir intervenir directement, et la prestidigitation du Premier ministre ukrainien d'une troisième guerre mondiale sans doute n'est pas autorisé par ses sponsors Washington. Mais un siècle après 1914, le risque de conséquences involontaires devrait être assez évident - que la menace d'un retour des conflits des grandes puissances se développe. Pression pour une fin négociée à la crise est essentiel.
http://www.theguardian.com/commentisfree/2014/apr/30/russia-ukraine-war-kiev-conflict
Un oiseau imite les cris d'alerte d'autres espèces pour dérober leur nourriture
RépondreSupprimerPar La Voix de la Russie
Le Drongo à raquette, un oiseau africain très futé, imite les cris d'alerte de l'approche d'un prédateur de multiples autres espèces pour les faire fuir et voler leur nourriture, selon une étude publiée jeudi aux Etats-Unis.
Les chercheurs, dont les travaux paraissent dans la revue américaine Science, ont été surpris de constater que le Drongo pouvait tromper d'autres animaux de façon répétée.
Ils ont observé 64 Drongos pendant 847 heures dans la réserve de Kuruman River, dans le désert de Kalahari en Afrique du Sud, durant lesquelles ils ont effectué 688 tentatives pour s'emparer de la nourriture de leurs voisins, la plupart couronnées de succès.
Quand son propre cri d'alerte n'est plus pris au sérieux par une victime, l'oiseau change alors de répertoire pour imiter le cri d'alarme d'une autre espèce, explique Tom Flowers, un biologiste de l'université du Cap en Afrique du Sud, auteur de cette étude.
Il serait ainsi capable d'imiter jusqu'à 51 différentes espèces d'oiseaux et de mammifères, comme la mangouste ou le chacal.
Généralement les animaux reconnaissent les cris d'autres espèces signalant un danger. Ce don exceptionnel permet au Drongo, un oiseau noir aux reflets métalliques pesant de 70 à 125 grammes, de dépasser les contraintes vocales qui normalement limitent de telles tromperies dans la nature.
Comme il peut recourir à une grande variété de cris d'alerte, les autres animaux ne peuvent pas en mémoriser un en particulier qu'ils pourraient attribuer au Drongo, expliquent les biologistes.
Selon ces chercheurs, ces oiseaux dérobent ainsi jusqu'à un quart de la nourriture abandonnée par les animaux qu'ils ont fait fuir, informe l'AFP.
http://french.ruvr.ru/news/2014_05_02/Un-oiseau-imite-les-cris-dalerte-dautres-especes-pour-derober-leur-nourriture-4395/
Des 'Drongos à raquette' j'en connais un paquet ! Ils passent tous les jours à la télé !
Defiant Apple, Facebook, d'autres entreprises de haute technologie pour informer le public des demandes de surveillance gouv
RépondreSupprimer2 mai 2014 01:07
Les mêmes entreprises technologiques que la communauté du renseignement américain a invoqué pour communiquer les documents électroniques sont maintenant de refuser de garder les demandes de surveillance secrète et informent les clients quand ils font l'objet de ces demandes.
Dans les près de dix mois depuis que l'ancien entrepreneur américain National Security Agency Edward Snowden a révélé d'importants efforts de surveillance sur l'activité en ligne des Américains de tous les jours, les entreprises qui ont été contraintes de faciliter cette surveillance ont été soumises à un examen public rigoureux.
L'embarras a suscité une série de commentaires de dirigeants de Google et Facebook, entre autres, appel à la NSA et d'autres agences soit d'arrêter les obligeant à fournir les communications que les clients leur font confiance avec, ou leur permettre d'être plus transparent.
Or, selon un rapport jeudi dans le Washington Post, Apple, Microsoft, Facebook et Google ont mis à jour leurs politiques d'informer les clients régulièrement lorsque l'application de la loi a demandé des informations à leur sujet.
Yahoo a adopté un tel changement en Juillet, avec la Poste rapports jeudi que les entreprises « ont constaté que les enquêteurs abandonnent souvent les demandes de données pour éviter d'avoir les suspects apprennent des enquêtes . "
Avec de telles entreprises influentes annonçant qu'ils seront essentiellement d'ignorer l'avertissement ci-joint aux citations à comparaître pour leur demander de garder la connaissance des demandes pour eux, les experts disent que d'autres entreprises qui passent moins de temps dans l'œil du public seront plus disposés à le faire.
