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En 1901 un biologiste japonais du nom de Ishiwata Shigetane découvrit qu’une bactérie du sol tuait les vers à soie. Il fallut attendre de nombreuses années pour mettre à profit le pouvoir de cette bactérie pour protéger les culture avec la toxine de cette bactérie appelée par la suite Bacillus thuringiensis par un biologiste allemand travaillant non plus sur le ver à soie mais sur la mite de la farine. Il observa les même effets toxiques de la bactérie et ce n’est qu’au début des années 70 qu’on commença à s’intéresser sérieusement à cette bactérie. On découvrit que sa toxicité pour les insectes – et seulement pour les insectes – était provoquée par une protéine codée par un plasmide, un petit ARN circulaire présent uniquement dans cette bactérie. On envisagea donc de cultiver à grande échelle cette bactérie pour la répandre sur les cultures et ainsi les protéger contre les insectes ravageurs puisque la toxine n’avait aucun effet sur les vertébrés. Dans les années 80 des biologistes belges eurent l’idée d’intégrer le gène codé par le plasmide dans des plants de tabac. Il faut mentionner ici que les premiers travaux de transgénèse végétale étaient presque exclusivement réalisés avec le tabac, non pas parce qu’ils étaient sponsorisés par les fabricants de cigarettes mais seulement parce que le tabac était une plante de laboratoire merveilleusement prolifique et facile à modifier génétiquement avec les techniques dont on disposait à l’époque. Le résultat ne se fit pas attendre quand on tenta de mettre des insectes suceurs sur les plants de tabac modifiés pour produire la toxine de la bactérie, Bt, ces derniers ne survivaient pas. Les agriculteurs applaudirent ces résultats prometteurs car ceux-ci allaient les dispenser de traitements phytosanitaires répétés et également, pour les agriculteurs dits « bio » de répandre à grands frais de la purée de bacille sur leurs champs de maïs ou leurs parcelles de légumes.
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Les écologistes encore une fois ne l’entendirent pas de cette oreille et contre toute logique s’opposèrent immédiatement aux plantes génétiquement modifiées exprimant la toxine Bt. Alors que tout le monde s’accordait pour confirmer l’innocuité de la toxine pour les vertébrés dont l’homme et que ces écologistes préconisaient les bouillies de bacille aux producteurs « bio » pour conserver leur label « vert », d’un seul coup, parce qu’une plante modifiée génétiquement pour produire elle-même cette toxine, cette dernière devenait dangereuse parce que cette fois on avait affaire à une plante transgénique. Les premières plantes modifiées Bt apparurent à la fin des années 80 et l’Agence de Protection de l’Environnement (EPA) approuva les pommes de terre, le maïs et le coton Bt en 1995. Greenpeace se coalisa avec d’autres organismes non gouvernementaux – ils sont devenus quasiment gouvernementaux depuis – comme le Center for Food Safety, le Pesticide Action Network ou encore la fédération internationale des mouvements de l’agriculture organique (IFOAM) basée à Bonn en Allemagne pour intenter un procès à l’EPA. Les motivations de cette action en justice étaient les suivantes : possibilité de voir apparaître des insectes résistants à la toxine et possibilité d’être toxique pour les organismes vivants non ciblés par la toxine, traduisez les êtres humains !
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Cette coalition d’écologistes purs et durs parlaient au nom de la protection de l’environnement alors que bon nombre d’agriculteurs inscrits sur la liste des plaignants opposés aux nouveaux OGMs Bt utilisaient les bouillies de bacille pour leurs propres productions agricoles, à n’y rien comprendre !
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Greenpeace et ses partenaires se battaient pour protéger les producteurs de bacille et de coccinelles qui faisaient partie du business bio. Greenpeace avança sans aucune preuve à l’appui que les plantes transgéniques Bt contenaient jusqu’à 1000 fois plus de toxine que la purée de Bt répandue sur les plantes. Ils durent faire marche arrière en 2006 quand des enquêteurs mandatés par cette organisation s’aperçurent qu’en réalité les plantes transgéniques, dans le cas présent du maïs Bt cultivé en Espagne, ne contenaient que de très faibles quantités de toxine, à peine plus de 10 parties par million en moyenne dans la plante (voir le lien en fin de billet). Déconcertés par ce résultats, qu’entre parenthèses les biologistes de Monsanto connaissaient, les managers de Greenpeace changèrent leur fusil d’épaule et à court d’arguments décrétèrent que ces plantes transgéniques étaient de toutes les façons dangereuses pour la sécurité alimentaire animale et surtout humaine et qu’il n’y avait pas assez de toxine Bt exprimée pour que la plante soit vraiment résistante aux insectes ravageurs. Greenpeace s’appuya alors sur un argument totalement erroné en prétendant que la toxine Bt produite par la plante était activée et que c’était la raison pour laquelle il y en avait si peu dans les plantes transformées. Donc, dans la logique terrorisante de Greenpeace, puisqu’il en était ainsi cette toxine activée était donc dangereuse pour l’animal et l’homme puisqu’elle attaquait l’intestin des insectes, pourquoi pas celui de l’homme ?
