- ENTREE de SECOURS -



lundi 7 octobre 2024

La guerre hybride contre nos enfants

 

58 commentaires:

  1. La guerre hybride contre nos enfants


    05.10.2024
    www.kla.tv/30681


    De tout temps, les enfants ont été un instrument convoité par les "aspirants au pouvoir" autoproclamés pour mettre en œuvre leurs idéologies et plans destructeurs. Et de nombreux despotes avaient déjà exploité sans vergogne leur esprit accessible. Mais il n'a jamais été aussi évident qu'aujourd'hui que nos enfants en particulier, et nous avec eux, sommes au milieu d'une guerre sur tous les fronts. Et peu importe où l'on regarde, nos enfants sont au centre de leur viseur. Comme des agneaux sans défense entourés de loups déchaînés. Kla.TV n'a fait qu'une petite sélection des informations reçues presque quotidiennement afin de vous faire comprendre, chers téléspectateurs, le caractère explosif et omniprésent des forces destructrices qui veulent priver nos enfants de leur insouciance et de toute protection. Et les institutions qui devraient servir de "refuge" aux enfants, en particulier, apparaissent ici de plus en plus comme des outils de ces loups.

    Divisé en six thèmes principaux par lesquels les enfants sont attaqués, nous vous guidons, chers téléspectateurs, à travers cette émission :

    ● Attaque du pouvoir législatif contre les enfants
    ● Attaque des établissements d'enseignement contre les enfants
    ● Attaque de l'Eglise contre les enfants
    ● Attaque des services de santé contre les enfants
    ● Attaque du monde financier contre les enfants
    ● Attaque de l'industrie du numérique et du divertissement contre les enfants

    Attaque du pouvoir législatif contre les enfants :

    Assouplissement de la loi pour les délinquants sexuels pédophiles
    En mai 2024, le gouvernement fédéral a décidé, dans le cadre d'une modification de la loi, de manière discrète et inaperçue, que la possession et la diffusion de pornographie enfantine ne seraient plus un crime en Allemagne ! Oui, vous avez bien entendu. La peine minimale encourue a été abaissée d'un an de prison à seulement trois à six mois et le crime a été réduit à un simple délit ! La raison : le ministre de la Justice Buschmann a fait valoir qu'il aurait fallu à plusieurs reprises enquêter sur des parents et des enseignants qui avaient partagé de la pornographie enfantine avec d'autres parents afin de les mettre en garde. Outre le fait qu'on ne comprend pas très bien pourquoi les images doivent absolument être jointes à la mise en garde, le journaliste Julian Reichelt avait déjà enquêté fin 2023 sur le fait qu'exactement UNE seule affaire de ce type avait effectivement été portée devant les tribunaux. Si on considère que chaque photo ou vidéo de pornographie enfantine a pour origine un crime réel, parfois grave, d'abus d'enfants, l'explication de Buschmann est poussée jusqu'à l'absurde. Mais au lieu d'une dissuasion, d'une punition sévère et d'un bannissement conséquent de la société, le gouvernement préfère "faire ami-ami" avec les pédophiles. Et ils se réjouissent déjà : le tristement célèbre groupe d'activistes pro-pédophiles "Krumme 13" a abondamment loué la modification de la loi sur son blog. Ils en rajoutent même une couche en demandant les excuses des députés à tous ceux qui ont été "victimes" de la loi de 2021. [En 2021, la loi a été renforcée]

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  2. Mariages avec des enfants : les délinquants sexuels pédophiles peuvent s’adonner librement à leurs penchants

    Le journaliste d'investigation Thomas Röper a publié un article sur Anti-Spiegel au sujet de la légalisation de la pédophilie. Les démocrates américains sont en train de légaliser progressivement la pédophilie aux Etats-Unis. Un travail de lobbying doit permettre d'éviter l'emploi du mot "pédophile" dans les médias et de le remplacer par exemple par la formulation suivante : "personnes attirées par les mineurs". La pédophilie ne doit plus être définie comme un délit, comme c'est le cas actuellement, mais comme une "orientation sexuelle immuable". Les pédophiles eux-mêmes ne doivent plus souffrir de stigmatisation. [Nathan Larson, un candidat au Congrès de l'État de Virginie, a déclaré publiquement en 2018 que les relations sexuelles entre un adulte et un enfant sont autorisées s'il existe un mariage entre eux, même si l'un des deux n'a que dix ans. En effet, la législation sur l'âge minimum du mariage dans les États américains est choquante. L'âge minimum est de 14 ans, bien qu'il y ait eu ces dernières années des cas documentés de personnes mariées âgées de 10 ans. La faiblesse des peines prononcées à l'encontre des auteurs de délits sexuels avec des enfants est tout aussi choquante. En Californie, des journalistes ont analysé des bases de données pénales en libre accès et ont découvert que sur les 7 000 auteurs condamnés pour des actes obscènes ou pervers sur des personnes de moins de 14 ans, aucun n'avait passé plus d'un an en prison ! Au lieu de profiter de ces statistiques alarmantes pour prendre des mesures plus sévères contre la pédophilie, la Californie adopte des lois qui encouragent les abus sur les enfants. En 2020, à l'initiative du sénateur californien gay Scott Wiener, la Californie a adopté une loi qui, dans certaines circonstances, ne reconnaît pas un pédophile comme un délinquant sexuel si la différence d'âge entre l'auteur et la victime est de dix ans ou moins. Ce qui est déterminant pour l'infraction d'abus sur un enfant, c'est quand même l'âge de l'enfant et non la différence d'âge avec un adulte !

    Attaque des établissements d'enseignement contre les enfants :
    Films à caractère sexuel à l'école primaire

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  3. Une modification du programme scolaire autrichien prévoit depuis l'automne 2023 des cours complets d'éducation sexuelle, les enfants sont sexualisés de manière ciblée dans presque toutes les matières scolaires. Une enseignante du district autrichien de Vöcklabruck a perturbé à plusieurs reprises des enfants de l'école primaire en leur donnant des cours d'éducation sexuelle abusifs. L'enseignante a montré à des élèves de troisième année (CE2) des photos réelles de diverses pratiques sexuelles. Suite à des plaintes de parents, il n'y a eu, au lieu de sanctions, qu'une promesse de l'enseignante et de la direction de l'école de s'abstenir à l'avenir de tels contenus inappropriés. Mais un an plus tard seulement, cette mauvaise influence s'est répétée. L'enseignante a seulement informé les parents d'un atelier avec une sage-femme qui ne posait pas de problème. Mais au lieu de cela, les élèves de l'école primaire ont eu droit à des explications détaillées, en mots et en images, sur des pratiques sexuelles dérangeantes, comme par exemple le thème de la fellation. Elle a notamment déclaré qu'on faisait l'amour ensemble même si "on ne s'aime pas trop" ! Elle a ensuite montré à la classe un film pornographique, dans lequel elle rembobinait sans cesse la scène de l'acte sexuel, obligeant les enfants à la regarder. De plus, l'enseignante a insisté auprès des enfants sur le fait qu'ils ne devaient pas parler du film, ni avec leurs parents, ni avec d'autres personnes ! L'affaire n'a été révélée qu'après que deux fillettes ont raconté, après le film, avoir fait des cauchemars dans lesquels elles étaient violées. Dr. Felix Böllmann, avocat chez ADF International [Aliance Defending Freedom : défense des droits de l'homme] a dit à ce sujet : "C'est incroyable ce qui s'est passé là. [...] Les parents ont le droit primordial et la responsabilité de prendre des décisions pour l'éducation et la formation de leurs enfants." "Les parents devraient être au courant des tenants et aboutissants [...] de l'"éducation sexuelle de la diversité" et être informés des risques d'abus. Les enfants ont droit à un enseignement de première qualité et doivent être protégés de l'idéologie [...]".
    Cet incident autrichien n'est malheureusement pas un cas isolé, il est représentatif de nombreuses autres violations de la dignité de nos enfants par l'école et les enseignants.

    Pour rappel, l'éducation sexuelle actuelle est basée sur les normes de l'OMS en matière d'éducation sexuelle.

    Elles ont été élaborées en 2010 par le célèbre pédagogue sexuel Uwe Sielert. Selon ses recommandations officielles, les enfants de 4 ans devraient être initiés à la masturbation et les élèves de l'école primaire devraient apprendre les critères d'un "sexe acceptable". Selon les normes de l'OMS, l'orgasme et le développement de l'identité sexuelle doivent également être enseignés à l'école primaire. Uwe Sielert a appris du criminel Helmut Kentler qui, dans les années 70 et 80, a confié des enfants à des pédophiles déjà condamnés dans le cadre d'une expérience encouragée par le Sénat de Berlin.
    [KentlerGate - Abus d'enfants sous la responsabilité de l'État www.kla.tv/26172]

    Les écoliers doivent recevoir une carte d'identité numérique

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  4. La ministre de l'éducation de Basse-Saxe, Julia Willie Hambourg, veut attribuer un numéro d'identification individuel à tous les élèves dès la rentrée scolaire. Elle a fait expliquer : "Au fond, l'objectif de la carte d'identité de l'élève est de représenter le parcours éducatif de chaque élève." L'ID doit permettre d'éviter que les enfants et les jeunes ne se perdent dans le système. [... ] "Tout le monde doit avoir la possibilité d'obtenir un diplôme." Le projet devrait être mis en œuvre d'ici 2027. Mme Hamburg n'a pas précisé ce qui serait exactement stocké sur la carte d'identité ni qui aurait accès aux données. Elle a fait valoir que pendant le Covid, "[..] des élèves ont disparu du système éducatif [...]." Mais rappelons-nous ce qui a provoqué cette situation : Les fermetures d'écoles que rien ne justifie, l'obligation de porter un masque indigne et dangereux, l'isolement forcé, l'affolement permanent d'être un danger pour les proches et bien d'autres choses encore étaient à l'origine de la baisse des performances. Les brimades totalement inutiles infligées aux enfants pendant la folie du Covid doivent maintenant être utilisées pour justifier leur surveillance totale. Par la petite porte et, comme toujours, sous le prétexte de vouloir seulement aider les enfants, la surveillance totale des citoyens doit désormais commencer dès l'enfance.

    Suivi des enfants avec des bracelets électroniques

    Un projet de l'école primaire suisse, l'école élémentaire, de Birmensdorf voulait tester une solution de suivi dans le domaine des structures de jour afin de pouvoir surveiller à tout moment l'endroit où se trouvent les élèves. Le personnel devrait être "activement informé" si un enfant s'éloigne du site sans autorisation. Il était dit que si les personnes chargées de l'accueil devaient consacrer "jusqu'à dix minutes" à la recherche d'un enfant, l'accueil des autres enfants n'était plus garanti. Toute l'idée est partie du responsable de la garderie, Joel Giger, qui est aussi le fournisseur de la technologie pour le système de suivi ! La directrice de l'Office de l'éducation du canton de Zurich, Myriam Ziegler, et la présidente de la commission scolaire de Birmensdorf, Bettina Köhler, n'y ont toutefois pas vu d'imbrication problématique. Köhler a déclaré à la NZZ : "Les responsables des structures de jour de l'école de Birmensdorf peuvent acquérir de nouvelles connaissances grâce au projet pilote et offrent en même temps à l'entreprise la possibilité de tester le produit avec des spécialistes." Quelqu'un se demande-t-il comment les enfants se sentent avec les menottes électroniques ? Les grands criminels portent des fers aux pieds, les enfants des menottes ? Les parents et les responsables de la protection des données ont parfois critiqué le projet. Il a rapidement été arrêté. La prochaine étape sera-t-elle "une puce sous la peau", une solution "bien meilleure" ? Un bracelet pourrait être retiré à tout moment...

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  5. Des cours de démocratie pour les élèves parce qu'ils ont "mal" voté

    Une école Anne Frank dans le Land de Hesse a organisé avec ses élèves un vote dit "junior" à l'occasion des élections européennes. Le résultat n'était sans doute pas très satisfaisant, la direction de l'école a soudain parlé d'un résultat "que nous ne voulons pas accepter sans réagir". Les quelque 84 % d'élèves qui ont voté l'ont fait de la manière suivante : Avec 26,7 %, la CDU a devancé d'une courte tête l'AfD (25,7 %) et le SPD (19,9 %). Die Partei (4,2 %) et Die Linke (3,7 %) sont arrivés loin derrière. Les autres partis ont obtenu ensemble 19,8 %.

    Le collège s'est réuni lors d'une réunion de service spécialement prévue à cet effet avec la présidence de l'association des parents d'élèves afin de discuter du résultat "monstrueux" de l'élection des juniors. L'objectif nouvellement déclaré : "Organiser l'éducation civique dans notre école de manière à ce que les élèves développent une compréhension plus profonde de la signification et des réalisations de notre démocratie." Au lieu de chercher à savoir ce qui a poussé les élèves à faire ce choix, puisqu'ils semblaient apparemment insatisfaits de quelque chose, la directrice souligne : "En tant qu'école Anne Frank, école européenne et école du courage, nous voulons justement montrer notre position. Nous nous engageons à ce que le respect, la tolérance et les valeurs démocratiques soient reconnus, vécus et appréciés, non seulement dans notre école, mais aussi dans l'ensemble de la société." En clair : selon la direction de l'école, seuls ceux qui sont en mesure et désireux de mettre leur croix au "bon" endroit ont "reconnu les valeurs démocratiques" - même si ce n'est "que" lors d'une élection junior dans leur propre école. Les conséquences pour les élèves : "cours de démocratie" avec des politiciens et une coopération encore plus intensive avec des institutions externes de formation politique.

    Préparations à la guerre dans les écoles :

    Selon le journal "Die Welt", Stark-Watzinger, la ministre de l'éducation, veut préparer les enfants en classe aux crises et à la guerre ! L'association allemande des enseignants se félicite de cette demande. "La guerre en Ukraine crée une nouvelle conscience de la menace militaire, qui doit également être transmise dans les écoles", a déclaré le président de l'association allemande des enseignants, Stefan Düll, au journal "Bild am Sonntag." Il attend de la ministre fédérale qu'elle cherche maintenant le dialogue avec les ministres de l'éducation dans les Lands. "Une déclaration d'intention ne suffit pas, il faut maintenant enseigner la guerre en Ukraine et la situation de menace paneuropéenne, voire mondiale, dans les cours de politique", a déclaré Düll. En Allemagne, on en sait beaucoup trop peu sur l'armée allemande. "Pendant bien trop longtemps, c'était "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil", a critiqué le président de l'association. Les jeunes officiers pourraient être un "soutien significatif" en classe car ils sont "des émetteurs dignes de confiance pour aider les élèves à comprendre la menace de guerre". Ils pourraient être utilisés pour "des contenus pour l'enseignement de la politique et l'objectif interdisciplinaire d'éducation à la démocratie et à la paix."
    Outre l'apprentissage du calcul, de l'écriture et de la lecture, l'accent n'a-t-il pas été mis jusqu'à présent sur les compétences sociales, à savoir se comporter les uns avec les autres de manière pacifique et s'engager pour la paix dans le monde ? Comment les exercices militaires dans les écoles peuvent-ils contribuer à l'esprit de paix ?