« Il sert à refroidir la collection débridée, sans frais , "Albert Gidari Jr., un associé du cabinet Perkins Cole qui représente plusieurs entreprises de technologie, a déclaré au Post. " Et je pense que c'est une bonne chose . "
Toutes les demandes ne seront rendus publiques. Les commandes de la Foreign Intelligence Surveillance Court, qui a nié qu'une seule demande de la NSA en cinq ans, seront toujours conservés petite, de même que des lettres de sécurité nationale du FBI.
Peter Carr, un porte-parole du ministère de la Justice des États-Unis, a averti que la divergence de la norme des entreprises constitue une faille de sécurité énorme. Il a déclaré au Post qu'il existe au moins un exemple récent où une divulgation prématurée mis un témoin coopératif en danger, mais il a refusé de fournir d'autres détails.
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" Ces risques d'atteinte à la vie, risquer la destruction d'éléments de preuve, ou de permettre aux suspects de fuir ou d'intimider les témoins ne sont pas purement hypothétique, mais malheureusement routine ", a déclaré M. Carr.
RépondreSupprimerLe travail de l'application des lois est également compliquée par le nombre croissant de juges d'instance qui sont sceptiques sur les demandes du gouvernement. L'idéologie judiciaire a tranquillement se propager à travers les tribunaux du pays, frustrant procureurs autant qu'il a suscité des libertés civiles.
Peut-être l'opinion la plus franche, cependant, est venu de Washington DC magistrat juge John M. Facciola, qui s'est prononcé contre la demande du gouvernement pour accéder à la page Facebook de Navy Yard tireur Aaron Alexis et une demande de chercher l'iPhone d'un étudiant de l'Université de Georgetown accusé de faire ricine.
Facciola a toujours cherché étroites demandes plus spécifiques des enquêteurs, comme en témoigne une décision Avril dans une affaire sans rapport avec les deux enquêtes susmentionnées.
"Pour la sixième fois,» écrivait-il, cité par la Poste, " ce tribunal doit être clair: si le gouvernement saisit les données qu'il sait est en dehors de la portée du mandat, il doit soit détruire les données ou le retourner. Il ne peut pas simplement les garder ".
http://rt.com/usa/156276-apple-facebook-nsa-public-requests/
Maison-Blanche admet protection des renseignements personnels manquant dans le grand rapport de données
RépondreSupprimer2 mai 2014 03:44
La Maison Blanche a publié un rapport très attendu sur la collecte de données volumineuses jeudi et, alors qu'il a mentionné le côté positif de la collecte de données, l'administration Obama a également fait un certain nombre de recommandations visant à assurer la sécurité des Américains est protégée.
Les résultats viennent après la promesse du président Obama de Janvier que l'administration allait enquêter sur combien la technologie en progression rapide a des répercussions sur la société américaine, et comment ces évolutions affectent les individus.
Certains aspects positifs possibles de grands volumes de données à l'avenir présentés par le rapport sont encourageants. Il a conclu que les efforts de collecte pourraient finalement aider à guérir des maladies, décourager les criminels, de rendre les entreprises plus efficaces, de réduire le gaspillage au sein du gouvernement fédéral, et d'améliorer le système d'éducation pour les jeunes.
Big données - un terme qui englobe tout qui fait référence au volume toujours croissant et l'exhaustivité de l'information - est la preuve que d'un Internet libre est essentielle à la société, le rapport révèle. Pourtant, les dangers potentiels pourraient être aussi inquiétant que les avantages.
Lorsque l'ancien entrepreneur américain National Security Agency Edward Snowden fuite de documents classifiés qui révèlent d'importants efforts de surveillance à la fois à la maison en Amérique et à l'étranger, les utilisateurs internationaux de l'Internet ont rapidement appris que les données qu'ils ont envoyé de façon volontairement est en fait surveillés.
En partie inspiré par le jeu, Obama a choisi le conseiller principal de la Maison Blanche John Podesta pour diriger le groupe d'étude - y compris le secrétaire au Commerce, secrétaire à l'énergie, conseiller scientifique, et conseiller économique - qui a également consulté des universitaires, des défenseurs de la vie privée, les cadres techniques et les groupes de défense des droits civils .
