Attaque ciblée contre le système bancaire américain ! La Réserve fédérale américaine (Fed), pyromane du système financier
12.10.2024 www.kla.tv/30734
L'effondrement de la grande banque suisse Credit Suisse et des banques américaines Signature, Silvergate et Silicon Valley Bank (SVB) a ébranlé les marchés financiers en 2023. Le principal déclencheur a été la politique monétaire de la banque centrale américaine, la Fed [Fed = Federal Reserve System]. Celle-ci avait augmenté les taux d'intérêt de manière spectaculaire à la fin de l'année 2021, ce qui avait entraîné une chute des cours des obligations d'État ainsi que des pertes importantes dans les opérations de crédit et de leasing des banques et, finalement, l'effondrement desdites banques. Dans l'ensemble du système bancaire américain, la politique monétaire de la Fed a ainsi détruit la somme incroyablement élevée d'environ 1,9 billion (1000 milliards virgule 9) de dollars américains.
En réaction à la crise du système financier qu'elle a elle-même provoquée et à la menace d'effondrement d'autres banques américaines, la Fed a ensuite lancé le Bank Term Funding Program (BTFP). Ce programme permettait aux banques américaines d'accéder directement aux ressources financières de la Fed par le biais de crédits et de résoudre ainsi discrètement leurs problèmes de liquidités. La crise s'est ainsi calmée et la Fed a pu se présenter une fois de plus comme le sauveur énergique du système financier. Mais les problèmes du secteur bancaire américain étaient bien entendu loin d'être résolus. Actuellement, il traverse même une crise historique ! Découvrez ci-dessous l'ampleur et la violence de cette crise, le rôle joué par la Fed, ses motivations et son contexte.
I. La crise historique du secteur bancaire américain
1. La crise du marché immobilier commercial américain
Aujourd'hui, les États-Unis comptent plus de 4 000 banques, mais seules quelques centaines d'entre elles peuvent être considérées comme saines. La grande majorité d'entre elles, en revanche, sont littéralement au bord du gouffre. L'une des principales raisons de cette situation est un effondrement d'une ampleur historique des prix de l'immobilier commercial. Les exemples suivants illustrent l'ampleur de cette perte : La Prime Manhattan Office Tower de 23 étages à New York, encore évaluée à 215 millions de dollars en 2019, ne vaut plus que 104 millions de dollars aujourd'hui - une perte de valeur de 51,6 % en seulement cinq ans. A Saint-Louis, le plus haut immeuble de bureaux - la tour AT&T de 44 étages - a été vendu pour 3,5 millions de dollars. En 2006, ce bien immobilier de premier ordre coûtait encore
205 millions de dollars, ce qui représente une perte de valeur choquante de 98 % ! Barry Sternlicht, un investisseur immobilier multimilliardaire, a prévu des pertes de 1 billion de dollars suite à cette chute des prix, rien que pour l'immobilier de bureau américain. Ces pertes se retrouvent généralement dans les livres des banques américaines de petite et moyenne taille, qui sont désormais assises sur des montagnes de crédits pourris, dont 30 % à 50 % présentent un risque aigu de défaillance, selon l'expert en métaux précieux Dominik Kettner. En outre, 560 milliards de dollars de prêts immobiliers commerciaux arriveront à échéance d'ici fin 2025 et plus de 2,8 billions de dollars d'ici fin 2028. Cela signifie qu'une vague de refinancement d'une ampleur historique attend également les établissements de crédit aux Etats-Unis. Cela signifie que les biens immobiliers concernés doivent être refinancés à des conditions nettement plus mauvaises. S'ils n'y parviennent pas, ils doivent être vendus avec une forte décote et des pertes correspondantes pour les banques, ce qui peut entraîner un effondrement du système bancaire. Jusqu'à présent, le marché financier n'a jamais connu une situation comparable.
En plus de la crise du marché de l'immobilier commercial américain, une autre bombe à retardement menace le marché obligataire. La hausse des taux d'intérêt y a créé une situation qui a également le potentiel d'ébranler l'ensemble du système bancaire. Ils ont ouvert de nouvelles possibilités d'investissement attrayantes, ce qui a fait que les obligations d'État américaines n'étaient plus guère demandées. En conséquence, elles ont perdu beaucoup de leur valeur, de sorte que les banques américaines se retrouvent aujourd'hui avec une montagne de pertes non réalisées de plus de 516 milliards de dollars. Tant que les banques détiennent ces obligations, les pertes restent "sur le papier". Mais si, par exemple, les clients retirent leurs dépôts ou si les banques sont contraintes de vendre ces obligations pour d'autres raisons, les pertes deviennent réelles et pourraient également déclencher un krach bancaire.
3. La Fed met fin au Bank Term Funding Program
En pleine crise bancaire et financière historique, la banque centrale américaine (Fed) a mis fin le 11 mars au Bank Term Funding Program (BTFP). Par ce biais, la Fed avait dépensé en un an plus de 160 milliards de dollars auprès des banques demandeuses, leur fournissant ainsi discrètement des moyens financiers. Dans ce contexte, les banques pouvaient utiliser leurs obligations comme garantie, celles-ci étant évaluées à leur valeur nominale [valeur nominale = valeur imprimée sur un titre] et non à la valeur en cours du marché. De cette manière, les conséquences négatives des hausses de taux d'intérêt et surtout la chute de la valeur du marché obligataire américain ont été totalement compensées pour les banques, ce qui les a sauvées de l'effondrement. Avec la fin du BTFP, les banques ont donc été privées non seulement de la simple fourniture de moyens financiers pour empêcher par exemple la bulle de l'immobilier commercial américain d'éclater, mais aussi des pertes sur le marché obligataire américain. De plus, les taux d'intérêt toujours élevés se répercutent à nouveau pleinement sur les banques, ce qui pourrait être le déclencheur décisif d'une autre crise bancaire, bien plus étendue. L'analyste canado-irlandais Kevin O'Leary est en tout cas convaincu, au vu de la situation dramatique du système bancaire américain, que des milliers de banques vont s'effondrer dans les années à venir. Étant donné que les banques mondiales sont à leur tour extrêmement interdépendantes, cela pourrait alors conduire à un gigantesque tsunami financier mondial et à une crise économique mondiale qui éclipserait toutes les précédentes.
II. La Fed pyromane du système financier et ses motivations
De l'extérieur, la Banque centrale américaine (Fed) se présente comme un combattant sérieux et énergique pour un système financier stable. Mais elle se révèle être un véritable pyromane du système financier qui, selon l'expert financier Ernst Wolff, a déclenché ou provoqué de manière très ciblée aussi bien la crise bancaire de 2023 que celle qui s'annonce actuellement. Ernst Wolff voit à cet égard les corrélations suivantes, qui expliquent pourquoi la Fed agit ainsi :
1. Etant donné que nous sommes dans la phase finale du système financier mondial, les banques centrales du monde entier préparent un nouveau système financier et l'introduction de monnaies numériques de banque centrale (CBDC).
2. Avec l'introduction de la CBDC, l'octroi de crédits devrait être retiré aux banques commerciales et se faire à l'avenir vraisemblablement par le biais exclusif de la banque centrale... Cela signifie qu'il n'y a plus de place, surtout pour les petites et moyennes banques, dans le nouveau système monétaire. C'est pourquoi la crise bancaire existante est attisée de manière ciblée afin de faire avancer rapidement le processus de concentration dans le secteur bancaire.
3. les grands bénéficiaires des faillites bancaires à venir seront les grandes banques américaines comme Goldmann Sachs ou JP Morgan Chase. Cette dernière avait déjà racheté la First Republic Bank en 2023 pour une fraction de sa valeur. Ces grandes banques profiteront de la même manière de la crise à venir et s'empareront ainsi d'énormes fortunes à un prix dérisoire. Cette situation profite à son tour aux grands gestionnaires de fortune comme BlackRock, Vanguard ou State Street, qui sont les principaux actionnaires des grandes banques américaines et qui gèrent les fortunes des super-riches.
4. Etant donné qu'aucun fonds de garantie bancaire n'est doté des ressources financières nécessaires pour sauver les titulaires de comptes et les déposants qui risquent de se retrouver ruinés lors de ce qui pourrait être la plus grande crise bancaire de tous les temps, cela pourrait constituer un tremplin idéal pour l'introduction de la CBDC. En versant l'aide directement avec cette nouvelle monnaie, celle-ci pourrait être introduite avec l'image positive d'un sauveur du système. Suivant la devise de Winston Churchill : "Ne laissez jamais passer une crise sans en profiter !"
III. Les coulisses de la Banque centrale américaine
Selon Ernst Wolff, tous les moyens sont manifestement bons pour la Fed afin d'imposer un nouveau système financier numérique. Elle est prête à mettre en faillite des milliers de banques et à détruire des milliers de milliards de dollars d'actifs afin d'attirer ou de forcer la population dans ce nouveau système monétaire. Les grands bénéficiaires sont évidemment les super-riches.
Pour comprendre plus profondément pourquoi la Fed n'agit pas pour le bien de tous, mais pour le bénéfice de cette petite minorité, il faut savoir que la Fed n'est pas une institution publique. Selon Stephen Goodson, ancien directeur de la Banque centrale d'Afrique du Sud, qui est donc un grand spécialiste du système financier, la Fed, tout comme la quasi-totalité des banques centrales du monde, ainsi que le FMI et la Banque mondiale, sont des banques et des institutions à capitaux privés qui mènent leurs affaires dans l'intérêt absolu de leurs associés et fondateurs. Dans le livre qu'il a publié, "L'histoire des banques centrales", il cite par exemple aussi les principaux actionnaires de la Fed par leur nom. Ce sont les banques suivantes avec les dynasties de banquiers derrière elles :
- JP Morgan Chase Bank - Goldman Sachs Bank de New York - Lazard Brothers Bank de Paris - Israel Moses Sieff Bank d'Italie - Shearson American Express Bank - Les banques Rothschild de Londres et Paris - Les banques Warburg de Hambourg et Amsterdam
C'est donc un petit cercle de super-riches qui alimente la crise bancaire actuelle. Ils veulent ainsi se remplir les poches et nous attirer, éventuellement déguisés en sauveteurs, dans leur nouveau système monétaire numérique. Comme Kla.TV l'a déjà montré dans l'émission "Ernst Wolff : (L'argent de Banque centrale numérique – la fin de la liberté) [www.kla.tv/29968] (pas en français), cela se fait à nouveau dans le seul but de nous dominer totalement et de nous priver de toutes nos libertés.
Le système financier est une fois de plus sur la voie du krach et la baisse actuelle des taux d'intérêt de la Fed n'y changera rien. Il est toutefois difficile de prévoir quand l'effondrement aura lieu, mais une chose est sûre : les banksters, qui abusent de leur pouvoir avec une énergie criminelle indicible pour accumuler toujours plus de richesses et de puissance, feront tout pour ne pas être démasqués comme étant à l'origine de l'effondrement financier qu'ils auront provoqué. En contrepartie, ils risquent de laisser s’aggraver d’autres crises, notamment les conflits militaires existants, qui connaissent actuellement une forte intensification. Mais quelle que soit la manière dont ils veulent nous faire accepter leur nouvel argent numérique, il s'agit certainement d'un cheval de Troie et jamais de la solution aux problèmes. La solution consiste à demander des comptes à ces banksters, responsables des crises et à leur retirer leur pouvoir.
Selon l'ancien directeur de la banque centrale Stephen Goodson, leur influence repose sur le fait qu'ils ont usurpé le droit de créer de l'argent à partir de rien et de le prêter ensuite contre intérêts. Ils ont pu le faire en prenant le contrôle des banques centrales mondiales. C'est pourquoi il faut une "réduction globale de la dette", c'est-à-dire le désendettement de tous les États-nations maltraités, pillés et de facto dépossédés par les banques centrales et par le FMI et la Banque mondiale, ainsi que la restitution de toutes les ressources saisies. En effet, tout comme les crédits ont été créés à partir de rien, les dettes doivent elles aussi disparaître dans le néant. Si, en plus, le droit de créer de la monnaie revient entre les mains du peuple et des différents États souverains, toute cette histoire sera terminée. En cette période de crise mondiale, le moment est venu de le revendiquer - si ce n'est pas maintenant, alors quand ?
Fermeture de la BTFP, nouvelle crise bancaire - effondrement de l'immobilier commercial https://www.konjunktion.info/2024/04/finanzsystem-steht-eine-eine-neue-konsolidierungswelle-im-us-bankensektor-bevor/
Crise du refinancement, i mmobilier commercial https://www.derstandard.de/story/3000000208163/leerstandsquote-hoch-wie-nie-lage-bei-us-gewerbeimmobilien-spitzt-sich-zu
Kevin O´Leary https://en.wikipedia.org/wiki/Kevin_O%27Leary
Ernst Wolff – Les arrière-plans de la politique monétaire de la Fed https://www.youtube.com/watch?v=BPsNmLpVMsE ab Min: 3:08 https://www.youtube.com/watch?v=E6Za3k-8k38 ab Min: 2:37
JP Morgan – Reprise de First Republic Bank https://www.capital.de/wirtschaft-politik/jpmorgan-kauft-first-republic--wie-der-deal-zustande-kam-33427758.html
Avec le plan de préparation à la pandémie de l'OMS, le passeport de vaccination électronique dans l'UE et la médecine conventionnelle qui nie de plus en plus la biochimie, les vaccinations et le génie génétique devraient devenir les seules interventions médicales salvatrices. La chimie et la biochimie ont fourni des médicaments très efficaces comme l'ivermectine, le bleu de mthéléne, la chloroquine et bien sûr toutes les vitamines. La substance très efficace DMSO a presque été oubliée.
Le diméthylsulfoxyde (abréviation DMSO) est un solvant organique très efficace et appartient à la classe des composés sulfoxydes. Techniquement, le diméthylsulfoxyde est fabriqué à partir de sulfure de diméthyle, par exemple. B. produit par oxydation catalytique avec du tétroxyde de diazote en présence d'oxygène. Biochimiquement, il se produit dans de nombreuses réactions du corps. Le diméthylsulfoxyde, comme son nom l'indique, est constitué de deux groupes méthyle et d'un atome d'oxygène lié au soufre. Ce produit chimique simple et ses produits de dégradation sont présents dans la nature (on les trouve par exemple en petites quantités dans le lait, les tomates, le thé, le café , les palourdes et le maïs cuit ), tandis que l'odeur salée de la mer est due en partie aux microalgues proches de la surface, qui produisent du diméthylsulfoxyde , dont une partie finit également sous la pluie.
Un médecin du Midwest (AMD) explique les divers effets du DMSO dans un article détaillé . Voici quelques réactions dans le corps :
- voir schéma sur site -
Dans le corps, le DMSO est oxydé ou réduit, la forme oxydée (mieux connue sous le nom de méthylsulfonylméthane ou MSM - un agent cicatrisant commun) étant le principal destin du DMSO, tandis que la forme réduite du DMS (qui se produit naturellement en quantités infimes dans le corps ) est le métabolite le plus connu car il est responsable de « l'effet secondaire » caractéristique du DMSO, « une odeur (ou un goût) distinctif semblable à celui de l'ail ou de la palourde, excrétée par la bouche et la peau, que certaines personnes ont du mal à tolérer ».
Ses applications sont nombreuses en médecine naturelle et je connais de plus en plus de médecins et de profanes qui l'utilisent spécifiquement. Entre autres choses, je l'ai récemment trouvé très utile pour éliminer rapidement les bleus après un accident de vélo .
La DMLA résume les effets médicaux les plus importants comme suit :
Le DMSO est un produit chimique remarquablement sûr qui protège les cellules contre des facteurs de stress autrement mortels (par exemple le gel, la brûlure, les ondes de choc, l'ischémie). Étant donné que le cœur, le cerveau et la moelle épinière sont particulièrement vulnérables aux blessures, le DMSO peut faire des merveilles pour ces maladies. L'utilisation du DMSO change complètement le traitement des accidents vasculaires cérébraux (y compris les hémorragies cérébrales), des crises cardiaques et des lésions de la moelle épinière. Comme je vais le montrer ici, si la FDA n’avait pas saboté l’introduction du DMSO, non seulement d’innombrables vies auraient pu être sauvées, mais des millions de personnes auraient pu être sauvées d’une invalidité ou d’une paralysie à vie. Le DMSO possède de nombreuses autres propriétés notables. Par exemple, il stabilise les protéines et peut traiter de nombreux troubles protéiques difficiles (par exemple l’amylose et de nombreux troubles génétiques).
De nombreuses maladies traitées au DMSO sont généralement considérées comme incurables. Cet article discute de l'utilité remarquable du DMSO dans les affections les plus sensibles au DMSO intraveineux (par exemple, divers troubles circulatoires tels que les varices ou la maladie de Raynaud) et les troubles neurologiques complexes (par exemple, le syndrome de Down, le retard de développement, la SLA, la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson). ainsi que l'administration de protocoles intraveineux de DMSO et d'AVC au DMSO. Si la DMLA était bloquée sur une île déserte ou savait que le monde touche à sa fin et qu’elle avait peu de thérapies à emporter avec elle, l’une d’entre elles serait sans aucun doute le DMSO. Pour les raisons suivantes :
Il traite un large éventail de maladies graves qui sont autrement souvent incurables et souvent mortelles ou entraînent une invalidité permanente à vie. Il traite efficacement les blessures aiguës et réhabilite les maladies musculo-squelettiques chroniques (par exemple l'arthrite). Pour cette raison, c’est l’un des meilleurs « analgésiques » disponibles et il a aidé de nombreuses personnes à remettre leur vie sur les rails. Il possède un certain nombre de propriétés uniques qui ouvrent une toute nouvelle dimension à la médecine.
C’est l’une des substances médicinales les plus sûres disponibles. Remarquablement, cela a été reconnu dans les années 1960 et le DMSO a pris d'assaut les États-Unis (par exemple, les gens du monde entier l'ont demandé, les stations-service ont souvent annoncé qu'ils le vendaient et des dizaines de milliers d'études de recherche ont été menées par des scientifiques enthousiastes du monde entier). . Cependant, aujourd’hui, peu de gens connaissent l’existence du DMSO, si ce n’est qu’il s’agit d’un produit chimique de laboratoire ou d’une thérapie alternative que certaines personnes utilisent pour soulager les douleurs articulaires.
En effet, la FDA a mené une guerre de plusieurs décennies contre le DMSO (malgré un tollé généralisé au Congrès et dans le public), ce qui, à mon avis, était sans doute la pire chose que la FDA ait jamais faite au pays.
En raison de sa chimie unique, le DMSO possède deux propriétés notables :
Il agit comme un solvant quasi universel (c’est-à-dire qu’il interagit avec diverses biomolécules).
Il est capable de pénétrer les membranes biologiques sans les endommager (ce qu'aucun autre solvant ne peut faire).
Pour cette raison, quelle que soit la voie d'administration, le DMSO pénètre rapidement dans l'organisme (y compris le cerveau) (par exemple, il se retrouve dans le sang dans les 5 minutes suivant l'application sur la peau et dans les os dans l'heure), mais s'accumule pas dans le corps en même temps.
Le DMSO a un nombre apparemment infini d’utilisations car il peut être utilisé de presque toutes les manières. Presque tous les médicaments ou substances peuvent y être combinés et administrés par voie cutanée (par exemple, les stéroïdes, les AINS, la vitamine C ou le peroxyde d'hydrogène). Dans de nombreux cas, les effets de ces médicaments sont accrus tandis que leur toxicité est réduite (bien que dans certains cas, la toxicité augmente).
Toute une gamme d’applications utiles sont répertoriées ci-dessous :
Protection cellulaire Troubles circulatoires crise cardiaque DMSO et accidents vasculaires cérébraux AVC hémorragiques et traumatismes crâniens
En outre, le DMSO agit également sur de nombreux autres aspects critiques des traumatismes crâniens et des hémorragies cérébrales (qui nécessitent de nombreux médicaments différents dans le traitement traditionnel) :
- voir cadre sur site -
Blessures à la colonne vertébrale Déficience cognitive et démence
Le DMSO a été découvert à une époque où la communauté scientifique était ouverte à l'exploration d'idées non conventionnelles, la science n'étant pas encore entravée par un système de subventions conçu pour contrecarrer les idées non conventionnelles . À leur tour, des milliers d’études sur son potentiel ont été publiées grâce à des chercheurs dévoués bénéficiant d’un fort soutien institutionnel.
Mais malgré ces recherches prometteuses, la FDA a supprimé le développement, rejetant des années d’efforts scientifiques et d’innombrables sacrifices d’animaux dans les poubelles de l’histoire.
C’est particulièrement tragique si l’on considère les immenses souffrances causées par les maladies que le DMSO pourrait potentiellement soulager. Des décennies de recherche et des milliards de dollars plus tard, la médecine conventionnelle a encore du mal à traiter efficacement bon nombre de ces maladies. Dr. Pierre Kory a partagé mon avis après avoir lu cet article :
« Depuis plus de 15 ans que je dirige des unités de soins intensifs et traite des lésions cérébrales, des accidents vasculaires cérébraux et des hémorragies, cela m'attriste et me met en colère de savoir qu'un médicament comme le DMSO aurait pu aider autant de personnes. Les traitements sur lesquels je comptais étaient souvent limités ou comportaient de grands risques.
L'article AMD est assez long et complet. Une version abrégée est disponible auprès du Dr. Mercola . Si vous voulez en savoir plus, vous devriez au moins lire ceci.
Le trésor de connaissances le plus complet est véhiculé par le livre illustré ci-dessus :
Médecine à faire soi-même avec DMSO & Co. : votre boîte à outils de santé à domicile ou au cabinet
Les dommages cardiaques causés par le vaccin arrivent au Parlement européen
11 octobre 2024 de Thomas Oysmüller
Les myocardites et les crises cardiaques continuent d'augmenter. Le fait que cela puisse être dû à la campagne de vaccination contre le Covid est toujours nié avec véhémence. Les cas croissants de lésions cardiaques, en particulier de myocardites telles que la myocardite et la péricardite, font de plus en plus surface. Pas plus tard que la semaine dernière, le TKP a fait état d'articles publiés dans le grand public qui admettent, avec toutes sortes de contorsions, que les cas augmentent de façon drastique, en particulier chez les jeunes. La question a désormais atteint le Parlement européen. Mais pas comme les critiques l’espéraient.
Covid, pas la vaccination
Cela a permis au député européen Gerald Hauser (FPÖ) d'interroger la professeure de cardiologie Cecilia Linde. Elle enseigne et fait des recherches à l'Université de Stockholm et a été invitée à une enquête d'experts au Parlement européen. Le bref échange entre Hauser et Linde montre bien que les dommages cardiaques croissants ne doivent en aucun cas être liés à la vaccination. Mais la question de Hauser aborde au moins l’éléphant évident dans la pièce.
Hauser a demandé très précisément si Linde voyait un lien entre l’augmentation des cas de myocardite et de péricardite en Europe et les « vaccins » à ARNm.
Linde a immédiatement déclaré que la question était « importante » et qu’il existait un « groupe sensible », celui des jeunes hommes. Mais elle explique ensuite rapidement que la vaccination fait « plus de bien que de mal ». Une « infection grave au coronavirus » entraînerait un risque de myocardite plus élevé qu’une vaccination.
Si vous écoutez attentivement, vous remarquerez que Linde ne répond finalement pas clairement à la question. Elle ne dit pas que la vaccination n’a rien à voir avec le nombre croissant de crises cardiaques. Transition News , qui a également rendu compte de l'apparition du professeur, écrit :
«La réaction de la soi-disant experte a clairement montré à quel point la question était inconfortable pour elle. Elle s’est tordue comme un serpent et a expliqué qu’elle avait des informations à ce sujet mais qu’elle ne se souvenait pas du nom de l’étude.
La question de Hauser a rapidement embarrassé Linde. Elle ne connaissait pas le fondement de sa déclaration, mais "l'enverrait plus tard", a-t-elle expliqué. Interrogé par TKP, Hauser explique que cela ne s'est pas encore produit.
le sidérant essai qui conduit à une vaccination obligatoire des canards avec ARN auto répliquant: inefficace, aucune étude pour les consommateurs ,100 millions gaspillés
le 10 octobre 2024 par pgibertie
Il y a bien eu un essai réalisé ,sur une dizaine de canards vaccinés à l’ARN autorépliquant (pire que le messager , demandez aux Japonais
Les dix canards vaccinés se voient injecter le virus et tombent tous malades avec une charge virale à peine moins forte que les non vaccinés……
Faute d’épidémie cette année aucune preuve de protection face au virus naturel , n’ a pu être établie
Rappel 100m tel est le coût pour le contribuable
Une série d’essais en conditions terrain, organisée par l’équipe ENVT-INRAE (Chaire de Biosécurité et Santé aviaires) en collaboration avec les professionnels de la filière (Interprofession, organisations de production, vétérinaires), portant sur 6 lots de canetons mulards conventionnels mis en place sur des sites d’expérimentation en conditions d’élevage commercial. Pour chaque site, un lot d’animaux a été vacciné (selon les protocoles recommandés par les fabricants) à l’aide d’un des deux vaccins retenus et un autre a été élevé en tant que lot témoin non vacciné.
Pour chacun des deux vaccins retenus, un lot de canards mulards a été sélectionné pour transférer des canards (vaccinés ou témoins non vaccinés) vers les installations expérimentales de niveau de confinement A3 du LNR influenza aviaire du laboratoire Anses de Ploufragan-Plouzané-Niort afin d’y conduire à 7 et 11 semaines d’âge des épreuves expérimentales réalisées avec le virus IAHP A/chicken/France/D2107428/2021 (H5N1). Une étude en conditions expérimentales en animaleries de biosécurité de niveau 3 réalisée par l’ANSES-Ploufragan avec pour objectifs de produire des informations chez le canard mulard portant :
Dans un premier temps, sur la capacité des vaccins étudiés à protéger cliniquement et à réduire l’excrétion virale ; Dans un second temps, sur la capacité des vaccins étudiés à ralentir la transmission du virus IAHP de clade 2.3.4.4b au sein d’une population de canards vaccinés. Deux candidats vaccins ont été testés :
Vaccin A : Duck H5-SRV vaccine® de Ceva Santé Animale : vaccin à ARN permettant l’expression de la protéine H5 modifiée du virus IAHP A/duck/France/161108h/2016 (H5N8) de clade 2.3.4.4b. Les animaux ont été vaccinés à 1 et 28 jours d’âge par voie intramusculaire dans la cuisse selon les recommandations du fabricant de vaccin.
Vaccin B : Volvac B.E.S.T. AI+ND® de Boehringer Ingelheim animal health (BI) : vaccin bivalent adjuvé sous-unitaire incluant une H5 modifiée provenant du virus IAHP A/duck/China/E319-2/2003 (H5N1) de clade 2.3.2 exprimée en baculovirus recombinant dans des cellules d’insecte et incluant la souche inactivée LaSota d’orthoavulavirus aviaire de type 1 (OAvV-1). Chaque dose de vaccin contient 250 unités hémagglutinantes de H5.
Les animaux ont été vaccinés par voie sous-cutanée à 10 et 28 jours d’âge selon les recommandations du fabricant de vaccin. Groupe NV-NE : 5 canards mulards naïfs non-vaccinés non-éprouvés ;
Groupe V-NE : 5 canards vaccinés non-éprouvés ; Groupe NV-E: 10 ou 8 canards non-vaccinés puis éprouvés (diminution du nombre d’animaux par parc pour respecter la densité veillant au bien-être animal à 11 semaines d’âge) ; Groupe V-E: 10 ou 8 canards vaccinés puis éprouvés (diminution du nombre d’animaux par parc pour respecter la densité veillant au bien-être animal à 11 semaines d’âge). LE VIRUS INJECTE REGARDEZ LA CHARGE VIRALE CHEZ LES VACCX ET LES NON VACCX;;;;TOUS MALADES ET TOUS CONTAGIEUX
- voir schémas sur site -
CONCLUSION
Les essais en condition terrain ont permis d’évaluer la faisabilité de la vaccination dans des conditions très proches de l’application en contexte commercial. Les protocoles vaccinaux préconisés par les laboratoires producteurs des deux solutions vaccinales ont pu être mis en œuvre sans difficulté particulière et sans aucun effet indésirable. Le suivi sérologique a permis de mettre en évidence uneséroconversion dès le rappel (4 semaines), un pic à 8 semaines et une décroissance des titres à partir de l’âge de 10 semaines.
Les essais expérimentaux rapportés avaient pour objet de vérifier que les deux vaccins testés, utilisés dans des conditions de terrain, étaient efficaces chez les canards mulards pour permettre la protection clinique et la diminution de l’excrétion virale à l’âge de 7 semaines et 11 semaines d’âge vis-à-vis d’une épreuve avec un virus IAHP A/chicken/France/D2107428/2021 (H5N1) de clade 2.3.4.4b, génotype viral qui circule encore actuellement en Europe. Le peu de signes cliniques obtenus après inoculation de la souche d’épreuve dans les conditions expérimentales utilisées, y compris chez les canards mulards non vaccinés, ne permet d’obtenir que peu d’éléments relatifs à la protection clinique. Neanmoins, les seuls signes cliniques observés l’ont été chez des sujets non-vaccinés.
Incapacité du pilote : le pilote du vol Edelweiss WK-5 a souffert d'un problème médical et a été frappé d'incapacité
By Dr. William Makis Global Research, October 11, 2024
Ci-dessous, un article de Simon Hradecky du Aviation Herald :
Un Airbus A340-300 d'Edelweiss, immatriculé HB-JMF, effectuant le vol WK-5 de Tampa, FL (USA) à Zurich (Suisse), était en approche de Zurich lorsque l'équipage a déclaré une urgence en signalant une incapacité du pilote. L'avion a atterri en toute sécurité sur la piste 14 de Zurich et a roulé jusqu'au tablier.
La compagnie aérienne a signalé que l'un des trois pilotes à bord a souffert d'un problème médical environ 90 minutes avant l'atterrissage. Les deux autres pilotes ont effectué l'atterrissage à Zurich.
