Soumis par Tyler Durden sur 09/06/2014 07:52 -0400
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Comme nous l'avons rapporter (et la prévision pour les dernières années), l'axe anti-américain Dollar eurasien prend forme rapidement, avec les récents événements catalysés et certainement accélérés par la politique étrangère des États-Unis en Ukraine, qui a simplement réussi à repousser la Russie que beaucoup de plus près, et plus vite, en Chine. La dernière preuve de cette nuit est venue lorsque le FT a indiqué que les entreprises russes se préparent à passer des contrats de devises asiatiques renminbi et les autres au milieu des craintes que les sanctions occidentales peuvent les geler sur le marché du dollar US, selon deux grands banquiers.
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Selon Pavel Teplukhin, chef de la Deutsche Bank en Russie, cité par le Financial Times, "Au cours des dernières semaines, il y a eu une participation importante dans le marché des grandes entreprises russes de commencer à utiliser divers produits en devises asiatiques renminbi et les autres et à créer des comptes dans des endroits d'Asie ".
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Andrei Kostin, directeur général de la banque VTB état, a déclaré que l'élargissement de l'utilisation des monnaies autres que le dollar était l'un des «tâches principales» de la banque. "Compte tenu de l'étendue de notre commerce bilatéral avec la Chine, le développement de l'utilisation des règlements en roubles et yuans [renminbi] est une priorité sur l'ordre du jour, et nous y travaillons maintenant", a déclaré le président de la Russie, Vladimir Poutine, lors d'un briefing. « Depuis mai, nous nous consacrons à bien ce travail. "
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"Il n'y a rien de mal avec la Russie essaie de réduire sa dépendance sur le dollar, en fait, c'est une chose tout à fait raisonnable de le faire," a déclaré le chef de la Russie une autre grande banque européenne. Il a ajouté que grande exposition de la Russie au dollar soumet à une plus grande volatilité du marché en temps de crise. "Il n'y a aucune raison pourquoi vous avez à régler le commerce que vous faites avec le Japon en dollars,» dit-il.
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Le chef de la direction d'un fabricant russe qui tire 70 pour cent de ses revenus de l'exportation en dollars américains a déclaré que son entreprise avait fait le travail préparatoire à déplacer ses règlements de contrats de différentes monnaies dans le cas de nouvelles sanctions. "Si quelque chose arrive, nous sommes prêts à passer à d'autres devises, par exemple pour le yuan chinois ou le dollar de Hong Kong," a t-il dit.
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Bien que le passage à ouvrir des comptes aux échanges de renminbi, dollars de Hong Kong ou de dollars de Singapour », souligne la tentative de la Russie de pivoter vers l'Asie que ses relations avec l'Europe deviennent tendues", n'est guère surprenant étant donné les événements récents, on peut se demander combien de combat soudaine de la nuit dernière de force renminbi peut être dû à des entrées de capitaux de Russie. Et tandis que ce mouvement particulier a été certainement plus entraîné par la banque centrale et les préoccupations récentes métalliques rehypothecated poussée des importations chinoises inférieure, la grande question est de savoir comment la demande russe de l'impact de la monnaie chinoise ce qui a été une nette tendance ces derniers mois par les autorités chinoises sera d'affaiblir la monnaie nationale.
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La punchline, encore une fois, c'est ce que la Russie est en train de faire est simplement l'apéritif de ce que le G-20 d'autres pays, dont beaucoup déjà en colère contre les Etats-Unis au cours du FMI Shennanigans de puissance de vote, peuvent finir par faire dans leurs propres accords commerciaux bilatéraux avec la Chine qui proposer encore plus dé-dollarisation comme le renminbi devient de plus en plus important sur la scène mondiale de FX.
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" On dirait que ce n'est pas juste un blip, c'est une tendance », a déclaré M. Teplukhin de la Deutsche Bank. Il a ajouté que les entreprises russes étaient en mesure de couvrir le risque de nouvelles sanctions américaines par «changer la lettre de leurs contrats pour leur permettre de changer de devise si cela est nécessaire".
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Mais peut-être le plus important sont les prochaines étapes prévues par le Kremlin, qui a expliqué dans quelles conditions il sera «de-dollarisation" plus:
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Certains politiciens ont suggéré que Moscou doit répondre aux sanctions occidentales par tout "de-dollarising" son économie. Mais alors que dans de récentes discussions avec les grandes entreprises sur la façon de rendre l'économie moins vulnérable que le gouvernement a préconisé listing retour à la maison et de s'installer plus le commerce dans des devises autres que le dollar, il a rejeté les mesures les plus extrêmes.
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"Tant que la Russie n'est pas l'objet de sanctions systémiques, ce qui pourrait apporter une limite artificielle à l'accès de notre économie en dollars. . . alors je ne pense pas que la Russie prendra toutes les mesures afin d'apporter artificielle de-dollarisation », a déclaré Andrei Belousov, conseiller économique de M. Poutine.
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En d'autres termes, comme nous l'avons dit tout au long, des sanctions plus occidentales, plus la chute de l'USD. Et maintenant, la Russie a l'atout, parce que si il veut montrer au monde que l'axe Russie-Chine n'a pas besoin de billets verts de l'Oncle Sam, il a juste besoin d'être plus «agressif» vers la mise Ukraine hors de nouvelles sanctions, et d'être "forcé" à dé-dollarisation ce petit supplément plus. Rincez, répétez.
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Il n'y a aucune justification pour les prix du pétrole brut dans la stratosphère
RépondreSupprimerPAR David Meyers
09.06.14 - 06:00 EDT
La spéculation pour le pétrole brut a été endémique . cours des six derniers mois Malgré le fait que nous sommes simplement un mois et 0,03% loin de faire un record dans l'approvisionnement en pétrole brut, nous voyons le brut WTI à $ 102,76. Si le prix a été basé uniquement sur une théorie de l'offre / demande, nous devrions être dans les années 80 bas $.
Nous avons tous entendu experts du marché mentionnent les États-Unis devrait abroger toutes les lois qui interdisent l'exportation de pétrole brut. Ce qu'ils ne mentionnent pas, c'est ces lois n'ont pas empêché ces entreprises d'exporter toutes les formes de produits raffinés. Nous avons doublé nos exportations de l'essence au cours des cinq dernières années. Malgré cela, les gens paient environ 4 $ le gallon à la pompe. Indépendamment de ce que vous pensez de la fracturation hydraulique, il a produit d'énormes quantités de pétrole.
Récemment, les raffineries américaines ont diminué de production à environ 9,5 millions de barils par jour. Malgré cette baisse, nous avons vu une légère hausse de l'excédent de l'essence de 0,2 millions de barils. Cela nous montre que la demande est en légère baisse alors que les prix continuent de grimper. Pourquoi ? Eh bien, il y a eu plusieurs raisons au cours des six derniers mois de croire que le brut peut pic. Russie, un important producteur, jouait un jeu dangereux de la géopolitique avec l'Ukraine et le reste de l'Europe. Les choses étaient tendues et les inquiétudes étaient élevés que l'offre qu'ils ont donné l'Europe pourrait être désactivé. Libye, un producteur très mineur dans le paysage mondial, a eu une révolte où les rebelles ont pris d'assaut la capitale. Ils étaient déjà en cours d'exécution que sur une fraction de la capacité. Iran, un autre acteur majeur, avait été frappé avec les principales sanctions limitant sa sortie.
Pour la plupart, toutes ces craintes politiques ont été résolus. Poutine semble jouer gentil, et est même dit l'Ukraine, il a plus de temps pour payer ses factures de gaz naturel. Libye s'est calmé à un gémissement. Iran non seulement avait été ignorant sanctions antérieures, les États-Unis lui a donné le feu vert pour aller de l'avant et de produire autant qu'il voulait tant qu'il interrompu le programme nucléaire. Tout cela est arrivé alors que le Canada a réalisé des sables bitumineux de l'Alberta, en plus de ne pas tarir, ont été rendement beaucoup plus qu'on ne le pensait à l'origine. Juste pour ce seul secteur Canada se rend compte qu'il y aura une augmentation de 72 000 barils par jour que prévu à l'origine.
Grâce à l'invention de la fracturation hydraulique, la production américaine a augmenté de 14% en 2012 et 15% de plus en 2013. Juste depuis Janvier de cette année la production de brut est en hausse d'environ 12% à nouveau. Dakota du Nord et le Texas sont responsables de la grande majorité de cette production, mais ce n'est qu'une question de temps jusqu'à ce qu'ils trouvent un autre endroit chaud quelque part aux États-Unis, nous sommes littéralement au point où nous sommes à court de stockage place pour notre brut et sociétés distillent pour l'exportation.
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Quel est le point ? Il n'y a plus aucune excuse pour nous d'être payé plus de 3 $ le gallon à la pompe. Nous sommes tous pour l'utilisation propre de l'énergie et de se débarrasser de brut, mais en attendant, les prix devraient être beaucoup plus faible. La totalité de la différence de 25% serait aller directement au PIB à long terme. Spéculateurs, réveillez-vous ! Avec toutes les questions géopolitiques se résoudre ... brut ne vaut pas $ 103 le baril.
RépondreSupprimerhttp://www.thestreet.com/story/12736581/1/theres-no-justification-for-crude-oil-prices-in-the-stratosphere.html?puc=yahoo&cm_ven=YAHOO
Pétrole : sommes-nous à l'aube d'une nouvelle crise ?
RépondreSupprimerlundi, 09 juin 2014 08:38
Selon le nouveau rapport « World Energy Investment Outlook » de l’Agence Internationale de l’Energie (IEA) il faut trouver 48 trilliards $ jusqu’en 2035 pour maintenir la production pétrolière au niveau actuel.
Pour rentabiliser les nouvelles techniques de forages, il est nécessaire de mettre le curseur du prix du baril au-delà de 120$. Mais à ce niveau, c’est l’économie qui s’écroule ! C'est un vrai casse-tête et un cercle vicieux insoluble.
Tous les signaux d’alarmes viennent de passer au rouge.
Tous les signaux sont au rouge vif
Le peak oil d'or noir conventionnel a été atteint en 2007 et le pétrole de schiste, off-shore, sable bitumineux ou dans les glaces de l’Arctique devaient prendre le relais pour assurer la stabilité et la croissance mondiale des économies.