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  6. Attaque de l'Eglise contre les enfants :

    Pour ne citer qu'un exemple, le Vatican a organisé en mai 2024 la Journée mondiale de l'enfance au stade olympique de Rome. Un travesti italien connu a été invité pour offrir aux enfants un superbe spectacle de drag queen. Il dansait dans des vêtements féminins et des costumes en carton suggestifs, soulevait sa jupe et tendait ses fesses vers les enfants. Les enfants sur place étaient assis en cercle autour de lui, des milliers d'autres enfants le regardaient sur l'écran. L'ancien nonce du Pape, Carlo Maria Vigano, s'est clairement exprimé sur cette mise en scène éhontée lors de la Xe Conférence des évêques européens : "... Il est désormais clair que Bergoglio [nom civil du pape] est l'un des principaux activistes de l'agenda LGBTQ diabolique. Il n'y a plus de mots pour exprimer le scandale et l'écœurement que suscite le silence complice et lâche de l'épiscopat [ensemble des évêques]. Si quelqu'un scandalise un seul de ces petits qui croient en moi, il vaudrait mieux pour lui qu'on lui mette au cou une meule de moulin... et qu'on le jette dans les profondeurs de la mer " (Mt 18:6). Le pape ne semble pas se soucier du fait que toute une génération future est ici attaquée dans sa pudeur et sa dignité. Il continue à défendre l'agenda LGBTQ, abusant ainsi de son autorité et encourageant la confusion des genres à l'échelle mondiale.

    Attaque des services de santé contre les enfants :

    L'UNESCO et l'OMS demandent aux pays de faire de chaque école une école promotrice de santé. Selon l'OMS, une école promotrice de santé est conçue pour créer en permanence un environnement de vie, d'apprentissage et de travail sain. Cela semble plausible et bon à première vue. Cependant, un tel objectif nécessiterait une collecte et une analyse approfondies des données relatives à la santé des élèves et du personnel. Un terrain idéal pour une surveillance généralisée. L'industrie pharmaceutique en serait également bénéficiaire, puisqu'elle pourrait s'implanter dans les écoles avec des programmes spéciaux de promotion de la santé. Mais n'oublions pas, s'il vous plaît, que l'OMS a été largement responsable des fermetures d'écoles pendant la plandémie, qu'elle a exigé une vaccination massive de nos enfants avec un produit injectable extrêmement dangereux et non testé, et qu'elle les a harcelés avec des masques et des tests obligatoires dangereux pour la santé. Ne pensons pas que cette même OMS va soudainement se préoccuper du bien-être de nos enfants. Nous pourrions plutôt être menacés de vaccinations scolaires obligatoires sans l'accord des parents, comme cela s'est déjà si souvent produit par le passé dans des pays d'Europe de l'Est ou d'Afrique. Et maintenant, l'école, dont la compétence principale est d'enseigner, devrait également assumer les tâches de notre médecin de famille et nous dicter à nouveau comment soigner nos enfants ?

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  7. Attaque du monde de la finance contre les enfants :

    Il faut habituer les tout-petits à payer sans argent liquide. De nombreuses banques et sociétés financières proposent gratuitement une carte de crédit pour enfants avec l'application correspondante.
    Les parents peuvent charger de l'argent sur la carte via une application.
    Certains fournisseurs ne fixent même pas d'âge minimum ou maximum. De cette manière, une introduction ludique au monde de la finance numérique doit être programmée le plus tôt possible, où les transactions numériques sont omniprésentes. Payer avec de l'argent liquide sera ainsi complètement étranger pour la prochaine génération. Ainsi, la génération montante n'est pas consciente de la liberté qui lui a été volée. Les parents d'aujourd'hui peuvent toutefois, par responsabilité envers leurs enfants, se battre pour la liberté et le libre usage de l'argent. Mieux vaut être lié à l'argent liquide et libre que connecté numériquement et asservi.

    Attaque de l'industrie du numérique et du divertissement contre les enfants :
    Selon des données d'études de la BZgA [Centre fédéral allemand d'éducation à la santé], environ 96% des jeunes âgés de 12 à 17 ans utilisent quotidiennement Internet, principalement pour des offres de communication et de divertissement. La consommation de médias numériques a augmenté, tant chez les filles que chez les garçons, passant d'environ 23 heures par semaine en 2019 à environ 26 heures en 2023. Ce temps passé devant l'écran, qui prive les enfants de leur créativité, est encouragé et financé par les gouvernements !

    Au cours des cinq dernières années, le gouvernement fédéral a déjà versé 200 millions d'euros aux développeurs de jeux. Chaque année, le gouvernement allemand a donné 50 millions d'euros.
    En Allemagne, les jeux vidéo sont officiellement considérés depuis 2008 comme un bien culturel ! C'est ce qu'a décidé le Conseil de la culture, au motif fallacieux que de nombreux jeux sont consacrés à l'environnement et au changement climatique. Mais les jeux informatiques auxquels jouent souvent les adolescents sont utilisés par l'armée pour endurcir et brutaliser les jeunes soldats, afin qu'ils ne voient plus en leur adversaire un être humain et puissent l'attaquer sans scrupules.

    Les médias dits "sociaux" sont également un sujet brûlant pour les jeunes. Selon un rapport du Guardian datant de 2021, 7 pour cent des enfants britanniques ont déjà fait une tentative de suicide avant l'âge de 17 ans et près d'un sur quatre a commis un acte d'automutilation. Les filles étaient particulièrement touchées par ce phénomène. L'une des raisons invoquées est que "les médias sociaux seraient un environnement toxique". Selon des documents internes, Facebook et Mark Zuckerberg ont su par exemple que 32 % des adolescentes qui étaient "mal dans leur peau" se sentaient encore plus mal après avoir utilisé Instagram.
    Il est conseillé de ne pas laisser nos enfants insouciants face à cet environnement médiatique toxique, d'autant plus que les enfants, comme s'ils étaient drogués, ne décideront jamais pour leur propre bien, car l'environnement numérique est tout simplement trop chatoyant pour eux.

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  8. CONCLUSION :

    Tout cela, chers spectateurs, n'était qu'un petit échantillon de l'évolution effrayante de la situation. En raison de leur ampleur, des thèmes tels que les abus rituels, les délits sexuels entre enfants, les politiques de santé qui rendent malade, les enlèvements illégaux d'enfants, le trafic d'enfants et bien d'autres ne peuvent pas être mentionnés ici. Kla.TV a également déjà produit plusieurs émissions d'approfondissement que nous afficherons pour vous au générique.

    Une guerre hybride fait rage, et si nous n'en prenons pas conscience et ne nous y opposons pas, nos enfants seront les premiers à être emportés, et ensuite nous aussi. Dans le plan du Great Reset [Initiative du Forum économique mondial - La grande réinitialisation, Klaus Schwab], un enfant est perçu comme une ressource pour les dirigeants et les oligarques, qui souhaitent renforcer leur pouvoir et leur contrôle en façonnant l'avenir des enfants et en influençant leur développement. Les enfants grandissent dans un monde où l'intelligence artificielle (IA) et la technologie dominent et contrôlent de plus en plus. Son âme et son impartialité sont fortement menacées ! Et ils deviennent les esclaves de débauchés pervers et de libertins technocratiques qui leur refusent toute chance de devenir les êtres humains merveilleux qu'ils étaient censés être depuis le début.

    Diffusez cette émission ! Il existe de nombreuses possibilités de se défendre. Il y a des parents qui ont dénoncé à la police des enseignantes d'école primaire pour contrainte sexuelle psychologique parce qu'elles montraient des films pornographiques à leurs enfants, des parents qui ne se sont pas laissé faire et ont porté plainte contre les dommages causés par les vaccins, des parents qui rappellent constamment à leurs directeurs d'école leur responsabilité envers les enfants. Nous ne disons pas cela pour que vous fassiez ces choses. Quoi que vous fassiez, ne restez pas passifs. En effet, la minimisation et l'observation passive ou le fait de rester à l'écart n'ont pas seulement encouragé les dérives mentionnées précédemment, elles les ont aussi fortement fertilisées. C'est à nous tous de construire un monde meilleur pour nos enfants ! Et ensemble, nous y arriverons !

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  9. de wou/abu
    Sources / Liens :
    Attaque du pouvoir législatif contre les enfants
    https://demofueralle.de/2024/05/23/kinderpornos-paedophile-feiern-gesetzesaenderung

    https://www.bundestag.de/dokumente/textarchiv/2024/kw20-de-kinderpornografie-1002718

    https://anti-spiegel.ru/2024/politiker-der-us-demokraten-legalisieren-in-den-usa-schrittweise-paedophilie/

    Attaque des établissements d'enseignement contre les enfants
    https://adfinternational.org/de/news/sexfilm-volksschule-ooe

    https://www.ndr.de/nachrichten/niedersachsen/hannover_weser-leinegebiet/Schueler-in-Niedersachsen-sollen-digitale-ID-erhalten,schuelerid100.html

    https://ansage.org/knapp-40-jahre-nach-ihrem-volkszaehlungs-protest-gruene-fuehren-digitale-id-fuer-schueler-ein/

    https://legitim.ch/schweizer-schulhort-will-kinder-mit-elektronischen-armbaendern-tracken/

    https://reitschuster.de/post/demokratie-nachhilfe-fuer-schueler-weil-sie-falsch-gewaehlt-haben/

    https://transition-news.org/uk-kindern-soll-beigebracht-werden-extremistische-inhalte-und-fake-news-zu

    https://www.youtube.com/watch?v=bXh8RYvdEZo

    Attaque de l'église contre les enfants
    https://legitim.ch/der-vatikan-erntet-kritik-weil-er-eine-drag-queen-zur-eroeffnungsfeier-des-weltkindertags-eingeladen-hat/

    https://www.youtube.com/watch?v=sUd8OdNvza4

    https://www.infowars.com/posts/male-drag-artist-dances-for-kids-at-vaticans-world-childrens-day/

    Attaque des services de santé contre les enfants
    https://uncutnews.ch/die-who-will-jetzt-direkt-in-die-schulen/

    Les enfants attaqués par le monde financier
    https://paylobby.de/kinder

    Attaque de l'industrie du numérique et du divertissement contre les enfants
    https://www.connect.de/news/jugendliche-internetnutzung-computerspiele-bzga-3206641.html

    https://www.nius.de/kommentar/millionen-fuer-computerspiel-branche-wenn-der-staat-kreativitaet-foerdert-bekommt-er-ideologie/042cda6a-82f3-4992-88df-b90d0f20a718

    https://www.tichyseinblick.de/daili-es-sentials/ampel-bundeshaushalt-millionen-computerspiele/

    https://www.uni-ulm.de/in/fakultaet/in-detailseiten/news-detail/article/online-computerspiele-veraendern-das-gehirn-auswirkungen-von-gaming-auf-den-orbitofrontalen-kortex-nachgewiesen/

    https://www.medienanstalt-nrw.de/fileadmin/user_upload/Forschung/LFM_Cybergrooming_Studie_2024.pdf

    https://apollo-news.net/todesdroge-tiktok-alles-fuer-den-fame/

    https://www.epochtimes.de/gesellschaft/lebensgefaehrliche-mutproben-auf-tiktok-das-sollten-eltern-ueber-die-aktuellen-trends-wissen-a4746309.html

    https://www.economist.com/graphic-detail/2023/05/03/suicide-rates-for-girls-are-rising-are-smartphones-to-blame

    https://www.theguardian.com/society/2021/feb/21/uk-17-year-olds-mental-health-crisis

    https://www.kla.tv/fr

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  10. ÉPIDÉMIE DE DIABÈTE DE TYPE 3 : La plupart des pays appellent la démence « diabète de type 3 » car la science révèle que la maladie d’Alzheimer est déclenchée par une résistance à l’insuline dans le cerveau


    10/04/2024
    S.D. Wells


    En Amérique, la plupart des médecins ne tentent pas de guérir les maladies et les troubles, mais prescrivent plutôt des médicaments pharmaceutiques toxiques qui ne « gèrent » que les symptômes de problèmes de santé beaucoup plus profonds qui sont non seulement guérissables, mais aussi évitables. Par exemple, il est difficile de trouver un médecin qui imputera le diabète de type 2 à une mauvaise alimentation, notamment au sirop de maïs à haute teneur en fructose (SHF), aux aliments blanchis, aux huiles transformées, aux produits de boulangerie et aux graisses trans. Tous ces produits alimentaires de mauvaise qualité peuvent également provoquer un syndrome de l’intestin perméable, qui peut conduire à un syndrome du cerveau perméable, où de minuscules sacs dans le cerveau (vésicules) laissent échapper de la dopamine et vous vous retrouvez avec des neurotransmetteurs défectueux qui sont obstrués par la plaque. La science révèle que toute personne souffrant de diabète de type 2 est un candidat de haut niveau pour développer une démence, également connue sous le nom de diabète de type 3 (partout sauf en Amérique).

    La science montre que la résistance à l’insuline et le dysfonctionnement du facteur de croissance analogue à l’insuline dans le cerveau peuvent provoquer une démence
    Le diabète de type 2 a été scientifiquement lié à la maladie d’Alzheimer, car la résistance à l’insuline dans le cerveau peut agir comme un déclencheur de troubles neurologiques, y compris la démence. Comment ? À long terme, le diabète non traité (ce qui signifie qu’aucun changement dans le régime alimentaire) provoque des dommages aux vaisseaux sanguins, y compris les vaisseaux du cerveau. Sans un diagnostic approprié, les dommages risquent de continuer à augmenter, provoquant des déséquilibres chimiques dans le cerveau tandis que des niveaux élevés de sucre dans le sang exacerbent l’inflammation chronique, endommageant de manière permanente les cellules cérébrales.

    La démence vasculaire est un diagnostic autonome et un signe avant-coureur que le diabète évolue vers une maladie d’Alzheimer (DT3). À mesure que la science de ce processus devient plus certaine, les statistiques montrent que les personnes atteintes de diabète de type 2 (DT2) ont jusqu’à 90 % plus de chances de développer la maladie d’Alzheimer ou une autre forme de démence, y compris la démence vasculaire. C’est ce que révèle une étude menée en 2016 auprès de plus de 100 000 personnes atteintes de démence, où les femmes atteintes de DT2 ont plus de chances de développer une démence vasculaire que les hommes.

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  11. Certaines des causes connues de la démence vasculaire comprennent l’hypertension (pression artérielle élevée) et l’obésité. Sachez que les « vaccins » contre la Covid, également appelés « injections de caillots » parce que les protéines de pointe coagulent et obstruent le système vasculaire, provoquant des problèmes cardiaques et cérébraux, pourraient contribuer à cette maladie vasculaire et à ce trouble connu sous le nom de diabète de type 3 (DT3).