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Incapacités de pilote en vol en 2024 (sept jusqu'à présent) :
22 juil. 2024 – Vol WK-5 d'Edelweiss (TPA-ZRH) de Tampa, FL, USA à Zurich, Suisse, le pilote a souffert d'un problème médical et a été frappé d'incapacité
12 juin 2024 – Vol NE-130 de Nesma Airlines (CAI-TIF) du Caire, Égypte à Taif (Arabie saoudite) – le pilote, le capitaine Hassan Youssef Adas, âgé d'une trentaine d'années, s'est effondré et est décédé d'une crise cardiaque présumée
4 juin 2024 – Vol AM-34 d'Aeromexico (MTY-MAD) de Monterrey (Mexique) à Madrid (Espagne), le copilote est tombé malade, a eu un problème médical, le vol a été détourné vers Mexico.
14 mars 2024 – British Airways BA-2272 (JFK-LGW) de New York à Londres-Gatwick, l’un des pilotes est tombé en incapacité et l’avion a été contraint de se dérouter vers St. John’s, NL, Canada.
17 février 2024 – Vol Lufthansa LH-1140 (FRA-SVQ) de Francfort à Séville le 17 février 2024 – Premier officier en incapacité, avion retourné à Madrid
16 février 2024 – DELTA – NYC – Le capitaine Geoffrey John Brock, 58 ans, est décédé de manière inattendue le 16 février 2024 lors d'une escale à Honolulu, HI
16 janvier 2024 – Vol LATAM Brasil LA-3744 (BSB-JPA) de Brasilia à Joao Pessoa le 16 janvier 2024 – Pilote en incapacité, avion détourné vers Salvador pour un atterrissage en toute sécurité
Les véhicules Crit'Air 3 exclus de Paris à partir de 2025
France-Soir le 09 octobre 2024 - 18:30
Le gouvernement poursuit la chasse aux particules, et pas de manière fine. Dès le 1er janvier 2025, les véhicules étiquettés Crit'Air 3 seront interdits de circulation à Paris et à Lyon — sauf dérogations exceptionnelles. Une barrière de plus pour les plus démunis, qui risque de mettre le feu aux poudres.
La graine a été plantée en 2021, quand la loi Climat et Résilience a été promulguée. Celle-ci prévoyait la création des zones à faibles émissions (ZFE) dans toutes les villes de "plus de 150 000 habitants où les valeurs de qualité de l’air recommandées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sont dépassées". Au total, ce sont 42 agglomérations françaises qui sont concernées et devront mettre en place des mesures plus ou moins strictes avant le 1er janvier 2025. Certaines d'entre elles jouent déjà le jeu, telles que Rouen, Grenoble ou Strasbourg, mais ce ne sont pas les plus polluées, donc pas les plus restrictives non plus.
Paris et Lyon, à l'inverse, tardent à se mettre au diapason. Et pour cause ! Dans ces deux villes, plus polluées que les autres, ces ZFE imposent purement et simplement l'interdiction de circulation des véhicules Crit'Air 3, soit toutes les voitures diesel de plus de 14 ans et les voitures essence de plus de 19 ans, de 8h à 20h en semaine. Comme le rapporte le site AutoMoto, cela représente ni plus ni moins que 24% des immatriculation en Seine-Saint-Denis, 22% dans le Val-d'Oise ou 21% en Seine-et-Marne, contre 15% à Paris. Globalement, un cinquième de la population française se verra contrainte de rester hors de la capitale, ou d'y entrer par un autre moyen : en transports bondés, à pieds ou à cheval, qui sait ? Ce qui est sûr, c'est que s'offrir un nouveau carrosse ne sera pas possible pour la majorité des personnes concernées, faute de revenus suffisants pour assumer la croissance des prix de l'occasion.
Les citadins se murent dans la ville, et les plus pauvres sont exclus, au nom de la pollution. Ceci étant dit, tout magnanime qu'il est, le gouvernement a bien prévu une roue de secours, que David Belliard, adjoint EELV à la mairie de Paris a présenté en conférence de presse : un pass ZFE. Nouveau sésame qui permettrait aux propriétaires de véhicules Crit'Air 3 de franchir le Rubikon 12 fois l'an, pendant 24h ! La nouvelle, sans surprise, fait jaser sur les réseaux :
Le gazole retiré des pompes à essence, le périphérique à 50km/h, les ZFE pour empêcher les moins bien équipés d'entrer en ville, peut-être un péage urbain, bientôt. Si avec toutes ces semances, le gouvernement ne récolte rien...
De Crit Air à Sandrine Rousseau qui rêve de décroissance: pourquoi les écolos détestent ils le peuple ????
le 10 octobre 2024 par pgibertie
Le gouvernement poursuit la chasse aux particules, et pas de manière fine. Dès le 1er janvier 2025, les véhicules étiquettés Crit’Air 3 seront interdits de circulation à Paris et à Lyon — sauf dérogations exceptionnelles. Une barrière de plus pour les plus démunis, qui risque de mettre le feu aux poudres.
https://t.co/zKba6iPOgW
La gauche nouvelle ne s’intéresse pas au pouvoir d’achat et Sandrine Rousseau ne s’en cache pas, la crise actuelle de la consommation est une bonne nouvelle….
Le cauchemar des écolos bobo, l’amélioration du pouvoir d’achat , la démultiplication des consommateurs .
Quelques pistes de réflexion…
Selon Thorstein Veblen, les milieux populaires ne seraient que dans l’imitation des modes de vie des classes dominantes et les pays du Sud dans celle des pays du Nord. Si Thorstein Veblen avait raison nous pourrions dire que « les riches détruisent la planète » mais qu’il n’y aurait rien de bon à attendre des milieux populaires, d’ici et d’ailleurs. Thorstein Veblen, logique avec lui-même, disait d’ailleurs n’avoir d’espoir que dans une prise de conscience des ingénieurs et techniciens, jamais dans un sursaut des « gens de peu » . La gauche et les « écolos » aiment bien, certes, les milieux populaires, mais ceux d’avant, ceux d’ailleurs, jamais ceux d’ici, jamais nous-mêmes, signe d’une culpabilisation et même d’une auto-culpabilisation imposées par le système.
Je crois donc nécessaire de pousser un coup de gueule contre l’idée qu’il n’y aurait rien de bon à attendre des gens ordinaires au regard de la situation sociale, politique, écologique.
C’est à qui dénoncera le plus vertement leur rêve de grand écran de télévision, leurs vieilles voitures polluantes, leurs logements mal isolés, leurs achats dans les hypermarchés, leur goût pour la viande rouge et les boissons sucrées, leurs rêves de zones pavillonnaires et de vacances bon marché, etc. Les élites auraient donc raison de dire : « salauds de pauvres qui consommez si mal ! » et qu’il faudrait rééduquer au moyen d’une « fiscalité verte » socialement injuste et écologiquement absurde, comme celle qui taxe la collecte des ordures en fonction du poids, pénalisant ainsi les milieux populaires. Les élites auraient donc encore raison de dire : « salauds de pauvres qui votez si peu » et qu’il faudrait frapper d’une amende comme le propose l’ex-député EELV François Goullet de Rugy.
Au moins, les riches achèteraient des produits bio, auraient des voitures électriques, des maisons bien isolées et lorsqu’ils prennent l’avion pour leurs vacances, ils achèteraient des compensations carbone, etc. Ce mépris des milieux populaires ne résiste pourtant pas à l’analyse. Tous les indicateurs prouvent que les milieux populaires ont un bien meilleur « budget carbone », une bien meilleure « empreinte écologique », un bien plus faible écart par rapport à la « bio-capacité disponible », un bien meilleur indice « planète vivante » (concernant l’impact des activités sur la biodiversité), un « jour de dépassement de la capacité régénératrice de la planète » plus tardif, une moindre emprise sur la « déplétion » des stocks non renouvelables, etc.
L’erreur serait cependant de croire que les milieux populaires affichent un meilleur bilan carbone simplement parce qu’ils auraient moins de moyens financiers. Cette vision, rassurante pour la « bonne société », est démentie par toutes les recherches. Ce n’est pas parce qu’ils sont plus pauvres que les milieux populaires ont un meilleur bilan carbone mais parce qu’ils ont (encore) d’autres modes de vie. C’est pourquoi, j’ai mobilisé des centaines de travaux de sociologues, d’économistes, de psychologues, de géographes pour montrer que les « gens de peu » ne sont pas des riches auxquels il ne manquerait que l’argent, qu’ils ne se définissent pas d’abord en termes de manque (en économie, le manque de pouvoir d’achat ; en culture, le manque d’éducation ; en politique, le manque de participation ; en psychologie, le manque d’estime de soi, etc.) Oui, les milieux populaires sont dominés mais cette domination n’est jamais absolue.
Les élites auraient donc raison : » salauds de pauvres qui consommez si mal ! « . Ce discours discriminant est susceptible de contaminer ceux qui à gauche se disent les plus conscients des enjeux planétaires et sociaux. Pourtant tous les indicateurs prouvent que les milieux populaires ont un meilleur bilan carbone, une meilleure empreinte écologique que les milieux aisés, y compris quand ces derniers ont des pratiques » écolos « . Iconoclaste, Paul Ariès invite à relativiser les thèses de Veblen et de Bourdieu sur l’imitation par les milieux populaires des modes de vie des riches. Certes, » les riches détruisent la planète « , mais les » gens du commun « , ne sont pas des riches auxquels il ne manquerait que du capital économique, social, culturel et symbolique.
A trop répéter que l’économie a été inventée par l’Occident, on risque de confondre l’acte de production – qui est une catégorie anthropologique – et les conditions sociales de sa réalisation – catégorie historique –, ou le « procès de travail en général » et le « procès de travail capitaliste »,comme disait Marx. D’où les assimilations par certains théoriciens de la décroissance entre l’économie et le capitalisme, leur affirmation qu’avant le capitalisme il n’y avait pas d’économie, leur refus de considérer avec attention les expériences d’ « économie solidaire » et plus généralement tout projet d’économie non capitaliste. Car tout raisonnement économique est jugé économiciste ; ainsi, l’opprobre est jeté sur tous les économistes, accusés d’avoir « bousillé la planète » [Ariès, 2005, p. 83]. Selon cette thèse, l’« effondrement environnemental n’est que la conséquence de l’effondrement symbolique et institutionnel de la société » [Ariès, 2005, p. 35] : tout se joue donc au niveau des représentations, tandis que les logiques matérielles et les rapports de force disparaissent.
Le paradoxe est que le courant de la décroissance adopte une posture très critique à l’égard du capitalisme. Mais la critique de celui-ci se fait le plus souvent au nom du passé. Les communautés traditionnelles sont magnifiées alors qu’elles connaissaient pour la plupart des phénomènes de domination, notamment des hommes sur les femmes. Si la Terre est un être vivant ressortissant à un ordre cosmique autonome et supérieur à l’espèce humaine, elle est sacralisée et l’ordre social est biologisé. La société est un corps biologique qui se décompose sous les coups de l’occidentalisation, rongée par le cancer de la modernité. Il y aurait donc une essence humaine dont la science et la modernité nous auraient dépossédés, en même temps qu’elles nous auraient fait quitter un ordre naturel qu’il s’agit de retrouver. Cyril Di Méo [2006, p. 26] accuse cette vision biologisante de correspondre à une « rhétorique réactionnaire » [Hirschman, 1991] ou à une« pensée louche » [Bourdieu, 1988] dont la question démographique est une illustration :certains prônent un retour à Malthus, voire à l’eugénisme d’Alexis Carrel [1935]. Di Méo avance l’hypothèse que la recherche d’un ordre supposé naturel rassurant est la transposition des angoisses devant le tragique de l’existence tel que le définit le philosophe Clément Rosset [1993] : le refus de la finitude de l’Homme dans un univers qui apparaît comme infini conduit à se réfugier dans des arrière-mondes religieux.
L’un des sous-courants de l’écologisme appelé « écoféminisme » associe la fertilité féminine à la fertilité biologique ; ainsi, les femmes sont-elles les mieux à même de respecter la nature malmenée par le système patriarcal et d’aller vers la décroissance. La naturalisation des conditions sociales et le retour du religieux vont de pair avec la délégitimation du politique. L’espace politique comme lieu de médiation et de transformation est répudié au nom d’une radicalité libertaire ou religieuse [Charbonneau, Ellul] et la méfiance s’installe vis-à-vis de l’Etat-providence et de ses institutions [Illich]. L’espace individuel est conçu comme le seul espace possible de transformation sociale et nourrit la dépolitisation des sociétés individualistes, c’est-à-dire la crise du politique.
Sur quoi fonder l’écologie demande Goldsmith [2002] ? Pas sur la science mais sur la foi, répond-il. Il s’agit donc de réenchanter le monde. Alors que la modernité avait laïcisé la société, confinant la religion à la sphère privée, le religieux est réintroduit dans l’ordre politique pour détruire celui-ci comme lieu de construction de la cohabitation entre les humains. Nous sommes à l’opposé d’une conception tendant à concilier « écologie et politique » [Gorz] ou bien à redéfinir la notion de progrès comme essaie de le faire Christian Coméliau [2006].
Pour les théoriciens de la décroissance et du refus du développement, la coupable est finalement la Raison, confondue avec la rationalité capitaliste, qui a désacralisé, « désenchanté » le monde. La nécessaire critique de l’instrumentalisation de la Raison tombe alors dans un relativisme qui met sur le même plan la science et la croyance. Or, s’il existe des croyances au sein de la science –l’économie en est un bel exemple –, la science possède des garde-fous – la Raison précisément et la vérification – qui lui évitent de se perdre dans la crédulité. Derrière la critique de la Raison, il y a le rejet des Lumières et de l’idée même que puissent être construits des droits universellement respectés pour tous les humains.
Expérience sur la sensibilité climatique du gaz carbonique : plus la concentration est élevée, plus l'influence est faible
11 octobre 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Les 'climatologues' affirment à plusieurs reprises que l’augmentation des concentrations de gaz carbonique entraîne une augmentation linéaire de la température. Cependant, cela contredit non seulement les principes et les lois physiques, mais aussi les expériences et les mesures et est donc erroné. C'est ce que démontre une étude récente réalisée par un groupe de chercheurs indépendants sur le climat .
Comprendre la contribution des différents gaz à effet de serre nécessite des connaissances en physique atomique, physique moléculaire et optique (AMO). Les physiciens Wijngaarden et Happer ont découvert que l'effet chauffant de chaque molécule de gaz carbonique diminue de manière significative (de manière logarithmique) à mesure que la concentration augmente. C’est l’une des raisons pour lesquelles il n’y a pas eu de réchauffement incontrôlé de l’atmosphère à une époque où les concentrations de gaz carbonique étaient près de 20 fois supérieures à celles d’aujourd’hui. Ce fait gênant, aussi important soit-il, est constamment nié car il mine la théorie d’un futur changement climatique catastrophique causé par le gaz carbonique. Le principe des rendements décroissants s’applique.
La représentation graphique montre la dépendance de la teneur en gaz carbonique dans l'air avec l'influence sur la température :
La courbe bleue montre comment le flux de rayonnement thermique Z(C) de la Terre vers l'espace change avec la concentration C de gaz carbonique dans l'atmosphère. Les lignes rouges verticales montrent la diminution du flux de rayonnement vers l'espace provoquée par une augmentation successive de la concentration de gaz carbonique C par pas de 50 ppm. Les augmentations sont si faibles qu'elles doivent être multipliées par un facteur 100 pour être visibles dans le graphique.
L' étude de Hammel, E. et al intitulée « Etudes de sensibilité au retour de rayonnement au gaz carboniquegaz carbonique dans des conditions de laboratoire et sur le terrain » prouve exactement cette dépendance .
Le rétroradiation infrarouge a été mesuré à l’aide d’un dispositif expérimental relativement peu coûteux et d’une chambre d’essai avec des concentrations croissantes de gaz carbonique.
Les résultats des mesures confirment les découvertes précédentes sur la saturation du rayonnement infrarouge induit par le gaz carbonique dans des conditions atmosphériques réalistes.
Les chercheurs ont également utilisé le dispositif de mesure pour étudier les effets de gaz à effet de serre plus forts et plus rares sur le forçage thermique par temps clair.
Dans le résumé, ils écrivent :
« Nos résultats et leur interprétation sont une preuve supplémentaire en faveur d’une approche plus critique de la modélisation climatique et contre une interprétation monocausale des indices climatiques qui sont uniquement causés par les émissions anthropiques de gaz à effet de serre. Les principes physiques combinés aux mesures et aux données de la littérature nous amènent à conclure que le rerayonnement infrarouge induit par le gaz carbonique doit suivre un comportement logarithmique asymptotique, qui est également largement accepté dans la communauté du changement climatique.
Sur la base des mesures, la sensibilité du climat si les concentrations actuelles de gaz carbonique sont doublées est estimée à moins de 1 °C. Ceci est illustré dans l’étude par ce graphique, qui correspond au résultat ci-dessus :
Figure 16. Effet du doublement de la concentration de gaz carbonique sur la capacité totale d'absorption.
« Cette étude montre une limite supérieure d'ATE supplémentaire de 1,5 %. Les températures moyennes de surface de TS = 288˚K correspondent à un rayonnement de corps noir de 390 Wm-2. Des considérations précédentes, nous avons appris qu'un doublement de la concentration de gaz carbonique dans l'atmosphère de 400 à 800 ppm signifie une modification maximale de l'énergie absorbée dans l'atmosphère de 1,5%, soit une augmentation du rayonnement d'un maximum de 3 Wm. -2 . En utilisant la formule de Stefan-Boltzmann, nous obtenons ensuite une première estimation d’une augmentation de température correspondante ou d’une contribution de GH de 0,5˚K à une teneur atmosphérique de 800 ppm par rapport aux 400 ppm actuels. Cela concorde également très bien avec les résultats de Wijngaarden et Happer.
La loi des rendements décroissants stipule essentiellement qu'une augmentation de 30 à 40 ppm entraîne la même augmentation de température que de 300 à 400 ppm ou de 3 000 à 4 000 ppm, selon une fonction logarithmique.
La conclusion est énoncée :
« Les preuves expérimentales de ce travail confirment des travaux antérieurs selon lesquels l’augmentation des niveaux de gaz carbonique dans l’atmosphère aux niveaux actuels ne peut pas contribuer de manière significative au réchauffement par l’augmentation du rétroradiation. Nous avons également montré que les gaz à effet de serre croissants tels que le fréon présentent une forte réponse de rétroradiation lorsqu'ils sont placés dans notre chambre d'essai atmosphérique. "Les modèles climatiques et leurs attentes en matière de gaz carbonique devraient être révisés, et beaucoup plus de preuves expérimentales sur la réponse aux rayonnements IR des gaz à effet de serre devraient être collectées avant que les tendances actuelles en matière de réchauffement et les mécanismes du changement climatique ne soient considérés comme monocausaux pour les théories des gaz à effet de serre."
Il est toutefois à craindre que cela ne se produise pas. La science du climat du IPCC, fondée par Rockefeller, est au cœur de la science politique et n’a rien à voir avec les sciences naturelles, comme le montre cette citation.
En 1989, le Rockefeller Brothers Fund, dirigé par David Rockefeller et Henry Kissinger, a fondé l'IPCC et l'a financé avec des ressources presque illimitées pour l'avenir.
La question, bien sûr, est de savoir quelle est la cause du changement climatique et de la hausse des températures s’il s’avère que le gaz carbonique n’en est pas responsable. La réponse à cette question a été récemment apportée par une étude évaluant les données satellitaires sur les nuages depuis 2000. La diminution de la couverture nuageuse laisse passer autant de rayonnement solaire supplémentaire que nécessaire pour augmenter la température.
PAR TYLER DURDEN JEUDI 10 OCTOBRE 2024 - 23h00 Rédigé par Jeffrey Tucker via The Epoch Times,
Autrefois grand défenseur de tout ce qui est numérique, j'en suis venu à développer de sérieux doutes sur la vitesse à laquelle l'humanité est passée de l'analogique au cloud. Les piratages, les pannes, les violations de données et les pannes prolongées en sont la preuve. Puis j'ai réalisé que le danger était encore plus grand.
La plupart des objets que nous utilisons aujourd'hui n'ont pas été soumis à des tests de résistance. Ils sont centralisés et ont un point de défaillance unique. Et ils sont très vulnérables. Tout pourrait s'arrêter en un instant sans aucune garantie de retour.
Un tournant s'est produit pour moi lors de la visite d'une petite buanderie en sous-sol à Manhattan. La propriétaire utilisait encore une machine à coudre datant de 1948. Elle ne voulait rien savoir des modèles plus récents. Après cela, j’ai prêté une plus grande attention aux machines des autres commerçants de mon quartier. De nombreuses machines à coudre avaient 75 ans et fonctionnaient encore bien. Mon cordonnier utilise du matériel vieux de plus d’un siècle. Ce n’est pas rare.
Ils peuvent tous encore faire des affaires avec un générateur et une bonne réserve de carburant. Ils sont préparés. C’est aussi pourquoi les gens conservent leurs vieilles voitures à essence sans tous les accessoires de luxe. Elles sont plus fiables et on peut réparer ce qui tombe en panne. Il vaut mieux entretenir l’ancien en bon état que de passer à un nouveau qui ne durera pas longtemps.
De nos jours, peu de choses sont conçues pour le long terme. Nous achetons des smartphones et des ordinateurs en prévoyant d’en acheter de nouveaux dans quelques années. Réparer des choses est de moins en moins possible. Les appareils électroménagers sont les mêmes : kaput dans 5 à 10 ans. Et beaucoup dépendent des applications numériques pour fonctionner. Le fonctionnement des serrures des maisons, des voitures, des allumages, des lumières et bien d’autres choses encore dépend entièrement d’un réseau de crochets qui exige que tout soit en parfait état de fonctionnement.
Et si tout cela n’était qu’un château de cartes ?
Imaginez un moment où tout s’écroulerait, non pas pendant une heure ou un jour, mais pendant des semaines. Ou des mois. C’est précisément ce que vivent les habitants des zones les plus touchées par l’ouragan Helene. Comme on le sait, la FEMA a été sous-performante, mais plus important encore, elle a tenté de mettre un terme aux efforts privés dans de nombreux cas documentés. Elon Musk a dû utiliser les réseaux sociaux pour supplier le gouvernement de le laisser offrir Internet gratuit aux gens parce que toutes les autres options ont disparu.
L’argent est mort. Les cartes de crédit ont cessé de fonctionner. Les distributeurs automatiques de billets étaient hors service. Toutes les communications se sont arrêtées. Le seul moyen de faire des transactions était en espèces, en argent, en or ou par troc. Les voitures électriques ne pouvaient pas être rechargées. Les serrures des portes se sont grippées. Vous ne pouviez pas accéder à votre banque. Internet a disparu en un éclair. En bref, tout le 21e siècle a disparu en un instant.
La seule façon de sortir de ce pétrin était d’utiliser des technologies obsolètes. Essence. Générateurs. Allumettes et bougies. Combustion interne. Radios à manivelle. Argent liquide. Livres sur papier. Cartes en papier. Thermomètres. Couvertures. Bois de chauffage. En fin de compte, la survie dépendait des objets et des compétences analogiques. Malgré toutes les méthodes par lesquelles nous avons essayé de réinventer le monde d’une manière qui ne dépend pas des « combustibles fossiles », du savoir-faire et de l’huile de coude, le retour en arrière ne cesse de se produire.
Vous vous souvenez de la crise du COVID, quand tout le monde est soudainement devenu obsédé par tout ce qui est « sans contact » ? Rien de tout cela n’avait de sens, car le virus ne se propageait pas sur les surfaces, et nous l’avons découvert assez tôt. Mais le sans contact a quand même continué, et lorsque les restaurants ont rouvert, les gens ont dû scanner un code pour accéder à une liste de choses à commander.
Les clients ont détesté ça et maintenant la plupart des établissements sont revenus aux menus physiques. Nous allons au restaurant pour nous éloigner de tout ce qui est numérique, pas pour nous y retrouver à nouveau plongés.
Il y a quelque chose de profondément faux dans l’attitude selon laquelle toucher les choses est répugnant et indigne de nous. Cela suggère une réticence à utiliser les mains que Dieu nous a données pour améliorer le monde. Sur le plan théologique, cela suggère un dégoût de l’incarnation : pourquoi Dieu se ferait-il homme s’il voulait être « sans contact » ? Cela suggère même un dégoût sectaire du monde physique lui-même.
Heureusement, le mot « sans contact » semble avoir perdu son sens. Malgré tout, le mot lui-même révèle une eschatologie dangereusement millénariste, la croyance que l’histoire se dirige d’une manière ou d’une autre vers une évasion totale du monde physique et de toutes ses limites, y compris la nécessité de travailler et l’inévitabilité de la mortalité. C’est une pure illusion. Une catastrophe le prouve.
Le gouvernement organise depuis des décennies des exercices sur table dans l’idée de se préparer à des pannes de réseau à grande échelle en cas d’événement météorologique majeur ou de cyberattaque. Je peux prédire avec une certitude absolue que quels que soient les plans mis en place, aucun ne fonctionnera. Comme le suggère notre expérience avec Helene, en cas d’urgence, le gouvernement peut ne pas être votre ami mais plutôt un obstacle, voire un obstacle dangereux.
Mon ami Mark Hendrickson a vécu l’une des pires périodes de l’ouragan. Il écrit : « Je n’avais jamais été privé d’électricité pendant une période aussi longue auparavant, et cette expérience a clairement mis en évidence quelque chose que je connaissais intellectuellement, comme une théorie abstraite, mais que je ressentais désormais à un niveau profond et viscéral : à quel point notre société dépend totalement de l’électricité. »
Cela signifiait pour lui une remise en question fondamentale de tout.
« Assis à la maison pendant la majeure partie de la panne de courant, le temps semblait ralentir. J’avais l’impression que toutes les quelques minutes, j’avais envie d’allumer la télévision pour voir comment se déroulait le nettoyage après la tempête, mais – oups – pas de télévision. Ou bien je voulais aller sur Internet et voir quelles équipes avaient gagné des compétitions sportives, ce qui se passait dans le monde, ou même quelque chose d’aussi trivial que de vérifier mon solde bancaire actuel en y ajoutant le paiement des intérêts de fin de mois. Oups – pas d’Internet. »
« J’ai pensé à mes chers amis et voisins Amish lorsque je vivais en Pennsylvanie. Nos soirées tranquilles à la chandelle à la maison pendant la panne de courant ont maintenant reflété leurs soirées. Sans la myriade de distractions que les appareils électroniques offrent, il y a plus de temps pour lire tranquillement ou pour interagir directement avec les gens. Dans une société de plus en plus atomisée, une connexion plus personnelle semble attrayante. Hmmm… peut-être que maintenant que le courant est revenu, je devrais choisir un soir par semaine pour abandonner le monde électronique. »
Les scénarios ci-dessus dépendent tous de la survenue d’une catastrophe. Il se peut qu’elle ne se produise pas. La véritable raison pour laquelle nous pourrions tomber en crise est une simple question d’inflation. L’utilisation pourrait devenir trop coûteuse et le coût de recharge des voitures ou de maintien des lumières allumées pourrait être trop élevé. J’ai déjà des amis dont les factures d’électricité sont plus élevées que leurs hypothèques d’il y a 10 ans. D’une manière ou d’une autre, les gens n’y pensent pas lorsqu’ils achètent la surface maximale. Avez-vous 15 000 $ de plus pour le chauffer et le refroidir ?
La plupart des maisons d’aujourd’hui, et certainement la plupart des complexes de bureaux, sont conçues pour nécessiter un refroidissement et un chauffage intérieurs à l’électricité. Nous n’utilisons plus de chaudières à gaz ni de brises transversales. Les cheminées ne sont que des vanités nostalgiques.
Lorsque toutes ces constructions ont duré des décennies, presque personne n’a même envisagé les imprévus. Nous avons construit comme s’il n’y avait aucune éventualité à laquelle nous préparer.
Il y a un autre facteur : le rationnement forcé de l’électricité par le gouvernement. La dépendance au réseau, les voitures électriques connectées à Internet et les objets contrôlés par des applications sont tous très facilement contrôlés par un tiers. Mais vous dites : ces entreprises sont toutes privées et ignoreront sûrement les décrets du gouvernement. Nous savons maintenant que ce n’est pas le cas. Les entreprises privées deviennent des bras de l’État dans les bonnes conditions. Elles se conformeront volontiers pour que les chèques de paie continuent à rentrer et à sortir.
Les personnes qui ont dû faire face au pire de l’ouragan ont dû faire face à l’état de la nature, sans tout le confort que nous avons appris à considérer comme acquis. Pour ma part, cela m’a amené à reconsidérer certaines choses. Garder une réserve d’argent liquide est une bonne idée. Quelques sacs de pièces de dix cents en argent sont également essentiels. Il est conseillé d’avoir beaucoup de couvertures.
La meilleure façon de se préparer est d’avoir un solide réseau d’amis. Au final, les liens humains se révéleront plus durables que le réseau électrique.
Périphérique à 50km/h : Un député LR ouvre une pétition pour revenir sur cette décision
France-Soir le 11 octobre 2024 - 19:15
Moteurs, et... action ! C'est un nouvel épisode de la série sur le périphérique parisien qui a démarré hier. S'il est officiellement passé à 50km/h ce jeudi 10 octobre, par la volonté arbitraire d'Anne Hidalgo, élus et associations mettent les gaz pour que cette décision qu'ils jugent injustifiée soit annulée.
Vincent Jeanbrun, député de la Droite Républicaine (LR derrière Eric Ciotti), a annoncé sur X avoir déposé une proposition de loi pour défendre les intérêts des travailleurs franciliens. Il justifie cette initiative en soulignant que "le périphérique est un axe d'intérêt régional", notamment car "plus de 40% des trajets sont effectués de banlieue à banlieues et près de 80% des utilisateurs du périphérique ne sont pas Parisiens". Selon lui, il faut remettre le périphérique entre les mains de la région pour retrouver "une gouvernance régionale unifiée".