Mais ces technologies coûtent cher, trop cher. Ainsi toutes les majors pétrolières ont réduit leurs investissements en attendant que le prix du baril couvrent leurs frais d’exploration. Toutes alignent des chiffres de production en baisse. Quant aux pays (Russie, Iran, Kazakhstan, Vénézuéla, Nigeria) ils comptent sur le savoir-faire des grandes majors. Tout ce beau monde est en position d'attente alors que le nombre d’automobilistes et la croissance ne cessent d’augmenter et de peser sur les inventaires. D’ici l’automne, 900'000 barils/jour devraient manquer pour satisfaire la demande.
L’Economie détruite par l’énergie
Logiquement l’équation Offre-Demande devrait s’appliquer : plus un bien est rare, plus il est cher. Mais cette loi ne s’applique pas au pétrole car c’est lui qui est le moteur de la croissance. Une augmentation de consommation de pétrole de 0,6% équivaut à une augmentation de PIB de 1% (en Europe).
Sous nos latitudes, un baril au-delà de 110$ détruit la croissance (100$ aux USA). L’économie américaine vit sous perfusion de sa banque centrale avec 70 milliards $ distribués chaque mois via le quantitative easing.
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L’Europe planche également sur son QE pour relancer la croissance. Cependant, toutes ces tentatives artificielles sont vouées à l’échec sur le long terme.
RépondreSupprimerIl suffirait que les taux d’intérêts remontent pour tuer définitivement la rentabilité des forages de schistes ou les autres techniques d’extraction de pétrole non-conventionnel.
Dès que le baril passe la barre des 110$, la croissance devient négative.
Alors qu'il faudrait un baril à 120-130$ pour relancer la production mondiale
la croissance se ferait immédiatement détruire.
Le mythe américain s’écroule
Dans sa dernière campagne présidentielle, le président Obama avait lancé un mythe qui allait lui permettre d’éviter les attaques pétrolières des républicains. C’est ainsi que naquît le concept d’indépendance énergétique américain notamment grâce aux huiles de schistes. Dans des scénarios dignes d’Hollywood, les USA dépassaient la production de l’Arabie Saoudite d’ici à 2020.
La semaine dernière, l’IEA effaçait d’un coup 60% des réserves de pétrole de schiste made in USA. Les forages californiens sont trop chers, trop difficiles et l’huile de mauvaise qualité. Les productions de schiste du Dakota et du Texas montrent déjà des signes de faiblesses après 6 années d’exploitation seulement.
Les USA, qui ont abandonné le Moyen-Orient pour leur approvisionnement, vont devoir faire rapidement marche arrière et revenir là où les chinois ont déjà sécurisé leur pétrole notamment en Irak, en Iran ou en Arabie Saoudite. Le remplaçant d’Obama aura cette lourde charge avec où sans armes.
En Europe, particulièrement en Pologne, les investisseurs et pratiquement toutes les majors se sont déjà retirés après des déboires financiers douloureux grâce au schiste. Dans une dernière tentative de survie, l’Angleterre tente d’expérimenter les forages de schiste pour atténuer la chute vertigineuse de sa production off-shore. cependant, il ne s’agit que d'un espoir fou et l’on voit mal des financiers compétents se précipiter dans le jeu: Qui veut perdre des Millions?
L’OPEP : la solution magique ?
Le dernier espoir repose sur l’OPEP. Mais là encore, c’est la panique. Durant les mois très chauds de l’été 2013, l’Arabie Saoudite avait utilisé la moitié de sa production à usage interne. Pour couronner le tout, sa production plafonne et les essais de dépasser les limites actuelles offrent un pétrole de piètre qualité et menacent les puits traditionnels.
La Lybie, le Nigéria, le Vénézuéla font face à une baisse importante de production et l’Iran patauge dans ses négociations. Dans le pays des mollahs il faudra plusieurs années pour rénover les installations pétrolières à l'état d'abandon. Même l’Irak, qui n’est pas dans l’OPEP, peine à maintenir sa production pendant que les camps religieux s’affrontent de plus en plus violemment.
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Durant la crise de 2008, il avait fallu plus de 18 mois pour voir grimper le baril à 147$. Bien malin qui peut prédire ce qui va se passer dans les 18 mois à venir. Les prévisions annoncent un manque estimé à 900'000 barils par jour d'ici à cet automne.
RépondreSupprimerLe peak oil, savamment écarté par les faucons de la Maison Blanche, va à nouveau rebrasser les cartes mondiales du pouvoir. La Chine, qui a fait de très nombreuses acquisitions pétrolières depuis 2010, semble la mieux positionnée. Les programmes d'efficacité énergétique de l'Europe pourrait lui sauver quelques plumes. Les américains qui ont tout misé sur leur schiste semblent les moins bien placés.
Les SOS envoyés ces deux dernières semaines par l’IEA à l’attention des politiques seront-ils entendus ? Et finalement comment l’économie va-t-elle réagir face à une hausse insupportable du baril ?
Annexe: World Investment Outlook IEA
http://www.objectifeco.com/bourse/matieres-premieres/energies/petrole-sommes-nous-a-l-aube-d-une-nouvelle-crise.html
Que certains puits affichent une baisse de production, c'est possible et normal (cela dépend de sa vitesse de sortie et de la grandeur de la nappe), mais qu'il faille en laisser croire qu'il y en a plus, là: c'est un peu fort ! Car, depuis toujours, les nappes de pétrole se reremplissent régulièrement de pétrole abiotique et d'ailleurs, nous n'avons jamais vu de pays mettre la clé sous la porte par manque de production !
SupprimerSecundo, les coûts des forages ont été amortis depuis longtemps ! et, il ne faut pas mélanger ceux qui cherchent à forer en offshore à 3000 m de fond et ceux qui n'ont qu'à gratter le sable pour en trouver.
Mais bien sûr là où le jeu nouveau est arrivé est avec le gaz de shiste et donc, de proposer effrontement: Si le prix du baril augmente, les forages de shiste pourraient envisager de devenir rentables ! Et si le pétrole baisse le shiste n'aura aucune valeur.
La crise (puisque c'est lui qui en a employé le mot), ne vient ni du pétrole ni du shiste mais des TAXES de l'Etat qui en font une arnaque internationale !
Algues sous-financées en chasse de l'énergie
RépondreSupprimerpar Kazuaki Nagata
Rédactrice
10 juin 2014
Les algues pourraient apporter la puissance de votre voiture ? Dans la recherche de nouvelles sources d'énergie, les scientifiques se tournent le goo vert dans l'huile.
Alors que la technologie elle-même n'est pas nouvelle, des scientifiques japonais disent qu'ils croient l'huile à partir d'algues aquatiques pourraient devenir une matière première importante que la technologie de la biomasse et améliore le monde recherche les sources de pétrole autres que ceux dans le sol.
Les experts disent aussi des algues sera une source de biomasse plus durable que la canne à sucre ou de maïs que la population mondiale augmente.
«À court terme, nous pouvons utiliser des cultures agricoles à produire de l'huile, mais dans le long terme, les algues allons jouer un rôle essentiel parce que les cultures seront nécessaires que la nourriture", a déclaré phycologiste Makoto Watanabe, professeur à l'Université de l'École doctorale de Tsukuba de la vie et sciences de l'environnement.
Alors que la catastrophe nucléaire de Fukushima a incité discussion vigoureuse sur l'énergie alternative au Japon, Watanabe déplore l'absence d'un débat parallèle sur le remplacement du pétrole brut.
Selon l'Agence des Ressources naturelles et de l'Énergie, plus de la moitié de toute l'énergie pour l'exercice 2011 a été fournie par le pétrole, alors que celui généré par l'homme représentait un peu plus de 20 pour cent.
«Où allons-nous trouver un remplacement pour le pétrole ?" Demandé Watanabe. Il croit l'huile d'algues est la meilleure alternative.
Il y a probablement des centaines de milliers d'espèces d'algues dans la nature. Les personnes les plus adaptés à la production de pétrole sont des espèces à croissance rapide avec une structure riche en pétrole qui résiste à l'attaque par des champignons, disent les experts.
Watanabe travaille avec deux espèces de microalgues, la braunii Botryococcus photosynthétique, et Aurantiochytrium, qui se nourrit de matière organique et peut croître sans lumière. Les deux produisent l'huile qui est relativement compatible avec les infrastructures énergétiques existantes.
Les chercheurs et les producteurs d'huile d'algues à travers le monde essaient de faire baisser les coûts de production de sorte qu'il ne peut rivaliser avec le pétrole brut.
"Ce développement de la recherche est d'environ de combien vous pouvez conduire les coûts de production», a déclaré Tomohiro Fujita, qui dirige Neo Morgan laboratoire basé à Kanagawa, qui étudie les moyens d'améliorer les souches d'algues.
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Comparable au pétrole brut, l'huile d'algues peut être raffiné pour produire de l'automobile et le carburant d'aviation et peut être transformé en produits cosmétiques et les plastiques.
RépondreSupprimerNeo Morgan a fait équipe avec IHI Corp et démarrage Gene et le génie génétique pour établir IHI NEOG algues LLC, une joint-venture qui étudie la production de l'huile d'algues.
Grâce à la technologie d'amélioration de la race de Neo Morgan, la société a modifié une souche de Botryococcus braunii approprié pour les incubateurs simples, bon marché, Fujita dit.
Il dit que la société estime qu'elle peut produire du pétrole à partir d'algues, à un coût de 500 yens par litre. L'essence ordinaire raffinée se vend à quelques 160 yens par litre.
Découvert par Taira Enomoto, un professeur de microbiologie à l'Université de Kobe, la souche braunii Botryococcus croît si rapidement, il peut doubler son volume en deux jours. Il est probablement l'espèce la plus forte croissance identifiés à ce jour, Fujita dit. D'autres types de Botryococcus braunii prennent habituellement environ deux semaines de doubler de taille.
En outre, Neo Morgan est venu avec un système d'incubation plus efficace. L'huile est généralement extrait d'algues avec une centrifugeuse, mais Fujita a déclaré que les algues modifiées peuvent être collectées en utilisant une méthode de serrage simple, en gardant les coûts de production.
Pourtant, les scientifiques ont du mal à faire baisser les coûts au niveau du brut.
"Produire du pétrole pour le carburant est la partie la plus difficile. . . si on nous demandait de faire de l'huile qui se vend à plusieurs milliers de yens (pour des usages tels que les cosmétiques), nous pourrions le faire maintenant. Mais il est vraiment difficile de faire baisser le coût de production de ¥ 50 ou ¥ 100 (par litre) ", a déclaré Fujita.