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Et c’est là que réside la rhétorique mensongère de Greenpeace. Il faut que soit présent dans l’intestin une protéine sur laquelle va se fixer la toxine Bt activée préalablement. Cette activation nécessite une activité enzymatique digestive particulière. Or les vertébrés ne possèdent ni cette activité enzymatique ni les récepteurs spécifiques au niveau de l’épithélium intestinal. Les curieux peuvent lire l’excellente revue citée ici en lien : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1899880/ . On y découvre, pour contrecarrer aussi l’argument fallacieux de Greenpeace relatif à l’apparition de résistance au Bt chez les insectes ravageurs qu’à ce jour plus de 140 toxines Bt ont été identifiées et que l’apparition d’une résistance est hautement improbable et si c’était le cas il existe une gigantesque panoplie dans cette famille de protéines pour contourner toute résistance pouvant éventuellement apparaître : http://www.lifesci.sussex.ac.uk/home/Neil_Crickmore/Bt/ .
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Pour brouiller les cartes Greenpeace prétendit en 1999 que les plantes exprimant la toxine Bt étaient dangereuses pour l’environnement parce que la toxine n’était pas dégradée correctement dans le milieu naturel. Cette affirmation mensongère fut répétée de nombreuses fois mais elle contredisait l’autre affirmation consistant à dire que les quantités de Bt exprimées étaient trop faibles pour que la plante soit efficacement protégée contre les insectes ravageurs. Cette organisation réellement terroriste, à court d’arguments, monta de toute pièce une histoire de suicide de centaines de milliers d’agriculteurs indiens qui ne pouvaient pas acheter leurs semences de coton Bt et qui ne fut jamais prouvée dans les faits : http://blogs.discovermagazine.com/collideascape/files/2014/01/GMOsuicidemyth.pdf .
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Avant même la mise au point de plantes transgéniques exprimant la toxine Bt pour leur propre protection contre les insectes ravageurs, cette toxine pulvérisée manuellement ou avec des machines sur les cultures avait été montrée comme étant l’insecticide le plus inoffensif dans le monde. À ce jour aucune corrélation de cause à effet n’a pu être démontrée sur un soit-disant effet néfaste de la toxine Bt que ce soit appliquée sur les plantes à l’aide de la bactérie vivante ou à partir de plantes transgéniques tant chez les animaux (vertébrés) que chez l’homme ( http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24041244 ) avec un retour d’expérience de maintenant plus de 30 ans, des dizaines de millions d’hectares de plantes Bt cultivées, des dizaines de milliards d’animaux nourris avec des préparations issues de plantes génétiquement modifiées sans parler du coton de nos chemises et de nos draps ou de l’huile de coton qu’on trouve dans n’importe quelle huile végétale pour cuisiner à la maison ou encore de la multitude de dérivés du soja ou du maïs transgéniques Bt utilisés dans l’alimentation.
Pour insister sur la malhonnêteté de cette organisation qui transparaît quand il faut trouver un nouvel argument permettant de justifier sa stratégie il y a cette mémorable histoire de persistance de la toxine dans les sols qui vient d’être brièvement mentionnée. En 2006 Greenpeace alerta le régulateur néo-zélandais du risque d’apparition d’insectes résistants à la toxine Bt en s’appuyant sur des études réalisées pour prouver la persistance de cette toxine dans le sol au delà de 200 jours. Selon Greenpeace si la toxine persistait aussi longtemps dans le sol alors des insectes pouvaient parfaitement s’en accommoder. Or les expériences conduites sur commande par Greenpeace, organisation qui prend bien soin de sous-traiter ses études pour ne jamais apparaître comme le responsable légal de ses allégations, furent réalisées non pas avec des plantes transgéniques mais avec le spray disponible commercialement et appelé DiPel, une émulsion de B.thuringiensis avec des particules d’argile. Le comble de l’ironie était que le but de l’action de Greenpeace était de protéger les agriculteurs « bio » des agriculteurs utilisant des plantes transgéniques Bt ! Même chose en Inde pour protéger les producteurs d’aubergines alors qu’une variété d’aubergine Bt venait d’être disponible pour les petits maraîchers indiens. Le souci avec la technique du spray de bactéries directement sur les plantes est qu’il est très coûteux et que dans certaines configurations il faut même faire appel à des hélicoptères. La propagande de Greenpeace précise bien dans ses recommandations qu’aucune partie des plantes ne doit être oubliée et de plus, selon les affirmations de cette même organisation il n’y a pas de souci à se faire car les protéines de la bactérie se dégradent en moins de deux semaines, il faut être logique avec soi-même ! Il faut donc effectuer des pulvérisations périodiquement et il n’y a aucun danger car les fruits et les légumes sont consommables presque immédiatement ! On croit rêver mais c’est pourtant la vérité : https://www.youtube.com/watch?v=vPQnphEJr98 !!!