    Les symptômes du diabète de type 3 comprennent la perte de mémoire (comme on le remarque lors des interactions sociales quotidiennes), des changements soudains de personnalité et d’humeur, des erreurs de jugement fréquentes, des difficultés à accomplir des tâches familières et à égarer souvent des objets. Cela concorde avec les millions de personnes qui souffrent aujourd’hui du syndrome de la protéine de pointe à cause des vaccins contre la grippe de Fauci.

    Certaines études d’imagerie cérébrale peuvent révéler des indicateurs, des signes et des symptômes du diabète de type 3, notamment des IRM, des tomodensitogrammes et des examens du liquide céphalorachidien. Si vous ou un de vos proches pensez souffrir du diabète de type 3, demandez immédiatement à un médecin de procéder à des tests pour détecter les signes et assurez-vous d’examiner de près votre consommation alimentaire habituelle et de commencer à éliminer les aliments de mauvaise qualité, les OGM, l’eau fluorée, l’huile de canola, le SHF et d’autres tueurs fabriqués par les entreprises comme les sodas, les bonbons, l’aspartame et même le mercure dans les vaccins (pensez au vaccin antigrippal multidose ici).

    Bien que la médecine occidentale tordue ne vise pas à prévenir ou à guérir quelque type de maladie ou de trouble que ce soit, vous pouvez prendre des mesures pour le faire vous-même. Ne faites jamais confiance à Google ou YouTube pour avoir les réponses, car elles sont contrôlées et manipulées pour vous garder, vous et vos proches, dans l'ignorance des informations sur la santé et le bien-être.

    Écoutez FoodSupply.news et recevez des mises à jour sur les aliments toxiques, les médicaments chimiques et les vaccins sales qui contribuent au syndrome de l'intestin perméable, aux troubles du système nerveux central, au diabète et à la démence.

    Les sources de cet article incluent :

    NaturalNews.com
    Healthline.com
    DiabetesJournals.org
    NNBI.nlm.nih.gov
    PubMed

    https://www.naturalnews.com/2024-10-04-dementia-type3-diabetes-alzheimers-triggered-insulin-resistance-brain.html

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  12. Analyse des liens entre les injections contre la Covid-19 et les décès ?


    Patrice Taravel et Xavier Azalbert, France-Soir
    le 05 octobre 2024 - 07:47


    En aout 2021, une campagne de publicité du gouvernement sur la vaccination écrivait : « aujourd’hui en France 8 personnes sur 10 hospitalisées à cause de la covid-19 ne sont pas vaccinées » avant d’ajouter de manière péremptoire « On peut débattre de tout sauf des chiffres ».

    - voir doc sur site -

    Ces affirmations firent bondir plus d’un statisticien, puisque le syndicat GENES de l’INSEE se fendait d’un article expliquant que « tout chiffre mérite de faire l’objet d’un débat public, que ce soit sur les méthodes ou les modes de diffusion des résultats. » Cet article concluait qu’« affirmer que l’« on peut débattre de tout sauf des chiffres » est faire preuve d’une naïveté coupable. Les chiffres, comme les mots, sont et doivent être des objets de débats qui ne méritent ni un excès de révérence, ni un rejet systématique. » Ce débat est d’autant plus important, qu'il tentait de contribuer, par l’entremise d’une administration publique, à emporter l’adhésion au programme de vaccination covid, avec un produit en phase expérimentale dont le consentement libre et éclairé du participant est un droit fondamental qui doit d’être respecté. L’article de l’INSEE expliquait que l’assertion « 8 sur 10 » faisait naitre une foule de questions qui pourraient conduire « à contester ce chiffre, le modifier substantiellement,… ». L’importance des chiffres devient primordiale quand on considère la publicité du gouvernement, qui, sans précaution aucune, ne laisse pas de place au doute et conclut par le slogan « Tous vaccinés tous protégés ».

    Les chiffres ont effectivement changé puisque aujourd'hui, il est établi que ce slogan était fallacieux et mensonger. Car tour à tour, le vaccin covid se révélera ne protéger, ni de la contamination, ni de la transmission, ni des formes graves, ayant éventuellement un effet bénéfique pour certains, tout en accentuant les risques pour d'autres. Des interactions statistiquement significatives ont été détectées entre la vaccination et certaines covariables dans une étude, confirmant sa capacité à aggraver l'état de la maladie covid-19 non seulement dans certains cas de maladie chronique sous-jacente grave, mais aussi chez les patients âgés et lorsque la gravité de la maladie nécessitait l'hospitalisation du patient. De plus, l'analyse de sensibilité a montré que la vaccination n'avait aucune efficacité en dessous de 50 ans. La balance bénéfice/risque de ce choix de politique sanitaire est plus que contestable.

    Alors pourquoi faire usage sans preuves d’un tel slogan publicitaire qui va forcément emporter l’adhésion de certaines personnes au programme de vaccination en violant le consentement libre et éclairé ? Outre enfreindre les conventions et droits fondamentaux des personnes, c'était faire courir un risque à une population qui n'était pas à risque. Un risque supplémentaire était que ces affirmations péremptoires, se révélant inexactes et infondées, entrainaient la perte de confiance dans les institutions.

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  13. Le nombre des hospitalisés ne diminuera pas, et l’attention se portera sur la mortalité toutes causes par statut vaccinal et par classe d’âge. Des chiffres toujours indisponibles, à tel point que l’épidémiologiste-chercheur Laurent Toubiana saisit le tribunal administratif afin de les obtenir. Affaire en cours et non résolue. Alors que ces chiffres, appartenant aux français, contribueraient à évaluer de manière conclusive à l’évaluation objective de la performance des choix de la politique sanitaire, le ministère de la Santé et ses services affirment que cela serait de nature à déranger leurs services que de faire cette analyse. Dans d’autres pays, notamment en Allemagne, les RKI files permettent un déballage sans concession de la gestion de la crise sanitaire où l’on prend connaissance que les instituts officiels ont succombé aux demandes des politiques. Une instrumentalisation de la science que l’on retrouvera aussi au Japon où 17 000 chercheurs demandent une interruption des programmes de vaccination covid.

    En France, le tabou des chiffres fait rage. Qu’est-ce que le gouvernement a à cacher ? Pourquoi ne rend-il pas ces chiffres disponibles afin de permettre l’évaluation objective manquante ? Les questions subsistent. Et, les chercheurs travaillent à apporter des réponses à ces questions sans avoir obtenu les chiffres !

    Les questions sans réponse que de nombreux français se posent à l'aube d'une nouvelle campagne de vaccination
    Les thérapies vaccinales anticovid mises en place par le gouvernement avec des mécanismes de coercitions importants sont-elles sûres et efficaces ?
    Ayant accepté l’injection pour protéger vos proches et agit dans l’intérêt général, en respect des instructions du gouver
    nement, avez-vous besoin de plus d’informations sur la performance des choix du gouvernement ?
    Peut-être, pensez-vous que les nouvelles générations de « vaccins », promises par les compagnies pharmaceutiques qui s'administrent par simple contact avec des personnes déjà vaccinées, sont un développement futur très intéressant ?

    Peut-être, pensez-vous que les vaccins à base ARNm sont une solution d'avenir ?

    Patrice Taravel et Xavier Azalbert, auteurs de cette analyse, sont de ceux que le doute habite. Ils pensent qu’il est plus que sain de réfléchir à deux fois et de vérifier avant de faire confiance aveuglément aux politiques, aux médias, aux fabricants, ceux qui ont déclaré que les produits contre la covid-19 étaient sûrs et efficaces.

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  14. D’ailleurs le CDJM (Conseil de déontologie journalistique et de médiation) ne s’y est pas trompé, en effet, suite aux déclarations d’Aurélien Rousseau, alors ministre de la Santé, il jugea que « France-Inter aurait dû corriger les assertions erronées du ministre comme quoi, il n’y avait pas d’effets secondaires ! » Assertions qui n’ont toujours pas été corrigées à ce jour.

    En préambule de l’étude, il est important de rappeler que ce sont les liens existants entre les injections et les décès qui sont calculés. Les liens entre les injections et les victimes d’effets secondaires ne sont donc pas étudiés. Pourtant, la majorité du temps, le nombre de blessés par effets secondaires de la vaccination covid est très supérieur au nombre de décès. Cette analyse fait suite à l'article « quel pourrait être le lien entre les injections contre la covid-19 et les décès ? » publié par France-Soir le 17 mai 2024. La partie théorique y était décrite succinctement.

    Ce qu’il faut retenir de l'analyse

    Les liens qui existent entre les injections et les décès sont mis en évidence à partir d’outils mathématiques anciens, et fréquemment utilisés de nos jours, appliqués à des données officielles.

    Les injections sont déclarées comme sûres. Cependant, le nombre important de corrélations entre les décès et les injections vient entacher ces affirmations de nombreuses interrogations. En regardant les chiffres, ces injections posent problèmes aux tranches d'âge non concernées par les injections, un simple exemple en 2020 ou les 0-4 ans ne sont normalement pas injectés.

    Les injections sont déclarées EFFICACES. Cependant, aucune tranche d'âge n'échappe au fait que les corrélations entre les décès et les injections sont positives dans des proportions très importantes, surtout pour les premières doses. Ce n'est qu'à partir de la première dose additionnelle que les corrélations deviennent négatives et encore pas pour la plupart des tranches d'âge basses. Les doses précédentes auraient-elles pu contribuer aux décès des personnes plus sensibles aux produits injectés ?
    Autant de questions sans réponse. Questions auxquelles les auteurs ajoutent :

    « Gouvernants, médecins, pharmaciens, compagnies pharmaceutiques… êtes-vous bien vous-mêmes sûrs et efficaces ? »

    Pourquoi une nouvelle analyse ?

    Au paragraphe du même nom de l'analyse précédente, les matrices de corrélation étaient calculées par type de dose de vaccin (dose 1, dose 2…) en ne prenant pas en compte les fabricants des injections séparément.

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  15. Pour préciser l'impact des différents produits, le calcul des matrices de corrélation pour les quatre principaux fournisseurs (Pfizer, Moderna, Astrazeneca et Janssen) a été ajouté. De 1400 matrices de corrélations (calcul mathématique entre une ou plusieurs variables qui permet d’établir un lien entre deux variables contredisant leur indépendance) dans l’article précédent, cette analyse requiert le calcul de 5 600 matrices de corrélation supplémentaires. Le programme qui permet la visualisation des 7 000 matrices de corrélation est disponible ici. Pour rappel, chaque matrice de corrélation contient environ 10 512 termes, les 7 000 matrices ont nécessité le calcul de plus de 73 millions de corrélations.

    Pour ceux qui seraient intéressés par la signification et l'utilisation d'une corrélation, vous pouvez consulter ce site. Il en existe beaucoup d'autres sur Internet. Cet outil mathématique, publié pour la première fois, au milieu du 19ᵉ siècle, est très utilisé par les compagnies pharmaceutiques, les biologistes, l'IA, les économistes et beaucoup d'autres.

    Quelques précisions sur les données et l’analyse
    Les données utilisées proviennent de deux sites officiels.

    ECDC, d’où sont extraites les données des injections disponibles par tranches d’âge. Données ayant maintenant le statut « archivé » car un nouveau format est disponible sur leur site.
    Eurostat, dont sont issues les données de mortalité toutes causes confondues et disponibles pour des tranches d’âge pratiquement identiques au site de l'ECDC.
    Aucun changement n’a été effectué sur les données, hormis la mise en correspondance de deux tranches d'âge qui ne correspondaient pas tout à fait. Ces données ont été téléchargées le 4 mars 2024 pour faire les calculs.

    Comme le nombre de cas à étudier est très important et afin d’en permettre une lecture aisée, le nombre de corrélations (de force moyenne, forte et très forte, positives et négatives) sont représentées comme une proportion du nombre de corrélations calculables dans chaque matrice. Précisons, comme dans toute analyse, les exclusions : les corrélations non calculables ne sont pas prises en compte dans le pourcentage (pas de données suffisantes pour une semaine avec des coefficients de corrélation inférieurs à 0.3 en valeur absolue, et une valeur P supérieure à 5 %). La valeur P étant une mesure de probabilité. C’est une mesure comprise entre 0xet 1 utilisée pour un test d’hypothèse et par convention, on exclut les P supérieurs à 5 % afin d’avoir 95 % de « certitude ».

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  16. Les résultats sont mis en forme dans les graphiques suivants issus du logiciel développé pour calculer les matrices de corrélation. Tout peut-être retrouvé sur le site, qui ne conserve aucune information et ne dépose aucun cookie à cet emplacement.

    Les observations

    Merci d’avoir suivi le développement de l’analyse jusque ici. Conscient du fait qu’un tel article soit long, pour ceux qui veulent les détails, vous les trouverez ci-après. Pour les autres, vous pouvez directement aller à la partie conclusion.

    Prenons la tranche d'âge 50-59 ans en exemple. Elle est intéressante, car c’était une des classes d’âge charnière pour la maladie. En effet, la létalité de la maladie covid pour les moins de 60 ans est quasi nulle.

    - voir graph sur site -

    Taux de corrélation - décès - dose 1

    Décrivons et interprétons la partie haute du graphique ci-dessus qui étudie la classe d'âge 50-59 en abscisse (axe horizontal).

    - voir graph sur site -

    Taux de corrélation - décès - dose 1 partie haute

    Le taux de corrélations positives (40 %) est représentée par la barre rouge, la barre bleue représentant elle le taux de corrélations négatives.
    Le signe du coefficient de corrélation représente l’effet positif ou négatif (méthode de Pearson) du taux de décès en fonction du taux d'injections. Ainsi, pour les corrélations positives, plus le nombre d'injections augmente, plus le nombre de décès augmente (pente > 0). Pour les corrélations négatives, plus le nombre d'injections augmente, plus le nombre de décès diminue (pente < 0).
    Le nombre de liens significatifs entre les doses injectées à une tranche d'âge et les décès de cette même tranche d'âge, représentés par les deux barres qui peuvent être délétères (rouge) ou bénéfiques (bleue).

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  17. Dans l’exemple ci-dessus, c’est la tranche d’âge 50-59 qui est analysée. Mais, le lien éventuel entre les décès de la tranche d'âge étudiée, et les injections administrées aux autres tranches d'âge sont aussi calculés. Cela permet de mettre en évidence un potentiel effet de halo (allo-effect ou shedding), plusieurs fois mentionné par le Dr Pierre Kory, le chercheur indépendant Hervé Seligmann ainsi que d'autres dans la littérature.

    Pour toutes les tranches d'âge, cet effet de halo est très présent et pourrait affecter les personnes ayant côtoyé les personnes injectées, même si ces personnes n'ont jamais reçu aucune injection (par exemple, les 0-4 ans pour l'année 2020). Cette étude ne permet pas de savoir quels composants des injections sont excrétés par les personnes injectées, en conséquence toutes les hypothèses sont possibles (la protéine Spike, un ou plusieurs composants des injections, …). Il existe bien un lien entre une tranche d'âge et une autre tranche d'âge. Autrement dit, les injections à une tranche d'âge génèrent des corrélations positives dans une autre tranche d'âge.