🔴 Rendons le #périphérique aux Franciliens !
✍️ Je dépose aujourd'hui une proposition de loi !
➡️ La décision unilatérale d'Anne #Hidalgo de réduire la vitesse à 50kmh est inacceptable. Elle pénalise avant tout les travailleurs. Je veux les défendre. ⤵️ #TransportsIDF pic.twitter.com/9Ui6BQNej6 — Vincent Jeanbrun (@VincentJeanbrun) October 10, 2024
Sur ce point, comme le rapporte Le Parisien, il est rejoint par l’Association des maires franciliens (AMF), qui remet purement et simplement en cause la légalité de la décision prise par la maire de Paris. Si les maires ont bien le droit de prendre des mesures de police sur les voies publiques, "le boulevard périphérique parisien est une route à grande circulation, classée comme telle par le décret n° 2009-615 du 3 juin 2009, relevant donc aussi des compétences de l’État, par l’intermédiaire du préfet de police". En d'autres termes, le seul zèle du parti socialiste représenté par Anne Hidalgo ne devrait pas suffire à transformer ainsi la rocade.
D'autant qu'il y a possiblement des solutions plus efficaces et moins restrictives pour protéger les Parisiens du périphérique. La région Île-de-France, qui s'était déjà opposée à cette réduction de la vitesse maximale autorisée, avait proposé de financer à moitié l'installation d'enrobés phoniques neufs. Pour l'instant, la maire de Paris ne veut rien entendre, mais peut-être que la pétition lancée par Vincent Jeanbrun pourra accélérer les choses.
La fluidité du trafic dépend de la vitesse de déplacement. En dessous un certain seuil: çà bouchonne. Part exemple 80 ou pire 50, car pour ajouter de la pollution atmosphérique rien de tel qu'une voiture qui passe une heure au lieu de 10 mn pour traverser une ville ! Les 'autorités' (HAHAHAHA !) n'en ont rien à foutre des commentaires, des explications scientifiques ou des relevés de l'examen de la 'qualité de l'air' ! HAHAHAHA ! Plus çà pollue plus il y a de morts. C'est l'objectif.
Pannier lâche sa nouvelle connerie du siècle : » »Ceux qui achètent des SUV Essence ou Diesel, cela a un impact […] L’impact, c’est les gens sous les inondations »
le 11 octobre 2024 par pgibertie
Mme Runacher n’est elle pas la fille de l’ancien dirigeant de Perenco N°2 des énergies fossiles en France? On pourrait la taxer pour avoir vécu sur les revenues du carbone et avoir inondées les gens. Pollueur Payeur
Amusant quand on sait que la voiture de fonction du ministre de l’écologie est un bon gros Renault Espace de 200 chevaux… Mais c’est le contribuable qui paye Un puissant puretech de 200ch, qui fait le 0 à 100 en 13,8 secondes, à changer tous les 50000km si l’entretien a été bien fait.
Catastrophe ! Des oiseaux ont disparu, et disparaîtront... la rationalité scientifique aussi !
12 Octobre 2024
Selon une brochette de 22 chercheurs, 610 espèces d'oiseaux auraient disparu depuis le Pléistocène supérieur du fait de la main de l'Homme, et plus de 1.000 devraient disparaître au cours des deux prochains siècles avec des conséquences catastrophiques.
Quelle extraordinaire acuité visuelle, tant vers le passé que vers l'avenir !
Mediapart s'est jeté goulûment sur une « information » :
« 92 % des extinctions d'oiseaux ont été provoquées par les humains, révèle une nouvelle étude scientifique.
Les chercheurs estiment que 3 milliards d’années d’évolution ont été anéanties par les humains... »
Faisons une courte incidente : parmi les commentaires, il y a : « Oui mais c’est la @fnsea qui a raison. #ouPas » et « Mais il reste toujours des africains ». Sans commentaire désobligeant... Mais il y a aussi ceci : « Et les poules ? Il y en a des milliards maintenant. Jamais elles ne nous remercieront assez du bien que nous leur faisons. »
L'article de Mediapart, « La vague d’extinctions frappant les oiseaux fragilise toute la biosphère » est derrière un péage.
En chapô :
« Une étude internationale parue jeudi dans la revue "Science" documente avec une précision inédite l’ampleur et les conséquences des extinctions d’oiseaux imputables aux humains, et les effets en cascade sur les autres espèces. »
L'article de Thomas J. Matthews et al., « The global loss of avian functional and phylogenetic diversity from anthropogenic extinctions » (la perte globale de la diversité fonctionnelle et phylogénétique des oiseaux due aux extinctions anthropogéniques) est aussi derrière un péage. Mais nous disposons de deux résumés.
« Résumé de l'éditeur
Les activités humaines sont l'une des principales causes d'extinction des espèces, directement ou indirectement, depuis des millénaires. Matthews et al. ont étudié l'impact des extinctions sur la diversité mondiale des oiseaux, en particulier sur leurs caractéristiques et leur histoire évolutive (voir la perspective de Kemp). Environ 5 % des espèces d'oiseaux connues se sont éteintes au cours des 130.000 dernières années, et ces espèces sont plus distinctes en termes de caractéristiques et de lignées que ce que l'on pourrait attendre du hasard, en particulier celles qui se sont éteintes avant 1500 de notre ère. C'est sur les îles que la perte de diversité des espèces, fonctionnelle et phylogénétique est la plus importante. Les extinctions futures prévues devraient avoir des effets encore plus graves sur la diversité fonctionnelle et phylogénétique des oiseaux, ce qui souligne la nécessité de déployer des efforts de conservation, en particulier sur les îles. – Bianca Lopez
Résumé
Depuis des millénaires, l'homme est à l'origine d'une érosion globale de la richesse spécifique, mais les conséquences des extinctions passées sur d'autres dimensions de la biodiversité – la diversité fonctionnelle et phylogénétique – sont mal comprises. Dans ce travail, nous montrons que, depuis le Pléistocène supérieur, l'extinction de 610 espèces d'oiseaux a entraîné une perte disproportionnée de l'espace fonctionnel aviaire mondial, ainsi que de ~3 milliards d'années d'histoire évolutive unique. Pour les espèces endémiques des îles, les pertes proportionnelles ont été encore plus importantes. Les extinctions futures prévues de plus de 1.000 espèces au cours des deux prochains siècles entraîneront d'autres réductions substantielles de la diversité fonctionnelle et phylogénétique. Ces résultats mettent en évidence les graves conséquences de la crise actuelle de la biodiversité et la nécessité urgente d'identifier les fonctions écologiques perdues à cause de l'extinction. »
De la science d'opinion ?
L'article étant derrière un péage, on se doit d'être prudent dans l'analyse.
Néanmoins, que signifie « une perte disproportionnée de l'espace fonctionnel aviaire mondial » s'agissant de 610 espèces depuis le Pléistocène supérieur (qui a débuté il y quelque 126 mille ans) ? Est-elle vraiment le fait de la main de l'Homme comme le laissent entendre les résumés ? Et quelles sont les preuves ?
Nous aurions perdu « ~3 milliards d'années d'histoire évolutive unique », mais les oiseaux sont apparus au Jurassique (-201 à -145 millions d'années)...
Cette équipe de chercheurs annonce aussi une perte prévue de « plus de 1.000 espèces », avec de graves conséquences, au cours des deux prochains siècles ! Qui dit mieux ?
L'Université de Birmingham a produit un communiqué de presse tout aussi alarmiste... et troublant. En voici un extrait, une citation de M. Tom Matthews :
« Nos résultats soulignent l'urgence de comprendre et de prévoir les impacts des extinctions anthropiques passées sur la fonction des écosystèmes afin de se préparer à l'ampleur de la perte future attendue des 1.000 espèces d'oiseaux qui devraient s'éteindre complètement au cours des deux prochains siècles. »
Cela n'a manifestement aucun sens !
Le pire, à notre avis, c'est que la revue Science ait trouvé opportun de produire un résumé de l'éditeur, signalant ainsi l'importance qu'elle accorde à cet article. Passe-t-elle aussi du côté obscur de la science ?
L'Apocalypse est annoncée
Les prédictions de l'Apocalypse étant, médiatiquement, de bonnes nouvelles, ces élucubrations ont trouvé un chemin vers les médias.
Citons dans les média anglophones The Talker, via MSN, « Human caused bird extinctions erase 3 billion years of evolution » (les extinctions d'oiseaux causées par l'homme effacent 3 milliards d'années d'évolution).
Jusqu'où la catastrophe peut-elle aller ?
« Selon l'équipe, la réduction du nombre d'espèces aviaires dans le monde, documentée par la recherche, affectera probablement aussi la capacité de nombreuses espèces végétales à faire face au changement climatique actuel et futur. »
Disparition aussi de l'aigletoutchaudron qui pesait plus de 4 tonnes et 154 m d'envergure d'ailes. Il aurait bouffé des mammouths qui pétaient et qui les auraient fait disparaître !
12 octobre 2024 par Assoc. Professeur Lorenzo Maria Pacini
Combien de temps encore laisserons-nous les États-Unis et leurs vassaux dicter les règles selon lesquelles nous jugeons le monde ? Il y a l’histoire d’un professeur d’université qui a dit à ses étudiants lors de la première conférence sur le droit international : « Le droit international n’existe pas ! » Les étudiants étaient très confus : certains restèrent silencieux pendant plusieurs minutes, d'autres commencèrent à parler doucement et à commenter ses paroles, et certains quittèrent le cours en pensant que le professeur était fou. Une fille a levé la main et a demandé : « Professeur, que voulez-vous dire ? C'est une conférence sur le droit international et vous êtes un expert dans ce domaine, il est évident que le droit international existe. » Le professeur répéta avec plus de sérieux : « Le droit international n'existe pas ! » Et avec cette prémisse il commença le cours et expliqua en détail le sens de ces paroles très fortes mais tout aussi justifiées.
Comment nous sommes arrivés là où nous en sommes maintenant Commençons par le début, avec une explication nécessaire à la clarification.
Le droit international est défini comme le système de normes et de principes qui régissent les relations entre les États et les autres acteurs internationaux.
La paix de Westphalie de 1648 a créé un ordre mondial basé sur la construction progressive de l’État moderne, et c’est à partir de ce moment-là qu’on a commencé à parler de la première « communauté internationale ». Compte tenu de la structure d'une telle communauté, supposée de valeur égale, le droit international se caractérise par le fait que les fonctions de génération de normes, de détermination et d'application coercitive sont exercées par les sujets eux-mêmes ou par des organismes supranationaux préparés selon un modèle de décentralisation fonctionnelle. De cette manière, le droit international constitue un ordre distinct des systèmes juridiques des États individuels.
Il est cependant nécessaire de mieux comprendre ce que l’on appelle « l’ordre mondial ».
L’ordre mondial fait référence à la répartition internationale du pouvoir et de la légitimité qui façonne le système de comportement des États et des acteurs non étatiques de telle manière que l’ordre triomphe du chaos. Par conséquent, le thème de l’ordre mondial doit aborder les théories sociologiques sur la nature humaine, les systèmes économiques et les systèmes politiques.
Après l’effondrement de l’Empire romain et la propagation du pouvoir à travers l’Europe, la paix de Westphalie de 1648 a établi la souveraineté de l’État et l’équilibre des pouvoirs comme principaux piliers de l’ordre. Cet ordre repose sur l’obligation mutuelle d’équilibrer conjointement les efforts expansionnistes et hégémoniques afin de maintenir l’équilibre des pouvoirs. Les idéaux universalistes doivent être rejetés dans la mesure où ils contribuent à promouvoir les inégalités et à justifier l’expansionnisme.
Le système international westphalien se caractérise par l’anarchie internationale, puisque l’État est le souverain suprême et que chaque État est en constante compétition pour le pouvoir et la survie, dans la mesure où le renforcement de la sécurité peut conduire à l’insécurité des autres. Au fil des siècles, il y a eu des aspirations idéalistes visant à surmonter l’anarchie internationale grâce à des valeurs universelles et à une répartition hégémonique du pouvoir visant à renverser l’ensemble de l’ordre westphalien. Tout cela a conduit à une série de tentatives alternées pour imposer un universalisme qui apporterait une paix, une prospérité et un progrès relatifs, ce que nous appelions en philosophie politique Pax , du mot latin pour « paix », et nous avons eu la Pax Romana , la Pax Britannica. , la Pax Americana , etc.
Après la guerre froide, les États-Unis sont devenus l’hégémon mondial en termes de puissance militaire, économique, culturelle et politique. L’ordre mondial westphalien moderne, fondé sur un équilibre des pouvoirs entre souverains égaux, a ainsi été remis en question par sa prétention à l’hégémonie et aux valeurs libérales-démocratiques universelles. L’hégémonie libérale exigeait et tentait de légitimer l’inégalité souveraine en révisant l’ancien ordre international en accordant une souveraineté aux États civilisés et une souveraineté limitée aux États « non civilisés ». Souveraineté totale pour l’Occident libéral et souveraineté limitée pour les autres.
Au départ, il y avait de grandes raisons d’être optimiste quant au fait que la croyance dans les valeurs universelles du libre marché, de la démocratie et de la société civile mondiale créerait un ordre mondial entièrement nouveau et bienveillant. Le mur de Berlin est tombé, le communisme a été abandonné en Europe de l'Est, les anciens rivaux, la Russie et la Chine, ont donné la priorité à l'amitié avec les États-Unis et l'Occident en général dans leur politique étrangère, l'UE a assumé un rôle socialisateur en accordant son adhésion aux réformes démocratiques libérales, les pays arabes Le printemps a semblé réformer les gouvernements autoritaires au Moyen-Orient, l'expansion de l'OTAN a apporté un sentiment de sécurité aux États qui vivaient sous la domination de Moscou pendant des décennies, et l'essor économique de la Chine a sorti des centaines de millions de personnes de la pauvreté et a fait progresser l'économie mondiale. et les processus de mondialisation semblent rapprocher le monde.
On pensait que la mondialisation sous le régime de la Pax Americana ouvrirait la voie à une nouvelle ère de stabilité et de prospérité. On pourrait parler d’un ordre mondial fondé sur l’hégémonie libérale et dans lequel les valeurs démocratiques libérales se propageraient sous la direction apparemment bienveillante des États-Unis.
L’hypothèse d’une hégémonie mondiale bienveillante selon laquelle le libéralisme économique et politique était une solution miracle pour vaincre la politique de puissance s’est avérée être une illusion libérale alimentée par l’orgueil.
De nouvelles géométries internationales se sont établies. L’expansion de l’OTAN a, comme on pouvait s’y attendre, accru les tensions avec la Russie, car Moscou la percevait à juste titre comme une menace existentielle, tandis que la facile ascension économique de la Chine devenait un défi à la suprématie mondiale des États-Unis. La mondialisation en tant que processus néolibéral orienté vers l’Occident n’est plus durable, comme l’a montré à maintes reprises la crise boursière américaine. Les excès du libéralisme sont désormais rejetés à l’intérieur et à l’extérieur de l’Occident, conduisant à une polarisation au sein des sociétés et du système international.
Dans tout cela, le droit international a toujours été vu comme une sorte de « garantie » sur les parties qui peut être invoquée sans discernement, comme une sorte de puissance neutre qui peut régler les différends… ou œuvrer en faveur du plus fort.
Ipso facto, le droit international est devenu le droit des Nations Unies au XXe siècle, l’ONU étant une entité macroscopique capable d’affirmer sa domination. Mais cet avantage hiérarchique n'a pas fait l'objet d'un débat démocratique, encore moins d'une confrontation entre les différents acteurs du monde : il s'agissait d'une décision arbitraire et unilatérale, celle des États-Unis d'Amérique, qui ont bénéficié de l'avantage de la victoire dans la Seconde Guerre mondiale. La Guerre mondiale et son hégémonie à la fois militairement, culturellement, politiquement et surtout économiquement en élargissant le dollar comme monnaie de référence mondiale.
Une décision consciente ? Peut-être. Un coup de chance dans l'Histoire ? Tout aussi probable. Ce que l’on peut objectivement déterminer, c’est que nous avons aujourd’hui un droit international à l’américaine, avec des organismes transnationaux chargés de diverses tâches et qui rendent tous compte à la principale organisation basée à New York. Même les différentes institutions et tribunaux internationaux européens dépendent de Lady USA.
De là, il est facile de comprendre pourquoi nous sommes aujourd’hui confrontés à une crise du droit international et à un problème évident de confiance dans ses soi-disant institutions.
La transition vers un droit international multipolaire est tout aussi compliquée (nous y reviendrons dans un article ultérieur).
Ce sont les événements eux-mêmes qui ont fait perdre confiance aux gens dans cette branche du droit. Parce qu’il ne reste que très peu de « loi ». Au Kosovo, l'OTAN a été autorisée à faire ce qu'elle voulait, violant la souveraineté territoriale de la Serbie et créant « l'État » fantoche du Kosovo ; les États-Unis peuvent « exporter la démocratie » avec des bombes en attaquant au Moyen-Orient quand ils le souhaitent parce que c’est au nom de la « civilisation ». « Les droits humains existaient en Ukraine jusqu'il y a quelques années, lorsque le régime de Kiev a été jugé pour trafic d'enfants et coup d'État fratricide ; puis lorsque le nouveau « méchant » a été trouvé, ces droits ont disparu comme par magie et la perspective s'est inversée ; Netanyahu peut en toute sécurité passer un appel téléphonique depuis le siège de l’ONU, ordonner un bombardement massif d’une ville d’un pays et déclarer la guerre sans que rien ne lui arrive, bien qu’il soit partisan d’un génocide mené de manière imprudente depuis plus d’un an. Cette « nouvelle normalité » macabre et sombre est un antidote aux mensonges du droit international – ou du moins à la manière dont il est raconté et pratiqué depuis un siècle.
Les Nations Unies et l'OTAN sont deux institutions américaines ; ils possèdent la matrice. Un droit bénéfique à l’humanité ne peut pas émerger d’une matrice pourrie et corrompue. Ils ont promu la rédaction de documents et de traités internationaux, qu'ils ont ensuite présentés au monde entier, proposant leurs propres valeurs et règles comme valables pour tous, et si un pays n'acceptait pas ces règles, il y devenait des violations, une incivilisation et accusé de cruauté. Un détail plutôt amusant est que bon nombre des documents juridiques internationaux créés par les dirigeants américains n’ont jamais été ratifiés par les gouvernements américains. Cela souligne une fois de plus le paradoxe du pouvoir.
Pour construire sur l’histoire que nous avons racontée au début – un fait qui s’est réellement produit – nous devons répondre à la question : existe-t-il un droit international ?
Si nous parlons de la définition académique, oui, elle existe ; nous sommes pleins de manuels, de contrats, de déclarations et de résolutions. Il existe certainement suffisamment de matériel produit pour pouvoir parler de « droit », au moins en termes bureaucratiques.
Cependant, si nous parlons de ce qu'est réellement le droit et de ce qu'il devrait faire en tant qu'outil dans la vie d'une société , alors le professeur avait raison. Il n'y a pas de droit international : il y a le droit des Nations Unies, il y a ce qui a été hégémonisé et répandu au cours du siècle dernier, selon un ordre mondial qui a rendu son dernier souffle et n'a donc plus aucune valeur, plus aucune valeur. l’efficacité n’est plus crédible. Nous devons accepter ce fait, aussi désagréable soit-il, avec honnêteté intellectuelle.
De nouveaux centres de pouvoir sont apparus qui jettent les bases d’un système multipolaire, certains fondés sur les principes du système westphalien et en tout cas en continuité avec celui-ci, d’autres fondés sur des prémisses différentes. Ce qui est certain, c’est que l’ordre mondial émergent rejette la mondialisation orientée vers l’Occident, dans le sens de la domination des puissances maritimes, du libéralisme économique et politique et d’une société civile mondiale libérale. L’Occident ne peut plus dicter les conditions d’acceptation des États en tant que membres à part entière de la communauté des États souverains. La répartition internationale du pouvoir, les idéaux, les règles et la nature de la diplomatie sont en train de se réorganiser.
Cette réflexion provocatrice doit conduire à une action décisive. Combien de temps encore allons-nous permettre aux États-Unis et à leurs vassaux de dicter les règles selon lesquelles nous jugeons le monde ?
Car le droit, quel qu’il soit, est une question de justice.
L' article a été publié pour la première fois dans Strategic Culture . Traduction TKP avec l'aimable autorisation de l'auteur. Les opinions exprimées dans cet article ne reflètent pas nécessairement les opinions des auteurs fixes de TKP. Les droits et la responsabilité du contenu incombent à l'auteur.
Lorenzo Maria Pacini, Assoc. Professeur de Philosophie Politique et Géopolitique, UniDolomiti de Belluno. Il est consultant en analyse stratégique, renseignement et relations internationales.
Combattre les sous-marins avec des panneaux solaires ? : L’ancien chef d’état-major de la Défense a plus peur du mauvais temps que de la Chine
Par Jo Nova October 12th, 2024
Peut-être est-ce une chance que l’Australie n’ait pas eu à mener une guerre lorsque Chris Barrie était le chef des forces de défense australiennes.
L’amiral Barrie dit que « les menaces de sécurité dues au changement climatique éclipsent celles posées par la Chine ». Apparemment, le pays de la sécheresse, des incendies et des inondations sera submergé par une élévation annuelle du niveau de la mer d’un millimètre. Ce qui l’effraie vraiment, ce ne sont pas les sous-marins, les drones, les programmes de propagande, les espions intégrés ou les missiles hypersoniques, ce qui l’effraie vraiment, c’est un réchauffement d’un demi-degré.
Ainsi, cinq ou six militaires à la retraite appellent à une « mobilisation d’urgence » et à une autre bureaucratie gouvernementale – un bureau dédié au renseignement sur les menaces climatiques – qui, s’il était intelligent, ferait ce qu’aucun gouvernement n’a jamais fait, et vérifierait les modèles climatiques de l’ONU. Ils découvriraient que les modèles échouent en ce qui concerne l’humidité, la sécheresse, la pluie, les nuages, la haute troposphère, l’Antarctique, la banquise, le court terme, le long terme, les courants océaniques et pratiquement tout le reste.
Ils veulent également une sorte de « système d’alerte précoce » – au cas où les cyclones se mettraient en mode furtif, peut-être ?
On ne sait jamais quand une tempête tropicale va nous surprendre. Surtout si un gouvernement hostile a anéanti vos satellites, ou fait planter votre réseau avec des puces piégées dans des panneaux solaires, ou a paralysé une ville avec une mise à jour de véhicule électrique.
Le groupe de leaders australiens de la sécurité sur le climat appelle à une refonte de la stratégie de préparation aux menaces climatiques du gouvernement fédéral Par le journaliste des affaires étrangères Stephen Dziedzic, ABC (Where else ?)
Un groupe d’anciens dirigeants de la sécurité nationale affirme que le gouvernement fédéral doit revoir radicalement la façon dont il planifie les menaces climatiques, avertissant que l’Australie n’est absolument pas préparée à faire face aux risques en cascade et existentiels que le changement climatique présente pour la région et le monde.
Le nouveau rapport rédigé par l’Australian Security Leaders Climate Group (ASLCG), qui comprend l’ancien chef des forces armées australiennes Chris Barrie, affirme que le changement climatique représente une menace si grave pour la sécurité qu’il exige une « mobilisation d’urgence » en réponse.
« Aujourd’hui, nous sommes confrontés à de nouveaux extrêmes climatiques inimaginables : sécheresses et inondations record, vagues de chaleur cruelles, feux de brousse inarrêtables, infrastructures détruites et inondations côtières. Le pire est à venir », peut-on lire dans le rapport.
Gagnez les guerres avec des éoliennes !
L’ASLCG affirme que le gouvernement fédéral doit réduire plus rapidement et plus nettement les émissions, tout en faisant pression sur les plus gros pollueurs pour qu’ils collaborent à la réduction de la pollution par le carbone.
La réponse à tout est sans aucun doute les panneaux solaires.
Ils demandent également au gouvernement de créer une nouvelle branche de renseignement sur les menaces climatiques et un système d’alerte précoce pour évaluer les impacts avec une « honnêteté brutale », tout en améliorant la planification des perturbations que le changement climatique entraînera.
Seigneur, aidez-nous, si nos bases militaires ne peuvent pas gérer une sécheresse surprise dans un continent de déserts, ou une inondation dans un pays de pluies de mousson, nous sommes déjà en difficulté.
L’amiral Barrie a déclaré que les dernières données scientifiques sur le climat montraient que de grandes parties du nord de l’Australie « pourraient devenir inhabitables d’ici 30 à 40 ans, menaçant les bases militaires, les communautés et l’économie.
Hypothétiquement, le président Xi serait heureux de déclarations comme celle-ci :
« Tous les milliards de ressources investis dans la lutte contre la Chine n’aideront pas d’un iota à faire face à la plus grande menace pour notre sécurité future en Australie et dans la région – et c’est le dérèglement climatique. »
Si le PCC avait financé un groupe visant à réduire la compétitivité industrielle australienne, notre capacité de défense et également à augmenter les prix de l’électricité, il pourrait présenter des arguments similaires à ceux de l’ASLCG. Je dis ça comme ça…
C'est avec ces commentaires pitoyables d'attardés mentaux irresponsables que l'on se rend compte à qui on a à faire !! Depuis DES millions d'années il y a DES milliards de km3 d'eaux (venus des pluies, des fleuves et des rivières) qui se sont déversés dans les mers et les océans sans... qu'elles ou ils ne montent !!! Çà alors !!
Une étude révèle que le PLASTIQUE NOIR dans les jouets et les contenants alimentaires contient des retardateurs de flamme TOXIQUES
10/09/2024 Belle Carter
Une étude récemment publiée dans la revue Chemosphere a conclu que les jouets, les contenants pour plats à emporter, les ustensiles de cuisine et d'autres produits ménagers courants fabriqués à partir de plastique noir contiennent des niveaux élevés de retardateurs de flamme toxiques, a rapporté le Defender.
Les recherches menées par Toxic-Free Future et l'Institut d'Amsterdam pour la vie et l'environnement ont en outre mis en garde sur le lien entre les retardateurs de flamme et la cancérogénicité, les perturbations endocriniennes, la neurotoxicité et les troubles de la reproduction.
Selon l'article, la contamination commence par le recyclage inapproprié de produits électroniques comme les téléviseurs, dont les boîtiers sont en plastique noir. Lorsque lesdits boîtiers en plastique sont mélangés à d'autres plastiques lors du recyclage, les retardateurs de flamme se retrouvent dans le produit final. (Article connexe : Le recyclage du plastique est une ARNAQUE : les plastiques recyclés sont plus TOXIQUES que les nouveaux.)
Pendant que l'étude était menée, les chercheurs ont examiné 203 produits fabriqués à partir de plastiques noirs pour détecter la présence de brome, un produit chimique synthétique utilisé dans les retardateurs de flamme. Les résultats ont montré que des retardateurs de flamme toxiques étaient présents dans 85 % des produits analysés, avec des concentrations atteignant 22 800 milligrammes par kilogramme.
Les contaminants trouvés étaient du décabromodiphényléther, ou décaBDE, un composé couramment utilisé dans les boîtiers des appareils électroniques avant que l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA) ne l'interdise en 2021. Un composé, le décabromodiphényléther, ou BDE-209, était couramment trouvé dans les ustensiles de cuisine en plastique de couleur noire à un niveau moyen de 34 700 nanogrammes par jour.
Une étude de 2014 publiée dans la revue Frontiers in Genetics a révélé que le BDE-209 avait des effets hautement cancérigènes sur les humains. Parmi les autres contaminants détectés, on trouve le composé 2,4,6-tribromophénol, qui a été détecté dans le lait maternel humain, selon une étude de 2023 publiée dans la revue Environmental Pollution.
« Les découvertes de retardateurs de flamme dans les jouets pour enfants sont particulièrement préoccupantes, car on a découvert que les retardateurs de flamme s'infiltrent des jouets dans la salive des enfants », a déclaré Megan Liu, responsable scientifique et politique de Toxic-Free Future.
« Les retardateurs de flamme sont une classe de produits chimiques extrêmement dangereux, mais leur utilisation est toujours autorisée dans des produits comme l'électronique, et en raison du recyclage sale des déchets électroniques, nous voyons des retardateurs de flamme apparaître dans des produits inattendus, comme nos ustensiles de cuisine, nos articles de restauration et nos accessoires pour cheveux. »
Les experts appellent à une réglementation plus stricte contre les contaminants toxiques dans les plastiques Diana Zuckerman, présidente du Centre national de recherche sur la santé, a appelé à un contrôle plus strict de la part des agences de santé américaines.
« La FDA et l'EPA [l'agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux] doivent examiner de près la sécurité de tous les produits en plastique utilisés dans les aliments, au lieu de se contenter des vagues assurances que les agences ont données », a déclaré Zuckerman.
Liu a déclaré au Defender qu'elle avait également exigé la nécessité de réglementations plus strictes sur les produits chimiques et les matériaux dangereux entrant dans le flux de recyclage.
« Ce dont nous avons besoin, c'est que notre gouvernement fédéral et de l'État, ainsi que les détaillants, interdisent ces produits chimiques et matériaux nocifs », a déclaré Liu. « Nous avons besoin d'un changement de politique et de marché pour accroître la transparence de ce qui est utilisé dans la chaîne d'approvisionnement, y compris pour les matériaux recyclés, ainsi que pour exiger l'utilisation de solutions plus sûres. »
Elle a noté que les résultats de l'étude ont été publiés « à un moment critique où les dirigeants du monde entier négocient un traité mondial sur les plastiques. »
Les négociations en cours pour ce traité interviennent deux ans après que l'Assemblée des Nations Unies pour l'environnement a adopté une résolution qui appelle à l'achèvement d'un traité international juridiquement contraignant d'ici la fin de 2024.
En attendant, Liu veut que les gens réduisent toute utilisation de plastique, notamment en remplaçant les ustensiles de cuisine en plastique par des options plus sûres, comme le bois ou l'acier inoxydable. Les récipients en plastique devraient être remplacés par des récipients en verre.