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Ce que Greenpeace oublie c’est que ces pulvérisation sont effectuées avec des bactéries vivantes et qu’elle persistent sur les aliments qu’on retrouve dans notre assiette « bio », des études réalisées au Danemark et en Chine l’ont montré. On retrouve même ces bactéries dans le lait … Le business de la pulvérisation de Bt représente un chiffre d’affaire d’environ 2 milliards de dollars par an. Aux USA seulement on a retrouvé la bactérie sur près de la moitié des tomates et plus de 60 % des brocolis, des choux-fleurs et des choux. Le plus hallucinant est que ce sont les gouvernements qui promeuvent l’agriculture dite « bio » sous prétexte que les plantes transgéniques Bt contiennent plus de toxine Bt alors que dans les faits c’est exactement le contraire. En Allemagne on estime que 125 kilos de pesticides bio sont pulvérisés par hectare et par an, en termes de toxine Bt cela représente 25 fois plus de toxine que ce que peut introduire une plante génétiquement modifiée Bt quelconque, bonjour la qualité des aliments !
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Pour ajouter à l’attitude totalement ridicule de Greenpeace qui encourage les pulvérisations de bio-pesticides, devinez qui les commercialise ? Monsanto, Syngenta, Bayer, DuPont et BASF, ceux-là même qui ont développé et commercialisent aussi les plantes transgéniques. Ces grandes compagnies se frottent les mains car elles ont compris que les actions de Greenpeace et d’autres organisations comme l’Organic Consumers Association leur avaient ouvert le marché. DuPont a investi pas moins de 6 milliards de dollars pour être prêt à satisfaire la demande sans cesse croissante en bio-pesticides ! C’est proprement hallucinant de constater que Greenpeace et les autres ONGs qui répandent la terreur se sont fait prendre dans leur propre piège. Le combat contre les OGMs est devenu un faux prétexte mais il n’est pas question pour Greenpeace de l’abandonner, ce serait une catastrophe pour la réputation de cette organisation.
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Alors, pour ne pas perdre la face, on voit encore des publications mensongères paraître dans des revues scientifiques qui n’existent même pas. GreenMedInfo, un site d’information des adeptes de l’agriculture organique a créé le « buzz » en livrant une information précisant que les plantes transgéniques type Bt ou RoundUp Ready favorisaient l’apparition de leucémies. C’était en 2013. L’article fut publié dans une revue inconnue qui n’existait pas auparavant ( http://www.esciencecentral.org/journals/ArchiveJHTD/jhtd-archive.php?month=April&&year=2013 ) ce qui est déjà suspect, et ce qui est encore plus suspect est que cette étude émane d’un obscur laboratoire de l’Université de Brasilia et qu’elle se garde bien de conclure si on lit l’article dans son intégralité (ce que j’ai fait).
Le dernier combat de Greenpeace reste donc l’étiquetage informatif. Et là c’est du business pour cette organisation car elle est devenue experte dans le domaine de l’intimidation et de l’arnaque des sociétés qui ne veulent pas se plier à ses injonctions « vertes ». Greenpeace a fait une fixation sur les plantes transgéniques et on vient de le voir à l’évidence avec les plantes Bt au détriment de la sécurité des consommateurs : la culture bio est un leurre, elle n’est pas rentable car non compétitive, elle appauvrit les consommateurs persuadés qu’elle sera meilleure pour leur santé ce qui est loin d’être le cas et elle n’est encore une fois réservée qu’à ceux qui ont les moyens de payer beaucoup plus cher leur nourriture. Finalement on peut dire que cette longue campagne anti-OGMs n’est qu’un mensonge de plus qui passe auprès de 60 % de la population car il suscite la peur, une peur orchestrée et montée de toute pièce sur la base de mensonges et de contradictions par Greenpeace et toutes les organisations qui en suivent l’idéologie.
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Source : billet inspiré d’un article paru dans Slate.com, illustration Slate
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Petite propagande climatique avec le le Earth Overshoot Day
RépondreSupprimerEcologie Totalitaire
mar., 18 août 2015 04:44 UTC
Malthusiens de tous pays ! Unissez-vous derrière le Earth Overshoot Day ! Ce lugubre anglicisme cache la nouvelle manip' inventée par les malthusiens pour nous faire regretter d'être nés sur Terre : c'est censé être le jour où nous avons fini de consommer les ressources que la planète est capable de produire en une année.