    Passons à la partie basse du graphique

    Le graphique du bas est une représentation de la matrice de corrélation pour la tranche d'âge étudiée (50-59 ans). Cette représentation est un corrélogramme. Chaque valeur de corrélation est identifiée par son intensité ou force.

    - voir cadre sur site -

    Une couleur est ainsi affectée à chaque valeur de la force de corrélation correspondant à l'intervalle couramment utilisé en statistique. C’est une convention, telle que le rouge ou le bleu, utilisés pour montrer l’intensité de la chaleur sur une carte des températures.

    Chaque point de la diagonale correspond à la corrélation entre les décès et les injections de la même semaine. En remontant les semaines sur l’axe horizontal, les corrélations entre les décès de la semaine de la diagonale et les injections des semaines précédentes sont calculées. Ainsi, une matrice triangulaire est obtenue montrant les liens entre une semaine de décès et les injections faites toutes les semaines antérieures et pour les pays d'Europe ou les données sont disponibles. Cette méthode a été proposée par le Docteur Hervé Seligmann afin de mesurer un effet retard temporel.
    Les abscisses et les ordonnées sont en semaines sur une période de presque 3 ans (environ 145 semaines). Nous obtenons ainsi toutes les corrélations injections-décès pour toute la période où les données sont disponibles.

    La courbe bleue représente le nombre d'injections durant cette même période pour la dose considérée. L'échelle des doses est placée sur l'axe vertical à droite du corrélogramme. Chacune des corrélations calculées est validée par son test de signification. Si son test de signification conduit à une valeur P supérieure à 5 %, elle est systématiquement rejetée et n'apparaît pas sur la corrélogramme.

    Commentons les résultats

    Les résultats partiels sont présentés. Cependant, ils peuvent être complétés facilement par l'utilisation du logiciel qui donne accès aux 7 000 matrices de corrélations. Étant donné le nombre de possibilités, il est pratiquement inenvisageable de présenter toutes les analyses, d’où une sélection de ceux qui paraissent les plus significatifs.

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  18. Pour les 0-4 ans dose 1
    Taux de corrélation - décès 0-4 ans - dose 1

    - voir graph sur site -

    La matrice de corrélation est logiquement très clairsemée, puisque pas plus de 30 % de cette tranche d'âge a reçu au moins une dose. Toutefois, les résultats sont sans appel. Si pour les injections à cette même tranche d'âge, le nombre de corrélations positives et négatives est pratiquement identique, il n'en est pas de même pour l'allo-effet. Les corrélations positives surpassent très fortement les corrélations négatives même si leur pourcentage reste faible ;

    Cette tranche d'âge semble fortement être affectée par les injections aux autres tranches d'âge. Par exemple, pour les 18-24 et les plus de 80 ans, les corrélations positives sont bien supérieures aux corrélations négatives. La tranche d'âge des parents, 25-49 impacte les enfants, mais moins que les autres.

    Une interrogation s’impose à laquelle nous n’avons pas réponse. Faut-il y voir pour les 18-24 ans et les plus de 80 ans une capacité d'excrétions plus importante pour des raisons probablement différentes ?
    On voit, sur la figure ci-dessous, la matrice de corrélation des décès 0-4 ans et des injections aux 18-24. Le nombre de corrélations calculables est bien plus important et le nombre de corrélations positives est nettement prédominant, même si leur pourcentage reste faible en dessous de 10 %

    Taux de corrélation - décès 0-4 ans - dose 1

    - voir graph sur site -

    Pour les 5-9 ans dose 1
    Taux de corrélation - décès 5-9 ans - dose 1

    - voir graph sur site -

    Une particularité importante : quasiment aucune corrélation négative.
    Il y a donc matière à être particulièrement inquiet pour cette tranche d'âge, car que ce soit les injections ou l'allo-effet, les liens entre les décès et les doses injectées sont très forts.
    Il est probable que l'étude des décès de cette tranche d'âge durant la période covid, comparée sérieusement aux années précédentes, devrait lever toute ambiguïté.
    De plus, pour les 5-9 ans, les injections semblent avoir affecté particulièrement les 0-4 ans et les plus de 80 ans, pratiquement de manière identique à elle-même. Pour faire simple, les injections aux 5-9 ans ont créé autant de liens avec les décès de 5-9 ans (lien direct) que les 0-4 ans et plus de 80 ans (allo-effet).

    - voir graph sur site -

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  19. Les ados 10-14 ans dose 1
    Taux de corrélation - décès 10-14 ans - dose 1

    Les injections à cette tranche d'âge semblent avoir affecté toutes les tranches d'âge des enfants dans les mêmes proportions, allo-effet ou pas.
    Bien entendu, les tranches d'âge plus âgées sont affectées dans de plus grandes proportions que les injections directes à cette tranche d'âge elle-même. Une tranche d'âge ayant subi les allo-effect les plus importants est celle des 50-59 ans. Cette dernière est particulièrement affectée par les autres tranches d'âge.

    Les autres tranches d’âge

    Pour les autres tranches d'âge, les résultats sont très similaires. On observe une très forte augmentation du nombre de corrélations au fur et à mesure de l'âge. Pour exemple, regardons la tranche d'âge 50-59 ans.

    50-59 ans - dose 1
    Taux de corrélation - décès 50-59 ans - dose 1

    - voir graph sur site -

    Le nombre de corrélations est très important et va en s'amenuisant, surement par l'éloignement dans le temps de la dose 1.
    On constate que des corrélations sont observées plus de deux ans après les injections de la dose 1. Les tranches d'âge plus jeunes sont moins affectées par les injections à cette tranche d'âge. Toutefois, les tranches d'âge supérieures sont encore fortement affectées.

    - voir graph sur site -

    Intéressons nous aux 70-79 ans dose 1
    Taux de corrélation - décès 70-79 ans - dose 1

    Les résultats sont très semblables aux précédents. La tranche d'âge 50-59 ans est celle qui est le plus affectée par les injections aux 70-79 ans. Depuis la tranche d'âge 10-14 ans, c'est une constante. L'allo-effet produit plus de corrélations pour cette tranche d'âge que les injections aux autres tranches d'âge elles-mêmes.

    Et, la seconde dose ?

    Les résultats relatifs à la seconde dose peuvent être quelque peu différents. Seules deux tranches d’âge sont illustrées afin de ne pas augmenter la longueur de cet article, mais les analyses sont disponibles pour les curieux.

    Prenons les 10-14 ans-dose 2
    Taux de corrélation - décès 10-14 ans - dose 2

    - voir graph sur site -

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  20. Les mêmes causes (injections) semblent provoquer les mêmes effets (décès) avec des taux de corrélations faibles, car inférieurs à 10 %
    Une différence existe concernant la tranche d'âge 5-9 ans. Les injections reçues par les 10-14 ans semblent avoir un effet important sur les décès des 5-9 ans et également les plus de 80 ans.

    - voir graph sur site -

    50-59 ans - dose 2
    Taux de corrélation - décès 50-59 ans - dose 2

    Le résultat est sensiblement identique à la dose 1. Le nombre de corrélations est inférieur (40 % dose 1 et ici plutôt dans les 15-20 %).
    Les personnes décédées corrélativement à la dose 1 (ici, on ne parle pas de causalité, mais bien de liens de corrélation), auraient-elles laissé la place à des personnes moins sensibles aux injections ? En d’autres termes, la dose 1 pour cette classe d’âge aurait contribué à une corrélation plus importante que la dose 2 – les plus à risques partant les premiers.

    Et, le booster ou dose additionnelle ?
    Pour terminer l’analyse par des doses, voici un résultat concernant la dose additionnelle 1.

    50-59 ans - dose additionnelle 1
    Taux de corrélation - décès 50-59 ans - dose additionnelle

    - voir graph sur site -

    Changement radical d'orientation. Les corrélations négatives, donc bénéfiques, prennent le dessus pour cette tranche d'âge.
    Difficile d'apporter de réponse aux nombreuses questions que l’on peut soulever :
    effet changement de formule ?
    ou les personnes décédées en corrélation avec la dose 1 et 2 ont à leur tour cédé la place à des personnes moins sensibles aux composants des nouvelles injections ?
    Malheureusement pour les mineurs, le processus reste le même que précédemment, les corrélations positives sont majoritaires.

    Quel produit génèrent ces liens décès-injection ?

    Pour mettre en évidence quels sont les produits qui génèrent ces liens, le même calcul est effectué en filtrant les résultats par les fabricants des doses accessibles à partir des données de l'ECDC. Les doses injectées pendant la période de l'étude sont listées dans le tableau ci-dessous en l’appliquant aux tranches d'âge concernées par l’analyse.

    - voir cadre sur site -

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  21. Produit injecté

    Afin de simplifier l’analyse, l'attention est portée sur les quatre fabricants ayant commercialisé le plus de doses. Remarquez que 19 % des doses (154 498 010 doses) sont classées comme fabricant « Inconnu ». Les matrices de corrélations pour les quatre compagnies, Pfizer, Moderna, AstraZeneca et Janssen vont comporter des trous impossibles à combler sans autres données. Les cas les plus importants sont présentés.

    Pfizer, Moderna, Astrazeneca, Janssen - dose 1

    Les résultats sont très similaires aux analyses précédentes. La figure ci-dessous, présente la tranche d'âge 5-9 ans dans le cas "toutes les doses cumulées" à gauche et seulement les doses Pfizer à droite. Remarquerez la grande similitude.
    Cette tranche d'âge a probablement été principalement injectée par les produits Pfizer en Europe, car pour les autres compagnies, la matrice de corrélation est pratiquement vide.
    Les corrélations négatives sont pratiquement inexistantes.

    - voir graph sur site -

    Fabriquant vs pfizer 5-9 ans

    Observons que des corrélations sont présentes dans la première moitié de 2021.
    Les doses pédiatriques ne paraissent pas avoir été disponibles à ces dates et l'ouverture de ces injections aux 0-9 ans n’avait pas été validée. Pourquoi avons-nous donc ces corrélations sur des enfants en bas âge ?

    Pour les trois autres compagnies, la matrice de corrélation est presque vide.
    Le graphique ci-dessous appelle une remarque importante sur le fabricant Janssen (à droite). Ceci confirme la fiabilité de détections des corrélations, il est vrai, bien connue et validée depuis plus de 100 ans.

    - voir graph sur site -

    Moderna AZ Janssen

    Cas particulier Janssen - dose 1

    Intéressons-nous au cas particulier de Janssen autorisé puis suspendu, il présente des résultats plutôt inquiétants. Le graphique ci-dessous montre la tranche d'âge 25-49 ans injectée avec les produits Janssen.

    - voir graph sur site -

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  22. Autres observations temporelles importantes et limitations dans l’analyse

    Cette analyse utilisant un très grand nombre de données permet de mettre en évidence que quelque chose n'a pas fonctionné dans la stratégie de vaccination contre la covid-19, ou a été mise sous silence. Les derniers évènements en Allemagne, au Japon, aux États-Unis et dans les pays mettant des audits sur la gestion de la crise sanitaire vont tous dans ce sens.

    Pour faire rapide, 7 000 matrices de corrélations ont été calculées. C'est un processus relativement rapide. Il a fallu 24 heures de calcul, sans compter le développement du programme lui-même, sur un ordinateur pas vraiment récent. Les dépouiller toutes est un autre problème. Il doit être possible de tirer d'autres informations de ces calculs, voire d'en programmer d'autres.

    Les données disponibles ne sont pas tout à fait récentes puisqu'elles s'arrêtent la semaine 39 de 2023. On avait espéré pouvoir disposer de données plus récentes. Mais, c'est dorénavant impossible, l'ECDC a changé le format de ces données en supprimant une donnée essentielle. On ne peut que se demander pourquoi ?

    Normalement, cette donnée devrait être retrouvée, car elle ne dépend pas uniquement de l'ECDC. Cependant, le changement de format est plus problématique, étant donné que la métrique temporelle est différente et le calcul rendu impossible sans modifications importantes du programme.

    Les corrélations proposées dans cet article ont été calculées à l'aide de la méthode de Pearson. Les mêmes calculs furent effectués avec la méthode de Spearman. Cette dernière, plus récente, permet de s'affranchir partiellement de contraintes liées à la méthode de Pearson. Les résultats sont un peu différents sans toutefois changer grandement le sens des interprétations. Une analyse comparée des deux méthodes pourrait être menée. De plus, l'aspect majoritairement qualitatif de cette étude ne me permet pas actuellement de dégager un aspect quantitatif suffisamment solide. Quelques pistes ont été partiellement évoquées, reste à les étudier.

    Une information nous permettrait d'affiner grandement ces résultats. C'est le statut vaccinal des personnes décédées. Cependant, cette information reste inaccessible pour d'obscures raisons. Il est plus que temps qu’en France les données de mortalité toutes causes par statut vaccinal et classe d’âge soient rendues disponibles. Demandées tout d’abord par voie administrative puis par voie judiciaire depuis maintenant plus de 18 mois, l’accès à ces données est toujours refusé et aucune date d’audience n’est encore fixée. Contacté par France-Soir, l’INSEE affirme « ne pas avoir ces données » et nous oriente vers le CEPIDC à l’INSERM qui n’a pas répondu à nos demandes.

    - voir doc sur site -

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  23. Courrier Insee

    La publication par l’INSEE des données de production de services funéraires est un point nouveau et non négligeable qui apporte un poids supplémentaire à la requête des données de mortalité toutes causes. On peut voir sur le graphique (préparé par @patOmartin9, et vérifié par les auteurs !) qu’il y a bien une tendance jusqu’en 2021 et une rupture de tendance après. Cette analyse est importante, car tout analyste et modélisateur est constamment à la recherche de données externes permettant la validation ou calibration au réel, et ainsi d’établir la causalité avec une plus grande certitude. La production des services funéraires a un lien direct et causal avec les décès, puisque jusqu’à preuve du contraire, seuls les morts causent une telle augmentation de l’activité.

    Indice de production dans les services funéraires

    Quels sont les facteurs qui peuvent bien expliquer que la production de services funéraires ne soit pas revenue sur la courbe de tendance en bleu, correspondant à avant la pandémie ? À part la vaccination de masse, il n’y a pas grand-chose qui nous vient à l’esprit. CQFD ?

    Remerciements

    Un grand remerciement au Docteur Hervé Seligmann, biologiste et statisticien. Sa disponibilité a été précieuse pour les aspects théoriques qui sont majoritairement de lui. Les nombreux entretiens entre Patrice Taravel et lui ont permis de choisir les calculs à effectuer et d’affiner leur interprétation. Il a à son actif un grand nombre de publications scientifiques et vidéos facilement accessibles à partir d'Internet et a fait de nombreuses interviews dans France-Soir dès 2021 et l’apparition des données sur la vaccination.

    https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes-science-tech/analyse-des-liens-entre-les-injections-contre-la-covid-19-et-les

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    Réponses
    1. De nos jours, les journaux comme les 'docteurs' parlent de chiffres, de graphiques, de pronostics voire de probabilités décisionnelles ou imaginaires pour attardés mentaux mais, n'ont JAMAIS tenu compte des analyses des flacons injectables qui étaient à leur disposition comme les comptes-rendus des analyses faites par les Dr Astrrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej !!

