Stopper la suppression de l'argent liquide : voici comment y parvenir !
22.10.2024 www.kla.tv/30828
Les méthodes de paiement numériques sont en forte progression dans le monde entier et, malgré leur attachement à l'argent liquide, les Allemands aussi paient de plus en plus souvent sans contact et par smartphone. Parallèlement, utiliser de l'argent liquide est de plus en plus difficile. Son utilisation est limitée pour lutter entre autres contre le blanchiment d'argent et la criminalité. Les banques réduisent également le nombre de distributeurs automatiques de billets et les magasins limitent les paiements en espèces ; et parallèlement, au nom du progrès, de plus en plus de systèmes de paiement numériques sont introduits.
Pourtant, l'argent liquide est essentiel au fonctionnement de notre société ; c’est un élément important du système de paiement. La vulnérabilité des systèmes de paiement purement numériques a été récemment démontrée par une mise à jour défectueuse de Windows. Cela a suffi à paralyser des millions d'ordinateurs dans le monde, et par conséquent des aéroports, des administrations et des banques. En revanche, l'argent liquide garantit un fonctionnement sûr et indépendant du trafic des paiements, même en cas de dysfonctionnement technique ou numérique. De plus, l'argent liquide permet de payer de manière anonyme, protège de la surveillance commerciale et est facilement utilisable par tout un chacun sans aucun obstacle technique. En ce sens, l'argent liquide est aussi une liberté sous forme imprimée. En résumé, on pourrait donc dire que si nous n'avions pas l'argent liquide depuis longtemps, il serait urgent de l’inventer maintenant.
Mais quelles sont les causes de cette tendance unilatérale et si forte à se détourner de l'argent liquide, malgré les dangers évoqués ? Selon le journaliste économique allemand Norbert Häring, cette évolution n'est pas le fruit du hasard. Selon lui, elle est le fruit d'un vaste réseau international au centre duquel se trouvent des organisations telles que la Fondation Bill & Melinda Gates, la Banque mondiale, le FMI et donc la mafia financière mondiale. Celle-ci n'utilise certainement pas son pouvoir pour permettre aux gens de payer de manière simple et pratique ! Comme le montre par exemple l'émission allemande intitulé« Monnaie numérique de la banque centrale - la fin de la liberté ! », [https://www.kla.tv/29968 (pas en français)] ces milieux sont en train de mettre en place de nouveaux systèmes de paiement numériques dans le monde entier. L'argent liquide fait toutefois encore obstacle à cette mise en œuvre.
Mais vous verrez ci-dessous, à travers de nombreux exemples, que les projets de mise en œuvre de systèmes de paiement purement numériques échouent souvent. Parallèlement, les faiblesses de ces systèmes de paiement apparaissent également, par exemple suite à des pannes informatiques. En conséquence, et en raison de l'attitude négative de pans entiers de la population, certains gouvernements ont soudainement changé leur politique en matière d'argent liquide et ont par exemple inscrit dans leur constitution le droit de payer en espèces. En effet, de nombreuses personnes rejettent intuitivement les systèmes de paiement numériques. Ils s'accrochent donc farouchement à l'argent liquide - quel qu'en soit le prix - et finissent par faire échouer un nouveau système de paiement numérique.
Voici maintenant des exemples très encourageants :
1. Les commerces sans caisse ferment par manque de clients
Les supermarchés sans caisse promettent de faire les courses en passant sans attendre à la caisse. Le pionnier de ce système est le géant de la vente en ligne Amazon, qui a déjà fait les gros titres il y a quelques années avec ses magasins sans caisse « Amazon Go ». Ce modèle de paiement fonctionne par vidéosurveillance avec reconnaissance faciale. Chaque mouvement des clients est surveillé par d'innombrables caméras et capteurs. Les systèmes reconnaissent automatiquement les marchandises que l'acheteur prend. La surveillance vidéo relie ensuite l'achat au titulaire du compte et débite automatiquement le montant facturé. D'innombrables données et informations biométriques sont collectées sur chaque client, ce qui le rend non seulement transparent au sens habituel, mais également prévisible. Outre les nombreux problèmes liés à la protection des données que pose cette technologie, il existe également un risque de manipulation individuelle des prix. Par exemple, le prix de la « pizza surgelée » pour les célibataires peut être augmenté le week-end. Mais de toute évidence, de nombreuses personnes voient clair dans ce système et évitent intuitivement ces supermarchés. Comme l'a annoncé Amazon, six magasins de ce type seront fermés par manque de clients. Cela montre comment chacun peut contribuer à mettre un terme à de tels systèmes de surveillance et de numérisation à outrance.
2. Des gouvernements renforcent l'acceptation des paiements en espèces
Contrairement à l'agenda mondial visant à supprimer l'argent liquide, le gouvernement norvégien veut donner des garanties à ceux qui ne veulent pas utiliser les moyens de paiement numériques, afin qu'ils puissent continuer à payer des biens et des services en espèces. Comme un système de paiement entièrement numérique peut également entraîner un blocage complet de l'économie en cas de crise, la ministre de la Justice et de la Sécurité publique, Emilie Enger Mehl, explique : Un paiement entièrement électronique augmente la vulnérabilité de la société. L'argent liquide doit donc rester disponible en cas de crise. Une loi doit donc garantir que tous les biens et services puissent continuer à être payés en espèces. Des efforts similaires ont été faits dans plusieurs pays européens : en Slovaquie, le droit de payer en espèces a été inscrit dans la constitution en 2023. En Italie, malgré l'opposition de la Commission européenne, il a été mis fin à plusieurs mesures anti-espèces et le plafond des paiements en espèces a été relevé de 2 000 à 5 000 € le 1er janvier 2023. En Suède, le gouvernement veut même rétablir par la loi le niveau d'argent liquide de l'année 2017 et l'ancrer de manière contraignante pour l'avenir. Pour la Suède, ancien bastion du « sans espèce », cela représente un énorme revirement de politique monétaire. Cela montre que la lutte contre l'abolition de l'argent liquide est loin d'être perdue et que la situation peut rapidement s'inverser si les gens s'accrochent résolument à l'argent liquide.
3. L'abolition de l'argent liquide au Nigeria est un échec cuisant
Selon le journaliste économique allemand Norbert Häring, le Nigeria est un cobaye idéal pour la fondation Bill & Melinda Gates. Selon Häring, beaucoup de choses sont mises en œuvre et expérimentées au Nigeria pour placer les populations sous une surveillance automatisée totale. C'est ainsi que l'eNaira, la première monnaie numérique de banque centrale d'Afrique, a été introduite en octobre 2021 afin de mettre fin à l'utilisation de l'argent liquide. Mais l'acceptation de l'eNaira par la population a été si faible qu'un an après son introduction, moins de 0,5 % des habitants du Nigeria avaient accepté cette nouvelle monnaie.
Afin de forcer la population à les accepter, Godwin Emefiele, un farouche opposant à l'argent liquide et gouverneur de la banque centrale du Nigeria, a retiré de la circulation une grande partie de l'argent liquide. Il a également introduit des limites de retrait quotidiennes pour l'argent liquide, ce qui a plongé des millions de Nigérians dans une détresse extrême et entraîné une baisse massive du chiffre d'affaires de nombreuses entreprises. Mais la population nigériane est restée ferme, ce qui a fini par faire bouger les tribunaux.
Le 3 mars 2023, la Cour suprême du Nigeria a finalement accepté une plainte contre la politique monétaire de la banque centrale, ce qui a contraint cette dernière à stopper son projet d'abolition de l'argent liquide. Lors des élections suivantes, un nouveau président a été élu, qui a ensuite démis Godwin Emefiele de ses fonctions. Emefiele a été arrêté peu de temps après et est désormais accusé d'abus de pouvoir pour un montant de 4,5 milliards de dollars et de fraude pour un montant de 2,8 milliards de dollars.
Selon l'analyste géopolitique Nick Giambruno, le rejet de l'eNaira était un symbole de la profonde méfiance du peuple nigérian envers les élites dirigeantes. Le succès de leur résistance ciblée est en outre un exemple frappant de l'énorme force qu'un peuple peut déployer lorsqu'il est uni.
Tous ces exemples montrent clairement que rien n'est impossible. Toutes ces évolutions néfastes, y compris la suppression de l'argent liquide, peuvent encore être stoppées ! La clé pour cela est que la population comprenne les plans diaboliques des tireurs de ficelles mondiaux. De là naîtra l'unité dans la résistance, qui doit inévitablement mener à l'échec des machinations malveillantes et aux changements positifs auxquels chacun aspire. Le dévoilement est donc le mot d'ordre actuel ! Seuls ceux qui comprennent les plans diaboliques des tireurs de ficelles en coulisses ne se laissent pas prendre à leurs mensonges. Mettons le temps à profit, car il n'est pas encore trop tard !
de hag. Sources / Liens : Les paiements numériques gagnent du terrain dans le monde entier https://sparkassetogo.de/betrieb-banksteuerung/payment-digitaler-zahlungsverkehr-ist-weltweit-auf-dem-vormarsch
Les banques réduisent les distributeurs automatiques de billets https://www.abendblatt.de/hamburg/wirtschaft/article239598141/Warum-in-Hamburg-immer-mehr-Geldautomaten-verschwinden.html
Le FMI et la Banque mondiale, instruments de la mafia financière https://www.kla.tv/15577 (Eng.) https://www.kla.tv/15589 (Fra.) https://www.kla.tv/13640 (Fra.)
Fermeture de magasins sans caisse https://norberthaering.de/news/amazon-go/
Le covid est parmi nous plus que jamais, mais on ne le comptabilise plus et surtout malheureusement, on ne le soigne toujours pas
le 22 octobre 2024 par pgibertie
Bienheureux sont ceux qui ont un médecin à l’ancienne qui confrontés à une pneumopathie délivrent des antibiotiques contre les complications bactériennes .
Hélas les grosses crèves se multiplient et ne sont pas toujours anodines , covidées ou pas ? difficile de savoir .
Les covidées sont dangereuses pour les plus fragiles si elles ne sont pas soignées et les injections ARNm n’arrangent rien . Le problème, les doses à répétition de protéine Spike vaccinale et virale
Le COVID-19 n’est PAS une GRIPPE ! Le risque de mortalité était 50% + élevé chez les patients atteints de COV19 par rapport aux patients atteints de grippe dans les 12 à 30J suivant l’admission à l’hôpital ! Etude sur 5 899 170 individus au Danemark de mai 2022 à juin 2024
Le risque de mortalité était 50 % plus élevé chez les patients atteints de COVID-19 par rapport aux patients atteints de grippe dans les 12 à 30 jours suivant l’admission à l’hôpital ! (Une étude intéressante sur 5 899 170 individus au Danemark de mai 2022 à juin 2024) https://medrxiv.org/content/10.1101/2024.09.26.24314428v1.full.pdf+html
Cette étude a comparé l’impact de la COVID-19 et de la grippe au Danemark après la pandémie. Elle a révélé que la COVID-19 a provoqué davantage d’hospitalisations et de décès, en particulier au cours de la première année et chez les personnes âgées.
Parmi 5 899 170 personnes, les admissions pour COVID-19 (n = 24 687) étaient plus fréquentes que les admissions pour grippe (n = 8 682 ; aIRR 2,01, IC à 95 % 1,37-2,95), en particulier au cours de la première année (p = 0,01), en été (p < 0,001) et chez les personnes de plus de 65 ans (p < 0,001). Le nombre de décès était également plus élevé (COVID-19, n = 2 393 ; grippe, n = 522).
Parmi les patients, le risque de mortalité de la COVID-19 était plus élevé que celui de la grippe dans les 12 à 30 jours suivant l’admission (0 à 11 jours, aHR 1,08, IC à 95 % 0,94-1,25 ; 12 à 30 jours, aHR 1,50, IC à 95 % 1,21-1,84),
Les autorités savent que le PFIZER et le MODERNA sont défectueux, pourquoi n’ont elles pas pris de décision de retrait ? Nous ne parlons pas ici de l’empoisonnement par la spike
le 22 octobre 2024 par pgibertie
Cependant, une récente étude de prépublication utilisant plusieurs tests de séquençage a révélé des niveaux de contamination de l’ADN dans les vaccins à ARNm bivalent Moderna et Pfizer qui dépassaient les niveaux fixés par l’Agence européenne des médicaments (EMA) et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis
En tous cas on a la preuve que @EMA_News et @FDA discutent du problème au moins depuis octobre 2023.
Kevin McKernan, expert américain en pharmacologie, ingénierie biomédicale et génomique, a découvert le “promoteur SV40” (virus SV40 simien) dans les flacons de Pfizer et Moderna. Il a constaté que les vecteurs d’expression de l’ADN qui composent ces produits contaminent l’ARN dans le flacon, et si cet ADN se trouve dans les produits à des niveaux élevés, ce promoteur (SV40) pourrait s’intégrer dans le génome. L’injection de grandes quantités de promoteurs SV40 est donc préoccupante car, s’il y a intégration dans le génome, il y a un risque de promotion d’une expression génique inappropriée, conduisant à des maladies telles que le cancer et pouvant même être transmise aux générations suivantes.
Explication simple des promoteurs SV40 trouvés dans les vaccins : ce promoteur est un très petit segment du virus SV40 qui initie et améliore la transcription de l’ADN en ARN. Dans le diagramme, c’est en haut que l’ADN modifié d’e.coli est transformé en ARNm de la protéine Spike.
CETTE CONTAMINATION N’EXISTAIT PAS DANS LES PRODUITS SOUMIS A DES ESSAIS(pourtant inquiétants) AVANT AUTORISATION
Christine Cotton rappelle que depuis janvier 2021, il est connu que les vaccins pfizer administrés en vie réelle ne sont pas CEUX DE L’ESSAI CLINIQUE !!ET ILS SONT CONTAMINES
Il est très important que les résistants comprennent ce point. Le produit est défectueux. Ce qu’il contient n’est pas ce qui est annoncé par les industriels. Cela suffit à le faire retirer du marché si tout le monde martèle ça aux tutelles, à la DGS, à l’ANSM et la HAS. Présence d’ADN et SV40 suffisent à faire retirer cette saloperie du marché sans rentrer dans des conflits infinis sur d’autres considérations clivantes.
Il s’agit d’une intention de tromper. Le scientifique en génomique Kevin McKernan passe en revue avec nous le test de contrôle qualité de Pfizer sur un lot de leur vaccin contre la Covid-19. Ce rapport de Pfizer a été publié dans le cadre d’une demande d’accès à l’information. Il nous montre comment Pfizer a manipulé le résultat de l’ARN pour faire paraître la contamination de l’ADN plus petite qu’elle ne l’est, et donc réussir le test requis. « Pfizer disposait déjà du test, la réponse ne leur a pas plu, alors ils sont partis à la recherche d’un autre outil pour contourner la réglementation.
Nous injectons énormément d’ADN dans des milliards de personnes. Une partie de cet ADN peut atteindre les lignées germinales (pensez aux ovules et aux spermatozoïdes). 50 à 100 milliards de LNP dans ces injections. Si 1 % atteint les ovaires, alors on parle de 40 à 400 millions de ces éléments qui atteignent 300 000 ovocytes. Il s’agit d’un déclin radical de l’éthique biomédicale. Pourquoi tolérons-nous cette utilisation expérimentale sur des outils mal caractérisés, mandatés par une protection en matière de responsabilité.
@Kevin_McKernan
Nous passons ici en revue certains des problèmes de sécurité et d’efficacité identifiés à ce jour. Nous discutons également du mécanisme potentiel des événements indésirables observés liés à l’utilisation de ces vaccins et de la question de savoir s’ils peuvent être atténués par des modifications de cette approche du mécanisme vaccinal.
Les composants standard et non standard des vaccins ARNm-LNP COVID-19
Les régulateurs approuvant le déploiement de nouvelles modalités thérapeutiques ou prophylactiques insistent sur des critères stricts de pureté du produit. Cependant, la nouvelle plate-forme de vaccins à ARNm offre des aspects nouveaux, non testés et auparavant non réglementés, des impuretés lors de la fabrication. Les vaccins à ARNm sont constitués d’ARNm codant pour la protéine d’intérêt complexé et protégé par un mélange de différents lipides qui forment des nanoparticules d’environ 100 nm de diamètre ( 1 ). L’ARNm est synthétisé in vitro en utilisant une ARN polymérase provenant d’un plasmide d’ADN dérivé d’E. coli servant de matrice. Idéalement, le plasmide et les autres composants sont éliminés lors de l’étape de purification de l’ARNm ( 2 ). Cependant, une récente étude de prépublication utilisant plusieurs tests de séquençage a révélé des niveaux de contamination de l’ADN dans les vaccins à ARNm bivalent Moderna et Pfizer qui dépassaient les niveaux fixés par l’Agence européenne des médicaments (EMA) et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis ( 3 ). . Reste à savoir si les fragments d’ADN plasmidique contaminants peuvent affecter la santé humaine. De faibles niveaux d’ARN double brin (ARNdb) qui peuvent se former au cours du processus de production et activer des capteurs immunitaires innés et induire une inflammation ( 4 ), ont également été signalés pour les vaccins à ARNm Pfizer et Moderna ( 5 , 6 ). La présence de niveaux physiologiquement pertinents d’ARNdb dans le vaccin Pfizer COVID-19 a également été confirmée expérimentalement, indiquant que les réponses immunitaires adaptatives induites par ce vaccin chez la souris dépendent en partie de la protéine MDA5, un capteur d’ARNdb ( 7 ).
Ainsi, le composant essentiel qui a transformé l’ARNm en un vaccin induisant une réponse immunitaire est le LNP inflammatoire – initialement considéré comme un véhicule de transport/administration inerte pour l’ARNm ( 10 ) – et non les modifications nucléosidiques.
Différents niveaux de contaminants entre les lots de vaccins, outre le stockage, le transport et la manipulation clinique, pourraient expliquer une découverte récente du Danemark selon laquelle différents lots de vaccins Pfizer à ARNm induisaient des niveaux distincts d’événements indésirables. Certains lots n’ont provoqué quasiment aucun effet secondaire, tandis que d’autres ont été associés à une incidence moyenne ou très élevée d’événements indésirables (tous les effets secondaires suspectés, les décès graves et liés) ( 15 ). Il serait important de déterminer comment les mêmes lots de vaccins se sont comportés dans différents pays et dans différents groupes démographiques afin de déterminer si ces résultats peuvent être généralisés. Bien que les contaminants contribuent probablement à la nature inflammatoire de cette plateforme et à l’induction d’événements indésirables, le composant lipidique ionisable des LNP du vaccin à ARNm-LNP est hautement inflammatoire ( 12 ), et comme nous l’avons déjà évoqué ci-dessus, il est essentiel pour la réactogénicité et immunogénicité de cette plateforme ( 12 , 13 ). Ainsi, hypothétiquement, une autre explication potentielle pour les lots distincts déclenchant différents niveaux d’événements indésirables pourrait être que les quantités d’ARNm-LNP ou le rapport ARNm : LNP différaient entre les lots ( 16 ). Pour évaluer différentes possibilités, il serait essentiel de déterminer le niveau de réponses immunitaires adaptatives déclenchées par les différents lots de vaccins et si des restes de vaccins correctement stockés sont encore disponibles pour tester leur présence d’impuretés et les niveaux d’agents thérapeutiques. En résumé, ces résultats mettent en évidence la nécessité d’une évaluation stricte des critères de pureté et des limites admissibles pour cette nouvelle classe de vaccins.
Concernant les hypothèses faites concernant la plateforme ARNm-LNP Différents experts et responsables ont fait plusieurs déclarations publiques fondées sur des hypothèses concernant les vaccins à ARNm-LNP. L’une des plus médiatisées était que l’ARNm du vaccin ne peut pas être transcrit de manière inverse en ADN ; il n’y a donc aucun risque d’insertion dans le génome humain ( 17 – 20 ). L’insertion d’un nouvel ADN dans le génome humain serait très préoccupante si elle se produisait au niveau des cellules souches du système reproducteur. À l’appui de leur affirmation, une version modifiée du dogme central de la biologie moléculaire de Francis Crick ( 21 ) a souvent été citée selon laquelle le flux d’informations dans les cellules eucaryotes est unidirectionnel, de l’ADN à l’ARN en passant par les protéines.
Alors que le flux d’informations dans les cellules eucaryotes, en général, va effectivement de l’ADN à l’ARN puis à la protéine, dans des cas particuliers, l’ARN peut être transcrit de manière inverse en ADN. Ce processus est médié par la transcriptase inverse, des enzymes naturellement associées aux rétrovirus. Cependant, les cellules eucaryotes, y compris les cellules humaines, utilisent des processus de type transcription inverse pour répliquer les télomères et les rétrotransposons ( 22 – 25 ). Avec le vaccin Pfizer ARNm-LNP, il a été démontré expérimentalement que l’ARNm du vaccin peut être soumis à une transcription inverse en ADN dans une lignée cellulaire d’hépatocytes humains immortalisés. L’exposition au vaccin ARNm-LNP est également corrélée à une augmentation des niveaux globaux d’expression du rétrotransposon LINE-1 et à sa localisation dans le noyau ( 26 ). Il a été proposé que les caractéristiques de séquence de l’ARNm des vaccins répondent à toutes les exigences connues pour la rétroposition à l’aide de LINE-1 ( 25 ). Il reste à déterminer si ceux-ci ont une quelconque pertinence in vivo ( 27 ). La localisation de la protéine Spike dans le noyau a déjà été rapportée ( 28 , 29 ).
À l’appui des études révélant la localisation nucléaire de la protéine de pointe, une étude récente en prépublication a rapporté que la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, contrairement à d’autres virus du SRAS, contient un signal de localisation nucléaire (NLS). Le NLS a permis le transport de la protéine de pointe vers le noyau, et il semble que la protéine de pointe ait également transporté l’ARNm de pointe vers le noyau ( 30 ). Une étude a également montré que l’ARN du SRAS-CoV-2 peut être transcrit de manière inverse et intégré dans le génome de cellules humaines en culture,. Étant donné que l’ARNm peut pénétrer dans le noyau, où il peut être soumis à une transcription inverse en ADN, cela augmente son potentiel d’intégration dans le génome. De plus, l’ARNm-LNP se diffuse dans tout le corps et peut s’accumuler à la fois dans les testicules et les ovaires ( 5 , 6 ) et modifierait le cycle menstruel chez les femmes ( 35 , 36 ). Il pourrait donc potentiellement atteindre les cellules souches des organes reproducteurs. Ces résultats soulignent la nécessité de prendre ces données et préoccupations au sérieux et de mener des expériences spécifiques pour y répondre ( 25 ).
Une autre caractéristique souvent vantée de l’ARNm du vaccin est qu’il est dégradé in vivo en quelques heures ou quelques jours, limitant ainsi davantage son potentiel à perturber la biologie cellulaire normale ( 17 – 20 ). Cette hypothèse est probablement apparue dans la mesure où les ARNm non modifiés ont, en général, une demi-vie in vivo courte ( 37 ). Cependant, des biopsies de ganglions lymphatiques humains effectuées à différents moments après l’exposition à l’ARNm-LNP ont révélé des niveaux détectables d’ARNm du vaccin et de protéines de pointe jusqu’à huit semaines ( 38 ). L’ARNm et la protéine de pointe du vaccin circulant ont été détectés dans le plasma quelques semaines à plusieurs mois après la vaccination ( 39 – 42 ). Une récente étude post-mortem a également découvert l’ARNm du vaccin dans les ganglions lymphatiques de la plupart des sujets 30 jours après l’exposition et moins fréquemment dans leur tissu cardiaque, mais pas dans le foie et la rate ( 43 ). Ainsi, à la lumière de ces éléments, nous devons admettre notre compréhension limitée de la manière dont différentes modifications de l’ARNm (modifications 5′ et 3′, utilisation de nucléotides uniques, etc.) affectent sa demi-vie in vivo dans le corps humain car aucune étude spécifique n’a été menée pour aborder ce problème.
Des ribonucléotides modifiés sont couramment incorporés dans les ARNm des vaccins COVID-19 pour diminuer leur réactogénicité innée ( 8 ). Malheureusement, leurs effets sur la fidélité de la traduction de l’ARNm n’ont été définis que récemment. L’incorporation de N 1 -méthylpseudouridine dans l’ARNm a entraîné un changement de cadre ribosomal de +1 in vitro et une immunité cellulaire chez la souris et l’homme vers +1 produits décalés de cadre à partir de la traduction de l’ARNm du vaccin BNT162b2 survenue après la vaccination ( 44 ). La présence de produits décalés et les réponses immunitaires adaptatives associées étaient spécifiques à cette plateforme car elles n’étaient pas détectables avec le vaccin ChAdOx1 nCoV-19 à base d’adénovirus ( 44 ). Reste à savoir si les produits modifiés chevauchent les séquences protéiques endogènes et peuvent contribuer au développement de réponses auto-immunes.
Dans quelle mesure les vaccins à ARNm-LNP sont-ils sûrs et efficaces ? Les vaccins ARNm-LNP COVID-19, sur la base d’une analyse précoce des données des essais cliniques, ont été jugés sûrs et efficaces selon les données démographiques ( 45 , 46 ). Cependant, des études récentes évaluées par des pairs, une grande variété de rapports de cas en constante augmentation et des bases de données d’événements indésirables accessibles au public jettent des doutes sur la sécurité et l’efficacité de ces produits.
Sécurité
Une analyse minutieuse et une réanalyse des données des essais cliniques Pfizer et Moderna dirigées par le Dr Doshi, un expert en essais cliniques, ont révélé un risque excessif d’événements indésirables graves (EIG) particulièrement intéressant avec les vaccins Pfizer et Moderna contre la COVID-19.
Ensemble, il y avait un risque 16 % plus élevé d’EIG chez les receveurs du vaccin à ARNm ( 47 , 48 ). Cela concorde avec une admission récente du ministre allemand de la Santé selon laquelle environ 1 cas de dommages graves/permanents sur 10 000 ( 49 ). Les données du Countermeasures Injury Compensation Program (CICP) montrent que sur un total de 13 406 demandes CICP jamais déposées, 12 854 étaient des demandes de contre-mesures contre le COVID-19, dont 9 682 allèguent des blessures/décès dus aux vaccins COVID-19 ( 50 ).
Rapports de cas évalués par des pairs, y compris, mais sans s’y limiter, des événements inflammatoires/auto-immuns graves de la moelle osseuse ( 51 – 55 ), du foie ( 56 – 58 ), de la peau ( 59 – 64 ), cardiovasculaires ( 65 – 77 ), musculo-squelettiques ( 76 , 78 , 79 ), endocriniens ( 80 – 84 ) et nerveux ( 66 , 84 – 87 ), etc. qui ont parfois été mortels, ont augmenté régulièrement. Cependant, l’incidence des EIG est difficile à évaluer sur la base du seul nombre de ces rapports ( 88 ). Pour compléter les données des rapports de cas, nous avons effectué une analyse limitée des données accessibles au public du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), cogéré par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et la FDA ( 89 ). Selon le VAERS, tous les rapports de décès et certains événements graves présentant un intérêt font l’objet d’une enquête ( 89 ). Les analyses reflètent les divers effets indésirables de ces traitements rapportés dans la littérature et pourraient fournir des informations sur l’incidence (Figure 1). Par rapport à tous les autres vaccins non liés à la COVID-19 combinés, l’incidence des événements indésirables est bien plus élevée pour les vaccins contre la COVID-19 à base d’ARNm-LNP par million de doses administrées (Figure 1A). Les décès et les EIG surviennent également souvent peu de temps après l’injection (Figure 1B), ce qui rend plus probable qu’il s’agisse d’une conséquence du vaccin et non d’un simple événement aléatoire. Néanmoins, il est essentiel de souligner qu’on ne peut établir un lien de causalité simplement en examinant les rapports du VAERS. La relation causale entre le vaccin à ARNm-LNP et les EIG n’a été officiellement reconnue que par les agences de réglementation pour les péricardites et les myocardites touchant principalement les jeunes hommes ( 90 ). Alors que la plupart des patients symptomatiques pourraient être de jeunes hommes, des tests physiologiques in vivo récents , tels que l’absorption du glucose cardiaque, ont montré une augmentation de 40 % du nombre de patients vaccinés asymptomatiques, quels que soient leur sexe et leurs données démographiques ( 91 ), suggérant potentiellement un impact beaucoup plus large. Ces résultats sont également étayés par une étude post-mortem, dans laquelle une autopsie a révélé une inflammation cardiaque et la présence d’ARN vaccinal ( 43 ). Il reste à déterminer si l’augmentation des crises cardiaques et des décès chez les jeunes ( 92 , 93 ) pourrait être liée à ces vaccins.