Le rapport de jeudi comprenait six recommandations, dont la plupart adresse persistants problèmes de confidentialité: faire avancer le projet de loi consommateurs à la vie privée de l'homme, adopter une législation nationale de violation de données, étendre la protection de la vie privée des personnes non américaines, s'assurer que les données recueillies sur les élèves dans les écoles est utilisé à des fins éducatives, étendre l'expertise technique pour éliminer la discrimination et modifiant la Loi sur la protection des communications électroniques.
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"Les consommateurs méritent, des normes raisonnables, claires et compréhensibles pour la façon dont leurs renseignements personnels sont utilisés à l'époque grand de données," a déclaré la première recommandation. "Nous recommandons le département du Commerce de prendre des mesures appropriées de consultation des parties prenantes à rechercher et les commentaires du public sur ce qui change, le cas échéant, sont nécessaires pour le projet de loi consommateurs à la vie privée de l'homme, d'abord proposé par le président en 2012."
RépondreSupprimerLe rapport ne contient qu'une seule allusion à la fuite Snowden lors d'une explication de violation de la sécurité, en se concentrant plutôt sur les pratiques de collecte de Google, Facebook et d'autres géants en ligne.
"Il était de notre devoir de regarder ces autres secteurs", a déclaré Podesta le Washington Post , ajoutant que "c'est en aucune façon hypocrite" de l'administration de ne pas traiter le coup de filet de la NSA.
Défenseurs de la confidentialité se délectait dans la suggestion du rapport visant à modifier la Loi sur la protection des communications électroniques "pour assurer le niveau de protection de la ligne, le contenu numérique est conforme à celle offerte dans le monde physique."
"Le rapport jette les bases pour garder emails, textes et photos de tout le monde privé et sécurisé," Christopher Calabrese, conseiller législatif à la American Civil Liberties Union, a déclaré à USA Today. "Maintenant, le Congrès et l'administration doivent faire de cette vision une réalité en adoptant la réforme de la LPCE et sans faille. "
http://rt.com/usa/156284-wh-big-data-report-surveillance/
SupprimerNe nous faisons aucune illusion, cette 'prise de contrôle' à tout savoir sur chacun n'est qu'à des fins hégémoniques.
RépondreSupprimerEPA avance approbation du puissant désherbant pour les cultures d'OGM "Agent Orange" de Dow
2 mai 2014 00:56
L'Agence américaine de protection de l'environnement a révélé une proposition pour une utilisation de masse de l'herbicide 2,4-D de Dow Chemical sur le maïs et le soja génétiquement modifié de la société. Les cultures génétiquement modifiées ont été développées pour résister à plusieurs herbicides, y compris le 2,4-D.
Dow serait autorisé à vendre l'herbicide si l'EPA approuve la suite d'un public de 30 jours commentaire période.
Le produit chimique 2,4-D, combinée avec du glyphosate, l'herbicide constitue enrôlent Duo. 2,4-D permet également la moitié du mélange toxique dans le désormais tristement célèbre «agent orange», utilisé par les Etats-Unis pendant la guerre du Vietnam, qui est pensé pour avoir causé la mort d'environ 400.000 personnes et des malformations congénitales chez 500 000 autres.
Génétiquement le maïs et le soja de Dow - connu sous le nom Enlist - ont reçu préliminaire approbation du ministère de l'Agriculture des États-Unis. Devrait s'assurer cultures gagner autorisation ultime, l'USDA a déclaré que cela augmenterait l'utilisation annuelle de 2,4-D (acide 2,4-dichloro) aux États-Unis de 26 millions de livres par an pour éventuellement £ 176.000.000.
Les cultures sont conçus pour résister à de fortes doses de glyphosate - mis sur le marché par le géant biotechnologique Monsanto comme désherbant Roundup - et le 2,4-D. Le maïs et le soja de Dow donc gagné le nom péjoratif «Agent Orange» des cultures par les opposants à la fois le mélange chimique hautement toxique et l'utilisation controversée des organismes génétiquement modifiés ( OGM ) dans l'agriculture à grande échelle.
Les scientifiques, santé humaine et environnementale avocats, les organisations agricoles et les groupes de transparence alimentaire ont exhorté les régulateurs du gouvernement à réfléchir à deux fois libérer plus de 2,4-D.
En 2012, soixante-dix spécialistes de la santé ont envoyé une lettre à l'EPA pour lui demander de bloquer l'approbation de maïs et de soja pour la vente commerciale de 2,4-D-résistant de Dow.