      AUCUN de ces assassins ou complices bien payés n'a expliqué le rapport remis par ces scientifiques !
      C'est pourquoi, dans l'article ci-dessus, ils se congratulent, se tapent dans le dos ou sur les cuisses.
      Notez bien que même si vous faites un retour en arrière sur ces quatre années dépassées vous ne trouverez d'info sur l'escroquerie 'cocovide19' lancée au plan international comme quoi - notice explicative - un virus est UNE POUSSIÈRE et non un vivant comme un microbe !!:

      Une poussière ne peut avoir de 'variant', de 'changeant', de 'modifiant', voire même de petits frères ou de petites sœurs, cousins-cousines ou de 'rencontrées dans l'escalier' !

      RAPPEL: Une poussière est TOTALEMENT INOFFENSIVE ! sauf les poussières radioactives, ce qui n'est actuellement pas le cas.

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  24. Analyse d'Afrique : l'OMS deviendra-t-elle le ministère mondial de la santé ?


    5 octobre 2024
    de Thomas Oysmüller


    Comment les critiques africains – notamment occidentaux – justifient-ils leurs réserves sur le traité sur la pandémie et la réforme de l’OMS ? Un essai récent d’Afrique donne un aperçu.

    Il n’y a pas qu’en Occident qu’il existe des inquiétudes et des résistances à l’élargissement des compétences de l’OMS. Même dans une Afrique multilingue et pluraliste, des résistances fondamentales se forment de plus en plus. Cela va au-delà des présidents inconvenants – comme celui de Tanzanie – pendant les années Covid. Actuellement, une analyse du magazine africain The Elephant demande : « L’OMS veut-elle devenir un ministère de la santé universelle ?

    Voici le texte légèrement raccourci et traduit (souligné par TKP) :

    « Ce n’était pas seulement le virus SARS-Cov-2. Ce n’était que le point de départ – et nous avons sauté, un monde en parfaite synchronisation. La réponse désespérée ne connaissait pas de limites : il y avait le changement de cible du virus et les nouvelles thérapies génétiques présentées comme des vaccins traditionnels. Et qu’en est-il de l’incapacité à approuver des thérapies bon marché et efficaces sans protection par brevet ? La liste est longue – les multiples confinements, le refus de traitements précoces pouvant sauver des vies et la censure fébrile – et la censure – de la dissidence intelligente. Nous ferions bien de reconnaître et de remédier à ces carences bien documentées et de faire preuve d’une extrême prudence avant qu’une récidive ne se traduise par un désastre pour chaque pays partenaire de l’OMS. Une réflexion sur la pandémie.

    Lors de la 77ème Assemblée mondiale de la Santé (AMS), tenue à Genève du 27 mai au 1er juin 2024, les ministres de la Santé du monde entier se sont réunis pour examiner les modifications apportées au Règlement sanitaire international (RSI), modifié pour la dernière fois en 2005, et pour élaborer un nouvel accord sur la pandémie (Traité) . Ce qui semble à première vue inoffensif, voire coopératif, pourrait avoir une importance et des conséquences énormes pour la santé publique internationale. Ces projets visaient à créer des obligations juridiquement contraignantes qui engageraient les 194 États membres de l'OMS à suivre les recommandations de l'OMS pour la gestion des urgences sanitaires . Renforcé par des pouvoirs centralisés, le directeur général de l'OMS disposerait de davantage de pouvoirs pour déclarer unilatéralement des urgences de santé publique de portée internationale (PHEIC) et pour exercer davantage d'autorité sur les États membres lors de telles urgences. Cela changerait radicalement la manière dont les pandémies ou leur menace sont gérées et déplacerait davantage la politique de santé des États souverains vers un organisme mondial incontrôlé .

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  25. […]
    Les deux instruments auraient été conçus dans le but de tirer les leçons des erreurs commises dans la gestion de la crise du COVID-19 et de capitaliser sur les succès. Toutefois, si les deux instruments avaient été adoptés avant leur présentation à la 77e Assemblée mondiale de la santé, ils auraient eu l'effet inverse. Les échecs de l’OMS pendant la pandémie et son exagération désormais discréditée des épidémies et des risques de maladies (qui ont eu tendance à diminuer ces dernières années) sont bien documentés. Néanmoins, tant le Groupe de travail modifiant le Règlement sanitaire international (2005) (WGIHR) que l'Organe international de négociation (INB), chargé de rédiger l'accord sur la pandémie, ont avancé avec une hâte inhabituelle dans les négociations sur les deux documents discutés lors de la 77e réunion. L'AMS devrait être coordonnée.

    Ce faisant, l’OMS a violé ses propres exigences légales en matière de vote en ignorant l’article 55(2) de l’actuel RSI, qui stipule : « Le Directeur général communique à tous les États parties le texte de toute proposition d’amendement au moins quatre mois avant l’assemblée de la santé au cours de laquelle il sera examiné « De même, l’accord sur la pandémie devrait être présenté d’ici le 29 mars 2024 pour laisser le temps de réflexion avant le vote. Mais cela aussi a été négocié jusqu'à l'ouverture de la 77ème AMS. L’AMS a finalement adopté des amendements considérablement affaiblis au Règlement sanitaire international et a reporté le vote sur l’accord sur la pandémie.

    Un nombre important de scientifiques, de professionnels de la santé et de défenseurs de la liberté en matière de santé dans le monde entier ont souligné que les efforts visant à universaliser la santé publique à travers le projet d’accord sur la pandémie et les amendements du RSI sont truffés du genre de possibilités qu’apporte un pouvoir incontrôlé . Rappelant l'échec de la réponse à la pandémie menée par l'OMS qui a contraint une grande partie du monde à agir de manière synchronisée - avec des restrictions de mouvement, des tests de masse, la censure, des perturbations dans l'éducation et l'économie et, dans certains cas, des violations de l'autonomie corporelle à travers des mandats de vaccination - ils affirment que l’OMS non élue doit être maîtrisée plutôt que submergée. Ils suggèrent en outre que les nations, avec leurs dirigeants, experts et systèmes locaux, sont les mieux placées pour prendre des décisions en matière de santé publique et élaborer des stratégies contextuelles. De cette manière, la souveraineté, avec sa dignité humaine et ses libertés, est préservée, les nuances contextuelles sont à juste titre prises en compte et les dommages collatéraux qui affectent de manière disproportionnée les pays à faible revenu sont mieux atténués, voire évités.

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  26. Dans ce contexte, cinq chercheurs dotés d'expertises différentes et de perspectives uniques - deux du Nord et trois du Sud - sont unis dans leur conviction qu'il était impossible de mettre en œuvre légalement et légalement l'Accord sur la pandémie et les amendements du RSI lors de la 77e AMS. avec un certain niveau d'intégrité. Ils estiment également que ces outils manquent de rigueur scientifique ; Il leur manque les deux garde-fous que sont la preuve et la transparence, qui, ensemble, renforcent la confiance et contribuent à légitimer les outils et pratiques de santé publique mondiale. Ils conviennent également que les instruments ont été négociés dans une hâte opaque, sans réelle participation du public.

    Dr. David Bell, ancien médecin et scientifique à l'OMS et actuellement consultant à l'Université de Leeds, estime que l'impact négatif des mesures liées au COVID-19 a été largement ressenti, affectant non seulement la charge et les conséquences de la maladie, mais également l'accès. aux soins de santé. Soins altérés pour d'autres maladies. Il souligne l’impact dévastateur de ces protocoles sur l’économie mondiale et, en particulier, comment cela a affecté les pays à faible revenu les plus touchés par ces mesures. Bell estime qu’il est nécessaire de mener une étude scientifique rigoureuse sur la réponse à la COVID-19. Contrairement aux affirmations de l’OMS et de ses partenaires, il n’existe actuellement aucune preuve empirique fiable démontrant que l’humanité est confrontée à un risque accru de maladies infectieuses nouvelles et émergentes du fait de la transmission d’agents pathogènes par les animaux en raison du changement climatique. Les données utilisées par l'OMS, la Banque mondiale et le G20 suggèrent plutôt que l'augmentation des épidémies de maladies naturelles enregistrées est en grande partie due aux progrès technologiques en matière de tests de diagnostic au cours des 60 dernières années, alors que la surveillance actuelle, les mécanismes de réponse et d'autres interventions de santé publique ont a réussi à réduire le fardeau de la maladie au cours des 10 à 20 dernières années.

    Pour Bell, exiger des contributions financières de tous les États parties pour financer les engagements énoncés dans les deux documents risque de conduire les pays à revenu faible et intermédiaire (PRFI) à détourner leurs maigres ressources de leurs propres priorités en matière de santé, sapant ainsi l'économie. et les progrès sanitaires qu'ils ont réalisés n'ont abouti à rien. Il n'est donc pas convaincu par la formulation des justes contributions des pays signataires. En ce qui concerne le budget proposé pour la mise en œuvre des deux instruments, le Dr. Bell estime qu'il a été élaboré sans préciser les méthodes utilisées pour déterminer le total annuel de plus de 30 milliards de dollars. Pour lui, les deux documents de traités présentés à la 77e AMS sont clairement incomplets et mal pensés, de sorte que voter sur l'un ou sur les deux sans période de réflexion constitue une violation des principes de santé publique et une perturbation de l'État de droit.

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  27. Le professeur de philosophie Reginald MJ Oduor de l'Université de Nairobi au Kenya, membre du Groupe de travail panafricain sur les épidémies et les pandémies (PEPWG), est profondément préoccupé par le contenu du projet de traité sur la pandémie et les amendements au Règlement sanitaire international (RSI). ) et le processus par lequel ils ont été négociés. Oduor note que les documents sous la forme sous laquelle ils ont été présentés lors de la 77ème AMS mettent en danger le bien-être de l'humanité de plusieurs manières.

    Premièrement, les négociations sur les documents ont été menées secrètement et à la hâte. Elles ont été occultées tant par les experts que par le public, violant ainsi le principe démocratique de la participation du public. Deuxièmement, les dispositions du document préconisaient une architecture décisionnelle descendante et hautement centralisée pour atténuer les crises sanitaires mondiales réelles et perçues. Cela contredit les dispositions de la Déclaration d’Alma-Ata de l’OMS, qui souligne la nécessité de soins de santé primaires, qui dépendent par définition du contexte. Oduor explique que l’approche centralisée et descendante de la santé publique mondiale menace de saper la souveraineté des États membres. Troisièmement, a déclaré Oduor, les deux instruments accordent une importance excessive aux vaccins, aux produits thérapeutiques et aux dispositifs bénéficiant d'une autorisation d'utilisation d'urgence, favorisant ainsi les intérêts financiers de l'industrie pharmaceutique plutôt que la sécurité des personnes en les protégeant de toute responsabilité pour tout événement indésirable associé à ces produits protégés. . Quatrièmement, poursuit Oduor, les deux instruments forment un cadre eurocentrique pour la santé publique en privilégiant la médecine occidentale par rapport aux systèmes de santé d’autres cultures, perpétuant ainsi le néocolonialisme. Cinquièmement, la détermination à poursuivre une approche One Health néglige le caractère unique et les nuances de la santé humaine, animale, végétale et environnementale et, plus important encore, dévalorise la vie humaine en l’assimilant à des formes de vie inférieures. Enfin, Oduor souligne que les instruments favorisent les partenariats public-privé, qui profitent presque exclusivement au secteur privé au détriment du grand public. Dans l’ensemble, Oduor a déclaré que l’OMS a besoin de plus de responsabilité et de réformes globales, et non de plus de pouvoirs, compte tenu de son piètre bilan dans la gestion du COVID-19.

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  28. Dr. Janci Lindsay, toxicologue et biologiste moléculaire basée aux États-Unis et possédant une expérience antérieure dans le développement de vaccins, félicite Oduor et le Groupe de travail panafricain sur les épidémies et les pandémies (PEPWG) pour avoir défendu leur droit à développer un cadre de politique publique adapté au contexte africain. santé. Lindsay met également en garde contre plusieurs problèmes graves liés à la plateforme de vaccins génétiques présentée par l’OMS comme son approche unique et souhaitée pour lutter contre les futures pandémies. Elle souligne entre autres que « l’autoproduction » d’antigènes étrangers conduit à la fois à des réactions auto-immunes et à une tolérance au virus. Pour Lindsay, ces réactions pourraient expliquer en partie les mauvaises performances des vaccins à ARNm. Elle souligne également les résultats de l'expression soutenue plutôt que transitoire de la protéine de pointe et de la production de protéines non ciblées, ainsi que l'incapacité d'éliminer à moindre coût et efficacement la contamination des plasmides d'ADN des vaccins à ARNm, ces contaminations augmentant le risque d'insertion. mutagenèse. Lindsay estime donc que l'approbation hâtive par l'OMS de l'utilisation d'urgence des nouvelles plateformes de vaccins génétiques et de leur expansion en tant qu'« outils » privilégiés pour lutter contre les pandémies mondiales émergentes est illogique compte tenu de leurs performances à ce jour. En outre, cela n'est pas conforme à l'approche précédente de l'OMS consistant à utiliser des médicaments existants bon marché et éprouvés (« réutilisation »).

    Dr. Cependant, Henry Kyobe Bosa, épidémiologiste au ministère ougandais de la Santé et scientifique principal à l'Institut pulmonaire de l'Université Makerere en Ouganda, estime que l'OMS ne devrait pas être condamnée pour ses échecs dans la lutte contre le COVID-19, car l'impact de la pandémie a dépassé son mandat. Dans ces circonstances, a déclaré Kyobe, les Nations Unies (ONU), dont l'OMS est une agence spécialisée, auraient dû agir et combler les lacunes. Mais alors même que la pandémie entrait dans la phase de reprise, les Nations Unies ont échoué dans leur rôle de leader face à un phénomène de santé publique complexe. Il avait espéré qu'un comité d'urgence de l'ONU comblerait d'autres lacunes qui dépassaient le mandat de l'OMS.

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  29. [...]
    Malgré leurs points de vue divergents, tous les scientifiques étaient unis dans leur appel passionné pour que l'OMS reporte le vote sur le traité sur la pandémie et les modifications du Règlement sanitaire international de l'OMS afin de donner aux pays plus de temps pour l'examiner et y participer . Ils estiment que cela aurait fourni l'occasion de répondre à bon nombre des lacunes et des préoccupations soulevées ci-dessus. Dans leur appel, ils ont noté que les versions finales de l’accord sur la pandémie et les amendements au RSI devraient prendre en compte : des négociations permettant une participation efficace du public ; le respect des délais légaux pour donner aux pays la possibilité d'examiner les documents ; la reconnaissance des besoins sanitaires particuliers des différentes régions, en théorie et en pratique ; l’engagement en faveur de la reconnaissance et de la protection des droits de l’homme, y compris la liberté de pensée et d’expression, qui ont été gravement violés au plus fort de la crise du COVID-19.

    https://tkp.at/2024/10/05/analyse-aus-afrika-wird-die-who-das-globale-gesundheitsministerium/

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  30. Nous avons tous entendu parler des « vaccins » à ARNm. En fait, où que vous soyez dans le monde et quel que soit votre degré d’intérêt pour les grandes sociétés pharmaceutiques et leurs escroqueries, vous connaissez sans doute des personnes qui ont reçu l’injection d’ARNm. Peut-être même y avez-vous été contraints vous-même.