Visitez Pollution.news pour lire des articles sur la façon dont les plastiques nuisent à l'environnement.
Regardez la vidéo ci-dessous qui explique comment les sacs en plastique réutilisables ne font que créer plus de déchets.
Cette vidéo provient de la chaîne Loves Greatness com sur Brighteon.com.
Autres articles connexes : L'industrie du plastique savait que le recyclage ne fonctionnerait pas, et maintenant les déchets plastiques EMPOISONNENT la planète.
ÉTUDE : la consommation de plastique du New Jersey a presque TRIPLÉ après l'interdiction des sacs en plastique.
Les microplastiques dans la circulation sanguine sont liés à un risque 4,5 fois PLUS ÉLEVÉ d'accident vasculaire cérébral et de crise cardiaque, avertissent les chercheurs.
Étude : Les humains consomment plus de 1 000 particules de microplastique chaque année par le biais du SEL DE TABLE.
Les produits chimiques toxiques provenant des déchets plastiques migrent dans les aliments et nuisent aux sols, avertissent les experts.
Le discours du président du Conseil Orbán au Parlement européen suscite une vive controverse avec Leyen
10 octobre 2024 par le Dr. Peter F. Mayer
Le Premier ministre Viktor Orbán a présenté mercredi une série de sujets pour la présidence hongroise du Conseil de l'UE au Parlement européen. Applaudissements, chahuts, échanges vifs et critiques parfois agressives ont accompagné sa présentation du programme de la présidence hongroise du Conseil.
Lors de sa conférence de presse de la veille, Orbán a abordé la question de la compétitivité et le débat en cours sur l'immigration clandestine. Il a proposé l'adoption d'un nouvel accord européen sur la concurrence, des sommets Schengen réguliers sur la migration et la protection des frontières, ainsi que l'adhésion complète de la Bulgarie et de la Roumanie à l'espace Schengen avant la fin de l'année. Orbán a demandé qu’à l’avenir les procédures d’asile soient menées dans des « hotspots » externes dans des pays extérieurs à l’UE et que les demandeurs ne soient plus autorisés à entrer au préalable. Il a fait campagne pour l'élargissement de l'UE aux pays des Balkans occidentaux. Le Premier ministre hongrois a défendu le maintien de la politique de cohésion, dans la mesure où trois citoyens sur quatre vivent dans des régions qui n'atteignent même pas la moitié du niveau de vie moyen.
« Je suis ici pour lancer un signal d’alarme aux présidents Draghi et Macron, car l’UE est confrontée à de nombreux et fatidiques défis », a commencé son discours Orbán. L’UE doit changer et la présidence hongroise veut être la voix et le catalyseur du changement. Il a souligné que les décisions nécessaires doivent être prises par les États membres et les institutions européennes.
L'Europe en retrait
Au cours des deux dernières décennies, la croissance économique de l'UE a été constamment plus lente que celle des États-Unis et de la Chine, la productivité de l'UE a augmenté plus lentement que celle de ses concurrents et sa part dans le commerce mondial est en déclin. L’UE n’est pas une destination attractive pour les investissements, car les entreprises sont confrontées à des prix de l’électricité deux à trois fois plus élevés qu’aux États-Unis, et les prix du gaz y sont quatre à cinq fois plus élevés. Selon Orbán, la transition verte à elle seule ne constitue pas une solution à ce problème. Les raisons de l’écart concurrentiel résident dans le manque de numérisation et dans le manque d’investissements dans la recherche et le développement.
« Je ne veux pas que vous pensiez qu’il existe une solution facile, car il est plus difficile de restaurer la capacité industrielle que de la maintenir », a prévenu Orbán. "Il ne faut pas croire que la transition verte offre à elle seule une solution au problème des prix de l'énergie." Le Premier ministre a souligné que la moitié des entreprises européennes considèrent les coûts de l'énergie comme le principal obstacle à l'investissement, alors que la production est énergivore. secteurs ont diminué de 10 à 15 %. Le Green Deal européen repose sur la création de nouveaux emplois verts. Cependant, l’esprit de l’initiative serait remis en question si la décarbonation entraînait une baisse de la production européenne et des pertes d’emplois. Orbán a souligné que l’un des exemples les plus flagrants du manque de planification européenne est celui de l’industrie automobile, où la politique climatique est mise en œuvre sans politique industrielle.
Les mesures immédiates possibles comprennent la simplification de la législation, le soutien aux États membres dans l'élaboration de politiques respectueuses de l'environnement et la nécessité d'élargir les options commerciales.
Des critiques agressives étaient inévitables La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a vivement critiqué les déclarations d'Orbán et les mesures de son gouvernement et l'a accusé d'hypocrisie sur la question migratoire. Elle a affirmé que même si Budapest évoque la nécessité de contrôles plus stricts aux frontières, elle a libéré des centaines de passeurs au cours de l'année écoulée. La Hongrie a également prolongé les permis de séjour des citoyens russes et invité la police chinoise à patrouiller dans les rues du pays. Selon eux, le gouvernement hongrois s'éloigne de plus en plus du marché intérieur, harcèle les entreprises étrangères et impose des restrictions à l'exportation.
Le leader du PPE, Manfred Weber, a accusé Orbán de ne pas avoir dit un mot de soutien à l'Ukraine dans son discours. Il a une nouvelle fois critiqué la visite d'Orbán à Vladimir Poutine cet été. Le gouvernement hongrois collabore avec l'agresseur, a-t-il déclaré. Weber a prévenu le Premier ministre que lui et sa droite européenne ne parviendraient pas à diviser l'UE.
Iratxe García Pérez, leader des sociaux-démocrates, a accusé Orbán de pseudo-patriotisme et d'opinions d'extrême droite au lieu de valeurs européennes. Orbán attaque les principes de la démocratie, de la diversité et des droits de l’homme, soutient les oligarques avec des fonds européens et entretient des relations étroites avec Poutine.
Le politicien allemand de l’AfD, René Aust, s’est exprimé au nom de la faction de droite Europe des nations souveraines (ESN). Aust a qualifié la position de la Hongrie sur la guerre en Ukraine de « tournée vers l'avenir » et l'a comparée aux « politiques ratées » de l'Europe. Orbán a également été le premier à s’exprimer contre l’immigration incontrôlée en 2015. Viktor Orbán et le peuple hongrois méritent des éloges. En matière de politique industrielle, de migration, de compétitivité et de démographie, l'ESN soutient les idées de la présidence hongroise.
Nicola Proccacini, coprésident du Groupe conservateur (ECR), a souscrit à plusieurs éléments du programme de Viktor Orbán, notamment la gestion des problèmes démographiques. Il a souligné que le déclin démographique ne devrait pas être combattu par l'immigration, mais par le soutien aux familles. La coopération avec les pays d’origine et de transit pour résoudre les problèmes migratoires est importante. Il a toutefois critiqué le gouvernement hongrois pour n’avoir pris aucune mesure contre l’alliance entre la Chine, la Russie, l’Iran et la Corée du Nord, qu’il a qualifiée de menace extérieure pour les valeurs occidentales.
Mandat d'arrêt demandé pour corruption
Les Verts ont montré leur compréhension de la démocratie en ne voulant même pas permettre au Premier ministre de s'exprimer au Parlement européen. Au cours du débat, le député allemand Terry Rientke a expressément regretté que cela se soit produit de toute façon. Viktor Orbán est un homme politique faible et motivé par la peur.
Daniel Freund, promu « expert de la Hongrie » par le Spiegel, a accusé Orbán et ses amis d’avoir volé 14 milliards d’euros de fonds européens. Ces fonds européens sont destinés au peuple hongrois et au système de santé. Les paiements vers la Hongrie devraient donc être interrompus et un mandat d'arrêt européen émis pour corruption.
La leader du groupe libéral (Renew), Valerie Hayer, a appelé Orbán à défendre l'indépendance du pouvoir judiciaire et une presse libre. La corruption est la base du régime Orbán. La Hongrie devrait donc être privée de son droit de vote au Conseil de l'UE.
Manque évident d'intérêt pour le programme En réponse aux critiques, Orbán a déclaré qu'il aurait préféré débattre du programme de la présidence, qui n'intéressait manifestement pas les députés. « Leur propagande ne permet pas un débat significatif et impartial sur l’État de droit ou la corruption. »
Orbán a rejeté toutes les accusations de von der Leyen selon lesquelles il trahirait la politique commune de l'UE. «L'unité européenne ne signifie pas que tout le monde doit se taire. Je représente les intérêts du peuple hongrois. Cela n’est hostile à personne. C’est ce que font les patriotes. » La commission était autrefois un organisme neutre dont le travail consistait à mettre de côté les débats politiques et non à élaborer directement des politiques. Elle devrait agir en tant que gardienne des traités et maintenir sa neutralité.
Orbán a qualifié d'absurde le fait que « lors de la séance plénière du PE, nous devions écouter un discours sur l'État de droit de l'eurodéputé de gauche Ilaria Salis, un soi-disant militant d'Antifa qui a été arrêté à Budapest pour avoir pourchassé des personnes pacifiques avec du fer. bars, et qu'un député européen belge donnait une leçon à la Hongrie sur l'État de droit après l'interdiction d'une récente conférence sur l'État de droit à Bruxelles.
Sauver l’Europe de la destruction Zsuzsanna Borvendég (Mi Hazánk) a accusé l'UE de punir la Hongrie et de ne pas payer les fonds européens dus au pays, de ne pas contribuer aux coûts de la protection des frontières et de boycotter le programme de la présidence hongroise du Conseil de l'UE, bien que cet important sujet ait été mis sur le devant de la scène. l'ordre du jour.
La crise migratoire et démographique pourrait conduire à la destruction de l’Europe, et la situation de l’industrie et de l’agriculture est critique. Mais les citoyens européens ont envoyé un message clair à l’UE lors des élections de cette année : ils ne veulent pas de migrations massives, d’écologisation suicidaire, d’idéologies de genre divergentes et de folie guerrière. Si l’UE se préoccupait davantage de l’avenir de l’Europe que des intérêts de l’élite financière mondiale, elle emprunterait la voie hongroise et sauverait l’Europe de la ruine.
Du lobby trans, en passant par le lobby trans, pour le lobby trans
Il s’agit probablement du plus grand déclin des droits des femmes dans l’histoire de l’Allemagne. Cela a été rendu possible grâce à la participation de presque toutes les associations de femmes. Il n’y a pas eu de résistance officielle. Le Conseil allemand des femmes, par exemple, souvent qualifié dans les cercles féministes de trahison allemande envers les femmes , est fermement du côté du lobby trans et salue le droit de tous les hommes d'entrer dans les espaces réservés aux femmes lorsqu'ils déclarent qu'ils sont des femmes.
Même lorsque la Rapporteuse spéciale des Nations Unies sur la violence contre les femmes et les filles, Reem Asalam, a écrit publiquement au ministre (féministe ?) des Affaires étrangères que cette loi d'autodétermination violait les droits humains des femmes et des filles en Allemagne, le Conseil des femmes a rédigé une déclaration commune. avec la Trans Federal Association : Cette discussion est une désinformation ciblée des cercles conservateurs antiféministes et de droite.
Le Conseil des Femmes. A donné un avis. Au représentant de l'ONU. La préoccupation concernant la violation des droits des femmes et des filles est : antiféministe. À l’exception d’Emma, la situation ne s’annonce guère mieux pour les autres associations de femmes. La plupart des gens auraient également du mal à nommer une action du ministre des Femmes et de la Famille qui soutient réellement les femmes ou les familles. Elle se fait désormais appeler « Ministre de la Société ». Les femmes ont perdu leur représentation d’intérêts, les associations trans en ont gagné une autre.
Dans ce vide, la nécessité d'un nouveau mouvement de femmes venant d'en bas apparaît désormais de toute évidence. Cela indique clairement ce qu’est une femme. Et défend constamment leurs droits et leur sécurité. L'une de ces nouvelles organisations est Women's Heroes.
De nouvelles impulsions d’Heroica
Ses deux membres du conseil d'administration, Eva Engelken et Susette Schubert, veulent utiliser Heroica pour créer un cadre large pour tous ceux qui s'engagent en faveur des droits des femmes, quel que soit leur spectre d'origine (d'accord, aucun membre de l'AfD n'était là. C'est ainsi que le spectre ne va pas large. Même la présence d'un représentant de l'Union des valeurs était difficile à avaler pour beaucoup). Néanmoins, poursuivre des objectifs communs, telle était la devise, et également nouer des alliances de convenance.
Alice Schwarzer a prononcé le discours d'ouverture et a également souligné les similitudes. Si vous avez une position différente sur la question de la paix ou autre, d’accord. Si vous deviez résumer son discours en une phrase, cela pourrait ressembler à ceci : Tant que nous nous unissons en matière de droits des femmes, nous devrions nous unir plutôt que les uns contre les autres. Elle a également évoqué le thème du plaisir dans la bonne humeur. Une conférence comme celle-ci doit être amusante pour que les gens aient envie de venir.
C'était définitivement prévu dans le programme. Après des conférences et des panels sur des sujets passionnants mais peu agréables comme la prostitution, l'islamisme ou le transactivisme, il y a eu des concerts les deux soirs puis une piste de danse féminine. À titre d'exemple de concert, Rebecca Fuchxx,
Au total, 120 femmes sont venues à Erfurt pour passer trois jours à échanger des idées sur le thème des droits des femmes. La pièce était pleine à craquer. Le club prévoit de plus grands projets pour l’année prochaine. Ils ne manqueront probablement pas de popularité. La pression sur les droits des femmes augmente. De plus en plus de femmes sont confrontées aux conséquences concrètes du slogan « be nice ». On peut supposer que la contre-pression va augmenter.
À long terme, le problème sera probablement précisément la loi contre laquelle les héroïnes féminines se battent si âprement. Un événement organisé par des femmes pour des femmes est interdit en Allemagne à partir du 1er novembre – du moins s'il exclut les « femmes » productrices de sperme. Mais l’Héroïque est susceptible d’être une épine dans le pied de ceux-là. Et compte tenu de la loi, personne ne peut empêcher les militants trans d’affluer et de perturber une future conférence au nom de la tolérance. Les stratégies développées par les organisateurs à cet effet pourraient être passionnantes.
Le prochain événement prévu pour le 1er novembre est une manifestation contre la loi sur l'autodétermination à Berlin - par un autre groupe nouvellement fondé : Let-Women-Speak. Avec musique, fête et lecture de poésie par l'icône critique du genre Helen Joyce. Quelque chose semble bouger ici.
Visite de la ville sportive de Winterberg – un reportage
11 octobre 2024 par Jan Müller
La ville de Winterberg est située dans le Land allemand de Rhénanie du Nord-Westphalie, dans le massif idyllique du Hochsauerland. Il se concentre entièrement sur le tourisme et le sport. Elle a bien réussi jusqu’en 2020. Winterberg a ensuite été durement touché par les confinements liés au Corona. La ville a fait parler d'elle cette année parce que tous les grands parkings étaient fermés, ce qui a provoqué un chaos dans la circulation. Winterberg était la ville où les policiers chassaient les enfants en traîneau. Winterberg s’est apparemment remis des années Corona. Cependant, il est prévisible qu’à mesure que la Grande Réinitialisation se poursuive, le modèle économique de la ville s’effondre. Winterberg vit du tourisme de jour en voiture. Cependant, de moins en moins de personnes peuvent se permettre d’acquérir leur propre voiture. Les entreprises touristiques réagissent encore à cette situation en augmentant encore les prix. Cependant, ce qui fait que leurs offres deviennent de plus en plus exclusives. Il est clair qu’à un moment donné, cela ne sera plus possible.
La ville de Winterberg dans le Hochsauerland a été fondée en 1250 - c'est-à-dire pendant la période chaude médiévale - sur une large selle entre diverses montagnes à une altitude de 670 mètres. Avec le début du Petit Âge Glaciaire au début de l’ère moderne, l’agriculture n’était plus possible et les Winterbergers assuraient leur subsistance grâce au colportage. Ils vendaient principalement des faux et des faucilles fabriquées dans d'autres régions du Sauerland.
Quiconque recherche des trésors d’art anciens à Winterberg n’est pas au bon endroit. La ville fut entièrement incendiée en 1556, 1759 et 1791. Pratiquement aucune maison n'est plus ancienne que 1791. Après ce dernier incendie de la ville, la ville a été entièrement repensée. La vieille ville se compose de quatre larges rues allant d’ouest en est, les maisons étant plus éloignées les unes des autres. Une rue, la Marktstrasse, servait également de marché. L'église Jakobskirche, entièrement détruite, a été reconstruite dans le style gothique après 1791.
La plupart des maisons ont leurs pignons donnant sur la rue, même s'il n'existait probablement pas de réglementation de construction explicite. Ce sont pour la plupart des maisons à colombages. Cependant, les étages supérieurs sont revêtus d'ardoise et le rez-de-chaussée est enduit, ce qui leur donne l'aspect noir et blanc typique des maisons du Sauerland. Le paysage urbain de Winterberg est tout à fait unique en raison de ces particularités.
Il y a aussi une place de marché à l'extrémité ouest de la vieille ville avec des maisons anciennes et nouvelles. C'est aujourd'hui le centre de Winterberg.
Depuis le XXe siècle, mais surtout depuis l'après-guerre, Winterberg vit du tourisme, notamment des sports d'hiver. Parce que la ville est encore relativement enneigée aujourd'hui. Certains hôtels et appartements de vacances ont une saison principalement hivernale. Mais ceux qui peuvent se permettre des vacances au ski se rendent généralement dans les Alpes dans ce but. Même en hiver, la ville est principalement visitée par les excursionnistes de la région de la Ruhr.
À Winterberg, il y a une école de ski et d'autres infrastructures d'un centre intermédiaire. La ville et ses nombreux quartiers périphériques comptent environ 12 000 habitants.
Dans la vieille ville, à circulation réduite, se trouvent de nombreux magasins proposant des produits de haute qualité : mode, vêtements de sport, valises, chaussures, montres et bijoux, électronique. Il existe également des magasins proposant des offres moins chères dans le centre commercial Neue Mitte.
Étonnamment, il n'y a pas de vitrines abandonnées ni de magasins vacants à Winterberg. Cela est certainement dû au fait que la ville est principalement visitée par des touristes fortunés. C’est peut-être aussi parce que de nombreux propriétaires sont propriétaires des commerces qui occupent le rez-de-chaussée de la maison. Même si ce n’est pas le cas, la structure de propriété de Winterberg risque d’être plutôt fragmentée. Cela signifie que les entreprises n’ont pas à générer les profits exorbitants des sociétés immobilières, qui appartiennent majoritairement à Blackrock.
La vieille ville de Winterberg est apparemment plus visitée par les touristes plus âgés. Pour vos besoins, il existe également une piscine à vagues et un hôtel bien-être dans le quartier d'Oversum.
Mais lorsque des familles avec enfants visitent Winterberg en dehors de la saison de ski, c'est avant tout à cause du mont aventure Kappe. Il s'agit d'une colline escarpée juste à l'extérieur avec d'excellentes vues sur le centre-ville.
Un immense parc sportif a été créé sur le Cap avec de nombreuses attractions, comme le bike park The Mother, une forêt Velcro, une piste de luge d'été, une flyline où l'on peut dévaler la montagne à une vitesse époustouflante en s'accrochant à une corde, une grande aventure aire de jeux et trampolines. Pour les adultes, il y a aussi un minigolf et le pont panoramique aventure. De là, vous avez une excellente vue sur Winterberg et les montagnes environnantes. Il existe également des possibilités d'escalade bien sécurisées pour les plus petits et un toboggan.
De nombreux itinéraires de VTT de différents niveaux de difficulté ont été créés, qui descendent tous en pente raide. Des sauts sont possibles à de nombreux endroits.
Des restaurants et un snack assurent votre bien-être physique. Des nuitées sont possibles en auberge de jeunesse et en camping.
En hiver, le cap fait partie du domaine skiable de Winterberg.
De grandes places de parking sont disponibles, mais elles peuvent rapidement se remplir le week-end.
D'après mon observation, le bike park est l'attraction principale. Il est susceptible d'être visité par environ 80 % des visiteurs. Les autres offres, à l'exception du pont panoramique aventure, ne sont que modérément utilisées.
En principe, c’est une bonne chose, pourrait-on penser. De cette manière, les enfants, souvent accusés à juste titre de ne pas faire suffisamment d'exercice, découvrent de manière ludique la joie du sport et des jeux. C'est vrai aussi. Mais il y a deux limites.
Premièrement : la montagne d'aventure Kappe n'a été créée que dans les années 2000. Je pense que ce n'est pas une coïncidence. Parce que vous n'avez pas nécessairement besoin d'un parc à vélos pour descendre une montagne à vélo à grande vitesse. Nous l'avons fait quand nous étions enfants (7, 8 ans) dans les années 70 sans cela. Le départ s'est fait en lisière de forêt, puis nous sommes descendus sur des chemins de terre raides avec quelques virages. De petits sauts étaient possibles à un endroit particulièrement raide au niveau de la transition vers la route. Le débouché était une rue pavée du village où circulaient parfois des voitures. Tout cela sans aucun équipement de protection, juste un T-shirt, un short et des baskets en été. Bien sûr, il fallait pousser le vélo pour remonter la montagne si l'on voulait rouler à nouveau - contrairement au bike park avec ses télésièges.
Une fois, j'ai glissé dans un virage et je suis tombé à genoux. La blessure a dû être recousue. J'ai quand même continué après ça. Mes parents n'ont même pas pensé à nous interdire de faire quelque chose comme ça. D’une part, ils ne savaient probablement pas exactement ce que nous faisions. Ils avaient leurs propres soucis et problèmes parce qu’ils étaient occupés à construire une maison. D’un autre côté, nous devrions sortir le plus souvent possible et ne pas devenir des patates de canapé.
Cette description montre à quel point les temps ont changé aujourd’hui. Ce que nous faisions à l’époque serait non seulement strictement interdit par les parents d’aujourd’hui, mais la société le désapprouverait également. Une visite à l'Office de protection de la jeunesse serait probablement également envisageable si les parents permettaient à leurs enfants de se livrer à des activités aussi « dangereuses ».
Cela signifie que les enfants sont enfermés chez eux en raison de dangers présumés ou réels qui les guettent partout et qu'ils ne sont autorisés à participer à des activités qui étaient considérées comme allant de soi dans les années 1970 que dans des installations spéciales et sous la surveillance étroite d'adultes ; ce qui signifie qu'ils doivent également être payés très cher – au sens littéral du terme. Voir la deuxième objection.
Néanmoins, force est de constater que nos descentes improvisées dans les années 70 étaient loin d'offrir aujourd'hui la possibilité d'un bike park. Il n’y avait pas de VTT à l’époque, nous avions juste des vélos pour enfants normaux. À un moment donné, nous nous sommes lassés de parcourir constamment le même itinéraire et avons joué à quelque chose de différent. C'est là le revers de l'attitude des adultes de l'époque. Ils ne nous ont pas interdit de skier, mais ils ne nous ont pas particulièrement encouragés non plus. Nous ne pensions pas que ce que nous faisions était du sport. À l’époque, les seuls sports considérés comme sportifs étaient le football et la gymnastique, pratiqués dans le club sportif local.
Deuxièmement : les coûts. Un ticket journalier pour The Mother Bike Park coûte 43 euros pour un adulte, 30 euros pour les adolescents et 21,50 euros pour les enfants. Un billet d'une demi-journée coûte 34, 24 et 17 euros pour les groupes de personnes mentionnés ci-dessus. Si vous souhaitez louer un vélo, vous devez payer un supplément de 39 à 99 euros. La location des équipements de sécurité obligatoires coûte en supplément. Les cours à l'école de vélo au nom étrange Shred-Acad coûtent également 119 euros ou plus par personne pour les débutants.
Les autres attractions sont tout aussi chères : escalade en forêt 24,50 euros par adulte, jeunes 20,50 euros, enfant 9,50 euros. Ligne mouche adulte 16,50 euros. Le pont panoramique aventure est encore relativement bon marché à 7 euros par adulte. Mais c’est aussi cher étant donné qu’il ne s’agit que d’une plate-forme panoramique.
Vous devez également d’abord vous rendre à Winterberg. Cela est désormais possible assez rapidement depuis la région de la Ruhr, où viennent la plupart des visiteurs, grâce à l'autoroute A46 de la vallée de la Ruhr. Le temps de trajet depuis Dortmund est d'une bonne heure ; pour les autres villes régionales, il n'est que légèrement plus long. Le train ne peut pas être utilisé pour des excursions d'une journée avec des temps de trajet pour le même itinéraire compris entre 3,5 et 8 heures. Cela signifie que pour une visite d'une journée à Winterberg, vous avez besoin d'une voiture, de préférence avec une remorque à vélo, afin de pouvoir emporter vos propres vélos.
Apparemment, la maximisation du profit est la priorité des opérateurs privés, tandis que les aspects sociaux ne jouent aucun rôle. Ils ont probablement calculé le montant maximum qu’ils peuvent collecter sans que les visiteurs ne manquent quelque chose. Comme les parkings à vélos ne sont pas si courants, c'est beaucoup.
Il est toutefois frappant de constater que les droits d’entrée aux sites culturels, mais aussi aux zoos, aux jardins botaniques, aux parcs d’attractions et aux parcs sportifs, ont augmenté bien au-delà du taux d’inflation au cours des deux dernières décennies. De cette manière, des segments toujours plus importants de la population sont exclus de leur utilisation. Les villes du quart d’heure souhaitées par les milliardaires du WEF et des Verts pour des raisons de protection du climat sont créées toutes seules, dans un premier temps sans aucune coercition. Comme on le sait, Harari veut pour le moment calmer les « superflus » avec les jeux vidéo et la drogue. Pour beaucoup de gens, il n’existe pratiquement pas d’autres possibilités de loisirs.
Attaque ciblée contre le système bancaire américain ! La Réserve fédérale américaine (Fed), pyromane du système financier
RépondreSupprimer12.10.2024
www.kla.tv/30734
L'effondrement de la grande banque suisse Credit Suisse et des banques américaines Signature, Silvergate et Silicon Valley Bank (SVB) a ébranlé les marchés financiers en 2023. Le principal déclencheur a été la politique monétaire de la banque centrale américaine, la Fed [Fed = Federal Reserve System]. Celle-ci avait augmenté les taux d'intérêt de manière spectaculaire à la fin de l'année 2021, ce qui avait entraîné une chute des cours des obligations d'État ainsi que des pertes importantes dans les opérations de crédit et de leasing des banques et, finalement, l'effondrement desdites banques. Dans l'ensemble du système bancaire américain, la politique monétaire de la Fed a ainsi détruit la somme incroyablement élevée d'environ 1,9 billion (1000 milliards virgule 9) de dollars américains.
En réaction à la crise du système financier qu'elle a elle-même provoquée et à la menace d'effondrement d'autres banques américaines, la Fed a ensuite lancé le Bank Term Funding Program (BTFP). Ce programme permettait aux banques américaines d'accéder directement aux ressources financières de la Fed par le biais de crédits et de résoudre ainsi discrètement leurs problèmes de liquidités. La crise s'est ainsi calmée et la Fed a pu se présenter une fois de plus comme le sauveur énergique du système financier. Mais les problèmes du secteur bancaire américain étaient bien entendu loin d'être résolus. Actuellement, il traverse même une crise historique ! Découvrez ci-dessous l'ampleur et la violence de cette crise, le rôle joué par la Fed, ses motivations et son contexte.
I. La crise historique du secteur bancaire américain
RépondreSupprimer1. La crise du marché immobilier commercial américain
Aujourd'hui, les États-Unis comptent plus de 4 000 banques, mais seules quelques centaines d'entre elles peuvent être considérées comme saines. La grande majorité d'entre elles, en revanche, sont littéralement au bord du gouffre. L'une des principales raisons de cette situation est un effondrement d'une ampleur historique des prix de l'immobilier commercial. Les exemples suivants illustrent l'ampleur de cette perte : La Prime Manhattan Office Tower de 23 étages à New York, encore évaluée à 215 millions de dollars en 2019, ne vaut plus que 104 millions de dollars aujourd'hui - une perte de valeur de 51,6 % en seulement cinq ans. A Saint-Louis, le plus haut immeuble de bureaux - la tour AT&T de 44 étages - a été vendu pour 3,5 millions de dollars. En 2006, ce bien immobilier de premier ordre coûtait encore
205 millions de dollars, ce qui représente une perte de valeur choquante de 98 % ! Barry Sternlicht, un investisseur immobilier multimilliardaire, a prévu des pertes de 1 billion de dollars suite à cette chute des prix, rien que pour l'immobilier de bureau américain. Ces pertes se retrouvent généralement dans les livres des banques américaines de petite et moyenne taille, qui sont désormais assises sur des montagnes de crédits pourris, dont 30 % à 50 % présentent un risque aigu de défaillance, selon l'expert en métaux précieux Dominik Kettner.
En outre, 560 milliards de dollars de prêts immobiliers commerciaux arriveront à échéance d'ici fin 2025 et plus de 2,8 billions de dollars d'ici fin 2028. Cela signifie qu'une vague de refinancement d'une ampleur historique attend également les établissements de crédit aux Etats-Unis. Cela signifie que les biens immobiliers concernés doivent être refinancés à des conditions nettement plus mauvaises. S'ils n'y parviennent pas, ils doivent être vendus avec une forte décote et des pertes correspondantes pour les banques, ce qui peut entraîner un effondrement du système bancaire. Jusqu'à présent, le marché financier n'a jamais connu une situation comparable.