Il a dit bondé Japon n'a pas l'espace nécessaire pour les grandes installations d'algues, si les entreprises japonaises devrait se concentrer sur le perfectionnement de leur technologie et de chercher des terres à l'étranger pour réduire les coûts, ajoutant que IHI NEOG algues vise à réduire les coûts de production en baisse à moins de 100 yens par litre par vers 2020.
Watanabe de l'Université de Tsukuba quant à lui, tente de créer des systèmes d'incubation hybrides qui utilisent des eaux usées.
Il a dit Aurantiochytrium peut nourrir de sous-produits de traitement des eaux usées, tels que boues activées, tandis que l'effluent qui a traversé traitement primaire contient de l'azote et le phosphore nécessaires pour Botryococcus braunii à prospérer.
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En utilisant ces sous-produits, qui vont habituellement les déchets, les coûts de l'huile d'algues de production peuvent être réduits, a déclaré Watanabe.
RépondreSupprimerWatanabe estime un incubateur à l'échelle commerciale en utilisant la technologie existante pourrait produire du pétrole à un coût compris entre ¥ 500 et ¥ 740 par litre. Il vise à mettre cela sur le compte entre ¥ 200 et ¥ 300 d'ici 2020.
"Je pense que nous allons voir une concurrence d'environ 200 yens par litre des prix en 2020", a déclaré Watanabe, citant des études universitaires et les prévisions de l'US Department of Energy.
Mais les règlements et le manque du Japon de terres posent des problèmes pour le secteur ici. Bien que le Japon a beaucoup de terres agricoles en jachère, il est protégé à un usage agricole.
Watanabe dit que le Japon devrait favoriser l'industrie de l'huile d'algues en développant les usages de son produit final, au lieu de se concentrer uniquement sur la réduction des coûts.
Par exemple, depuis l'huile d'algues peut être utilisé dans la fabrication de produits cosmétiques haut de gamme, il est possible pour les modèles d'affaires à l'aide de méthodes de production actuelles, at-il dit.
Le gouvernement pourrait aussi travailler plus fort pour promouvoir la technologie, Watanabe a dit, notant que le budget annuel de la recherche sur l'huile d'algues est à seulement quelques dizaines de millions de yens.
Watanabe attribue le manque d'intérêt du gouvernement à ses précédents échecs avec des algues. Dans les années 1990, il a investi en vain environ 13 milliards ¥ pour le développement de la technologie de production d'algues.
"Le ministère de l'Economie, du Commerce et de l'Industrie est encore traumatisée par ce", a t-il dit.
Mais Watanabe a averti que le Japon doit agir rapidement, comme d'autres pays, les États-Unis en particulier, ont fait pression huile d'algues depuis environ 2007, sont attendus les prix du pétrole ne cessent d'augmenter et les économies émergentes de la faim pour plus de pétrole.
Les États-Unis a dépensé des dizaines de milliards de yens sur la recherche d'algues et de soutenir les entreprises qui y participent. Le gouvernement japonais estime que l'huile d'algues sera en utilisation commerciale vers 2030.
Ce manque d'entraînement frustre Watanabe.
"C'est comme si le Japon a des acteurs de classe mondiale, mais il n'ya pas de stade pour eux d'agir sur et pas de script à exécuter," a t-il dit.
Fujita de Neo Morgan Laboratoire dit, s'il est vrai que le gouvernement japonais investit moins que les États-Unis, il ne fait que refléter une culture de gouvernement qui se dérobe à dépenser beaucoup sur des projets encore en cours de développement.
http://www.japantimes.co.jp/news/2014/06/09/national/science-health/algae-underfunded-energy-hunt/
Ce 'miracle' avait été abordé en France par TF1, mais leur vidéo ... a été retirée !!
SupprimerVoir aussi:
http://huemaurice5.blogspot.fr/2012/08/vous-avez-dit-voitures-electriques.html
Un ordinateur vient de passer le test de Turing en procès historique
RépondreSupprimerPar Terrence McCoy Juin 9 à 10h45
Machines peuvent-elles penser ?
Alan Turing à partir des archives des documents relatifs au développement de l'informatique du Laboratoire national de physique entre la fin des années 1940 et au début des années 1970. (Science Museum, Londres / SSPL) En 1950, le célèbre scientifique Londres Alan Turing, considéré comme l'un des pères de l'intelligence artificielle, a publié un document qui a mis en avant cette même question. Mais rapidement, il a posé la question, il l'a appelé «absurde». L'idée de la pensée était trop difficile à définir. Au lieu de cela, il a trouvé un moyen distinct de quantifier mécanique "pensée".
«Je vais remplacer la question par un autre, qui est étroitement liée à elle et est exprimé en termes relativement claires,» écrivait-il dans l'étude que certains disent représenter le «commencement» de l'intelligence artificielle. "La nouvelle forme du problème peut être décrit en termes de jeu que nous appelons le« jeu de l'imitation ».
Ce qu'il voulait dire: un ordinateur peut tromper un homme en pensant qu'il s'agit en fait d'un être humain ? Cette question a donné naissance à la "test de Turing" il y a 65 ans.
Ce week-end, pour la première fois, un ordinateur a passé ce test.
"Passing", cependant, ne signifie pas qu'il a fait avec brio. Pour un ordinateur pour passer le test, il ne doit duper 30 pour cent des interrogateurs humains qui dialoguent avec l'ordinateur pendant cinq minutes dans une conversation de texte. Dans le test, c'est à l'homme de séparer les machines de leurs êtres d'autres tout au long de leur cinq minutes inquisition. (Gizmodo a une assez bonne répartition de la façon dont le test fonctionne.)
Ce tour de table, un programme de fabrication russe, qui se déguise en garçon de 13 ans nommé Eugène Goostman d'Odessa, en Ukraine, embobiner 33 pour cent des interlocuteurs humains. Eugène était l'un des cinq supercalculateurs qui sont entrés dans le test de Turing 2014.
«Nous sommes fiers de déclarer que le test d'Alan Turing a été adoptée pour la première fois samedi," a déclaré Kevin Warwick, professeur invité à l'Université de Reading, qui a organisé l'événement à la Royal Society à Londres. "Dans le domaine de l'intelligence artificielle, il n'y a pas de jalon plus emblématique et controversée que le test de Turing, quand un ordinateur convainc un nombre suffisant d'interrogateurs à croire que ce n'est pas une machine mais est un être humain."
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Il est une cause de préoccupation, cependant. Pour commencer, convaincre un tiers des interrogateurs que vous êtes un adolescent qui parle dans une langue seconde peut-être fausse le test un peu. Était l'ordinateur intelligent ? Ou était-ce un gadget ?
RépondreSupprimerEt puis il y a la crainte que cette technologie peut être utilisée pour la cybercriminalité.
"Le test a des implications pour la société d'aujourd'hui", a déclaré Warwick dans un communiqué de nouvelles universités. «Avoir un ordinateur qui peut tromper un homme en pensant que quelqu'un, ou même quelque chose, est une personne que nous croyons est un réveil à la cybercriminalité. . . . Il est important de mieux comprendre comment en ligne, la communication en temps réel de ce type peut influencer un individu humain de telle sorte qu'ils sont trompés en leur faisant croire que quelque chose est vrai. . . alors qu'en fait il n'est pas. "
En effet, si l'optimisme des programmeurs d'Eugène est un guide, nous pourrions être dirigés vers un scénario n'est pas sans rappeler "Son" - le blockbuster 2013, qui dépeint un homme complexe tomber en amour avec son ordinateur.
«À l'avenir, nous prévoyons de faire Eugene plus intelligent", a déclaré Vaselov, "et continuer à travailler sur l'amélioration de ce que nous appelons la« logique de la conversation. "
http://m.washingtonpost.com/news/morning-mix/wp/2014/06/09/a-computer-just-passed-the-turing-test-in-landmark-trial/
SupprimerC'est vrai que si un ordi n'a même pas le "certificat d'études", il lui sera difficile de comprendre le koi ki ve le môssieu qui tape des trucs.
Bulgarie arrête travail sur gazoduc
RépondreSupprimerLe Premier ministre bulgare Plamen Oresharski a ordonné à tous les travaux sur le projet de gazoduc South Stream de poursuivre qu'après consultations avec Bruxelles
08 Juin 2014
Premier ministre de la Bulgarie a ordonné l'arrêt des travaux de construction sur le projet de gazoduc South Stream de Gazprom dirigée.
Plamen Oresharski déclaré après avoir rencontré les sénateurs américains John McCain, Christopher Murphy et Ron Johnson qu'il a ordonné à tous les travaux sur le projet contesté de poursuivre qu'après consultations avec Bruxelles.
La semaine dernière, la Commission européenne a ouvert une procédure d'infraction contre le pays des Balkans et a demandé des travaux de construction d'être arrêté, en faisant valoir que la Bulgarie n'avait pas respecté les règles du marché intérieur de l'UE portant sur la passation des marchés publics.
Le stand-off sur l'Ukraine a forcé la 28-nation de l'UE dans une remise en cause brutale de ses politiques énergétiques pour la rendre moins tributaire de la Russie et de sa société gazière publique Gazprom.
En particulier, la décision de l'UE aura une incidence sur le gazoduc South Stream, dont le russe Gazprom détient une participation de 50%, et de fournir une voie d'approvisionnement de rechange pour la Bulgarie, la Serbie, la Croatie, la Hongrie, la Slovénie, l'Autriche et l'Italie. Il est prévu d'expédier jusqu'à 63 milliards de mètres cubes de gaz à partir de 2018.
La Bulgarie, qui dépend presque entièrement des livraisons de gaz en provenance de Russie, tente d'éviter une autre coupure après avoir été parmi ceux qui ont le plus souffert du conflit du prix du gaz entre la Russie et l'Ukraine en 2009.
Washington avait déjà exprimé des critiques sur la décision de la Bulgarie d'attribuer la construction du tronçon bulgare de South Stream à un consortium dirigé par la Russie Stroytransgaz - une société russe l'objet de sanctions américaines.
Dans un communiqué publié vendredi, l'ambassadeur américain Marcie Ries B a exprimé sa "profonde préoccupation" sur la décision.
"Ce n'est pas le temps pour les affaires comme d'habitude avec la Russie," dit-elle. «Nous conseillons les entreprises bulgares d'éviter de travailler avec des entités sanctionnées par les États-Unis."