Les chercheurs médicaux ont lié l'exposition au 2,4-D, et d'autres produits chimiques comme elle, à l'augmentation des taux de cancer, la maladie de Parkinson, la perturbation endocrinienne, et le nombre de spermatozoïdes faibles, entre autres conditions. Des taux plus élevés d'anomalies congénitales ont été trouvés où il ya un usage intensif de 2,4-D.
Les problèmes de santé ont incité le Conseil de défense des ressources naturelles à la pétition de l'EPA pour arrêter l'utilisation de l'herbicide, mais cet effort a été défait en 2012.
"Avec cette décision, il est clair que l'EPA est de servir les intérêts de l'industrie de la biotechnologie Dow Chemical et plutôt que de protéger notre santé et l'environnement», a déclaré Andrew Kimbrell, directeur exécutif du Centre pour la sécurité alimentaire.
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Dans une course aux armements chimiques agro-industrie, le développement de Dow de 2,4-D cultures résistantes est venu environ une fois la première génération de cultures génétiquement modifiées faites par Monsanto ont évolué pour résister à l'herbicide Roundup de la société. Le flot de nouvelles cultures transgéniques a augmenté l'utilisation du glyphosate, qui a ses propres liens à un hôte de malades santé effets , et résistantes au glyphosate "super mauvaises herbes".
RépondreSupprimer"2,4-D n'est pas une solution aux mauvaises herbes résistantes au glyphosate," dit Kimbrell. "mauvaises herbes rapidement évoluent et résistance au 2,4-D ainsi si ces cultures sont approuvés, au volant d'une spirale toxique de plus en plus l'utilisation d'herbicides. Les cultures Enlist de Dow sont un exemple classique de l'agriculture non durable, profitant fabricants de pesticides au détriment des agriculteurs américains, la santé publique et l'environnement ".
Néanmoins, Dow soutient que les agriculteurs ont besoin d'une réponse pour "difficile à contrôler" les mauvaises herbes.
"Herbicide enrôlent Duo aide à résoudre les problèmes de désherbage producteurs sont confrontés, et sera une autre option pour réduire davantage le potentiel de développement de mauvaises herbes résistantes aux herbicides," dit Damon Palmer de Dow AgroSciences, une subvention de Dow Chemical Company.
"A une époque où les agriculteurs doivent augmenter les rendements des cultures de répondre à la demande croissante, le système de contrôle des mauvaises herbes enrôlent fournira un outil important et des avantages économiques substantiels," Palmer a ajouté dans un communiqué de presse .
http://rt.com/usa/156272-epa-dow-agent-orange-herbicide/
C'est là un vaste problème soulevé que de devoir déherber un champs... de blé ! Car, si les mauvaises herbes sont moissonnées avec les épis, elles vont se retrouver en tant que composant dans la farine !
SupprimerBien sûr qu'il y a d'autres solutions que de bien retourner la terre en de multiples fois afin que chaque mauvaises graines germées soient empêché de croître, se n'est qu'ensuite qu'est semé le blé. Mais, cela ne garanti pas 100%.
Liés à la fracturation hydraulique, les tremblements de terre vont s'aggraver - sismologues
RépondreSupprimer2 mai 2014 03:40
Les opérations hydrauliques en cours de fracturation ne feront qu'exacerber l'activité sismique, les tremblements de terre menant à accrues dans les zones où les eaux usées est injecté profondément dans le sol, selon une nouvelle étude.
Pour libérer le gaz naturel, la fracturation hydraulique - ou fracking - nécessite de grandes quantités d'eau, de sable et de produits chimiques à pomper souterrain. Les scientifiques présents à la Société sismologique d'Amérique (SSA) réunion annuelle a déclaré jeudi que ce stockage des eaux usées dans les puits profond sous la surface de la terre, en plus d'autres processus de fracturation, est en train de changer l'accent sur les défauts existants, ce qui pourrait signifier tremblements de terre plus fréquents et plus importants dans le futur.
Les chercheurs croyaient auparavant que les tremblements de terre qui ont résulté de la fracturation ne pouvaient pas dépasser une magnitude de 5.0, si les événements sismiques plus fortes ont été enregistrées en 2011 autour de deux zones fortement forés dans le Colorado et l'Oklahoma.
"Cela montre qu'il y a un risque important," a déclaré Justin Rubinstein, un géophysicien de recherche à l'US Geological Survey (USGS), selon le magazine TIME. "Nous devons aborder la sismicité en cours."