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Les vaccins à ARNm contre la COVID-19 sont associés à une incidence plus élevée d’événements indésirables par rapport aux autres vaccins. (UN) .
Efficacité
L’efficacité de ces traitements pour prévenir les infections et limiter la propagation du virus a été fortement érodée par rapport aux premiers rapports ( 94 ), et aujourd’hui, leur efficacité se limite principalement à potentiellement réduire la gravité de la maladie et la mortalité chez les personnes sensibles ( 95 ). L’inflammation excessive provoquée par une réaction excessive du système immunitaire (tempête de cytokines) est l’une des caractéristiques pathologiques majeures chez les patients atteints de COVID-19 sévère ( 96 ). Ainsi, hypothétiquement, si l’exposition au vaccin à ARNm-LNP conduit à une réponse inflammatoire systémique atténuée, cela pourrait expliquer pourquoi la vaccination a également réduit la gravité de la maladie dans le cas des variantes delta et omicron, auquel cas les anticorps induits par les vaccins d’origine étaient non ( 97 ), ou peu neutralisant ( 98 ). À l’appui de cette hypothèse, le groupe du Dr Netea a signalé une réactivité transcriptionnelle atténuée des cellules immunitaires et une diminution des réponses à l’interféron de type I chez les individus vaccinés à une stimulation virale secondaire ( 97 ), tandis que notre groupe a décrit l’inhibition des réponses immunitaires adaptatives et l’altération de la forme immunitaire innée. chez les souris avec cette plateforme ( 99 ). L’environnement immunotolérant induit par ces vaccins est en outre étayé par des études récentes qui ont découvert une corrélation entre un nombre accru de doses antérieures de vaccin à ARNm et un risque plus élevé d’attraper le COVID-19 ( 100 – 102 ). Ainsi, ces données suggèrent que l’efficacité de ces vaccins pour réduire la gravité de la maladie et la mortalité pourrait résider dans leurs caractéristiques immunosuppressives jusqu’alors inconnues. Ces résultats soulignent en outre la nécessité de mener des études précliniques rigoureuses pour limiter les conséquences inattendues potentielles des nouvelles plateformes.
Événements indésirables associés à l’ARNm-LNP – à la fois inflammatoires et inhibiteurs Les EIG signalés avec la plateforme ARNm-LNP sont très divers. Les EIG sont probablement causés par la combinaison des composants du vaccin ARNm-LNP ( 103 ) et potentiellement par la toxicité directe et l’action biologique de la protéine de pointe elle-même ( 104 – 108 ). Ici, nous nous concentrerons sur les EIG probablement médiés par le système immunitaire. Les EIG peuvent être divisés en catégories inflammatoires et anergiques/inhibiteurs d’un point de vue immunologique. Les effets secondaires inflammatoires comprennent des réactogénicités aiguës (fièvre, maux de tête, fatigue, myalgie et arthralgie, frissons, etc.) ( 45 , 46 ), un CARPA inflammatoire/auto-immun à médiation anti-PEG ( 109 ) et d’autres événements connexes impliquant l’activation du systèmes immunitaires innés et adaptatifs. Les effets secondaires anergiques, c’est-à-dire la suppression immunitaire, sont présentés comme une réactivation du virus où des virus comme le virus varicelle-zona (VZV) ( 110 , 111 ) et le virus de l’hépatite C ( 112 ) réapparaissent après l’injection du vaccin à ARNm COVID-19. En outre, il a également été signalé qu’ils augmenteraient probablement les risques de sensibilité aux infections ( 100 , 101 , 113 ) et potentiellement de perturbation de l’immunosurveillance du cancer ( 114 – 117 ). Comment une plateforme peut-elle à la fois activer et supprimer les réponses immunitaires ?
Réponses inflammatoires
Comme indiqué ci-dessus, la nature inflammatoire de ce traitement est liée au composant lipidique ionisable des LNP ( 12 ), qui, en effet, pourrait encore être accentué par des contaminants pro-inflammatoires potentiels, tels que l’ARNdb ( 7 ). Les réponses de réactogénicité aiguë observées avec ces produits thérapeutiques, telles que fièvre, maux de tête, fatigue, myalgie, arthralgie, frissons, etc., sont probablement déclenchées par la libération d’une variété de quantités élevées de cytokines inflammatoires innées, telles que l’IL-1β, l’IL. -6, GM-CSF et interféron de type I ( 7 , 12 ) lors de l’exposition. Cet environnement inflammatoire induit par ce traitement et le fait que l’ARNm-LNP a des effets additifs avec d’autres agents inflammatoires, tels que le LPS ( 118 ), pourraient potentiellement favoriser les poussées de maladies auto-immunes préexistantes et/ou créer des conditions propices au développement de nouvelles réponses auto-immunes. chez les personnes sensibles. Étant donné que l’ARNm-LNP se diffuse dans tout le corps ( 6 , 10 , 41 , 42 ) et que les LNP peuvent délivrer l’ARNm dans n’importe quel type de cellule et permettre sa traduction, il est raisonnable d’envisager une traduction hors cible de la protéine d’intérêt dans non-APC, qui pourraient alors être attaqués par les réponses immunitaires adaptatives spécifiques à l’antigène ( 103 ). Par conséquent, la destruction des cellules exprimant des protéines de pointe ou des protéines décalées par le système immunitaire dans tout le corps pourrait être responsable de certains des EIG signalés avec cette plateforme, tels que le bras COVID, la péri/myocardite et les réponses inflammatoires affectant le cerveau. , foie, moelle osseuse, etc.
L’observation selon laquelle la protection contre l’infection par l’omicron diminuait progressivement au fil des mois après le rappel et du septième mois et par la suite, l’incidence de l’infection était plus élevée chez les personnes ayant reçu le rappel que chez celles ayant reçu uniquement la série primaire ( 119 ), et l’incidence du COVID-19 augmente avec le nombre d’injections ( 100 – 102 ) et l’immunoréactivité diminue ( 97 ), et les virus peuvent se réactiver ( 110 , 112 ), et les patients atteints de cancer rechutent ou un nouveau cancer se développe ( 114 – 117 , 120 ), semble indiquer que l’exposition au La plateforme ARNm-LNP met des personnes ou certaines personnes dans un état semi-immunodéficient/immunosupprimé. Dans le même ordre d’idées, des études sur des souris ont montré que même une exposition unique à l’ARNm-LNP ou au LNP peut inhiber les réponses immunitaires adaptatives et modifier la forme immunitaire innée de manière héréditaire ( 99 ). Même si une exposition unique a diminué la susceptibilité à une infection grippale ultérieure, les souris sont devenues nettement moins résistantes à une infection systémique à levures. Si l’augmentation de l’incidence des sepsis ( 121 ), nosocomiales ( 113 , 122 ) et de certaines infections fongiques ( 123 – 126 ) est liée à la vaste exposition à la plateforme ARNm-LNP ou au COVID-19 et/ou à d’autres maladies liées à une pandémie. Il reste encore des mesures à prendre.
Les lipides ionisables des LNP sont synthétiques et on estime qu’ils ont une demi-vie in vivo de 20 à 30 jours ( 5 ). Ainsi, l’exposition à ces vaccins peut entraîner un niveau élevé d’inflammation précoce suivi d’un niveau faible et durable d’inflammation chronique. L’inflammation chronique peut entraîner une non-réactivité et une anergie du système immunitaire ( 127 ), contribuant ainsi potentiellement à une partie de la réactivation virale et à une susceptibilité accrue aux infections signalées en association avec cette plateforme. En outre, comme présenté ci-dessus, les preuves suggèrent que contrairement aux attentes, l’ARNm de pointe peut également rester intact pendant des mois après la vaccination par ARNm, permettant ainsi l’expression à long terme de la protéine de pointe. Cela est en corrélation avec la présence de centres germinaux qui durent des mois. Une stimulation continue avec des antigènes peut conduire à des réponses aberrantes des lymphocytes T et B. Une exposition continue à l’antigène pourrait favoriser le passage d’un isotype à l’IgG4 récemment observé chez environ la moitié des individus recevant trois doses d’un vaccin à ARNm, mais pas par des vaccins à adénovirus ( 128 , 129 ). Une exposition antérieure à une infection naturelle par le SRAS-CoV-2 a empêché les vaccins à ARNm d’induire une commutation des IgG4 ( 130 ), ce qui indique que l’amorçage initial du système immunitaire imprime et détermine l’immunité humorale ultérieure. L’IgG4 est généralement considérée comme anti-inflammatoire et connue pour faciliter mal l’opsonisation, la fixation du complément et la toxicité cellulaire dépendante des anticorps. Néanmoins, il peut également être pathogène dans le cas de la maladie auto-immune pemphigus vulgaris et de certaines formes de myasthénie grave ( 131 ). Les maladies liées aux IgG4 semblent également présenter un risque plus élevé de cancer global ( 132 ). L’induction de cellules B productrices d’IgG4 repose sur l’aide d’un sous-ensemble de cellules T folliculaires auxiliaires (Tfh) caractérisées par la production de quantités élevées d’IL-10 ( 133 ). Ces cellules Tfh productrices d’IL-10 sont générées en présence d’une stimulation antigénique continue et ont été identifiées pour la première fois dans une infection virale chronique ( 133 ), et se sont ensuite révélées présentes dans des maladies humaines liées aux IgG4 ( 134 ). Il reste à déterminer si la plate-forme ARNm-LNP induit ce type unique de cellules Tfh et la pertinence in vivo du passage observé à l’isotype IgG4 avec la plate-forme ARNm-LNP ( 135 ).
Notre laboratoire a récemment proposé un autre mécanisme complémentaire potentiel à la suppression immunitaire ( 99 ). On pense que l’activation et la différenciation des cellules T en cellules effectrices reposent sur trois signaux reçus des cellules présentatrices d’antigènes (APC), telles que les cellules dendritiques (DC). Le premier signal est sous forme de peptide-CMH, le deuxième signal est une co-stimulation liée à la membrane et le troisième signal est sous forme de cytokines solubles. Si les lymphocytes T reçoivent le troisième signal avant le premier, on parle de stimulation hors séquence, ce qui peut entraîner la mort des lymphocytes T ou les rendre anergiques et insensibles ( 136 , 137 ). L’exposition à l’ARNm-LNP ou au LNP entraîne une libération rapide de cytokines inflammatoires ( 12 ), y compris des interférons de type I ( 7 ), connus pour induire une stimulation hors séquence, ce qui expose probablement les cellules immunitaires adaptatives, y compris les cellules T. , à un environnement inflammatoire avant que l’ARNm ne soit traduit en protéine et présenté sur les CD. Ainsi, avec une forte probabilité, l’un des défauts potentiels de la plateforme ARNm-LNP, contrairement aux vaccins de la vieille école où la présentation de l’antigène et l’inflammation coïncident, est qu’elle expose les cellules immunitaires adaptatives à une stimulation hors séquence, qui pourrait s’aggraver en cas d’exposition ultérieure. Pour apporter des preuves expérimentales qu’une stimulation hors séquence pourrait exister avec la plate-forme ARNm-LNP, nous avons transféré des cellules T CD4 naïves marquées de manière congénique Eα-spécifiques dans des souris WT B6, puis nous avons exposé les souris à l’ARNm-LNP ou au LNP ou au PBS. . Deux semaines plus tard, certaines souris n’ont pas été traitées tandis que d’autres ont été immunisées avec l’antigène Eα pour déclencher la prolifération des cellules T transférées. Quatre jours plus tard, l’analyse des ganglions lymphatiques drainant la peau a révélé une diminution d’environ dix fois du nombre de lymphocytes T transférés de manière adoptive chez les animaux exposés à l’ARNm-LNP ou au LNP, quel que soit leur statut vaccinal ( 99 ). Ainsi, ces données suggèrent que l’environnement inflammatoire créé par les LNP est préjudiciable aux cellules T naïves. Dans une autre série d’expériences, nous avons comparé l’effet de l’ARNm-LNP et du LNP à l’IFNα, ou à des facteurs induisant une inflammation ou une infection grippale, sur la survie de cellules T CD4 naïves transférées de manière adoptive. Semblable à l’ARNm-LNP et au LNP, nous avons constaté une diminution du nombre de précurseurs de lymphocytes T si nous traitions les souris avec de l’interféron de type I (IFNα et poly (I:C) (déclenche la sécrétion d’interféron de type I) (Figure 2). La dose élevée de LPS a conduit à un phénotype intermédiaire, tandis que l’exposition sublétale à la grippe n’a eu aucun effet significatif sur les cellules T CD4 transférées de manière adoptive (Figure 2).
L’effet n’était pas limité aux cellules TEα puisque les cellules T OT-II CD4 répondaient de la même manière (données non présentées). Il reste à déterminer si les cellules T endogènes sont affectées de la même manière. Notamment, les changements observés étaient probablement systémiques puisque les organes de drainage direct, les ganglions lymphatiques drainant la peau et la rate distante présentaient des tendances similaires. Ces données concordent avec nos découvertes précédentes selon lesquelles l’exposition à l’ARNm-LNP ou au LNP conduit à une inhibition systémique des réponses immunitaires adaptatives ( 99 ). Tous les traitements utilisés, à l’exception de l’exposition à la grippe, ont entraîné une diminution significative du nombre de lymphocytes T naïfs transférés. L’absence d’effet avec la grippe n’était pas due à une absence d’infection puisque les souris exposées au virus ont perdu beaucoup de poids (données non présentées). L’exposition au LPS, bien qu’à un degré inférieur, a également réduit le nombre de lymphocytes T naïfs. Il reste à déterminer si l’effet dans ce cas a été médié par d’autres cytokines que l’interféron de type I ou par induction indirecte de l’interféron de type I, ou si l’effet pourrait être limité à la dose élevée de LPS que nous avons utilisée. Dans l’ensemble, ces données soutiennent l’existence potentielle d’une stimulation hors séquence médiée par l’interféron de type I avec la plateforme ARNm-LNP. Cependant, d’autres études seront nécessaires pour identifier les détails mécanistiques de l’inhibition et déterminer si ces données sont transposables à l’homme.
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Figure 2
L’exposition à l’ARNm-LNP et à d’autres réactifs producteurs d’IFN de type I peut induire une stimulation hors séquence. Conception expérimentale. Les souris ont été transférées de manière adoptive avec des cellules TEα par la veine de la queue un jour avant l’exposition à différents types de réactifs inflammatoires par les voies indiquées. Deux semaines plus tard, des ganglions lymphatiques et des rates drainants et non drainants ont été prélevés pour la détection des cellules TEα par cytométrie en flux. Graphiques de flux représentatifs montrant les cellules TEα (CD4+CD90.1+, isolées de la population CD3+ vivante) de différents organes dans chaque condition de traitement, et le diagramme à barres résumé correspondant (en bas). Les données ont été regroupées à partir d’au moins deux expériences indépendantes. Chaque point représente une souris. Le niveau relatif de cellules TEα a été normalisé par rapport au groupe PBS. Les comparaisons entre le groupe PBS et les groupes de traitement ont été effectuées par un test ANOVA unidirectionnel.
Plusieurs effets secondaires graves ont été rapportés avec la plateforme ARNm-LNP, qui, pour préserver la santé humaine, doivent être soigneusement étudiés et traités avant une utilisation ultérieure. Nous pensons que rendre le lipide ionisable biodégradable, réduisant ainsi sa demi-vie in vivo , pourrait potentiellement résoudre ou limiter la présence d’une inflammation chronique, préjudiciable aux réponses immunitaires adaptatives. Dans le même ordre d’idées, la demi-vie de l’ARNm doit également être soigneusement ajustée pour éviter une stimulation antigénique chronique des cellules T et B. Il faut définir si le composant lipidique ionisable des LNP, similaire au LPS ( 138 , 139 ), peut favoriser la tolérance innée lors d’expositions multiples. Lors de la conception de vaccins, en particulier de rappels ciblant de nouveaux variants potentiels, il convient de prendre en compte l’immunologie de base sur la manière dont la dose d’antigène, les anticorps préexistants et le péché antigénique originel ( 140 ) pourraient affecter le résultat. La stimulation hors séquence avec la plateforme ARNm-LNP pourrait être diminuée en utilisant une conception « intelligente » qui déclencherait l’inflammation seulement après que l’antigène ait été traduit à partir de l’ARNm et qu’il soit prêt à être présenté à la surface des APC. La formulation actuelle des LNP les fait s’accumuler dans des organes spécifiques plus que dans d’autres, une caractéristique qui persistera quelle que soit la charge d’ARN. Ainsi, pour réduire le risque d’induire des réponses auto-immunes et de tuer les cellules du soi, l’ARNm-LNP devrait être ciblé sur les CD afin de limiter l’expression des antigènes aux seules APC ( 103 ). La génération de produits décalés en raison de l’utilisation de nucléotides spécifiques non standard devrait être corrigée comme proposé ( 44 ). Pour apaiser les inquiétudes des gens concernant la sécurité de l’ARNm, des études devraient être menées chez les PSN et les humains sur la demi-vie in vivo des ARNm et sur l’existence d’ une transcription in vivo dans l’ADN et d’une éventuelle insertion génomique. Enfin, étant donné que des données réelles ont révélé de graves lacunes potentielles dans le contrôle qualité, une surveillance plus stricte des sociétés pharmaceutiques par des responsables de la santé indépendants est souhaitable et devrait être mise en œuvre sans délai.
Plusieurs questions fondamentales persistent concernant les mesures liées à la pandémie et l’adoption de cette nouvelle plateforme vaccinale. Plutôt que de prôner la rétractation et la censure ( 141 ), il est crucial de favoriser un dialogue ouvert, prenant en compte toutes les perspectives et employant la logique et le raisonnement pour une meilleure préparation future. Même si certains, malgré les préoccupations présentées ci-dessus ou discutées ailleurs ( 142 , 143 ), soutiendraient probablement que les mesures étaient justifiables, citant des vies sauvées, la robustesse des données à l’appui soulève d’importantes questions. Les estimations reposant sur une modélisation mathématique ( 144 ) nécessitent un examen minutieux, notamment en ce qui concerne la qualité des données d’entrée. Par exemple, le fait de s’appuyer sur les statistiques officielles du nombre de morts et de ne pas tenir compte des variations démographiques du taux de mortalité par infection virale (IFR ; probabilité de décès si vous êtes infecté) soulève des questions sur l’exactitude des chiffres rapportés. Pourquoi les statistiques officielles incluent-elles à la fois les personnes décédées du COVID-19 et celles qui en sont mortes ? Pourquoi le CDC estime-t-il les hospitalisations et les décès associés à la grippe pour la population adulte, arguant qu’il ne peut pas être déterminé avec précision ( 145 ), mais peut nous donner des chiffres exacts pour le COVID-19 ? Les données IFR ( 146 , 147 ) confirment-elles les chiffres officiels du nombre de morts ?
La vaccination de masse sans précédent avec un vaccin qui protège de manière minimale contre l’infection et la propagation du virus ( 94 ) pendant une pandémie suscite des réflexions critiques : était-ce une stratégie judicieuse ? L’immunité collective était-elle une attente réaliste ? Cette stratégie a-t-elle par inadvertance accéléré les mutations du virus, et une concentration plus ciblée sur les populations vulnérables aurait-elle pu donner de meilleurs résultats ? ( 148 – 156 ) La décision d’opter pour la plateforme ARNm-LNP par rapport aux méthodes traditionnelles nécessite un examen minutieux, compte tenu à la fois de ses avantages (vitesse de production, facilité de mise à jour) et de ses limites (brevets, contraintes de production, prix abordable, inconnues à court et à long terme). effets secondaires à terme). Pourquoi se concentrer sur une seule protéine virale présentant un taux de mutation élevé ? La fonctionnalité de mise à jour facile des vaccins était-elle essentielle pour lutter contre les variantes ? Pourquoi les connaissances de base en immunologie sur la façon dont la dose d’antigène, les rappels répétés, les anticorps préexistants, le péché antigénique, etc. affectent le système immunitaire ont-elles été pour la plupart ignorées pendant la pandémie ?
Au milieu d’un ensemble commun de connaissances scientifiques, les décisions divergentes de pays comme la Suède, qui ont choisi de ne pas recommander la vaccination pour des groupes d’âge spécifiques ( 157 ), ont maintenu les écoles ouvertes et ont signalé qu’aucun enfant atteint du COVID-19 n’est décédé ( 158 , 159 ), soulignent le nécessité d’une compréhension plus approfondie des diverses perspectives. Pourquoi censurer la « Déclaration de Great Barrington » ( 160 ) qui prônait un modèle similaire à celui de la Suède, mettant l’accent sur la protection des personnes vulnérables ? ( 161 ) Cette liste d’enquêtes en cours met en évidence la complexité nuancée de ces questions, appelant à un examen approfondi.
De nombreuses discussions ont porté sur l’impact de scientifiques influents qui préconisent des mesures drastiques pour lutter contre l’hésitation à la vaccination et l’érosion de la confiance du public, compromettant potentiellement la liberté académique par la censure et l’intimidation. Cependant, pendant la pandémie, des mesures telles que faire taire les voix dissidentes, associées à des décisions politiques souvent fondées sur des hypothèses plutôt que sur des données expérimentales solides, ont pu, par inadvertance, miner à la fois la science et la confiance du public. Pour rétablir la confiance, il est crucial de revenir aux principes fondamentaux de la recherche scientifique. Les scientifiques devraient adopter leur formation et s’engager à remettre en question chaque affirmation, quelle qu’en soit la source. Cette approche protège contre la pensée de groupe et la mentalité de troupeau. Une analyse rigoureuse de toutes les données disponibles en faisant appel à une pensée critique et à un jugement raisonné, non affecté par des conflits d’intérêts, est essentielle pour formuler une perspective complète. Communiquer de manière transparente et honnête avec la société est tout aussi vital. Conscients des incertitudes inhérentes à la biologie, nos représentants devraient transmettre à la fois ce qui est connu et ce qui reste incertain. La science est intrinsèquement dynamique, en perpétuelle évolution à mesure que de nouvelles connaissances émergent. Il est impératif de souligner que rien en biologie n’est absolu et que la poursuite des connaissances exige un questionnement et une exploration continus. En adhérant à ces principes, nous pouvons favoriser une confiance renouvelée dans le processus scientifique et dans sa capacité de croissance et de perfectionnement.
Bill Gates finance de nouveaux vaccins corona accessibles dans le monde entier
23 octobre 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
La Fondation Bill et Melinda Gates finance des programmes de recherche préclinique et des essais pour le nouveau « vaccin conjugué » expérimental contre le Corona. La Fondation Gates et le fabricant du vaccin, Inventprise Inc., affirment que la technologie de conjugaison peut être produite de manière beaucoup plus économique que les vaccins à ARNm.
Ils se vantent que les nouveaux clichés seront « accessibles dans le monde entier » et pourront être fabriqués rapidement dans une « usine de fabrication à grande échelle hautement automatisée ». À ce jour, la seule étude vantant le prétendu succès de la plateforme technologique de conjugaison vient de la Fondation Gates et d’Inventprise Inc.
Les vaccins à ARNm, qui ont fait l’objet d’une forte promotion au début et pendant la pandémie, présentaient des problèmes de durée de conservation et nécessitaient de les conserver à des températures très basses.
De plus, il a été démontré que les injections expérimentales présentent des risques bien plus élevés en termes d’événements indésirables que le virus qu’elles sont conçues pour combattre.
Gates, un investisseur majeur dans BioNTech, a plaidé en faveur de vaccins capables de bloquer la transmission et de prévenir l’infection, connus sous le nom d’« immunité stérile ». Cependant, les préparations d’ARNm injectées dans le haut du bras ne peuvent pas le faire. Gates a même qualifié la variante Omicron de vaccin, reconnaissant ainsi que l’infection crée une immunité stérile, contrairement à la vaccination. De toute façon, le nouveau vaccin ne peut pas faire cela, mais il est censé être efficace contre les variantes.
Inventprise, basée à Redmond, dans l'État de Washington, a financé, comme Microsoft, une étude sur le nouveau « vaccin conjugué ». Sans surprise, les auteurs de l’étude se sont montrés positifs à l’égard des nouveaux vaccins.
Les vaccins conjugués sont des vaccins dans lesquels l'antigène est lié à une molécule porteuse protéique. Ce couplage peut renforcer la réaction immunitaire. Les vaccins conjugués comportent plusieurs composants, mais ne contiennent généralement qu'un seul antigène et doivent donc être distingués des vaccins combinés, qui contiennent plusieurs antigènes.
Les chercheurs impliqués dans l'étude étaient affiliés soit à Inventprise, basé à Redmond, soit au Conseil national de recherches du Canada.
Dans l’ étude de Melanie Carroll et al, publiée dans SSRN, intitulée « Sars-Cov-2 Conjugate Vaccine Elicits Robust Immune Responses that Can Protect Against Evolving Variants
L'étude a été dirigée par Ivan A. Olave , docteur en biochimie formé à Rutgers. Olave est également vice-président des vaccins viraux chez Inventprise, Inc.
Dans la publication de l’étude, qui n’a pas encore été évaluée par des pairs, les chercheurs affirment :
« Dans l’ensemble, cela démontre un vaccin offrant une protection croisée remarquablement large et le potentiel de protéger sur une période plus longue malgré les mutations, sans avoir besoin de rappels coûteux ou d’ajustements antigéniques.
« Ces techniques peuvent également être appliquées aux nouvelles souches du SRAS-Cov-2 et à d’autres virus, soulignant les avantages de la conjugaison protéine-protéine.
« De tels vaccins pourraient être produits dans notre installation de production à grande échelle hautement automatisée, permettant une production économique de vaccins efficaces et à faible coût pour les zones qui en ont de grands besoins.
Cependant, ils n’expliquent pas pourquoi il pourrait y avoir un besoin urgent d’un nouveau vaccin contre le coronavirus.
Dons politiques de Gates En plus de financer des vaccins expérimentaux, Bill Gates a discrètement fait don de 50 millions de dollars à une organisation à but non lucratif soutenant la candidature présidentielle de la vice-présidente Kamala Harris, rapporte le New York Times , citant trois sources.
Bien que Gates n’ait pas publiquement soutenu Harris, son don important est allé à Future Forward, un groupe « d’argent noir » qui soutient sa campagne. Les fonds doivent rester anonymes, indique le rapport.
"Le don de M. Gates est allé spécifiquement à la branche à but non lucratif de Future Forward, Future Forward USA Action, qui, en tant qu'organisation 501(c)(4) "d'argent noir", ne divulgue pas ses donateurs, selon les personnes informées du sujet. . Par conséquent, aucun don de M. Gates n’apparaîtra jamais dans les archives publiques », ont précisé les médias.