«Nous comprenons qu'il ya des questions concernant le projet de gazoduc South Stream", a déclaré M. McCain dimanche et a ajouté que «de toute évidence, nous voulons aussi peu implication de la Russie que possible."
http://www.belfasttelegraph.co.uk/news/world-news/bulgaria-halts-work-on-gas-pipeline-30338181.html
« La construction du gazoduc South Stream est inévitable » (ministère bulgare de l’Énergie)
RépondreSupprimerPar La Voix de la Russie
Les autorités bulgares ne renoncent pas à des plans concernant la construction du gazoduc South Stream, et elles croient que la mise en œuvre de ce projet est inévitable, rapporte l’agence Reuters en référence au ministre bulgare de l'Énergie Dragomir Stoynev.
Dimanche dernier, les médias bulgares ont déclaré que le Premier ministre du pays Plamen Oresharski a ordonné de suspendre les travaux sur le projet South Stream pour les consultations avec la Commission européenne. Selon le chef du gouvernement, le travail est suspendu en raison d'une demande de la Commission européenne, et les décisions ultérieures vont dépendre des consultations avec Bruxelles. Précédemment, la Commission européenne a notifié la Bulgarie sur le non-respect des règles de l'UE pour l’appel d’offre sur le choix du constructeur et de la compagnie d’exploitation de la section bulgare du gazoduc.
http://french.ruvr.ru/news/2014_06_09/La-construction-du-gazoduc-South-Stream-est-inevitable-ministere-bulgare-de-l-Energie-8435/
Ne pas être un esclave dette américaine: Obtenez votre diplôme à l'étranger
RépondreSupprimerMike Shedlock
8 juin 2014
Pourquoi aller 40.000 dollars à 100.000 dollars ou plus dans la dette pour un collège d'enseignement lors de l'étude en Europe coûtera beaucoup moins, peut-être même être libre, et vous prendrez une langue étrangère ou deux dans le processus? S'il vous plaît envisager une réponse de lecteur Ivo en réponse à cosigner un prêt est une entreprise risquée pour vous, votre famille, vos héritiers, même l'Emprunteur: Plus de prêts aux étudiants de la dette esclave cauchemars. Ivo écrit ..
Bonjour Mish Vos points sont généralement corrects, mais dans le même temps, les étudiants de plus en plus choisissent d'étudier à l'étranger. Pourquoi ne pas obtenir votre diplôme d'un autre pays ? Aussi, j'ai co-signé une couple de prêts aux étudiants en Estonie, et se sentir assez bien sur les prêts ainsi que les gens, surtout en comparaison avec ce qui se passe aux États-Unis. Mon plus vieux fils étudie la réalisation de films dans un récent et le plus moderne des écoles de cinéma d'Europe, situé ici à Tallinn, par 3400 euros au total par an. À la fin de son baccalauréat, il sera environ 10.000 euros de la dette (je paie une partie de ses dépenses), mais a étudié sous cinéastes de renommée internationale, a participé à plusieurs festivals internationaux de ses propres films, et a formé sur l'équipement de pointe. Avant, il s'inscrit à l'automne dernier, nous avons fait des recherches sur ses différentes options dans les différents pays. Aux Etats-Unis, un programme similaire lui aurait coûté $ 200,000 ou plus, les frais de scolarité seulement. Alors pourquoi une étude aux Etats-Unis à tous ? Apparemment, l'une des raisons sont des licences régionales. Vous ne pouvez pas être en mesure d'obtenir un emploi en Californie si votre futur métier nécessite une licence de CA, qui vous obtiendrez automatiquement d'une université à base de CA-cher (et que vous et votre famille un esclavage de la dette long de la vie coûte). Par exemple, la Californie peut ne pas vouloir rien avoir à faire avec vous si votre diplôme est de Helsinki, en Finlande, même si vous avez eu un grand nombre des mêmes enseignants sur une base client-tuteur que vous auriez eu en Californie. Je pense que pour de nombreux domaines d'études, les systèmes d'octroi de licences régionales sont l'un des facteurs les plus importants de conduire les gens dans la dette servitude long de la vie aux Etats-Unis que les gens peuvent être incapables de trouver un emploi si leurs diplômes sont des écoles dans différents états ou pays. Ce définitivement mandats d'autres recherches. Tout le meilleur, Ivo
Diplômes d'études supérieures en médecine et en dentisterie en Europe ne peuvent pas être pas cher, mais ils sont encore beaucoup moins cher que dans les Etats-Unis comme l'a noté le New York Times étudiants en médecine Chef de l'Europe de l'Est . Quoiqu'il en soit, si vous ne pouvez pas payer le coût d'une éducation des États-Unis , ou même si vous le pouvez, s'il vous plaît la recherche de toutes vos options au lieu de devenir une autre statistique US esclave de la dette. Toutes les éducateurs soins à sonner dans l'accréditation régionale ou étrangère ?
http://globaleconomicanalysis.blogspot.com/2014/06/looking-to-drastically-reduce-college.html#FB0bUTUCwx7C7Piy.99
http://finance.townhall.com/columnists/mikeshedlock/2014/06/08/dont-be-a-us-debt-slave-get-your-degree-abroad-n1848886/page/full
Marine Le Pen: l'UE nous a privés de toutes les libertés, nous devons nous battre pour les récupérer
RépondreSupprimer9 juin 2014 08h30
Les élections au Parlement européen ont apporté des changements révolutionnaires dans la structure du corps le plus puissant de l'UE: partis de droite ainsi que les eurosceptiques, un extérieur il ya quelques années, ont pris la scène politique. Avant Nacional parti en France obtient la majorité - ce qui signifie que les gens veulent du changement; la même chose avec d'autres nations. Mais maintenant ? Est ce que le changement européenne bien sûr inévitable ? Qu'est-ce qui va arriver à l'Union elle-même ? Aujourd'hui, nous nous retrouvons avec notre invité spécial, le leader du Front National. Marine Le Pen est sur Sophie & Co aujourd'hui.
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Sophie Chevardnadze: La dernière fois que nous vous avons parlé prédit dans les élections européennes vous souhaitez devenir le premier parti en France - et ici nous sommes. Quelle est la première chose que vous voulez faire ?
Marine Le Pen: La première chose que je vais faire est de constituer un groupe au Parlement européen pour être en mesure d'empêcher de nouvelles avancées vers le fédéralisme européen, que je considère comme profondément anti-démocratique. Je crois qu'il va à l'encontre de la souveraineté du peuple et les intérêts économiques, sociaux et internationaux de la France. Ainsi, avec nos alliés, nous allons maintenant être en mesure de fournir une nouvelle voix, différente de celle qui domine dans l'Union européenne.
SS: Quand vous regardez le tableau d'ensemble, les eurosceptiques sont en minorité dans la chambre et ils ne sont même pas former un bloc encore, il n'y avait pas de «victoire mondiale". Alors, pourquoi tout ce discours d'un tremblement de terre politique ?
MP: Croyez-moi, nous avons vu les visages des gens ici à Bruxelles qui a vu nous arrivons à affluer, je pense qu'ils croient que notre présence sera décidément changer l'apparence du Parlement européen et, évidemment, des débats qui auront lieu dans le parlement.
SS: Quelle est le problème de ces «eurocommissioners" vous voulez vous débarrasser ? A la question de la souveraineté été tellement grave ?
(suite en dessous:)
MP: La souveraineté est le fondement de la démocratie. Sans la souveraineté, la démocratie n'existe pas, car avoir la liberté de voter dans une urne est une chose, mais si les gens vous avez choisi avec votre bulletin de vote n'ont pas le pouvoir parce que le pouvoir réel a été transféré à un organisme supranational, alors nous sommes plus dans un processus démocratique. Et c'est exactement ce que nous vivons actuellement. Je pense que c'était en 1957, à l'Assemblée nationale, Mendès France a dit qu'il y a deux manières d'établir le totalitarisme - soit tous les pouvoirs sont unis ensemble, ou nous transférer tout le pouvoir à un organe supranational. Eh bien, c'est exactement ce qu'ils ont fait par la construction de l'Union européenne - ils ont transféré la souveraineté du peuple à un organe supranational qui n'est pas élu, qui n'a aucune légitimité et qui impose sa volonté au peuple. Cela est vrai pour notre souveraineté territoriale - nous ne sommes plus maîtres de notre politique d'immigration, car avec Schengen tous nos frontières sont ouvertes; cela est vrai pour notre souveraineté monétaire, puisque nous ne sommes plus dans le contrôle de notre monnaie; notre souveraineté budgétaire - il vient d'être transféré à l'Union européenne, mais aussi de notre souveraineté législative, car actuellement, 80% des lois qui sont votées à l'Assemblée nationale française sont en fait une transcription de directives européennes. Eh bien, je considère que la France est un pays libre et qu'il doit le rester. Et puisque nous avons été volés de toutes nos libertés, nous devons nous battre pour les récupérer dans les mains de ceux qui les ont volé à notre insu et contre notre volonté.
RépondreSupprimerSS: Il y a quelque temps, il était question de la nouvelle superpuissance montante - l'Union européenne. Ces élections ont montré que le bloc est loin d'être universellement approuvée, super. L'Europe n'a jamais unir maintenant ?
MP: l'Europe n'est pas en cause; c'est l'Union européenne qui est en jeu.. Europe existe, et il se compose de nations dont la richesse réside dans leur unicité, leur souveraineté, leur liberté, leur démocratie. Donc, je suis pour une Europe des nations - Je souhaite que demain, nous pouvons constituer une Europe qui pourrait se développer, mais à des pays qui ont conservé leur souveraineté et qui serait de travailler ensemble sur des projets de coopération. C'est ce qui fonctionne, et c'est ce que je veux mettre en œuvre, mais pour ce faire, nous devons déconstruire cette Union européenne.
SS: J'ai eu un membre d'un autre groupe pour l'Allemagne ici l'autre jour - il veut diviser la zone euro en Nord et Sud. Pensez-vous que c'est une solution ?
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MP: Non, je pense que c'est utopique. Je pense que nous essayons de coller les plâtres sur une structure qui était défectueux depuis le début. En ce qui concerne l'euro, car il est vraiment à propos de l'euro, ils veulent faire une zone euro du Nord et un du Sud de la zone euro. Mais, dans ce cas, quel est l'avantage pour les pays du Sud de continuer à avoir l'euro imposé ? Il serait mieux si ils rétablir leur monnaie nationale, et d'adapter le niveau de leur monnaie nationale à l'économie pour stimuler la croissance, l'emploi et les exportations. Maintenant, si l'Allemagne veut garder une zone euro-marque autour de leur territoire qui leur appartient. S'ils voient leurs intérêts là-bas, ils sont libres de le faire. Mais nous n'avons aucun intérêt à intégrer une structure «sous-Euro.