Pas tous les plus de 30 000 puits d'évacuation de fracturation sont liées à des tremblements, mais une accumulation de corps de preuves associe une légère hausse de l'activité sismique à l'évolution de fracturation au milieu de l'essor actuel de l'énergie domestique.
La quantité d'eaux usées toxiques injecté dans le sol semble apporter un peu de clarté quant aux causes des tremblements de terre. Une opération de fracturation hydraulique unique utilise de 2 à 5.000.000 de litres d'eau, selon les rapports, mais beaucoup plus les eaux usées se retrouve dans une disposition bien.
"Il y a tellement de nombreuses opérations d'injection dans une grande partie des Etats-Unis maintenant que, même si une petite fraction pourrait induire des tremblements, ces tremblements de terre ont contribué considérablement à l'aléa sismique, en particulier à l'est des Rocheuses," dit Arthur McGarr, un scientifique de l'USGS. Les chercheurs de l'USGS ont parlé avec les journalistes via conférence téléphonique le jeudi.
Les scientifiques croient que l'effet cumulé de ces opérations pourrait entraîner de plus grands tremblements de terre de plus en plus commun au fil du temps.
"Je pense que, finalement, que les fluides se propagent et couvrent un espace plus grand, la probabilité qu'il pourrait trouver un défaut plus grand et générer des événements sismiques grandes monte», Gail Atkinson, professeur de sciences de la terre à l'Université Western en Ontario, au Canada, a déclaré à l' réunion SSA.
Les sismologues disent que le développement du pétrole et du gaz répandu dans une région pourrait créer tremblements de terre dans les zones dangereuses à proximité ne sont pas équipés pour gérer l'activité ci-dessus un tremblement de terre de bas niveau.
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"Avec ces énormes puits, la pression qu'ils créent peut dizaines de kilomètres," a déclaré Katie Keranen, professeur adjoint de géophysique à l'Université de Cornell.
RépondreSupprimerFracking s'étend à de nouveaux domaines comme l'Ohio qui ne sont pas traditionnellement connu de nombreux tremblements de terre, les scientifiques ont dit d'autres recherches sont nécessaires pour comprendre les risques encourus, des décideurs et du public.
"Il ya un très grand écart de la politique ici," dit Atkinson. «Nous avons besoin de vastes bases de données sur les puits qui induisent la sismicité et ceux qui ne le font pas."
Les scientifiques ont dit les acteurs du secteur de l'énergie doivent offrir plus d'informations sur leurs opérations de fracturation, et les données sur ces actions doivent être rendues accessibles au public le plus souvent.
"Il ya des peines minimales en termes de ce qui doit être enregistrée - la pression d'injection et le volume - mais ceux-ci ne sont mis à la disposition du public une fois par an," a dit Rubenstein. "Nous avons besoin de plus d'informations rapportées plus fréquemment pour faire le la science correctement."
Le mois dernier, les géologues de l'État de l'Ohio a déclaré le lien entre la fracturation et cinq tremblements de terre mineurs dans l'État était «probable».
En dehors de l'activité sismique accrue, la fracturation hydraulique a été liée à la nappe phréatique contamination, l'exacerbation de la sécheresse conditions, et une buanderie liste de santé préoccupations pour l'homme et la locale environnement.
http://rt.com/usa/156288-fracking-earthquake-links-gas/
Ce qu'il faut comprendre est que si une source d'eau est bouchée, il y aura pression jusqu'à ce que l'eau sorte ailleurs. Mais, comme dans les fracturations sont utilisés des explosifs, les produits chimique mortels se retrouvent donc dans les nappes phréatique pour l'éternité et dans l'impossibilité d'en déloger les éléments contributifs à l'eau non-potable.
SupprimerCette opération (récente) de fracturation à l'explosif n'a rien à voir avec les soutirages pétrolier dans la mesure où - le pétrole abiotique poussé par la chaleur du magma - sort de terre tout seul en s'élevant parfois à 30 m au dessus du sol des dericks. Pareil pour l'eau que nous buvons qui sort toute seule aux sources et n'est pas susceptible de créer des tremblements de terre.
Des tremblements de terre il y en a eu même avant les premiers forages et il y en aura toujours. Mais le danger vient dès lors où l'humain vient mettre son 'grain de sel' à empêcher/détourner les conduits de vidange.