Selon le New York Times, Gates a fait part de ses inquiétudes lors de conversations privées avec des amis et d'autres personnes cette année concernant l'impact potentiel d'une seconde présidence de Donald Trump sur les programmes mondiaux de santé et de planification familiale, a déclaré le New York Times, citant des sources proches du dossier de Gates. les pensées sont familières.
Pourquoi l’EMA retient-elle les documents divulgués comme un secret d’État ?
23 octobre 2024 par le Dr. Silvia Behrendt
L'Agence européenne des médicaments (EMA) a jusqu'à présent refusé de manière constante et systématique de mettre à la disposition du public dans une base de données les documents qu'elle devait divulguer aux citoyens de l'UE intéressés conformément au règlement sur la transparence 1049/01. L'EMA a même refusé de publier simplement une liste d'informations sur le nombre et les documents délivrés au cours d'une certaine période. Même une plainte déposée à ce sujet auprès du Médiateur européen contre cette compréhension non transparente des tâches de l'EMA n'a pas abouti.
Ce problème était particulièrement évident dans l'initiative PSUR4doctors ( a rapporté TKP ). L’EMA a inutilement fait attendre pendant des mois les 130 médecins qui ont demandé des données essentielles de pharmacovigilance pour les vaccins anti-Covid, alors qu’ils les avaient divulgués depuis longtemps. Lorsqu’on lui a demandé quels documents étaient des « rééditions », l’EMA n’a pas fourni de réponse, malgré l’intervention du Médiateur européen contre cette compréhension non transparente du bureau. Selon la jurisprudence des tribunaux européens, les documents de l'UE distribués dans le cadre du règlement sur la transparence de l'UE sont ouverts à l'ensemble du public et ne nécessitent plus de vérification fastidieuse des droits des tiers, mais doivent être divulgués dans les 14 jours. Cependant, cela n’est pas encore contrôlé.
Et comme l’EMA est la seule à posséder des informations sur qui, quand et quels documents ont été divulgués, ses actions administratives restent opaques et échappent à tout contrôle. D'après les connaissances de l'Agence pour la sécurité sanitaire mondiale, l'EMA ne respecte généralement pas les délais lors de la divulgation d'informations en raison de délais d'attente excessivement longs et aime noircir les documents en faveur des intérêts pharmaceutiques et ne révèle pas s'il s'agit d'une nouvelle demande ou d'un document qui a déjà été divulgué.
La question se pose maintenant de savoir pourquoi l'EMA - contrairement à la Commission européenne qui, entre autres, à la suite d'une plainte du Médiateur européen, a créé une base de données avec les documents publiés ( EASE Portal ) et a amélioré ses actions administratives à cet égard - traite les informations sur les documents divulgués comme un secret d'État défendu ?
Toute personne intéressée peut désormais rechercher elle-même cette question. Une demande explicite de l'Agence pour la responsabilité sanitaire mondiale a permis de vaincre la politique de confidentialité de l'EMA. En vertu du règlement sur la transparence lui-même, l’autorité de l’UE a été contrainte par l’agence de divulguer des informations sur les divulgations en vertu de cette base juridique de 2020 à mars 2024. La seule et dernière opportunité pour les citoyens d'exiger des informations contraignantes de la part des autorités de l'UE et ainsi d'exercer un contrôle sur les institutions européennes et de découvrir les abus de pouvoir.
La liste maintenant soumise par l’EMA révèle que moins de demandes que prévu de la part des citoyens européens concernés concernant les vaccins anti-Covid pour 2020-2024 ont été formulées par rapport à ce que prétendait l’EMA. La plupart des publications sur les vaccins Covid concernent l'initiative PSUR4doctors ( TKP publie les données en permanence ).
De nombreux documents divulgués contiennent également des données essentielles sur la sécurité des médicaments qui pourraient intéresser un public plus large. L'aide du public est donc nécessaire pour contraindre à nouveau l'EMA à rendre disponibles sur Internet les documents divulgués conformément à la liste. D’autres institutions européennes peuvent également le faire.
Chaque citoyen de l'UE est autorisé à demander jusqu'à 2 documents de cette liste de manière informelle en utilisant un formulaire en ligne , en indiquant que le document a déjà été publié. Dans l'intérêt de la sécurité des médicaments, la politique de secret de l'EMA doit cesser et ses actions administratives doivent être plus étroitement surveillées.
Prochaines étapes pour l'interdiction de l'ARNm en Australie
23 octobre 2024 de Thomas Oysmüller
La contamination par l'ADN des traitements à ARNm Covid de Pfizer et Moderna pourrait conduire à une interdiction des injections en Australie.
Plus de 4 100 agents municipaux australiens ont été informés d’une contamination excessive de l’ADN dans les flacons Pfizer et Moderna Covid. Cela faisait suite à une première proposition mondiale – et acceptée – d’un conseiller de Port Hedland. TKP en a fait état. La proposition pourrait conduire à une interdiction de l’ARNm en Australie.
Cela nécessite que les problèmes urgents de sécurité liés aux vaccins à ARNm soient pris en compte. C'est pourquoi le conseiller municipal de Port Hedland, Camilo Blanco, a envoyé un e-mail à 4 100 hommes politiques locaux australiens. Dans ce document, les hommes politiques sont invités à lire le rapport du virologue Dr. David Speicher ( a rapporté TKP ) devrait être pris en compte. Cela montre que la contamination résiduelle par l’ADN synthétique dans les flacons australiens d’ARN modifié (mod-RNA) est jusqu’à 145 fois supérieure à la limite autorisée par les autorités réglementaires.
La journaliste australienne Rebekkah Barnett rapporte les développements ultérieurs :
Les conseillers ont également reçu des copies de lettres envoyées au Premier ministre par le député indépendant de Monash Russell Broadbent appelant à la suspension immédiate des vaccins Pfizer et Moderna en raison d'une contamination par l'ADN.
La dernière lettre, cosignée par 52 éminents scientifiques et universitaires, prévient que la contamination de l’ADN présente un « risque important » pour l’intégration génomique et des effets à long terme sur la santé, notamment le cancer.
Dans une déclaration vidéo publiée aujourd'hui sur les réseaux sociaux, Broadbent a félicité le conseil municipal de Port Hedland, un port minier majeur, d'avoir été le premier à se joindre à ses efforts pour une enquête réglementaire sur le problème de contamination.
"Port Hedland, connue comme la salle des machines de l'Australie, a un grand cœur et des gens forts", a déclaré Broadbent.
« Les déclarations publiques des membres de la communauté qui ont souffert de maladies graves, de cancers soudains et de décès inattendus ont été vraiment déchirantes. »
« Ces membres de la communauté exigent des réponses – des réponses que tous les Australiens méritent. »
Quelques jours après l'adoption de la motion, les conseillers de Port Hedland m'ont dit qu'ils recevaient des appels de conseillers enthousiastes de toute l'Australie exprimant leur intérêt à présenter une motion similaire dans leurs propres communautés.
Dr. Julie Sladden, médecin et conseillère municipale de West Tamar en Tasmanie, a déclaré que le problème "très important" de la contamination de l'ADN dans les seringues Mod-RNA devrait préoccuper les conseillers.
"Les conseils ne sont pas seulement responsables des frais et des déchets, comme cela a été décrit dans les médias à la suite de la demande du conseil municipal de Port Hedland", a déclaré le Dr. Sladden, faisant référence aux reportages des médias qui se moquaient du conseil municipal de Port Hedland pour s'être saisi de la question.
« Les conseils ont un mandat qui inclut les questions environnementales et sanitaires et, dans de nombreux cas, comme notre conseil, ils gèrent des programmes de vaccination.
« Si nous avions un problème de qualité de l'eau, un problème de sécurité routière ou tout autre problème menaçant la sécurité de notre communauté, nous écrivions aux autorités compétentes.
Dr. Sladden, qui travaille comme conseillère auprès de Broadbent et a écrit sur la question de la contamination de l'ADN pour le Spectator et le Brownstone Institute , a déclaré qu'elle avait été personnellement approchée par des membres de la communauté qui ont exprimé leurs inquiétudes concernant les vaccins à ARN mod apportés.
"Il n'est pas nécessaire de chercher très loin pour constater que la santé des Australiens ne va pas bien en ce moment", a déclaré le Dr. Sladden.
« Il s’agit vraiment d’obtenir des réponses aux questions qui ont été soulevées. »
Cibler la connexion mitochondrie-cellule souche dans le traitement du cancer : un protocole orthomoléculaire hybride
Baghli I, et al. aimsib.org mar., 22 oct. 2024 16:58 UTC
Nous publions cette semaine avec un vif plaisir un travail international réellement passionnant mené par le chercheur Pierrick Martinez et qui a réuni de nombreux scientifiques de premier plan dont l'un de nos membres depuis 2018, le Dr Paul Bousquet (*). Quel protocole anticancer innovant pourrait être mis au point en recherchant un rapport efficacité / tolérance réellement révolutionnaire ? Hélas, cette thérapeutique ne prônerait que des molécules médicamenteuses sans brevet, de la vitamine C injectée en intra-veineuse interdite en France, du sport, etc... Rien qui pourrait susciter le moindre espoir de gain boursier pour quiconque, mais bien de la vie supplémentaire sans souffrance pour nos malades atteints de maladies cancéreuses. Ainsi va la vie de la science indépendante, bonne lecture.
Résumé
La théorie de la connexion mitochondrie-cellule souche (MSCC) suggère que le cancer prend naissance à partir d'une insuffisance chronique de phosphorylation oxydative (OxPhos) dans les cellules souches. Cette insuffisance d'OxPhos conduit à la formation de cellules souches cancéreuses (CSCs) et à un métabolisme énergétique anormal, aboutissant finalement à la malignité. Ce concept intègre deux théories bien établies : la théorie des cellules souches cancéreuses et la théorie métabolique. S'appuyant sur des connaissances en biologie moléculaire, en pharmacologie et sur des études cliniques, ce manuscrit présente un protocole orthomoléculaire hybride ciblant la MSCC. Le protocole inclut 7 recommandations thérapeutiques, composées d'orthomolécules, de médicaments et de thérapies supplémentaires. L'objectif de ce protocole orthomoléculaire hybride est de produire des effets additifs et synergiques pour améliorer l'OxPhos, inhiber les principaux carburants des cellules cancéreuses (glucose et glutamine), cibler les CSCs et les métastases. Ainsi, de nombreuses expériences suggèrent que cibler la MSCC pourrait constituer une approche thérapeutique potentielle pour le traitement du cancer.
De nombreuses théories existent sur l'origine du cancer, notamment la théorie métabolique (Seyfried & Chinopoulos, 2021), la théorie des mutations somatiques (SMT) (Hanahan & Weinberg, 2000), la théorie des cellules souches cancéreuses (Capp, 2019), et la théorie de l'organisation des tissus (Soto & Sonnenschein, 2011). Une étude récemment publiée a introduit un nouveau concept, la connexion mitochondrie-cellule souche (MSCC) (Martinez et al., 2024). Ce concept combine la théorie des cellules souches cancéreuses et la théorie métabolique. La théorie MSCC suggère que le cancer provient d'une altération de la phosphorylation oxydative (OxPhos) dans une ou plusieurs cellules souches, ce qui peut potentiellement conduire à la formation de cellules souches cancéreuses (CSCs) et, par conséquent, à la tumorigénèse. Cette connexion entre les CSCs et les mitochondries semble être cruciale à tous les stades du cancer (Martinez et al., 2024). La MSCC s'aligne sur la théorie métabolique du cancer mais met spécifiquement l'accent sur le rôle crucial des CSCs à chaque stade de la maladie. Cependant, la MSCC diffère de la théorie des CSCs, qui présente généralement le cancer comme une maladie génétique. Ainsi, de nombreuses thérapies anticancéreuses standard sont basées sur la SMT et ciblent généralement l'ADN des cellules cancéreuses (van den Boogaard et al., 2022 ; Sia et al., 2020). Ces thérapies ne restaurent pas l'OxPhos et l'altèrent parfois même (Averbeck & Rodriguez-Lafrasse, 2021 ; Gorini et al., 2018). De plus, les thérapies standards ne ciblent que les cellules en masse et ne peuvent pas cibler les CSCs (Lytle et al., 2018), alors que ce sont les CSCs qui ont le plus fort potentiel tumorigène (Adams & Strasser, 2008) et qui sont impliquées dans les métastases. Ces informations pourraient expliquer en partie les résultats observés avec les nouvelles thérapies anticancéreuses. En effet, Ladanie et al. ont montré que, ces quinze dernières années, les nouvelles thérapies ont conduit à une amélioration de la survie globale de 2,4 mois (Ladanie et al., 2020), tandis que Del Paggio et al. ont rapporté une amélioration de 3,4 mois au cours des trente dernières années (Del Paggio et al., 2021).
Ainsi, après avoir passé en revue la littérature sur diverses thérapies capables de cibler la MSCC, nous avons sélectionné, sur la base d'études in vitro et in vivo, plusieurs orthomolécules, médicaments et thérapies supplémentaires qui ont démontré leur capacité à améliorer l'OxPhos, à réduire les carburants fermentescibles et à cibler les CSCs et les métastases. De plus, lorsque cela est étayé par la littérature scientifique, nous avons inclus des études de cas de guérisons par monothérapie chez l'humain. À partir de cette combinaison, nous avons développé un protocole orthomoléculaire hybride, qui est proposé comme une nouvelle stratégie thérapeutique pour le cancer.
Une altération de l'OxPhos peut initier la tumorigénèse dans une ou plusieurs cellules souches normales, conduisant à la formation de CSCs (Martinez et al., 2024). Le degré de malignité pourrait être directement corrélé à une diminution significative des mitochondries et de la capacité respiratoire totale dans les cellules tumorales (Elliott et al., 2012; Pedersen, 1978; Seyfried et al., 2020). Pour croître et survivre, les cellules cancéreuses ont besoin des principaux carburants que sont le glucose et la glutamine pour compenser l'insuffisance d'OxPhos. L'altération respiratoire entraîne une surexpression des oncogènes et une inactivation des gènes suppresseurs de tumeurs, qui contribuent au métabolisme énergétique anormal du cancer. À ce jour, aucune preuve n'a démontré la croissance de cellules tumorales, y compris les CSCs, en l'absence de carburants fermentescibles (glucose, pyruvate ou glutamine) (Lee et al., 2024 ; Liao et al., 2017 ; Holm et al., 1995 ; Mathews et al., 2014 ; Pastò et al., 2014). Le microenvironnement tumoral (conséquence de l'altération mitochondriale) est caractérisé par un pH bas (acide), une hypoxie, de l'entropie, de la pression et de la déformation, une température accrue, un stroma, une rotation altérée de l'eau cytoplasmique et une bioélectricité ou un champ électromagnétique atténué (Martinez et al., 2024). Les métastases restent la principale cause de mortalité par cancer. Selon la MSCC, elle survient en raison de la fusion hybridée entre les CSCs et les macrophages (Martinez et al., 2024 ; Seyfried & Huysentruyt, 2013). Ces principes sont applicables à tous les types de cancer.
Médecine orthomoléculaire pour cibler la connexion mitochondrie-cellule souche (MSCC)
Les propriétés anticancéreuses de la vitamine C sont connues depuis plus de 50 ans (Mussa et al., 2022). La vitamine C démontre des effets cytotoxiques sur les cellules cancéreuses in vitro et in vivo (Fan et al., 2023). In vitro, la vitamine C seule est plus efficace que la chimiothérapie (cisplatine) pour induire l'apoptose dans les cellules cancéreuses du côlon (Wang et al., 2016). In vivo, la vitamine C réduit significativement le poids de la tumeur et le nombre de métastases dans le cancer du pancréas, tandis que la chimiothérapie standard (gemcitabine) augmente ces paramètres (Polireddy et al., 2017). Dans le carcinome hépatocellulaire in vivo, la vitamine C réduit les cellules souches cancéreuses (CSC) et le volume tumoral, alors que la thérapie conventionnelle (cisplatine) réduit le volume tumoral mais augmente les CSCs (Lv et al., 2018). La vitamine C peut directement pénétrer l'environnement intracellulaire de la tumeur, réduire le stress oxydatif, cibler les mitochondries des cellules cancéreuses et induire la mort des cellules cancéreuses, y compris des métastases (Roa et al., 2020 ; Wan et al., 2021). L'environnement intracellulaire alcalin des cellules cancéreuses, avec un pH compris entre 7,1 et 7,7, favorise la prolifération des cellules cancéreuses (Cardone et al., 2005 ; Gillies et al., 2002). La vitamine C, par son pH acide, pourrait désactiver ces adaptations environnementales, ce qui aurait des effets anticancéreux en compromettant la croissance tumorale et en inhibant la progression de la tumeur (Persi et al., 2018). Elle peut augmenter la production d'ATP en améliorant le flux électronique mitochondrial, rétablissant ainsi la respiration cellulaire et la fonction apoptotique (Gonzalez et al., 2010 ; Gonzalez et al., 2023).
La vitamine C peut cibler et éradiquer les CSCs (Bonuccelli et al., 2017 ; Lee, 2023 ; Satheesh et al., 2020) et protéger contre l'hypoxie et l'inflammation (Luo et al., 2022). Elle peut induire l'apoptose dans les cellules cancéreuses résistantes aux médicaments, inhiber la prolifération incontrôlée des cellules cancéreuses et la propagation métastatique (Butt et al., 2020). De plus, la vitamine C peut provoquer la polarisation des macrophages M2 en macrophages M1, ce qui pourrait être particulièrement pertinent pour inhiber la propagation des métastases, car les macrophages M2 sont impliqués dans ces dernières (Ma et al., 2022). De fortes doses intraveineuses de vitamine C ont montré qu'elles pouvaient tuer les cellules cancéreuses sans affecter les cellules normales (Chen et al., 2005 ; Chen et al., 2008 ; Ngo et al., 2019). Par exemple, des doses élevées de vitamine C intraveineuse peuvent induire la mort cellulaire apoptotique dans les lignées cellulaires tumorales via un mécanisme pro-oxydant (Gonzalez et al., 2010 ; Kc et al., 2005 ; Mussa et al., 2022).
Dans les cellules normales, la vitamine C pénètre dans les mitochondries sous sa forme oxydée via les récepteurs du glucose (Glut1) et protège les mitochondries contre les lésions oxydatives (Kc et al., 2005). Ainsi, la vitamine C peut directement entrer en compétition avec le glucose pour pénétrer dans les cellules via les récepteurs de glucose.
La glycolyse et la glutaminolyse jouent un rôle majeur dans le métabolisme des cellules cancéreuses. La vitamine C a la capacité d'inhiber la glycolyse (Aguilera et al., 2016 ; Park et al., 2018 ; Yu et al., 2023) et la synthèse du glutamate (Zeng et al., 2022). Elle peut spécifiquement limiter la synthèse de la glutamine en inhibant la glutamine synthétase (GS), ce qui entraîne une diminution du glutathion et une augmentation des espèces réactives de l'oxygène (ROS), conduisant ainsi à la mort cellulaire (Long et al., 2021). L'inhibition de GS peut inverser le phénotype des macrophages M2 et favoriser la polarisation des macrophages M1, réduisant ainsi les niveaux intracellulaires de glutamine et éliminant les métastases (Wei et al., 2020). Ceci explique la dépendance à la glutamine observée dans les cancers avancés (Seyfried et al., 2020) et confirme le rôle de la vitamine C dans les cancers métastatiques.
Les pionniers du traitement du cancer par la vitamine C intraveineuse, Cameron et Pauling, ont observé une amélioration des temps de survie pour de nombreux types de cancer (poumon, estomac, côlon, sein, rein, rectum, et vessie). Ils ont observé des temps de survie multipliés par 55 après 1 an chez les patients atteints de cancer en phase terminale, traités par des injections intraveineuses d'ascorbate : 22 % dans le groupe traité et 0,4 % dans le groupe témoin, pour des patients considérés incurables après traitement standard. Leur intervention consistait en une injection intraveineuse de 10 g/jour pendant environ 10 jours, puis un traitement oral (Cameron & Pauling, 1978). La Mayo Clinic a tenté de reproduire ces résultats, mais la vitamine C intraveineuse a été remplacée par de la vitamine C orale, ce qui explique l'échec de la reproduction des résultats (Moertel et al., 1985). Les concentrations plasmatiques, et donc les effets de la vitamine C, sont bien plus faibles avec la supplémentation orale (Mikirova, 2017). Plusieurs études de cas ont été publiées par l'équipe de la clinique Riordan et leurs collaborateurs, rapportant des régressions tumorales chez des patients ayant reçu de la vitamine C intraveineuse (Riordan et al., 2000 ; Riordan et al., 2004 ; Sebastian et al., 2006). De plus, Li et ses collègues ont montré que la prise régulière de vitamines antioxydantes (vitamines A, C et E) pouvait réduire la mortalité par cancer (Li et al., 2012). Cependant, l'action antioxydante de la vitamine C devrait être principalement utilisée dans la prévention du cancer (Deruelle & Baron, 2008), car les antioxydants peuvent parfois favoriser la croissance tumorale (Long et al., 2021).
La vitamine D a montré des effets anticancéreux in vitro et in vivo pour presque tous les types de cancer (Chakraborti, 2011 ; Seraphin et al., 2023). Comme la vitamine C, elle cible les mitochondries en améliorant le métabolisme et en régulant la respiration mitochondriale (Matta Reddy et al., 2022 ; Quigley et al., 2022). La vitamine D peut également cibler les CSCs et les métastases (Marigoudar et al., 2022 ; Wu et al., 2019), et inhiber les voies de la glycolyse et de la glutaminolyse (Sheeley et al., 2022 ; Zhou et al., 2016). Il a été observé qu'une supplémentation quotidienne en vitamine D peut réduire la mortalité globale liée au cancer, mais cela n'a pas été observé avec des doses de charge importantes administrées moins fréquemment (Keum et al., 2022). Les patients atteints de cancer sont souvent carencés en vitamine D et peuvent bénéficier d'une thérapie efficace avec un risque minimal (Hohaus et al., 2018), y compris par voie intraveineuse (Dressler et al., 1995 ; Fakih et al., 2007 ; Trump, 2018). Un rapport de cas détaille un patient âgé atteint d'un cancer du pancréas avancé qui ne pouvait pas subir de chimiothérapie, de radiothérapie ou de chirurgie. À la place, le patient a reçu une dose quotidienne de 50 000 UI de vitamine D3 pendant 9 mois et a connu une période prolongée sans progression de la maladie, bien au-delà de ce qui aurait été attendu avec une chimiothérapie conventionnelle (Cannon et al., 2016).
Chandler et ses collègues ont montré un effet préventif de la supplémentation en vitamine D chez des patients avec un indice de masse corporelle (IMC) normal, démontrant une réduction de 37 % de l'incidence des cancers métastatiques (24 cancers dans le groupe vitamine D contre 39 dans le groupe placebo) et une réduction de 42 % de la mortalité par cancer (38 personnes dans le groupe vitamine D contre 68 dans le groupe placebo). La dose utilisée était de 2 000 UI/jour, la dose quotidienne recommandée pour un individu en bonne santé (Chandler et al., 2020). Une récente étude contrôlée randomisée sur la supplémentation en vitamine D (2000 UI/j de vitamine D3 contre un placebo) a révélé que les patients atteints de cancer gastro-intestinal, réactifs au p53, ont connu une réduction significative des récidives ou de la mortalité associée à la supplémentation en vitamine D sur une période de près de six ans de suivi (Kanno et al., 2023). Des méta-analyses d'études observationnelles portant sur au moins 12 types de cancers différents ont rapporté des corrélations inverses entre les niveaux sériques de 25-hydroxyvitamine D [25(OH)D] et l'incidence du cancer (Muñoz & Grant, 2022).
La supplémentation en zinc a été recommandée comme traitement adjuvant possible pour le cancer (Costello & Franklin, 2017 ; Hoppe et al., 2021). Le zinc protège spécifiquement les mitochondries des dommages causés par les espèces réactives de l'oxygène générées comme sous-produits de la respiration mitochondriale (Zhang et al., 2018). Il a été démontré que la supplémentation en zinc induit le transport du pyruvate mitochondrial, la phosphorylation oxydative et la production d'ATP à la fois dans des conditions normales et dans un stress oxydatif toxique in vitro (Yang et al., 2017). Dans les cellules cancéreuses ovariennes humaines, le zinc induit la dégradation des mitochondries et restaure l'apoptose, en particulier s'il est introduit avec des ionophores de zinc (Chen et al., 2020). Le zinc peut supprimer les propriétés de type cellules souches cancéreuses dans les cancers oraux et du sein in vitro (Chu et al., 2023 ; Xu et al., 2022), réduire l'expression des marqueurs de cancérogénicité et améliorer la sensibilité à la chimiothérapie dans les cellules du cancer colorectal (Ye et al., 2022). Un excès de zinc peut bloquer de manière irréversible la production d'énergie des cellules cancéreuses, entraîner une perte de NAD+ et inhiber la glycolyse cellulaire (Wu et al., 2022).
Un total de 151 publications confirme le lien entre la carence en zinc et la malignité (Sugimoto et al., 2024). La carence en zinc est impliquée dans de nombreux cancers, y compris ceux de l'œsophage, du foie, du poumon, du sein, du côlon, et d'autres encore (Lu et al., 2006 ; Tamai et al., 2020 ; Wang Y. et al., 2019 ; Wu et al., 2015). Le zinc montre une toxicité envers les cellules cancéreuses sans présenter d'effets secondaires sur les cellules saines, et sa carence est corrélée négativement avec les taux de survie (Gelbard, 2022 ; Sugimoto et al., 2024). Comme la vitamine C, le zinc pourrait avoir un effet pro-oxydant spécifique sur les cellules cancéreuses (Aljohar et al., 2022).
Médicaments potentiels pour cibler la connexion mitochondrie-cellule souche cancéreuse (MSCC)
Plusieurs agents pharmaceutiques peuvent cibler principalement les voies génétiques associées aux cellules souches cancéreuses (CSC), notamment le Vismodegib, le Glasdegib, le MK-0752, l'OMP-54F28 et le Selinexor (Zhou et al., 2021). D'autres agents pharmaceutiques ont été proposés pour cibler les mitochondries, tels que la Metformine pour l'OxPhos (Ward et al., 2017 ; Zheng et al., 2023), la Doxycycline, la Tigécycline et la Bedaquiline pour la biogenèse mitochondriale ; le médicament Mdivi-1 pour la dynamique mitochondriale ; et le liposome 188Re et l'inhibiteur liensinine pour bloquer la mitophagie (Jagust et al., 2019 ; Praharaj et al., 2022). La plupart du temps, ces agents ne restaurent pas l'homéostasie mitochondriale (Liu Y. et al., 2023), car leurs actions spécifiques altèrent ou ne rétablissent que partiellement les dysfonctionnements. L'altération de la fonction mitochondriale avec des agents pharmaceutiques doit être envisagée avec prudence, car cela peut être très dangereux pour les cellules saines (Vuda & Kamath, 2016).