RépondreSupprimerSS: Vous avez dit que vous voulez défendre les intérêts français dans l'Union européenne contre l'Allemagne - ce sont les intérêts français que la politique allemande est empiéter sur ?
MP: Que les choses soient claires, je ne suis pas un germanophobe. Cela n'a aucun sens. Je ne peux pas être en colère contre l'Allemagne pour défendre ses intérêts. Je trouve simplement que leurs intérêts sont divergents des nôtres. C'est aussi simple que cela. Je critique les dirigeants français de ne pas défendre les intérêts de la France et de défendre les intérêts de l'Allemagne. Par exemple, dans le cas de l'euro -, nous pouvons voir que l'euro a été créé pour et par l'Allemagne. L'Euro est taillé sur mesure, mais d'une manière qui correspond seules l'Allemagne et pas n'importe quel autre pays de l'Union européenne. Je veux quelque chose sur mesure pour moi, et pour cela, je veux une monnaie nationale. D'autant plus que la monnaie est une partie de la souveraineté. Il, une monnaie, un pays. C'est la façon que 95% des pays dans le monde fonctionne, par la manière. Si demain nous revenons à nos monnaies nationales, les marques allemandes seraient surévalués par rapport à l'Euro. Nos nouveaux francs seraient dévaluées par rapport à l'Euro. Nous serions donc bénéficier, et l'Allemagne serait à perte. Actuellement, l'Allemagne profite de l'euro, car ils ont une monnaie qui est structurellement dévalué, ce qui leur donne un avantage concurrentiel considérable. Donc, cette Union européenne est tombé sous la domination de l'Allemagne depuis l'Allemagne a réussi à imposer son point de vue sur tous les autres pays, et nous nous retrouvons martyrs. Du point de vue de l'économie, de l'emploi, de la société, nous avons subi une perte considérable au cours des dernières années, et je ne vais pas continuer à accepter la souffrance du peuple français pour apaiser Mme Merkel.
SS: Il est évident que vous n'êtes pas un grand fan de la politique d'austérité qui sont en vous affichez ruiner l'Europe. Mais qu'est-ce qui doit être fait pour lutter contre les crises de la dette ?
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MP: Sûrement pas le faire, en tout cas. Parce que les politiques d'austérité qui ont été mises en œuvre ont montré non seulement leur injustice mais leur futilité, leur inefficacité. Le laboratoire de ces politiques d'austérité est la Grèce. Il suffit de regarder la Grèce: nous avons envoyé les Grecs remontent au Moyen-Age, le taux de chômage des jeunes est de 60%, 30% pour le reste de la main-d'œuvre, une baisse de l'indemnisation du chômage, une baisse des salaires, une baisse des primes des fonctionnaires . Ils n'ont plus accès aux soins de santé appropriés, les taux de suicide ont doublé, et il ya eu une augmentation de 50% du taux de mortalité infantile .. Est-ce un progrès ? Est-ce ce que nous avait promis ? C'est une honte, c'est scandaleux ! Et d'ailleurs, il ne réduit pas le déficit ou la dette. Le déficit de la Grèce et ses dettes sont encore en augmentation. C'est pourquoi je dis que les politiques d'austérité sont à la fois inefficace dans la réalisation de leurs objectifs, qui est la réduction du déficit, mais ils sont aussi profondément injuste et presque inhumaine quand on regarde le fait que dans certains hôpitaux en Grèce, où les femmes viennent de donner naissance , ils donnés leur bébé uniquement en échange d'une facture à payer pour leur livraison.
RépondreSupprimerSS: Qui préféreriez-vous voir à la tête de la Commission européenne ?
MP: Je ne m'inquiète pas complètement, ils sont tous interchangeables. C'est une légende pour yuppies et europhiles. Nous leur disons: «Regardez, Juncker !" etc, alors qu'en réalité ils sont tous les mêmes, tout de même ! Le président de la commission est le directeur de la prison, c'est tout. Mais il est là pour veiller à l'application des règles. Donc, quel que soit le directeur est, il appliquera les règles à l'intérieur de la prison. C'est exactement ce que le chef de la commission fait. Ce qui compte est de savoir qui sera le mieux appliquer la politique ultra-libérale, le transfert de souveraineté, les expansions qu'ils veulent imposer aux diverses populations européennes, la signature du traité Trans-Atlantique avec les États-Unis, qui nous contestons formellement et qui nous sera battre bec et ongles.
SS: En cas d'événements en Ukraine - vous avez appelé l'UE un «monstre antidémocratique", qui a fait empirer les choses avec ses offres de partenariat à Kiev. Comment exactement ?
MP: Ecoutez, de toute évidence, lorsque l'Union européenne a fait cette proposition de partenariat à l'Ukraine, ce signifie essentiellement une rupture de leur relation avec la Russie, c'était une sorte de chantage qui ne pouvait alimenter les divisions de l'Ukraine, car nous savons que, dans le pays, il ya des citoyens de l'Est qui regardent vers la Russie et certains en Occident qui regardent vers l'Union européenne. Nous étions bien conscients de cela. Et d'alimenter ces divisions était évidemment de mettre en place les conditions pour un danger de guerre civile. Donc, l'Union européenne a mis le feu initial et depuis lors n'a fait qu'aggraver la situation par les menaces, le chantage et les sanctions, que nous pouvons voir clairement ne contribuent pas à amener tout le monde à la table pour trouver une solution pacifique et raisonnable à ce conflit.
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SS: Vous avez déclaré que l'UE est responsable de la situation en Ukraine - ne jamais savoir de quoi il s'embarquait ?
RépondreSupprimerMP: Par définition, il n'est pas à moi de défendre la compétence de ces organismes. De ne pas savoir ce serait tragique - une telle ignorance géopolitique semble incroyable pour moi. Néanmoins, le résultat est là - l'Union européenne n'a pas joué le rôle qu'elle aurait pu jouer, et il a contribué à aggraver la situation. Ce qui est vraiment dommage, c'est que les pays comme la France n'ont plus de voix diplomatique - car ici est un conflit dans lequel la France, si elle avait gardé une voix politique forte, une voix d'équilibrage comme celle que je veux pour récupérer, il pourrait tout à fait gérer pour surmonter ces difficultés. La diplomatie de l'Union européenne est une catastrophe, et pas seulement en Ukraine - à chaque fois que l'Union européenne participe sur la scène mondiale, il est habituellement soit de créer un problème ou l'aggraver.
SS: Est impose des sanctions à la Russie un signe que la politique étrangère de l'UE est subordonnée aux États-Unis ? Dans quelle mesure l'UE ira avec ceux-là ?
MP: Je ne sais pas, peut-être par la suite l'Union européenne devra faire face à la réalité et arrivé à la conclusion que ce n'est pas à son avantage de se plier à la volonté de l'Amérique. En tout cas, c'est ce que j'espère, parce que ces sanctions ont contribué à renforcer les positions opposées de chacun, ce qui n'a aucun sens. Nous étions tout à fait conscients du fait que la Russie, face à ces sanctions, ne dirait pas: "Oh, eh bien si ça va être comme ça, pas de problème, faites ce que vous voulez". Cela n'a pas de sens. Les sanctions qui ont été imposées, y compris celles qui sont imposées sur les députés russes et même le président de la Douma, qui sont encore plus problématique, sont une rupture dans les traditions historiques sur le plan diplomatique. En général, nous n'avons pas sanctionnons députés parce qu'ils sont l'expression du peuple. Donc, je suis sous l'impression qu'il n'y a pas plus de règles, sauf peut-être celles imposées par les États-Unis, qui défendent une fois de plus leurs propres intérêts, mais leurs intérêts ne sont pas les nôtres.
SS: L'Ukraine peut jamais devenir membre de l'UE ? Pensez-vous qu'elle le devrait ?
MP: Bien sûr que non, évidemment pas ! Une fois de plus - ici, lorsque l'Union européenne a promis de laisser l'Ukraine de devenir une partie de lui, il a clairement contribué à l'exacerbation des tensions au sein de l'Ukraine. Ukraine ne fera pas partie de l'Union européenne. Nous n'allons pas raconter des histoires - Ukraine ne fait absolument pas le niveau économique de faire partie de l'UE. Et, encore une fois, c'est un long chemin vers le bas de la liste. Je suis opposé à toute nouvelle extension, si je dis cela sans jugement que ce soit. Je me sens amitié envers les Ukrainiens, je ne voudrais pas inviter mes amis à la table des cauchemars. Je veux quitter l'Union européenne, je ne peux pas les inviter à rejoindre.
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SS: Le G7 a condamné la Russie pour la situation en Ukraine, a promis des sanctions plus ... Pourquoi les dirigeants occidentaux appellent la Russie et le président Poutine pour mettre fin à la violence, et non le gouvernement à Kiev, le président nouvellement élu, ils ont été réunis avec ?
RépondreSupprimerMP: C'est une bonne question. Parce que nous sommes à l'aboutissement d'une guerre froide qui a été combattu contre la Russie par les États-Unis, à laquelle les capitales européennes ont complètement soumis à un niveau international. C'est aussi simple que cela, et une honte aussi. Et je voudrais saisir cette occasion pour exprimer ma compassion et ma tristesse et mon dégoût de voir ces victimes civiles dans l'Est de l'Ukraine, qui meurent entouré par l'indifférence générale du monde et les médias politique européenne. C'est un véritable scandale qui se passe à notre porte, et vous avez raison de dire qu'à partir du moment Ukraine a un gouvernement légitime, c'est le gouvernement qui doit prendre ses responsabilités. Mais pour cela, il faudrait exiger que le gouvernement ukrainien démanteler et désarmer les milices en titre, qui serait probablement embarrasser un certain nombre de personnes.
SS: Les élections en Ukraine ont été prompts à être accepté par les grandes puissances de l'Ouest - en dépit de la guerre civile qui se passe dans le pays et le fait qu'il n'y avait pas de vote du rebelle Est du pays. Dans le même temps, les élections en Syrie, ont été marqués illégitime avant même qu'ils ont eu lieu. Pourquoi ?