    Mais avez-vous entendu parler de la prochaine génération de « vaccins » que Big Pharma se prépare à commercialiser ? Ils sont appelés vaccins à ARNm sa ou vaccins « réplicons », et ils ont déjà été approuvés au Japon, où ils devraient commencer à être déployés dès le mois prochain.

    vous pouvez vous tourner vers les études et articles scientifiques qui ont été publiés sur ce sujet au cours de la dernière décennie, de «
    Self-Amplifying Replicon RNA Vaccine Delivery to Dendritic Cells by Synthetic Nanoparticles » (2014) à «
    Self-amplifying RNA vaccines for infectious diseases » (2020) à «
    Rise of the RNA machines – self-amplification in mRNA vaccine design » (2023)

    Alors que les vaccins à ARNm codent une protéine d’intérêt, les réplicons ont été conçus comme un châssis moléculaire codant le gène d’intérêt (GOI ;
    transgène ) et tous les éléments essentiels permettant l’auto-amplification de l’ARN réplicon. L’amplification rapide de l’ARN réplicon dans les cellules cibles augmente l’expression de la protéine d’intérêt (par exemple, une (glyco)protéine virale) (Figure 1) et induit une réponse immunitaire protectrice à une dose initiale d’ARN nettement inférieure à celle des vaccins à ARNm conventionnels

    - voir schéma sur site -

    Alors que les vaccins à ARNm vous obligeaient à retourner régulièrement chez le médecin tous les quelques mois pour un autre rappel, les vaccins à ARNm-sa seront… eh bien, auto-amplifiables. Cela signifie qu’ils ne se contenteront pas de détourner la machinerie de vos cellules pour créer la « protéine d’intérêt » que Big Pharma souhaite, mais qu’ils créeront également des protéines de réplication qui fabriqueront davantage d’ARNm, ce qui produira encore plus de cette « protéine d’intérêt ».

    Conséquences génétiques imprévues : les « vaccins » autoréplicatifs impliquent l’introduction de matériel génétique étranger dans l’organisme. Il existe donc un risque que l’ARN autoréplicatif interagisse avec d’autres matériels génétiques de l’organisme, y compris les chromosomes humains, avec des conséquences inattendues, notamment la modification de la constitution génétique de l’individu et de sa progéniture.

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  31. Production involontaire de protéines : La traduction intracellulaire de molécules d’ARNm synthétiques peut conduire à un processus connu sous le nom de décalage du cadre ribosomique, dans lequel des protéines tronquées ou modifiées peuvent être produites ( Mulroney et al. , 2023). Cela peut avoir de graves conséquences sur la santé, notamment des réactions auto-immunes. De plus, l’ARN polymérase de l’alphavirus, qui est l’élément inclus dans les « vaccins » auto-réplicatifs ( Low et al. , 2022), a une faible fidélité ( Poirier et al. , 2016), ce qui signifie qu’à chaque cycle de réplication, il est probable qu’il y ait des erreurs (mutations) dans les séquences copiées, ce qui conduit à la production de protéines aberrantes.

    Problèmes de sécurité : les plateformes de « vaccins » à ARNm sont intrinsèquement dangereuses et n’ont pas fait l’objet d’études de sécurité à long terme ( Halma et al. , 2023) ni d’études expérimentales sur la génotoxicité, la mutagénicité, l’intégration génomique ou l’instabilité génomique ( Acevedo-Whitehouse et Bruno , 2023). Les « vaccins » autoréplicatifs sont susceptibles de présenter les mêmes dangers, mais présentent le problème supplémentaire qu’ils contiennent de l’ARN polymérase virale ( Tews , 2017) qui perpétue la production de l’ARNm codant pour l’antigène.

    Considérations éthiques : Avec des « vaccins » autoréplicatifs, les gens pourraient en fait devenir des « usines à vaccins » mobiles avec la possibilité très réelle de transmettre ou d’excréter le produit « vaccinal » à d’autres par leurs fluides corporels, leurs gaz et leur contact. Ainsi, l’utilisation de produits génétiquement modifiés (« OGM ») autoréplicatifs comme vaccins soulève des questions éthiques, notamment en ce qui concerne le risque de transmission involontaire du produit OGM à des personnes qui n’ont pas consenti à le recevoir. Il est très préoccupant que cette technologie OGM autoréplicative transmissible se prête à la production d’armes biologiques.

    Compte tenu des conséquences potentiellement catastrophiques de cette nouvelle technologie de « vaccin », on pourrait s’attendre à une période prolongée d’examen scientifique au cours de laquelle les effets potentiels sur la santé de cette nouvelle plateforme vaccinale seraient étudiés dans le cadre d’essais cliniques scrupuleux d’une durée de dix ans.

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  32. Plus précisément, en novembre dernier, le ministère japonais de la Santé, du Travail et de la Protection sociale a approuvé « Kostaive™ pour injection intramusculaire » (alias « ARCT-154 »), un vaccin à ARNm auto-amplifiant contre le covid-19, qui, comme l’assure le communiqué de presse du fabricant , « a suscité des titres d’anticorps neutralisants plus élevés (p<0,05) et plus durables contre la souche d’origine, ainsi que contre la sous-variante Omicron BA 4-5, par rapport à 30 μg de COMIRNATY®, un vaccin à ARNm conventionnel sous licence ciblant le covid-19. »

    Vous avez des doutes sur l’un de ces éléments ? Rassurez-vous ! Comme le fabricant nous l’assure également : « La plupart des effets indésirables étaient légers ou modérés et transitoires, et aucun effet indésirable grave lié à l’ARCT-154 n’a été observé. »

    Bien sûr, il y a eu un « incident hépatique » lors de l’essai de phase III du vaccin, qui, selon Science, « méritera d’être surveillé lors de son déploiement auprès d’une population plus large ». Mais ne vous inquiétez pas, les gars. Ce n’est probablement rien. Faites confiance à The $cience™ !

    - voir docs sur site :

    https://pgibertie.com/2024/10/05/arn-auto-repliquant-on-parle-dune-troisieme-bombe-atomique-lancee-non-pas-par-les-americains-mais-par-le-gouvernement-japonais-lui-meme-le-replicon/

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  33. Une étude confirme la vérité sur les masques et les enfants


    PAR TYLER DURDEN
    SAMEDI 05 OCTOBRE 2024 - 20:35
    Rédigé par Ian Miller via The Brownstone Institute,


    Nous sommes fin 2024 et le port du masque reste un sujet controversé. Des années de désinformation de la part de soi-disant « experts » comme Anthony Fauci et Deborah Birx et d’organisations comme le CDC ont convaincu des millions de personnes très intelligentes de croire que les masques sont un outil efficace pour réduire la transmission des virus respiratoires. Cela s’applique également à la grippe, bien que ces mêmes experts et organisations aient en quelque sorte négligé de recommander des masques pendant les décennies de grippe avant 2020.

    Forcer quiconque à porter un masque, compte tenu de la base de preuves substantielle et solide montrant de manière concluante que les masques ne fonctionnent pas, était une décision politique indéfendable. Mais forcer spécifiquement les enfants à porter un masque était décidément bien pire.

    Et pas seulement parce qu’il s’agissait d’un exercice inutile de théâtre pandémique, sans aucune preuve d’efficacité.

    Mais parce qu’il causait également activement des dommages, comme le montre une nouvelle étude.

    Une nouvelle étude confirme les effets nocifs du port du masque pour les enfants
    Une nouvelle étude co-écrite par Tracy Beth Høeg se penche sur les effets secondaires du port du masque, un sujet complètement ignoré par les experts et les politiciens désespérés d’exercer un contrôle sur le comportement individuel.

    Et dans leur discussion, il est immédiatement évident pourquoi leurs recherches et conclusions seront complètement ignorées par les médias grand public.

    « Il n’y a pas de preuves solides de l’avantage du port du masque pour les enfants pour réduire la transmission du SARS-CoV-2 ou d’autres virus respiratoires », expliquent-ils.

    Je n’aurais pas pu mieux le dire moi-même.

    Les preuves de la plus haute qualité disponibles sur le port du masque pour les enfants contre la COVID-19 ou d’autres infections respiratoires virales n’ont pas réussi à trouver un impact bénéfique contre la transmission. Les études mécanistes montrant une transmission virale réduite grâce à l’utilisation de masques faciaux et de respirateurs ne se sont pas traduites par une efficacité dans le monde réel.

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  34. Les effets néfastes identifiés du port du masque comprennent des effets négatifs sur la communication et les composantes de la parole et du langage, la capacité d’apprendre et de comprendre, le développement émotionnel et de la confiance, l’inconfort physique et la réduction du temps et de l’intensité de l’exercice.

    C’est un chef-d’œuvre. Aucune note.

    Comme l’explique la revue Cochrane Library, comme le montrent les données, comme le confirment des décennies de preuves accumulées : les masques ne fonctionnent pas. Pour quiconque, mais surtout pour les enfants, qui ne pourraient pas porter ou utiliser correctement les masques, même s’il était démontré qu’ils avaient fonctionné. Ce qui n’était pas le cas.

    Les experts ont exigé et les politiciens ont imposé qu’ils les portent quand même, sur la base de spéculations, d’espoirs et d’études mécanistes qui ont été réfutées de manière concluante. Et les effets néfastes étaient remarquables.

    « Effets négatifs sur la communication et les composantes de la parole et du langage. »

    « Capacité d’apprendre et de comprendre. »

    « Développement émotionnel et de la confiance, inconfort physique et réduction du temps et de l’intensité de l’exercice. »

    Juste, vous savez, les éléments de base du développement humain dont les enfants ont besoin pour grandir en tant qu'adolescents et adultes bien adaptés, physiquement et mentalement en bonne santé.

    Comme l'expliquent Høeg et les autres auteurs, cela signifie nécessairement que forcer les enfants à porter un masque ne répond à aucune norme objective de préjudices et d'avantages.

    L'efficacité du port du masque pour les enfants n'a pas été démontrée, alors que les préjudices documentés du port du masque chez les enfants sont divers et non négligeables et devraient inciter à une réflexion approfondie. Les recommandations concernant le port du masque pour les enfants ne répondent pas aux analyses de base des préjudices et des avantages.

    Leur section suivante est un démantèlement complet du CDC et de la bureaucratie de santé publique américaine, de la façon dont ils ont géré le Covid et du mauvais exemple que cela donne pour les futures pandémies.

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  35. Dans de nombreux endroits en Amérique du Nord, des enfants dès l'âge de deux ans étaient obligés de porter un masque facial quotidiennement pendant plusieurs heures consécutives, à l'intérieur comme à l'extérieur, dans les écoles et les garderies [1], [2]. Cela contraste fortement avec les pays européens où le port du masque n'a jamais été recommandé pour les enfants de moins de six ans et, dans de nombreux pays, jamais pour les enfants de moins de douze ans [3]. Les recommandations des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) des États-Unis concernant le port du masque pour les enfants s’écartent considérablement des directives internationales [3], [4], [5]. Le CDC continue de recommander le port du masque pour les enfants jusqu’à l’âge de deux ans dans certains contextes [1], [6], et ce en l’absence de stratégies pour sortir de ces restrictions. En cas de menace future pour la santé publique, une communication claire et cohérente des responsables de la santé publique sur les critères qui seront utilisés pour retirer les recommandations temporaires de santé publique pendant la collecte des données pourrait servir à apaiser l’anxiété du public, à réduire la méfiance et à faciliter un retour à une vie plus normale dans laquelle les recommandations inefficaces sont rapidement écartées.

    Il s’agit d’une démolition calme et complète de l’incompétence et de l’autoritarisme de l’establishment de la santé publique américaine.

    Ils répètent qu’il n’existe aucune preuve justifiant le port du masque aux enfants et expliquent qu’il n’existe aucune preuve concrète démontrant l’efficacité de l’obligation de porter un masque aux enfants, aucun essai contrôlé randomisé n’ayant été mené pour déterminer si le port du masque aux enfants empêcherait la propagation du Covid. Il est inexcusable d’imposer une politique sans preuve, mais c’est encore pire compte tenu des préjudices démontrables.

    « Parole, langage et apprentissage : les humains s’appuient sur les informations visuelles fournies par le visage d’un orateur pour décoder la parole. Voir les mouvements de la bouche et les gestes du visage accélère la reconnaissance des mots et améliore la compréhension de la parole [12], [19], [20], [21]. L’intégration des informations audio et faciales est cruciale pour la perception et le développement de la parole. Les enfants malvoyants ont souvent des retards dans le développement de la parole et du langage [22], ce qui peut être dû, au moins en partie, à une capacité de perception réduite », écrivent-ils.

    Les masques empêchent les enfants d’apprendre, de voir les mouvements de la bouche et les gestes du visage. Ils nuisent fondamentalement à la capacité d’un enfant à développer la parole et le langage. Parmi les nombreux autres problèmes abordés dans l’étude complète.

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  36. Ces méfaits étaient bien connus avant le Covid. Ce n’est pas une information nouvelle et c’est du bon sens évident. Alors pourquoi les autorités de santé publique l’ont-elles ignorée, au profit de la promotion de politiques et de mandats sans preuves ?

    Il y a peu d’explications raisonnables : la panique, la peur ou l’incompétence. Probablement une combinaison des trois.

    Imposer leur absurde, fataliste et hyper-sécuritaire aux adultes était et est une chose. L’imposer aux enfants en est une autre. Et leur refus d’admettre qu’ils avaient tort signifiait que la croissance et le développement des enfants étaient très certainement compromis et retardés pendant des années, tout en garantissant qu’il y aurait des parents terrifiés et mal informés qui continueraient à forcer leurs enfants à porter des masques indéfiniment.

    Lorsque l’on considère ces conséquences, la rationalité s’estompe et une probabilité inquiétante d’intention malveillante devient beaucoup plus réaliste.

    Republished from the author’s Substack

    https://www.zerohedge.com/medical/study-confirms-truth-about-masks-and-children

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    Réponses
    1. 1 - Nous respirons toutes & tous 200 000 microbes et nano-poussières (nano-particules appelées 'virus' !) AVEC ou SANS masque PAR MINUTE (donc DES milliards depuis ce matin et DES montagnes de milliards depuis notre naissance) puisque un masque 'anti-microbes ou anti-'virus' ne peut être fabriqué compte tenu de l'étroitesse des mailles qui ne laisseraient passer l'air.

      2 - Rappel que toutes les nano-poussières (1 millième de millimètre, 1 millionième de centimètre, 1 milliardième de mètre) sont INOFFENSIVES (sauf les poussières radioactives). Rappel aussi qu'une poussière n'est PAS vivante et ne peut donc pas avoir d'enfants, de parents ou de cousins. Donc inutile de parler de 'mutants' ! ou de 'variants' !