Médicaments réorientés (hors AMM) pour cibler la MSCC
Un antiparasitaire dérivé d'une bactérie appelée Streptomyces avermitilis, l'Ivermectine possède des propriétés anticancéreuses et induit l'autophagie et l'apoptose des cellules cancéreuses (Liu et al., 2020). L'Ivermectine a montré un impact significatif sur diverses lignées cellulaires cancéreuses (Juarez et al., 2020), induisant l'apoptose des cellules cancéreuses in vivo (Sharmeen et al., 2010) et réduisant significativement le volume tumoral par rapport à un contrôle (Juarez et al., 2020). Elle induit l'apoptose des cellules cancéreuses par médiation mitochondriale (Juarez et al., 2018 ; Tang et al., 2021). L'Ivermectine peut cibler et réguler les isoformes de la pyruvate kinase musculaire lors de la dernière étape de la glycolyse (Li et al., 2020). Elle peut inhiber la glycolyse en induisant l'autophagie (Feng et al., 2022) et avoir un effet pro-oxydant sélectif sur les cellules cancéreuses (Wang et al., 2018). Elle peut également cibler les CSCs et les métastases (Dominguez-Gomez et al., 2018 ; Jiang et al., 2022) ainsi que les macrophages (Zhang et al., 2022). In vitro, l'Ivermectine est plus efficace pour inhiber les CSCs dans les cellules du cancer du sein comparé à la chimiothérapie (paclitaxel) (Dominguez-Gomez et al., 2018). In vivo, l'Ivermectine seule est plus efficace que la chimiothérapie standard (gemcitabine) pour réduire le poids et le volume de la tumeur dans le cancer du pancréas (Lee et al., 2022). L'Ivermectine est un médicament très sûr. Chez des volontaires sains, la dose unique a été augmentée à 2 mg/kg, et aucune réaction indésirable grave n'a été observée (Guzzo et al., 2002). Une autre étude a montré que les patients atteints de cancer qui ont pris de l'Ivermectine à cinq fois la dose standard (jusqu'à 1 mg/kg) quotidiennement pendant 180 jours consécutifs n'ont présenté aucun effet indésirable grave (de Castro et al., 2020). Dans des cas traités avec succès avec une combinaison totale ou partielle d'Ivermectine, dichloroacétate et Oméprazole (plus Tamoxifène), l'Ivermectine a inhibé la croissance tumorale par dysfonction mitochondriale et a conduit à l'apoptose (Ishiguro et al., 2022).
Benzimidazoles
Une autre famille de médicaments appelés Benzimidazoles possède des capacités anticancéreuses prometteuses, notamment le Fenbendazole et le Mébendazole. Le Mébendazole et le Fenbendazole sont très similaires sur le plan structurel et tout aussi efficaces contre le cancer (Bai et al., 2011 ; Florio et al., 2019 ; Schmit, 2013), à la fois dans des modèles in vitro et in vivo (Song et al., 2022). Cependant, seul le Mébendazole est approuvé par la FDA pour une utilisation chez l'homme (Impax, 2016). Les Benzimidazoles ont des effets anticancéreux par la polymérisation des microtubules, l'induction de l'apoptose, l'arrêt du cycle cellulaire (G2/M), l'anti-angiogenèse, le blocage des voies du glucose (Son et al., 2020) et de la glutamine (Mukherjee et al., 2023). L'apoptose est induite par des lésions mitochondriales et médiée par l'expression de p53 (Mukhopadhyay et al., 2002 ; Park et al., 2022). Les Benzimidazoles ciblent également les CSCs et les métastases (Son et al., 2020 ; Song et al., 2022), et donc les cellules cancéreuses chimiorésistantes (cisplatine) (Huang et al., 2021). Le Mébendazole était plus puissant contre les lignées cellulaires du cancer gastrique que d'autres médicaments chimiothérapeutiques bien connus (5-fluorouracile, oxaliplatine, gemcitabine, irinotécan, paclitaxel, cisplatine, étoposide et doxorubicine) in vitro (Pinto et al., 2015). Le Mébendazole a prolongé de manière significative la survie comparativement à la chimiothérapie standard (témozolomide) dans le glioblastome multiforme in vivo (Bai et al., 2011).
Le Mébendazole est considéré comme un médicament sûr. Chez les patients pédiatriques atteints d'hydatidose, le traitement à long terme par Mébendazole (50 mg/kg par jour pendant 9 à 18 mois) n'a entraîné aucun effet secondaire significatif (Göçmen et al., 1993). Les patients recevant 1 500 mg/jour de Mébendazole pour des gliomes n'ont également pas montré de toxicité liée au médicament (Chai et al., 2021). Des patients atteints de cancer gastro-intestinal réfractaire aux traitements participant à une étude de phase 2 avec des doses individualisées de Mébendazole, jusqu'à 4 g/jour, n'ont pas présenté d'effets secondaires graves (Mansoori et al., 2021). Un cas de quasi-rémission complète a été rapporté chez un patient atteint de cancer du côlon métastatique après avoir pris du Mébendazole, après échec des agents chimiothérapeutiques, y compris la Capécitabine, l'Oxaliplatine, le Bevacizumab, et l'Irinotécan (Nygren & Larsson, 2014). Dans un autre rapport de cas, un homme de 48 ans atteint d'un carcinome corticosurrénalien avait une progression de la maladie avec toutes les thérapies systémiques. Il a reçu du Mébendazole 100 mg deux fois par jour, en tant qu'agent unique. Ses métastases ont initialement régressé, puis sont restées stables. Pendant qu'il recevait du Mébendazole comme traitement unique pendant 19 mois, sa maladie est restée stable. Il n'a pas présenté d'effets secondaires cliniquement significatifs, et sa qualité de vie était satisfaisante (Dobrosotskaya et al., 2011). Des résultats similaires ont été observés avec le Fenbendazole ; trois patients atteints d'un cancer de stade IV (maladies génito-urinaires) ont été traités à une dose de 1 000 mg trois fois par semaine pendant plusieurs mois et ont connu une rémission complète de la maladie (Chiang et al., 2021). Deux des trois patients avaient connu une progression de la maladie métastatique malgré plusieurs lignes de traitement avant de commencer le Fenbendazole.
DON (6-diazo-5-oxo-L-norleucine)
Le DON est un antagoniste spécifique de la glutamine, plus puissant que les Benzimidazoles. Le DON possède une activité antitumorale puissante in vitro et in vivo (Olsen et al., 2015). Il cible spécifiquement la glutamine et affecte également l'absorption du glucose (Leone et al., 2019). Le DON peut induire spécifiquement l'apoptose dans les cellules souches cancéreuses (Jariyal et al., 2021) et cibler les métastases (Shelton et al., 2010). De faibles doses quotidiennes de DON sont sans toxicité (Lemberg et al., 2018).
Interventions diététiques pour cibler la connexion mitochondrie-cellule souche cancéreuse (MSCC)
Le jeûne induit une amélioration de l'activité mitochondriale grâce à l'augmentation de l'OxPhos, de l'autophagie et à l'inhibition de la glycolyse et de la glutaminolyse (Bianchi et al., 2015 ; Nencioni et al., 2018 ; Tiwari et al., 2022). Le jeûne peut entraîner la régénération des cellules souches « normales » (Mihaylova et al., 2018), mais peut également altérer les CSCs par le biais de l'autophagie (Nazio et al., 2019). L'inhibition ou la privation de glucose conduit à la mort des CSCs (De Francesco et al., 2018). In vivo, le jeûne a des effets anticancéreux et renforce l'activité des médicaments avec lesquels il est combiné (Nencioni et al., 2018). Prenant en compte les mécanismes moléculaires de la croissance tumorale, les chercheurs ont affirmé que « ... prescrire le jeûne comme un médicament anticancéreux n'est peut-être pas si éloigné si de grands essais cliniques randomisés consolident sa sécurité et son efficacité » (Deligiorgi et al., 2020).
Régime cétogène et thérapie métabolique aux cétones (KMT)
La cétose thérapeutique, administrée sous forme de régime cétogène ou de thérapie métabolique aux cétones (KMT), inhibe la croissance des cellules souches cancéreuses, restaure l'apoptose (Ji et al., 2020) et augmente la respiration cellulaire (Greco et al., 2016). Le régime cétogène présente des effets antitumoraux tant in vitro qu'in vivo, principalement en inhibant la voie de glycolyse dans divers types de cancer (Weber et al., 2018 ; Weber et al., 2020), et son efficacité a été démontrée chez des humains atteints de glioblastome multiforme (Elsakka et al., 2018 ; Zuccoli et al., 2010). Les bénéfices thérapeutiques maximaux du DON et du Mébendazole n'ont été observés que lorsque les médicaments étaient administrés conjointement avec un régime cétogène (Mukherjee et al., 2019 ; Mukherjee et al., 2023). De plus, l'association d'un régime cétogène et du DON réduit la toxicité du DON (Mukherjee et al., 2019). Un régime cétogène ou un jeûne pourrait inhiber les carburants nécessaires aux cellules cancéreuses (glucose et glutamine) tout en augmentant l'activité de l'OxPhos (Bianchi et al., 2015). Une étude de cas a rapporté la survie d'un patient atteint de glioblastome de grade IV vivant plus de 6 ans après le diagnostic, traité par réduction chirurgicale et un régime cétogène sous cétose thérapeutique sans chimiothérapie ni radiothérapie (Seyfried, Shivane et al., 2021). Foster a analysé 200 cas de régression spontanée du cancer et a montré que 87 % avaient opéré un changement majeur dans leur régime alimentaire, principalement de nature végétarienne, 55 % avaient utilisé une forme de désintoxication et 65 % avaient utilisé des suppléments nutritionnels (Foster, 1988). L'objectif du régime cétogène et de la thérapie métabolique aux cétones est de restreindre simultanément les voies de glycolyse et de glutaminolyse tout en transitionnant le corps dans un état de cétose pour cibler les cellules cancéreuses — à la fois les CSCs et les cellules non cancéreuses. En plus de la cétose métabolique, les études de supplémentation en cétones ont démontré que les cétones améliorent indépendamment la fonction mitochondriale (Woolf et al., 2016 ; Seyfried et al., 2017) et suppriment la croissance tumorale en ciblant les métastases et la plupart des caractéristiques du cancer (Poff et al., 2014 ; Poff et al., 2019).
La thérapie Press-Pulse propose une thérapie à deux axes. L'axe « Press », qui consiste à suivre un régime cétogène associé à une gestion du stress. Et un axe Pulse, qui combine l'inhibition de la glycolyse par le 2-déoxyglucose (2-DG), l'inhibition de la glutaminolyse par le DON (6-diazo-5-oxo-L-norleucine), et l'oxygénothérapie hyperbare (HBOT) pour inverser l'hypoxie et induire un stress oxydatif spécifique au cancer (Seyfried et al., 2017). La théorie métabolique sous-jacente à la thérapie Press-Pulse est la plus proche de la théorie proposée de la MSCC.
Activité physique
Le diabète et l'obésité sont des facteurs de risque pour de nombreux cancers (Grant, 2024), probablement en raison de l'altération de l'OxPhos (Lewis et al., 2019), favorisant les CSCs (Hillers-Ziemer et al., 2020) et l'augmentation de l'effet Warburg (Zhang & Le, 2021). Ainsi, l'activité physique peut jouer un rôle protecteur. Les exercices d'endurance augmentent le volume des mitochondries, ce qui améliore la respiration mitochondriale (Baldwin et al., 1972 ; Jacobs & Lundby, 2013) et ses effets protecteurs sur les cellules saines (Kolodziej & O'Halloran, 2021). L'exercice diminue également l'activité glycolytique (Gibb et al., 2017). La production d'ATP et la respiration mitochondriale sont maximales pendant les entraînements réguliers d'intensité faible à modérée (Flockhart et al., 2021). L'activité physique soutient la régénération des tissus, en partie avec les cellules souches (Liu C. et al., 2023). Concernant spécifiquement les cellules cancéreuses, l'activité physique inhibe leur prolifération et induit l'apoptose (Wang & Zhou, 2021).
Oxygénothérapie hyperbare (HBOT)
L'hypoxie est une caractéristique essentielle des tumeurs malignes et implique une augmentation de la survie cellulaire, de l'angiogenèse, du métabolisme de la glycolyse et de la glutaminolyse, ainsi que des métastases. Il existe des preuves indiquant que l'oxygène est un médicament, en fonction de la dose (Poff et al., 2016) et que la HBOT a des effets inhibiteurs sur les tumeurs, surtout lorsqu'elle est combinée avec la KMT (Seyfried et al., 2014). La HBOT présente une activité antitumorale puissante tant in vitro qu'in vivo, qu'elle soit utilisée seule ou en combinaison (Moen & Stuhr, 2012). Les cellules tumorales peuvent s'adapter aux microenvironnements ischémiques et pauvres en nutriments par trois adaptations principales : le changement angiogénique, la dérégulation de l'apoptose et le changement de métabolisme (Daruwalla & Christophi, 2006). La HBOT peut cibler les CSCs et les métastases (Liu et al., 2021 ; Xiong et al., 2023) et augmenter l'OxPhos (Hadanny et al., 2022). La KMT est synergique avec la HBOT et déclenche un puissant effet synergique sur la suppression de la croissance tumorale et de la propagation métastatique dans des modèles précliniques de cancer métastatique et des rapports de cas humains (Elsakka et al., 2018 ; Poff et al., 2015 ; Poff et al., 2019).
Sur la base de notre examen de la littérature scientifique, le protocole suivant combinant orthomolécules, médicaments et thérapies supplémentaires pour cibler la MSCC dans le traitement du cancer est proposé : Vitamine C intraveineuse Cancers de grades intermédiaire et élevé : Dose de 1,5 g/kg/jour, 2-3 fois par semaine (Fan, et al., 2023). Établie comme une dose non toxique pour les patients cancéreux (Wang F. et al., 2019). Vitamine D orale Tous les grades de cancer : Dose de 50 000 UI/jour pour les patients avec un taux sanguin ≤ 30 ng/mL ; 25 000 UI/jour pour des niveaux de 30-60 ng/mL ; et 5000 UI/jour pour des niveaux de 60-80 ng/mL. Établie comme une dose non toxique (Cannon et al., 2016 ; Ghanaati et al., 2020 ; McCullough et al., 2019). Il est nécessaire d'atteindre un taux sanguin de 80 ng/mL de vitamine D (25-hydroxyvitamine D (25(OH) D) (Kennel et al., 2010 ; Mohr et al., 2014 ; Mohr et al., 2015). Ce niveau est non toxique (Holick et al., 2011). Une fois ce niveau atteint, il doit être maintenu avec une dose quotidienne réduite d'environ 2 000 UI/jour (Ekwaru et al., 2014). La concentration sanguine de vitamine D doit être mesurée toutes les deux semaines pour les doses élevées et mensuellement pour les doses plus faibles.
Zinc Tous les grades de cancer : Dose de 1 mg/kg/jour, établie comme une dose non toxique pour les patients cancéreux (Hoppe et al., 2021 ; Lin et al., 2006). La plage de référence pour la concentration sérique de zinc est de 80 à 120 μg/dL (Mashhadi et al., 2016 ; Yokokawa et al., 2020). Une fois ce niveau atteint, il doit être maintenu avec une dose quotidienne réduite de 5 mg/jour (Li et al., 2022). La concentration sanguine de zinc doit être mesurée mensuellement. Ivermectine Cancers de faible grade : Dose de 0,5 mg/kg, 3 fois par semaine (Guzzo et al., 2002). Cancers de grade intermédiaire : Dose de 1 mg/kg, 3 fois par semaine (Guzzo et al., 2002).Cancers de grade élevé : Dose de 1 mg/kg/jour (de Castro et al., 2020) à 2 mg/kg/jour (Guzzo et al., 2002).Toutes ces doses ont été établies comme tolérables pour les humains (Guzzo et al., 2002). Benzimidazoles et DON Cancers de faible grade : Mébendazole : Dose de 200 mg/jour (Dobrosotskaya et al., 2011).Cancers de grade intermédiaire : Mébendazole : Dose de 400 mg/jour (Chai et al., 2021).Cancers de grade élevé : Dose de Mébendazole de 1 500 mg/jour (Son et al., 2020) ou de Fenbendazole 1 000 mg 3 fois par semaine (Chiang et al., 2021).Toutes ces doses ont été établies comme tolérables pour les humains (Chai et al., 2021 ; Chiang et al., 2021 ; Son et al., 2020). Les benzimidazoles peuvent être remplacés ou combinés avec le DON, administré sans toxicité ; par voie intraveineuse ou intramusculaire : 0,2 à 0,6 mg/kg une fois par jour ; ou par voie orale : 0,2 à 1,1 mg/kg une fois par jour (Lemberg et al., 2018 ; Rais et al., 2022). Les benzimidazoles sont beaucoup plus faciles à obtenir que le DON. Cependant, pour les cancers métastatiques, qui dépendent fortement de la glutamine (Seyfried et al., 2020), une combinaison de DON et de benzimidazoles devrait être envisagée (Mukherjee et al., 2023).
Interventions diététiques Tous les grades de cancer : Régime cétogène (régime pauvre en glucides et riche en graisses, 900 à 1 500 kcal/jour) (Weber et al., 2020).La thérapie métabolique aux cétones consiste en environ 60-80 % de graisses, 15-25 % de protéines et 5-10 % de glucides fibreux. Une hydratation adéquate et des repas cétogènes à ingrédient unique sont nécessaires pour atteindre un indice glucose-cétone (GKI) de 2,0 ou moins (Meidenbauer et al., 2015 ; Seyfried, Shivane et al., 2021). Le GKI doit être mesuré 2-3 heures après les repas, deux fois par jour si possible (Meidenbauer et al., 2015 ; Seyfried, Shivane et al., 2021).Cancers de grades intermédiaire et élevé : Le régime cétogène doit être associé à un jeûne hydrique pendant 3 à 7 jours consécutifs dans les cancers avancés (Phillips et al., 2022 ; Arora et al., 2023). Le jeûne hydrique doit être répété plusieurs fois (≈ tous les 3-4 semaines) tout au long du traitement (Nencioni et al., 2018), mais le jeûne doit être entrepris avec prudence chez les personnes utilisant certains médicaments et celles ayant un IMC < 20, afin de prévenir la perte de masse corporelle maigre. Pour les patients ne pouvant pas jeûner, le régime imitant le jeûne (300 à 1 100 kcal/jour de bouillons, soupes, jus, barres de noix et thés aux herbes) peut être utilisé (Nencioni et al., 2018). Thérapeutiques supplémentaires Tous les grades de cancer : Activité physique modérée, 3 fois par semaine. Augmentation de la fréquence cardiaque et respiratoire pendant 45 à 75 minutes (Bull et al., 2020) avec des activités telles que le cyclisme, la marche, la natation, la course etc.Cancers de grades intermédiaire et élevé ou individus incapables de pratiquer une activité physique : Oxygénothérapie hyperbare, 1,5 à 2,5 ATA pendant 45 à 60 minutes, 2-3 fois par semaine (Gonzalez et al., 2018 ; Poff et al., 2015).
Le protocole doit être suivi pendant une durée moyenne de 12 semaines, quel que soit le type de cancer. L'analyse des interactions entre chacune des molécules n'a révélé aucune contre-indication à la combinaison de ces substances (ANSM, 2023 ; CRAT, 2024 ; Lemberg et al., 2018 ; Vidal, 2024). La posologie et la durée du traitement peuvent être ajustées par le médecin en fonction de chaque patient, de sa capacité à obtenir les diverses molécules et des résultats du traitement. L'adaptation du protocole pour inclure d'autres molécules pour restaurer la santé pourrait être envisagée par le médecin. Cela pourrait inclure : la vitamine K2 (Xv et al., 2018), la vitamine E (Abraham et al., 2019), le coenzyme Q10 (Liaghat et al., 2024), le bleu de méthylène (da Veiga Moreira et al., 2024), la niacinamide (Yousef et al., 2022), la riboflavine (Suwannasom et al., 2020), l'artémisinine + l'acide 5-aminolévulinique (pour induire une accumulation de porphyrines) (Adapa et al., 2024), la mélatonine (Mocayar et al., 2020), le NADH (Medjdoub et al., 2016) et le magnésium (Ashique et al., 2023), par exemple. Cependant, les sous-dosages, qui auraient un effet antioxydant plutôt que l'effet oxydant recherché, doivent être évités.
Cet effet additif et synergique de cette combinaison d'orthomolécules, de médicaments et de thérapies supplémentaires cible la MSCC en augmentant l'activité de l'OxPhos dans les mitochondries saines, offrant une action protectrice pour ces cellules. Cependant, dans les cellules cancéreuses, tant les CSCs que les non-CSCs, l'effet pro-oxydant de la combinaison induit l'apoptose. De plus, ce protocole cible spécifiquement les carburants fermentables, les CSCs et les macrophages, et donc les métastases. En bref, les points clés de la MSCC. Par conséquent, des études comparatives doivent être réalisées tant chez les animaux que chez les humains pour évaluer l'efficacité et la sécurité de ce protocole hybride par rapport aux thérapies standards.
La connexion mitochondrie-cellule souche pourrait être un élément clé dans l'approche thérapeutique du cancer. À la lumière des connaissances actuelles, nous avons sélectionné et proposons l'utilisation de molécules orthomoléculaires, de médicaments et d'autres thérapies spécifiques pour leur potentiel à raviver l'activité OxPhos cellulaire, et cibler les CSCs, la glycolyse et la glutaminolyse. Ces approches visent également à s'attaquer aux métastases créées par la fusion des cellules souches cancéreuses et des macrophages. De nombreuses expériences in vitro, chez les animaux et chez les humains soutiennent le rôle du ciblage de la MSCC dans la prévention et le traitement du cancer.
Source : https://isom.ca/article/targeting-the-mitochondrial-stem-cell-connection-in-cancer-treatment-a-hybrid-orthomolecular-protocol/. - 19 septembre 2024
Citation : Baghli I. et al. (2024) Targeting the Mitochondrial-Stem Cell Connection in Cancer Treatment: A Hybrid Orthomolecular Protocol. J Orthomol Med. 39.3. 1-16.
Conflits d'intérêts
Les auteurs ne déclarent aucun conflit d'intérêts.
Remerciements
Ce manuscrit est dédié à la mémoire de notre collègue et ami, le Dr Michael J. Gonzalez. Il a laissé un impact durable sur la médecine orthomoléculaire, et nous nous efforcerons de l'honorer à travers la publication de ce qui sera l'une de ses dernières contributions. Ilyes Baghli¹, William Makis², Paul E. Marik³, Michael J. Gonzalez⁴,⁵,⁶, William B. Grant⁷, Ron Hunninghake⁸, Thomas E. Levy⁸, Homer Lim⁹, Richard Z. Cheng¹⁰, Igor Bondarenko¹¹, Paul Bousquet¹², Roberto Ortiz¹³, Mignonne Mary¹⁴, Dominic P. D'Agostino¹⁵, Pierrick Martinez¹⁶
1 Société Internationale de Médecine Orthomoléculaire, Toronto, ON, Canada 2 Alberta Health Services, Cross Cancer Institute, Edmonton, AB, Canada 3 Frontline COVID-19 Critical Care Alliance, Washington, DC, USA 4 Université de Porto Rico, Campus des Sciences Médicales, École de Santé Publique, San Juan, PR 5 Universidad Central del Caribe, École de Chiropratique, Bayamón, Porto Rico 6 EDP University, Programme des Sciences Naturopathiques, Hato Rey, Porto Rico 7 Centre de Recherche sur la Lumière Solaire, la Nutrition et la Santé, San Francisco, CA, USA 8 Riordan Clinic, 3100 North Hillside, Wichita, KS, USA 9 Akesis Holistic Health, Manille, Philippines 10 Cheng Integrative Health Center, Doctor's Weight Loss Center, Columbia, SC, USA 11 Institut Médical pour la Science et la Technologie Nutritionnelle, Riga, LV-1005, Lettonie 12 Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante, Amiens, France 13 Association Mexicaine de Nutrition Orthomoléculaire, Mexico, Mexique 14 Remedy Room Médecine Intégrative, La Nouvelle-Orléans, LA, USA 15 Département de Pharmacologie Moléculaire et de Physiologie, Laboratoire de Médecine Métabolique, Morsani College of Medicine, Université de Floride du Sud, Tampa, FL, USA 16 Association Cancer et Métabolisme, 30000 Nîmes, France Références :
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Zuccoli G., Marcello N., Pisanello A., Servadei F., Vaccaro S., Mukherjee P. and Seyfried T. N. (2010). "Metabolic management of glioblastoma multiforme using standard therapy together with a restricted ketogenic diet: Case Report." Nutr Metab (Lond). 7: 33. https://doi.org/10.1186/1743-7075-7-33.
Stopper la suppression de l'argent liquide : voici comment y parvenir !
RépondreSupprimer22.10.2024
www.kla.tv/30828
Les méthodes de paiement numériques sont en forte progression dans le monde entier et, malgré leur attachement à l'argent liquide, les Allemands aussi paient de plus en plus souvent sans contact et par smartphone. Parallèlement, utiliser de l'argent liquide est de plus en plus difficile. Son utilisation est limitée pour lutter entre autres contre le blanchiment d'argent et la criminalité. Les banques réduisent également le nombre de distributeurs automatiques de billets et les magasins limitent les paiements en espèces ; et parallèlement, au nom du progrès, de plus en plus de systèmes de paiement numériques sont introduits.
Pourtant, l'argent liquide est essentiel au fonctionnement de notre société ; c’est un élément important du système de paiement. La vulnérabilité des systèmes de paiement purement numériques a été récemment démontrée par une mise à jour défectueuse de Windows. Cela a suffi à paralyser des millions d'ordinateurs dans le monde, et par conséquent des aéroports, des administrations et des banques. En revanche, l'argent liquide garantit un fonctionnement sûr et indépendant du trafic des paiements, même en cas de dysfonctionnement technique ou numérique. De plus, l'argent liquide permet de payer de manière anonyme, protège de la surveillance commerciale et est facilement utilisable par tout un chacun sans aucun obstacle technique. En ce sens, l'argent liquide est aussi une liberté sous forme imprimée. En résumé, on pourrait donc dire que si nous n'avions pas l'argent liquide depuis longtemps, il serait urgent de l’inventer maintenant.
Mais quelles sont les causes de cette tendance unilatérale et si forte à se détourner de l'argent liquide, malgré les dangers évoqués ? Selon le journaliste économique allemand Norbert Häring, cette évolution n'est pas le fruit du hasard. Selon lui, elle est le fruit d'un vaste réseau international au centre duquel se trouvent des organisations telles que la Fondation Bill & Melinda Gates, la Banque mondiale, le FMI et donc la mafia financière mondiale. Celle-ci n'utilise certainement pas son pouvoir pour permettre aux gens de payer de manière simple et pratique ! Comme le montre par exemple l'émission allemande intitulé« Monnaie numérique de la banque centrale - la fin de la liberté ! », [https://www.kla.tv/29968 (pas en français)] ces milieux sont en train de mettre en place de nouveaux systèmes de paiement numériques dans le monde entier. L'argent liquide fait toutefois encore obstacle à cette mise en œuvre.
Mais vous verrez ci-dessous, à travers de nombreux exemples, que les projets de mise en œuvre de systèmes de paiement purement numériques échouent souvent. Parallèlement, les faiblesses de ces systèmes de paiement apparaissent également, par exemple suite à des pannes informatiques. En conséquence, et en raison de l'attitude négative de pans entiers de la population, certains gouvernements ont soudainement changé leur politique en matière d'argent liquide et ont par exemple inscrit dans leur constitution le droit de payer en espèces. En effet, de nombreuses personnes rejettent intuitivement les systèmes de paiement numériques. Ils s'accrochent donc farouchement à l'argent liquide - quel qu'en soit le prix - et finissent par faire échouer un nouveau système de paiement numérique.