2. La crise du marché obligataire américain
RépondreSupprimerEn plus de la crise du marché de l'immobilier commercial américain, une autre bombe à retardement menace le marché obligataire. La hausse des taux d'intérêt y a créé une situation qui a également le potentiel d'ébranler l'ensemble du système bancaire. Ils ont ouvert de nouvelles possibilités d'investissement attrayantes, ce qui a fait que les obligations d'État américaines n'étaient plus guère demandées. En conséquence, elles ont perdu beaucoup de leur valeur, de sorte que les banques américaines se retrouvent aujourd'hui avec une montagne de pertes non réalisées de plus de 516 milliards de dollars. Tant que les banques détiennent ces obligations, les pertes restent "sur le papier". Mais si, par exemple, les clients retirent leurs dépôts ou si les banques sont contraintes de vendre ces obligations pour d'autres raisons, les pertes deviennent réelles et pourraient également déclencher un krach bancaire.
3. La Fed met fin au Bank Term Funding Program
En pleine crise bancaire et financière historique, la banque centrale américaine (Fed) a mis fin le 11 mars au Bank Term Funding Program (BTFP). Par ce biais, la Fed avait dépensé en un an plus de 160 milliards de dollars auprès des banques demandeuses, leur fournissant ainsi discrètement des moyens financiers. Dans ce contexte, les banques pouvaient utiliser leurs obligations comme garantie, celles-ci étant évaluées à leur valeur nominale [valeur nominale = valeur imprimée sur un titre] et non à la valeur en cours du marché. De cette manière, les conséquences négatives des hausses de taux d'intérêt et surtout la chute de la valeur du marché obligataire américain ont été totalement compensées pour les banques, ce qui les a sauvées de l'effondrement. Avec la fin du BTFP, les banques ont donc été privées non seulement de la simple fourniture de moyens financiers pour empêcher par exemple la bulle de l'immobilier commercial américain d'éclater, mais aussi des pertes sur le marché obligataire américain. De plus, les taux d'intérêt toujours élevés se répercutent à nouveau pleinement sur les banques, ce qui pourrait être le déclencheur décisif d'une autre crise bancaire, bien plus étendue. L'analyste canado-irlandais Kevin O'Leary est en tout cas convaincu, au vu de la situation dramatique du système bancaire américain, que des milliers de banques vont s'effondrer dans les années à venir. Étant donné que les banques mondiales sont à leur tour extrêmement interdépendantes, cela pourrait alors conduire à un gigantesque tsunami financier mondial et à une crise économique mondiale qui éclipserait toutes les précédentes.
II. La Fed pyromane du système financier et ses motivations
RépondreSupprimerDe l'extérieur, la Banque centrale américaine (Fed) se présente comme un combattant sérieux et énergique pour un système financier stable. Mais elle se révèle être un véritable pyromane du système financier qui, selon l'expert financier Ernst Wolff, a déclenché ou provoqué de manière très ciblée aussi bien la crise bancaire de 2023 que celle qui s'annonce actuellement. Ernst Wolff voit à cet égard les corrélations suivantes, qui expliquent pourquoi la Fed agit ainsi :
1. Etant donné que nous sommes dans la phase finale du système financier mondial, les banques centrales du monde entier préparent un nouveau système financier et l'introduction de monnaies numériques de banque centrale (CBDC).
2. Avec l'introduction de la CBDC, l'octroi de crédits devrait être retiré aux banques commerciales et se faire à l'avenir vraisemblablement par le biais exclusif de la banque centrale... Cela signifie qu'il n'y a plus de place, surtout pour les petites et moyennes banques, dans le nouveau système monétaire. C'est pourquoi la crise bancaire existante est attisée de manière ciblée afin de faire avancer rapidement le processus de concentration dans le secteur bancaire.
3. les grands bénéficiaires des faillites bancaires à venir seront les grandes banques américaines comme Goldmann Sachs ou JP Morgan Chase. Cette dernière avait déjà racheté la First Republic Bank en 2023 pour une fraction de sa valeur. Ces grandes banques profiteront de la même manière de la crise à venir et s'empareront ainsi d'énormes fortunes à un prix dérisoire. Cette situation profite à son tour aux grands gestionnaires de fortune comme BlackRock, Vanguard ou State Street, qui sont les principaux actionnaires des grandes banques américaines et qui gèrent les fortunes des super-riches.
4. Etant donné qu'aucun fonds de garantie bancaire n'est doté des ressources financières nécessaires pour sauver les titulaires de comptes et les déposants qui risquent de se retrouver ruinés lors de ce qui pourrait être la plus grande crise bancaire de tous les temps, cela pourrait constituer un tremplin idéal pour l'introduction de la CBDC. En versant l'aide directement avec cette nouvelle monnaie, celle-ci pourrait être introduite avec l'image positive d'un sauveur du système. Suivant la devise de Winston Churchill : "Ne laissez jamais passer une crise sans en profiter !"
III. Les coulisses de la Banque centrale américaine
RépondreSupprimerSelon Ernst Wolff, tous les moyens sont manifestement bons pour la Fed afin d'imposer un nouveau système financier numérique. Elle est prête à mettre en faillite des milliers de banques et à détruire des milliers de milliards de dollars d'actifs afin d'attirer ou de forcer la population dans ce nouveau système monétaire. Les grands bénéficiaires sont évidemment les super-riches.
Pour comprendre plus profondément pourquoi la Fed n'agit pas pour le bien de tous, mais pour le bénéfice de cette petite minorité, il faut savoir que la Fed n'est pas une institution publique. Selon Stephen Goodson, ancien directeur de la Banque centrale d'Afrique du Sud, qui est donc un grand spécialiste du système financier, la Fed, tout comme la quasi-totalité des banques centrales du monde, ainsi que le FMI et la Banque mondiale, sont des banques et des institutions à capitaux privés qui mènent leurs affaires dans l'intérêt absolu de leurs associés et fondateurs. Dans le livre qu'il a publié, "L'histoire des banques centrales", il cite par exemple aussi les principaux actionnaires de la Fed par leur nom. Ce sont les banques suivantes avec les dynasties de banquiers derrière elles :
- JP Morgan Chase Bank
- Goldman Sachs Bank de New York
- Lazard Brothers Bank de Paris
- Israel Moses Sieff Bank d'Italie
- Shearson American Express Bank
- Les banques Rothschild de Londres et Paris
- Les banques Warburg de Hambourg et Amsterdam
C'est donc un petit cercle de super-riches qui alimente la crise bancaire actuelle. Ils veulent ainsi se remplir les poches et nous attirer, éventuellement déguisés en sauveteurs, dans leur nouveau système monétaire numérique. Comme Kla.TV l'a déjà montré dans l'émission "Ernst Wolff : (L'argent de Banque centrale numérique – la fin de la liberté) [www.kla.tv/29968] (pas en français), cela se fait à nouveau dans le seul but de nous dominer totalement et de nous priver de toutes nos libertés.
IV. Conclusion
RépondreSupprimerLe système financier est une fois de plus sur la voie du krach et la baisse actuelle des taux d'intérêt de la Fed n'y changera rien. Il est toutefois difficile de prévoir quand l'effondrement aura lieu, mais une chose est sûre : les banksters, qui abusent de leur pouvoir avec une énergie criminelle indicible pour accumuler toujours plus de richesses et de puissance, feront tout pour ne pas être démasqués comme étant à l'origine de l'effondrement financier qu'ils auront provoqué. En contrepartie, ils risquent de laisser s’aggraver d’autres crises, notamment les conflits militaires existants, qui connaissent actuellement une forte intensification. Mais quelle que soit la manière dont ils veulent nous faire accepter leur nouvel argent numérique, il s'agit certainement d'un cheval de Troie et jamais de la solution aux problèmes. La solution consiste à demander des comptes à ces banksters, responsables des crises et à leur retirer leur pouvoir.
Selon l'ancien directeur de la banque centrale Stephen Goodson, leur influence repose sur le fait qu'ils ont usurpé le droit de créer de l'argent à partir de rien et de le prêter ensuite contre intérêts. Ils ont pu le faire en prenant le contrôle des banques centrales mondiales. C'est pourquoi il faut une "réduction globale de la dette", c'est-à-dire le désendettement de tous les États-nations maltraités, pillés et de facto dépossédés par les banques centrales et par le FMI et la Banque mondiale, ainsi que la restitution de toutes les ressources saisies. En effet, tout comme les crédits ont été créés à partir de rien, les dettes doivent elles aussi disparaître dans le néant. Si, en plus, le droit de créer de la monnaie revient entre les mains du peuple et des différents États souverains, toute cette histoire sera terminée. En cette période de crise mondiale, le moment est venu de le revendiquer - si ce n'est pas maintenant, alors quand ?
de hag
RépondreSupprimerSources / Liens :
Crise bancaire 2023
https://www.kla.tv/25669
Problèmes dans le secteur bancaire http://theeconomiccollapseblog.com/3-things-that-troubled-u-s-banks-are-doing-as-they-scramble-to-survive/
https://www.foxbusiness.com/economy/americans-are-struggling-get-loan-since-fed-started-raising-rates
https://www.bankrate.com/credit-cards/news/credit-denials-survey/
https://www.dailymail.co.uk/yourmoney/article-13154975/bank-branch-news-JPMorgan-Chase-Republic-Citizens-bank.html
https://www.pymnts.com/news/banking/2023/banks-slash-60k-jobs-as-dealmaking-and-ipos-decline/
https://www.dailymail.co.uk/yourmoney/banking/article-13066937/kevin-oleary-regional-banks-bancorp-silicon-valley.html
Fermeture de la BTFP, nouvelle crise bancaire - effondrement de l'immobilier commercial
https://www.konjunktion.info/2024/04/finanzsystem-steht-eine-eine-neue-konsolidierungswelle-im-us-bankensektor-bevor/
https://theconversation.com/why-economists-are-warning-of-another-us-banking-crisis-224092
https://www.konjunktion.info/2024/03/schuldgeldsystem-die-zunehmenden-fliehkraefte-der-schuldenspirale/
https://www.konjunktion.info/2024/03/finanzsystem-zwei-fliegen-mit-einer-klappe/
https://fortune.com/2024/06/10/commercial-real-estate-crash-new-york-city-office-building-discount-short-sale/
Crise du refinancement, i mmobilier commercial
https://www.derstandard.de/story/3000000208163/leerstandsquote-hoch-wie-nie-lage-bei-us-gewerbeimmobilien-spitzt-sich-zu
https://www.konjunktion.info/2024/03/finanzsystem-zwei-fliegen-mit-einer-klappe/
https://www.dailynews.com/2024/02/12/commercial-property-loans-coming-due-in-us-jump-to-929-billion/
https://www.kettner-edelmetalle.de/news/das-bankensystem-am-abgrund-drei-risiken-konnen-zur-grossten-finanzkrise-fuhren-23-07-2024
Crise de l'immobilier commercial et du marché obligataire
https://www.zeit.de/2023/46/us-staatsanleihen-aktienmarkt-risiko-wirtschaftskrise
https://www.businessinsider.de/wirtschaft/international-business/renditen-fuer-us-staatsanleihen-steigen-aber-ein-crash-koennte-folgen/
Définition valeur nominale
https://boersenlexikon.net/nennwert/
Barry Sternlicht
https://de.wikipedia.org/wiki/Barry_Sternlicht
Fenêtre d'escompte Fed
https://tarifo.de/news/1959-welche-banken-nutzten-diskontfenster-fed-gibt-namen-preis/
Kevin O´Leary
https://en.wikipedia.org/wiki/Kevin_O%27Leary
Ernst Wolff – Les arrière-plans de la politique monétaire de la Fed
https://www.youtube.com/watch?v=BPsNmLpVMsE
ab Min: 3:08
https://www.youtube.com/watch?v=E6Za3k-8k38
ab Min: 2:37
Gestionnaires d'actifs BlackRock + Vanguard Principaux actionnaires
https://www.finanzen.net/unternehmensprofil/jpmorgan
https://de.marketscreener.com/kurs/aktie/CITIGROUP-438766/unternehmen-aktionare/
https://www.finanzen.net/unternehmensprofil/wells_fargo
https://www.finanzen.net/unternehmensprofil/bank_of_america
JP Morgan – Reprise de First Republic Bank
https://www.capital.de/wirtschaft-politik/jpmorgan-kauft-first-republic--wie-der-deal-zustande-kam-33427758.html
https://www.derstandard.at/story/2000146057429/notrettung-der-first-republic-bank-nach-abfluss-der-kundengelder
Citation de Churchill
https://yoice.net/winston-churchill-lass-niemals-eine-krise-ungenutzt-verstreichen/
Missions de la Fed et retournement des taux d'intérêt https://de.investing.com/academy/analysis/federal-reserve-aufgaben-und-ziele/
https://www.businessinsider.de/wirtschaft/leitzins-usa-fed-senkt-zinsen-in-grossem-schritt-um-05-prozentpunkte-und-deutet-weitere-zinssenkungen-an/
Stephen Goodson
https://en.wikipedia.org/wiki/Stephen_Goodson
Buch: „Die Geschichte der Zentralbanken und die Versklavung der Menschheit“ von Stephen Mitford Goodson
https://www.kla.tv/fr
DMSO – remède ancien et puissant redécouvert
RépondreSupprimer12 octobre 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Avec le plan de préparation à la pandémie de l'OMS, le passeport de vaccination électronique dans l'UE et la médecine conventionnelle qui nie de plus en plus la biochimie, les vaccinations et le génie génétique devraient devenir les seules interventions médicales salvatrices. La chimie et la biochimie ont fourni des médicaments très efficaces comme l'ivermectine, le bleu de mthéléne, la chloroquine et bien sûr toutes les vitamines. La substance très efficace DMSO a presque été oubliée.
Le diméthylsulfoxyde (abréviation DMSO) est un solvant organique très efficace et appartient à la classe des composés sulfoxydes. Techniquement, le diméthylsulfoxyde est fabriqué à partir de sulfure de diméthyle, par exemple. B. produit par oxydation catalytique avec du tétroxyde de diazote en présence d'oxygène. Biochimiquement, il se produit dans de nombreuses réactions du corps. Le diméthylsulfoxyde, comme son nom l'indique, est constitué de deux groupes méthyle et d'un atome d'oxygène lié au soufre. Ce produit chimique simple et ses produits de dégradation sont présents dans la nature (on les trouve par exemple en petites quantités dans le lait, les tomates, le thé, le café , les palourdes et le maïs cuit ), tandis que l'odeur salée de la mer est due en partie aux microalgues proches de la surface, qui produisent du diméthylsulfoxyde , dont une partie finit également sous la pluie.
Un médecin du Midwest (AMD) explique les divers effets du DMSO dans un article détaillé . Voici quelques réactions dans le corps :
- voir schéma sur site -
Dans le corps, le DMSO est oxydé ou réduit, la forme oxydée (mieux connue sous le nom de méthylsulfonylméthane ou MSM - un agent cicatrisant commun) étant le principal destin du DMSO, tandis que la forme réduite du DMS (qui se produit naturellement en quantités infimes dans le corps ) est le métabolite le plus connu car il est responsable de « l'effet secondaire » caractéristique du DMSO, « une odeur (ou un goût) distinctif semblable à celui de l'ail ou de la palourde, excrétée par la bouche et la peau, que certaines personnes ont du mal à tolérer ».
Ses applications sont nombreuses en médecine naturelle et je connais de plus en plus de médecins et de profanes qui l'utilisent spécifiquement. Entre autres choses, je l'ai récemment trouvé très utile pour éliminer rapidement les bleus après un accident de vélo .
RépondreSupprimerLa DMLA résume les effets médicaux les plus importants comme suit :
Le DMSO est un produit chimique remarquablement sûr qui protège les cellules contre des facteurs de stress autrement mortels (par exemple le gel, la brûlure, les ondes de choc, l'ischémie). Étant donné que le cœur, le cerveau et la moelle épinière sont particulièrement vulnérables aux blessures, le DMSO peut faire des merveilles pour ces maladies.
L'utilisation du DMSO change complètement le traitement des accidents vasculaires cérébraux (y compris les hémorragies cérébrales), des crises cardiaques et des lésions de la moelle épinière. Comme je vais le montrer ici, si la FDA n’avait pas saboté l’introduction du DMSO, non seulement d’innombrables vies auraient pu être sauvées, mais des millions de personnes auraient pu être sauvées d’une invalidité ou d’une paralysie à vie.
Le DMSO possède de nombreuses autres propriétés notables. Par exemple, il stabilise les protéines et peut traiter de nombreux troubles protéiques difficiles (par exemple l’amylose et de nombreux troubles génétiques).
De nombreuses maladies traitées au DMSO sont généralement considérées comme incurables. Cet article discute de l'utilité remarquable du DMSO dans les affections les plus sensibles au DMSO intraveineux (par exemple, divers troubles circulatoires tels que les varices ou la maladie de Raynaud) et les troubles neurologiques complexes (par exemple, le syndrome de Down, le retard de développement, la SLA, la maladie d'Alzheimer, la maladie de Parkinson). ainsi que l'administration de protocoles intraveineux de DMSO et d'AVC au DMSO.
Si la DMLA était bloquée sur une île déserte ou savait que le monde touche à sa fin et qu’elle avait peu de thérapies à emporter avec elle, l’une d’entre elles serait sans aucun doute le DMSO. Pour les raisons suivantes :
Il traite un large éventail de maladies graves qui sont autrement souvent incurables et souvent mortelles ou entraînent une invalidité permanente à vie.
RépondreSupprimerIl traite efficacement les blessures aiguës et réhabilite les maladies musculo-squelettiques chroniques (par exemple l'arthrite). Pour cette raison, c’est l’un des meilleurs « analgésiques » disponibles et il a aidé de nombreuses personnes à remettre leur vie sur les rails.
Il possède un certain nombre de propriétés uniques qui ouvrent une toute nouvelle dimension à la médecine.
C’est l’une des substances médicinales les plus sûres disponibles.
Remarquablement, cela a été reconnu dans les années 1960 et le DMSO a pris d'assaut les États-Unis (par exemple, les gens du monde entier l'ont demandé, les stations-service ont souvent annoncé qu'ils le vendaient et des dizaines de milliers d'études de recherche ont été menées par des scientifiques enthousiastes du monde entier). . Cependant, aujourd’hui, peu de gens connaissent l’existence du DMSO, si ce n’est qu’il s’agit d’un produit chimique de laboratoire ou d’une thérapie alternative que certaines personnes utilisent pour soulager les douleurs articulaires.
En effet, la FDA a mené une guerre de plusieurs décennies contre le DMSO (malgré un tollé généralisé au Congrès et dans le public), ce qui, à mon avis, était sans doute la pire chose que la FDA ait jamais faite au pays.
En raison de sa chimie unique, le DMSO possède deux propriétés notables :
Il agit comme un solvant quasi universel (c’est-à-dire qu’il interagit avec diverses biomolécules).
Il est capable de pénétrer les membranes biologiques sans les endommager (ce qu'aucun autre solvant ne peut faire).
Pour cette raison, quelle que soit la voie d'administration, le DMSO pénètre rapidement dans l'organisme (y compris le cerveau) (par exemple, il se retrouve dans le sang dans les 5 minutes suivant l'application sur la peau et dans les os dans l'heure), mais s'accumule pas dans le corps en même temps.
Le DMSO a un nombre apparemment infini d’utilisations car il peut être utilisé de presque toutes les manières. Presque tous les médicaments ou substances peuvent y être combinés et administrés par voie cutanée (par exemple, les stéroïdes, les AINS, la vitamine C ou le peroxyde d'hydrogène). Dans de nombreux cas, les effets de ces médicaments sont accrus tandis que leur toxicité est réduite (bien que dans certains cas, la toxicité augmente).
Toute une gamme d’applications utiles sont répertoriées ci-dessous :
Protection cellulaire
Troubles circulatoires
crise cardiaque
DMSO et accidents vasculaires cérébraux
AVC hémorragiques et traumatismes crâniens
En outre, le DMSO agit également sur de nombreux autres aspects critiques des traumatismes crâniens et des hémorragies cérébrales (qui nécessitent de nombreux médicaments différents dans le traitement traditionnel) :
- voir cadre sur site -
Blessures à la colonne vertébrale
Déficience cognitive et démence
conclusion
RépondreSupprimerLe DMSO a été découvert à une époque où la communauté scientifique était ouverte à l'exploration d'idées non conventionnelles, la science n'étant pas encore entravée par un système de subventions conçu pour contrecarrer les idées non conventionnelles . À leur tour, des milliers d’études sur son potentiel ont été publiées grâce à des chercheurs dévoués bénéficiant d’un fort soutien institutionnel.
Mais malgré ces recherches prometteuses, la FDA a supprimé le développement, rejetant des années d’efforts scientifiques et d’innombrables sacrifices d’animaux dans les poubelles de l’histoire.
C’est particulièrement tragique si l’on considère les immenses souffrances causées par les maladies que le DMSO pourrait potentiellement soulager. Des décennies de recherche et des milliards de dollars plus tard, la médecine conventionnelle a encore du mal à traiter efficacement bon nombre de ces maladies. Dr. Pierre Kory a partagé mon avis après avoir lu cet article :
« Depuis plus de 15 ans que je dirige des unités de soins intensifs et traite des lésions cérébrales, des accidents vasculaires cérébraux et des hémorragies, cela m'attriste et me met en colère de savoir qu'un médicament comme le DMSO aurait pu aider autant de personnes. Les traitements sur lesquels je comptais étaient souvent limités ou comportaient de grands risques.
L'article AMD est assez long et complet. Une version abrégée est disponible auprès du Dr. Mercola . Si vous voulez en savoir plus, vous devriez au moins lire ceci.
Le trésor de connaissances le plus complet est véhiculé par le livre illustré ci-dessus :
Médecine à faire soi-même avec DMSO & Co. : votre boîte à outils de santé à domicile ou au cabinet
https://tkp.at/2024/10/12/dmso-altes-und-maechtiges-heilmittel-neu-entdeckt/
Les dommages cardiaques causés par le vaccin arrivent au Parlement européen
RépondreSupprimer11 octobre 2024
de Thomas Oysmüller
Les myocardites et les crises cardiaques continuent d'augmenter. Le fait que cela puisse être dû à la campagne de vaccination contre le Covid est toujours nié avec véhémence.
Les cas croissants de lésions cardiaques, en particulier de myocardites telles que la myocardite et la péricardite, font de plus en plus surface. Pas plus tard que la semaine dernière, le TKP a fait état d'articles publiés dans le grand public qui admettent, avec toutes sortes de contorsions, que les cas augmentent de façon drastique, en particulier chez les jeunes. La question a désormais atteint le Parlement européen. Mais pas comme les critiques l’espéraient.
Covid, pas la vaccination
Cela a permis au député européen Gerald Hauser (FPÖ) d'interroger la professeure de cardiologie Cecilia Linde. Elle enseigne et fait des recherches à l'Université de Stockholm et a été invitée à une enquête d'experts au Parlement européen. Le bref échange entre Hauser et Linde montre bien que les dommages cardiaques croissants ne doivent en aucun cas être liés à la vaccination. Mais la question de Hauser aborde au moins l’éléphant évident dans la pièce.
Hauser a demandé très précisément si Linde voyait un lien entre l’augmentation des cas de myocardite et de péricardite en Europe et les « vaccins » à ARNm.
Linde a immédiatement déclaré que la question était « importante » et qu’il existait un « groupe sensible », celui des jeunes hommes. Mais elle explique ensuite rapidement que la vaccination fait « plus de bien que de mal ». Une « infection grave au coronavirus » entraînerait un risque de myocardite plus élevé qu’une vaccination.
Si vous écoutez attentivement, vous remarquerez que Linde ne répond finalement pas clairement à la question. Elle ne dit pas que la vaccination n’a rien à voir avec le nombre croissant de crises cardiaques. Transition News , qui a également rendu compte de l'apparition du professeur, écrit :
«La réaction de la soi-disant experte a clairement montré à quel point la question était inconfortable pour elle. Elle s’est tordue comme un serpent et a expliqué qu’elle avait des informations à ce sujet mais qu’elle ne se souvenait pas du nom de l’étude.
La question de Hauser a rapidement embarrassé Linde. Elle ne connaissait pas le fondement de sa déclaration, mais "l'enverrait plus tard", a-t-elle expliqué. Interrogé par TKP, Hauser explique que cela ne s'est pas encore produit.
RépondreSupprimerhttps://tkp.at/2024/10/11/impf-herzschaeden-erreichen-eu-parlament/
le sidérant essai qui conduit à une vaccination obligatoire des canards avec ARN auto répliquant: inefficace, aucune étude pour les consommateurs ,100 millions gaspillés
RépondreSupprimerle 10 octobre 2024
par pgibertie
Il y a bien eu un essai réalisé ,sur une dizaine de canards vaccinés à l’ARN autorépliquant (pire que le messager , demandez aux Japonais
Les dix canards vaccinés se voient injecter le virus et tombent tous malades avec une charge virale à peine moins forte que les non vaccinés……
Faute d’épidémie cette année aucune preuve de protection face au virus naturel , n’ a pu être établie
Rappel 100m tel est le coût pour le contribuable
Une série d’essais en conditions terrain, organisée par l’équipe ENVT-INRAE (Chaire de Biosécurité et Santé aviaires) en collaboration avec les professionnels de la filière (Interprofession, organisations de production, vétérinaires), portant sur 6 lots de canetons mulards conventionnels mis en place sur des sites d’expérimentation en conditions d’élevage commercial. Pour chaque site, un lot d’animaux a été vacciné (selon les protocoles recommandés par les fabricants) à l’aide d’un des deux vaccins retenus et un autre a été élevé en tant que lot témoin non vacciné.
Pour chacun des deux vaccins retenus, un lot de canards mulards a été sélectionné pour transférer des canards (vaccinés ou témoins non vaccinés) vers les installations expérimentales de niveau de confinement A3 du LNR influenza aviaire du laboratoire Anses de Ploufragan-Plouzané-Niort afin d’y conduire à 7 et 11 semaines d’âge des épreuves expérimentales réalisées avec le virus IAHP
A/chicken/France/D2107428/2021 (H5N1).
Une étude en conditions expérimentales en animaleries de biosécurité de niveau 3 réalisée par l’ANSES-Ploufragan avec pour objectifs de produire des informations chez le canard mulard portant :
Dans un premier temps, sur la capacité des vaccins étudiés à protéger cliniquement et à
réduire l’excrétion virale ;
Dans un second temps, sur la capacité des vaccins étudiés à ralentir la transmission du
virus IAHP de clade 2.3.4.4b au sein d’une population de canards vaccinés.
Deux candidats vaccins ont été testés :
Vaccin A : Duck H5-SRV vaccine® de Ceva Santé Animale : vaccin à ARN permettant
l’expression de la protéine H5 modifiée du virus IAHP A/duck/France/161108h/2016
(H5N8) de clade 2.3.4.4b. Les animaux ont été vaccinés à 1 et 28 jours d’âge par voie intramusculaire dans la cuisse selon les recommandations du fabricant de vaccin.
Vaccin B : Volvac B.E.S.T. AI+ND® de Boehringer Ingelheim animal health (BI) : vaccin
RépondreSupprimerbivalent adjuvé sous-unitaire incluant une H5 modifiée provenant du virus IAHP
A/duck/China/E319-2/2003 (H5N1) de clade 2.3.2 exprimée en baculovirus recombinant
dans des cellules d’insecte et incluant la souche inactivée LaSota d’orthoavulavirus aviaire
de type 1 (OAvV-1). Chaque dose de vaccin contient 250 unités hémagglutinantes de H5.
Les animaux ont été vaccinés par voie sous-cutanée à 10 et 28 jours d’âge selon les
recommandations du fabricant de vaccin.
Groupe NV-NE : 5 canards mulards naïfs non-vaccinés non-éprouvés ;
Groupe V-NE : 5 canards vaccinés non-éprouvés ;
Groupe NV-E: 10 ou 8 canards non-vaccinés puis éprouvés (diminution du nombre
d’animaux par parc pour respecter la densité veillant au bien-être animal à 11 semaines
d’âge) ;
Groupe V-E: 10 ou 8 canards vaccinés puis éprouvés (diminution du nombre d’animaux par
parc pour respecter la densité veillant au bien-être animal à 11 semaines d’âge).
LE VIRUS INJECTE REGARDEZ LA CHARGE VIRALE CHEZ LES VACCX ET LES NON VACCX;;;;TOUS MALADES ET TOUS CONTAGIEUX
- voir schémas sur site -
CONCLUSION
Les essais en condition terrain ont permis d’évaluer la faisabilité de la vaccination dans des conditions très proches de l’application en contexte commercial. Les protocoles vaccinaux préconisés par les laboratoires producteurs des deux solutions vaccinales ont pu être mis en œuvre sans difficulté particulière et sans aucun effet indésirable. Le suivi sérologique a permis de mettre en évidence uneséroconversion dès le rappel (4 semaines), un pic à 8 semaines et une décroissance des titres à partir de l’âge de 10 semaines.
Les essais expérimentaux rapportés avaient pour objet de vérifier que les deux vaccins testés, utilisés dans des conditions de terrain, étaient efficaces chez les canards mulards pour permettre la protection clinique et la diminution de l’excrétion virale à l’âge de 7 semaines et 11 semaines d’âge vis-à-vis d’une épreuve avec un virus IAHP A/chicken/France/D2107428/2021 (H5N1) de clade 2.3.4.4b, génotype viral qui circule encore actuellement en Europe.
RépondreSupprimerLe peu de signes cliniques obtenus après inoculation de la souche d’épreuve dans les conditions expérimentales utilisées, y compris chez les canards mulards non vaccinés, ne permet d’obtenir que peu d’éléments relatifs à la protection clinique. Neanmoins, les seuls signes cliniques observés l’ont été chez des sujets non-vaccinés.
https://pgibertie.com/2024/10/10/le-siderant-essai-qui-conduit-a-une-vaccination-obligatoire-des-canards-avec-arn-auto-repliquant-inefficace-aucune-etude-pour-les-consommateurs-100-millions-gaspilles/
Le pâté de foie de canard sera mortel ! et, il le sera !