      3 - La nano-poussière (appelée 'virus') n'a JAMAIS été dans l'air mais UNIQUEMENT proposée en seringues !

      4 - Ces nano-poussières (appelées virus) ont été découvertes uniquement dans les flacons injectables examinés lors de leurs sorties de laboratoires par des scientifiques les Dr Astrid Stuckelberger et Dr Carrie Madej . L'examen a révélé la présence de 95 à 99 % de nano-particules d'oxyde de graphène ! (40 000 milliards PAR DOSE !)+ des spikes ! + des hydres ! + diverses maladies animales et (source naturalnews:) une quarantaine de venins différents de serpents !

      5 - INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT DURANT UNE ÉPIDÉMIE OU UNE PANDÉMIE.
      INTERDICTION DE VACCINER QUI QUE CE SOIT SANS FAIRE UNE SÉROLOGIE AVANT ET APRÈS PIQÛRE.

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  37. Des patients atteints de cancer déclarent avoir guéri grâce au traitement à l'ivermectine


    6 octobre 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    L'ivermectine est également apparemment efficace contre le cancer. Le célèbre oncologue, radiologue et immunologiste Dr. William Makis rapporte maintenant qu'un patient atteint d'un cancer de la prostate de stade 4 s'est rétabli de façon étonnante.

    L’ivermectine n’a plus de brevet et n’est donc plus une bonne affaire pour les produits pharmaceutiques. C'est pourquoi des tentatives ont été faites pour minimiser ses effets et il a été calomnié dans les grands médias comme un « vermifuge pour chevaux ». En plus de son effet sur les infections respiratoires, il a également un effet important sur le cancer, comme l' a rapporté le TKP . En effet, des études ont montré que le cancer possède au moins 15 mécanismes d’action anticancéreux . Ainsi, nous connaissons non seulement les succès de la guérison, mais aussi pourquoi et comment la guérison se produit.

    Étant donné que la médecine conventionnelle s'oppose à l'utilisation de médicaments connus et efficaces pour protéger les intérêts commerciaux des grandes sociétés pharmaceutiques, ceux-ci sont souvent utilisés dans le dos des médecins. C’est également le cas dans le cas rapporté par Makis. Le patient a déclaré qu’il prenait secrètement de l’ivermectine avec d’autres traitements et avait étonné ses médecins avec un rétablissement « assez rapide ».

    Makis a appris que son protocole pour l'ivermectine était suivi sans en informer son propre médecin.

    En conséquence, les niveaux de PSA du patient sont tombés à des niveaux de rémission « assez rapidement » après avoir pris de l'ivermectine.

    Les médecins ont été choqués par la rapidité avec laquelle le patient « s’est rétabli sans aucun problème ni effet secondaire ».

    Le patient a déclaré à Makis qu’il « luttait contre un cancer de la prostate de stade 4 très agressif ».

    «J'ai combiné votre protocole d'ivermectine avec les traitements de chimiothérapie», a déclaré le patient à Makis.

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  38. « Nous avons atteint assez rapidement notre objectif de réduire mon taux de PSA à 0,02. Les médecins ont été surpris de la rapidité avec laquelle cela s’est produit.

    « Ils ne savaient pas que j’avais pris de l’ivermectine.

    «Je prends 72 mg d'ivermectine en association avec une chimiothérapie depuis 6 mois sans aucun problème ni effet secondaire», explique la patiente.

    "Je pense que je dois passer en mode conservation maintenant."

    D’autres experts en oncologie ont également publié de tels succès de guérison après des traitements à l’ivermectine.

    https://tkp.at/2024/10/06/krebspatienten-berichten-ueber-heilung-durch-ivermectin-behandlung/

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  39. Ignorer la science, faire avancer un agenda Le scandale au cœur de l'Académie Américaine de Pédiatrie


    7 Octobre 2024


    Le scandale au cœur de l'Académie Américaine de Pédiatrie

    The Firebreak avec une contribution de Kevin Folta

    En octobre 2012, l'AAP avait dit : « Les aliments biologiques ne sont pas meilleurs ». Aujourd'hui... l'activisme et la collusion avec des intérêts économiques l'ont emporté.

    Ma note : Ce scandaleux dérapage sera aussi instrumentalisé en France (et en Europe).

    Introduction de la rédaction

    L'Académie Américaine de Pédiatrie (AAP) a publié un rapport soulignant ce que les auteurs considéraient comme des risques pour la santé liés aux OGM et qui est depuis devenu la ligne directrice officielle de l'AAP pour les pédiatres lorsque les parents demandent des conseils sur les décisions à prendre en matière d'alimentation pour leurs enfants. Leur recommandation est d'inciter les parents à choisir des aliments biologiques, même s'ils n'ont présenté aucune preuve scientifique que les aliments biologiques étaient plus sûrs que les aliments produits de manière conventionnelle. Un tel conseil entraînerait un stress financier pour de nombreuses familles, sans parler du manque d'accès dans de nombreux « déserts alimentaires », ce qui implique que de nombreuses familles américaines consommeraient moins de portions de fruits et légumes si elles suivaient les conseils dérisoires de l'AAP.

    The Firebreak a publié des articles démontrant comment les auteurs du rapport ont laissé leur parti pris politique les conduire à une méthodologie de recherche très médiocre et comment le rédacteur en chef de Pediatrics et les auteurs ont tourné autour du pot, ignorant obstinément les réactions de la communauté scientifique, y compris la réponse critique convaincante de l'un de ses membres. Les dirigeants de l'AAP n'ont pas non plus abordé le conflit d'intérêts de l'un des auteurs du rapport, Philip Landrigan, qui dirige un projet sur les effets possibles des herbicides sur la santé, financé par le lobby de l'industrie alimentaire biologique et des cabinets d'avocats qui bénéficient des procès intentés contre le glyphosate.

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  40. De nombreuses questions restent en suspens :

    Pourquoi M. Lewis First a-t-il ignoré la contribution de M. Kevin Folta après avoir promis de la publier dans le cadre du processus de dialogue scientifique ?

    Qui a pris cette décision (nous savons que le réseau Ramazzini de M. Philip Landrigan a critiqué M. Kevin Folta dans le passé) ?

    Pourquoi la direction de l'AAP n'intervient-elle pas pour tenter de restaurer la réputation perdue de l'Académie ?

    Les pédiatres de l'AAP prennent-ils au sérieux cette position anti-OGM lorsqu'ils conseillent leurs patients ?

    Pourquoi M. Lewis First n'a-t-il pas rétracté le rapport compte tenu des conflits d'intérêts publiés par l'auteur, Philip Landrigan, avec le lobby de l'industrie des aliments biologiques et les cabinets d'avocats spécialisés dans la responsabilité civile qui financent ses projets de recherche ?

    Pendant combien de temps l'AAP pense-t-elle pouvoir tourner en rond et ignorer les preuves scientifiques de base ?

    En ce qui concerne la dernière question, The Firebreak continuera à diffuser des documents et à publier des informations sur ce scandale de Pediatrics jusqu'à ce que l'AAP retrouve le respect de la science.
    _______________

    * Source : Ignore Science, Advance an Agenda - THE FIREBREAK

    https://seppi.over-blog.com/2024/10/ignorer-la-science-faire-avancer-un-agenda-le-scandale-au-coeur-de-l-academie-americaine-de-pediatrie.html

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    1. ignorer la science c'est ignorer la vie. Ignorer sa conception, son développement et son avenir.

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  41. Les cystites, les ostéopathes et France Inter


    7 Octobre 2024


    Vous avez une cystite ? Allez voir un ostéopathe selon France Inter ! Et vous avez une alliée : la « brouillère ».

    Il a fait beaucoup de vagues, essentiellement sur X, ce « L'invité de 8 heures 20 : le grand entretien » dans le « 7/9 » de France Inter du mercredi 14 août 2024 (voir notre « Encore une hydrologue toutologue sur un France Inter agribasheur ! »).

    Donner la parole à l'incompétence, France Inter l'avait déjà fait auparavant, le 11 août 2024, avec une séquence de trois minutes, « Gare aux cystites ! » dans Carnets de santé ».

    - voir post sur site -

    Comme on peut le voir sur l'image ci-dessus, le post sur X a été supprimé, sans doute en réponse à l'enthousiasme qu'il a suscité (ironie)... Auparavant, des réponses critiques et pédagogiques avaient été masquées !

    - voir post sur site -

    Mais l'article, avec la séquence audio, est toujours sur le site de France Inter !

    On peut être tenté d'écrire : « asina asinam fricat », au risque de verser dans l'ad hominem, version ad feminem. Le fait est, cependant, que, sur une question médicale, une journaliste sollicite l'avis d'une... journaliste « au magazine "Top santé" », au demeurant sans aucune compétence médicale...

    Voici l'élément qui fâche, qui fâche même énormément :

    « Que faire si on a régulièrement des cystites ?

    Alors, ça peut être intéressant d'aller voir un ostéopathe, si possible spécialisé dans la sphère urinaire et gynécologique. Parce qu'en fait, des tensions dans le petit bassin peuvent presser sur la vessie ou la rendre hyperactive. »

    Certains utilisateurs de X ont été stupéfaits.

    Et, effectivement, l'article 3 du décret n° 2007-435 du 25 mars 2007 relatif aux actes et aux conditions d'exercice de l'ostéopathie dispose :

    « I. - Le praticien justifiant d'un titre d'ostéopathe ne peut effectuer les actes suivants :

    1° Manipulations gynéco-obstétricales ;

    2° Touchers pelviens. »

    Il y a d'autres « conseils » qui peuvent hérisser. Notamment :

    « Et si on a tendance à faire des cystites, on a aussi intérêt à prendre du cranberry. Cette petite baie contient des pro-anthocyanidines qui empêchent les bactéries de coller à la paroi de la vessie. On peut prendre du cranberry sous forme de complément alimentaire : attention, il doit vraiment apporter 36 mg de proanthocyanidine par jour pour être efficace. »

    Il y a, certes, une très abondante littérature sur le sujet sur les sites de patamédecine (charlatanerie). Mais voici ce qu'en dit la référence médicale Cochrane en conclusion d'une analyse très chaloupée :

    « Les produits à base de canneberge pourraient aider à prévenir les infections urinaires qui provoquent des symptômes chez les femmes souffrant d'infections urinaires fréquentes, chez les enfants souffrant d'infections urinaires et chez les personnes ayant subi une intervention concernant la vessie. Toutefois, il est nécessaire de procéder à une évaluation plus approfondie dans le cadre d'essais contrôlés randomisés, bien conçus et enregistrés de manière prospective, afin de mieux déterminer qui, parmi les personnes souffrant d'infections urinaires, pourrait bénéficier des produits à base de canneberge. »

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  42. N'insistons pas sur cet autre morceau de bravoure chez France Inter :

    « Certains aliments qu'il vaut mieux éviter ?

    Eh oui, le sucre, encore et toujours, parce qu'en fait, il crée un terrain inflammatoire propice aux infections urinaires. Et en plus, il déséquilibre le microbiote. Au contraire, les fruits et légumes sont protecteurs. Déjà parce qu'ils sont pleins de fibres, ils sont donc bons pour le transit. Et pour certains, ils ont une action anti-inflammatoire.

    Terminons sur une note qui pourrait être plaisante si elle n'illustrait pas une formidable déliquescence intellectuelle :

    - voir post sur site -

    « Du côté des plantes, on a deux alliées, la brouillère... »

    https://seppi.over-blog.com/2024/10/les-cystites-les-osteopathes-et-france-inter.html

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  43. Davantage de maladies d'Alzheimer depuis la campagne de vaccination Corona


    7 octobre 2024
    par le Dr. Peter F. Mayer


    Au cours des deux dernières années, plusieurs études ont montré un lien entre la vaccination contre le coronavirus et le développement de complications neurologiques dans divers types de troubles cérébraux, dont la maladie d'Alzheimer. TKP a rapporté .

    La plus récente de ces études réalisée par Roh JH et al « Une association potentielle entre la vaccination contre le COVID-19 et le développement de la maladie d'Alzheimer » (Roh JH, Jung I, Suh Y, Kim MH. Une association possible entre la vaccination contre le COVID-19 et le développement de la maladie d'Alzheimer). a été publié plus tôt cette année dans la revue médicale britannique QJM : An International Journal of Medicine . Les chercheurs ont examiné le lien entre la vaccination contre le COVID et l'apparition de la maladie d'Alzheimer (MA) et de son précurseur, la déficience cognitive légère (MCI).

    L'étude de cohorte rétrospective menée dans QJM a été menée par des chercheurs du Korea University College of Medicine à Séoul, en Corée du Sud. Elle a utilisé les données du Service national coréen d'assurance maladie (NHIS) couvrant 558 087 personnes et analysé les données d'un échantillon aléatoire de 50 pour cent de résidents urbains âgés de 65 ans et plus.

    Incidence accrue de la maladie d'Alzheimer chez les personnes vaccinées à base d'ARNm
    Selon les chercheurs qui ont mené la vaste étude, les participants ont été divisés en personnes vaccinées et non vaccinées :

    Les participants ont été divisés en groupes vaccinés et non vaccinés, avec des vaccinations comprenant des vaccins à ARNm et à ADNc. L'étude s'est concentrée sur l'incidence de la maladie d'Alzheimer et du MCI après la vaccination, telle que déterminée par les codes CIM-10, et a utilisé des analyses logistiques multivariées et de régression de Cox. Les patients atteints de démence vasculaire ou de la maladie de Parkinson ont servi de témoins.

    Les chercheurs ont découvert une incidence accrue de la maladie d'Alzheimer et du MCI après la vaccination chez ceux qui avaient reçu des vaccins contre le corona, mais surtout chez ceux qui avaient reçu des vaccins à ARNm. Ils ont constaté que le groupe qui avait reçu les vaccins à base d'ARNm présentait une incidence « significativement » plus élevée de la maladie d'Alzheimer (rapport de cotes de 1,225) et de MCI (rapport de cotes de 2,377) par rapport au groupe non vacciné.

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  44. Apparition de la maladie d'Alzheimer en relation avec les infections par le SRAS-CoV-2 et les vaccinations corona
    Sur la base de leur étude, les chercheurs ont conclu que « des preuves préliminaires suggèrent une association possible entre la vaccination contre le COVID-19 » et des taux plus élevés de maladie d’Alzheimer et de MCI et que cela justifie « des recherches supplémentaires » pour « expliquer la relation entre « pour clarifier le système immunitaire induit par le vaccin ». réactions et processus neurodégénératifs ». Ils ont souligné la nécessité d’une « surveillance et d’une enquête continues sur les effets neurologiques à long terme des vaccins ».