RépondreSupprimerVoici maintenant des exemples très encourageants :
1. Les commerces sans caisse ferment par manque de clients
Les supermarchés sans caisse promettent de faire les courses en passant sans attendre à la caisse. Le pionnier de ce système est le géant de la vente en ligne Amazon, qui a déjà fait les gros titres il y a quelques années avec ses magasins sans caisse « Amazon Go ». Ce modèle de paiement fonctionne par vidéosurveillance avec reconnaissance faciale. Chaque mouvement des clients est surveillé par d'innombrables caméras et capteurs. Les systèmes reconnaissent automatiquement les marchandises que l'acheteur prend. La surveillance vidéo relie ensuite l'achat au titulaire du compte et débite automatiquement le montant facturé. D'innombrables données et informations biométriques sont collectées sur chaque client, ce qui le rend non seulement transparent au sens habituel, mais également prévisible. Outre les nombreux problèmes liés à la protection des données que pose cette technologie, il existe également un risque de manipulation individuelle des prix. Par exemple, le prix de la « pizza surgelée » pour les célibataires peut être augmenté le week-end. Mais de toute évidence, de nombreuses personnes voient clair dans ce système et évitent intuitivement ces supermarchés. Comme l'a annoncé Amazon, six magasins de ce type seront fermés par manque de clients. Cela montre comment chacun peut contribuer à mettre un terme à de tels systèmes de surveillance et de numérisation à outrance.
2. Des gouvernements renforcent l'acceptation des paiements en espèces
RépondreSupprimerContrairement à l'agenda mondial visant à supprimer l'argent liquide, le gouvernement norvégien veut donner des garanties à ceux qui ne veulent pas utiliser les moyens de paiement numériques, afin qu'ils puissent continuer à payer des biens et des services en espèces. Comme un système de paiement entièrement numérique peut également entraîner un blocage complet de l'économie en cas de crise, la ministre de la Justice et de la Sécurité publique, Emilie Enger Mehl, explique : Un paiement entièrement électronique augmente la vulnérabilité de la société. L'argent liquide doit donc rester disponible en cas de crise. Une loi doit donc garantir que tous les biens et services puissent continuer à être payés en espèces. Des efforts similaires ont été faits dans plusieurs pays européens : en Slovaquie, le droit de payer en espèces a été inscrit dans la constitution en 2023. En Italie, malgré l'opposition de la Commission européenne, il a été mis fin à plusieurs mesures anti-espèces et le plafond des paiements en espèces a été relevé de 2 000 à 5 000 € le 1er janvier 2023. En Suède, le gouvernement veut même rétablir par la loi le niveau d'argent liquide de l'année 2017 et l'ancrer de manière contraignante pour l'avenir. Pour la Suède, ancien bastion du « sans espèce », cela représente un énorme revirement de politique monétaire. Cela montre que la lutte contre l'abolition de l'argent liquide est loin d'être perdue et que la situation peut rapidement s'inverser si les gens s'accrochent résolument à l'argent liquide.
3. L'abolition de l'argent liquide au Nigeria est un échec cuisant
Selon le journaliste économique allemand Norbert Häring, le Nigeria est un cobaye idéal pour la fondation Bill & Melinda Gates. Selon Häring, beaucoup de choses sont mises en œuvre et expérimentées au Nigeria pour placer les populations sous une surveillance automatisée totale. C'est ainsi que l'eNaira, la première monnaie numérique de banque centrale d'Afrique, a été introduite en octobre 2021 afin de mettre fin à l'utilisation de l'argent liquide. Mais l'acceptation de l'eNaira par la population a été si faible qu'un an après son introduction, moins de 0,5 % des habitants du Nigeria avaient accepté cette nouvelle monnaie.
Afin de forcer la population à les accepter, Godwin Emefiele, un farouche opposant à l'argent liquide et gouverneur de la banque centrale du Nigeria, a retiré de la circulation une grande partie de l'argent liquide. Il a également introduit des limites de retrait quotidiennes pour l'argent liquide, ce qui a plongé des millions de Nigérians dans une détresse extrême et entraîné une baisse massive du chiffre d'affaires de nombreuses entreprises. Mais la population nigériane est restée ferme, ce qui a fini par faire bouger les tribunaux.
Le 3 mars 2023, la Cour suprême du Nigeria a finalement accepté une plainte contre la politique monétaire de la banque centrale, ce qui a contraint cette dernière à stopper son projet d'abolition de l'argent liquide. Lors des élections suivantes, un nouveau président a été élu, qui a ensuite démis Godwin Emefiele de ses fonctions. Emefiele a été arrêté peu de temps après et est désormais accusé d'abus de pouvoir pour un montant de 4,5 milliards de dollars et de fraude pour un montant de 2,8 milliards de dollars.
RépondreSupprimerSelon l'analyste géopolitique Nick Giambruno, le rejet de l'eNaira était un symbole de la profonde méfiance du peuple nigérian envers les élites dirigeantes. Le succès de leur résistance ciblée est en outre un exemple frappant de l'énorme force qu'un peuple peut déployer lorsqu'il est uni.
Tous ces exemples montrent clairement que rien n'est impossible. Toutes ces évolutions néfastes, y compris la suppression de l'argent liquide, peuvent encore être stoppées ! La clé pour cela est que la population comprenne les plans diaboliques des tireurs de ficelles mondiaux. De là naîtra l'unité dans la résistance, qui doit inévitablement mener à l'échec des machinations malveillantes et aux changements positifs auxquels chacun aspire. Le dévoilement est donc le mot d'ordre actuel ! Seuls ceux qui comprennent les plans diaboliques des tireurs de ficelles en coulisses ne se laissent pas prendre à leurs mensonges. Mettons le temps à profit, car il n'est pas encore trop tard !
de hag.
Sources / Liens :
Les paiements numériques gagnent du terrain dans le monde entier
https://sparkassetogo.de/betrieb-banksteuerung/payment-digitaler-zahlungsverkehr-ist-weltweit-auf-dem-vormarsch
https://lebensmittelpraxis.de/handel-aktuell/40871-digitale-zahlungsmethoden-mobile-payment-auf-dem-vormarsch.html
Les banques réduisent les distributeurs automatiques de billets
https://www.abendblatt.de/hamburg/wirtschaft/article239598141/Warum-in-Hamburg-immer-mehr-Geldautomaten-verschwinden.html
https://www.karlsruhe-insider.de/verbraucher/reduzierung-der-geldautomaten-sparkasse-und-deutsche-bank-151465
Nouvelle tendance : les magasins sans argent liquide
https://www.capterra.com.de/blog/2572/kassenloser-supermarkt
https://www.handelsblatt.com/unternehmen/handel-konsumgueter/einzelhandel-bezahlen-im-vorbeigehen-die-supermaerkte-ohne-kassen-kommen/23723078.html
RépondreSupprimerhttps://www.welt.de/wirtschaft/article229527091/Edeka-Tegut-und-Co-Jetzt-kommt-der-kassenlose-Supermarkt.html
https://www.n-tv.de/wirtschaft/Bargeld-stirbt-in-Grossbritannien-aus-article20636912.html
Avantages de l'argent liquide - infrastructure critique
https://www.tagesschau.de/ausland/it-panne-computer-global-100.html
https://www.zdf.de/nachrichten/wirtschaft/unternehmen/it-panne-microsoft-computer-pc-problem-100.html
https://www.vzbv.de/meldungen/bargeld-als-zahlungsmittel-erhalten
https://bargeldverbot.info/bargeldverbot-konkret/
Limitation et criminalisation de l'argent liquide
https://norberthaering.de/bargeld-widerstand/eu-anti-bargeld/
https://www.tagesschau.de/wirtschaft/finanzen/bargeld-geldwaesche-100.html
https://norberthaering.de/bargeld-widerstand/fatf-deutschland-bargeld/
Les tireurs de ficelles de l'abolition de l'argent liquide
https://norberthaering.de/news/vorschau-institutionen/
https://norberthaering.de/bargeld-widerstand/fatf-deutschland-bargeld/
https://www.kla.tv/24257
Le FMI et la Banque mondiale, instruments de la mafia financière
https://www.kla.tv/15577
(Eng.)
https://www.kla.tv/15589
(Fra.)
https://www.kla.tv/13640
(Fra.)
Fermeture de magasins sans caisse
https://norberthaering.de/news/amazon-go/
https://www.datenschutz-notizen.de/amazon-go-der-datenschutz-bei-diesem-zukunftsmodell-5019925/
RépondreSupprimerhttps://www.golem.de/news/amazon-go-amazon-schliesst-kassenlose-supermaerkte-2303-172389.html
Les gouvernements renforcent l'acceptation des espèces
https://norberthaering.de/bargeld-widerstand/norwegen-bargeldgesetz/
https://norberthaering.de/bargeld-widerstand/meloni-pro-bargeld/
https://bargeldverbot.info/2021/11/26/18-eu-laender-bargeldobergrenzen/#Italien
https://www.reuters.com/world/europe/italys-meloni-may-water-down-cash-payments-plan-after-eu-talks-2022-12-04/
https://www.stol.it/artikel/politik/kartenzahlung-nicht-mehr-verpflichtend-bargeldgrenze-bei-5000-euro
https://www.cashmatters.org/blog/norways-government-seeks-to-strengthen-cash-for-national-resilience
https://www.perfect-money.de/schweden-bargeld-unverzichtbar/
https://norberthaering.de/bargeld-widerstand/slowakei/
L'abolition de l'argent liquide échoue au Nigeria
https://www.heise.de/news/Nigeria-fuehrt-erstes-digitales-Zentralbankgeld-in-Afrika-ein-6229004.html
https://norberthaering.de/bargeld-widerstand/nigeria-enaira/
https://thenigerialawyer.com/nba-asks-buhari-to-comply-with-supreme-court-judgment-on-cash-swap/
https://auf1.info/bargeldabschaffung-und-digitalwaehrung-nigeria-ist-erneut-versuchslabor-der-globalisten/
https://cryptoslate.com/enaira-cbdc-a-massive-failure-despite-nigerian-central-banks-claims-to-the-contrary/
https://www.btc-echo.de/schlagzeilen/enaira-nigeria-schraenkt-bargeld-ein-um-cbdc-zu-foerdern-155729/
RépondreSupprimerNorbert Häring / Mieux que Cash Alliance
https://de.wikipedia.org/wiki/Norbert_H%C3%A4ring
https://www.fordfoundation.org/news-and-stories/news-and-press/news/ford-foundation-co-founds-better-than-cash-alliance/
https://norberthaering.de/bargeld-widerstand/bundesregierung-finanziert-better-than-cash-alliance/
Godwin Emefiele
https://en.wikipedia.org/wiki/Godwin_Emefiele
https://www.pulse.ng/news/local/emefiele-gets-naira50-million-bail-in-dollar45-billion-fraud-case/73qellz
https://www.kla.tv/fr
Le covid est parmi nous plus que jamais, mais on ne le comptabilise plus et surtout malheureusement, on ne le soigne toujours pas
RépondreSupprimerle 22 octobre 2024
par pgibertie
Bienheureux sont ceux qui ont un médecin à l’ancienne qui confrontés à une pneumopathie délivrent des antibiotiques contre les complications bactériennes .
Hélas les grosses crèves se multiplient et ne sont pas toujours anodines , covidées ou pas ? difficile de savoir .
Les covidées sont dangereuses pour les plus fragiles si elles ne sont pas soignées et les injections ARNm n’arrangent rien . Le problème, les doses à répétition de protéine Spike vaccinale et virale
Le COVID-19 n’est PAS une GRIPPE ! Le risque de mortalité était 50% + élevé chez les patients atteints de COV19 par rapport aux patients atteints de grippe dans les 12 à 30J suivant l’admission à l’hôpital ! Etude sur 5 899 170 individus au Danemark de mai 2022 à juin 2024
Le risque de mortalité était 50 % plus élevé chez les patients atteints de COVID-19 par rapport aux patients atteints de grippe dans les 12 à 30 jours suivant l’admission à l’hôpital ! (Une étude intéressante sur 5 899 170 individus au Danemark de mai 2022 à juin 2024) https://medrxiv.org/content/10.1101/2024.09.26.24314428v1.full.pdf+html
Cette étude a comparé l’impact de la COVID-19 et de la grippe au Danemark après la pandémie. Elle a révélé que la COVID-19 a provoqué davantage d’hospitalisations et de décès, en particulier au cours de la première année et chez les personnes âgées.
Parmi 5 899 170 personnes, les admissions pour COVID-19 (n = 24 687) étaient plus fréquentes que les admissions pour grippe (n = 8 682 ; aIRR 2,01, IC à 95 % 1,37-2,95), en particulier au cours de la première année (p = 0,01), en été (p < 0,001) et chez les personnes de plus de 65 ans (p < 0,001). Le nombre de décès était également plus élevé (COVID-19, n = 2 393 ; grippe, n = 522).
Parmi les patients, le risque de mortalité de la COVID-19 était plus élevé que celui de la grippe dans les 12 à 30 jours suivant l’admission (0 à 11 jours, aHR 1,08, IC à 95 % 0,94-1,25 ; 12 à 30 jours, aHR 1,50, IC à 95 % 1,21-1,84),
- voir graph et docs sur site :
https://pgibertie.com/2024/10/22/le-covid-est-parmi-nous-plus-que-jamais-mais-on-ne-le-comptabilise-plus-et-surtout-malheureusement-on-ne-le-soigne-toujours-pas/
Les autorités savent que le PFIZER et le MODERNA sont défectueux, pourquoi n’ont elles pas pris de décision de retrait ? Nous ne parlons pas ici de l’empoisonnement par la spike
RépondreSupprimerle 22 octobre 2024
par pgibertie
Cependant, une récente étude de prépublication utilisant plusieurs tests de séquençage a révélé des niveaux de contamination de l’ADN dans les vaccins à ARNm bivalent Moderna et Pfizer qui dépassaient les niveaux fixés par l’Agence européenne des médicaments (EMA) et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis
En tous cas on a la preuve que @EMA_News et @FDA discutent du problème au moins depuis octobre 2023.
Kevin McKernan, expert américain en pharmacologie, ingénierie biomédicale et génomique, a découvert le “promoteur SV40” (virus SV40 simien) dans les flacons de Pfizer et Moderna. Il a constaté que les vecteurs d’expression de l’ADN qui composent ces produits contaminent l’ARN dans le flacon, et si cet ADN se trouve dans les produits à des niveaux élevés, ce promoteur (SV40) pourrait s’intégrer dans le génome. L’injection de grandes quantités de promoteurs SV40 est donc préoccupante car, s’il y a intégration dans le génome, il y a un risque de promotion d’une expression génique inappropriée, conduisant à des maladies telles que le cancer et pouvant même être transmise aux générations suivantes.
Explication simple des promoteurs SV40 trouvés dans les vaccins : ce promoteur est un très petit segment du virus SV40 qui initie et améliore la transcription de l’ADN en ARN. Dans le diagramme, c’est en haut que l’ADN modifié d’e.coli est transformé en ARNm de la protéine Spike.
CETTE CONTAMINATION N’EXISTAIT PAS DANS LES PRODUITS SOUMIS A DES ESSAIS(pourtant inquiétants) AVANT AUTORISATION
Christine Cotton rappelle que depuis janvier 2021, il est connu que les vaccins pfizer administrés en vie réelle ne sont pas CEUX DE L’ESSAI CLINIQUE !!ET ILS SONT CONTAMINES
@louisfouch3
Il est très important que les résistants comprennent ce point. Le produit est défectueux. Ce qu’il contient n’est pas ce qui est annoncé par les industriels. Cela suffit à le faire retirer du marché si tout le monde martèle ça aux tutelles, à la DGS, à l’ANSM et la HAS. Présence d’ADN et SV40 suffisent à faire retirer cette saloperie du marché sans rentrer dans des conflits infinis sur d’autres considérations clivantes.
RépondreSupprimerIl s’agit d’une intention de tromper. Le scientifique en génomique Kevin McKernan passe en revue avec nous le test de contrôle qualité de Pfizer sur un lot de leur vaccin contre la Covid-19. Ce rapport de Pfizer a été publié dans le cadre d’une demande d’accès à l’information. Il nous montre comment Pfizer a manipulé le résultat de l’ARN pour faire paraître la contamination de l’ADN plus petite qu’elle ne l’est, et donc réussir le test requis. « Pfizer disposait déjà du test, la réponse ne leur a pas plu, alors ils sont partis à la recherche d’un autre outil pour contourner la réglementation.
Nous injectons énormément d’ADN dans des milliards de personnes. Une partie de cet ADN peut atteindre les lignées germinales (pensez aux ovules et aux spermatozoïdes). 50 à 100 milliards de LNP dans ces injections. Si 1 % atteint les ovaires, alors on parle de 40 à 400 millions de ces éléments qui atteignent 300 000 ovocytes. Il s’agit d’un déclin radical de l’éthique biomédicale. Pourquoi tolérons-nous cette utilisation expérimentale sur des outils mal caractérisés, mandatés par une protection en matière de responsabilité.
@Kevin_McKernan
Nous passons ici en revue certains des problèmes de sécurité et d’efficacité identifiés à ce jour. Nous discutons également du mécanisme potentiel des événements indésirables observés liés à l’utilisation de ces vaccins et de la question de savoir s’ils peuvent être atténués par des modifications de cette approche du mécanisme vaccinal.
- voir doc sur site -
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC10883065
Les composants standard et non standard des vaccins ARNm-LNP COVID-19
RépondreSupprimerLes régulateurs approuvant le déploiement de nouvelles modalités thérapeutiques ou prophylactiques insistent sur des critères stricts de pureté du produit. Cependant, la nouvelle plate-forme de vaccins à ARNm offre des aspects nouveaux, non testés et auparavant non réglementés, des impuretés lors de la fabrication. Les vaccins à ARNm sont constitués d’ARNm codant pour la protéine d’intérêt complexé et protégé par un mélange de différents lipides qui forment des nanoparticules d’environ 100 nm de diamètre ( 1 ). L’ARNm est synthétisé in vitro en utilisant une ARN polymérase provenant d’un plasmide d’ADN dérivé d’E. coli servant de matrice. Idéalement, le plasmide et les autres composants sont éliminés lors de l’étape de purification de l’ARNm ( 2 ). Cependant, une récente étude de prépublication utilisant plusieurs tests de séquençage a révélé des niveaux de contamination de l’ADN dans les vaccins à ARNm bivalent Moderna et Pfizer qui dépassaient les niveaux fixés par l’Agence européenne des médicaments (EMA) et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis ( 3 ). . Reste à savoir si les fragments d’ADN plasmidique contaminants peuvent affecter la santé humaine. De faibles niveaux d’ARN double brin (ARNdb) qui peuvent se former au cours du processus de production et activer des capteurs immunitaires innés et induire une inflammation ( 4 ), ont également été signalés pour les vaccins à ARNm Pfizer et Moderna ( 5 , 6 ). La présence de niveaux physiologiquement pertinents d’ARNdb dans le vaccin Pfizer COVID-19 a également été confirmée expérimentalement, indiquant que les réponses immunitaires adaptatives induites par ce vaccin chez la souris dépendent en partie de la protéine MDA5, un capteur d’ARNdb ( 7 ).
Ainsi, le composant essentiel qui a transformé l’ARNm en un vaccin induisant une réponse immunitaire est le LNP inflammatoire – initialement considéré comme un véhicule de transport/administration inerte pour l’ARNm ( 10 ) – et non les modifications nucléosidiques.
Différents niveaux de contaminants entre les lots de vaccins, outre le stockage, le transport et la manipulation clinique, pourraient expliquer une découverte récente du Danemark selon laquelle différents lots de vaccins Pfizer à ARNm induisaient des niveaux distincts d’événements indésirables. Certains lots n’ont provoqué quasiment aucun effet secondaire, tandis que d’autres ont été associés à une incidence moyenne ou très élevée d’événements indésirables (tous les effets secondaires suspectés, les décès graves et liés) ( 15 ). Il serait important de déterminer comment les mêmes lots de vaccins se sont comportés dans différents pays et dans différents groupes démographiques afin de déterminer si ces résultats peuvent être généralisés. Bien que les contaminants contribuent probablement à la nature inflammatoire de cette plateforme et à l’induction d’événements indésirables, le composant lipidique ionisable des LNP du vaccin à ARNm-LNP est hautement inflammatoire ( 12 ), et comme nous l’avons déjà évoqué ci-dessus, il est essentiel pour la réactogénicité et immunogénicité de cette plateforme ( 12 , 13 ). Ainsi, hypothétiquement, une autre explication potentielle pour les lots distincts déclenchant différents niveaux d’événements indésirables pourrait être que les quantités d’ARNm-LNP ou le rapport ARNm : LNP différaient entre les lots ( 16 ). Pour évaluer différentes possibilités, il serait essentiel de déterminer le niveau de réponses immunitaires adaptatives déclenchées par les différents lots de vaccins et si des restes de vaccins correctement stockés sont encore disponibles pour tester leur présence d’impuretés et les niveaux d’agents thérapeutiques. En résumé, ces résultats mettent en évidence la nécessité d’une évaluation stricte des critères de pureté et des limites admissibles pour cette nouvelle classe de vaccins.
Concernant les hypothèses faites concernant la plateforme ARNm-LNP
RépondreSupprimerDifférents experts et responsables ont fait plusieurs déclarations publiques fondées sur des hypothèses concernant les vaccins à ARNm-LNP. L’une des plus médiatisées était que l’ARNm du vaccin ne peut pas être transcrit de manière inverse en ADN ; il n’y a donc aucun risque d’insertion dans le génome humain ( 17 – 20 ). L’insertion d’un nouvel ADN dans le génome humain serait très préoccupante si elle se produisait au niveau des cellules souches du système reproducteur. À l’appui de leur affirmation, une version modifiée du dogme central de la biologie moléculaire de Francis Crick ( 21 ) a souvent été citée selon laquelle le flux d’informations dans les cellules eucaryotes est unidirectionnel, de l’ADN à l’ARN en passant par les protéines.
Alors que le flux d’informations dans les cellules eucaryotes, en général, va effectivement de l’ADN à l’ARN puis à la protéine, dans des cas particuliers, l’ARN peut être transcrit de manière inverse en ADN. Ce processus est médié par la transcriptase inverse, des enzymes naturellement associées aux rétrovirus. Cependant, les cellules eucaryotes, y compris les cellules humaines, utilisent des processus de type transcription inverse pour répliquer les télomères et les rétrotransposons ( 22 – 25 ). Avec le vaccin Pfizer ARNm-LNP, il a été démontré expérimentalement que l’ARNm du vaccin peut être soumis à une transcription inverse en ADN dans une lignée cellulaire d’hépatocytes humains immortalisés. L’exposition au vaccin ARNm-LNP est également corrélée à une augmentation des niveaux globaux d’expression du rétrotransposon LINE-1 et à sa localisation dans le noyau ( 26 ). Il a été proposé que les caractéristiques de séquence de l’ARNm des vaccins répondent à toutes les exigences connues pour la rétroposition à l’aide de LINE-1 ( 25 ). Il reste à déterminer si ceux-ci ont une quelconque pertinence in vivo ( 27 ). La localisation de la protéine Spike dans le noyau a déjà été rapportée ( 28 , 29 ).
À l’appui des études révélant la localisation nucléaire de la protéine de pointe, une étude récente en prépublication a rapporté que la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, contrairement à d’autres virus du SRAS, contient un signal de localisation nucléaire (NLS). Le NLS a permis le transport de la protéine de pointe vers le noyau, et il semble que la protéine de pointe ait également transporté l’ARNm de pointe vers le noyau ( 30 ). Une étude a également montré que l’ARN du SRAS-CoV-2 peut être transcrit de manière inverse et intégré dans le génome de cellules humaines en culture,. Étant donné que l’ARNm peut pénétrer dans le noyau, où il peut être soumis à une transcription inverse en ADN, cela augmente son potentiel d’intégration dans le génome. De plus, l’ARNm-LNP se diffuse dans tout le corps et peut s’accumuler à la fois dans les testicules et les ovaires ( 5 , 6 ) et modifierait le cycle menstruel chez les femmes ( 35 , 36 ). Il pourrait donc potentiellement atteindre les cellules souches des organes reproducteurs. Ces résultats soulignent la nécessité de prendre ces données et préoccupations au sérieux et de mener des expériences spécifiques pour y répondre ( 25 ).
RépondreSupprimerUne autre caractéristique souvent vantée de l’ARNm du vaccin est qu’il est dégradé in vivo en quelques heures ou quelques jours, limitant ainsi davantage son potentiel à perturber la biologie cellulaire normale ( 17 – 20 ). Cette hypothèse est probablement apparue dans la mesure où les ARNm non modifiés ont, en général, une demi-vie in vivo courte ( 37 ). Cependant, des biopsies de ganglions lymphatiques humains effectuées à différents moments après l’exposition à l’ARNm-LNP ont révélé des niveaux détectables d’ARNm du vaccin et de protéines de pointe jusqu’à huit semaines ( 38 ). L’ARNm et la protéine de pointe du vaccin circulant ont été détectés dans le plasma quelques semaines à plusieurs mois après la vaccination ( 39 – 42 ). Une récente étude post-mortem a également découvert l’ARNm du vaccin dans les ganglions lymphatiques de la plupart des sujets 30 jours après l’exposition et moins fréquemment dans leur tissu cardiaque, mais pas dans le foie et la rate ( 43 ). Ainsi, à la lumière de ces éléments, nous devons admettre notre compréhension limitée de la manière dont différentes modifications de l’ARNm (modifications 5′ et 3′, utilisation de nucléotides uniques, etc.) affectent sa demi-vie in vivo dans le corps humain car aucune étude spécifique n’a été menée pour aborder ce problème.
Des ribonucléotides modifiés sont couramment incorporés dans les ARNm des vaccins COVID-19 pour diminuer leur réactogénicité innée ( 8 ). Malheureusement, leurs effets sur la fidélité de la traduction de l’ARNm n’ont été définis que récemment. L’incorporation de N 1 -méthylpseudouridine dans l’ARNm a entraîné un changement de cadre ribosomal de +1 in vitro et une immunité cellulaire chez la souris et l’homme vers +1 produits décalés de cadre à partir de la traduction de l’ARNm du vaccin BNT162b2 survenue après la vaccination ( 44 ). La présence de produits décalés et les réponses immunitaires adaptatives associées étaient spécifiques à cette plateforme car elles n’étaient pas détectables avec le vaccin ChAdOx1 nCoV-19 à base d’adénovirus ( 44 ). Reste à savoir si les produits modifiés chevauchent les séquences protéiques endogènes et peuvent contribuer au développement de réponses auto-immunes.
RépondreSupprimerDans quelle mesure les vaccins à ARNm-LNP sont-ils sûrs et efficaces ?
Les vaccins ARNm-LNP COVID-19, sur la base d’une analyse précoce des données des essais cliniques, ont été jugés sûrs et efficaces selon les données démographiques ( 45 , 46 ). Cependant, des études récentes évaluées par des pairs, une grande variété de rapports de cas en constante augmentation et des bases de données d’événements indésirables accessibles au public jettent des doutes sur la sécurité et l’efficacité de ces produits.
Sécurité
Une analyse minutieuse et une réanalyse des données des essais cliniques Pfizer et Moderna dirigées par le Dr Doshi, un expert en essais cliniques, ont révélé un risque excessif d’événements indésirables graves (EIG) particulièrement intéressant avec les vaccins Pfizer et Moderna contre la COVID-19.