MP: Oui, mais ce qui se passe depuis des années ! Je veux dire, tel ou tel décide qui est du bon côté et qui est sur le mauvais côté. Et cela peut changer à tout moment. Les bons d'aujourd'hui seront les méchants de demain, et peut-être les méchants d'aujourd'hui deviendront bon demain, si Washington décide qu'il est à leur avantage de les rendre bons. C'est une honte, car il ya une quantité importante d'erreurs qui ont été faites au niveau international sous l'influence de Washington, en particulier en Syrie. Nous étions les seuls parmi les partis politiques français pour s'opposer à une intervention en Syrie, les premiers et les seuls qui, dès le début, dit que nous étions armons fondamentalistes islamiques, qui, si elles ne gagnant, mettre en œuvre un régime de terreur comme ils a fait en Libye. Cela a été une fois de plus, à cause de nous. Nous les avons aidés arrivent au pouvoir. C'est la méthode américaine, la méthode américaine internationale: ils défendent leurs intérêts, ou ils pensent qu'ils sont les défendre, car parfois ils font des erreurs graves. Ce qui est terrible, c'est que les pays européens n'ont plus leur mot à dire dans les choses. Il n'y a pas de pays plus souveraine en Europe qui peuvent être la voix de la raison pour le règlement pacifique des conflits, la voix de l'équilibre entre les différents intérêts des différentes nations.
SS: Obama dit que la sécurité des alliés européens de l'Amérique est sacro-sainte, promettant de renforcer les déploiements de militaires américains et des exercices à travers l'Europe. L'Europe a besoin de ce type de soutien ?
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MP: Pour nous défendre contre qui ? [...] Pour nous défendre contre qui ? Eh bien, vous savez que nous sommes de quitter l'OTAN, pour la France sortie de l'OTAN, nous avons une vision gaullienne de la politique internationale ce que doivent être, nous sommes pour le développement de nos relations avec la Russie, sans rompre les liens avec les États-Unis. Nous croyons que la France doit maintenir ses relations avec toutes les grandes nations du monde, et nous ne voulons pas être imposée à une façon de voir les choses par personne. Nous aspirons à la liberté de déterminer la qualité et le niveau de nos relations internationales. Mais ... pour nous défendre contre qui ? Lorsque nous avons posé cette question à un homme politique français, sa réponse a été "la Chine". Il fait presque rire. On voit bien que, comme une question de fait, il s'agit d'une occasion pour les États-Unis pour mener à bien l'intégration militaire, et peut-être demain, l'intégration économique, à étendre la portée de son influence. L'accord de libre-échange que les États-Unis veulent signer à tout prix est vraiment juste une autre façon de lier l'Union européenne, d'une manière quasi-définitive, aux États-Unis. C'est, encore une fois, une perte d'indépendance, pour ne pas mentionner les conséquences catastrophiques que cet accord de libre-échange aurait pour nous en termes d'agriculture, l'industrie, la défense, etc Donc, c'est beaucoup plus un traité géopolitique que purement commerciale ou un traité économique.
RépondreSupprimerSS: Après votre succès - et maintenant? Courir pour le président en 2017 ?
MP: Écoutez, si les adeptes de mon mouvement mettent leur confiance en moi, puisque nous avons un congrès à venir en Novembre, où je vais courir pour être réélu à la tête du Front national. Si je suis réélu à la tête du FN, alors je vais évidemment un candidat pour les futures élections présidentielles, qui peut avoir lieu plus tôt que prévu, les élections législatives soit la présidentielle ou, compte tenu de la très faible niveau de soutien pour le Président de la République, François Hollande.
SS: Vous croyez donc que les élections peuvent avoir lieu plus tôt que prévu ?
MP: C'est ce que les amis de François Hollande disent, qui ont soulevé la question de savoir comment ils peuvent tenir pendant trois ans tout en soutenant de telles pertes dans toutes les élections organisées dans l'intervalle, et avoir juste une cote de popularité de 16% parmi la population française. Je crois fermement à une dissolution anticipée de l'Assemblée nationale. Si les résultats de cette élection législative anticipée donnent les mêmes résultats que l'élection européenne, où le parti politique du Président de la République, qui a tout le pouvoir, l'État, l'Assemblée nationale, le Sénat, les régions, des milliers de municipalités, se sont réunis moins de 14% des voix, alors je ne vois pas comment le Président de la République peut continuer comme ça. En tout cas, la question se pose.
http://rt.com/shows/sophieco/164660-europe-politicans-victims-ukraine/
'Les banques vont répercuter le taux d'intérêt négatif sur les consommateurs'
RépondreSupprimerpar Audrey Duperron
09 juin 2014
Pour la première fois cette semaine, une grande banque centrale a adopté un taux d'intérêt négatif. En effet, la Banque Centrale Européenne (BCE), a réduit le taux d'intérêt directeur de 0% à - 0,1%, pour dissuader les banques de placer leurs liquidités auprès d’elle, et es inciter plutôt à s’en servir pour consentir des prêts aux PME et aux ménages, et favoriser de ce fait la croissance économique. Désormais, les banques qui continueront de placer leur argent dans les livres de la BCE ne recevront plus d'intérêt en rémunération de ces dépôts, et elles devront même payer pour le faire.
Beaucoup voient dans cette mesure la confirmation du caractère fragile de la reprise économique en Europe. Les critiques estiment que cette mesure n’aura qu’un impact très limité sur les crédits des petites entreprises et des familles de la zone euro et de ce fait, sur la croissance économique.
Les banques européennes n’ont pas encore indiqué comment elles allaient réagir, mais pour Neil Irwin du New York Times, il est plus que probable qu’elles vont répercuter ces nouveaux coûts sur leurs clients :
« Les banques vont plus que probablement répercuter ces taux d’intérêt négatifs sur les consommateurs, ou au moins essayer de le aire. Elles pourraient tenter de le faire non pas en leur imposant un taux d’intérêt négatif explicite, mais en ne plus payant plus d’intérêt aux consommateurs, et en leur facturant une commission pour la tenue de compte.
(Par exemple, si vous avez 10.000 euros sur un compte et que la banque commence à prélever une commission de tenue de compte de 25 euros, cela revient à ce que l’on vous impose un taux d’intérêt négatif de -0,25%) »
Aux États-Unis aussi, on peut s’attendre à ce que la banque centrale introduise des taux d’intérêt négatifs, probablement après 2015, affirme l’économiste Martin Armstrong, qui a acquis une renommée mondiale en prédisant le krach boursier de 1987, et en indiquant même précisément sur quelle journée il allait se produire.
Cette fois-ci, il affirme que les banques américaines préparent une salve de nouvelles commissions de comptes qui seront assimilables de facto à des taux négatifs. «Cela profitera probablement au marché boursier », dit-il. Il croit que les banques mettront en cause la Fed, pour se disculper, indiquant que c’est elle qui les aura poussées à le faire.
http://www.express.be/business/fr/economy/les-banques-vont-repercuter-le-taux-dinteret-ngatif-sur-les-consommateurs/205607.htm
Taux d'intérêt négatif : pourquoi payer pour déposer de l'argent plutôt que de le laisser sous votre oreiller ?
RépondreSupprimerlundi, 09 juin 2014 09
Hier, la Banque Centrale Européenne a annoncé, par l'intermédiaire de son président Mario Draghi, de nombreuses mesures afin de combattre la déflation et de relancer la croissance : baisse du taux directeur, mesures non-conventionnelles d'injection de liquidités (targeted longer-term refinancing operations, TLTRO) et ... un taux d'intérêt négatif sur les dépôts à la Banque Centrale. Pour faire simple, cela signifie donc que maintenant, lorsqu'une banque commerciale a un excès de réserve et souhaite mettre cela bien au chaud dans les coffres de la Banque Centrale, elle doit donc désormais payer pour déposer de l'argent ! Mais Captain', cela n'a aucun sens ! Et bien si, et nous allons voir pourquoi il peut être préférable, pour une banque comme pour un individu, de payer pour déposer de l'argent plutôt que de le garder bien au chaud sous son oreiller (et à moins que votre oreiller soit un oreiller magique, avec donc un taux de rendement de votre oreiller égal à 0).
Le taux d'intérêt payé par une Banque Centrale sur les excès de réserve des banques commerciales est ce que l'on appelle le taux de facilité des dépôts. Ce taux est toujours inférieur au taux directeur, qui est le taux auquel les banques commerciales peuvent emprunter lors des opérations standards de refinancement, qui est lui même inférieur à ce que l'on appelle le taux d'intérêt de la facilité de prêt marginal, qui est le taux auquel les banques commerciales peuvent emprunter "overnight" en dehors des opérations standards. Avant la décision de la BCE du 5 juin 2014, le taux de facilité de prêt marginal était de 0,75%, le taux directeur de 0,25% et le taux de facilité des dépôts de 0%. Pour combattre le risque de déflation qui pesait sur la zone euro, la BCE a décidé hier de baisser ses trois taux afin de relancer le crédit (baisse des taux -> moins cher d'emprunter -> hausse de l'investissement). Et quand vous baissez un taux qui est déjà à 0, vous arriver donc à un taux d'intérêt négatif sur la facilité de dépôt.
- voir graphique sur site -
Dans le passé, deux "petites" banques centrales ont déjà adoptées des taux négatifs sur les dépôts : la Riskbank (Banque Centrale de Suède) en juillet 2009 et la Banque Centrale du Danemark en juillet 2012. Il est d'ailleurs possibles de relire de nombreuses présentations et papiers de recherche faites à l'époque par des chercheurs et économistes de la Banque Centrale de Suède sur les implications d'un taux de facilité des dépôts négatifs, permettant de répondre à notre question "Pourquoi payer plutôt que de laisser son argent sous l'oreiller ?" (source : "Monetary Policy and Financial Markets at the Effective Lower Bound")
(suite en dessous:)
Supposons que vous ayez 10.000 euros en cash devant vous, et que le taux d'intérêt sur les dépôts soit négatif. Vous avez alors le choix entre (1) mettre cet argent à la banque et payer des intérêts à la banque, (2) mettre cet argent sous votre oreiller ou (3) prêter cet argent à votre voisin. La solution (1) vous paraît à première vue strictement plus mauvaise que la solution (2). Mais stocker de l'argent dans votre appartement est risqué et/ou coûteux : risqué car vous pouvez vous faire cambrioler et coûteux car vous allez devoir acheter un coffre-fort, blinder votre porte et mettre des alarmes un peu partout... En incluant ces coûts et ces risques, garder de l'argent sous votre oreiller rapporte en réalité déjà un taux d'intérêt négatif. De plus, pour effectuer vos paiements, vous n'avez pas de compte bancaire et donc pas de carte bleue, ce qui rend plus compliqué toutes transactions. Dans cette situation, la mise en place d'un taux négatif sur les dépôts aura donc comme effet, toutes choses égales par ailleurs, de rendre la solution (3) plus avantageuse et pourrait donc vous inciter à prêter cet argent plutôt qu'à le mettre au coffre.