Le média bobo Médiapart en fait des tonnes dans la moralisation à outrance de ce non-événement. Celui qui n'est pas écolo bon teint s'accroche aux "chimères du vieux monde" et pour le triste Benjamin Joyeux, auteur de ce pauvre manifeste anti-humain, "l'humanité vit à crédit sur le dos de la planète". CQFD. C'est un discours autogène : on fabrique un indicateur dans un but précis et on l'exhibe comme une preuve de ce que l'on souhaite démontrer ! La science, mise à la sauce écolo, sert juste d'alibi politique pour un coup d'état qui ne dit pas son nom.
Car il faut que le FMI s'en même! L'ONU en décembre n'y suffit déjà plus ! Qu'on fasse donner la troupe pour mettre bon ordre à ce bordel autoproclamé.
Quel est l'ennemi ?
Toi ! Toi, malheureux lecteur. Toi qui consommes, qui conduit une voiture, qui mange et qui respire. Il faut arrêter cela tout de suite car cette prétendue "dette envers la planète" est déclarée "honteuse" par les grands prêtres de la morale New Age. Et on y va de la solidarité, des catastrophes naturelles, des atermoiements de la finance mondiale ! Tout y passe ! Cul par dessus tête, on mélange tout ! on amalgame !
Une bouillie pour les ânes ! Voilà la nouvelle idéologie ! Et on n'espère qu'une chose : que l'auteur de cette diarrhée fasse lui-même la preuve de sa solidarité, de sa conscience, de sa cohérence idéologique et QU'IL SE TAISE.
http://fr.sott.net/article/26217-Petite-propagande-climatique-avec-le-le-Earth-Overshoot-Day
"Il n'y a aucune autre fin qu'une mauvaise... C'est une certitude mathématique"
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 19/08/2015 18:55 -0400
Soumis par Thad Beversdorf via FirstRebuttal.com,
J'ai vu récemment un clip vidéo de Bernie Sanders portant les bottes à Alan Greenspan en 2003, apparemment sur la perspective de toucher de l'américain moyen de Greenspan. Maintenant tandis que nous avons un banquier repenti en Greenspan, un phénomène rare à coup sûr, j'ai trouvé le gronder intéressant dans celui essentiellement chaque accusation établit Sanders sur Greenspan pourrait être répété aujourd'hui à nos dieux ultérieurs de banque centrale. Pendant l'avis vidéo que tous les chiffres Sanders explicite avec non seulement restent vrais aujourd'hui mais ont obtenu bien pire. En particulier la note la dette nationale figure qui a maintenant augmenté de plus de 400 % depuis!!! Le clip vaut bien les 5 minutes...
, Mais nous allons creuser un peu ce que Bernie vraiment dit à Greenspan. Le thème général de la joue, c'est que la réserve fédérale, le gardien de la politique monétaire américaine, avait mis en place des politiques qui manifestement avaient fait des dégâts importants à la vaste majorité des américains. Plus précisément de Sanders suggère que les politiques étaient un cancer à la prospérité économique des américains et tout en créant de la richesse extrême pour une instruction select peu. Et même si c'est mauvais dans et de lui-même, ce que Sanders trouve méprisable est que la Fed semble nier non seulement le préjudice qu'ils étaient responsables, mais Greenspan semble être tiré de la réussite en se concentrant uniquement sur la richesse massive, il avait fourni vers le haut sur très peu.
Dans un récent livre blanc par Stephen Williams, vice-président de la Fed de Loius St., un cas est fait maintenant que la Fed "valorisation" politiques n'ont pas aidé à relancer l'économie. Et alors que je suis d'accord avec cette conclusion, je pense que le papier est une fraude. Non seulement sur la surface de cet argument il crée une fausse dichotomie d'aidé ou ne pas aidé (qui a rejeté l'idée que les politiques ont effectivement pu nuisibles) mais Williams suggère explicitement que les politiques n'étaient pas nuisibles à l'économie. Et c'était le message réel prévu. N'oubliez pas que personne ne dénonce publiquement leur employeur sans feu. Et donc, si Williams conserve son emploi, nous savons que ce message était un message coordonné. En outre, la structure de son argumentation, l'objectif est clair. La Fed est déjà mise en place de l'argument que, alors qu'ils n'étaient pas tout à fait efficaces dans une reprise ils ne sont pas à blâmer pour le retour inévitable de la crise du crédit (un canari mort définitive).
Vous voyez le problème se résume à l'aléa moral créé par monnaie fiat. Plus précisément, je veux dire que quand vous avez essentiellement infinies ressources, vous devenez très négligents sur chaque unité de ressource. Après la fin de Bretton/Woods en 1971 aux États-Unis a succomber à un tel danger moral. C'est clair quand on regarde l'effondrement de la discipline fiscale, immédiatement après la fin de Bretton Woods /, qui était un quasi étalon-or qui a nécessité la discipline fiscale.