Ensemble, il y avait un risque 16 % plus élevé d’EIG chez les receveurs du vaccin à ARNm ( 47 , 48 ). Cela concorde avec une admission récente du ministre allemand de la Santé selon laquelle environ 1 cas de dommages graves/permanents sur 10 000 ( 49 ). Les données du Countermeasures Injury Compensation Program (CICP) montrent que sur un total de 13 406 demandes CICP jamais déposées, 12 854 étaient des demandes de contre-mesures contre le COVID-19, dont 9 682 allèguent des blessures/décès dus aux vaccins COVID-19 ( 50 ).
Rapports de cas évalués par des pairs, y compris, mais sans s’y limiter, des événements inflammatoires/auto-immuns graves de la moelle osseuse ( 51 – 55 ), du foie ( 56 – 58 ), de la peau ( 59 – 64 ), cardiovasculaires ( 65 – 77 ), musculo-squelettiques ( 76 , 78 , 79 ), endocriniens ( 80 – 84 ) et nerveux ( 66 , 84 – 87 ), etc. qui ont parfois été mortels, ont augmenté régulièrement. Cependant, l’incidence des EIG est difficile à évaluer sur la base du seul nombre de ces rapports ( 88 ). Pour compléter les données des rapports de cas, nous avons effectué une analyse limitée des données accessibles au public du Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), cogéré par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) et la FDA ( 89 ). Selon le VAERS, tous les rapports de décès et certains événements graves présentant un intérêt font l’objet d’une enquête ( 89 ). Les analyses reflètent les divers effets indésirables de ces traitements rapportés dans la littérature et pourraient fournir des informations sur l’incidence (Figure 1). Par rapport à tous les autres vaccins non liés à la COVID-19 combinés, l’incidence des événements indésirables est bien plus élevée pour les vaccins contre la COVID-19 à base d’ARNm-LNP par million de doses administrées (Figure 1A). Les décès et les EIG surviennent également souvent peu de temps après l’injection (Figure 1B), ce qui rend plus probable qu’il s’agisse d’une conséquence du vaccin et non d’un simple événement aléatoire. Néanmoins, il est essentiel de souligner qu’on ne peut établir un lien de causalité simplement en examinant les rapports du VAERS. La relation causale entre le vaccin à ARNm-LNP et les EIG n’a été officiellement reconnue que par les agences de réglementation pour les péricardites et les myocardites touchant principalement les jeunes hommes ( 90 ). Alors que la plupart des patients symptomatiques pourraient être de jeunes hommes, des tests physiologiques in vivo récents , tels que l’absorption du glucose cardiaque, ont montré une augmentation de 40 % du nombre de patients vaccinés asymptomatiques, quels que soient leur sexe et leurs données démographiques ( 91 ), suggérant potentiellement un impact beaucoup plus large. Ces résultats sont également étayés par une étude post-mortem, dans laquelle une autopsie a révélé une inflammation cardiaque et la présence d’ARN vaccinal ( 43 ). Il reste à déterminer si l’augmentation des crises cardiaques et des décès chez les jeunes ( 92 , 93 ) pourrait être liée à ces vaccins.
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Les vaccins à ARNm contre la COVID-19 sont associés à une incidence plus élevée d’événements indésirables par rapport aux autres vaccins. (UN) .
RépondreSupprimerEfficacité
L’efficacité de ces traitements pour prévenir les infections et limiter la propagation du virus a été fortement érodée par rapport aux premiers rapports ( 94 ), et aujourd’hui, leur efficacité se limite principalement à potentiellement réduire la gravité de la maladie et la mortalité chez les personnes sensibles ( 95 ). L’inflammation excessive provoquée par une réaction excessive du système immunitaire (tempête de cytokines) est l’une des caractéristiques pathologiques majeures chez les patients atteints de COVID-19 sévère ( 96 ). Ainsi, hypothétiquement, si l’exposition au vaccin à ARNm-LNP conduit à une réponse inflammatoire systémique atténuée, cela pourrait expliquer pourquoi la vaccination a également réduit la gravité de la maladie dans le cas des variantes delta et omicron, auquel cas les anticorps induits par les vaccins d’origine étaient non ( 97 ), ou peu neutralisant ( 98 ). À l’appui de cette hypothèse, le groupe du Dr Netea a signalé une réactivité transcriptionnelle atténuée des cellules immunitaires et une diminution des réponses à l’interféron de type I chez les individus vaccinés à une stimulation virale secondaire ( 97 ), tandis que notre groupe a décrit l’inhibition des réponses immunitaires adaptatives et l’altération de la forme immunitaire innée. chez les souris avec cette plateforme ( 99 ). L’environnement immunotolérant induit par ces vaccins est en outre étayé par des études récentes qui ont découvert une corrélation entre un nombre accru de doses antérieures de vaccin à ARNm et un risque plus élevé d’attraper le COVID-19 ( 100 – 102 ). Ainsi, ces données suggèrent que l’efficacité de ces vaccins pour réduire la gravité de la maladie et la mortalité pourrait résider dans leurs caractéristiques immunosuppressives jusqu’alors inconnues. Ces résultats soulignent en outre la nécessité de mener des études précliniques rigoureuses pour limiter les conséquences inattendues potentielles des nouvelles plateformes.
Événements indésirables associés à l’ARNm-LNP – à la fois inflammatoires et inhibiteurs
RépondreSupprimerLes EIG signalés avec la plateforme ARNm-LNP sont très divers. Les EIG sont probablement causés par la combinaison des composants du vaccin ARNm-LNP ( 103 ) et potentiellement par la toxicité directe et l’action biologique de la protéine de pointe elle-même ( 104 – 108 ). Ici, nous nous concentrerons sur les EIG probablement médiés par le système immunitaire. Les EIG peuvent être divisés en catégories inflammatoires et anergiques/inhibiteurs d’un point de vue immunologique. Les effets secondaires inflammatoires comprennent des réactogénicités aiguës (fièvre, maux de tête, fatigue, myalgie et arthralgie, frissons, etc.) ( 45 , 46 ), un CARPA inflammatoire/auto-immun à médiation anti-PEG ( 109 ) et d’autres événements connexes impliquant l’activation du systèmes immunitaires innés et adaptatifs. Les effets secondaires anergiques, c’est-à-dire la suppression immunitaire, sont présentés comme une réactivation du virus où des virus comme le virus varicelle-zona (VZV) ( 110 , 111 ) et le virus de l’hépatite C ( 112 ) réapparaissent après l’injection du vaccin à ARNm COVID-19. En outre, il a également été signalé qu’ils augmenteraient probablement les risques de sensibilité aux infections ( 100 , 101 , 113 ) et potentiellement de perturbation de l’immunosurveillance du cancer ( 114 – 117 ). Comment une plateforme peut-elle à la fois activer et supprimer les réponses immunitaires ?
Réponses inflammatoires
Comme indiqué ci-dessus, la nature inflammatoire de ce traitement est liée au composant lipidique ionisable des LNP ( 12 ), qui, en effet, pourrait encore être accentué par des contaminants pro-inflammatoires potentiels, tels que l’ARNdb ( 7 ). Les réponses de réactogénicité aiguë observées avec ces produits thérapeutiques, telles que fièvre, maux de tête, fatigue, myalgie, arthralgie, frissons, etc., sont probablement déclenchées par la libération d’une variété de quantités élevées de cytokines inflammatoires innées, telles que l’IL-1β, l’IL. -6, GM-CSF et interféron de type I ( 7 , 12 ) lors de l’exposition. Cet environnement inflammatoire induit par ce traitement et le fait que l’ARNm-LNP a des effets additifs avec d’autres agents inflammatoires, tels que le LPS ( 118 ), pourraient potentiellement favoriser les poussées de maladies auto-immunes préexistantes et/ou créer des conditions propices au développement de nouvelles réponses auto-immunes. chez les personnes sensibles. Étant donné que l’ARNm-LNP se diffuse dans tout le corps ( 6 , 10 , 41 , 42 ) et que les LNP peuvent délivrer l’ARNm dans n’importe quel type de cellule et permettre sa traduction, il est raisonnable d’envisager une traduction hors cible de la protéine d’intérêt dans non-APC, qui pourraient alors être attaqués par les réponses immunitaires adaptatives spécifiques à l’antigène ( 103 ). Par conséquent, la destruction des cellules exprimant des protéines de pointe ou des protéines décalées par le système immunitaire dans tout le corps pourrait être responsable de certains des EIG signalés avec cette plateforme, tels que le bras COVID, la péri/myocardite et les réponses inflammatoires affectant le cerveau. , foie, moelle osseuse, etc.
Réponses tolérogènes
RépondreSupprimerL’observation selon laquelle la protection contre l’infection par l’omicron diminuait progressivement au fil des mois après le rappel et du septième mois et par la suite, l’incidence de l’infection était plus élevée chez les personnes ayant reçu le rappel que chez celles ayant reçu uniquement la série primaire ( 119 ), et l’incidence du COVID-19 augmente avec le nombre d’injections ( 100 – 102 ) et l’immunoréactivité diminue ( 97 ), et les virus peuvent se réactiver ( 110 , 112 ), et les patients atteints de cancer rechutent ou un nouveau cancer se développe ( 114 – 117 , 120 ), semble indiquer que l’exposition au La plateforme ARNm-LNP met des personnes ou certaines personnes dans un état semi-immunodéficient/immunosupprimé. Dans le même ordre d’idées, des études sur des souris ont montré que même une exposition unique à l’ARNm-LNP ou au LNP peut inhiber les réponses immunitaires adaptatives et modifier la forme immunitaire innée de manière héréditaire ( 99 ). Même si une exposition unique a diminué la susceptibilité à une infection grippale ultérieure, les souris sont devenues nettement moins résistantes à une infection systémique à levures. Si l’augmentation de l’incidence des sepsis ( 121 ), nosocomiales ( 113 , 122 ) et de certaines infections fongiques ( 123 – 126 ) est liée à la vaste exposition à la plateforme ARNm-LNP ou au COVID-19 et/ou à d’autres maladies liées à une pandémie. Il reste encore des mesures à prendre.
Les lipides ionisables des LNP sont synthétiques et on estime qu’ils ont une demi-vie in vivo de 20 à 30 jours ( 5 ). Ainsi, l’exposition à ces vaccins peut entraîner un niveau élevé d’inflammation précoce suivi d’un niveau faible et durable d’inflammation chronique. L’inflammation chronique peut entraîner une non-réactivité et une anergie du système immunitaire ( 127 ), contribuant ainsi potentiellement à une partie de la réactivation virale et à une susceptibilité accrue aux infections signalées en association avec cette plateforme. En outre, comme présenté ci-dessus, les preuves suggèrent que contrairement aux attentes, l’ARNm de pointe peut également rester intact pendant des mois après la vaccination par ARNm, permettant ainsi l’expression à long terme de la protéine de pointe. Cela est en corrélation avec la présence de centres germinaux qui durent des mois. Une stimulation continue avec des antigènes peut conduire à des réponses aberrantes des lymphocytes T et B. Une exposition continue à l’antigène pourrait favoriser le passage d’un isotype à l’IgG4 récemment observé chez environ la moitié des individus recevant trois doses d’un vaccin à ARNm, mais pas par des vaccins à adénovirus ( 128 , 129 ). Une exposition antérieure à une infection naturelle par le SRAS-CoV-2 a empêché les vaccins à ARNm d’induire une commutation des IgG4 ( 130 ), ce qui indique que l’amorçage initial du système immunitaire imprime et détermine l’immunité humorale ultérieure. L’IgG4 est généralement considérée comme anti-inflammatoire et connue pour faciliter mal l’opsonisation, la fixation du complément et la toxicité cellulaire dépendante des anticorps. Néanmoins, il peut également être pathogène dans le cas de la maladie auto-immune pemphigus vulgaris et de certaines formes de myasthénie grave ( 131 ). Les maladies liées aux IgG4 semblent également présenter un risque plus élevé de cancer global ( 132 ). L’induction de cellules B productrices d’IgG4 repose sur l’aide d’un sous-ensemble de cellules T folliculaires auxiliaires (Tfh) caractérisées par la production de quantités élevées d’IL-10 ( 133 ). Ces cellules Tfh productrices d’IL-10 sont générées en présence d’une stimulation antigénique continue et ont été identifiées pour la première fois dans une infection virale chronique ( 133 ), et se sont ensuite révélées présentes dans des maladies humaines liées aux IgG4 ( 134 ). Il reste à déterminer si la plate-forme ARNm-LNP induit ce type unique de cellules Tfh et la pertinence in vivo du passage observé à l’isotype IgG4 avec la plate-forme ARNm-LNP ( 135 ).
Notre laboratoire a récemment proposé un autre mécanisme complémentaire potentiel à la suppression immunitaire ( 99 ). On pense que l’activation et la différenciation des cellules T en cellules effectrices reposent sur trois signaux reçus des cellules présentatrices d’antigènes (APC), telles que les cellules dendritiques (DC). Le premier signal est sous forme de peptide-CMH, le deuxième signal est une co-stimulation liée à la membrane et le troisième signal est sous forme de cytokines solubles. Si les lymphocytes T reçoivent le troisième signal avant le premier, on parle de stimulation hors séquence, ce qui peut entraîner la mort des lymphocytes T ou les rendre anergiques et insensibles ( 136 , 137 ). L’exposition à l’ARNm-LNP ou au LNP entraîne une libération rapide de cytokines inflammatoires ( 12 ), y compris des interférons de type I ( 7 ), connus pour induire une stimulation hors séquence, ce qui expose probablement les cellules immunitaires adaptatives, y compris les cellules T. , à un environnement inflammatoire avant que l’ARNm ne soit traduit en protéine et présenté sur les CD. Ainsi, avec une forte probabilité, l’un des défauts potentiels de la plateforme ARNm-LNP, contrairement aux vaccins de la vieille école où la présentation de l’antigène et l’inflammation coïncident, est qu’elle expose les cellules immunitaires adaptatives à une stimulation hors séquence, qui pourrait s’aggraver en cas d’exposition ultérieure. Pour apporter des preuves expérimentales qu’une stimulation hors séquence pourrait exister avec la plate-forme ARNm-LNP, nous avons transféré des cellules T CD4 naïves marquées de manière congénique Eα-spécifiques dans des souris WT B6, puis nous avons exposé les souris à l’ARNm-LNP ou au LNP ou au PBS. . Deux semaines plus tard, certaines souris n’ont pas été traitées tandis que d’autres ont été immunisées avec l’antigène Eα pour déclencher la prolifération des cellules T transférées. Quatre jours plus tard, l’analyse des ganglions lymphatiques drainant la peau a révélé une diminution d’environ dix fois du nombre de lymphocytes T transférés de manière adoptive chez les animaux exposés à l’ARNm-LNP ou au LNP, quel que soit leur statut vaccinal ( 99 ). Ainsi, ces données suggèrent que l’environnement inflammatoire créé par les LNP est préjudiciable aux cellules T naïves. Dans une autre série d’expériences, nous avons comparé l’effet de l’ARNm-LNP et du LNP à l’IFNα, ou à des facteurs induisant une inflammation ou une infection grippale, sur la survie de cellules T CD4 naïves transférées de manière adoptive. Semblable à l’ARNm-LNP et au LNP, nous avons constaté une diminution du nombre de précurseurs de lymphocytes T si nous traitions les souris avec de l’interféron de type I (IFNα et poly (I:C) (déclenche la sécrétion d’interféron de type I) (Figure 2). La dose élevée de LPS a conduit à un phénotype intermédiaire, tandis que l’exposition sublétale à la grippe n’a eu aucun effet significatif sur les cellules T CD4 transférées de manière adoptive (Figure 2).
RépondreSupprimerL’effet n’était pas limité aux cellules TEα puisque les cellules T OT-II CD4 répondaient de la même manière (données non présentées). Il reste à déterminer si les cellules T endogènes sont affectées de la même manière. Notamment, les changements observés étaient probablement systémiques puisque les organes de drainage direct, les ganglions lymphatiques drainant la peau et la rate distante présentaient des tendances similaires. Ces données concordent avec nos découvertes précédentes selon lesquelles l’exposition à l’ARNm-LNP ou au LNP conduit à une inhibition systémique des réponses immunitaires adaptatives ( 99 ). Tous les traitements utilisés, à l’exception de l’exposition à la grippe, ont entraîné une diminution significative du nombre de lymphocytes T naïfs transférés. L’absence d’effet avec la grippe n’était pas due à une absence d’infection puisque les souris exposées au virus ont perdu beaucoup de poids (données non présentées). L’exposition au LPS, bien qu’à un degré inférieur, a également réduit le nombre de lymphocytes T naïfs. Il reste à déterminer si l’effet dans ce cas a été médié par d’autres cytokines que l’interféron de type I ou par induction indirecte de l’interféron de type I, ou si l’effet pourrait être limité à la dose élevée de LPS que nous avons utilisée. Dans l’ensemble, ces données soutiennent l’existence potentielle d’une stimulation hors séquence médiée par l’interféron de type I avec la plateforme ARNm-LNP. Cependant, d’autres études seront nécessaires pour identifier les détails mécanistiques de l’inhibition et déterminer si ces données sont transposables à l’homme.
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Figure 2
L’exposition à l’ARNm-LNP et à d’autres réactifs producteurs d’IFN de type I peut induire une stimulation hors séquence. Conception expérimentale. Les souris ont été transférées de manière adoptive avec des cellules TEα par la veine de la queue un jour avant l’exposition à différents types de réactifs inflammatoires par les voies indiquées. Deux semaines plus tard, des ganglions lymphatiques et des rates drainants et non drainants ont été prélevés pour la détection des cellules TEα par cytométrie en flux. Graphiques de flux représentatifs montrant les cellules TEα (CD4+CD90.1+, isolées de la population CD3+ vivante) de différents organes dans chaque condition de traitement, et le diagramme à barres résumé correspondant (en bas). Les données ont été regroupées à partir d’au moins deux expériences indépendantes. Chaque point représente une souris. Le niveau relatif de cellules TEα a été normalisé par rapport au groupe PBS. Les comparaisons entre le groupe PBS et les groupes de traitement ont été effectuées par un test ANOVA unidirectionnel.
Quo Vadis ARNm-LNP ?
RépondreSupprimerPlusieurs effets secondaires graves ont été rapportés avec la plateforme ARNm-LNP, qui, pour préserver la santé humaine, doivent être soigneusement étudiés et traités avant une utilisation ultérieure. Nous pensons que rendre le lipide ionisable biodégradable, réduisant ainsi sa demi-vie in vivo , pourrait potentiellement résoudre ou limiter la présence d’une inflammation chronique, préjudiciable aux réponses immunitaires adaptatives. Dans le même ordre d’idées, la demi-vie de l’ARNm doit également être soigneusement ajustée pour éviter une stimulation antigénique chronique des cellules T et B. Il faut définir si le composant lipidique ionisable des LNP, similaire au LPS ( 138 , 139 ), peut favoriser la tolérance innée lors d’expositions multiples. Lors de la conception de vaccins, en particulier de rappels ciblant de nouveaux variants potentiels, il convient de prendre en compte l’immunologie de base sur la manière dont la dose d’antigène, les anticorps préexistants et le péché antigénique originel ( 140 ) pourraient affecter le résultat. La stimulation hors séquence avec la plateforme ARNm-LNP pourrait être diminuée en utilisant une conception « intelligente » qui déclencherait l’inflammation seulement après que l’antigène ait été traduit à partir de l’ARNm et qu’il soit prêt à être présenté à la surface des APC. La formulation actuelle des LNP les fait s’accumuler dans des organes spécifiques plus que dans d’autres, une caractéristique qui persistera quelle que soit la charge d’ARN. Ainsi, pour réduire le risque d’induire des réponses auto-immunes et de tuer les cellules du soi, l’ARNm-LNP devrait être ciblé sur les CD afin de limiter l’expression des antigènes aux seules APC ( 103 ). La génération de produits décalés en raison de l’utilisation de nucléotides spécifiques non standard devrait être corrigée comme proposé ( 44 ). Pour apaiser les inquiétudes des gens concernant la sécurité de l’ARNm, des études devraient être menées chez les PSN et les humains sur la demi-vie in vivo des ARNm et sur l’existence d’ une transcription in vivo dans l’ADN et d’une éventuelle insertion génomique. Enfin, étant donné que des données réelles ont révélé de graves lacunes potentielles dans le contrôle qualité, une surveillance plus stricte des sociétés pharmaceutiques par des responsables de la santé indépendants est souhaitable et devrait être mise en œuvre sans délai.
Morsures de cerveau
RépondreSupprimerPlusieurs questions fondamentales persistent concernant les mesures liées à la pandémie et l’adoption de cette nouvelle plateforme vaccinale. Plutôt que de prôner la rétractation et la censure ( 141 ), il est crucial de favoriser un dialogue ouvert, prenant en compte toutes les perspectives et employant la logique et le raisonnement pour une meilleure préparation future. Même si certains, malgré les préoccupations présentées ci-dessus ou discutées ailleurs ( 142 , 143 ), soutiendraient probablement que les mesures étaient justifiables, citant des vies sauvées, la robustesse des données à l’appui soulève d’importantes questions. Les estimations reposant sur une modélisation mathématique ( 144 ) nécessitent un examen minutieux, notamment en ce qui concerne la qualité des données d’entrée. Par exemple, le fait de s’appuyer sur les statistiques officielles du nombre de morts et de ne pas tenir compte des variations démographiques du taux de mortalité par infection virale (IFR ; probabilité de décès si vous êtes infecté) soulève des questions sur l’exactitude des chiffres rapportés. Pourquoi les statistiques officielles incluent-elles à la fois les personnes décédées du COVID-19 et celles qui en sont mortes ? Pourquoi le CDC estime-t-il les hospitalisations et les décès associés à la grippe pour la population adulte, arguant qu’il ne peut pas être déterminé avec précision ( 145 ), mais peut nous donner des chiffres exacts pour le COVID-19 ? Les données IFR ( 146 , 147 ) confirment-elles les chiffres officiels du nombre de morts ?
La vaccination de masse sans précédent avec un vaccin qui protège de manière minimale contre l’infection et la propagation du virus ( 94 ) pendant une pandémie suscite des réflexions critiques : était-ce une stratégie judicieuse ? L’immunité collective était-elle une attente réaliste ? Cette stratégie a-t-elle par inadvertance accéléré les mutations du virus, et une concentration plus ciblée sur les populations vulnérables aurait-elle pu donner de meilleurs résultats ? ( 148 – 156 ) La décision d’opter pour la plateforme ARNm-LNP par rapport aux méthodes traditionnelles nécessite un examen minutieux, compte tenu à la fois de ses avantages (vitesse de production, facilité de mise à jour) et de ses limites (brevets, contraintes de production, prix abordable, inconnues à court et à long terme). effets secondaires à terme). Pourquoi se concentrer sur une seule protéine virale présentant un taux de mutation élevé ? La fonctionnalité de mise à jour facile des vaccins était-elle essentielle pour lutter contre les variantes ? Pourquoi les connaissances de base en immunologie sur la façon dont la dose d’antigène, les rappels répétés, les anticorps préexistants, le péché antigénique, etc. affectent le système immunitaire ont-elles été pour la plupart ignorées pendant la pandémie ?
Au milieu d’un ensemble commun de connaissances scientifiques, les décisions divergentes de pays comme la Suède, qui ont choisi de ne pas recommander la vaccination pour des groupes d’âge spécifiques ( 157 ), ont maintenu les écoles ouvertes et ont signalé qu’aucun enfant atteint du COVID-19 n’est décédé ( 158 , 159 ), soulignent le nécessité d’une compréhension plus approfondie des diverses perspectives. Pourquoi censurer la « Déclaration de Great Barrington » ( 160 ) qui prônait un modèle similaire à celui de la Suède, mettant l’accent sur la protection des personnes vulnérables ? ( 161 ) Cette liste d’enquêtes en cours met en évidence la complexité nuancée de ces questions, appelant à un examen approfondi.
Aller de l’avant
RépondreSupprimerDe nombreuses discussions ont porté sur l’impact de scientifiques influents qui préconisent des mesures drastiques pour lutter contre l’hésitation à la vaccination et l’érosion de la confiance du public, compromettant potentiellement la liberté académique par la censure et l’intimidation. Cependant, pendant la pandémie, des mesures telles que faire taire les voix dissidentes, associées à des décisions politiques souvent fondées sur des hypothèses plutôt que sur des données expérimentales solides, ont pu, par inadvertance, miner à la fois la science et la confiance du public. Pour rétablir la confiance, il est crucial de revenir aux principes fondamentaux de la recherche scientifique. Les scientifiques devraient adopter leur formation et s’engager à remettre en question chaque affirmation, quelle qu’en soit la source. Cette approche protège contre la pensée de groupe et la mentalité de troupeau. Une analyse rigoureuse de toutes les données disponibles en faisant appel à une pensée critique et à un jugement raisonné, non affecté par des conflits d’intérêts, est essentielle pour formuler une perspective complète. Communiquer de manière transparente et honnête avec la société est tout aussi vital. Conscients des incertitudes inhérentes à la biologie, nos représentants devraient transmettre à la fois ce qui est connu et ce qui reste incertain. La science est intrinsèquement dynamique, en perpétuelle évolution à mesure que de nouvelles connaissances émergent. Il est impératif de souligner que rien en biologie n’est absolu et que la poursuite des connaissances exige un questionnement et une exploration continus. En adhérant à ces principes, nous pouvons favoriser une confiance renouvelée dans le processus scientifique et dans sa capacité de croissance et de perfectionnement.
https://pgibertie.com/2024/10/22/les-autorites-savent-que-le-pfizer-et-le-moderna-sont-defectueux-pourquoi-nont-elles-pas-pris-de-decision-de-retrait-nous-ne-parlons-pas-ici-de-lempoisonnement-par-la-spike/
Bill Gates finance de nouveaux vaccins corona accessibles dans le monde entier
RépondreSupprimer23 octobre 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
La Fondation Bill et Melinda Gates finance des programmes de recherche préclinique et des essais pour le nouveau « vaccin conjugué » expérimental contre le Corona. La Fondation Gates et le fabricant du vaccin, Inventprise Inc., affirment que la technologie de conjugaison peut être produite de manière beaucoup plus économique que les vaccins à ARNm.
Ils se vantent que les nouveaux clichés seront « accessibles dans le monde entier » et pourront être fabriqués rapidement dans une « usine de fabrication à grande échelle hautement automatisée ». À ce jour, la seule étude vantant le prétendu succès de la plateforme technologique de conjugaison vient de la Fondation Gates et d’Inventprise Inc.
Les vaccins à ARNm, qui ont fait l’objet d’une forte promotion au début et pendant la pandémie, présentaient des problèmes de durée de conservation et nécessitaient de les conserver à des températures très basses.
De plus, il a été démontré que les injections expérimentales présentent des risques bien plus élevés en termes d’événements indésirables que le virus qu’elles sont conçues pour combattre.
Gates, un investisseur majeur dans BioNTech, a plaidé en faveur de vaccins capables de bloquer la transmission et de prévenir l’infection, connus sous le nom d’« immunité stérile ». Cependant, les préparations d’ARNm injectées dans le haut du bras ne peuvent pas le faire. Gates a même qualifié la variante Omicron de vaccin, reconnaissant ainsi que l’infection crée une immunité stérile, contrairement à la vaccination. De toute façon, le nouveau vaccin ne peut pas faire cela, mais il est censé être efficace contre les variantes.
Inventprise, basée à Redmond, dans l'État de Washington, a financé, comme Microsoft, une étude sur le nouveau « vaccin conjugué ». Sans surprise, les auteurs de l’étude se sont montrés positifs à l’égard des nouveaux vaccins.