La crise en Ukraine et les mensonges politiques des médias
RépondreSupprimerAlex Lantier
Mondialisation
jeu., 01 mai 2014 12:00 CDT
Tandis que l'administration Obama et ses alliés intensifient leurs menaces contre la Russie concernant la crise en Ukraine, les médias américains jouent leur rôle attitré de propagandistes.
Il n'existe aucune voix dissidente dans les médias de masse. Les journaux et les bulletins de nouvelles à la télévision sont remplis de mensonges, de propagande anti-russe et, au cas où la crise s'exacerberait pour échapper à tout contrôle, d'excuses pour la guerre.
Le New York Times, le «journal de référence», donne le ton pour tous les médias. Le Times se vante d'avoir 12 journalistes en Ukraine, mais il ne fournit aucun reportage sérieux sur ce qui se passe là-bas. C'est d'autant plus significatif étant donné les implications hors du commun d'un conflit majeur entre les États-Unis et la Russie qui pourrait rapidement devenir la première guerre entre des puissances nucléaires de toute l'histoire mondiale.
Lors des deux dernières semaines, le Times s'est fait prendre dans une série de mensonges. La semaine dernière, il a publié un article en page couverture qui était parsemé de photos obtenues du département d'État et du gouvernement ukrainien appuyé par les États-Unis. Ces photos devaient prétendument montrer que des Forces spéciales russes sont en train de coordonner les manifestations dans l'est de l'Ukraine.
Il fut rapidement démontré, incluant par le WSWS, que le reportage du Times était une supercherie. Il ne fallait qu'une recherche rapide sur Internet pour montrer que les soi-disant preuves avaient été trafiquées ou fabriquées. Des aveux selon lesquels une «controverse» entourait les photos (pour limiter les dégâts et dissimuler les faits) ont par la suite été enfouis profondément dans les pages du Times.
Loin d'avoir appris sa leçon après ces révélations, le Times est rapidement passé à la prochaine tâche que lui avait confiée le département d'État: un article de page couverture publié dimanche alléguant que le président russe Vladimir Poutine a une fortune secrète qui se situe entre 40 et 70 milliards de dollars. Le Times admet, dans son propre article, que ces allégations sont faites de «rumeurs et de spéculations» et qu'elles contiennent «très peu sinon pas de preuves». Cela ne l'a pas empêché d'essayer de donner une légitimité à ces ragots en les élevant au statut de «nouvelles» importantes.
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Les dernières pages du journal sont des chroniques faites par différents journalistes et reflètent les réflexions généralement stupides de l'une ou l'autre des factions de l'appareil d'État. Dimanche, c'était au tour de Thomas Friedman, bien connu pour avoir appuyé la guerre contre l'Irak en 2003 et s'être vanté qu'il ne voyait «aucun problème avec une guerre pour le pétrole».
RépondreSupprimerCherchant apparemment à expliquer la crise ukrainienne aux lecteurs duTimes, Friedman écrit: «Très simplement, une majorité d'Ukrainiens sont devenus fous de rage en voyant le jeu qu'on leur impose: servir de figurants dans la sphère d'influence de Poutine, pour que la Russie puisse continuer à se sentir comme une grande puissance... Après une révolution de la base à Maïdan... les Ukrainiens sont en train de faire respecter leur propre sphère d'influence, un désir de faire partie de l'Union européenne.»
Friedman ne mentionne pas que le gouvernement de Kiev, dont il fait l'éloge pour sa prétendue lutte pour la liberté individuelle, est un régime fantoche non élu et que la «révolution de la base» fut menée par des fascistes qui travaillent avec les États-Unis et l'Allemagne.
Tout ce qui est en lien avec l'histoire, les forces politiques et sociales, les programmes politiques, d'abord et avant tout celui des États-Unis, n'est jamais mentionné, même au passage. Plutôt, nous avons une nouvelle fois le portrait d'un chef d'État étranger qui serait le diable incarné et dont l'impérialisme américain veut se débarrasser.
Le lien puissant qui unissait l'Ukraine et la Russie suite à la révolution bolchévique de 1917 qui avait renversé le régime tsariste et avait ouvert la voie à la libération des masses opprimées; la lutte héroïque de l'Armée rouge pour libérer l'Ukraine de l'emprise meurtrière du fascisme allemand pendant la Seconde Guerre mondiale; les conséquences catastrophiques de la dissolution de l'Union soviétique, l'acte final de la trahison stalinienne de la Révolution d'octobre: ces questions sont lettre morte auprès de ces laquais ignorants, complaisants, mais très bien payés, de la classe dirigeante américaine.