    Médecins cliniciens et pathologistes ont observé l'apparition de la maladie d'Alzheimer chez un grand nombre de patients, y compris de jeunes adultes, après une infection par le virus SARS-CoV-2, mais aussi après une vaccination contre la COVID. Un article du magazine New Medical de l’année dernière notait :

    Une infection virale par le SRAS-CoV-2 ou une vaccination anti-Covid-19 entraîne un dysfonctionnement du RAS (système rénine-angiotensine), à ​​savoir un excès de l'hormone angiotensine-2, qui est normalement activée par le récepteur ECA2 ( Angiotensin-2 Converting Enzyme), à ​​laquelle se lie la protéine de pointe du virus ou du vaccin, et la suractivation « nocive » du récepteur AT1R du RAS, à l’origine des maladies Covid-19.

    Le récepteur AT1R suractivé augmente la pression artérielle, ce qui signifie qu’il entraîne une hypertension artérielle. Cela affecte la fonction cérébrale. L'hypertension artérielle a été identifiée comme un facteur de risque important de maladies neurodégénératives légères à graves telles que la démence et la maladie d'Alzheimer.

    Effets secondaires associés à un certain nombre de troubles cérébraux
    Dans d'autres études qui ont montré un lien entre les injections corona et les effets secondaires neurologiques, les chercheurs ont examiné des cas de thrombose veineuse cérébrale chez les femmes en âge de procréer, de paralysie de Bell, de myélite transverse, d'encéphalomyélite aiguë disséminée et de syndrome de Guillain-Barré (SGB), qui après COVID des coups de feu ont eu lieu.

    Une étude publiée dans la revue Brain, Behavior, & Immunity - Health en 2022 s'est concentrée sur « les déficits cognitifs et les troubles de la mémoire » suite à l'administration du vaccin Covishield d'AstraZeneca/Université d'Oxford. Dans cette étude, les chercheurs ont conclu :

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  45. La survenue de déficits cognitifs aigus et de troubles de la mémoire pourrait être une autre complication dont les médecins et les neurologues doivent être avertis, bien que des études plus vastes et plus approfondies soient nécessaires pour déterminer si les troubles de la mémoire sont courants ou non après la vaccination. 2

    L’étude recommande de continuer à surveiller les vaccinations contre la COVID et de « décrire les effets secondaires qui y sont associés » pour « améliorer le profil de sécurité et accroître la confiance du public ».

    https://tkp.at/2024/10/07/mehr-alzheimer-krankheiten-seit-corona-imfpkampagne/

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    1. (...) Les chercheurs ont examiné le lien entre la vaccination contre le COVID et l'apparition de la maladie d'Alzheimer (MA) et de son précurseur, la déficience cognitive légère (MCI). (...)

      'et l'apparition' !!! de la maladies d’Alzheimer !! alors que DEPUIS 1929 des nano-particules d'aluminium ont été ajoutées aux injections !! et, que c'est depuis ce temps qu'est apparue la 'maladie d’Alzheimer !!

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    2. Les lésions cardiaques causées par des injections issues du génie génétique sont répandues – les causes


      7 octobre 2024
      par le Dr. Peter F. Mayer

      La semaine dernière, nous avons signalé une multiplication par 15 des lésions cardiaques chez les moins de 40 ans en Nouvelle-Zélande, révélée dans le cadre d'une demande d'accès à l'information. Puis quelque chose de similaire est apparu en Australie. Les causes des lésions cardiaques causées par les injections issues du génie génétique sont connues et prouvées.

      L'histoire a été reprise par les médias australiens exigeant des données des autorités sanitaires de leurs États, et voilà, la même tendance alarmante a été découverte en Nouvelle-Galles du Sud et dans le Queensland. Pressé lors d'une interview en direct avec 2GB Sydney, le ministre de la Santé de Nouvelle-Galles du Sud, Ryan Park, a déclaré qu'il s'était longuement entretenu avec le directeur de la santé de Nouvelle-Galles du Sud, le Dr. Kerry Chant, a conseillé, admettant à l'intervieweur qu '"il ne fait aucun doute que certaines personnes se sont présentées à nos services d'urgence avec des douleurs thoraciques après la vaccination". Le ministre a ensuite tenté de présenter l’infection au COVID-19 comme la plus grande menace, mais a dû reculer lorsque l’intervieweur a souligné que la tendance des douleurs thoraciques en Australie avait également commencé avant l’émergence du COVID-19, comme cela semble être le cas ici. en Nouvelle-Zélande.

      Des scénarios similaires se déroulent partout dans le monde. Comme indiqué, le Daily Mail britannique titrait : « Augmentation alarmante des crises cardiaques parmi les jeunes minces « superfit » ». Il rapporte une augmentation de 66 % des crises cardiaques aux États-Unis chez les personnes âgées de 18 à 44 ans depuis le début de la pandémie. On y lit : « Aujourd’hui, un patient victime d’une crise cardiaque sur cinq a moins de 40 ans. »

      ARTICLE CENSURÉ !

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    3. L’article rapporte des entretiens avec des médecins qui attribuent presque entièrement l’augmentation soudaine des problèmes cardiaques à l’infection au COVID-19, tout en rejetant à tort les effets secondaires cardiaques de la vaccination à ARNm contre le COVID-19 comme étant rares et sans gravité.

      Suite à la publication des chiffres néo-zélandais sur les douleurs thoraciques avant l'infection au COVID-19 mais après la vaccination, et d'autres études récemment publiées, l'idée fausse répandue par les autorités sanitaires, les gouvernements et les médias selon laquelle l'infection corona est à l'origine des problèmes cardiaques et Les décès soudains chez les jeunes doivent être corrigés de manière décisive. Dans une étude de Colm D Andrews et al intitulée « Efficacité de la vaccination contre le COVID-19 chez les enfants et les adolescents », qui a comparé les résultats de santé des personnes vaccinées et non vaccinées, il n'y a eu aucun cas de myopéricardite dans le groupe non vacciné ayant souffert d'une infection au COVID-19. . En d’autres termes, les cas de myopéricardite sont survenus exclusivement chez ceux qui ont reçu le vaccin à ARNm de Pfizer.

      Le tsunami de maladies parmi les personnes en âge de travailler a des coûts économiques énormes. Un article du British Telegraph est intitulé « Comment la crise de la maladie en Grande-Bretagne a fait exploser un trou de 15 milliards de livres sterling dans l’économie ». De plus, tout comme la crise des douleurs thoraciques en Nouvelle-Zélande, la tendance s’accélère jusqu’en 2024.

      ARTICLE CENSURÉ !

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    4. Les causes des problèmes cardiaques en génie génétique
      Mais il ne s’agit pas seulement de corrélation : la causalité a désormais également été prouvée, notamment grâce aux travaux des pathologistes allemands Arne Burkhardt et Walter Lang. Les dommages se produisent parce que l’ARNm est introduit dans les cellules à l’aide de nanoparticules lipidiques et produit ensuite les antigènes contre lesquels le système immunitaire développe des cellules de défense et des anticorps. Le système immunitaire réagit à ces cellules productrices d’antigènes et les détruit, entraînant la cicatrisation des tissus. Et cela se produit également dans le muscle cardiaque.

      La myocardite est une lésion des cellules du muscle cardiaque. Ceux-ci n’ont aucune capacité de régénération. Après leur mort, ils se transforment en tissu cicatriciel, qui peut être détecté en IRM à l'aide d'un produit de contraste, appelé rehaussement long au gadolinium (LGE). Cela signifie que les lésions cardiaques, par définition, durent toute la vie et ne peuvent pas s’améliorer. Si les dommages causés aux cellules ne sont pas très graves, d’autres cellules musculaires peuvent prendre le relais car le cœur dispose d’une certaine capacité de réserve. Mais les dégâts sous-jacents demeurent. Et ces dommages augmentent considérablement le risque de mourir prématurément, comme le montrent certaines études. Ce risque est indépendant de la manière dont les dommages causés aux cellules du muscle cardiaque ont été causés. Par conséquent, ce phénomène a été constaté avant l’injection d’ARNm.

      Cela est particulièrement nocif lorsque les cellules du système de conduction sont endommagées. Ensuite, l'impulsion n'est pas transmise et, dans le meilleur des cas, cela conduit à ce qu'on appelle un bloc AV (qui a été prouvé chez les pilotes) ou une mort cardiaque subite.

      Myocardite après vaccination : une bombe à retardement ?
      Une étude a montré qu’environ 40 % des personnes souffrant de myocardite suite à une infection virale sont décédées dans les 10 ans.

      « Le taux de mortalité à 10 ans après une myocardite virale est élevé. Comme le montre clairement une analyse réalisée par des cardiologues allemands, le pronostic de la myocardite virale est généralement assez défavorable : près de 40 % des patients atteints sont décédés au cours des dix années suivantes. »

      « Les résultats de l'IRM, en particulier la détection de zones de nécrose ou de fibrose grâce au rehaussement par produit de contraste, appelé rehaussement tardif au gadolinium (LGE), ont été bien plus importants pour le pronostic du patient. Une telle découverte était associée à plus de deux fois le risque de décès par rapport à l’absence de séquences LGE (rapport de risque, HR : 2,4).


      ARTICLE CENSURÉ !

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    5. Cette cicatrisation irréversible des cellules musculaires, appelée LGE, n’est pas spécifique d’une maladie virale mais définit plutôt une myocardite. Selon l'étude mentionnée, environ 80 % de ceux qui présentaient des signes de cicatrices/LGE sont décédés dans les 10 ans.

      Ces cicatrices peuvent également être retrouvées après une « vaccination » corona :

      « 75 des 97 patients (77 %) qui ont subi une IRM cardiaque cinq jours en moyenne après l'apparition des symptômes ont présenté des résultats anormaux. 76 % ont eu un rehaussement tardif au gadolinium (LGE) »

      C’est ce que montre l’étude de Dongngan T. Truong et al intitulée « Myocardite cliniquement suspectée temporellement liée à la vaccination contre le COVID-19 chez les adolescents et les jeunes adultes ».

      Ainsi, s’il est prouvé que 77 % des personnes présentant des symptômes cardiaques après une « vaccination » corona ont des cicatrices cardiaques, alors, sur la base des données disponibles, on peut supposer que 80 % d’entre elles mourront au cours des 10 prochaines années.

      ARTICLE CENSURÉ !

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  46. Il s’agit donc d’une incroyable déformation des faits lorsque les auteurs de l’article du Daily Mail titrent : « Myocardite après vaccination contre le COVID-19 : données rassurantes en provenance des USA » et écrivent : « Les résultats indiquent que la plupart des cas suspects de myocardite après une vaccination contre le COVID-19 » La vaccination chez les personnes de moins de 21 ans a été bénigne et s'est rapidement résolue, même si des résultats anormaux à l'IRM étaient fréquents .

    Apparemment, c’est exactement le contraire qui se produit. Les données disponibles sont extrêmement alarmantes. Ils confirment ce que nous savons depuis toujours, à savoir qu’il n’existe pas de myocardite « légère ». Surtout pas si les résultats de l’IRM sont anormaux. Cela signifie que certaines parties du muscle cardiaque sont irréversiblement cicatrisées et donc incapables de fonctionner. Il ne s’agit jamais d’une découverte « légère », mais plutôt d’une menace mortelle.

    Ces données confirment les craintes d’un grand nombre de personnes gravement malades et de décès dus à la « vaccination » au cours des prochaines années.

    https://tkp.at/2024/10/07/herzschaeden-von-gentechnik-spritzen-weit-verbreitet-die-ursachen-dafuer/

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  47. L'alimentation des enfants est désormais composée à « plus de 70 % » d'aliments ultra-transformés, prévient une diététicienne


    PAR TYLER DURDEN
    LUNDI 07 OCTOBRE 2024 - 10:15


    Il semble que le mouvement « Make America Healthy Again » pourrait arriver à point nommé...

    Du moins selon une diététicienne nutritionniste agréée de Los Angeles, qui s'est récemment adressée à Fox News pour exposer les risques liés aux aliments ultra-transformés dans l'alimentation américaine.

    Ilana Muhlstein a déclaré sur Fox News que l'alimentation américaine est composée à 60 % d'aliments ultra-transformés, mais que les enfants en consomment encore plus.

    « Chez les enfants, c'est en fait plus de 70 %. C'est vraiment fou quand on y pense », a-t-elle déclaré. « Ce que nous mangeons définit le fonctionnement de nos cellules, de nos organes, et nous constatons un fort déclin de la santé mentale et du bien-être. »

    Une étude récente du BMJ a révélé que 60 % des calories quotidiennes des Américains proviennent d’aliments ultra-transformés (UPF), qui sont liés à 32 problèmes de santé, notamment des problèmes mentaux, respiratoires, cardiovasculaires et métaboliques comme le cancer, les maladies cardiaques et le diabète de type 2, selon Fox.

    Muhlstein a ajouté : « Nous constatons en fait que cette prochaine génération pourrait être la première à… avoir une espérance de vie plus courte que celle de ses parents en raison de facteurs liés à la nutrition et au mode de vie. »

    Une alimentation nutritive améliore le bien-être mental, le comportement et les résultats scolaires des enfants, explique Muhlstein, nutritionniste et formatrice de « Raising Balanced Eaters ».

    Bien qu’il soit irréaliste de supprimer complètement les aliments ultra-transformés, Muhlstein préconise d’inverser le ratio typique de 70/30 entre les aliments transformés et les aliments entiers, en recommandant une « règle 80/20 » : 80 % d’aliments entiers comme les œufs, le poisson et les légumes, et 20 % d’aliments gourmands comme les chips et la crème glacée.

    Pour des options plus saines, Muhlstein suggère de remplacer le ketchup par de la sauce marinara sur les nuggets de poulet et les frites, d’opter pour des lanières de poulet plutôt que des nuggets transformés mécaniquement et de choisir des hamburgers plutôt que des hot-dogs chargés de nitrites. Chaque petit changement réduit le niveau global de transformation des aliments.

    La nutritionniste prévient que les mauvaises habitudes alimentaires ne se résoudront pas d’elles-mêmes et encourage à exposer les enfants à diverses saveurs et textures dès leur plus jeune âge.

    Le reportage de Fox News indique que s’asseoir pour des repas en famille, sans écran, peut réduire le risque de troubles alimentaires et favoriser une relation saine avec la nourriture. Trois à cinq repas familiaux par semaine peuvent faire une différence positive, en favorisant de meilleures habitudes alimentaires et des liens familiaux.

    https://www.zerohedge.com/markets/dietitian-nutritionist-warns-childrens-diets-are-now-over-70-ultra-processed-foods

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    1. (...) Une étude récente du BMJ a révélé que 60 % des calories quotidiennes des Américains proviennent d’aliments ultra-transformés (UPF), qui sont liés à 32 problèmes de santé, notamment des problèmes mentaux, respiratoires, cardiovasculaires et métaboliques comme le cancer, les maladies cardiaques et le diabète de type 2, selon Fox. (...)

      Bien avant que ne soient associés les aliments à des poisons non-analysés sont injectés des plus radicaux par seringues.

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  48. ENCORE 1 ARTICLE CENSURÉ ! (60 - 1 = 59)

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  49. ENCORE 1 ARTICLE CENSURÉ ! (60 - 1 = 58)

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