SupprimerIncapacité du pilote : le pilote du vol Edelweiss WK-5 a souffert d'un problème médical et a été frappé d'incapacité
RépondreSupprimerBy Dr. William Makis
Global Research,
October 11, 2024
Ci-dessous, un article de Simon Hradecky du Aviation Herald :
Un Airbus A340-300 d'Edelweiss, immatriculé HB-JMF, effectuant le vol WK-5 de Tampa, FL (USA) à Zurich (Suisse), était en approche de Zurich lorsque l'équipage a déclaré une urgence en signalant une incapacité du pilote. L'avion a atterri en toute sécurité sur la piste 14 de Zurich et a roulé jusqu'au tablier.
La compagnie aérienne a signalé que l'un des trois pilotes à bord a souffert d'un problème médical environ 90 minutes avant l'atterrissage. Les deux autres pilotes ont effectué l'atterrissage à Zurich.
*
Incapacités de pilote en vol en 2024 (sept jusqu'à présent) :
22 juil. 2024 – Vol WK-5 d'Edelweiss (TPA-ZRH) de Tampa, FL, USA à Zurich, Suisse, le pilote a souffert d'un problème médical et a été frappé d'incapacité
12 juin 2024 – Vol NE-130 de Nesma Airlines (CAI-TIF) du Caire, Égypte à Taif (Arabie saoudite) – le pilote, le capitaine Hassan Youssef Adas, âgé d'une trentaine d'années, s'est effondré et est décédé d'une crise cardiaque présumée
4 juin 2024 – Vol AM-34 d'Aeromexico (MTY-MAD) de Monterrey (Mexique) à Madrid (Espagne), le copilote est tombé malade, a eu un problème médical, le vol a été détourné vers Mexico.
14 mars 2024 – British Airways BA-2272 (JFK-LGW) de New York à Londres-Gatwick, l’un des pilotes est tombé en incapacité et l’avion a été contraint de se dérouter vers St. John’s, NL, Canada.
17 février 2024 – Vol Lufthansa LH-1140 (FRA-SVQ) de Francfort à Séville le 17 février 2024 – Premier officier en incapacité, avion retourné à Madrid
16 février 2024 – DELTA – NYC – Le capitaine Geoffrey John Brock, 58 ans, est décédé de manière inattendue le 16 février 2024 lors d'une escale à Honolulu, HI
16 janvier 2024 – Vol LATAM Brasil LA-3744 (BSB-JPA) de Brasilia à Joao Pessoa le 16 janvier 2024 – Pilote en incapacité, avion détourné vers Salvador pour un atterrissage en toute sécurité
https://www.globalresearch.ca/pilot-incapacitation-edelweiss-flight-pilot-suffered-medical-condition-incapacitated/5869952
Les véhicules Crit'Air 3 exclus de Paris à partir de 2025
RépondreSupprimerFrance-Soir
le 09 octobre 2024 - 18:30
Le gouvernement poursuit la chasse aux particules, et pas de manière fine. Dès le 1er janvier 2025, les véhicules étiquettés Crit'Air 3 seront interdits de circulation à Paris et à Lyon — sauf dérogations exceptionnelles. Une barrière de plus pour les plus démunis, qui risque de mettre le feu aux poudres.
La graine a été plantée en 2021, quand la loi Climat et Résilience a été promulguée. Celle-ci prévoyait la création des zones à faibles émissions (ZFE) dans toutes les villes de "plus de 150 000 habitants où les valeurs de qualité de l’air recommandées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) sont dépassées". Au total, ce sont 42 agglomérations françaises qui sont concernées et devront mettre en place des mesures plus ou moins strictes avant le 1er janvier 2025. Certaines d'entre elles jouent déjà le jeu, telles que Rouen, Grenoble ou Strasbourg, mais ce ne sont pas les plus polluées, donc pas les plus restrictives non plus.
Paris et Lyon, à l'inverse, tardent à se mettre au diapason. Et pour cause ! Dans ces deux villes, plus polluées que les autres, ces ZFE imposent purement et simplement l'interdiction de circulation des véhicules Crit'Air 3, soit toutes les voitures diesel de plus de 14 ans et les voitures essence de plus de 19 ans, de 8h à 20h en semaine. Comme le rapporte le site AutoMoto, cela représente ni plus ni moins que 24% des immatriculation en Seine-Saint-Denis, 22% dans le Val-d'Oise ou 21% en Seine-et-Marne, contre 15% à Paris. Globalement, un cinquième de la population française se verra contrainte de rester hors de la capitale, ou d'y entrer par un autre moyen : en transports bondés, à pieds ou à cheval, qui sait ? Ce qui est sûr, c'est que s'offrir un nouveau carrosse ne sera pas possible pour la majorité des personnes concernées, faute de revenus suffisants pour assumer la croissance des prix de l'occasion.
Les citadins se murent dans la ville, et les plus pauvres sont exclus, au nom de la pollution. Ceci étant dit, tout magnanime qu'il est, le gouvernement a bien prévu une roue de secours, que David Belliard, adjoint EELV à la mairie de Paris a présenté en conférence de presse : un pass ZFE. Nouveau sésame qui permettrait aux propriétaires de véhicules Crit'Air 3 de franchir le Rubikon 12 fois l'an, pendant 24h ! La nouvelle, sans surprise, fait jaser sur les réseaux :
Le gazole retiré des pompes à essence, le périphérique à 50km/h, les ZFE pour empêcher les moins bien équipés d'entrer en ville, peut-être un péage urbain, bientôt. Si avec toutes ces semances, le gouvernement ne récolte rien...
https://www.francesoir.fr/politique-france/les-vehicules-crit-air-3-exclus-de-paris-partir-de-2025
De Crit Air à Sandrine Rousseau qui rêve de décroissance: pourquoi les écolos détestent ils le peuple ????
RépondreSupprimerle 10 octobre 2024
par pgibertie
Le gouvernement poursuit la chasse aux particules, et pas de manière fine. Dès le 1er janvier 2025, les véhicules étiquettés Crit’Air 3 seront interdits de circulation à Paris et à Lyon — sauf dérogations exceptionnelles. Une barrière de plus pour les plus démunis, qui risque de mettre le feu aux poudres.
https://t.co/zKba6iPOgW
La gauche nouvelle ne s’intéresse pas au pouvoir d’achat et Sandrine Rousseau ne s’en cache pas, la crise actuelle de la consommation est une bonne nouvelle….
Le cauchemar des écolos bobo, l’amélioration du pouvoir d’achat , la démultiplication des consommateurs .
Quelques pistes de réflexion…
Selon Thorstein Veblen, les milieux populaires ne seraient que dans l’imitation des modes de vie des classes dominantes et les pays du Sud dans celle des pays du Nord. Si Thorstein Veblen avait raison nous pourrions dire que « les riches détruisent la planète » mais qu’il n’y aurait rien de bon à attendre des milieux populaires, d’ici et d’ailleurs. Thorstein Veblen, logique avec lui-même, disait d’ailleurs n’avoir d’espoir que dans une prise de conscience des ingénieurs et techniciens, jamais dans un sursaut des « gens de peu » . La gauche et les « écolos » aiment bien, certes, les milieux populaires, mais ceux d’avant, ceux d’ailleurs, jamais ceux d’ici, jamais nous-mêmes, signe d’une culpabilisation et même d’une auto-culpabilisation imposées par le système.
Je crois donc nécessaire de pousser un coup de gueule contre l’idée qu’il n’y aurait rien de bon à attendre des gens ordinaires au regard de la situation sociale, politique, écologique.
C’est à qui dénoncera le plus vertement leur rêve de grand écran de télévision, leurs vieilles voitures polluantes, leurs logements mal isolés, leurs achats dans les hypermarchés, leur goût pour la viande rouge et les boissons sucrées, leurs rêves de zones pavillonnaires et de vacances bon marché, etc. Les élites auraient donc raison de dire : « salauds de pauvres qui consommez si mal ! » et qu’il faudrait rééduquer au moyen d’une « fiscalité verte » socialement injuste et écologiquement absurde, comme celle qui taxe la collecte des ordures en fonction du poids, pénalisant ainsi les milieux populaires. Les élites auraient donc encore raison de dire : « salauds de pauvres qui votez si peu » et qu’il faudrait frapper d’une amende comme le propose l’ex-député EELV François Goullet de Rugy.
Au moins, les riches achèteraient des produits bio, auraient des voitures électriques, des maisons bien isolées et lorsqu’ils prennent l’avion pour leurs vacances, ils achèteraient des compensations carbone, etc. Ce mépris des milieux populaires ne résiste pourtant pas à l’analyse. Tous les indicateurs prouvent que les milieux populaires ont un bien meilleur « budget carbone », une bien meilleure « empreinte écologique », un bien plus faible écart par rapport à la « bio-capacité disponible », un bien meilleur indice « planète vivante » (concernant l’impact des activités sur la biodiversité), un « jour de dépassement de la capacité régénératrice de la planète » plus tardif, une moindre emprise sur la « déplétion » des stocks non renouvelables, etc.
L’erreur serait cependant de croire que les milieux populaires affichent un meilleur bilan carbone simplement parce qu’ils auraient moins de moyens financiers. Cette vision, rassurante pour la « bonne société », est démentie par toutes les recherches. Ce n’est pas parce qu’ils sont plus pauvres que les milieux populaires ont un meilleur bilan carbone mais parce qu’ils ont (encore) d’autres modes de vie. C’est pourquoi, j’ai mobilisé des centaines de travaux de sociologues, d’économistes, de psychologues, de géographes pour montrer que les « gens de peu » ne sont pas des riches auxquels il ne manquerait que l’argent, qu’ils ne se définissent pas d’abord en termes de manque (en économie, le manque de pouvoir d’achat ; en culture, le manque d’éducation ; en politique, le manque de participation ; en psychologie, le manque d’estime de soi, etc.) Oui, les milieux populaires sont dominés mais cette domination n’est jamais absolue.
RépondreSupprimerLes élites auraient donc raison : » salauds de pauvres qui consommez si mal ! « . Ce discours discriminant est susceptible de contaminer ceux qui à gauche se disent les plus conscients des enjeux planétaires et sociaux. Pourtant tous les indicateurs prouvent que les milieux populaires ont un meilleur bilan carbone, une meilleure empreinte écologique que les milieux aisés, y compris quand ces derniers ont des pratiques » écolos « . Iconoclaste, Paul Ariès invite à relativiser les thèses de Veblen et de Bourdieu sur l’imitation par les milieux populaires des modes de vie des riches. Certes, » les riches détruisent la planète « , mais les » gens du commun « , ne sont pas des riches auxquels il ne manquerait que du capital économique, social, culturel et symbolique.
https://shs.cairn.info/revue-savoir-agir-2015-3-page-13?lang=fr
A trop répéter que l’économie a été inventée par l’Occident, on risque de
confondre l’acte de production – qui est une catégorie anthropologique – et les conditions
sociales de sa réalisation – catégorie historique –, ou le « procès de travail en
général » et le « procès de travail capitaliste »,comme disait Marx. D’où les assimilations
par certains théoriciens de la décroissance entre l’économie et le capitalisme, leur
affirmation qu’avant le capitalisme il n’y avait pas d’économie, leur refus de considérer avec
attention les expériences d’ « économie solidaire » et plus généralement tout projet
d’économie non capitaliste. Car tout raisonnement économique est jugé économiciste ; ainsi, l’opprobre est jeté sur tous les économistes, accusés d’avoir « bousillé la planète » [Ariès, 2005, p. 83].
Selon cette thèse, l’« effondrement environnemental n’est que la conséquence de
l’effondrement symbolique et institutionnel de la société » [Ariès, 2005, p. 35] : tout se
joue donc au niveau des représentations, tandis que les logiques matérielles et les
rapports de force disparaissent.
Le paradoxe est que le courant de la décroissance adopte une posture très critique
RépondreSupprimerà l’égard du capitalisme. Mais la critique de celui-ci se fait le plus souvent au nom du
passé. Les communautés traditionnelles sont magnifiées alors qu’elles connaissaient pour
la plupart des phénomènes de domination, notamment des hommes sur les femmes.
Si la Terre est un être vivant ressortissant à un ordre cosmique autonome
et supérieur à l’espèce humaine, elle est sacralisée et l’ordre social est biologisé. La
société est un corps biologique qui se décompose sous les coups de
l’occidentalisation, rongée par le cancer de la modernité. Il y aurait donc une essence humaine dont la science et la modernité nous auraient dépossédés, en même temps qu’elles
nous auraient fait quitter un ordre naturel qu’il s’agit de retrouver. Cyril Di Méo
[2006, p. 26] accuse cette vision biologisante de correspondre à une « rhétorique
réactionnaire » [Hirschman, 1991] ou à une« pensée louche » [Bourdieu, 1988] dont la
question démographique est une illustration :certains prônent un retour à Malthus, voire à
l’eugénisme d’Alexis Carrel [1935]. Di Méo avance l’hypothèse que la recherche d’un
ordre supposé naturel rassurant est la transposition des angoisses devant le tragique
de l’existence tel que le définit le philosophe Clément Rosset [1993] : le refus de la
finitude de l’Homme dans un univers qui apparaît comme infini conduit à se réfugier
dans des arrière-mondes religieux.
L’un des sous-courants de l’écologisme appelé « écoféminisme » associe la fertilité
féminine à la fertilité biologique ; ainsi, les femmes sont-elles les mieux à même de
respecter la nature malmenée par le système patriarcal et d’aller vers la décroissance.
La naturalisation des conditions sociales et le retour du religieux vont de pair avec la
délégitimation du politique. L’espace politique comme lieu de médiation et de
transformation est répudié au nom d’une radicalité libertaire ou religieuse
[Charbonneau, Ellul] et la méfiance s’installe vis-à-vis de l’Etat-providence et de ses
institutions [Illich]. L’espace individuel est conçu comme le seul espace possible de
transformation sociale et nourrit la dépolitisation des sociétés individualistes,
c’est-à-dire la crise du politique.
Sur quoi fonder l’écologie demande Goldsmith [2002] ? Pas sur la science mais
sur la foi, répond-il. Il s’agit donc de réenchanter le monde. Alors que la modernité
avait laïcisé la société, confinant la religion à la sphère privée, le religieux est réintroduit
dans l’ordre politique pour détruire celui-ci comme lieu de construction de la cohabitation
entre les humains. Nous sommes à l’opposé d’une conception tendant à concilier
« écologie et politique » [Gorz] ou bien à redéfinir la notion de progrès comme essaie
de le faire Christian Coméliau [2006].
Pour les théoriciens de la décroissance et du refus du développement, la coupable est
RépondreSupprimerfinalement la Raison, confondue avec la rationalité capitaliste, qui a désacralisé,
« désenchanté » le monde. La nécessaire critique de l’instrumentalisation de la Raison
tombe alors dans un relativisme qui met sur le même plan la science et la croyance. Or, s’il
existe des croyances au sein de la science –l’économie en est un bel exemple –, la science
possède des garde-fous – la Raison précisément et la vérification – qui lui évitent
de se perdre dans la crédulité. Derrière la critique de la Raison, il y a le rejet des
Lumières et de l’idée même que puissent être construits des droits universellement
respectés pour tous les humains.
Cliquer pour accéder à decroissance.pdf
- voir posts sur site :
https://pgibertie.com/2024/10/10/de-crit-air-a-sandrine-rousseau-qui-reve-de-decroissance-pourquoi-les-ecolos-detestent-ils-le-peuple/
Expérience sur la sensibilité climatique du gaz carbonique : plus la concentration est élevée, plus l'influence est faible
RépondreSupprimer11 octobre 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Les 'climatologues' affirment à plusieurs reprises que l’augmentation des concentrations de gaz carbonique entraîne une augmentation linéaire de la température. Cependant, cela contredit non seulement les principes et les lois physiques, mais aussi les expériences et les mesures et est donc erroné. C'est ce que démontre une étude récente réalisée par un groupe de chercheurs indépendants sur le climat .
Comprendre la contribution des différents gaz à effet de serre nécessite des connaissances en physique atomique, physique moléculaire et optique (AMO). Les physiciens Wijngaarden et Happer ont découvert que l'effet chauffant de chaque molécule de gaz carbonique diminue de manière significative (de manière logarithmique) à mesure que la concentration augmente. C’est l’une des raisons pour lesquelles il n’y a pas eu de réchauffement incontrôlé de l’atmosphère à une époque où les concentrations de gaz carbonique étaient près de 20 fois supérieures à celles d’aujourd’hui. Ce fait gênant, aussi important soit-il, est constamment nié car il mine la théorie d’un futur changement climatique catastrophique causé par le gaz carbonique. Le principe des rendements décroissants s’applique.
La représentation graphique montre la dépendance de la teneur en gaz carbonique dans l'air avec l'influence sur la température :
- voir graph sur site -
La courbe bleue montre comment le flux de rayonnement thermique Z(C) de la Terre vers l'espace change avec la concentration C de gaz carbonique dans l'atmosphère. Les lignes rouges verticales montrent la diminution du flux de rayonnement vers l'espace provoquée par une augmentation successive de la concentration de gaz carbonique C par pas de 50 ppm. Les augmentations sont si faibles qu'elles doivent être multipliées par un facteur 100 pour être visibles dans le graphique.
RépondreSupprimerL' étude de Hammel, E. et al intitulée « Etudes de sensibilité au retour de rayonnement au gaz carboniquegaz carbonique dans des conditions de laboratoire et sur le terrain » prouve exactement cette dépendance .
Le rétroradiation infrarouge a été mesuré à l’aide d’un dispositif expérimental relativement peu coûteux et d’une chambre d’essai avec des concentrations croissantes de gaz carbonique.
Les résultats des mesures confirment les découvertes précédentes sur la saturation du rayonnement infrarouge induit par le gaz carbonique dans des conditions atmosphériques réalistes.
Les chercheurs ont également utilisé le dispositif de mesure pour étudier les effets de gaz à effet de serre plus forts et plus rares sur le forçage thermique par temps clair.
Dans le résumé, ils écrivent :
« Nos résultats et leur interprétation sont une preuve supplémentaire en faveur d’une approche plus critique de la modélisation climatique et contre une interprétation monocausale des indices climatiques qui sont uniquement causés par les émissions anthropiques de gaz à effet de serre. Les principes physiques combinés aux mesures et aux données de la littérature nous amènent à conclure que le rerayonnement infrarouge induit par le gaz carbonique doit suivre un comportement logarithmique asymptotique, qui est également largement accepté dans la communauté du changement climatique.
Sur la base des mesures, la sensibilité du climat si les concentrations actuelles de gaz carbonique sont doublées est estimée à moins de 1 °C. Ceci est illustré dans l’étude par ce graphique, qui correspond au résultat ci-dessus :
- voir graph sur site -
Figure 16. Effet du doublement de la concentration de gaz carbonique sur la capacité totale d'absorption.
RépondreSupprimer« Cette étude montre une limite supérieure d'ATE supplémentaire de 1,5 %. Les températures moyennes de surface de TS = 288˚K correspondent à un rayonnement de corps noir de 390 Wm-2. Des considérations précédentes, nous avons appris qu'un doublement de la concentration de gaz carbonique dans l'atmosphère de 400 à 800 ppm signifie une modification maximale de l'énergie absorbée dans l'atmosphère de 1,5%, soit une augmentation du rayonnement d'un maximum de 3 Wm. -2 . En utilisant la formule de Stefan-Boltzmann, nous obtenons ensuite une première estimation d’une augmentation de température correspondante ou d’une contribution de GH de 0,5˚K à une teneur atmosphérique de 800 ppm par rapport aux 400 ppm actuels. Cela concorde également très bien avec les résultats de Wijngaarden et Happer.
La loi des rendements décroissants stipule essentiellement qu'une augmentation de 30 à 40 ppm entraîne la même augmentation de température que de 300 à 400 ppm ou de 3 000 à 4 000 ppm, selon une fonction logarithmique.
La conclusion est énoncée :
« Les preuves expérimentales de ce travail confirment des travaux antérieurs selon lesquels l’augmentation des niveaux de gaz carbonique dans l’atmosphère aux niveaux actuels ne peut pas contribuer de manière significative au réchauffement par l’augmentation du rétroradiation. Nous avons également montré que les gaz à effet de serre croissants tels que le fréon présentent une forte réponse de rétroradiation lorsqu'ils sont placés dans notre chambre d'essai atmosphérique. "Les modèles climatiques et leurs attentes en matière de gaz carbonique devraient être révisés, et beaucoup plus de preuves expérimentales sur la réponse aux rayonnements IR des gaz à effet de serre devraient être collectées avant que les tendances actuelles en matière de réchauffement et les mécanismes du changement climatique ne soient considérés comme monocausaux pour les théories des gaz à effet de serre."
Il est toutefois à craindre que cela ne se produise pas. La science du climat du IPCC, fondée par Rockefeller, est au cœur de la science politique et n’a rien à voir avec les sciences naturelles, comme le montre cette citation.
En 1989, le Rockefeller Brothers Fund, dirigé par David Rockefeller et Henry Kissinger, a fondé l'IPCC et l'a financé avec des ressources presque illimitées pour l'avenir.
La question, bien sûr, est de savoir quelle est la cause du changement climatique et de la hausse des températures s’il s’avère que le gaz carbonique n’en est pas responsable. La réponse à cette question a été récemment apportée par une étude évaluant les données satellitaires sur les nuages depuis 2000. La diminution de la couverture nuageuse laisse passer autant de rayonnement solaire supplémentaire que nécessaire pour augmenter la température.
https://tkp.at/2024/10/11/experiment-zu-klimasensitivtaet-von-co2-je-hoeher-die-konzentration-desto-geringer-der-einfluss/
RépondreSupprimerQuand l'électricité s'éteint
PAR TYLER DURDEN
JEUDI 10 OCTOBRE 2024 - 23h00
Rédigé par Jeffrey Tucker via The Epoch Times,
Autrefois grand défenseur de tout ce qui est numérique, j'en suis venu à développer de sérieux doutes sur la vitesse à laquelle l'humanité est passée de l'analogique au cloud. Les piratages, les pannes, les violations de données et les pannes prolongées en sont la preuve. Puis j'ai réalisé que le danger était encore plus grand.
La plupart des objets que nous utilisons aujourd'hui n'ont pas été soumis à des tests de résistance. Ils sont centralisés et ont un point de défaillance unique. Et ils sont très vulnérables. Tout pourrait s'arrêter en un instant sans aucune garantie de retour.
Un tournant s'est produit pour moi lors de la visite d'une petite buanderie en sous-sol à Manhattan. La propriétaire utilisait encore une machine à coudre datant de 1948. Elle ne voulait rien savoir des modèles plus récents. Après cela, j’ai prêté une plus grande attention aux machines des autres commerçants de mon quartier. De nombreuses machines à coudre avaient 75 ans et fonctionnaient encore bien. Mon cordonnier utilise du matériel vieux de plus d’un siècle. Ce n’est pas rare.
Ils peuvent tous encore faire des affaires avec un générateur et une bonne réserve de carburant. Ils sont préparés. C’est aussi pourquoi les gens conservent leurs vieilles voitures à essence sans tous les accessoires de luxe. Elles sont plus fiables et on peut réparer ce qui tombe en panne. Il vaut mieux entretenir l’ancien en bon état que de passer à un nouveau qui ne durera pas longtemps.
De nos jours, peu de choses sont conçues pour le long terme. Nous achetons des smartphones et des ordinateurs en prévoyant d’en acheter de nouveaux dans quelques années. Réparer des choses est de moins en moins possible. Les appareils électroménagers sont les mêmes : kaput dans 5 à 10 ans. Et beaucoup dépendent des applications numériques pour fonctionner. Le fonctionnement des serrures des maisons, des voitures, des allumages, des lumières et bien d’autres choses encore dépend entièrement d’un réseau de crochets qui exige que tout soit en parfait état de fonctionnement.
Et si tout cela n’était qu’un château de cartes ?
Imaginez un moment où tout s’écroulerait, non pas pendant une heure ou un jour, mais pendant des semaines. Ou des mois. C’est précisément ce que vivent les habitants des zones les plus touchées par l’ouragan Helene. Comme on le sait, la FEMA a été sous-performante, mais plus important encore, elle a tenté de mettre un terme aux efforts privés dans de nombreux cas documentés. Elon Musk a dû utiliser les réseaux sociaux pour supplier le gouvernement de le laisser offrir Internet gratuit aux gens parce que toutes les autres options ont disparu.
L’argent est mort. Les cartes de crédit ont cessé de fonctionner. Les distributeurs automatiques de billets étaient hors service. Toutes les communications se sont arrêtées. Le seul moyen de faire des transactions était en espèces, en argent, en or ou par troc. Les voitures électriques ne pouvaient pas être rechargées. Les serrures des portes se sont grippées. Vous ne pouviez pas accéder à votre banque. Internet a disparu en un éclair. En bref, tout le 21e siècle a disparu en un instant.
RépondreSupprimerLa seule façon de sortir de ce pétrin était d’utiliser des technologies obsolètes. Essence. Générateurs. Allumettes et bougies. Combustion interne. Radios à manivelle. Argent liquide. Livres sur papier. Cartes en papier. Thermomètres. Couvertures. Bois de chauffage. En fin de compte, la survie dépendait des objets et des compétences analogiques. Malgré toutes les méthodes par lesquelles nous avons essayé de réinventer le monde d’une manière qui ne dépend pas des « combustibles fossiles », du savoir-faire et de l’huile de coude, le retour en arrière ne cesse de se produire.
Vous vous souvenez de la crise du COVID, quand tout le monde est soudainement devenu obsédé par tout ce qui est « sans contact » ? Rien de tout cela n’avait de sens, car le virus ne se propageait pas sur les surfaces, et nous l’avons découvert assez tôt. Mais le sans contact a quand même continué, et lorsque les restaurants ont rouvert, les gens ont dû scanner un code pour accéder à une liste de choses à commander.
Les clients ont détesté ça et maintenant la plupart des établissements sont revenus aux menus physiques. Nous allons au restaurant pour nous éloigner de tout ce qui est numérique, pas pour nous y retrouver à nouveau plongés.
Il y a quelque chose de profondément faux dans l’attitude selon laquelle toucher les choses est répugnant et indigne de nous. Cela suggère une réticence à utiliser les mains que Dieu nous a données pour améliorer le monde. Sur le plan théologique, cela suggère un dégoût de l’incarnation : pourquoi Dieu se ferait-il homme s’il voulait être « sans contact » ? Cela suggère même un dégoût sectaire du monde physique lui-même.
Heureusement, le mot « sans contact » semble avoir perdu son sens. Malgré tout, le mot lui-même révèle une eschatologie dangereusement millénariste, la croyance que l’histoire se dirige d’une manière ou d’une autre vers une évasion totale du monde physique et de toutes ses limites, y compris la nécessité de travailler et l’inévitabilité de la mortalité. C’est une pure illusion. Une catastrophe le prouve.
RépondreSupprimerLe gouvernement organise depuis des décennies des exercices sur table dans l’idée de se préparer à des pannes de réseau à grande échelle en cas d’événement météorologique majeur ou de cyberattaque. Je peux prédire avec une certitude absolue que quels que soient les plans mis en place, aucun ne fonctionnera. Comme le suggère notre expérience avec Helene, en cas d’urgence, le gouvernement peut ne pas être votre ami mais plutôt un obstacle, voire un obstacle dangereux.
Mon ami Mark Hendrickson a vécu l’une des pires périodes de l’ouragan. Il écrit : « Je n’avais jamais été privé d’électricité pendant une période aussi longue auparavant, et cette expérience a clairement mis en évidence quelque chose que je connaissais intellectuellement, comme une théorie abstraite, mais que je ressentais désormais à un niveau profond et viscéral : à quel point notre société dépend totalement de l’électricité. »
Cela signifiait pour lui une remise en question fondamentale de tout.
« Assis à la maison pendant la majeure partie de la panne de courant, le temps semblait ralentir. J’avais l’impression que toutes les quelques minutes, j’avais envie d’allumer la télévision pour voir comment se déroulait le nettoyage après la tempête, mais – oups – pas de télévision. Ou bien je voulais aller sur Internet et voir quelles équipes avaient gagné des compétitions sportives, ce qui se passait dans le monde, ou même quelque chose d’aussi trivial que de vérifier mon solde bancaire actuel en y ajoutant le paiement des intérêts de fin de mois. Oups – pas d’Internet. »
« J’ai pensé à mes chers amis et voisins Amish lorsque je vivais en Pennsylvanie. Nos soirées tranquilles à la chandelle à la maison pendant la panne de courant ont maintenant reflété leurs soirées. Sans la myriade de distractions que les appareils électroniques offrent, il y a plus de temps pour lire tranquillement ou pour interagir directement avec les gens. Dans une société de plus en plus atomisée, une connexion plus personnelle semble attrayante. Hmmm… peut-être que maintenant que le courant est revenu, je devrais choisir un soir par semaine pour abandonner le monde électronique. »
Les scénarios ci-dessus dépendent tous de la survenue d’une catastrophe. Il se peut qu’elle ne se produise pas. La véritable raison pour laquelle nous pourrions tomber en crise est une simple question d’inflation. L’utilisation pourrait devenir trop coûteuse et le coût de recharge des voitures ou de maintien des lumières allumées pourrait être trop élevé. J’ai déjà des amis dont les factures d’électricité sont plus élevées que leurs hypothèques d’il y a 10 ans. D’une manière ou d’une autre, les gens n’y pensent pas lorsqu’ils achètent la surface maximale. Avez-vous 15 000 $ de plus pour le chauffer et le refroidir ?
RépondreSupprimerLa plupart des maisons d’aujourd’hui, et certainement la plupart des complexes de bureaux, sont conçues pour nécessiter un refroidissement et un chauffage intérieurs à l’électricité. Nous n’utilisons plus de chaudières à gaz ni de brises transversales. Les cheminées ne sont que des vanités nostalgiques.
Lorsque toutes ces constructions ont duré des décennies, presque personne n’a même envisagé les imprévus. Nous avons construit comme s’il n’y avait aucune éventualité à laquelle nous préparer.
Il y a un autre facteur : le rationnement forcé de l’électricité par le gouvernement. La dépendance au réseau, les voitures électriques connectées à Internet et les objets contrôlés par des applications sont tous très facilement contrôlés par un tiers. Mais vous dites : ces entreprises sont toutes privées et ignoreront sûrement les décrets du gouvernement. Nous savons maintenant que ce n’est pas le cas. Les entreprises privées deviennent des bras de l’État dans les bonnes conditions. Elles se conformeront volontiers pour que les chèques de paie continuent à rentrer et à sortir.