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- voir graphique sur site -
RépondreSupprimerEt si ce tableau nous indique le risque moral absolument existe mais elle n'explique pas pourquoi c'est mauvais. Pour cela nous avons besoin de regarder une représentation visuelle de ce risque moral et ses qualités destructrices respectives au fil du temps. Mais avant que nous nous souvenons nous allons, que j'ai récemment présenté en détail dans Les défauts fatals de la Fed, le système de banque centrale est conçu pour n'exiger perpétuellement augmenter masse monétaire. La raison est simple. La loi bancaire Central de 1913 a été conçue par trois familles bancaires (se référer à Jekyll Island) dont les bénéfices élargi ainsi que de la masse monétaire. Et un système qui forcément l'expansion de la masse monétaire était donc de créer la richesse immense pour les familles qui a rédigé le projet de loi de bancaires. Alors que c'est certainement contraire à l'éthique, c'est la destruction d'un tel système qui est le mal réel. Le système est tel que les bénéfices pour les rares viennent directement au détriment de la masse. Nous allons examiner de plus dans cette affaire.
Ce qui doit être compris, mais semble être perdu sur la plupart des économistes de doctorat aujourd'hui est que l'argent dans notre système peut être un carburant ou un frein, mais il ne peut être ni. N'oubliez pas que notre système s'adapte sur une unité de la dette chaque unité monétaire. Cela signifie que chaque unité de monnaie doit retourner un montant supérieur à lui-même. Dans l'affirmative, c'est le carburant. Si ce n'est pas c'est une drague.
Alors le problème du système est la force destructrice inhérente de l'aléa moral (ayant la possibilité de créer une monnaie infinie) tel que représenté sur la liste suivante. Autrement dit, monnaie créé et utilisé pour la consommation plutôt que d'investissement devient un frein plutôt qu'un carburant et l'économie devient moins efficace. Cette inefficacité croissante a eu lieu depuis la fin de Bretton/Woods ou depuis le début de l'aléa moral. Cela dit, vous entendrez jamais très intelligente mais aussi très hypocrite les gars comme Alan Goolsbee discuter la détérioration économique laïque qu'il ne convient pas à leur rôle de champions de la politique.
Le tableau suivant décrit les investissements des entreprises domestiques en pourcentage de la masse monétaire de M2 (ligne bleue) et le PIB réel (ligne rouge).
- voir graphique sur site -
Ce qui devient immédiatement apparent est la corrélation entre le pourcentage de la masse monétaire utilisé pour les investissements des entreprises et la croissance économique réelle et la pente nettement négative des deux.
On peut se demander alors que sont les sociétés fait avec leur argent, sinon il réinvestir ?
- voir graphique sur site -
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Eh bien la réponse est claire. Pour l'investissement intérieur des décennies (c'est-à-dire fixé réinvestissement) en pourcentage de l'argent stock en moyenne environ 8 % aujourd'hui, il a chuté à environ 5 %, une baisse de 40 %. D'autre part le paiement de dividendes de sociétés (ligne verte) ont augmenté à une moyenne de 15 ans d'environ 7 % de 4 % de la masse monétaire, une augmentation de 75 %. Donc chaque année, 3 % de la masse monétaire est étant réaffecté des investissements domestiques privés au paiement des dividendes de sociétés. Et ne vous méprenez pas, paiements de dividendes carburant pas de l'économie comme certains + de 90 % sont réinvestis dans le marché secondaire. Un investissement qui ne fournit presque aucun avantage économique (à l'exception des rares placements secondaires qui ajouter l'argent à l'entreprise bilans) par opposition aux domestique réinvestissement fixe qui est combustible économique pure.
RépondreSupprimerMais prenons regarder de plus près le risque moral et de son implication directe sur l'économie.
- voir graphique sur site -
Ce que nous voyons en ajoutant des courbes de tendance pour les deux paramètres est que très peu de temps après que les États-Unis se rendit à une monnaie fiat pure en 1971, investissement intérieur en pourcentage de la masse monétaire a commencé à tomber, ce qui entraîne la détérioration séculaire du PIB réel qui se poursuit aujourd'hui. Je dis résultant plutôt que de simple corrélation et laissez moi vous expliquer.
Encore une fois, la réalité est que le stock excédentaire de cotisations est un frein à l'économie parce que chaque unité de la masse monétaire a nécessairement une unité de la dette en annexe. Logiquement donc, comme le pourcentage de la masse monétaire attribuée au déclin des investissements (sens potentiel net des rendements positifs) le pourcentage de la dette non remboursable (attaché à la masse monétaire non) nécessite le renversement perpétuel de la dette de plus en plus.