La pratique du Times est reproduite par tous les journaux et les chaînes de télévision d'importance. Si l'on se fie à la couverture des médias américains, on ne soupçonnerait jamais que le nouveau gouvernement à Kiev est composé d'individus provenant du parti Svoboda antisémite, qui fut condamné en 2012 par un vote au Parlement de l'Union européenne. On ne soupçonnerait pas non plus que la milice du Secteur droit et le parti Svoboda glorifient le collaborateur nazi Stepan Bandera, dont l'Organisation de nationalistes ukrainiens a participé à l'holocauste des Juifs ukrainiens.
Le fait que les États-Unis ont agressivement appuyé la répression de l'est de l'Ukraine (le directeur de la CIA John Brennan s'est lui-même rendu à Kiev) est dissimulé. L'appel téléphonique, qui a été divulgué, entre la responsable du département d'État américain, Victoria Nuland, et l'ambassadeur américain en Ukraine, Geoffrey Pyatt, n'est jamais mentionné. Dans cet appel, qui a eu lieu avant le coup d'État, Nuland et Pyatt discutaient entre eux de qui devait être installé au poste de premier ministre de l'Ukraine.
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Les médias masquent les contradictions criantes dans la présentation officielle de la crise en Ukraine. Avant la guerre des États-Unis contre l'Irak en 2003, Washington dénonçait le président irakien Saddam Hussein pour avoir «tué des gens de son propre peuple». L'impérialisme américain a attaqué la Libye en 2011, prétendant qu'il empêcherait la répression imminente par Kadhafi des manifestants de la ville rebelle de Benghazi. L'administration Obama a déclaré que le président syrien Bashar Al-Assad était inapte à gouverner parce qu'il avait déchaîné la police et l'armée contre des manifestants. L'argumentaire officiel pour appuyer le coup d'État contre le président ukrainien élu, Viktor Ianoukovitch, était que le gouvernement de Ianoukovitch n'avait plus aucune légitimité après avoir attaqué les manifestants de la place Maïden.
RépondreSupprimerMais Washington sort maintenant le fouet et exige que ses marionnettes à Kiev se mettent au travail et répriment dans le sang le soulèvement à l'est. Au même moment, il qualifie de crime contre la civilisation les menaces d'intervention de la Russie pour protéger les Ukrainiens russophones de la violence d'État.
Aux États-Unis, les médias ont subi une longue dégénérescence. À l'époque de la guerre du Vietnam, des voix dissidentes dans les médias ont joué un rôle pour porter la réalité brutale de la guerre à l'attention du public américain. En 1971, le Times et le Washington Post ont publié les «papiers du Pentagone» qui ont permis de démontrer les mensonges utilisés pour amener le peuple américain en guerre dans le Sud-Est asiatique.
La classe dirigeante a décidé qu'il ne faudrait plus que cela survienne. L'armée et les services de renseignement ont rapidement pris en main les médias de la grande entreprise. Même la prétention d'indépendance vis-à-vis de l'État a été abandonnée. Les médias ont joué un rôle de plus en plus éhonté dans une intervention militaire après l'autre: la première guerre en Irak, le démembrement de la Yougoslavie, la guerre aérienne «humanitaire» contre la Serbie.
Le dernier clou dans le cercueil de tout ce qui pouvait ressembler à des médias indépendants est survenu avec le 11-Septembre et la «guerre contre le terrorisme». Cela est reflété par les journalistes «intégrés» dans les invasions de l'Afghanistan et de l'Irak et dans la propagande éhontée en appui à des guerres de changement de régime en Libye et en Syrie.
Aujourd'hui, les principaux journaux admettent qu'ils envoient des articles à des responsables du gouvernement avant leur publication. Cette pratique serait qualifiée de censure d'État dans d'autres contextes. Les commentateurs des médias et les chroniqueurs se font un devoir de soutenir la chasse aux sorcières contre les dénonciateurs comme Edward Snowden et Julian Assange.
Le fait que toute la politique étrangère de l'élite économique et financière est construite sur un édifice de mensonges qui ne peuvent passer le test du moindre examen est un signe de faiblesse et non de force. Un vaste gouffre sépare la classe ouvrière des guerriers belliqueux de la classe dirigeante américaine et de leurs laquais dans les médias.
http://fr.sott.net/article/20990-La-crise-en-Ukraine-et-les-mensonges-politiques-des-medias