Les personnes qui ont dû faire face au pire de l’ouragan ont dû faire face à l’état de la nature, sans tout le confort que nous avons appris à considérer comme acquis. Pour ma part, cela m’a amené à reconsidérer certaines choses. Garder une réserve d’argent liquide est une bonne idée. Quelques sacs de pièces de dix cents en argent sont également essentiels. Il est conseillé d’avoir beaucoup de couvertures.
La meilleure façon de se préparer est d’avoir un solide réseau d’amis. Au final, les liens humains se révéleront plus durables que le réseau électrique.
https://www.zerohedge.com/energy/when-electricity-dies
Périphérique à 50km/h : Un député LR ouvre une pétition pour revenir sur cette décision
RépondreSupprimerFrance-Soir
le 11 octobre 2024 - 19:15
Moteurs, et... action ! C'est un nouvel épisode de la série sur le périphérique parisien qui a démarré hier. S'il est officiellement passé à 50km/h ce jeudi 10 octobre, par la volonté arbitraire d'Anne Hidalgo, élus et associations mettent les gaz pour que cette décision qu'ils jugent injustifiée soit annulée.
Vincent Jeanbrun, député de la Droite Républicaine (LR derrière Eric Ciotti), a annoncé sur X avoir déposé une proposition de loi pour défendre les intérêts des travailleurs franciliens. Il justifie cette initiative en soulignant que "le périphérique est un axe d'intérêt régional", notamment car "plus de 40% des trajets sont effectués de banlieue à banlieues et près de 80% des utilisateurs du périphérique ne sont pas Parisiens". Selon lui, il faut remettre le périphérique entre les mains de la région pour retrouver "une gouvernance régionale unifiée".
🔴 Rendons le #périphérique aux Franciliens !
✍️ Je dépose aujourd'hui une proposition de loi !
➡️ La décision unilatérale d'Anne #Hidalgo de réduire la vitesse à 50kmh est inacceptable. Elle pénalise avant tout les travailleurs. Je veux les défendre. ⤵️ #TransportsIDF pic.twitter.com/9Ui6BQNej6
— Vincent Jeanbrun (@VincentJeanbrun) October 10, 2024
Sur ce point, comme le rapporte Le Parisien, il est rejoint par l’Association des maires franciliens (AMF), qui remet purement et simplement en cause la légalité de la décision prise par la maire de Paris. Si les maires ont bien le droit de prendre des mesures de police sur les voies publiques, "le boulevard périphérique parisien est une route à grande circulation, classée comme telle par le décret n° 2009-615 du 3 juin 2009, relevant donc aussi des compétences de l’État, par l’intermédiaire du préfet de police". En d'autres termes, le seul zèle du parti socialiste représenté par Anne Hidalgo ne devrait pas suffire à transformer ainsi la rocade.
D'autant qu'il y a possiblement des solutions plus efficaces et moins restrictives pour protéger les Parisiens du périphérique. La région Île-de-France, qui s'était déjà opposée à cette réduction de la vitesse maximale autorisée, avait proposé de financer à moitié l'installation d'enrobés phoniques neufs. Pour l'instant, la maire de Paris ne veut rien entendre, mais peut-être que la pétition lancée par Vincent Jeanbrun pourra accélérer les choses.
https://www.francesoir.fr/politique-france/peripherique-50kmh-un-depute-lr-ouvre-une-petition-pour-revenir-sur-cette-decision
La fluidité du trafic dépend de la vitesse de déplacement. En dessous un certain seuil: çà bouchonne. Part exemple 80 ou pire 50, car pour ajouter de la pollution atmosphérique rien de tel qu'une voiture qui passe une heure au lieu de 10 mn pour traverser une ville !
SupprimerLes 'autorités' (HAHAHAHA !) n'en ont rien à foutre des commentaires, des explications scientifiques ou des relevés de l'examen de la 'qualité de l'air' ! HAHAHAHA !
Plus çà pollue plus il y a de morts. C'est l'objectif.
Pannier lâche sa nouvelle connerie du siècle : » »Ceux qui achètent des SUV Essence ou Diesel, cela a un impact […] L’impact, c’est les gens sous les inondations »
RépondreSupprimerle 11 octobre 2024
par pgibertie
Mme Runacher n’est elle pas la fille de l’ancien dirigeant de Perenco N°2 des énergies fossiles en France? On pourrait la taxer pour avoir vécu sur les revenues du carbone et avoir inondées les gens. Pollueur Payeur
Amusant quand on sait que la voiture de fonction du ministre de l’écologie est un bon gros Renault Espace de 200 chevaux… Mais c’est le contribuable qui paye Un puissant puretech de 200ch, qui fait le 0 à 100 en 13,8 secondes, à changer tous les 50000km si l’entretien a été bien fait.
- voir docs sur site :
https://pgibertie.com/2024/10/11/pannier-lache-sa-nouvelle-connerie-du-siecle-ceux-qui-achetent-des-suv-essence-ou-diesel-cela-a-un-impact-limpact-cest-les-gens-sous-les-inondations/
Catastrophe ! Des oiseaux ont disparu, et disparaîtront... la rationalité scientifique aussi !
RépondreSupprimer12 Octobre 2024
Selon une brochette de 22 chercheurs, 610 espèces d'oiseaux auraient disparu depuis le Pléistocène supérieur du fait de la main de l'Homme, et plus de 1.000 devraient disparaître au cours des deux prochains siècles avec des conséquences catastrophiques.
Quelle extraordinaire acuité visuelle, tant vers le passé que vers l'avenir !
Mediapart s'est jeté goulûment sur une « information » :
« 92 % des extinctions d'oiseaux ont été provoquées par les humains, révèle une nouvelle étude scientifique.
Les chercheurs estiment que 3 milliards d’années d’évolution ont été anéanties par les humains... »
Faisons une courte incidente : parmi les commentaires, il y a : « Oui mais c’est la @fnsea qui a raison. #ouPas » et « Mais il reste toujours des africains ». Sans commentaire désobligeant... Mais il y a aussi ceci : « Et les poules ? Il y en a des milliards maintenant. Jamais elles ne nous remercieront assez du bien que nous leur faisons. »
L'article de Mediapart, « La vague d’extinctions frappant les oiseaux fragilise toute la biosphère » est derrière un péage.
En chapô :
« Une étude internationale parue jeudi dans la revue "Science" documente avec une précision inédite l’ampleur et les conséquences des extinctions d’oiseaux imputables aux humains, et les effets en cascade sur les autres espèces. »
Les résumés
RépondreSupprimerL'article de Thomas J. Matthews et al., « The global loss of avian functional and phylogenetic diversity from anthropogenic extinctions » (la perte globale de la diversité fonctionnelle et phylogénétique des oiseaux due aux extinctions anthropogéniques) est aussi derrière un péage. Mais nous disposons de deux résumés.
« Résumé de l'éditeur
Les activités humaines sont l'une des principales causes d'extinction des espèces, directement ou indirectement, depuis des millénaires. Matthews et al. ont étudié l'impact des extinctions sur la diversité mondiale des oiseaux, en particulier sur leurs caractéristiques et leur histoire évolutive (voir la perspective de Kemp). Environ 5 % des espèces d'oiseaux connues se sont éteintes au cours des 130.000 dernières années, et ces espèces sont plus distinctes en termes de caractéristiques et de lignées que ce que l'on pourrait attendre du hasard, en particulier celles qui se sont éteintes avant 1500 de notre ère. C'est sur les îles que la perte de diversité des espèces, fonctionnelle et phylogénétique est la plus importante. Les extinctions futures prévues devraient avoir des effets encore plus graves sur la diversité fonctionnelle et phylogénétique des oiseaux, ce qui souligne la nécessité de déployer des efforts de conservation, en particulier sur les îles. – Bianca Lopez
Résumé
Depuis des millénaires, l'homme est à l'origine d'une érosion globale de la richesse spécifique, mais les conséquences des extinctions passées sur d'autres dimensions de la biodiversité – la diversité fonctionnelle et phylogénétique – sont mal comprises. Dans ce travail, nous montrons que, depuis le Pléistocène supérieur, l'extinction de 610 espèces d'oiseaux a entraîné une perte disproportionnée de l'espace fonctionnel aviaire mondial, ainsi que de ~3 milliards d'années d'histoire évolutive unique. Pour les espèces endémiques des îles, les pertes proportionnelles ont été encore plus importantes. Les extinctions futures prévues de plus de 1.000 espèces au cours des deux prochains siècles entraîneront d'autres réductions substantielles de la diversité fonctionnelle et phylogénétique. Ces résultats mettent en évidence les graves conséquences de la crise actuelle de la biodiversité et la nécessité urgente d'identifier les fonctions écologiques perdues à cause de l'extinction. »
De la science d'opinion ?
L'article étant derrière un péage, on se doit d'être prudent dans l'analyse.
Néanmoins, que signifie « une perte disproportionnée de l'espace fonctionnel aviaire mondial » s'agissant de 610 espèces depuis le Pléistocène supérieur (qui a débuté il y quelque 126 mille ans) ? Est-elle vraiment le fait de la main de l'Homme comme le laissent entendre les résumés ? Et quelles sont les preuves ?
Nous aurions perdu « ~3 milliards d'années d'histoire évolutive unique », mais les oiseaux sont apparus au Jurassique (-201 à -145 millions d'années)...
Cette équipe de chercheurs annonce aussi une perte prévue de « plus de 1.000 espèces », avec de graves conséquences, au cours des deux prochains siècles ! Qui dit mieux ?
RépondreSupprimerL'Université de Birmingham a produit un communiqué de presse tout aussi alarmiste... et troublant. En voici un extrait, une citation de M. Tom Matthews :
« Nos résultats soulignent l'urgence de comprendre et de prévoir les impacts des extinctions anthropiques passées sur la fonction des écosystèmes afin de se préparer à l'ampleur de la perte future attendue des 1.000 espèces d'oiseaux qui devraient s'éteindre complètement au cours des deux prochains siècles. »
Cela n'a manifestement aucun sens !
Le pire, à notre avis, c'est que la revue Science ait trouvé opportun de produire un résumé de l'éditeur, signalant ainsi l'importance qu'elle accorde à cet article. Passe-t-elle aussi du côté obscur de la science ?
L'Apocalypse est annoncée
Les prédictions de l'Apocalypse étant, médiatiquement, de bonnes nouvelles, ces élucubrations ont trouvé un chemin vers les médias.
Citons dans les média anglophones The Talker, via MSN, « Human caused bird extinctions erase 3 billion years of evolution » (les extinctions d'oiseaux causées par l'homme effacent 3 milliards d'années d'évolution).
Jusqu'où la catastrophe peut-elle aller ?
« Selon l'équipe, la réduction du nombre d'espèces aviaires dans le monde, documentée par la recherche, affectera probablement aussi la capacité de nombreuses espèces végétales à faire face au changement climatique actuel et futur. »
On se fera grâce du reste...
https://seppi.over-blog.com/2024/10/catastrophe-des-oiseaux-ont-disparu-et-disparaitront.la-rationalite-scientifique-aussi.html
Disparition aussi de l'aigletoutchaudron qui pesait plus de 4 tonnes et 154 m d'envergure d'ailes. Il aurait bouffé des mammouths qui pétaient et qui les auraient fait disparaître !
SupprimerLe droit international n'existe pas
RépondreSupprimer12 octobre 2024
par Assoc. Professeur Lorenzo Maria Pacini
Combien de temps encore laisserons-nous les États-Unis et leurs vassaux dicter les règles selon lesquelles nous jugeons le monde ?
Il y a l’histoire d’un professeur d’université qui a dit à ses étudiants lors de la première conférence sur le droit international : « Le droit international n’existe pas ! » Les étudiants étaient très confus : certains restèrent silencieux pendant plusieurs minutes, d'autres commencèrent à parler doucement et à commenter ses paroles, et certains quittèrent le cours en pensant que le professeur était fou. Une fille a levé la main et a demandé : « Professeur, que voulez-vous dire ? C'est une conférence sur le droit international et vous êtes un expert dans ce domaine, il est évident que le droit international existe. » Le professeur répéta avec plus de sérieux : « Le droit international n'existe pas ! » Et avec cette prémisse il commença le cours et expliqua en détail le sens de ces paroles très fortes mais tout aussi justifiées.
Comment nous sommes arrivés là où nous en sommes maintenant
Commençons par le début, avec une explication nécessaire à la clarification.
Le droit international est défini comme le système de normes et de principes qui régissent les relations entre les États et les autres acteurs internationaux.
La paix de Westphalie de 1648 a créé un ordre mondial basé sur la construction progressive de l’État moderne, et c’est à partir de ce moment-là qu’on a commencé à parler de la première « communauté internationale ». Compte tenu de la structure d'une telle communauté, supposée de valeur égale, le droit international se caractérise par le fait que les fonctions de génération de normes, de détermination et d'application coercitive sont exercées par les sujets eux-mêmes ou par des organismes supranationaux préparés selon un modèle de décentralisation fonctionnelle. De cette manière, le droit international constitue un ordre distinct des systèmes juridiques des États individuels.
Il est cependant nécessaire de mieux comprendre ce que l’on appelle « l’ordre mondial ».
L’ordre mondial fait référence à la répartition internationale du pouvoir et de la légitimité qui façonne le système de comportement des États et des acteurs non étatiques de telle manière que l’ordre triomphe du chaos. Par conséquent, le thème de l’ordre mondial doit aborder les théories sociologiques sur la nature humaine, les systèmes économiques et les systèmes politiques.
Après l’effondrement de l’Empire romain et la propagation du pouvoir à travers l’Europe, la paix de Westphalie de 1648 a établi la souveraineté de l’État et l’équilibre des pouvoirs comme principaux piliers de l’ordre. Cet ordre repose sur l’obligation mutuelle d’équilibrer conjointement les efforts expansionnistes et hégémoniques afin de maintenir l’équilibre des pouvoirs. Les idéaux universalistes doivent être rejetés dans la mesure où ils contribuent à promouvoir les inégalités et à justifier l’expansionnisme.
Le système international westphalien se caractérise par l’anarchie internationale, puisque l’État est le souverain suprême et que chaque État est en constante compétition pour le pouvoir et la survie, dans la mesure où le renforcement de la sécurité peut conduire à l’insécurité des autres. Au fil des siècles, il y a eu des aspirations idéalistes visant à surmonter l’anarchie internationale grâce à des valeurs universelles et à une répartition hégémonique du pouvoir visant à renverser l’ensemble de l’ordre westphalien. Tout cela a conduit à une série de tentatives alternées pour imposer un universalisme qui apporterait une paix, une prospérité et un progrès relatifs, ce que nous appelions en philosophie politique Pax , du mot latin pour « paix », et nous avons eu la Pax Romana , la Pax Britannica. , la Pax Americana , etc.
RépondreSupprimerAprès la guerre froide, les États-Unis sont devenus l’hégémon mondial en termes de puissance militaire, économique, culturelle et politique. L’ordre mondial westphalien moderne, fondé sur un équilibre des pouvoirs entre souverains égaux, a ainsi été remis en question par sa prétention à l’hégémonie et aux valeurs libérales-démocratiques universelles. L’hégémonie libérale exigeait et tentait de légitimer l’inégalité souveraine en révisant l’ancien ordre international en accordant une souveraineté aux États civilisés et une souveraineté limitée aux États « non civilisés ». Souveraineté totale pour l’Occident libéral et souveraineté limitée pour les autres.
Au départ, il y avait de grandes raisons d’être optimiste quant au fait que la croyance dans les valeurs universelles du libre marché, de la démocratie et de la société civile mondiale créerait un ordre mondial entièrement nouveau et bienveillant. Le mur de Berlin est tombé, le communisme a été abandonné en Europe de l'Est, les anciens rivaux, la Russie et la Chine, ont donné la priorité à l'amitié avec les États-Unis et l'Occident en général dans leur politique étrangère, l'UE a assumé un rôle socialisateur en accordant son adhésion aux réformes démocratiques libérales, les pays arabes Le printemps a semblé réformer les gouvernements autoritaires au Moyen-Orient, l'expansion de l'OTAN a apporté un sentiment de sécurité aux États qui vivaient sous la domination de Moscou pendant des décennies, et l'essor économique de la Chine a sorti des centaines de millions de personnes de la pauvreté et a fait progresser l'économie mondiale. et les processus de mondialisation semblent rapprocher le monde.
On pensait que la mondialisation sous le régime de la Pax Americana ouvrirait la voie à une nouvelle ère de stabilité et de prospérité. On pourrait parler d’un ordre mondial fondé sur l’hégémonie libérale et dans lequel les valeurs démocratiques libérales se propageraient sous la direction apparemment bienveillante des États-Unis.
Puis quelque chose s'est mal passé
RépondreSupprimerL’hypothèse d’une hégémonie mondiale bienveillante selon laquelle le libéralisme économique et politique était une solution miracle pour vaincre la politique de puissance s’est avérée être une illusion libérale alimentée par l’orgueil.
De nouvelles géométries internationales se sont établies. L’expansion de l’OTAN a, comme on pouvait s’y attendre, accru les tensions avec la Russie, car Moscou la percevait à juste titre comme une menace existentielle, tandis que la facile ascension économique de la Chine devenait un défi à la suprématie mondiale des États-Unis. La mondialisation en tant que processus néolibéral orienté vers l’Occident n’est plus durable, comme l’a montré à maintes reprises la crise boursière américaine. Les excès du libéralisme sont désormais rejetés à l’intérieur et à l’extérieur de l’Occident, conduisant à une polarisation au sein des sociétés et du système international.
Dans tout cela, le droit international a toujours été vu comme une sorte de « garantie » sur les parties qui peut être invoquée sans discernement, comme une sorte de puissance neutre qui peut régler les différends… ou œuvrer en faveur du plus fort.
Ipso facto, le droit international est devenu le droit des Nations Unies au XXe siècle, l’ONU étant une entité macroscopique capable d’affirmer sa domination. Mais cet avantage hiérarchique n'a pas fait l'objet d'un débat démocratique, encore moins d'une confrontation entre les différents acteurs du monde : il s'agissait d'une décision arbitraire et unilatérale, celle des États-Unis d'Amérique, qui ont bénéficié de l'avantage de la victoire dans la Seconde Guerre mondiale. La Guerre mondiale et son hégémonie à la fois militairement, culturellement, politiquement et surtout économiquement en élargissant le dollar comme monnaie de référence mondiale.
Une décision consciente ? Peut-être. Un coup de chance dans l'Histoire ? Tout aussi probable. Ce que l’on peut objectivement déterminer, c’est que nous avons aujourd’hui un droit international à l’américaine, avec des organismes transnationaux chargés de diverses tâches et qui rendent tous compte à la principale organisation basée à New York. Même les différentes institutions et tribunaux internationaux européens dépendent de Lady USA.
Et nous arrivons au présent
RépondreSupprimerDe là, il est facile de comprendre pourquoi nous sommes aujourd’hui confrontés à une crise du droit international et à un problème évident de confiance dans ses soi-disant institutions.
La transition vers un droit international multipolaire est tout aussi compliquée (nous y reviendrons dans un article ultérieur).
Ce sont les événements eux-mêmes qui ont fait perdre confiance aux gens dans cette branche du droit. Parce qu’il ne reste que très peu de « loi ». Au Kosovo, l'OTAN a été autorisée à faire ce qu'elle voulait, violant la souveraineté territoriale de la Serbie et créant « l'État » fantoche du Kosovo ; les États-Unis peuvent « exporter la démocratie » avec des bombes en attaquant au Moyen-Orient quand ils le souhaitent parce que c’est au nom de la « civilisation ». « Les droits humains existaient en Ukraine jusqu'il y a quelques années, lorsque le régime de Kiev a été jugé pour trafic d'enfants et coup d'État fratricide ; puis lorsque le nouveau « méchant » a été trouvé, ces droits ont disparu comme par magie et la perspective s'est inversée ; Netanyahu peut en toute sécurité passer un appel téléphonique depuis le siège de l’ONU, ordonner un bombardement massif d’une ville d’un pays et déclarer la guerre sans que rien ne lui arrive, bien qu’il soit partisan d’un génocide mené de manière imprudente depuis plus d’un an. Cette « nouvelle normalité » macabre et sombre est un antidote aux mensonges du droit international – ou du moins à la manière dont il est raconté et pratiqué depuis un siècle.
Les Nations Unies et l'OTAN sont deux institutions américaines ; ils possèdent la matrice. Un droit bénéfique à l’humanité ne peut pas émerger d’une matrice pourrie et corrompue. Ils ont promu la rédaction de documents et de traités internationaux, qu'ils ont ensuite présentés au monde entier, proposant leurs propres valeurs et règles comme valables pour tous, et si un pays n'acceptait pas ces règles, il y devenait des violations, une incivilisation et accusé de cruauté. Un détail plutôt amusant est que bon nombre des documents juridiques internationaux créés par les dirigeants américains n’ont jamais été ratifiés par les gouvernements américains. Cela souligne une fois de plus le paradoxe du pouvoir.
Le professeur avait-il raison ?
RépondreSupprimerPour construire sur l’histoire que nous avons racontée au début – un fait qui s’est réellement produit – nous devons répondre à la question : existe-t-il un droit international ?
Si nous parlons de la définition académique, oui, elle existe ; nous sommes pleins de manuels, de contrats, de déclarations et de résolutions. Il existe certainement suffisamment de matériel produit pour pouvoir parler de « droit », au moins en termes bureaucratiques.
Cependant, si nous parlons de ce qu'est réellement le droit et de ce qu'il devrait faire en tant qu'outil dans la vie d'une société , alors le professeur avait raison. Il n'y a pas de droit international : il y a le droit des Nations Unies, il y a ce qui a été hégémonisé et répandu au cours du siècle dernier, selon un ordre mondial qui a rendu son dernier souffle et n'a donc plus aucune valeur, plus aucune valeur. l’efficacité n’est plus crédible. Nous devons accepter ce fait, aussi désagréable soit-il, avec honnêteté intellectuelle.
De nouveaux centres de pouvoir sont apparus qui jettent les bases d’un système multipolaire, certains fondés sur les principes du système westphalien et en tout cas en continuité avec celui-ci, d’autres fondés sur des prémisses différentes. Ce qui est certain, c’est que l’ordre mondial émergent rejette la mondialisation orientée vers l’Occident, dans le sens de la domination des puissances maritimes, du libéralisme économique et politique et d’une société civile mondiale libérale. L’Occident ne peut plus dicter les conditions d’acceptation des États en tant que membres à part entière de la communauté des États souverains. La répartition internationale du pouvoir, les idéaux, les règles et la nature de la diplomatie sont en train de se réorganiser.
Cette réflexion provocatrice doit conduire à une action décisive. Combien de temps encore allons-nous permettre aux États-Unis et à leurs vassaux de dicter les règles selon lesquelles nous jugeons le monde ?
Car le droit, quel qu’il soit, est une question de justice.
L' article a été publié pour la première fois dans Strategic Culture . Traduction TKP avec l'aimable autorisation de l'auteur.
Les opinions exprimées dans cet article ne reflètent pas nécessairement les opinions des auteurs fixes de TKP. Les droits et la responsabilité du contenu incombent à l'auteur.
Lorenzo Maria Pacini, Assoc. Professeur de Philosophie Politique et Géopolitique, UniDolomiti de Belluno. Il est consultant en analyse stratégique, renseignement et relations internationales.
https://tkp.at/2024/10/12/internationales-recht-existiert-nicht/
Combattre les sous-marins avec des panneaux solaires ? : L’ancien chef d’état-major de la Défense a plus peur du mauvais temps que de la Chine
RépondreSupprimerPar Jo Nova
October 12th, 2024
Peut-être est-ce une chance que l’Australie n’ait pas eu à mener une guerre lorsque Chris Barrie était le chef des forces de défense australiennes.
L’amiral Barrie dit que « les menaces de sécurité dues au changement climatique éclipsent celles posées par la Chine ». Apparemment, le pays de la sécheresse, des incendies et des inondations sera submergé par une élévation annuelle du niveau de la mer d’un millimètre. Ce qui l’effraie vraiment, ce ne sont pas les sous-marins, les drones, les programmes de propagande, les espions intégrés ou les missiles hypersoniques, ce qui l’effraie vraiment, c’est un réchauffement d’un demi-degré.
Ainsi, cinq ou six militaires à la retraite appellent à une « mobilisation d’urgence » et à une autre bureaucratie gouvernementale – un bureau dédié au renseignement sur les menaces climatiques – qui, s’il était intelligent, ferait ce qu’aucun gouvernement n’a jamais fait, et vérifierait les modèles climatiques de l’ONU. Ils découvriraient que les modèles échouent en ce qui concerne l’humidité, la sécheresse, la pluie, les nuages, la haute troposphère, l’Antarctique, la banquise, le court terme, le long terme, les courants océaniques et pratiquement tout le reste.
Ils veulent également une sorte de « système d’alerte précoce » – au cas où les cyclones se mettraient en mode furtif, peut-être ?
On ne sait jamais quand une tempête tropicale va nous surprendre. Surtout si un gouvernement hostile a anéanti vos satellites, ou fait planter votre réseau avec des puces piégées dans des panneaux solaires, ou a paralysé une ville avec une mise à jour de véhicule électrique.
Le groupe de leaders australiens de la sécurité sur le climat appelle à une refonte de la stratégie de préparation aux menaces climatiques du gouvernement fédéral
Par le journaliste des affaires étrangères Stephen Dziedzic, ABC (Where else ?)
Un groupe d’anciens dirigeants de la sécurité nationale affirme que le gouvernement fédéral doit revoir radicalement la façon dont il planifie les menaces climatiques, avertissant que l’Australie n’est absolument pas préparée à faire face aux risques en cascade et existentiels que le changement climatique présente pour la région et le monde.
Le nouveau rapport rédigé par l’Australian Security Leaders Climate Group (ASLCG), qui comprend l’ancien chef des forces armées australiennes Chris Barrie, affirme que le changement climatique représente une menace si grave pour la sécurité qu’il exige une « mobilisation d’urgence » en réponse.
RépondreSupprimer« Aujourd’hui, nous sommes confrontés à de nouveaux extrêmes climatiques inimaginables : sécheresses et inondations record, vagues de chaleur cruelles, feux de brousse inarrêtables, infrastructures détruites et inondations côtières. Le pire est à venir », peut-on lire dans le rapport.
Gagnez les guerres avec des éoliennes !
L’ASLCG affirme que le gouvernement fédéral doit réduire plus rapidement et plus nettement les émissions, tout en faisant pression sur les plus gros pollueurs pour qu’ils collaborent à la réduction de la pollution par le carbone.
La réponse à tout est sans aucun doute les panneaux solaires.
Ils demandent également au gouvernement de créer une nouvelle branche de renseignement sur les menaces climatiques et un système d’alerte précoce pour évaluer les impacts avec une « honnêteté brutale », tout en améliorant la planification des perturbations que le changement climatique entraînera.
Seigneur, aidez-nous, si nos bases militaires ne peuvent pas gérer une sécheresse surprise dans un continent de déserts, ou une inondation dans un pays de pluies de mousson, nous sommes déjà en difficulté.
L’amiral Barrie a déclaré que les dernières données scientifiques sur le climat montraient que de grandes parties du nord de l’Australie « pourraient devenir inhabitables d’ici 30 à 40 ans, menaçant les bases militaires, les communautés et l’économie.
Hypothétiquement, le président Xi serait heureux de déclarations comme celle-ci :
« Tous les milliards de ressources investis dans la lutte contre la Chine n’aideront pas d’un iota à faire face à la plus grande menace pour notre sécurité future en Australie et dans la région – et c’est le dérèglement climatique. »
Si le PCC avait financé un groupe visant à réduire la compétitivité industrielle australienne, notre capacité de défense et également à augmenter les prix de l’électricité, il pourrait présenter des arguments similaires à ceux de l’ASLCG. Je dis ça comme ça…
https://joannenova.com.au/2024/10/fight-submarines-with-solar-panels-former-defence-chief-more-afraid-of-bad-weather-than-china/
C'est avec ces commentaires pitoyables d'attardés mentaux irresponsables que l'on se rend compte à qui on a à faire !!
SupprimerDepuis DES millions d'années il y a DES milliards de km3 d'eaux (venus des pluies, des fleuves et des rivières) qui se sont déversés dans les mers et les océans sans... qu'elles ou ils ne montent !!! Çà alors !!
Une étude révèle que le PLASTIQUE NOIR dans les jouets et les contenants alimentaires contient des retardateurs de flamme TOXIQUES
RépondreSupprimer10/09/2024
Belle Carter
Une étude récemment publiée dans la revue Chemosphere a conclu que les jouets, les contenants pour plats à emporter, les ustensiles de cuisine et d'autres produits ménagers courants fabriqués à partir de plastique noir contiennent des niveaux élevés de retardateurs de flamme toxiques, a rapporté le Defender.
Les recherches menées par Toxic-Free Future et l'Institut d'Amsterdam pour la vie et l'environnement ont en outre mis en garde sur le lien entre les retardateurs de flamme et la cancérogénicité, les perturbations endocriniennes, la neurotoxicité et les troubles de la reproduction.
Selon l'article, la contamination commence par le recyclage inapproprié de produits électroniques comme les téléviseurs, dont les boîtiers sont en plastique noir. Lorsque lesdits boîtiers en plastique sont mélangés à d'autres plastiques lors du recyclage, les retardateurs de flamme se retrouvent dans le produit final. (Article connexe : Le recyclage du plastique est une ARNAQUE : les plastiques recyclés sont plus TOXIQUES que les nouveaux.)
Pendant que l'étude était menée, les chercheurs ont examiné 203 produits fabriqués à partir de plastiques noirs pour détecter la présence de brome, un produit chimique synthétique utilisé dans les retardateurs de flamme. Les résultats ont montré que des retardateurs de flamme toxiques étaient présents dans 85 % des produits analysés, avec des concentrations atteignant 22 800 milligrammes par kilogramme.