Les vaccins conjugués sont des vaccins dans lesquels l'antigène est lié à une molécule porteuse protéique. Ce couplage peut renforcer la réaction immunitaire. Les vaccins conjugués comportent plusieurs composants, mais ne contiennent généralement qu'un seul antigène et doivent donc être distingués des vaccins combinés, qui contiennent plusieurs antigènes.
Les chercheurs impliqués dans l'étude étaient affiliés soit à Inventprise, basé à Redmond, soit au Conseil national de recherches du Canada.
RépondreSupprimerDans l’ étude de Melanie Carroll et al, publiée dans SSRN, intitulée « Sars-Cov-2 Conjugate Vaccine Elicits Robust Immune Responses that Can Protect Against Evolving Variants
L'étude a été dirigée par Ivan A. Olave , docteur en biochimie formé à Rutgers. Olave est également vice-président des vaccins viraux chez Inventprise, Inc.
Dans la publication de l’étude, qui n’a pas encore été évaluée par des pairs, les chercheurs affirment :
« Dans l’ensemble, cela démontre un vaccin offrant une protection croisée remarquablement large et le potentiel de protéger sur une période plus longue malgré les mutations, sans avoir besoin de rappels coûteux ou d’ajustements antigéniques.
« Ces techniques peuvent également être appliquées aux nouvelles souches du SRAS-Cov-2 et à d’autres virus, soulignant les avantages de la conjugaison protéine-protéine.
« De tels vaccins pourraient être produits dans notre installation de production à grande échelle hautement automatisée, permettant une production économique de vaccins efficaces et à faible coût pour les zones qui en ont de grands besoins.
Cependant, ils n’expliquent pas pourquoi il pourrait y avoir un besoin urgent d’un nouveau vaccin contre le coronavirus.
Dons politiques de Gates
En plus de financer des vaccins expérimentaux, Bill Gates a discrètement fait don de 50 millions de dollars à une organisation à but non lucratif soutenant la candidature présidentielle de la vice-présidente Kamala Harris, rapporte le New York Times , citant trois sources.
Bien que Gates n’ait pas publiquement soutenu Harris, son don important est allé à Future Forward, un groupe « d’argent noir » qui soutient sa campagne. Les fonds doivent rester anonymes, indique le rapport.
"Le don de M. Gates est allé spécifiquement à la branche à but non lucratif de Future Forward, Future Forward USA Action, qui, en tant qu'organisation 501(c)(4) "d'argent noir", ne divulgue pas ses donateurs, selon les personnes informées du sujet. . Par conséquent, aucun don de M. Gates n’apparaîtra jamais dans les archives publiques », ont précisé les médias.
RépondreSupprimerSelon le New York Times, Gates a fait part de ses inquiétudes lors de conversations privées avec des amis et d'autres personnes cette année concernant l'impact potentiel d'une seconde présidence de Donald Trump sur les programmes mondiaux de santé et de planification familiale, a déclaré le New York Times, citant des sources proches du dossier de Gates. les pensées sont familières.
https://tkp.at/2024/10/23/bill-gates-finanziert-neue-weltweit-zugaengliche-corona-impfstoffe/
Pourquoi l’EMA retient-elle les documents divulgués comme un secret d’État ?
RépondreSupprimer23 octobre 2024
par le Dr. Silvia Behrendt
L'Agence européenne des médicaments (EMA) a jusqu'à présent refusé de manière constante et systématique de mettre à la disposition du public dans une base de données les documents qu'elle devait divulguer aux citoyens de l'UE intéressés conformément au règlement sur la transparence 1049/01. L'EMA a même refusé de publier simplement une liste d'informations sur le nombre et les documents délivrés au cours d'une certaine période. Même une plainte déposée à ce sujet auprès du Médiateur européen contre cette compréhension non transparente des tâches de l'EMA n'a pas abouti.
Ce problème était particulièrement évident dans l'initiative PSUR4doctors ( a rapporté TKP ). L’EMA a inutilement fait attendre pendant des mois les 130 médecins qui ont demandé des données essentielles de pharmacovigilance pour les vaccins anti-Covid, alors qu’ils les avaient divulgués depuis longtemps. Lorsqu’on lui a demandé quels documents étaient des « rééditions », l’EMA n’a pas fourni de réponse, malgré l’intervention du Médiateur européen contre cette compréhension non transparente du bureau. Selon la jurisprudence des tribunaux européens, les documents de l'UE distribués dans le cadre du règlement sur la transparence de l'UE sont ouverts à l'ensemble du public et ne nécessitent plus de vérification fastidieuse des droits des tiers, mais doivent être divulgués dans les 14 jours. Cependant, cela n’est pas encore contrôlé.
Et comme l’EMA est la seule à posséder des informations sur qui, quand et quels documents ont été divulgués, ses actions administratives restent opaques et échappent à tout contrôle. D'après les connaissances de l'Agence pour la sécurité sanitaire mondiale, l'EMA ne respecte généralement pas les délais lors de la divulgation d'informations en raison de délais d'attente excessivement longs et aime noircir les documents en faveur des intérêts pharmaceutiques et ne révèle pas s'il s'agit d'une nouvelle demande ou d'un document qui a déjà été divulgué.
La question se pose maintenant de savoir pourquoi l'EMA - contrairement à la Commission européenne qui, entre autres, à la suite d'une plainte du Médiateur européen, a créé une base de données avec les documents publiés ( EASE Portal ) et a amélioré ses actions administratives à cet égard - traite les informations sur les documents divulgués comme un secret d'État défendu ?
Toute personne intéressée peut désormais rechercher elle-même cette question. Une demande explicite de l'Agence pour la responsabilité sanitaire mondiale a permis de vaincre la politique de confidentialité de l'EMA. En vertu du règlement sur la transparence lui-même, l’autorité de l’UE a été contrainte par l’agence de divulguer des informations sur les divulgations en vertu de cette base juridique de 2020 à mars 2024. La seule et dernière opportunité pour les citoyens d'exiger des informations contraignantes de la part des autorités de l'UE et ainsi d'exercer un contrôle sur les institutions européennes et de découvrir les abus de pouvoir.
RépondreSupprimerLa liste maintenant soumise par l’EMA révèle que moins de demandes que prévu de la part des citoyens européens concernés concernant les vaccins anti-Covid pour 2020-2024 ont été formulées par rapport à ce que prétendait l’EMA. La plupart des publications sur les vaccins Covid concernent l'initiative PSUR4doctors ( TKP publie les données en permanence ).
De nombreux documents divulgués contiennent également des données essentielles sur la sécurité des médicaments qui pourraient intéresser un public plus large. L'aide du public est donc nécessaire pour contraindre à nouveau l'EMA à rendre disponibles sur Internet les documents divulgués conformément à la liste. D’autres institutions européennes peuvent également le faire.
Chaque citoyen de l'UE est autorisé à demander jusqu'à 2 documents de cette liste de manière informelle en utilisant un formulaire en ligne , en indiquant que le document a déjà été publié. Dans l'intérêt de la sécurité des médicaments, la politique de secret de l'EMA doit cesser et ses actions administratives doivent être plus étroitement surveillées.
https://tkp.at/2024/10/23/warum-haelt-die-ema-offengelegte-dokumente-wie-ein-staatsgeheimnis-zurueck/
Prochaines étapes pour l'interdiction de l'ARNm en Australie
RépondreSupprimer23 octobre 2024
de Thomas Oysmüller
La contamination par l'ADN des traitements à ARNm Covid de Pfizer et Moderna pourrait conduire à une interdiction des injections en Australie.
Plus de 4 100 agents municipaux australiens ont été informés d’une contamination excessive de l’ADN dans les flacons Pfizer et Moderna Covid. Cela faisait suite à une première proposition mondiale – et acceptée – d’un conseiller de Port Hedland. TKP en a fait état. La proposition pourrait conduire à une interdiction de l’ARNm en Australie.
Cela nécessite que les problèmes urgents de sécurité liés aux vaccins à ARNm soient pris en compte. C'est pourquoi le conseiller municipal de Port Hedland, Camilo Blanco, a envoyé un e-mail à 4 100 hommes politiques locaux australiens. Dans ce document, les hommes politiques sont invités à lire le rapport du virologue Dr. David Speicher ( a rapporté TKP ) devrait être pris en compte. Cela montre que la contamination résiduelle par l’ADN synthétique dans les flacons australiens d’ARN modifié (mod-RNA) est jusqu’à 145 fois supérieure à la limite autorisée par les autorités réglementaires.
La journaliste australienne Rebekkah Barnett rapporte les développements ultérieurs :
Les conseillers ont également reçu des copies de lettres envoyées au Premier ministre par le député indépendant de Monash Russell Broadbent appelant à la suspension immédiate des vaccins Pfizer et Moderna en raison d'une contamination par l'ADN.
La dernière lettre, cosignée par 52 éminents scientifiques et universitaires, prévient que la contamination de l’ADN présente un « risque important » pour l’intégration génomique et des effets à long terme sur la santé, notamment le cancer.
Dans une déclaration vidéo publiée aujourd'hui sur les réseaux sociaux, Broadbent a félicité le conseil municipal de Port Hedland, un port minier majeur, d'avoir été le premier à se joindre à ses efforts pour une enquête réglementaire sur le problème de contamination.
"Port Hedland, connue comme la salle des machines de l'Australie, a un grand cœur et des gens forts", a déclaré Broadbent.
« Les déclarations publiques des membres de la communauté qui ont souffert de maladies graves, de cancers soudains et de décès inattendus ont été vraiment déchirantes. »
« Ces membres de la communauté exigent des réponses – des réponses que tous les Australiens méritent. »
Quelques jours après l'adoption de la motion, les conseillers de Port Hedland m'ont dit qu'ils recevaient des appels de conseillers enthousiastes de toute l'Australie exprimant leur intérêt à présenter une motion similaire dans leurs propres communautés.
RépondreSupprimerDr. Julie Sladden, médecin et conseillère municipale de West Tamar en Tasmanie, a déclaré que le problème "très important" de la contamination de l'ADN dans les seringues Mod-RNA devrait préoccuper les conseillers.
"Les conseils ne sont pas seulement responsables des frais et des déchets, comme cela a été décrit dans les médias à la suite de la demande du conseil municipal de Port Hedland", a déclaré le Dr. Sladden, faisant référence aux reportages des médias qui se moquaient du conseil municipal de Port Hedland pour s'être saisi de la question.
« Les conseils ont un mandat qui inclut les questions environnementales et sanitaires et, dans de nombreux cas, comme notre conseil, ils gèrent des programmes de vaccination.
« Si nous avions un problème de qualité de l'eau, un problème de sécurité routière ou tout autre problème menaçant la sécurité de notre communauté, nous écrivions aux autorités compétentes.
Dr. Sladden, qui travaille comme conseillère auprès de Broadbent et a écrit sur la question de la contamination de l'ADN pour le Spectator et le Brownstone Institute , a déclaré qu'elle avait été personnellement approchée par des membres de la communauté qui ont exprimé leurs inquiétudes concernant les vaccins à ARN mod apportés.
"Il n'est pas nécessaire de chercher très loin pour constater que la santé des Australiens ne va pas bien en ce moment", a déclaré le Dr. Sladden.
« Il s’agit vraiment d’obtenir des réponses aux questions qui ont été soulevées. »
https://tkp.at/2024/10/23/naechste-schritte-zum-mrna-verbot-in-australien/
Cibler la connexion mitochondrie-cellule souche dans le traitement du cancer : un protocole orthomoléculaire hybride
RépondreSupprimerBaghli I, et al.
aimsib.org
mar., 22 oct. 2024 16:58 UTC
Nous publions cette semaine avec un vif plaisir un travail international réellement passionnant mené par le chercheur Pierrick Martinez et qui a réuni de nombreux scientifiques de premier plan dont l'un de nos membres depuis 2018, le Dr Paul Bousquet (*). Quel protocole anticancer innovant pourrait être mis au point en recherchant un rapport efficacité / tolérance réellement révolutionnaire ? Hélas, cette thérapeutique ne prônerait que des molécules médicamenteuses sans brevet, de la vitamine C injectée en intra-veineuse interdite en France, du sport, etc... Rien qui pourrait susciter le moindre espoir de gain boursier pour quiconque, mais bien de la vie supplémentaire sans souffrance pour nos malades atteints de maladies cancéreuses. Ainsi va la vie de la science indépendante, bonne lecture.
Résumé
La théorie de la connexion mitochondrie-cellule souche (MSCC) suggère que le cancer prend naissance à partir d'une insuffisance chronique de phosphorylation oxydative (OxPhos) dans les cellules souches. Cette insuffisance d'OxPhos conduit à la formation de cellules souches cancéreuses (CSCs) et à un métabolisme énergétique anormal, aboutissant finalement à la malignité. Ce concept intègre deux théories bien établies : la théorie des cellules souches cancéreuses et la théorie métabolique. S'appuyant sur des connaissances en biologie moléculaire, en pharmacologie et sur des études cliniques, ce manuscrit présente un protocole orthomoléculaire hybride ciblant la MSCC. Le protocole inclut 7 recommandations thérapeutiques, composées d'orthomolécules, de médicaments et de thérapies supplémentaires. L'objectif de ce protocole orthomoléculaire hybride est de produire des effets additifs et synergiques pour améliorer l'OxPhos, inhiber les principaux carburants des cellules cancéreuses (glucose et glutamine), cibler les CSCs et les métastases. Ainsi, de nombreuses expériences suggèrent que cibler la MSCC pourrait constituer une approche thérapeutique potentielle pour le traitement du cancer.
Introduction
RépondreSupprimerDe nombreuses théories existent sur l'origine du cancer, notamment la théorie métabolique (Seyfried & Chinopoulos, 2021), la théorie des mutations somatiques (SMT) (Hanahan & Weinberg, 2000), la théorie des cellules souches cancéreuses (Capp, 2019), et la théorie de l'organisation des tissus (Soto & Sonnenschein, 2011). Une étude récemment publiée a introduit un nouveau concept, la connexion mitochondrie-cellule souche (MSCC) (Martinez et al., 2024). Ce concept combine la théorie des cellules souches cancéreuses et la théorie métabolique. La théorie MSCC suggère que le cancer provient d'une altération de la phosphorylation oxydative (OxPhos) dans une ou plusieurs cellules souches, ce qui peut potentiellement conduire à la formation de cellules souches cancéreuses (CSCs) et, par conséquent, à la tumorigénèse. Cette connexion entre les CSCs et les mitochondries semble être cruciale à tous les stades du cancer (Martinez et al., 2024). La MSCC s'aligne sur la théorie métabolique du cancer mais met spécifiquement l'accent sur le rôle crucial des CSCs à chaque stade de la maladie. Cependant, la MSCC diffère de la théorie des CSCs, qui présente généralement le cancer comme une maladie génétique. Ainsi, de nombreuses thérapies anticancéreuses standard sont basées sur la SMT et ciblent généralement l'ADN des cellules cancéreuses (van den Boogaard et al., 2022 ; Sia et al., 2020). Ces thérapies ne restaurent pas l'OxPhos et l'altèrent parfois même (Averbeck & Rodriguez-Lafrasse, 2021 ; Gorini et al., 2018). De plus, les thérapies standards ne ciblent que les cellules en masse et ne peuvent pas cibler les CSCs (Lytle et al., 2018), alors que ce sont les CSCs qui ont le plus fort potentiel tumorigène (Adams & Strasser, 2008) et qui sont impliquées dans les métastases. Ces informations pourraient expliquer en partie les résultats observés avec les nouvelles thérapies anticancéreuses. En effet, Ladanie et al. ont montré que, ces quinze dernières années, les nouvelles thérapies ont conduit à une amélioration de la survie globale de 2,4 mois (Ladanie et al., 2020), tandis que Del Paggio et al. ont rapporté une amélioration de 3,4 mois au cours des trente dernières années (Del Paggio et al., 2021).
Ainsi, après avoir passé en revue la littérature sur diverses thérapies capables de cibler la MSCC, nous avons sélectionné, sur la base d'études in vitro et in vivo, plusieurs orthomolécules, médicaments et thérapies supplémentaires qui ont démontré leur capacité à améliorer l'OxPhos, à réduire les carburants fermentescibles et à cibler les CSCs et les métastases. De plus, lorsque cela est étayé par la littérature scientifique, nous avons inclus des études de cas de guérisons par monothérapie chez l'humain. À partir de cette combinaison, nous avons développé un protocole orthomoléculaire hybride, qui est proposé comme une nouvelle stratégie thérapeutique pour le cancer.
Points clés de la MSCC :
RépondreSupprimerUne altération de l'OxPhos peut initier la tumorigénèse dans une ou plusieurs cellules souches normales, conduisant à la formation de CSCs (Martinez et al., 2024).
Le degré de malignité pourrait être directement corrélé à une diminution significative des mitochondries et de la capacité respiratoire totale dans les cellules tumorales (Elliott et al., 2012; Pedersen, 1978; Seyfried et al., 2020).
Pour croître et survivre, les cellules cancéreuses ont besoin des principaux carburants que sont le glucose et la glutamine pour compenser l'insuffisance d'OxPhos. L'altération respiratoire entraîne une surexpression des oncogènes et une inactivation des gènes suppresseurs de tumeurs, qui contribuent au métabolisme énergétique anormal du cancer. À ce jour, aucune preuve n'a démontré la croissance de cellules tumorales, y compris les CSCs, en l'absence de carburants fermentescibles (glucose, pyruvate ou glutamine) (Lee et al., 2024 ; Liao et al., 2017 ; Holm et al., 1995 ; Mathews et al., 2014 ; Pastò et al., 2014).
Le microenvironnement tumoral (conséquence de l'altération mitochondriale) est caractérisé par un pH bas (acide), une hypoxie, de l'entropie, de la pression et de la déformation, une température accrue, un stroma, une rotation altérée de l'eau cytoplasmique et une bioélectricité ou un champ électromagnétique atténué (Martinez et al., 2024).
Les métastases restent la principale cause de mortalité par cancer. Selon la MSCC, elle survient en raison de la fusion hybridée entre les CSCs et les macrophages (Martinez et al., 2024 ; Seyfried & Huysentruyt, 2013).
Ces principes sont applicables à tous les types de cancer.
Médecine orthomoléculaire pour cibler la connexion mitochondrie-cellule souche (MSCC)
Vitamine C
RépondreSupprimerLes propriétés anticancéreuses de la vitamine C sont connues depuis plus de 50 ans (Mussa et al., 2022). La vitamine C démontre des effets cytotoxiques sur les cellules cancéreuses in vitro et in vivo (Fan et al., 2023). In vitro, la vitamine C seule est plus efficace que la chimiothérapie (cisplatine) pour induire l'apoptose dans les cellules cancéreuses du côlon (Wang et al., 2016). In vivo, la vitamine C réduit significativement le poids de la tumeur et le nombre de métastases dans le cancer du pancréas, tandis que la chimiothérapie standard (gemcitabine) augmente ces paramètres (Polireddy et al., 2017). Dans le carcinome hépatocellulaire in vivo, la vitamine C réduit les cellules souches cancéreuses (CSC) et le volume tumoral, alors que la thérapie conventionnelle (cisplatine) réduit le volume tumoral mais augmente les CSCs (Lv et al., 2018). La vitamine C peut directement pénétrer l'environnement intracellulaire de la tumeur, réduire le stress oxydatif, cibler les mitochondries des cellules cancéreuses et induire la mort des cellules cancéreuses, y compris des métastases (Roa et al., 2020 ; Wan et al., 2021). L'environnement intracellulaire alcalin des cellules cancéreuses, avec un pH compris entre 7,1 et 7,7, favorise la prolifération des cellules cancéreuses (Cardone et al., 2005 ; Gillies et al., 2002). La vitamine C, par son pH acide, pourrait désactiver ces adaptations environnementales, ce qui aurait des effets anticancéreux en compromettant la croissance tumorale et en inhibant la progression de la tumeur (Persi et al., 2018). Elle peut augmenter la production d'ATP en améliorant le flux électronique mitochondrial, rétablissant ainsi la respiration cellulaire et la fonction apoptotique (Gonzalez et al., 2010 ; Gonzalez et al., 2023).
La vitamine C peut cibler et éradiquer les CSCs (Bonuccelli et al., 2017 ; Lee, 2023 ; Satheesh et al., 2020) et protéger contre l'hypoxie et l'inflammation (Luo et al., 2022). Elle peut induire l'apoptose dans les cellules cancéreuses résistantes aux médicaments, inhiber la prolifération incontrôlée des cellules cancéreuses et la propagation métastatique (Butt et al., 2020). De plus, la vitamine C peut provoquer la polarisation des macrophages M2 en macrophages M1, ce qui pourrait être particulièrement pertinent pour inhiber la propagation des métastases, car les macrophages M2 sont impliqués dans ces dernières (Ma et al., 2022). De fortes doses intraveineuses de vitamine C ont montré qu'elles pouvaient tuer les cellules cancéreuses sans affecter les cellules normales (Chen et al., 2005 ; Chen et al., 2008 ; Ngo et al., 2019). Par exemple, des doses élevées de vitamine C intraveineuse peuvent induire la mort cellulaire apoptotique dans les lignées cellulaires tumorales via un mécanisme pro-oxydant (Gonzalez et al., 2010 ; Kc et al., 2005 ; Mussa et al., 2022).
Dans les cellules normales, la vitamine C pénètre dans les mitochondries sous sa forme oxydée via les récepteurs du glucose (Glut1) et protège les mitochondries contre les lésions oxydatives (Kc et al., 2005). Ainsi, la vitamine C peut directement entrer en compétition avec le glucose pour pénétrer dans les cellules via les récepteurs de glucose.
RépondreSupprimerLa glycolyse et la glutaminolyse jouent un rôle majeur dans le métabolisme des cellules cancéreuses. La vitamine C a la capacité d'inhiber la glycolyse (Aguilera et al., 2016 ; Park et al., 2018 ; Yu et al., 2023) et la synthèse du glutamate (Zeng et al., 2022). Elle peut spécifiquement limiter la synthèse de la glutamine en inhibant la glutamine synthétase (GS), ce qui entraîne une diminution du glutathion et une augmentation des espèces réactives de l'oxygène (ROS), conduisant ainsi à la mort cellulaire (Long et al., 2021). L'inhibition de GS peut inverser le phénotype des macrophages M2 et favoriser la polarisation des macrophages M1, réduisant ainsi les niveaux intracellulaires de glutamine et éliminant les métastases (Wei et al., 2020). Ceci explique la dépendance à la glutamine observée dans les cancers avancés (Seyfried et al., 2020) et confirme le rôle de la vitamine C dans les cancers métastatiques.
Les pionniers du traitement du cancer par la vitamine C intraveineuse, Cameron et Pauling, ont observé une amélioration des temps de survie pour de nombreux types de cancer (poumon, estomac, côlon, sein, rein, rectum, et vessie). Ils ont observé des temps de survie multipliés par 55 après 1 an chez les patients atteints de cancer en phase terminale, traités par des injections intraveineuses d'ascorbate : 22 % dans le groupe traité et 0,4 % dans le groupe témoin, pour des patients considérés incurables après traitement standard. Leur intervention consistait en une injection intraveineuse de 10 g/jour pendant environ 10 jours, puis un traitement oral (Cameron & Pauling, 1978). La Mayo Clinic a tenté de reproduire ces résultats, mais la vitamine C intraveineuse a été remplacée par de la vitamine C orale, ce qui explique l'échec de la reproduction des résultats (Moertel et al., 1985). Les concentrations plasmatiques, et donc les effets de la vitamine C, sont bien plus faibles avec la supplémentation orale (Mikirova, 2017). Plusieurs études de cas ont été publiées par l'équipe de la clinique Riordan et leurs collaborateurs, rapportant des régressions tumorales chez des patients ayant reçu de la vitamine C intraveineuse (Riordan et al., 2000 ; Riordan et al., 2004 ; Sebastian et al., 2006). De plus, Li et ses collègues ont montré que la prise régulière de vitamines antioxydantes (vitamines A, C et E) pouvait réduire la mortalité par cancer (Li et al., 2012). Cependant, l'action antioxydante de la vitamine C devrait être principalement utilisée dans la prévention du cancer (Deruelle & Baron, 2008), car les antioxydants peuvent parfois favoriser la croissance tumorale (Long et al., 2021).
Vitamine D
RépondreSupprimerLa vitamine D a montré des effets anticancéreux in vitro et in vivo pour presque tous les types de cancer (Chakraborti, 2011 ; Seraphin et al., 2023). Comme la vitamine C, elle cible les mitochondries en améliorant le métabolisme et en régulant la respiration mitochondriale (Matta Reddy et al., 2022 ; Quigley et al., 2022). La vitamine D peut également cibler les CSCs et les métastases (Marigoudar et al., 2022 ; Wu et al., 2019), et inhiber les voies de la glycolyse et de la glutaminolyse (Sheeley et al., 2022 ; Zhou et al., 2016). Il a été observé qu'une supplémentation quotidienne en vitamine D peut réduire la mortalité globale liée au cancer, mais cela n'a pas été observé avec des doses de charge importantes administrées moins fréquemment (Keum et al., 2022). Les patients atteints de cancer sont souvent carencés en vitamine D et peuvent bénéficier d'une thérapie efficace avec un risque minimal (Hohaus et al., 2018), y compris par voie intraveineuse (Dressler et al., 1995 ; Fakih et al., 2007 ; Trump, 2018). Un rapport de cas détaille un patient âgé atteint d'un cancer du pancréas avancé qui ne pouvait pas subir de chimiothérapie, de radiothérapie ou de chirurgie. À la place, le patient a reçu une dose quotidienne de 50 000 UI de vitamine D3 pendant 9 mois et a connu une période prolongée sans progression de la maladie, bien au-delà de ce qui aurait été attendu avec une chimiothérapie conventionnelle (Cannon et al., 2016).
Chandler et ses collègues ont montré un effet préventif de la supplémentation en vitamine D chez des patients avec un indice de masse corporelle (IMC) normal, démontrant une réduction de 37 % de l'incidence des cancers métastatiques (24 cancers dans le groupe vitamine D contre 39 dans le groupe placebo) et une réduction de 42 % de la mortalité par cancer (38 personnes dans le groupe vitamine D contre 68 dans le groupe placebo). La dose utilisée était de 2 000 UI/jour, la dose quotidienne recommandée pour un individu en bonne santé (Chandler et al., 2020). Une récente étude contrôlée randomisée sur la supplémentation en vitamine D (2000 UI/j de vitamine D3 contre un placebo) a révélé que les patients atteints de cancer gastro-intestinal, réactifs au p53, ont connu une réduction significative des récidives ou de la mortalité associée à la supplémentation en vitamine D sur une période de près de six ans de suivi (Kanno et al., 2023). Des méta-analyses d'études observationnelles portant sur au moins 12 types de cancers différents ont rapporté des corrélations inverses entre les niveaux sériques de 25-hydroxyvitamine D [25(OH)D] et l'incidence du cancer (Muñoz & Grant, 2022).
Zinc
RépondreSupprimerLa supplémentation en zinc a été recommandée comme traitement adjuvant possible pour le cancer (Costello & Franklin, 2017 ; Hoppe et al., 2021). Le zinc protège spécifiquement les mitochondries des dommages causés par les espèces réactives de l'oxygène générées comme sous-produits de la respiration mitochondriale (Zhang et al., 2018). Il a été démontré que la supplémentation en zinc induit le transport du pyruvate mitochondrial, la phosphorylation oxydative et la production d'ATP à la fois dans des conditions normales et dans un stress oxydatif toxique in vitro (Yang et al., 2017). Dans les cellules cancéreuses ovariennes humaines, le zinc induit la dégradation des mitochondries et restaure l'apoptose, en particulier s'il est introduit avec des ionophores de zinc (Chen et al., 2020). Le zinc peut supprimer les propriétés de type cellules souches cancéreuses dans les cancers oraux et du sein in vitro (Chu et al., 2023 ; Xu et al., 2022), réduire l'expression des marqueurs de cancérogénicité et améliorer la sensibilité à la chimiothérapie dans les cellules du cancer colorectal (Ye et al., 2022). Un excès de zinc peut bloquer de manière irréversible la production d'énergie des cellules cancéreuses, entraîner une perte de NAD+ et inhiber la glycolyse cellulaire (Wu et al., 2022).