Il en résulte en travesti massif sur l'économie parce que n'oubliez pas que la dette destinée à la consommation plutôt que l'investissement est mathématiquement un net négatif sur la production de moyen et long terme. Il en découle que, tandis que toutes les dettes sont inclus dans le PIB actuel (à travers ses dépenses aujourd'hui), tous consomment dette plus intérêt est supprimé (retour payé) de sortie plus tard. Cet effet ne voit pas facilement car la sortie réduite à moyen et à long terme est compensée en permanence par l'endettement des consommateurs encore plus.
- voir graphique sur site -
Donc ce que nous avons fini avec est une spirale de la mort de prospérité économique, habillée en vêtements de brebis. Le graphique ci-dessus montre que tous les travailleurs en Amérique aujourd'hui a augmenté leur niveau d'endettement de consommation d'environ 40 % depuis la « fin » de la crise du crédit. Pensez-y un instant. Peut-être l'effondrement économique plus destructrice de l'histoire qui a été déclenchée par l'excessive du crédit a conduit les travailleurs américains à prendre sur la dette de consommation de plus de 40 %.
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Je voudrais ouvrir une parenthèse pour un instant sur la notion de dette à la consommation et pourquoi si il est tel un décideurs chose destructrice lui permettrait de continuer son expansion record. Pensez-y comme cela ; où un achat effectué avec l'argent gagné est une transaction à deux partis un achat effectué sur la dette est une transaction tripartite. Essentiellement les banques deviennent partie à chaque opération commerciale qui se faite sur la dette. Et si les banques sont essentiellement nourrir hors de toute transaction entre un consommateur et un titulaire. Dans le monde naturel, on appelle ça un parasite. Pour les sociétés, le parasite est utile parce qu'il transforme magiquement les dettes du consommateur en profit et donc ils ne me dérange pas. Toutefois, pour les consommateurs, l'opération ne se termine pas après qu'ils mangent la barre de sucrerie. La dette reste non seulement, elle s'appuie, et si le parasite détériore lentement l'aptitude du consommateur à prospérer. Mais parce que le parasite contrôle les politiques économiques de la nation les politiques conduire effectivement la dette que nous voyons dans le tableau ci-dessus qui profitent des bénéfices aussi bien les banques et les sociétés, mais au détriment de la classe ouvrière (discussion quant à la responsabilité dans l'affaire des emprunteurs ne prendra pas place ici mais je noterai les données suggèrent aujourd'hui plus que jamais la dette de consommation est utilisée sur gonflage staples – soins de santé nourriture et loyer – plutôt que des achats discrétionnaires).
RépondreSupprimerEt encore, on nous dit par l'élite très économistes de doctorat que la crise du crédit a pris fin en 2009. Et pour le pire, Qu'on nous dit que l'expansion du crédit excès finira différemment cette fois-ci. Et pire encore, des américains qui ont en fait des économies ont été contraints dans ballonnements valorisations d'équité (ainsi que les sociétés pour la même raison, mais de l'autre côté de la pièce) parce que les taux d'intérêt des titres ont été mis pour retourner effectivement rien.
- voir graphique sur site -
Le graphique ci-dessus représente les revenus de l'épargne privée (en utilisant le taux de 2ans comme un proxy, qui est probablement sa généreux aujourd'hui) a diminué d'environ 2,0 % du PIB dans le début des années 1980 à 0,6 % en 2000 à environ 0,2 % aujourd'hui. Ainsi, alors que les emprunteurs consommateurs ont été contraints dans un état d'emprunt perpétuel, épargnants a été contraint de prêter de l'argent dans les marchés secondaires, qui seront encore une fois transférées vers le très peu lors de la prochaine inévitable du marché en panne. Un accident qui est déjà signalé dans le monde entier.
Donc lorsque nous regardons des gars comme Bernie Sanders visiblement en colère à des gars comme Alan Greenspan il appartient à chacun d'entre nous d'aller au-delà du divertissement de celui-ci ou un accord prima facie et de vraiment comprendre pourquoi la colère est justifiée. Quand nous nous demanderons pourquoi dans l'enfer personne ne crie à Janet Yellen ??
Économie est devenu otage de milieu universitaire où faute de PhD à anneau clôturer le sujet avec statistiques et calcul pour s'assurer que ceux qui ont fait des études sans rapport très étroits et autres peut jouer. Mais l'économie n'a pas grand-chose à voir avec les stats et calcul. Économie est un sujet de l'interdépendance, basé sur la logique avec un peu de mathématiques fondamentale levée dans.