RépondreSupprimerMais pour une banque commerciale, ce n'est pas la même chose ? Et bien finalement si, comme nous l'explique la Banque Centrale Européenne elle-même (source : "Why has the ECB introduced a negative interest rate?"). Traduction :
N'est-il pas possible pour les banques commerciales d'éviter le taux de dépôt négatif ? Par exemple en décidant de garder davantage de cash ?
Si une banque détient plus d'argent que nécessaire pour les réserves obligatoires et si elle n'est pas disposée à prêter à d'autres banques commerciales, elle n'a que deux options: maintenir l'argent sur un compte à la banque centrale ou le maintenir en espèces. Mais la détention de liquidités n'est pas sans frais - simplement car une banque a alors besoin d'installations de stockage très sûr pour entreposer les billets de banque. Il est donc peu probable que n'importe quelle banque fasse ce choix. Le résultat le plus probable est que les banques prêtent de l'argent à d'autres banques ou bien payent le taux de dépôt négatif
Cette explication de la BCE n'est bien évidemment valable que si le taux d'intérêt sur les dépôts est négatif mais très proche de 0, et si les agents anticipent que le taux repasse au-dessus de la barre des 0% dans les mois à venir. C'est actuellement le cas ; le taux de facilité des dépôts est de -0,10% (donc négatif et proche de 0) et il est difficile d'imaginer que le taux de facilité des dépôts reste à ce niveau pour plus d'un à deux ans. Sinon, cela signifie que dans deux ans il n'y a toujours pas de croissance et que nous sommes toujours proche de la déflation, et dans cette situation, le problème principal ne sera pas de savoir si les dépôts rapporte 0% ou -0,10%, mais davantage de savoir comment est-il possible de sortir enfin de cette situation de crise près de 10 ans après le début des subprimes....
(suite en dessous:)
Mais quel impact cette décision de la BCE peut avoir sur le "petit épargnant" ? Bien que rien ne soit certain, il est fort probable que les banques commerciales répercutent cette "taxe sur les dépôts" sur les épargnants, par exemple en baissant le niveau des taux d'intérêts que vous recevez chaque année. Et oui, on ne peut pas à la fois espérer emprunter moins cher et avoir un rendement sur ses dépôts plus élevés.
RépondreSupprimer- voir clip sur site -
Conclusion : Le taux négatif sur les dépôts sera effectif à partir du 11 juin 2014. Il sera donc intéressant de suivre jour après jour l'impact de cette décision sur les montants déposés par les banques commerciales auprès de la BCE (pour suivre cette statistique --> "Liquidity Analysis - Use of the deposit facility - ECB"). Rendez-vous donc dans une semaine afin de voir si cette mesure aura un impact important sur le niveau des dépôts à la BCE. Allez au feeling, le Captain' vote pour diminution légère des dépôts mais sans rupture. Ooooooh sometimes, I get good feeling, yeah !
http://www.objectifeco.com/economie/politiques-economiques/banques-centrales/taux-d-interet-negatif-pourquoi-payer-pour-deposer-de-l-argent-plutot-que-de-le-laisser-sous-votre-oreiller.html
Pékin peur de devenir n ° 1 mondial, dit savant
RépondreSupprimerReporter du personnel
09/06/2014
08:56 (GMT +8)
Malgré les rapports à l'effet contraire, la Chine ne veut pas dépasser les Etats-Unis pour devenir le numéro un superpuissance du monde, selon Kai He, un professeur de science politique adjoint à l'Université d'État de l'Utah aux États-Unis.
Dans un article intitulé "Un conte de trois craintes: Pourquoi la Chine ne veut pas que pour être n ° 1" dans le RSSI commentaires le 2 Juin, il a dit que la Chine devrait être la plus grande économie du monde à la fin de l'année, mais il a peur de la première place pour trois raisons principales.
La première raison est la crainte que le PIB peut provoquer l'inflation de la puissance chinoise. Selon Lui, les dirigeants chinois comprennent que peu importe la taille du PIB ou le PIB en parité de pouvoir d'achat (PPA) est de 1,3 milliard d'habitants de la Chine va diluer son pouvoir réel. Chiffres de la Banque mondiale ont montré que le PIB de la Chine par habitant en 2012 a été classé numéro 91 dans le monde, derrière l'Irak. En termes de PPA, la Chine s'est classée 87, derrière la République dominicaine.
La deuxième crainte concerne les implications politiques qui découlent de l'illusion "Chine-comme-No.1", il dit, ajoutant Pékin ne veut pas tomber dans le piège rhétorique États-Unis et les responsabilités qui suivent. Ke cités de précédents commentaires de Robert Zoellick, alors sous-secrétaire d'Etat, à titre d'exemple. M. Zoellick a proposé une fois que la Chine pourrait jouer le rôle de «partie prenante responsable» dans l'élaboration de l'ordre du jour international en 2005. Dirigeants chinois considérés cette déclaration comme rien d'autre qu'un piège rhétorique de contrôler et de limiter le comportement de la politique étrangère de la Chine, cependant.
Pendant ce temps, la plus grande crainte de la Chine est le nationalisme flambée qui peuvent provenir de l'état de n ° 1 du pays dans l'économie mondiale. Les dirigeants chinois n'ont pas hésité dans leur utilisation de la langue au cours des années, comme "La Chine rêve" le slogan du président Xi Jinping, mais ils comprennent aussi que le nationalisme est à double tranchant, dit-il.
Le savant a ajouté que le nationalisme rampant est dangereux pour Pékin, citant des différends territoriaux récents avec le Vietnam et les Philippines sur la mer de Chine du Sud. Il a dit que de nombreux internautes chinois ont pris sur le web pour critiquer ouvertement sa faiblesse dans la protection des intérêts nationaux dans la mer de Chine du Sud.
C'est peut-être trop tôt pour penser à diriger le monde, mais ce n'est certainement pas trop tôt pour les dirigeants chinois à apprendre quelque chose sur ce que signifie le leadership, dit-il.
Tâche principale d'un leader est de bien gérer son pays. Compte tenu de son énorme population, la plus grande contribution de la Chine au monde à l'heure actuelle pour nourrir sa population et maintenir une société stable, il dit, ajoutant que Pékin devrait signer un code de conduite avec les pays voisins à aller de l'avant avec les différends mer de Chine du Sud.
http://www.wantchinatimes.com/news-subclass-cnt.aspx?id=20140609000011&cid=1101
Russie devrait établir une alliance avec la Chine et l'Iran
RépondreSupprimerReporter du personnel
09/06/2014
14:48 (GMT +8)
Pour affronter les pouvoirs des États-Unis et de l'OTAN après la crise en Ukraine, la Russie devrait créer une alliance avec la Chine et l'Iran, rapporte Huanqiu, le site de tabloïd nationaliste de la Chine Global Times, citant un analyste militaire russe.
Moscou a tenté de renforcer militaires et des liens commerciaux avec Pékin suite à la condamnation et les sanctions de l'Occident sur la participation de la Russie en Ukraine et l'annexion de la Crimée. Si la Russie est en mesure de rechercher un partenariat avec la Chine, l'analyste a dit que le système de sécurité peut être mis en place pour contester l'influence mondiale des Etats-Unis.
Utilisation de l'Organisation de coopération de Shanghai fondé en 2001, par exemple, Huanqiu déclaré que la Russie et la Chine sont capables d'unir les pays asiatiques ensemble dans un nouvel ordre régional. Chine et la Russie ont déjà travaillé ensemble pour lutter contre la criminalité et le terrorisme dans la région de l'Asie centrale par le biais de ce système. Les échanges culturels, technologiques et économiques ont également été menées parmi les six membres de l'Organisation de coopération de Shanghai - la Chine, le Kazakhstan, le Kirghizistan, la Russie, le Tadjikistan et en Ouzbékistan.
Pendant ce temps, la Conférence sur l'interaction et les mesures de confiance en Asie (CICA) est également devenu une autre organisation internationale pour la Chine et la Russie pour former de nouvelles alliances. Toutefois, les pays asiatiques comme le Japon, les Philippines et l'Indonésie ont refusé de rejoindre l'ICCA en raison de l'influence des États-Unis.
Moscou et Pékin devraient utiliser l'ICCA comme un pont pour établir une alliance avec Téhéran que le pays ne peut agir comme un tampon contre l'influence des États-Unis au Moyen-Orient. Selon l'analyste, la politique américaine d'isolement de l'Iran est dangereux pour la stabilité régionale et que par la coopération avec l'Iran, la Russie et la Chine peut être en mesure de rétablir l'ordre en Asie centrale.
Reconnaître comme une puissance régionale, l'analyste dit Huanqiu dit qu'il est possible pour l'Iran de remplacer la Syrie pour devenir principal allié de la Russie au Moyen-Orient. Cependant, la Russie doit se empêcher de devenir impliquée dans le conflit entre l'Iran et d'autres puissances régionales du Moyen-Orient et en Asie centrale. Russie et la Chine sont donc plus susceptibles de fournir économique au lieu d'un soutien militaire à l'Iran.
Les États-Unis s'efforce de prévenir une nouvelle alliance régionale de la formation et il est maintenant temps pour les pays s'opposant à la règle de Washington pour aider l'autre. Ce faisant, les États-Unis sera laissé avec seulement trois alliés et partenaires de la sécurité, qui sont le Japon, la Corée du Sud et Taiwan dans l'Extrême-Orient, Huanqiu dit.
http://www.wantchinatimes.com/news-subclass-cnt.aspx?id=20140609000065&cid=1101
Payez, les intermittents ne vous le rendront pas. Au centuple.
RépondreSupprimerlundi, 09 juin 2014 08:22
L’été approche et avec lui, c’est le retour des barbecues, des longues soirées ensoleillées et les bonnes occasions de profiter de ce temps clément et de ces nombreuses heures lumineuses pour aller goûter à des non-spectacles de plein-air annulés par des groupes d’intermittents improbables venus, comme chaque année ou à peu près, pleurnicher leurs malheurs et la dureté de leur condition.