Un total de 151 publications confirme le lien entre la carence en zinc et la malignité (Sugimoto et al., 2024). La carence en zinc est impliquée dans de nombreux cancers, y compris ceux de l'œsophage, du foie, du poumon, du sein, du côlon, et d'autres encore (Lu et al., 2006 ; Tamai et al., 2020 ; Wang Y. et al., 2019 ; Wu et al., 2015). Le zinc montre une toxicité envers les cellules cancéreuses sans présenter d'effets secondaires sur les cellules saines, et sa carence est corrélée négativement avec les taux de survie (Gelbard, 2022 ; Sugimoto et al., 2024). Comme la vitamine C, le zinc pourrait avoir un effet pro-oxydant spécifique sur les cellules cancéreuses (Aljohar et al., 2022).
Médicaments potentiels pour cibler la connexion mitochondrie-cellule souche cancéreuse (MSCC)
Plusieurs agents pharmaceutiques peuvent cibler principalement les voies génétiques associées aux cellules souches cancéreuses (CSC), notamment le Vismodegib, le Glasdegib, le MK-0752, l'OMP-54F28 et le Selinexor (Zhou et al., 2021). D'autres agents pharmaceutiques ont été proposés pour cibler les mitochondries, tels que la Metformine pour l'OxPhos (Ward et al., 2017 ; Zheng et al., 2023), la Doxycycline, la Tigécycline et la Bedaquiline pour la biogenèse mitochondriale ; le médicament Mdivi-1 pour la dynamique mitochondriale ; et le liposome 188Re et l'inhibiteur liensinine pour bloquer la mitophagie (Jagust et al., 2019 ; Praharaj et al., 2022). La plupart du temps, ces agents ne restaurent pas l'homéostasie mitochondriale (Liu Y. et al., 2023), car leurs actions spécifiques altèrent ou ne rétablissent que partiellement les dysfonctionnements. L'altération de la fonction mitochondriale avec des agents pharmaceutiques doit être envisagée avec prudence, car cela peut être très dangereux pour les cellules saines (Vuda & Kamath, 2016).
Médicaments réorientés (hors AMM) pour cibler la MSCC
Ivermectine
RépondreSupprimerUn antiparasitaire dérivé d'une bactérie appelée Streptomyces avermitilis, l'Ivermectine possède des propriétés anticancéreuses et induit l'autophagie et l'apoptose des cellules cancéreuses (Liu et al., 2020). L'Ivermectine a montré un impact significatif sur diverses lignées cellulaires cancéreuses (Juarez et al., 2020), induisant l'apoptose des cellules cancéreuses in vivo (Sharmeen et al., 2010) et réduisant significativement le volume tumoral par rapport à un contrôle (Juarez et al., 2020). Elle induit l'apoptose des cellules cancéreuses par médiation mitochondriale (Juarez et al., 2018 ; Tang et al., 2021). L'Ivermectine peut cibler et réguler les isoformes de la pyruvate kinase musculaire lors de la dernière étape de la glycolyse (Li et al., 2020). Elle peut inhiber la glycolyse en induisant l'autophagie (Feng et al., 2022) et avoir un effet pro-oxydant sélectif sur les cellules cancéreuses (Wang et al., 2018). Elle peut également cibler les CSCs et les métastases (Dominguez-Gomez et al., 2018 ; Jiang et al., 2022) ainsi que les macrophages (Zhang et al., 2022). In vitro, l'Ivermectine est plus efficace pour inhiber les CSCs dans les cellules du cancer du sein comparé à la chimiothérapie (paclitaxel) (Dominguez-Gomez et al., 2018). In vivo, l'Ivermectine seule est plus efficace que la chimiothérapie standard (gemcitabine) pour réduire le poids et le volume de la tumeur dans le cancer du pancréas (Lee et al., 2022). L'Ivermectine est un médicament très sûr. Chez des volontaires sains, la dose unique a été augmentée à 2 mg/kg, et aucune réaction indésirable grave n'a été observée (Guzzo et al., 2002). Une autre étude a montré que les patients atteints de cancer qui ont pris de l'Ivermectine à cinq fois la dose standard (jusqu'à 1 mg/kg) quotidiennement pendant 180 jours consécutifs n'ont présenté aucun effet indésirable grave (de Castro et al., 2020). Dans des cas traités avec succès avec une combinaison totale ou partielle d'Ivermectine, dichloroacétate et Oméprazole (plus Tamoxifène), l'Ivermectine a inhibé la croissance tumorale par dysfonction mitochondriale et a conduit à l'apoptose (Ishiguro et al., 2022).
Benzimidazoles
Une autre famille de médicaments appelés Benzimidazoles possède des capacités anticancéreuses prometteuses, notamment le Fenbendazole et le Mébendazole. Le Mébendazole et le Fenbendazole sont très similaires sur le plan structurel et tout aussi efficaces contre le cancer (Bai et al., 2011 ; Florio et al., 2019 ; Schmit, 2013), à la fois dans des modèles in vitro et in vivo (Song et al., 2022). Cependant, seul le Mébendazole est approuvé par la FDA pour une utilisation chez l'homme (Impax, 2016). Les Benzimidazoles ont des effets anticancéreux par la polymérisation des microtubules, l'induction de l'apoptose, l'arrêt du cycle cellulaire (G2/M), l'anti-angiogenèse, le blocage des voies du glucose (Son et al., 2020) et de la glutamine (Mukherjee et al., 2023). L'apoptose est induite par des lésions mitochondriales et médiée par l'expression de p53 (Mukhopadhyay et al., 2002 ; Park et al., 2022). Les Benzimidazoles ciblent également les CSCs et les métastases (Son et al., 2020 ; Song et al., 2022), et donc les cellules cancéreuses chimiorésistantes (cisplatine) (Huang et al., 2021). Le Mébendazole était plus puissant contre les lignées cellulaires du cancer gastrique que d'autres médicaments chimiothérapeutiques bien connus (5-fluorouracile, oxaliplatine, gemcitabine, irinotécan, paclitaxel, cisplatine, étoposide et doxorubicine) in vitro (Pinto et al., 2015). Le Mébendazole a prolongé de manière significative la survie comparativement à la chimiothérapie standard (témozolomide) dans le glioblastome multiforme in vivo (Bai et al., 2011).
Le Mébendazole est considéré comme un médicament sûr. Chez les patients pédiatriques atteints d'hydatidose, le traitement à long terme par Mébendazole (50 mg/kg par jour pendant 9 à 18 mois) n'a entraîné aucun effet secondaire significatif (Göçmen et al., 1993). Les patients recevant 1 500 mg/jour de Mébendazole pour des gliomes n'ont également pas montré de toxicité liée au médicament (Chai et al., 2021). Des patients atteints de cancer gastro-intestinal réfractaire aux traitements participant à une étude de phase 2 avec des doses individualisées de Mébendazole, jusqu'à 4 g/jour, n'ont pas présenté d'effets secondaires graves (Mansoori et al., 2021). Un cas de quasi-rémission complète a été rapporté chez un patient atteint de cancer du côlon métastatique après avoir pris du Mébendazole, après échec des agents chimiothérapeutiques, y compris la Capécitabine, l'Oxaliplatine, le Bevacizumab, et l'Irinotécan (Nygren & Larsson, 2014). Dans un autre rapport de cas, un homme de 48 ans atteint d'un carcinome corticosurrénalien avait une progression de la maladie avec toutes les thérapies systémiques. Il a reçu du Mébendazole 100 mg deux fois par jour, en tant qu'agent unique. Ses métastases ont initialement régressé, puis sont restées stables. Pendant qu'il recevait du Mébendazole comme traitement unique pendant 19 mois, sa maladie est restée stable. Il n'a pas présenté d'effets secondaires cliniquement significatifs, et sa qualité de vie était satisfaisante (Dobrosotskaya et al., 2011). Des résultats similaires ont été observés avec le Fenbendazole ; trois patients atteints d'un cancer de stade IV (maladies génito-urinaires) ont été traités à une dose de 1 000 mg trois fois par semaine pendant plusieurs mois et ont connu une rémission complète de la maladie (Chiang et al., 2021). Deux des trois patients avaient connu une progression de la maladie métastatique malgré plusieurs lignes de traitement avant de commencer le Fenbendazole.
RépondreSupprimerDON (6-diazo-5-oxo-L-norleucine)
Le DON est un antagoniste spécifique de la glutamine, plus puissant que les Benzimidazoles. Le DON possède une activité antitumorale puissante in vitro et in vivo (Olsen et al., 2015). Il cible spécifiquement la glutamine et affecte également l'absorption du glucose (Leone et al., 2019). Le DON peut induire spécifiquement l'apoptose dans les cellules souches cancéreuses (Jariyal et al., 2021) et cibler les métastases (Shelton et al., 2010). De faibles doses quotidiennes de DON sont sans toxicité (Lemberg et al., 2018).
Interventions diététiques pour cibler la connexion mitochondrie-cellule souche cancéreuse (MSCC)
Jeûne
RépondreSupprimerLe jeûne induit une amélioration de l'activité mitochondriale grâce à l'augmentation de l'OxPhos, de l'autophagie et à l'inhibition de la glycolyse et de la glutaminolyse (Bianchi et al., 2015 ; Nencioni et al., 2018 ; Tiwari et al., 2022). Le jeûne peut entraîner la régénération des cellules souches « normales » (Mihaylova et al., 2018), mais peut également altérer les CSCs par le biais de l'autophagie (Nazio et al., 2019). L'inhibition ou la privation de glucose conduit à la mort des CSCs (De Francesco et al., 2018). In vivo, le jeûne a des effets anticancéreux et renforce l'activité des médicaments avec lesquels il est combiné (Nencioni et al., 2018). Prenant en compte les mécanismes moléculaires de la croissance tumorale, les chercheurs ont affirmé que « ... prescrire le jeûne comme un médicament anticancéreux n'est peut-être pas si éloigné si de grands essais cliniques randomisés consolident sa sécurité et son efficacité » (Deligiorgi et al., 2020).
Régime cétogène et thérapie métabolique aux cétones (KMT)
La cétose thérapeutique, administrée sous forme de régime cétogène ou de thérapie métabolique aux cétones (KMT), inhibe la croissance des cellules souches cancéreuses, restaure l'apoptose (Ji et al., 2020) et augmente la respiration cellulaire (Greco et al., 2016). Le régime cétogène présente des effets antitumoraux tant in vitro qu'in vivo, principalement en inhibant la voie de glycolyse dans divers types de cancer (Weber et al., 2018 ; Weber et al., 2020), et son efficacité a été démontrée chez des humains atteints de glioblastome multiforme (Elsakka et al., 2018 ; Zuccoli et al., 2010). Les bénéfices thérapeutiques maximaux du DON et du Mébendazole n'ont été observés que lorsque les médicaments étaient administrés conjointement avec un régime cétogène (Mukherjee et al., 2019 ; Mukherjee et al., 2023). De plus, l'association d'un régime cétogène et du DON réduit la toxicité du DON (Mukherjee et al., 2019). Un régime cétogène ou un jeûne pourrait inhiber les carburants nécessaires aux cellules cancéreuses (glucose et glutamine) tout en augmentant l'activité de l'OxPhos (Bianchi et al., 2015). Une étude de cas a rapporté la survie d'un patient atteint de glioblastome de grade IV vivant plus de 6 ans après le diagnostic, traité par réduction chirurgicale et un régime cétogène sous cétose thérapeutique sans chimiothérapie ni radiothérapie (Seyfried, Shivane et al., 2021). Foster a analysé 200 cas de régression spontanée du cancer et a montré que 87 % avaient opéré un changement majeur dans leur régime alimentaire, principalement de nature végétarienne, 55 % avaient utilisé une forme de désintoxication et 65 % avaient utilisé des suppléments nutritionnels (Foster, 1988). L'objectif du régime cétogène et de la thérapie métabolique aux cétones est de restreindre simultanément les voies de glycolyse et de glutaminolyse tout en transitionnant le corps dans un état de cétose pour cibler les cellules cancéreuses — à la fois les CSCs et les cellules non cancéreuses. En plus de la cétose métabolique, les études de supplémentation en cétones ont démontré que les cétones améliorent indépendamment la fonction mitochondriale (Woolf et al., 2016 ; Seyfried et al., 2017) et suppriment la croissance tumorale en ciblant les métastases et la plupart des caractéristiques du cancer (Poff et al., 2014 ; Poff et al., 2019).
Considérations thérapeutiques supplémentaires
RépondreSupprimerThérapie Press-Pulse
La thérapie Press-Pulse propose une thérapie à deux axes. L'axe « Press », qui consiste à suivre un régime cétogène associé à une gestion du stress. Et un axe Pulse, qui combine l'inhibition de la glycolyse par le 2-déoxyglucose (2-DG), l'inhibition de la glutaminolyse par le DON (6-diazo-5-oxo-L-norleucine), et l'oxygénothérapie hyperbare (HBOT) pour inverser l'hypoxie et induire un stress oxydatif spécifique au cancer (Seyfried et al., 2017). La théorie métabolique sous-jacente à la thérapie Press-Pulse est la plus proche de la théorie proposée de la MSCC.
Activité physique
Le diabète et l'obésité sont des facteurs de risque pour de nombreux cancers (Grant, 2024), probablement en raison de l'altération de l'OxPhos (Lewis et al., 2019), favorisant les CSCs (Hillers-Ziemer et al., 2020) et l'augmentation de l'effet Warburg (Zhang & Le, 2021). Ainsi, l'activité physique peut jouer un rôle protecteur. Les exercices d'endurance augmentent le volume des mitochondries, ce qui améliore la respiration mitochondriale (Baldwin et al., 1972 ; Jacobs & Lundby, 2013) et ses effets protecteurs sur les cellules saines (Kolodziej & O'Halloran, 2021). L'exercice diminue également l'activité glycolytique (Gibb et al., 2017). La production d'ATP et la respiration mitochondriale sont maximales pendant les entraînements réguliers d'intensité faible à modérée (Flockhart et al., 2021). L'activité physique soutient la régénération des tissus, en partie avec les cellules souches (Liu C. et al., 2023). Concernant spécifiquement les cellules cancéreuses, l'activité physique inhibe leur prolifération et induit l'apoptose (Wang & Zhou, 2021).
Oxygénothérapie hyperbare (HBOT)
L'hypoxie est une caractéristique essentielle des tumeurs malignes et implique une augmentation de la survie cellulaire, de l'angiogenèse, du métabolisme de la glycolyse et de la glutaminolyse, ainsi que des métastases. Il existe des preuves indiquant que l'oxygène est un médicament, en fonction de la dose (Poff et al., 2016) et que la HBOT a des effets inhibiteurs sur les tumeurs, surtout lorsqu'elle est combinée avec la KMT (Seyfried et al., 2014). La HBOT présente une activité antitumorale puissante tant in vitro qu'in vivo, qu'elle soit utilisée seule ou en combinaison (Moen & Stuhr, 2012). Les cellules tumorales peuvent s'adapter aux microenvironnements ischémiques et pauvres en nutriments par trois adaptations principales : le changement angiogénique, la dérégulation de l'apoptose et le changement de métabolisme (Daruwalla & Christophi, 2006). La HBOT peut cibler les CSCs et les métastases (Liu et al., 2021 ; Xiong et al., 2023) et augmenter l'OxPhos (Hadanny et al., 2022). La KMT est synergique avec la HBOT et déclenche un puissant effet synergique sur la suppression de la croissance tumorale et de la propagation métastatique dans des modèles précliniques de cancer métastatique et des rapports de cas humains (Elsakka et al., 2018 ; Poff et al., 2015 ; Poff et al., 2019).
Protocole orthomoléculaire hybride proposé
RépondreSupprimerSur la base de notre examen de la littérature scientifique, le protocole suivant combinant orthomolécules, médicaments et thérapies supplémentaires pour cibler la MSCC dans le traitement du cancer est proposé :
Vitamine C intraveineuse Cancers de grades intermédiaire et élevé : Dose de 1,5 g/kg/jour, 2-3 fois par semaine (Fan, et al., 2023). Établie comme une dose non toxique pour les patients cancéreux (Wang F. et al., 2019).
Vitamine D orale Tous les grades de cancer : Dose de 50 000 UI/jour pour les patients avec un taux sanguin ≤ 30 ng/mL ; 25 000 UI/jour pour des niveaux de 30-60 ng/mL ; et 5000 UI/jour pour des niveaux de 60-80 ng/mL. Établie comme une dose non toxique (Cannon et al., 2016 ; Ghanaati et al., 2020 ; McCullough et al., 2019). Il est nécessaire d'atteindre un taux sanguin de 80 ng/mL de vitamine D (25-hydroxyvitamine D (25(OH) D) (Kennel et al., 2010 ; Mohr et al., 2014 ; Mohr et al., 2015). Ce niveau est non toxique (Holick et al., 2011). Une fois ce niveau atteint, il doit être maintenu avec une dose quotidienne réduite d'environ 2 000 UI/jour (Ekwaru et al., 2014). La concentration sanguine de vitamine D doit être mesurée toutes les deux semaines pour les doses élevées et mensuellement pour les doses plus faibles.
Zinc Tous les grades de cancer : Dose de 1 mg/kg/jour, établie comme une dose non toxique pour les patients cancéreux (Hoppe et al., 2021 ; Lin et al., 2006). La plage de référence pour la concentration sérique de zinc est de 80 à 120 μg/dL (Mashhadi et al., 2016 ; Yokokawa et al., 2020). Une fois ce niveau atteint, il doit être maintenu avec une dose quotidienne réduite de 5 mg/jour (Li et al., 2022). La concentration sanguine de zinc doit être mesurée mensuellement.
Ivermectine Cancers de faible grade : Dose de 0,5 mg/kg, 3 fois par semaine (Guzzo et al., 2002). Cancers de grade intermédiaire : Dose de 1 mg/kg, 3 fois par semaine (Guzzo et al., 2002).Cancers de grade élevé : Dose de 1 mg/kg/jour (de Castro et al., 2020) à 2 mg/kg/jour (Guzzo et al., 2002).Toutes ces doses ont été établies comme tolérables pour les humains (Guzzo et al., 2002).
Benzimidazoles et DON Cancers de faible grade : Mébendazole : Dose de 200 mg/jour (Dobrosotskaya et al., 2011).Cancers de grade intermédiaire : Mébendazole : Dose de 400 mg/jour (Chai et al., 2021).Cancers de grade élevé : Dose de Mébendazole de 1 500 mg/jour (Son et al., 2020) ou de Fenbendazole 1 000 mg 3 fois par semaine (Chiang et al., 2021).Toutes ces doses ont été établies comme tolérables pour les humains (Chai et al., 2021 ; Chiang et al., 2021 ; Son et al., 2020). Les benzimidazoles peuvent être remplacés ou combinés avec le DON, administré sans toxicité ; par voie intraveineuse ou intramusculaire : 0,2 à 0,6 mg/kg une fois par jour ; ou par voie orale : 0,2 à 1,1 mg/kg une fois par jour (Lemberg et al., 2018 ; Rais et al., 2022). Les benzimidazoles sont beaucoup plus faciles à obtenir que le DON. Cependant, pour les cancers métastatiques, qui dépendent fortement de la glutamine (Seyfried et al., 2020), une combinaison de DON et de benzimidazoles devrait être envisagée (Mukherjee et al., 2023).
Interventions diététiques Tous les grades de cancer : Régime cétogène (régime pauvre en glucides et riche en graisses, 900 à 1 500 kcal/jour) (Weber et al., 2020).La thérapie métabolique aux cétones consiste en environ 60-80 % de graisses, 15-25 % de protéines et 5-10 % de glucides fibreux. Une hydratation adéquate et des repas cétogènes à ingrédient unique sont nécessaires pour atteindre un indice glucose-cétone (GKI) de 2,0 ou moins (Meidenbauer et al., 2015 ; Seyfried, Shivane et al., 2021). Le GKI doit être mesuré 2-3 heures après les repas, deux fois par jour si possible (Meidenbauer et al., 2015 ; Seyfried, Shivane et al., 2021).Cancers de grades intermédiaire et élevé : Le régime cétogène doit être associé à un jeûne hydrique pendant 3 à 7 jours consécutifs dans les cancers avancés (Phillips et al., 2022 ; Arora et al., 2023). Le jeûne hydrique doit être répété plusieurs fois (≈ tous les 3-4 semaines) tout au long du traitement (Nencioni et al., 2018), mais le jeûne doit être entrepris avec prudence chez les personnes utilisant certains médicaments et celles ayant un IMC < 20, afin de prévenir la perte de masse corporelle maigre. Pour les patients ne pouvant pas jeûner, le régime imitant le jeûne (300 à 1 100 kcal/jour de bouillons, soupes, jus, barres de noix et thés aux herbes) peut être utilisé (Nencioni et al., 2018).
RépondreSupprimerThérapeutiques supplémentaires Tous les grades de cancer : Activité physique modérée, 3 fois par semaine. Augmentation de la fréquence cardiaque et respiratoire pendant 45 à 75 minutes (Bull et al., 2020) avec des activités telles que le cyclisme, la marche, la natation, la course etc.Cancers de grades intermédiaire et élevé ou individus incapables de pratiquer une activité physique : Oxygénothérapie hyperbare, 1,5 à 2,5 ATA pendant 45 à 60 minutes, 2-3 fois par semaine (Gonzalez et al., 2018 ; Poff et al., 2015).
Le protocole doit être suivi pendant une durée moyenne de 12 semaines, quel que soit le type de cancer. L'analyse des interactions entre chacune des molécules n'a révélé aucune contre-indication à la combinaison de ces substances (ANSM, 2023 ; CRAT, 2024 ; Lemberg et al., 2018 ; Vidal, 2024). La posologie et la durée du traitement peuvent être ajustées par le médecin en fonction de chaque patient, de sa capacité à obtenir les diverses molécules et des résultats du traitement. L'adaptation du protocole pour inclure d'autres molécules pour restaurer la santé pourrait être envisagée par le médecin. Cela pourrait inclure : la vitamine K2 (Xv et al., 2018), la vitamine E (Abraham et al., 2019), le coenzyme Q10 (Liaghat et al., 2024), le bleu de méthylène (da Veiga Moreira et al., 2024), la niacinamide (Yousef et al., 2022), la riboflavine (Suwannasom et al., 2020), l'artémisinine + l'acide 5-aminolévulinique (pour induire une accumulation de porphyrines) (Adapa et al., 2024), la mélatonine (Mocayar et al., 2020), le NADH (Medjdoub et al., 2016) et le magnésium (Ashique et al., 2023), par exemple. Cependant, les sous-dosages, qui auraient un effet antioxydant plutôt que l'effet oxydant recherché, doivent être évités.
Cet effet additif et synergique de cette combinaison d'orthomolécules, de médicaments et de thérapies supplémentaires cible la MSCC en augmentant l'activité de l'OxPhos dans les mitochondries saines, offrant une action protectrice pour ces cellules. Cependant, dans les cellules cancéreuses, tant les CSCs que les non-CSCs, l'effet pro-oxydant de la combinaison induit l'apoptose. De plus, ce protocole cible spécifiquement les carburants fermentables, les CSCs et les macrophages, et donc les métastases. En bref, les points clés de la MSCC. Par conséquent, des études comparatives doivent être réalisées tant chez les animaux que chez les humains pour évaluer l'efficacité et la sécurité de ce protocole hybride par rapport aux thérapies standards.
Conclusion
RépondreSupprimerLa connexion mitochondrie-cellule souche pourrait être un élément clé dans l'approche thérapeutique du cancer. À la lumière des connaissances actuelles, nous avons sélectionné et proposons l'utilisation de molécules orthomoléculaires, de médicaments et d'autres thérapies spécifiques pour leur potentiel à raviver l'activité OxPhos cellulaire, et cibler les CSCs, la glycolyse et la glutaminolyse. Ces approches visent également à s'attaquer aux métastases créées par la fusion des cellules souches cancéreuses et des macrophages. De nombreuses expériences in vitro, chez les animaux et chez les humains soutiennent le rôle du ciblage de la MSCC dans la prévention et le traitement du cancer.
Source : https://isom.ca/article/targeting-the-mitochondrial-stem-cell-connection-in-cancer-treatment-a-hybrid-orthomolecular-protocol/. - 19 septembre 2024
Citation : Baghli I. et al. (2024) Targeting the Mitochondrial-Stem Cell Connection in Cancer Treatment: A Hybrid Orthomolecular Protocol. J Orthomol Med. 39.3. 1-16.
Conflits d'intérêts
Les auteurs ne déclarent aucun conflit d'intérêts.
Remerciements
Ce manuscrit est dédié à la mémoire de notre collègue et ami, le Dr Michael J. Gonzalez. Il a laissé un impact durable sur la médecine orthomoléculaire, et nous nous efforcerons de l'honorer à travers la publication de ce qui sera l'une de ses dernières contributions.
Ilyes Baghli¹, William Makis², Paul E. Marik³, Michael J. Gonzalez⁴,⁵,⁶, William B. Grant⁷, Ron Hunninghake⁸, Thomas E. Levy⁸, Homer Lim⁹, Richard Z. Cheng¹⁰, Igor Bondarenko¹¹, Paul Bousquet¹², Roberto Ortiz¹³, Mignonne Mary¹⁴, Dominic P. D'Agostino¹⁵, Pierrick Martinez¹⁶
1 Société Internationale de Médecine Orthomoléculaire, Toronto, ON, Canada
2 Alberta Health Services, Cross Cancer Institute, Edmonton, AB, Canada
3 Frontline COVID-19 Critical Care Alliance, Washington, DC, USA
4 Université de Porto Rico, Campus des Sciences Médicales, École de Santé Publique, San Juan, PR
5 Universidad Central del Caribe, École de Chiropratique, Bayamón, Porto Rico
6 EDP University, Programme des Sciences Naturopathiques, Hato Rey, Porto Rico
7 Centre de Recherche sur la Lumière Solaire, la Nutrition et la Santé, San Francisco, CA, USA
8 Riordan Clinic, 3100 North Hillside, Wichita, KS, USA
9 Akesis Holistic Health, Manille, Philippines
10 Cheng Integrative Health Center, Doctor's Weight Loss Center, Columbia, SC, USA
11 Institut Médical pour la Science et la Technologie Nutritionnelle, Riga, LV-1005, Lettonie
12 Association Internationale pour une Médecine Scientifique Indépendante et Bienveillante, Amiens, France
13 Association Mexicaine de Nutrition Orthomoléculaire, Mexico, Mexique
14 Remedy Room Médecine Intégrative, La Nouvelle-Orléans, LA, USA
15 Département de Pharmacologie Moléculaire et de Physiologie, Laboratoire de Médecine Métabolique, Morsani College of Medicine, Université de Floride du Sud, Tampa, FL, USA
16 Association Cancer et Métabolisme, 30000 Nîmes, France
Références :
(*) https://www.aimsib.org/2018/02/12/a-chers-confreres-affranchis-discours-convenus-1ere-partie/
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