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Si nous devions tous prendre la responsabilité de comprendre les forces vives de notre existence américain c'est-à-dire l'économie, nous sera très certainement déplacés de supprimer non seulement les responsables des politiques, mais le système qui desservent ensemble seuls ceux en haut de la chaîne alimentaire économique et à un coût pour le reste d'entre nous. À la fin de la journée, le système est un jeu à somme nulle dans un système monétaire qui repose sur une unité de monnaie de négociation pour une unité de la dette. Il n'y a aucune autre fin qu'un mauvais et je suis désolé mes amis mais c'est une certitude mathématique (simple).
RépondreSupprimerhttp://www.zerohedge.com/news/2015-08-19/there-no-other-end-bad-one-its-mathematical-certainty
Dans les 'catastrophes annoncées' il y a 'ceux qui s'en sortent' (!!!) et ceux qui payent pour les autres. Et, bizarrement, les responsables de manipulations et crimes volontaires sont ceux qui s'en sortent ! (n'allez pas comparer votre paye d'employé ou retraite à celle des escrocs qui nous gouvernent !)
SupprimerSUR NOUS, les Plans d'augmentation spectaculaire Global Lethal & vols de Drone de Surveillance en 2019
RépondreSupprimerSoumis par Tyler Durden le 19/08/2015 18:05 -0400
Soumis par Claire Bernish via TheAntiMedia.org,
Comme si, au mépris total de la discorde vaste et à l'étranger, le Pentagone a annoncé cette semaine à la spectaculaire montée en puissance des opérations de drone global au cours des quatre prochaines années.
Vols quotidiens de drone augmenteront de 50 % durant cette période et comprendront létale des frappes aériennes et des missions de surveillance pour faire face à l'augmentation globale des points chauds et crises, selon une officielle, la défense haute sans nom (et non vérifiée), tel que rapporté par le Wall Street Journal.
« Nous avons vu un signal constant de tous nos commandants de combat géographiques d'avoir plus de cette capacité » a dit Porte-parole du ministère de la défense, la marine le Capitaine Jeff Davis à des journalistes au Pentagone.
Capacité de frappes aériennes mortelle — malgré les Etats-Unis ' existante réputation infâme dans son programme actuel de massive — augmentera encore plus grâce à un effort conjoint de l'armée de l'Air, armée et Special Operations Command. Ironie du sort, cette nouvelle vient sur les talons d'un rapport qui, en raison de ce qui équivaut à la rivalité — environ $ 500 millions a été gaspillé pour tenter de ramener l'armée de l'Air et l'armée dans un drone combiné achat programme du prédateur même drones dont les vols sont maintenant d'augmenter.
"Les commandants de combat et le ministère de la défense ont besoin d'adopter une approche véritablement interarmée à fournir les types de capacités que peut fournir des avion téléguidé," a déclaré retraité armée de l'Air 3 étoiles général David Deptula. "Je suis heureux d'entendre qu'ils prennent une approche plus commune. Ça va être une grande aide là."
Selon le fonctionnaire anonyme, collecte et renseignement, surveillance seront élargis en Irak, Syrie, Ukraine, Afrique du Nord et la mer de Chine méridionale, entre autres.
Dans l'ensemble, tous les jours de drone vols ont augmenté de manière exponentielle ces dix dernières années , d'environ cinq en 2004 à 61 aujourd'hui et un objectif d'environ 90 en 2019. Qui s'élèverait à 32 850 par an, si l'objectif est atteint. La dernière expansion est la plus importante depuis 2011.
Partie de la raison de l'expansion est l'utilisation actuelle des vols de drone militaire au nom de la CIA — autant que 22 des 61 vols quotidiens sont engagés pour des missions de surveillance de CIA. À l'aide de militaires, l'Agence essentiellement dirige les missions et bénéficie de la surveillance, et bien que les militaires peuvent utiliser les informations de l'Agence, il n'est pas aux commandes de ces vols et perd donc cette capacité alors qu'elles sont déployées comme ça.
Aucun chiffres du budget ont été immédiatement disponibles, mais une fois qu'ils sont, ils seront soumis à l'approbation du Congrès.
Presque 5 500 personnes ont été tuées dans la frappe de drone américain au Pakistan, l'Yémen, la Somalie et l'Afghanistan, seul — dont près de 1 100 étaient des victimes civiles, dont plus de 200 enfants, selon le Bureau pour le journalisme d'investigation. Maintenant, il n'y a aucun moyen d'éviter une augmentation du nombre de civils qui paient de leur vie pour avoir été au mauvais endroit lorsque les États-Unis éprouve le besoin de mener des frappes plus.
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Comme opérateur de détecteurs ancien drone Brandon Bryant inquiétant dit RT, « il n'y avait aucun contrôle. Je sais que l'intérieur de l'ensemble du programme était malade et les gens doivent savoir ce qui arrive à ceux qui étaient à l'intérieur. Gens ont besoin de savoir l'absence de surveillance, le manque de responsabilité, qui se produisent."