Les contaminants trouvés étaient du décabromodiphényléther, ou décaBDE, un composé couramment utilisé dans les boîtiers des appareils électroniques avant que l'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA) ne l'interdise en 2021. Un composé, le décabromodiphényléther, ou BDE-209, était couramment trouvé dans les ustensiles de cuisine en plastique de couleur noire à un niveau moyen de 34 700 nanogrammes par jour.
Une étude de 2014 publiée dans la revue Frontiers in Genetics a révélé que le BDE-209 avait des effets hautement cancérigènes sur les humains. Parmi les autres contaminants détectés, on trouve le composé 2,4,6-tribromophénol, qui a été détecté dans le lait maternel humain, selon une étude de 2023 publiée dans la revue Environmental Pollution.
« Les découvertes de retardateurs de flamme dans les jouets pour enfants sont particulièrement préoccupantes, car on a découvert que les retardateurs de flamme s'infiltrent des jouets dans la salive des enfants », a déclaré Megan Liu, responsable scientifique et politique de Toxic-Free Future.
RépondreSupprimer« Les retardateurs de flamme sont une classe de produits chimiques extrêmement dangereux, mais leur utilisation est toujours autorisée dans des produits comme l'électronique, et en raison du recyclage sale des déchets électroniques, nous voyons des retardateurs de flamme apparaître dans des produits inattendus, comme nos ustensiles de cuisine, nos articles de restauration et nos accessoires pour cheveux. »
Les experts appellent à une réglementation plus stricte contre les contaminants toxiques dans les plastiques
Diana Zuckerman, présidente du Centre national de recherche sur la santé, a appelé à un contrôle plus strict de la part des agences de santé américaines.
« La FDA et l'EPA [l'agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux] doivent examiner de près la sécurité de tous les produits en plastique utilisés dans les aliments, au lieu de se contenter des vagues assurances que les agences ont données », a déclaré Zuckerman.
Liu a déclaré au Defender qu'elle avait également exigé la nécessité de réglementations plus strictes sur les produits chimiques et les matériaux dangereux entrant dans le flux de recyclage.
« Ce dont nous avons besoin, c'est que notre gouvernement fédéral et de l'État, ainsi que les détaillants, interdisent ces produits chimiques et matériaux nocifs », a déclaré Liu. « Nous avons besoin d'un changement de politique et de marché pour accroître la transparence de ce qui est utilisé dans la chaîne d'approvisionnement, y compris pour les matériaux recyclés, ainsi que pour exiger l'utilisation de solutions plus sûres. »
Elle a noté que les résultats de l'étude ont été publiés « à un moment critique où les dirigeants du monde entier négocient un traité mondial sur les plastiques. »
Les négociations en cours pour ce traité interviennent deux ans après que l'Assemblée des Nations Unies pour l'environnement a adopté une résolution qui appelle à l'achèvement d'un traité international juridiquement contraignant d'ici la fin de 2024.
En attendant, Liu veut que les gens réduisent toute utilisation de plastique, notamment en remplaçant les ustensiles de cuisine en plastique par des options plus sûres, comme le bois ou l'acier inoxydable. Les récipients en plastique devraient être remplacés par des récipients en verre.
RépondreSupprimerVisitez Pollution.news pour lire des articles sur la façon dont les plastiques nuisent à l'environnement.
Regardez la vidéo ci-dessous qui explique comment les sacs en plastique réutilisables ne font que créer plus de déchets.
Cette vidéo provient de la chaîne Loves Greatness com sur Brighteon.com.
Autres articles connexes :
L'industrie du plastique savait que le recyclage ne fonctionnerait pas, et maintenant les déchets plastiques EMPOISONNENT la planète.
ÉTUDE : la consommation de plastique du New Jersey a presque TRIPLÉ après l'interdiction des sacs en plastique.
Les microplastiques dans la circulation sanguine sont liés à un risque 4,5 fois PLUS ÉLEVÉ d'accident vasculaire cérébral et de crise cardiaque, avertissent les chercheurs.
Étude : Les humains consomment plus de 1 000 particules de microplastique chaque année par le biais du SEL DE TABLE.
Les produits chimiques toxiques provenant des déchets plastiques migrent dans les aliments et nuisent aux sols, avertissent les experts.
Sources include:
ChildrensHealthDefense.org
MedicalXPress.com
Brighteon.com
https://www.naturalnews.com/2024-10-09-study-black-plastic-products-toxic-flame-retardants.html
Le discours du président du Conseil Orbán au Parlement européen suscite une vive controverse avec Leyen
RépondreSupprimer10 octobre 2024
par le Dr. Peter F. Mayer
Le Premier ministre Viktor Orbán a présenté mercredi une série de sujets pour la présidence hongroise du Conseil de l'UE au Parlement européen. Applaudissements, chahuts, échanges vifs et critiques parfois agressives ont accompagné sa présentation du programme de la présidence hongroise du Conseil.
Lors de sa conférence de presse de la veille, Orbán a abordé la question de la compétitivité et le débat en cours sur l'immigration clandestine. Il a proposé l'adoption d'un nouvel accord européen sur la concurrence, des sommets Schengen réguliers sur la migration et la protection des frontières, ainsi que l'adhésion complète de la Bulgarie et de la Roumanie à l'espace Schengen avant la fin de l'année. Orbán a demandé qu’à l’avenir les procédures d’asile soient menées dans des « hotspots » externes dans des pays extérieurs à l’UE et que les demandeurs ne soient plus autorisés à entrer au préalable. Il a fait campagne pour l'élargissement de l'UE aux pays des Balkans occidentaux. Le Premier ministre hongrois a défendu le maintien de la politique de cohésion, dans la mesure où trois citoyens sur quatre vivent dans des régions qui n'atteignent même pas la moitié du niveau de vie moyen.
« Je suis ici pour lancer un signal d’alarme aux présidents Draghi et Macron, car l’UE est confrontée à de nombreux et fatidiques défis », a commencé son discours Orbán. L’UE doit changer et la présidence hongroise veut être la voix et le catalyseur du changement. Il a souligné que les décisions nécessaires doivent être prises par les États membres et les institutions européennes.
L'Europe en retrait
Au cours des deux dernières décennies, la croissance économique de l'UE a été constamment plus lente que celle des États-Unis et de la Chine, la productivité de l'UE a augmenté plus lentement que celle de ses concurrents et sa part dans le commerce mondial est en déclin. L’UE n’est pas une destination attractive pour les investissements, car les entreprises sont confrontées à des prix de l’électricité deux à trois fois plus élevés qu’aux États-Unis, et les prix du gaz y sont quatre à cinq fois plus élevés. Selon Orbán, la transition verte à elle seule ne constitue pas une solution à ce problème. Les raisons de l’écart concurrentiel résident dans le manque de numérisation et dans le manque d’investissements dans la recherche et le développement.
« Je ne veux pas que vous pensiez qu’il existe une solution facile, car il est plus difficile de restaurer la capacité industrielle que de la maintenir », a prévenu Orbán. "Il ne faut pas croire que la transition verte offre à elle seule une solution au problème des prix de l'énergie." Le Premier ministre a souligné que la moitié des entreprises européennes considèrent les coûts de l'énergie comme le principal obstacle à l'investissement, alors que la production est énergivore. secteurs ont diminué de 10 à 15 %. Le Green Deal européen repose sur la création de nouveaux emplois verts. Cependant, l’esprit de l’initiative serait remis en question si la décarbonation entraînait une baisse de la production européenne et des pertes d’emplois. Orbán a souligné que l’un des exemples les plus flagrants du manque de planification européenne est celui de l’industrie automobile, où la politique climatique est mise en œuvre sans politique industrielle.
RépondreSupprimerLes mesures immédiates possibles comprennent la simplification de la législation, le soutien aux États membres dans l'élaboration de politiques respectueuses de l'environnement et la nécessité d'élargir les options commerciales.
Des critiques agressives étaient inévitables
La présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a vivement critiqué les déclarations d'Orbán et les mesures de son gouvernement et l'a accusé d'hypocrisie sur la question migratoire. Elle a affirmé que même si Budapest évoque la nécessité de contrôles plus stricts aux frontières, elle a libéré des centaines de passeurs au cours de l'année écoulée. La Hongrie a également prolongé les permis de séjour des citoyens russes et invité la police chinoise à patrouiller dans les rues du pays. Selon eux, le gouvernement hongrois s'éloigne de plus en plus du marché intérieur, harcèle les entreprises étrangères et impose des restrictions à l'exportation.
Le leader du PPE, Manfred Weber, a accusé Orbán de ne pas avoir dit un mot de soutien à l'Ukraine dans son discours. Il a une nouvelle fois critiqué la visite d'Orbán à Vladimir Poutine cet été. Le gouvernement hongrois collabore avec l'agresseur, a-t-il déclaré. Weber a prévenu le Premier ministre que lui et sa droite européenne ne parviendraient pas à diviser l'UE.
Iratxe García Pérez, leader des sociaux-démocrates, a accusé Orbán de pseudo-patriotisme et d'opinions d'extrême droite au lieu de valeurs européennes. Orbán attaque les principes de la démocratie, de la diversité et des droits de l’homme, soutient les oligarques avec des fonds européens et entretient des relations étroites avec Poutine.
Orbán mérite des éloges
RépondreSupprimerLe politicien allemand de l’AfD, René Aust, s’est exprimé au nom de la faction de droite Europe des nations souveraines (ESN). Aust a qualifié la position de la Hongrie sur la guerre en Ukraine de « tournée vers l'avenir » et l'a comparée aux « politiques ratées » de l'Europe. Orbán a également été le premier à s’exprimer contre l’immigration incontrôlée en 2015. Viktor Orbán et le peuple hongrois méritent des éloges. En matière de politique industrielle, de migration, de compétitivité et de démographie, l'ESN soutient les idées de la présidence hongroise.
Nicola Proccacini, coprésident du Groupe conservateur (ECR), a souscrit à plusieurs éléments du programme de Viktor Orbán, notamment la gestion des problèmes démographiques. Il a souligné que le déclin démographique ne devrait pas être combattu par l'immigration, mais par le soutien aux familles. La coopération avec les pays d’origine et de transit pour résoudre les problèmes migratoires est importante. Il a toutefois critiqué le gouvernement hongrois pour n’avoir pris aucune mesure contre l’alliance entre la Chine, la Russie, l’Iran et la Corée du Nord, qu’il a qualifiée de menace extérieure pour les valeurs occidentales.
Mandat d'arrêt demandé pour corruption
Les Verts ont montré leur compréhension de la démocratie en ne voulant même pas permettre au Premier ministre de s'exprimer au Parlement européen. Au cours du débat, le député allemand Terry Rientke a expressément regretté que cela se soit produit de toute façon. Viktor Orbán est un homme politique faible et motivé par la peur.
Daniel Freund, promu « expert de la Hongrie » par le Spiegel, a accusé Orbán et ses amis d’avoir volé 14 milliards d’euros de fonds européens. Ces fonds européens sont destinés au peuple hongrois et au système de santé. Les paiements vers la Hongrie devraient donc être interrompus et un mandat d'arrêt européen émis pour corruption.
RépondreSupprimerLa leader du groupe libéral (Renew), Valerie Hayer, a appelé Orbán à défendre l'indépendance du pouvoir judiciaire et une presse libre. La corruption est la base du régime Orbán. La Hongrie devrait donc être privée de son droit de vote au Conseil de l'UE.
Manque évident d'intérêt pour le programme
En réponse aux critiques, Orbán a déclaré qu'il aurait préféré débattre du programme de la présidence, qui n'intéressait manifestement pas les députés. « Leur propagande ne permet pas un débat significatif et impartial sur l’État de droit ou la corruption. »
Orbán a rejeté toutes les accusations de von der Leyen selon lesquelles il trahirait la politique commune de l'UE. «L'unité européenne ne signifie pas que tout le monde doit se taire. Je représente les intérêts du peuple hongrois. Cela n’est hostile à personne. C’est ce que font les patriotes. » La commission était autrefois un organisme neutre dont le travail consistait à mettre de côté les débats politiques et non à élaborer directement des politiques. Elle devrait agir en tant que gardienne des traités et maintenir sa neutralité.
Orbán a qualifié d'absurde le fait que « lors de la séance plénière du PE, nous devions écouter un discours sur l'État de droit de l'eurodéputé de gauche Ilaria Salis, un soi-disant militant d'Antifa qui a été arrêté à Budapest pour avoir pourchassé des personnes pacifiques avec du fer. bars, et qu'un député européen belge donnait une leçon à la Hongrie sur l'État de droit après l'interdiction d'une récente conférence sur l'État de droit à Bruxelles.
Sauver l’Europe de la destruction
Zsuzsanna Borvendég (Mi Hazánk) a accusé l'UE de punir la Hongrie et de ne pas payer les fonds européens dus au pays, de ne pas contribuer aux coûts de la protection des frontières et de boycotter le programme de la présidence hongroise du Conseil de l'UE, bien que cet important sujet ait été mis sur le devant de la scène. l'ordre du jour.
La crise migratoire et démographique pourrait conduire à la destruction de l’Europe, et la situation de l’industrie et de l’agriculture est critique. Mais les citoyens européens ont envoyé un message clair à l’UE lors des élections de cette année : ils ne veulent pas de migrations massives, d’écologisation suicidaire, d’idéologies de genre divergentes et de folie guerrière. Si l’UE se préoccupait davantage de l’avenir de l’Europe que des intérêts de l’élite financière mondiale, elle emprunterait la voie hongroise et sauverait l’Europe de la ruine.
https://tkp.at/2024/10/10/arede-das-ratsvorsitzenden-orban-im-eu-parlament-fuehrt-zu-scharfer-kontorverse-mit-leyen/
RépondreSupprimerDu lobby trans, en passant par le lobby trans, pour le lobby trans
Il s’agit probablement du plus grand déclin des droits des femmes dans l’histoire de l’Allemagne. Cela a été rendu possible grâce à la participation de presque toutes les associations de femmes. Il n’y a pas eu de résistance officielle. Le Conseil allemand des femmes, par exemple, souvent qualifié dans les cercles féministes de trahison allemande envers les femmes , est fermement du côté du lobby trans et salue le droit de tous les hommes d'entrer dans les espaces réservés aux femmes lorsqu'ils déclarent qu'ils sont des femmes.
Même lorsque la Rapporteuse spéciale des Nations Unies sur la violence contre les femmes et les filles, Reem Asalam, a écrit publiquement au ministre (féministe ?) des Affaires étrangères que cette loi d'autodétermination violait les droits humains des femmes et des filles en Allemagne, le Conseil des femmes a rédigé une déclaration commune. avec la Trans Federal Association : Cette discussion est une désinformation ciblée des cercles conservateurs antiféministes et de droite.
Le Conseil des Femmes. A donné un avis. Au représentant de l'ONU. La préoccupation concernant la violation des droits des femmes et des filles est : antiféministe. À l’exception d’Emma, la situation ne s’annonce guère mieux pour les autres associations de femmes. La plupart des gens auraient également du mal à nommer une action du ministre des Femmes et de la Famille qui soutient réellement les femmes ou les familles. Elle se fait désormais appeler « Ministre de la Société ». Les femmes ont perdu leur représentation d’intérêts, les associations trans en ont gagné une autre.
Dans ce vide, la nécessité d'un nouveau mouvement de femmes venant d'en bas apparaît désormais de toute évidence. Cela indique clairement ce qu’est une femme. Et défend constamment leurs droits et leur sécurité. L'une de ces nouvelles organisations est Women's Heroes.
De nouvelles impulsions d’Heroica
Ses deux membres du conseil d'administration, Eva Engelken et Susette Schubert, veulent utiliser Heroica pour créer un cadre large pour tous ceux qui s'engagent en faveur des droits des femmes, quel que soit leur spectre d'origine (d'accord, aucun membre de l'AfD n'était là. C'est ainsi que le spectre ne va pas large. Même la présence d'un représentant de l'Union des valeurs était difficile à avaler pour beaucoup). Néanmoins, poursuivre des objectifs communs, telle était la devise, et également nouer des alliances de convenance.
Alice Schwarzer a prononcé le discours d'ouverture et a également souligné les similitudes. Si vous avez une position différente sur la question de la paix ou autre, d’accord. Si vous deviez résumer son discours en une phrase, cela pourrait ressembler à ceci : Tant que nous nous unissons en matière de droits des femmes, nous devrions nous unir plutôt que les uns contre les autres. Elle a également évoqué le thème du plaisir dans la bonne humeur. Une conférence comme celle-ci doit être amusante pour que les gens aient envie de venir.
C'était définitivement prévu dans le programme. Après des conférences et des panels sur des sujets passionnants mais peu agréables comme la prostitution, l'islamisme ou le transactivisme, il y a eu des concerts les deux soirs puis une piste de danse féminine. À titre d'exemple de concert, Rebecca Fuchxx,
RépondreSupprimerAu total, 120 femmes sont venues à Erfurt pour passer trois jours à échanger des idées sur le thème des droits des femmes. La pièce était pleine à craquer. Le club prévoit de plus grands projets pour l’année prochaine. Ils ne manqueront probablement pas de popularité. La pression sur les droits des femmes augmente. De plus en plus de femmes sont confrontées aux conséquences concrètes du slogan « be nice ». On peut supposer que la contre-pression va augmenter.
À long terme, le problème sera probablement précisément la loi contre laquelle les héroïnes féminines se battent si âprement. Un événement organisé par des femmes pour des femmes est interdit en Allemagne à partir du 1er novembre – du moins s'il exclut les « femmes » productrices de sperme. Mais l’Héroïque est susceptible d’être une épine dans le pied de ceux-là. Et compte tenu de la loi, personne ne peut empêcher les militants trans d’affluer et de perturber une future conférence au nom de la tolérance. Les stratégies développées par les organisateurs à cet effet pourraient être passionnantes.
Le prochain événement prévu pour le 1er novembre est une manifestation contre la loi sur l'autodétermination à Berlin - par un autre groupe nouvellement fondé : Let-Women-Speak. Avec musique, fête et lecture de poésie par l'icône critique du genre Helen Joyce. Quelque chose semble bouger ici.
https://tkp.at/2024/10/10/widerstaendige-frauen-bewegt-sich-da-was/
Visite de la ville sportive de Winterberg – un reportage
RépondreSupprimer11 octobre 2024
par Jan Müller
La ville de Winterberg est située dans le Land allemand de Rhénanie du Nord-Westphalie, dans le massif idyllique du Hochsauerland. Il se concentre entièrement sur le tourisme et le sport. Elle a bien réussi jusqu’en 2020. Winterberg a ensuite été durement touché par les confinements liés au Corona. La ville a fait parler d'elle cette année parce que tous les grands parkings étaient fermés, ce qui a provoqué un chaos dans la circulation. Winterberg était la ville où les policiers chassaient les enfants en traîneau. Winterberg s’est apparemment remis des années Corona. Cependant, il est prévisible qu’à mesure que la Grande Réinitialisation se poursuive, le modèle économique de la ville s’effondre. Winterberg vit du tourisme de jour en voiture. Cependant, de moins en moins de personnes peuvent se permettre d’acquérir leur propre voiture. Les entreprises touristiques réagissent encore à cette situation en augmentant encore les prix. Cependant, ce qui fait que leurs offres deviennent de plus en plus exclusives. Il est clair qu’à un moment donné, cela ne sera plus possible.
La ville de Winterberg dans le Hochsauerland a été fondée en 1250 - c'est-à-dire pendant la période chaude médiévale - sur une large selle entre diverses montagnes à une altitude de 670 mètres. Avec le début du Petit Âge Glaciaire au début de l’ère moderne, l’agriculture n’était plus possible et les Winterbergers assuraient leur subsistance grâce au colportage. Ils vendaient principalement des faux et des faucilles fabriquées dans d'autres régions du Sauerland.
Quiconque recherche des trésors d’art anciens à Winterberg n’est pas au bon endroit. La ville fut entièrement incendiée en 1556, 1759 et 1791. Pratiquement aucune maison n'est plus ancienne que 1791. Après ce dernier incendie de la ville, la ville a été entièrement repensée. La vieille ville se compose de quatre larges rues allant d’ouest en est, les maisons étant plus éloignées les unes des autres. Une rue, la Marktstrasse, servait également de marché. L'église Jakobskirche, entièrement détruite, a été reconstruite dans le style gothique après 1791.
La plupart des maisons ont leurs pignons donnant sur la rue, même s'il n'existait probablement pas de réglementation de construction explicite. Ce sont pour la plupart des maisons à colombages. Cependant, les étages supérieurs sont revêtus d'ardoise et le rez-de-chaussée est enduit, ce qui leur donne l'aspect noir et blanc typique des maisons du Sauerland. Le paysage urbain de Winterberg est tout à fait unique en raison de ces particularités.
RépondreSupprimerIl y a aussi une place de marché à l'extrémité ouest de la vieille ville avec des maisons anciennes et nouvelles. C'est aujourd'hui le centre de Winterberg.
Depuis le XXe siècle, mais surtout depuis l'après-guerre, Winterberg vit du tourisme, notamment des sports d'hiver. Parce que la ville est encore relativement enneigée aujourd'hui. Certains hôtels et appartements de vacances ont une saison principalement hivernale. Mais ceux qui peuvent se permettre des vacances au ski se rendent généralement dans les Alpes dans ce but. Même en hiver, la ville est principalement visitée par les excursionnistes de la région de la Ruhr.
À Winterberg, il y a une école de ski et d'autres infrastructures d'un centre intermédiaire. La ville et ses nombreux quartiers périphériques comptent environ 12 000 habitants.
Dans la vieille ville, à circulation réduite, se trouvent de nombreux magasins proposant des produits de haute qualité : mode, vêtements de sport, valises, chaussures, montres et bijoux, électronique. Il existe également des magasins proposant des offres moins chères dans le centre commercial Neue Mitte.
Étonnamment, il n'y a pas de vitrines abandonnées ni de magasins vacants à Winterberg. Cela est certainement dû au fait que la ville est principalement visitée par des touristes fortunés. C’est peut-être aussi parce que de nombreux propriétaires sont propriétaires des commerces qui occupent le rez-de-chaussée de la maison. Même si ce n’est pas le cas, la structure de propriété de Winterberg risque d’être plutôt fragmentée. Cela signifie que les entreprises n’ont pas à générer les profits exorbitants des sociétés immobilières, qui appartiennent majoritairement à Blackrock.
La vieille ville de Winterberg est apparemment plus visitée par les touristes plus âgés. Pour vos besoins, il existe également une piscine à vagues et un hôtel bien-être dans le quartier d'Oversum.
Mais lorsque des familles avec enfants visitent Winterberg en dehors de la saison de ski, c'est avant tout à cause du mont aventure Kappe. Il s'agit d'une colline escarpée juste à l'extérieur avec d'excellentes vues sur le centre-ville.
Un immense parc sportif a été créé sur le Cap avec de nombreuses attractions, comme le bike park The Mother, une forêt Velcro, une piste de luge d'été, une flyline où l'on peut dévaler la montagne à une vitesse époustouflante en s'accrochant à une corde, une grande aventure aire de jeux et trampolines. Pour les adultes, il y a aussi un minigolf et le pont panoramique aventure. De là, vous avez une excellente vue sur Winterberg et les montagnes environnantes. Il existe également des possibilités d'escalade bien sécurisées pour les plus petits et un toboggan.
De nombreux itinéraires de VTT de différents niveaux de difficulté ont été créés, qui descendent tous en pente raide. Des sauts sont possibles à de nombreux endroits.
RépondreSupprimerDes restaurants et un snack assurent votre bien-être physique. Des nuitées sont possibles en auberge de jeunesse et en camping.
En hiver, le cap fait partie du domaine skiable de Winterberg.
De grandes places de parking sont disponibles, mais elles peuvent rapidement se remplir le week-end.
D'après mon observation, le bike park est l'attraction principale. Il est susceptible d'être visité par environ 80 % des visiteurs. Les autres offres, à l'exception du pont panoramique aventure, ne sont que modérément utilisées.
En principe, c’est une bonne chose, pourrait-on penser. De cette manière, les enfants, souvent accusés à juste titre de ne pas faire suffisamment d'exercice, découvrent de manière ludique la joie du sport et des jeux. C'est vrai aussi. Mais il y a deux limites.
Premièrement : la montagne d'aventure Kappe n'a été créée que dans les années 2000. Je pense que ce n'est pas une coïncidence. Parce que vous n'avez pas nécessairement besoin d'un parc à vélos pour descendre une montagne à vélo à grande vitesse. Nous l'avons fait quand nous étions enfants (7, 8 ans) dans les années 70 sans cela. Le départ s'est fait en lisière de forêt, puis nous sommes descendus sur des chemins de terre raides avec quelques virages. De petits sauts étaient possibles à un endroit particulièrement raide au niveau de la transition vers la route. Le débouché était une rue pavée du village où circulaient parfois des voitures. Tout cela sans aucun équipement de protection, juste un T-shirt, un short et des baskets en été. Bien sûr, il fallait pousser le vélo pour remonter la montagne si l'on voulait rouler à nouveau - contrairement au bike park avec ses télésièges.
Une fois, j'ai glissé dans un virage et je suis tombé à genoux. La blessure a dû être recousue. J'ai quand même continué après ça. Mes parents n'ont même pas pensé à nous interdire de faire quelque chose comme ça. D’une part, ils ne savaient probablement pas exactement ce que nous faisions. Ils avaient leurs propres soucis et problèmes parce qu’ils étaient occupés à construire une maison. D’un autre côté, nous devrions sortir le plus souvent possible et ne pas devenir des patates de canapé.
Cette description montre à quel point les temps ont changé aujourd’hui. Ce que nous faisions à l’époque serait non seulement strictement interdit par les parents d’aujourd’hui, mais la société le désapprouverait également. Une visite à l'Office de protection de la jeunesse serait probablement également envisageable si les parents permettaient à leurs enfants de se livrer à des activités aussi « dangereuses ».
Cela signifie que les enfants sont enfermés chez eux en raison de dangers présumés ou réels qui les guettent partout et qu'ils ne sont autorisés à participer à des activités qui étaient considérées comme allant de soi dans les années 1970 que dans des installations spéciales et sous la surveillance étroite d'adultes ; ce qui signifie qu'ils doivent également être payés très cher – au sens littéral du terme. Voir la deuxième objection.
Néanmoins, force est de constater que nos descentes improvisées dans les années 70 étaient loin d'offrir aujourd'hui la possibilité d'un bike park. Il n’y avait pas de VTT à l’époque, nous avions juste des vélos pour enfants normaux. À un moment donné, nous nous sommes lassés de parcourir constamment le même itinéraire et avons joué à quelque chose de différent. C'est là le revers de l'attitude des adultes de l'époque. Ils ne nous ont pas interdit de skier, mais ils ne nous ont pas particulièrement encouragés non plus. Nous ne pensions pas que ce que nous faisions était du sport. À l’époque, les seuls sports considérés comme sportifs étaient le football et la gymnastique, pratiqués dans le club sportif local.
Deuxièmement : les coûts. Un ticket journalier pour The Mother Bike Park coûte 43 euros pour un adulte, 30 euros pour les adolescents et 21,50 euros pour les enfants. Un billet d'une demi-journée coûte 34, 24 et 17 euros pour les groupes de personnes mentionnés ci-dessus. Si vous souhaitez louer un vélo, vous devez payer un supplément de 39 à 99 euros. La location des équipements de sécurité obligatoires coûte en supplément. Les cours à l'école de vélo au nom étrange Shred-Acad coûtent également 119 euros ou plus par personne pour les débutants.
RépondreSupprimerLes autres attractions sont tout aussi chères : escalade en forêt 24,50 euros par adulte, jeunes 20,50 euros, enfant 9,50 euros. Ligne mouche adulte 16,50 euros. Le pont panoramique aventure est encore relativement bon marché à 7 euros par adulte. Mais c’est aussi cher étant donné qu’il ne s’agit que d’une plate-forme panoramique.
Vous devez également d’abord vous rendre à Winterberg. Cela est désormais possible assez rapidement depuis la région de la Ruhr, où viennent la plupart des visiteurs, grâce à l'autoroute A46 de la vallée de la Ruhr. Le temps de trajet depuis Dortmund est d'une bonne heure ; pour les autres villes régionales, il n'est que légèrement plus long. Le train ne peut pas être utilisé pour des excursions d'une journée avec des temps de trajet pour le même itinéraire compris entre 3,5 et 8 heures. Cela signifie que pour une visite d'une journée à Winterberg, vous avez besoin d'une voiture, de préférence avec une remorque à vélo, afin de pouvoir emporter vos propres vélos.
Apparemment, la maximisation du profit est la priorité des opérateurs privés, tandis que les aspects sociaux ne jouent aucun rôle. Ils ont probablement calculé le montant maximum qu’ils peuvent collecter sans que les visiteurs ne manquent quelque chose. Comme les parkings à vélos ne sont pas si courants, c'est beaucoup.
Il est toutefois frappant de constater que les droits d’entrée aux sites culturels, mais aussi aux zoos, aux jardins botaniques, aux parcs d’attractions et aux parcs sportifs, ont augmenté bien au-delà du taux d’inflation au cours des deux dernières décennies. De cette manière, des segments toujours plus importants de la population sont exclus de leur utilisation. Les villes du quart d’heure souhaitées par les milliardaires du WEF et des Verts pour des raisons de protection du climat sont créées toutes seules, dans un premier temps sans aucune coercition. Comme on le sait, Harari veut pour le moment calmer les « superflus » avec les jeux vidéo et la drogue. Pour beaucoup de gens, il n’existe pratiquement pas d’autres possibilités de loisirs.
https://tkp.at/2024/10/11/besuch-in-der-sportstadt-winterberg-eine-reportage/
Comme vous venez de le constater la merde est aussi ailleurs !! avec des 'autorités' trisomiques et asymptomatiques ! HAHAHAHA !
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