Et comme à chaque fois où les intermittents se sont mobilisés, des signes avant-coureurs se sont multipliés ces dernières semaines. On se souvient de l’apparition pas assez fugace de nos joyeux drilles au milieu du festival de Cannes qui avaient perturbé les retransmissions de la soirée sur Canal+ et I-Télé, leur permettant ainsi de faire acquérir à leur mouvement une notoriété instantanée, qui, comme la soupe de même calibre, ne nécessite qu’un peu d’eau chaude et quelques petits moulinets de bras pour dégager immédiatement une odeur salée de bouillon bon marché.
Bien évidemment, comme d’habitude, nos intermittents, bien qu’arborant une gueule d’enterrement, n’ont pas le cri sans thème. S’ils viennent ainsi bousculer des festivals, c’est parce que la situation est grave !, qu’il en va de leur avenir !, qu’encore une fois, le patronaââat entend attaquer la Culture et fouler au pied l’Exception Culturelle Fraônçaise, et que ça ne se passer pas comme ça, non, mesdames et messieurs les puissants ! Ils se battront !
Et concrètement, ils s’opposent aussi fermement que possible à la convention entre trois syndicats (CFDT, FO, CFTC) et le Medef validée le 22 mars dernier à laquelle ils reprochent de durcir leurs conditions d’indemnisation, avec l’introduction d’un délai avant de palper l’indemnisation, délai qui concernerait désormais 48% d’entre eux (contre 9% auparavant). En outre, ils dénoncent une négociation « déloyale » qui n’a tenu aucun compte des propositions du Comité de suivi, formé de représentants de la profession et de parlementaires. C’t’un scandale. Et il y a urgence, mes petits amis, parce que le 18 juin, le Conseil national de l’emploi examinera cette convention et si rien n’est fait, outre la mort du petit cheval dans des souffrances homériques, le ministère du Travail risque bien de signer tout ce bazar. ArRgh.
Car voyez-vous, les intermittents se battent ici pour conserver leurs zacquis sociaux, ceux qui leur permettent d’être plus égaux que d’autres. Parce que la culture, c’est différent, et même si tout le reste du monde a réussi a trouver un moyen de la monétiser, en France, No pasaran !, ce n’est pas un bien marchand, et donc tout le monde doit payer. Même et surtout les pauvres qui n’en veulent pas et ne bénéficient pas de ce statut.
(suite en dessous:)
Moyennant quoi, le mouvement s’intensifie comme en témoigne un article du Mondeparticulièrement croquignolet qui nous apprend, entre deux gros sanglots à peine réprimés, la longue liste des festivals et autres représentations théâtrales que les uns et les autres vont, la mort dans l’âme, annuler.
RépondreSupprimerAinsi, on apprend en quelques lignes que Luc Sabot, remonté comme un coucou suisse contre l’infâme convention, ne pourra jouer dans « Marx Matériau », ou que Rodrigo Garcia annule les représentations de « Golgota Picnic ». Rassurez-vous, « Le Capital », mis en scène par Sylvain Creuzevault, reste attendu. Ouf !
Pour information (pas anodine), « Marx Matériau » est une tentative de théâtre à partir des écrits de Karl Marx, « Golgota Picnic » est une pièce présentant un Jésus foupendant qu’un type joue du Haydn au piano, intégralement nu, et « Le Capital » est une mise en scène des écrits de (devinez …) Karl Marx, bien sûr. Entre Marx et une forme plus ou moins subtile d’antichristianisme, l’annulation de ces spectacles privera donc les spectateurs d’un petit tsunami de propagande communiste. J’imagine déjà la déception qui va secouer les dizaines de milliers de spectateurs potentiels de ces œuvres impérissables. Une cellule de soutien psychologique aurait bien été montée, mais elle était animée par des intermittents qui ont aussi posé un préavis.
Voilà qui est plus que regrettable, c’est borderline lacrymal, mais l’idée générale est qu’il va bien falloir, pour se faire entendre, ne pas effectuer le travail qui a été commandé en faisant grève. Pour rappel, le régime des intermittents est extrêmement généreux pour compenser un nombre par nature peu élevé de jours de travail à l’année, l’activité des spectacles étant difficile, cyclique et très concentrée dans le temps. Cette année, ces quelques jours-là seront vraisemblablement occupés par la grève. Le régime est délicieusement souple.
Ce qu’il y a d’intéressant est ici le miroir grossissant des médias qui attachent logiquement une importance toute particulière à ce régime puisqu’en réalité, ils en bénéficient de façon importante, la télévision et la radio en premier lieu. Mais il ne faut pas perdre de vue que ce régime ne concerne en réalité qu’une frange assez modeste, pour ne pas dire rikiki, de la population.
Ce qui rend les déficits générés par ce régime spécifique d’autant plus insupportables, puisque, comme le montrait un rapport de la Cour des Comptes de 2012, confirmé par un autre en 2013, un tiers du déficit de l’assurance chômage est directement dû à la branche en charge des intermittents du spectacle qui ne représentent qu’un petit 3% de l’ensemble des chômeurs.
(suite en dessous:)
À ces déficits déjà joufflus s’ajoute le comportement légal mais clairement abusif des assurés sociaux de ce régime ultra-favorable puisque les Sages de la rue Cambon ont constaté que, je cite :
RépondreSupprimer« les intermittents quittent pour la plupart d’entre eux leur situation de travail quelques jours après avoir effectué le nombre de jours nécessaire pour être titulaires de droits et qu’ils retrouvent souvent une activité au moment où ils ont épuisé leurs droits. »
C’est vraiment commode ! Mais en définitive, ce qu’on observe et ce qui est très justement pointé par Eric Verhaeghe, qui a été président de l’APEC entre 2004 et 2009, dans une tribune parue récemment sur le Figaro, c’est qu’avec ce système, les smicards de tous le pays cotisent pour le festival d’Avignon ou les spectacles intermittents de Montpellier.
Mais nous sommes en France et les avantages de ce régime ne seront jamais remis en question, même lorsque des abus scandaleux sont connus de tous, précisément parce que les bénéficiaires de ce régime ont un pouvoir de nuisance élevé et très visible. Et il est d’abord nuisible pour le pouvoir politique en ce qu’il fait facilement la démonstration de sa grogne, qui risquerait, par ricochet, de cristalliser d’autres grognes, sans mal plus légitimes, que, par leur nombre et leur importance, les politiciens ne sauraient traiter par l’habituel cataplasme de promesses débiles et d’argent des autres dépensés généreusement. Moyennant quoi, nourris de cette lâcheté qui les caractérise depuis 40 ans, les politiciens acceptent tout de ces enfants capricieux, et font passer la France d’un régime de subvention de la culture à la culture de la subvention sans jeûne ni régime.
La réalité est que ce régime n’a aucune assise populaire, et n’a aucune raison d’exister. La fameuse (et surtout fumeuse) exception culturelle française ne justifie en rien cette inégalité criante. Dans un pays exsangue où les classes moyennes et basses sont ponctionnées comme jamais, il est plus que temps que certains se rendent enfin compte que l’égalité dont ils se barbouillent les grasses babines, dont ils se gargarisent du matin au soir, cette égalité devrait effectivement être appliquée et placer tout le monde sous le régime général d’indemnisation du chômage.
Si la culture n’est pas une marchandise, messieurs les intermittents, ne la bradez pas minablement pour vos petits acquis, et ayez la noblesse ou la décence minimale d’appliquer enfin l’égalité en droit : supprimez le régime spécial, rejoignez le rang des honnêtes gens et le régime général. Ça va piquer un peu au début, mais au moins, la prochaine fois que vous pleurnicherez, on vous prendra peut-être au sérieux.
http://www.objectifeco.com/economie/croissance-recession/chomage/payez-les-intermittents-ne-vous-le-rendront-pas-au-centuple.html
Société américaine embauché pour nettoyer Fukushima n ° 1 de l'eau
RépondreSupprimerBloomberg
10 juin 2014
Tokyo Electric Power Co. va utiliser un système de filtration camion afin d'extraire le strontium de l'eau stockée à Fukushima n ° 1 centrale électrique endommagé que l'utilité du mal à surmonter les problèmes techniques avec son eau-de traitement existante.
Tepco a signé un contrat avec kurion Inc. pour éliminer le strontium de plus de 340.000 tonnes d'eau radioactive stockée à l'usine détruit à l'aide du système de filtration mobile, la société américaine a déclaré dans un communiqué publié lundi.
Le système sera utilisé pour améliorer la sécurité du site pendant le test de l'installation de traitement ALPES continue. ALPES est conçu pour éliminer le strontium et 61 autres isotopes de refroidissement et d'autres l'eau contaminée par le contact avec des barres de combustible fondus de la plante. Le strontium a été lié au cancer des os.
"Le strontium est le plus grand émetteur de rayonnement site d'impact débits de dose», fondateur et président Kurion John Raymont a déclaré dans le communiqué. "Donc, la réduction de strontium dans l'eau du réservoir stocké sur place permettra d'améliorer sensiblement la sécurité des travailleurs et réduit le risque de l'environnement."
Deux des trois unités de ALPS, chaque capable de traiter 250 tonnes d'eau par jour, ont été mis hors ligne le mois dernier après des niveaux élevés de calcium ont été trouvés dans l'eau sortant du système. La troisième opération est reprise le 23 mai après deux mois hors ligne en raison de problèmes avec les filtres et les joints détérioration de l'exposition aux rayonnements.
Tepco espère avoir bientôt l'installation pleinement opérationnelle, il a dit dans une déclaration de mai 29. Le système, fabriqué par Toshiba Corp, filtre tous les contaminants restants mais tritium après une unité distincte supprime la plupart des césium.
Kurion prévoit démontrer ses techniques tritium déménagement au Ministère de l'Economie du Commerce et de l'Industrie, qui est impliqué dans l'équipement et de la technologie procurant l'assainissement nucléaire, Raymont a déclaré dans un e-mail.
Le contrat strontium de suppression de kurion oblige à "rapidement" mettre en place un système qui peut traiter 300 tonnes par jour, selon le communiqué de l'entreprise, qui s'attend à filtration pour commencer cet été. L'Autorité de régulation nucléaire doit approuver le système avant qu'il puisse être activé, porte-parole de Tepco Tatsuhiro Yamagishi dit.
Les termes financiers de l'accord ne seront pas divulguées, Raymont dit. Porte-parole de Toshiba Midori Hata n'a fait aucun commentaire sur la décision de Tepco à adopter un système de strontium-filtration séparée de ALPS.
http://www.japantimes.co.jp/news/2014/06/09/national/u-s-firm-hired-to-scrub-fukushima-no-1-water/