RépondreSupprimerMais ils nous haïssent pour notre liberté. Droit ?
http://www.zerohedge.com/news/2015-08-19/us-plans-dramatic-increase-global-lethal-surveillance-drone-flights-2019
SupprimerBien sûr il n'y aura aucune condamnation des vols de drones paparazzis sur des propriétés privées où bientôt plus personne n'osera même mettre le nez dehors !! puisque ces mêmes journalistes-espions sont imposés par le gouvernement comme étant des bienfaiteurs en tant que raporteur/balance/délateur/traitre/jaune, etc
L'Allemagne accueillera 750.000 réfugiés cette année, 300.000 de plus que prévu
RépondreSupprimerpar Mylène Vandecasteele
19 août 2015
Le Bureau allemand des migrations et des réfugiés a revu ses prévisions du nombre de demandeurs d'asile que l’Allemagne devrait accueillir cette année pour l’augmenter considérablement, le faisant passer de 450.000 à 750.000, indique le journal Handelsblatt, qui tient cette informations de sources gouvernementales. Depuis le début de cette année, c’est la seconde fois que ce chiffre est révisé, puisqu’il avait été évalué à 250.000 réfugiés au début de 2015.
Selon le Frankfurter Allgemeine Zeitung, les réfugiés arrivant d’Italie peuvent facilement se rendre en Allemagne en passant par l'Autriche, car il n'y a pas de contrôles. Chaque jour, plus de 900 réfugiés arriveraient par la “route de la Méditerranée”, alors qu’ils ne sont que 300 à utiliser la “route des Balkans”, qui longe la Hongrie.
Antonio Guterres de la Haute Commission des Nations Unies pour les réfugiés a averti que la situation actuelle, dans laquelle deux pays, la Suède et l'Allemagne, absorbent la majeure partie des réfugiés, est insoutenable à long terme.
http://www.express.be/business/fr/economy/lallemagne-accueillera-750000-refugies-cette-anne-300000-de-plus-que-prvu/215141.htm
Ne cachons pas la réalité des plans américano'européens:
SupprimerL'Allemagne accueillera VOLONTAIREMENT 750.000 réfugiés cette année, 300.000 de plus que prévu
La France et l'Inde sont les deux pays qui connaissent le plus de fuites des cerveaux
RépondreSupprimerpar Arnaud Lefebvre
18 août 2015
Selon un classement établi par LinkedIn, le réseau social pour professionnels, l’Inde et la France sont les deux pays qui connaissent le plus de fuites des cerveaux. Ce classement évalue les pays selon le nombre de travailleurs qui ont choisi, l’an dernier, d’émigrer à l’étranger.
Depuis 2014, LinkedIn publie des chiffres annuels d’utilisateurs, au sein de 20 pays, qui ont décidé de partir à l'étranger. Etant donné que les personnes concernées sont hautement diplômées, ce classement offre une bonne image de ce que l’on nomme la fuite des cerveaux, phénomène qui fait qu'un pays voit ses talents partir à l'étranger.
Les Emirats arabes unis, destination la plus populaire
Selon les chiffres de Linkedin, l'Inde se situe à la première place. L'an passé, le pays a perdu 0,23% de ses travailleurs à cause de l'émigration. Presque la moitié de ces personnes étaient des spécialistes en technologie qui ont émigré aux Etats-Unis.
Beaucoup d'autres Indiens sont partis pour les Emirats arabes unis qui en général attirent beaucoup de travailleurs étrangers. Aux côtés des Indiens, beaucoup de Britanniques et de Pakistanais sont également prêts à aller vivre sous le climat du désert en échange d'un salaire élevé.
La France occupe une surprenante deuxième place dans ce classement de la fuite des cerveaux. Pas moins de 0,2% des utilisateurs français de Linkedin ont déménagé à l'étranger.
Un reflet de la situation économique ?
La France fait beaucoup moins bien que sa voisine l'Allemagne qui par contre exerce un grand pouvoir d'attraction sur les travailleurs du reste du monde. Auprès des utilisateurs de Linkedin, l'Allemagne est le cinquième pays le plus populaire, après la Suisse et Singapour.
Selon Sohan Murty, analyste de données chez Linkedin, ces chiffres donnent un indice de la situation économique actuelle des différents pays.
S’agit-il de la confirmation du fait que l'économie se porte mieux en Allemagne qu'en France? Probablement, mais il existe aussi une autre explication. Il serait en effet possible que les multinationales françaises envoient simplement plus de travailleurs à l'étranger que les entreprises allemandes.
http://www.express.be/business/fr/hr/la-france-et-linde-sont-les-deux-pays-qui-connaissent-le-plus-de-fuites-des-cerveaux/215137.htm